Quand l'amour s'élance

Date: 57-0806 | La durée est de: 1 heure 44 minutes | La traduction: MS
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1    Merci beaucoup Frère. Inclinons la tête pour prier un instant. Notre Père Céleste béni, nous venons à Toi ce soir en tant que Tes enfants croyants, croyant la Parole de Dieu: qu'Il nous a promis dans cette Parole, que si nous demandions quelque chose en Son Nom cela nous serait accordé.
    Et nos coeurs sont heureux ce soir, parce qu'hier soir nous ne T'avons pas seulement vu guérir les malades, mais nous avons vu la grande puissance de Dieu à l'oeuvre pour changer un pécheur en un Chrétien. Il y a des foyers heureux aujourd'hui à cause de cela. Et, Père, nous Te sommes reconnaissants de ceci. Et nous prions ce soir que Tu doubleras le nombre. Envoie chaque pécheur à l'autel, guéris chaque personne malade.
    Parle-nous au travers de la Parole, alors que, comme des vases humbles qui T'appartiennent, nous nous efforçons d'apporter cette Parole aux gens, la Parole de Vie. Nous prions que Tu bénisses nos faibles efforts. Nous prions au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2    Voyez, nous avons plusieurs lettres sur le pupitre ce soir. Ce sont peut-être des mouchoirs sur lesquels nous devons prier; je fais cela chaque soir, j'essaie de prier dessus. Et maintenant, j'attends d'habitude jusqu'à ce que le--l'onction de l'Esprit que nous sentons soit dans la pièce. Si fort que nous sentons alors que nous sommes obligés de le faire. Ce n'est pas de la superstition. Si oui, alors saint Paul était superstitieux. Car la Bible enseigne ceci et nous devons mettre en pratique ce que la Bible enseigne. Et ils prenaient...
    Bien, beaucoup de gens les oignent d'huile, ces mouchoirs. Eh bien! c'est bon. Tout ce que Dieu bénira, je suis pour. Si vous observez attentivement les Écritures, Paul n'a jamais oint les mouchoirs; on appliquait des mouchoirs ou des linges qui avaient touché son corps.
    Et je crois que Paul était plutôt fondamental dans ses enseignements. Et je crois qu'il a reçu cela de l'histoire de cette Sunamite qui était partie voir Élie pour son bébé qui venait de mourir. Et Élie a donné son vêtement à son serviteur et a dit: «Va le poser sur le bébé.» Parce qu'Élisée savait que tout ce qu'il touchait était béni, si la femme pouvait croire la même chose. Voyez? je pense que c'est là que Paul a dû le prendre, de cela.

3    Bien, avant que nous ouvrions Son Livre, demandons à l'Auteur de bénir Sa Parole un instant.
    Bien, Père, ceci est Ta Parole, et nous en ouvrons maintenant les pages; ouvre-nous la compréhension. Dans le Nom de Jésus nous prions. Amen.
    Je désire vous parler ce soir sur le sujet de Quand l'Amour s'élance, la grâce prend la relève. Je prends mon texte de Saint Jean, le troisième chapitre, le seizième verset, qui devrait être connu par le plus jeune et le plus petit (je suppose) des garçons et filles de l'école du Dimanche dans ce bâtiment. Il se lit ainsi:
    Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu'il ait la Vie éternelle.
    C'est peut-être l'une des Écritures les plus connues de toute la Bible. On s'y réfère souvent comme étant le texte d'or de la Bible. Et cette Écriture parle de l'Amour. Et j'ai eu le privilège de prêcher l'Évangile dans beaucoup, beaucoup de pays païens. Et j'ai entendu les différentes théories, mais je n'ai pas encore vu quelque chose qui s'élève jusqu'à l'amour Chrétien de Dieu. Personne ne peut expliquer l'Amour de Dieu, bien que beaucoup aient essayé. Les poètes et les compositeurs de chants ont échoué. Les serviteurs de Dieu n'ont jamais pu l'expliquer.

4    Un poète a écrit sur l'Amour de Dieu ceci:
Si les océans étaient tous remplis d'encre,
Et les cieux un parchemin,
Si chaque tige sur Terre était une plume,
Et chaque homme un écrivain,
Décrire L'Amour de Dieu mettrait à sec les océans
Et le rouleau ne pourrait en contenir le tout,
Quoi qu'étendu d'un bout à l'autre du ciel.
J'ai souvent pensé au grand poète qui a écrit ceci:
Depuis que j'ai vu par la foi
La rivière née des blessures ruisselantes,
L'Amour Rédempteur a été mon thème
Et le sera jusqu'à ma mort.
    Je pense que s'il y a une chose dont on a besoin dans la grande église universelle de Dieu ce soir, c'est l'Amour. Nous n'avons pas autant besoin que nous le pensons de nos dons et de nos émotions, quoiqu'ils soient merveilleux et que nous louions Dieu de ce que nous les ayons. Mais si ces dons ne sont pas dirigés par l'Amour, ils ne sont pas efficaces.

5    L'Amour devrait gouverner le foyer. L'Amour est la puissance la plus forte mise à disposition de l'homme. Un--un foyer qui n'est pas discipliné par l'Amour n'est pas vraiment un foyer. Si le mari et la femme ne s'aiment pas profondément, ils ne peuvent pas avoir confiance l'un dans l'autre. C'est pourquoi je pense que au lieu de faire reposer notre foi sur quelque émotion (ce qui est en ordre), ou sur quelque don (ce qui est en ordre), comme crier ou parler en langues, ou d'autres choses que nous prenons pour--disant que nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous faisons cela... Ces choses sont en ordre. Mais si nous voulions revenir à ce principe: L'Amour d'abord, ensuite les autres choses.
    Si nous faisions cela, notre église avancerait beaucoup plus rapidement, si nous prenions Dieu premièrement; car Dieu est Amour.

6    Maintenant, l'Amour a deux significations différentes, avec deux mots différents pour l'exprimer. En grec, une sorte d'amour est appelée phileo. C'est l'amour naturel que vous pouvez avoir pour votre femme; mais l'amour agapao veut dire amour divin. Bien l'amour que vous avez pour votre femme et l'Amour pour Dieu sont très opposés l'un à L'autre. Écoutez simplement ceci. L'amour que vous avez pour votre femme, si un homme l'insultait, vous le tueriez immédiatement, avec cette sorte d'amour phileo; mais avec l'amour agapao ou amour divin, vous prieriez pour l'âme perdue de cet homme. Voilà la différence.
    Il y a deux sortes d'amour. Et je suis presque sûr que beaucoup d'entre nous se sont trompés, ayant l'amour phileo, en pensant que c'était l'amour agapao. L'amour phileo est intellectuel, tandis que l'amour agapao vient du coeur. C'est l'amour humain, l'amour affectif, et l'Amour divin. L'amour agapao ne se pose pas de questions. L'amour humain raisonne toujours, l'amour divin ne le fait jamais! Il est parfait dans sa confiance. C'est le parfait... cela produit simplement la foi lorsque vous aimez réellement.

7    Bien, lorsque... devant une audience comme celle-la ce soir, de plusieurs centaines de personnes, quelqu'un dira: «Vous voulez dire que vous allez lire seulement ce petit verset de l'Écriture, et c'est tout?»
    Oh! mais, mes amis, il y a assez dans ce petit verset de l'Écriture pour vous envoyez au Ciel ou pour vous condamner à l'enfer pour toujours. Votre attitude envers ce petit bout d'Écriture scellera votre destinée éternelle! Et si j'en avais le pouvoir, je ne changerais pour rien au monde. Si on m'offrait tout l'or du monde, et d'être le roi de l'univers, et des millions d'années à régner en bonne santé, je ne changerai toujours pas un seul mot de ce texte. Parce que c'est le Verbe de Dieu, et Il ne peut jamais changer. Peu importe combien c'est court, c'est pareil. Cela contient en lui toujours la même valeur que le Livre entier possède.
    Votre agissement--agissement ou votre attitude à l'égard de ce petit morceau de l'Écriture scellera votre destination éternelle. Et si cette Écriture à tant de valeur, cela est largement suffisant pour que nous y réfléchissions maintenant pendant un moment.

8    Il y a quelques temps, là-bas à Louisville (je crois), au Kentucky, on m'a dit qu'un petit garçon qui était en train de ranger son--son--le grenier dans la maison. Et en retournant de vieux papiers, il trouva un tout petit timbre, gros comme un ongle. C'était un très vieux timbre. Alors rapidement il eut deux pensées: une d'entre elles était pour le marchand de glaces; et l'autre était pour le collectionneur de timbres en bas de la rue, qu'il connaissait bien. Il saisit le petit ongle--le timbre gros comme un ongle, avec juste un ou deux caractères écrits dessus, très usé par le temps, et il descendit rapidement la rue vers le collectionneur de timbres, et lui dit: «Combien me donnerez-vous pour ce timbre?»
    Le collectionneur de timbres le regarda par dessus ses lunettes, et il comprenait que ce timbre était ancien. Notre petit gars s'attendait à recevoir les cinq Cents pour une glace... mais le collectionneur de timbres marchanda avec lui pour un dollar. Oh! le petit garçon était très ému de recevoir un dollar pour ce tout petit morceau de papier gros comme un ongle! Le collectionneur de timbres le revendit pour cinq cents dollars la semaine d'après. La dernière chose que j'ai entendue au sujet de ce timbre, c'est qu'il valait deux cent cinquante mille dollars.
    Donc ce n'est pas la taille des choses; c'est ce qu'il y a dessus. C'est comme ça qu'est ce petit Texte ce soir. C'est--il nous est dit, «Ce n'est pas les grandes choses que nous faisons, ce sont les petites choses que nous négligeons.»

9    Il fut dit une fois que... le roi George, le dernier roi d'Angleterre visitait une fois une de ses villes ici au Canada. Et tous les écoliers se retournaient pour voir passer le roi. Et la maîtresse d'école avait donné un drapeau à chaque enfant pour qu'ils l'agitent en l'honneur de leur roi. Et combien ils aimaient montrer leur loyauté, pour montrer à leur roi qu'ils étaient des citoyens de son immense domaine. Et alors que le roi passait dans son carrosse, tous les petits enfants agitaient leurs drapeaux et l'acclamaient alors qu'il s'inclinait poliment devant eux avec un coeur reconnaissant.
    Et, après que toute la rue ait été libérée, la maîtresse sortit dans la rue, parce qu'il manquait une fille, une toute petite. Et la maîtresse, en marchant dans les rues, appelait son nom, remarqua une petite forme qui s'appuyait sur un poteau télégraphique, en train de pleurer. Et elle courut vers la petite fille, l'embrassa comme une mère l'aurait fait, et lui dit: «Chérie, pourquoi pleures-tu?» Et elle la regarda et les larmes se frayaient un chemin en descendant sur son petit visage joufflu.
    Elle dit: «N'as-tu pas agité ton drapeau?»
    Elle répondit: «Oui maîtresse, je l'ai agité.»
    Elle dit: «Le roi ne t'a-t-il... n'as-tu pas vu le roi?»
    Elle répondit: «Oui, maîtresse, j'ai vu le roi, mais je suis si petite, que le roi n'a pas pu me voir!»

10    Bien, c'est différent avec Jésus. Peu importe combien ce que nous faisons en Son Nom est insignifiant ou petit Il sait tout à ce sujet. Cela peut sembler insignifiant, mais tant que c'est fait en Son nom, peu importe combien c'est petit... Il a dit une fois que «si vous donnez seulement un verre d'eau froide à l'un de mes serviteurs, en vérité en vérité je vous le dis, vous serez récompensé.»
    Donc peu importe combien ce que vous faites est petit, Christ voit toujours les petites choses que nous faisons. Et je suis si content de cela (pas vous?), qu'Il voie les petites choses que nous faisons. Et cette petite partie de l'Écriture, si Elle est reçue correctement, Il le comprendra.

11    Au temps de la Révolution aux États-Unis on dit qu'un soldat passa en cour martiale à un moment pour un crime, et il devait être fusillé au lever du soleil à une date précise. La veille, quelques-uns allèrent voir le fameux Président et plaidèrent pour sa vie. Et comme le Président était pressé, il attrapa un morceau de papier et écrivit dessus: «Je pardonne cet homme» et il signa de son nom, Abraham Lincoln.
    Et le porteur emmena le morceau de papier à la cellule et dit à l'homme: «Tu es libre.»
    Et alors cet homme a dit, il dit, «Cela ne m'a pas l'air d'être officiel. Je n'y crois vraiment pas, et je ne partirai pas d'ici.» Il rejeta cela parce que c'était écrit sur le morceau de papier et pas sur une belle lettre à entête ou quelque chose, venant du Président. Le lendemain matin l'homme mourut selon la sentence sous la fusillade de l'escadron. Bien que le papier soit écrit de la main du Président avec son nom, l'homme était pardonné, et ils le fusillèrent après que le Président l'ait pardonné. Et cela fut amené devant la Cour Fédérale. Et voici quel fut leur décision: qu'un pardon n'est pas un pardon à moins qu'il ne soit reçu comme pardon.

12    Donc Jean 3:16 est un pardon pour chaque homme et femme mortels sur Terre, s'il est reçu comme pardon; mais s'il ne l'est pas, vous êtes toujours condamné.
    Dieu a tant aimé le monde, qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la Vie éternelle.
    Quel pardon pour la race déchue d'Adam! Pour chaque homme et femme qui veut le recevoir c'est un pardon gratuit pour vous et pour moi.

13    L'Amour que Dieu avait... l'Amour est une force puissante, et quand l'Amour s'élance et quand il arrive au bout de sa force, alors la grâce souveraine prendra la relève à partir de là et accordera l'objet que l'Amour a demandé. Voilà pourquoi nous avons un Sauveur ce soir; Dieu a tant aimé le monde, et Son Amour projeté vers le monde a produit un Sauveur. Dieu voulait tellement vous voir en bonne santé que Son Amour est sorti et a produit une expiation tant pour votre maladie que pour vos péchés. C'était l'Amour de Dieu qui L'obligeait à le faire.

14    L'Amour est une force puissante. Il fera qu'une mère s'enfoncera dans les flammes pour chercher son bébé, même si elle sait que cela lui coûtera la vie. Rien n'est plus fort que l'Amour, cela amène la confiance. Vous pouvez vous en aller en sachant que vous appartenez à la plus grande église de toutes les provinces du Canada. Vous savez peut-être que vous êtes un membre de la plus grande église du pays. Et alors vous faites des choses que vous ne feriez pas si vous apparteniez à la petite mission quelque part dans un coin en ayant l'Amour de Dieu dans votre coeur.
    L'Amour n'a pas de crainte, l'Amour chasse la crainte; j'ai trouvé beaucoup de crainte parmi les chrétiens, ceci n'est pas correct et ça ne devrait pas être ainsi. La crainte est un manque de confiance, mais si vous aimez et si vous avez confiance, vous chasserez la crainte. Dieu veut que vous ayez de l'Amour pour Lui et de la confiance en Lui, ceci chassera vos craintes et vous conduira à Le servir avec un Amour plus grand.

15    Par exemple... ma femme est quelque part dans la réunion, ce soir. Je l'aime de tout mon coeur. Et quand je me prépare pour partir outre-mer. Bien, qu'en serait-il si ma femme, si je la prenais dans mes bras et lui disais: «Écoute-moi bien madame Branham. Quand je serai parti outre-mer, tu n'auras pas d'autre maris. Et si jamais j'apprends que tu as flirté avec un autre homme alors que j'étais absent, malheur à toi quand je reviendrai.»
    Et alors elle m'attraperait par le col de ma chemise, et dirait: «Très bien, monsieur Branham. Mais je veux te donner une consigne également. Si j'apprends que tu sors avec une autre femme, malheur à toi quand tu reviendras.»
    Bien, serait-ce un foyer? Eh bien! c'est ce que nous avons fait de l'endroit où Dieu veut demeurer, plein de lois légalistes que nous devons observer.
    Que fais-je quand je pars outre-mer? j'aime ma femme. Et tant que je l'aime, j'ai confiance en elle. Nous nous agenouillions simplement et nous prions ensemble, prenant nos jeunes enfants autour de nous. Ils prient: «Dieu, prends soin de papa, ramène-le nous.»
    Je prie, «Dieu, prends soin de ma famille pendant mon absence.» Je me relève, lui donne un baiser d'au revoir, j'embrasse les petits.
    Elle m'a dit, «Billy, je prierai pour toi quand tu seras parti.» Cela règle la question. Nous n'y pensons plus.

16    Et si j'étais outre-mer... sous la loi, je sais que j'aurais un divorce en rentrant, si j'allais avec une autre, je serais un misérable. Mais si j'étais là-bas (peu importe dans quel état je serais) et si je savais que je pourrais la tromper et que le lui disant à mon retour elle me pardonnerait cela, je ne le ferais pas de toute façon. Je ne la blesserais pour rien au monde. Non, monsieur, même si je sais qu'elle dirait, «Bill, je comprends; je te pardonne.» Je ne pourrais pas la regarder en face; j'ai une haute estime d'elle.

17    Et je vous dirai ceci, Frère, quand l'Amour de Dieu vient dans le coeur humain, Il enlèvera toutes ces choses. Vous n'avez pas à vous inquiéter de fumer, de boire, et de subir des bioscopies. Quand l'Amour de Dieu vient dans votre coeur, vous ne feriez rien au monde qui puisse Le blesser. Vous n'irez pas çà et là en disant: «Ils sont étroits d'esprit, et ils sont comme ceci et comme cela.»
    Que l'amour de Dieu vous touche une fois et ces choses meurent. Toutes vos affections sont placées sur Christ. Alors vous avez la Vie éternelle, quand vous le croyez Lui, Le croyez vraiment, et que vous vous mariez avec Lui, que vous mourez aux choses du monde.

18    Dieu projette Son Amour, et Son Amour fait de vous ce que vous êtes. Oh! il y a beaucoup de choses que nous pourrions dire à ce sujet. Je vais tomber le col de ma chemise (puisqu'il l'était), et vous dire, amis Canadiens, quelque chose de l'intérieur. Je voudrais vous raconter un témoignage personnel, si vous voulez bien m'en excuser, de quelque chose de ma vie intime, que j'ai découvert, parce qu'il semble que ce soit très approprié pour ce temps-ci. Ma vie n'est pas mystique comme pensent les gens, elle ne l'est pas, c'est de l'Amour. C'est cela la chose principale, c'est aimer Christ. Pas seulement dire que vous le faites, mais L'aimer de votre coeur. J'ai vu les démons les plus cruels être vaincus, j'ai vu des animaux sauvages être terrassés dans la présence de l'Amour de Dieu! L'Amour bannit la crainte.

19    Voici un... un petit témoignage est écrit dans ce petit livre. Un soir à Portland, Oregon, je prêchais sur la foi. Et tout-à-coup un homme très fort d'environ cent cinquante kilos, a surgit dans le bâtiment. Je pensais que c'était un coursier jusqu'à ce que je remarque que beaucoup de pasteurs (peut-être cent cinquante ou plus) fuyaient tout simplement de l'estrade. Et quand il s'est mis devant moi, il m'a regardé en face, a lancé ses gros bras en arrière...
    Je ne savais pas qu'il s'était échappé d'un asile. Et il venait de frapper un prédicateur dans la rue et lui avait fracturé la mâchoire et la clavicule, là-bas dans la rue. Et il y avait environ six mille personnes présentes (qui pouvaient rentrer dans le bâtiment), alors qu'il pleuvait dehors.
    Et ce gars s'est rué vers l'estrade, et il m'a regardé, et il a dit: «Toi hypocrite» il a dit, «t'installer là comme si tu étais un serviteur de Dieu. Je briserai chaque os de ton corps.» Je pesais soixante kilos, et lui environ cent cinquante ou plus, et il faisait près de deux mètres cinquante, tout à fait capable de mettre ses menaces à exécution. Je savais qu'il y avait mieux à faire que de dire quoi que ce soit car il était très bien bâti.
    Mais lorsque je me suis tourné vers cet homme, quelque chose s'est passé. Oh! si cela pouvait encore arriver! Au lieu de déguerpir et de vouloir combattre cet homme ou de faire appel à la police, je l'ai aimé. Je pensais: «Ce pauvre homme ne veut pas me blesser, c'est le diable dans cet homme, c'est lui qui veut me blesser. Cet homme a probablement une famille qu'il aime, il aime bien manger et être en relation avec d'autres et--et être un citoyen. Mais c'est le diable en lui qui fait ceci.» Je pensais: «Ce pauvre frère!»

20    Il s'est avancé tout près de moi et a dit: «Je vais te montrer si tu es un homme de Dieu ou pas!»
    Eh bien! je ne disais rien, je le regardais simplement. Tout était silencieux. Je venais juste de conduire deux policiers à Christ dans le vestiaire. Ils accoururent sur l'estrade pour l'attraper. Je leur ai fait un signe de la tête, «Ce n'est pas un problème de chair et de sang.»
    Et l'homme s'est dirigé vers moi; et, il est venu [Frère Branham illustre. – N.D.É.] me crachant en face. Et il a dit: «Toi, serpent dans l'herbe! Je briserai chaque os de ton corps, et je vais te propulser au milieu de la salle.» Avec ses bras énormes... Je ne disais rien, je n'avais pas plus peur que maintenant. C'est cela. C'est l'Amour. Je n'étais pas là par ma volonté, Dieu m'avait envoyé là. C'était à Dieu de prendre soin de moi alors que je me trouvais là. Je le regardais; Je pensais: «Pauvre gars!»
    Puis lorsqu'il a levé son poing pour me frapper et que six mille personnes retenaient leur souffle, il allait me frapper, je dis: «Satan, sors de cet homme.»
    Premièrement... j'en oublie une partie. Quand il m'a dit qu'il allait m'envoyer au plancher, j'ai entendu ma propre voix lui dire: «Ce soir tu tomberas à mes pieds.»
    Il dit: «Je vais te montrer sur quels pieds je vais tomber!» Et il a pris son élan pour me frapper.
    Et j'ai dit: «Satan, quitte cet homme.» Et il a jeté ses bras en l'air, ses grands yeux exorbités, sa bouche s'est grande ouverte, il a tournoyé et est tombé au sol, et s'est planté à mes pieds, au point que le policier a dû le traîner pour le retirer.

21    N'ayez pas peur. Dieu vit encore. Je l'ai vu devant le défi de ces docteurs-sorciers en Afrique, avec tout cet Hindouisme en Inde. Rappelez-vous, le diable vous forcera à donner la preuve de chaque centimètre de terrain que vous réclamez. Mais si vous aimez Dieu, il ne reste plus de crainte.

22    Il y a quelque temps, quelques semaines, dans le Vieux Mexico. Nous devions avoir le bâtiment, mais ils n'ont pas voulu nous le donner. Et nous avons dû prendre un champ immense, ou ils jouaient au ballon quelque chose comme ça. Des milliers de gens venaient aux réunions se rassembler en plein air et nous ne pouvions pas atteindre l'endroit... Ils durent me faire monter et descendre par une échelle. La veille, une dame était venue là depuis quinze heures, et les gens s'étaient rassemblés à neuf heures le matin.
    Il n'y avait pas de chaises pour s'asseoir, on s'appuyait les uns contre les autres. Et ils attendaient jusqu'à neuf heures le soir. Au jour du jugement, que feront-ils à ces groupes de prétentieux qui ne veulent même pas mettre le pied dans une réunion pareille? Alors ce soir-là, Monsieur Moore se tenait là et la pluie commençait à tomber très fort... et Monsieur Moore n'arrêtait pas de me dire: «Il se passe quelque chose dans la ligne de prière.»
    Et un prédicateur mexicain de Californie, Frère Espinosa (beaucoup d'entre vous le connaissent) il distribuait les cartes de prière et essayait de garder les gens en ligne, et il n'y arrivait pas. Et Billy Paul (mon garçon) vint vers moi et me dit: «Papa, il n'arrive plus à contenir la ligne. Il y a une jeune maman là dans la foule, son bébé est mort ce matin et elle enjambe les hommes sur son passage!»
    J'ai dit: «Eh bien! Frère Moore, allez là-bas et priez pour le bébé.» Frère Moore s'est faufilé vers elle, et je regardais devant moi et j'ai eu une vision d'un petit bébé qui ressuscitait. Bien, nous ne pouvons pas dire ces choses à moins qu'elles ne soient authentiques. Et ce petit bébé... je remarquais que la jeune maman là-bas criait: «Padre!» Le mot «Padre» veut dire Père; elle était catholique.
    Et quand j'ai dit: «Amenez-moi la jeune femme ici.» Et elle l'avait mis sous une couverture trempée par la pluie. Je ne pouvais pas lui parler, personne pour interpréter. J'ai simplement posé mes mains sur le petit bébé et j'ai offert une prière simple à Dieu. Et cette Bible ouverte devant moi, Dieu sait que c'est la vérité, ce petit bébé a poussé un cri et a commencé à gigoter aussi fort qu'il le pouvait. Cela a secoué tout le Mexique!

23    Le jour suivant ou le soir suivant, quand je suis arrivé là-bas... l'estrade était aussi large que tout ce bâtiment ici, l'espace du plancher, et elle était remplie de vieux manteaux et de chapeaux empilés par les gens, afin que je prie sur ces chapeaux et le reste pour les gens.
    En arrivant à l'estrade ce soir-là, à la quatrième ou cinquième personne, j'ai remarqué un vieil homme au visage ridé. Et alors qu'il montait, il était aveugle, et il n'arrêtait pas de dire quelque chose. L'interprète lui parlait et lui demandait: «Voulez-vous vous approcher de l'homme qui va prier pour vous?»
    Il n'arrêtait pas de dire «oui». Il fouilla les poches de ses habits en lambeaux, en sortit une petite paire de chapelets et a commencé à marmonner quelque chose avec ces chapelets. J'ai dit: «Mettez cela de côté, mon frère, vous n'en avez pas besoin maintenant.» Et il le colla dans sa poche. Et je le regardais; j'ai commencé à réfléchir.

24    Maintenant pour vous les pasteurs, voici quelque chose pour vous. Je sais que votre assemblée sait si vous les aimez ou non. Vous ne pouvez pas déguiser l'Amour. Cela doit être réel. C'est comme les gens qui essaient de... Un homme en train de geler, montrez-lui un feu en peinture. Il ne peut se réchauffer par un feu en peinture. Cela doit avoir de la chaleur dedans. Et l'Amour doit avoir une action en Lui-même.

25    Et ce vieil homme, alors que je me tenais là, je le plaignais en moi-même; j'ai regardé son vieux manteau râpé. J'ai mis mon épaule contre la sienne pour voir si mon manteau lui irait. J'ai regardé ses pieds: pas de chaussures, de grosses callosités sur ses pieds, aussi poussiéreux qu'il était possible de l'être, jusque sur son pantalon râpé. Mes chaussures n'étaient pas assez grandes pour lui. Et j'ai commencé à regarder, et j'ai réfléchi: «Ce pauvre vieil homme n'a peut-être jamais eu un bon repas de sa vie.»
    Oh! l'économie du Mexique est très pauvre. Le maçon gagne environ huit Pesos par jour. Et il lui faut environ quatre jours de dur travail pour s'acheter une paire de chaussures. Voilà pour Pancho Frank. Que fera Pedro, travaillant pour environ deux Pesos avec six ou huit enfants à élever? Oh! c'est terrible.
    Et j'ai pensé: «Avec tout cela contre lui, la nature... le diable lui a collé un démon pour aveugler ses yeux, il est vieux, complètement aveugle! Comme c'est cruel!»
    Et j'ai commencé à rentrer dans quelque chose; je ne peux pas l'exprimer; c'était un Amour de compassion. Et alors que le vieil bonhomme venait et posait sa tête sur mon épaule, j'ai saisi ce vieux manteau râpé, j'ai dit: «Dieu miséricordieux, s'il Te plaît aie pitié de ce pauvre papa aveugle! Si mon papa vivait encore, il aurait son âge. Veux-Tu l'aider, Père?»
    Et j'ai entendu l'homme crier: «Gloria Dios!»
    Et l'homme pouvait voir aussi bien que moi. Les gens commencèrent à crier partout. Qu'est-ce que c'était? C'était le fait d'entrer dans la communion des souffrances de sa cécité. Vous devez le faire!

26    Si jamais j'ai eu du succès en priant pour quelqu'un, c'était lorsque je pouvais entrer en communion avec les personnes, sentir leurs infirmités, sentir leur condition; alors quelque chose en vous va au-delà de la raison et prie la prière de la foi pour le malade. Vous devez sentir quelque chose pour la personne, vous devez avoir de la compassion pour elle, vous devez vous tenir avec elle avant de pouvoir l'aider. Alors vous entrez dans une sorte de profondeur, c'est l'Amour de Dieu qui est au-delà de l'amour humain.
    Je vais vous dire autre chose, vous allez peut-être me classer parmi les fanatiques après ceci, mais je vais vous le raconter quand même. Beaucoup de choses arrivent comme cela. Franchement, tout mon ministère a été enveloppé de cette seule chose. Si je peux Aimer ou avoir de la compassion pour...

27    Lorsque j'étais encore un pasteur Baptiste, j'étais gardien de chasse en Indiana, pendant plusieurs années. Un jour, j'étais--j'avais quitté mon camion et j'étais dans un champ. Et j'avais un espèce de vieux revolver, une arme, un pistolet que je devais toujours avoir sur moi. Et je me dirigeais par les collines pour voir un ami malade et prier pour lui. Alors j'ai dégainé mon arme et je l'ai lancée sur le siège du camion, et je me suis mis à traverser le champ. Et comme je traversais ce champ, beaucoup de feuilles de chêne (je ne pense pas que vous en ayez ici, de petits chênes comme nous les appelons là-bas) dans le champ...
    Lorsque j'étais à environ deux cents mètres de la clôture, tout à coup j'ai vu devant moi un grand taureau noir se lever. Et je l'ai reconnu; je me suis rappelé que c'était ce taureau tueur qu'on avait pris de la ferme des Burk à côté du Walnut Ridge Cemetery. Il y avait seulement quelques mois, il avait tué un homme de Couleur, l'avait encorné et tué. Mais comme il était vraiment beau pour la reproduction, ils l'avaient vendu à cette ferme. Et j'avais oublié qu'il était là! Il se tenait là, à seulement vingt-cinq mètres de moi. Et chacun sait combien ces animaux sont vicieux, et celui-là était un tueur. Et alors qu'il s'élançait (j'étais agité, vous pensez), je cherchais mon arme, mais elle n'était pas là. Et je suis content de l'avoir laissée là-bas, sinon j'aurais tué le taureau, et alors je serais allé le payer.
    Je cherchais mon arme, elle n'était pas là. Alors j'ai j'ai jeté un oeil à la clôture: trop éloignée. Pas un arbre nulle part, tout ce qui se trouvait à proximité était les petits chênes d'un mètre de haut derrière lesquels le taureau s'était couché. Qu'est-ce que je pouvais faire? De quelque côté que je me tournais, il m'avait, c'était la mort!

28    Alors j'ai pensé à mon Seigneur. «Je ne terminerai pas ma vie en lâche. J'ai essayé de dire aux autres d'être brave à l'heure de l'épreuve.» J'ai dit: «Je marcherai vers la mort le plus courageusement possible, me confiant en Jésus-Christ!» C'est la seule chose qui me venait à l'esprit...
    Maintenant, ne prenez pas ceci pour de l'enfantillage, s'il vous plaît, mais quelque chose est arrivé. Oh! je voudrais que cela arrive à l'instant même. Toujours dans ces cas-- quelque chose arrive. Au lieu de haïr ce taureau, j'avais de la compassion pour lui, je l'aimais, et je n'avais pas plus peur de cet animal que de me tenir ici avec mes Frères. Toute crainte avait disparu et je pensais: «Pauvre créature, je suis sur ton territoire, tu es un animal et tu ne vois pas la différence, tu vois seulement comment protéger tes droits.»
    Alors j'ai adressé ces paroles à ce taureau: «Oh! créature de Dieu, je suis un serviteur de Dieu, et je suis en route pour prier pour mon ami malade. Je suis désolé de t'avoir dérangé, mais dans le Nom de Jésus, va te coucher.»
    À ces mots, il a planté ses sabots en avant dans la boue et s'est arrêté. Je me tenais là aussi calme que je le suis maintenant. Ce grand taureau-tueur avait arrêté sa charge meurtrière à seulement un mètre cinquante de moi! Il était si ahuri qu'il regardait d'un côté et de l'autre puis il s'est retourné, est parti et s'est couché, et je suis passé à moins d'un mètre et demi de lui, et il n'a absolument plus bougé.

29    Jésus-Christ, le Fils de Dieu... quand l'Amour est mis au bon endroit, il battra chaque ennemi et tourment qui existent sur Terre. Bien, vous dites maintenant, «Frère Branham, j'avais réellement confiance en vous jusqu'à maintenant.»
    Eh bien! laissez-moi vous dire, Frère, nous aurons tous à répondre au Jour du Jugement. Et le Dieu qui a fermé la gueule des lions dans la fosse avec Daniel est toujours vivant aujourd'hui. Certainement!

30    Sûrement que ma femme, (je ne sais pas où elle est), elle--elle ne--était toujours fâchée contre moi parce que j'enlevais ma chemise pour tondre l'herbe. J'ai à peu près 2 000 m² de gazon chez moi, beaucoup de pelouse, aussi bien devant que derrière la maison. En tondant j'avais toujours trop chaud en plein soleil, donc j'enlevais ma chemise lorsque j'étais dans le jardin de derrière et je tondais autant que je pouvais. Aussitôt qu'un coup de téléphone d'un malade arrivait, je rentrais en courant dans la maison, je changeai mes jeans et mes habits mouillés de sueur pour réapparaître quelques minutes après un peu plus présentable. Eh bien! ceci continuait jusqu'à ce que la pelouse de devant ait poussé avant que je finisse la pelouse de derrière car je ne pouvais faire que quelques tours par jour!
    Par un chaud après-midi, j'étais dans le jardin de derrière et comme il n'y avait personne qui pouvait me voir, j'avais enlevé ma chemise et je tondais énergiquement et vite. J'avais un nid de frelons, et j'ai passé la tondeuse dans ce nid! Mes amis, Dieu est mon tout! Maintenant, cela peut vous tuer, et j'étais là, sans chemise; puis quelque chose est arrivé! C'est l'Amour. Au lieu de haïr ces frelons, je pensais: «Pauvres petites créatures de Dieu, je n'ai rien contre vous. C'est votre maison et je vous ai dérangés.» Puis j'ai dit à haute voix aux frelons: «Je suis tellement désolé d'avoir oublié que votre maison était là, et je vous ai effrayés et dérangés, s'il vous plaît, pardonnez-moi!»
    Cela paraît enfantin, mais je pense qu'il est mieux que nous soyons comme des enfants de Dieu au lieu de toujours nous comporter comme des adultes prenant les choses tellement sur nous-mêmes. Les frelons me couvraient de partout, mais je n'avais pas peur d'eux et j'ai dit: «Petites créatures, retournez dans votre nid, je ne vous ferai pas de mal.» Et Dieu est vivant, ces frelons ont tourbillonné trois ou quatre fois autour de moi et sont retournés directement dans leur nid. C'était l'Amour, oh! la puissance de l'Amour, mes amis!

31    L'été dernier, Monsieur Mercier ici, Monsieur Goad qui est ici également, et plusieurs de--de--ceux qui faisaient partie de la campagne et qui ne sont pas avec moi maintenant, nous étions assis sous la véranda. Une fille de Couleur venait de... Ce matin-là, il y avait eu sur le journal une histoire d'une belle jeune fille de Couleur. Et elle avait mis au monde un enfant illégitime. Et elle a pris ce bébé, l'a enveloppé dans des couvertures et la ficelé, puis elle a appelé un taxi. Alors elle est allée au pont sur le fleuve Ohio et a fait comme si elle jetait quelque chose, et elle a jeté le bébé dans la rivière. Le ta--conducteur du taxi l'avait rapporté aux autorités et ils ont fait des recherches et ont trouvé que c'était un bébé.
    Monsieur Mercier ici et Monsieur Goad, je les appelle mes prédicateurs étudiants. Si vous ne saviez pas qui ils sont, l'un est un catholique et l'autre (je pense) est un installateur d'appareils à vapeur. Et à eux deux ils ont constitué un petit F.B.I. pour vérifier si ces visions étaient justes, et ils sont descendus en ville comme des personnes ordinaires. Et le Seigneur leur a tout révélé là même. Et ils sont devenus mes amis. Et ils étaient assis sous la véranda et je les enseignais.
    J'ai dit: «Cette femme n'est pas une mère. Une mère ne ferait pas une chose pareille. Non monsieur.» J'ai dit: «C'est une femelle qui a donné naissance à un enfant, mais elle n'est certainement pas une mère. Le titre de mère mérite plus que cela.»

32    Et alors que nous parlions, c'est alors que cet animal est passé dans la rue... Je ne sais pas si vous savez ce qu'ils sont par ici (ces animaux), c'était un opossum. Bien, je vis à environ deux cents mètres d'une forêt prêt de la rivière. Il y a trois maisons entre moi et cette forêt sans clôtures. Ma maison a une clôture. Et cette espèce d'opossum s'est avancée dans mon allée, vers environ dix heures je suppose.
    Et j'ai dit: «Elle a la rage.» Parce que un opossum, chacun le sait, les opossums ne voyagent que de nuit. Quand le soleil se couche, ils sortent et voyagent. Ils ne voient pratiquement pas pendant le jour. Et voilà cette opossum, en plein dans la chaleur de l'été, au beau milieu du jour, tournant directement et rentrant par mon portail.
    Monsieur Wood était autrefois Témoin de Jéhovah, et son garçon avait été guéri de paralysie infantile quand il avait sa jambe immobilisée. Maintenant il ne pourrait dire de quelle jambe il s'agit, à moins que sa mère ne lui dise où le mal se trouvait. Monsieur Wood avait quitté ses affaires pour s'établir tout prêt de moi devenant mon voisin juste pour être avec moi. Et il était en train de tondre le gazon, parce qu'il avait vraiment poussé.
    Alors Leo, Gene et moi, nous avons couru dans le jardin, j'ai ramassé ce râteau et je l'ai lancé sur l'opossum, afin de l'arrêter. Et quand j'ai fait cela, elle a commencé à mordiller le râteau. Bien, c'est inhabituel. Parce que l'opossum, normalement quand vous le touchez, il joue à l'opossum, c'est là l'origine de l'expression. Il fait le mort. Et alors qu'elle était dans cet état, Madame Wood est arrivé avec Monsieur Wood. Et Madame Wood est vétérinaire. Et vu l'état de l'animal, j'ai dit: «Oh! je vois pourquoi. Les chiens l'ont attrapée il y a quelques jours, ou une voiture, et cela a écrasé son épaule gauche, au point que cela a enflé, cela s'est brisé, et son épaule traînait derrière elle. Et (c'est une chose dure à dire) des mouches avaient fait gonfler la plaie et des vers s'étaient formés. Et j'ai dit: «Regardez cela.» J'ai dit: «C'est ce qui la fait lutter comme cela.»

33    Juste à ce moment là, le laitier est arrivé, et il était en train de la regarder, et tous nous étions là autour. Et l'opossum et le kangourou sont les deux seuls animaux à avoir une poche dans laquelle ils portent leurs petits. Donc la vieille opossum avait la poche relâchée--toute sa poche, et neuf petits bébés opossums, tout nus, longs comme ça, rampaient sur le sol. J'ai dit: «Regardez cela. Bien, venez ici Leo et Gene.» J'ai dit: «Voici l'Amour d'une vraie maman! Elle utilise son dernier souffle pour lutter pour ses petits, alors que cette femme de Couleur a jeté le sien dans la rivière. Voici le vrai et authentique Amour d'une mère pour ses enfants.»
    Et alors que nous la regardions, Madame Wood m'a dit: «Frère Branham, qu'allez-vous faire avec elle?» Elle dit: «Ne voulez... vous devez la tuer.» Et elle m'a dit: «Prenez donc les petits et tuez les rapidement, parce qu'ils ont une bouche ronde et ils ne prendront pas le biberon. Donc vous devez les tuer.»
    J'ai dit: «Je ne peux vraiment pas!»
    «Alors, dit Madame Wood, je... allez chercher un fusil et abattez-la.» Elle dit: «Je pensais que vous étiez un chasseur.»
    J'ai dit: «Je suis un chasseur, mais pas un tueur.» J'ai dit: «Je--je ne pourrais pas le faire. C'est une mère, et elle lutte pour ses bébés. Je n'ai pas le coeur à le faire.»
    Alors elle a dit: «Eh bien! faites-le donc faire par Banks (c'est son mari).»
    J'ai dit: «Non, je ne peux pas faire ça!»
    Elle dit: «Vous n'allez pas me dire que vous allez laisser cette pauvre chose traîner là et souffrir.» Cette femme était juste dans sa façon de penser. Étant vétérinaire, elle savait que par humanité il fallait les tuer. Et j'ai dit: «C'est juste Madame Wood, mais, je ne peux tout simplement pas faire ça!»
    Elle dit: «Vous allez la laisser traîner là comme cela?»
    J'ai dit: «Oui.»
    Et j'ai relevé le râteau et elle s'est frayé un chemin jusqu'à ma porte et s'est effondrée là. Nous sommes montés là et nous avons versé de l'eau sur elle. En un instant elle a semblé nous faire une grimace, comme un sourire des opossums.

34    Le lendemain soir, après une longue journée de réunions, Monsieur Wood a dit: «Frère Branham, vous... les réunions ont été assez longues aujourd'hui dit-il, sortons et promenons-nous un peu.» En rentrant ce soir là vers onze heures, voilà cette opossum, toujours couchée là.
    En effet, elle était là, plus près de la mort que jamais. Je savais que si elle avait eu la moindre force, elle serait partie dès qu'il ferait sombre, car ils se déplacent la nuit, mais elle était couchée là, et ses petits essayaient toujours de téter. Oh! j'avais tellement pitié de ce pauvre petit animal blessé, couché là, en train de mourir.
    Et à ce moment-là, j'ai entendu ma petite Rebekah, qui est ici. Elle sera une petite fille spirituelle. Elle vient juste de recevoir sa première vision, à l'école. [Passage blanc sur la bande. – N.D.É.]
    ...une fillette de onze ans. Elle est sortie vers le porche, ma petite Rebekah, et elle s'est penchée pour voir cela et elle a commencé à pleurer. Elle a dit: «Papa, c'est une vraie mère, n'est-ce pas?»
    J'ai répondu: «Oui.» Je l'ai poussée du pied. Elle avait encore de la rosée sur elle et les morsures des mouches.
    Elle a dit: «Papa, Que vas-tu faire avec cette maman opossum?»
    J'ai dit: «Chérie, papa ne sait pas.»
    Elle a dit: «Tu vas la tuer papa?»
    J'ai dit: «Papa ne peut pas faire cela chérie.» J'ai dit: «Mon petit coeur, tu es debout trop tôt (juste avec son petit pyjama).» J'ai dit: «Tu remontes et tu vas te coucher avec maman.» Donc je l'ai pressée à retourner dans la chambre. Je suis retourné dans mon cabinet de travail et je me suis assis. Et je pensais: «Ô Dieu, combien cette pauvre maman opossum doit souffrir, combien elle doit aimer ces petits!» Et assis là, je pensais: «Eh bien! j'espère que je n'aurai pas à la voir être achevée.»
    Et pendant que j'étais là assis, quelque chose m'a dit: «Tu as prêché hier à son sujet, tu t'es servi d'elle comme sujet.»
    Je dis: «C'est vrai!»
    - Tu as dit que c'était une vraie mère.
    Je dis: «C'est vrai!»
    - Et Je l'ai envoyée à ta porte et elle est restée à ta porte comme une dame pendant vingt-quatre heures, attendant son tour pour que tu pries pour elle, et tu n'as pas dit un seul mot.
    Je dis: «Eh bien! je n'ai pas...» Je dis: «Je parle à qui? Est-ce que je parle tout seul?»
    Je me suis levé d'un bond, et j'ai pensé: «Oh! est-ce que c'est Toi, mon Dieu?»

35    Et je me suis dirigé vers le porche, et la petite Rebekah se tenait et regardait toujours la maman opossum. Elle venait de sortir de la maison. Je me suis dirigé vers l'opossum. J'ai dit: «Ô Dieu, je sais que Tu connais chaque fleur. Tu connais chaque passereau. Etant donné cette chose horrible qui est arrivée avec la féminité, cette jeune et belle femme a tué son bébé. Et Tu voulais montrer que Tu peux même conduire les animaux. Et elle est arrivée et s'est couchée à ma porte attendant son tour pour qu'on prie pour elle.» J'ai dit: «Je suis désolé, ô Dieu, d'avoir fait cela.» J'ai dit: «Je ne le savais pas, ô Dieu. Je ne l'aurais pas fait mais, ai-je dit, si c'est Ta divine providence, et que Tu as prévu cela, et Tu voulais que je prie pour cet opossum, je fais ceci dans le Nom de Christ. Aides-la Père, si son amour pour ses bébés est si grand.» Je pensais, «Ô Dieu, que... voudras-Tu faire cela.» Et lorsque j'ai dit cela...
    Maintenant, cela peut paraître étrange. Cela est allé partout... j'ai reçu des lettres de l'Afrique, de l'Inde, de partout dans le monde à ce sujet. L'Associated Press (je crois que c'est eux) s'en est emparé. Et cette vieille mère opossum s'est relevée, a remis ses petits dans sa poche, elle est partie en traversant la pelouse vers l'allée, marchant comme les autres opossum, avec sa queue relevée, puis elle a tourné au portail, m'a regardé comme pour dire: «Merci, gentil monsieur!» Puis elle a traversé la route et elle est entrée dans les bois. Et pour autant que je sache, elle est heureuse aujourd'hui avec ses petits.

36    Si Dieu a pu penser de cette manière à un opossum, à combien plus forte raison peut-Il penser à vous, lorsque votre amour est manifesté et qu'il s'élance dans le coeur du Dieu vivant? Si Dieu...
    Simplement par instinct, cette opossum n'avait même pas une âme; c'était un animal muet. Et si cela a pu être accompli de cette manière par instinct, et que le Saint-Esprit a pu conduire une vieille maman opossum mourante jusque là, pour que je prie afin que sa vie soit épargnée, combien ne valez-vous pas plus qu'un opossum? Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu'on prie pour vous? Où se tient votre âme à l'égard de Dieu, voilà ma question. [Passage blanc sur la bande. – N.D.É.] Je sais qu'Il le fera.

37    Ici il n'y a pas longtemps, j'étais occupé à quelque chose de très important avec Monsieur Krause, de la Communauté des Hommes d'Affaires Chrétiens du Plein Évangile. Beaucoup d'entre vous le connaissent. C'est un très bon ami de notre très respectable et bien-aimé Frère Oral Roberts. Et donc, lorsque... Monsieur Krause était très ami avec Oral Roberts. «Oh, dit-il, si quelque chose ne va pas avec moi, je suis un ami d'Oral Roberts.» Donc finalement Monsieur Krause a développé un trouble dans les reins. Donc il est allé prendre un dîner avec Frère Roberts. Et Frère Roberts a dit: «Oh! Frère Krause, c'est juste une petite chose pour Dieu.» Il a posé ses mains sur lui, et Frère Oral, avec cette véritable foi de bouledogue (excusez-moi l'expression)... il a jeté ses mains sur lui et a dit: «Je condamne cela.» Disant: «Frère Krause, ne t'inquiète pas. Tu vas aller très bien.»
    Et Frère Krause a dit: «Je me sens réellement mieux.»
    Mais quelques jours après, cela est revenu. Il dit: «Je suis retourné voir Frère Roberts et je lui ai dit, - la même chose est revenue.» Il dit: «Alors j'ai pensé à Frère Branham, donc je voulais aller vers lui.» Et il dit: «Il voit des visions. Donc je me tiendrai devant Frère Branham, c'est un de mes bons amis, alors William Branham sera capable de m'aider.»
    Donc il appela un peu partout et découvrit que j'étais à Shreveport, Louisiane. Monsieur Krause et sa femme prirent l'avion pour Shreveport, et ils vinrent à la réunion. Et il dit: «Frère Branham, je n'ai que peu de temps. Mettons-nous sur le côté, et jaimerais voir ce que le Seigneur veut me dire.»
    J'ai dit: «Très bien, Frère Krause, mettons-nous sur le côté.» Je me suis tenu là quarante-cinq minutes, et le Seigneur ne m'a rien dit. J'ai dit: «Je prierai, Frère Krause.»
    Il m'a dit: «Si le Seigneur vous montre quelque chose, appelez.» J'avais prié pour lui. Il dit: «Vous savez, je me sens mieux. Je crois que le Seigneur me guérira simplement sans me montrer aucun problème.»
    J'ai dit: «Bien, nous remercions le Seigneur.»

38    Donc ce soir là, étant un très bon ami avec Frère Krause, j'ai prié pour lui, j'ai continué de prier pour lui. Et après quelques semaines, il est revenu. Il a dit: «Tenons-nous devant le Seigneur, et voyons ce qu'Il me dira. Je suis dans un état grave.» Je me suis encore tenu là une heure ou plus, et le Seigneur n'a rien dit du tout.
    Donc il est retourné chez le docteur. Le docteur a dit: «C'est au dessus de mes compétences; vous feriez mieux d'aller chez les Mayo.» Il est monté chez les Mayo.
    Mayo l'a examiné et lui a dit: «Monsieur, il vous reste une chance sur mille de vivre. C'est d'être opéré immédiatement.»
    «Eh bien! a-t-il dit, allons-y!»
    Et il est sorti et il a dit: «Je pense que si je suis si près de la mort, je ferais mieux de m'examiner devant le Seigneur.»
    Donc il a dit: «Seigneur, Tu sais que je T'aime. Et j'ai essayé d'endurer toutes choses ce soir.» (Il est un homme en bonne santé.) Et il a dit... il fabrique des oreillers; vous le connaissez peut-être, il est du Kansas. Et il a dit: «J'ai essayé de vivre justement, et Tu sais, Seigneur, je T'aime. Maintenant, si Tu es prêt de me reprendre à la Maison, je veux bien. J'ai bien vécu pendant longtemps, et je veux y aller. Mais, Seigneur, si Tu veux m'utiliser malgré que je veuille...» Il a dit: «Je me suis tenu devant Ton serviteur, Oral Roberts et William Branham, et il semble que leurs prières n'ont pas eu l'effet de me guérir.» Et il a dit: «Mais si c'est mon temps de partir, je suis près d'y aller, et je T'aime. Donc je vais dans la salle d'opération, la seule chance qui me reste.»
    Et les docteurs l'ont encore examiné. Ils lui ont dit: «Monsieur, Krause, êtes-vous sûr de vouloir y aller?»
    Il a dit: «J'ai bien prié, et je suis sûr de vouloir y aller.» Donc ils sont partis dans la salle d'opération. Et la dernière chose qu'il se rappelle avoir dite, était: «Seigneur si Tu es prêt pour moi, je T'aime, Seigneur. Je T'aime, Seigneur.» Et ils l'ont endormi. Et lorsque il est revenu à lui, toute la pièce s'est éclairée. Et il a vu les docteurs se tenir autour de lui.
    Et ils ont accouru vers lui, et ils lui ont dit: «Monsieur Krause, quelque chose s'est passé. Nous n'avons jamais vu une opération se passer aussi parfaitement. Et nous pensions que vous alliez mourir, mais tout à coup, vous êtes redevenu normal.»

39    Qu'est-ce que c'était? L'amour divin avait été projeté, la grâce souveraine rentre et prend sa place. Elle doit le faire. Oh! combien c'est différent avec le Roi des rois. Vous ne pouvez être trop petit. Il voit chaque mouvement que vous faites. Il sait tout ce que se trouve en vous. Il... même un passereau ne pourrait tomber dans la rue sans qu'Il le sache. Pas même une fleur ne peut sortir, un petit crocus, à moins qu'Il ne le sache. Donc combien ne valez vous pas plus qu'une fleur. Et si vous êtes allongé ici malade ou affligé, ne savez-vous pas que le Roi des rois vous observe? Ne savez-vous pas qu'Il est concerné par votre guérison et votre santé? Vous pourriez être enfoncé dans le péché, mais saviez-vous qu'Il s'intéresse à ce que vous deveniez Son sujet?
    Vous dites: «Mais je suis trop insignifiant!»
    Mais vous ne l'êtes pas aux yeux de Dieu. Dieu vous veut. Il vous aime. Et Il vous a tant aimé que lorsque son Amour s'est élancé, la grâce souveraine a pris la place et a envoyé un Sauveur pour vous racheter et vous ramener à Lui-même. Et dans ce Sauveur, Il a été blessé pour nos transgressions parce que Dieu vous aimait. Et Dieu a vu les afflictions de Son peuple et "par Ses meurtrissures vous avez été guéris", la grâce de Dieu se frayant un chemin, car Son Amour l'exigeait. Et quand Son Amour a projeté Ses sentiments, Christ est sorti pour prendre Sa place.

40    Quelque chose devait prendre la place. Seul Son Amour est allé vous chercher, et la grâce a pourvu en un sacrifice pour vous. Maintenant, il vous est seulement demandé de demander--de le croire. «Quiconque croit en Lui ne périra pas, mais a la Vie éternelle.» Je suis sûr que vous saisissez la vision... L'Amour est un des plus grands instruments qui existent dans l'administration de Dieu. Dieu est Amour, la Bible dit qu'Il est Amour, et lorsque vous devenez un de Ses enfants, vous devenez une partie de cet Amour. Vous êtes une--une partie de l'administration de Dieu, vous devenez un sujet de Son domaine. Et lorsque vous faites cela, vous devenez un fils ou une fille de Dieu, et Il a dit qu'Il vous donnerait la Vie éternelle.
    Maintenant, si on m'a parlé correctement, et si j'ai bien compris... je n'ai pas d'éducation scolaire, seulement l'école primaire. Mais les étudiants (qui eux doivent savoir) m'ont dit que le mot utilisé pour "donné la Vie éternelle" en grec est zoé, ce qui veut dire "la vie de Dieu". Alors, l'Amour de Dieu projeté en vous, fait de vous une partie de Lui dans la nouvelle naissance. Alors vous devenez un enfant qui est 'né de' ou 'venu de' et cela vous place tellement en liaison avec Dieu que vous êtes maintenant des fils et des filles.

41    Et Dieu le Créateur, Qui a créé toutes choses par Sa puissance, par Sa Parole parlée... Et tout ce qui existe est la Parole de Dieu manifestée. Le monde entier a été fait... Et combien nous nous égarons lorsque nous essayons de passer sous silence la Parole de Dieu ou lorsque nous essayons de limiter la puissance de Dieu par notre propre imagination. Car la terre même sur laquelle nous nous tenons ce soir n'est que la Parole de Dieu manifestée! Dieu a fait le monde par Sa Parole parlée! oh! la la!

42    Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu'on prie pour vous? Où se tient votre âme à l'égard de Dieu, voilà ma question. Courbons nos têtes maintenant et parlons-Lui un instant [Passage blanc sur la bande. – N.D.É.] …calmes un instant.
    Je vais faire quelque chose ou essayer quelque chose, si Dieu le veut. Je vais Lui demander... Je vais vous demander à vous ici ce soir... J'ai dit à Billy de ne pas distribuer de cartes de prières. Nous avions déjà laissé sortir des cartes de prière, mais pas ce soir, ce que nous faisions d'habitude. Mais je vais demander à ceux qui ont des cartes de prière de vous retenir juste une minute.

43    Bien, je vais demander à notre Père Céleste, que si nous avons trouvé grâce à Ses yeux, qu'Il veuille bien Se déplacer au-dessus de cet auditoire maintenant, et qu'Il guérisse les malades sans que vous veniez ici. Je crois qu'Il le fera. Je suis en train de le Lui demander à cause de Sa Parole, à cause de ces gens qui viennent à Christ. J'ai fait de mon mieux, tout ce que je savais devoir être fait. Immédiatement après la réunion, je vous demanderai de venir à l'autel et de prier un instant. Nous avons fini tard chaque soir, et je vais vous demander d'être révérant, et de prier, et de regarder par ici. Et si Christ, Celui de qui j'ai parlé, l'expiation de Dieu, s'Il Se tenait ici à la chaire... Et la Bible a dit qu'Il était le Grand-prêtre qui pouvait être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien savent que la Bible dit cela? C'est juste. Bien, quand une femme L'a touché alors qu'Il était sur Terre, Il s'est retourné et a dit: "Qui m'a touché?"
    Et Il continuait à regarder l'auditoire jusqu'à ce qu'Il trouve la femme et lui dise son état et Il lui dit que sa foi l'avait sauvée. Est-ce juste? La Bible a dit que: «Il est le Même hier, aujourd'hui, et pour toujours.» C'était le signe du Messie dans la Bible lorsque Il était là, parce qu'Il faisait ces choses pour les Juifs, les Samaritains, ceux des Nations et tous. Combien savent que ceci est la vérité? C'était le sceau de Son messianisme.

44    Bien, si vous le voulez, accordez-moi votre attention juste pour un instant. Que chacun croie; que chacun regarde; que chacun croie; regardez à Christ, dites: "Seigneur Jésus, je suis dans le besoin."
    Et nous sommes arrivés dans un jour où je suis en peine pour les gens. L'un dit: "Ceci est le chemin." "C'est là le chemin." "Nous avons la vérité." Nous avons..." De pauvres gens ne savent pas quel chemin prendre. Les américains et les canadiens sont les plus confus de toute la Terre. (C'est juste.) Les plus confus de toute la Terre. Là où les missionnaires devraient aller le plus ce n'est pas en Afrique, c'est sur le continent américain. Je suis sûr que si Frère Thoms se tient ici, il ne me démentira pas. C'est juste. Qu'en pensez-vous, Frère Thoms? C'est juste. S'il faut des missionnaires, c'est ici.

45    Bien, je ne dis pas cela pour insulter. Je dis ceci avec révérence et respect. Mais un païen éduqué est plus difficile à traiter qu'un païen ignorant. Et que veut dire le mot "païen"? "Incroyant". C'est juste. Quelqu'un de fin et satisfait de lui-même, vous ne pouvez traiter avec lui. Prenez quelqu'un qui ne sache rien, il connaîtra Christ en peu de temps si vous lui en parlez. C'est juste. Ils n'essayeront pas d'imaginer quoi que ce soit. Il croit simplement et cela règle la question. Des dizaines de milliers viennent en une fois.

46    Bien, regardez par ici. Je ne prendrai pas davantage de temps. Je sens que le Saint-Esprit est ici. Dieu est toujours ici, mais je crois que Sa présence est ici. Bien, dans cet auditoire, particulièrement d'ici où je peux voir tout l'auditoire, parce que j'ai prêché durement... Et dans cet auditoire, si le Saint-Esprit vient et accomplit les mêmes miracles juste ici à partir de cette estrade comme Il l'a fait lorsqu'Il était sur la terre, combien diront: "Cela augmentera ma foi et me rendra heureux." Bien, nous ne savons même... Nous voulons des gens en dehors de cet auditoire, partout ailleurs, où que vous soyez. Maintenant soyez révérant et asseyiez vous tranquillement un instant.
    Je veux seulement regarder de ce côté et prier. Bien, je n'ai aucun moyen au monde... si--si quelqu'un voulait venir ici... Si cet homme se levait et disait: "Frère Branham, qu'est-ce qui ne va pas..."
    Si ma mère se tenait là et disait: " Billy, Qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Je t'ai allaité quand tu étais bébé. J'ai pris soin de toi. Je t'ai nourri. Je--je--que n'ai-je pas fait pour toi? Chéri, quel est mon bilan?"
    Je ne le saurais pas. Dieu devrait me le dire pour ma pauvre mère. Je n'ai aucun moyen de le contrôler. C'est la grâce de Dieu qui le fait, la même grâce de Dieu.

47    Mais vous êtes malades, beaucoup d'entre vous ici. Et je... Dieu veut vous guérir. Et Il l'a déjà fait; Il veut seulement que votre foi le croit. Bien, essayons de parcourir cet auditoire d'un bout à l'autre. Regardons par ici. Et maintenant, vous qui êtes par ici vous allez prier et dire simplement: "Dieu, soit miséricordieux envers moi." Et priez. Et je vais simplement observer.
    "Comment le faites-vous? Que voyez-vous Frère Branham?"
    Il y a quelque chose qui se passe. Il n'y a pas besoin d'essayer de l'expliquer; mais cet Esprit, que vous voyez sur la photo, c'est scientifique. Si ceci était le dernier message que je prêche, souvenez-vous, ma parole est la vérité. Parce que la Bible dit que c'est la vérité, le Saint-Esprit opérant dans mon ministère prouve que c'est la vérité, et le monde scientifique sait que c'est la vérité. Donc il y a les trois témoins. Que Dieu nous donne trois témoins ce soir, au moins trois personnes. Si Dieu fait cela, j'en serai heureux: trois personnes.

48    Bien, priez simplement et soyez réellement révérant. Où que vous soyez dans le bâtiment, peu importe. Là-bas tout au fond, où que vous soyez... Voyez, il y a beaucoup d'esprits; tout ce qui est contrai... chacun de vous est un esprit. Si vous ne l'étiez pas, vous ne seriez pas ici. Bien, ici. J'espère que cet auditoire me regardera par ici cette fois; observez simplement maintenant.
    Se tenant juste ici, tout juste entre ici et cet escalier qui descend là, vous voyez ce cercle de Lumière ici? Maintenant c'est la Lumière qui est sur la photo. Je crois aussi, devant Dieu, mon Créateur et Sauveur, que c'est la Même colonne de feu Qui a conduit les enfants d'Israël avec Moïse comme conducteur. Je crois que la Colonne de Feu Qui est ici maintenant, et Qui révélera les secrets des coeurs des gens ici ce soir, est la même Colonne de Feu Qui est descendue et a été faite chair et a habité parmi nous dans la forme du Fils de Dieu. Jésus-Christ. Jésus a dit: «Je suis venu de Dieu, et je retourne vers Dieu», et je crois que lorsqu'Il est retourné vers Dieu, Il est retourné dans la forme de cette lumière. La même forme dans laquelle Il est apparu à Moïse et aux autres prophètes à travers la Bible. Je crois que c'est la même lumière que Paul a vue sur le chemin de Damas alors même que ceux qui étaient avec lui ne voyaient rien. Je crois que la lumière Qui est ici à côté de moi maintenant est la même Qui a fait sortir Pierre de la prison ce soir-là. Je crois réellement que le Dieu Tout-puissant est le Créateur des Cieux et de la Terre, et Jésus-Christ est Son Fils, qui est présent maintenant.

49    Il est ici maintenant même, répondant à la prière d'une petite femme assise ici. C'est une petite femme aux cheveux noirs qui a un ennui nerveux. L'homme à côté d'elle souffre du dos, vous êtes mari et femme, levez vos mains si c'est vrai. Je ne vous connais pas et je ne vous ai jamais vus, mais le Seigneur Jésus-Christ vous guérit! Vous êtes guéris tous les deux! Amen!

50    Je vois la lumière aller maintenant vers un homme qui a des ennuis à la vésicule biliaire. Monsieur, votre nom est Clarence, et vous venez d'un endroit appelé Grand Prairie. Ceci est vrai, n'est-ce pas? Eh bien! votre ennui de la vésicule biliaire est fini, monsieur. Vous pouvez rentrer chez vous guéri. Amen!
    Vous dites: «Frère Branham, vous avez dit le nom de cet homme.»
    Jésus-Christ, lorsqu'Il était ici dans un corps de chair, n'a-t-Il pas dit à Simon que son nom était Simon, et que le nom de son père était Jonas, et qu'il serait appelé Pierre ensuite? Exactement! Il est toujours le même. Amen.
    [Le paragraphe 51 n'a pas été traduit. – N.D.T.]

52    La Colonne de Feu est maintenant au-dessus d'une femme qui souffre d'une hypertension artérielle. Votre nom est Madame Fishbrook, et vous êtes de cette ville; vous habitez dans une rue appelée 'La 125e rue'; Le numéro de votre maison est 13104. Si c'est vrai, levez la main. Très bien. Rentrez chez vous, vous êtes guérie, madame. Jésus-Christ vous guérit.

53    Oh! je vous mets tous au défit de croire! Regardez à Dieu, et vivez et croyez! La lumière descend maintenant vers cette dame ici un premier rang, Mademoiselle Pharr, vous avez un ennui au coeur n'est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Votre père à côté de vous a des problèmes spirituels. Vous n'êtes pas de cette ville, vous êtes des États-Unis, d'un endroit avec des collines. C'est Warren en Pennsylvanie. Si c'est vrai, levez la main. Vous êtes guéris maintenant, tous les deux. Jésus-Christ vous guérit. Amen.
    Je vais faire quelque chose maintenant. Tout le monde est devenu froid dans son coeur envers le Seigneur Jésus-Christ, tous ceux qui sont loin de la victoire ce soir, tous des pécheurs, venez à Christ maintenant qui vient de Se démontrer lui-même à vous. Venez maintenant au Seigneur Jésus tous ceux qui veulent ôter leurs coupables souillures... Christ est là! Avancez tandis qu'Il est ici. Voulez-vous le faire? Viens, ami pécheur, rétrograde, froid, tiède, indifférent. Venez des balcons, nous vous donnons cette occasion de venir maintenant et d'accepter ce Seigneur Jésus qui enlève l'aiguillon de la mort; Certainement je sais de quoi je parle. Il ne me laisserait pas faire ces choses pour prouver qu'Il est ici. Voulez-vous ôter vos coupables souillures? Descendez et venez droit ici, chacun de vous.
    [Les paragraphes 54 à 56 n'ont pas été traduits. - N.D.T.]

57    Qu'est-ce qui ne va pas avec vous Canadiens? Que se passe-t-il? C'est une bonne chose d'être conservateurs, mais ne soyez pas trop raides. Vous allez attrister l'Esprit et l'éloigner de vous, et vous n'aurez pas de réveil. Écoutez-moi. Je parle dans le Nom du Seigneur! Brisez cet entêtement, et cette raideur qui est parmi vous; mettez-vous à genoux; vous savez que vous avez besoin de repentance. Je parle dans le Nom de Jésus-Christ! Si vous voulez avoir un réveil, réchauffez vos coeurs devant Dieu. Je suis un serviteur de Dieu, un prophète de Dieu, et il y en a parmi vous ici ce soir, qui ont besoin d'être autour de cet autel.

58    Vous feriez mieux de vous mettre en ordre avec Dieu, car l'heure vient où vous allez crier pour trouver ceci et vous ne le trouverez pas. Ceci est «AINSI DIT LE SEIGNEUR!»
    «C'est Dieu qui parle. Trouvez votre chemin vers cet autel, vous qui êtes indifférents, honte à vous! Lorsque le Saint-Esprit est sur le point de venir et faire les choses qu'Il fait en plein milieu de vous, et vous êtes assis là comme si vous étiez gelés à mort! Sortez de vos fauteuils et venez à l'autel. Repentez-vous ou périssez!» Je ne sais pas pourquoi je dis ceci, mais quelque chose me dit de le dire. «Je vous donne un avertissement qui pourrait très bien être le dernier pour vous! Repentez-vous! Peu m'importe à quelle église vous appartenez, si vous ne vous êtes pas repentis et si l'Amour de Dieu n'est pas dans vos coeurs, vous êtes des pécheurs et en route pour l'enfer! Ceci est «AINSI DIT LE SEIGNEUR!»
    Le même Dieu qui discerne les esprits ici et leur dit quel est leur état, parle maintenant même. Je parle dans le Nom de Jésus-Christ. Fuyez vers l'autel, allez vite vous repentir avant que Dieu tourne la page sur vous et que vous soyez condamnés à jamais! Cela est «AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT», Qui est au milieu de nous maintenant!

59    C'est rude, mais c'est lui, je ne peux que l'exprimer. Dieu sait que je ne dirais pas ces choses par moi-même, pour rien au monde. Quelque chose m'a saisi et m'a dit de le dire. Je ne fais qu'obéir à Dieu. Lorsque nous chanterons encore un autre couplet de «Il y a une Fontaine remplie de Sang», vous feriez mieux de venir. Oh! combien ce pays a besoin d'un brisement, il vous faut un brisement avant que vous puissiez être remodelés. Vous êtes allés à l'église depuis si longtemps que vous êtes devenus poussiéreux et raides à ce sujet. Vous avez besoin de repentance, vous avez besoin d'une expérience à l'ancienne mode de l'Amour de Dieu dans votre coeur. Et rappelez-vous, ma voix vous poursuivra aussi longtemps que vous êtes un mortel! C’est vrai! Je parle dans le Nom de Jésus-Christ. Amen.
    Laissez-moi vous dire autre chose: si vous avez quelque chose contre quiconque, vous feriez mieux de le mettre en ordre, maintenant même! Il fait terriblement sombre dans ce bâtiment. «Mon esprit ne contestera pas à toujours avec l'homme!» Je crois que je me lèverais de suite de ma place pour venir si mon coeur n'était pas chaud pour Dieu, je me fraierais un chemin jusqu'à l'autel.

60    Mes amis, je n'ai pas vu ceci arriver depuis des années. Je n'ai jamais eu un sentiment comme celui-qui est venu vers moi il y a juste quelques instants. Quand j'ai vu que c'était comme des ténèbres se mouvant à travers ce bâtiment, quelque chose m'a frappé, et cela n'était pas des paroles, ni ma volonté de dire ces paroles. Dieu sait que c'est la vérité.

61    Il y a quelque chose qui ne va pas, rappelez-vous de cela. Écoutez mes amis, je ne suis pas quelqu'un qui fait des compromis, ni quelqu'un qui est moitié-moitié. Je dis la vérité, et Dieu prouve que je dis effectivement la vérité. Vous devenez tellement lié à l'esprit d'église que vous laissez Christ en dehors!
    [Les paragraphes 62 et 63 n'ont pas été traduits. – N.D.T.]

64    Je suis si heureux de voir que vous êtes convaincus et que cet autel est rempli de coeurs honnêtes, cela montre que Dieu travaille! Maintenant, nous tous ensemble, prions et invoquons notre Seigneur tant qu'Il est à l'oeuvre! Dieu donnera un réveil à Edmonton si vous obéissez... Venez, invoquons Dieu. Et rappelez-vous ceci, nous avons besoin d'un réveil, et votre sang ne sera pas sur moi au jour du jugement. Je parle dans le Nom de Jésus. Voudriez-vous voir une autre soirée de Pentecôte? Cela dépend de vous. Celui qui a donné la Pentecôte est ici, le Saint-Esprit. Priez, invoquez Dieu!

65    Ô Dieu éternel, je viens dans le Nom de Jésus-Christ. Maintenant le diable a été réprimandé, la maladie a été chassée, l'Évangile a été prêché, et la puissance de Dieu a enlevé chaque puissance démoniaque de ce bâtiment d'exposition. Oh! Seigneur! brise chaque mur mitoyen, de séparation, démolis le système de dénomination, démolis les idéaux de ce genre, et fais descendre le Saint-Esprit maintenant sur chaque coeur comme un vent puissant et impétueux. Remplis ce très grand auditoire de la puissance illuminatrice du Saint-Esprit, pose une flamme de Feu dans chaque coeur. Ô Dieu éternel, qui connais les coeurs des hommes, qui Te révèle comme un Feu ardent, pardonne tout péché, enlève les transgressions, et rends ces gens purs et blancs. Accorde-le, Seigneur.

66    Bien, levez vos mains, vous tous, rendez-Lui hommage... Louez-le! Béni soit le Nom du Seigneur. Satan doit partir. Amen. Béni soit le Nom du Seigneur. Gardez vos mains levées et louez-Le. Donnez-Lui la louange. Dites: «Merci Seigneur, de m'avoir sauvé.» Si vous Lui demandez... vous avez le droit de le faire. Amen. Louez-Le. Donnez-Lui la louange. [Un prédicateur parle dans l'audience. – N.D.É.] Croyez-le.
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a lavé toute tache.
Je Le louerai (levez vos mains vers Lui),
Je Le... (enlevez cette vieille couverture froide de vous)
Loué soit l'Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a lavé toute tache.

67    Je veux que vous serriez la main à quelqu'un près de vous. S'il y a quelqu'un que vous avez offensé, faites le chemin vers eux et serrez leur main. «Que Dieu te bénisse, Frère.» Méthodistes, Baptistes, partout, serrez leur main. C'est juste. Dites: «Pardonne-moi, Frère, si je t'ai offensé. Je t'aime. Je--je t'apprécie; tu es mon Frère; j'ai besoin de toi. Absolument. Nous sommes tous deux Frères. Nous voulons voir Dieu à l'oeuvre.»

68    Je crois que si ces personnes dans leurs fauteuils roulants et leurs civières et ces choses allaient prier maintenant même, vous verriez quelque chose arriver. C'est parfaitement exact. C'est juste. Oh! merveilleux. Simplement se serrer la main les uns aux autres. Bien, levons nos mains vers Lui.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l'Agneau mort pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, tous les peuples,
Car Son Sang a lavé toute tache.
Je Le louerai, (Oh! louez Dieu.) je Le louerai,
Oh! louez l'Agneau mort pour les pécheurs;
Donnez-lui gloire, tous les peuples,
Car Son Sang a lavé toute tache.

69    Chacun se sent récuré, comme le Saint-Esprit a fait quelque chose pour vous, levez vos mains vers Lui comme ceci, sentez simplement que le Saint-Esprit a fait quelque chose. Béni soit le Nom du Seigneur. Oh! la la! N'est-Il pas merveilleux? Donnez-nous l'accord de cela, Frère. «N'est-Il pas merveilleux?» Chacun maintenant. «N'est-Il pas merveilleux?»
N'est-Il pas merveilleux, merveilleux, merveilleux,
Jésus notre Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
Les yeux ont vu, les oreilles ont entendu
Ce qui est enregistré dans la Parole de Dieu.
Jésus, notre Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
N'est-Il pas merveilleux, (L'est-Il pour vous? Est-Il merveilleux? Est-Il votre vie?)
Jésus notre Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
Les yeux ont vu, les oreilles ont entendu
Ce qui est enregistré dans la Parole de Dieu.
Jésus, notre Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?

70    Écoutez: «Les yeux ont vu, les oreilles ont entendu; Ce qui est enregistré dans la Parole de Dieu.» Qu'est-ce que c'est? «Il est le même hier, aujourd'hui, et pour toujours.» Je crois que nous sommes prêts pour un réveil, le croyez-vous? Je crois que vous êtes prêts. Combien vont commencer à prier, commencer à agir différemment à partir de maintenant? Levez vos mains. «Je vais commencer maintenant; nous allons avancer.»
    S'il y a quelque chose sur votre chemin, enlevez-le. Commençons à l'heure même et voyons un réveil démarrer dans cette ville, un réveil à l'ancienne mode, envoyé de Dieu, pentecôtiste et venant des Cieux. Les aveugles peuvent voir; les sourds peuvent entendre; les muets peuvent parler; les boiteux peuvent marcher. Sûr. Mais nous ne pouvons pas le faire avec des gens formels, froids et raides. Nous devons en finir avec nos différences et rentrer dans l'Esprit. Alors vous commencez à voir des choses.

71    Quand Élie leur a demandé de prier, ils ont amené un chantre, et quand le chantre a commencé à prier, l'Esprit est venu sur le prophète. Nous devons rentrer dans l'Esprit ici avant d'avoir une quelconque prophétie ou toute bonne chose qui puisse arriver. Que Dieu vous bénisse. Oh! combien L'aiment, dites: «Amen.» [L'Assemblée dit: «Amen.» - N.D.É.] C'est bon. Très bien. Bien, courbons la tête, juste un instant, avec Frère Allcot, si vous voulez. Marchez de l'avant maintenant, alors que nous congédions cette audience dans la prière. Dieu vous bénisse. Très bien.

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