Laisser échapper la pression

Date: 63-0113M | La durée est de: 1 hour and 18 minutes | La traduction: Shp
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1 Bonjour, mes amis. J’ai parlé au pasteur il y a un instant. Cela... c’est un grand privilège de venir dans des petits havres de repos comme celui-ci. Vous avez envie, eh bien, de vous asseoir et de suivre les services pour… Et il y a quelque chose qui est lié à ce petit endroit. J’ai dit à mon fils, comme j’approchais du – du bâtiment il y a quelques instants, que vous avez vraiment l’air de… Je – j’aime simplement venir m’asseoir ici, écouter un moment, écouter simplement ce que les autres ont à dire. Nous, les ministres, nous savons que c’est un grand moment. Généralement, c’est toujours nous qui devons parler, quelqu’un d’autre nous écoute. Mais nous aimons aussi nous asseoir et écouter.
Vous avez un bon pasteur, cette belle petite chorale qu’il y a ici et les cantiques de Sion. L’endroit est vraiment beau, pas trop travaillé. C’est simplement – simplement ce que nous pouvons appeler un chez-soi. Et ainsi, je – j’aime vraiment bien cela. Que Dieu vous bénisse tous richement à jamais.
J’étais… Je me disais, en écoutant il y a un moment, cette petite soeur qui a accompli soixante-cinq ans au service du Seigneur, je me disais que j’étais assez âgé pour quitter, mais je ne pense pas l’être, après… Voici quelqu’une qui Le sert depuis soixante-cinq ans. Cela ferait environ, eh bien, je pense, environ douze, quatorze ans avant que je naisse, qu’elle Le servait. C’est donc merveilleux.

2 J’ai prêché l’autre jour à un service funèbre d’une vieille petite dame qui… d’environ quatre-vingt-cinq ans, qui est allée rencontrer le Seigneur. Et – et c’était une douce petite vieille dame. Vous qui avez lu l’histoire de ma vie, le… où j’avais demandé à un garçon de pouvoir me garder son costume, vous savez, ce… Il avait un de ces costumes de petits scouts, et j’avais toujours désiré être un soldat. Je lui avais donc demandé de pouvoir me le garder après qu’il l’aurait usé, et il avait promis de le faire. Et quand je suis allé le retirer, il n’en restait qu’une jambe. Et c’était… J’ai porté cette jambe à l’école, et c’était… C’est sa mère qui vient de mourir, madame Ford. Et ils sont parmi les plus pauvres des pauvres. Lloyd, le garçon qui m’avait donné la jambe, nous avons été des copains depuis notre enfance. Il est un tout petit peu plus âgé que moi.
Et je lui ai dit : «Llyod, d’où aimerais-tu que je tire le – le texte pour les funérailles?»
Et il a dit : «Frère Billy, a-t-il dit, juste… je – je voudrais que tu parles, si c’est la volonté du Seigneur, de ceci, d’une assurance comme quoi ma mère reviendra.»

3 J’ai dit : «Très bien.» J’ai alors tiré là dans Job le texte : «Si l’homme meurt, va-t-il revivre?» Et j’ai tiré cela, je crois, de Job 14, je pense que c’est ça, et comment Job a vu la… comment la flore, quand elle mourait, elle revivait. J’ai donc pris le sujet selon lequel il y a une résurrection pour tout ce qui vit, d’après la volonté et le but de Dieu.

4 Et en tant que missionnaire et voyageant à travers le monde, j’ai eu le privilège de voir beaucoup de divinités et leurs… les conceptions de la vie, et ce que les gens adorent. Et dans tout cela, tout ce qu’il en est, c’est de la philosophie, en dehors du christianisme. C’est le christianisme qui a la vérité.

5 Eh bien, nous savons que ce monde est une création. Et avant qu’il y ait une création, il a dû y avoir un Créateur de cette création. Et ce Créateur s’exprime dans la création. Même si nous n’avions pas de Bible, nous saurions toujours que – qu’il – que la vérité… telle que nous la connaissons. Seule cette Bible place la chose dans l’ordre.

6 Bien, en créant la création, Dieu S’exprime là dans la création. Et Il n’est pas simplement un Dieu d’un bon magasin Sears and Roebuck Harmony House. Il – Il – Il est un Dieu de variétés. Il crée les grandes collines et les petites collines, Il crée les déserts et – et Il crée les lacs; et Il crée les petits arbres et les gros arbres, et les fleurs blanches et les fleurs rouges, et Il crée les hommes de petite taille et les hommes de grande taille, et les femmes rousses, et les femmes aux cheveux noirs. Et Il – Il nous crée différents, en effet Il nous veut ainsi. Il est un Dieu de variétés. Il fait certains riches et d’autres pauvres, d’autres entre les deux. Mais nous avons un lieu où servir Dieu, et c’est dans ce lieu où Il nous a placés, si seulement nous pouvons demeurer dans ce lieu là.
Eh bien, j’ai dit : «Eh bien, si vous observez la petite fleur…» C’était vers octobre. J’ai dit : «Les semences… Nous avons maintenant la gelée, et – et cela a fait tomber les petites semences, et la – la fleur est morte, et les petites semences sont retournées à la terre. Et Dieu tient un service funèbre par ces pluies d’automne, ces énormes gouttes de larmes qui tombent du ciel, et qui les enterrent.»

7 «Et en traversant le Kentucky, ai-je dit l’autre jour, sur le grand cercueil qui sont les montagnes, Il a déposé Ses bouquets par terre, des feuilles rouges, brunes et jaunes. Vous voyez? Et Il est en deuil à cause des petites semences qui sont mortes, et Il les a ensevelies sous la terre. Et Il sait qu’aussi certainement que cette terre reprendra sa position par rapport au soleil, chacune d’elles ressuscitera. Mais, ce n’est qu’un cycle par lequel Il nous montre qu’il y a une résurrection.»

8 Eh bien, observons le soleil. Il naît le matin, et c’est un petit bébé quand il naît. Il est censé réchauffer la terre et ressusciter les semences qui sont en terre. Et, aux environs de huit heures, il commence l’école primaire, et aux environs de dix ou onze heures, il termine. Il a reçu son instruction. A midi, il a l’âge moyen, à quatorze heures, il atteint mon âge; à dix-sept heures, c’est l’âge de mon père et de la soeur qui est là au fond. Et un moment après, cette glorieuse créature qui a éclairé la terre et qui a accompli le dessein de Dieu, meurt là à l’ouest. Est-ce sa fin? Il renaît, se lève de nouveau le lendemain matin. Voyez-vous? Dieu dans chaque phase… J’ai pris à peu près vingt minutes pour simplement expliquer ce que tout ça était.

9 Eh bien, vous voyez donc, j’ai dit : «Pourquoi?» Il y a une exigence. Et j’aime le dire dans une église comme celle-ci. Il y a une exigence qui est requise là. Peu importe combien la semence est belle, elle doit être fécondée. Elle doit être fécondée. Et si elle accomplit effectivement le dessein de Dieu, elle est fécondée, parce que l’abeille emporte le pollen et ainsi de suite.

10 Eh bien, nous voyons que le petit lis (qu’en est-il du petit lis...) s’il est beau, il a travaillé jour et nuit, a ouvert son petit être, et l’abeille est passée par là et a pris son miel aussi librement que possible. Lui n’a dit mot à ce sujet. Et il a simplement travaillé pour offrir son miel.
Et puis, le passant contemple sa beauté. Il se garde beau afin que le passant le voie, admire sa beauté. Celui qui désire son parfum le hume gratuitement, et le petit lis travaille simplement pour se rendre utile sur la terre, voyez-vous, pour produire du miel, la beauté, la fleur des funérailles, tout ce pourquoi elle est utilisée, la fleur de mariage, tout. Il offre son petit être gratuitement. Et quand il meurt, il ressuscite l’année suivante. Voyez-vous? Tout…
Qu’en serait-il si le petit épis de maïs disait : «Je regrette vraiment de n’avoir rien de beau. Et je n’ai pas eu de miel à offrir, et je n’ai pas eu ceci, cela.»
Mais alors le Maître de tous dirait : «Oui, mais le petit lis ne peut pas lui aussi faire des cornflakes.» Voyez-vous? Tous nous – tous nous avons quelque chose que nous faisons. Nous servons Dieu dans la catégorie où Il nous a placés, et cela revient simplement au même.

11 Eh bien, avec tout cela, j’ai dit : «Voici la petite mère Ford, telle que je la connais. Bien des fois, elle a lavé mon petit visage sale quand j’étais un petit garçon. Ils étaient pauvres au possible. Mais elle est née femme, une fille charmante. Et si elle est née femme, c’était dans le but d’avoir un époux, un mari. Et elle en a eu un. Elle a été une compagne fidèle. Elle a vécu avec son mari quelques soixante ans ou plus, à ma connaissance, et il n’est pas né de femme plus fidèle, une vraie dame.
Etant donné que c’est ce qu’elle était dans le mariage, ils ont dû avoir des enfants. Voici ses enfants, gentils et charmants, assis ici, tout aussi aimables. Vous les enfants, vous n’auriez jamais désiré avoir une meilleure mère. En auriez-vous plutôt désiré une? Voyez-vous? Non. Son mari ne pouvait pas désirer avoir une meilleure femme.»
J’ai dit : «Elle était pauvre au possible, mais jamais personne n’a pu venir à sa porte, ni n’a été dans le besoin, sans qu’elle ne lui fasse des dons. Les voisins, peu importe les ennuis qu’ils avaient, madame Ford était là pour les aider, à n’importe quelle heure de la nuit, pour faire tout ce qu’elle pouvait, avec tout ce qu’elle avait pour le faire.»
Et j’ai dit : «Par-dessus tout cela, j’ai eu une fois le privilège de voir cette semence être fécondée par le Saint-Esprit. Elle était née de nouveau de l’Esprit de Dieu.» J’ai dit : «Eh bien, nous allons dans peu de temps la planter dans la terre. Et qui pourrait, dans son bon sens, se lever et dire qu’elle ne ressuscitera pas?»

12 «Si vous dites qu’elle ne ressuscitera pas, c’est que la feuille n’est pas descendue au bas de l’arbre avant la tombée de la gelée pour se cacher, afin de revenir l’année suivante avec une nouvelle feuille. Si cette disposition – cette sève restait là dans cet arbre jusqu’au gel et que le gel l’atteignait, cela tuerait ce germe de vie qui est dans la sève, et l’arbre mourrait. Mais une intelligence… Il n’a rien en soi. C’est comme ça avec la flore ; elle n’a pas d’intelligence. Mais quelque chose la contrôle. Avant que nous ayons la gelée ou quoi que ce soit dans cette contrée, là en août, les feuilles tombent de l’arbre parce que la sève quitte l’arbre et descend dans les racines, là sous la terre pour cacher ce germe de vie, afin de le ramener l’année suivante avec quelques fruits de plus.»
Qu’est-ce qui fait cela? Quelle intelligence? Cette même intelligence contrôle notre vie. C’est vrai. Et avant que nous disions qu’il n’y a pas de résurrection pour une petite sainte comme celle qui est là, qui a servi Dieu pendant soixante-cinq ans… Je pensais à elle pendant qu’elle était couchée là dans cette tente à oxygène, et son souffle devenant… Oh! la la! un de ces jours, elle ressuscitera. Forcément. C’est tout.

13 Avant que vous disiez qu’elle ne le pourra pas, vous devez dire qu’il n’existe pas de printemps, qu’il n’y a pas de résurrection des semences, qu’il n’y a ni été ni hiver, qu’il n’y a ni lever ni coucher du soleil, que la Parole de Dieu n’existe pas. Eh bien, ce serait une folie de dire une chose pareille. Il y a une résurrection. Et aussi certain que le monde tourne encore autour – autour de ce soleil, ce soleil va – a reçu de Dieu l’ordre de ressusciter cette flore à l’aide de ses rayons réchauffants.

14 Et aussitôt que le temps s’écoulera jusqu’à ce que s’ouvre de nouveau l’éternité, et que ce F-i-l-s [S-o-n en anglais, ce qui veut dire fils – N.D.T.] se lèvera là, quelque chose se produira. Toutes les vies qui auront été fécondées en Lui ressusciteront. Absolument; il n’y a pas moyen de – d’autre moyen. Voyez-vous le Créateur s’exprimant dans Sa création? Voyez-vous? C’est ce que Dieu fait. Et nous pourrions faire attention… Quiconque a – quiconque a un peu d’intelligence peut faire attention et voir que Dieu… que le christianisme est basé sur la résurrection.
Maintenant, si je laissais tomber cette pièce sur le plancher (Eh bien, elle est tombée.), et que je venais ici et ramassais quelque chose de semblable… Eh bien, ça, ce n’est pas la résurrection; c’est un remplacement. Mais la résurrection, c’est ramener cette même chose. Et nous revenons juste…
Plantez un grain de maïs jaune, et il donnera un autre grain de maïs jaune. Voyez-vous? Et nous mourons en tant que mortels et nous ressuscitons immortels, et aujourd’hui nous en sommes très heureux. Et c’est… Toute notre espérance chrétienne repose juste là-dessus, rien que là-dessus. Ainsi, de nous rassembler et de nous asseoir dans les lieux célestes comme ceci en Christ Jésus, quel privilège pour nous tous, jeunes et vieux, en attendant ce moment où Jésus viendra.
Eh bien, avec une assemblée comme celle-ci, et l’Esprit de Dieu étant ici tel qu’Il l’est, je pourrais continuer de parler jusqu’à neuf heures ce soir, ou à huit heures, le temps qu’on met là à l’église Foursquare, et on se sent toujours bien. Mais nous devons arrêter. On ne veut pas que les haricots brûlent et ainsi de suite, vous savez. Nous venons donc juste pour un petit temps de communion, et être ici… Cet aimable frère et son petit troupeau qui restent ici… Et nous venons pour un partage sous votre arbre, pour nous asseoir et communier un peu.
Lisons donc un passage dans la Bible de Dieu, et prenons juste un petit texte, et – et parlons pendant quelques instants. Avant de le faire, inclinons simplement la tête et parlons à l’Auteur de Ceci avant de nous approcher de Sa Parole.
Je me demande maintenant, pendant que nos têtes sont inclinées, s’il y a une requête quelque part dans le bâtiment, que vous aimeriez mentionner devant Dieu. Gardez-la dans votre coeur et levez simplement la main pendant un moment. Que Dieu vous bénisse.
Notre Père céleste, nous sommes vraiment un peuple privilégié ce matin en dépit de ce monde en mutation. Et nous tenons la main du Dieu immuable. Les temps peuvent changer, mais Lui est éternel. Et Sa Parole est dans notre coeur. C’est le – l’Absolu pour nos – pour nos pensées. Elles reviennent toujours à cette Parole. Peu importe où nous nous égarons, on revient à la Parole. C’est le poteau d’attache de notre coeur. Nous sommes si reconnaissants de cela.
Seigneur, je Te remercie pour ce petit endroit ici sur la 44e Rue, où l’Evangile est prêché, c’est un endroit consacré, et les gens sont consacrés à Toi. Et je prie que Tes bénédictions soient à jamais sur eux. Fais-les croître dans la connaissance de Ta Parole et de Ta grâce, et accorde-leur les bonnes choses de la vie, et la Vie Eternelle, afin que nous puissions tous nous retrouver un de ces jours à un seul endroit, ce glorieux ciel, quand Jésus viendra.
Bénis-nous tous ensemble, Père, et regarde ces mains qui se sont levées il y a quelques instants. Là derrière cette main, il y avait une – une raison pour laquelle elle s’est levée. Ô Dieu, je Te prie, Toi qui connais les secrets des coeurs, d’accorder cette requête. J’offre ma prière avec la leur sur Ton autel aujourd’hui. Réponds, ô Père, je prie au Nom de Jésus.
Bénis les paroles ce matin, que la méditation de nos coeurs Te soit agréable. Bénis Ta Parole pendant que nous La lirons, et les petites notes relatives aux contextes pour nous permettre d’expliquer cela; Sois avec nous et aide-nous afin que quand nous partirons d’ici, nous puissions nous en aller, en disant : «Nos coeurs brûlaient au-dedans de nous, parce que nous avons entendu les cantiques de Sion, le témoignage du coeur, et que la Parole a rendu témoignage à notre coeur.» Au Nom de Jésus. Amen.

15 Eh bien, bien des fois, j’aime simplement parler, mais je ne saurais trop m’attarder, étant donné qu’il est presque douze heures maintenant. Et nous allons donc peut-être vous demander d’ouvrir les Ecritures, si vous voulez lire les Ecritures avec nous, ou les noter. Premièrement, j’aimerais lire dans le livre des Proverbes. Je crois avoir ouvert cela ce matin dans… quand je faisais des recherches; Proverbes, chapitre 18, verset 10 : Le Nom de l’Eternel est une tour forte. Le juste s’y réfugie, et se trouve en sûreté.

16 Et ensuite dans Esaïe 32.2, j’aimerais lire ceci, 32.1 et 2 : Alors le roi régnera selon la justice, Et un prince gouvernera avec droiture. Chacun sera comme un abri contre le vent, Et un refuge contre la tempête, Comme des courants d’eau dans un lieu desséché, Comme l’ombre d’un grand rocher dans une terre altérée.

17 Eh bien, ceci pourrait sembler être un texte très étrange pour en tirer ma conclusion, mais ce matin j’aimerais prendre comme sujet : «Laisser échapper la pression.» Cela semble vraiment approprié en ce jour. Et, hier soir, je suis resté éveillé jusque tard, et – et à peu près vers… entre minuit et une heure, je – j’essayais de me dire : «Eh bien, où vais-je aller le matin?»
Et on m’a dit : «Là, à cette petite église de Dieu dont tu te disais qu’elle est si jolie, là à la 44e Rue, ou Avenue, peu importe ce que c’est.»
Et j’ai dit : «Oh! je m’en souviens.» Et je me suis dit : «Que vais-je dire?» J’ai dit : «Eh bien, je me rappelle donc que la dernière fois que j’y étais, je m’étais senti vraiment chez moi, tout à fait à l’aise.» Et je me suis dit que ce serait un bon texte, simplement «Laisser échapper la pression». C’est une bonne chose que de parler de cela depuis cette petite église ce matin. Et maintenant… Et j’ai inscrit ici quelques petits commentaires sur lesquels je pourrais faire des observations pendant quelques instants.

18 Et nous vivons dans un temps de beaucoup de pression. Partout, tout le monde est si tendu. Et là dans la rue, avec des bolides, les gens n’arrivent pas à attendre le feu rouge, et vous savez, et ils vous écraseraient. Et la… Ils ne vont nulle part, pas du tout, ils ne vont nulle part. Ils sont... ils roulent à vive allure autant qu’ils le peuvent; mais rouler vraiment à vive allure vers l’éternité, c’est tout ce que je sais. Et ils… Et il vous faut regarder par ici par là, et – et puis c’est… J’ai dit : «Il y a tout simplement deux catégories de gens, et ce sont les vivants et les morts. Et ceux qui ne sont pas rapides meurent vite.» Et je – je… Oh! la la! c’est dangereux de se croire en sécurité en ces jours. On se précipite, on court…

19 La colère? Oh! la la! Hier, une pauvre petite dame que je… Frère Williams, je pense, n’avait pas fait attention à cela, mais nous allions prendre un tournant. Nous étions allés voir son fils, mais celui-ci n’était pas à la maison, et nous prenions un tournant. Et une petite dame, nous devons tolérer cela, elle a fait, disons, un petit rien. Et, en fait, n’importe qui aurait été assez gentleman pour dire : «Ça va, madame, allez-y. C’est en ordre.»
Mais il s’est fait qu’en virant à gauche, elle a viré devant quelqu’un, et, oh! la la! L’autre était tout rouge, et sa vitre était baissée, et il a dit n’importe quoi. Evidemment, la petite dame n’a fait que relever ses cheveux et a continué. Et lui – et lui s’est arrêté juste au milieu de la chaussée, nous retardant presque, vous voyez, juste pour pouvoir l’engueuler.
Oh! c’est un temps terrible, n’est-ce pas? Où allons-nous? Pourquoi cet empressement? Autrefois on montait un vieux cheval, et pour amorcer un virage, on prenait son temps, et on vivait beaucoup plus longtemps. Et nous sommes le même genre de personnes. Et nous y voilà, oh, tout le monde fume la cigarette et lance juste – juste des bouffées de cela.
A Tucson, la semaine passée, j’ai vu des enfants debout, une petite fille, une jolie petite créature, elle avait environ dix ans, et elle… Ses petites joues étaient toutes creuses et elle avait une petite chevelure noire, une petite créature d’apparence charmante, et elle se tenait là fumant la cigarette avant d’entrer. Eh bien, cette enfant avait probablement la tuberculose, et elle était peut-être à bout de nerfs. Eh bien, il se peut que la raison pour laquelle elle fumait, c’est parce que sa mère fumait avant elle.

20 Cette année, j’ai assisté à l’Exposition Internationale, et je pense que la plupart d’entre vous y étaient. Et une chose m’a plu : c’était la salle de médecine. Et pendant qu’ils étaient là démontrant les conséquences du fait de fumer, ils ont reçu ce Yul Brynner, et – et vous qui étiez là, vous avez vu cela. Et ils ont pris une cigarette et l’ont mise sur quelque chose, puis ils en ont aspiré la fumée et l’ont rejetée sur un morceau de marbre blanc, puis ils ont essuyé cette nicotine avec un morceau de coton, et ils ont mis cela sur le dos d’un rat. Et sept jours après, le cancer s’était tellement développé que le rat n’arrivait même pas à marcher, à cause de la nicotine d’une seule cigarette. Alors le médecin a dit : «Vous entendez les gens dire…» Puis il a tourné cela dans l’autre sens, puis il a placé cela sous un tube et a fait que cette fumée soit comprimée à l’aide de produits chimiques, et il y avait là une traînée blanche. Il a dit : «Voilà le cancer.»

21 Puis il a dit : «Vous entendez les gens dire : ‘Je n’inhale pas cela.’» Il a ensuite mis cela dans la bouche comme cela, il a tiré et ensuite il a mis sa bouche sur ce tube et a soufflé, et il n’y en avait presque pas du tout dedans. Il a dit : «Où est le cancer? Dans ma bouche. J’avale cela par la gorge, cela atteint la gorge et entre dans l’estomac.» Et c’était donc la meilleure du monde; souvenez-vous-en!

22 Et ensuite, il a continué, disant : «Les gens disent : ‘Utilisez un cigarette filtre.’ Vous avez entendu parler de cela, ‘La fumée d’un homme qui réfléchit’, ou un genre de slogan…» Si seulement un homme réfléchit, il ne fumera pas du tout. C’est vrai. Ce n’est pas un homme qui réfléchit; c’est un homme qui ne réfléchit pas qui en fumerait une.

23 Mais il a sorti ce tabac, il a dit : «Eh bien, voyez-vous, tout ce qu’il en est, c’est que le public n’est pas assez intelligent pour comprendre ceci, et pourtant, nous sommes censés être des gens intelligents.» Il a dit : «Si vous n’avez pas de fumée, vous n’aurez pas de résultats. Et quand vous avez la fumée, il vous faut du goudron pour obtenir la fumée. Et c’est dans le goudron qu’il y a le cancer. Il faut du goudron pour avoir la fumée.» Et il a dit : «Tout ce qu’il y a, c’est qu’en fumant les cigarettes filtres, vous en fumez à peu près trois pour avoir la satisfaction que procure une seule dans l’autre cas. Vous recevez en vous exactement la même quantité.» Voyez-vous? Et le public américain veut qu’on lui offre un tour de théâtre. Il en a eu. C’est vrai. Vous y êtes. Vous voyez?
Et puis, quand ils ont sorti ce rat (ils en sortaient un tous les sept jours), c’était le spectacle le plus affreux que j’aie jamais vu. Un homme costaud était assis à côté de moi, il a dit : «Fichtre!» Ruisselant de sueur, il a dit : «Très frappant!»
J’ai dit : «Fumez-vous?»
Il a dit : «Oui.»

24 Vous y êtes! Et pourtant, on continue tout bonnement à le faire. Pourquoi? Nous cherchons quelque chose qui apaise, un anesthésique. Il apparaît que le monde va à une allure folle, et je ne sais pas ce que les gens – ce que les gens veulent. Mais il existe un anesthésique chrétien. Il existe... L’opium vient du lis. Et l’église chrétienne possède de l’opium, et cela vient du Lis de la Vallée. Cela calme toutes les douleurs; c’est alors complètement fini. Quand vous prenez cet opium chrétien, ce vin doux qu’ils ont pris le jour de la Pentecôte, voyez-vous, cela calme définitivement les douleurs.

25 Les gens sont si arrogants, et ils font des choses qu’ils ne devraient pas faire. Au lieu de chercher à se débarrasser de la cause, ils ajoutent une autre cause à cela. On ne trouvera jamais de solution tant qu’on ne se débarrassera pas de la cause. L’homme cherche à trouver quelque chose pour se satisfaire, et il a soif. Et c’est Dieu qui a fait qu’il ait soif. C’est… Il a été fait ainsi. Mais Dieu l’a fait ainsi afin qu’il ait soif de Lui. Mais lui cherche à satisfaire cela, et il étouffe en lui cet appel sacré avec les choses du monde. Mais nous n’avons pas le droit de faire cela.
Eh bien, les gens s’y prennent cependant toujours mal. Au lieu d’en arriver à se débarrasser de la cause, nous cherchons à étouffer cela avec des anesthésiques, la liqueur, le tabac, et en y ajoutant davantage, entassant cela tout le temps, rendant la situation pire. Et tout ceci ne fait qu’augmenter la pression. Cela ne fait qu’empirer la situation constamment.

26 Récemment, je... Tous vous... Vous savez tous peut-être que je fais beaucoup le tir à la cible, et la chasse. C’est là mon passe-temps favori. Un frère avait envoyé-là à – à la Société Weatherby et avait reçu un Winchester modèle 70, comme le savent certains de mes partenaires de chasse qui sont ici, et il avait été réalésé en un Weatherby Magnum 257. Art Wilson a offert le fusil à Billy Paul, mais ce dernier est gaucher. Et cela avait une culasse mobile, et il me l’a simplement donné.
Un autre homme est venu me dire : «Vous n’avez pas de Weatherby, alors je vais le réaléser pour vous.»
Et en le réalésant (Ils n’ont pas voulu reconnaître cela.), mais ils ne l’ont pas réalésé correctement. Et ce qu’ils ont fait, là... Vous qui chargez manuellement, vous le savez, là derrière le segment, il y avait une pression. Et quand j’ai tiré quelques cartouches avec, j’ai remarqué que l’amorce se rétractait, et il y avait une pression.

27 Eh bien, je savais que la cartouche était certainement chargée en dessous du maximum, cela ne pouvait donc pas causer de pression. Mais il n’avait pas été correctement alésé. Et la cartouche suivante qui y était (N’eût été Dieu, j’aurais perdu la vie.), cela... Tout le fusil a explosé et cela a soufflé les arbres tout autour de moi, comme cela. Et une flamme rouge d’à peu près la hauteur de ce bâtiment a jailli, et le canon du fusil est allé à une distance de cinquante yards [45,72 m – N.D.T.], et la culasse mobile est passée par-dessus ma tête comme ceci; la lunette a explosé tout près de mes yeux, et – et je n’avais rien dans ma main : il s’était simplement désintégré, le sang giclait de moi, tout autour, en tous sens. Et nous étions bien loin d’un médecin.
Et ils m’ont vu, mais je ne pouvais ni parler ni faire quoi que ce soit. Et j’ai retenu le sang comme ceci, puis j’ai relâché, et ça a giclé partout sur un frère qui se tenait là. Puis j’ai remis cela. J’ai dit dans mon coeur: «Seigneur Jésus, Tu es mon Guérisseur.» J’ai baissé la main et ça s’est arrêté.

28 Quel était donc le problème? L’arme a tenté de tirer une cartouche qui n’était pas vraiment fabriquée pour elle. Si dès la fabrication l’arme était un Weatherby Magnum, elle n’aurait pas explosé. Mais on avait essayé de mettre une cartouche Weatherby dans un fusil Winchester, et cela ne marchera pas. Et voyez les cicatrices ici autour et sur mes yeux. Et quinze éclats sont entrés sous l’oeil.
Quand le médecin a examiné mon oeil, il a répondu par écrit à mon ami médecin, disant : «Tout ce que je sais, c’est que Dieu était assis sur ce banc-là avec Son serviteur. Cet homme qui était avec lui, là sur le… considérant les tirs, ne l’aurait retrouvé que de la taille jusqu’en bas.» Il a dit : «Dieu était avec lui.» Et il a dit que le tir… les – les débris de l’amorce, cela a directement logé quinze éclats derrière le globe oculaire, juste sous l’oeil. Cela ne m’a pas dérangé du tout. Deux ou trois jours après que mon visage avait ressemblé à un hamburger, c’était complètement fini, terminé.

29 Mais qu’était-ce? C’était à cause d’une cartouche qui était dans une arme pour laquelle elle n’était pas faite. Cela avait produit une pression. Eh bien, si l’arme avait été faite …Et dans ce magasin où la cartouche était passée du chargeur au canon (la chambre), si cette chambre avait été correctement faite, elle aurait retenu la pression. Et la pression s’échappe par ici. Mais au lieu de cela, elle a été déchargée. Et cette pression (la cartouche n’étant pas plus solide que le canon), la pression s’est évidemment dégagée par ici, cela a expulsé l’arme vers l’arrière comme ceci.
Le canon n’était pas endommagé… il a été simplement éjecté. Cela a évidemment mis en pièces tout ce qui était tout autour. Cela ne pouvait plus être utilisé. Mais la douille était toujours dans le canon. Voyez-vous, ce n’était pas… Eh bien, si c’était une cartouche surchargée, elle aurait fait éclater le canon. Mais, voyez-vous, ici dans la partie la plus épaisse de l’arme, cela s’est expulsé vers l’arrière comme ceci et a fait sauter le cran. Eh bien, si, dès la fabrication, c’était une Weatherby Magnum, elle n’aurait jamais explosé. On a essayé de mettre une chose dans quelque chose de non approprié.

30 Il en est ainsi de l’expérience chrétienne. Quand les gens essayent d’introduire une confession froide et formaliste dans une puissante église de Pentecôte, ou plutôt une expérience de Pentecôte, à moins que cette personne soit bien bâtie de bout en bout, bien bâtie, née de nouveau, régénérée… Les imitateurs qu’on a aujourd’hui vont çà et là, essayant d’imiter le parler en langues, essayant d’imiter ceci, d’imiter cela, les dons, s’ils ne sont pas nés de nouveau… Mais s’ils sont nés de nouveau, ils ne peuvent pas imiter, parce qu’ils ont été conçus en vue de ces choses. Ils sont nés, régénérés, remodelés, non pas juste quelque chose de rafistolé, quelqu’un qui a serré la main, qui a eu une émotion, qui a dansé quelques moments autour de l’autel, et qui dit : «Je l’ai.» C’est quelqu’un qui a été remodelé, régénéré, et il est devenu une nouvelle créature. Il peut alors supporter la pression de la persécution et ce qui accompagne la vie spirituelle.
Il faut que vous soyez fait et bâti pour supporter la pression. Et une seule chose peut le faire : c’est lorsque vous entrez dans la maison de moulage de Dieu, et que vous êtes mis en pièces et refait en tant qu’une nouvelle créature en Christ Jésus .

31 Je me suis rendu récemment à un hôpital, ici, et je – j’allais pour prier pour une dame. Et une autre dame était couchée à côté d’elle. Et j’ai remarqué qu’elle était toute nerveuse, je me suis mis à parler de la prière. Et j’ai dit : «Bien, inclinons la tête pour la prière.» J’ai dit…
Elle a dit : «Un instant, un instant, un instant. Tirez ce rideau.»
J’ai dit : «Oui, madame.» J’ai dit : «J’allais simplement prier.»
Et elle a dit : «Tirez ce rideau.»
J’ai dit : «Oui, madame. N’êtes-vous pas une croyante?»
Et elle a dit : «Nous sommes des méthodistes.»
J’ai dit : «Eh bien, cela montre exactement ce que j’ai demandé.» Vous voyez? Vous voyez? Vous voyez? Oui. Je ne lui ai jamais demandé à quelle loge elle appartenait. Je lui ai demandé si elle était une croyante. Voyez-vous?

32 Toutes ces loges nous embrouillent complètement. On ne peut pas adhérer à l’Eglise. Cela n’existe pas. On peut adhérer à une loge. On peut adhérer à la loge méthodiste, à la loge baptiste, à la loge presbytérienne, ou à la loge pentecôtiste; mais on ne peut pas adhérer à l’Eglise. On doit naître. C’est pour cela que vous avez tant d’explosions. Voyez-vous? Il y a une pression, et vous y êtes. Vous dites : «Eh bien, je suis membre de cette…» Mais cela ne veut pas dire… Vous devez vous tenir sur une base pour supporter la pression de ce jour. Quand Dieu met Sa forte charge du Saint-Esprit là-dedans, vous feriez mieux de savoir ce que vous faites. Vous feriez mieux d’être prêt pour cela.
Eh bien, si vous – si vous essayez de réaléser quelque chose et de dire : «J’ai attendu toute la nuit un don», vous feriez mieux d’être prudent. Cela pourrait exploser, voyez-vous, et avoir un effet inattendu.

33 Je me rappelle quand je suis passé à un hôpital; j’y suis arrivé un soir et – et on m’avait envoyé là… C’était sur un coup de téléphone de frère Neville, le pasteur, et je – je – j’ai reçu cela comme je venais de Louisville. Et il disait qu’une dame était très malade. Et je suis allé là à l’hôpital, à Jeffersonville, et il – il y avait là une dame. Et je… on m’a dit d’aller à la chambre 322, où la dame se trouvait. J’y suis allé. J’ai dit… c’était une salle à quatre lits. Et j’ai dit : «Y a-t-il ici une dame Unetelle?»
«Non, monsieur. Elle n’est pas ici.»
J’ai dit : «Je – je me suis probablement trompé. Excusez-moi.» Puis je me suis retiré. Et une infirmière venait dans le hall, et elle était un peu pressée. J’ai dit : «Madame, pourriez-vous me dire si une certaine dame est ici dans cette chambre, ou plutôt où elle est?»
Elle a dit : «Je n’ai pas le temps pour ce genre de choses.» Elle a dit : « Ne voyez-vous pas que je suis pressée?»
J’ai dit : «Pardonnez-moi.» Je suis allé à la réception, et – et une dame était assise là à la réception (une infirmière), et j’ai dit… Elle écrivait quelque chose; j’ai continué à attendre. Elle m’a regardé, puis elle a continué à écrire.
Eh bien, j’ai attendu quelques minutes; j’ai dit : «Bonsoir.» Elle n’a rien dit. Et j’ai pensé : «Eh bien…» J’ai dit : «Pourriez-vous me dire où se trouve une certaine dame? Je suis ministre. On m’a envoyé ici à un certain endroit, à la chambre 322, m’ont-ils dit.»
Et elle a dit : « Eh bien, allez alors à la chambre 322.»
Et j’ai dit : «Madame, j’ai été à la chambre 322.»
Elle a dit : «Pourquoi me posez-vous alors la question? Descendez à la réception.»
J’ai dit : «Eh bien, je vous remercie.» Je me suis mis à descendre, et j’y suis arrivé. Et j’ai demandé à l’infirmière à ce niveau si… Elle n’en savait rien. Voici venir un petit médecin qui passait à ce niveau, son stéthoscope en main, les faisant tournoyer sans arrêt comme ceci, un petit… Jamais je n’avais vu un homme si gros. Il était – il était… En toute honnêteté, je pense qu’il était plus large que long. Il marchait (ou – ou plutôt qu’élancé)… Il marchait donc en faisant tournoyer ce stéthoscope dans ses mains, et j’ai dit : «Excusez-moi, Docteur. Pourriez-vous me dire où…»
Il a dit : «Oui, oui. Retournez, dans cette direction.»
J’ai dit : «Merci, monsieur.» Puis, je suis allé dans l’autre sens. Et je me suis dit : «Eh bien, que vais-je faire à présent?» Et il est parti s’asseoir à la réception. Et je n’ai vu personne d’autre, alors j’ai pensé que je ferais tout aussi mieux d’aller lui demander encore.
J’ai dit : «Excusez-moi, monsieur.» Il a simplement continué d’observer quelque chose d’autre, vous savez, et j’ai dit : «Est-ce que… Je voudrais savoir où la chambre…»
Il a dit : «C’est là dans cette direction.»
J’ai dit : «Chambre 222. Je ne sais quel chemin prendre.»
Il a dit : «Allez simplement comme ceci, puis comme cela. Vous la trouverez.»
Qu’est-ce? La pression, voyez-vous, la pression qu’on accumule. Il venait peut-être d’une consultation. Peut-être pensait-il qu’il avait… que je ne devrais pas lui demander cela. C’était en réalité en dehors des heures de visite. Alors il s’est dit : «Ce n’est qu’un prédicateur, qu’il s’en aille», voyez-vous.

34 Le monde a accumulé de la pression. Il va exploser un de ces jours. Le monde a accumulé beaucoup de pression, et les médecins ne savent que faire à ce sujet. Les psychiatres se font soigner par des psychiatres. C’est vrai. Ils n’ont pas la réponse, mais Dieu a la réponse. Dieu a la réponse à tout cela.

35 Dans l’Ancien Testament, quand un homme avait mal agi… Eh bien, c’était dent pour dent, oeil pour oeil. Et si cet homme avait mal agi, il avait un lieu d’évasion. Je pense que c’est Josué qui avait bâti des maisons de refuge. Et quand les gens avaient mal agi, et qu’ils risquaient d’être tués, il y avait cependant un lieu de refuge où ces gens pouvaient courir – dans cette ville de refuge. Et il était en sécurité s’il atteignait ce lieu avant d’être attrapé par ses poursuivants. Il… Mais si ses poursuivants l’attrapaient, ils – ils le tuaient en chemin.
Mais s’il y arrivait, et s’il n’avait pas commis ce crime volontairement et qu’il ait pu plaider sa cause, et montrer qu’il – il regrettait de l’avoir commis, alors on pouvait le faire entrer dans cette ville de refuge, et les poursuivants ne pouvaient pas entrer dans la ville. Non, il avait – il était en sécurité. Quel sentiment serait-ce, de savoir que vous avez fait quelque chose de – de mal, et que vous savez être mauvais, mais qu’il y a un endroit où vous n’aurez plus à vous inquiéter : entrez dans cet endroit et soyez en sécurité.
Maintenant, si l’homme avait commis volontairement l’acte, eh bien, alors il devait… il – il ne pouvait pas y entrer. S’il avait volontairement commis un meurtre, son procès se faisait à la porte. Et c’est… Mais celui qui voulait, et qui n’avait pas fait cela volontairement…

36 Par exemple, je donnerais un type de cela, si un homme a mal agi, et qu’il veuille vraiment… qu’il – qu’il regrette d’avoir péché, il y a un lieu de refuge. Mais s’il ne s’en fait pas, alors il n’y a pas de place pour lui, car il ne veut pas l’accepter. Il en avait vraiment l’intention, et il l’avait voulu. Pas d’espoir pour lui, et il en est de même aujourd’hui. Et puis, ce qu’il en était, s’il avait mal agi, il devait chercher un lieu de refuge, il devait chercher à s’y trouver.
Et cela est un très bon type de l’église d’aujourd’hui, et les gens... L’homme doit chercher un lieu de refuge. Vous devez en ressentir le besoin. Mais si vous pensez qu’il vous faut vous battre seul, allez-y. Voyez-vous? Mais soyez sûr que vous serez rattrapé par vos poursuivants. Mais un jour ou l’autre, vous serez découvert. Mais si vous cherchez un lieu...

37 Et puis, quand un homme cherche un lieu et qu’il en trouve, il devra être disposé à y rester. Vous ne sortez plus. Vous restez là. Vous êtes alors en sécurité pendant que vous y êtes. Oh, quel soulagement cela doit avoir été de trouver un endroit! Dès que vous en franchissez le seuil, les portes se referment derrière vous; je serai satisfait. Certainement. Il devra accepter de rester là, sans se plaindre, aller ça et là et dire : «Oh, pourquoi suis-je venu ici?»
Eh bien, c’est exactement ce que font les gens aujourd’hui. Ils disent qu’ils veulent se débarrasser des soucis du monde, et puis, ils s’introduisent dans le … parmi les croyants, et alors ils disent : «Eh bien, s’il me faut laisser tomber ceci, s’il me faut faire cela, s’il me faut payer la dîme, s’il me faut faire ces choses, et ces autres choses, comment… Oh! la la! quel…» Voyez-vous, alors cet homme qui se plaignait était rejeté dehors : «Débrouillez-vous.» Mais s’il voulait… Il doit être satisfait, ne pas se plaindre.

38 Oh, combien j’aime dire ceci! Je ne voudrais plus jamais sortir. Oh! c’est le ciel pour moi que de m’asseoir dans les lieux célestes en Christ Jésus, avec des hommes et des femmes qui, pour leur vie, ont fui les choses du monde et ont ancré leurs âmes dans un havre de repos. Oh! quelle communion, oh! quelle joie divine, de reposer sur Son bras éternel, la pression complètement partie, et n’ayant peur de rien. Amen. Car je suis en sécurité en Christ.

39 Il est une Tour forte. Le juste se réfugie en Lui et s’Y trouve en sécurité. Il est un Rocher dans une terre altérée, un Abri dans la tempête. Quel endroit où vivre! Je – Je ne vois rien au sujet duquel me plaindre. Le seul sujet de plainte que j’ai, c’est : «Pourquoi n’ai-je pas fait cela longtemps avant ? J’ai attendu d’avoir environ dix-neuf ans, vingt ans. J’aurais dû…»
L’autre jour, un homme m’a rencontré, un jeune homme. Et je parlais de ces – ce scandale au sujet de ces femmes qui portent ces habits dans la rue, ressemblant aux hommes. Et j’y suis allé assez durement. Un jeune homme m’a rencontré dehors. Il a dit : «Juste un instant…»

40 Et ici, ils font cette fiesta, vous savez, se tortiller, se tordre les jambes, et tout, j’ai dit : «C’est de la folie.» Et j’ai dit : «Le vrai chrétien… Si cela est dans leurs coeurs et qu’ils prétendent être chrétiens, leurs – leurs fruits prouvent ce qu’ils sont. C’est la preuve qu’un homme et une femme n’ont rien, ils essayent de se satisfaire avec les choses du – du monde, la charogne du – du monde, essayant de se satisfaire, alors que Sion est pleine de beauté et de puissance.» Vous qui êtes satisfait de laisser échapper la pression, pourquoi voudriez-vous échanger la nourriture des Anges contre l’ail de l’Egypte comme le voulait Israël? Oh, il y a un endroit pour laisser échapper la pression! Venez-y, mon ami et vous serez en sécurité quand vous y entrerez. Combien il est merveilleux de le savoir. Très bien. Pas se plaindre…

41 Ce jeune homme m’a dit, il a dit : «Ecoutez, Monsieur Branham, a-t-il dit, vous êtes un homme de cinquante ans.» Il a dit : «Vous n’admirez pas la beauté des femmes quand vous les voyez marcher.» J’ai dit… Il a dit : «Si vous aviez mon âge…» Il avait à peu près vingt-cinq ans. Il a dit : «Si vous aviez mon âge, vous verriez autrement.»
J’ai dit : «Monsieur, je prêchais ce même Evangile quand j’étais plus jeune que vous ne l’êtes maintenant. J’ai trouvé quelque chose qui satisfait, quelque chose de réel, quelque chose qui – qui… Tout le reste n’existe pas. Je suis à l’intérieur d’une tour. Je ne désire même pas regarder dehors.» «Celui qui met la main à la charrue et qui se retourne pour regarder en arrière n’est pas digne de labourer.» Quel bel endroit où venir!
Oui. Dehors, vous mourez; dedans, vous êtes en sécurité. Entrez simplement et laissez échapper la pression. C’est la chose à faire. Et Christ est notre Tour (Oui!), le lieu de sécurité auquel Dieu a pourvu.

42 Josué a bâti ces maisons et ces villes de refuge, et Dieu nous a bâti une ville de refuge; c’est dans Son Fils, Christ Jésus. Le Nom de l’Eternel est une Tour forte. Les justes s’y réfugient et sont en sûreté.
Eh bien, vous dites : «Qu’arriverait-il si vous tombiez malade là-dedans?» Il S’est chargé de notre maladie dans cette Tour où nous nous trouvons. Il S’est chargé de notre maladie dans Son corps. Nous avons…
«Eh bien, dites-vous, qu’arriverait-il si là-dedans vous en aviez assez de tous ces soucis et tout?» Déchargez-vous sur Lui de vos soucis. C’est écrit sur tous les murs, partout tout autour, sur chaque porte. Déchargez-vous sur Lui de vos soucis, car Il prend soin de vous.

43 Croyez en Sa Parole promise. Ses Paroles sont écrites sur notre coeur. Nos coeurs sont les tables de Sa Parole, comme Marthe, Marie, et tous les autres depuis le début. Voyez-vous? Même la mort elle-même ne vous inquiète pas là-dedans, quand vous êtes dans le Seigneur. Pourquoi? Il est ressuscité des morts. Nous n’avons pas à nous inquiéter à ce sujet. La mort vient, comme le disait là la jeune soeur. S’il est temps de partir, partons. C’est vrai. Que faites-vous? Echanger cette vieille carcasse que nous avons contre un corps immortel rendu semblable à Son propre corps glorieux.

44 Qui n’aimerait pas échanger cette léproserie contre une telle chose? Dites-moi qui n’aimerait pas. Une personne âgée, un jeune, peu importe si vous n’avez que quinze ou douze ans, ou quoi que ce soit, la mort est à votre porte. Vous ne savez pas à quel moment. Un jour ou l’autre, ce coeur humain qui bat ainsi doit s’arrêter. Et il peut s’arrêter quand vous avez dix, douze ans. Chaque jour, ils s’arrêtent par milliers. Mais ici dedans, dans le – ce corps que nous allons échanger contre cela, le sang ne fait pas battre cela. C’est le Saint-Esprit qui le fait, et Il ne peut pas mourir. Il est immortel, éternel, et Il ne peut pas mourir. Quelle promesse! Oui, même la mort tient…

45 Observez Israël. Eh bien, il allait y avoir des morts en cascade dans toute l’Egypte, et Dieu avait pris des dispositions. Il avait préparé un refuge pour eux, et Il a dit : «Prenez un agneau et immolez-le, et appliquez le sang sur le poteau du linteau, et sur la porte. Et quand Je verrai le sang, Je passerai par-dessus vous.» L’Egypte s’en est moquée, mais c’était une voie pourvue par Dieu contre la mort. Et alors, quand ces grandes ailes sombres de la mort ont balayé la – la ville, et ville après ville dans toute l’Egypte, et que cette mort a commencé à entrer dans chaque maison, et que les cris se sont élevés, je peux voir Israël bien détendu, laissant échapper la pression.
Peut-être qu’un petit garçon s’est approché de son père et a dit : «Papa, tu sais, je viens d’entendre ce coursier parcourir la rue. Le petit Johnny avec qui je jouais là, il est mort. Papa, je suis ton premier-né.»
Je peux voir le brave père se lever, enlever ses lunettes, pour ainsi dire, déposer sa Bible et dire : «Viens ici, fiston.»
«Papa, cela avance dans la rue.»
«Laisse échapper la pression, fiston. Viens ici un instant. Vois-tu ce sang?»
«Oui, je le vois, Papa.»
«Eh bien, laisse échapper la pression.»
Junior, tu ne dois pas rouler à vive allure dans la rue avec ton bolide. Tu ne dois pas faire ces choses. Vérifie bien, vois si le sang est là. Laisse échapper la pression. Si la mort frappe à la porte, elle ne fera rien.

46 Pas de pression chez Israël; ils pouvaient laisser échapper la pression parce qu’ils étaient en sécurité sous le sang. Oh! la la! En cette belle nuit de Pâques, ils ont dû être calmes, ils ont dû laisser échapper la pression, parce qu’ils ont pu vérifier et ont vu qu’ils avaient le sang. Et quand ils voyaient le sang, ils étaient sûrs qu’Il avait promis qu’Il passerait par-dessus [eux.] Oh! Dieu avait promis de passer par dessus eux après qu’ils auraient obéi à toutes les instructions de Dieu.

47 Eh bien, quelle image pour l’Eglise aujourd’hui! Maintenant, je vais me dépêcher, mais il me faut juste déclarer maintenant ceci un instant. Aujourd’hui nous allons constamment d’une assemblée à une autre, emportant nos pièces ou nos lettres, d’une église à une autre. Si les méthodistes ne font pas quelque chose que vous pensez qu’on ne devrait pas faire, vous amenez cela chez les baptistes, des baptistes chez les presbytériens, des uns chez les autres. Voyez-vous? Qu’est-ce qui ne va pas? Cela montre simplement que vous n’êtes pas encore arrivé à cet endroit. Vous n’êtes jamais arrivé là où vous pouvez laisser échapper la pression. Voyez-vous? Vous regardez à quelque chose auquel vous ne devriez pas regarder.
Les chrétiens vont d’une dénomination à une autre. Cela montre qu’ils ne sont jamais arrivés à ce refuge. Voyez-vous? Des fois, ils vont dans des séminaires (c’est bien), et ils apprennent la Parole aussi minutieusement que possible. Ils retournent chez eux et ils essayent de parler de la Parole aussi fidèlement que le leur permet leur dénomination, et c’est bien. Mais ce n’est pas ça. Il ne s’agit pas de connaître Sa Parole, mais de Le connaître Lui, Lui… Eh bien, assurément.

48 Il ne s’agit pas de votre niveau de connaissance de la Parole, ni de combien bonne est notre église, ni de la considération que le monde a pour notre dénomination, ni du nombre d’exemptions dont nous jouissons de ce fait, ni de combien nous communions avec le monde, ni de la catégorie de gens que nous recevons; il s’agit de vous. Etes-vous sous le Sang? Si vous en tant qu’individu… Peu m’importe que tout le monde dans l’assemblée soit dans l’erreur, vous, vous êtes toujours en sécurité. Vous êtes sous le Sang.

49 Parfois, Dieu vous a placé dans une assemblée qui est dans l’erreur, pour répandre la lumière. Ne bondissez pas sur vos pieds, continuant simplement de sauter d’un endroit à un autre, d’une chose à une autre. Restez juste sous le Sang. Si vous vous mettez à sortir en courant, alors vous perdez votre sécurité. Restez sous le Sang.
«…Nom est une Tour forte, les justes s’y réfugient, et se trouvent en sûreté», ils laissent échapper la pression. Observez-Le pendant les heures où nous savons qu’il y a des gens sous ce Sang. Nous voyons cela être confirmé. Nous voyons Dieu, ce qu’Il fait pour confirmer Son Eglise.

50 Tout nous est promis quand nous sommes dans cette Tour. «Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. Si vous demeurez en Moi, et que Mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé.» Quel endroit! Il est écrit : «Faites toutes choses… Tout ce que vous faites, faites-le en Mon Nom», et non «faites-le au nom de l’église».
Vous dites : «Eh bien, je rends témoignage car je suis reconnaissant ce soir d’être presbytérien.»
«Je suis reconnaissant d’être pentecôtiste.»
«Je suis reconnaissant d’être…»

51 Je suis reconnaissant d’appartenir à Christ. Voyez-vous? «Le Nom de l’Eternel est une Tour forte, vous voyez; les justes s’y réfugient et sont en sûreté.» Alors nous communions en Son Nom.
Maintenant, si nous venons ici et que l’un dise : «Je suis membre de l’Eglise de Dieu, je crois que celle-ci est l’Eglise de Dieu», et qu’un autre dise : «Je suis membre des Assemblées», eh bien, cela pourrait créer des frictions. L’un dit : « Je suis membre de l’Eglise unie.» L’autre dit : «Je suis membre de quelque chose d’autre», des Unitaires, ou de quoi que ce soit. Si – si vous avez l’intention de faire des histoires comme cela, vous – vous ferez des histoires.

52 Mais si vous êtes effectivement arrivé à cette Tour, peu importe le groupe dont vous faites partie, vous êtes sous le Sang, et c’est le seul endroit où vous pouvez avoir communion, pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de tout péché. Nous avons alors communion les uns avec les autres.

53 Quelle communion! Nous pouvons arriver là et accepter l’Eglise de Dieu, les Assemblées de Dieu, les Unitaires de Dieu, et quoi que ce soit, peu importe ce que c’est; nous avons là des choses en commun. Nous avons Christ; et Christ est notre Refuge. Chacun d’entre nous, qu’il soit baptiste, presbytérien, luthérien, catholique, quoi qu’il soit, s’il est sous ce Sang, vous pouvez avoir communion avec lui, parce que vous êtes un. Vous êtes dans cette communion divine de Christ. Oh, que c’est glorieux!

54 Esaïe en a fait la description, disant : «Il est un rocher dans une terre altérée.» C’est ce genre de terre où on est très inquiet, où les gens ne savent que faire. Ils disent : «Eh bien, est-ce que ceci est vrai? Est-ce que cela est vrai?» Christ est vrai. «Est-ce ici le chemin? Est-ce là le chemin?»
Il dit : «Je suis le Chemin.»
«Quelle est la vérité, ceci ou cela?»
Jésus a dit : «Je suis la Vérité. Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie.» Vous voyez? Nous avons cessé de nous inquiéter à ce sujet. C’est un chemin qui accumule la pression.
Vous dites : «Est-ce que – est-ce que le méthodiste a raison? Est-ce le presbytérien? Ma mère était ceci, et mon…» Mais c’est Christ qui était votre Seigneur. Vous voyez? Peu importe ce que c’est, vous accumulez la pression, et cela vous rend agité. Voyez-vous? Si vous dépendez de votre organisation, cela accumule de l’agitation. Vous cherchez à édifier votre organisation. Mais si vous êtes en Christ, laissez simplement échapper la pression. Amen. Il y a de la nourriture pour nous tous. Oh! la la!

55 Jacob creusa un puits, et les Philistins le chassèrent de là. Je pense qu’il l’appela «querelle». J’ai oublié le nom qu’il avait donné à cela. Ensuite, il en creusa un autre, mais ils l’en chassèrent, et il l’appela «malice», ou quelque chose de ce genre. Puis il creusa un autre puits, et il dit : «Il y a de la place pour nous tous. Venons tous là.» Ainsi, je pense que nous devons venir autour de ce troisième puits.

56 Donc dans – le seul moyen pour que nous y arrivions, c’est sous le Sang. Alors, le méthodiste peut venir juste ici et se sentir tout aussi à l’aise que le pentecôtiste. Certainement! Un pasteur méthodiste rempli du Saint-Esprit pourrait amener là-dedans tous les pentecôtistes du pays, et ils se sentiraient à l’aise. Et nous pouvons être à l’aise les uns avec les autres, pas parce que vous dites : «Eh bien, vous tous méthodistes, vous tous pentecôtistes…» Quand vous dites : «Vous tous chrétiens…» Amen. Oh! cela inclut la chose essentielle. Alors nous avons communion, et nous laissons simplement échapper la pression. J’aime cela. Il n’y a pas de pression accumulée à ce moment-là. Peu importe à quoi vous appartenez, quelle marque vous portez.

57 Je faisais le rassemblement du bétail… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… la vallée de la rivière Troublesome. Et puis, si vous arrivez à cultiver deux tonnes de foin et… dans cette ferme, eh bien, vous pourriez y mettre une vache en pâture. Et il y a des gens qui en ont des milliers, deux mille têtes de bétail. Ceux de Grime, les Bar-... Diamond Bar, se trouvaient là, les nôtres étaient les vieux Turkey Track. Eh bien, il y avait plusieurs marques, peut-être vingt ou trente marques, partout, qui appartenaient à cette association. Et il y avait une «drift fence» [clôture érigée lors du rassemblement de bétail pour les empêcher d’aller à la dérive – N.D.T.] qui maintient le bétail là dans la forêt nationale quand on monte le canyon, et elle le maintient là.

58 Et puis, les cavaliers vont en été et ils mettent autant de taureaux, autant de vaches, et ainsi de suite. Alors nous… Ils installent une «drift fence», et le garde forestier se tient là pour examiner ce bétail pendant que celui-ci passe. Des fois, nous tous en groupe, nous nous retrouvions ensemble quand on amenait ce bétail au printemps. Et il y a littéralement des milliers de têtes de bétail partout dans cette vallée. Et que des fois je me suis tenu là, la jambe autour de la corne de la selle, observant ce garde forestier pendant qu’il se tenait là. Il examine ce bétail pendant que celui-ci passe.

59 Eh bien, j’ai remarqué qu’il y avait environ… plusieurs types de marques différentes y entraient, mais le garde forestier ne faisait pas attention à la marque. Il observait l’étiquette de sang, car rien ne pouvait entrer dans cette forêt en dehors d’une Hereford pur-sang. Ainsi, ils maintenaient la race pure. Vous voyez?

60 Je pense que c’est ainsi qu’il en sera au jour du jugement. Dieu ne dira pas : «Etais-tu membre des Assemblées, de l’Eglise de Dieu?» Il fera attention à cette Etiquette de Sang. «Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous.» Quelle que soit la marque que nous avons, cela ne signifie rien.
«Es-tu un Hereford? Es-tu enregistré? Es-tu un chrétien né de nouveau, rempli du Saint-Esprit, lavé dans Son Sang?» C’est ce que Dieu attendra impatiemment de… voir cette Etiquette de Sang. «Quand Je verrai… Pas quand Je verrai la marque, quand Je verrai l’Etiquette de Sang, vous pourrez entrer.» Amen.
Je commence à me sentir religieux. Il est presque douze heures trente maintenant, et j’étais sensé terminer il y a vingt minutes, et je commence à me sentir vraiment religieux. Oh, gloire à Dieu! «Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous.»

61 Maintenant, encore une ou deux minutes, s’il vous plaît… On m’a dit qu’il y avait un type d’aigle. Beaucoup d’entre vous qui enregistrez, vous avez mon message sur «L’aigle éveille sa couvée». Et j’ai étudié les aigles. J’aime les aigles. Je sais que les gens pensent qu’il est une pauvre canaille, mais il était là dans un but. Par exemple, si je… L’autre jour j’ai dit à mon épouse… Et puis, vous avez tous lu dans le magazine «Life» là où ils ont tué quatre cent et quelques mille coyotes l’année dernière, on les a simplement capturés et on les a abattus. Ils ont tout un troupeau de cochons domestiques qui sont devenus sauvages, là. Ils vont simplement prendre des avions et aller là pour les mitrailler. Ça, c’est un meurtre. Ce n’est pas juste. Ce n’est pas juste. Ce coyote ne peut pas s’empêcher d’être un coyote. Il doit tuer pour manger.

62 Bien des fois, on raconte qu’il tue des agneaux et des choses semblables. Si cette bande de gardiens de troupeau paresseux qu’on a là… Quand ces brebis mettent bas, s’ils allaient là et prenaient soin de ces brebis au lieu de dormir jusqu’à dix heures ou onze heures, le coyote aurait une meilleure réputation. C’est vrai. Il n’est pas Don El, avec un – un masque sur le visage. C’est un coyote. Certainement. J’ai vu des hommes pires que lui.

63 Mais… Et l’ours, on parle toujours de l’ours. «C’est un tueur. Il tue les veaux.» Je chasse depuis que j’étais un petit garçon, et jamais je n’ai vu un ours tuer un veau. Il peut, bien entendu, le faire quand il meurt de faim. Vous feriez la même chose. Rappelez-vous, vous devez tuer pour manger. Et chaque jour… Aujourd’hui, si vous êtes vivant, quelque chose doit mourir afin que vous viviez. Vous tuez une vache; elle est morte. Vous tuez la brebis; elle est morte. Vous dites : «Je ne mange pas de viande.» Eh bien, quelque chose est mort de toute façon. Si vous mangez une pomme de terre, c’est qu’elle est morte. C’est une vie. Si vous mangez des légumes verts, c’est qu’ils sont morts. C’est une vie.

64 Et un être humain ne peut vivre que des substances mortes. Eh bien, saisissez cela. Et si quelque chose a dû mourir afin que vous viviez physiquement, n’est-ce pas simplement raisonnable que Quelque Chose dût mourir pour que viviez spirituellement? Christ est mort, pas un credo, mais c’est une Vie qui est sortie de Christ. Nous vivons éternellement par Christ.

65 Cet aigle, c’est un oiseau merveilleux. Je ne suis pas – je n’ai pas le temps de révéler ce qu’il est, ce qu’il fait, et comment il construit son nid, et comment il n’est pas comme son frère dénominationnel, le poulet, un fouilleur de la basse-cour. Il veut s’assurer que rien ne va déranger ses petits. Il va très haut. Aucune belette ne peut l’attraper, ni lui ni ses petits. Oh! il n’est pas étonnant que Dieu ait comparé Son héritage à l’aigle. Vous savez, Il se dit lui-même un Aigle. Et nous sommes des aiglons. Et l’aigle n’est pas un charognard. Tous les jours, il se nourrit de la viande fraîche. Amen. La nourriture de l’aigle, c’est ce que l’église doit prendre… pas une expérience d’il y a quarante ans, une expérience que je viens d’avoir juste maintenant, quelque chose de frais, venant du ciel. C’est ce que je veux dire.

66 Le brave aigle construit son nid là-haut dans les escarpements, afin que les belettes et les autres ne l’attrapent pas. Son frère dénominationnel, la poule, place le sien dans n’importe quel vieux creux, là dans la clôture, elle fouille dans la basse-cour et tout. Mais pas un aigle, il ne pourrait pas manger cela. Vous voyez? Il en mourrait. Ce n’est pas du tout pour lui.
Quand cet aigle arrive à un certain endroit… La Bible dit que nous rajeunissons comme l’aigle. Je me suis souvent demandé, «rajeunir», comment cela pourrait-il se faire?

67 Je me souviens… Ceci paraît… (Je vous ai pris beaucoup de temps, mais…) Le premier groupe pentecôtiste que j’ai rencontré était constitué de deux différentes organisations pentecôtistes réunies. Et je revenais de – de la pêche, et je suis entré. Et j’ai vu ces noms-là partout, et je suis entré. Et j’ai entendu le bruit le plus affreux, et là-dedans, ces gens sautaient, couraient, dansaient partout dans cet endroit. Et je me suis demandé : «Qu’est-ce que c’est?» Alors ils ont dit : «Ce soir, que tous les ministres passent à l’estrade.» Et nous étions à peu près trois cents et nous sommes montés. Je suis monté et me suis assis. Il a dit : «Maintenant, nous n’avons pas de temps pour que vous prêchiez tous.» On a dit : «Nous voulons simplement que vous disiez votre nom et d’où vous venez.»
Quand mon tour est arrivé, j’ai dit : «William Branham, évangéliste, Jeffersonville, Indiana», puis je me suis assis.
Alors, j’ai entendu d’excellents orateurs ce jour-là. Et premièrement, vous savez… Ils avaient dû organiser cela dans le Nord afin que les gens de couleur puissent y venir. C’était une convention nationale, et on devait l’organiser dans le Nord, en ce temps-là. Cela fait à peu près vingt-cinq ans ou plus, je pense, et ils avaient dû organiser cela là-bas pour que les gens de couleur puissent y assister.
Ainsi, ce soir-là, je me suis dit : «Oh! la la! cette grande convention, pour la réunion de ce soir, ils demanderont à l’un des meilleurs orateurs de passer devant.» Bien entendu, nous les baptistes, vous savez, c’est ainsi que nous le faisions. Alors, ils ont…

68 Après un instant, là dans un coin, un vieil homme de couleur, un vieux nègre, s’est levé; il avait une petite couronne de cheveux blancs – blancs crépus près du cou. Et j’avais à peu près, je pense, à peu près vingt-deux, vingt-trois ans. Et il portait l’une de ces vestes de prédicateurs d’autrefois, l’une de ces vestes à basque fendue de la vieille époque, vous savez, là derrière, vous savez, comme une hirondelle. Et le vieil homme, d’à peu près quatre-vingts ans, s’est approché en boitillant comme ceci. Il s’est avancé pour… Je me suis dit : «Pourquoi ont-ils amené un homme de ce genre ici à la convention, où près de mille cinq cents personnes sont assises, et leur… un de leurs orateurs à se présenter ainsi?»
Le vieil homme s’est avancé et a dit : «Eh bien, a-t-il dit, je voudrais vous dire, a-t-il dit, que je voudrais prendre mon texte ce soir, là dans Job. ‘Où étais-tu quand je fondais le monde, alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie?’»
J’ai écouté tous ces ministres ce jour-là, leur façon de placer la vie de Christ dans les Ecritures. J’ai pensé à l’admirable manière dont certains grands orateurs avaient parlé ce jour-là. Et je me suis dit : «Ce pauvre vieil estropié…»

69 Eh bien, il n’a pas du tout parlé de ce qui était arrivé sur la terre. Il a parlé de ce qui était arrivé au ciel. Et il L’a fait remonter là à environ dix millions d’années, avant la fondation du monde, et il L’a décrit dans l’arc-en-ciel horizontal dans la Seconde Venue. Il a fait cela en moins de deux minutes. Et alors, l’Esprit l’a saisi. Il a sauté en l’air, et il a claqué les talons ensemble, et il a dit : «Gloire à Dieu!» Il a dit : «Vous n’avez pas assez d’espace ici pour que je prêche», et il a quitté l’estrade en trottant.

70 Je me suis dit : «C’est ce que je désire. Si cela fait agir ainsi un vieil homme, qu’est-ce que cela me ferait, si ça l’a fait rajeunir?» Eh bien, il avait plus d’espace que nous ici, avec la chorale et tout y compris. Et pourtant, ils n’avaient pas assez d’espace pour le contenir quand l’Esprit l’a frappé. J’ai dit : «C’est ce que je cherche. C’est ce que je cherche.»

71 Ce vieil aigle, il attrape une croûte sur sa face et sur sa tête quand il vieillit. Il peut à peine manger. Il maigrit; son bec ne peut s’ouvrir correctement. Il devient presque aveugle. Et quand cette croûte atteint un certain niveau sur la tête, on dit qu’il vole très haut dans l’air, et il se pose sur un rocher, et il cogne sa tête contre cela pour faire tomber si possible cette croûte. Et il roule les yeux, et regarde derrière. Il cogne la croûte. Oh! cela doit tomber. Cela doit tomber, sinon, il va mourir. Il doit faire tomber cette croûte de sa face et de son bec. Et il cogne sa tête d’un côté, puis de l’autre. Il cogne jusqu’à ôter cette croûte. Et quand il l’a cognée contre ce rocher jusqu’à ce que la croûte soit tombée, alors il crie, et il bat ses ailes, et se réjouit car il sait qu’il va avoir de nouvelles plumes; il va encore absorber des vitamines; il va rajeunir. Et je me suis dit : «Quelle chose merveilleuse pour l’aigle! C’est bien.»

72 Mais je connais un Rocher auquel un homme peut venir se cogner continuellement jusqu’à ce que tout doute soit parti, jusqu’à ce que les inquiétudes et les soucis du monde soient partis. Et après qu’il s’est débarrassé de la croûte du péché à force de cogner jusqu’à ce que le Sang ait sanctifié son âme, alors la Vie Eternelle doit certainement venir. Il peut simplement s’asseoir là et laisser échapper la pression, car la Vie Eternelle est assurée.
Oh! aigles d’aujourd’hui, c’est pour cela que vous êtes ici. Vous êtes des aiglons. Mais si la croûte a commencé à vous aveugler (les soucis du monde), ou si vous n’arrivez pas à avaler toute la nourriture de Dieu, venons à ce Rocher dans une terre altérée. Venons là et cognons-nous contre l’autel jusqu’à ce que la croûte se casse, que nos yeux voient de nouveau clairement Jésus, et que les soucis du monde soient dissipés. Alors la pression s’échappera. Il est un Rocher dans une terre altérée, un Abri dans la tempête, un Refuge, un Havre de repos pour ceux qui sont fatigués. Venons à cet endroit. Inclinons la tête juste un instant.
Je regrette de vous avoir gardés longtemps. Il y a encore à peu près six feuilles de notes ici, de petites pensées, et des Ecritures que j’allais utiliser. Mais il est temps. Oh, petit aiglon, peut-être une jeune fille, un jeune garçon, ou peut-être une personne âgée ou d’âge moyen, pourquoi êtes-vous ici ce matin? Parce que vous…

73 Vous êtes certainement un aigle, mais il se peut que les soucis de la vie vous ont en quelque sorte combattu rudement, et que vous avez perdu la vue. Vous n’êtes plus très sûr de l’endroit où vous posez le pied. Cognons-nous simplement contre ce Rocher maintenant. «Oh! conduis-moi à ce Rocher qui est plus élevé que moi.» Que je me couche sur ce Rocher. Il est un Abri dans la tempête.
Mettez-vous à cogner à la porte maintenant même, cognez à la porte de ce Rocher. Il s’ouvrira. La croûte s’envolera. Alors la pression vous quittera, et vous pourrez alors vous reposer de nouveau, la pression étant complètement partie. Vous pouvez venir à l’église. Peu importe ce que le pasteur prêche. Tant qu’il reste dans cette Parole de Dieu, cela ne vous condamnera jamais. Vous êtes déjà ancré là-dedans; vous vous portez alors très bien. Prions.
Seigneur Jésus, je voudrais encore dire en guise de reconnaissance, Seigneur, qu’il existe un petit endroit ici à Phoenix, ainsi que partout, à divers lieux. Et c’est l’un de ces endroits où je – je, moi-même, je – je peux venir et où je – je peux me sentir au repos. Rien ne me lie. Je – je m’exprime librement. Quel endroit! Je suis libre, toute pression partie; je suis si reconnaissant pour cela, Seigneur.

74 Ô, Seigneur, que ce grand Rocher se tienne toujours à cet autel, là où les petits aiglons têtus de partout dans la ville peuvent venir et où on leur montrera un endroit où se débarrasser de la croûte du monde, afin qu’ils jouissent de cette communion, en laissant échapper la pression dans cet âge atomique, alors que le monde est dans la peur. Chaque nation est secouée, les cieux sont ébranlés. Toute la nature crie. Le monde en soi tremble parce qu’il pourrait voler en éclats. Mais nous, nous avons un Royaume inébranlable. Nous avons une Ville de refuge. Nous avons un Gosen où le soleil ne se couchera jamais. Accorde-le, Seigneur. Accorde-nous de parvenir à ce Rocher maintenant.

75 Comme un petit lapin, l’histoire de… Les chiens de meute étaient juste derrière lui. Il sentait leur souffle chaud sur ses pattes. Encore un peu de temps, un bond ou deux, et les chiens de meute allaient attraper le petit gars. Il serait dévoré à l’instant. Mais un instant après, il a vu un trou dans un rocher. Et il s’est dit : «Si seulement je pouvais atteindre ce rocher, alors je serais en sécurité.» Juste au moment où le chien effectuait son dernier bond sur lui, il a senti son souffle chaud sur ses pattes, mais il s’est engouffré sous le rocher. Il a alors pu s’asseoir et a laissé échapper la pression. Le chien de meute ne pouvait pas griffer a travers ce rocher.

76 Seigneur Jésus, je Te prie ce matin, Seigneur, que s’il y a quelques-unes de Tes petites créatures qui ont erré loin de cette zone de sécurité… Elles peuvent sentir le – le souffle des chiens de meute de l’enfer… des jeunes femmes, des jeunes gens, galopant juste derrière elles, voyant leur vie basculer de l’autre côté. Puissent-elles courir ce matin vers cette fente du Rocher. Il y en a Un. Les justes s’y réfugient, et sont en sûreté. Accorde-le, Père, par Jésus Ton Fils.
Pendant que nous avons la tête inclinée, et les coeurs aussi, voudriez-vous, si vous n’êtes pas dans ce Rocher ce matin, voudriez-vous lever la main vers Dieu et dire : «Ô Dieu, fais-moi entrer dans cette zone de sécurité maintenant, là où je peux laisser échapper la pression. Je suis un peu fatigué. Je commence à me voir aller à la dérive. Je sens que je m’éloigne. Je n’ai plus l’expérience que j’avais. Ramène-moi immédiatement au Rocher, Seigneur.» Voulez-vous juste lever la main pour dire : «Priez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien, c’est de tous côtés, partout. Ah, c’est bien. Que Dieu vous bénisse.
«Ramène-moi au Rocher, Seigneur. Ramène-moi. Je vais à la dérive. Oh! ne me laisse pas m’éloigner de Cela. Que je… S’il me faut manger, que je mange tout près de la fente. Que je reste près de l’endroit où la manne tombe. Il ne me faut pas sortir. La manne est juste à la porte.»
Père céleste, Tu as vu l’ensemble de ces mains. Je Te prie de leur accorder leur désir. Que toute la croûte qui a commencé à les aveugler maintenant… Seigneur, alors que leurs coeurs battent et que leurs coeurs spirituels battent, ôte tout doute, toute incrédulité, toute confusion, toute nervosité, et – et inquiétude pour ceci ou pour cela, tous les soucis. Qu’ils voient maintenant même avec douceur que la croûte est en train d’être cassée pendant qu’ils martèlent le Rocher par leur prière. Que Christ les amène maintenant là-haut et les fasse asseoir sur une cime. Et ils peuvent battre leurs petites ailes spirituelles pour dire : «Je suis libre, je suis libre.» Accorde-le, Père, au Nom de Jésus.

77 Et maintenant, y en a-t-il ici ce matin dans ce refuge, qui sont malades, et qui ne savent simplement pas ce que sera l’issue, mais qui veulent être ancrés dans quelque chose qui leur donnera la sécurité, qui guérira leurs corps, et qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière?
Rappelez-vous simplement, juste un mot de prière, et c’est tout. Enfoncez un petit pieu là où vous êtes assis et dites : «Aujourd’hui, aujourd’hui la prière de la foi a été dite pour moi. Et chaque fois que j’entrerai dans cette église, je me souviendrai de l’endroit où j’étais assis ce matin. C’est là que la prière de la foi a été dite pour moi par toute l’assemblée. Je vais être guéri maintenant. C’est ça. Je mets fin à cela.» Maintenant, levez la main et dites : «J’enfonce mon pieu maintenant même.»
Que Dieu vous bénisse. Maintenant, rappelez-vous, enfoncez le pieu par la foi maintenant même, juste là où vous êtes assis. «Aujourd’hui, dimanche le 10, je pense que c’est ça? Ou le 13? En ce treizième jour du mois de janvier, dans cette petite église de Dieu, sur ce certain siège, je prononce la prière de la foi avec le ministre, avec l’évangéliste, et avec l’assemblée : l’un priant pour l’autre. C’est le jour de ma guérison, maintenant même. Je mets fin à cela juste ici, Seigneur. Je suis Ton aigle. Je suis dans la zone de refuge. J’ai droit à toutes les bénédictions rédemptrices, qu’Il a acquises pour moi. Me voici, juste ici maintenant.»

78 Père céleste, je Te les apporte. Je joins ma prière aux leurs. Et maintenant, par la foi, à partir de cette église, nous nous élevons au-delà des sphères, des atmosphères, et des sphères, et des sphères, au-delà des étoiles, de la lune, au-delà de la blanche Voie lactée jusqu’au trône de Dieu, notre Père. Il y a un grand arc-en-ciel qui traverse ce bel autel d’ivoire. Il y a là sur cet autel un Sacrifice sanglant. Et nous considérons Son dos comme nous l’a ordonné le prophète, et il a dit : «C’est par Ses meurtrissures, que nous avons été guéris.» Père, je T’amène chacun d’eux. Et Il a Lui-même dit : «Si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, Je le ferai.»
Maintenant, Père céleste, je prie pour ces gens qui sont malades. Ils ont enfoncé un pieu ce matin. Je le crois de tout mon coeur. C’est le moment de la prière de la foi. Et je crois, alors que je Te demande de guérir chacun d’eux, qu’ils acceptent cela. Et voici que nous enfonçons un pieu en commémoration de notre présence au trône de Dieu ce matin. C’est réglé. Dieu a fait la promesse. Maintenant, Seigneur, il est écrit dans Saint Marc au chapitre 11, versets 22, 23 : «Si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et que vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.» Seigneur, c’est ce qui a été dit. Maintenant, qu’il en soit ainsi. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je reçois cela pour chacun et pour Ta gloire.
Maintenant, croyez de tout votre coeur. Et avec la tête inclinée, chantons ce vieil hymne de l’église : «Je L’aime», je L’aime parce qu’Il m’aima le premier, et Il a acquis mon salut sur le Calvaire. Acceptez-vous votre guérison, votre salut, votre esprit renouvelé, en venant à la maison de refuge? Acceptez-vous cela? Levez la main pour dire : «Je l’accepte. Je le crois. Maintenant même.» Très bien, tous ensemble maintenant. Je L’aime (Adorons-Le maintenant.) , je… L’aime (Merci, Seigneur, pour avoir ôté les écailles de mes yeux.) Parce qu’Il m’aima le premier (Toute ma froideur est partie maintenant. Ma maladie est partie.) … acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Maintenant, pendant que nous chantons cela de nouveau, j’aimerais que vous serriez la main à quelqu’un devant vous, derrière vous, à côté de vous. Dites : «Que Dieu vous bénisse, frère, soeur pèlerin. Heureux de communier avec vous.» Continuez de prier pour moi pendant que vous faites cela maintenant, pendant que nous chantons encore maintenant. Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Avant de remettre le service au pasteur, levons simplement les mains maintenant, et de tout notre coeur, chantons cela du fond de notre coeur. L’aimez-vous? Dites : «Amen.» Disons encore cela. «Amen.» Cela signifie «Qu’il en soit ainsi.» Je L’aime. Tous ensemble maintenant, chantons à gorge déployée. Je… Je… (Pasteur, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Je regrette de… avoir gardé…?…)

E-1 Good morning, friends. I was just speaking to the pastor just now. It--it's such a privilege to come in these little havens of rest like this. You just feel like, well, just setting down and listening to the services to... And there's something about this little spot. I said to my son, coming around the--the building a few moments ago, that you just look like... I just--I just like to come here and set down and just listen awhile, just listen what others has got to say. We ministers know that that's a great time for us. Usually we're always having to do the talking, somebody listening to us. But we like to set down and listen too.
You got a fine pastor, and this lovely little choir here, and the songs of Zion. The place is just pretty and not too elaborate. It's just--just what we'd call homey. And so, I--I like that real well. God ever richly bless you all.

E-2 I was--thought in my heart to hear this little sister here awhile ago, sixty-five years of service for the Lord... I thought I was about old enough to quit, but I guess I'm not, after... Here's someone's been serving Him sixty-five years. That would be about, well, I guess about twelve, fourteen years 'fore I was born she was serving Him. So that's wonderful.
I was speaking at a funeral service the other day for a little old lady that--about eighty-five years old that went to meet the Lord. And--and she was a sweet little old woman. You that read my life story the--where I asked the boy if he'd save me that suit, you know, that... He had one of these little Boy Scout suits, and I always wanted to be a soldier. So I'd asked him if he'd save it for me after he wore it out, and he promised he would. And when I went to get it, it only had one legging left. And that was... I wore that legging to school, and it was... That was his mother that just passed away, Mrs. Ford. And they're among the poorest of poor people. Lloyd, the boy who gave me the legging, we've been chums since little boys. He's just a little older than I.

E-3 And I said to him, "Lloyd, what would you want me to take the--the funeral text from?"
And he said, "Brother Billy," he said, "just... I--I would like for you to speak this, if it's the will of the Lord, just some assurance that my mother will be back again."
I said, "Very well." So I took the text from over in Job, "If a man die, shall he live again?" And I'd taken it from the, I believe, Job 14, I think it is, and how Job seen the--how the botany life, when it died it lived again. So I took the subject of anything that lives to the will and purpose of God has a resurrection.
And being a missionary and traveling the world, I've had the privilege of seeing many gods and their--the philosophies of life, and what people worship. And in all of it, that's about all it is, a philosophy, outside of Christianity. Christianity has the truth.

E-4 Now, we know that this world is a creation. And before there can be a creation there has to be a Creator of that creation. And this Creator expresses Himself in the creation. If we did not even have a Bible, we would still know that--that there--that the truth, just as we do. This Bible only sets it in order.
Now, God creating the creation, is expressing Himself back in the creation. And He's not a God just of one solid Sears and Roebuck Harmony House. He--He--He's a God of variety. He makes big hills and little hills, and He makes the deserts, and--and He makes lakes; and He makes little trees, and big trees, and white flowers, and red flowers, and makes little men, and big men, and red-headed women, and black-headed women. And He--He makes us different, 'cause He wants us that way. He's a God of variety. He makes some rich and some poor, some in-between. But we got a place to serve God, and that's the place that He's placed us in, if we'll just abide in that place.

E-5 And I said, "Now, if you watch the little flower..." This was along about October. I said, "The seeds... We've had frost now, and--and they knocked the little seeds out, and the--the flower died, and the little seeds turned back to the earth. And God's having a funeral service in these fall rains, these great big drops of tears dropping from the skies, burying them.
"And coming up through Kentucky," I said, "the other day, upon the big chest of the mountains, He set out his bouquets across the earth, the leaves red, brown, yellow. See? And He's in bereavement because the little seeds is dead, and He's buried them beneath the ground. And He knows just as sure as that earth comes back around with the line of the sun again, every one of them will rise up again. But it's just a routine He goes through to speak to us that there is a resurrection."

E-6 Now, we notice the sun. It's born of a morning, and it's a little baby when it's born. It's supposed to warm the earth and resurrect the seeds that's in the ground. And that, at about eight o'clock it starts off to grammar school, and about ten or eleven o'clock, it's out. It's got its education. At noontime it's in its middle age; two o'clock in the afternoon it's striking my age; five o'clock it's my father's age and sister back there. And after while that glorious thing that lit up the earth served God's purpose, dies out yonder in the west. Is that the end of it? It's born anew, rises up the next morning again. See? God in every phase... I took about twenty minutes just explaining what all that was.

E-7 Now, you see then, I said, "Why?" There's one requirement. And I love to say this in a church like this. There's one requirement that's required there. No matter how beautiful the seed is, it must be germitized. It's got to be germitized. And if it does serve God's purpose, it is germitized, because the bee packs the pollen and so forth.
Now, we find out, what if the little lily, if it's pretty, toiled day and night, opened up its little self, and the bee come by and just took its honey just as free as anything. Didn't say a word about it. And it toiled just to give out its honey.
And then the passerby sees its beauty. It just keeps itself pretty so the passerby can see it, loves beauty. The one who desires its fragrance breathes it in freely, and the little lily toils just to make itself benefit on the earth (See?), to produce honey, beauty, and funeral flower, whatever it's used for, wedding flower, anything. It just gives its little self freely. And when it dies, it rises up again next year. See? Everything...
What if the little stalk of corn would say, "I'm so sorry there's nothing pretty about me. And I didn't have no honey to give out, and I didn't have this, that, or the other."
But then the Master of all would say, "Yes, but the little lily couldn't make corn flakes either." See? We all--we all have a thing that we do. We serve God in the category that we're put in, and it comes back just the same.

E-8 Now, in the face of all that, I said, "Here's little Mother Ford, as I know her. She washed my little dirty face when I was a little kid a many time. They was as poor as poor could be. But she was born a female, a lovely girl. And if she was born a female, that was for a purpose to have a mate, a male. And she did. A loyal mate she was. She lived with her husband for some sixty years or better, and a loyaler woman wasn't born, as I know of, a real lady."
"Being that she was that in the union, they were to have children. Here's her nice, fine, children setting here, just as lovely. You children would've never wanted a better mother. Or would you? See? No. Her husband could not have wanted a better wife."
I said, "She was as poor as poor could be, but nobody could ever come to her door, or need, but what she'd give to them. The neighbors, no matter what trouble they was in, Mrs. Ford, any hour of the night was there to help them, do anything she could, with what she had to do with."

E-9 And I said, "Above all that, I had the privilege one time of seeing that seed germitized by the Holy Spirit. She was borned again of the Spirit of God." I said, "Now, we're going to plant her in a little bit in the ground. And who intelligently could stand up and say she will not rise again?"
"If you say she won't rise again, the leaf didn't go down to the bottom of the tree before the frost fell to hide itself to come back next year with a new leaf. If that lay--that sap stayed up in that tree until the frost and freeze hit that, it would kill that germ of life in that sap and the tree would die. But some intelligence... It has none of its own. That's botany life; it has no intelligence. But something controls it. Before we have a frost or anything in that country, way in August, them leaves go off the tree because the sap leaves the tree and goes back down into the roots way beneath the ground to hide that germ of life to bring it back again next year with some more fruit."

E-10 What does that? What intelligence? That same intelligence controls our life. That's right. And before we could say there's no resurrection for a little saint like that setting there, that's served God sixty-five years... I was thinking of her laying there in that oxygen tent, and her breath just coming... My, she'll rise again someday. She's just got to. That's all."
Before you could say she would not, you'd have to say there is no springtime, there is no resurrection of the seeds, there is no summer and winter, there is no rising and setting of the sun, there is no such a thing as the Word of God. Why, it would be crazy to say such a thing. There is a resurrection. And just as sure as that world floats around--around in face this sun again, that sun will--is give commission by God to raise up with its warm rays that botany life.

E-11 And just as soon as time floats around till eternity breaks again, and that S-o-n rises out there, something's going to happen. All them lives that's germitized in Him will rise again. It's just got to; there's no way of--any other way. See, the Creator expressing Himself in His creation? See? That's what God's doing. And we could look out... Anybody that's--that's half intelligent could look out and see that God--that Christianity is based upon resurrection.

E-12 Now, if I'd drop this piece on the floor (Now, it went down.), and I come over here and pick up something similar... Now, that isn't resurrection; that's replacement. But resurrection is to bring this same one up. And we're coming back again just...
You plant a yellow grain of corn, it'll produce another yellow grain of corn. See? And we go down a mortal, raise up an immortal, and we're so glad of that today. And that's... Our whole Christian hope is built right there, right there alone. So to come together and set in heavenly places like this in Christ Jesus, what a privilege it is to all of us, young and old, looking for that time when Jesus shall come.

E-13 Now, with a congregation like this, and the Spirit of God in here the way It is, I could speak on till nine o'clock tonight, or eight o'clock, time to do down to the Foursquare church, and still be feeling good. But we got to give away. They don't want the beans to scorch and so forth, you know. So we just come in for a little time of fellowship, and be here... This lovely brother and his little flock that you're sojourning here... And we come in to share under your tree, to set down and have a little fellowship.
So let's read some Word out of God's Bible, and take just a little text, and--and speak for a few moments. Before we do that, let's just bow our heads and speak to the Author of This before we approach His Word.
I wonder now with our heads bowed, if there would be a request somewhere in the building, that you'd want to make mention of before God? You keep it in your heart and just raise up your hands just a moment. God bless you.

E-14 Our heavenly Father, we are indeed a privileged people this morning in the face of this changing world. And we have ahold of the hand of the unchangeable God. Times may change, but He's eternal. And His Word is in our heart. It's a--an Ultimate of our--of our thoughts. They always drift back to that Word. No matter where we stray, it comes back to the Word. It's the tie post in our heart. We're so grateful for that.
I thank Thee, Lord, for this little spot out here on 44th Street, where the Gospel being preached and a place that's dedicated, and the people are consecrated to Thee. And I pray that Your blessings will ever be with them. Increase them in knowledge of Thy Word and of Thy grace, and give to them the good things of life, and Eternal Life, that we might all come to one place, that great heaven someday that when Jesus comes.

E-15 Bless us together, and look at those hands, Father, that was raised a few moments ago. Down beneath that hand was a--a reason for its being up. I pray, God, that You Who knows the secrets of the heart will grant that request. I offer my prayer with theirs upon Thy altar today. Answer, Father, I pray in Jesus' Name.
Bless the words this morning, the meditation of our hearts be acceptable to Thee. Bless Thy Word as we read It, and the little notes of contexts that we would explain it, You be with us, and help us, that when we leave here we might go and say, "Our hearts burned within us because we've heard the songs of Zion, the testimony of the heart, and the Word testified to our heart." In Jesus' Name. Amen.

E-16 Now, many times I just love to talk, and I can't do too much of it, it being almost twelve now. And so we are going to ask you, maybe, to turn in the Scriptures, if you would like to--to read the Scriptures with us, or mark it down. First, I want to read out of the book of Proverbs. I believe that I turned to that this morning in--when I was searching around: Proverbs, 18th chapter and the 10th verse:
The Name of the Lord is a strong tower:... the righteous run into it, and is safe.
And then in Isaiah 32:2 I want to read this, 32:1 and 2:
Behold, a king shall reign in righteous and a prince shall rule in judgment.
And a man shall be as a hiding place from the wind, and a covert from the tempest; as rivers of water in a dry place, as a shadow of a great rock in a weary land.

E-17 Now, this might seem like a very odd text to draw this conclusion from, but I want to take the subject this morning of "Letting Off Pressure." It seems very fitting in this day. And I was up late last night, and--and about around between twelve and one o'clock I was--was trying to think, "Now, where do I go in the morning?"
And they told me, "Up to that little Church of God that you thought was so pretty, up there on 44th Street, or Avenue, whichever it is."
And I said, "Oh, I remember that." And I thought, "What will I say?" I said, "Well, now, I remember the last time there, I just felt so at home, just relaxed." And I thought that would be a good text, just "Let off the Pressure." That's a good thing to speak on from that little church in the morning. And now... And I jotted down a few little notes here that I might comment on for a few moments.

E-18 And we're living in a day of much pressure. Everywhere everybody's so tense. And down the street with the hot rod, and they can't wait for the stop lights, and you know, and run over you. And the--they're not going anywhere, not at all, not going anywhere. They're, just as hard as they can race, but just racing towards eternity is all I know. And they... And you have to watch this way and that way, and--and then it's... I said, "There's just two classes of people live down there, and that's the quick and the dead. And them that ain't quick die quick." And I--I... My, it's dangerous to be safe these days. Just hurrying, racing...

E-19 Temper? Oh, my. A poor little lady yesterday, I... Brother Williams, I guess, wasn't noticing it, but we was going to make a turn. We'd went to see his son, and he wasn't home, and we were making a turn. And some little lady, we have to allow for that, she made a kind of a little bauble. And why, anybody ought to have been gentleman enough to have said, "It's all right, madam. Go ahead. It's all right."
But she happened to turn on the left, turn in front of some fellow, and, oh, my. His face was as red, and he had the window down, and just a-saying everything. 'Course the little lady was just pushing up her hair and going on. And he--and he stopped right in the street, was almost holding us up (You see?), just to get to bawl her out.

E-20 Oh, it's a terrible time, isn't it? Where we going? What's the hurry? We used to drive a old horse around the corner, take our time, lived a lot longer. And we're the same kind of people. And there we are, oh, everybody smoking a cigarette, just--just a-puffing it.
Down in Tucson, last week, I noticed the children standing--a little girl, pretty little thing, she was about ten years old, and she... Her little cheeks was all sunken in, and her little dark hair, a lovely looking little fellow, and she was standing around smoking a cigarette before she went in. Now, that child probably had TB, maybe just a nervous wreck. Now, perhaps the reason she smoked, her mother smoked before her.

E-21 I was at the World's Fair this year, and I guess many of you were. And I enjoyed one thing; that was the Medical Room. And when they were there proving what smoking does, they had this Yul Brynner, and--and you were there, noticed it. And they took a cigarette, and put it on a thing, and pulled the smoke out, and strowed it across a white piece of marble, and wiped that nicotine up with a piece of cotton, and put it on a rat's back. And in seven days there was so much cancer, the rat couldn't even walk from the nicotine of one cigarette.
Then the doctor said, "You've heard people say..." And he turned it around, and put it under a tube, and let this smoke be pushed up through some kind of chemical and there was a white streak. He said, "There is the cancer."
Then he said, "You've heard people say, 'I don't inhale it.'" So he pulled it in his mouth like that, puffed it in, and then put his mouth on this tube and blowed it up, and there was hardly any in it at all. He said, "Where is the cancer? In my mouth. I swallow it down through my throat, picks up my throat and goes into the stomach." And then that was the world's best, remember.

E-22 And then he goes ahead and says, "The people say 'Use a filter tip.' You've heard that, 'a thinking man's smoke,' or some kind of a slogan..." If the man thinks at all, he won't smoke at all. That's right. It's not a thinking man; it's an unthinking man that would smoke one.
But he pulled this tobacco; he said, "Now, you see the only thing it is, is the public is not smart enough to catch this, and yet we're supposed to be intelligent people." Said, "If you get no smoke, you get no results. And when you got smoke, you've got to have tar to get smoke. And tar is where cancer lays. It takes tar to make smoke." And said, "The only thing is smoking them with the tips on them, you smoke about three to get the satisfaction of one the other time. You've got the same amount in you exactly." See? And the American public wants a rabbit out of a hat. They got it. That's right. There you are. See?

E-23 And then, when they brought that rat out (They'd had brought one out every seven days.), it was the most hideous looking sight I ever seen. There was a great big fellow setting by me, said, "Whew," sweat running off of him, he said, "Very striking."
I said, "Do you smoke?"
He said, "Yes."
There you are, but yet, we go right on doing it. Why? We're trying to find something to quieten, some anesthetic. It seems like the world's in a breakneck speed, and I don't know what they--what they mean. But there is a Christian anesthetic. There is the opium comes from a lily. And the Christian church has some opium, and it's from the Lily of the Valley. It soothes all the pains; it's all over then. When you get this Christian opium, this new wine that they had on the day of Pentecost (See?), it soothes out the pains.

E-24 People's so arrogant, and they're doing things that they ought not to do. Instead of trying to get rid of the cause, they're just putting another cause with it. You can never find the cure until you get rid of the cause. Man is trying to find something to satisfy, and he thirsts. And God made him to thirst. That's... He was built up that way. But God built him that way so he'd thirst after Him. But he tries to satisfy it, and hush that holy call in him, with things of the world. And we have no right to do that.
Now, but people do wrong constantly. Instead of going to the place to get rid of the cause, we try to hush it with anesthetics, and liquor, and smoking, and putting more to it, heaping it up all the time, making it worse. And all this only builds up pressure. It just makes it worse all the time.

E-25 Not long ago, I--you all--all of you perhaps know that I do a lot of target shooting and hunting. That's what I have as a hobby. Some brother had sent over to--to Weatherby Company and had taken a model 70 Winchester, as some of my hunting partners in here would know, and it was rebored to a Weatherby Magnum .257. Art Wilson give Billy Paul the gun, and he's left-handed. And it had a bolt, and he just give it to me.
And another fellow come in and said, "You haven't got no Weatherby, so I'll rebore it for you."
And in reboring it (They didn't want to admit it.), but they didn't rebore it right. And what they did, back... You hand-loaders know, that back behind the ring it was getting pressure. And when I fired a few rounds of shells in it, I noticed the primer was pulling back, and there was a pressure.

E-26 Well, I knowed the shell was absolutely loaded under the maximum load, so it couldn't have been getting pressure from that. But it wasn't bored right. And the next shell that laid up (hadn't been for God I'd have lost my life.), it just, the whole gun exploded and blowed the trees out around me, like that. And about as high as this building red fire blew, and the rifle barrel went out on the fifty yard range, and the bolt went over my head back this a-way; the scope exploded that close to my eyes, and--and I didn't have nothing in my hand: just blowed up, blood spurting every way from around me. And we was way away from a doctor.
And they seen me, and I couldn't speak or anything. And I was holding the blood in like this, and I took it away, and just spurted all over a brother standing there. And I put it back. I said, "Lord Jesus," in my heart, "You are my Healer." I took my hand down and it was quit.

E-27 So what was the matter? The gun was trying to shoot a shell that wasn't actually made for the gun. If the gun had been built up from the beginning a Weatherby Magnum, it would not have blowed up. But it was trying to put a Weatherby shell in a Winchester rifle, and it won't work. And you see scars around here, and over my eyes. And fifteen pieces went just below the sight.
When the doctor looked in my eye, he wrote back to my friend, the doctor. He said, "The only thing I know, that God was setting on that bench with His servant. That man was with him, out on the--calling the shots, just ought to have found from his waist down. Said, "God was with him." And said the shot, the--the pieces of the primer, put fifteen pieces plumb behind the eyeball, just under the sight. Never bothered me one bit. Two or three days after, the face looked like hamburger, it was all dried up and gone.

E-28 But what was it? It was because that it was a shell in a gun that it wasn't made for. It had built up pressure. Now, if the gun had been made... And in this holder where the shell slipped in from the magazine into the barrel (the chamber), if that chamber had been made correctly, it would've held the pressure. And the pressure goes out this a-way. But instead, it was loose. And that pressure (the shell being weaker than the barrel), of course it blew this way, and blew the gun back this way.

E-29 The barrel wasn't hurt--just blew it off. 'Course completely tore everything from around it. It could not have been used no more. But the hull was still sticking in the barrel. See, it wasn't... Now, if it'd been an overloaded shell, it would've bursted the barrel. But you see, in here the thickest part of the gun, it blew back this way and knocked the lock loose. Now, if it'd been built up a Weatherby Magnum, it would've never blowed up. It was trying to put something in something that didn't belong there.

E-30 That's the way of a Christian experience. When people are trying to put a cold, formal confession into a powerful Pentecostal church, or experience, unless that person is built from ground up, built up, borned again, regenerated... Impersonators of today going around trying to impersonate speaking in tongues, trying to impersonate this, and impersonate that, the gifts, if they are not borned again... And if they are borned again they cannot impersonate, because they were built for those things. They're born, regenerated, remolded, not just something that's patched up, and shook hands, and got emotion, and danced around the altar a few times, and says, "I got it." It's something that's been remolded, and regenerated, and become a new creature. Then they can stand the pressure of the persecution and the things that follows the spiritual life.
You've got to be made and built to stand the pressure. And only one thing can do it. That's when you come into God's molding house, and be torn down and rebuilt a new creature in Christ Jesus.

E-31 I was out to the hospital here not long ago, and I--I was going to pray for a lady. And there was another lady laying next to her. And I seen her all nervous, and I was beginning to talk about prayer. And I said, "Well, we'll bow our heads for prayer." I said...
She said, "Wait a minute, wait a minute, wait a minute. Pull that curtain."
I said, "Yes, ma'am." I said, "I was only going to pray."
And she said, "Pull that curtain."
I said, "Yes, ma'am. Aren't you a believer?"
And she said, "We are Methodists."
I said, "Well, that certainly expresses what I asked." See, see, see? Yeah. I never asked her what lodge she belonged to. I asked her if she was a believer. See?

E-32 All these lodges get us all mixed up. You cannot join church. There is no such a thing. You can join the lodge. You can join the Methodist lodge, the Baptist lodge, the Presbyterian lodge, or the Pentecostal lodge; but you can't join the church. You've got to be born. That's the reason you got so much blowup. See? The pressure builds, and there you go. Say, "Well, I belong to this..." But that doesn't mean... You've got to come up from the ground up to stand the pressure of this day. When God puts His big charge of the Holy Spirit in there, you'd better know what you're doing. You better be ready for it.
Now, if you--if you'd try rebore out something and say, "I tarried all night for a gift," you'd better be careful. It might explode (See?), and it'd backfire.

E-33 Coming to a hospital thought, I was coming down one night and--and there was sent me... It was Brother Neville, the pastor's call, and I--I just--I took it 'cause I was coming from Louisville. And it said the lady was very serious. And I went out to the hospital there at Jeffersonville, and there--there was a lady there. And I--they told me to go to Room 322, the lady was there. I walked in. I said... A--a is there a four bed ward? And I said, "Is there a lady So-and-so here?
"No, sir. She isn't here."
I said, "I--I probably made a mistake. Excuse me." And I walked back out. And the nurse was coming down the hall, and she was kind of in a hurry. I said, "Lady, could you tell me if a certain lady is up here on this ward, or where she's at?"
She said, "I have no time for to do things like that." Saying, "Can't you see I'm in a hurry?"
I said, "Pardon me." I walked up to the desk, and--and the lady was setting there at the desk (a nurse), and I said... She was writing out something; I kept waiting. She looked up at me, and just kept on writing.

E-34 Well, I waited around a few minutes; I said, "Good evening." She never said a thing. And I thought, "Well..." I said. "Could you tell me where a certain lady is at? I'm a minister. I've been sent here to a certain place, to Room 322, they told me."
And she said, "Well, then go to Room 322."
And I said, "Lady, I have been to Room 322."
She said, "Why ask me then? Go to the desk downstairs."
I said, "Well, thank you." I started downstairs, and I got down there. And I asked the nurse on the floor if... She knowed nothing about it. Here come a little doctor down through the floor with his stereoscopes in his hand, whirling them around and around like this, little... I never seen such a fat man. He was--he was... Honestly, I believe he was broader than he was long. He was walking (or--or he was high, rather)... So he was walking down whirling these stereoscopes in his hands, and I said, "Excuse me, doctor. Could you tell me where..."
He said, "Yes, yes. It's on back that way."
I said, "Thank you, sir," and I went on down the other way. And I thought, "Well, now, what am I going to do?" And he went down and set down behind the desk. And I didn't see anybody else, so I thought I might as well walk up and ask him again.
I said, "Pardon me, sir." He just kept looking at something else, you know, and I said, "Did... I am wanting to know where the room..."
Said, "It's back that way."
I said, "Room 222. I can't find which way to go."
Said, "Just go this way and that way. You'll find it."

E-35 What is it? Pressure (See?), pressure built up. He might've come from surgery. He might've thought that he had--that I oughtn't to be asking him that. It was out of the visiting hours, truly. Then he thought, "Just some preacher. Let him go," See?
The world's just built up on pressure. It's going to blow up one of these days. The world built full of pressure, and the doctors don't know what to do about it. The psychiatrists has got psychiatrists doctoring them. That's right. They don't have the answer, but God does. God has the answer to all of this.

E-36 In the Old Testament when a man had did something wrong... Now, it was tooth for a tooth and eye for eye. And if this man did something wrong, he had a place of escape. I believe Joshua had built houses of refuge. And if the people did something wrong, and they were subject to be killed, but they had a place of refuge where this man could run to, this city of refuge. And he was safe if his pursuers didn't overtake him before he got there. He... But if the pursuers overtook him, they--they killed him in the way.
But if he got there, and if he had did this crime not willingly and could plead his case, and show that he--he was sorry that he did it, then he could be brought into this city of refuge, and the pursuers could not enter the city. No, he had--he was safe. What a feeling that must've been, to know that you did something that--that was wrong, and you know it was wrong, but there is a place where you won't have to worry no more: go into this place and are safe.

E-37 Now, if the man willfully did it, well, then he had to--he--he couldn't come in. If he'd have willfully committed a murder, his trial was tried at the gate. And that's... But the man who wanted, and had not willfully did it...
Just like I'd give a type of it, if a man's done wrong, and he really wants--he--he's sorry that he's sinned, there is a place of refuge. But if he just don't care, then there's no place for him, 'cause he won't accept it. He's done mean, and he wanted to. No chance for them, and that's the same as it is today. And then, the thing was, if he had did wrong he must want a place of refuge; he must want to be there.
And that's a very good type of the church today and the people. A man's got to want a place of refuge. You've got to feel your need of it. But if you think you want to fight your own battles, go ahead. See? But you're sure to be caught by your pursuers. But someday it's going to find you. But if you want a place...

E-38 And then, when the man wants the place, and found a place, he must be willing to stay there. You don't go out no more. You stay there. Then you're safe while you're there. Oh, what a relief that must've been to find a place. As soon as you enter the gates, and the gates close behind you, I'd be satisfied. Yes, sir. He must want to stay there, no complaining, walk around and say, "Oh, why did I ever come in here?"
Now, that's just the way people does today. They say they want to be free from the cares of the world, and then they get into the--amongst the believers, and then they say, "Now, if I'm going to have to give this up, if I'm going to have to do that, if I'm going to have to pay tithings, if I'm going to have to do these, and this other things, how... Oh, my, what..." See, then that man complaining was put back out again: shift for yourself. But if he would... He must be satisfied, and no complaining.

E-39 Oh, how I love to say this. I never wanted to go out no more. Oh, it's heaven to me to set in heavenly places in Christ Jesus, with men and women who's fled for their life from the things of the world and anchored their soul in a haven of rest. Oh, what a fellowship, oh, what joy Divine, leaning on His everlasting arm, pressure all gone, not scared of nothing. Amen. For I'm safe in Christ.
He is a mighty Tower. The righteous run into Him and are safe. He's a Rock in a weary land, a Shelter in the time of storm. What a place to be. I--I see nothing to complain about. The only complaint I have is, why didn't I do it a long time before I did? I waited till I was about nineteen, twenty years old. I ought to...

E-40 Some fellow met me the other day, young fellow. And I was talking about these--this scandal of these ladies out on the street with these garments on, look like men. And I was laying it on pretty heavy. A young fellow met me out the door. He said, "Just a minute..."
And doing this here shindig, you know, twist, breaking their legs, and everything, I said, "It's insanity." And I said, "The real Christian... If that's in their heart and they claim to be a Christian, their--their fruits show what they are. It shows an emptiness for any man or woman to try to satisfy themselves upon stuff of the--of the world, the carrion of--of the world, trying to satisfy themselves, when Zion is full of beauty and power. Satisfied to let off the pressure, why would you change Angel food for garlics of Egypt like Israel wanted? Oh, there's a place to let off the pressure. Come into it, and you'd be safe when you come in there. What a wonderful thing it is to know it. All right. No complaining...

E-41 This young man said to me, he said, "Look, Mr. Branham." Said, "You're a man fifty years old." Said, "You don't admire beauty in the women as you see them walk." I said... He said, "If you was my age..." He was about twenty-five. He said, "If you was my age you'd see different."
I said, "Mister, I was preaching this same Gospel years younger than you are now. I just found something that satisfies, something that's real, something that--that... Everything else is blind. I'm inside of a tower. I don't have no desires to even look out. "He that puts his hands to the plow, and even turns to look back, is not worthy of the plowing." What a place to come.
Yes. Outside you die; inside you're safe. Just come in and let off the pressure. That's the thing to do. And Christ is our Tower (yes), God's provided place of safety.

E-42 Joshua built those houses and those cities of refuge, and God built us a city of refuge; that's in His Son, Christ Jesus. The Name of the Lord is a mighty Tower. The righteous run into it and are safe.
Now, you say, "What if you get sick in there?" He bore our sickness in this Tower that we're in. He bore our sickness in His body. We have...
"Well," you say, "what if you get weary when you're in there, all cares and things?" Cast your cares upon Him. It's wrote on every wall, all the way around, every door. Cast your cares upon Him, because He cares for you.
Trust in His promised Word. His Words are written on our heart. Our hearts are the tables of His Word, like Martha and Mary and all along. See? Even death itself doesn't worry you in here, when you're in the Lord. Why? He rose from the dead. We don't have no worry about that. Death comes, like the little sister was speaking about there. If it's time to go, let's go. That's right. What do you do? Change this old vile carcass that we got, for an immortal body made like unto His own glorious body.

E-43 Who wouldn't change this pesthouse for something like that? Tell me somebody that wouldn't. An older person, a younger person, no matter if you're only fifteen years old, or twelve, or whatever it is, death lays at your door. You don't know what time. That human heart that beats like this has got to stop someday. And it might stop when you're ten years old, twelve years old. It does by the thousands every day. But in here, in the--this body that we're going to exchange it for, the blood don't pulsate it. The Holy Spirit does, and it can't die. It's immortal, eternal, and it can't die. What a promise. Yes, even death holds...

E-44 Look at Israel. Now, there was coming a death shower across Egypt, and God made a provision. He made a refuge for them, and He said, "Take a lamb and slay it, and put the blood on the lintel post, and on the door. And when I see the blood I'll pass over you." Egypt laughed at it, but it was a God-provided way from death. And now, when those great dark wings of death swept down through the--the city, and city after city over all Egypt, and that death started moving into every house, and screams coming up, I can see Israel just as relaxed, let off the pressure.
The little boy might walked up to his father, and say, "Daddy, you know, I just heard that runner going through the street. Little Johnny that I played with down there; he's dead. Daddy, I'm your firstborn."
I can see the old father raise up, take off his spectacles, as it was, lay down his Bible, say, "Come here, son."
"Daddy, it's coming down the street."
"Let off the pressure, son. Come here a minute. See that blood?"
"Yeah, I see it, daddy."
"Well, let off the pressure."
Junior, you don't have to speed through the street with your hot rod. You don't have to do these things. Just examine, see if the blood's there. Let off the pressure. If death's knocking at the door, it can't do nothing.

E-45 No pressure with Israel, they could let off the pressure because they were safely under the blood. Oh, my. That great night of the passover they must've been calm, let off the pressure, 'cause they could examine and see they had the blood. And when they seen the blood, they knowed He promised He'd pass over. Oh, after they'd followed all the instructions of God, God promised to pass over them.
Now, what a picture that is for the church today. Now, I'll hurry, but I just got to lay this down here just a minute. Today we are constantly leaving one congregation to another, taking our papers from one church, our letters to the other one. If the Methodist don't do something that you think ought not to be done, you'll take it to the Baptists, from the Baptist to the Presbyterian, from one to the other. See? What's the matter? It just shows that you've never come to that spot yet. You've never come there where you can let off the pressure. See? You're watching something that you ought not to be watching.

E-46 Christians go from one denomination to another. It shows that they have never come to that refuge. See? They go away sometime to seminaries (That's all right.), and they learn the Word just as close as they can. They come home, and they try to talk that Word just as close as their denomination let them do it, and that's good. But that ain't it. Not to know His Word, but to know Him: Him... Why, sure.
It's not how much of the Word you know, how good a church we have, what our denomination means to the world, how much exemptions we got by this, and how much fellowship we have with the world, what kind of a crowd we have coming; it's you. Are you under the Blood? If you as an individual... I don't care if every one of the congregation is wrong, you're still secured. You're under the Blood.

E-47 Sometimes God placed you in a congregation that's wrong to shed some light. Don't jump up, just keep jumping from place to place, from one thing to another. Just stay under the Blood. Go to running out, then your security's gone. Stay under the Blood.
"Name is a mighty tower; the righteous run into it, and they're safe," let off the pressure. See Him in the hours that we know that there's people that's under that Blood. We see it a-vindicated. We see God, what He does to vindicate His church.
Promised anything when we're in this tower. "Anything that you ask in My Name I'll do it. If ye abide in Me and My Word's in you, ask what you will, it'll be done to you." What a place. It's written, "Do all things... Whatsoever ye do, do it in My Name," not "Do it in the name of the church."
You say, "Well, I'm giving a testimony because I'm thankful tonight I'm Presbyterian."
"I'm thankful I'm Pentecostal."
"I'm thankful I'm..."
I'm thankful I'm of Christ. See? "The Name of the Lord is a mighty tower (See?); the righteous run into it and are safe." Then in His Name we have fellowship.

E-48 Now, if we go out here and one says, "I belong to the Church of God, I believe this is Church of God," and the other one says, "I belong to the Assemblies," well, that might make a friction. One says, "I belong to the United." The other one says, "I belong to something else," the Oneness, or the whatever it is. If--if you're going to fuss that way, you--you're going to fuss.
But if you have actually reached that tower, no matter what group you're with, you're under the Blood, and that's the only place that you can have fellowship, while the Blood of Jesus Christ, God's Son, cleanses us from all sin. We have fellowship then, one with another.

E-49 What a fellowship it is. We can reach across and take the Church of God, the Assemblies of God, the Oneness of God, and whatever it might be, no matter what it is; there we have things in common. We have Christ; and Christ is our Refuge. Each one of us, if he's a Baptist, Presbyterian, Lutheran, Catholic, whatever he is, if he's under that Blood you can fellowship with him because you are one. You're in this Divine fellowship of Christ. Oh, what a great thing.
Isaiah described it, "He's a rock in a weary land." That's this kind of a land, where he's so worried, people don't know what to do. They say, "Well, is this right? Is that right?" Christ is right. "Is this the way? Is that the way?"
He said, "I am the Way."
"Which is truth, this or that?"
Jesus said, "I'm the Truth. I'm the Way, the Truth, the Life," See? We've quit worrying about that. That way builds up pressure.
You say, "Is--is the Methodists right? Is the Presbyterian? My mother was this, and my..." But Christ was your Lord. See? No matter what it is, you build up pressure, and that makes you fuss. See? If you're just depending on your organization, that builds up a fuss. You're trying to build your organization. But if you're in Christ, you just let off the pressure. Amen. There's just food for all of us, my.

E-50 Jacob dug a well, and the Philistines run away from him. I believe he called it "Strife." I forget the name that was there. And he dug another one, and they run it away from him, and he called that "Malice," or something. Then he dug another well, and he said, "There's room for all of us. Let's all come in." So I think we need to get around that third well.
So in--the only way we can do that is under the Blood. Then the Methodist can come right in here and feel just at home as a Pentecostal could. Yes, sir. A Methodist pastor filled with the Holy Spirit could take every Pentecost in the country right in there, and be right at home. And we can be at home with one another, not because say, "Now, all you Methodists, all you Pentecostals..." When you say "All you Christians..." Amen. Oh, that takes in the big thing. Then we have fellowship, and just let off the pressure. I like that. There's no pressure built up then. We don't care what you belong to, what brand you wear.

E-51 I used to herd cattle... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... the Troublesome River Valley. And then, if you can raise two tons of hay and--on this ranch, why, you could put a cow in the pasture. And some of them men has thousand, two head of cattle. Grimes' was up there the bar--Diamond Bar, ours was the old Turkey Track. Why, they had many brands, maybe twenty or thirty brands, up and down that that association had in it. And there was a drift fence that keeps the cattle back up on the national forest as you go up the canyon, and keep them up there.
And then the riders ride through the summer and put so many bulls, so many cows, and so forth. Then we... They have a drift fence, and the ranger stands there to check those cattle as they go through. Sometimes a whole bunch of us would get together when they're bringing them cattle up in the spring. And there's literally thousands of head of cattle up and down that valley. And how many times have I set there with my leg wrapped around the horn of the saddle, watching that ranger stand there. He's checking those cattle as they go through.

E-52 Now, I noticed there was about--many different kinds of brands went in there, but the ranger never noticed the brand. He watched for the blood tag, 'cause nothing can come on that forest but a thoroughbred Hereford. Therefore they keep the breeding rights up. See?
I think that's the way it's going to be at the day of judgment. God ain't going to say, "Was you belong to the Assemblies, Church of God?" He's going to watch for that Blood tag. "When I see the Blood, I'll pass over you." Regardless of the brand we got, that don't mean nothing.
"Are you a Hereford? Are you registered?" Are you a borned again Christian, filled with the Holy Ghost, washed in His Blood?" That's what God's going to look forward to--see that Blood tag. "When I see... Not when I see the brand, when I see the Blood tag you can pass in." Amen.
I'm beginning to feel religious. Here it's almost twelve-thirty and I ought've been done twenty minutes ago, and just getting to feel religious right good. Oh, praise God. "When I see the Blood, I'll pass over you."

E-53 Now, for another minute or two, if you will... I'm told that there's a certain type of eagle. Many of you tape men got my message on "The Eagle Stirs Its Nest." And I was studying eagles. I like eagles. I know they think he's an old rascal, but he was here for a purpose. Like if I... I said to my wife the other day... Then you all seen in "Life" magazine where they killed that four hundred and something thousand coyotes last year, just taking them and shot them down. They got a bunch of domestic hogs went wild down here. They're just going to take and go in there with airplanes and machine-gun them down. That's murder. That's not right. It's not right. That coyote can't help being a coyote. He has to kill to eat.

E-54 Many times they say he kills off the lambs and things like that. If that lazy bunch of herders they got up there... When them ewes are lambing, if they'd get out there and take care of those ewes instead of sleeping up till ten or eleven o'clock, the coyote would have a better name. That's right. He's not Don El, the--the mask over his face. He's a coyote. Sure. I've seen human beings worse than him.
But... And the bear, they're always talking about the bear. "He's a killer. He kills the calves." I've hunted since I was a little boy, and I've never seen a bear kill a calf. 'Course he would do it, when he's starving to death. You'd do the same thing. Remember, you have to kill to eat. And every day... Today if you live, something has to die so you can live. You kill a cow; it died. You kill the sheep; it died. Say, "I don't eat meat." Well, something died anyhow. If you eat a potato, it died. It's a life. If you eat greens, it died. It's a life.
And a human can only live by dead substance. Now, get it. And if something had to die in order for you to live physically, isn't it only sensible that Something had to die so you could live spiritually? Christ died, not a creed, but a Life that come from Christ. We live eternally through Christ.

E-55 This eagle, it's a great bird. I ain't--I haven't got time to unfold it, what he does, and how he makes his nest, and where he's not like his denominational brother the chicken, a barnyard scratcher. He's going to be sure nothing ain't going to bother his children. He goes way high. No weasel's going to get him or his young ones. Aw, no wonder God likened His heritage to the eagle. You know He calls Himself an eagle. And we're eaglets. And the eagle is not a scavenger. He gets fresh meat every day. Amen. Eagle food, that's what the church has to have--not on an experience of forty years ago, an experience I got right now, something fresh from heaven. That's what I mean.

E-56 The old eagle builds his nest way up in the cliffs, so the weasels and things won't get it. His denominational brother, the chicken, puts his in any old crack in the fence down there, scratch in the barnyard and everything else. But not a eagle, he couldn't eat that. See? He's gone. That's nothing for him.
This eagle when he gets to a certain place... The Bible said renew our youth like the eagle. I often wondered, "renew the youth," how could that be?

E-57 I remember... This sounds... (I've taken a lot of your time, but...) First Pentecostal group I ever got with was two different organizations of them together. And I was coming down from--from up on a fishing trip, and I went in. And I seen these names all over this, and I went in. And I heard the awfullest noise, and these people in there jumping, and running, and dancing around over the place. And I thought, "What is this?"
So they said, "All ministers to the platform tonight." And there was about three hundred of us and we went up. I went up and set down. Said, "Now, we haven't got time for you all to preach." Said, "We just want you to just call your name, where you're from."
When it come to me, I said, "William Branham, evangelist, Jeffersonville, Indiana," set down.
So I'd heard some fine speakers that day. And first thing you know... They had to have it in the north so the colored could come to it. It was a national convention, and they had to have it in the north them days. That's been about twenty-five years ago, I guess, or more, had to have it up there so the colored people could attend.

E-58 So that night I thought, "My, this great convention, this night's meeting they'll have one of the most foremost speakers to come forth." 'Course, us Baptists, you know, that's the way we did it. So they got...
After while, raising up in a corner, was an old colored man, an old darkie, had a little rim of white--white fuzz around his neck. And I was about, I guess about twenty-two years old, twenty-three. And he had on one of these old preacher's coats, one of these old fashion cut-tail, you know, back in the back, you know, like the swallow. And the old fellow come limping out like this, about eighty years old. He got out to... I thought, "What would they bring a man like that out at a convention here, where about fifteen hundred people being setting here, and their--one of their speakers to come out like that?"

E-59 The old fellow come out, he said, "Well," he says, "I'll tell you." He says, "I want to take my text from over in Job tonight. 'Where was you when I laid the foundation of the world, when the morning stars sang together and the sons of God shouted for joy?'"
I'd listened to all those ministers that day, how they'd placed the life of Christ in the Scripture. How beautifully I thought some real speakers had spoke that day. And I thought, "This poor old crippled-up fellow..."
Well, he never talked about what went on on earth. He talked about what went on in heaven. And he took Him up yonder about ten million years before the foundation of the world and brought Him down the horizontal rainbow in the second coming. He wasn't about two minutes doing that. And when he did, the Spirit hit him. He jumped in the air, and clicked his heels together, and said, "Glory to God." He said, "You ain't got enough room here for me to preach," and went trotting off the platform.
I thought, "That's what I want. If that'll make an old man act like that, what would it do to me." Renewing his youth? Why, he had more room than we got up here, choir and all. And yet, they didn't have enough room to hold him when the Spirit struck him. I said, "That's what I want. That's what I want."

E-60 This old eagle, he gets a crust over his face and head when he gets old. He can hardly eat. He gets poor; his mouth won't open right. He gets almost blinded. And when that crust gets to a certain spot over his head, they say he flies way up in the air, and he sets there, and he beats his head against that rock knocking that crust off if he can. And he rolls his eyes, and looks back. He beats the crust. Oh, it must come off. It's got to come off. If it don't, he's going to die. He's got to get that crust off of his face and his mouth. And he'd beat his head one way, and then the other way. He beats until he beats that crust off. And when he beats it against that rock until the crust comes off, then he screams, and he throws his wings back and forth, and rejoices because he knows he's going to get new feathers; he's going to eat his vitamins again; he's going to renew his youth. And I thought, "What a wonderful thing that is for the eagles. That's good."

E-61 But I know a rock that a man can come to, and can beat, and be beat, until all the doubt is gone, until the worry and cares of the world is gone. And when he's beat the crust of sin from around him until the Blood has sanctified his soul, then Eternal Life is sure to come. He can just set back and let off the pressure, because Eternal Life is sure.
Oh, eagles today, that's why you're here. You're eaglets. But if the crust has begin to blind your eyes (the cares of the world), or you can't just swallow all the food of God, let's come to that Rock in a weary land. Let's come there and beat upon the altar until the crust is broke, and our eyes can see clearly Jesus again, and the cares of this world has passed away. Then the pressure will go off. He's a Rock in a weary land, a Shelter in a time of storm, a Refuge, a Haven of rest for the weary. Let's come to that place. Let's bow our heads just a moment.

E-62 Sorry to have kept you long. There was about six sheets more of these notes laying here, little thoughts and Scriptures I was going to use. But it's time. Oh, little eaglet, maybe some little girl, some little boy, or maybe some old person, or middle-age, why are you here this morning? Because that you...
You're really an eagle, but maybe the cares of life has kinda battled you around roughly, and you've lost sight. You're not too sure no more where you're placing your foot. Let's just come up against the Rock now. "Oh, lead me to that Rock that is higher than I." Let me lay on this Rock. He's a Shelter in a time of storm.
Start beating against the door right now, beating against the door of this Rock. He'll open up. The crust will fly off. Then the pressure will leave you, and you can be at rest again, pressure all gone. You can come to church. No matter what the pastor preaches about. As long as he stays in that Word of God it'll never condemn you. You've done anchored in there; you're all right now. Let us pray.

E-63 Lord Jesus, I want to express again, Lord, in thanksgiving that there is a little place here in Phoenix, and all around different places. And this is one of them that I--I myself, I--I can come and I--I can feel at rest. There's nothing binding me. I--I just say the words. What a place that is: free, all pressure gone. I'm so thankful for it, Lord.
O Lord, may that great Rock ever lay at this altar, where the little wayward eaglets around over the city can come in, and be introduced to a place to beat the crust of the world from them, that they can enjoy this fellowship by letting off the pressure in this day of atomic age when the world is scared. Each nation is shaking. The skies are trembling. All nature's crying out. The world itself is trembling because it could be blowed to bits. But we have a Kingdom that cannot be moved. We have a City of refuge. We have a Goshen, where the sun will never go down. Grant it, Lord. Let us come to this Rock now.

E-64 As a little rabbit, the story of he... The hounds was right behind him. He could feel their hot breath upon his feet. Just a little while, another jump or two, and the hound was going to get the little fellow. He'd be gobbled up just in a moment. But after a bit he saw a hole in a rock. And he thought, "If I could only get to that rock, then I'm safe." Just as the dog made the last jump at him, he felt his hot breath on his heels, but he run under the rock. Then he could set down and let off the pressure. The hound could not scratch through that rock.
Lord Jesus, I pray to Thee this morning, Lord, that if some of these little creatures of Yours that's wandered away from that safety zone... They can feel the--the breath of the hounds of hell, young women, young men, galloping right behind them, seeing their life breaking away to the other side. May they hurry this morning to this cleft in the Rock. There is one. The righteous run into it, and are safe. Grant it, Father, through Jesus, Thy Son.

E-65 While we have our heads bowed, and your hearts bowed too, would you, if you're not in that Rock this morning, would you raise your hand to God and say, "God, let me come into that safety zone now, that where I can just let off the pressure. I've been a little weary. I begin to see myself drift. I felt myself get away. I haven't got the experience that I used to have. Get me back to the Rock right quick, Lord." Would you just raise your hand, say, "Pray for me, Brother Branham." God bless you. That's good, all around everywhere. Ah, that's good. God bless you.
"Take me back to the Rock, Lord. Take me back. I'm drifting. Oh, don't let me drift away from it. Let me... If I'm going to eat, let me eat around the cleft. Let me stay close where the manna is falling. I don't have to wander out. The manna's laid right at the door."

E-66 Heavenly Father, Thou didst see this group of hands. I pray that You'll give to them their desire. May all the crust that's begin to blind them now, Lord, as their hearts are beating, and their spiritual heart is beating, break away all doubt, all unbelief, all confusion, all nervousness, and--and wondering what's this or that, all worries. May just now they sweetly find that the crust is being broken as they hammer their prayer against the Rock. May Christ bring them up high now and set them upon a pinnacle. And they can flop their little spiritual wings and say, "I'm free, I'm free." Grant it, Father, in Jesus' Name.

E-67 And now, is there those here this morning who are in that refuge, and you're sick, and you don't know just what's going to be the outcome, and you want to get anchored in something that will give you security that will heal your body, and wants to be remembered in prayer?
Just remember, just a word of prayer; that's all. Drive down a little post there where you're setting and saying, "This day, this day the prayer of faith was prayed for me. And every time that I enter this church I'll remember where I was setting this morning. There the prayer of faith was prayed by the whole congregation for me. I'm going to be well now. This is it. I'm settling it." Now, raise up your hand and say, "I'm driving down my post right now."

E-68 God bless you. Now, remember, by faith drive down the post right now, right where you're setting. "This day, Sunday, the 10th, I believe it is? or the 13th? This 13th day of January in this little Church of God, at this certain seat, I'm praying the prayer of faith with the minister, and with the evangelist, and with the congregation: one praying for the other. This is the day of my healing, right here. I'm settling it right here, Lord. I'm Your eagle. I'm in the refuge zone. I have a right to any redemptive blessings that He purchased for me. Here I am, right here now."

E-69 Heavenly Father, I bring them to Thee. I place my prayer with theirs. And now, by faith we lift from this church on up above the spheres, and the atmospheres, and spheres, and spheres, on apast the stars, moon, up the Milky White Way up to the throne of God our Father. There's a great rainbow across that beautiful ivory altar. There lays on that altar a bleeding Sacrifice. And we look upon His back as the prophet bid us to, and said, "By His stripes we were healed." Father, I'm bringing every one of them to You. And He said Himself, "If you'll ask the Father anything in My Name, I'll do it."
Now, Father God, I'm praying for these sick people. They've drove down a post this morning. I'm believing it with all my heart. This is the hour for the prayer of faith. And I believe as I ask You to heal every one of them, they accept it. And here we drive the post as a commemoration that we was at the throne of God this morning. It's settled. God made the promise.
Now, Lord, it's written in St. Mark the 11th chapter and the 22nd verse, the 23rd, "If you say to this mountain, 'Be moved,' don't doubt in your heart, but believe that what you have said will come to pass, you can have that what you said." Lord, it has been said. Now, let it be done. In the Name of the Lord Jesus Christ, I accept it for each one, and for Your glory.

E-70 Now, believe with all your heart. And with our heads bowed, let's sing this old hymn of the church, "I Love Him," I love Him because He first loved me, and He purchased my salvation on Calvary. Do you accept that your healing, your salvation, your renewed spirit, coming into the house of refuge? You accept it? Raise up your hand, say, "I accept it. I believe it. Right now I do." All right, all together now.
I love Him (Let's worship Him now.) I love (Thank You, Lord, for taking the scales from my eyes.)
Because He first loved... (All my coldness is faded away now. My sickness is gone.)
... purchased my salvation
On Calvary's tree.
Now, while we sing that again, I want you just to--to take hold of somebody's hand, front of you, back of you, at your side. Say, "God bless you, pilgrim, brother, sister. Glad to have this fellowship with you." Continue to pray for me when you do that now, while we sing again now.
I love Him, I love Him
Because He first loved me;
And purchased my salvation
Before I turn the service to the pastor, let's just raise up our hands now, and with all of our hearts sing it to the depths of our soul. Do you love Him? Say, "Amen." Let's say it again. "Amen." That means "So be it." I love Him. All together now, let's sing it to the top of our voices.
I... I... (Pastor, God bless you. God bless you. Sorry to kept...?...)

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