Encore une fois seulement, Seigneur

Date: 63-0120E | La durée est de: 1 hour and 50 minutes | La traduction: Shp
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1 Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être ici ce soir et d’apprécier ce merveilleux festival musical, et de nous réjouir de ces cantiques chantés avec un véritable enthousiasme. J’observais Jimmy ; je pense que c’est lui, et si seulement nous pouvions être aussi enthousiastes pour toutes les choses de Dieu, dans notre propre vie, que Jimmy a de l’émotion en chantant, nous aboutirons quelque part. J’apprécie vraiment ce jeune homme là, son père, notre bon ami.

2 J’aimerais poser une question. Ces dames qui ont chanté ceci : J’aimerais en parler, est-ce le même groupe qui avait chanté, il y a plusieurs années, quand j’étais ici ? Est-ce le même ? J’ai cherché partout à trouver ce cantique-là. Dans mes dures épreuves, j’ai essayé de penser à cela : « J’aimerais en parler. » Jimmy Maguire, avez-vous enregistré cela sur bande ? Je l’espère. Voyez ? Avez-vous enregistré cela ? Et si c’est le cas, j’aimerais l’avoir. Et j’essayé d’y penser. Voici ce que je me dis: Il m’aimera quand mon sentier sera très sombre. » Voyez? Et je - j’ai certainement apprécié ce beau cantique de Sion.

3 Eh bien, je comprends, je n’en suis pas sûr, mais je pense que ce même groupe va chanter à la convention des Hommes d’Affaires, je pense, le dimanche, le dimanche prochain. Je pense que c’est ça, si je ne me trompe pas là-dessus, le dimanche prochain à 14 heures. Si donc vous aimez ce genre de chants, eh bien, elles seront là pour chanter pour nous une fois de plus. Nous devrions les amener à Tucson demain soir et les laisser chanter là-bas. Je - je suis sûr que ça sera une bénédiction pour les gens.

4 Eh bien, demain soir, ça sera au chapitre de Tucson. Nous serons à l’auberge Ramada demain soir, là à Tucson ; en fait, vous comprenez que Phoenix n’est que les banlieues de Tucson. Voyez ? Nous sommes certainement contents de vous avoir vous tous comme nos concitoyens, de notre grande économie de l’Arizona. Eh bien, nous, nous sommes sur la colline ; vous, vous êtes dans la vallée ; alors, rappelez-vous, nous sommes à environ deux mille pieds[30.480m] au-dessus de vous. Voyez-vous ? Alors cette banlieue de la ville, nous sommes certainement contents d’être ici, communiant avec vous ce soir. Rappelez-vous donc, demain soir, et le lieu principal d’Arizona abritera le - le banquet du chapitre. Et alors, la soirée suivante nous serons ici, j’oublie le nom de l’église, c’est Southside Assembly. Et puis, le mercredi soir, nous serons au croisement de 11e rue avec Garfield, je pense que c’est ça, les assemblées de Dieu, là, pour ça… Et puis, le jeudi, on commence la convention.

5 Bon, vous êtes très gentils et nous avons passé un temps si merveilleux cette semaine à communier, avec toutes ces églises dans toute cette vallée-ci de Maricopa. Et le Seigneur nous a certainement bénis infiniment au-delà de toute mesure, plus que ce que j’attendais de Sa part. Les lieux étaient bondés et archicomble dans les cours, et les gens étaient débout, et une grande communion autour de la Parole. On a eu les prédicateurs visiteurs. J’ai vu le pasteur, frère Outlaw, je l’ai vu dans chaque service que nous avons tenu, autant que je peux me rappeler. Et les autres allaient simplement d’une église à l’autre. C’est ainsi qu’il faut faire, j’aime ça, communier l’un avec l’autre.

6 Comme le vieux frère Bosworth, qui est aujourd’hui dans la Gloire depuis trois ou quatre ans, il me disait : « Savez-vous - vous ce que c’est la communion, Frère Branham ? »
J’ai dit : « je le pense. »

7 Il a dit : « Ce sont deux compagnons partageant un même navire. » Ce - c’est donc - vrai : deux compagnons dans un seul navire. Ainsi, nous sommes…

8 Je suis content, en parcourant de l’auditoire ce soir, je vois ici des amis que je n’ai pas vus auparavant, qui viennent de là loin, au le Kentucky et Indiana, et vers Ohio, sont assis ici, ils nous rendre visite. Nous sommes certainement contents de les avoir ici ce soir. Peut-être qu’ils ont été dans d’autres réunions, mais dans les salles les plus larges, nous ne vous avons certainement pas vus. Que le Seigneur vous bénisse donc très richement.

9 Et maintenant, je vais juste rester un moment. Je dois ramener ma famille en voiture ce soir, et il nous faut nous préparer pour la réunion de demain à Tucson, nous irons donc là ce soir après la réunion. C’est à peu près cent vingt cinq[201 km] miles, et une longue bande du désert, et j’ai sommeil et je suis fatigué, alors, je tacherai de vous laisser sortir.

10 Et maintenant, ce matin j’ai dit, que comme j’ai amené ce prophète au sommet de la colline, je… C’était hier soir, n’est-ce pas ? Et ce matin, nous parlions de quelque chose d’autre. Mais ça ne me dérange pas que vous soyez en retard au le - au travail, ça ne me dérange pas que vous ratiez de temps en temps un jour, mais ne ratez pas l’école de dimanche (Voyez ?), donc nous aimerions que vous soyez à l’école du dimanche.

11 Maintenant, ce soir avant que nous abordions la Parole, approchons-nous de l’Auteur par la prière. J’aimerais dire, juste avant cela, à cette aimable petite chorale, ces enfants de Dieu, je les apprécie certainement, leurs beaux chants. Et frère Moore m’a échappé. J’allais lui remettre ce service. Mais il - il a échappé. Je viens de voir sa charmante femme assise ici. Inclinons donc la tête maintenant pour un mot de prière.

12 Seigneur Jésus, nous venons une fois de plus ce soir, d’abord pour Te rendre grâce pour tout ce que Tu nous as accordé. Et par-dessus tout ce que Tu nous a accordé, cette Vie Eternelle qui subsiste, car nous savons que nous nous rencontrerons de nouveau ; non plus sur cette terre, sur une terre qui est à venir. Maintenant, bénis Ta Parole ce soir. Et nous Te remercions pour la façon dont Tu as béni les chants maintenant. Je Te prie, Père, de continuer à bénir les chants, les cantiques et les chanteurs, le pasteur de cette église, ces pasteurs associés, et les diacres aussi, les administrateurs, et tous ceux qu’il représente. Bénis-les, Père.

13 Nous Te prions de bénir le message de ce soir, ces quelques paroles qui ont été choisies. Nous Te prions d’ajouter le contexte à ceci, et de nous accorder de Tes bénédictions. Guéris tous les malades et les affligés. Puissent les hommes et les femmes saisir la vision ce soir, comprendre ce qu’est le programme de Dieu pour ce dernier jour. Tout ce dont nous avons besoin, c’est simplement nous introduire dans Son programme, et puis, les autres choses s’en suivront. C’est ce qu’Il nous a enseignés, et nous… Il a dit : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » Fais-nous revenir donc ce soir, Seigneur, aux bénédictions du Royaume, au programme du Royaume, et à apprendre de Toi. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

14 Maintenant, je suis un tout petit peu enroué pour avoir beaucoup prêché. Et je sais qu’il fait chaud ici, et je suis désolé pour tous ceux qui sont debout, surtout pour ces dames qui sont debout le long des murs, là dans les vestibules, je vais me dépêcher autant que possible, aussi vite que possible. Et pendant que je lis ou que je parle, rappelez-vous bien, le Dieu omniprésent est toujours ici présent. Et comme un frère a dit au sujet de l’épileptique, la dernière fois que nous étions ici, Dieu peut guérir le cancer, la paralysie, n’importe quoi. Il a déjà fait cela. Si seulement il peut vous amener à croire cela… Voyez ? Vous n’êtes pas sauvé ce soir ; vous avez été sauvé, vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans. Et maintenant, peut-être que ce soir vous allez accepter ce salut-là, mais son prix a été déjà payé ; la dette a été déjà payée. Et le diable qui vous a mis dans le magasin de prêt sur gage, Jésus est venu et vous a racheté, Il a ouvert les portes, et tout ce qu’il vous faut faire, c’est sortir et réclamer votre liberté. C’est tout. Vous avez une quintaine de la part de Dieu qui montre que la dette a été payée. Jésus a dit dans ces dernières Paroles : « C’est accompli. » Chaque bénédiction de la rédemption a été complètement acquise. La colère ardente de Dieu contre le péché, quand Il est devenu péché pour nous, c’était… la dette a été payée.

15 Satan n’a plus de pouvoir, il peut seulement, bluffer avec cela. S’il peut bluffer avec vous là-dessus, très bien vous aurez à recevoir cela. Mais il n’a pas du tout de pouvoir ; légitime, tout pouvoir, lui a été arraché au Calvaire. C’est là que le prix a été payé. Il n’est qu’un bluffeur. Si vous voulez écouter ses bluffes, eh bien, tant pis. Mais vous n’êtes pas obligé ; vous êtes libre ce soir. Jésus vous a rendu libre.

16 Et maintenant, si quelque chose dans la Parole peut vous amener à vous rendre compte que vous êtes libre par Sa grâce, ou si quelque chose, vous vous rendez compte, et la Parole vous le fait comprendre, ou un acte de Dieu, que cela vous concerne, que cela nous concerne tous, qu’ensuite vous acceptez simplement cela sur cette base-là, alors vous êtes libre. Vous n’avez pas à éprouver un sensation différente ; vous n’avez pas du tout à éprouver un sensation différente. Ce n’est pas basé sur… Jésus n’a jamais dit : « Avez-vous senti cela ? » Il a dit : « Avez-vous cru cela ? » Il s’agit de la foi. C’est notre - c’est notre - notre foi, c’est - c’est un bras, un bras puissant qui tient l’Epée tranchante à double de Dieu. Et cette épée à double tranchant peut arracher chaque promesse, et se bras de la foi est capable de brandir cette épée. Certaines personnes souffrent d’un très grand affaiblissement des muscles, et ils ne peuvent que découper une égratignure, juste assez pour adhérer à une église. D’autres peuvent accéder à la justification. D’autres peuvent aller jusqu’au baptême du Saint-Esprit. Un bras très fort, tenant cette Bible, qui peut découper chaque promesse. C’est vrai. Soyez donc fort dans le Seigneur.

17 Maintenant, je souhaiterais lire ce soir pour un petit contexte sur lequel j’ai - j’ai pris quelques notes ici. Ça se trouve dans le Livre de Juges, le chapitre 16 de Juges, versets 27et 28, pour en tirer un contexte sur ce que j’aimerais dire. La maison était remplie d’hommes et de femmes ; tous les princes des philistins étaient là, et il y avait sur le toit environ trois mille personnes, hommes et femmes, qui regardaient Samson jouer. Alors Samson invoqua l’Eternel, et dit : « Seigneur Eternel ! souviens-toi de moi, je te prie ; ô Seigneur Dieu ! donne-moi de la force seulement cette fois, et que d’un seul coup je tire vengeance des Philistins pour mes deux yeux !

18 Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole. Si je devais appeler cela un sujet, je prendrais ceci pour les quelques prochaines minutes ! « Encore une fois seulement. » Encore une fois seulement, Seigneur. »

19 Il y avait environ, comme les Ecritures le disent, il y avait environ trois mille Philistins qui regardaient du haut de galères… du stade, alors que le couple entrait dans le grand stade ou le colisée ; de seigneurs de guerre hautement honorés, de très belles dames ornées de bijoux, pendant qu’elles s’installaient dans cet endroit. Et l’annonceur a dit : « Samson entre en scène. »

20 Ils ont dû se lever, s’approcher un peu davantage, ils ont tendu, pour ainsi dire, leur cou pour mieux voir. Et qu’ont ils vu, sinon une masse de chair humaine, un homme qui autrefois était un vaillant guerrier, être conduit, aveugle, pour ainsi dire, conduit par un petit garçon vers la scène. Tout au long de la journée, les divertissements des hommes et femmes ivres retentissaient dans de grandes salles, d’un mur à l’autre. Quel spectacle ça dû être ! Quel silence a dû s’abattre sur la salle alors que cet homme, conduit par un petit garçon, leur ennemi acharné parcourait la salle sans yeux, il devait être conduit par un petit garçon. Un homme qui avait été un si vaillant homme, un guerrier de la trempe de Samson, qui était alors introduit dans la salle par un petit garçon. Un homme qui avait été un serviteur de Dieu, réduit à cette condition, en ce lieu de divertissement pour les soulards.

21 C’était une grande célébration pour leur dieu Dagon, le dieu poisson qui avait remporté la victoire sur Jéhovah. Arrêtons-nous une minute et faisons pénétrer cela : la célébration d’une victoire sur l’armée de Jéhovah. Dagon, une idole païenne, le dieu poisson de Philistins, que Dieu haïssait. Et ils étaient là, avec une querelle d’ivrognes, célébrant une victoire sur un serviteur de Dieu vaincu. Quelle horrible chose à laquelle penser ! J’aimerais, si c’était possible, m’arrêter quelques minutes et peindre un tableau de cela. Mais, imaginez simplement cela, s’il vous fallait vous arrêter regarder quelque chose comme cela. Alors, je vais bien vous présenter le tableau.

22 Imaginez-vous bien, tout au long de la journée, des femmes très bien habillées, des hommes, des seigneurs de guerre, des guerriers, de grands hommes du pays s’étaient rassemblés dans ce nouveau bâtiment, buvant, célébrant, où ils avaient dressé une nouvelle idole du dieu poisson, lui rendant honneur et gloire pour sa victoire remportée sur les serviteurs de Jéhovah. Eh bien, pour le rendre encore pire, voici venir le conducteur, le messager de l’époque avec les yeux crevés, conduit par la main par un petit garçon, pour l’introduire dans un stade. Le petit garçon conduit l’aveugle qui titubait dans cet endroit, et je peux entendre un soupir poussé par cette grande masse humaine qui se tient là, comme une grande machine, mais totalement sans secours. Dieu l’avait suscité dans un but. Il avait vendu ses droits d’aînesse, et le voici debout, un tas de mécanisme sans force, conduit par un petit garçon. Mais sans doute, à mon avis, Samson avait pensé à toutes ces choses. Quand il avait perdu sa force, il avait pensé à ce qui était arrivé. Son voeux lui avait été arraché, et il s’était livré à son ennemi. Et eux, en revanche, lui avaient ôté la vue. Et il a dit à ce petit garçon : « Conduis-moi vers le poteau qui sert de colonne à ce bâtiment, conduis-moi simplement à ce poteau-là. »

23 Et pensez-y. On l’avait amené là pour le divertissement, pour amuser cette bande d’ivrognes. Quel opprobre c’était ! Quelle disgrâce c’était ! Quel exemple est-ce ? Pour… Ça me rappelle une nation vaincue, qui est dépravée de moeurs, alors que Samson se tenait là à côté de cette colonne, divertissant l’ennemi. Humilié, et brisé, quelle condition dans laquelle un très bon symbole d’une nation déchue, une nation moralement corrompue, une église déchue qui a vendu ses droits d’aînesse, qui est tombée dans une dépravation de moeurs, qui s’est elle-même livrée à l’ennemi. Un exemple public, de ce que quand bien même on a été suscité pour servir Dieu, mais si on tombe dans une dépravation de moeurs, on se retrouvera dans une pareille condition. Quel exemple c’était !

24 Je peux bien entendre tous les guerriers tout autour, toutes les dames ornées de perles, de bracelets, de beaux bijoux et autre, demander : « Est-ce là Samson ? C’est l’homme fort dont on parlait. C’est l’homme dont on disait qu’il avait l’Esprit des dieux puissants. C’est cet homme qui pouvait vaincre notre pays, dont vous parliez, mais regardez-le maintenant. »

25 Quel exemple ! Quelle leçon cela devrait être pour nous ! Quelle chose solennelle cela devrait être ! Nous ne devrions pas aborder cela juste pour… nous rassembler et passer un bon moment de célébration. Nous nous rassemblons pour voir où nous nous tenons, voir ce qui nous arrive.

26 Et je peux entendre, Samson aussi, sans doute, il pouvait entendre venir d’un côté ou de l’autre, les propos de gens qui avaient entendu parler de lui : « Eh bien, c’est donc là Samson. »

27 Je me demande aujourd’hui si l’ennemi ne peut pas aussi, en ce moment-ci, dire à peu près la même chose de notre mouvement pentecôtiste.

28 Rien que prononcer le nom de Samson, ils devenaient tous nerveux, parce qu’il était un serviteur oint de Dieu. Il était né avec un don de Nazaréen, et ils savaient que rien ne pouvait arrêter ce don de Nazaréen tant que ce dernier y restait fidèle. Il était un homme choisi par Dieu pour ce jour-là, le messager choisi par Dieu pour ce jour-là. Beaucoup parmi eux pensaient à ce que ça devait être. Beaucoup parmi eux se souvenaient de lui. Beaucoup se souvenaient, alors qu’ils considéraient cette créature sans force qui se tenait là aveugle, les bras entourant le poteau. Ils se moquaient de lui, ils le fouettaient, disant : « Vas-y, Samson, toi l’homme très fort. Fais quelque chose à ce sujet. Toi qui es si fort, où es ton Dieu ? »

29 Si ce n’est pas ça la façon dont l’ennemi aime agir quand il peut vous terrasser. Mais il n’osera pas essayer cela tant que la puissance de Dieu est en action dans l’église. Il - il craindrait de faire cela pendant que les bénédictions de Nazaréen sont sur vous. Mais s’il peut vous voir battu, alors il se moque de vous. C’est alors qu’il peut dire qu’il n’y a pas de différence entre eux et nous ; ce sont juste des hommes comme nous. Mais quand il y a quelque chose de différent, quelque chose d’extraordinaire en rapport avec les bénédictions de Jéhovah, là, alors ils ont peur de dire quoi que ce soit. Tant qu’ils voient cette puissance de Dieu à l’oeuvre, le diable a assez de bon sens pour garder sa bouche fermée. Mais une fois qu’il sait que vous êtes vaincu, il lâche chaque démon qu’il peut lâcher sur vous.

30 C’était là la condition de Samson. Pensons-y donc, alors que je vois les guerriers, certains de ces vieux vétérans couverts de cicatrices au visage, alors qu’ils voyaient Samson se tenir là, sans espérance et sans secours, ils se sont souvenus l’avoir vu se tenir autrefois avec une mâchoire en main, avec mille philistins morts à ses pieds. Et maintenant, c’est un petit garçon qui le conduit par la main. Ils pouvaient se souvenir comment ils s’étaient interrogés dans leur conseil, quand les nouvelles furent apportées qu’un homme, un simple homme avait pris le… une vieille mâchoire de mulet brûlée au soleil et grillée.

31 Et maintenant, beaucoup parmi vous ont lu l’histoire des philistins. Ces armes que ces hommes portaient, le casque sur la tête était pratiquement d’une épaisseur d’une pousse d’airain. Et le manteau qu’ils portaient, c’était des hommes très forts, recouverts de la tête aux pieds, d’une épaisseur d’une demi pouce, pour protéger cela contre une longue lance, ou plutôt contre un - un coup dur d’une épée à double tranchant qui devant leurs couper les pieds.

32 Eh bien, comment un homme pouvait-il, juste un seul homme, contre mille personnes tout autour de lui, armées, des guerriers munis de lances, avec ces grands casques qui ne laissaient que de l’espace pour les yeux, comment un seul homme pouvait-il prendre une mâchoire de mulet et terrasser à la fois mille hommes parmi eux ? Eh bien, cette vieille mâchoire fragile sauterait en éclat au premier coup sur l’un de ces casques. Ils ont reconnu une certaine force surnaturelle, quand il frappait ce guerrier sur la tête, la chose « bosselée » et les tuait sur le champ. Il frappait de la main droite et de la main gauche et chaque fois qu’il frappait, la puissance de Dieu frappait avec cela.

33 Ça ne fut pas ce que nous pouvons imaginer, une grande chose ; il faut juste une - une main totalement ointe du Saint-Esprit, de la puissance de Dieu, pour terrasser un ennemi dans n’importe quelle circonstance.

34 Et comme ces guerriers se sont souvenus : « Serait-ce possible que nous ayons attrapé quelqu’un d’autre ? » Certains parmi eux pouvaient dire : « Non, c’est lui. Je peux juste voir sa taille ; c’est Samson, c’est celui qui servait ce qu’il appelait le véritable Dieu. Mais certainement que son Dieu l’a oublié.

35 Mais ils se trompaient. Dieu ne l’avait pas abandonné ; c’était lui qui avait abandonné Dieu. Et je pense que c’est pareil pour les gens ce soir. Ce n’est pas Dieu qui a abandonné Son église, c’est l’église qui a abandonné Dieu et Sa Parole. C’est ça le problème.

36 Remarquez, beaucoup parmi eux s’en sont souvenus. Le groupe qui se tenait là, d’un côté, a dit : « Je peux me rappeler quand Délila l’a pris et l’a lié avec des cordes que même un cheval ne pouvait défaire. Et quand nous, nous avons sauté sur lui, cela était devenue comme de petits fils ; il les a simplement coupés en petits morceaux. Et le voici vaincu. »

37 Un autre groupe pouvait se rappeler une nuit là, à Gaza, comment ils l’avaient coincé, mais il avait toujours l’onction sur lui. Et ils ont cherché de le coincer, ils l’ont enfermé derrière les portes. Ils ont dit : « Cette fois-ci, nous allons l’attraper… Mais l’Esprit du Seigneur est revenu vers lui, et il a soulevé tous les portails et il a gravi la colline avec.

38 Quand un homme est dans l’exercice de son devoir vis-à-vis de Dieu, il n’y a pas de portail, il n’y a rien qui puisse faire obstacle un jour le diable avait cherché à enfermer l’homme de Dieu et le peuple de Dieu avec la mer Rouge, mais ils ont traversé tout droit malgré tout. Tant qu’un homme est au service de Dieu, tant que l’onction et la bénédiction reposent sur lui, il ne devrait rien redouter, car Dieu nous a promis qu’Il sera avec nous, et que rien ne pourra nous déranger, en aucun cas.

39 Mais voici un exemple de ce qui arrive quand Dieu… quand vous abusez finalement de Sa longanimité. Eh bien, Il est patient, mais souvenez-vous, Sa patience a une limite. Eh bien, Samson avait mal agi la nuit même où on l’avait amené là, mais finalement Dieu en a eu marre. Il n’arrivait pas à le corriger. Voici ma prière, ô Dieu, ne laisse jamais cette Eglise pentecôtiste en arriver à abuser de la patience de Dieu. Il enverra des messagers, comme nous l’avons enseigné cette semaine, Il suscitera des prophètes au cours des âges, annonçant d’avance Sa Parole et ramenant Sa Parole, et puis, vous continuez sans cesse à vous en éloigner. Vous vous retrouverez aussi aveugle, sans puissance, sans secours, vaincu, et je crains que nous nous en arrivons. Voyez, Samson était séduit par l’éclat. La chose même qui séduit l’église aujourd’hui, c’est l’éclat. Comme c’est pitoyable de voir ces choses arriver.

40 Oui, alors qu’il cherchaient à étouffer la puissance de Dieu, ils ont vu qu’ils ne le pouvaient pas. Samson a soulevé ces très grands portails en fer qui pesaient des tonnes, il a gravi la colline avec, et les a déposés par terre. Certainement, personne n’allait le pourchasser ; ils étaient mieux avisés.

41 Et quand un homme reçoit l’onction du Saint-Esprit, avec la Parole du Seigneur, avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous feriez mieux d’avoir assez de bon sens pour éviter d’attaquer cela. Car, vous verrez qu’il y a la main du Dieu vivant, et qu’Elle est pesante.

42 Mais nous voyons qu’il y avait là un autre groupe qui, un jour, l’avait vu sur la route, alors qu’un lion accourait vers lui en rugissant. Et le lion, est un animal dangereux, il peut tuer un homme en une fraction de seconde, quatre ou cinq hommes, et tout ce dont il a besoin, c’est juste seul bond. Et ce lion, ayant été dérangé, ils ont vu un exploit en observant le lion. Et le lion, probablement qu’il avait été dérangé et qu’il était fâché, alors il a pourchassé précipitamment Samson. Et ce dernier s’est tenu là, sans secours. Mais tout d’un coup…

43 Oh ! Il est un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Tout d’un coup… Pourquoi vous les malades, ne pouvez-vous pas avoir une telle pensée ce soir ? Pourquoi ne le pouvez-vous pas, vous qui avez peur que quelqu’un dise quelque chose contre vous, quelque chose à votre sujet ? Ils ont dit cela au sujet de Jésus. Tout d’un coup, il s’est livré à la puissance de Dieu. Et chacun de vous, par la confession et la foi, peut recevoir toutes les puissances qu’il y a, tant dans les cieux que sur la terre. Que cela vienne sur vous.

44 Samson, pendant que Samson se tenait là, la puissance de Dieu est venue sur lui, le lion a bondi sur lui, il a simplement attrapé le lion par la gueule et il l’a déchiré avec ses mains. Est-ce qu’un homme qui a faire pareille chose… Voici le même homme se tenir là, vaincu, sans secours et aveugle.

45 Et je peux pratiquement vous montrer une église qui est comme cela : « Sans secours, vaincue, aveugle, rejetant les promesses, rejetant la Parole, une église à qui, Christ a promis qu’il aura la puissance sur les maladies : « En mon Nom, ils chasseront les démons », ils ôteront le démon et le chasseront, et les bénédictions qu’Il a promises à Son Eglise. Et puisque cette église a rejeté les réunions de prière, elle a rejeté la sincérité, et a fait de la religion de Christ une tradition, et l’a dépouillée de toute la force… l’éclat est entré dans nos églises, et elle se tient pratiquement vaincue. Oh ! là là !

46 Il se tenait là, complètement dépouillé de sa force par une femme, en effet, ses yeux ont convoité parce que une Jézabel immorale avait institué un système pour conquérir un serviteur de Dieu.

47 Puis-je dire ceci avec respect, un système de Jézabel a été élaboré et il est en train de conquérir, il les rassemble tous dans une fédération, toutes les dénominations, les pentecôtistes et tous, dans le concile mondiale des églises, ce qui n’est pas moins qu’un piège du diable pour vous dépouiller de ce que vous avez. Ensuite, elle se moquera de vous : être dépouillé de la puissance par cette femme-là.

48 Il y a quelques années la pentecôte, pas plus de cinquante ans, tenait ferme. Les gens, étaient différents. Ils étaient sortis de - de différents groupes à cause de la mondanité, et à cause de leur mondanité, ils étaient des modèles. Et Dieu s’est emparer de cette église-là, et aujourd’hui elle est l’une des églises les plus puissantes du monde. Mais ce qu’elle fait, elle a directement fait demi-tour et elle est rentrée dans la même conglomération d’où elle est sortie. Et quand elle se met à faire cela, sa puissance lui est ôtée. Où trouvons-nous les réunions de prière qui dure toute la nuit ? Qu’un prédicateur prêche jusque vers 1 heure ou 2 heures du matin, comme on le faisait, il prêchera aux sièges vides ; ils doivent rentrer chez eux et voir « nous aimons Susie » ou quelqu’un d’autre dans une certaine émission à la télévision. Eh bien, c’est la vérité. Pourquoi ? « Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur. » Notre trésor devrait être dans la Parole. Les gens de l’Arizona sont des prospecteurs ; vous devriez vous mettre un moment à creuser, voyez, voir ce qui vous revient.

49 Mais Samson se tenait là, vaincu, dépouillé par une femme. Et toute sa puissance lui avait été ôtée parce qu’il s’était livré et avait confié son secret à une femme.

50 Eh bien, aussitôt que nous devenons assez grands pour pouvoir quitter au coin et pour quitter une petite mission quelque part, nous cherchons à construire des églises plus grandes que celles de l’autre. Nous aimerions dépasser les méthodistes, les presbytériens, les baptistes. Ce n’est pas votre but. Ce n’est pas pour cela que vous êtes ce que vous êtes. Dieu a déjà eu cela. Il ne vous a pas suscité pour cela. Il vous a suscité comme un modèle, de sorte qu’Il puisse placer Sa puissance en vous pour manifester Sa gloire.

51 Mais que quelques Ricky s’y infiltrent, et ils vont pervertir cela et se mettre à rechercher les choses fleuries du monde. Pratiquement toutes les assemblées aimeraient un petit garçon comme pasteur, qui a des beaux cheveux bouclés, et on pense qu’il sait plus à ce sujet que n’importe qui d’autre. Mais une fois vous tombez malade, alors vous n’aimeriez pas l’un de ces jeunes médecins qui viennent de sortir de l’école, s’il vous faut subir une opération, avoir une opération de coeur ; vous aimeriez un vieil homme aux cheveux blancs, qui a une certaine expérience. Ce dont l’église a besoin ce soir, c’est de l’Evangile à l’ancien mode qui s’est avéré être la puissance de Dieu, non pas certain de ces petits Ricky que nos séminaires font éclore. Vous le savez. C’est là que nous sommes ce soir ; c’est ça notre condition. Vous n’aviez pas à entrer dans un tel gâchis, après tout. Vous avez commencé à déchoir là même, et vous n’en êtes jamais revenus, et vous n’en reviendrez pas tant que vous continuez à y aller.

52 Avez-vous déjà pensé, pendant que ces philistins se posaient des questions sur Samson, avez-vous déjà pensé à ce qui se passait dans l’esprit de Samson ? Que pensez-vous que traversait l’esprit de cet homme-là ? Je pense qu’il pensait, pendant qu’il se tenait là, pourtant complètement aveugle, il n’allait plus jamais recouvré la vue, il pensait à toutes les grandes victoires que Dieu lui avait accordées. Il se tenait là, pensant aux jours d’autrefois, ce qu’il faisait.

53 Et c’est pratiquement ainsi qu’est l’homme, comme je l’ai dit ici il y a quelque temps. L’homme se souvient toujours de ce que Dieu a fait et il attend impatiemment ce que Dieu fera, mais il ignore ce que Dieu est en train de faire. Voyez ? Considérez ce qu’Il est en train de faire aujourd’hui. Nous savons ce qu’Il a fait. Et Il envoie à nous… et essaie de nous réveiller une fois de plus, cherchant à nous ramener sur le sentier de Sa Parole, confirmant Cela par Sa Parole confirmée. Et nous nous asseyons tout simplement, nous dormons, nous rentrons chez nous et nous disons : « Qu’est-ce qu’il a dit ? Je déteste aller l’entendre tirer ça en longueur. »

54 Cela lui passait par l’esprit, ce qu’on appellerait ses jours de gloire, jadis quand(1) il était dans l’Esprit du Seigneur, quand le Seigneur exauçait sa prière. Même avant qu’il ait prié, tant qu’il vivait pour Dieu, Dieu était bien à l’heure. Il n’avait pas le temps de penser : « Eh bien, maintenant je dois prier jusqu’au bout, et voir si ces milliers de philistins… » Il savait que Dieu était avec lui ; il n’y avait pas de condamnation, il s’emparait juste de la première chose qui lui tombait dans la main, il s’est mis à frapper. C’est ça. Il n’attendait pas d’obtenir sa licence en lettres, ou apprendre comment faire le duel ; il s’emparait juste de ce qu’il avait à la porté de sa main et se mettait à frapper fort avec cela.

55 Mais aujourd’hui, nous avons appris comment faire le duel avec touts les 1 crédos, et tout le reste comme cela, nous quereller, nous disputer ; nous n’aboutissons nulle part. Nous sommes un Bluffeur, comme c’était le cas du temps de Goliath. Peut-être que Dieu nous enverra un David qui ne connaît pas les crédos, mais qui sait seulement la puissance de Dieu qui a été éprouvée et testée. Toute l’église se tenait là, vaincue, parce que ce grand gaillard s’écriait : « Les jours des miracles sont passés. » Mais cela n’a pas marché quand un homme de Dieu s’est avancé là, un tout petit homme au dos voûté, un homme au teint rosé. Mais Dieu était avec lui ; il avait une expérience.

56 Et on lui a dit : « Prend ce credo-ci de notre église, vas l’affronter-là. »

57 Il a dit : « Je n’ai jamais expérimenté cette histoire ; je n’en sais rien. » On a fini par découvrir que la veste ecclésiastique de Saül ne convenait pas à un homme de Dieu, alors il s’est débarrassé de cette histoire et il a pris ce qu’il savait convenir.

58 Et, aujourd’hui, nous n’avons pas besoin d’une licence en lettres, ni - ni d’un diplôme de docteur pour entrer dans une église ou quelque chose comme cela. Tout ce dont nous avons besoin, c’est la puissance et la résurrection de Christ dans nos vies, pour apporter la Parole de Dieu, avec l’amour de Dieu dans nos coeurs, comme quoi nous sommes sûrs que Dieu donnera ce que nous demandons. « Il ne refusera aucun bien à ceux qui marchent devant Lui dans l’intégrité. »

59 Eh bien, il pensait à ses jours glorieux, quand il y avait des jours glorieux. Ce soir, l’église se souvient d’une époque d’il y a quinze ans, à un réveil de guérison divine, et de victoire. Maintenant, Il est aussi… de Dieu, et c’est son peuple qui a failli. Cela devrait être assez sérieux, car Samson s’est arrêté et a pensé qu’il avait fait défaut à Dieu. Il… Ce n’était pas la faute de Dieu, Il ne l’avait pas délaissé, c’était sa propre faute. Et de… le peuple, le peuple de Dieu, il avait été suscité pour lui prêcher l’Evangile avec force, mais en flirtant avec cette femme dans le vent…, cette femme immorale, il a perdu toute la force que Dieu lui avait donnée.

60 C’est pareil avec l’église. Dieu a suscité l’église pour être un phare, pour manifester Ses puissances, guérir les malades, ressusciter les morts, chasser les démons, mener une vie sainte, prêcher le plein Evangile, manifester cela, mais nous commençons à céder et à laisser tomber des barrières.

61 Nous avons suivi un mauvais exemple. Les femmes ont agi comme la femme du pasteur. Il l’a laissée prendre une mauvaise voie…, se couper les cheveux, porter n’importe quel genre d’habit sexy, sans jamais être réprimandée. Et les autres femmes ont dit : « Si la soeur telle fait cela, moi aussi. » N’en faites pas votre modèle. Voyez ? Dieu vous a dit quoi faire, tenez-vous à cela.

62 Eh bien, alors quand vous faites cela, vous décevez Dieu et vous décevoir aussi Son peuple, décevant Son peule. Quand vous les décevez, vous décevez Dieu. Dieu vous a placé là pour être une sentinelle, et quand vous voyez le péché s’infiltrer, au lieu d’ôter la chose, ils attirent cela. « Quand tous les anciens s’assembleront, nous allons avoir une - une certaine chose, nous allons voter contre telle doctrine pour la faire sortir de l’église, la guérison divine. Nous - nous n’aimons pas ça. » Alors, vous vous mettez à voter contre cela. Oh ! c’est - c’est ainsi que ça s’est passé.

63 Les méthodistes, vous les méthodistes, autrefois vous aviez la guérison divine dans les églises. Les presbytériens, les luthériens, vous aviez cela il y a longtemps ; vous aviez des cris et la joie. Qu’est-il arrivé à cela ? Vous avez reçu une bande de 1800 et quelques petits Rycky qui ont qui ont fait quelque chose d’éclat et c’est parti.

64 Et vous les pentecôtistes, vous avez fait la même chose. C’est vrai. Et aujourd’hui, vous êtes tout aussi vaincus, que les autres, tout organisés : et notre groupe, croit ceci. Et si vous n’êtes pas le nôtre, vous irez en enfer. » Et qu’est-ce que vous faites discuter ? Vous n’aboutissez nulle part. Dieu ne vous témoigne aucune faveur, parce que vous êtes tout aussi vaincus que les autres, parce que vous avez emprunté la même voie qu’eux. Exact.

65 Eh bien, il était devenu un prisonnier de la - de la nation qu’il devait détruire, il a été suscité pour ça. Ce vaillant homme de se tenait là… il se tenait là, prisonnier de la nation même qu’il devait détruire, c’est pour ça que Dieu l’avait suscité pour détruire.

66 Je n’aimerais pas blesser vos sentiments, mais j’espère que cela vous aide. Voici venir l’église pentecôtiste que Dieu a suscitée, sortant de l’organisation, où cela les a amenés, et aujourd’hui, vous êtes devenu un prisonnier de ce même clan. Eh bien, vous savez que c’est la vérité. Et puis, que quelqu’un dise quelque chose contre cela, vous êtes prêt à le rejeter. C’est pratiquement un aveugle conduisant un aveugle.

67 Tout le monde sait que l’Eglise pentecôtiste, il y a cinquante ans, condamnait tout ce qui s’organisait en dénomination. Vous étiez frères et soeurs, et vous avez vécu votre temps. Et vous parliez de l’église moderne et de ses modes, et les comportements des femmes, et les modes qu’elles suivaient ; les hommes, aussi, et l’abandon de la Parole de Dieu. Et Dieu vous a appelé à sortir de cela. Et vous avez fait demi tour, et vous êtes directement rentré à la même chose d’où Dieu vous avez appelé à sortir. Et c’est la raison même pour laquelle Dieu vous a suscité à être comme cela, vous vous tenez lié au un poteau d’une dénomination, tout aussi vaincus que Samson, avec des yeux crevés, vis-à-vis de la Parole, et tout le reste. C’est vrai. C’est vraiment dommage. Dieu vous a suscité pour vaincre cette chose là, et vous y avez adhéré.

68 Et Samson est directement allé épouser une femme, il s’est marié à la chose même d’où Dieu l’avait fait sortir. Et l’église, l’Eglise pentecôtiste est directement retourné se marier à la chose d’où Dieu l’avait fait sortir. Il ne peut pas traiter avec un groupe ; Dieu traite avec un individu. Ça toujours été sa ligne de conduite. Deux hommes ont deux conceptions différentes. Dieu prend un seul homme, pour Lui ; c’est tout ce qu’il Lui faut, un seul homme. C’est ce qu’Il essaie de trouver aujourd’hui, Il cherche à vous avoir dans Sa main ; Il prendra un ici et un là. Ça ne sera jamais un groupe, faites donc sortir cela de votre esprit.

69 Une fois que vous formez une organisation, à l’instant même vous perdez votre - vous perdez votre droit d’aînesse. J’aimerais poser une question à n’importe qui : quand avez-vous déjà vu un - un - un homme être suscité avec un Message de Dieu, et aussitôt qu’on organisait cela, ça ne se relevait jamais. Il n’y a pas un seul - un seul passage des Ecritures, nulle part, rien de l’histoire, pas un écrit de l’histoire, où - où on voit une dénomination, ou un quelconque groupe de gens qui s’étaient donc organisés, qui avaient perdu sa puissance spirituelle se releva, jamais. [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… rien du Dieu vivant, le thermomètre spirituel indique tout le temps moins quarante. C’est comme ça : «L’apparence de la piété, reniant ce qui en fait la force, éloigne-toi de tels hommes.»

70 Dieu, en ce temps-là, suscitait toujours quelqu’un qui martelait cette chose depuis la fondation, et qui prenait le petit groupe de l’église, qui était resté, et l’amenait à la victoire. Il fera encore cela. Il ne change pas ; Il est Dieu. Quand Dieu dit donc quelque chose, Il ne peut jamais avoir une meilleure conception. Souvenez-vous-en, c’est là notre confiance. Dieu a frayé une voie pour que l’homme l’adore sous le Sang versé dans l’Eden. Il n’a jamais changé cela. Il ne peut pas changer cela. S’Il le faisait, Il aurait eu une conception meilleure que celle qu’Il avait eue la première fois, or Il ne peut pas avoir ça. Il reste toujours le même. Dieu a toujours suscité une nation, qui s’est dépouillée, Il en prenait un homme, le suscitait là et lui confiait la parole de Dieu, et ce dernier condamnait tout. Il partait de là et continuait. Il ne prendra jamais une dénomination pour faire cela. Il vous prendra si seulement vous L’écoutez, et vous vous abandonnez.

71 Oui, la chose même pour laquelle Il était né au monde, pour laquelle Il avait été revêtu de puissance pour accomplir cela, Il se tenait là, prisonnier de cette chose-là même. Ils lui faisaient faire des tours pour divertir, les divertir, des tours. Oh ! la la ! il a laissé une - une femme le séduire et l’éloigner de la Parole de Dieu. La Parole était pour lui un secret. C’était un don de Nazaréen, et il ne devait jamais révéler cela à qui que ce soit. Mais il a laissé une femme le séduire.

72 Et ce qui nous est arrivé aujourd’hui. Nous avons fait entrer dans notre église des choses qui ne sont pas chrétiennes. Il n’y a pas d’église établie qui dise ne pas avoir des hypocrites. Toute l’organisation est pleine d’hypocrites et de toutes espèces. C’est vrai. Mais je vais vous donner cette assurance… Maintenant, là c’est dans une loge. Vous pouvez être membre de la loge méthodiste ou de la loge presbytérienne, mais vous ne pouvez pas être membre de…

73 Vous ne pouvez pas adhérer à l’Eglise. Vous pouvez adhérer à une loge, mais vous ne pouvez pas adhérer à l’Eglise. Vous y entrez par la naissance. Et une fois entré dans cette Eglise-là par la naissance, il n’y a pas d’hypocrite là. Tout est pur et saint là, car vous êtes mort, et votre vie est cachée en Dieu par Christ, elle est scellée par le Saint-Esprit. Le diable ne peut pas vous atteindre, s’il le lui fallait. Il doit emprunter la même voie que vous, et alors, il serait votre frère. Voyez ? Vous ne pouvez donc pas faire cela.

74 Mais vous pouvez adhérer à l’église avec n’importe quoi, rien que pour avoir des membres, des décisions. Comme je l’ai dit hier soir, tout ce que nous entendons aujourd’hui… On dirait que le grand rassemblement aujourd’hui, c’est : « Plus de membres, plus de membres. » Des graphiques : « Nous les dépassons. » On leur donne un cadeau, parce qu’ils ont apporté quelqu’un d’autre à l’école du dimanche, faire du prosélytisme. Et qu’est-ce qu’il devient une fois entré là ? Qu’est-ce qu’il a entendu ? Une petite Jézabel au visage fardé parlant de ses rendez-vous de la veille, ou une - une petite oeuvre littéraire accrochée au mur. Et vous savez que c’est vrai. Et le pentecôtistes glissent tout droit là-dedans. Vous laissez que votre littérature soit conçue quelque part ailleurs, ce que vous nous enseignez.

75 Le rang le plus élevé dans l’église, c’est celui de l’ancien, pas de l’évêque, ni du presbytère ou de quelque chose comme cela. Dieu traite avec l’ancien de l’église. Eh bien, il apporte à son église son message, et ce dont ils ont besoin.

76 Oui, il a laissé la séduction d’une femme l’éloigner de la Parole de Dieu. C’est ce qu’ils ont fait aujourd’hui. Comment ont-ils fait cela ? « Eh bien, écoutez maintenant, je vais vous dire, Frère Untel. Eh bien, vous savez, ces gens là, ils font telle chose, ils observent telle autre. » Ce n’est pas votre modèle.

77 Christ est votre modèle. Il a dit : « Je vous ai donné un exemple. » Laissez-Le être votre modèle.

78 C’est pareil pour les églises, c’est exactement ce qu’elles ont fait, elles ont laissé Jézabel, la mère des prostituées, Apocalypse 17, faire la même chose, la ramener d’un trait dans ce même vieux ballottement, maintenant elle est aveugle aux choses spirituelles qui se passent. Oh ! vous ne le pensez pas, mais vous l’êtes. Ne me dites pas le contraire. Voyez ? Je parcours cette nation depuis quinze ans. Aveuglés ! Chose spirituelle, voir Dieu venir et faire exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait en ce dernier jour et dire : « Eh bien, je vous assure, je crois que c’est peut-être très bien, mais le - le ministère derrière ne vient pas de Dieu. » Comment Dieu peut émettre à la fois les eaux douces et les eaux amères, d’une même source ? Ce n’est pas là.

79 Oui, aveuglé aux choses spirituelles et à la Parole de Dieu, ils sont retournés au même trou d’où ils étaient tirés. Des pentecôtistes sont nés hors de la dénomination, et les hommes les ont ramenés droit dans la dénomination. La Pentecôte est une expérience qu’une dénomination ne peut pas supporter, parce que c’est une expérience, personnelle pour chaque individu. C’est vrai. Eh bien, regardez-les se tenir là, vaincus, tout le groupe. Les prédicateurs ne peuvent pas les recevoir dans leur église, à moins qu’ils aient une expérience du séminaire.

80 L’un de nos grands mouvements pentecôtistes, l’autre jour, on devait amenez un missionnaire devant un psychiatre pour voir si son coefficient intellectuel était élevé, assez élevé pour devenir missionnaire, l’une de nos grandes dénominations, voir si son coefficient intellectuel est assez élevé. Dieu n’a jamais eu pareille chose. Il a dit : « Attendez là jusqu’à ce que vous soyez revêtu de la puissance d’en haut. » Alors, vous aurez eu votre coefficient intellectuel, c’est ce qu’il faut faire. On ne les examine pas par ce que Jésus a indiqué comme test. On les examine de par leur propre conception intellectuelle, le coefficient intellectuel d’un missionnaire. Dieu n’a pas dit de leur donner une puissance intellectuelle, mais Il a dit : « Vous recevrez une puissance d’en haut. » Mais nous nous éloignons de Cela.

81 Souvenez-vous, l’Eglise catholique romaine était la première Eglise pentecôtiste. C’est tout à fait vrai, en l’an 33 après Jésus-Christ. Mais du fait que les Rickys y étaient entrés, s’y sont infiltrés, les célébrités, la chose suivante vous savez, au concile de Nicée, ce plan a été adopté et ils ont formé une dénomination. La chose était morte. Le temps du vrai prophète était fini. Pratiquement mille ans, cela est passé par les âges des ténèbres. C’est ce que Dieu avait montré, la condamnation de tout le système au commencement. C’est vrai.

82 Les prédicateurs passent par le séminaire : « J’ai un doctorat en philosophie, ou un doctorat en droit », avant qu’ils puissent même être pasteur d’une église, montrer une carte de membre. Du non-sens !

83 Le prophète du Seigneur sortait du désert, et personne ne savait d’où il venait ni où il allait, mais il avait, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Dieu confirmait cela. Il n’était dans aucune de leurs organisations. C’est le système de Dieu. C’est vrai.

84 Les prédicateurs de séminaire, qu’ont-ils fait ? Des femmes habillées de façon mondaine, portant des shorts, ayant des cheveux coupés, et des hommes n’ayant pas assez de cran pour condamner cela.

85 Tout homme qui laisse sa femme faire cela a besoin d’un bon fouet de l’Evangile. C’est vrai. Elle prouve qu’elle est un déshonneur, et vous acceptez cela. Tout homme qui ferait sortir sa femme dans la rue portant ce petit pantalon, elle sortent avec ça, c’est si collé que la peau est dehors, et marchent dans la rue comme ça, est absolument une disgrâce pour l’humanité. Cela me prouve qu’il manque quelque chose là dedans. Cela prouve le vide.

86 Si vous voulez paraître jolie, prenez un peu d’Actes 2.38, un peu de Jacques 5.14, mélangez tout cela ensemble, un peu de Jean 3.16, et - et tout cela, mélangez-les ensemble, ça fera un produit assez cosmétique pour vous.

87 Max Factor, je vois où on dépense des centaines de millions de dollars, cent milliards de dollars chaque année rien que pour le rouge à lèvre ou quelque chose comme cela, l’une de ces choses ; alors que des missionnaires sur des champs de travail crèvent de faim ; et vous dites : « Nous sommes l’église. » Eh bien, ça me fait honte. Nous nous chargeons de tout cet éclat, de grandes choses. Que faites-vous ? Cela montre que vous avez attrapé l’esprit de Jézabel : le vide.

88 L’autre jour, j’écoutais un prédicateur, un brave homme ; je l’aime en tant qu’homme, il est membre d’une certaine dénomination, il habite de l’autre côté de la rivière en face de chez nous, et il a une émission à la radio. Il venait de rentrer ; il parlait de ces femmes ici qui portent toute sorte d’histoire bleue ici et - et une histoire sur le visage.

89 Eh bien, j’ai été effrayé à mort la première fois que j’en ai vu une. J’étais à Los Angeles, et j’attendais frère Arganbright, un homme d’affaires chrétien. J’ai vu une femme s’approcher, je me suis dit : « Pauvre jeune fille. » Je - je suis un missionnaire, j’ai vu la lèpre et j’ai vu la pellagre. Je n’ai jamais vu pareille chose. J’allais m’avancer pour lui demander si je pouvais prier pour elle. J’ai fini par le découvrir, en voyant une autre venir dans le même état. Je ne vous blâme pas du fait que vous cherchez à vous embellir, mais soyez réellement humaine là-dessus. Exact. C’est ça.

90 Cet homme a dit qu’elles rendaient le monde plus joli quand elles se maquillent. Pour moi, c’est devenu une bande de païennes. Et toute femme qui fait cela prouve qu’il y a quelque chose qui manque en elle, un vide qui devrait être comblé par Christ. Et tout homme qui laisse sa femme faire pareille chose, prouve qu’il a un vide aussi. C’est vrai. Et tout prédicateur qui soutient cela dans son église prouve qu’il a aussi un vide. Et toute dénomination qui soutient cela prouve quelle est morte. C’est vrai. Retournez à la Bible.

91 Samson se tenait là, victime d’une telle sottise, pour nous servir d’exemple, un grand homme. Oh ! la la ! comme on l’a laissé faire cela. Alors que Samson pensait aux erreurs, il pensait à ce qu’il avait fait, et comment il avait déçu Dieu… Je me demande, si les gens comprennent, en entendant pareil message contre cela.

92 L’autre jour, ma femme a dit, elle m’a dit, après que quelqu’un m’avait engueulé, elle a dit - elle a dit, il m’avait écrit une lettre, disant : « Billy, pourquoi ne laissez-vous pas tranquilles ces femmes aux cheveux coupés, leur manière de... » Il a dit : « Les gens croient que vous êtes un voyant. Vous devriez enseigner aux femmes comment recevoir de grands dons spirituels et laissez tomber cela. »

93 J’ai dit : « Comment puis-je leur enseigner l’algèbre alors qu’elles ne veulent même pas apprendre leur A, B, C ? » Voyez, voyez ? Certainement. Comment pouvez-vous faire cela ? Un tel fratras de péché, la marque de cela se fait voir. Tout le monde sait que le maquillage est un trait du paganisme. Je suis un missionnaire. Les païens se maquillent. Les indiens se maquillaient le visage ici en Arizona avant qu’ils connaissent Dieu. Si jamais ils avaient connu Dieu, on n’aurait plus eu à leur en parler ; ils enlèvent cela. Cela montre qu’ils sont en guerre contre Dieu. Quand ils enlèvent cela, cela montre qu’ils sont en paix avec Dieu.

94 Nous nous disons une nation chrétienne, nous nous disons chrétiens. Un jour, j’étais en Afrique, où le Seigneur avait rétabli un homme qui était très déformé, un jeune garçon aux yeux louches, et des oeuvres qu’Il a faites là dans environ 15 minutes. Et j’ai demandé : « Combien », sur deux cents cinquante mille auxquels, je parlais à Durban, « veulent recevoir le Seigneur Jésus ? » Et ils se sont levés, environ trente mille personnes.

95 Ils ont dit… j’avais quinze interprètes, ils ont dit : « Ils pensent qu’il s’agit de la guérison du corps. »

96 J’ai dit : « Je parle du salut. » Et j’ai dit cela par les interprètes une fois de plus. J’ai dit : « Que tous ceux qui me comprennent… » Ils portaient de petites idoles aspergés de sang, des yeux de lapin, toute sorte de superstition, les griffes de lion. Alors j’ai dit : « Vous qui croyez et qui aimerez vous débarrasser de vos superstition pour servir le Dieu qui est capable de rétablir, cet homme qui se tient ici comme vous L’avez vu le faire aujourd’hui, et même fait recouvrer le bon sens à quelqu’un, si vous voulez l’avoir comme votre sauveur, comme preuve de votre sincérité, brisé votre idole par terre. » C’était comme un nuage de poussière.

97 Et je me tenais là, les femmes étaient là nues comme des vers, à part un linge qui était suspendu par devant, tout le reste depuis la taille jusqu’en haut était nu. Alors j’ai dit : « Levez la main et offrez la prière des pécheurs, et j’ai dit : ‘Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, pécheur.’ » Et j’ai dit : « Là même où vous vous tenez, levez la main maintenant et acceptez le baptême de l’Esprit de Christ. Certains prédicateurs ici vous baptiseront du baptême chrétien. » Et quand ils ont levés les mains, ces femmes qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche, qui étaient venues là complètement nues, mais en partant, elles ont même pliés leurs bras pour quitter de devant cette foule. Une minute avec Jésus-Christ, les avait amenées à savoir qu’elles étaient nues.

98 Et aujourd’hui, année après année, nous nous déshabillons davantage et nous ôtons davantage. Et, oh ! jamais je… Et puis, appelez cela Dieu ? Qu’est-ce qui a fait cela ? Vos dénominations vous le permet. C’est vrai. Ce système contre lequel vous avez été suscité, pour vous en débarrasser, vous l’avez directement ramené. J’espère que je n’ai pas l’air sacrilège. J’espère que je suis… Ce n’est pas sacrilège ; c’est la Parole du Seigneur. Certainement que ça L’est.

99 Eh bien, eh bien, nous voyons que pendant que Samson se tenait là à considérer son erreur, à considérer ce qui avait été fait, dans sa conscience profonde, qu’il avait - qu’il avait déçu Dieu, il avait déçu le peuple de Dieu… Et il se tenait là comme un exemple, réfléchissant à ce qu’il avait été, et pensant alors à ce qu’il était. Et alors, il a crié.

100 Oh ! si l’église ce soir pouvait se tenir tranquille une minute et se souvenir du jour de la Pentecôte, se souvenir de là où nous avons commencé, et se rendre compte de la condition dans laquelle nos crédos et nos disputes nous ont plongés et crié une fois de plus… Samson a crié : « Seigneur Dieu, venge-moi de mes deux yeux. » Si nous pouvons pousser ce même cri de repentance : « Seigneur Dieu, ces choses m’ont rendu aveugle tout ce temps. » Il savait qu’il y avait un prix à payer. Vous le savez à présent.

101 Meda, ma femme, m’a dit, elle a dit : « Tu traverses à plusieurs reprises les nations, tout le temps, prêchant, tu y retournes, les gens font toujours la même chose. Alors à quoi bon ? »

102 J’ai dit : « Au jour du Jugement, il y aura une bande dans le grand enregistreur de Dieu. » Vous n’ignorez pas ces choses. Dieu fera retentir cela dans les cieux. Il doit avoir une voix là pour condamner le monde. Et cette Voix, c’est l’Evangile.

103 « Venge-moi, Eternel, de me ennemis. Venge ma vue. Ils me les ont crevés, Seigneur, et me voici. » Samson savait aussi qu’il y avait une possibilité, que Dieu pouvait encore une fois l’exaucer. Même dans son état, il y avait une possibilité. Oh ! église, il y a une possibilité, peu importe tout ce qu’on fait.
Comme nous l’entendons trop aujourd’hui : « Beaucoup de décisions ont été prises, des décisions. » Les décisions représentent une pierre, une confession. » Comme je l’avais dit auparavant, à quoi sert une pierre si vous n’avez pas là un maçon avec une Parole tranchante pour transformer cette pierre en une pierre placée dans le bâtiment ? A quoi sert-il de prendre des décisions si on continue à laisser les femmes et les hommes demeurer tels qu’ils étaient, et adhérer simplement à l’église ? C’est un tas de pierres non taillées sous une quelconque forme. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un maçon, un homme qui a la Parole de Dieu, la puissance confirmée pour prouver que Dieu l’a envoyé, tailler cette Eglise, ôter les choses du monde, et leur donner la forme des fils et filles de Dieu pour convenir dans son bâtiment. C’est certainement vrai. Oh ! la la !

104 Il savait cependant qu’il y avait des possibilités, que Dieu pouvait exaucer la prière. Si seulement nous pouvons faire cela ce soir… Jésus a dit, quand Il était ici sur terre, le… Jean 14.12 : Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Jésus dit, ou la Bible dit dans Hébreux 13.8, cela a été cité il y a quelques instants : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Et nous appelons cette vie de dénomination qui est en nous la Vie de Christ, et faire des choses que nous faisons ? « Pourquoi M’appelez-vous ‘Seigneur’ et n’observez-vous pas Mes commandements ? Pourquoi L’appelez-vous ainsi ?

105 Oh ! si vous n’avez pas cinq membres dans votre église, apportez-y la Vérité. Une possibilité. De même aujourd’hui, une possibilité… Mais ceux d’aujourd’hui ne semblent pas saisir la vision comme Samson. Ils ne semblent pas saisir cela, ils pensent : « Eh bien, je suis bien installé. Maintenant, nous avons de bonnes églises, nous n’avons aucune… » Voyez ?

106 La Bible dit : « Cet âge riche de l’église de Laodicée n’a besoin de rien, et elle ne sait pas qu’elle est nue, aveugle, misérable, et ne le sait même pas. » Eh bien, si vous voyez quelqu’un passer dans la rue nu, aveugle et que vous pouvez lui révéler son état, qu’il est nu, il devait aller quelque part se cacher. Eh bien, il serait…c’est possible que vous puissiez retirer cette personne de la route. Mais il s’en détourne, n’ayant pas assez de facultés mentales pour savoir cela… Mais maintenant, l’église n’a pas assez de facultés spirituelles pour le savoir. Nu, misérable, aveugle, malheureux, pauvre, Christ est dehors, en train de frapper, cherchant à entrer ; et cependant, vous dites que vous n’avez besoin de rien.

107 Je sais que c’est étrange pour certains parmi vous, mais c’est la Vérité de Dieu. C’est ce que dit la Parole. Ils ne saisissent pas la vision. Vous pouvez leur en parler, cela passe directement. Peut-être que là sur place il y aura un peu de conviction ; demain, tout cela sera oublié ; ils retournent droit à leur jeu de carte, à leur tricotage et couture et - et ils sont membres de toutes ces histoires, et tout est oublié.

108 Dieu peut faire l’une ou l’autre chose pour quelqu’un, et : « Oh ! eh bien, cela est arrivé juste par hasard. » Voyez, le diable a tellement empoisonné leur esprit avec des choses qu’ils ne savent même pas où ils se tiennent. Ils sont liés. Oh ! ils peuvent taper les mains et crier « amen » et danser en Esprit. Cela ne veut rien dire. J’ai vu des païens faire cela. C’est vrai. Avoir de grands rassemblements. Oh ! vous direz : « Nous avons toujours ce réveil, Frère Branham. » Oui, oui, quel genre de réveil ? Vous avez des rassemblements d’église.

109 Cela se passait dans le Kentucky nous appelions cela des réunions prolongées, et c’est à peu près ce que ça fait, ça traîne. Et elles sont loin d’attirer par l’Evangile. C’est vrai. Oui, ils disent : « Oh ! nous avons tenu une réunion. Savez-vous quoi ? Nous avons fait venir docteur Untel dans la ville, et nous avons eu des milliers de gens. Toutes les églises ont collaboré. » Qu’avons-nous fait ? Avons-nous eu un réveil ? Avons-nous ramené les gens à la Parole de Dieu, et Dieu s’est-Il mis à oeuvrer dans l’église ? Qu’avons-nous fait ? Nous avons eu un tas de rassemblements, d’éclats avec des clinquants mondains ; c’est tout à fait vrai, l’érudition, avec des mises en scène d’Hollywood.

110 Oh ! vous direz : « Là, ce sont les baptistes. » Ce sont les pentecôtistes. Exact. Là sur l’estrade, des femmes sautillant et dansant, ayant un air horrible, portant de petites robes bizarres et serrées, cela, je… c’est une honte. Je ne peux même pas trouver des mots convenables maintenant même. C’est une honte. Des hommes assis là, en train de crier : « Gloire à Dieu ! Alléluia ! » Quel genre d’esprit avez-vous attrapé après tout ? Pensez-vous que Jésus crierait devant pareille chose ? Il condamnerait cela. Vous pensez que si Esaïe était suscité sur la scène, Jérémie, Amos, l’un de ces prophètes de l’Ancien Testament, s’il entrait en scène, comme cela, et qu’il voyait des choses qu’on voit se passer, combien il crierait contre cela, il dirait : « Le Dieu même que vous prétendez servir vous détruira. Il dirait la même chose aujourd’hui. Certainement.

111 Cela ne veut rien dire. La mise en scène, nous avons trop de Hollywood, mais cela ne fait pas descendre l’Esprit et la puissance de Dieu. Cela peut susciter l’enthousiasme, mais cela ne fait pas descendre la puissance de Dieu.

112 Ils ne veulent pas payer le prix. Samson a prié bien. Qu’est-ce qu’il a dit dans la prière ? Pour terminer, je peux dire ceci : « Seigneur, laisse-moi mourir avec l’ennemi. » C’est là le problème. Ils ne veulent pas payer le prix de la mort. Vous vous êtes intégré dans une communauté, dans un groupe de gens, avec lesquels vous vous êtes associé, vous jouez aux cartes, vous restez à la maison suivre des émissions, vous mangez les frites de pommes de terre et vous buvez coca. L’église reste vide. C’est vrai. Et on vous fait signer une carte, comme quoi vous viendrez six mois par an à l’école du dimanche. Un grand enthousiasme humain. Ce dont nous avons besoin, c’est du Saint-Esprit. Oh ! vous direz : « Je L’ai reçu. » Vous n’agissez certainement pas en conséquence. Oui, oui. Que le prédicateur prêche une heure ou quelque chose comme cela, vous êtes sur le point de convoquer le conseil des administrateurs pour le bouter dehors. C’est vrai. Oh ! vous - vous aimeriez manger votre cake et gardez aussi cela. Ça ne peut pas se faire. Absolument pas. Vous devez vous abandonner. Vous avez un prix à payer, vous avez un nettoyage à faire. Et je vous assure, toute l’église à travers le monde, a besoin d’un nettoyage de la chaire à la chambre du concierge. C’est vrai. C’est la vérité. On n’est pas disposé à payer…

113 Mais Samson a prié comme il fallait, quand il a dit : « Seigneur, que je meure avec ces Philistins. » Il avait failli, mais : « Que je meure. » Vous devez être prêt à mourir à votre ennemi qui a remporté cette victoire sur vous. Vous devez être disposé à abandonner vos propres pensées. Samson était disposé à payer le prix pour avoir - pour avoir encore la puissance de Dieu. »

114 Je me demande si vous les femmes, vous êtes disposées à laisser pousser vos cheveux. Je me demande si vous les hommes, vous avez assez de courage pour leur en parler. Si vous êtes censés être la tête de la maison. Elle est le cou ; elle vous fait tourner. C’est le contraire. Pensez-vous qu’un réveil qui secoue pourrait donc dés embaucher ces femmes de fonctions publiques, de policières dans les rues et autres ? Elle devrait être à la cuisine. Pensez-vous que vous serez capables de la ramener là une fois de plus ? Absolument pas. Elle ne le fera jamais, à moins qu’elle soit sauvée ; alors elle le fera. Vous n’aurez pas à lui dire quoi que ce soit à ce sujet ; elle trouvera sa place. Le Saint-Esprit la conduira à sa place. Mais vous dites : « C’est le Saint-Esprit qui me conduit ». A quelque chose de contraire à la Parole ? N’appelez pas cela le Saint-Esprit.

115 Etes-vous disposé à payer le prix ? C’est dans une… Eglise pentecôtiste, êtes-vous disposée à payer le prix ? C’est ça. Voyez-vous quel genre de honte plane sur nous ? Exact. Samson était disposé à payer le prix pour avoir encore la puissance de Dieu. Oh ! j’entends certains parmi vous dire : « Nous avons cependant des réveils, Frère Branham ? Mais qu’est-ce que vous obtenez après avoir eu ce réveil ?

116 Billy Graham a dit dans son message à Louisville, dans le Kentucky, alors que j’étais assis cela… avec lui à un petit-déjeuner. Il s’est levé là, il a pris la Bible et a dit : « Cette Bible est le Modèle de Dieu. » O comme, c’est vrai. Mais alors, suivre cela, c’est la chose suivante. Il a dit : « Paul entrait dans une ville et faisait un converti, il laissait ce converti là, un seul converti dans une ville. L’année suivante, il y revenait, et ce converti avait trente ou quarante convertis qu’il avait amenés à Christ. » Il a dit : « Moi, j’entre dans une ville, et qu’est-ce que je fais ? J’ai trente mille conversions, des décisions. » Il a dit : « Je reviens dans une année, je n’en ai pas trente. » Il a dit : « Quel est le problème ? » Alors, il a désigné les prédicateurs et a dit : «C’est vous, prédicateurs paresseux, vous restez assis avec les pieds sur le bureau et vous n’allez pas rendre visite aux gens.»

117 Eh bien, il y avait une bonne partie de vérité là. C’est vrai. Mais ce n’était pas toute la vérité. Comme cet homme qui mangeait le pastèque, il a dit : Laissez-en prendre une bouchée, le vieux noir, et il a dit : « Oh ! c’était bon, mais assurément qu’il y en a encore davantage. » Et c’est vrai.

118 Voici ce qui se passait. Qui suis-je pour dire à ce grand évangéliste, qui suis-je pour dire un mot à un homme comme Billy Graham ? Loin de moi cela ! C’est un serviteur de Dieu. Je ne parlerais pas à - à ce sujet, à moins qu’il me le demande, alors je pourrais, peut-être, dire quelque chose. Mais j’aurais voulu dire ceci : « Billy, quel prédicateur paresseux restait avec ses pieds sur le bureau dans le cas du converti de Paul, du seul qu’il avait ? Il n’y avait pas de prédicateur dans la contrée. Qu’était-ce ? Paul ne le laissait pas au niveau de la décision. Après qu’il avait pris sa décision, Paul se tenait là avec la Parole de Dieu, le taillait et le transformait en fils de Dieu ; alors on ne pouvait pas le garder tranquille. »

119 C’est ça le problème aujourd’hui, toutes ces décisions ont besoin d’être taillées pour qu’ils deviennent des fils et des filles de Dieu. Purifiez-vous, retournez à la Parole et retournez à l’Evangile. Certainement, c’est ce dont nous avons besoin.
Oui, nous avons un réveil aujourd’hui, mais qu’est-ce ? C’est un réveil dénominationnel. Les baptistes avaient un slogan : « Un million de plus en 44’. » Qu’avez-vous eu ? Etait-ce à l’église où on a eu un réveil ? Ils disaient, ils devaient laisser sortir les gens, pour accorder un intervalle de quinze minutes, afin que les gens sortent fumer, entre l’école du dimanche et cela. Et le pasteur aussi fumait. La Bible dit : « Purifiez-vous de toutes les habitudes impures. » Voyez, maintenant, qu’allons-nous faire à ce sujet ?

120 Eh bien, vous direz : « Ce n’est pas vrai. » Le Saint-Esprit, quand Il viendra, Il vous enseignera toutes ces choses. Voyez, certainement, qu’Il l’a fait.

121 Quelqu’un a dit quelque chose au sujet de la guérison divine, et ils ont soutenu que c’était pour une autre époque (voyez ?), montrant ce que c’était. « Peut-être que ça sera dans le Millénium. » A quoi va servir la guérison divine dans le Millénium, alors qu’on sera immortel ? C’est aujourd’hui le jour. C’est maintenant le jour.

122 Vous direz : « Eh bien, nous avons des réveils. » Regardez la dépravation de moeurs dans l’église. Regardez comment la corruption gagne du terrain chaque année. Regardez vos groupes pentecôtistes, combien ils ont déchus. Fermez vos yeux et pensez à ce qui se passait il y a quinze ans quand j’étais ici, ensuite regardez et voyez ce qu’on a aujourd’hui. Vous savez que c’est la vérité. C’est un péché, et une honte. C’est exact. On s’éloigne davantage de la Parole de Dieu, tout le temps.

123 Samson avait reconnu sa condition rétrograde. Il avait reconnu qu’il ne pouvait pas avoir la force de relever le défi de l’heure, quand bien même il était là. Toute sa mécanique était là. Les mêmes muscles qui avaient pu prendre le mâchoire et terrasser un million de Philistins ; les mêmes muscles étaient sur le même homme. Les mêmes épaules qui avaient pu soulever les portails de Gaza et gravir la montagne étaient toujours là sur lui. Oh ! je pourrais dire quelque chose ici. Voyez ? Mais il savait qu’il ne pouvait pas relever le défi de l’heure.

124 C’est pareil, l’église reconnaît sa corruption morale ; nous ne relèverons jamais le défi de l’heure. Le communisme gagne tout le terrain. Et qu’est-ce que nous essayons de faire ? Trouver une consolation par des adhésions, en nous mettant sous le joug avec ces gens, les dénominations qui ne croient même pas dans la guérison divine et la puissance de Dieu. Comment deux hommes peuvent-ils marcher ensemble sans s’être convenus ? Vous vous mettez sous le même joug, dans une telle sottise, et vous vous attendez à ce que Dieu…Nous disons : « De grandes foules. » Dieu ne fait pas cas de grandes foules. Dieu considère le caractère.

125 Je disais qu’Eliezer avait sué jusqu’à ce qu’il a trouvé un caractère dans Rebecca. Ensuite, il devait l’habiller, l’apprêter, la faire tenir tranquille pour écouter son message. Le problème aujourd’hui, c’est que quand on trouve un caractère, il est difficile de le faire tenir tranquille assez longtemps pour le revêtir et l’habiller. C’est exact. Un petit Ricky les a déjà détournés dans une autre direction. C’est vrai. Mais là, Eliezer avait transpiré.

126 Eh bien, Samson savait qu’il n’avait pas de force, quand bien même il avait des muscles. Et nous avons toute notre mécanique. Nous avons les grands surveillants généraux ; nous avons tous les évêques, nous avons des archevêques, nous avons des papes, nous avons des hiérarchies. Nous avons toute la mécanique. Nous avons le plus bâti… les bâtiments les plus grands et la plus grande partie de l’argent du monde. A quoi cela nous sert-il ? C’est de l’airain qui raisonne et c’est de la cymbale qui retentit. C’est vrai. Mais nous savons que nous ne sommes pas capables de relever le défi de l’heure.

127 Aujourd’hui en Russie, le communisme est en train de gagner le monde. Qu’est-ce qui se passe ? C’est quelqu’un qui a eu l’audace de se tenir sur ses convictions, quand bien même cela est faux. Il n’y a qu’un pour cent en Russie qui est communiste, un pour cent. Quatre-vingt-dix neuf pour cent demeurent toujours de soi-disant chrétiens, libres, mais sans le coefficient intellectuel de l’Evangile. Ils n’ont pas ce qu’il faut, quand bien même ils ont l’argent et tout cela, mais ils n’ont pas le courage et la grâce. Ce dont Dieu a besoin en Russie, c’est d’un seul homme oint de la puissance de Dieu, de la puissance du Saint-Esprit.

128 Samson savait ce qui lui manquait. Nous pouvons convertir toute l’Amérique, et les amener tous à l’église ; nous n’aurons toujours pas la chose, nous avons… on n’aura pas ce qu’il faut. Les disciples n’avaient pas cela avant la Pentecôte. Jésus leur avait dit qu’ils n’avaient pas cela, après qu’ils avaient prêché depuis trois ans. Cependant, ils manquaient toujours cela. L’église manque cela. C’est vrai.

129 Remarquez, Samson savait qu’il était dans le besoin ; il ne se suffisait pas. Les dénominations ne peuvent pas produire cela. Elles ne confirment pas la Parole ; elles donnent un enseignement contraire à Cela. Oui. Vous savez, mais Samson s’en était rendu compte, qu’il ne se suffisait pas, quand bien même il avait tout son système, il ne se suffisait pourtant pas. Observez-le. Les Philistins se réjouissaient de leur victoire, ils n’avaient point remarqué qu’il avait redressé la tête, que ses lèvres murmuraient une prière, que les larmes coulaient de ces orbites où il y avait autrefois des yeux. Ils n’avaient pas remarqué cela. Eux donc… Ils passaient un trop bon moment. Il voulait que Dieu se manifeste une fois de plus devant cette Jézabel. Oh ! s’il pouvait nous être suscités des Samsons. Oh ! église. Non pas une nouvelle dénomination, commencer un autre credo ou une pluie de l’arrière-saison, nous avons besoin de la puissance de Dieu. C’est exact.

130 Il savait ce qui arriverait si jamais Dieu exauçait sa prière, et il était prêt à faire face à cela. Il avait ardent désir. Oh ! si seulement l’église ce soir pouvait être dans cet état, être désespérément dans le besoin, savoir que vous allez devoir abandonner tout ce que vous tenez pour précieux dans ce monde. Si ce soir, les hommes et les femmes sont prêts à reconnaître qu’il s’agit de se séparer de toutes les choses du monde ! Prédicateurs, ils cesseront de vous tapoter au dos et de vous dire : « Docteur Untel, c’était merveilleux, voulez-vous aller nager avec nous cet après-midi ? » Oter le jeu d’arnaque de l’église, des courses, et c’est pratiquement la loterie. Le jeu d’arnaque, c’est la loterie. Et tous ces soupers de soupe pour payer les prédicateurs ; revenez au système de dîmes de Dieu. Revenez à la Parole. Etes-vous disposés à le faire ? Non, non, ils ne l’étaient pas. Vous savez quel prix il faut. Cette femme vous taxera de démodée une fois de plus. Dieu vous appellera bénie.

131 Etes-vous disposés à mourir ? C’est ça le problème là-dessus, vous aimeriez rester vivant pour Hollywood, et au même moment être vivant pour Dieu. Ça ne se mélangera pas. Une semence… Jésus a dit : « Si un grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il demeure seul. » Vous ne reproduirez jamais quoi que ce soit.

132 Oh ! Eglise du nom de Jésus, quelle glorieuse église, quel glorieux Nom, le Nom de Jésus. Etes-vous prête à mourir ? Etes-vous, vous les Assemblées de Dieu, l’Assemblée générale, êtes-vous prêtes à mourir ? Vous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, êtes-vous prêts mourir à votre ennemi ? Etes-vous disposés à payer le prix du sacrifice en toute sincérité ? Non pas juste venir dire : « Eh bien, je vais essayer cela et voir comment je m’en tirerai. » Vous n’êtes pas encore prêt. Vous devez être prêt à payer le prix, et mourir.

133 Vous les pères, vous les mères, êtes-vous prêts à établir un autel dans votre maison et à enlever cette télévision ? Etes-vous prêts à ôter ce jeu des cartes de la table ? Ce livre de comédies que vos enfants lisent, préparant leur petit esprit à l’explosion que le diable va leur infliger. Etes-vous prêts à remettre ce vieil autel en famille ? Ou voulez-vous juste continuer tel que vous êtes ? Si vous voulez continuer, vous n’êtes pas encore en état de venir, mais je prie que vous soyez comme Samson, que vous voyiez le prix et que vous soyez prêts : « Seigneur, laisse-moi mourir avec eux. »

134 Il savait, si Dieu exauçait sa prière, quel allait être le prix. Beaucoup de gens, je les ai vus depuis que je suis ici, venir à l’autel, et le Saint-Esprit vient sur eux, mais ils ne veulent pas mourir. Ils veulent rester vivants dans le monde. Vous ne pouvez pas servir deux dieux au même moment. Etes-vous prêts à abandonner tout pour servir Dieu ? Ecoutez-le crier : « Seigneur, Encore une seulement. »

135 Est-ce que l’Eglise pentecôtiste, le Concile général, les Assemblées de Dieu, l’Eglise de Dieu, tout le reste d’entre vous, sont disposés à payer le prix ? Etes-vous disposés à dire : « Encore une fois seulement, Seigneur. Me voici. Je n’ai pas le courage, le courage même chrétien, de serrer la main à mon frère unitaire ou à mon frère trinitaire. Je n’en avais pas le courage. Je n’en avais pas la grâce, alors que je vois là où cela m’a amené, ça a éclaté en dénominations, ça a coupé la communion, avec une assemblée tellement empoisonnée l’une contre l’autre que c’est à peine s’ils se parlent sur la route, alors que le Saint-Esprit a fait de nous une même masse d’argile » ?

136 Etes-vous disposés à crier : « Encore une fois seulement, Seigneur, que cela arrive » ? Si vous l’êtes, Dieu exaucera certainement votre prière. Observez quand cet homme, avec tous les fibres en place, sa grande carrure, mais il était toujours aveugle. Il connaissait le prix. Il connaissait la possibilité ; et il a dit : « Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, venge-moi à cause de ma vue. » Après qu’il eut fait cette prière-là, Dieu l’a exaucé. Chaque fibre de son corps a commencé à se resserrer ; l’Esprit a commencé à venir sur ces muscles. Oh ! si nous pouvions voir l’Esprit venir sur notre réunion de prière de mercredi soir, sur notre école du dimanche, sentir les fibres des muscles de la puissance de Dieu se resserrer, quand le Saint-Esprit peut entrer - non pas pour une moquerie, mais l’Esprit authentique pour révéler les secrets de coeurs et expier le péché qui est là, et chasser le diable.

137 Alors que ces fibres commencent à se resserrer : « Laisse-moi mourir avec eux. Je suis né pour les détruire. Laisse-moi mourir avec eux. » Et ses fibres, ses muscles s’étaient resserrés, ses gros muscles avaient reçu la force, le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir sur lui, et il a tordu cette pierre avec sa force puissance, et elle est tombée. Tout ce dont nous avons besoin, c’est une prière sincère : « Encore une fois, Seigneur. »

138 Alors que nous devrions être dans la Terre promise, nous sommes encore en train d’errer au désert. Comme Israël, on a besoin d’une loi, quelque chose qu’on peut faire. Vous ne pouvez rien faire à ce sujet. Accepter Christ. Nous voulons une doctrine, de quoi nous vanter, et être d’une autre classe, différant des autres. Voyez-vous où nous en sommes ? Aveuglés. C’est ça.

139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir : « Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur. » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson : « Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant. »

140 Oh ! rendez-vous, tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix : « Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela. »

141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.

142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit : « Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible. » Il a dit : « C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact. » Et il est venu vers moi, il me disait : « Laodicée signifie, « femme » en grec. C’est le monde de la femme. » C’est l’église de la femme. » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?

143 Une femme disait : « J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine. » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être. « Encore une fois, Seigneur. » Oh ! la la !

144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre coeur. Tournez-vous de tout votre coeur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions : « Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. »

145 Jésus a dit : « Encore un peu de temps et le monde (c’est le cosmos, je pense là, frère.), l’ordre du monde ne Me verra plus, cependant vous Me verrez (les croyants), car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de l’âge. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Pas le soi-disant croyant, mais celui qui croit. Oh ! église, nous croyons que Jésus n’est pas mort. Il est ressuscité des morts. Il est ici même maintenant. Si je n’avais pas ce soutien-là, je ne dirais pas ce que je dis. Je sais qu’Il est ici. Et Il se manifeste ici. Il est toujours ici pour confirmer Sa Parole. S’Il se tenait ici ce soir, que dirait-Il ? Il reviendrait à la Parole une fois de plus, et dirait la même chose qu’Il avait dite.

146 Eh bien, vous direz : « Est-ce que c’est Jésus qui parlait ? » Eh bien, si ce n’était pas Lui, je ne voudrais certainement pas dire cela. Certainement. « Comment cela peut-il être prouvé ? » Inclinez la tête une minute.

147 Père céleste, Tes serviteurs peuvent dire tout ce qu’ils veulent dire, nous pouvons rendre la vérité très claire pour les gens, mais c’est toujours de la simple émotion. Ce ne sont toujours que les lèvres d’un humain parlant à une assemblée. Seigneur, Tu es surnaturel. Et là où Tu es, il y a des signes surnaturels ; des miracles s’accomplissent, des choses qui ne peuvent pas être expliqués. Quand Tu étais ici sur terre, Tu allais ça et là parmi des gens, Tu guérissais les malades. Une fois, une femme avait touché Ton vêtement, Tu t’es retourné et Tu as dit : « Qui M’a touché ? » Tu ne le savais pas Toi-même. » Qui M’a touché ? » Mais le Dieu qui était en Toi, Tu as connu le secret du coeur, en effet la Bible dit : « La Parole de Dieu est plus tranchante, et plus efficace qu’une épée à double tranchant, Elle juge les pensées du coeur. » Et Tu as regardé, la petite femme n’a pas pu se cacher, et Tu lui as dit que sa foi l’avait sauvée.

148 Tu as dit : « Je ne fais rien avant que le Père Me le montre premièrement. Le Père agit, et Moi aussi j’agis jusqu’à présent. » Si Tu étais ici ce soir, Tu agirais selon ce que le Père T’aurait montré.

149 Je Te prie, Seigneur, de pouvoir ramener cette église encore une fois ; Seigneur Dieu, que ce peuple qui est constitué ici ce soir, de gens de toute différentes églises, les méthodistes, les baptistes, les catholiques, les presbytériens, les pentecôtistes, toutes sortes de marques sur eux… Tu ne regardes pas les marques, Tu recherches l’étiquette du Sang. Je prie, Père céleste, que ce soir, ces gens ne fassent pas cas de la marque qu’ils portent, et qu’ils se souviennent que la Pentecôte n’est pas une dénomination, c’est une expérience que reçoit tout homme, toute femme qui croira en Toi. Guéris les malades, Seigneur, sauve les perdus. Reçois l’honneur pour Toi.

150 Maintenant, je confie cet auditoire, avec ces paroles décousues, Seigneur. Je ne suis pas éloquent, je ne suis pas capable d’apporter la Parole, mais j’espère que le Saint-Esprit prendra ces choses et les révélera, les fera connaître par l’attitude dans laquelle elles ont été apportées. Ce n’est pas pour se sentir inférieur, mais pour se sentir très humble, non pas pour être particulier, mais pour être véridique et sincère vis-à-vis des gens comme je le suis vis-à-vis de Dieu. Car si je ne peux pas être sincère envers Ses enfants, comment puis-je l’être envers Lui?

151 Et je Te prie, ô Dieu, de confirmer Ceci ce soir, juste devant les gens maintenant, afin qu’ils puissent savoir qu’ils vivent à l’ombre du temps, que le Message de l’heure, c’est se repentir et revenir à la foi du Père. Accorde-le. Je Te confie cela. Sauve les pécheurs. Remplis les croyants. Guéris les malades. Reçois la gloire. Et puissions-nous tous crier de commun accord : « Encore une fois, Seigneur, encore une fois. » Que cela ait encore une fois lieu. Nous le demandons au Nom de Jésus.

152 Avec vos têtes inclinées, en prière, ne voudriez-vous pas considérer ceci : « Est-ce moi, Seigneur ? Que puis-je faire ? Que - que dois-je faire ? » Sondez-vous simplement pendant que la musique joue doucement. Pensez à ce petit message décousu ; ne regardez pas le messager ; pensez à ce que - à ce que le message est.
Maintenant, alors que vous pensez avoir besoin de Dieu, levez simplement la main, doucement, pendant que vous gardez la tête inclinée : « Seigneur, souviens-Toi de moi. » Peu importe ce dont vous avez besoin. « Souviens-Toi de moi, ô Seigneur. »

153 Ayez foi maintenant en Dieu ; ne doutez pas. Croyez seulement. Retenez votre requête jusqu’à ce que Dieu vous parle et dise : « Je t’accorderai ta requête.»

154 « Seigneur, je suis aussi aveugle. J’ai honte de moi-même. Je confesse être un chrétien tout en menant la vie que je mène ; j’ai honte de moi-même. Aie pitié de moi, Seigneur. Guéris-moi. Guéris mon corps ; guéris mon esprit ; rends-moi Tien. J’ai senti Ton Esprit sur moi. Frère Branham a dit que Tu étais ici parmi nous. Je - je crois cela maintenant, parce que je T’ai senti. Je sais que Tu es ici. Le Dieu du Ciel exaucera votre prière. Croyez simplement maintenant ; laissez simplement le Message descendre profondément en vous. Priez simplement ; ayez foi. Ne doutez pas. Croyez.

155 Maintenant, Seigneur, j’ai réservé ce laps de temps afin que les hommes et les femmes, les jeunes gens et les jeunes filles puissent réfléchir là-dessus. Ça a été sans doute un message étrange pour certains, mais Seigneur, Tu sais que c’est vrai. Alors que j’étais assis dans la pièce cet après-midi, Tu - Tu m’as rappelé ceci concernant ce grand homme avait une fois vécu pour Toi et l’état dans lequel il s’est retrouvé. Maintenant, Père, de même que Samson était disposé à mourir, à mourir à lui-même, mourir avec son ennemi pour remporter la victoire pour Dieu et ramener la promesse, puissions-nous, avec toutes nos histoires d’église, toutes nos divergences, mourir à nos propres conceptions et accepter Ta Parole. Mourir aux pensées qui nous ont été transmises : « Les jours de miracles sont passés », alors que nous savons que - que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Accorde, Seigneur, que cet auditoire voie l’action de Dieu encore une fois, et qu’ensuite ils puissent venir se repentir et qu’il y ait une grande réunion. Et que de cette petite église parte un réveil qui détruira tous les Philistins de la mondanité dans tout le pays. Et que cela devienne un modèle, alors que les gens partiront d’ici ce soir.

156 Nous Te prions de venir comme Tu l’as fait sur le chemin d’Emmaüs. Tu avais parlé avec ces gens toute la journée. Ils parlaient de Toi. Tu leur parlais directement, mais ils ne T’ont pas reconnu. Beaucoup de gens ici, Seigneur, fréquentent l’église, ils sont sincères, et ils n’ont vraiment pas reçu un autre enseignement. Mais après, quand Tu les as fait entrer dans une pièce cette nuit-là et que Tu as fermé les portes, Tu as fait quelque chose exactement comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion ; alors, ils ont reconnu que Tu étais ressuscité des morts. Ils sont vite rentrés, d’un pas léger et d’un coeur léger, et ils en ont fait part aux disciples ; ils ont dit d’un coeur léger : « Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait le long du chemin ? »

157 Accorde que cela arrive encore une fois, Seigneur. Entre dans cet auditoire et fais ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion, que cet auditoire puisse reconnaître que Ton inutile serviteur ne leur a pas menti, mais qu’il leur a dit la Vérité. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

158 Maintenant, nous ne pouvons en aucun cas former une ligne de prière, s’il y a des cartes. Je ne - je ne pense pas qu’il y en ait. Nous avons distribué des cartes il y a quelques soirées. Je ne pense pas qu’on a encore distribué ce soir. Mais ils ont des cartes ici. Mais s’il y en avait, on ne pourrait pas former une ligne de prière (voyez ?), à voir comment nous sommes entassés. Maintenant, mais nous allons - nous allons en finir. Mais combien de malades y a-t-il ici ? Faites voir la main. Levez la main si vous avez besoin de Dieu, ou un besoin pour quelqu’un d’autre, levez la main. Priez simplement.

159 Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, ne manquons vraiment pas de recevoir ce message donc. Ecoutez. Si Jésus se tenait ici dans ce costume, et que vous accouriez à l’estrade et disiez : « Seigneur Jésus, guéris-moi », savez-vous ce qu’Il vous dirait ? « Je l’ai déjà fait. » Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Le prix a été payé. Vous auriez eu à croire cela.

160 Vous direz : « Mais je peux croire s’Il est près de moi, si je savais qu’Il était ici. Si je… Il - il y a de cela deux mille ans. »

161 Eh bien, la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et nous aimerions Le voir. Si nous voulons Le voir, Il agira comme autrefois.

162 Maintenant, je vais donner, pour vous les frères prédicateurs, un passage des Ecritures. Le Nouveau Testament déclare qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai ? Comment avait-il agi en tant, était, autrefois, quand Il était sur terre, Il était Souverain Sacrificateur ? Eh bien, Il était plus que cela ; Il était Dieu. Comment peut - comment peut-on recevoir quelque chose de Lui ? Une petite femme toucha Son vêtement, s’assit et Jésus se retourna et dit : « Qui M’a touché ? » Et eux tous nièrent cela. Mais Son… l’Esprit de Dieu qui était en Christ, qui faisait de Lui Emmanuel, chercha tout autour jusqu’à ce qu’Il repéra une petite femme dans l’auditoire et lui révéla sa maladie, disant : « Ta foi t’a sauvée. » Est-ce exact ? Eh bien, alors, s’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, si c’est le même Souverain Sacrificateur, Il agira de même.

163 Maintenant, vous m’êtes inconnus, la plupart d’entre vous. Je connais frère Dalton et les autres qui sont assis ici sur le siège de devant, ici même, ce groupe ici même ; en effet, ils viennent du Kentucky. Ça fait des années que je les connais. Et si je ne me trompe pas, je pense que là tout au fond, j’ai vu frère Gene Goad et frère Leo Mercier, je ne suis pas sûr. Je suis content de vous voir, frères. Je vois frère et soeur Dauch assis ici. Je ne voudrais pas que vous, si vous avez quelque chose qui cloche… Attendez simplement, pas maintenant. J’aimerais quelqu’un qui ne me connaît pas, et qui sait que je ne le connais pas. J’aimerais que vous priiez.

164 Et alors, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, touchez Son vêtement, et Son Saint-Esprit agira à travers nous. Si vous avez un bon canal, l’Esprit avec lequel croire, le même canal qui est ici agira de même. Absolument ; c’est Dieu. Mettez la vie d’un pommier dans un pêcher, elle ne produira plus des pêches ; elle produira des pommes. Et mettez la Vie de Christ dans un - dans un homme mortel, il portera le fruit de l’Esprit. Il portera les fruits de la résurrection.

165 C’est Christ qui a apporté ce Message, et ce - ce Message à l’Eglise pour l’amener : « Allez par tout le monde, et à toute création. » Des millions n’ont pas encore attendu cela ; les nations n’ont pas encore attendu cela. Jusqu’à quand ? « Par tout le monde, à toute création ; Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Jusqu’où ? « Par tout le monde. » A qui ? « A toute création. » C’est jusque là qu’Il a commissionné l’église. Maintenant, montrez-moi dans les Ecritures où Il a retiré Cela. Un homme peut injecter sa pensée, mais cela n’est pas la pensée de Dieu. Il a dit : « Par tout le monde, à toute création. » [La bande arrive à la fin. Frère Branham continue à discerner les secrets de coeur des gens. - N.D.E.]

1 Good evening, friends. It's a privilege to be here tonight and enjoying this wonderful musical feast, enjoying these songs when they're sang with real enthusiasm. I was watching Jimmy; I believe it is, and if we could just be as enthused about all the things of God in our own life as Jimmy is in the emotion of them singing, we would get somewhere. I really appreciate that boy, his father, our good friend.
I want to ask a question. These ladies that sang this, "I'd Like To Talk It Over," is that the same group that sang many years ago when I was here? Is that the same? I have tried everywhere to find that song. In my dark hours of trials, I've tried to think that, "I'd like to talk it over." Jimmy Maguire, did you get that on tape? I hope. See? Have you got it on a record? And if it is, I want it. And I've tried to think that. I think that, "He'll love me when my path was so dim." See? And I--I certainly enjoyed that beautiful song of Zion.

3 Now, I understand, I'm not sure of this, but I believe that this same group is going to be singing at the Business Men's convention, I believe, Sunday, next Sunday. I think that's right, if I didn't misunderstand it, two o'clock next Sunday. So you like this kind of singing, why, they'll be over there to sing for us again. We ought to carry them down to Tucson tomorrow night and let them sing down there. I--I'm sure it'd be a blessing to the people.
Now, tomorrow night is the Tucson chapter. We're going to be at the Ramada Inn tomorrow night down in Tucson, which you all understand that Phoenix is merely the outskirts of Tucson. See? We're certainly glad to have you all as fellow citizens of our great economy of Arizona. Now, we're on the hill; you're in the valley; so, remember, about two thousand feet higher than you are. You see? So this outskirts of the city, we're certainly glad to be here fellowshipping with you tonight. So remember tomorrow night and the main spot of Arizona will be the--the chapter's banquet. And then the next night we're here at, I forget the name of the church now; it's Southside Assembly. And then Wednesday night we're at Eleventh and Garfield, I believe it is, Assemblies of God there, for... And then Thursday starts the convention.

5 Now, you're so nice and we've had such a wonderful time this week of fellowship, and all these churches all up and down the Maricopa Valley here. And the Lord has certainly blessed us exceedingly, abundantly, more than I expected Him to do. The places have been crowded and packed into the yards, and the people standing, and a great fellowship around the Word. The ministers has visit. I've noticed the pastor, Brother Outlaw, I've seen him in every service we've had, far as I can think of. And others have just come from one church to another. That's the way to do it; I like that, fellowshipping one with another.

6 As old Brother Bosworth, that's been in glory now three or four years, he said to me, "Do you--you know what fellowship is, Brother Branham?"
I said, "I think so."
He said, "It's two fellows sharing one ship." So that--that's right: two fellows in the one ship. So we're...
I'm glad, looking out over the audience tonight, seeing friends here that I haven't seen before, that's come all the way from Kentucky and Indiana, around up in Ohio, setting around here, visit us. We're certainly glad to have them in tonight. Maybe been in the other meetings, but at larger buildings, and just haven't noticed you. So the Lord bless you real richly.

9 And now, I am going to just stay a little while. I've got to drive the family back tonight, and we're to be ready for the meeting tomorrow in Tucson, so we're going down tonight after service. That's just about a hundred and twenty-five miles, and a long stretch of desert, and I'm sleepy and tired, so I will try to let you out.
And now, I said this morning, that as I brought that prophet to the top of the hill, I... That was last night, wasn't it? And this morning we was speaking on something else. But I don't mind you being late for the--for your work, and I don't mind you miss a day now and then, but don't miss Sunday school (See?) so we want you at Sunday school.

11 Now, tonight before we approach the Word, let's approach the Author by prayer. I want to say just before that to this lovely little choir, these children of God, I certainly appreciate them, their fine singing. And Brother Moore slipped out on me. I was going to turn this service to him. But he--he slipped out. I just see his lovely wife setting here. So let's bow our heads now for a word of prayer.

12 Lord Jesus, we are coming again tonight, first, to give thanks to You for all that You have given to us. And above all that You have given us, that Eternal Life stands out, for we know that we shall meet again; no more on this earth, in the earth that is to come. Now, bless Thy Word tonight. And we thank You for how You have blessed the singing. I pray, Father, that You'll continue to bless the singing, the songs and the singers, the pastor of this church, its co-pastors, and also the deacons, trustees, and all that it stands for. Bless them, Father.
We pray that You'll bless the Message tonight, these few words that's been selected out. We pray that You'll add the context to it, and will give to us of Thy blessings. Heal all the sick and the afflicted. May men and women tonight catch the vision, understand what God's program is for this last day. That's all we need to do, is just get into His program, and then other things will take care for themself. He taught us that way, and we... He said, "Seek first the Kingdom of God and His righteousness; all other things shall be added." So let us come back tonight, Lord, to the Kingdom blessings, to the Kingdom program, and learn of Thee. For we ask it in Jesus' Name. Amen.

14 Now, I'm just a teeny bit hoarse from much speaking. And I know it's warm in here, and I feel sorry for all who are standing, especially those ladies that's standing around the walls, out into the vestibule, and I'll hurry just as quick as possibly, just as quick as I can. And while I'm reading or speaking, just remember, the omnipresent God is always here present. And as a brother said about the epileptic of the last time we were here, God can heal cancer, paralyism, whatever it is. He has already done it. If He can just get you to believe that... See? You're not saved tonight; you been saved; you were saved nineteen hundred years ago. And now, maybe tonight you'll accept that salvation, but it's already paid for; the debt has been cleared up. And the Devil that put you in the pawn shop, Jesus came and redeemed you and opened up the doors, and the only thing you have to do is walk out and claim your liberty. That's all. You have a receipt from God that the debt is paid. Jesus said in His last Words, "It is finished." Every redemptive blessing was completely finished. God's great wrath on sin, when He became sin for us, it was--the debt was settled.

15 Satan has no more power, only as he can bluff with it. If he can bluff you into it, all right, you'll have to have it. But legally he has no power at all; every power he had was taken from him at Calvary. That's where the price was paid. He is nothing but a bluff. If you want to listen to his bluff, well, all right. But you don't have to; you are free tonight. He has made you free.
And now if something in the Word can make you realize that you are free by His grace, or if something, realize, and the Word makes you understand, or some act of God, that it included you, it includes us all, then you just accept it on those basis, and you're free also. You don't have to feel any different; you don't have to feel anything at all. It's not based upon... Jesus never did say, "Did you feel it?" He said, "Did you believe it?" It's faith. That's our--that's our--our faith, is--is an arm, a mighty arm that holds the sharp two-edged Sword of God. And that sharp two-edged Sword will cut every promise free, if that arm of faith is able to yield that Sword. Some people has very weak muscle trouble and they can just maybe cut off a little scratch, enough to join a church. Others can come into justification. Some can go all the way to the baptism of the Holy Spirit. A great strong arm, holding this Bible, can cut every promise free. That's right. So be strong in the Lord.

17 Now, I wish to read tonight from a little context that I--I've wrote some notes down here. It's found over in the Book of Judges, of the 16th chapter of Judges, 27th and 28th verses, to draw for a context what I wish to say.
Now the house was full of men and women;... all the lords of the Philistine were there; and there were upon the roof about three thousand men and women, that beheld while Samson made sport.
And Samson called unto the LORD, and said, O Lord GOD, remember me, I pray thee,... strengthen me, I pray thee, only this once, O Lord God, that I may be... once avenged of the Philistines of my two eyes.

18 May the Lord add His blessings to the Word. If I should call it a text, I'd like to take this for the next few moments, "Lord, just this once again." "Just One More Time, Lord."
There was about, as the Scripture says, about three thousand Philistines looking down from the high galleys of the stadium, as the pair entered the great stadium or coliseum: highly honored warlords, their fine jeweled ladies, as they set in this place. And the announcer said that, "Samson enters the floor."

20 They must've raised up, moved up a little closer, stretched, as it were, their necks, to get a good look. And what could they see but a mass of human flesh, a man that was once the great warrior, being led, blindly, as he was, led by a little boy that led him out into the floor. All day long, the halls echoed from wall to wall with the revelry of drunken women and men. What a sight it must've been. What a hush must've come over the building when this man, led by a little boy, an arch enemy to them, come walking out in the floor, with no eyes, had to be led by a little lad. A man that'd been such a gallant man, a man that'd been the warrior that Samson was, and then had to be led by a little boy out in the floor. And a man that was a servant of God, brought into this condition, into this place of drunken revelry...

21 It was a great celebration for their god Dagon, the fish god that had gotten the victory over Jehovah. Let's stop a minute and let that penetrate: celebrating a victory over Jehovah's host. Dagon, the heathen idol, the fish god of the Philistines, that God had hated, and here they was in their drunken brawl, celebrating victory over God's servant being conquered. What a terrible thing that is to think of. I'd like, if it was possible, to stand still a few minutes and paint a picture of that. But just imagine it in your mind, if you would've had to stand and look on something like that. Then I'm going to bring the picture right back to you.

22 Just imagine, all day long, drinking, celebration, fine-dressed women, men, warlords, warriors, great men of the nation gathered in this new building where they'd put up a new idol to the fish-god, giving him honor and praise for the victory over Jehovah's servants. Now, to make it worse, here come the leading man, the messenger of the day with his eyes punched out, led by the hand of some little boy, to bring him out into the stadium. The lad led the stumbling blind out into the place, and I can hear a whisper from the--the great massive man standing there like a great machine, but totally helpless. God had raised him up for a purpose. Sold his birthrights, and here he stood, a mass of machinery with no strength in it, led around by a little boy. But no doubt in my mind, that Samson had thought of all these things. When he'd lost his strength, he'd thought about what had happened. His vow had been taken from him, and he'd surrendered to his enemy. And they, in returns, had took his sight from his eyes. And he said to the little lad, "Lead me to the post where the column that the building is set upon, just lead me over to this post."

23 And think of it. They had him out there making sport out of him, entertaining that drunken bunch. What a reproach that was. What a disgrace that was. What an example that is. To... It's puts me in the mind of a defeated nation that's morally decayed, as Samson stood by the side of this column, making sport for the enemy. Humiliated and broken, what a condition he was in: a s--very gracious symbol of a fallen nation, a morally corrupted nation, a fallen church that's sold its birthrights, fallen into moral decay, and surrendered itself to the enemy. A public example, though you was raised up to serve God, but a fall away into moral decay gets you in that condition. What an example that was.

24 I can just hear all the warriors around, all the ladies with their beads and bracelets and fine jewels, and so forth, said, "So this is Samson? This is that mighty one that you've talked about. This is that man that you said the spirit of the great gods lived in. This is the man that could take over our nation, you talked about, but look at him now."
What an example. What a lesson it ought to be to us. What a solemn thing it ought to be. We should not just approach this as just a--come together to have a good time in a celebration. We come together to see where we are standing, to see what's happening to us.

26 And I could hear, and Samson, no doubt, could hear from one side, the other one, of people who had heard about him. "Well, and so this is Samson."
I wonder today if the enemy can't also, at this time, say about the same thing about our Pentecostal move.
Just to speak the name Samson, they would all get nervous, because he was anointed servant of God. He was born with a Nazarite gift, and they knowed that there was nothing could stop that Nazarite gift as long as he held it. He was God's chosen man of the day, God's chosen messenger of the day. Many of them thought what this must be. Many of them remembered him. Many remembered, as they looked at this helpless creature standing there with his arms around the post, blind. Making fun of him, hitting him with whips, saying, "Come on out, Samson, you great strong man. Do something about it. You who are so strong, where is your God?"

29 If that isn't just about the way that the enemy likes to do when he can get you down. But he's daresn't to try that as long as the power of God's operating through the Church. He's--he'd be afraid to do that when the Nazarite blessings is upon you. But if he can see you whipped, that's when he makes fun of you. That's when he can say there's no difference between them and us; they're just the same men like we are. But when there's something different, something outstanding with Jehovah's blessings on it, then they're scared to say anything. Long as they can see that power of God working, the Devil's got sense enough to keep his mouth shut. But when he knows you're defeated, he turns every devil he can, loose on you.

30 That's the condition that Samson was standing in. Let's just think, as I can see the warriors, some of them old veterans with scars on their faces, as they looked at Samson standing there, hopeless and helpless, they remembered of seeing him stand one time with a jawbone in his hand, and a thousand Philistines laying dead at his feet. And now a little boy's leading him around by the hand. They could remember how they questioned in their council, when the news was brought that a man, a mere man took the--an old sunburnt, roasted jawbone of a mule.

31 And now, many of you has taken the history of the Philistines. Those armors that those men wore, the helmet over their head was almost a inch thick with brass. And their coat that they wore, they were great mighty men, with great laps of half-inch brass up-and-down their body, to cover it from a long spear coming, or a--a hard strike with a two-edged sword that would have to knock them off their feet.
Now, how could a man, just one man, with a thousand around him, armored, and dressed warriors with spears, those big helmets that only the eye showed through, how could a man take a jawbone of a mule and beat down a thousand of them at one time? Why, the first lick with that old brittle jawbone, would fly to pieces on one of those helmets. They knowed that some supernatural strength, when he struck that warrior on the head, the thing dented in and killed him instantly. Right hand and left hand, he struck, and every time he struck, the power of God struck with it.

33 It doesn't take what we would think, a great thing; it only takes a--a hand that's completely anointed with the Holy Ghost, with God's power, to strike down any enemy under any circumstance.
And how those warriors remembered, "Could it be possible that we got the wrong man?" some of them might've said. "No, that's him. I can just see his statue; that's Samson, the one who served what he said was the true God. But his God sure has forsaken him."
But they were wrong. God had not forsaken him; he had forsaken God. And I think that's about the way with the people tonight. It isn't God has forsaken His church, it's the church has forsaken God and His Word. That's what's the matter.

36 Notice, many of them remembered. The group that stood over on one side, said, "I can remember when Delilah took and bound him with ropes that was even a horses couldn't pull apart. And when we come upon him, how that they was like little threads; he just broke them to pieces. And here he stands defeated."
And another group could remember one night down at Gaza, how that they penned him in, but he still had the anointing on him. And they tried to pen him in, and shut the gates on him. They said, "Now we'll pounce upon him." But the Spirit of the Lord returned to him, and he picked up the whole gates and walked up on the hill with them.
When a man is in the line of duty for God, there's no gate, no nothing can stand in his way. The Devil tried to fence God's man and people in one day with the Red Sea, but he went right on through it just the same. When as long as a man is in the service of God, as long as the anointing and blessing is upon him, he shouldn't fear nothing, because He's promised us He'd be with us, and nothing would bother us by no means.

39 But this is an example what happens when God, His long-suffering finally wears out with you. Now, He's long suffering, but remember, His patience has an end. Now, Samson was doing wrong the very night they had him down there, but finally God got enough of it. He couldn't correct him. My prayer is that, God, never let this Pentecostal church get to a place to where God's patience is wore out with you. He'll send messengers, as we've taught this week, rising up prophets down through the ages, foretelling His Word and bringing His Word back, and then you continually walk away from it. You'll find yourself blinded too, powerless, helpless, defeated, and I'm afraid that's where we're getting to. See, Samson fell for glamor. The very thing that the church today is falling for, glamor. What a pity it is to see these things happening.

40 Yes, when they tried to fence in the power of God, they found out that they could not do it. Samson picked those great big iron gates up that would've weighed tons, walked up on the hill with them, and laid them down. Certainly, nobody was going to take after him; they know better.
And when a man comes in the anointing of the Holy Ghost, and with the Word of the Lord, with THUS SAITH THE LORD, you'd better have better sense than try to attack it, 'cause you'll find there's a hand of the living God, and It's heavy.

42 But we find out that there was another group there that one day seen him on his road down, and a lion run out on him and roared. And a lion is a dangerous animal that can kill a man within a split second, four or five of them, just one rake's all he needs. And this lion, being disturbed, and they noticed the action as they watched the lion. And the lion, probably disturbed and was angry, and he flashed out after Samson. And there he stood, helpless. But all of a sudden...
Oh, He's a very present Help in time of trouble. All of a sudden... Why can't you sick people think that tonight? Why can't you who are afraid that somebody will say something against you, something about you? They said it about Jesus. All of a sudden, he was a subject to the power of God. And each one of you, through confession and faith is a subject to all the powers there is, both in heavens and earth, to come upon you.

44 Samson, while standing there, the power of God come upon him, and the lion made a jump for him; he just caught him by the mouth and ripped him open with his hand. And could that man that would do a thing like that... Here stands the same man, defeated, helpless, and blind.
And I can almost point you to a church like that: helpless, defeated, and blind, rejecting the promises, rejecting the Word, a church that Christ promised that would have power over sickness. "In My Name they shall cast out devils," taking up a devil and casting him away, and the blessings that He promised His church. And because the church has turned from prayer meetings, and from sincerity, and made the religion of Christ a tradition, and has took all the strength out of it... Glamor come into our churches, and she stands just about defeated. Oh, my.

46 There he stood, all stripped of power by a woman, just because his eyes went wanting, because some immoral Jezebel set up a system to conquer the servant of God.
May I say this with reverence, there has been formed a system of Jezebel that's conquering, bringing them all into a federation, all the denominations, Pentecostals and all, into the World Council of Churches, which is no more than a trap of the Devil to take away from you what you got. Then she'll laugh at you: stripped of power by that woman.

48 Pentecost a few years ago, no more than fifty years ago, stood out. The people stood different. They come out of--of different groups of worldliness, because of their worldliness, and stood out as an example. And God has took that church, and today it's one of the most powerful churches in the world. But the thing that she's doing, she's turned right straight back around and went back into the same conglomeration that she was called out of. And when she begins to do that, her power is taken from her. Where do we get the all-night prayer meeting? Let the preacher preach till about one or two o'clock in the morning like they used to do, he'd be preaching to empty seats; they got to go home and see "We Love Susie" or somebody on certain television cast. Now, that's the truth. Why? "Where your treasures is, there your heart is also." Our treasures ought to be in the Word. The Arizona people are prospectors; you ought to go digging awhile, see what's for you.
But there stood Samson, defeated, stripped by a woman. All of his powers was taken from him because he surrendered himself and gave away his secret to a woman.

50 Now, as soon as we got big enough that we could get off the corner and get off the little mission somewhere, we're trying to build churches that's bigger than the next fellow. We want to outshine the Methodists, the Presbyterian, Baptists. That's not your purpose. That's not why you are what you are. God already had that. He didn't raise you up for that. He raised you as an example that He might place His power in you to show forth His glory.
But just let a few Rickys get into it, and they'll twist it around and go out after the floweredly things of the earth. Most all congregations wants some little boy for their pastor, that's got cute curly hair, and you think that he knows more about it than anybody else. But let your body get sick once, and you don't want one of these little doctors that just got out of school, if you're going to have an operation and have your heart operated on; you want an old man that's gray-headed, that's had some experience. What the church needs tonight is the old fashion Gospel that's been proved to be the power of God, not some of these little Rickies that our seminaries are hatching out. You know that. That's where we're at tonight; that's the conditions we're in. You had no business going into such a mess anyhow. You started falling right there, and you've never come back, and you won't as long as you keep on going.

52 Did you ever think, while those Philistines was wondering about Samson, did you ever think what was going through Samson's mind? What do you think was going through that man's mind? I believe he was thinking while he was there, yet total blind, never to have his sight again, he was thinking about all the great victories that God had give him. There he was, thinking of the days that was, what they used to do.
And that's just about the way man is, as I said here sometime ago. Man is always thinking back what God did, and looking forward to what God will do, but ignoring what God is doing. See? Look what He's doing now. We know what He has done. And He's sending to us and trying to stir us up again, trying to bring us back to the path to His Word, and proving It by His a-vindicated Word. And we just set, sleep, go home, say, "What did he say? I hate to go hear them carry on so long."

54 That was coming in his mind, what we'd call his heyday, back when he was in the Spirit of the Lord, when the Lord answered his prayer. Even before he prayed, as long as he lived for God, God was right on the time. He didn't have time to think about, "Well, now, I got to pray through now and see if these thousand Philistines..." He knowed that God was with him; there was no condemnation, so he just grabbed the first thing he had in his hand, went to beating. That's right. He didn't wait till he got a Bachelor of Art, or learn how to duel; he just took what was in his hand and started slugging with it.

55 But today we've learned how to duel all the creeds, and everything like that, and fuss and fight; we don't get nowhere. We're a bluff, like it was in the days of Goliath. Maybe God will send us a David who don't know the creeds, but only knows the power of God that's been tested and tried. There the whole church was standing, defeated, because some big fellow was crying out, "The days of miracles is past." But it didn't work when a man of God come up there, little bitty, stoop-shouldered, ruddy-looking fellow. But God was with him; he'd had an experience.
And they said, "Take this here creed of our church, go out there and meet him."
He said, "I've never proved that thing; I don't know nothing about it." Come to find out that Saul's ecclesiastical vest didn't fit a man of God, so he throwed the thing off and took what he knowed was right.
And, today, we don't need a Bachelor of Art, or--or some doctor's degree to get into some church or something. The only thing we need is the power and the resurrection of Christ in our lives to take God's Word, with the love of God in our hearts, that we're sure that God will answer what we ask for. "He'll withhold no good thing from them that walk up before Him rightly."

59 Now, he thought of his great days, when there was great days. The church tonight is thinking back about fifteen years ago to a revival of Divine healing, of the victories. Now, and he's also of God, and His people who had failed. That ought to be serious enough, that Samson would stop and think that he had failed God. He... It wasn't God's fault he was defeated; it was his own fault. And of--the people, God's people, he was raised up to preach the Gospel to in his strength, and by flirting with this flappered woman, immoral woman, he had lost all the strength that God had give him.
So has it been with the church. God raised the church up to be a lighthouse to let out His powers, to heal the sick, raise the dead, cast out devils, live holy, preach the full Gospel, manifest it, but we begin to creep in and let down the bars.

61 We took the wrong example. The women acted like the pastor's wife. He let her go haywire, cut off her hair, wear any kind of sexy clothes, never rebuked. And the other women say, "If Sister So-and-so can do it, I could too." Don't make that your example. See? God told you what to do; stay with that.
Now, then when you do that, you fail God and you also fail His people, failing His people. When you fail them, you fail God. God set you there to be a watchman, and when you see sin creeping in, instead of cutting the thing off, they entice it. "When all the presbyters gets together, we're going to have a--a certain thing, we're going to vote this certain doctrine out of the church, of Divine healing. We--we don't like it." Then you go to voting against it. Oh, it's, that's the way it happened.

63 The Methodists, you Methodists used to have Divine healing in the churches. Presbyterian, Lutheran, you had it long ago; you used to have shouting and joy. What happened to it? You got a bunch of little eighteen-hundred-and-something Rickys that took the thing to glamor, and away it went.
And you Pentecostals has done the same thing. That's right. And now you stand just as defeated as them, all organized up, "And us group, we believe this. And if you don't belong to us, you're going to go to hell." And what are you doing, arguing? You ain't getting nowhere. God's not showing Hisself any favor to you, 'cause you stand just as defeated as the rest of them, because you took the same route they did. Exactly.

65 Now, he was a prisoner of the--of the nation that he was raised up to destroy. Here stood that mighty man of--standing there, a prisoner of the very nation that he was raised up by God to destroy.
I don't want to hurt you, but I hope it helps you. And here comes the Pentecostal church that God raised up, pulling out of organization, where it got them to, and now you're a prisoner of the same clan. Now, you know that's the truth. And then let somebody say something against it, you're ready to throw them out. It's almost blind leading the blind.

67 And anyone knows that the Pentecostal church, fifty years ago, was rebuking everything that would organize itself. You were brothers and sisters, and you lived the time. And you talked about the modern church and its fashions, and the women the way they acted, and the fashions that they did, and the men, and the letting down of God's Word. And God called you out of it. And you turned right back around and went right back into the same thing that God called you out of. And the very reason God raised you up to be that, you stand tied to the post of some denomination; just as defeated as Samson was, with your eyes punched out, to the Word, and everything else. That's right. It's too bad. God raised you up to defeat that thing, and you've joined up with it.

68 And Samson come right around and married a woman, married right into the thing that God pulled him out of. And the church, Pentecostal church, turned right back around and married into the thing that God pulled him out for. Can't deal with a group; God deals with an individual. It's always been His policy. Two men has two different ideas. God gets one man in His; that's all He has to have, one man. That's what He's trying to get today; He's trying to get you in His hand; He'll take one here and one there. It'll never be a group, so just get that out of your mind.

69 When you organize, right then you lose your--you lose your birthright. I want to ask any person, when did you ever see a--a--a man raise up with a message of God, and as soon as he left the earth they organized it, and as soon as they organized, it died and never did come back again. There's not one--one text of Scripture nowhere, not one bit of history, not one verse in history, that--that shows that any organization, or any group of people that ever organized, they lost their spiritual power and never come back again. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... and not an house of the living God, spiritual thermometer forty below zero all the time. That's the way it is, "Form of godliness, denying the power thereof, from such turn away."

70 God, in those days, always raised up someone who would blast that thing right off its foundation, and take the little group of church that was left, and take it on to victory. He'll do it again. He doesn't change; He's God. God ever says anything, He can never get a better idea. Remember, that's our confidence. God made a way for man to worship Him under the shed blood in Eden; He's never changed it. He can't change it. If He did, He's got a better idea than He had the first time, so He can't have it. He's always the same way. God always raised up a nation, that's got off took a man and stood him out there and brought the Word of God to him, and condemned the whole thing, took from there and went on. He'll never take an organization and do it. He'll take you if you'll just listen to Him, surrender yourself.

71 Yes, the very thing that he was borned in the world and empowered to do, he stood a prisoner of that same thing. They had him doing tricks for entertainment, entertain them, tricks. Oh, my. Let a--a woman lure him from the Word of God. The Word of God was a secret to him. It was a Nazarite gift, and he should never tell nobody that. But he got to let the lure of a woman.
And that's what's happened to us today. We've took in things in our church that wasn't Christians. There is no church that's setting out saying there's no hypocrites in that church. The whole makeup is full of hypocrites and all kinds. That's right. But I'll give you this assurance... Now, that's in a lodge. You might belong to the Methodist lodge or the Presbyterian lodge, but you can't belong to the...

73 You cannot join the Church. You can join a lodge, but you can't join a Church. You are borned into it. And when you are born into that Church, there's not a hypocrite in it. Everything in there is saintly and holy, for you are dead, and your life is hid in God through Christ, is sealed by the Holy Ghost. The Devil couldn't get you if he had to. He has to come the same route you did, and then he'd be your brother. See? So you can't do it.
But you can join the church with anything, just to get members, decisions. As I said last night, all we hear today... It seems to be the great rally today, is "More members, more members." Charts, "We beat them." Give them a gift because they brought somebody else in for Sunday school, proselyting. And what is he when you got in there? What did he hear? Some little painted-up Jezebel talking about her dates the night before, or some--some little literature hanging on the wall. And you know that's right. And the Pentecostal's sliding right into it. Let somewhere else make up your literature, what you teach it.
The highest thing in the church is an elder, not a bishop, not some presbyter or something. God deals with the elder of that church. Now, he gives his church his message, and what they have need of.

76 Yes, let a woman lure him away from the Word of God. So have they done it today. How did they do it? "Well, now look, I'll tell you Brother So-and-so. Now, you know, them people over there, they do that, they watch this." That's not your example. Christ is your Example. He said, "I've given you an example." Let Him be your Example.
Thing--same thing to the churches, that's just exactly what they done, let Jezebel, the mother of harlots, Revelation 17, do the same thing, bring her right back into that same old swing, now blinded of spiritual things that's going on. Oh, you don't think so, but you are. Don't tell me. I been crossing back and forth across this nation for the past fifteen years. Blinded... Spiritual thing, see God come and do just exactly what He said He would do in the last days, say, "Well, I tell you; I believe that might be all right, but the--the ministry behind it's not of God." How can God bring bitter and sweet water out of the same fountain? It's not there.

79 Yes, blinded to spiritual things and the Word of God, went back to the very same hole they was pulled from. Pentecostals was born out of organization, and men took them back in organization. Pentecost is an experience that organization can't stand, because it's a personal experience with each individual. That's right. Now, look at them standing, defeated, whole group. Ministers, can't have them in their church 'less they got a seminary experience.
One of our great Pentecostal moves, the other day, they have to take their missionaries before a psychiatrist to find out if his IQ's high--high enough to be a missionary, one of our great organizations, see if their IQ's high enough. God never had nothing like that. He said, "Wait up there until you're endued with power from on high." Then you got your IQ, what it takes to do that. They don't examine them by what Jesus said to test them by. They test them by their own intellectual conceptions, IQ for a missionary. God didn't say give them some intellectual power, but He said, "Ye shall receive power from on high." But we're getting away from It.

81 Remember, the Roman Catholic church was first the Pentecostal church. That's exactly right: A.D. 33. But because that Rickies got into it, weeded its way through there, the celebrity, the first thing you know, at the Nicaea Council, it adopted this plan and they organized. The thing died. The real prophet lived on to his time out. Nearly a thousand years, it went through a dark age. That's what God showed, the condemnation on the whole system at the beginning. That's right.
Ministers go through seminary, "I got a Ph.D., or an LL.D.," before they can even pastor a church, show a fellowship card. Nonsense.

83 The prophet of the Lord walked out of the wilderness, and nobody knowed where he come from or where he went to, but he had THUS SAITH THE LORD. God proved it. He wasn't in none of their organizations. That's God's system. That's right.
Seminary ministers, what did they do? Worldly-dressed women, wearing shorts, bobbed hair, and men with not enough spirit about him to condemn it.
Any man, let his wife do that, needs a good Gospel whipping. That's right. She proves herself dishonorable, and you admit it. Any man would take his wife out on the street with those little old trousers of a thing on, they walk out here with, so tight the skin on the outside, and walk down the street like that, absolutely a disgrace to humanity. To me it shows there is a lack of something inside. It shows an emptiness.

86 If you want to look pretty, get a little of Acts 2:38, a little James 5:14, mix it all together, little John 3:16, and--and all this, and mix it up together, that'll be cosmetic enough for you.
Max Factors, I see where there's a hundred million dollars, hundred billion dollars spent every year just on lipstick or something, one of them things; and missionaries on the field, starving; and you say, "We are the church of..." Why, it makes me ashamed. We go into all this glamor, big things. What's you doing? It shows that you've taken on the spirit of Jezebel: empty.

88 I heard a minister the other day, a fine man; I like him as a man, belongs to a certain organization, lives in across the river from us, and he had a radio program. He just come back; he was talking about these here women that's wearing all this here blue stuff, and--and stuff over their face.
Well, I was scared to death the first one I seen. I was in Los Angeles and I was waiting for Brother Arganbright, a Christian businessman. I seen a woman walk up, I thought, "Poor girl." I--I'm a missionary, I've seen leprosy and I've seen pellagra. I never seen nothing like that. I was going to walk up and ask her if I could pray for her. Come to find out, here come another one up the same way. I don't blame you trying to look your best, but really be a human about it. Right. That's right.

90 This man said they made a prettier world when they made that stuff. To me it made a bunch of heathens. And any woman does it, shows there's something lacking in her, a emptiness that ought to be filled up with Christ. And any man will let his wife do such a thing, it shows he's empty too. That's right. And any preacher will stand for it in his church, shows he's got a emptiness also. And any organization will stand for it, shows that they're dead. That's right. Back to the Bible.
There stood Samson, a victim of such stuff, as an example to us, great man. Oh, my, how they let him do it. As Samson thought of the errors, thought of the things that he'd done, and how he'd failed God... I wonder, does it ever dawn on people, when you hear such messages against it?

92 Wife said to me the other day, said, after somebody had bawled me out, said--said, wrote me a letter, and said, "Billy, why don't you keep off them women about their bobbed hair, and their way their..." Said, "People believe you to be a seer. You should teach the women how to get great spiritual gifts, and leave that go."
I said, "How can I teach them algebra when they won't even learn their abc's?" See, see? Certainly. How can you do it? Such a conglomeration of sin, the mark of it shows. Anyone knows that paint is a heathen trait. I'm a missionary. Heathens paint. The Indians painted their faces here in Arizona before they knowed God. If they ever knowed God, you don't have to tell them no more about it; they take it off. Shows they're at war with God. When they take it off, shows they're at peace with God.

94 We call ourself a Christian nation, call our people Christian people. I stood in Africa one day where the Lord had brought back to health a man that was so deformed, the little cross-eyed boy, and the things that He'd did there in about fifteen minutes' time. And I asked, "How many," out of two hundred fifty thousand that I was speaking to at Durban, "will receive the Lord Jesus?" And they raised up, about thirty-something thousand.
They said... I had fifteen interpreters, they said, "They meant physical healing."
I said, "I meant salvation." I put it through the interpreters again. I said, "All that understand me..." They were packing little idols sprinkled with blood, buckeyes, every kind of a superstition, lion claws. And I said, "You that believe and want to get away from your superstitions and serve the God that's able to make this man whole, standing here as you've seen Him done today, and even put him back in his right mind, if you want Him as your Saviour, show your sincerity, break your idol on the ground." It was like a dust storm.

97 And standing there, women who were stark-naked, besides a clout that hung in the front of them, all up in their waistline was naked. And I said, "Raise your hand and pray a sinners prayer, and say, 'God, be merciful to me, a sinner.'" And I said, "Upon the same grounds that you stand on, raise up your hands now and accept Christ's baptism of the Spirit. Some ministers here will baptize you in Christian baptism." And when they raised their hands, them women who didn't know right and left hand, come in there perfectly naked, but when they walked away they even folded their arms to get out of the presence of the company. One minute's time with Jesus Christ made them know they were naked.
And today, year by year, we strip more off and take more off. And, oh, I never... And then call it God? What's done it? Your organizations that permits you to do it. That's right. The system that you was raised up to clean yourself out of, you brought it right back in again. I hope I don't sound sacrilegious. I hope I'm... It isn't sacrilegious; it's the Word of the Lord. Certainly, it is.

99 Now, now, we find out that while Samson stood there looking over his error, looking what had been done, in his inner conscience, that he had--he had failed God, he'd failed God's people. And there he stood as an example, thinking back what he was and thinking now what he was. And when he did that, he cried out.
Oh, if the church tonight, would stand still a minute and look back to the day of Pentecost, look back to where we started from, and realize the condition that our creeds and fussing has got us into and cry out again... Samson cried, "Lord God, revenge my two eyes." If we could cry that same penitent cry, "Lord God, these things has had me blind all these times." He knew there was a price to pay. You know it now.

101 Meda, my wife, said to me, she said, "You go back across the nations, back and forth all the time, preaching, you go right back, the people just doing the same thing. And what good does it?"
I said, "In the day of the judgment, there will be a tape recording on God's great tape." You're not ignorant of these things. God will blast it across the skies. He's got to have a Voice there to condemn the world by, and the Voice is the Gospel.
"Revenge me, Lord, of mine enemies. Revenge my eyesight. They poked it out, Lord, and here I stand." Samson also knew there was a possibility that God might once again hear him. Even in his conditions, there was a possibility. Oh, church, there is a possibility, regardless of all they're doing.
As we hear today, so much, "So many made decisions, decisions." "Decisions" means "a stone, a confession." As I have said before, what good does a stone do if you haven't got a stone mason there with a sharp Word to cut that stone into a placed stone for the building? What good does it do to make decisions if you still let the women and the men remain as they was, and just join the church? It's a pile of stones that's not shaped into nothing. What we need is a stone mason, a man with the Word of God, a vindicated power to prove that God sent him, to shape that Church and cut off the worldly things, and shape them into the stones of the sons and daughters of God that go into His building. Certainly right. Oh, my.

104 He knew the possibilities though, that there could be God would hear prayer. If we could only do that tonight... Jesus said, when He was here on earth, the... John 14:12, "He that believeth on Me, the works that I do shall he do also." Jesus said, or the Bible said in Hebrews 13:8, that was quoted awhile ago, "Jesus Christ is the same, yesterday, today, and forever." And we call this denominational life in us the Life of Christ, and do the things that we do? "Why call ye Me 'Lord,' and keep not My commandments?" See? "Why call ye that?"
Oh, if you haven't got five members in your church, get the truth to it. A possibility... the same now, a possibility... But they of today don't seem to catch the vision like Samson did. They don't seem to get it, think, "Well, I'm pretty well settled down. Now, we have good churches, and we haven't got none..." See?

106 The Bible said, "That rich, Laodicea church age would have need of nothing, and not know that she was naked, blind, miserable, and don't even know it." Now, if you seen a person come down the street that was naked and blind, and you could tell them that they were in that shape, they were naked, they had to get somewhere and get hid, well, it'd be--there's a possible that you could bring the person off the street. But when they turn around with not mental powers enough to know it... But now the church hasn't got spiritual power enough to know it. Naked, miserable, blind, wretched, poor, Christ on the outside, knocking, trying to get in, and yet you say you have need of nothing.
I know that's foreign to some of you, but it's God's truth. The Word says so. They don't catch the vision. You can tell them about it; it just goes right off. Maybe right then there's a little conviction; tomorrow it's all forgotten about; they go right on back to their card party, and all their stitch-and-sew, and--and belong to all these things, and that's all forgotten about.

108 God can do something another for somebody, and, "Oh, well, it just happened." See, the Devil's just got their mind so poisoned up with the things, till they don't know where they're at themselves. Set tight. Oh, they can clap their hands, and holler "amen," dance in the Spirit. That don't mean one thing. I've seen heathens do that. That's right. Have great gatherings, oh, you say, "We still have revival, Brother Branham." Uh-huh, what kind of revival? You have church gatherings.

109 It was down in Kentucky, we used to call it, "Protractive meetings," and that's about what it does, protractive. And they come far from attractive from the Gospel. That's right. Yes, they say, "Oh, we had a meeting. You know what? We got Doctor So-and- so to come in the city, and we had thousands. All the churches cooperated together." What did we do, we have a revival? Bring the people back to the Word of God, and God go to work in the church? What did we do? We have a bunch of getting together, and glittering with worldly tinsel, that's exactly right, scholarship, Hollywood showmanship.
Oh, you say, "That's the Baptists."
That's the Pentecostals. Right. Up on the platform, women jumping and dancing in horrible-looking, with little old tight dresses on, that, I--it's a shame. I can't even find words right now. It's a shame. Man setting there, hollering, "Glory to God. Hallelujah." What kind of a spirit have you got anyhow? You think Jesus would shout at such as that? He'd condemn it. You think Isaiah raised on the scene, Jeremiah, Amos, one of those prophets of the Old Testament rise on the scene like they did, and see the things they seen going on, how they cried out against it, said, "The very God that you claim to serve will destroy you." He'd say the same thing today. Certainly would.

111 That don't mean a thing. Showmanship, we got too much Hollywood, but it don't bring the Spirit and power of God down. Might bring enthusiasm, but it don't bring power of God.
They're not willing to pay the price. Samson prayed right. What did he pray? In closing, I might say this, "Lord, let me die with the enemy." That's the trouble; they don't want to pay the price of dying. You got your own-self worked up into a community, into a bunch of people that you associate with and play cards, stay home and watch programs, eat "tater" chips and drink cokes. The church sets empty. That's right. Make you sign a card, you'll come six months out of the year to Sunday school. Such manmade enthusiasm. What you need is the Holy Ghost. Oh, you say, "I got It." You sure don't act like it. Yes, sir.
Let the preacher preach an hour or something another like that, you're ready to call the trustee board and throw him out. That's right. Oh, you--you want to eat your cake and keep it too. Can't do that. No, sir. You got to surrender yourself. You got a price to pay, got a cleaning up to do. And I tell you, the whole church world needs a cleaning all the way from the pulpit to the janitor's room. That's right. It's the Truth. Not willing to pay...

113 But Samson prayed right when he said, "Lord, let me die with these Philistines." He had failed, but, "Let me die." You must be ready to die to the enemy that's got this victory over you. You must be willing to surrender your own ideas. Samson was willing to pay the price to get--to get the power of God again.
Wonder if you women are willing to let your hair grow out? Wonder if you men have got enough courage to tell her that? You're supposed to be the head of the house. She's the neck; she turns you. That's contrary. Do you think a shaking revival would ever take these women out of these public offices, policemen on the streets and things? She ought to be in the kitchen. You think you'd ever be able to get her back to that again? No, sir. She'll never do it, 'less she gets saved; then she'll do it. You won't have to tell her nothing about it; she'll find her place; the Holy Ghost will lead her to her place. But say, "The Holy Ghost is leading me"? To that contrary to the Word? Don't call that the Holy Ghost.

115 Are you willing to pay the price? That's in a... Pentecostal church, are you willing to pay the price? That's it. You see what kind of a shame we're standing in. All right. Samson, willing to pay the price to get the power of God again. Oh, I hear some of you say, "We got revivals though, Brother Branham." But what do you get after you get the revival?

116 Billy Graham said in his message, Louisville, Kentucky, when I set it--with him at the breakfast, he stood up there, and took the Bible and he said, "This Bible is God's way of doing things." How true that is. But then do it, is the next thing. He said, "Paul went into a city and he made a convert; he left that convert there, one convert in a city. Next year he went back, and that convert had thirty or forty converted and brought into Christ." He said, "I go into a city, and what do I do, have thirty thousand conversions, decisions." Said, "I come back within a year, I haven't got thirty." He said, "What's the matter?" Then he pointed to preachers, said, "It's you lazy preachers, set with your feet up on the desk and don't go visit the people."

117 Now, that was a whole lot of truth in that. That's right. But it wasn't all the truth. Like the man eating watermelon, he said, give him a bite, the old darkie, and he said, "Oh, that was fine, but surely there's some more of it." And that's right.
And here's what it was. Who was me to say to that great evangelist, who was me to speak a word to a man like Billy Graham? Far be it from me. That's God's servant. I wouldn't speak to--about it unless he would ask me, and maybe I could say something. But I'd like to have said this, "Billy, what lazy preacher kept his feet up on the desk on Paul's conversion, the one he had? Wasn't a preacher in the country. What was it? Paul never left him on a decision. When he made his decision, he stood there with the Word of God and cut him into a son of God, then you couldn't keep him still."

119 That's what's the matter today, all these decisions needs to be cut down to sons and daughters of God. Clean up, and get back to the Word and back to the Gospel. Certainly, that's what we need.
Yes, we have a revival today, but what is it? It's a denominational revival. The Baptist had a slogan, "A million more in '44." What'd you get? Was at a church where they was having a revival, they said, and they had to let out to give intermission for fifteen minutes, for the people to go out and smoke between Sunday school and that. And the pastor smoked also. The Bible said, "Cleanse yourself from all unclean habits." Now what are we going to do about it?

120 Well, you say, "It's not right." The Holy Ghost, when He comes, He'll teach you all these things. See, certainly did.
And somebody said something about Divine healing, and they claimed it was in another day (See?), pointing off to what was. "Maybe it'll be over in the millennium." What do you need Divine healing in the millennium for, when you're immortal? Today is the day. This is the day.
Say, "Well, we have revivals." Look at the moral decay in the church. Look how corruptible it's getting every year. Look at our Pentecostal groups, how it's fallen. Shut your eyes and think of it fifteen years ago when I was here, then look out and see what you got today. You know that's the truth. It's a sin and shame. That's right. Getting further and further away from the Word of God all the time.

123 Samson knew his backslidden conditions. He knowed he couldn't have strength to meet the challenge of the hour, though he was there. All of his machinery was there. The same muscles that could take the jawbone and beat down a million Philistines, the same muscles hung on the same man. The same shoulders that could pack the gates of Gaza up on top of the mountain was still them same muscles hanging on him. Oh, I could say something here. See? But he knowed that he couldn't meet the challenge of the hour.
So does the church know in its immoral corruption, we'll never meet the challenge of the hour. Communism's taking the whole thing over. And what are we trying to do? Find consolation by joining up with, yoking up with these people, denominations who don't even believe in Divine healing and the power of God. How can two walk together unless they be agreed? We yoke ourselves up amongst stuff like that, and then expect God... We say, "Big numbers." God don't notice big numbers. God looks for character.

125 I said Eliezer sweated it out till he found character in Rebekah. Then he had to get her dressed up, ready, let her stand still and listen at his message. The trouble of it is, today, when you find character, it's hard to make them stand still long enough to put on clothes and get dressed up. That's right. Some little Ricky's done pulled them off in some other direction. That's right. But there, Eliezer sweated it out.

126 Now, Samson knew that he did not have the strength, though he had the muscles. And we've got all our machinery. We've got the great district presbyters; we got all the bishops; we got the archbishops; we got the popes; we got the hierarchies. We got all the machinery. We got the builtest--biggest buildings and most of the money of the earth. What good does it do us? It's a sounding brass and a tinkling cymbal. That's right. But we know we're not able to meet the challenge of the hour.

127 Today, in Russia, communism is taking the world. What's the matter? It's somebody that's got the audacity to stand up under convictions, though it's wrong. Only one percent of Russia is communist, one percent. Ninety-nine percent is still so-called Christianity, free, but they haven't got the IQ of the Gospel. They haven't got what it takes, though they got the money and they got all this, but they haven't got the courage and the grace. What God needs in Russia is one man anointed with the power of God, with the power of the Holy Ghost.

128 Samson knowed what he needed. We might turn the whole America back, and every one of them go to church; we still haven't got it, got--hasn't got what it takes. The disciples didn't have it till they went to Pentecost. Jesus told them they didn't have it, after being preaching for three years. Still they needed It. The church needs It. That's right.
Notice, Samson knowed that he was in need; he wasn't sufficient. The denominations can't produce it. They don't vindicate the Word; they teach it against It. Yeah. You know, but Samson realizing that, that he was insufficient in himself, though he had all his regime, he still was insufficient. Watch him. The Philistines gloating over their victory, they never noticed him turning his head upward, his lips moving back and forth in prayer, the tears running down out of the sockets that he once had eyes in. They didn't notice that. They just... They was having too big a time. He wanted God to manifest Himself again to this Jezebel. Oh, if we could have some Samsons to rise. Oh, church. Not a new denomination, start another creed or latter rain, we need the power of God. That's right.

130 He was aware what would happen if God ever answered his prayer, but he was ready to face the issue. He was in dead earnest. Oh, if the church tonight would only stand in that condition, in dead earnest, knowing that you're going to have to give up everything you hold dear in this world. If men and women are ready tonight to know that it's going to separate you from everything of the world. Ministers, they're going to quit packing you on the back and telling you, "Doctor So-and-so, it was marvelous, will you go swimming with us this afternoon?" Take the bunco games out of the church, and the races, and almost lottery. Bunco is lottery. And all these soup suppers to pay the preacher; get back to God's system of tithing. Come back to the Word. Are they willing to do it? No, sir, they were not. You know what a price it takes. That woman will call you old fashion again. God will call you blessed.

131 Are you willing to die? That's what's the trouble of it, you want to stay alive to Hollywood, the same time be alive with God. It won't mix. A seed... Jesus said, "Except a corn of wheat fall into the ground and die, it abides alone." You'll never bring forth anything.
Oh, Jesus' Name church, what a glorious church, what a glorious Name, Jesus' Name. Are you ready to die? Are you Assemblies of God, General Assembly, are you ready to die? Methodist, Baptist, Presbyterian, are you ready to die out to your enemy? Are you willing to pay the price of sacrifice, really, sincerely? Not just come and say, "Well, I'll give it a try and see how I come out." You're not ready yet. You must be ready to pay the price, and die.

133 You fathers, you mothers, are you ready to establish an altar in your house, and take that television out? Are you ready to take that deck of cards off the table? Them comic books that your children's reading, preparing their little mind for a blast that the Devil's going to give them. Are you ready to establish the old family altar again? Or do you just want to continue on the way you are? If you want to continue on, you're not in condition of coming yet; but I pray that you're like Samson, you see the price and you're ready, "Lord, let me die with them."
He knowed if God answered his prayer, what was going to cost. Many people, I've seen them right since I've been here, come up to the altar, and the Holy Spirit come to them, and they don't want to die. They want to stay alive in the world. You can't serve two gods at the same time. Are you ready to forsake everything to serve God? Listen at him cry, "Lord, only this once more."

135 Is the Pentecostal church, the General Council, the Assemblies of God, the Church of God, all the rest of you, willing to pay the price? Are you willing to say, "Once more, Lord. Here I stand. I didn't have the audacity, the very Christian spirit to shake hands with my oneness brother, or my trinitarian brother. I didn't have the audacity to do it. I didn't have the grace to do it, when I see where it's got me to, broke up in organizations and disfellowshipping, with a congregation so poisoned against one another that they hardly speak to each other on the street, when we're molded into one clay by the Holy Ghost"?

136 Are you willing to cry out, "Once more, Lord, let it happen"? If you are, God will sure hear your prayer. Watch when that man, with all that fiber standing there, his great regime, but he was still blind. He knowed the price; he knowed the possibility; and he said, "Once more, Lord. Once more avenge me of my eyesight." When he made that prayer, God answered it. Every fiber of his body begin to tighten up; the Spirit begin to come on those muscles. Oh, if we could have the Spirit to come on our Wednesday night prayer meeting, on our Sunday school, feel the fibers of the muscles of God's power tightening up, where the Holy Spirit could come in--not in a mockery, but in a genuine Spirit to reveal the secret of the heart and to straighten up the sin that's in there, cast out the evil.

137 As his fibers begin to tighten, "Let me die with them. I was born to destroy them; let me die with them." And his fibers, his muscles tightened up, his great huge muscles received strength, the Holy Spirit begin to move upon him, and he twisted that rock with his mighty power, and down she went. All we need is a sincere prayer, "Once more, Lord."
When we ought to be in the promised land, we're still wandering around in the wilderness. Like Israel, wanted a law, something they could do. You can't do nothing about it. Accept Christ. We wanted a doctrine, something that we could puff up ourselves by, and get a different class of people from the other fellow. See where we got? Blinded. All right.

139 Down went the great denomination. It's always been that way when God comes in, the other things fall. Then was Samson's greatest victory. Oh, I wish I could see the Church of the living God stand tonight, "Once more, Lord. Once more. Send us a revival if it costs me everything. If it costs everything I got, send me a revival. Send it upon me, Lord." Hear this group of about three hundred people or more, here tonight, cry out with one voice, "Lord God, once more let me see Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. Let me know that He's near me. Let me know that He's here to take care of me. I am willing now."

140 Oh, give over, the whole enemy was destroyed. Pentecostals stands at that post tonight. Things that you were born to destroy taken it over. Repent, call aloud, "Lord, once more; once more let us see it."
Let me say this, my friend. You better destroy your enemy before your enemy destroys you. Bring back the old fashion prayer meetings, old fashioned repentance, when they stayed to the altar until they was dead and finished with sin. You never seen a woman go to the altar and die out to sin, and next day come back with bobbed hair, paint on her face. There's no such. The Holy Spirit teaches, nature does, nature of the Holy Spirit. You never seen women going out and dressing sexy, come in and try to cover themselves up. You never seen men that was afraid to stand up and afraid his little wife would leave him or something another, because he took the initiative. Well, men were men in them days. They spoke; they were men; they governed their house. They were the head of the house. But this fancy American...

142 I just learned from a little Greek scholar, setting here looking at me now, come over from Greece, a scholar in Greek, and he begin to play my tapes and he watched the message. Said, "I know that you haven't even got an education, but, Brother Branham, your words and your Message run perfect with the Greek interpretation of the Bible." Said, "It's exactly right. What you said is exactly right." And he come to me, he was telling me, "The Laodicea means 'woman' in Greek." This is a woman's world; it's a woman's church; it's a woman's age. Several men wanted to... When did God ever get in that condition? Yes, are you ready to bring back a revival? Are you ready?
A woman said, "I have a right to do what I want to do. That's my American privilege." It's your American privilege; it ain't your God-given privilege though. A sheep... A goat will always kick up a fuss, but a sheep stands still and forfeits its rights. See? If you're a real child of God, you'll forfeit your American rights to the Holy Spirit and let Him mold you and make you like you should be. "Once more, Lord." Oh, my.

144 Oh, church, leave Hollywood Delilah; she's going to kill you. She's choking the spiritual life out of you. Leave her. Your Hollywood showmanship on the platform, your Hollywood, your tinsels, our meeting has got to be so it's just got to be all in the great big like the rest of the world, got to be in the biggest churches. An evangelist come to town, you have to promise him so much money or he won't come. How ridiculous. Shows where your treasure is, your heart's there. Turn wholehearted to God and to His Word, and let's cry out, "Once more, Lord. Once more, show us Your Presence."

145 Jesus said, "A little while, and the world (That's 'cosmos,' I believe there, brother.) the world order won't see Me no more, yet ye shall see Me (the believer), for I'll be with you, even in you, to the end of the age. The works that I do shall you also. More than this shall you do, for I go unto My Father. He that believeth in Me, the works that I do shall he do also." Not make-believeth; but believeth. Oh, church, we--Jesus is not dead; He's raised from the dead. He's right here now. If I didn't have that support, I wouldn't say what I say. I know He's here. And He proves Hisself here. He's always here to vindicate His Word. If He stood here tonight, what would He say? He'd come right back to the Word again, saying the same thing that He did say.
Now, you say, "Was that Jesus talking?" Well, if it wasn't, I sure wouldn't want to say it. Certainly. "How can it be proved?" Bow your head a minute.

147 Heavenly Father, Your servants can speak all they desire to speak, and we might bring Truth ever so clear to the people, but still it's merely just an emotion. It's still just the lips of a human being speaking to congregation. Lord, You're supernatural. And wherever You are, there's supernatural signs; there's miracles performed, things that cannot be explained. When You were here on earth, You walked up-and-down among the people, You healed the sick. A woman touched Your garment one time, and You turned around, and said, "Who touched Me?" You did not know, Yourself. "Who touched Me?" But the God that was in You, You knew the secret of the heart, because the Bible says, "The Word of God is stronger and sharper than a two-edged sword, a Discerner of the thoughts of the heart." And You looked down, the little woman couldn't hide herself, and You told her her faith had saved her.
You said, "I do nothing till the Father shows Me first. The Father worketh, and I worketh hitherto." If You were here tonight, You'd do just as the Father showed You to do.

149 I pray, Lord, that You can bring this church once more, Lord God, this people that's made up here tonight of all different churches, Methodist, Baptist, Catholic, Presbyterian, Pentecostals, and all kinds of brands upon them... You don't look at brand, You look for the Blood tag. I pray, heavenly Father, that tonight, that the people will ignore their brand they're wearing, and remember Pentecost is not an organization, it's an experience that comes to any man or woman that'll trust You. Heal the sick, Lord, save the lost. Get honor unto Thyself.
Now, I commit this audience, with these broken up words, Lord. I'm not eloquent; I'm not sufficient to bring the Word, but I'm trusting that the Holy Spirit will take these things and reveal them and make them known by the attitude that they were given by. Not to be feeled inferior, but to feel very humble, not to be different, but to be truthful and honest with the people, as I would be with God. For if I cannot be honest with His children, how can I be honest with Him?
And I pray, God, that You'll vindicate This this night, right before the people now, that they might know that they're living in the shadows of time, that the Message of the hour is, to repent and turn back again to the faith of the Father. Grant it. And I commit it to You. Save sinners. Fill believers. Heal the sick. Bring glory. And may we all cry with one accord, "Once more, Lord, once more." Let it be once more. We ask in Jesus' Name.

152 With your heads bowed, prayerfully, won't you consider this, "Is it me, Lord? What can I do? What--what must I do?" Just search yourself while the music plays softly. Think of this little broken up message; don't look at the messenger; think of what--what the message is.
Now, as you feel that you have need of God, just raise up your hand slowly, as you keep your heads bowed, "Lord, remember me." Don't care what you have need of. "Remember me, O Lord."
Have faith now in God; don't doubt. Just believe. Hold your request till God speaks to you and say, "I'll give you your request."
"Lord, I stand blinded too. I'm ashamed of myself. I stand, professing to be a Christian and living the way I live; I'm ashamed of myself. Have mercy on me, Lord. Heal me. Heal me physically; heal me spiritually; make me Yours. I feeled Your Spirit upon me. Brother Branham said that You were here with us. I--I believe You now, 'cause I feeled You. I know You're here." God of heaven will answer your prayer. Just believe now; just let the message get down deep in you. Just pray; have faith. Don't doubt. Believe.

155 Now, Lord, I've give this space of time that men and women, boys and girls could think this over. This has been a strange message to some, no doubt, but, Lord, You know it's true. Setting in the room this afternoon, You--You brought this to my memory, of this great man that once lived for You and the condition he got in. Now, Father, as Samson was willing to die, die out to himself, die with his enemy to bring God's victory and the promise back, may we, with all of our churchanity and all of our difference, die out to our own thinking, and accept Your Word; die out to the thoughts that we've been told, "The days of miracles is passed," when we know that--that Jesus is the same, yesterday, today, and forever. Grant, Lord, that this audience will see the moving of the hand of God once more, and then they may come and repent, and there be a great meeting. And may from this little church go forth a revival that'll slay all the Philistines of the worldliness throughout the country. And may it be an example, as these people go from here tonight.

156 We pray that You'll come in like You did on the road to Emmaus. You talked with those men all through the day. They were talking about You. You were talking right to them, and they didn't know You. Many people here, Lord, goes to church, and they're sincere, and they really are not taught any different. But then when You got them into the room that night and closed the doors, You did something just like You did before Your crucifixion; then they knew You Had raised from the dead. They hurried back with light feet and light hearts, and told the disciples; with light hearts they said, "Did not our hearts burn within us as He talked to us along the way?"
Grant that to happen once more, Lord. Come into this audience and do the things You did before Your crucifixion, that this audience might know that Thy unprofitable servant has not lied to them, but told them the Truth. We ask in Jesus' Name. Amen.

158 Now, we could no wise have a prayer line called up, if there is cards. I don't--don't think there's any. We got cards give out from a few nights ago. I don't think they give out any tonight. But they got cards here. But if they had, you couldn't have a prayer line (See?) way we're messed up. Now, but we'll--we'll get it finished. But how many people in here that are sick? Let's see your hands. Raise up your hand if you have a need of God, Or a need of somebody else having a need, raise up your hand. Just pray.

159 Now, be reverent. Now, let's just not fail to get this message now. Listen. If Jesus was standing here with this suit on, and you'd run up on the platform, and say, "Lord Jesus, heal me," you know what He'd say to you? "I've already done it." He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed. The price is done paid. You'd have to believe it.
You say, "But if I could believe that He was close to me, if I knowed He was here. If I... That--that's been two thousand years ago."
Well, the Bible said He's the same yesterday, today, and forever. And we'd like to see Him. If we would see Him, He'd act like He did.

162 Now, I'm going to give, for you minister brethren, some Scripture. The New Testament said, that He's the High Priest now that can be touched by the feeling of our infirmities. Is that right? How did He act, as, was when He was on earth He was the High Priest. Why, He was more than that; He was God. How could--how could the people get something from Him? A little woman touched His garment, set down, and Jesus turned and said, "Who touched Me?" And all of them denied it. But His... The Spirit of God that was in Christ, making Him Emmanuel, turned around until He found in the audience a little woman, and told her what her condition was, said, "Your faith saved you." Is that right? Well now, if He is the High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities, if it's the same High Priest, He'd act the same way.

163 Now, you're strangers to me, most of you. I know Brother Dalton and them setting here on this front seat right here, this group right here, 'cause they're from back in Kentucky. I've knowed them for years. And I'm not mistaken, I believe way back in the back I seen Brother Gene Goad and Brother Leo Mercier; I'm not sure. Glad to see you brethren. I see Brother and Sister Dauch setting here. I don't want you people, if you got anything wrong with you, just wait, not now. I want somebody that don't know me, and knows I don't know you. I want you to pray.

164 And then if He is the same, yesterday, today, and forever, you touch His garment, and His Holy Spirit will operate through us. If you've got the right channel, the Spirit to believe by, the same channel that's here, it'll operate the same way. It's got to; it's God. You put the life of an apple tree in a peach tree, it won't bear peaches no more; it'll bear apples. And you put the Life of Christ in a--in a man that's a mortal being, he'll bear the fruit of the Spirit. He'll bear the fruits of the resurrection.

165 Christ delivered this Message, and this--this message to the Church to take it, "Go ye into all the world, and to every creature." Millions have never heard it yet; nations has never heard It yet. How long? "All the world, to every creature, these signs shall follow them that believe." How far? "All the world." Who to? "Every creature." There's where He commissioned the church. Now, show me in the Scripture where He taken That back away. Man might inject their idea, but that's not God's idea. He said, "All the world, to every creature."

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