Un Absolu
1 Restons debout quelques instants. Et je suis sûr que dans un auditoire de cette taille, il y a beaucoup de requêtes, beaucoup de malades, de nécessiteux. Inclinons alors tout simplement la tête juste un instant pour un mot de prière. Il y a aussi beaucoup de requêtes et de mouchoirs posés ici.
2 Notre Père céleste, nous venons maintenant au Nom du Seigneur Jésus, sachant ceci que Tu as promis d’écouter et de répondre à nos prières. Et je Te demande d’être miséricordieux envers nous, de pardonner nos péchés. Et les Ecritures nous enseignent que Tu pardonnes tous nos péchés et que Tu guéris toutes nos maladies. Et nous prions, Père céleste, que cela soit fait maintenant, cet après-midi, car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus sur ces mouchoirs et ces requêtes.
Les Ecritures nous enseignent qu’on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul et que les mauvais esprits quittaient les gens, et que ceux-ci étaient guéris. Or, Tu es le même Jésus aujourd’hui, et nous voici un grand nombre, Te demandant d’accorder ces choses. Sans doute qu’il y a aujourd’hui dans la salle beaucoup de requêtes venant de plusieurs personnes qui sont dans le besoin en cette heure-ci. Satisfais leurs besoins, Seigneur, aussi bien physiques que spirituels, car nous demandons ceci au Nom de Jésus. Amen. Très bien, merci, frère.
3 Il y a des années, nous chantions un petit cantique : Un petit entretien avec Jésus règle le problème. [Espace vide sur la bande. – N.D.E.] Maintenant… Et je crois que frère Williams vient juste d’annoncer qu’il y a un déjeuner le matin. Et maintenant, je ne crois pas avoir du tout entendu où cela va se tenir l’année prochaine. Juste–juste ici encore ? Juste ici encore. Eh bien, c’est... même endroit, le même endroit. C’est très bien, oui, c’est très…
Les gens devaient adorer à Jérusalem. C’est Tucson, pas–pas ici. Voyez-vous ? Eh bien, vous êtes au bas de la colline ; Jéricho est au bas de la colline par rapport à Jérusalem, vous savez. Donc là-bas, c’est Jérusalem. Voyez-vous ? [Les gens rient et font des commentaires. – N.D.E.] Comprenez-vous cela ?
Les gens doivent donc adorer Dieu partout ; Jésus a dit, vous savez, pas à Jérusalem, ni ici, ni sur cette montagne, mais adorez-Le en Esprit et en vérité. C’est l’essentiel : en Esprit et en vérité.
4 Maintenant je… D’habitude, quand je parle, je suis vraiment lent. L’autre soir, je–j’admirais frère Velmer Gardner qui a pu monter ici et a dit en quinze minutes plus de choses que moi, je ne saurais en dire en trois heures. Oh ! la la !
Eh bien, je devrais… Je ne sais pas si je vous ai déjà raconté ceci ou pas. Quand j’étais un gosse, je… Mon père était un cavalier, vous savez. Et il montait les chevaux pour les dresser, il pratiquait le rodéo, le tir, le tir acrobatique. Et il… Je me disais, vous savez, lorsque j’ai atteint l’âge de douze ans, que je devais ressembler à mon papa. Ainsi, lorsqu’il labourait avec le vieux cheval là-bas dans l’Indiana, vous savez, jusqu’à ce que ce dernier soit si épuisé qu’il pouvait à peine avancer, je–je rejoignais mon papa quand il faisait la ronde avec la charrue, vous savez, tout au fond du champ. Et j’allais là où on avait un vieil abreuvoir en rondin. Combien ont déjà vu un de ces abreuvoirs ? Mon vieux, regardez les Kentuckiens qui sont ici.
5 Ainsi, oh ! je passais de bons moments, j’allais là et je mettais le crin du cheval dans l’eau, vous savez, je regardais cela tourner, ce que nous appelions un serpent en crin de cheval, ce sont ces petits… Vous savez, quand vous touchez cela, cela bouge, et les abeilles…
Je prenais mes petits frères et tout, je les faisais asseoir là, et je prenais le vieux cheval à labourer, vous savez, et je lui ôtais rapidement le harnais, et je prenais la selle de papa et une poignée de graterons, et je mettais cela sous la selle, et je tirais la sangle. Je–je sautais là-dessus. Et le pauvre vieux cheval fatigué était incapable de soulever ses pattes du sol, et il hennissait tout simplement, vous savez. Et moi, j’agitais tout simplement ce chapeau. Oh ! la la! je pensais que j’étais un cavalier.
Et je pensais que tous vous aviez besoin de moi ici dans l’Arizona pour dresser vos chevaux, vous savez. Ainsi, à dix-sept, dix-huit ans, j’ai quitté, je suis venu par ici où il y avait un–un rodéo. Eh bien, je me suis dit : « Mon vieux, si seulement je pouvais participer à ce rodéo, je monterais les chevaux pour eux. Je me ferais un peu d’argent. »
6 Je me souviens donc du premier cavalier qui s’est présenté. Il montait ce qu’on appelait, je crois qu’on appelait cela Le Kansas Outlaw [le hors-la-loi du Kansas. – N.D.T.]. C’était un très grand cheval, une grande bête noire d’environ dix-sept paumes [environ 1,73 m – N.D.T.]. Ce–c’était un cheval très lourd, très fort. Et je me suis dit : « Eh bien, si cet homme peut le monter, moi aussi, je le peux. » Et ce cavalier réputé est sorti là.
Et j’étais assis sur le corral, vous savez, avec… la clôture, où se tenaient tous les cow-boys défigurés. Je n’étais pas aussi défiguré qu’eux, mais je pensais que j’étais un bon cavalier. Ainsi, ils… J’avais monté ce vieux cheval de labour, et pourquoi ne pourrais-je pas monter celui-là ? Ainsi, quand il est sorti du couloir… Et, mon vieux, ce cheval pouvait placer toutes ses quatre pattes dans une bassine. Il a roulé les épaules pour désarçonner le cavalier, puis a fait une pirouette là à quelques reprises. Et la selle est allée d’un côté et le cavalier de l’autre. Et le personnel du ramassage a attrapé le cheval, et l’ambulance a pris le cavalier. J’ai compris qu’il ne s’agissait pas de ce vieux cheval de labour que je montais.
L’animateur a continué, il a dit : « Je donnerais à tout homme, a-t-il dit, cinquante dollars… » C’était beaucoup d’argent à l’époque. « Cinquante dollars à celui qui peut le monter et faire sur lui tant de secondes. » Et il… je–j’étais tout tremblant. Il s’est approché de moi et a dit : « Etes-vous un cavalier ? »
J’ai dit : « Non, monsieur. »
7 Quand je venais d’être sauvé et que j’étais ordonné dans l’Eglise Missionnaire Baptiste, je me promenais avec la Bible, vous savez. Et je voulais que quelqu’un me demande si j’étais prédicateur, vous savez. Et chaque fois que quelqu’un demandait : « Etes-vous prédicateur ? » Je disais : « Bien sûr. »
Un jour, j’étais à Saint Louis. Je venais de faire la connaissance de notre frère baptiste, et j’étais à Saint Louis. Et j’ai entendu un homme du nom de Robert Daugherty. Beaucoup d’entre vous pourraient le connaître. Et il tenait une série de réunions sous tente. C’était un frère pentecôtiste. Oh ! la la ! Cet homme a prêché jusqu’à avoir le visage cyanosé. Et il–il–il a prêché tout simplement jusqu’à s’écrouler. On pouvait l’entendre reprendre son souffle à deux pâtées de maisons, et en plus, sans microphone. Et il reprenait tout simplement son souffle et se relevait en prêchant.
Depuis lors, quand quelqu’un demandait : « Etes-vous prédicateur ? » Je disais : « Non, je prie tout simplement pour les malades. » Avec mes vieilles manières lentes des baptistes, je ne réfléchis pas aussi vite, ainsi je… supportez-moi, vous savez. Et remarquez que les Ecritures disent de supporter les faibles, il s’agit donc de moi. Je suis donc reconnaissant du fait que vous avez tous essayé de faire cela cette semaine et avez fait un très bon travail. A 22 h, alors que j’étais censé être chez moi au lit, je vous retenais là…
8 Et cet après-midi, je–je vais vraiment essayer de me dépêcher pour sortir aussitôt. J’ai encore une longue distance à effectuer en voiture cet après-midi pour revenir ici le matin. Et je–je vous apprécie donc de toute façon. Et si je n’ai pas l’occasion de dire ceci à un autre moment, je vous remercie beaucoup, chacun de vous, vous tous les ministres, ainsi que vous les Hommes d’Affaires Chrétiens. C’est vraiment… C’est réellement un plaisir de… que vous m’ayez invité et permis de venir ici pour jeter mon filet avec vous, frères. Frère Shakarian, Frère Williams, ainsi que tous les–les hommes, je suis certainement reconnaissant.
Et… Pourquoi n’avez-vous pas dit « amen » tout à l’heure, Tony, quand j’ai parlé de Tucson ? Je ne l’ai même pas entendu. C’est le meilleur chasseur de l’Arizona quand moi, je suis dans l’Indiana. Voyez-vous ? C’est après mon déplacement pour l’Indiana. J’ai vu sa photo dans le journal l’autre jour où… On doit changer ça, Tony. Ainsi maintenant, n’oubliez pas le banquet pour demain soir au... avec frère Oral Roberts.
9 Et maintenant, avant que nous abordions la Parole… Je–j’avais l’intention de prêcher cet après-midi sur Le compte à rebours. Et je pensais que–que je viendrais ici et que vous seriez encore assis ici à 19h. Et je pensais (Oh !) aux réalisations de la science et aux réalisations de Dieu. Voyez-vous ? Et nous vivons donc dans un âge différent de celui dans lequel nous vivions, aussi bien physiquement que spirituellement. Nous sommes–nous sommes donc reconnaissants pour nos réalisations dans le domaine spirituel, de même que la science dans son–dans son domaine matériel, dans le domaine scientifique.
Maintenant, si cela ne vous dérange pas, nous pouvons encore une fois… Vous savez, vous pouvez trop chanter. Je ne vois pas comment vous pourriez le faire si vous chantez comme la chorale de frère Outlaw, il y a quelques instants, quand je me tenais là, écoutant cela ; ça montait, montait, montait, montait. Et pourtant… Et vous pouvez aussi trop manger ; vous pouvez trop boire ; vous pouvez trop travailler. Mais je ne pense pas que vous puissiez trop prier. La Bible dit : « Je veux que les hommes prient en tout lieu, en élevant des mains pures. » Inclinons donc de nouveau la tête juste un instant.
10 Père céleste, nous–nous aimons Te parler. Et je pense aux hommes, combien j’aime savoir qu’ils sont dans la ville, juste pour leur serrer la main et leur parler. Tous nous éprouvons ces sentiments. Et combien plus pour le privilège de Te parler, Toi, notre Seigneur et notre Sauveur.
Et nos coeurs battent quand nous sommes en présence les uns des autres. Et combien plus donc quand nous savons que nous sommes dans Ta Présence divine. Et nous savons que Tu es ici, car Tu as dit que là où… que cela soit dans le monde entier, partout dans le monde, où que ce soit : « Là où deux ou plus sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. » Et nous savons que cette Ecriture ne peut faillir ; c’est une promesse divine. Elle est sortie de la bouche du Sauveur. Et pour cette raison, peut-être que nous sommes… notre conscience et notre… Le péché de notre incrédulité nous a tellement éloignés que nous ne sommes pas à même de reconnaître que Tu es ici. Mais Tu es ici malgré tout, car Tu tiens Ta promesse.
Et maintenant, Tu as dit que s’ils demandent quelque chose concernant une chose, cela leur sera accordé. Ô Père, la–la plus grande chose à laquelle je puisse penser en ce moment même pour cet auditoire, Seigneur, c’est que Tu nous nourrisses de la Manne spirituelle qui vient du Ciel d’auprès de Dieu. Accorde-le, Seigneur. Nourris-nous de Ta Parole. Ta Parole est la Vérité. Et « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu ».
Et pendant que nous La lisons, puisse le Saint-Esprit L’apporter à chaque coeur et La partager parmi nous aujourd’hui selon nos besoins, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
11 A présent, comme… Bien des fois, comme je l’ai dit, les prédicateurs et les autres, nous nous écoutons parler les uns les autres, et nous notons les passages des Ecritures sur lesquels un autre prédicateur ou quelqu’un d’autre a parlé. Et–et moi, je fais constamment cela, en faisant mon chemin. J’ai un petit bout de papier, un petit carnet, à côté de–de moi. Et quand une Ecriture me vient à l’esprit, je La note. Et aussitôt… Eh bien, nous en sommes tous coupables, n’est-ce pas ? C’est ce que nous faisons. Et puis, au bout d’un moment, le Saint-Esprit vivifie cela pour nous. Et une autre pensée nous vient, et alors je dois me garer au bord de la route pour noter certaines choses.
Et–et c’est donc ainsi que, quand vient pour moi le moment de prêcher, je passe en revue ces choses et je me mets à méditer cela, et je parcours certaines références des Ecritures, et alors je note ces références des Ecritures. Et puis, quand j’aborde cela, je me souviens de ce que disent les Ecritures, et alors je–je prêche à partir de cela. Presque tous nous faisons cela.
12 Maintenant, je vais lire juste un verset dans l’Epître aux Philippiens encore une fois. L’autre soir, j’ai lu dans Philippiens, sur… le mercredi soir, avec frère Shores, à l’Assemblée de Dieu, quand j’ai prêché sur Identifié à Lui. Et maintenant, l’après-midi, je désire lire dans Philippiens chapitre 1er, le verset 20. Et maintenant, suivons dans un esprit de prière la lecture que nous faisons. Selon ma ferme attente et mon espérance que je n’aurai honte de rien, mais que, maintenant… toujours, Christ sera manifesté dans mon corps, ce qui est une assurance... pleine assurance, soit par ma vie, soit par ma mort ; Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. Mais s’il est utile pour mon oeuvre que je vive dans la chair, je ne saurais dire ce que je dois préférer. Je pensais à ceci, et je me disais que j’utiliserais une petite pensée familière, juste un mot. Vous direz : « Frère Branham, un mot pour ceci, il y a peut-être des milliers de personnes assises ici, alors juste un mot ? » Eh bien, si–si c’est le genre de mot qu’il faut… Voyez-vous ? Et je veux essayer, si le Saint-Esprit, Lui qui nous inspire, de jeter un petit… avoir un petit contexte autour de mon texte. Je désire l’intituler : Un absolu. Un absolu.
13 Eh bien, je consultais le dictionnaire pour voir… Quand j’ai regardé le mot identifié, je suis tombé sur ce mot, un absolu. Et selon le dictionnaire Webster, absolu veut dire parfait en soi, illimité en puissance, essentiellement la référence finale. Un absolu, bien des fois, on fait usage de cela. C’est le mot final. C’est l’amen.
On entend les gens dire : « Absolument, c’est cela. » C’est la chose finale. C’est–c’est sans limites. Voyez-vous ? Ça–ça part d’ici et ça continue. Il n’y a rien d’autre sur son chemin. C’est–c’est ce qui est suprême. C’est la... une référence finale. Et une référence finale, c’est quand... essentiellement une référence finale parce que vous avez atteint la fin. C’est l’amen. C’est fini.
14 Maintenant, tout… Et à chaque grande réalisation a été rattaché un absolu. Un absolu a été rattaché à chaque personne, à chaque chose qui a été fit, ou plutôt faite. Il faut quelque chose, car c’est le point d’attache final. Et l’homme ne peut aucunement réaliser quoi que ce soit sans qu’il soit arrivé quelque part où il reconnaît qu’il y a un absolu.
Une fois, dans un – un cabinet médical, je parlais à un médecin, et il a dit: « Eh bien, je–je t’assure, Billy, a-t-il dit, il est vrai que–qu’un homme peut se donner assez de foi pour pouvoir sortir d’ici, toucher cet arbre et être guéri. »
J’ai dit : « Mais, docteur, comment un homme pourrait-il se donner assez de foi pour toucher un arbre et être guéri ? Voyez-vous, car il n’y a pas de fondement à cela. Il–il n’y a rien à quoi vous pourriez attacher cela, car ça n’a pas–ça n’a pas de fondement scripturaire. Mais vous devez avoir quelque chose auquel vous pouvez vous attacher, pour être sûr que c’est cela. C’est le… Bien de petites choses pourraient amener à cela. Mais il est question du mot final, de la chose finale. C’est la raison pour laquelle j’ai toujours cru dans–dans la Parole. »
15 Et je sais… Cela pourrait être un petit témoignage qui me vient sur le coeur maintenant même. Et cela pourrait ne pas être très approprié, mais je–j’espère que cela–cela ne blessera pas. Et mon épouse qui est assise là, et, oh! beaucoup ici savent que c’est la vérité. Il y avait une… Je sortais avec une jeune fille qui était à la… de l’Eglise Baptiste de Milltown, dans l’Indiana, dont j’étais le pasteur. Et cette jeune fille avait assisté aux réunions et avait vu ce que Dieu accomplissait. Et, oh ! nous étions juste des amis, juste de bons amis, et plus tard tous les deux nous… Elle a épousé un beau jeune homme, et–et plus tard, je me suis marié, et nous ne nous sommes plus revus depuis des années.
Son père était un ami très intime. Il s’appelait Lee, Marrion Lee. Et je me souviens qu’un soir, une Ecriture… Il n’arrivait–il n’arrivait pas à se fixer là-dessus. Il a dit : « Frère Branham, je–je ne doute pas de vous. Mais, a-t-il dit, vous savez, on m’a toujours enseigné ceci. » C’était un–c’était un nazaréen. Et il a dit : « On m’a enseigné ceci, et je–je n’arrive tout simplement pas à comprendre ça. » Et c’était un charpentier.
16 Un soir, je suis allé chez lui avec lui, et il a dit : « Je vous assure. Pendant que Norma et les autres montent à l’étage, a-t-il dit, mettons quelque chose sous la dent. Nous avons du pain de maïs avec du lait fermenté. » C’est très bon. Et ainsi nous… Je pourrais faire honneur à cela maintenant même. Cela faisait alors environ trois semaines que je ne mangeais pas, sauf juste un peu de temps en temps pour être en meilleure forme pour mon Seigneur.
Et alors, nous avons pris un grand verre frais de lait fermenté venant de la laiterie et un bon morceau de pain de maïs frais, et nous nous sommes assis et nous émiettions là ce pain de maïs, en le prenant. Et il a dit : « Billy, je–je ne saisis tout simplement pas ce dont vous parlez. »
Nous–nous sommes donc allés au lit. Et vers… très tard la nuit, il… Nous avons parlé jusqu’aux environs d’une heure et j’ai attendu le lendemain pour résoudre son problème. Et il–il s’est réveillé, il a dit : « Je–j’ai rêvé que je construisais un édifice à–à New Albany, et l’homme m’a laissé le plan. Il est allé en Floride. Et il avait un… Dans ce plan, il avait une fenêtre en saillie, et j’ai dit : ‘Cet homme n’a pas besoin de cette fenêtre en saillie là-bas !’ J’ai donc tout simplement éliminé cela. »
Et il a dit : « Lorsque cet homme est revenu, il a dit : ‘Je ne vous payerai pas pour cette maison jusqu’à ce que vous l’aurez démolie et rebâtie suivant ce plan.’ »
J’ai dit : « Il y a une rivière juste ici en bas. Elle n’est pas très loin. Ainsi… Il ne faut pas que vous détruisiez quelque chose à la fin de la route, peut-être que vous n’aurez plus le temps. »
Il a dit : « Est-ce en ordre que je sois en pyjama ? »
J’ai dit : « Je suis aussi en pyjama. Allons-y. » Nous sommes donc descendus.
17 Ainsi, sa fille et ses petits-enfants devinrent des chanteurs très très célèbres. Et ils–ils faisaient partie des Frères Unis. La fille a épousé un prédicateur, ou plutôt le fils d’un prédicateur des Frères Unis. Et ce garçon, un gars très bien, était un opérateur au chantier naval. Et cette jeune fille essayait de vivre pour Christ. La pression devint trop grande sur elle.
C’étaient des enfants qui étaient vraiment des génies. L’une d’elles, à dix-sept ans, enseignait la musique. Elle s’était spécialisée et c’était une fille très douée. Et ainsi, cette petite n’a pas pu supporter la pression des taquineries. On disait d’elle qu’elle était vieux jeu et tout. Et au bout d’un moment, l’enfant a fait une dépression nerveuse.
On – on l’a amenée à ce qu’on appelle Notre Dame de la Paix, un hôpital psychiatrique catholique de Louisville, pour un traitement de choc, et on lui a donné… Bien sûr, c’est tenter le coup. S’il y a un médecin ici, j’espère que je ne vous offense pas en disant cela ; mais, des fois, ça rend les gens plus malades qu’avant. Et ainsi, on lui a donné un traitement de choc, et cela–cela a rendu l’enfant plus malade. Ils l’ont donc renvoyée à la maison. Ils devaient la ramener quelques semaines plus tard, et elle était dans un état vraiment terrible à ce moment-là. Ils l’ont donc gardée, et ils ont essayé de la soigner là pendant un bon moment, et sa condition devint pire.
18 Et ainsi, deux jours après, ils allaient l’amener à Madison. C’est l’asile des fous où ils sont…on les met désormais dans une cellule matelassée. Alors la mère a dit : « Nous ne sommes pas vaincus. » Et elle a dit : « Nous allons voir si nous pouvons faire venir frère Branham pour qu’il prie pour elle, s’il est chez lui. »
Ils ont donc téléphoné et il s’est fait que je me trouvais à la maison. Il est donc venu me voir, il a dit : « Frère Branham, voudriez-vous venir prier pour elle ? »
J’ai dit : « Certainement. »
Il a donc téléphoné au médecin. Le médecin a dit : « Qui est-ce qui vient ? » Il lui a donc dit que c’était moi, et il a dit : « Eh bien, je vais vous dire quoi. Attendez. » Il a dit : « Nous allons–nous allons… Je… Rappelez-moi cet après-midi. »
Eh bien, il a téléphoné, et ça a continué jusqu’à une heure du matin. Et son épouse ne cessait de dire : « Il n’est pas là. » Le lendemain matin, il a téléphoné. « Il n’est pas là. » Et le troisième jour, on allait transférer l’enfant. Ainsi… Je – je déteste dire ceci, mais j’ai un moyen par lequel je connais les choses ; le médecin évitait tout simplement le problème. Voyez-vous ? Ainsi donc, le père était très nerveux, et moi, je devais quitter–quitter le lendemain. Ce jour-là était le seul qui nous restait.
Alors la mère, le père ainsi que les deux autres soeurs sont venus en pleurant, ils ont dit : « Il–il s’esquive. »
J’ai dit : « C’est sûr. Mais je vais vous dire quoi. Ne dites pas que je suis un prédicateur. Laissez-moi y aller comme un ami qui vous accompagne tout simplement. »
19 Nous sommes donc allés à l’asile. Vous savez, on referme les portes derrière vous, on vous fait monter dans l’ascenseur, et puis on ferme l’ascenseur. Ainsi… Et cette soeur nous faisait monter, et nous sommes arrivés dans la chambre, et nous nous sommes assis sur le bord du lit. Et là, cette très jolie jeune fille d’environ seize ans était assise là, complètement partie. Vous… Elle avait le regard fixe. Vous pouviez agiter les mains, et elle ne le remarquait même pas.
Et je lui ai dit : « Ruthie, te souviens-tu de moi ? » J’ai dit : « Je–je–je suis frère Branham. » J’ai dit : « Tu avais l’habitude de m’appeler Budder Bill. » J’ai dit : « Je–je t’ai présentée à Christ alors que tu étais au berceau. Ne te souviens-tu pas de moi ? » Elle se tenait tout simplement là et regardait. Oh ! une jolie fille… Et les trois formaient un trio, trois soeurs. Et j’ai essayé d’attirer son attention, et je–je n’y suis pas arrivé. Son regard était fixe. Elle était simplement partie.
20 Et j’étais assis là. Et je… En ces endroits-là, les lits étaient dépourvus de colonnes, vous savez; en effet, c’était pour empêcher qu’on se fasse mal. Et j’étais assis de l’autre côté du pied du lit ; la mère était assise de l’autre côté du petit lit, de ce petit lit pour une personne que contenait cette petite chambre. Et la fille était assise sur un petit, comme un petit siège encastré dans le mur. Et la soeur était debout, et le père était debout à côté de la fille. Et la mère se tenait là, les larmes coulant sur ses joues.
Elle a dit : « Tu vois, Billy ? Que–que pouvons-nous faire ? »
J’ai dit : « Eh bien, écoute, Norma. Christ est toujours Christ. » Voyez-vous ?
Elle a dit : « C’était notre dernière chance. » Elle a dit : « Si on l’amène là-bas, tu sais ce qui va arriver. » Elle a dit : « Je pense que nous ne la reverrons plus jamais. Et–et si nous la revoyons, tu sais comment ils… le traitement qu’ils reçoivent là-bas. »
Et j’ai dit : « Eh bien, Norma, ne soyons pas agités. » J’ai dit : « Attendons juste–juste quelques minutes. » Et cela…Et à peine avais-je dit cela que la fille se tenait là devant moi dans une vision, normale, en train de sourire. Et elle regardait en direction d’un jeune homme. Et j’ai regardé le jeune homme ; j’ai regardé en arrière. La vision m’a quitté. J’ai dit : « Norma, a-t-elle un petit ami plutôt grand de taille et aux cheveux noirs ? »
« Oui. »
Et j’ai dit : « Ne fait-il pas quelque chose avec elle en rapport avec le chant ? »
Elle a dit : « Si, c’est exact. »
J’ai dit : « Ne t’inquiète pas. J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle va s’en tirer. »
Norma a étendu ses mains et m’a saisi par le genou, elle a levé les yeux vers son mari et a dit : « Chéri, ce n’est jamais faux. » Elle a dit : « Ce n’est jamais faux. »
21 Il n’y eut pas le moindre changement chez la fille. J’ai dit : « Très bien, Norma. Tu sais que je ne vous aurais donc pas dit cela si je n’avais pas vu cela, et Dieu ne peut pas mentir. » Voyez-vous ? Je suis sorti de l’hôpital et je suis monté dans ma voiture. Ils sont restés.
Et environ deux heures après, le téléphone sonna alors que je revenais de chez monsieur Wood, en bas. Et c’était son père. C’était lui au téléphone. Il a dit: « Frère Branham, j’ai quelque chose à vous dire. » Il a dit : « Il ne s’est pas passé vingt minutes après votre départ qu’elle était revenue à elle, normale. Et elle a été examinée par toute l’équipe des médecins. Nous la ramenons à la maison le matin. » Et maintenant… Voyez-vous ? Maintenant, elle chante donc au tabernacle. Eh bien, il y a ici des hommes et des femmes venant de – venant de là, de Jeffersonville, qui savent que c’est une histoire vraie. Si vous êtes ici cet après-midi, levez la main. Combien connaissent cette histoire ? Oui. Voyez-vous, partout, des gens qui savent que c’est vrai, que c’est absolument vrai.
Maintenant, qu’était-ce ? Cette petite dame s’est servie de cette vision comme un... comme son absolu, sa référence finale. Voyez-vous, vous devez… Pour toute chose, il vous faut avoir un point auquel vous pouvez vous attacher. Et moi, je me suis toujours servi de la Parole de Dieu, parce que je ne connais pas un autre poteau d’attache qui soit aussi grand que ça ; en effet, les cieux et la terre passeront, a dit Jésus, mais Ma Parole ne faillira jamais. » Quel poteau d’attache !
22 Eh bien, Paul avait une vie centrée sur Christ. Il… Les gens… c’était… Christ était l’absolu de Paul. Paul était–était un grand docteur. Il avait appris aux pieds de Gamaliel. Et Paul était un grand docteur, de son état, sous l’autorité de la dénomination pharisienne où il avait été formé. Et Paul était enseigné, instruit, et il avait un important bagage. Je pense que lorsqu’il reçut le Saint-Esprit et qu’il descendit en Egypte pour y passer trois ans, je pense que ça doit être là qu’il a pris les Ecritures et les a comparées avec la révélation qu’il avait, pour voir si elle était vraie. Et vous connaissez la grande et fameuse Epître aux Hébreux. Personne d’autre que Paul n’aurait pu écrire cela, car il savait comment ces types et ces antitypes… Quelle belle leçon !
Et ainsi, un jour, Paul a rencontré Jésus, il a rencontré le… il L’a rencontré face à face sur la route de Damas, alors qu’il y allait pour persécuter les chrétiens; un véritable, un grand bagarreur qui proférait de grandes menaces et qui perpétrait des choses contre l’Eglise de Dieu, qui y causait des ravages, la persécutant même à mort. Mais un jour, sur la route…
23 La raison pour laquelle il avait cette vie centrée sur Christ, c’est parce que, personnellement, mettant alors son enseignement de côté, il avait personnellement rencontré Christ. Et la seule façon dont vous allez Le connaître, c’est en Le rencontrant. Voyez-vous ? Or, Le connaître, c’est la Vie. Ce n’est même pas connaître Sa Parole, bien que ce soit une bonne chose, cependant vous devez Le connaître, Lui. Le connaître, Lui, c’est la Vie. Et Paul n’avait pas encore fait cette expérience.
Et il a dit ici dans un passage : « La–la vie que je vis maintenant… » Il a montré qu’il avait autrefois vécu une autre vie. Sa vie avait été changée. Et quand votre vie est changée, cela vous fait faire des choses que normalement vous ne feriez pas. Et cela vous fait dire des choses que normalement vous ne diriez pas.
Un homme qui a une vie centrée sur Christ… Eh bien, Paul s’est tenu juste au milieu des gens, de ces Juifs et ainsi de suite. Il… Il n’y avait pas en lui la moindre crainte. Il savait en Qui il avait cru. Et il–il avait une–une vie qui… Il n’aurait aucunement fait cela s’il n’avait pas trouvé quelque chose d’authentique qui l’avait ancré.
24 Je pense que tout chrétien devrait être ainsi, tout croyant. Vous ne devriez jamais… Je pense particulièrement que les ministres ne devraient jamais oser monter en chaire avant d’avoir rencontré Dieu sur ce sable sacré, où aucun philosophe ne peut trouver une explication convaincante de la chose. Vous avez rencontré Dieu, et vous le savez, et rien ne peut vous cacher cela.
Eh bien, des fois nous avons une grande érudition, et je n’ai rien contre cela. C’est en ordre. Mais… Tout ça, c’est bien. Mais vous devez personnellement rencontrer Dieu, en arriver à ce point où personne ne peut tordre une quelconque Ecriture. Vous avez été là. Vous – vous êtes quelqu’un qui L’a rencontré. Vous en avez fait l’expérience. Vous Le connaissez. Voyez-vous ?
Je pense que particulièrement chaque ministre, chaque croyant devrait–devrait prendre cette place, cette position : rencontrer d’abord Christ personnellement. Et cela vous fait faire des choses, comme je l’ai dit, que normalement vous ne feriez pas. Cela vous fait dire des choses que normalement vous ne diriez pas. Cependant, c’est quelque chose sur lequel–sur lequel vous êtes centré ou auquel vous êtes attaché. C’est quelque chose dont vous êtes sûr, comme Paul, à savoir que vous–vous avez rencontré quelque chose de différent, que vous n’aviez jamais vu dans votre vie.
25 Voyez-vous, c’est exactement comme un bateau. Voyez-vous ? Un bateau a–a un absolu, et l’absolu de ce bateau, c’est l’ancre. Eh bien, quand ce bateau est sur des eaux agitées, là où il pourrait facilement être jeté contre un rocher, ou–ou éclater, ou heurter le sol là où la–l’eau n’est pas assez profonde… Les puissantes houles, en venant, peuvent projeter le bateau, le faire chavirer. Il faut qu’il y ait une eau assez profonde pour qu’il flotte, sinon les vagues vont le faire chavirer. Et–et un bateau qui a une ancre… ces grands et imposants tonnages en–en métal qu’il fait descendre, en acier. Et cela descend, descend, jusqu’à ce que cela touche le fond de l’océan, quelque part sur le sommet d’une montagne.
Et cette grande ancre tire, tandis que les vagues ballottent le bateau, jusqu’à ce qu’elle enfonce ses énormes pointes dans un rocher. Et alors le bateau a un absolu. Il est ancré. Les vagues peuvent le ballotter, mais ce bateau reste malgré tout parfaitement immobile là où il est ancré, parce qu’il a un absolu.
26 Et si Christ est votre Absolu, et si vous êtes attaché à Lui de cette façon-là, peu importe ce que qui que ce soit dit, que les persécutions deviennent dures, que la tempête semble être violente, que – que la chose paraisse impossible... Si quelque chose vous est arrivé au point que Christ est devenu votre Absolu ou toute promesse de la Bible est devenue votre absolu, si vous êtes malade et–et que vous priiez pour votre guérison, et que quelque chose devienne pour cet… frappe cette promesse dans la Bible, et que vous disiez : « Je l’ai », il n’y a rien qui va vous bousculer de là.
27 Vous rappelez-vous l’histoire de cette jeune fille d’il y a quelques minutes ? Cette vision était son absolu. Elle savait que cela n’a jamais failli, c’était donc un... son absolu. Si elle a pu amener Dieu à répondre et à dire : « C’est terminé », peu importe ce que disait le médecin, c’était un absolu. C’était absolument ancré au fond.
Et un homme ou une femme qui fait de la philosophie, ou qui adhère à l’église ou quelque chose comme ça, n’est pas encore ancré. Vous – vous amenez votre lettre d’une église à l’autre, d’un lieu à un autre. Mais si seulement vous prenez le véritable Absolu, Christ, vous vous y ancrez, peu importe les circonstances, vous êtes toujours ancré.
28 Et ce dont le chrétien a besoin aujourd’hui dans cet âge atomique et en ce temps d’incertitude, c’est quelque chose au-delà d’une simple expérience d’adhésion à une église. Il vous faut une ancre, un absolu que vous connaissez ; en effet, les églises failliront, et les gens failliront ; mais Christ ne peut faillir. Il est–Il est le–Il est l’Absolu pour le croyant. Et si Christ est votre Absolu, vous êtes attaché à Lui. Et s’Il est votre Absolu et si vous êtes attaché à Lui, alors vous êtes attaché à la Parole. Eh bien, eh bien, ceci montre si nous possédons le bon absolu ou pas. Voyez-vous ?
Si vous pouvez lire dans cette Ecriture quelque chose que Christ a ordonné, ou qu’Il nous a commissionnés de faire, et qu’à cause d’un certain entortillage… Si quelqu’un vous dit que c’était pour les disciples ou pour quelqu’un d’autre, et qu’ensuite vous ne vous y attachez pas, alors Christ n’est pas votre Absolu. Cette personne qui vous a conduit hors du chemin est votre absolu. Mais si cette Parole, Christ, tient toujours bon (Voyez-vous ?), alors Il est votre Absolu. Nous ne devrions rien laisser nous écarter du chemin de la Parole.
29 Voyez-vous, aujourd’hui, certains d’entre eux… Cela va emporter plus de gens que jamais. Et au fur et à mesure que les jours passent, nous allons voir des gens avec ceci, comme l’a dit Jésus : « Une forme de piété… » Et on arrive au point où c’est juste une forme. C’est ce qu’on a vu chez les méthodistes, chez les baptistes et ainsi de suite pendant des années. Et maintenant, cela s’est glissé chez les pentecôtistes. Et peu…
Quand Dieu donne le Saint-Esprit à un homme, Il tourne le visage de ce dernier vers le Calvaire et place la Parole devant lui. Eh bien, de petites racines pousseront hors de la grande route, elles viendront s’enrouler complètement sur cet arbre, et vous penserez que c’est très innocent. Mais ensuite, cela a une telle emprise sur vous que ça vous entraîne dans la mauvaise voie et vous fait pencher dans la mauvaise direction. Et de même, les philosophies et autres choses sont entrées parmi nous au point que cela a commencé à nous entraîner vers le monde. Prenez l’Epée aiguë à deux tranchants de Dieu et libérez-vous de tout, et tenez-vous-en à cette Parole, car Elle est la référence finale. C’est l’Absolu pour chaque croyant.
30 Et quand un homme ou une femme est remplie du Saint-Esprit, au-dedans de vous votre coeur ponctuera chaque promesse de Dieu d’un amen. C’est juste. Eh bien, quand quelqu’un vous dit : « Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le baptême du Saint-Esprit était pour un autre âge », et qu’ensuite vous allez dans la Bible et lisez là où Pierre a dit le jour de la Pentecôte, quand les gens eurent le coeur vivement touché et qu’ils lui dirent : « Hommes frères, que… nous... que pouvons-nous faire pour être sauvés ? »
Eh bien, s’il avait parlé de l’adhésion à une église, il aurait dit : « Vous devez trouver le–le corps et–et adhérer à l’église. » Eh bien, vous voyez, il y eut... n’y eut rien de tel à cette époque-là. Il leur a donc donné la prescription exacte de ce qu’il faut. Il leur a dit ce qu’ils devaient faire et jusqu’où cela irait. Il a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Alors, c’est jusqu’où ?
31 Jésus a dit dans Marc 16 : « Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Voyez-vous ? Jusqu’où ? Par tout le monde ; la Bonne Nouvelle est destinée à toute la création. « Et voici les miracles qui accompagneront tout celui qui aura cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents, s’ils boivent un breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Eh bien, voyez-vous, vous devez avoir cet absolu, cette chose qui est réelle, qui vous identifie à Christ et à Sa Parole. Oui, la Parole est Christ, et vous devez être sûr que vous pouvez dire amen à cette Parole, sinon votre absolu est faux, vous l’avez fondé sur un credo.
Vous dites : « Oh ! je crois en Christ, mais je ne crois pas dans cette histoire-là. Je – je crois en Christ, mais je ne crois pas à ceci. » Alors votre absolu est faux. Votre absolu est un credo et non Christ, car Christ est la Parole.
32 Il est aussi comme l’étoile polaire. Il l’est pour celui qui s’est égaré… Eh bien, je fais la chasse dans le monde entier. Et j’ai été dans le–le désert. Et parfois, l’un des meilleurs… Si vous regardez au ciel et connaissez la direction de l’étoile polaire, elle vous guide jusqu’à la sortie. Et un homme en mer, quand il est–il est perdu, si seulement il peut repérer l’étoile polaire, il peut alors se diriger dans la direction où il va. Eh bien, ça, c’est quand il est perdu, il cherche l’étoile polaire.
33 Or, les autres étoiles changent de position. Mais cette étoile polaire reste juste au centre de la terre. Peu importe dans quelle direction la terre tourne, cette étoile polaire ne change pas de position. Elle indique le nord. C’est la seule vraie étoile, si je comprends bien, que nous avons… C’est cette étoile qui est à l’extrême nord. Eh bien, elle–elle vous indique votre direction.
Et c’est ce qu’est Christ pour toi. Si vous voulez aller au Ciel, si vous voulez être sauvé, si vous voulez être rempli de l’Esprit, si vous voulez être comme Christ, Christ est votre Etoile polaire. Si vous êtes perdu, ne cherchez pas à prendre un credo. Il est votre Etoile polaire. Il est votre Chemin. Il est votre Direction. Alors, si vous–si vous Le prenez comme votre Etoile polaire, alors cela fait absolument du Saint-Esprit votre Boussole. Amen.
34 Le Saint-Esprit est votre Boussole, et la Boussole n’indique que l’Etoile polaire. Et si vous avez le baptême du Saint-Esprit, Il ne peut indiquer que Christ, et Christ est la Parole. Voilà le moyen de retrouver votre chemin. Voyez-vous ? Vous pouvez lever les yeux ici et dire : « Celle-ci brille. Cette étoile brille ici. » Et peu après elle est ailleurs. Voyez-vous ? Vous devez en arriver à un point où c’est absolument établi.
Maintenant, Christ étant l’Etoile polaire, et la boussole indique toujours cette direction-là, et si vous êtes réellement sauvé… En fait, le seul moyen pour que vous soyez sauvé, c’est par Christ. Et le Saint-Esprit étant votre Boussole, Il vous conduira droit à la Parole. Voyez-vous ce que je veux dire ? Eh bien, c’est un merveilleux… Et la Parole et Christ sont Un. Les deux sont la même chose, une seule chose. « Au commencement (Saint Jean 1) était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. » S’Il est votre Etoile polaire, alors Il devient votre Absolu.
35 Ceci est un long détour pour en arriver à ce que je veux dire. Mais vous comprendrez cela, peut-être, ce que j’essaie de vous faire saisir. Il doit y avoir un absolu dans votre vie. Vous devez en avoir un quelque part, chacun d’entre vous en a un. Vous ne pouvez pas poursuivre votre chemin sans en avoir un. Vous devez avoir un absolu.
Il y eut une époque où, une–une certaine femme, ce qu’elle disait sur la manière de se tenir à table était l’absolu en Amérique. Je pense qu’elle s’appelait Emily Post, si je ne me trompe pas. Et tout ce qu’elle disait au sujet des manières de se tenir à table… Si elle disait que vous devriez manger avec votre... manger vos pois avec un–avec un couteau, ce–c’était–c’était tout. C’était tout. Et pourquoi ? Et si elle disait de manger le poulet en le prenant dans–dans vos mains pour le manger, peu importe que quelqu’un vous regarde, vous étiez parfaitement en ligne, voyez-vous, parce que c’était l’absolu. Elle était l’absolu pour ce qui était des manières de se tenir à table. C’est juste. Tout ce que disait cette femme, c’était bien cela.
36 Il y eut une époque où l’Allemagne, quand Adolphe Hitler était l’absolu en Allemagne… Peu importe ce que qui que ce soit disait, Hitler avait le dernier mot. Ce que disait Hitler, c’est ce qui devait se faire. C’était sa manière de faire. Et peu importe combien parmi les autres pensaient le contraire à ce sujet, c’est Hitler qui avait le dernier mot. Il était l’absolu.
Il y eut une époque où Mussolini était l’absolu de Rome. Il y eut une époque où pharaon était l’absolu de l’Egypte. Tout ce que disait pharaon devait être fait. Mais, vous voyez, tous ces gens étaient un mauvais genre de véritable absolu. Ils ont failli, chacun d’eux.
Alors que j’étais en Egypte, il n’y a pas longtemps, je pensais à l’époque où ces pharaons étaient assis sur leurs trônes. Et, vous savez, vous devez creuser jusqu’à vingt pieds [environ 6m – N.D.T.] sous terre pour retrouver là où étaient leurs trônes. Voyez-vous ? Oh ! quel absolu était-ce ! Cela a péri et a disparu. Et les gens qui se sont reposés sur ce genre d’absolu ont péri avec et ont disparu. Pourquoi ? C’était fait de main d’homme, et tout ce qui est fait de main d’homme périra avec l’homme. Mais il y a un absolu qui ne peut périr. C’est la Parole éternelle de Dieu. Elle ne peut jamais périr. Vous devez vous en tenir à Elle.
37 Bon. Eh bien, nous réalisons que–que nous avons un absolu ici. Nous allons là et nous avons un procès. Et si vous avez des problèmes par ici, vous avez un procès ici dans la ville ; on peut le transférer à d’autres cours et ainsi de suite. Cela peut finalement arriver à la Cour Suprême. Et la décision de la Cour Suprême est l’absolu. C’est la fin des procès. Vous ne pouvez pas aller plus loin. La Cour Suprême est la dernière cour. Et c’est un absolu.
Eh bien, des fois on n’est pas d’accord avec eux, et–et… ou on n’apprécie pas leurs décisions. Mais, malgré tout, c’est l’absolu, parce que la nation est liée à cela. Voyez-vous ? Ce que dit la Cour Suprême… Que moi, je dise qu’ils ont tort, ça ne rend pas la chose fausse. Dans cette nation ils ont raison. Quelle que soit leur décision, elle est juste. Nous devons avoir un absolu. S’il n’y en avait pas un quelque part, les procès ne se termineraient jamais. Mais il faut qu’il y ait un endroit où ce procès arrive à son terme, et c’est à la Cour Suprême. Tout le monde le sait. C’est terminé quand cela passe par la Cour Suprême. Quand ils prennent une décision, ça règle la question. C’est tout. Vous ne pouvez aller nulle part, car c’est la cour la plus élevée. Il y a un... il doit y avoir un absolu, il doit y avoir un absolu pour les tribunaux.
38 On doit avoir un absolu au jeu de ballon. Le saviez-vous ? Un jeu de ballon ne peut pas se dérouler correctement sans un absolu, et c’est l’arbitre. Eh bien, des fois nous–nous n’apprécions pas ses décisions, mais c’est–c’est–c’est… Il est de toute façon l’absolu. Si–si… Quoique nous voulions dire, et que d’autres disent que cela–c’était un strike, ou que c’était une balle, mais si lui dit que c’est un strike, c’est bien cela. Ne discutez pas avec lui. Il est là. Il est l’absolu dans ce jeu de ballon, car s’il a dit : « Strike ! » vous pouvez vous agiter, vous pouvez jeter votre chapeau là et protester contre cela, mais c’est quand même un strike. Amen.
Maintenant réfléchissons un peu. Qu’arriverait-il s’il n’y avait pas d’arbitre dans le jeu ? Quel genre d’histoire ce serait ? Le tout serait un chaos. Vous–vous ne pourriez pas jouer ce jeu sans qu’il y ait un absolu. Il faut un absolu dans les jeux. Et s’il faut un absolu dans les jeux, qu’en est-il de la vie ? Elle doit avoir un lieu de repos, et tout mortel qui est ici cet après-midi a un absolu quelque part, sa référence finale qui est le dernier mot.
Remarquez, il y aurait des histoires et tout dans ce jeu de ballon, et le tout déboucherait sur un chaos.
39 Vous savez, un feu rouge est un absolu pour la circulation. Eh bien, qu’en serait-il si le feu rouge ne fonctionnait pas ? Que se passera-t-il si le feu rouge est éteint quand vous arrivez là ? L’un dira : « Je–je–je suis arrivé ici le premier », et l’autre dira : « Je m’en presse pour aller au travail. » Vous parlez d’un embouteillage !
C’est le problème qu’ont nos églises et tout. Il y a un grand embouteillage. Le feu rouge doit s’être éteint quelque part. Oh ! on fait des histoires et on discute, eh bien, vous ne vous en sortirez jamais. Il doit y avoir là quelque chose qui dise: « Vous, allez-y, et vous, attendez », et ainsi de suite, sinon on sera tout embrouillé.
Eh bien, maintenant, avec les croyances de nos six cents et quelques dénominations… Oui, je pense qu’il existe aujourd’hui neuf cents différentes organisations. Il doit y avoir un absolu quelque part. Si ce sont les catholiques qui ont raison, l’Eglise protestante est dans l’erreur. Si ce sont les méthodistes qui ont raison, les baptistes sont dans l’erreur. Si ce sont les pentecôtistes qui ont raison, c’est que les autres sont dans l’erreur. Mais–mais il doit y avoir quelque chose quelque part. Et comment allez-vous avoir une base pour cela, si vous n’acceptez pas l’Absolu de Dieu qui est Christ ?
40 Et Jésus a dit dans Jean 14.12 : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » C’est une réalité absolue que Christ a promise. C’est Sa Parole. Et nous devons croire cela.
Il a dit : « Celui… » Dans Saint Jean chapitre 5, verset 24 : « Celui qui écoute Mes Paroles–Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » C’est l’absolu. C’est ça. Eh bien, pas le soi-disant croyant, mais celui qui croit. Voyez-vous ?
Eh bien, nous devons avoir un absolu, et Il est cet Absolu, et Lui et Sa Parole sont la même chose. On ne peut pas Les dissocier.
41 Oui, si le feu rouge est éteint, nous aurons un embouteillage (Oh ! la la !), et un sérieux embouteillage. Il doit y avoir un absolu. Et c’est un… Vous savez, cependant l’ennui aujourd’hui est que les choses sont telles que ce qui a provoqué le très grand embouteillage dans lequel nous nous trouvons… C’est un peu une façon rude d’exprimer la chose, mais vous comprenez toutefois ce que j’essaie de dire.
Remarquez. La raison pour laquelle nous nous y retrouvons, c’est que chacun de nous s’est fabriqué son propre absolu. Voyez-vous ? Nous avons notre propre absolu. Chaque église a son absolu. Chaque groupe a son propre absolu, et ils disent… Chacun d’entre eux dit : « Nous sommes la vérité, le chemin. Nous avons toute la chose. Vous, vous n’avez rien à voir avec cela. Vous êtes une minorité. Nous–nous sommes le groupe le plus important. » Et c’est ce que font les gens. C’est… Vous ne devriez pas faire cela. C’est au point que les choses sont pratiquement comme au temps des Juges, où chacun faisait ce qui lui semblait bon. Voyez-vous ? Il fait ce qu’il pense, ce qui lui semble bon.
42 Mais les gens… Vous ne pouvez pas faire cela. Il y a beaucoup de chemins différents. Voyez-vous ? Et, en réalité, il n’y a qu’un seul Chemin, et Christ est ce Chemin. Et Christ et Sa Parole sont la même chose. Eh bien, voyez-vous, vous devez avoir quelque chose auquel nous pouvons nous référer et dire : « C’est ça la chose », et il peut être prouvé que c’est–c’est bien la chose.
Voyez-vous, au–au temps des Juges, la raison pour laquelle chacun faisait ce qui lui semblait juste était que la Parole de Dieu était rare en ce temps-là. Les gens ne L’avaient pas. Et il n’y avait aucun prophète. En ce temps-là, il n’y avait pas de prophète pour s’en tenir à la Parole et–et conduire Israël. Donc la Parole ne venait pas, chacun faisait donc ce qui lui semblait bon.
43 Et c’est pratiquement là que nous en sommes de nouveau aujourd’hui, frères. Voyez-vous, chacun avait sa façon de voir. On disait : « Eh bien, maintenant si j’ai besoin de prendre la règle d’or, si j’ai besoin de faire ceci ou de pratiquer une certaine religion, je–je crois que ma religion, c’est faire ceci et cela. » Et c’est ce qu’on–on voit. Tout le monde voit cela. Les gens pensent : « Eh bien, je–je vais à l’école du dimanche le dimanche matin. Je suis aussi bon que n’importe qui d’autre. »
Eh bien, ça–ça, c’est bien. Vous pourriez toujours aller–aller à l’école du dimanche et–et être une bonne personne. C’est très bien. Mais si vous n’avez pas quelque chose d’un peu plus que le fait d’aller à l’école du dimanche… Quelqu’un a dit : « J’observe les dix commandements. » L’un observe le sabbat, l’autre pratique autre chose, et... si bien que nous arrivons à un point où tout le monde pense, eh bien, ils font tout simplement ce qu’ils pensent être juste. Mais ça ne rend pas la chose correcte. Nous allons voir cela dans quelques minutes, voyez-vous, que ça ne rend pas la chose correcte.
Dieu a une voie. La Bible dit : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort. » Et personne ne désire mourir. C’est la séparation. Nous ne voulons pas nous séparer de Dieu. Et nous ne voulons pas… Nous voulons vivre. La vie est le plus grand trésor que–que l’homme puisse avoir. Et maintenant, nous devons découvrir ce que c’est que la vie. Et Il a dit : « Ma Parole est la Vie. » C’est la Vie que vous devriez avoir : la Parole vivant en vous. Maintenant, suivez.
44 J’ai vu ceci quand je venais de me convertir; quand je n’étais qu’un jeune garçon, j’ai vu cela. Et je savais que j’avais besoin d’un Absolu. J’ai donc lu la Parole de Dieu et j’ai vu que cette Parole était Christ. Et je–je voulais que cela soit mon Absolu. Je L’ai donc pris au mot, et je L’ai entendu dire là-dedans : « Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé. » Eh bien, quelle promesse !
Eh bien, où sommes-nous aujourd’hui, frères ? Où sommes-nous ? « Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voulez et cela sera fait pour vous. » Eh bien, ce–c’est la propre Parole de Christ. Mais ce que… La Parole doit demeurer en vous. « Si vous demeurez en Moi (en Christ) et que Ma Parole demeure en vous… » Alors, comment entre-t-on en Christ ? Par le baptême du Saint-Esprit.
Et puis, ça, c’est une partie. Mais ensuite : « Si vous demeurez en Moi et qu’ensuite Mes Paroles demeurent en vous, alors demandez ce que vous voulez. » Mais vous devez avoir Christ et la Parole et, en fait, vous ne pouvez pas avoir l’Un sans avoir l’Autre (C’est juste), car c’est la seule et même chose. Vous ne pouvez pas avoir le Père sans avoir le Fils. Vous ne pouvez pas avoir le Fils sans avoir le Saint-Esprit. C’est le seul et même Esprit.
Ainsi donc, vous voyez, vous–vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas le faire autrement qu’en prenant l’Absolu auquel Dieu a pourvu pour nos vies. Maintenant, je suis lié à Lui par Sa Parole. Il est mon Absolu, et j’ai trouvé que c’est glorieux et précieux de–de vivre par Lui.
45 Or, beaucoup d’églises… Permettez-moi de parler simplement d’un absolu. Pour l’Eglise catholique, le pape est son absolu. Et peu importe les circonstances, ce que quelqu’un d’autre dit, ce que dit la Bible, ça ne veut rien dire. Il n’y a pas longtemps, j’ai discuté avec un prêtre. Il est venu me demander au sujet de… J’avais baptisé une jeune fille, et celle-ci a épousé un jeune homme catholique, elle allait devenir catholique. Et il m’a demandé de quelle manière je l’avais baptisée, et je le lui ai dit. Et nous nous sommes mis à en bavarder.
Et il a dit : « Vous savez, l’Eglise catholique baptisait comme ça, par immersion. »
J’ai dit : « Quand ? »
Et il a dit : « Autrefois, au temps de la Bible. »
Et j’ai dit : « Voulez-vous dire que vous croyez que les premiers chrétiens comme Pierre, Jacques, Jean et les autres étaient des catholiques ? »
Il a dit : « Ils l’étaient. »
J’ai dit : « Alors je suis plus catholique que vous. » J’ai dit : « Je suis un catholique à l’ancienne mode (Voyez-vous ?), pas quelqu’un qui–qui adopte cette nouvelle tendance de choses que les gens font aujourd’hui et qu’ils appellent religion. »
« Eh bien, a-t-il dit, vous voyez, Dieu a donné Son pouvoir à Pierre, et–et c’est l’Eglise. Et le… Dieu est dans Son Eglise. »
J’ai dit : « Il n’y a pas d’Ecriture dans la Bible qui déclare cela. Il n’y a aucune promesse qui dit cela. La Bible dit que Dieu est dans la Parole. » C’est juste. Dieu est dans la Parole. La Parole est la Vérité. Et j’ai vu dans la Bible là où il est dit que quiconque Y ajoutera une seule parole ou En retranchera une seule Parole, de même (sa part) il sera retranché du Livre de Vie. Eh bien, je savais que c’était un Absolu, que cette Parole ne peut changer, j’ai donc accepté cela. J’ai dit : « Eh bien, Seigneur, laisse-moi cacher Cela dans mon coeur afin de garder Cela et d’être respectueux vis-à-vis de Cela. Et quelle qu’elle soit, je marcherai, et Toi, conduis-moi. » Et c’est mon Absolu.
46 Eh bien, pour l’Eglise protestante, bien des fois… Dans un diocèse, la parole de l’évêque, quand bien même elle serait contraire à la Parole de Dieu, devient l’absolu pour ce groupe de chrétiens. Peu importe ce que dit la Parole, si c’est l’évêque qui le dit, ça règle la question. L’archevêque de Canterbury, peu importe ce que les–les Anglais qui vont dans cette église anglicane, peu importe ce qu’ils pensent, si l’archevêque dit une certaine chose, c’est bien cela.
Eh bien, maintenant, vous dites : « C’est bien dommage. » Mais vous savez… Eh bien, attendez une minute. Nous pouvons en venir directement à nous les pentecôtistes, si vous le voulez. On peut certainement le faire. Mais je–j’espère que vous saisissez le reste et que vous voyez ce que je veux dire. Voyez-vous ?
Vous dites : « Voici un frère rempli du Saint-Esprit et il… le Seigneur travaille avec lui. » Eh bien, allez demander à l’ancien si nous pouvons… d’abord, si nous pouvons l’avoir parmi nous. Quel genre de carte a-t-il ? Vous voyez, alors c’est l’absolu pour cette église-là. C’est juste. On pourrait dire amen quand il s’agit des catholiques et des–des–des presbytériens et ainsi de suite. Mais qu’en est-il–qu’en est-il de cela quand on en arrive à nous ? Voyez-vous ? Nous avons–nous avons un faux absolu.
47 Selon la Bible, il n’y a rien de plus élevé dans l’église que l’ancien de cette église-là. C’est une église souveraine, et le Saint-Esprit oeuvre comme Il veut. Il demeure au milieu de Son peuple. Mais nous avons un autre absolu, un surveillant général quelque part qui nous dit ce que nous pouvons faire. Et si la chose ne concorde pas avec ce que les gens pensent ou quelque chose comme ça, alors c’est en dehors ; cela ne vient pas de Dieu. Oh ! la la ! Quelle horreur ! Dans quelle perversion se trouve-t-on !
Il n’est pas étonnant que nous soyons ici, réclamant un réveil. Et le Ciel est plein de la puissance de la Pentecôte, mais nous ne pouvons pas y accéder. C’est juste. C’est parce que nous avons rejeté l’Absolu de Dieu (C’est juste.), la révélation de Christ. « Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne pourront prévaloir contre elle. » C’est un absolu. Et la Parole de Dieu est son Absolu. « Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux Qui t’a révélé cela. Et sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise. » Voyez-vous ? Un véritable Absolu…
48 Mais, vous voyez, nous prenons quelque chose d’autre comme absolu. Si notre dénomination parle contre la Parole, alors vous prenez la parole de la dénomination comme l’absolu. Vous ne devriez pas faire cela. J’essaie d’exprimer clairement mes convictions, et je suis… A la fin de cette série de réunions, j’essaie de vous dire la raison pour laquelle j’ai fait ce que j’ai fait et dit ce que j’ai dit, c’est parce que depuis longtemps j’ai pris Christ comme mon Absolu.
La première église à laquelle je m’étais joint, c’était une église baptiste; et j’aime ces frères. Ils étaient gentils. Mais quand on en est arrivé à un point où je devais faire quelque chose de contraire à ces Ecritures, la Parole de Dieu passait en premier, car j’étais lié à cette Parole. C’est juste. Je n’ai rien contre… Quand le docteur Davis est venu me voir et qu’il voulait que je fasse là une certaine chose qui était absolument contraire aux Ecritures, je lui ai présenté cela, il a dit : « C’était pour un autre âge, ce n’est pas pour celui-ci. »
J’ai dit : « Je suis lié à la Parole. ‘Que toute parole d’homme soit un mensonge et que la Mienne soit reconnue pour la vérité.’ » C’était cela mon Absolu et depuis… cela fait trente ans et… ou plus, et je me tiens toujours sur cette même Parole. Et c’est là que je veux vivre et mourir, parce que c’est mon Absolu. C’est sur cette base que j’accepte Christ.
49 Et maintenant, ce n’est pas parce que vous voulez vous singulariser, ce n’est pas parce que… En effet, cette semaine, j’ai dit certaines choses très piquantes. Et si je l’ai fait juste pour me singulariser, alors j’ai besoin d’aller vers l’Absolu. Je–j’ai besoin d’une repentance à l’autel. Mais comment pouvez-vous m’appeler à la repentance alors que je vous ai dit la vérité ? C’est juste. Et Dieu a confirmé cela et a montré que c’était la vérité par la Parole, et la Parole vivante. Voyez-vous ? C’est tout à fait vrai.
Eh bien, voilà la raison pour laquelle j’ai dit les choses que j’ai dites et que je fais ce que je fais. Cela pourrait être contraire à nos différents systèmes et organisations. Ce n’est pas parce que je veux me ranger du côté de l’un ou du côté de l’autre, car je me suis livré à une seule chose.
50 Quand je fus sauvé ou lorsque Christ a commencé à traiter avec mon coeur, je suis allé à l’Eglise catholique, car les membres de ma famille sont Irlandais et catholiques. Et j’ai remarqué la façon dont l’homme disait cela ; ça ne sonnait pas juste. Et j’allais de lieu en lieu. Et finalement…
Il a dit : « Dieu est dans Son église. » Eh bien, si Dieu est dans Son église, quelle est cette église-là ? Voici… Eh bien, les gens disent : « Il s’agit–il s’agit de notre église. » Eh bien, laquelle des églises catholiques ? Vous vous souvenez que toutes, elles sont aussi divisées. Oui, oui. Toutes sont différentes… Certains se marient et d’autres pas, et certains sont des Grecs et d’autres des Orthodoxes et, eh bien, il en existe différentes sortes : des Romains. Les uns acceptent le pape et d’autres pas. Et, vous voyez, ils sont aussi divisés. Alors, laquelle de ces églises est dans le bon ? Où pouvez-vous placer la foi ? Si vous êtes un catholique et que vous croyiez en l’église, alors de quelle église s’agit-il ? Laquelle de vos églises catholiques est-ce ?
Si vous êtes protestant, vous dites : « Eh bien, eh bien, laquelle – laquelle d’entre elles est dans le bon? Les méthodistes, les baptistes, les luthériens, les presbytériens, eh bien, laquelle est dans le bon ? »
51 C’est Dieu qui a raison. Sa Parole a raison. Les autres n’ont pas raison. Si c’est… Ils sont dans le bon aussi longtemps qu’ils s’en tiennent à la Parole. Mais quand vous laissez la Parole, alors vous laissez Dieu, car Dieu veille sur Sa Parole pour La confirmer. Il doit La rendre réelle. Il doit La faire agir. C’est la raison pour laquelle les gens ont faim d’un réveil. C’est le temps où ces choses doivent être ici. Si jamais vous avez cru que je sais de quoi je parle, acceptez cela.
L’heure est maintenant venue. Mais l’ennui est que nous avons tant d’absolus que nous ne savons pas à quoi nous sommes attachés. Amen ! Maintenant, je me sens religieux. Voyez-vous ? C’est juste. Je voulais ôter cela de mon système. C’est juste.
Nous avons tant de liens, l’un tire de ce côté-ci, et l’autre de ce côté-là, et l’un est contre l’autre. Comment les gens sauront-ils ce qu’il faut faire ? Et la pression du Saint-Esprit qui descend, cherchant à trouver un endroit pour entrer, afin de pouvoir mettre en oeuvre Parole sur Parole, Parole sur Parole…
52 Maintenant, vous pentecôtistes, vous avez cru lorsque les dons ont commencé à être restaurés dans l’église, le don du baptême du Saint-Esprit, le parler en langues, et vous vous en êtes tenus juste à cela. Vous avez cru à cela. Eh bien, c’est en ordre. Mais pourquoi vous êtes-vous arrêtés là ? Voyez-vous ? Pourquoi vous êtes-vous arrêtés là ? Quand Israël était en pèlerinage vers la Terre promise… Et quand ils se sont arrêtés dans le désert, ils y sont restés quarante ans, alors que ce n’était qu’un voyage d’une journée du… chaque promesse, toute la Terre promise dans sa totalité… Et les pentecôtistes, quand ils ont traversé de l’autre côté, ils ont dansé et ont poussé des cris comme l’ont fait Myriam et les autres ; quand ils sont arrivés au désert, ils ont fait la même chose que fit Moïse… ou plutôt pas… que fit Israël. Ils ont voulu une loi. La grâce avait déjà pourvu à tout. Ils ont désiré quelque chose pour qu’ils puissent avoir des docteurs, des docteurs en philosophie, des docteurs en droit. Et ils ont eu cela. Et ils ont séjourné là jusqu’à ce que chacun d’eux soit mort. C’est juste.
53 Et Dieu a pris deux hommes et les a envoyés de l’autre côté : Caleb et Josué. Eh bien, ils n’avaient qu’environ–qu’environ quarante miles [environ 64 km – N.D.T.] de marche pour leur voyage. Eh bien, ils n’étaient qu’à un ou deux jours de là. Mais ils sont restés ici en arrière pendant quarante ans jusqu’à ce que toutes ces histoires soient sorties d’eux, jusqu’à ce que tous ces gens-là soient morts.
Eh bien, le moment est maintenant venu pour qu’un changement se produise. Nous – nous avons commencé à nous organiser, à faire exactement la même chose que nous avons quittée, nous avons aussitôt ramené cela, et nous en avons fait un poteau d’attache et un absolu. Et si les gens ne croient pas cela exactement de cette manière, ma foi ! ils n’y sont même pas du tout. Qu’avez-vous donc fait ? Vous vous êtes tenus tranquilles et vous avez fait des membres.
Et que savent les membres ? Ils consultent la Parole de Dieu, et quand ils voient arriver quelque chose qui est exactement la Parole de Dieu, eh bien, ils ne savent pas de quel côté se tourner. Ils vont demander à un évêque ou à un ancien: « Que veut dire ceci ? » et : « Que veut dire cela ? »
Eh bien, ça me fait penser à une bande de poulets d’un incubateur. J’ai toujours eu pitié d’un poulet qui sort de l’incubateur. Il–il fait Tchip, tchip, et il n’a pas de maman auprès de qui aller. Il a été produit par une machine. C’est la même chose pour beaucoup de ces prédicateurs d’aujourd’hui : ils sont produits par une grosse machine, ils font du bruit au sujet de Dieu et ils ne savent même pas ce que c’est. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
54 Il était absolument…Il était attaché à Dieu et Dieu était la Parole, et Dieu La confirmait par Lui. Voyez-vous ? Et c’est là que nous sommes aujourd’hui. Voyez-vous ? Nous avons trop d’absolus, mais pas le vrai Absolu. Voyez-vous ? Il n’y a qu’un seul Chemin, et c’est Jésus. Jésus a dit : « Je suis le Chemin. » Et Jésus et la Parole sont la même chose.
Et maintenant, Dieu a prophétisé au sujet de ce qui arriverait dans ces derniers jours. Il a promis ces choses pour les derniers jours. Jésus les a promises, en disant : « Ce qui arriva à Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme », toutes les Ecritures qu’Il a promises pour les derniers jours. Et nous vivons en plein ce temps-là.
Et Dieu, le Saint-Esprit, se meut sur les gens. Mais la seule chose que vous voulez faire, c’est danser dans l’Esprit et parler en langues. C’est tout ce que vous savez. C’est la semence entière qui a été plantée. Ce qu’il nous faut, c’est le Plein Evangile planté avec une pleine puissance dans un coeur plein, pour apporter un absolu parfait. Qu’est-ce qui ne va pas ?
55 Avez-vous déjà réfléchi sur ce qu’Israël a fait là dans le désert ? Ils ont épousé des femmes ; ils ont élevé des enfants, ils ont eu des récoltes et tout, ils ont embrassé des bébés, ils ont enseveli des morts et ont marié les jeunes. Dieu les a bénis et ils ont prospéré. Mais ils étaient malgré tout hors de la Terre promise.
Et c’est pareil avec les pentecôtistes aujourd’hui. Il y a quarante ans, vous n’auriez pas pensé que vous… Votre mère et votre père auraient piqué une crise à la pensée que vous seriez dans ce genre de condition. Certainement.
Ces anciens s’étaient attachés à cet Absolu et s’en étaient tenus à cette Parole, peu importe ce qu’Elle était. Aucune dénomination, aucun ancien, aucun chef de district ou évêque ne pouvait leur dire quoi que ce soit à ce sujet. Ils marchaient dans l’Esprit, ils partaient opérer des miracles et accomplir des choses. Ils allaient partout tenir des réunions de la rue Azusa, des réunions dans les bosquets. Eh bien, vous ne pouvez même plus amener un homme à témoigner au coin de la rue. Voyez-vous ? Qu’avons-nous ? La même chose qu’Israël.
56 Eh bien, un homme s’éleva là au temps de la fin et se mit, quarante ans après, à indiquer : « Il y a là-bas tout un pays plein de bénédictions et le tout… » En effet, l’heure était arrivée, où Dieu allait les amener de l’autre côté.
L’heure est maintenant arrivée, où Il veut apprêter une église. Je vais dire ceci d’une voix prophétique, j’espère. Je ne parle pas au Nom du Seigneur, mais je crois que c’est la vérité. L’Enlèvement… Vous parlerez de l’Enlèvement quand l’Enlèvement sera passé depuis longtemps. Voyez-vous ? Oui, vous direz : « Que Dieu soit béni, l’Enlèvement est venu ! » Et ce sera déjà passé.
Jésus n’a-t-il pas dit de Jean : « Pourquoi les scribes disent-ils que Jean doit venir premièrement, ou plutôt pourquoi disent-ils qu’Elie doit venir premièrement ? »
Il a dit : « Il est déjà venu et vous ne l’avez pas su. Mais vous avez fait exactement ce qui était dit que vous feriez. »
Un jour, le jugement viendra sur la terre. Et alors, vous trouverez ici des gens attendant l’Enlèvement, et on sera déjà parti depuis longtemps ; ce sera vraiment la minorité. Et Il a dit : « Ce qui arriva au temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. Ce qui arriva au temps de Lot… »
57 On pense que cet énorme tas de poudre à canon qu’il y a ici, de cendre atomique, va partir. Cela ne partira que si cela a la Vie de Christ à l’intérieur, car c’est ça que Dieu ressuscitera. C’est juste. Il y aura un Enlèvement. Pensez-y. Deux ou trois ici, un par-là, et quelque part ailleurs quelqu’un disparaîtra, on pensera qu’ils sont partis de chez eux, qu’ils… Vous feriez mieux de faire attention ; il se pourrait qu’ils soient partis. On attendra l’Enlèvement, et ce sera déjà passé!
Eh bien, ce n’est pas contraire à la Parole. Non, non. Il vient comme un voleur dans la nuit. Voyez-vous ? Ils seront partis avant que vous ne le sachiez. Dieu place Sa – Sa grande puissance dans l’Eglise. Voyez-vous, cela n’emporte pas un très grand groupe ; cela prend une minorité. « Ne crains point, petit troupeau. Votre Père a trouvé bon… » Vous qui vous accrochez à cet Absolu (C’est juste), qui avez la confirmation que Dieu oeuvre dans la chose…
58 Vous voyez donc, nous vivons un temps terrible, et c’est ce qui fait que cette pression s’exerce sur l’Eglise. Eh bien, vous désirez voir quelque chose, vous désirez voir quelque chose. Mais maintenant, comment Dieu peut-Il veiller sur Sa Parole pour La confirmer alors que les gens ne croient pas cette Parole et ne veulent pas La recevoir dans leur coeur ? Comment le soleil peut-il briller sur une semence et l’amener à la vie quand elle n’a même pas de vie en elle ? Ça doit être une semence fécondée. Un credo est donc fécondé pour produire davantage de membres. Mais la Parole est fécondée pour produire des saints, pour produire des croyants. C’est juste. Dieu oeuvre pour accomplir Ses Paroles. Il–Il veille dessus pour La confirmer. Oui, oui.
59 Bon, bon, l’Eglise catholique prend certainement son ancre, son étoile polaire et… pour ses réalisations. Et ce que le pape déclare qui constitue infaillible pour l’Eglise catholique romaine. Pour les protestants, un évêque, un certain credo… « C’est contraire à notre credo. » Et certains d’entre eux sont contre différentes choses : leurs croyances dénominationnelles et tout.
Vous savez, je me sens comme le dit Paul ici. Je considère une Ecriture dans Actes 20.24. Il a dit : « Aucune de ces choses ne peut m’ébranler. » Amen. Pourquoi ? Parce qu’il était ancré. Il avait un absolu. « Depuis que je L’ai rencontré sur la route de Damas… » Si je pouvais parler à Paul… « Il m’a fait faire demi-tour, Il m’a remis dans la bonne direction. J’étais loin de la Parole, Il m’a ramené à la Parole. » Certainement. Ecoutez, c’est ce que je sens aussi. Je sens que tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu, qui aime Dieu et qui aime Sa Parole, Dieu a un but à ce propos.
60 Dieu avait un but en faisant faire demi-tour à Paul. N’a-t-Il pas dit : « Je vais lui montrer Ma gloire ? » Dieu avait un but quand Il m’a sauvé. Je suis déterminé à faire Sa volonté, pas à y ajouter ou à en retrancher. Apocalypse 22.19 dit que quiconque fait cela sera… sa part sera retranchée du Livre de Vie. Je suis déterminé à ne jamais ajouter à cette Parole une seule chose de mes propres opinions. Je suis déterminé à La lire juste telle qu’Elle est, et–et je demande à Dieu de faire que j’ouvre mon coeur pour La recevoir. « Accomplis cela en moi, Seigneur, afin que les autres puissent voir. Que cela devienne salé et que cela soit quelque chose de réel, pour que les autres puissent voir. » Oui, oui.
61 Eh bien, s’Il est notre Absolu, il ne peut y avoir d’autre absolu. Vous ne pouvez pas avoir… dire : « Eh bien, mon–mon église est mon absolu. Mon credo est mon absolu. » Si Christ est votre Absolu, croyez la Parole de Christ. Vous ne pouvez pas y aller autrement.
Vous savez, je pense au moment où Il m’a sauvé. Je vais vous dire pourquoi j’ai la position que j’ai. Ce n’est pas pour être singulier, je me suis bien fait comprendre là-dessus. Je l’espère. Mais je… Quand Christ m’a sauvé, des millions de gens tâtonnaient dans le péché. Quand Il m’a sauvé, Il avait un but en le faisant. Il avait un but en me sauvant. Il a tout simplement vu un ignorant comme moi, et–et je ne sais pas trop comment… alors qu’il y avait beaucoup d’hommes intelligents, des hommes plus capables, des hommes qui pouvaient faire la chose… Moi que voici, ayant à peine l’instruction du primaire, alors qu’il y avait des hommes qui ont étudié dans des écoles et qui ont reçu des diplômes, des docteurs en–en théologie et en philosophie, ainsi de suite… Mais quand Christ m’a sauvé, Il avait un but en le faisant, sinon Il ne m’aurait jamais sauvé.
Ecoutez, frères, je vous aime et vous le savez. Mais je suis résolu dans mon coeur de ne jamais tourner le dos à cette Parole. Je me tiendrai juste là. C’est mon Absolu auquel j’ai été attaché toutes ces années. Eh bien, Il avait un but en le faisant. C’est juste. Et je suis résolu de m’en tenir jusqu'au bout, de rester avec cette Parole, pas pour être singulier, pas pour être méchant, mais pour être honnête et sincère envers Dieu. C’est juste.
62 Bon. Vous savez, il y avait un absolu dans la mort de Christ. Tout le monde avait peur de la mort, même le grand prophète Job. Beaucoup avaient peur de la mort, une peur. Et les hommes en ont toujours eu peur. Mais quand Christ est venu et qu’Il a pris la mort sur Lui, Il est devenu un Absolu pour ceux qui avaient peur de la mort. Dans Hébreux 2.14-15, Il a pris la forme d’un homme pour mourir comme un homme, pour payer le prix.
Mais à Pâques, Il s’est avancé avec les clés de la mort et du séjour des morts. Il avait conquis cela. Il a con-… Il a dit : « Ne craignez point. Je suis Celui qui était mort et qui vit pour toujours. » Et notre Absolu, c’est sur Lui (C’est juste), c’est en Lui. Et Il était la Parole parfaite de Dieu. Il était si parfait que, lorsqu’Il a prononcé Sa Parole, Celle-ci a créé. Elle a arrêté le vent, et Elle a créé de petits pains et du poison cuit, juste par Sa Parole. Vous voyez, il n’y avait aucun obstacle. Il était si parfait. Il a dit que Lui et la Parole étaient Un.
63 Il était l’amour de Dieu, dans Jean 3.16, qui a produit un corps qui n’est pas né du sexe sous la chute, mais qui est né par la puissance créatrice de Dieu, afin que Dieu Lui-même vive dans ce corps et projette Sa Parole. Et Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même, faisant un absolu pour tout croyant. Et Il est allé dans Sa tombe avec le fardeau du péché sur Lui, et Il a payé le prix, et Il est ressuscité le matin de Pâques, ayant les clés de la mort et du séjour des morts. C’est un absolu pour tout homme qui a peur de la mort.
Permettez-moi de dire ceci ; je ne sais pas combien de messages je dois encore prêcher avant mon départ. Si vous croyez réellement en Dieu et si vous êtes né de nouveau, n’ayez pas peur de la mort. C’est pratiquement la meilleure chose qui puisse vous arriver. Paul a dit : « Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. » Certainement. C’est… N’ayez pas peur de la mort. Selon II Thessaloniciens, nous serons enlevés avec nos bien-aimés pour aller à Sa rencontre dans les airs. Quelle promesse ! Quel absolu de croire en Christ, d’avoir en moi un coeur qui dit amen à chaque Parole qui est dans Son Livre!
Je crois aussi ce qu’Il dit, car je sais que le Saint-Esprit est ma Boussole; en effet, Il me conduit vers Son Absolu (Voyez-vous ?), Son Etoile polaire, vers Lui, l’Etoile polaire. Il est mon Absolu, mon Soleil, mon Poteau, mon Etoile polaire. Oh ! la la !
Il est si différent des autres que je vois. Il y a toujours quelque chose qui tire, une corde que vous devez tirer. Mais ici, dans cette histoire, vous ne tirez rien. Cela vous est apporté, c’est la seule chose. C’est l’Absolu. Christ est notre Absolu.
64 Voyez combien Sa Parole est différente. Cette Parole remonte aux temps anciens. Le Nouveau et l’Ancien Testaments s’accordent l’un avec l’autre comme les pièces en queue d’aronde d’une planche qui s’assemblent. Il n’y a rien de travers. Plusieurs hommes ont écrit ce Livre, ces soixante-six Livres de la Bible. Ils L’ont écrit à des siècles et des siècles d’intervalle, sans se connaître. Et qu’est-il arrivé ? Vous ne pouvez pas faire contredire une Parole par une Autre. C’est juste. C’est la raison pour laquelle…
J’ai entendu des gens dire que la Bible se contredit. Je prêcherai à travers ces Etats-Unis pendant toute une année sans interruption et laisserai les ministres prélever les offrandes pour vous les donner sans rien retrancher, si vous pouvez me montrer là où la Parole de Dieu se contredit. C’est juste. Cela fait des années que je fais cette offre. Jusque-là personne ne l’a acceptée, parce que la Parole ne se contredit pas. C’est par votre propre petite cervelle de cacahuète que vous–vous essayez de Lui faire dire quelque chose qu’Elle ne dit pas. C’est juste. Non, la Parole de Dieu ne se contredit pas. Il est… C’est…?…
65 Eh bien, les dénominations se contredisent les unes les autres. Elles sont comme ces autres étoiles. Voyez-vous ? Elles errent toujours çà et là comme la terre. Elles tournent sur la terre et autour de la terre. Et la terre, en tournant, les met toutes dans un état de dérèglement.
Mais elle ne tourne jamais en s’éloignant de l’Etoile polaire de Dieu, Sa Parole, qu’indique la boussole. C’est toujours le même Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement. C’est l’absolu. C’est là la place.
Vous pourriez regarder ceci. Et aujourd’hui, c’est ici; et demain, cela croit autre chose; et le jour suivant, c’est quelque part ailleurs. C’est comme ça. C’est sans position, dedans et dehors, dehors, dehors, dedans, dedans et ainsi de suite.
Mais placez votre coeur juste sur la Parole de Dieu, et les cieux et la terre passeront, mais Cela ne passera jamais. C’est l’Absolu. C’est le Fondement solide. C’est le… C’est ma Boussole, ma Voile ; c’est mon Guide ; c’est ma Vie. Elle est basée sur cet Absolu de la Parole de Dieu. Je suis lié là éternellement avec Lui. Amen. Les autres peuvent faire ce qu’ils veulent ; c’est leur affaire. Mais pour moi, c’est cet Absolu. Je veux cela comme Absolu. Le reste peut changer et tourner, et ainsi de suite, mais pas Sa Parole. Elle demeure toujours la même. Il demeure à jamais fidèle à Sa Parole. Eh bien, faites de Lui votre Absolu.
66 En ce temps-là, quand je suis passé par des épreuves, lorsque j’ai perdu ma famille et que ma vie m’était pratiquement ôtée… Ma fillette est morte pendant que je priais pour elle, et après que j’avais été dans les rues jour et nuit, à prêcher, et à prier, et à essayer de faire ce qui est juste. Vous avez entendu parler de l’histoire de ma vie. Beaucoup d’entre vous l’ont lue. Et, oh ! la la ! les choses en sont arrivées à un point où je–j’ai vu mon épouse mourir juste dans–dans mes–mes… tandis que je tenais sa main. Et je… Mon petit bébé est tombé malade quelques heures après cela. Et je suis descendu là et j’ai prié avec tout ce qu’il y avait en moi, et c’est comme si un drap noir était tombé et qu’il y avait refus de répondre à ma prière.
Alors Satan est venu vers moi et a dit : « Tu vois, tu n’as que vingt ans environ et voici que tu… tout ce que tu as fait et tu–tu t’es négligé, et tu as fait toutes ces choses. Tu–tu–tu as gâché toute ta jeunesse, alors que tu devrais être là à passer de bons moments comme les autres jeunes gens. Et voici que Tu t’es tenu au coin de la rue à crier et à prier. Et des fois tu as passé toute la nuit dans les hôpitaux, heure après heure. Et quand il est question de ton propre sang et de ta propre chair, Il refuse de t’écouter. »
Ce fut une fois où je fus tenté, mais il m’est arrivé de me souvenir : J’avais un Absolu. « Même s’Il me tue ; je croirai toutefois en Lui. » Peu m’importent les circonstances.
67 Le membre du Sénat de l’Etat d’Indiana, Sam Isler, est venu au… fréquentait mon tabernacle. Cela fait maintenant environ deux ans qu’il est décédé, un brave homme. Et il avait l’habitude de… Il descendait la route. J’allais prier à la tombe où reposaient mon épouse et mon bébé. C’était juste après l’inondation de 1937. Et j’avais une paire de bottes, et je montais la route en pleurant. Et le petit Billy, mon fils, était sur le point de mourir aussi. Et les médecins avaient déjà déclaré qu’il n’y avait presque plus rien à faire pour lui. Et–et il souffrait d’une espèce de dysenterie qui ne s’arrêtait pas ; c’était une infection.
68 Et je pleurais, je priais, et je pensais… Eh bien, je continuais à m’accrocher à Dieu. Je montais la route en pleurant. Je pensais que je monterais pour écouter. J’avais l’habitude de m’asseoir là le soir, à côté de la tombe. J’entendais une vieille colombe se poser là et se mettre à chanter. J’écoutais les pins souffler, le–le–le vent descendre… ou plutôt à travers… le vent à travers les pins plutôt, et c’était comme si cela disait :
Il y a un pays sur l’autre rive,
Qu’on appelle terre de joie sans fin,
On atteint cette rive d’après le niveau de la foi ;
Un à un nous arriverons à ce portail,
Pour demeurer là avec les immortels,
Un jour on fera sonner les cloches d’or pour toi et pour moi.
Je restais là et je pleurais, je levais les yeux, et je disais à mon épouse et au bébé, je disais : « Je–je sais que vous ne reposez pas ici. Ceci, c’est juste le lieu où j’ai enseveli les restes que je tenais dans mes bras. Mais vous êtes là quelque part au-delà de la rivière. »
69 Ainsi, mais, voyez-vous, je–je montais à cet endroit-là un jour pour m’asseoir à la tombe, j’avais une paire de bottes, je marchais. Une vieille voiture est venue derrière moi et s’est arrêtée; et c’était monsieur Isler, le membre du Sénat de l’Etat. D’un bond il est descendu de la voiture, il a tourné, il est venu derrière moi et m’a entouré de ses bras.
Il a dit : « Billy, je suis vraiment désolé. »
J’ai dit : « Tout va bien, Frère Isler. »
Et il a dit : « Je–je n’aurais pas dû m’arrêter. » Il a vu que je pleurais.
J’ai dit : « Tout va bien, Monsieur. Isler. »
Et il a dit : « Je vais te poser une question, fiston. »
J’ai dit : « D’accord, allez-y, posez-la. »
Il a dit : « Je t’ai vu te tenir là à cette chaire au point où je pensais que tu allais mourir. » Il a dit : « Je t’ai vu jeûner au point où tu étais si maigre que j’avais pitié de toi, a-t-il dit, venant et repartant, venant et repartant, jour et nuit. » Il a dit: « Et puis ton épouse et ton bébé là-dedans… Tu vois, considère ces choses. » Il a dit : « Que représente Christ pour toi maintenant ? »
J’ai dit : « Toi, fontaine de tout mon réconfort, plus que la vie pour moi, qui d’autre sur terre ou là au Ciel ai-je à part Toi ? » Voyez-vous, j’avais trouvé cet Absolu, ce quelque chose qui m’a soutenu pendant la tempête.
70 Quelqu’un m’a dit, a dit : « Billy, as-tu gardé ta religion en temps de troubles ? »
J’ai dit : « Non, c’est elle qui m’a gardé. » Voyez-vous ? Voilà ce qu’il en était. J’étais attaché à Lui à des moments où je n’avais plus de force et où je ne pouvais rien faire. Mon ancre tenait bon là-bas derrière le voile de Sa Parole, là où… Des fois, je ne comprends pas cela. Des fois, je me dis : « Qu’est-ce qui me fait faire ces choses que je fais ? » Il y a au-dedans de moi quelque chose qui excites. Je ne peux m’empêcher de faire cela, frère.
L’autre jour, je suis venu à Phoenix avec la résolution que je ne Cognerai plus contre une organisation. Alors une vision est apparue devant moi la première soirée, et je me suis vu tourner en direction du désert. Et Quelque Chose m’a fait tourner et m’a montré une énorme vieille église froide, et a dit : « Reste là, avant d’aller là-bas. » Oh ! la la ! Il est une chose que je ne peux m’empêcher de faire. C’est un Absolu qui est au-dedans de moi ; c’est plus que la vie pour moi. Oui. Je ne peux pas changer cela, pas plus que je ne peux changer la couleur de mes yeux. Je ne pourrais faire cela. Eh bien, par Sa grâce, je suis attaché à Lui, Lui qui a dit, comme Il le fit au temps de Moïse : « JE SUIS. »
71 Vous savez, Moïse avait un absolu. Quand il se trouvait là-bas, il avait toute la théologie qu’un homme peut avoir. Et il a fait tout son possible. C’était un militaire. Il a regardé par les fenêtres, et par la foi… Ecoutez. Maintenant, souvenez-vous, par la foi Moïse a regardé l’opprobre de–de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte. Il avait foi dans ce qu’il faisait. Il croyait absolument cela. Il savait qu’il avait été suscité dans ce but. Mais il a failli. Il est parti élever des brebis, et il a failli.
Mais un jour, là derrière le désert, il est arrivé à un absolu. Il est arrivé à un point où il a rencontré Quelque Chose de réel. Il y avait un buisson en feu. Il n’avait pas besoin d’arracher des feuilles pour aller au laboratoire afin de voir pourquoi elles ne se consumaient pas. Il s’est simplement tenu à côté de cela.
« Moïse, ôte tes souliers. »
« J’irai demander à mon pasteur ce qu’il en est de ceci. » Il n’avait pas le temps de faire cela. Il devait ôter ses souliers. Et quand il a entendu là-dedans…
Il y avait une… la Parole du Dieu vivant qui était dans ce buisson. « JE SUIS CELUI QUI SUIS. Je me souviens de Ma promesse que J’ai faite à Abraham. Je me souviens de Mon alliance et Je suis descendu pour les délivrer. »
72 Eh bien, il avait alors un Absolu. Il y était attaché aussi longtemps qu’il vivait, et cela l’a amené au Ciel. Il était attaché à cet Absolu. Peu importe ce que disait n’importe quel théologien, il n’avait pas besoin que quelqu’un le lui explique. Il était sûr de cela. Il avait rencontré Dieu, et la voix… Cette grande Colonne de Feu qui le conduisit dans le désert et tout droit jusqu’à la Terre promise, là dans cette Colonne de Feu il y avait une voix. Et cette voix, c’était la voix de Dieu qui a confirmé la Parole. Amen! J’espère que vous ne dormez pas maintenant.
Remarquez. Cette Colonne de Feu a prononcé la Parole et L’a confirmée pour qu’Elle montre… Il a cité l’Ecriture en disant : « Je suis le Dieu qui a fait la promesse à Abraham. C’est Moi. » Voilà le problème d’Israël. Voilà le problème là-bas. « Je me souviens de Ma promesse et Je suis descendu pour veiller à ce qu’elle soit accomplie. »
73 Dieu n’utilise que l’homme pour travailler. Il n’utilise pas une organisation ; Il n’utilise pas une machine. Il aurait pu le faire, mais Il a choisi l’homme. C’est juste. Il aurait pu choisir les étoiles, le vent, ou n’importe quoi pour prêcher l’Evangile. Mais Il a choisi l’homme. Lui-même ne change pas. Il est toujours le même. Il a choisi le sang pour le salut. L’instruction ou quoi que ce soit d’autre ne remplacera jamais cela. Le sang est la–la voie appropriée de Dieu pour le salut. C’est vrai.
Et maintenant, je voudrais que vous remarquiez ceci. Il ne peut changer. Quand Il a parlé à Moïse, Il a dit : « Moïse, Je t’envoie là-bas. Mais avant que tu n’ailles, Je veux te prouver que Je suis Dieu. » Il a dit : « Qu’as-tu là dans ta main ? »
Il a dit : « Une verge. »
Il a dit : « Jette-la par terre. » Et elle est devenue un serpent ; il l’a ramassée et elle est redevenue une verge.
Oh, quand Moïse en est arrivé au point où les imitateurs se sont levés pour essayer d’imiter, quand il a jeté sa verge par terre et a dit : « Tiens, Pharaon, je vais te montrer ce que Dieu m’a dit de faire. Je vais jeter cette verge par terre et regarde-la devenir un serpent. » Et c’est ce qui est arrivé.
Pharaon a dit : « J’ai aussi des gens comme ça. Ma dénomination peut produire cela. » Ils sont donc venus et ont amené des imitateurs.
Qu’a fait Moïse ? Il s’est tenu carrément là. Pourquoi ? Il avait rencontré Dieu. Il savait que c’était Dieu. Il avait fait sa part. C’était alors le tour de Dieu d’agir. Il s’est tenu juste là.
74 La Bible dit que la même chose se répétera dans les derniers jours : « Car, de même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse… » C’est vrai. Voyez-vous ? Mais il s’est tenu là. Et alors il a vu la main de Dieu descendre, et son serpent a avalé tous les autres. Avez-vous remarqué ce que sont devenus ces bâtons ? Ils étaient dans le ventre de ce seul bâton. Moïse a conduit les enfants d’Israël dans le désert avec ce même bâton qui contenait tous ces serpents, je pense. Pourquoi ?
Savez-vous pourquoi ? Quand Moïse a rencontré ce buisson ardent, vous savez… Et ce buisson ardent a prouvé que c’était Dieu, cette Lumière, cette Colonne de Feu, Elle a prouvé qu’elle était Dieu. Et je crois que Dieu est entré en Moïse, car… Observez-le avec Sa puissance créatrice. Moïse brillait alors de ce Feu. Vous voyez où j’en arrive maintenant, n’est-ce pas ? Certainement. C’est comme la Pentecôte…
75 Remarquez que Moïse avait le Feu. Le Feu était en Moïse, car tout ce que disait Moïse, ce n’était pas Moïse, c’était Dieu qui parlait. Et Il a manifesté Son signe parce que la Colonne de Feu avait quitté le buisson et était venue sur Moïse. Amen! Oh! frère, voyez-vous ce que je veux dire ? Ce même Jésus qui est monté est revenu le jour de la Pentecôte sous la forme du Saint-Esprit et du Feu. Cela devait être sur les gens, faisant la même chose que Lui avait faite, car Il a dit que c’est ce qui arriverait. Où en sommes-nous ? Voyez-vous ce que je veux dire ? Moïse, le Feu était en Moïse. Il a quitté le buisson, Il est venu sur Moïse. Nous essayons de mettre le feu dans la fournaise. C’est tout ce que nous avons. Ce dont nous avons besoin, c’est du Feu du Saint-Esprit, cette même Colonne de Feu qui a conduit Israël. Certainement. Oh ! vous dites : « Eh bien, Frère Branham, je serais prudent à ce sujet. »
76 Maintenant, attendez une minute. Quand Paul, le grand théologien qui avait une grande expérience… Mais, sur la route de Damas, il fut jeté à terre. Il a levé les yeux et là se trouvait cette Colonne de Feu. Il savait que c’était Dieu. Il avait vu que la Bible confirmait que c’était Dieu, et il L’a appelé « Seigneur ». Il a dit : « Seigneur, qui es-Tu ? Que puis-je faire ? »
Il a dit : « Je suis Jésus. »
Cela régla la question. Paul eut un Absolu. Il savait que le Dieu de l’Ancien Testament était Jésus-Christ dans le Nouveau. Il fut ancré là et rien ne pouvait l’ébranler. Certainement. Il avait la confirmation. Pourquoi ? La même Colonne de Feu qui avait conduit Son peuple hors d’Egypte jusqu’en Israël, jusqu’en Palestine, cette même Colonne de Feu se tenait là, déclarant être Jésus-Christ. Alors il comprit où il en était. Alors il était prêt. Aussitôt qu’il fut guéri et rempli du Saint-Esprit, il était prêt pour sortir, voyez-vous, et il avait un Absolu. Cet Absolu était avec lui quand il était devant Agrippa et tous les grands hommes et les grandes femmes de ce temps-là.
77 Il s’est tenu là, défendant la Parole. Pourquoi ? Il savait que la Parole était Dieu. Qui a écrit l’Epître aux Hébreux ? Paul, évidemment. Il fut inspiré pour le faire. Et pourquoi ? La Colonne de Feu qui l’avait rencontré était en lui. C’est la raison pour laquelle il pouvait écrire.
C’est la raison pour laquelle Moïse a écrit les quatre premiers Livres de la Bible, c’est parce que cette Colonne de Feu… Comment aurait-il pu connaître le début de la création ? Comment aurait-il pu connaître les autres choses ? C’est parce que cette même Colonne de Feu qui était en lui, qui était dans le buisson, avait quitté le buisson et était sur lui. Et cela fut confirmé, prouvé que c’était le cas. Koré et les autres ont voulu commencer une organisation contre cela, mais ça n’a pas marché. Cela a échoué.
78 Moïse avait cet Absolu. Paul avait le même Absolu, la même Colonne de Feu, le même Saint-Esprit, le même Dieu, pas le « J’étais » ou le « Je serai », le « JE SUIS ». Oui, oui, toujours au temps présent.
Josué avait un Absolu. C’est lorsqu’il a rencontré le Chef, le Chef de l’armée d’Israël. Et Il lui a dit de faire le tour de la muraille. Elle était bien fortifiée dedans avec… Oh ! mon ami, vous parlez d’un accès difficile ! C’était difficile d’y tenir un réveil, car personne ne voulait le laisser entrer. Tout lui était fermé. Mais il a rencontré le Chef. Celui-ci lui a dit ce qu’il fallait faire. Il a tout simplement revêtu toute l’armure de Dieu et a continué à marcher. Amen! Les murailles tomberont.
Et quand le peuple a crié et que les trompettes ont sonné, c’était son absolu. Il est carrément entré alors droit dans Jéricho pour sa campagne. Certainement. Il avait un Absolu, la Parole du–du Chef.
79 Jean, quand il était jeune, et il savait qu’il devait se préparer… Il allait–il allait devoir présenter le Messie. Il était celui… Il ne savait pas du tout qui C’était. Il était quelque part. Et Jean savait qu’il ne pouvait juste pas recevoir une expérience de séminaire. Il lui fallait avoir un Absolu. Et il devait avoir quelque chose qui était absolument la vérité.
Eh bien, frères, j’aimerais vous poser une question. Prédicateurs, ce n’est pas pour être singulier, ce n’est pas pour être méchant, mais pour être honnête. Ne trouvez-vous pas que ceci est un jour, malgré tout le chaos dans lequel nous vivons, où nous devons – nous devons être sûrs de cette chose-ci ? Il y a trop de différends.
80 Et Jean savait qu’il devait être absolument certain, par conséquent il n’est jamais allé à l’école où avait étudié son père. Rien ne déclare qu’il soit retourné apprendre à être un sacrificateur. Il est plutôt allé dans le désert et il y est resté jusqu’à ce qu’il a été appelé. Alors il est venu là, et la foule se tenait là. Il était très sûr que le Messie viendrait en son jour ; en effet, il était celui qui avait été ordonné pour présenter ce Messie, car c’est ce que disait Malachie 3. « J’enverrai Mon messager devant Ma face. Et il préparera le chemin. »
Jean savait où il se tenait. Peu importe que beaucoup de sacrificateurs aient dit : « Tu veux dire que le temps… Eh bien, nous sommes montés là… le sacrifice perpétuel serait aboli ? »
Il a dit : « Un temps viendra où l’Agneau de Dieu viendra et Il abolira le sacrifice. »
Il se tenait là dans la boue, le visage couvert de barbe, si bien qu’aujourd’hui vous le chasseriez de votre maison. La chose était là. Voyez-vous, Dieu n’est pas dans la haute classe et dans l’éclat où nous essayons de Le mettre, et nous les pentecôtistes… Dieu se trouve dans l’humilité.
Il se tenait là, observant. Et il faisait la présentation. Il–il a dit… Il était si sûr qu’Il était là qu’il a dit : « Au milieu de vous se tient Quelqu’Un que vous ne connaissez même pas. » Oh ! la la ! quelle réprimande ! « Il y a Quelqu’Un au milieu de vous maintenant même, Quelqu’Un que vous ne connaissez pas. » Je me demande si ça semblera sacrilège si je l’imitais une minute. Je ferais peut-être mieux de ne pas le faire.
81 Il y a au milieu de vous Quelqu’Un que vous ne connaissez pas. Vous prétendez Le connaître, mais vous ne Le connaissez pas. A Golgotha, ils ont tué le Dieu même qu’ils prétendaient servir. Ils ne Le connaissaient pas.
Jean a dit : « Il y a au milieu de vous Quelqu’Un que vous ne connaissez pas. » Et, un jour, il a regardé là-haut et absolument il a vu une Colombe descendre du ciel, et il a entendu une voix. Personne d’autre n’a vu cela. Personne d’autre n’a entendu cela. Mais lui a vu cela ; et c’était un Absolu, pas le professeur Dupont ou quelqu’un d’autre. C’était : « Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu. » C’est la confirmation divine que Dieu accomplissait la chose. C’était un absolu. Il n’y avait aucun–aucun doute dans l’esprit de Jean. La chose était là, très exactement ce que Dieu avait annoncée comme devant arriver. C’était là. Ainsi, cette Colombe sur cet Homme ordinaire était–était l’absolu de Jean. Il savait que c’était la vérité.
82 Maintenant, je vais terminer en disant ces quelques paroles. Ne trouvez-vous pas qu’il nous faut un Absolu ? Pensez-vous qu’il nous faut quelque chose de réel ? Certainement. Il nous faut quelque chose qui... quelque chose dont vous pouvez dire : « C’est ça », et y mettre vos mains. « C’est ça. » Nous pouvons voir… Comment allons-nous le faire ? Tout le monde dit : « C’est ça ; c’est ça. » Mais ça doit être scripturaire, un absolu.
Permettez-moi de vous confier une petite chose personnelle avant de terminer. Frère, soeur, quand j’ai fait mon choix, si je voulais rester dans l’Eglise baptiste ou si… Pour moi, ils sont tout aussi bons que tout–tout autre groupe, c’est juste un groupe d’hommes réunis, ce qui est une bonne chose.
Mais quand on en est arrivé au moment où ils devaient me dire que je devais faire un compromis avec la Parole, eh bien, cela… Ce n’est pas mon genre. Non. Voyez-vous ? C’est la Parole en premier. Voyez-vous ? « Eh bien, ont-ils dit, si tu ne fais pas cela, tu ne peux plus être membre de l’Eglise baptiste. »
J’ai dit : « Je ne… Ce n’est pas l’Eglise baptiste qui m’a sauvé. C’est Jésus-Christ (Voyez-vous ?) qui m’a sauvé. Il est ma Référence finale. Il est mon Fondement, Il est mon Absolu, Il est mon Poteau d’attache. C’est là que je me tiens. »
83 Maintenant, si j’ai la fausse chose, alors Dieu ne la confirmera jamais. Mais si vous avez la chose correcte, Dieu est tenu de la confirmer. Vous y êtes. Et C’est cela qui en est la preuve, voyez-vous. Si c’est juste, Dieu est tenu de prouver que c’est juste. Si c’est faux, Il n’aura rien à voir avec cela. Je me souviens donc qu’après mon premier réveil, j’étais à la rivière en train de baptiser. Et j’ai pris la dix-septième personne. Mon épouse, encore jeune fille, se tenait sur la rive à ce moment-là… Je ne m’étais pas encore marié à ma première épouse qui est morte. Et elle était là sur la rive. Et les gens se tenaient tous là, il y en avait des centaines et des centaines. Oui, quatre ou cinq mille personnes, peut-être plus, le long de la rive ; c’était un très chaud après-midi de juin.
84 Et je me suis avancé dans l’eau, et j’ai pris le candidat (la dix-septième personne) pour le baptiser. J’en avais, après mon réveil, environ cinq cents à baptiser. Et je me suis avancé dans l’eau avec cette personne. J’ai commencé à lever la main. J’ai dit : « Père céleste, alors que je… »
Et à peu près à ce moment-là, quelque chose m’a frappé. Je me suis dit : « Où est-ce ? » J’ai regardé partout. Tout le monde avait la tête inclinée. Oh! aussi loin que je pouvais voir… Tout au fond sur la rive, il y avait (oh !) des voitures et les gens qui s’étaient entassés tout le long des murs et tout. J’ai regardé de nouveau, et j’ai entendu une Voix dire : « Lève les yeux. » Et j’avais peur de lever les yeux. Je n’étais qu’un enfant. Nous avons la photo de cela. J’ai dit : « Père… » Quelque Chose a dit : « Lève les yeux. » J’ai baissé la main.
Ce jeune homme que je devais baptiser m’a regardé en face. Il a dit : « Eh bien, frère Bill ? »
J’ai dit : « Avez-vous entendu cela ? »
Il a dit : « Non. »
J’ai dit : « Père céleste… »
Il a dit : « Lève les yeux. »
J’ai levé les yeux comme ceci, et une Colonne de Lumière descendait des cieux en tournoyant, et une Voix est sortie de là, rugissant en descendant, et a dit : « De même que Jean-Baptiste fut envoyé pour être le précurseur de la première Venue de Jésus-Christ, de même tu es envoyé… » Ô Dieu ! J’ai regardé cette Lumière. Je L’avais vue depuis que j’étais un petit garçon.
85 J’ai essayé d’en parler aux gens. Ils ont dit : « Tu as perdu la tête. » Mais la recherche scientifique, le feu George J. Lacy, quand il a examiné… Quand on En a pris la photo, C’était là malgré tout. C’était visible sur la photo. La preuve scientifique confirme que c’est juste. Pour moi, Cela ne m’a jamais dit une seule chose sans que ça soit parfaitement dans les Ecritures.
Quand j’ai vu ce Feu, et je L’ai entendu, et j’ai vu tout le monde crier, s’évanouir, tomber, regarder là et indiquer cette Lumière… Le journal – le journal de Louisville a publié un article sensationnel, et cela a été publié dans l’Associated Press, partout au Canada et partout. « Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un prédicateur baptiste local pendant qu’il baptisait.» « Mystique », c’est difficile à comprendre… Combien de fois ont-ils pris Cela ? Pratiquement tout le monde ici, je pense, a Cela chez lui. Ça se trouve là à Washington DC, sous droit d’auteur, comme le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié, scientifiquement photographié.
86 Qu’était-ce ? Cette même Lumière, cette même voix a parlé, disant : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Pour moi, c’est la même Voix. C’est la même Colonne de Feu qui était là-bas autrefois, car Elle fait les mêmes oeuvres. Jésus a dit : « Je viens de Dieu et Je vais à Dieu. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. » Il est venu… Il a dit quand Il était ici sur terre, à la fête, Il a dit : « JE SUIS le JE SUIS. »
Vous dites : « Eh bien, Tu n’as pas plus de cinquante ans, mais Tu dis… et Tu dis que Tu as vu Abraham ? »
Il a dit : « Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. »
Il était là. Qu’était-ce ? Cette Lumière, ce Feu, ce Dieu, cet Esprit est…. Dieu est un Feu ardent. Il est une Lumière. Et Elle était manifestée là en Jésus-Christ. Elle est retournée quand Jésus est sorti de la tombe. Mais le jour où Elle a rencontré Paul qui était en route pour Damas, Elle était retournée de nouveau à Dieu, car Elle a dit : « Je suis Jésus que tu persécutes. » Frères, ne dormez pas. Ne voyez-vous pas que ce même Dieu est maintenant même au milieu de nous, confirmant Lui-même que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Voilà mon Absolu.
87 Il ne m’a jamais dit une seule chose… S’Il me disait une seule chose de contraire à ces Ecritures… Jamais personne ne s’est déjà tenu devant moi pour contester cela. Une fois, un homme a dit qu’il le ferait, et il ne l’a pas fait. Il ne s’est pas montré. Il avait plus de bon sens que je ne le pensais. Il est avisé pour ne pas faire cela. Vous savez que l’homme qui s’est levé une fois dans une réunion pour faire cela a été paralysé, et on l’a emporté dehors ? Je n’ai jamais eu à m’inquiéter de quoi que ce soit, car je crois que mon Absolu, c’est la Parole de Dieu qui est rendue manifeste. C’est sur Cela que je veux reposer mon âme et mon corps.
Pourquoi ? Il ne m’a jamais dit une seule chose qui ne soit absolument scripturaire. Il ne m’a jamais dit une seule chose devant quiconque d’entre vous… Je défie quiconque d’entre vous. Vous a-t-Il déjà dit quoi que ce soit au Nom du Seigneur qui ne se soit pas accompli ? C’est exact. Qu’est-ce ? C’est « sur cette pierre », sur cette Parole… C’est de Lui que je reçois la révélation. C’est Lui qui révèle cela. Je n’ai pas d’instruction. Je ne cherche pas à étudier ; je ne cherche pas à connaître cela. Je fais tout simplement ce qu’Il me dit. Alors, quand Il me montre, je regarde ici, et ça se trouve là. Je n’ai même pas vu cela, et c’est ici, et cela se manifeste. C’est mon Absolu. Cela m’a gardé pendant toutes ces années. Frères, cela m’a aidé quand je n’avais aucun autre moyen pour être aidé. J’aimerais mourir près de cela.
88 Quand j’arriverai à l’heure de ma mort, j’espère que, comme Moïse, je verrai ce Rocher se tenir là-bas. Et je désire monter dessus et avoir des porteurs de cercueils pour m’emporter. En attendant ce moment-là, je vais mener une vie fidèle à cette Parole, je le promets ; en effet, c’est mon Absolu, sans aucune méchanceté envers qui que ce soit, avec amour et grâce envers tous. Si ce n’est pas juste, Dieu pourrait me frapper de mort pendant que je me tiens ici à cette chaire. Je n’ai de la méchanceté envers personne. J’aime tout le monde. Et ne savez-vous pas… Avez-vous déjà lu I Jean 4.17, où il est dit qu’il vous faut avoir la correction comme cela pour qu’il y ait l’amour véritable au temps du Jugement ? Ce n’est pas pour se singulariser. C’est l’amour. L’amour est strict, l’amour châtie.
89 Un homme qui laisserait sa femme sortir et courir toute la nuit avec des gens ivres, pour rentrer le lendemain matin, et qui dirait : « Oui, chérie, j’espère que tu as passé de beaux moments », c’est un piètre homme. Tout homme qui laisserait sa femme sortir là, portant des shorts et ces sales petits costumes de bain, des bikinis ou quoi que ce soit, pour s’exposer là au milieu de ces gens, je doute même que vous soyez un homme. C’est juste.
La valeur d’un homme ne se mesure pas par la grosseur de ses biceps, par le volume de ses muscles. C’est par son caractère que la valeur d’un homme se mesure. C’est tout à fait juste. Et le caractère vient de la Parole de Dieu, et de la Parole seule. Et tout prédicateur qui prétend être un prédicateur et qui renie cette Parole, pour moi, il a là très peu de caractère de Dieu. Amen! Peut-être qu’il y aura de l’espoir s’il écoute un moment. Oui.
Eh bien, je ne veux pas être critique à votre égard. Je vous aime, et je le dis sincèrement. Mais c’est ça mon Absolu, frères, cette Parole, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous savez que c’est vrai.
90 Je cherchais des yeux frère Carlson pour voir s’il était encore assis ici. Je pense qu’il est parti. Oui. Il parlait ici il y a quelques instants. Il était juste là à Chicago quand ce groupe de l’Association Pastorale du Grand Chicago… Eh bien, ils allaient m’attirer là-dedans pour deux ou trois jours et me réprimander, oui, sur certaines choses que j’enseignais à propos de ceci à propos de ces choses.
Et trois soirées avant que cela n’arrive, je… le Saint-Esprit m’a réveillé et a dit : « Va là et tiens-toi à cette fenêtre. » Je suis allé et il y avait une Lumière qui brillait. Il a dit : « Ils t’ont tendu un piège, mais ne manque pas d’y aller, Je serai avec toi. » J’ai pris frère Carlson, frère Tommy Hicks… Vous le connaissez tous. Nous en avons la bande juste ici. Et je… Ils voulaient que j’aille prendre le petit-déjeuner avec eux le lendemain matin. Je suis allé au Town and Country et nous nous sommes assis là. Je me disais que j’allais tout simplement sonder Tommy. C’est un brave ami à moi, un précieux frère.
91 J’ai dit : « Tommy, je dois rencontrer ces ministres. » J’ai dit : « Tu es un docteur en théologie. Avec ma pauvre façon de parler d’ignorant, ai-je dit, je ne pourrais pas faire face à ces gens. Ne veux-tu pas le faire pour moi ? Je t’ai accordé bien des faveurs. »
Il a dit : « Oh ! je ne pourrais pas le faire, Frère Branham. »
Frère Carlson et les autres se sont regardés les uns les autres, et j’ai dit : « Tu penses que tu me caches cela ? Je sais pourquoi tu refuses de le faire. » J’ai dit : « Ecoute. C’est parce que cette association a quelque chose au sujet duquel ils veulent m’interroger. » Et ils avaient tous deux l’air de s’effondrer sur le plancher.
Et alors j’ai dit : « C’est certainement le cas. Mais laissez-moi vous dire, Frère Hank… » Il est assis maintenant ici quelque part, il est juste par ici. Il est donc assis là maintenant. J’ai dit… Frère Hank, laisse-le témoigner. Et ainsi… Nous venons d’en parler il y a quelques instants. Et alors j’ai dit : « Frère Hank, écoute. Vous avez loué cette salle d’hôtel, n’est-ce pas ? Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, ils ne vont pas vous l’accorder. »
Il a dit : « Frère Branham, j’ai le reçu de l’acompte. »
« Peu m’importe ce que vous détenez, vous n’allez pas l’obtenir. Nous serons dans un bâtiment où il y a une salle peinte en vert. Celle-ci est peinte en brun. Et le docteur Meade sera assis ici, et untel…» et avec exactitude l’endroit où ils seraient assis. Et j’ai dit : « Je ne veux pas que vous essayiez d’arranger les choses en ma faveur. Présente-moi tout simplement à l’auditoire et je… laisse-moi faire le reste. »
92 Il a dit… Et ce matin-là, quand il est arrivé là, chaque homme étant assis précisément… On a annulé le contrat de cette salle, et il a dû prendre ce Town and Country, là-bas pour – pour avoir l’endroit… une salle peinte en brun, très exactement. Le docteur Meade était assis là, ainsi que tous les autres justes disposés comme ceci. Je lui ai jeté un coup d’oeil et frère Tommy Hicks m’a regardé.
Il a dit : « Frère Branham, c’est comme si je vais m’évanouir. »
Et il a dit… J’ai dit : « Ne vous en faites pas. »
Et alors frère Carlson s’est levé, et il a dit : « Maintenant, je sais que beaucoup d’entre vous vont être en désaccord avec frère Branham, et des choses comme cela, mais, a-t-il dit, il y a une chose : il n’a pas peur de se tenir ici. »
Et il a dit : « A présent, je vais tout simplement lui donner la parole. »
Et j’ai dit : « Maintenant, chacun de vous ici, voici ce que vous avez contre moi. » Et j’ai mentionné quatre ou cinq différentes choses. J’ai dit : « Je voudrais que quelqu’un prenne sa Bible et vienne ici se tenir à côté de moi pour réfuter cela. Voyez-vous ? Certainement. Et si vous ne pouvez pas le faire, alors fichez-moi la paix. » C’est juste. Oui, oui. Oui, oui…?… C’est juste.
93 Quand je me tenais là-bas à Bombay, en Inde, en face de la même chose, quand un aveugle se tenait là… Et ces magiciens et tout le reste se tenaient là, et ils… les saints hommes, les mahométans, les bouddhistes et tout… J’avais déjà vu la vision montrant que cet homme allait recouvrer la vue. J’ai dit : « Que l’un de vous là-bas monte ici et lui redonne la vue. J’ai été reçu aujourd’hui par dix-sept différentes religions, et chacun de vous renie Jésus-Christ. » J’ai dit : « Puisque votre religion est si grande, venez redonner à cet homme la vue. »
Que diriez-vous ? C’était un adorateur du soleil. Comme le Saint-Esprit… Mais les gens pensaient que c’était de la télépathie, voyez-vous, que je lisais leurs pensées. Et j’ai dit : « Eh bien, certainement que le Dieu de la création… Si un homme veut faire ce qui est juste, certainement que le Dieu de la création le ramènera dans son état normal. » Je n’aurais dit cela pour rien au monde si je n’avais pas vu cela arriver dans une vision. Mais j’étais alors sûr. Voyez-vous, vous ne devez pas prendre quelque chose que vous imaginez. Il vous faut être absolument sûr que vous ne vous trompez pas. Alors les circonstances vous importent peu. Il se tient là avec vous ; et alors, qu’est-ce que ça change ? Vous savez ce qui est arrivé là. L’aveugle a recouvré la vue.
94 Il y a environ deux ou trois mois, je me tenais dans la chambre et j’ai entendu une voix parler au coin. J’ai essayé de réveiller mon épouse pour qu’elle regarde cela là. Il y avait… Le matin précédent, une chose hideuse s’était tenue là près du lit et m’accusai, après qu’Il m’avait dit… J’ai vu un gros mamba passer ; c’est un serpent africain. Et il essayait de tuer les gens. Et je… Il poursuivait mon frère. Et j’ai crié : « Ô Dieu, que puis-je faire ? »
Il a dit : « Il t’a été donné le pouvoir de le lier. » Il a dit : « Prends courage. »
Je lui ai parlé, et sa queue s’est dressée en l’air et a tournoyé, juste comme l’anse de cette cruche; il est mort, étouffé. Et de la fumée bleue s’échappait de lui.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, j’étais étendu là et j’ai dit : « Je ferais mieux de me lever et d’amener les enfants à l’école. » Et j’ai regardé, il y avait là cette chose hideuse. Cela ressemblait à Alley Oop des bandes dessinées, avec d’énormes cornes dressées. Il faisait… Il faisait un bruit comme une poule qui caquette, ou – ou qui chante, comme lorsqu’elle sort de la grange. J’ai regardé cela, et j’ai dit : « Meda, Meda, chérie », et elle ne s’est pas réveillée. Je me suis dit : « Ça l’effrayerait à mort. » Puis j’ai attendu là une minute, et je me tenais là, observant.
95 Les gens parlent des démons et, des fois, ils ne savent même pas ce que c’est. C’est juste. Mais peut-être que chaque jour vous les rencontrez littéralement. Et vous les rencontrerez.
Remarquez. Au bout d’un moment, il m’accusait, disant : « Tu n’as pas de puissance venant de Dieu. Tu n’es qu’un bluffeur. Tu n’as pas de puissance. »
J’ai dit : « Satan, tu m’outrages. Ôte-toi de mon chemin, au Nom de Jésus-Christ. » Et il s’en est allé. Je me suis étendu là un petit peu dans le lit, j’ai commencé à me lever. J’ai senti un sentiment très doux me parcourir. Je me suis dit : « Je me demande si le Saint-Esprit n’est pas présent maintenant. » Et là dans le coin… croyez-moi… Voici ma Bible sur mon coeur. La plus douce Voix que j’aie jamais entendue de ma vie a dit : « Ne crains pas d’aller où que ce soit ; ne crains pas de faire quoi que ce soit. Car la Présence infaillible de Jésus-Christ sera avec toi partout où tu iras. » Cela a réglé la question pour moi. Qu’ils soient en furie, j’ai un Absolu. Mon ancre tient bon là-bas, car c’est la Parole du Dieu vivant. Amen!
96 Croyez-vous en Lui ? Inclinons la tête juste un instant. Si vous n’avez pas cet Absolu maintenant, recevez-Le. Si vous voulez avoir cet Absolu, cette assurance du Saint-Esprit dans votre coeur, levez la main, dites : « Je veux quelque chose qui ponctuera la Parole de Dieu, pour que je voie la Parole de Dieu rendue manifeste. » Que Dieu vous bénisse. C’est partout dans la salle. Merci.
Je ne vous dis que la vérité, mon ami. Ne laissez pas cela passer à côté de vous. Je ne prétends pas… Je ne suis rien. Je suis votre frère. Ne faites pas attention au messager ; faites attention au Message. Ne faites pas attention au messager. Dieu va l’ôter du milieu de vous. Il ne partagera Sa gloire avec personne. C’est juste.
Ne faites pas attention au messager ; faites attention au Message. Si un homme entrait ici en courant, qu’il soit noir, jaune, brun, en haillons, s’il a pour vous un chèque d’un million de dollars pour une traite bancaire, vous ne feriez pas attention à sa couleur ou à la manière dont il est habillé. C’est le message qu’il a pour vous qui compte. Eh bien, ne considérez pas ma grammaire et–et ces choses. Rappelez-vous tout simplement, je vous parle de Jésus-Christ qui est ici maintenant. Croyez en Lui de tout votre coeur. Croyez en Lui.
97 J’observe maintenant pour voir ce qu’Il va me dire. Gardez vos têtes inclinées et commencez à prier. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas.
Maintenant, Père céleste, tout est entre Tes mains. Je prie, Père céleste, maintenant même, pour que les hommes et les femmes qui sont ici puissent se rendre compte que ce n’est pas une chose facile à faire, étant un mortel et vivant parmi les hommes, vivant avec des gens… Je prie, Père céleste, pour qu’ils comprennent ceci et sachent que Ton serviteur essaie de parler de Toi. Et j’ai vu que Tu tiens Ta Parole, Seigneur. J’ai vu que c’est la vérité. Je vois que Toi et Ta Parole vous êtes une seule et même chose.
Et Tu m’as amené en sécurité jusqu’ici, Père. Et si cet Ange que les gens ont vu et dont ils ont vu la Lumière… Il est dans une Colonne de Feu. Seigneur, je crois de tout mon coeur que c’est notre Seigneur Jésus. Je crois que c’est Son Esprit, le Saint-Esprit que nous adorons tous et en qui nous croyons tous.
Ô Dieu, puissions-nous ne pas manquer de reconnaître cela maintenant, et puissions-nous comprendre et revenir, et que l’église se purifie. Que chaque dénomination… Père, je ne Te prie pas de briser ces dénominations. Mais je prie que le Saint-Esprit entre dans ces dénominations et que les gens soient… afin qu’ils voient les choses différemment et qu’ils puissent tous devenir un, une fraternité. Accorde-le. Je Te remercie pour leur précieuse collaboration, Seigneur.
98 Si Tu n’étais pas dans ceci, personne ne m’aurait invité à venir. Mais Toi, Tu m’as fait trouver grâce auprès de ces ministres, et je Te prie de les bénir, Seigneur. Je prie particulièrement pour eux, pour chacun d’eux.
Je prie pour frère Williams. Seigneur, accorde-lui le désir de son coeur. Oh ! je Te prie de l’aider, ainsi que soeur Williams, et–et de leur accorder leurs désirs; frère Shakarian, soeur Shakarian, tout le comité ici présent de ce grand groupe laïc que Tu as appelé à sortir dans ces derniers jours, afin d’apporter un message pour unir les frères. Seigneur, qu’ils ne deviennent jamais une dénomination. Puissent-ils demeurer libres de toutes ces choses et étendre leurs bras pour qu’ils fassent entrer tous les frères qui sont nés de l’Esprit. Accorde-le.
Bénis tous les groupes. Bénis les unitaires et les–et les... tous les différents petits groupes, Seigneur, qui ont leurs différentes opinions, les–les trinitaires et ceux qui croient qu’il y a deux personnes en Dieu, et qu’il y a trois personnes en Dieu, et Dieu est… en Dieu. Oh ! quoi qu’ils croient, ô Dieu, qu’ils sachent qu’il n’y a qu’un seul vrai Dieu et que Jésus-Christ est Son Fils. Et accorde, Seigneur, qu’ils soient en mesure de comprendre ces choses, que nous n’avons pas quatre ou cinq dieux. Nous n’avons qu’un seul Dieu dans–dans trois offices, le même Dieu dans le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Puissent-ils… qu’ils commencent à recevoir la révélation aujourd’hui, Seigneur.
99 Que ces disputes cessent et que les hommes et les femmes soient en mesure de s’associer et d’être un en Christ. Car l’heure est maintenant trop avancée pour avoir ces discussions et ces petites choses. Je crois que Tu… Et je crois, Père, que tous ceux que Tu as prédestinés à venir à la Vie entendront Ta Voix et viendront : « Mes brebis entendent Ma Voix. » Et je crois que Tu vas l’accorder, Seigneur. Bénis-les maintenant.
Il y a beaucoup de mains ici, peut-être deux cents mains levées en l’air, des gens qui veulent Te recevoir comme leur Sauveur et qui veulent Te recevoir comme–comme leur–leur–leur Absolu, quelque chose sur lequel ils pourraient établir leur foi, afin que leur coeur ponctue chaque Parole et La rende manifeste. Accorde-le, Père. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.
100 Maintenant, pendant que vous êtes ici ensemble et dans ce petit groupe, je voudrais que vous priiez une minute. Et je n’ai jamais fait ceci, mais je me sens conduit à le faire. Continuez à prier. Et combien ici, de ceux qui me connaissent, sont malades ou ont un besoin pour eux-mêmes ou pour quelqu’un ? Levez vos mains pour montrer que vous me connaissez, et que vous savez que je vous connais. Levez les mains partout. Voyez-vous, on dirait que c’est partout. Maintenant, baissez vos mains.
A présent, ceux qui savent qu’ils ne me connaissent pas et que moi, je ne le connais pas, levez la main. Voyez-vous ? Oh! c’est toujours partout, il n’y a pas moyen de les départager.
101 Maintenant, je désire que vous priiez ; priez sincèrement. Ne doutez pas maintenant ; priez tout simplement. Et laissons le Saint-Esprit… Maintenant, si j’ai dit ces choses… Maintenant, vous savez très bien qu’il m’est totalement impossible de savoir qui vous êtes, ce que vous êtes, ou – ou quoi que ce soit à ce sujet, ce que vous avez comme problème. Mais qu’est-il arrivé ?
Jésus n’a-t-Il pas promis cette même chose dans le dernier jour ? Ne l’a-t-Il pas dit là quand Il a déclaré : « Ce qui arriva au temps de Sodome », quand Dieu était manifesté dans la chair…? Cet Homme est venu là, juste un Homme, Il a mangé de la viande de vache, ou plutôt de veau, Il a pris du lait avec du pain. Et Il a dit : « Où est Sara ? »
Il a dit : « Elle est dans la tente derrière Toi. » Et l’Homme a dit ce qu’Il allait faire.
Il a dit : « Je vais te visiter. » Abraham L’a appelé Elohim, le Seigneur Dieu. Et Il a dit… Sara a ri en elle, et Il a dit : « Pourquoi Sara a-t-elle ri ? », tout en ayant le dos tourné à la tente.
Jésus a dit : « Ce qui arriva… »
102 Vous voyez, il y avait l’église naturelle, l’église naturelle, laquelle était Lot et son groupe. Ils avaient un Billy Graham moderne là-bas, et–et ainsi de suite, et un Oral Roberts et les autres, qui les appelaient à sortir. Ils ont accompli un miracle qui a consisté à frapper les gens d’aveuglement et à prêcher l’Evangile. Et il y avait les Sodomites. Il y a toujours eu trois groupes de gens. Les Sodomites, vous voyez ce qu’ils ont fait.
Mais les élus, ce qu’on appelle pentecôtistes, c’était Abraham, qui avait… déjà sorti d’Egypte, déjà sorti de Sodome, qui était établi dans le pays, sur une terre pauvre. Voyez-vous quel genre de message ils ont reçu ?
103 Maintenant, observez aujourd’hui. Quand jamais y a-t-il eu une fois, dites-moi, quand jamais y a-t-il eu une fois où il est allé à Sodome ? Souvenez-vous, c’était Abraham : A-b-e-r-h-a-m, ou plutôt A-b-r-a-h-a-m. Quand est-ce qu’un messager est allé vers les églises dénominationnelles locales, dont le nom se termine par h-a-m ? G-r-a-h-a-m. Qu’en est-il de celui qui est allé vers le groupe pentecôtiste ? On n’a jamais vu cela dans l’histoire. J’ai étudié cela tout dernièrement, en vérifiant les noms.
Vous dites : « Les noms ne signifient rien. »
Pourquoi alors le nom de Saul fut-il changé en Paul ? Pourquoi celui de Simon fut-il changé en Pierre ? Pourquoi celui de Jacob en Israël ? Cela a certainement une signification. Ayez foi en Dieu. Ne négligez pas la chose qui est… que Dieu essaie de vous donner.
104 Maintenant, priez. Dites : « Seigneur Jésus, aie pitié. »
Si je ne me trompe pas, pendant que vous avez la tête inclinée, je regarde par ici. Je pense que c’est soeur Carl Williams qui est assise ici à ma droite. Est-ce exact, madame Williams ? Je... Par ici, Soeur Carl Williams ? C’est comme si c’est elle qui est assise là à ma droite. Je n’étais pas certain. Me suis-je fait comprendre ? Je pense que non. J’essaie de voir quelqu’un que je connais. Regardez autour, je vois frère et soeur Dauch assis ici, mais ils viennent de l’église.
105 Est-ce là madame Outlaw, ici à ma gauche ? Je pensais que c’était vous toutes qui vous tenez là. Madame Outlaw, je vous connais. Vous êtes quelqu’une que je connais. J’aimerais vous demander quelque chose. Regardez droit vers moi. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Croyez-vous que ces choses que j’enseigne sont la vérité ? Eh bien, madame Outlaw, à ce que je sache, cela fait plus d’une année que je ne vous ai pas parlé, depuis la fois que j’étais ici. Non, je pense que je vous ai saluée d’un signe de la main l’autre jour au restaurant. Regardez ici vers moi.
Et vous avez un fardeau sur le coeur, ce n’est pas tellement pour vous-même, mais c’est pour quelqu’un d’autre. Il s’agit d’une jeune femme. Il s’agit de votre belle-fille. Croyez-vous que Dieu peut me dire le problème de votre belle-fille ? Elle a en quelque sorte la sinusite et de plus elle est nerveuse, très très nerveuse. Très bien. Ne–ne vous inquiétez pas. Cela va la quitter. Elle a senti cela juste à l’instant, en étant assise ici. Cela va la quitter. Ayez simplement la foi.
106 Croyez-vous ? Voici une femme assise juste ici en face de moi ici, elle m’est parfaitement inconnue. Mais ne pouvez-vous pas voir cette Lumière suspendue au-dessus d’elle ? Elle souffre d’une faiblesse dans son corps. Elle – elle n’est pas d’ici ; elle vient de la Californie. Je suis totalement inconnu de cette femme, mais elle sait que c’est à elle que je parle maintenant. Voyez-vous cette Lumière qui est suspendue au-dessus d’elle ? Je suis... je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue.
Mais elle s’appelle madame Elliott. Si vous croyez de tout votre coeur, rentrez chez vous, soyez rétablie. Croyez-vous cela ? Très bien. Maintenant, si je suis un inconnu et tout, faites signe de la main pour… comme cela. Voyez-vous ? Levez la main et croyez de tout votre coeur, voyez, si c’est vrai. Ayez la foi.
Voici une dame assise juste en face d’elle ; juste à côté, ça doit être son mari. Elle est aussi assise là, et elle a mal aux muscles. Ils font des spasmes. C’est juste. Oui, madame. Madame Darwich, si vous croyez de tout votre coeur… Croyez-vous ? Vous y êtes. Je ne vous connais pas, je n’ai jamais connu votre nom, ni rien à ce sujet. Mais c’est la vérité, n’est-ce pas ? Et vous étiez assise là, disant : « Seigneur, que ça soit moi. » Voilà. Si c’est juste, agitez la main de droite à gauche comme ceci. Agitez la main si c’est juste. Vous y êtes. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Le Père céleste sait que ces choses sont vraies. C’est juste.
107 Qu’est-ce ? C’est Jésus-Christ. Qu’est-ce que cela fait? C’est exactement ce qu’Il avait dit que cela ferait dans les derniers jours. Maintenant, si c’est juste et que Dieu accomplit cela, montrant que c’est juste, alors la Parole que je prêche est juste, car c’est le même Dieu qui tient Sa Parole. Croyez au Seigneur. Détournez-vous de votre tiédeur. Eloignez-vous de ces choses qui vous entraînent dehors, comme Hollywood, ces choses qui vous tirent au dehors comme les autres églises. Retournez à Dieu, et ayez un Absolu qui fera que l’ancre de votre coeur tienne bon.
Combien aimeraient faire cette expérience avec Christ ? Levez-vous juste ici dans Sa Présence, alors que vous savez qu’Il est ici. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, c’est bien. Maintenant, c’est merveilleux. Oh ! la la ! Je ne sais quoi dire.
Si chacun de vous ici accepte ce Message, ce Jésus-Christ est juste ici avec nous… « Encore un peu de temps, et le monde (les incroyants) ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, même en vous. Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce juste ? Eh bien, vous Le voyez à l’oeuvre, c’est exactement ce qu’Il a promis.
108 Maintenant, Il est ici. La seule chose que vous ayez à faire, c’est juste de ne pas… Abandonnez-vous tout simplement et dites : « Seigneur Jésus, je prends maintenant la résolution dans mon coeur, à partir de ce moment, que je suis à Toi et Tu es à moi. Et je veux faire cette expérience dans mon coeur de telle sorte que je puisse prononcer Ta Parole et que Ta Parole puisse vivre, et que je croie que ce que je demande sera accordé. »
Ne désirez-vous pas cela ? Alors levons simplement nos mains vers Dieu et prions maintenant, nous tous, tout le monde. Et puis, je voudrais que vous leviez une main et que vous posiez l’autre sur quelqu’un qui est à côté de vous. Bien. C’est bien. Hommes d’affaires, que Dieu vous bénisse à jamais, qu’Il soit avec vous.