La Clé pour la porte

Date: 62-1007 | La durée est de: 1 hour and 32 minutes | La traduction: Shp
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1 … un privilège d’être au tabernacle. C’était un peu inattendu pour moi aussi. Moi, sachant que ce soir est une soirée consacrée à la communion, j’aime toujours, si je suis quelque part ici, venir à la communion. En effet, c’est… Je pense que tous les chrétiens devraient s’attendre à prendre la communion, car Jésus a dit : « Si vous ne mangez pas cela, vous n’avez pas de part avec Moi. » Donc, c’est un… toujours un grand privilège de–de venir au tabernacle. Aussi, ce soir, frère Neville a dit qu’il était un tout petit peu enroué, et–et il voulait que je parle à notre assemblée. Je lui ai dit que je serais ravi de le faire. J’aimerais aussi annoncer que si…

2 Demain soir, il y aura une réunion des hommes, les administrateurs, demain soir, et des hommes d’affaires de cette église-ci, leur réunion habituelle de lundi soir et leur… ont une décision à prendre avec l’entrepreneur. Je pense que vous comprenez tous que nos–nos–nos documents sont sortis, et que nous pourrons construire l’église. Ainsi donc, c’est sous examen, et probablement qu’on commencera cette semaine. L’église commencera cette semaine, à ce que je sache.
Et, on nous avait refusé cela ici à Jeffersonville, mais nous sommes allés à Indianapolis, chez l’Etat, et ils nous ont autorisés ; ainsi, nous allons construire cela. Ainsi donc, on commence, peut-être, cette semaine. On le saura après la réunion de demain soir. Et puis, après la réunion de demain soir, si on ne commence pas cette semaine, s’il arrive quelque chose et que l’entrepreneur ne peut pas commencer cette semaine, il va alors commencer la semaine suivante.

3 Et le week-end prochain, le samedi soir, le dimanche matin et le dimanche soir de la semaine prochaine, les prochains samedi et dimanche, le Seigneur voulant, j’aimerais encore tenir une–une–une triple réunion, comme nous l’avions fait il y a quelques semaines. Et puis, après, nous… Ça sera le samedi soir, puis le dimanche matin, et enfin le dimanche soir. Le prochain, ça sera le 13 et le 14 de ce mois-ci.

4 Et puis, certains frères et moi, nous irons après cela, dans le Colorado, dans une partie de chasse ; ensuite, nous reviendrons. Si le tabernacle, une fois terminé, si c’est la volonté du Seigneur, j’aimerais peut-être consacrer une semaine entière, avant de partir encore dans des réunions, à voir les Sept Sceaux de l’Apocalypse, juste avant… Comme nous avions fait pour les Sept Ages de l’Eglise, cette fois-ci, les Sept Sceaux vont suivre cela.

5 Et, probablement, dans deux ou trois prochaines semaines environ… En effet, je pense qu’on dit qu’on... avec l’homme à qui on va confier cela, ils peuvent… nous pourrons construire le tabernacle et le terminer dans dix jours environ, ou quinze, quelque chose comme cela. Nous aurons alors ici le double des places assises environ, que nous avons maintenant, ou le triple, peut-être davantage. Et c’est ainsi que j’attendais jusqu’à ce temps-là.

6 En effet, le samedi et le dimanche passés, c’était terrible, vous le savez. A 14h, les gens étaient debout ici pour remplir le tabernacle, avant donc que l’église ait été ouverte. Le lendemain matin, à 5h, une infirmière qui habite près de chez moi est revenue de là et a dit : « C’est plein de gens tout autour du tabernacle à 5h du matin. » De temps en temps, quand les gens arrivent, il n’y a pas de places, alors ils se découragent et s’en vont. Et–et aussi, ceux qui sont debout, qui sont entassés et qui sont coincés dans des allées, ils sont tout à l’étroit et tout. Et je vois des femmes debout là, en sueur, vous savez, comme cela, transpirant. Et un homme renonce à son fauteuil et le cède à une femme ; et puis, il se met debout jusqu’à ce que les jambes lui fassent mal, alors quelqu’un d’autre lui cède une place. Vous savez, et c’est pitoyable comme ça ; des mères avec des petits enfants malades et autres, c’est dommage.

7 Nous essayons donc d’éliminer cela maintenant en construisant un tabernacle plus grand. Et nous aurons un bel endroit où les enfants… Parfois, on est interrompu quand les petits enfants pleurent ; eh bien, nous aurons une salle affectée à cela, de la sorte, les mamans peuvent y entrer et continuer à suivre la réunion qui sera radiodiffusée juste dans cette salle, et on aura des salles de l’école du dimanche et tout est bien prévu comme il le faut. Et cela, le Seigneur voulant, se fera la semaine prochaine.

8 Vous avez tous voté à cent pour cent pour cela, nous nous sommes donc bien accrochés à cela. Voyez ? L’église est souveraine. Ce que l’église dit, c’est ce que… les administrateurs ni personne d’autre… Les administrateurs ont juste chacun une voix. Le pasteur, c’est juste une voix. C’est l’église, c’est–c’est ça la démocratie de l’église, la souveraineté de l’église. L’église dans son entièreté parle. C’est tout. Et nous aimons cela ; en effet, nous n’avons pas d’évêques, ni de hiérarchies, ni de surveillants ou autres pour nous dicter telle chose, ou telle autre. C’est le Saint-Esprit dans l’église qui parle. J’aime cette ligne de conduite, et c’est très bien.

9 Et j’avais demandé : « Voulez-vous tous attendre jusqu’à ce que nous en ayons assez pour déménager le tabernacle et construire une grande église ? » Ça, c’était au conseil des administrateurs, et la question n’a pas pu être tranchée par les administrateurs. Et alors, ils m’ont demandé, en tant que surveillant général, de venir le demander à l’église. Alors, j’ai dit : « Maintenant, nous avons assez d’argent pour élargir l’église et tout arranger, tout, et ce que nous avions eu. » J’ai dit : « Maintenant, nous pouvons le faire tout de suite, sinon nous épargnerons notre argent jusqu’à ce que nous en ayons suffisamment pour bâtir toute une nouvelle église ailleurs. »

10 Et nous avons voté là-dessus dans l’église, et on a, à l’unanimité, voté de construire l’église maintenant même, et c’est juste construire une église plus grande maintenant même. Et nous nous en sommes bien tenus à cela.

11 Mais le conseil municipal d’ici à Jeffersonville nous a refusé cela, disant que nous n’en avions pas l’autorisation. Et nous sommes passés outre cela, nous sommes allés à Indianapolis et nous avons saisi l’Etat à ce sujet. Et alors, on nous a renvoyé un mot, disant : « Allez de l’avant. » Nous avons l’autorisation de bâtir cela. Ainsi donc, la ville n’a rien à faire avec cela maintenant ; c’est l’Etat qui s’en occupe. Ainsi donc, nous avons l’autorisation, et l’entrepreneur a la–l’autorisation en main maintenant même, et je pense qu’on est prêt à commencer n’importe quand.

12 Demain soir, si le–si l’entrepreneur dit qu’il veut commencer la semaine prochaine, alors j’ajournerai simplement les réunions pour le… jusqu’à ce que nous venions pour les Sept Sceaux. Et alors, si l’entrepreneur ne peut pas commencer la semaine prochaine, alors le dimanche prochain, le samedi et le dimanche, je tiendrai une série de réunions avant de partir.

13 Et aussi, j’allais tenir cela ce dimanche-ci, et j’ai donc découvert que ce soir était une soirée de la communion, aussi ai-je laissé tomber cela ce dimanche-ci. En effet, avec une telle foule, on ne peut pas prendre aisément la communion; et alors, quand nous aurons une église plus grande, ce sera possible.

14 Maintenant, nous avons le futur président. Le… Oh ! vous savez ce que je veux dire, il vient d’être confié à la famille Hickerson il n’y a pas longtemps. Et si la… notre soeur pianiste veut bien passer au piano pour nous donner un petit accord de Amenez-les, s’il vous plaît, ou une petite chanson du genre… Ce petit galant homme de la famille Hickerson tant attendu, est arrivé, un très beau petit enfant, et il est certainement un joyau pour les Hickerson. Ils sont tous des joyaux pour nous ; nous les aimons et ce sont nos véritables frère et soeur. Nous sommes reconnaissants d’avoir ce petit enfant né dans leur famille, ce qui a absolument révolutionné la famille. Et s’ils, la mère et le père, veulent amener ce petit enfant maintenant pour la consécration… Maintenant, les Ecritures disent qu’on amena à Jésus les enfants, les petits, afin qu’Il leur imposât les mains et les bénisse.

15 Or, il y a des gens au monde qui croient dans ce qu’on appelle le baptême de l’enfant. Et cela revient à ce qu’on prend ces petits enfants… et, on ne les baptise pas du tout; en fait, on ne fait que les asperger d’eau. Eh bien, nous ne trouvons cela nulle part dans la Bible, qu’on ait donc aspergé qui que ce soit, les adultes ; les enfants, n’en parlons même pas.

16 Ainsi donc, le baptême est une confession que l’oeuvre de la grâce a été opérée à l’intérieur. Et les petits enfants ne connaissent pas le péché. Par conséquent, quand Jésus mourut à la croix, Il mourut pour ôter le péché du monde. Et quand un enfant devient un être humain, qu’il naît dans ce monde, il n’a pas de péché propre à lui ; par conséquent, il n’a pas de repentance à faire. Mais quand ce… le Sang de Jésus-Christ ôte ce péché-là, évidemment, l’enfant est né dans le péché, il est conçu dans l’iniquité, il vient au monde en proférant des mensonges, et il est pécheur par nature, mais le Sang de Jésus-Christ expie cela. Mais quand l’enfant est… atteint l’âge de la raison et discerne le vrai du faux, alors il doit se repentir pour ce qu’il a fait. Son péché est alors un péché juste comme il est né dans le péché ; c’est le péché humain. Le péché donc, c’est le péché qu’Adam et Eve avaient commis, et ça a été remis par Dieu, par le Sang de Jésus-Christ. Eh bien, l’enfant n’a pas de péchés dont se repentir, jusqu’à ce qu’il pèche, alors il doit se repentir. Voyez ? Et quand il se repent, c’est alors qu’il sera baptisé, et il est alors baptisé par immersion.

17 Avant ce temps-là, nous suivons les instructions de la Bible, selon lesquelles : « On amena à Jésus des petits enfants afin qu’Il leur imposât les mains et les bénisse. » Cet aimable parent amène ce soir ce petit enfant au pasteur et à moi pour la consécration. Et ils pensent qu’en le plaçant entre les mains des représentants de Christ, ils le placent entre les mains de Christ. Alors, par la foi, nous amenons l’enfant à Dieu pour rendre les actions de grâces pour l’avoir fait venir ici et demander à Dieu de le bénir; c’est ce que nous appelons la consécration de l’enfant.

18 Maintenant, vous savez ce que je ferais de mes propres enfants. J’ai une fillette dans la Gloire ce soir, elle a été consacrée au Seigneur ici à l’autel. J’ai un petit garçon et une fillette qui sont assis là derrière ce soir, qui ne sont pas encore baptisés, jamais. L’une a onze ans, Sarah; je lui en parlais aujourd’hui, du baptême. Et Joseph n’a que sept ans, il est donc trop jeune pour cela présentement, jusqu’à ce que… S’il le voulait et qu’il disait que Dieu a placé cela sur son coeur, je le ferais donc. Mais comme ce sont des enfants, je ne fais que les consacrer au Seigneur, parce que c’est l’enseignement scripturaire là-dessus.

19 Frère Neville, veuillez avancer avec moi maintenant vers ce beau garçon. J’avais peur de prendre… Est-ce Hollin ? Hollin ? Oui, Hollin, Junior ? Stephen Hollin. Eh bien, c’est bien. Eh bien, je pensais qu’il dormait. C’est la nature des Hickerson, tout ce qui se passe, c’est…?... Je l’ai vu l’autre jour, j’ai dit : « Le président », et ainsi de suite. Et, évidemment, c’était trop peu de choses pour lui (voyez ?), parler de lui…?... Eh bien, bonsoir. Eh bien, je sais qu’il doit être un trésor pour n’importe quel père et quelle mère. Ne le pensez-vous pas ? Il est très doux. Et maintenant, Frère Hickerson et Soeur Hickerson, en tant que serviteur de Christ et votre pasteur, j’amène cet enfant par la foi dans les bras de Jésus-Christ, et c’est dans Ses bras que vous souhaitez le placer.

20 Inclinons la tête alors que le pasteur et moi, nous nous tenons ici avec nos mains sur l’enfant.

21 Notre Père céleste, dans la Bible, on T’avait amené les petits enfants, afin que Tu leur imposes les mains et que Tu les bénisses. Et, à vrai dire, Seigneur, ils avaient été bénis. Et maintenant, pour suivre Ton exemple, les oeuvres que Tu as faites, nous avons essayé de près, Seigneur, de lire la Bible de près et de suivre l’exemple tel que Tu l’avais fait. Et ce père et cette mère, frère et soeur Hickerson, nos disciples bien-aimés ici au tabernacle, nous amènent ce petit bout de joie que Tu as confié à leur soin. Il est venu de Toi, Seigneur. C’est Toi qui leur as donné cet enfant. Et maintenant, ils désirent Te confier sa petite vie pour être à Ton service. Je Te prie de bénir cet enfant, que Tu lui accordes une longue vie. Puisse-t-il vivre, si possible, jusqu’à voir la Venue du Seigneur. Je Te prie de le bénir où qu’il sera. Qu’il grandisse dans un foyer chrétien, comme il y est né. Et puisse-t-il continuer dans ce foyer. Que le père et la mère vivent jusqu’à voir cet enfant à la chaire, si possible, prêchant l’Evangile. Ils préféreraient le voir comme cela, Père, plutôt qu’être sur le… sur un trône à la Maison Blanche, ou n’importe où ailleurs, parce qu’ils sont Tes serviteurs, et ils désirent que la vie de l’enfant soit consacrée et soit une bénédiction pour l’oeuvre de Dieu.

22 Maintenant, Père, je Te prie de bénir cet enfant. Et puisse la grâce de Dieu reposer sur lui, et puisse-t-il être en bonne santé et heureux toute sa vie. Et puissent le père et la mère vivre jusqu’à le voir devenir grand, nous le demandons de nouveau. Bénis celui que nous bénissons en Ton Nom.

23 Et maintenant, petit Stephen Hollin Hickerson, je te confie à Jésus-Christ, que les bénédictions que nous avons demandées puissent reposer sur toi. Sois en bonne santé et fort, mon petit frère, et puisses-tu vivre pour glorifier Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, nous le demandons. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse tous…?... Là, nous ne vieillirons point, nous ne vieillirons point,
Dans le pays où nous ne vieillirons point ;
Nous ne vieillirons point, nous ne vieillirons point,
Dans le pays où nous ne vieillirons point.

24 Ne sera-ce pas merveilleux ? Les jeunes deviendront adultes, et les vieux deviendront jeunes. Eh bien, n’est-ce pas merveilleux ? Et nous ne tomberons jamais malades, nous n’aurons jamais de chagrin, ou nous ne mourrons jamais.

25 Eh bien, les réunions, frère Neville les a annoncées. J’aimerais maintenant annoncer aussi que cette réunion-là, ne l’oubliez pas, ainsi que les réunions dont il a parlé. Aussi, madame Ford qui fréquentait cette église il y a des années, je venais de l’amener auprès de sa fille il y a quelques jours, elle avait 80 ans, elle s’en est allée à la rencontre du Seigneur hier soir à 20h, je pense. Le service en sa mémoire, le pasteur et moi, nous le tiendrons à la chapelle, chez Coots, le mercredi, à 10–10h30, le mercredi prochain. Madame Ford, madame… Je pense que j’oublie son… Levi, madame Levi Ford. Notre… c’est–c’est la mère de Lloyd Ford que vous voyez dans mon livre, celui qui allait me garder la tenue de boy-scout , et je n’en ai reçu qu’une jambe qui restait. Eh bien, c’est–c’est la mère de ce garçon-là. Je l’avais donc amenée l’autre jour et j’avais prié pour elle, la pauvre vieille créature. Et elle s’en est allée à la rencontre du Seigneur Jésus.

26 Maintenant, le Seigneur voulant, j’avais quelque chose ici, afin que je puisse annoncer que les réunions, si on vient la semaine prochaine, j’avais mis cela ici, ou du moins, je pensais l’avoir fait, au sujet de ce que j’allais dire concernant la–la–la prochaine… tenir la prochaine réunion la semaine qui suit. Si je–je pense… Je pensais avoir mis cela dans ce livre ; je ne sais pas si je l’avais fait ou pas. Oui, ça y est. Le Seigneur voulant, le samedi soir, j’aimerais prêcher sur le sujet : Pourquoi un homme influence la vie d’un autre. Et le dimanche matin, j’aimerais prêcher sur Coiffer la pyramide. Et le dimanche soir, j’aimerais prêcher sur Mon Guide ; le sujet Mon Guide, pour le soir du dimanche prochain. Eh bien, puisse le Seigneur bénir ces choses et m’aider ; quand j’étais là, alors juste un petit contexte pour prendre cela.

27 Eh bien, nous aimerions nous dépêcher ce soir et examiner quelques points. A propos, j’ai ici une lettre qui–qui vient de m’arriver par courrier, quand Billy l’a prise il y a quelques instants ; il est écrit qu’il y a des frères dans le Michigan, et elle provient de l’association des prédicateurs, qui a beaucoup de choses. C’est ce qui embrouille les choses. Voyez ? Ils affirment dans cette lettre qu’il y a là des frères qui disaient que c’est moi qui les ai envoyés là-bas, et ils prêchent que les hommes doivent abandonner leurs femmes et se chercher une compagne spirituelle, et que–que je suis parfaitement infaillible, qu’il n’y a rien… Et, oh ! certaines déclarations horribles qu’on n’ait jamais entendues. L’association de prédicateurs s’en est emparée, ils m’écrivent une lettre à ce sujet, disant que c’est moi qui ai envoyé ces gens là-bas, et cela cause beaucoup de confusion. Et certains parmi eux prophétisent et disent que tel homme doit quitter telle femme et épouser telle autre.

28 Or, cette église sait que nous ne soutenons pas pareille sottise. Nous croyons dans la Bible. Nous croyons qu’une fois qu’un homme prend une femme, c’est sa femme, et que seule la mort peut les séparer. C’est seulement… Nous ne croyons pas pareilles sottises. Nous ne croyons pas dans l’amour libre non plus. Nous ne croyons pas dans pareille sottise. Nous croyons absolument la Bible, et Elle seule. Donc, je vais photocopier cela, photocopier cette lettre et y réserver une réponse et l’insérer dans des magazines, et ça va–ça va régler la question. J’espère, en tout cas, leur répondre.

29 Maintenant, ce soir, juste avant que nous ouvrions les Ecritures, parlons à notre Seigneur.

30 Notre Père céleste, nous nous approchons de Ton Trône de miséricorde au Nom du Seigneur Jésus, Lui, le Glorieux, qui est descendu de la Gloire pour nous révéler les richesses des trésors de Dieu. Combien nous Te remercions pour ce Glorieux Jésus qui a été la manifestation de Dieu, nous révélée personnellement et par Lui nous avons la rédemption de nos péchés. Et nous sommes maintenant passés de la mort à la Vie, parce que nous croyons en Lui. Car il est écrit à Son sujet qu’Il a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. »

31 Bénis Tes Paroles ce soir, Seigneur. Et nous sommes ici pour prendre la communion, dans peu de temps. Les chrétiens, les concitoyens du Royaume se rassembleront autour des autels et, là, ils prendront ce que nous appelons la communion, un–un petit morceau du–du sacrement que Tu nous as laissé pour montrer que nous croyons que Tu es mort pour nos péchés, que Tu es ressuscité le troisième jour, et que Tu es vivant aux siècles des siècles, et nous faisons cela jusqu’à Ton retour, selon ce que les Ecritures nous ont ordonné. Sanctifie nos coeurs de mauvaises pensées et de tout ce que nous avons fait de contraire à Ta glorieuse volonté. Père, pardonne-nous et accorde-nous Ta grâce ce soir. Romps pour nous maintenant le Pain de la Vie dans la Parole, alors que nous La lisons et que nous En parlons. Nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

32 Maintenant, dans le Livre d’Apocalypse, on commence avec un seul verset. Je souhaiterais lire le verset 20, ou plutôt le verset 1 du chapitre 20. Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l’abîme et une grande chaîne dans sa main.

33 Maintenant, je souhaiterais parler, si possible, s’il me faut appeler cela un texte tiré de ceci, ou plutôt tirer un contexte de ce texte, pour les quelque vingt ou vingt-cinq prochaines minutes, j’aimerais intituler cela : La Clé pour la porte. Eh bien, je ne voudrais pas présenter cela comme les clés, parce que c’est à Pierre qu’il a confié les clés du Royaume. Mais j’aimerais intituler cela : La Clé pour la porte. Et puis, aussitôt après ça, je souhaiterais faire quelques petits commentaires sur la Communion, avant que nous la prenions ce soir.

34 Bon, une clé… Je vois ici, comme nous l’avons lu, que cet ange est descendu du Ciel avec une clé dans sa main. Je crois que c’est dans Apocalypse 13 ou 19; nous voyons encore un autre ange venir avec une clé. Et, une clé, c’est… L’utilité d’une clé, c’est d’ouvrir quelque chose, quelque chose qui a été fermé, ou quelque chose qui est censé être fermé. Et une clé est donnée dans ce but-là.

35 Eh bien, il y a toutes sortes de clés. En effet, nous nous en servons à diverses fins. Il y a des clés pour des entrepôts, il y a une clé pour votre propre maison ; il y a une clé pour votre automobile. Et nous appelons cela des clés, et ce sont des clés. Elles peuvent être reproduites en plusieurs copies. Ou, pour la maison, parfois on peut fabriquer ce que nous appelons une passe-partout. En d’autres termes, c’est une clé fabriquée avec un levier d’ouverture qu’on actionne, ça–ça tourne la serrure dans un sens donné et ça peut pratiquement ouvrir n’importe quelle porte ; ça s’appelle une clé passe-partout. C’est une structure typique de plusieurs clés, et ça peut ainsi ouvrir nos maisons et même nos véhicules, ça peut être reproduit. Et ainsi, il y a…

36 Aucune clé ne peut ouvrir une porte à moins qu’elle soit maniée par une main. Il faut quelque chose qui utilise la clé. La clé en soi ne peut pas s’utiliser. Il faut quelque chose qui présente cette clé.

37 C’est comme ce microphone par lequel je–par lequel je parle. Ce microphone est muet. S’il n’y a rien qui parle au travers de cela, cela ne peut pas parler de soi-même. Il faut que quelque chose parle au travers de cela. Donc, ce n’est pas le microphone, c’est la voix ou le–le bruit derrière ce microphone qui transmet les–les ondes hertziennes à votre oreille.

38 Eh bien, c’est pareil pour la prédication de l’Evangile. Ce n’est pas nous-mêmes en tant que prédicateurs ; nous ne sommes pas l’Evangile. Mais nous sommes seulement des canaux, des agents humains, par lesquels la Voix de Dieu est transmise à l’auditeur.

39 C’est pareil pour une vision. Je ne sais rien dire à l’église en ce moment-ci concernant une quelconque vision. Mais si le Saint-Esprit me montre d’abord une vision, alors je transmets cette vision à celui à qui elle s’adresse. Ce n’était donc pas mon… moi, la vision, ce n’était pas moi, moi ; c’est Dieu qui a donné la vision, et moi, j’ai servi de canal de transmission du message de la vision vers les gens.

40 Eh bien, c’est la même chose pour une clé. Pardonnez-moi. Une clé doit être tenue par une main pour qu’elle ouvre la porte. Voyez, il doit y avoir une main. Eh bien, concernant la clé dont je vais parler ce soir, il n’y a qu’une main qui peut la tenir, et c’est la main de la foi. C’est l’unique chose qui peut–qui peut tenir cette clé. Et les mains tiennent d’autres clés, et il faut une main de la foi pour celle-là.

41 Eh bien, prenons par exemple la clé de la connaissance. Eh bien, il en faut à un homme, s’il cherche à accumuler la connaissance, voyez. Eh bien, il y a une clé pour cela. Il y a un moyen pour cet homme d’accéder, absolument. Il doit être… prendre ses livres et apprendre, et il ne peut pas… Personne ne peut le lui apprendre. On peut l’enseigner, mais c’est à lui d’apprendre. Et l’unique moyen de s’y prendre, c’est qu’il doit détenir cette clé, ce quelque chose, là, qui ouvre ou dé… lui révèle la connaissance qu’il cherche.

42 Et il y a des gens comme cela qui cherchent à jouer au piano et à la… ou la musique. Ils ne savent simplement pas comment s’y prendre, mais ils peuvent aller là, le maître peut donner leçon après leçon, ils n’apprendront jamais cela. Ils n’arrivent simplement pas à saisir la clé de ce mystère-là, comment le rythme et les sons de la mélodie et autres retentissent. Il faut une clé.

43 Et, pour les mathématiques, il y a une clé, pour la mathématique; elle vous permet d’en saisir le sens, absolument. J’ai vu des hommes qui pouvaient prendre quatre colonnes de chiffres, placer leurs doigts chacun de leurs doigts, sur une colonne de chiffres, et descendre du coup comme cela, une colonne peut-être de cinq ou six chiffres, et mettre la réponse au bout. Calculer quatre colonnes à la fois, et calculer n’importe quel chiffre de 1 à 9. Eh bien, je passe un temps difficile à calculer une seule colonne, à moins que j’aie assez de doigts et d’orteils pour compter, afin de bien calculer une seule colonne. Je n’ai jamais pu trouver cette clé-là, c’est tout. Mais, vous voyez, certains l’ont bien trouvée et savent comment s’y prendre.

44 Il y a une clé pour la connaissance, pour un homme qui cherche de la connaissance. Il y a une clé pour la science, les recherches scientifiques. Eh bien, c’est–c’est une grande clé. Les gens la cherchent.

45 Par exemple, il y a quelque temps, on a découvert un atome, et on a su que les atomes existaient ; et puis, les atomes forment des molécules et autres. Eh bien, on s’est mis à faire des recherches. Quelqu’un s’est dit que, puisque c’est l’atome qui maintient tout ensemble, si l’atome pouvait être lâché, cela emporterait ce qu’il maintient et le ferait exploser. En effet, tout est maintenu par l’atome, nous le savons. Eh bien, ce poteau est maintenu par des atomes. Vous êtes maintenus par des atomes. L’herbe, les arbres, tout est pour… maintenu par des atomes. Eh bien, si cet atome-là, qui entraîne tout dans un sens, s’il peut être fissionné et tourner dans l’autre sens, cela causera alors une destruction. Et aujourd’hui, de grands hommes de science pensent que ça peut se faire, et ils ont travaillé, ils ont travaillé, ils ont consacré heure après heure, semaine après semaine, année après année, et finalement ils ont maîtrisé cela.

46 Je pense que c’était Thomas Edison, concernant la lumière. On dit que cet homme avait une idée qu’il pouvait produire la lumière par l’électricité. C’est lui l’inventeur de l’ampoule électrique. Et il ne dormait même pas la nuit. Il prenait un sandwich en main, prenait son repas, s’asseyait là, réfléchissait et travaillait. Quelque part là, au fin fond de son esprit, quelque chose lui disait qu’il pouvait le faire. Qu’est-ce ? C’est une clé qui peut ouvrir une voie.

47 Il n’y a pas longtemps, un–un homme croyait qu’il avait le talent d’écrire des bandes dessinées. Il croyait détenir la clé en main. Et il voulait… Il est allé… Il habitait Kansas. Il est allé auprès de l’éditeur d’un grand journal à Kansas City ; ce dernier prit certains de ses écrits. Alors, l’éditeur dit : « Monsieur, vous n’en avez simplement pas. Vous–vous… Ça ne vaut pas la peine d’essayer, vous–vous ne pouvez pas faire ça. » Mais cela n’a pas convaincu cet homme. Il savait qu’il avait la chose. Et il est revenu essayer à plusieurs reprises, mais il… l’éditeur le renvoyait. Finalement, il est allé ailleurs, et on l’a rejeté, disant : « Monsieur, vous n’en avez simplement pas. Vous ne pouvez pas le faire. » Mais cependant, il croyait qu’il pouvait le faire. Eh bien, c’est comme ça ; il avait quelque chose en main.
Finalement, il a attrapé le travail d’écrire un petit script pour, je pense, un éditorial ou quelque chose du genre pour une église, une espèce de petite bande dessinée, une église. Alors, il s’est loué un petit garage infesté de rats ou de souris, où les souris couraient partout et dans tout, dans ses papiers, et il a commencé à remarquer la particularité d’une petite souris. C’est de là qu’est née l’histoire de Mickey Mouse. Eh bien, Walt Disney est un multimillionnaire. Pourquoi ? Il avait quelque chose en main, et il savait qu’il détenait cela ; il savait qu’il pouvait le faire. C’est ainsi que chaque grande réalisation est faite. C’est quand les hommes et les femmes ont quelque chose en main et qu’ils savent qu’ils peuvent le faire.

48 Quand la polio avait frappé ce pays (aussi nous est-il demandé à tous aujourd’hui d’aller recevoir ce vaccin pour éradiquer cela), quand la polio avait frappé… Hier, je suivais un médecin, alors que je conduisais sur la route, un médecin de Louisville. Il disait : « Il y a quelques années, quand la grande plaie avait frappé Louisville, a-t-il dit, si les hommes s’étaient tenus là où j’étais et avaient vu 57 respirateurs à la fois, et des hommes, des femmes, des jeunes garçons et des jeunes filles paralysés par une maladie appelée la polio, et rien ne pouvait être fait à ce sujet… » Il a dit : « Je ne désire jamais revoir pareille chose. »

49 Mais la science s’est dit : « S’il y a un mal comme la polio, il y a certainement autre chose pour contrecarrer cela. » Ils se sont débattus, se tenant dans des rues en bottes, ces sapeur-pompiers…, ôtant les chapeaux, mendiant, flânant, ils ont tout fait, cherchant à trouver une clé pour ouvrir la porte vers la liberté. Et finalement, un gentleman chrétien du nom de Salk a trouvé le vaccin. Pourquoi ? Il y avait un mal en jeu, il y avait un tueur en jeu, il y avait quelque part une clé qui pouvait ouvrir et accorder la liberté une fois de plus à l’homme, et le vaccin Salk a été un traitement efficace. Oh ! ce qu’une clé peut faire ! Le vaccin a été produit, et aujourd’hui, ça a éradiqué la polio, ce vaccin ; c’est parce qu’on ne s’était jamais fatigué et on n’avait jamais abandonné l’idée que cette clé était quelque part. Il y avait quelque chose qu’on pouvait injecter contre cela, et ils étaient déterminés à trouver ça.

50 Et s’il y a un mal tel que la polio, la diphtérie, la variole, la fièvre jaune, le tétanos, le trisme et autres, ces choses mauvaises que la science a pu combattre nuit et jour, jusqu’à trouver le vaccin contre cela, parce que c’est un mal ; c’est quelque chose qui tue, à combien plus forte raison existe-il une clé pour le salut d’un homme qui est dans la prison du péché. Il y a une Clé pour cette Porte-là, pour libérer l’homme de cela.

51 Une tré… Une clé, généralement, quand elle ferme et… quand on trouve une clé, il doit y avoir un trésor, quelque chose de valeur, sinon vous ne fermerez même pas cela. Si ça ne vaut pas la peine d’être fermé, laissez-le simplement de côté. Mais si ça vaut la peine d’être fermé… Alors, une clé, généralement, c’est une–une solution à quelque chose, ou un moyen d’accès à quelque chose de valeur. Une clé, c’est à cela qu’elle sert ; eh bien, ça donne accès à quelque chose de valeur.

52 Eh bien, nous lisons dans Saint Jean, chapitre 10, Jésus dit : « Je suis la Porte des brebis. Je suis la Porte (pas une porte, la Porte, l’unique Porte). Je suis la Voie (l’unique Voie), la Vérité et la Vie, et nul ne peut venir au Père si ce n’est par Moi. Je suis la Porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant Moi sont des ennemis, des voleurs et des brigands. » Il est la Porte de la bergerie. Il est la Porte du salut.

53 « Il n’y a sous le ciel aucun autre Nom qui ait été donné, par Lequel vous devez être sauvé, c’est uniquement par le Nom de Jésus-Christ. » Pas une église, pas une dénomination, pas un credo, pas de doctrines de n’importe quoi, c’est uniquement par le Nom de Jésus. C’est ça la–c’est ça la Clé. Il n’est pas étonnant que Pierre se soit servi de l’une d’elles le jour de la Pentecôte. Les gens voulaient savoir comment entrer par cette Porte-là. Il a utilisé la Clé. Et il n’y a qu’une seule Clé; en effet, il n’y a qu’une seule Porte : « Je suis la Porte. » Et Pierre avait la Clé pour Cela. Et il a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez les trésors de Dieu. » C’est la Clé pour la Porte, et Jésus est la Porte.

54 Il n’y a qu’une seule Porte pour la guérison, et Jésus est cette Porte-là. Il n’y a qu’une seule Porte pour la paix. Oui. « Je vous donne Ma paix. » Il est l’unique Porte pour la vraie paix. Vous pouvez penser avoir la paix. Vous pouvez accumuler assez d’argent pour vous acheter une maison ; vous pouvez accumuler assez d’argent pour acheter des habits à vos enfants, avoir de la nourriture à manger, et vous pouvez avoir eu assez de popularité pour être populaire parmi les gens.

55 Mais quand vous enlevez vos souliers la nuit et que vous êtes sur le point de vous coucher, il n’y a qu’une seule chose qui peut vous donner la paix, c’est quand vous êtes sûr que, s’il vous fallait mourir cette nuit-là, il y a une seule Paix, et c’est Jésus, cette Paix-là. Il est notre Paix.

56 Il est notre guérison. « Je suis l’Eternel Ton Dieu qui te guérit de toutes tes maladies. » Il est la Porte du Ciel. Et il n’y a pas d’autre porte, ni d’autres voies en dehors de Jésus-Christ. Il est la Porte du Ciel.

57 Et maintenant, Jésus est la Porte pour toutes ces choses, et la foi est la Clé qui ouvre cette Porte. Eh bien, si Jésus est la Porte pour toutes ces promesses de Dieu, la foi dans l’oeuvre achevée par Lui ouvre chaque porte pour chaque trésor qu’il y a dans le Royaume de Dieu. Voyez-vous cela ? La clé est… La foi est la Clé qui ouvre chaque promesse qu’Il donne. La Clé de la foi fait cela, la foi dans Son oeuvre achevée par Lui. C’est de ces clés dont nous parlons.

58 Eh bien, dans Hébreux, chapitre 11, j’en ai une longue liste ici par écrit, sur ces héros de la foi. C’était la clé pour–pour la Porte qui avait fermé la gueule aux lions. C’était la clé, la foi, qui avait ouvert les prisons. C’était la foi, la clé de la foi, qui avait éteint la puissance du feu, qui avait fait échapper au tranchant de l’épée, qui avait ressuscité des morts. C’était la foi, la Clé de la foi dans le Dieu vivant. Cette main-là, cet homme-là, cette femme-là qui peut tenir cette clé de la foi, qui peut ouvrir chaque promesse que Dieu a faite. Mais si vous n’avez pas cette clé-là, vous ne faites que mendier, vous n’allez jamais ouvrir cela. Vous allez vous cogner contre cela ; en effet, cette clé…

59 Toute clé bien faite a des leviers d’ouverture à l’intérieur de la serrure ; il faut une forme donnée, une certaine forme à ces clés, pour ouvrir ces leviers d’ouverture. Et s’il y a juste un petit levier irrégulier, tout est abîmé.

60 C’est pourquoi je crois dans le plein Evangile, chaque Parole de Dieu qui déclenche la puissance de Dieu, qui amène Ses bénédictions aux gens. C’est la clé pour la Porte qui l’ouvre. Tous ces grands héros, ces prophètes et ces grands hommes de la Bible qui… avaient cette Clé-là. C’est pourquoi ils ont pu fermer la gueule aux lions, ils ont éteint la puissance du feu, ils ont échappé au tranchant de l’épée, ils ont ressuscité les morts, ils ont fait toutes sortes de miracles, c’est parce qu’ils détenaient cette Clé-là et qu’ils savaient qu’elle fonctionnait. En effet, c’était une Clé née des Ecritures.

61 Eh bien, si je ne fais que mendier avec une clé de crédos, je ne sais pas ce qui va se passer. S’ils disent : « Mon église dit que c’est ça », je n’en sais rien.

62 Mais quand la Bible l’enseigne, alors je tiens en main ou dans mon coeur cette clé de la foi qui dit : « C’est la Parole de Dieu », cela va éteindre la puissance du feu ; elle ouvrira la porte de la guérison pour les malades, elle ouvrira celle du salut pour les perdus. Je dois m’approcher à la Porte, tout est en Son Nom : « Tout ce que vous faites en parole ou en oeuvre, faites tout en Son Nom », sachant que la clé que vous avez, c’est la foi, car c’est une Clé scripturaire. Eh bien, si c’est une clé credo, une clé dénominationnelle, je ne sais pas ce que ça fera. Mais si c’est une Clé scripturaire, elle ouvrira, parce que Dieu l’a dit. Eh bien, oh ! il n’est pas étonnant qu’ils aient éteint la puissance du feu et autres, ils avaient la clé.

63 Au tout premier hochement de tête de Dieu à l’intention de l’un de ces prophètes, rien ne pouvait les arrêter. Il n’avait pas à faire comme Il le fait parfois avec moi, Il martèle à plusieurs reprises, et peut-être que vous (j’espère que non), mais Il continue à me dire : « Va faire ceci. » Et puis, vous avancerez en trébuchant. « Ensuite, va faire ceci. » Et « Rentre refaire ça ; tu ne l’avais pas bien fait. »
Au tout premier hochement de tête, aussitôt qu’ils entendaient l’Esprit leur dire : « Voilà la chose à faire », rien n’allait les arrêter. Frère, ils–ils–ils ont fermé la gueule aux lions ; ils ont échappé au tranchant de l’épée, ils ont éteint la puissance du feu ; ils ont tout fait, rien qu’au petit hochement de tête de Dieu, parce qu’ils tenaient la clé en main, cette grande foi. Ils ont fait des choses pour Dieu, parce que rien n’allait les arrêter. Oh ! comme c’est glorieux !

64 C’est comme une fois, un jeune homme est allé vers un–un vieux frère, un vieil homme pieux, un vieux prophète de Dieu. Il entendait cet homme témoigner constamment, parler constamment de la bonté de Dieu, de ce que Dieu était, de ce que Christ était, et il allait continuellement de l’avant, en parlant. Finalement, ce jeune homme allait être ordonné dans le ministère, alors il est allé auprès de ce vieux sage et lui a dit : « Monsieur, j’aimerais vous poser une question. »

65 Il a dit : « Pose-la, jeune homme. »
Il a dit : « Christ représente-t-Il réellement autant pour vous que vous le dites ? »

66 Il a dit : « Il représente pour moi plus que ce que je peux donc avoir le souffle pour le dire. » Vous y êtes. Qu’était-ce ? Il avait trouvé la clé.

67 Sur base de ça, ce jeune homme-là a dit : « Si vous dites ça et que vous me confirmez qu’elles sont aussi réelles pour vous, alors j’aimerais connaître ce même Jésus aussi réel que ça. » Qu’était-ce ? Il savait que le vieil homme tenait la clé, qu’il pouvait ouvrir et qu’il pouvait fermer.

68 Vous savez, la clé qui ferme ouvre aussi. Voyez ? Vous pouvez délier ou lier. C’est vrai. La même clé qui ferme ouvre. La clé qui ouvre peut fermer. Et c’est exact (Voyez ?), parce que cela fonctionne dans les deux sens. Comme c’est dommage que l’église ait donc perdu sa vision là-dessus. Quelle chose triste c’était, quand l’église s’est livrée aux crédos comme nous l’avons fait aujourd’hui! Et maintenant, elle en appelle à l’unité.

69 Nous avons vu là où la grande hiérarchie romaine et les autres vont se rencontrer aujourd’hui ; ils vont changer de programmes. Je pensais qu’ils n’avaient pas changé ; mais ils vont le faire de toute façon, donner à chaque prêtre l’autorité de pape et–et... où qu’il soit, et tout. Comme c’est pitoyable que l’église se soit donc livrée aux dogmes plutôt qu’à la Parole ! Voyez ? C’est là qu’ils ont abandonné la clé, là même. C’est pourquoi les grands miracles et des signes ne s’accomplissent pas parmi les gens aujourd’hui, comme autrefois ; ils ont perdu la clé. Oui, ils connaissent la Porte, ils savent que la Porte est là, mais la chose suivante, c’est la Clé pour ouvrir la Porte. Les trésors sont derrière la Porte. Ils sont enfermés, cachés à l’incroyant. Mais le croyant, qui a la foi et qui peut prendre la clé de la foi, peut ouvrir ces Portes. Oui, oui.

70 Une fois, il y a de cela quelques années, un frère missionnaire avait senti un appel pour l’Afrique. C’était un jeune homme, avec une femme et deux enfants, de très jolies fillettes d’environ 7 ou 8 ans, chacune. Et ce jeune homme ne pouvait pas se débarrasser de cet appel. Il était un–un prédicateur, il avait une belle église dans la contrée. Mais il n’arrivait simplement pas à se débarrasser de cet appel-là ; il lui fallait aller en Afrique. Alors, il a prié nuit et jour. Il ne voulait pas y aller. Et Dieu continuait à lui parler : « Tu dois partir. » Et, finalement, il en est arrivé à une confrontation, il–il–il devait aller.

71 Alors, il est allé au conseil missionnaire de son église et il a dit : « Dieu m’a appelé sur les champs missionnaires là loin, dans les jungles de–de la Rhodésie. » Et cette jungle est infestée de malaria, on y attrape la fièvre, il y a un soleil chaud, il y a la pellagre, la lèpre et toutes sortes de maladies là, dans cette jungle. C’est là qu’il allait faire… passer le reste de sa vie. Il a vendu sa maison et tout ce qu’il avait. Alors, le conseil missionnaire voulait l’éprouver, aussi lui ont-ils demandé : « Etes-vous donc sûr ? »
Il a dit : « J’en suis sûr. »

72 Ils lui ont demandé : « Monsieur, avez-vous considéré cet aspect? Vous avez deux jolies fillettes, vous avez une–une charmante jeune femme, et si seulement vous êtes… Pourquoi n’allez-vous pas voir comment ça se passe là-bas et, ensuite, revenir ? »

73 Il a dit : « Non, c’est le Seigneur qui m’a parlé. Oh ! c’est si réel. » Il a dit : « Le Seigneur m’a appelé. Et je–je ne veux pas abandonner les miens. Je ne veux pas quitter mon église et les membres de ma famille, mais le Seigneur m’a appelé là dans cette jungle-là. »

74 Et on lui a dit : « Monsieur, savez-vous que vos fillettes peuvent attraper la fièvre jaune ou l’hématurie et mourir en une nuit ? » Et on lui a parlé de différentes personnes qui avaient perdu leurs enfants, des petits enfants, pour les avoir amenés là, suite aux maladies contre lesquelles il n’y avait pas de vaccin. On lui a dit : « Pensez à la lèpre, à votre jolie femme et à vos deux fillettes attrapant la lèpre, et ce soleil chaud et des choses qu’il vous faut endurer. » On lui a dit : « N’avez-vous pas peur du danger que vous courez en amenant vos enfants et votre femme en un tel lieu ? »
Alors, le missionnaire s’est tenu là, le jeune homme, les larmes ont commencé à lui couler sur les joues, il s’est retourné et a dit : « Mes frères, ma vision vient de l’appel de Dieu, a-t-il dit. Si Dieu m’a appelé en Afrique, mes enfants et ma famille seront beaucoup plus en sécurité en Afrique que partout ailleurs dans le monde. » Amen.

75 Qu’était-ce ? Il avait la clé de son appel ; il avait foi dans ce dont il parlait. « Oh ! me suis-je dit, quel remarquable commentaire ! » Quand j’ai entendu cela pour la première fois, mon coeur avait tressailli. Voyez : «Si Dieu m’a appelé à aller en Afrique, mes enfants, au milieu de la lèpre, de la pellagre et tout le reste, seront plus en sécurité que partout ailleurs sur la surface de la terre. » Il avait la clé. C’est ce qu’il faut.

76 Une fois qu’on a la clé, on n’a pas peur, on n’a pas de doute, on n’a pas de question. Vous n’avez pas à interroger quelqu’un d’autre à ce sujet ; vous savez avec exactitude. Vous avez cela en mains, vous savez quoi faire. Amen. Vous savez ce qu’est le résultat ; vous savez que la porte va s’ouvrir. Vous avez vérifié les leviers d’ouverture et vous savez que c’est absolument ce qu’il faut ; la porte va s’ouvrir quand vous y introduirez la clé.

77 Oh ! si seulement l’église possédait les clés ! Si seulement l’église possédait cette clé de la foi, nous pourrions ouvrir toute porte, toute maladie, tout fléau, tout cas qu’il y a. Cela peut nous être ouvert si seulement nous possédons cette clé. Cet homme avait la clé de son appel.

78 Avec votre autorisation, un témoignage personnel. Je me souviens qu’il y a quinze, dix-sept ans environ, quand le Seigneur m’avait parlé là à la rivière, quand Il était descendu dans cette Colonne de Feu que vous voyez sur la photo, Il m’avait parlé, disant : « Tu dois amener ce Message à travers le monde. »

79 Et je me souviens quand Il m’a parlé au Green’s Mill. Je suis allé en parler au pasteur, et il m’a répondu, disant : « Billy, qu’avais-tu mangé cette nuit-là ? Tu as eu un cauchemar ? » Il a dit : « Regagne ton travail. Tu travailles dans un service public, tu as un bon emploi, rentre t’occuper de ton–de ton travail, fils. » Il a dit : « Tu as eu un cauchemar. Tu as mangé quelque chose. » Cela ne m’avait pas du tout bouleversé.

80 Quand j’ai commencé des réunions de guérison, beaucoup parmi vous ici se souviennent de mon message que j’avais prêché ce matin là sur De même que David s’avança vers Goliath.

81 Et les gens m’ont parlé, disant : « En ce jour de la science moderne, où nous avons toutes sortes de recherches médicales, où nous avons les meilleurs médecins, où l’église a oublié depuis longtemps la guérison divine et les histoires, depuis beaucoup, beaucoup d’années, comment iras-tu affronter un grand géant comme celui-là ? Comment t’avanceras-tu en face des méthodistes, des baptistes, des presbytériens et autres, et même des pentecôtistes, qui ont oublié cela depuis longtemps et qui se sont versés dans leurs crédos ? Comment vas-tu l’affronter, sans dénomination ni rien d’autre pour te soutenir ? Que vas-tu faire, Bill ? » Je ne sais trop comment, cela ne m’a pas du tout bouleversé, car je tenais en main une clé. J’ai dit… Ils ont dit : « Personne ne te croira ; tu ne pourras pas le faire. Personne ne te croira. »

82 J’ai dit : « Peu m’importe. Il y a une seule chose sûre : Dieu m’a appelé, et je dois aller parce que Dieu m’a appelé. » Je tenais la clé. Il m’avait appelé. Il me l’avait montré ; Il m’avait parlé, et j’avais vu Sa Personne quand Il me commissionnait, et la clé était là.

83 Le pasteur a dit : « Avec ton instruction de l’école primaire, tu vas prêcher et prier pour les rois et les monarques ? »
J’ai dit : « D’après Sa Parole, oui. »

84 L’année passée, vers ce temps-ci, ou une semaine ou deux avant, quand je suis venu à cette église-ci, je vous avais dit que le Seigneur Dieu m’avait donné une vision d’aller… de faire une partie de chasse, et que–que j’allais attraper un certain animal qui aura 42 pouces [106,6 cm] de bois. Et sur le chemin de retour, après avoir abattu cet animal-là (là où il serait, et la position dans laquelle il se retrouverait), sur le chemin de retour, j’allais tuer un ours grizzly argenté. Je suis allé dans une certaine contrée, j’en ai parlé à un homme et il a dit : « Je ne connais pas ce genre d’animal. Quant à l’ours grizzly, je n’en ai jamais vu un. »
J’ai dit : « Mais il doit y en avoir un quelque part ici. »

85 Alors, il a dit : « Nous n’allons même pas dans la région des ours. Nous allons là où il y a des moutons ; là loin au-dessus du bois. » Eh bien, je suis allé avec lui.

86 Et le deuxième jour, au même endroit, à l’endroit exact indiqué par le Seigneur, l’animal était là. Alors, quand je suis allé, j’ai abattu cet animal. Et pendant que nous enlevions les peaux, les cornes et autres, il a dit : « J’aimerais te poser une question. Tu m’as dit, il y a trois jours, quand nous quittions le–le camp, qu’après que tu auras abattu telle bête, sur le chemin de retour, tu abattrais un ours grizzly argenté ? »
J’ai dit : « C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. »

87 Il a dit : « Je n’en doute pas, a-t-il dit, parce que mon frère était épileptique, et tu ne l’avais jamais vu de ta vie; quand tu étais ici une fois, et tu m’as dit que ce jeune homme serait guéri après que j’aurais fait une certaine chose. Et il a été guéri. » Il a dit : « Eh bien, cependant, Frère Branham, j’aimerais te poser une question, a-t-il dit ; je peux voir toute la montagne jusqu’aux arbres, les chevaux sont là. Et il n’y a rien là. Il n’y a pas un brin d’herbe, il n’y a pas de pierre ; il n’y a rien, sinon la mousse de caribou, qui a une hauteur de deux pouces [5 cm] au-dessus du bois, et, sur une distance d’un mile [1,6 km] ou plus, au-dessus du bois. » Il a dit : « Où sera cet ours ? »

88 J’ai dit : « Dieu est Jéhovah-Jireh. S’Il m’a dit qu’il y aura là un ours, il y en aura un. »

89 En descendant la montagne, chaque fois que nous effectuons un demi-mile [800 m] ou quelque chose comme cela, qu’on s’approchait davantage, il disait : « Frère Branham, il est temps que cet ours se fasse voir. »
Je disais : « Ne t’en fais pas, il sera là. »

90 Et quand nous étions pratiquement à 500 yards [457,2 m] environ de là où se trouvaient les chevaux, nous avions dû nous reposer une fois de plus à cause de ces bois lourds et autres que nous portions au dos. Alors, il a de nouveau regardé, j’observais son visage alors qu’il me regardait comme si, au fond de son coeur, il se posait des questions. Voyez, il espérait qu’il serait là, mais il n’avait pas la clé.

91 Mais je ne sais trop comment, par la grâce de Dieu, Il ne m’a jamais fait défaut. Quand Il m’a dit qu’il y aurait un grizzly argenté là, j’avais la clé. Je n’ai pas du tout douté de cela, pas du tout. Je me suis retourné vers lui et j’ai dit : « Bud, il sera là. » Et juste quand je me suis retourné, l’ours était là... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] juste au-dessus de nous, à environ un demi-mile [800 m].

92 Il a braqué les jumelles, il a dit : « Billy, c’est vrai, c’est un gros argenté. » Voyez, la clé, une vision, la Parole du Seigneur, rien ne peut changer Cela ni L’empêcher.

93 Ce dont l’église a besoin ce soir, ce n’est pas d’une instruction. Ce dont l’église a besoin, ce n’est pas d’une dénomination. Ce dont l’église a besoin ce soir, ce n’est pas d’un credo. Ce dont l’église a besoin ce soir, c’est de la Clé pour les Ecritures, la Porte. En fait, Christ est la Porte, et Il est la Parole. La foi dans la Parole du Dieu vivant ouvre chaque porte. Ô Dieu, donne-nous la clé. Donne-nous la clé.

94 Dans Hébreux, chapitre 12, il est dit : « Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau et toute incrédulité qui nous enveloppe si facilement. » Il est dit « péché »; en fait, le péché, c’est l’incrédulité. Voyez ? L’unique péché, c’est l’incrédulité. Et un « péché » veut dire « manquer le but. »
C’est comme quand vous tirez et que vous manquez la cible, vous feriez mieux d’ajuster votre fusil (voyez ?) ; en effet, il y a quelque chose qui cloche. Vous avez manqué le but. Voyez, revenez et essayez encore. Voyez, cela ne veut pas dire faire demi-tour ; vous avez manqué le but. Quand vous voulez devenir chrétien, et que vous allez adhérer à une église, vous avez manqué le but.

95 Quand vous voulez devenir chrétien mais que vous avez été aspergé dans le Nom du Père, Fils et Saint-Esprit, vous avez manqué le but ; vous feriez mieux de revenir. Vous n’atteindrez pas la cible. Vous dévierez aussi certainement que deux fois deux font quatre. Il n’y a qu’une seule Chose qui peut vous garder bien parfaitement en ligne, ce sont les Ecritures, la Bible, la Parole. Car les cieux et la terre passeront, mais la Parole de Dieu ne passera point.

96 Tenez donc la Clé : la foi dans la Parole. Et toute la foi que vous avez, et ne doutez pas du tout, vous pouvez ouvrir chaque porte qui se tient entre vous et la bénédiction que Dieu a pour vous. Que Dieu nous aide à avoir les clés ; c’est ma prière. Inclinons maintenant la tête pour un mot de prière.

97 Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir de ce que Tu nous as donné une clé pour accéder au salut. Je–je Te remercie pour cela, Seigneur, de ce que nous sommes sauvés, et pour la clé que nous avons pu utiliser jusqu’à présent. Mais, ô Dieu, donne-nous la foi, car chacune de ces Paroles qui sont écrites dans Ton livre est un petit levier d’ouverture. Que cette Clé appelée Jésus, cette Porte, je veux dire, appelée Jésus, et que cette Clé appelée la foi touche chaque Parole et L’ouvre. Qu’il enclenche ce petit levier d’ouverture et que nous puissions accéder à cette bénédiction-là.

98 Père céleste, donne-nous les clés, afin que nous puissions avoir la foi dans les promesses de Dieu, que notre foi ne puisse pas défaillir, que nous soyons en mesure de Te rendre un service et de le rendre à ceux qui nous sont associés.
Pardonne-nous tout péché d’incrédulité, Seigneur, et aide-nous à être à Toi. Nous nous approchons maintenant de la table de communion, et je Te prie, Père céleste, de nous pardonner tous nos péchés, afin que nous puissions accéder à la joie de communier autour de la table de Dieu. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

99 Mon frère, ma soeur, si vous avez la clé du Royaume, la clé pour la Porte, la clé du salut, que Dieu vous aide à ouvrir les portes et à laisser Jésus entrer. Que vous Le laissiez vous accorder des choses que vous désirez tant–tant.

100 Maintenant, juste un instant avant que nous nous mettions à lire sur la Communion, j’aimerais dire une chose parce qu’il s’agit de la Communion. Et quand nous venons à cet autel, il n’y a qu’une seule voie pour y accéder, c’est si nous détenons dans nos mains la clé de la foi, qui nous fait savoir que nos péchés sont pardonnés. Et si nous n’avons pas cette clé-là pour ouvrir cette Porte, que nos péchés sont pardonnés, nous n’avons rien à faire à la table du Seigneur. Car celui qui mange et boit indignement, mange et bois un jugement contre lui-même, sans discerner le Corps du Seigneur. Eh bien, c’est vrai.

101 Je pense que nous le savons tous aujourd’hui, c’est une Journée Nationale de Communion. C’est un jour où toutes les églises prennent la Communion. C’est une Journée Nationale de Communion, dans tout le pays. Et je me suis dit que ce serait approprié de dire un mot ou deux sur la Communion avant que nous la prenions, pendant que le pasteur, s’il le veut, s’apprête à lire les Ecritures, pour la lecture sur le – l’ordre pour la table du Seigneur. Eh bien, cette Communion… Eh bien, je ne prendrais que 10 minutes environ.

102 Cette Communion, que nous sommes sur le point de prendre, a fait l’objet de plus de contestation que n’importe quelle doctrine de la Bible. C’était leur… l’une de leurs controverses dans l’Eglise primitive. Et aujourd’hui, les protestants : les épiscopaliens, les méthodistes, et beaucoup d’églises protestantes accepteraient à coeur joie la doctrine catholique–catholique romaine, s’ils pouvaient surmonter la petite entorse de Communion. Mais ils accepteront que le prêtre doit se marier et être prédicateur. L’Eglise catholique s’est accordée sur cela à plusieurs reprises dans ses conférences et ses réunions. Ils s’accordent sur cela. Et ils s’accordent sur diverses prières et autres, l’Eglise protestante s’accordera sur cela. Et les catéchismes et autres, le petit autel ici et là, l’Eglise catholique est disposée à faire cela. Mais quand on en arrive à la Communion, c’est là qu’ils se départagent. Eh bien, tout celui qui a déjà lu l’histoire sait cela. Mais, évidemment, à mon avis, ils doivent se débarrasser de beaucoup de choses avant que je–que je puisse accepter cela (voyez ?), parce que ce n’est pas biblique.

103 Mais j’aimerais que vous disiez une seule chose à l’Eglise catholique. Savez-vous que l’Eglise catholique, au commencement, était l’Eglise apostolique de la Pentecôte ? Certainement. C’était le tout début de l’église. Et vous voyez là où ils–où ils en sont arrivés ; ils ont continué à retrancher la Parole et à injecter un dogme.

104 Et si l’Eglise pentecôtiste devrait passer une autre centaine d’années, elle serait beaucoup plus éloignée de la Bible que ne l’est l’Eglise catholique aujourd’hui, à l’allure où vont les choses aujourd’hui.

105 Il a fallu plusieurs centaines d’années à l’Eglise catholique pour s’En éloigner, 300 ans, depuis l’Eglise primitive, jusqu’à l’organisation de l’Eglise catholique romaine, qui en est le début. Et ils ont attrapé, ont fait entrer les grands dignitaires et autres, ils ont ôté telle chose, ils ont introduit telle autre, ils ont ôté telle autre encore, ils ont érigé telle autre, ils ont fait descendre des idoles païennes et ont dressé des statues chrétiennes et autres, faisant simplement des compromis là-dessus jusqu’à ce qu’on est arrivé à ce qu’on a aujourd’hui, l’Eglise catholique romaine.

106 Et l’Eglise protestante pentecôtiste, depuis les–les cinquante ans de son existence, d’où elle est tombée, de ses origines, elle sera dans une condition pire que celle que l’Eglise catholique dans cent ans. C’est vrai. C’est dur à dire, mais regardez simplement d’où ils sont tombés. Ils ont directement formé une organisation ; ils ont fait des compromis sur telle chose et telle autre, et tout le reste. Et les voilà partis (voyez ?), rétrogradant d’un trait.

107 Mais la Communion, c’est appelé le Souper du Seigneur. Or, bien des gens veulent prendre cela le matin. Il n’est pas dit dans la Bible que c’était Son petit-déjeuner. Comment ces gens aujourd’hui, comment peuvent-ils continuer à dire « le Souper du Seigneur », alors qu’ils ne… Ils ont ôté le souper, ils ont laissé tomber cela et ils l’ont appelé « le dîner », c’est du non-sens : c’est un souper.

108 Eh bien, ça a toujours fait l’objet d’une controverse, du temps de la Bible et à l’époque. Les gens comprenaient mal le Souper du Seigneur. Quand ils venaient à table, Paul en a parlé à ces Corinthiens, ils venaient et s’enivraient à la table du Seigneur. Voyez, c’était mal compris en ce temps-là même. Il a dit : « Si vous voulez manger, mangez chez vous. »

109 Et, autre chose, cela a été mal compris, ce que c’était, les pécheurs, des hommes vivant dans le péché, venaient prendre la Communion. Et c’était mal compris. Un homme qui vivait avec sa mère, sa mère adoptive, et l’église lui en avait parlé, il continuait néanmoins à prendre la Communion à la table.

110 Et il y avait des divisions parmi eux, et ils continuaient néanmoins à prendre la Communion. Il disait : « J’apprends que vous marchez comme le reste des païens. Il y a–il y a des mésententes parmi vous, comme il y a chez–chez Cephas, surtout » et autres. Il disait : « Vous marchez comme le reste des païens. » Voyez, c’était mal compris.

111 La Communion a toujours été mal comprise. Eh bien, je peux m’y attarder pendant des heures, mais il nous faut prendre cette Communion et faire le lavage des pieds. Eh bien, ils ont tout bonnement laissé tomber le lavage des pieds, tout à fait, sauf quelques dénominations. Beaucoup de pentecôtistes s’en sont totalement éloignés, voyez. Et pourtant, c’est écrit tel quel dans la Bible. Voyez ?

112 Eh bien, Rome n’appelle pas ça la Communion. Ils l’appellent la messe. La sainte messe. Ils ne prennent pas la Communion ; ils prennent une messe. C’est une messe. Et une messe, certainement, tire son vrai sens de la Communion. Une messe signifie une espérance. Ils prennent une messe, espérant qu’en faisant cela, lors de la messe, Dieu leur pardonnera leurs péchés, en prenant le corps littéral de Christ, que le prêtre change le corps et le Sang de Christ en prenant cela, espérant que Dieu effacera leurs péchés en faisant cela. C’est une messe.

113 Les protestants l’appellent communion. Communion veut dire actions de grâces. En fait, les protestants… Les catholiques prennent une messe, et par la messe, ils espèrent que Dieu leur pardonnera leurs manquements. Les protestants prennent cela avec des actions de grâces pour ce qui a été déjà fait par la communion avec Dieu : communier avec Lui, que c’est déjà fait. Le catholique espère que ça se fera ; le protestant dit que c’est déjà fait. Le catholique se demande si ses péchés sont pardonnés ; le protestant confesse qu’ils sont pardonnés, qu’il est libre.
Et la Communion, c’est communier avec Dieu. Et ces articles que nous prenons, ce n’est pas dans l’espérance que nos péchés seront pardonnés, mais ils sont pardonnés, parce que c’est… Pour l’un, c’est l’espérance, et pour l’autre, c’est la foi. L’un espère qu’il sera en ordre, et l’autre est sûr qu’il est en ordre. Voyez ? L’un et l’autre, l’un espère, parce qu’il ne sait pas où il se tient ; l’autre sait qu’il est en ordre, car il sait ce que Dieu a dit. C’est ça. Voilà la différence.
Ainsi, quand vous ne faites qu’espérer, faites attention ; mais quand vous êtes sûrs, alors allez de l’avant. Voyez, alors vous êtes en communion avec Dieu. Le protestant l’est, il dit qu’il est pardonné et il le sait ; le catholique a une messe, espère que ça sera pardonné. C’est juste comme ceci : l’un est un mendiant, il espère que tout ira bien (voyez ?) ; l’autre est un mendiant qui remercie pour ce qui a été déjà fait. Tous les deux sont des mendiants. Mais l’un mendie, espérant qu’il recevra cela ; et l’autre mendiant sait qu’il a cela, et il Lui rend des actions de grâces pour le lui avoir donné. Eh bien, voilà la différence. C’est ça la Communion. Oui, oui. L’un espère qu’il sera pardonné ; l’autre est sûr d’avoir été pardonné, et il rend des actions de grâces pour cela.

114 Donc, la Communion, c’est pour des chrétiens nés de nouveau nés, de l’Esprit de Dieu.
Et la Nouvelle Naissance ne veut donc pas nécessairement dire que vous avez le Saint-Esprit. Eh bien, rappelez-vous. Eh bien, beaucoup enseignent cela : « Je ne connais personne qui l’enseigne comme ceci », comme le vieux frère Arganbright le disait l’autre soir du haut de cette chaire. Voyez ? Mais la Nouvelle Naissance, ce n’est pas le baptême du Saint-Esprit. Les Ecritures ne soutiennent pas cela, je ne le pense pas (Voyez ?), à mon avis. Voyez ? Je crois que vous êtes nés de nouveau…

115 Et c’est pourquoi j’utilise le terme « baptême au Nom de Jésus-Christ », mais pas pour la régénération. Eh bien, les pentecôtistes, l’Eglise Unie de la Pentecôte baptise au Nom de Jésus-Christ pour la régénération. Je ne crois pas ça. Ils peuvent le faire s’ils le veulent. Mais je crois que Pierre a dit de se repentir premièrement. L’eau ne pardonne pas les péchés. L’Eglise de Christ prêche cela comme ça. Mais je crois que la repentance, le regret selon Dieu… Se repentir signifie faire demi-tour, revenir ; vous avez manqué le but, vous reprenez. Faites cela premièrement. Et votre baptême d’eau n’est qu’une confession extérieure de quelque chose qui a été fait à l’intérieur de vous, qui montre que vous avez accepté Christ comme votre Sauveur.

116 Je pense que c’est juste l’église qui est ici ce soir, à ce que je sache ; je ne suis pas ici souvent pour savoir qui vient et qui ne vient pas. J’ai attrapé une petite critique ici il n’y a pas longtemps pour avoir baptisé un homme ici dans le baptistère, un vieil homme. J’étais allé auprès de lui, c’était un vieil homme de bien. J’ai eu le privilège de conduire toute sa famille à Christ, eux tous sont chrétiens. Ce vieil homme était un vieil homme gentil, et je l’appréciais, alors je suis allé vers lui et je lui ai dit : « Papa, pourquoi ne devenez-vous pas chrétien ? » Il m’aime.
Il a dit : « Frère Branham, je voudrais devenir chrétien quand je pourrais devenir assez bon. »

117 J’ai dit : « Je vais vous dire ce que vous faites, papa. Regardez tout autour jusqu’à ce que vous trouviez là où vous pourriez devenir assez bon, ensuite dites-moi où se trouve cet endroit, j’aimerais aussi y aller. » J’ai dit : « Christ n’est jamais venu sauver des hommes bons. Il est venu sauver des hommes mauvais. » Si vous pensez que vous êtes bon, alors c’est qu’Il n’est donc pas venu vous sauver. Il est venu sauver ceux qu’Il reconnaît mauvais. Voyez ? Christ est mort pour sauver les pécheurs. Voyez ? Et j’ai dit : « Papa, il y a une ligne ici même. »

118 Il a dit : « Eh bien, je fume ces cigarettes. »
J’ai dit : « Je ne vais même pas en parler. »
Il a dit : « J’ai essayé d’abandonner cela, Frère Branham. »
J’ai dit : « Je… nous n’allons pas parler de cigarettes. »
Il a dit : « Eh bien, quand je pourrai… »

119 J’ai dit : « Ne–ne dites plus rien au sujet des cigarettes ; mettez cela de côté. J’aimerais vous poser une question. »
Il a dit : « Ça va. C’est quoi ? »
J’ai dit : « Croyez-vous que Dieu existe ? »
Il a dit : « Certainement, je le crois. » Il a dit : « Je le crois aussi fermement que vous, je pense, Frère Branham. »

120 J’ai dit : « Croyez-vous que ce même Dieu s’est dépassé et qu’Il a été fait chair, qu’Il a habité parmi nous dans la Personne de Jésus-Christ en vue de sauver l’homme ? »

121 Il a dit : « Oui, je le crois. »
« Et qu’il est mort pour sauver les pécheurs comme vous et moi ? » Voyez ?
« Oui, je le crois. »

122 J’ai dit : « Maintenant, c’est juste comme ceci. Nous sommes tous dans une grande salle ici, nous sommes en prison, et je ne peux pas me tenir dans ce coin-ci et dire que cela m’aidera à sortir de la prison ; si je me tiens dans ce coin-là et que je dis que ça m’aidera à sortir de la prison, nous sommes tous dans le même pétrin. Et chaque homme qui est né dans ce monde est né dans le péché, il est conçu dans l’iniquité, il est venu au monde en proférant des mensonges. Il est un renégat pour commencer.

123 L’autre jour, quelqu’un m’a posé une question, disant : « Frère Branham, si… Y aurait-il une différence entre Adam et Eve et leurs enfants aujourd’hui, s’ils étaient tous nus et qu’ils marchaient dans la… ? Leurs corps seraient-ils identiques ? »

124 J’ai dit : « Non, non. » Nous revenions à la maison après la chasse à l’écureuil, frère Fred et moi, ainsi qu’un groupe d’autres personnes. J’ai dit : « Non, ils ne seraient pas identiques. »

125 Il a dit : « Voulez-vous dire qu’Eve ne serait pas une femme comme ses filles, et qu’Adam ne serait pas un homme comme ses fils ? »
J’ai dit : « A beaucoup d’égards, oui, mais pas à tous égards sur le plan physique. »

126 Il a dit : « Quelle serait la différence ? »
J’ai dit : « Ils n’avaient pas de nombril. Ils ont été créés. C’est exact. Ils n’étaient attachés à rien. »

127 Tant que ça concerne tout ce qui est né dans ce monde, ça montre que c’est un renégat pour commencer. C’est vrai. J’ai dit : « Assurément, il y a une différence. Eux n’avaient pas de nombril. Ils n’étaient pas attachés à une quelconque femme pour venir ici. » Voyez, c’est Dieu qui les avait créés.

128 Eh bien, j’ai dit : « J’aimerais dire quelque chose. Chaque homme dans cette prison… Qui est saint ? Qui n’est pas né par le sexe ? Qui peut aider l’autre, peu importe qui il est ? Nous sommes tous dans cette même prison. Mais Dieu s’est fait l’une de Ses créations et Il est venu en dehors du sexe, par le saint Sang qu’Il avait créé Lui-même et, au travers de ce Sang, Il nous a rachetés. »

129 J’ai dit : « Croyez-vous cela, papa ? »
Il a dit : « Je le crois. »

130 J’ai dit : « Christ est mort pour des gens mauvais comme vous. Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen pour y parvenir. Il n’y a rien que vous puissiez faire. Il vous l’offre. Vous ne pouvez pas le mériter. Il n’y a rien que vous puissiez faire pour avoir cela. Il vous le donne, c’est tout. Allez-vous accepter ce qu’Il a fait pour vous, pour vous éviter l’enfer ? »

131 Il a dit : « Oui. » Il a ajouté : « Mais si seulement je pouvais me débarrasser de ces cigarettes ! »

132 J’ai dit : « Les cigarettes s’occuperont d’elles-mêmes. (Voyez ?) Vous ne faites que… Je ne vais pas vous demander… Je ne suis pas un légaliste ; je crois dans la grâce : ‘Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à moi. » J’ai dit : « Si vous croyez cela de tout votre coeur… »
Il a dit : « Je le crois de tout mon coeur. »

133 « Allez-vous donc accepter cela sur cette base-là, que vous n’êtes pas digne de cela, mais que c’est Lui qui est digne ? Ne regardez pas à vous-même ; regardez à Lui, parce que vous ne pouvez rien faire pour vous-même. Regardez à Celui qui a fait quelque chose pour vous. Qu’en est-il de Lui ? »
« Oh ! a-t-il dit, Lui est digne. »
J’ai dit : « C’est ça, acceptez donc ce qu’Il vous donne. »
Il a dit : « Je l’accepte. »
Et je l’ai baptisé au Nom de Jésus-Christ. Et à sa sortie d’ici, il a allumé une cigarette.

134 Il y a quelques semaines, j’étais là chez lui. Un soir, j’ai eu une vision de l’arbre à feuilles persistantes qui avait été coupé et renversé. J’ai vu des madriers attachés à cela. Juste après le dernier madrier, il y en avait un de remarquable. Et au bas de ce madrier-là, juste vers le bout, ça se terminait comme ceci, l’arbre était cassé juste là. Et une Voix a dit : « Ça devrait être vous », ou « Ça aurait été vous. » Et papa Cox est tombé, il s’est fracturé le dos là. Et alors, le lendemain matin, on lui a apporté ses cigarettes pendant qu’il était au lit, il n’en avait plus le désir. Il y a quelques semaines… Il n’en a plus jamais goûté une seule, il n’en veut même plus une, ni rien d’autre. Voyez ? Et je l’ai vu il y a quelque temps, alors que ses mains étaient bien brunes partout, il y a quelques semaines, sous l’effet des cigarettes. Et maintenant, il ne peut même pas supporter qu’on en apporte une près de lui. Placez les premières choses d’abord. Ne cherchez pas à devenir bon ; vous êtes mauvais pour commencer et vous ne pouvez rien faire. Il y a une ligne de démarcation ; tous les êtres humains sont de ce côté-là.

135 Eh bien, en naissant dans ce monde, c’était entre… dans les liens sacrés du mariage, entre mon père et ma mère ; dans le sein de ma mère, il s’est formé une ovule; et dans les glandes de mon père, il y avait des cellules de sang. Ma vie consiste en cette cellule de sang, non pas en l’ovule de ma mère, en la cellule de sang de mon père. Et quand cette cellule de sang est entrée dans le lieu approprié pour rencontrer l’ovule, alors la nature a été ordonnée de Dieu à me former un corps. Et après, je suis alors né dans la race humaine, il m’a été accordé l’occasion de–de devenir une personne intelligente comme le sont les êtres humains ; je peux conduire un véhicule, ou je peux faire des choses que les êtres humains font : marcher, parler, conduire un véhicule et autres. Cela m’a été accordé, parce que je suis né dans la famille des hommes, et je me suis doté de la faculté d’intelligence pour être un être humain.

136 Eh bien, en naissant dans la Famille de Dieu, je suis venu par le Sang ; le Sang me donne la Vie. Et puis, après, je suis devenu vivant en Christ, Il m’a baptisé du Saint-Esprit et de la puissance pour devenir un Fils de Dieu. Eh bien, de même j’ai pu marcher, parler comme un être humain, conduire mon véhicule comme un être humain, eh bien, quand je reçois le Saint-Esprit, je reçois la puissance de chasser les démons, de parler en de nouvelles langues, de prêcher l’Evangile, de guérir les malades. Je suis baptisé, non pas né, mais baptisé. Ils étaient tous assemblés dans la chambre haute,
Priant tous en Son Nom ;
Ils furent baptisés du Saint-Esprit,
Et la puissance pour le service vint. (Amen.)

137 Vous croyez à la Vie Eternelle, et vous naissez de nouveau par la foi. Dans Saint Jean 5.24, Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle », pas le Saint-Esprit, il a juste la Vie Eternelle. Il est né dans la Famille de Dieu et, ensuite, il est baptisé du Saint-Esprit, doté de la faculté d’intelligence, de la foi pour croire l’Evangile, mettre Cela en oeuvre et faire que Cela agisse correctement. Amen. Alors, il agit comme un Fils de Dieu. Alors, il peut chasser les démons. Jésus a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru (voyez ?) : en Mon Nom, ils chasseront des démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ils boiront des breuvages mortels. » Voyez, il reçoit la puissance par le Saint-Esprit pour faire ces choses.

138 Eh bien, quand Il partait, Il a dit : « Il est avantageux que Je m’en aille. Car si Je ne m’en vais pas, le Saint-Esprit ne viendra pas. » Voyez ? Alors, quand Il sera venu, Il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, Il enseignera la justice, Il vous montrera des choses à venir ; ce sont des visions. « Il prendra ce que Je vous ai enseigné et vous le révélera. » Les Paroles mêmes pour lesquelles Il est venu… Aucun homme ne peut comprendre la Parole sans le baptême du Saint-Esprit. Et quand un homme dit qu’il a le baptême du Saint-Esprit, mais doute que la Parole est juste, il y a quelque chose qui cloche.

139 Paul était un critiqueur du Nouveau Testament. Ce n’était pas… le Nouveau Testament n’était pas écrit. Paul était un critiqueur du christianisme, Saul. Et quand il a reçu le Saint-Esprit, il est allé faire trois ans en Asie, il a étudié les Ecritures. En effet, il avait été enseigné par Gamaliel, un grand enseignant. Puis, quand il est revenu, 14 ans plus tard, il est monté à Jérusalem rencontrer Pierre, et ils ont trouvé que c’était le même Evangile, Parole sur Parole. Le même Dieu qui a amené Pierre à prêcher le jour de la Pentecôte, et dire aux gens se repentir et d’être baptisés au Nom de Jésus-Christ, ce même Saint-Esprit avait révélé cela à Paul, et il le leur a dit dans Actes 19, après qu’ils eurent été baptisés une fois par Jean, il leur a dit : « Vous devez être rebaptisés au Nom de Jésus-Christ…?... »

140 Voyez, le Saint-Esprit s’accroche aux Ecritures. Sa foi dans Cela ouvre chaque mystère. Amen. Dans I Jean 5.7, la Bible dit : « Il y en a trois qui rendent témoignage au Ciel : le Père, la Parole (qui était Christ) et le Saint-Esprit. Ces trois sont Un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre : l’eau, le sang et l’Esprit. » Ces trois-ci ne sont pas un, mais ils s’accordent en un. Eh bien, vous ne pouvez pas avoir le Père sans avoir le Fils ; vous ne pouvez pas avoir le Fils sans avoir le Saint-Esprit ; ils sont Un. Mais vous pouvez être justifié sans être sanctifié, et vous pouvez être sanctifié sans avoir le Saint-Esprit. La sanctification, c’est par le Sang, c’est par le Sang que la Vie vient. Voyez ? Et le Saint-Esprit est la puissance de Dieu (voyez ?), la puissance qui a été donnée à l’Eglise.

141 Vous recevrez (quoi ?) une puissance (Actes 1.8), après que le Saint-Esprit sera venu sur vous. Vous recevrez une puissance. » Non pas « vous naîtrez de nouveau. » « Vous recevrez une puissance, après que le Saint-Esprit sera venu sur vous. Alors, vous serez Mes témoins à Jérusalem, en Judée et en Samarie, jusqu’aux extrémités de la terre. » Voyez ? Vous recevrez une puissance, après que vous avez reçu le Saint-Esprit. Mais premièrement, vous devez recevoir le Saint-Esprit, et c’est la puissance de Dieu (voyez ?), pour manifester et démontrer. Vous êtes–vous êtes… De même que vous étiez humain et que vous avez appris à parler, à marcher et à faire des choses comme un humain, une fois baptisé du Saint-Esprit, vous recevrez la puissance d’agir comme des fils et des filles de Dieu. Il n’est pas étonnant que des gens agissent et fassent des choses comme ils le font aujourd’hui ; ils n’ont jamais été remplis du Saint-Esprit. S’ils l’avaient été, ils agiraient autrement. Ils prétendent L’avoir, mais Jésus a dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Comment donc pouvez-vous agir comme cela ? Voyez ? Tout est bien embrouillé, voyez. Mais revenez à la réalité.

142 Eh bien, si vous marchez correctement et que vous êtes… vous vous dites chrétiens, nous vous invitons ce soir à la table du Seigneur. Aujourd’hui, sans doute, on prend la Communion à travers le pays, certains d’une façon et d’autres, d’une autre. Mais je pense que la meilleure façon de s’y prendre, c’est de suivre les Ecritures, exactement tel que cela a été fait dans les Ecritures. Je pense que cela suffirait.

143 Avez-vous votre Bible, Frère Neville ? Frère Neville va maintenant lire les Ecritures. [Frère Neville lit dans I Corinthiens, chapitre 11, à partir du verset 23. Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où Il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne. C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. Que le Seigneur bénisse la lecture de Sa Parole. – N.D.E.]

144 C’est toujours une chose très sainte, une chose vraiment sacrée ; je pense que nous devrions incliner la tête maintenant dans une prière silencieuse. Priez pour moi ; je prierai pour vous. Prions les uns pour les autres, que Dieu soit miséricordieux envers nous, des créatures indignes qui sont sur le point de partager ce glorieux sacrément en mémoire de la mort de notre Seigneur [Espace vide sur la bande – N.D.E.]...

145 Notre Père, nous T’offrons cette prière, avec confession, sur Ton autel d’or, avec notre Sacrifice, le Seigneur Jésus. Nous le demandons en Son Nom. Amen.

146 Maintenant, je pense que les anciens vont prendre place, et ils vont… ceux de l’église, et ils feront venir les gens au fur et à mesure qu’ils avancent, rangée après rangée, pour la Communion. Je pense toujours à ce cantique : Cher Agneau mourant,
Ton Sang précieux ne perdra jamais Sa puissance,
Jusqu’à ce que toute l’Eglise rachetée de Dieu
Soit sauvée pour ne plus pécher.

147 Inclinons la tête. Bienveillant et Saint Père, Jéhovah, le Grand Tout-Puissant, envoie Tes bénédictions sur Ton peuple alors que nous attendons. Pardonne nos péchés. Et maintenant, nous T’offrons ce sacrement, ce vin, les raisins qui ont poussé et que les mains des prédicateurs ont pressé. Et cela s’est transformé en vin pour la cause pour laquelle nous Te l’apportons maintenant, afin que cela puisse représenter à nos yeux le Sang de notre Seigneur Jésus-Christ. Je Te prie, Père, de sanctifier le vin à cette fin. Pardonne chacun de nos péchés. Et que chaque personne qui reçoit ce vin dans son corps puisse avoir la bonne santé, la force et le salut de Ta part. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

148 La Bible dit qu’après qu’Il eut rompu et béni le pain, Il a dit : « Prenez et mangez, Ceci est Mon Corps qui est brisé pour vous. Faites ceci en mémoire de Moi. » Et quand nous prenons ces petits morceaux de pain, de kasher, fait sans levain, fait par des chrétiens, ça a été fait pour représenter le Corps de Christ.
Nous comprenons que ce –c’était à l’époque des disciples de Christ, ou à l’époque de l’église, qui avaient pris ces morceaux et avaient apprêté le souper au dernier Souper, le dernier Souper de Christ. Et tout au long de la Bible, c’étaient des disciples qui servaient ces choses aux gens. Et aujourd’hui, les disciples de notre époque moderne, nos frères ici, de l’église, les disciples de cette Cause, servent les gens. Et ils prendront ces morceaux et les serviront aux gens.

149 Et maintenant, lorsque vous recevrez ce pain, rappelez-vous, cela représente l’Agneau. Il y a longtemps, quand l’agneau d’Israël était rôti sur le feu et était pris avec des herbes amères, les gens étaient fortifiés ; leurs chaussures ne s’étaient jamais usées, leurs habits ne s’étaient jamais usés tout au long du voyage jusqu’à ce qu’ils eussent atteint la Terre promise. Puisse Dieu nous garder en bonne santé, heureux, Le servant jusqu’à ce que nous atteignions la Terre promise qu’Il nous a donnée.

150 Prions. Bienveillant Père céleste, alors que je parle ce soir de ce Corps saint et sanctifié de notre Seigneur, en Qui habite la plénitude de la divinité, quand je pense à ce Corps froissé et–et brisé, au Sang qui en jaillissait, à Son dos et à Ses côtes ressortis, aux coups de fouet sur tout Son dos ; quand je pense à ce pain rugueux, battu qui représente cela, cela revient dans nos coeurs. Nous déposons nos coeurs, Seigneur, sur Ton autel ce soir. Pardonne-nous, ô Dieu. Et puisse ce pain rompu, alors qu’il passe par la bouche de Tes serviteurs que voici, puissent-ils reconnaître que c’était Ton précieux Corps qui a été brisé et blessé, et que c’est par Tes meurtrissures que nous avons été guéris. Accorde-le, Seigneur. Sanctifie ce pain kasher à cette fin. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. (Attendez juste une minute.) Ce n’est pas une Communion fermée. Chaque croyant chrétien est le bienvenu à la table du Seigneur, pour prendre cette Communion avec nous. (Oh ! évidemment, vous le pouvez.)

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