Se souvenir du seigneur
1 Merci, Frère Neville. Je suis très content d'être ici, Frère Neville, et d'avoir la-l'occasion de m'asseoir une fois de plus dans ces lieux célestes en Jésus-Christ. Et jamais le nombre ne m'a dérangé ; cela m'excite toujours. Vous savez, je suis plus -je suis plus à l'aise avec un petit nombre, car c'est ainsi, je pense, qu'est l'Eglise. Oui, j'ai un passage des Ecritures là-dessus, qui dit : " Ne crains point, petit Troupeau ; car votre-votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume." Et je voudrais… J'aimerais en ce jour-là faire partie du petit Troupeau, de ceux à qui Il a dit : " Ne crains point. " Et nous sommes très heureux du privilège de venir ici ce soir.
2 Je ne venais pas dans l'intention de prêcher. Il y a juste quelques instants, quelqu'un est venu à la porte, pendant que je méditais sur quelque chose, apprêtant les contextes d'un sujet que j'aimerais donc utiliser très bientôt, dans les prochaines réunions de Phoenix, de Tucson et des environs. Et je me régalais vraiment dans l'Esprit, vous savez, de bonnes choses de Dieu, sur l'Absolu, un sujet sur l'Absolu. Alors, ma femme est venue m'annoncer que quelqu'un était venu me voir, et je -je n'avais pas très bien compris cela sur-le-champ, puis après, eh bien, elle m'a demandé : " Seras-tu à l'église ce soir ? "
3 Et j'ai répondu : " Je pense que oui. " J'ai continué, cherchant à garder à l'esprit ce que je faisais. Mais elle est revenue et a dit qu'il s'agissait d'un malade qui était venu pour qu'on prie pour lui. J'ai dit : " Eh bien, alors, j'irai de toutes les façons à l'église (voyez) prier pour les malades. " Chaque fois, je …c'est… Vous savez, ces choses sont…Il nous faut nous en occuper aussi vite que possible, quand les gens sont malades et dans le besoin. Quiconque a été malade sait apprécier ce que représente être guéri par la grande puissance de guérison de Dieu. Et quelle merveilleuse chose est-ce ! Quel privilège !
4 Eh bien, le prochain dimanche, si le Seigneur le veut, et que frère Neville ou l'un d'eux n'a rien de spécial, je me disais que le matin du dimanche prochain, je-j'apporterai aux gens mon message de Noël ; en effet, les laisser-les laisser…Certains parmi eux viennent de loin, vous savez, des endroits tels que la Géorgie et de différents endroits, cela leur permettra de rentrer à temps pour faire des achats et tout pour la Noël.
5 Et Billy est venu, il n'y a pas longtemps, il m'a parlé, disant que ma soeur Deloris aura, avant le service du dimanche prochain, au soir, quelques petits-petits cadeaux pour les enfants et un petit programme ici, qu'ils vont, vous savez, avoir une petite scène de Noël qu'ils aimeraient présenter avant le début des réunions. Alors, j'ai dit : " Eh bien, ce sera le dimanche soir, n'est-ce pas ? "
Il a dit : " Oui."
J'ai dit : " Ça ne dérangera pas du tout donc. "
6 Eh bien, vous voyez, le mardi prochain, ce sera la veille de Noël, alors si…ou plutôt le mardi en huit, ce sera la Noël. Alors, cela mettra les gens sous tension, vous voyez, et ils auront donc à rentrer chez eux la veille de la Noël, le lundi donc, aussi ai-je pensé que je… Oui, dans deux semaines. C'est vrai, dans deux semaines, c'est exact. Ainsi, je me suis dit que, peut-être, je viendrais ce soir et le dirais aux gens, si le Seigneur le veut et si frère Neville n'a rien de spécial. En fait, j'aime généralement apporter à l'église mon message de Noël, mon message de Pâque aussi, tout ce que le Seigneur me met sur le coeur d'apporter. Et le matin du dimanche prochain, le Seigneur voulant, le matin du dimanche prochain, j'apporterai…
7 Et la raison pour laquelle j'apporte cela le matin plutôt que le soir, c'est qu'il y a des gens qui viennent de loin, ils ont l'après-midi pour voyager, ainsi ils peuvent retourner chez eux. Vous voyez ? Et j'aurais préféré avoir cela le soir ; je pense que c'est de loin mieux le soir. Je-j'aime la réunion du soir. Quand le soleil se couche, il y a quelque chose. Dans le Jardin d'Eden, Dieu allait vers Adam dans la fraîcheur du soir pour lui parler. Voyez, j'aime les réunions du soir. Mais-mais compte tenu des circonstances d'ici, il vaut mieux pour moi avoir cela le matin, et ainsi les gens peuvent rentrer.
8 Et je suis reconnaissant de ce que le tabernacle prend de l'extension, jusqu'ici, au nouvel emplacement, ici, au-delà de nous. On y a ajouté de l'espace. Après tous ces débattements et agitations, nous l'avons finalement eu, après tout. Vous savez, le vieux frère Bosworth avait un sens de l'humour, il disait : "On accorde plus d'attention à l'enfant qui pousse les cris les plus forts." C'est-c'est tout à fait vrai, vous savez, et je pense que ça nous rapporte donc de crier un peu, de temps en temps, ne le pensez-vous pas?
Alors…Et j'aimerais faire des commentaires à frère Anthony, ainsi qu'à ses collaborateurs qui sont ici, pour cette belle musique. J'ai entendu cela quand j'entrais. Et, vous savez, ces instruments, ce sont des trompettes. Je voulais que l'un de mes enfants, au moins l'un d'eux, joue de la trompette. Je-je... et ces instruments à vent.
9 Becky a commencé avec le piano, mais elle est une petite adolescente, vous savez, c'est…Elle veut donc abandonner cela. Et-et elle a commencé... Le maître a dit qu'on devait commencer par la musique populaire. Pas donc…, je ne veux pas dire…vous savez ce que je veux dire, l'ouverture et autre, de la musique classique, pour y ajouter la musique religieuse. C'est au moment où elle a atteint un niveau avancé en musique, qu'elle se dit donc : " Eh bien, je vais arrêter. " Et je-je... Les enfants, c'est un problème. Et, de toutes les façons, ça doit au départ être un appel de Dieu. Je pense que sa soeur, Sara, qui est là derrière, va la dépasser de toutes les façons, et elle n'a jamais reçu une leçon. Ainsi-ainsi donc, c'est mieux d'avoir un appel de Dieu quand on a un don comme cela.
10 Mais j'aime la trompette. Je me rappelle la…quand on dédicaçait ce tabernacle, là au coin, les trompettes ont joué pendant une demi-journée ici : " A genoux à la croix, où mourut mon Sauveur, là j'ai imploré le pardon de mes péchés, là le Sang fut appliqué à mon coeur ", quand je déposai mon texte dans la pierre angulaire.
11 Et je me rappelle un soir à l'église "Trinity Methodist Church", quand le vieux Docteur Morrison... Beaucoup parmi vous qui êtes de mon époque, vous vous souvenez du Docteur Morrison, un vieil homme saint. Asbury-on a perdu l'un des plus grands hommes depuis Asbury, en perdant Docteur Morrison, c'était dû à son âge, un vieil homme pieux. Et j'aimais toujours l'entendre prêcher. Et j'étais allé l'écouter à l'église "Trinity Methodist Church". Et ce soir-là, deux jeunes garçons se sont présentés sur un petit balcon, juste au moment où ma femme et moi, nous nous approchions, ils tenaient leurs trompettes en l'air comme ça, et ces instruments, là, et ils jouaient A genoux au pied de la croix où mourut mon Sauveur. Avec cette grosse croix au sommet, en train de tournoyer. Je me suis tenu dans la rue et j'ai suivi, les mains en l'air, je me suis simplement mis à chanter des louanges à Dieu, juste là. Je ne pouvais pas m'en empêcher.
12 Un chrétien né de nouveau éprouve un genre d'émotion, quand Cela se meut, quelque chose doit se passer; c'est tout. Oh, je... Il n'y a rien de comparable à une expérience chrétienne de la vieille époque. Je n'accepterais rien en échange de cela, de mon expérience, je n'échangerais pas cela contre les richesses du monde, contre le monde entier ni contre tout le système solaire et tout, ce que Jésus m'a enseigné sur Lui-même.
13 Il y a un homme qui est assis ici avec nous, chaque fois que je le regarde, mon coeur bondit. C'est l'homme que j'ai vu prendre la communion l'autre soir, il marche avec une béquille. Quelqu'un vous a-t-il déjà dit que vous ressemblez à Oral Roberts? Je vous assure, chaque fois que je... Combien... Vous avez déjà vu Oral Roberts, pratiquement vous tous. S'il ne ressemble pas à Oral Roberts ! Il m'est arrivé de regarder encore tout à l'heure. Et je-je pense que c'est quelqu'un d'un peu plus gros que Oral. Mais rien qu'à considérer la façon dont il se coiffe, son front et ses traits, et il a toujours l'air d'une personne distinguée, il s'assied comme Oral. Et ainsi, je-je me pose toujours la question : " Est-ce frère Oral? " On dirait vraiment lui.
14 Frère Oral ouvre une sorte d'école biblique là maintenant, je pense, ou quelque chose comme cela. J'en ai entendu parler l'autre jour. Quoi? Une université. Oui. Frère Carl Williams est l'un des ses absolus en la matière, d'un genre quelconque; je ne sais donc pas exactement ce que c'est.
15 Bon, bon, ne l'oubliez pas, le dimanche, le Seigneur voulant, nous commencerons ; j'ai un message de Pâque- ou plutôt de Noël. Et aussi, je suis-je suis reconnaissant de ce qu'on a commencé le tabernacle. Et j'espère donc que ce ne sera pas seulement une augmentation en nombre, mais que ce sera aussi une augmentation de la grâce que Dieu accordera à notre Eglise, à notre mouvement, ou plutôt pas à notre mouvement, mais à notre assemblée, du fait que nous nous sommes rassemblés. Nous aimons ça.
16 Et-et j'aimerais bien dire ceci. Je ne vais pas prendre trop de temps. Cependant, j'ai beaucoup de choses qu'il me faudrait dire, mais que je ne dis pas, ça prendrait beaucoup de temps. Mais voici ce que j'aimerais dire; c'est quelque chose que je ne peux pas dire. Il y a des choses (tout le monde comprend) que vous savez, et c'est au Nom du Seigneur, cependant vous ne pouvez pas les dire. Vous voyez, vous devez garder cela pour vous-même. Voyez ? Mais il y a un événement en cours, depuis un temps, et il est sur le point d'arriver ; j'en ai été averti en observant le Saint-Esprit agir parmi les gens jusqu'à ce point, mais eux n'en savent rien du tout, voyez, mais on voit le Saint-Esprit agir jusqu'à ce point-là. Je révélerai cela, le Seigneur voulant, au moment opportun. Eh bien, rappelez-vous, cela témoigne que Dieu est parmi eux.
17 Comme quelqu'un, je pense que c'est le frère, oui, qui a dit il y a quelques instants, c'est frère Neville qui l'a dit : "Dieu, sans tenir compte du - du - du désordre qu'il y a parmi nous, de nos mauvais comportements à Ses yeux… " Ce voyant qui était allé voir Israël, l'a regardé du point de vue naturel, il a vu le désordre qu'il y avait, le mal qu'ils avaient commis, alors ils devaient être maudits. Mais ce que cet évêque avait manqué de voir, c'était le Rocher frappé et le serpent d'airain (Voyez-vous ?), qui faisait expiation. Ainsi, vous voyez, quand - quand Balaam regarda Israël, il trouva un motif pour les maudire. Voyez-vous ? Mais lorsque Dieu les regarda, Il vit l'expiation. Il a dit : "Vous êtes comme un unicorne. " Amen. "Qui pourra placer un obstacle sur votre chemin ? Oh! qu'elles sont sacrées, qu'elles sont droites tes tentes ! " C'est ainsi que Dieu les voyait (Voyez-vous ?) Pas comme l'homme les voyait, pas comme les - les grands dignitaires les voyaient, mais comme Lui les voyait.
18 Et, ô Dieu, puisse cela être ma part. Puisse cela être ma part, car je n'ai rien en moi-même que je puisse réclamer. " Je ne porte rien dans mes mains, je m'accroche simplement à Ta croix. " Voyez, c'est tout ce que nous avons.
19 Eh bien, ceci est une soirée de réunion de prière, et pas une soirée de réunion de prière, mais ceci est un groupe évangélique ici. Nous - nous aimons apporter la Parole. Et peut-être que j'aimerais vous parler ce soir pendant quelques minutes. Beaucoup parmi vous aimeraient ouvrir les Ecritures… Eh bien, vous savez, chose étrange, cela s'est ouvert exactement là, au texte que j'allais lire. Oui oui. C'est étrange. C'est I Corinthiens, chapitre 11, et avec quelques notes que j'ai prises ici, quelque part ici, auxquelles j'ai pensé, si je peux trouver cela maintenant même, I Corinthiens, chapitre 11. C'est juste ici, juste ici. Oui oui.
20 Eh bien, avant d'aborder la Parole, approchons-nous de l'Auteur (Voyez ?), qui est la Parole, pour pouvoir solliciter la miséricorde et Ses bénédictions pendant que nous L'étudions, Lui, la Parole. Prions.
21 Ô Seigneur Dieu, plein de grâce et de miséricorde, Toi qui as bien voulu au cours de l'âge, après que l'homme eut péché et qu'il eut provoqué ce grand gouffre entre lui et Toi, qu'il ne pouvait traverser de lui-même pour revenir… Il était absolument, totalement perdu, il n'avait pas de voie de retour. Mais le Dieu de toute… plein de toute grâce était disposé à prendre un Substitut à sa place, et Il l'a ramené. Cela a ravi les coeurs de tous ceux qui T'ont jamais connu, Seigneur, comment par Ton grand amour et Ta grande grâce Tu as pris un Substitut. Et comme nous venons de l'exprimer, Seigneur, c'est sur ce Substitut que nous comptons ce soir, Celui qui est mort à notre place, nous les pécheurs, le Juste qui a pris sur Lui notre iniquité. C'est en Lui que nous nous confions.
22 Maintenant, nous nous approchons solennellement de Sa Parole avec nos coeurs et nos têtes inclinés, par révérence et respect et avec gratitude. Et nous Te demandons de nous envoyer ce soir la grâce par le Saint-Esprit et de nous accorder le - le Pain de Vie dont nous avons besoin pour nous nourrir. Nous savons exactement ce dont nous avons besoin, et nous savons que Tu as promis que si nous demandons, nous recevrons.
23 Nous voudrions nous souvenir ce soir, Seigneur, de tous ceux que nous connaissons qui sont malades et nécessiteux, que la grâce de Dieu leur soit accordée très abondamment. Et, Père, nous prions que ceux qui ont rétrogradé se souviennent, pendant ces vacances, de là où ils étaient autrefois, d'où ils sont tombés en sortant de Ta communion. Ô Dieu, nous prions qu'ils reviennent (accorde-le), Seigneur, qu'ils reviennent à l'assemblée, à la - à l'assemblée des Premiers nés, qu'ils reviennent là où il y a la grâce et la miséricorde, l'amour et la bonté, la guérison de nos âmes, de notre esprit et de nos corps. Accorde-le, Seigneur. Bénis la Parole ce soir. Fortifie-nous tous, accorde-nous Tes bénédictions, car nous demandons cela au Nom de Jésus. Amen.
24 Maintenant, juste pendant quelques instants, j'aimerais attirer votre attention sur I Corinthiens, chapitre 11, versets 23, 24 et 25. Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où Il fut livré, prit du pain, Et, après avoir rendu grâce le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. De même, Après avoir soupé, Il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
25 Si je devais intituler ce petit texte sur lequel j'aimerais parler, ce serait se souvenir du Seigneur. On dirait que c'est une soirée… ou un message qui devrait être prêché le dernier dimanche, lors du souper du Seigneur. Mais j'aimerais aborder cela juste sous un angle un peu différent pendant quelques minutes, pendant que nous mettons nos - nos pensées ensemble, dans l'adoration du Seigneur.
26 Bien sûr que nous pouvons commencer par la table du Seigneur, en effet c'est un bon passage dont nous nous souvenons tous. Se souvenir du Seigneur à Sa table, en réalité, c'est à cela que ce texte se réfère. Mais c'est… Paul a dit que nous devons prendre la coupe et - et boire le - le sang, et manger le pain kascher en souvenir, pour nous souvenir de ce qu'Il a accompli pour nous. Et quand-quand vous le faites, vous ne voudriez pas en faire juste une chose ordinaire, de chaque jour; vous aimeriez vraiment venir, en vous souvenant du Seigneur. Voyez? Vous souvenir que c'était Sa grâce et Sa miséricorde, et cela seul, qui vous donnent le seul espoir que vous avez. Peu importe ce que vous pouvez donc faire, il n'y a nulle part rien qui puisse en aucune façon se rapprocher de ce que Christ a fait pour vous.
27 J'ai vécu une expérience triste cette semaine, mais cependant c'en est une glorieuse. Je peux en parler: J'ai enseveli un frère qui s'asseyait autrefois ici avec nous. Et beaucoup parmi vous connaissent ce cas. C'était notre précieux frère Rogers, Busty Rogers, comme nous l'appelions, Everett. Et frère Banks Wood ici et frère Sothmann, nous sommes allés ensemble au service funèbre.
Et - et j'ai roulé sur la neige, je me suis rendu au vieil endroit où je l'avais d'abord enseveli il y a 25 ans. Cette fois-là, quand je l'avais enseveli au Nom du Seigneur Jésus-Christ, c'était dans une eau boueuse. Quand nous traversions le vieux pont familier, là à Totten Ford, je parlais à mes frères et je leur disais: "Un jour, quand un certain prédicateur dénominationnel avait dressé une - une grande tente là, il a dit: 'Ce petit radical là, à l'Eglise baptiste, qui baptise les gens au Nom de Jésus-Christ, a-t-il dit, si quelqu'un se fait même baptiser de cette façon-là, il ne sera même pas le bienvenu sous ma tente.'"
28 En ce temps-là, il s'est fait que quelques-uns qui avaient été baptisés au Nom du Seigneur Jésus étaient assis là, et c'était frère Georges Wright et sa famille. Ils...Tout ce qu'ils ont pu faire, c'était ne pas retourner.
29 Ainsi, ce jour-là, à Ford, oh! il a tout simplement quitté sa réunion, et il est venu là pour plutôt observer, et son assemblée se tenait là. Alors, je me suis avancé là, la pluie était tombée sur des collines, là haut, les champs boueux avaient été nettoyés; et ces petits affluents avaient rendu la rivière Blue River très boueuse. Je suis entré dans l'eau, elle m'arrivait à la taille. Et l'un des administrateurs, ou plutôt des diacres, m'a tendu une Bible, et j'ai lu là où Pierre, le jour de la Pentecôte, a dit: "Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. "
30 C'est ce jour-là que Georgie Carter gisait là, cherchant à lever les mains. Elle ne pesait que 60 livres et quelques [27,18 kg -N.D.T.], et ça faisait neuf ans et huit mois qu'elle était alitée sans se déplacer, et elle avait… Sa famille, l'église dont elle était membre avait dit que si quelqu'un fréquentait même mes réunions, on l'excommunierait de cette église-là. Et alors, c'était ce même soir-là qu'elle a été instantanément guérie. Et alors, elle voulait être baptisée comme la jeune fille Nail qui était là, que j'avais vue en vision, et vous connaissez l'histoire. Ses mains et ses jambes étaient atrophiées; et j'étais parti d'après une vision et par la puissance de l'Esprit, je lui ai imposé les mains, elle s'en est tirée et elle était guérie. Et alors, elle était membre de cette même église. Eh bien, c'était une Eglise méthodiste. Le prédicateur méthodiste, frère Smith, c'était lui qui se tenait sur le rivage avec son assemblée.
31 Et je me suis mis à baptiser du baptême chrétien, selon la Bible. Et après que j'eus baptisé cinq ou six personnes, tout d'un coup les rangs et les files ont été rompus sur la colline. Voilà venir le groupe de méthodistes avec leurs beaux habits pour se faire baptiser au Nom du Seigneur Jésus. Et l'une après l'autre, les femmes dans leurs beaux habits de soie et d'été, ont parcouru cette boue, essuyant des larmes sur leurs visages, enlevant le rouge à lèvre et venant pour - pour confesser, et - et se faire baptiser.
32 Et dans ce groupe, il y avait un soldat aux épaules larges et fortes, au visage large, un homme d'apparence robuste, coiffé comme un soldat américain, qui s'est avancé dans son beau costume bleu, en sergé, et a dit: "Moi aussi, j'ai pris la décision." C'était Busty Rogers; personne ne lui avait rien dit. Je l'ai enseveli là au Nom du Seigneur Jésus-Christ sur base de sa confession.
33 Et la semaine passée, je l'ai enterré à Milltown. Et j'ai parlé dans le sermon sur La perfection de la résurrection. J'ai été missionnaire et j'ai vu différents dieux et différents philosophes, et tout ce qu'il y a ; en dehors du christianisme, ce n'est que de la philosophie, comment ils croient à telle et telle chose. Mais le grand créateur qui a créé la création. Il doit y avoir un Créateur s'il y a une création. Et s'il y a une création, cela a été fait par un Créateur. Et l'oeuvre de tout homme reflète ce qu'il est. Si c'est un bon charpentier, il fait du bon travail, il construit. Si c'est un bon mécanicien, il fait du bon travail. Il… votre travail ne fait que vous refléter. Et la création de Dieu reflète Dieu. Et Dieu a tout fait dans un but. Et tout ce qui accomplit le dessein de Dieu, quand ça meurt, cela a une résurrection. Citez-moi une seule chose. Et j'ai présenté beaucoup de choses, par exemple les fleurs et les arbres
34 Aussi, comment le soleil se lève le matin, c'est un enfant à sa naissance, il est faible, ses rayons le sont. Vers dix heures, c'est un adolescent. Et à midi, il brille dans sa force, dans la beauté d'une jeune fille ou d'un jeune homme. Et vers 14 heures, il devient comme moi. Et puis, vers 17 heures, il devient comme un grand-père, il se couche. Et finalement, ses rayons disparaissent et la terre se refroidit et le soleil meurt. Est-ce la fin pour lui? Il a accompli le dessein de Dieu. Il a ressuscité la vie végétale alors qu'il parcourait la terre. Toutes les plantes qui étaient mortes l'année avant, il les a ressuscitées. Est-ce sa fin après qu'il a accompli le dessein de Dieu? Il ressuscitera le lendemain matin avec une nouvelle vie. Chaque arbre fait de même, tout le reste, tout, la lune, les étoiles, le système solaire, tout promet.
35 Et si un homme a accompli le dessein de Dieu, il y a une résurrection tout aussi sûr que deux fois deux font quatre. Tout ce que vous devez faire... c'est que Dieu attend seulement le temps, juste comme Il le fait maintenant.
Les grandes feuilles qui sont tombées de l'arbre, sont plutôt tombées [Frère Branham se corrige sur la conjugaison en employant fallen, puis falled-N.D.T.]. Il y avait la rouge, la verte, la bleue, la brune, toutes sortes de couleurs sur le grand sein de la terre, là où la nature de Dieu gisait morte en dessous de cela, Dieu a tout simplement planté Son bouquet. Mais Il savait quand Il plantait le bouquet qu'il y aurait la résurrection au printemps. La terre doit simplement tourner dans son orbite jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau en ligne avec le soleil, alors cela ressuscitera pour servir de fleurs funèbres.
36 Elles ne disent jamais : " C'est la fin ", pas plus que les feuilles brunes qui sont sur l'arbre ne disent : " c'est la fin ". Tout ce que cela doit faire, c'est que le cycle du temps de Dieu fasse le tour jusqu'au temps de la Venue du Fils de Dieu. Alors chaque créature vivante qui soit jamais morte en Christ ressuscitera dans Sa Présence en se souvenant de Lui. Oh, quand j'arriverai au bout de mon chemin, j'aimerais mourir dans Sa Présence, en me souvenant de Lui, qu'Il est la Résurrection et la Vie. Il est Celui-là.
37 Alors, quand nous venons à la table du Seigneur... La table du Seigneur, comme je l'ai expliqué ici auparavant, n'est pas… nous croyons que ce que nous appelons " la communion ", c'est - c'est prendre le pain. Nous mettons la mauvaise chose - la - la mauvaise… nous mettons la bonne chose à la mauvaise place. Ce n'est pas le pain qui compte; ce n'est pas le vin qui compte; c'est un pain kascher et du vin. Mais ce qui compte, c'est la communion, ce qui veut dire " parler à ", et, en Lui parlant, se souvenir de Lui. Je pense que c'est le moment le plus béni des services. Voyez? A chaque heure de notre vie, il devrait y avoir une communion.
38 La communion avec le Seigneur, c'est juste comme une oasis dans un désert. C'est juste comme une source sous un étang, là où le - le voyageur passe, s'arrête et boit de l'eau jusqu'à étancher sa soif. C'est cela se souvenir du Seigneur. En accomplissant… de sa table, là où passe le pèlerin qui - qui séjourne ici sur terre avec nous, ensemble, nous pouvons passer par Sa table, et là, nous abreuver de Ses bénédictions, de Sa grâce et de Sa Parole dans la communion autour de Sa Parole, jusqu'à ce que nos âmes assoiffées soient satisfaites ; et alors, nous quittons le lieu d'adoration, rafraîchis, satisfaits, allant pour affronter les problèmes dans le désert une fois de plus, les problèmes dans le désert de la vie. Oui, une oasis dans le désert, nous rafraîchissant nous-même, nous désaltérant quand nous sommes assoiffés.
39 Il devrait en être ainsi pour chaque adorateur. Cela satis… c'est pour chaque vrai adorateur, ce qui fait qu'ils ont le désir de se retrouver ensemble. Il y a quelque chose de divin dans la communion; cela a été ordonné par Dieu, c'est saint et sacré. Et les justes en ont soif.
40 C'est comme David qui a dit que comme une biche soupire après des courants d'eau, ainsi son âme soupire après Dieu. Une petite biche qui a été blessée par une meute de chiens qui ont arraché de son flanc une bouchée, et qui s'est - qui s'est échappée de là. Et elle se tient debout, soupire, observe là où… elle a le flair que Dieu lui a donné, et elle peut flairer l'eau à des kilomètres. Et elle tient sa petite tête en l'air pendant qu'elle saigne, la vie s'en va. Et elle sait que si jamais elle atteint une source d'eau, elle peut vivre. Personne ne la rattrapera alors. Si jamais elle peut atteindre l'eau, elle déjouera chaque chien qu'on mettra à ses trousses, car elle sait qu'elle - qu'elle a trouvé la source qui donne la vie.
41 Et quand l'église en arrive là, là où Christ représente beaucoup pour nous, au point que nous avons soif d'entrer dans Sa présence et être les uns avec les autres, c'est une Source qui donne la Vie. Aucun démon ne peut jamais vous surprendre. Même la mort elle-même est vaincue là. Oh, quel espoir ! Quelle place! Nous rafraîchir. Et en faisant cela, nous souvenir de Christ qui est Celui qui a rendu cela possible pour nous. C'est Lui qui a fait ces choses pour nous, nous devons nous souvenir de Lui. En effet, souvenez-vous-en, autrefois nous étions des étrangers, sans Dieu, des païens, emportés par des idoles muettes, mais souvenez-vous, Christ n'est pas mort pour les Juifs, mais c'est pour chaque créature de la race déchue d'Adam que Christ est mort.
42 Comme nous venons pour nous souvenir de Lui à Son Printemps de - de communion, cela - cela devrait nous rappeler le temps passé, où Israël effectuait son pèlerinage. Et quand il est arrivé, il était dans la ligne même du devoir, il venait de l'Egypte vers sa délivrance, vers la Terre promise. Et dans l'exercice même de son devoir, il s'est retrouvé sans eau. C'était sec à tous égards, partout, chaque… au pied de chaque colline où il devait y avoir des sources, il n'y en avait plus. Et ils périssaient au désert. Et alors là apparut le rocher. Moïse frappa ce rocher et l'eau en jaillit en abondance. Chaque homme assoiffé, chaque femme assoiffée, chaque enfant assoiffé, et même chaque bête assoiffée pouvait s'abreuver de l'eau en abondance.
43 Comme Jean 3.16 (c'est le texte d'or de la Bible) dit: "Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit (croit, communie, se souvient de Lui) ne périsse point, mais qu'il ait la Vie Eternelle." Se souvenir de Christ, que c'était notre Rocher qui a été frappé pour sauver un monde qui se meurt, des païens qui se meurent, un Juif qui se meurt, un monde qui se meurt. Christ a donné Sa vie en abondance, afin que tout celui qui a faim et soif... le prophète dit : " Venez à la fontaine, achetez de moi du miel et du lait sans rien payer. " Venez, car il y a la communion; venez vous souvenir du Seigneur.
44 Je peux penser à " se souvenir du Seigneur " une fois de plus à un lieu de rafraîchissement, à un puits appelé Lachaï roï, ce qui, en hébreux, signifie le puits de celui qui vit et qui me voit." Agar était mal comprise, cependant elle était dans la ligne du devoir. Elle était mal comprise, mal jugée et elle avait été chassée, elle n'avait pas de place où aller, elle avait un enfant qui se mourait, et l'eau était épuisée dans la bouteille. Et le petit enfant pleurait. Et il n'y a que le coeur d'une mère qui peut savoir ce que cela représentait, d'entendre ces pleurs réclamant de l'eau, alors que sa petite langue gonflait, ses lèvres séchaient, et que son enfant s'affaiblissait à chaque minute. Rejetée en plein exercice du devoir, sans endroit où aller… elle… au point qu'elle a pressé [pour faire tomber] la petite goûte sur les petites lèvres sèches ; et alors, la bouteille était sèche, elle a posé cela par terre et s'est mise en route. Et le petit enfant réclamait de l'eau, il s'affaiblissait de plus en plus, c'était son seul enfant.
45 Sans doute que le coeur innocent de Agar s'est écrié: "Ô Dieu, qu'ai-je fait? Qu'ai-je fait?" Et elle ne pouvait pas supporter de voir son enfant mourir dans ses bras, alors elle l'a déposé sous un buisson. Et elle s'est éloignée à une portée d'arc, probablement à une distance de 100 yards [91,4 m -N.D.T.] ou plus, elle a vu un petit arbre, elle s'est agenouillée et s'est mise à pleurer. Eh bien, elle s'est demandé: " Pourquoi ? " Si elle avait fait ce qui était correct, pourquoi pareille chose devrait-t-il lui arriver? Bien souvent, nous pensons que notre maladie et nos afflictions (voyez?)... mais peut-être que tout cela est fait pour manifester la grâce et la miséricorde. Et pendant qu'elle y pensait, elle a entendu de petits cris faibles, se terminant en fondu sonore, réclamer de l'eau. Elle a entendu une voix retentir et dire: "Pourquoi pleures-tu? Pourquoi pleures-tu?
46 Et elle a levé les yeux, elle a vu le puits en train de bouillonner. Quelle source de rafraîchissement ! Lachaï roï, peut-être que j'ai mal prononcé cela. L-a-c-h-a-ï r-o-ï, qui signifie le puits de celui qui vit et qui me voit. Celui qui ne peut mourir ! Melchisédek, El-Shaddaï, Celui qui vit et qui me voit ; Il connaît mes besoins, Il s'est souvenu de moi. Et là, Il s'est souvenu de moi quand je me suis souvenu de Lui, et je sais qu'Il vit et qu'Il a ouvert ce puits dans ce désert-ci.
47 Oh, pouvons-nous appliquer cela au Message de l'heure maintenant même, au jour d'aujourd'hui, alors que le désert des églises, des dénominations et - et les - les - les prédicateurs de l'évangile social, les - les modes du monde se sont infiltrées, ont formé une dénomination et ont brisé… Et puis, de penser qu'on se tient de nouveau là ce soir, au puits de celui qui vit et qui me voit ! C'est ce que se souvenir de Christ devrait représenter pour l'adorateur. Oui. Oh, elle était mal comprise et rejetée. Jésus, quand Il était ici sur terre, a dit : " Je suis les Eaux vivantes, Je suis les Eaux de la Vie. "
48 Et j'aimerais montrer une autre petite pensée ici qui me vient à l'esprit. Et quand Jésus passait en procès, pour rien d'autre que la moquerie par… Il a été envoyé par Pilate à Hérode. Eh bien, Pilate n'était pas obligé de faire cela, et vous savez, comme il cherchait à se laver les mains pour s'en débarrasser. Mais une fois qu'Il est sur vos mains, vous devez prendre votre décision. Vous ne pouvez pas Le renvoyer à quelqu'un d'autre. C'est pour vous en tant qu'individu. Mais il - il L'a envoyé à Hérode, juste pour - pour se moquer de Lui, en effet, il avait bien une réputation de faiseur de miracles et tout, et Il était rejeté de l'église. Alors Pilate lui-même s'est dit qu'il L'enverrait à Hérode, et que peut-être cela ôterait plutôt la vieille rancune qu'il y avait entre eux.
49 Et alors, on a amené Jésus dans des rues et Il a parcouru des bâtiments jusqu'à ce qu'Il est arrivé devant la Cour Suprême d'Hérode. Et quand Il a rencontré Hérode, c'était l'unique occasion qui était offerte à Hérode. Comme un homme peut être insensé ! Si seulement Hérode avait su que là devant lui se tenait l'accomplissement de ce que chaque prophète hébreu avait désiré voir et ce dont le monde a soif, que celui qui se tenait là devant lui, était l'accomplissement de ce dont chaque sage et chaque prophète avaient parlé. L'occasion de satisfaire son coeur pécheur avec la grâce et la miséricorde. Quel homme insensé il était !
50 Et cependant, il était tout aussi insensé que l'homme d'aujourd'hui à qui la même chose est présentée. En effet, il y a plus de deux mille ans qu'on nous enseigne à Son sujet et sur Sa miséricorde. Mais quelle chose insensée pour Hérode alors que Jésus se tenait devant lui, de n'avoir pas demandé la grâce et la miséricorde, de n'avoir pas imploré le pardon de péché! Il ne savait pas que là se tenait… il… Je - je ne pense pas que cet homme-là s'était rendu compte de la Personne qui se tenait devant lui. Laissons cela pénétrer une minute. En effet, cet homme jouissait d'une réputation dans la société, d'un rang élevé dans la société, dans le milieu - milieu de différentes organisations et - et des clubs et tout, auxquels il était associé. Jésus n'avait pas une réputation comme cela.
51 Mais Il en a eu une parmi les gens qui connaissaient la Bible et qui connaissaient la promesse. Et puis-je devenir un peu plus dur, ceux qui étaient prédestinés à la Vie Eternelle, ont reconnu cela au moment où Il se tenait là.
52 Mais Hérode n'avait pas appris cela; il n'avait jamais su cela. Quelle chose triste! Tout ce dont les prophètes avaient parlé pendant 4 milles ans, l'accomplissement de ce que le monde réclamait se tenait devant lui. Là devant lui se tenait tout l'accomplissement. Comme je peux répéter cela, nous pouvons penser que c'était un homme insensé, parce qu'il avait pris une décision insensée. En effet, vous remarquez qu'il n'a jamais sollicité la miséricorde auprès de Lui. Il Lui a demandé de - de l'amuser : "Oh, j'ai entendu dire que Tu es un - un faiseur des miracles." Il a demandé de l'amusement plutôt que de la miséricorde.
53 C'est ce que le monde exprime aujourd'hui, la décision même d'Hérode, alors qu'il voit le Christ, qui opère les miracles, faire la même chose aujourd'hui qu'autrefois. Tout ce que les gens demandent, c'est : Laisse-moi te voir faire telle et telle chose. Vous dites qu'Hérode sera en mauvaise posture? L'homme d'aujourd'hui en aura une pire. Hérode avait eu quatre mille ans d'expérience avec des prophètes et des sages. Nous, nous en avons eu six mille. Et avec un super enseignement par rapport à ce qu'eux avaient. Certainement. Quelle chose cela avait fait! Il en est de même aujourd'hui, c'est la même chose. Quel était le problème? Hérode n'avait jamais considéré cela sérieusement. Il ne s'était jamais arrêté pour examiner.
54 Et c'est la même chose pour les gens aujourd'hui. Ils voient ce glorieux quelque chose, et cela les intrigue, mais ils ne s'arrêtent pas assez longtemps. Ils cherchent à écouter un rabbin ou un théologien qui les En dissuadent. Mais cependant, quand je pense à Jeffersonville: "Combien de fois ai-je voulu te couver comme une poule couve ses poussins, mais tu ne l'as pas voulu. Combien de fois ai-je voulu te rassembler? Combien de fois ai-je voulu faire de ceci un jardin où toutes les nations viendront par avion, mais tu ne l'as pas voulu." Voyez, voyez?
Eh bien, voyez-vous ce dont Hérode aura à se souvenir en ce jour-là? La grande occasion qui lui a été offerte et qu'il a rejetée. Et ce soir, il est là quelque part dans les régions des perdus, il se rappelle ce qu'il avait fait à ce sujet. Il est trop tard maintenant.
55 Que cela ne nous arrive pas. Voici le temps de notre visitation. Souvenons-nous de Christ, qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Hébreux 13.8. N'attendez pas d'être là, dans des régions de damnés, dans cette dimension-là où on ne peut pas entrer dans la Présence de Dieu, quand votre temps sur terre sera terminé. Dans un cauchemar d'horreur, vous vous souviendrez que vous aviez eu votre occasion et que vous l'aviez rejetée. Que les jeunes gens fassent attention à cela. Que tous fassent attention à cela.
56 Hérode n'avait jamais considéré cela sérieusement. A la seule occasion qui lui avait été offerte, il n'a demandé que l'amusement, et que Jésus fasse une espèce de tour magique, qu'Il fasse sortir un lapin du chapeau ou, vous savez, ou quelque chose comme cela. Il se disait qu'Il en était capable, autrement dit, il L'a considéré comme un magicien. " Nous avons appris que vous pouvez jouer des tours… Faites-moi voir des tours… maintenant.
Et puis-je dire ceci avec révérence. Mais que des fois les soi-disant prédicateurs d'aujourd'hui, ont dit: "Si le Saint-Esprit existe, si vous croyez que le Saint-Esprit est exactement comme au début, laissez-moi vous voir prendre le vieux Untel ici, ou cet homme-ci, cette femme-ci. J'irai les chercher. Laissez-moi vous voir accomplir cela."
57 Savent-ils que c'est le même esprit (non, ils ne le savent pas) qui a dit à Jésus: "Si Tu es le Fils de Dieu, prends, transforme ces pierres en pain . Si Tu es le Fils de Dieu, dis-nous qui T'a frappé à la tête . Si Tu es prophète, dis-nous qui T'a frappé", alors qu'on Lui avait mis un lambeau au visage ? Ils L'ont frappé à la tête, et puis ils se sont passé le morceau de bois l'un à l'autre, ils ont dit: "Dis-nous, si Tu es prophète ; dis-nous qui T'a frappé; nous Te croirons alors. Dis-nous, si Tu es le Fils de Dieu. Nous sommes sincères. Si Tu es le Fils de Dieu, descends de la croix et nous croirons que Tu es le Fils de Dieu. "
Je me demande si beaucoup de gens aujourd'hui, et les hommes et les femmes, les jeunes et les vieux, ne se retrouvent pas dans la même situation. Et vous allez vous souvenir un jour que vous étiez dans Sa Présence, à Sa Fontaine; et que vous aviez voulu voir un tour magique… ou que vous aviez voulu voir une supercherie ou l'une ou l'autre chose: Cela m'amènerait à croire la chose. Que j'aie un frisson dans le dos, que je fasse telle ou telle chose, je croirai Cela." (Voyez?) Une sensation, c'est de l'idolâtrie pure et simple. Laissez-moi - vous…
58 Vous savez, Jésus a dit à une occasion, Il a posé une question. J'aimerais poser cette question à l'église ce soir. Jésus a dit: "Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi m'appelez-vous votre 'Seigneur' et ne faites-vous pas ce que Je vous ordonne? Pourquoi m'appelez-vous 'Seigneur' et ne gardez-vous pas Ma Parole? Pourquoi M'appelez-vous 'Seigneur' et niez-vous les choses que Je vous ai ordonné de prêcher et d'enseigner?" Qu'est-ce? Qu'est-ce qui en est la cause? C'est parce qu'une tradition dénominationnelle se tient entre la Parole et les gens. Et tout ce qui se tient entre Dieu et vous, c'est une idole; cela prend la place de Dieu. Pourquoi appelez-vous 'Seigneur'? " Seigneur " signifie propriétaire. Le Seigneur, c'est le propriétaire. Si je suis une propriété de Dieu, si je Lui appartiens, et qu'un jour Il me rejetait... Quand j'étais sur une mauvaise voie, Il m'a appelé dans un but, et que puis-je faire sinon satisfaire Son désir comme l'a fait Paul. Quoi d'autre puis-je faire sinon garder Sa Parole? Pourquoi M'appelez-vous Seigneur?
59 J'aimerais faire venir un autre homme ici, voir ce qu'il en est à son sujet. Qu'en est-il de Judas ? En quoi doit-il se souvenir de Lui? Nous parlons de se souvenir du Seigneur. Ce soir Judas, et oh - jusqu'à ce qu'il ne soit plus - devra se souvenir qu'il avait vendu ses droits d'aînesse. Il avait vendu Jésus pour un gain personnel. Nous nous moquons de Judas - de Judas. Nous disons que c'était un gars impur, mauvais, qui ne convient nulle part, ni dans la société, qui ne convient pas pour le Ciel. Pourquoi? Il avait vendu son Seigneur, après qu'il avait eu l'occasion même d'être un - un disciple, d'être un apôtre, l'appel le plus élevé de la Bible, plus élevé que celui de prophète. Il avait eu l'occasion d'être un - un apôtre, mais il a vendu ses droits pour un gain personnel. Et maintenant, il doit se souvenir de cela. C'est ainsi qu'il se souvient de Jésus: un gain personnel.
60 Je me demande combien de gens de ce genre se tiennent néanmoins à la chaire ce soir, en robe de la chorale, pourtant, occupant le poste de diacre, ou celui de trésorier, administrateur, ou n'importe quoi que ça puisse être, sa position dans l'église, ou un prédicateur à la chaire, et néanmoins il vend l'occasion qu'il a pour avoir une gloire personnelle: "Docteur, évêque Untel", pour une gloire personnelle, pour un gain personnel.
61 Un homme m'a dit autrefois : " Je crois que c'est la vérité, mais si je prêchais cela, je me retrouverais là dans la rue en train de mendier." Vous souvenez-vous de l'homme riche et de Lazare, quelle a été leur position finale et éternelle? Quand bien même l'un avait… c'était un mendiant, et l'autre était un homme riche, mais le tableau changea un jour et tous les deux ont pu se souvenir. De même les gens ce soir crient après Judas, au fait qu'il L'avait vendu pour un gain personnel, et beaucoup font la même chose aujourd'hui, Ils Le vendent pour un gain personnel.
62 Le sacrificateur de ce jour-là se souviendra aussi qu'il avait vendu son occasion vis-à-vis de Lui, son occasion de devenir Son serviteur, de devenir Son disciple, de devenir Son converti. Il a vendu cela par une jalousie verte et empoisonnée. Ils étaient jaloux de Sa doctrine. Eh bien, alors qu'il n'avait que douze ans, Il pouvait les laisser perplexes de toutes les façons, eux n'ont pas reconnu que c'était le Messie. Ils ne pouvaient pas faire des choses que Lui faisait. Et ils craignaient de perdre leur prestige devant les gens de haute classe, alors, ils ont vendu leur occasion. Ils sont tout aussi coupables qu'Hérode.
63 Et c'est pareil pour les membres d'église d'aujourd'hui. Comme ils avaient placé leur confiance dans leurs dénominations et tout, à leur époque, ils redoutaient à cause de leur - de leur prestige, qu'on ne les chasse de synagogues, qu'était-ce alors? C'était de l'idolâtrie ! L'adoration d'un credo idole ou d'une religion idole d'église, plutôt que d'accepter la Parole vivante qui avait été manifestée devant eux.
64 Et ils avaient vu la Parole de Dieu. La Bible dit: "Nous L'avons vu et nous L'avons touché." Les êtres humains posaient des mains sur la Parole vivante, littérale, manifestée du Dieu vivant, mais ils ont laissé leurs traditions et leurs credo se tenir entre eux…le lavage des cruches, des pots, une chose si souillée se tenir entre eux et le Dieu vivant. Oui.
65 Qu'était-ce? Ils avaient des préjugés. Ils avaient des préjugés sur l'Evangile clair, net et scripturaire qu'Il enseignait, la Parole du Père. Ils étaient jaloux de Lui. Ils avaient des préjugés sur Lui. Et tant qu'ils auront des souvenirs, en fait, ils en auront toujours jusque dans le séjour des morts, c'est comme ça qu'on se souviendra d'eux. C'est ainsi qu'ils auront à se souvenir de Lui. Vous dites : "Oh! Là c'était les pharisiens."
66 Il y eut une petite dame qui fréquentait cette église-ci. Oh! Je pense que peut-être beaucoup parmi vous la connaissent; elle habite au bas de la rue ici… Elle avait rétrogradé. Et chaque fois que je la vois, elle accourt vers moi, mets ses mains dans les miennes: "Frère Bill, prie pour moi. Je suis rétrograde." Son mari est un… Non, je pense qu'ils habitent juste sur cette rue-ci. Je l'ai vue dans l'Esprit, j'ai vu l'Esprit de Dieu sur elle, et elle dansait, se réjouissait et tout. Puis, elle a rétrogradé. Tout récemment, elle était couchée là à l'hôpital, mourante, pensait-on. Et elle a envoyé me chercher pour prier pour elle.
67 Son mari et elle avaient été trop bons envers ma femme, quand ma femme était une petite fille en lambeaux et au visage sale, ils lui achetaient une petite robe ou quelque chose comme ça de temps à autre, pour l'aider à aller à l'école. Peu importe combien c'est minime, vous ne pouvez pas faire une seule chose pour Dieu sans qu'Il s'en souvienne. " Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de mes plus petits, c'est à Moi que vous les avez faites." Et c'est comme du pain sur la surface de l'eau, cela reviendra.
Cette pauvre petite femme rétrograde était couchée là, pleurant, tenant ma main. Et elle… j'ai dit: "Eh bien, soeur, je vais - je vais prier pour vous."
Et sur le lit à côté d'elle était couchée une femme avec ses bras croisés, elle me regardait ; et son jeune fils d'environ 20 ans était assis à côté d'elle, affichant l'air d'un ricky moderne. Ainsi, ce n'est pas pour manquer du respect, si quelqu'un devait porter le nom de Ricky, mais je veux dire que c'est un… vous n'avez jamais entendu pareil nom dans le passé. Elvis et Ricky, c'est juste un nom de cet âge. Voyez-vous? Si vous avez un enfant qui porte ce nom-là, appelez-le par son deuxième prénom, ainsi… ou donnez-lui un nom.
Alors, pendant qu'elle était assise là comme ça, elle a regardé, et j'ai commencé à incliner la tête et j'ai vu qu'elle regardait vraiment… Elle a dit: "Attendez une minute. Tirez ce rideau."
J'ai dit: "J'allais juste offrir une prière pour cette dame. N'êtes-vous pas - n'êtes-vous pas une - une croyante?"
Elle a dit: "Je vais vous faire savoir donc, que nous sommes des méthodistes, et nous aimerions que vous tiriez ce rideau-là."
"Oui, madame", et j'ai tiré ce rideau.
68 Voyez, la même chose - la même chose aujourd'hui, ils ont beaucoup de préjugés. Comment a-t--elle su quel genre de prédicateur j'étais? Je n'avais jamais vu cette femme-là. Mais probablement qu'elle a entendu quelqu'un dire que je croyais dans la guérison des malades , et à elle, on lui avait enseigné le contraire. Elle n'avait rien à faire avec la chose; elle s'est lavée les mains pour s'en débarrasser. Elle avait peur que cela retombe sur elle. Ne vous en faites pas; ça ne se fera pas (voyez?), pas plus que Pilate n'a pu s'en débarrasser en se lavant les mains.
69 Eh bien, ce n'est pas pour dire quelque chose de honteux au sujet des méthodistes; ce n'était qu'une seule femme (voyez?), c'était peut-être son attitude à elle. Je ne pense pas que tous les méthodistes agiraient comme ça ; en effet, j'ai prié pour beaucoup parmi eux. Ils m'ont fait venir pour prier pour eux, des signes et des prodiges se sont produits parmi eux. Ce n'est pas les gens qui sont dans ces églises, c'est le système dans lequel ces gens se trouvent, c'est ce qui fait cela. Mais elle était une personne de ce genre. Qu'était-ce? De pur poison aux yeux verts, de la jalousie d'une possession diabolique.
70 Je pourrais dire quelque chose. A - à une réunion qui se tenait ici dans la ville autrefois, on avait demandé pourquoi on ne m'avait pas appelé. Je vais simplement laisser cela, car je suis à la maison. Mais… Et cependant, sans aucune raison, c'était vraiment de la jalousie; c'est un credo, c'est l'idolâtrie. Oh comme nous aimons faire passer les bras les uns autour des autres, mais quand on vous évite… Jésus voulait faire cela. Souvenez-vous, un jour vous devez vous en souvenir. Vous devez vous en souvenir.
71 Cela me rappelle bien un témoignage qui a eu lieu tout récemment. Un prédicateur était dans un ascenseur qui montait ici dans un immeuble Heyburn. Et il y avait là trois hommes avec ce prédicateur dans cet - dans cet ascenseur, mais il - ils ne savaient pas que cet homme était un prédicateur; je ne pense pas. Et quand ils sont montés, ils se sont tous arrêtés au huitième niveau. Et un de ces hommes a regardé le prédicateur et a dit: "Vous savez quoi? C'est tout près du ciel au possible."
72 " Eh bien, a dit le prédicateur, je - je pense que vous avez raison; je - je pense que vous avez raison tant que vous vous confiez dans vos propres mérites, c'est tout aussi près que possible." C'est vrai. Tant que vous vous confiez dans ce que vous faites, vous vous souvenez de ce que vous avez fait, et je suis sûr que la plupart parmi nous savent que nous n'avions rien fait, nous ne méritons rien. Il a dit: "Je pense que si nous nous confions dans nos propres mérites, c'est tout aussi loin que possible." Eh bien, si nous avons confiance, c'est aussi loin que l'on peut aller.
73 Mais, oh, j'aimerais dire quelque chose. Si je peux oublier ce que j'étais, et me souvenir de ce qu'Il est, si je peux me souvenir de Jésus, si je peux me souvenir de Lui à la croix, si je peux me souvenir de ce qu'Il a fait pour moi et que je peux me souvenir de l'heure où Il a ôté mes péchés, qu'Il m'a donné le Saint-Esprit pour me guider, alors je serai élevé au-dessus de tout ce qui soutient ce monde. Je suis élevé au-dessus de toutes les choses terrestres, pour être dans les lieux célestes en Jésus-Christ, là où je peux avoir communion avec Lui, là dans Sa Présence, j'oublie ce que j'ai jamais été, j'oublie tous mes péchés et tout, parce qu'ils sont dans la mer de l'oubli, j'oublie tout mon passé, j'oublie tout, et je me souviens qu'Il a fait de moi Son propre bien par Sa mort… Il a pris ma place.
Et moi qui ne méritais d'aller nulle part ailleurs qu'en enfer, Il a pris ma place et Il m'a élevé au-dessus de l'enfer. Il est allé là pour moi. Il m'a élevé par Sa grâce abondante, au point que maintenant nous sommes des fils et des filles de Dieu, nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, nous réjouissant toujours et nous souvenant de Lui qui nous a gardés sains et saufs jusque là. Et avec cette foi qui se meut dans nos âmes, qui nous presse, et par la grâce, Il nous amènera jusqu'au bout.
74 Et par les yeux de la foi, je vois Ses Ecritures être accomplies: "Tous ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a appelés; tous ceux qu'Il a appelés, Il les a justifiés; et tous ceux qu'Il a justifiés, Il les a glorifiés." Par conséquent, avec ceci à l'esprit, je me tiens dans cette assemblée de gens, où il y a l'Esprit de Dieu ainsi que les gens qui sont élevés, pour être assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, attendant l'heure où le visage vil de la vie humaine, qui a un coeur mortel qui bat et qui doit s'arrêter un jour, quand cela sera alors changé et qu'on aura un coeur de l'Esprit qui battra pendant des âges sans fin, là, sans maladie, sans chagrin, sans vieillesse ni rien.
75 Se souvenir de Jésus. Quand les pots sont vides à la maison, qu'il n'y a plus de farine, souvenez-vous de Jésus. Quand le médecin dit qu'il n'y a plus de chance, souvenez-vous de Jésus. Quand le diable vous tente, comme nous le chantons dans notre cantique pour congédier les gens : "Quand les tentations nous environnent, murmurez ce Saint Nom dans la prière."
Se souvenir de Jésus, se souvenir qu'Il reviendra. Le même Jésus qui a été enlevé du milieu de nous reviendra de la même façon que nous L'avons vu partir au ciel. Souvenez-vous qu'Il reviendra pour ceux qui Lui appartiennent.
76 Prions avec nos têtes inclinées. Et avec ce petit message haché encore dans votre coeur, voudriez-vous qu'Il se souvienne de vous maintenant? Si vous le voulez, levez simplement la main, et pour une chose particulière: "Seigneur, souviens-Toi de moi", comme l'a dit le poète: "Souviens-Toi de moi quand mes larmes tombent."
77 Notre Père très saint, nous nous sommes beaucoup réjouis de la Présence du Saint-Esprit, comme Il nous révélait la Parole de la Vie, alors que nous nous sommes rappelé le puits d'où nous avons été taillés et nous avons maintenant été retirés de ce puits et nous avons été façonnés pour devenir des enfants de Dieu par la grâce de Jésus-Christ. Je me souviens de Lui, quand le médecin m'avait regardé en face et avait dit: "Encore quelques minutes", je me souviens de Jésus. Je me souviens de Jésus, quand j'étais à l'autel en train d'implorer la miséricorde et que mon âme avait un fardeau; je me souviens du fardeau qui m'a quitté. Jésus a ôté mon fardeau.
Il y a quelques mois, j'étais assis sur un banc, regardant vers le bas à travers le télescope du canon d'un fusil pour atteindre une cible, et Satan doit s'être dit : "Voilà une occasion pour moi maintenant." Et lorsque le fusil a explosé et que là le canon, le fût et le mécanisme sont tous allés de côté, et que le feu m'avait totalement environné, j'ai essayé de me tenir debout et le sang giclait,…, je me souviens que c'était Jésus. Quand le médecin, quand il a regardé et qu'il a vu qu'il n'y avait pas des lésions, il a dit: "La seule chose, à ma connaissance, c'est que le Seigneur doit avoir été là aussi, protégeant Son serviteur; il aurait éclaté en pièces à la suite d'une telle explosion." Ô Dieu, comme nous nous souvenons tous de ces choses.
78 Nous venons à la Fontaine remplie du Sang, tiré des veines d'Emmanuel. Bénis-nous, Seigneur, ensemble ce soir. Tu connais le - l'objectif et le motif qui sont derrière chaque coeur, qui a levé la main. Tu connais le désir et le besoin. Et en tant que Ton serviteur, Seigneur, je - je viens avec eux, et - et nous sortons de ce tabernacle maintenant, par la foi, nous allons au-delà des nuages et de la lune, et des étoiles et de la - de la voie lactée, et nous arrivons maintenant dans la Présence de Dieu. Et là est étendu en face de moi un autel d'or, et là-dessus se trouve le Sacrifice dont nous nous souvenons, Jésus, qui a dit: "Tout ce que vous demandez au Père en Mon Nom, Je - Je le ferai." Que notre foi ne faillisse pas, Seigneur, mais que nous nous souvenions que nous recevons ce que nous demandons, si nous croyons cela, comme nous nous souvenons que Jésus est mort pour nous assurer cela et faire que cela soit certain.
79 Seigneur, nous voyons que Tu as agrandi notre bâtiment. C'est Toi qui as fait cela pour nous, qui a agrandi pour nous cette église. Et nous savons que c'était Toi, Seigneur, qui nous a donné cette église au commencement. Nous Te prions de bénir ces efforts.
Seigneur, nous prions pour notre pasteur, frère Neville, Ton humble, précieux et fidèle serviteur. Il est disposé de servir dans n'importe quel domaine, et peu importe que ça soit dans le siège arrière ou si c'est pour nettoyer l'église. Partout où Tu as besoin de lui, c'est là qu'il veut être un instrument à Ton service, partout où Tu l'appelles. Nous Te prions, ô Dieu, de - de le bénir.
80 Ô Dieu, cette grande épreuve par laquelle je suis passé récemment, et ces administrateurs qui se sont tenus à mes côtés, ainsi que cette église qui - qui a prié pour moi, et finalement la victoire était là. Ô Dieu, je prie pour eux. Je me souviens aussi d'eux, Seigneur, et je suis sûr que c'est le cas pour Toi.
Nous nous souvenons des bénédictions que Toi Tu représentes pour nous. Et nous nous souvenons de Ta Parole, que jamais Toi Tu ne nous abandonneras ni ne nous oublieras. La vieillesse n'aura rien à faire avec cela; Tu Te souviendras toujours de nous, quand il n'y aura plus de monde et que le temps aura disparu dans l'éternité. Il y a quelque chose comme ceci qui est écrit : "Une mère peut-elle oublier son enfant qui tète ? Moi, Je ne t'oublierai jamais. Tu es gravé dans la paume de Mes mains. " Les clous qui ont gravé nos noms. Nous savons que Tu Te souviens de nous, Seigneur.
Et puisses-Tu toujours faire l'objet de nos souvenirs les plus précieux, comme notre Sauveur, notre Guérisseur, notre Roi, notre Amoureux, notre Vie, notre Soleil, notre Tout en tout, la Fontaine inépuisable de la grâce et de l'amour de Dieu pour nous les êtres humains déchus de la famille d'Adam. Accorde-le, Seigneur, alors que nous nous confions à Toi maintenant, partant de ce tabernacle ce soir, en nous souvenant de Jésus. Amen.
81 Vous souvenez-vous de Lui? L'aimez-vous? Maintenant, je pense qu'avec notre petit message haché, nous pouvons dire ceci: Paul a dit: "Tout ce que nous faisons, nous le faisons dans l'Esprit." En tout, nous devons nous souvenir de Lui. Ne prenons pas une décision avant de nous souvenir de Lui; ne faisons rien ; en effet, ce serait imprudent. Si l'ennemi frappe sur une joue, souvenons-nous de ce qu'Il a fait, avant de répliquer par une gifle. Souvenons-nous de Ses actes. S'il y a une décision à prendre, attendons, souvenons-nous de quel genre de décision nous pensons qu'Il aurait prise, que cela soit donc notre décision. Si nous sommes pressés, souvenons-nous qu'Il n'a jamais été pressé. Voyez? Si nous sommes très anxieux, souvenons-nous qu'Il habite l'Eternité; le temps ne représente rien pour Lui. Ce sont le motif et l'objectif de notre coeur. Souvenons-nous de Lui.
82 Et souvenons-nous de Lui maintenant alors que nous chantons ce cantique dans l'Esprit et dans Sa Présence: Je L'aime. Si vous demeurez dans l'amour, demeurez en Dieu, car Dieu est amour. Ceux qui demeurent en Dieu demeurent dans l'amour. Voyez? Et l'amour n'a pas de haine. L'amour n'est pas jaloux. L'amour ne s'enfle pas. L'amour ne se méconduit pas, l'amour est toujours gentil, doux, il pardonne, il est aimable. Peu importe à quel point les autres sont amers, l'amour reste le même. L'amour est l'absolu de la grâce. L'amour est l'absolu de Dieu pour nous. Après que tous ces autres dons et tout auront disparu, nos prophéties, nos langues, nos interprétations, tout ce que nous ayons jamais fait, ou que sais-je encore, quand l'amour viendra, ça sera l'absolu. C'est au-dessus de tout, car toute autre chose faillira. C'est - c'est la décision de la Cour Suprême. C'est le Poteau d'attache. C'est l'Etoile Polaire qui garde le niveau pour le marin. C'est la boussole qui nous guide. L'amour est l'absolu. Souvenons-nous-en alors que nous chantons Je L'aime.
Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Je L'aime, je L'aime
Parce que… le premier… (Je me souviens maintenant, Il m'aima et donna Son Fils.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
83 Maintenant, pendant que notre soeur nous donne l'accord de ce cantique [Frère Branham se met à fredonner Je L'aime - N.D.E.] dans la douceur de la communion, pendant que nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Christ, maintenant ôtez tout de votre coeur. Et souvenez-vous, la Parole de Dieu le dit. Je suis Son serviteur. Il est ici. Alors serrons la main à quelqu'un d'autre, et disons: "Que Dieu vous bénisse, frère." Si vous avez un ennemi, levez-vous et allez auprès de lui (voyez), dites: "Que Dieu vous bénisse, frère." Pendant que nous chantons le choeur une fois de plus, serrons-nous la main les uns aux autres. Ne voudriez-vous pas faire cela maintenant en toute douceur de l'Esprit ?
Je L'aime (que Dieu bénisse…?…) l'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut…
… bois du Calvaire.
Avec nos mains levées maintenant
Je L'aime, Je L'aime
Parce que… (se souvenir de Jésus.)
Acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
84 Maintenant, inclinons la tête et fredonnons cela [Frère Branham se met à fredonner Je L'aime - N.D.E.] en se souvenant de Jésus. [Frère Branham continue à fredonner.]
… Il m'aima le premier [Frère Branham continue à fredonner.]
Sur le bois du Calvaire.
85 Maintenant, pendant que notre soeur joue cet air doucement, lentement, je vais demander à notre brave frère… Frère Neville, avez-vous un mot que vous aimeriez dire? Je vais demander à frère Collins là derrière, notre loyal jeune frère, un des associés, s'il veut nous congédier par la prière. Pendant que nous avons la tête inclinée, Frère Collins… [Frère Collins prie. - N.D.E.]
1 Thank you, Brother Neville. So glad to be here, Brother Neville, and the--the opportunity to set in these heavenly places again in Christ Jesus. And numbers never did bother me; it always excites me. You know, I'm more--I'm more at home when I'm with a small number, 'cause that's what I think the Church is. Yeah, I have a Scripture for that, says, "Fear not, little Flock; it's your--your Father's good will to give you the Kingdom." And I would... That's the little Flock I want to be numbered with at that day, the one that He said, "Not to fear."
2 And we're very happy for the privilege of coming down tonight. And I didn't come with the intention of speaking. Just a few moments ago there was someone who had come to the door, and while I was in some study, getting some contexts ready for some text that I want to use now right away in the oncoming meetings of Phoenix, and Tucson, and through there. And I was just getting really fed up in the Spirit, you know, of the good things of God, about an Ultimate, and a subject on Ultimate. And my wife come and she told me that there was someone come to see me, and I--I didn't get it just right, then afterwards, why, said, "Are you going to be down at the church tonight?"
And I said, "I think so." And I went on trying to keep in the spirit of what I was doing. And she come back and said it was a sick man was coming to be prayed for. I said, "Well, then I'll go down to church anyhow (See?), and pray for the sick." I always, that's...
You know, those things are... We should get to them as quick as possible when people are sick and needy. Ever who's been sick knows how to appreciate what it means to be healed by God's great healing power. And such a wonderful thing it is, what a privilege.
4 Now, next coming Sunday, if the Lord is willing, Brother Neville and none of them has anything special, I thought next Sunday morning I--I'd bring my Christmas message to the people, because letting them--letting them... Some of them come from far away, you know, and like Georgia and different places, and that'll let them get back in time to do their Christmas shopping and things.
And Billy just come out and told me, said my sister Deloris, next Sunday evening just before service, has some kind of a little--a little gifts for the kids, and a little program here they're going to, you know, a little Christmas play that they want to put on before the services start. And I said, "Well, that'll be in the Sunday evening won't it?"
Said, "Yes."
I said, "That won't interfere a bit then."
6 Now, see, next Tuesday is Christmas eve, then if--or next Tuesday, a week, is Christmas. So that would press the people (You see?), and then have to go back home on Christmas eve, and on Monday, so I thought that I... Yeah, two weeks, sister, two weeks is right. So I thought maybe I'd come tonight and let the people know, if the Lord is willing, and Brother Neville has nothing special. That I usually like to give my Christmas message to the church, and my Easter message, and whatever the Lord puts upon my heart to give. And next Sunday, the Lord willing, next Sunday morning I give...
7 And the reason I take it of a morning instead of a evening, where the people that comes from far away, they have the afternoon to travel so that they can get home. You see? And I would rather have it at night; I think the evening is much better. I--I like the evening service, when the sun goes down, something another. It was God in the garden of Eden, to Adam, would come up in the cool of the evening and talk to Adam. See, and I like the evening service. But--and the way the circumstances are here, that it would be better that I had it of a morning, and so the people can get away.
And I'm grateful that the Tabernacle is being extended out here into the next place out apast us here, having some more room added to it. After all the stewing and fussing, finally we got it anyhow. You know, old Brother Bosworth used to have a sense of humor, said, "The baby that cries the loudest gets the most attention." So that's--that's kind of a whole lot, you know, and so I think it pays us to cry out a little bit once in a while, don't you think so?
9 So--and I want to comment Brother Anthony and his associates here for that lovely music. I just walked in and heard that. And, you know, them instruments is trumpets. I've wanted one of my children, at least one of them to play a trumpet, I--I... And them blowing instruments.
Becky started on the piano, but she's at that little teenage something, you know, that's--she wants to give it up now. And--and she started... The teacher said they'd have to start on popular music, not, now, I don't mean--you know what I mean, overtures, and so forth, of classic music, in order to get the religious music to it. When she gets up to her high grades in that, then she thinks, "Well, I'll just quit." And I--I... Kids are a problem. And anyhow, it has to be a calling of God to begin with. I believe her sister, Sarah, back there is going to beat her anyhow, and never had a lesson. So--so then the calling of God is better when it's gifted like that.
But I like a trumpet. I remember the--when they dedicated this Tabernacle out there at the corner, the trumpets rang for a half a day out here, "Down at the cross where my Saviour died, down there for pardon from sin I cried, there to my heart was the Blood applied," when I was dropping in my context into the cornerstone.
12 And I remember one night at Trinity Methodist church, when old Doctor Morrison... Many of you people that lived back in my days remember Doctor Morrison, an old sainted man. Asbury lost one of the greatest men since Asbury, when they lost Doctor Morrison, to his age, a godly old man. And I always loved to hear him preach. And I went over to hear him over at the Trinity Methodist church there. And that night, two boys stepped out in a little balcony just as wife and I were walking up, and they were holding their trumpets in the air like that, and those instruments there, and they played that, "Down at the cross where my Saviour died." That big cross up on top, revolving around. I just stood on the street and listened, with my hands in the air, just singing to praising God right out. I couldn't help it.
There's some kind of a emotion within a borned again Christian, when It pulsates, there's something has to happen; that's all there is to it. Oh, I... There's nothing like an old-time Christian experience. Wouldn't take nothing for it, my experience, wouldn't swap it for no riches of the world, or the whole world nor all the solar system and all, for what Jesus has taught me of Himself.
14 There's a certain man that's sets with us; every time I look back my heart jumps. It's a man I seen taking communion the other night, walks on a crutch. Did anybody ever tell you you look like Oral Roberts? I tell you, every time I... How many... You've seen Oral Roberts, nearly all of you. If he don't look like Oral Roberts... I just happened to look back. And I--I think he's a little bigger man than Oral is. But just to look the way he combs his hair, and his forehead and his features, and always kind of a dignified-looking person, setting like Oral. And so I--I always think, "Brother Oral?" Looks just something like him.
Brother Oral's starting some kind of a Bible school out there now, I believe, or something. I heard about it the other day. What? University. Yes. Brother Carl Williams is one of his ultimates on it, of some sort; I don't know just what it is now.
16 Now, now remember, Sunday, the Lord willing, we'll start, I have the Easter--or the Christmas message. And then I'm--I'm grateful about the Tabernacle being started. And then I hope that this will be not only an addition to number, but it will be the addition to grace that God will grant our church, our movement, or, not movement, but our congregation that we have assembled together. We love it.
And--and I'd just like to say this. I'm not going to take much time. But I have many things I ought to say, but I'm not; it would take too much time. But I'd like to say this; it's something that I cannot say. There's things everyone understands that you know, and it's in the Name of the Lord, yet you cannot say it. You see, you've got to keep it to yourself. See? But a certain event that's moving up, and has been for some time, that's fixing to take place, that I have been alarmed at watching the Holy Spirit move among the people to that spot, and them knowing not one earthly thing (See?), but see the Holy Spirit moving to that. I'll reveal it, the Lord willing, some convenient time. Now, remember, that shows God among them.
18 As someone, I believe, brother, yes, said awhile ago, Brother Neville said that, "God, not accounting our--our--our disorder among us, or our misbehavings in His sight..." That the seer that went to look upon Israel, and could see it with the natural eye, how unorderly it was, how that they had did wrong and they should be cursed. But what the bishop failed to see was that smitten Rock and that brass serpent (See?), making atonement. So, you see, when--when Balaam looked upon Israel, he saw a reason to curse them. See? But when God looked upon them, He saw the atonement. He said, "You're like a unicorn." Amen, "Who will put anything in your way? How godly, how righteous are thy tents." That's the way God saw them (See?), not the way man saw them, not the way the--the great dignitaries saw them, but the way He saw them.
And, O God, let that be my portion. Let that be my portion, for I have nothing within myself that I could claim. "Nothing in my hands I bring, just simply to Thy cross I cling." See, that's all we have.
20 Well, this is prayer meeting night, or not prayer meeting night, but this is kind of an evangelistic group here. We--we like to place the Word. And maybe I'd like to speak to you tonight for a few minutes. Many of you that would like to turn in the Scripture will... Well, do you know, the strange thing, that opened just exactly to it, to the text that I was going to read. Yes, sir. Strange. That was I Corinthians the 11th chapter, and some notes that I had wrote down here, somewhere in here, that I was thinking of, that if I can find it just now, on I Corinthians the--the--the 11th chapter. Right here it is, right here. Yes, sir.
Now, before we approach the Word, let's approach the Author (See?), Who is the Word, that we might ask for mercy and for His blessings while we study Him Who is the Word. Let us pray.
22 O Lord God, full of grace and mercy, Who has been willing through the age, after man had sinned and put that great chasm between him and Thee, one that he could not cross back by himself. He was absolutely, totally lost, without a way back. But the God of all--full of all grace, was willing to take a Substitute in his place, and brought him back. That has thrilled the hearts of all that's ever known of Thee, Lord, how that in Thy great love and grace You took a Substitute. And as we have just got through expressing it, Lord, it's on that Substitute that we rely on tonight, that One Who died instead of us sinners, that righteous One Who was taken upon Him our unrighteousness. It is in Him that we trust.
Now, we solemnly come to His Word with bowed hearts and heads in reverence and in respect and in gratefulness. And asking that You will send to us tonight, grace, by the Holy Spirit, and will give us the--the Bread of Life that we need to sustain us. You know exactly what we have need of, and we know that Thou has promised that if we would ask we shall receive.
24 We would remember tonight, Lord, all those that we know that's sick and needy, that the grace of God will be given to them in great abundance. And, Father, we pray for those who have fallen away, that this coming-on holiday will bring a remembrance to their heart, that from where they once was, and have fallen to the outward space of Your fellowship. God, we pray that they'll return, grant it, Lord, return to the congregation, to the--to the assembly of the Firstborn, return back to where there is grace and mercy, and love and kindness, and healing of our souls, our mind, and our bodies. Grant it, Lord. Bless the Word tonight. Strengthen us all, and give us of Thy blessings, as we ask it in Jesus' Name. Amen.
25 Now, for just a few moments I'd like to call your attentions to I Corinthians the 11th chapter, 23rd, 24th, and 25th verse.
For I have received of the Lord that which I also delivered unto you, That the Lord Jesus the same night in which he was betrayed took bread:
And when he had gave thanks, he brake it, and said, Take, and eat: this is my body, which is broken for You: this do in remembrance of me.
After the same manner also he took the cup, and when he had supped, saying, This cup is the new testament in my blood: this do you, as oft as you drink it in remembrance of me.
If I should call this just a little text that I'd like to refer to would be this: "Remembering The Lord." It sound like a night that--or a message that should been preached on last Sunday in the Lord's supper. But I want to approach it just in a little different angle for a few minutes, while we collect our--our thinkings together, and in worship of the Lord.
27 We could, of course, begin with the Lord's table, because that is a good place where we all remember. Remembering the Lord at His table, which, really, the text refers to that. But that's... Paul said that we are to take the cup and--and to drink the--the blood, and to eat the kosher bread in remembrance, to remember what He did for us. And as--as you do it, you don't want to make it just a common everyday thing; you want to really come, remembering the Lord. See? Remember that it was His grace and His mercy, and that alone, that gives you the only hope that you have. No matter what you would ever do, there is nothing nowhere that can anyways come near what Christ did for you.
28 I have had a sad experience this week, and yet a glorious one. I could call it: I buried a brother that once set with us here. And many of you know the occasion. It was our gracious Brother Rogers, Busty Rogers, as we called him, Everett. And Brother Banks Wood here, and Brother Sothmann, we went together to the funeral service.
And--and I took a ride in the snow, out to the old place where I had first buried him about twenty-five years ago. That time when I buried him, it was in muddy water, in the Name of the Lord Jesus Christ. As we passed over the old familiar bridge there at Totten's Ford, I was speaking to my brethren, and said, "One day when a certain denominational minister had had a--a big tent there, he said, 'That little radic' down there at the Baptist church, that's baptizing the people in the Name of Jesus Christ.' He said, 'If any person that even was baptized in such a way, would not even be welcome under my tent.'"
And at that time there happened to be some setting there that had been baptized in the Name of the Lord Jesus, and that was Brother George Wright and his family. They just... Only thing they could do was not go back.
31 So that day at the ford, oh, he just left his meeting and had come down to kinda watch on, and his congregation was standing there. And I got up to the place. And there'd been a rain up the hills up there, and the muddy fields had washed in; its little tributaries had got the Blue River very muddy. I walked out into the water, around waist deep. And one of the trustees, or deacons, rather, handed me the Bible, and I read where Peter said on the day of Pentecost, "Repent, every one of you, and to be baptized in the Name of Jesus Christ for remission of sin, and you shall receive the gift of the Holy Ghost."
32 It was that day that Georgie Carter was laying there, trying to raise her hands, only weighing about sixty-something pounds, been nine years and eight months in the bed without moving and had... Her people, the church that she belonged to, had said, if anybody even come to my meeting, they'd be excommunicated from their fellowship at the church. And so it was that same evening that she was instantly healed. And then she wanted to be baptized like the little Nail girl that was up there; that I'd saw a vision, and you know the story, her hands and legs drawed up; and went in the vision and the power of the Spirit, laid hands upon her, there she come out and was healed. And so she had belonged to the same. Well, it was a Methodist church. The Methodist minister, Brother Smith, was the one standing on the bank with his congregation.
And I started to baptizing in the Bible Christian baptism. And about the time I'd baptized five or six people, all of a sudden the lines and file broke up there on the hill. Here come that Methodist bunch right down with their good clothes on to be baptized in the Name of the Lord Jesus. And one by one, ladies in their pretty silk and summer garments, walking out through that mud, wiping the face with tears, and lipstick washing off, coming out to--to make--make confession and--and to be baptized...
34 And along with that bunch, a strong, wide-shouldered, kind of a GI haircut, wide face, sturdy-looking man walked out there with his pretty blue serge suit on. He said, "I too, have made my decision." That was Busty Rogers. Without anybody telling him anything... There I buried him in the Name of the Lord Jesus Christ upon his confession.
And last week I placed him under the sod at Milltown. And I spoke on the sermon of: "The Perfectness Of The Resurrection." I... As being a missionary and seeing the different gods and the philosophers; and that's all any of it is, outside of Christianity; it's only a philosophy, how that they believe this, that, or the other. But the great Creator Who made the creation... There has to be a Creator if there is a creation. And if there is a creation, it was made by a Creator. And any man's work reflects himself. He's a good carpenter, he does good work, he builds. And if he's a good mechanic, he does good work. He... Your work only reflects you. And God's creation reflects God. And God made everything for a purpose. And everything that serves God's purpose, when it dies, it has a resurrection. Tell me one thing.
36 And I brought in many things, like the flowers and the trees, and how the sun comes up of a morning, a little baby born, it's weak, its rays is. About ten o'clock it's a teenager. And at twelve o'clock she's shining in her strength in the beauty of woman or manhood. And about two o'clock in the afternoon, it's getting about like me. And then about five o'clock in the afternoon, it's getting like grandfather, she's laying down. And finally her rays cools off from the earth, and she dies. Is that the end of it? She served God's purpose. She raised up the botany life as she come across the earth. All the plants that would been dead the year before, she raised it up. Is that the end of her when she serves God's purpose? She rises again the next morning with a new life. Every tree does the same, everything else, everything, moon, stars, solar system, everything promises.
And if a man serves God's purpose, there is a resurrection just as sure as anything. Only thing you have to do, is, God's just waiting on time, just like He is now.
38 The great leaves that just falled off the tree, fallen off, rather. Where the red, green, blue, brown, all different colors across the great breast of the earth, where God's nature laid dead beneath it, God just planted out His bouquet. But He knows when He plants the bouquet, there's a resurrection in spring. The world has to just to come around its orbit until it gets back right with the sun again, and it will rise in funeral flowers.
Never say this is the end, no more than the leaves, brown on the tree, says it's the end. Only thing it has to do, is for the time cycle of God to float around until the time of the coming of the Son of God. And every living creature that ever died in Christ will come forth again in His Presence, remembering Him. Oh, when I come to the end of my road, I want to die in His Presence, remembering Him, that He is the Resurrection and Life. He is that One.
40 Then as we come to the table of the Lord... The table of the Lord, as I have explained it here before, is not... We believe what we call the communion is--is the taking of the bread. We place the wrong--the--the wrong... We place the right thing in the wrong place. It isn't the bread that matters; it isn't the wine that matters; that's the kosher bread and the wine. But the thing that is, is "communion" means "to talk to," and in talking to Him, remembering Him. I think it's the most blessed time of the services. See? Every hour of our life ought to be a communion.
41 A communion with the Lord is like an oasis in a desert. It's like the spring underneath the pond, that where the--the traveler coming by, stops and drinks the water till he quenches his thirst. That's remembering the Lord. Coming by the order of His table, where the passing pilgrim that--that's sojourning here on earth with us together, that we can come by His table, and there drink of His blessings and of His grace and of His Word in fellowship around His Word, until our thirsty souls are satisfied. And then we leave the place of worship, refreshed, satisfied, going out to meet the desert's problems again, the problems of life's desert. Yes, an oasis in the desert, refreshing ourselves, making ourselves a--when we're thirsty...
42 It should be with every worshipper. It satis... It is with every true worshipper, that they long to get together. There's something about the fellowship that--that's Divine; it's ordered of God, and it's holy, sacred. And the righteous are thirsting for it.
As David said, that his soul thirsted after God, like the hart did the water-brook. The little wounded deer that the hounds has jerked plugs from its side, and it's--it's jerked away from it. And it stands, panting, and watching, where... Smelling with its sense that God give it, it can smell water for miles. And it holds its little head in the air while it's bleeding its life out. And it knows, if it can ever get to that spring, that it can live. No one's going to catch him then. He can ever get to water, he'll fool every dog you could put after him, for he knows he--he's found the life-giving resource.
44 And when the church gets to that place, where that Christ means so much to us that we thirst to get in His Presence and with each other, it's a Life-giving Resource. No devil can ever overtake you. Even death itself is defeated there. Oh, what a hope, what a place. Refresh ourself. And in doing so, remembering Christ was the One Who made it possible for us. He was the One Who did these things for us; we must remember Him. For remember, once we was aliens and without God, Gentiles, carried away with dumb idols. But remember, Christ died not for the Jew, but for every creature of Adam's fallen race, Christ died.
45 As we come to remember Him at His spring of--of communion, it--it ought to remind us of back in the time like Israel was in their journeying. And they come, yet in the very line of duty, on their road from Egypt to their deliverance to the promised land, and in the very act of duty, got without water. And it was dry in every look, place, every--under every hill that where there should be springs, there was none. And they were perishing in the desert. And then there appeared the Rock, that Moses smote this Rock and from it came abundance of water. Every thirsty man, every thirsty woman, child, or even every thirsty beast, could drink abundance of water.
46 As John 3:16, the golden text of the Bible, said, "As God so loved the world, He gave His only begotten Son, that whosoever believeth (believeth, commune, remembers Him) shall not perish, but will have Eternal Life." Remembering Christ was our Rock that was smitten to save a perishing world, a perishing Gentile, a perishing Jew, a perishing world. Christ gave forth His Life in abundance, that everybody that hungered and thirst, said the prophet, "Lo, come ye to the fountain, buy of Me milk and honey without price." Come, because it's the communion; come in remembrance of the Lord.
47 I can think of the remembrance of the Lord again at a place of refreshment in the well called "Beerlahairoi," which means in the Hebrew tongue, "The well of Him that liveth and seeth me." Hagar, misunderstood, yet in the line of duty. Misunderstood, misjudged, and was cast out with no place to go with a perishing child, and the water was spent in the bottle. And the little fellow was crying. And only a mother's heart would know what it meant to hear that cry for water, as his little tongue swelling, and his lips parched, and her baby weakening every minute. Cast out, right in the line of duty, no place to go... She'd done without, herself, till she squeezed the last drop over his little parching lips. And then the bottle was dry, and she laid it down and started on. And the little fellow screaming for water, and he got weaker and weaker, and her only child.
48 No doubt but what her innocent heart would cry, "O God, what have I done? What have I done?" And she couldn't stand to see the child die in her arms, so she laid him under a bush. And she went about a bow shot, probably a hundred yards or more, and seen a little tree, and she knelt down and there she begin to weep. Well, she wondered, "Why?" If she did what was right, why should this thing come upon her? Many times we think that of our sickness and afflictions (See?), but maybe it's all done to show grace and mercy. And while she thought, she heard the little faint cries as they finally faded out for water.
She heard a Voice speak and said, "Why weepest thou? What are you weeping for?" And she looked up, and she saw the well bubbling up. What a spring of refreshment. Beerlahairoi, I may have that pronounced wrong. B-double-e-r-l-a-h-a-i-r-o-i, which means, "The well of Him that liveth and seeth me, Him that can't die, Melchizedek, El Shaddai, Him that liveth and seeth me, knowing my needs, He's remembered me." And there He remembered me as I remembered Him, and I know that He liveth and He has sprung up here in the desert this well."
51 Oh, could we apply that in a hour's message right now, of this day now, when the desert of the churches, the denominationals, and--and the--the--the social gospel preachers and the--the fashions of the world has creeped in, and has denominated and broke up...
And then to think that there stands again tonight, at the well of Him that liveth and seeth me... That's what remembering Christ should mean to the worshipper. Yes. Oh, she was misunderstood and was cast out. Jesus said, when He was here on the earth, "I am the living Waters; I am the Waters of Life."
53 And I want to draw another little thought here that comes to my mind. When Jesus was on trial, and for nothing else but mockery's sake, by... He was sent from Pilate to Herod. Now, Pilate didn't have to do that, and, you know, as he tried to wash his hands of it. But once on your hands, you got to make your decision. You can't push it on somebody else. It's you as an individual. But He--He was sent to Herod, just to--to make a--a mock of, because He had quite a name of being a miracle-worker and so forth, and He was an outcast from the church. So Pilate himself, he thought he'd just send Him over to Herod, and maybe it would kinda straighten up the old grudge they had, one against the other.
54 And so Jesus was taken across the streets and down through the places till He met the higher court, Herod. And when He met Herod, Herod was presented with his only opportunity. How foolish can a man be? If Herod would've only knew that standing before him was the fulfillment of every Hebrew prophet of the long and the thirst of the world, which stood before him, the fulfillment of every sage and prophet that had ever spoke... The opportunity to have satisfied his sinful heart with grace and mercy, what a foolish man he was.
And yet not as much foolish as a man today that's presented with the same thing, 'cause we've had two thousand more years of His teaching of His mercy. But what a--a foolish thing that Herod did when he stood before Him and never asked Him for grace and mercy, never asked for pardoning of sin. He never knew that standing... He--I--I don't think the man realized that standing before him was such a Person. Let's let that soak for a minute. Because the Man had not such a--a social name of great social standing, of--of different organizations and--and clubs, and so forth, that He was associated with. He didn't have a name like that.
56 But He did have, among the people that knowed the Bible and knowed the promise. And may I go a little stronger, them that were predestinated unto Eternal Life, they recognized it the moment He stood there.
But Herod hadn't learned this; he never knew it. What a sad thing. All that the prophets had spoke of for four thousand years, the fulfillment of the cry of the world stood before him. There in his presence stood all the fulfillment. And as I might say this again, we'd think he was a foolish man 'cause he made a foolish decision, for you notice he never asked Him for mercy. He asked Him to--to entertain him. "Oh, I have heard that you are a--a miracle-worker." He asked for entertainment in the stead of mercy.
That's what the world today is expressing back the very decision of Herod, when they see the miracle-working Christ doing the same thing today that He did then, and the only things they require, "Let me see you do such-and-such." You say Herod will have a bad place to stand? The man of this day will have a worse place to stand. Herod had four thousand years of experience of prophets and sages. We've got six thousand, with a super teaching to what they had then. Certainly. What a thing it did. So is it today, same thing.
59 What was the matter? Herod never give it a serious thought. He never stopped to consider. And that's the way with the people of today. They see this great something; it's got them startled, but they don't stop long enough. They're trying to listen to some rabbi or some theologian who explains It all away. And yet, how when I think of Jeffersonville, "How oft would I have hovered you as a hen would her brood, but you would not. How oft would I have gathered you? How oft would I have made this the--the garden spot where all nations would've flown into, but you would not." See, see?
Now, see what will Herod have to remember in that day? His grand opportunity, he turned it down. And yonder somewhere in the regions of the lost tonight, he's remembering what he did about it. It's too late now.
62 Don't let that be to us. This is our visitation time. Let's remember Christ, that He's the same yesterday, today, and forever: Hebrews 13:8. Don't wait till some regions yonder in the damned, in that dimension where you cannot go in the Presence of God, and your time is up on earth. In the nightmare of horror you'll remember you had your opportunity and turned it away. Let the young people take notice to this. Let all take notice to it.
Herod never give it a serious thought. His only occasion, he only asked to be entertained, and that Jesus might do some kind of a trick, take a rabbit out of the hat, or, you know, or something. He thought He might be, in otherwise, he regarded Him as like a magician. "We've heard that you can do pranks. Let me see you do your prank now."
64 And may I say this with reverence. But how many times has so-called ministers of this day, have said, "If there be a Holy Ghost, if you believe that the Holy Ghost is just like it was in the beginning, let me see you take old So-and-so over here, or this, oh, this man over here, this woman over here. I'll go get them. Let me see you perform it."
Do they realize that that's the same spirit (No, they don't) that said to Jesus, "If Thou be the Son of God, take, make these stones bread. If thou be the Son of God, tell us who hit you on the head. If you're a Prophet, tell us who hit you," with a rag around His face. Hit Him on the head, and then pass the stick one to another, said, "Tell us, if you're a Prophet. Tell us who hit you; we'll believe you then. Tell us, if you are the Son of God. We're honest in our hearts. If you're the Son of God, come down off the cross and well believe you're the Son of God."
66 I wonder if many people today, both men, women, young and old, are not standing in that same spot. And you're going to remember someday, that you were in His Presence at His Fountain; and wanted to see a prank, or wanted to see a trick or something another, "That'd make me believe it. Let me have a shiver over my back, and let me do this or that, I'll believe it." (See?) some sensation, it's plain idolatry. Let me--you...
67 You know, Jesus said in one case, He asked a question. I'd like to ask the church tonight this. Jesus said, "Why? Why? Why do you call Me your Lord, and do not the things that I commanded you to do? Why could you call Me Lord, and keep not My Word? Why can you call Me Lord, and deny the things that I have commanded you to preach and teach?" What is it? What does it? It's because that some denominational tradition stands between them and the Word. And anything that stands between you and God is an idol; it takes the place of God. Why call you "Lord"? "Lord" means "ownership." Lord owns the property. And if God owns me, if I am His, and He turned me around one day when I was on the wrong road, and called me for a purpose, what am I to do but to fulfill His desire, like He did Paul. How can I do anything else than to keep His Word? "Why do you call Me Lord?"
68 I want to call another fellow here, see about him. What about Judas, what he has to remember Him by? We're talking about remembering the Lord. Judas tonight and, all--until he's no more, will have to remember that he sold his birthrights. He sold Jesus for personal gain. We ridicule Judas--Judas. We say he was a filthy, a--a--a bad guy; he's not fit for no place or no society; he isn't fit for heaven. Why? He sold his Lord, after he had the opportunity to even to be a--a disciple, to be an apostle, the highest calling in the Bible, higher than a prophet. He had the opportunity to be a--an apostle, and sold that right for a personal gain. And now he has to remember that. That's how he remembers Jesus: personal gain.
And I wonder how many of them tonight yet stand in the pulpit, yet wear the robe of the choir, set in the seat of the deacon, or take the place of the treasurer, trustee, or whatever it might be, his position in church, or the minister at the pulpit, and still selling his opportunity for personal praise, "Doctor, Bishop So-and-so," for personal praise, personal gain.
70 A man said to me once, "I believe that's the Truth. But if I preached that, I'd be begging there in the street."
Do you remember the rich man and Lazarus, what their last and their eternal stage stood at? Though one had--was a beggar, and the other was a rich man, but the picture changed one day and both of them could remember. So people tonight holler about Judas that sold Him for personal gain, and so many do the same thing today, sell Him for personal gain.
The priest of them days will also remember they sold their chance of Him, their chance to become His servant, to become His disciple, to become a convert to Him. They sold it for green poisoned jealousy. They were jealous of His doctrine. Why, when He was yet twelve years old, He could stump them any way; and not recognize it, that that was Messiah. They could not do the things that He did. And they were afraid that they'd lose their prestige before the higher up-and-up people, and they sold their opportunity. And they're just as guilty as Herod was.
73 And the church member of today is the same. If they trusted in their denominations and so forth, them days, and was afraid of their--of their prestige, they'd be put out of the synagogues, what was it then? It was idolatry, worshipping a idol creed or a idol church religion, instead of accepting the living Word which was manifested before them.
And they saw the Word of God. The Bible said, "We have seen Him and handled Him." Human beings laid hands upon the literal, living, manifested Word of the living God, and let traditions and creeds stand between them, washing pots and pans, such a filthy thing stand between them and the living God. Yes.
What was it? They were prejudice. They were prejudice against His clean, clear-cut Gospel Scripture that He was teaching, the Father's Word. They were jealous of Him. They were prejudice of Him. And as long as they have a remembrance, which still in hell they'll remember, that's the way they'll be remembered. That's the way they'll have to remember Him.
You say, "Oh, that was the Pharisees."
76 There's a little lady that used to come to this church. Oh, I suppose maybe many of you know her; she lives down the street here a ways. She'd fallen away. And every time I see her, she runs to me, puts her hands in mine, "Brother Bill, pray for me. I'm backslid." Her husband is a... No, I think they live right up the street here. I've seen her in the Spirit, seen the Spirit of God on her, and her dancing, rejoicing, and so forth. And she'd fallen away. And she was laying recently in the hospital out here, dying, they thought. And she sent for me to come pray for her.
She and her husband was awfully good to my wife, when my wife, a little, ragged, dirty-faced girl, and they'd buy her a little dress or something now and then to help her to go to school. No matter how little it is, you can't do one thing for God 'less He remembers it. "Insomuch as you have done unto the least of these My little ones, you've done it unto Me." And like bread upon the water, it will return.
78 There laid this poor, little, backslidden woman, crying, holding my hand. And she... I said, "Well, sister, I'll--I'll have prayer for you."
And laying next bed to her was a woman laying there with her hands crossed, looking at me, and her young son setting by her side, of about twenty, a modern Ricky-looking...
So not no disregard if somebody's name should be Ricky, but I mean that's a... You never heard of a name like that in days gone by. Elvis and Ricky, and it's just a name of the age. You see? If you got a child named that, call it its middle name, so--or give it one.
81 Then when she setting there like that, and looked over, and I started to bow my head, and I seen her looking real... She said, "Wait a minute. Pull that curtain."
I said, "I was only going to offer prayer for the lady. Aren't--aren't you a--a believer?"
She said, "I'll tell you now; we are Methodists, and we want you to pull that curtain."
"Yes, ma'am," and I pulled the curtain.
See, the same thing--the same thing today, so prejudiced, how did she know what kind of a minister I was? I'd never seen the woman. But she probably had heard somebody say that I believed in the healing of the sick, and she'd been taught against it. She had nothing to do with it; she washed her hands of it. She was afraid it would fall on her. Don't worry; it won't (See?), no more than Pilate could wash it off of his hand.
85 Now, that isn't saying anything disgracefully about Methodist people; that was just one woman (See?); it might've just been her attitude. I don't think all the Methodist people would be like that, 'cause I've prayed for many of them. They've called me to pray for them, and signs and wonders has been done among them. It never is the people in them churches; it's the system that they're under, that's what does it. But she was one of them kind. What was it? Pure green-eyed poison, devil-possessed jealousy.
I could say something. At--at a certain meeting that was here in the city one time, and they asked why they didn't call me to it. But I'll just pass that because I'm at home. But--and however, no reason, it's just jealousy; it's creed; it's idolatry. How that we would like to throw our arms to everyone, but when you're shunned... Jesus wanted to do it. Remember, someday you've got to remember that. You've got to remember it.
87 Just reminds me of a testimony that was made recently. A minister, and was on an elevator going up over here at the Heyburn Building. And there were three men standing with this minister on the--on the elevator, and they--they didn't know this man was a minister; I suppose not. And as they went up, they all stopped at the eighth floor. And one man looked around to the minister, and said, "You know what? This is just about as close to heaven as we'll ever get."
"Well," the minister said, "I--I suppose you're right; I--I guess that you're right, for as long as we are trusting in our own merits, this is as close as we'll ever be." That's right. As long as you're trusting in what you do, you're remembering what you done. And I'm sure that most of us know we didn't do nothing, we're not deserving of anything. Said, "I suppose if we're trusting our own merits, this is as far as we'll ever get." Well, if we're trusting, that's as far as we'll get.
89 But, oh, I'd like to say something. If I can forget what I was and remember what He is, if I can remember Jesus, if I can remember Him at the cross, if I can remember what He done for me, and I can remember the hour that He washed away my sins, and give me the Holy Spirit to guide me, then I'm lifted above everything that holds this earth. I'm lifted above every earthly thing into heavenly places in Christ Jesus, where I can fellowship with Him. There in His Presence, forgetting what I ever was, forgetting all my sins and everything, because they're in the sea of forgetfulness, forgetting all my past, forgetting everything, and remember that He made me His Own by His Own death... He took my place. And I that had not a right to go nowhere but to hell, He took my place and lifted me from hell. He went there for me. And He lifted me up by His grace abundance, until now we are sons and daughters of God, and we set in heavenly places in Christ Jesus, ever rejoicing and remembering Him Who brought us safe thus far. And with pulsating faith in our souls pressing us, and by grace He'll take me on.
90 And by eyes of faith I see His Scripture fulfilled, "All that He foreknew, He has called; all that He called, He has justified; and all that He's justified, He has glorified." Therefore, with this in thought, I stand in the congregation of the people, where the Spirit of God is, and are lifted up to set in heavenly places in Christ Jesus, looking for the hour when this vile figure of human life that's got a mortal heartbeat, and which has to stop someday, when it'll be changed and given a heart of the Spirit that will beat throughout all ceaseless times beyond that, without sickness, without sorrow, without old age or anything.
91 Remember Jesus. When the barrel gets empty at the house, and there's no more flour, remember Jesus. When the doctor says there's no more chance, remember Jesus. When the Devil is tempting you; as we sing our dismissing song, "When temptations around us gather, breathe that holy Name in prayer."
Remembering Jesus, remembering that He will come again, the same Jesus that was taken away from us will return again in like manner as we have seen Him go into heaven. Remember, He will return for those of His Own.
Let us pray, and with our heads bowed. And with this little broke-up message still in your heart, would you like for Him to remember you now? If you would, just raise your hands, and some special thing, "Lord, remember me," as the poet said, "Remember me when tears are falling down."
94 Our most holy Father, we have immensely enjoyed the Presence of the Holy Spirit, as He has shown to us the Word of Life, as we remember the pit from which we were hewn and have now been taken from that pit and molded into God's children by the grace of Jesus Christ. I remember Him, when a doctor looked in my face and said, "It's just a few more minutes," I remember Jesus. I remember Jesus, when I was at the altar crying for mercy and my soul was burdened down; I remember the load that left me. Jesus took my burden. A few months ago, setting on the bench, looking down the scope of a gun barrel to shoot a target, and Satan must've thought, "This is my opportunity now." And when the gun exploded, and the barrel, and stock, and the gun action went every way, and the fire flew all around me, I tried to raise to my feet, and the blood spurting, I remember it was Jesus. When the doctor, when he looked and seen no harm done, he said, "The only thing I know, that the Lord must've been setting there too, protecting His servant; he should've been blown to pieces by such an explosion." O God, how we all remember those things.
95 We come to the Fountain filled with Blood, drawn from Emmanuel's veins. Bless us, Lord, together tonight. You know the--the objective and the motive behind every heart that raised a hand. You know the desire and the need. And as Your servant, Lord, I--I come with them, and--and up out of this Tabernacle now, by faith we go, beyond the clouds and the moon, and the stars and the--the milky white way, and now we arrive in the Presence of God. And stretched across in front of me is a golden altar; on there lays the Sacrifice that we remember, Jesus, that said, "Just ask the Father anything in My Name, I'll--I'll grant it." Let our faith fail not, Lord, but let us remember that we receive what we ask for, if we believe it, as we remember Jesus died to secure it for us and to make it sure.
96 Lord, we see that You're increasing our building. It was You that did this for us, that give us this extension of the church. And we know that it was You, Lord, Who gave us the church in the beginning. We pray that You'd bless these efforts.
Lord, we pray for our pastor, Brother Neville, Your humble and gracious, faithful servant. Is willing to minister in any capacity, no matter if it's in the back seat or if it's to clean up the church. Wherever You need Him, there he wants to be instrumental to serve You wherever You call. We pray, God, that--that You bless him.
God, this great trial that I've just come through, and these trustees who stood by me, and this church who--who prayed for me, and finally the victory came. O God, I pray for them. I remember them too, Lord, and I'm sure You do.
99 We remember the blessings that You have been to us. And we remember Your Word, that You would never leave us nor forsake us. Old age will have nothing to do it; You'll still remember us, when the world shall be no more and time shall fade into eternity. It is written something like this, "Could a mother forget her suckling babe? I can never forget you. You're engraved upon the palms of My hands," the nails that engraved our names. We know that You remember us, Lord.
And may You always be in our fondest memories, as our Saviour, our Healer, our King, our Lover, our Life, our Sunshine, our All-in-All, that inexhaustible fountain of God's grace and love to we fallen human beings of Adam's family. Grant it, Lord, as we commit ourselves to Thee now, going from the Tabernacle tonight, remembering Jesus. Amen.
101 Do you remember Him? You love Him? Now, I think in our little broken message we might say this: Paul said, "Whatever we do, we do in the Spirit." In all things we should remember Him. Let's not make a decision until we remember Him; let's do nothing, 'cause it'll be rashal. If the enemy smites one side of the cheek, let's remember what He did before we smite back. Let's remember His action. If there is a decision to be made, let's wait, remember what kind of a decision we think He would make, then let that be our decision. If we get hasty, let's remember He never was in a hurry. See? If we get over anxious, remember He dwells in eternity; time means nothing to Him. It's the motive and objective of our heart. Let's remember Him.
102 And let's remember Him now as we sing this song in the Spirit of His Presence, "I Love Him." If you dwell in love, you dwell in God, for God is love. They that dwell in God dwell in love. See? And love has no hatred. Love is not jealous. Love is not puffed up. Love doth not misbehave itself. Love is always gentle, sweet, forgiving, kind. No matter how bitter the others is, love remains itself. Love is the ultimate of grace. Love is God's ultimatum for us. After all other gifts and things has vanished, our prophecies, our tongues, our interpretations, all that we've ever done, or whatmore, when love comes in, it's the ultimate. It's above all, 'cause all other fails. It's--it's the Supreme Court's decision. It's the tie post. It's the North Star that keeps the seaman level. It's the compass that guides us. Love is the ultimate. Let's remember it as we sing, "I love Him."
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
I love Him, I love Him
Because He first... (I remember, He loved me and gave His Son.)
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
103 Now, while our sister chords this song for us [Brother Branham begins humming "I Love Him"--Ed.], let's just in sweetness of fellowship, while we're setting together in heavenly places in Christ, now take all, everything from your heart. And remember, God's Word says so. I am His servant. He's here. Then let's just shake hands with somebody, and say, "God bless you, brother." If you've got an enemy, rise up and go to him (See?), "God bless you, brother," as we sing the chorus again and shake hands with one another. Won't you do it now, real sweetly in the Spirit.
I love Him, (God bless...?...) love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation...
... Calvary's tree.
With our hands up now.
I love Him, I love Him
Because... (Remember Jesus.)
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
104 Now, let's bow our heads and hum it [Brother Branham begins humming "I Love Him"--Ed.] remembering Jesus. [Brother Branham continues humming]
... He first loved me. [Brother Branham continues humming]
On Calvary's tree."
Now, as our sister chords sweetly and softly, I'm going to ask our good brother... Brother Neville, you got a word you want to say? I'm going to ask Brother Collins back there, our loyal little brother here, one of the associates, if he would dismiss us in prayer. While we bow our heads, Brother Collins...