Montre-nous le Père (Dieu rendu manifeste)
1 Restons debout et inclinons la tête un moment pour un mot de prière. Ce qui est d’abord important, évidemment, c’est rencontrer Dieu. Ce soir, je ne sais pas s’il y a parmi nous des requêtes spéciales que vous voudriez que Dieu exauce ce soir; je vous prie de le faire simplement savoir en levant la main vers Lui. Ayez tout simplement à coeur ce que vous désirez et demandez maintenant au Père pendant que nous prions.
2 Notre Père céleste, nous nous sommes rassemblés au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Nous nous rendons compte du caractère sacré de cette heure. Après qu’elle sera passée, ce sera de l’histoire. Et nous rendrons compte, au jour du Jugement, d’avoir été ici ce soir et de ce que nous faisons.
Par conséquent, Père, nous venons à Toi avec des têtes et des coeurs inclinés, et nous sollicitons Ta miséricorde, afin que le Grand Saint-Esprit vienne sur nous et nous conduise dans ce que nous devrions dire et ce que nous devrions faire. Nous prions, Père, pour tous ceux qui ont levé la main. Tu sais ce qu’il y a derrière cette main, la requête. Et nous apportons maintenant nos requêtes devant Ton grand Trône d’ivoire, où repose le Sacrifice, le Seigneur Jésus, ayant cette assurance qu’Il nous a dit que si nous demandions quelque chose au Père en Son Nom, cela nous serait accordé. Et, ô Père, nous prions que tout celui qui a levé la main ce soir reçoive l’objet de sa requête.
3 Bénis ceux qui sont malades et affligés, Seigneur. Que le Saint-Esprit vienne ce soir, qu’Il se manifeste de façon si réelle que les gens ne manqueront pas de voir cela.
Nous prions pour ceux qui ne sont pas sauvés, qui ne connaissent pas le pardon des péchés, et qui sont encore là, errant dans les ténèbres, sans espoir, sans Dieu, étant perdus. Que la Lumière de l’Evangile, du glorieux Evangile du Fils de Dieu, brille sur eux ce soir, et que leurs coeurs aient tellement faim qu’ils L’accepteront comme leur Sauveur. Accorde-le, Père. Nous demandons ces bénédictions au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils et notre Sauveur. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
4 Je considère toujours comme un privilège d’être dans la... à l’estrade pour parler aux gens. J’étais si heureux aujourd’hui d’entendre les résultats de la réunion d’hier soir, pendant que j’écoutais les bandes d’hier soir, comment le Saint-Esprit a été parmi nous et ce qu’Il a fait pour nous hier soir. Le seul problème que je trouve pour ces réunions est que nous n’avons pas assez de temps pour rester longtemps. Demain soir, c’est la clôture de cette série. Et pourtant il n’y a qu’environ deux frères ministres auxquels j’ai eu le privilège d’être présenté, les sponsors de la réunion.
Et beaucoup d’entre vous sont des gens sympathiques que je n’ai jamais rencontrés de ma vie. J’aurais certainement aimé avoir l’opportunité de rentrer avec vous chez vous dimanche pour le dîner. Je sais que vous avez les meilleures cuisinières de la contrée. Et ainsi, nous… J’aurais certainement aimé le faire.
5 Mais nous partons aussitôt maintenant pour la… poursuivre l’oeuvre du Seigneur. Peut-être que notre prochaine destination, après avoir quitté l’Arkansas, ce sera l’Alaska. Et puis, je sens que le Seigneur pourrait nous appeler aussitôt outre-mer, pour rentrer une fois de plus en Afrique.
Ç’a donc été un grand privilège, et c’est la première fois que je suis ici parmi vous et que je vois votre grande foi active, bien que le ministère soit nouveau pour vous. Je sais qu’une série de réunions un peu plus longue ferait de grandes choses. Mais d’abord, vous savez, vous partez quelques soirées et vous vous faites un peu une opinion sur l’évangéliste. Et puis donc, un moment après, toutes les... ce qu’on appellerait les fantômes s’en vont, nous dissipons toute crainte et nous voyons que c’est l’Evangile, la Parole de Dieu, Jésus-Christ, le Fils de Dieu… Et particulièrement quand nous avons une réunion comme celle-ci où sont invités les gens de toutes les croyances, vous avez un groupe hétérogène. Mais toutefois nous servons l’unique vrai Dieu vivant. Et j’en suis donc très heureux.
6 Bon, d’habitude, je… J’essaie de promettre de vous laisser sortir tôt, mais chaque soir, je n’y arrive pas. Mais ça, ce sont de courts moments. Des fois, chez moi, je suis sur l’estrade pendant six, huit ou dix heures. Je sais donc que vous ne pourriez pas supporter cela. Vous avez beaucoup de grâce pour rester pendant cette heure, une heure et demie. Que le Seigneur vous bénisse maintenant, et – et priez pour moi ce soir, pendant que j’essaie de parler ici de ce petit texte et de quelques Ecritures que j’ai notées dans un bloc-notes et auxquelles je voudrais me référer pendant quelques instants. Et nous verrons ensuite ce que le Seigneur nous demandera de faire.
Vous savez, franchement nous ne savons pas ce qu’Il fera, car les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Nous devons tout simplement être attentifs et nous souvenir de tout ce qu’Il nous dit de faire. Alors nous le faisons.
7 N’oubliez donc pas demain soir la dernière soirée des réunions. Et puis le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile, c’est samedi matin, juste, je pense, dans cette même salle. Est-ce juste ? Ici dans la même salle. Et je crois que vous pouvez vous procurer les billets au guichet ou…?… au guichet. Et nous serions certainement heureux de vous voir. Le Seigneur voulant, je voudrais parler ce–ce matin, immédiatement après le petit-déjeuner. Si vous pouvez venir et prendre le petit-déjeuner avec nous, nous en serions heureux. Si vous ne le pouvez pas, eh bien, passez alors pour le message juste après le petit-déjeuner, et nous serons heureux de votre présence ici. Et je voudrais plutôt prendre pour cette occasion un message du type évangélique.
8 J’ai essayé de limiter cela à la prière pour les malades et la guérison. Et nous avons en quelque sorte une petite manière… pas avec des points doctrinaux, mais juste pour montrer que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il n’a pas changé. Et pour moi, cela…
Soit la Bible est la Parole de Dieu, soit Elle ne l’est pas. Je–je crois que chaque chose est soit vraie, soit fausse. Vous–vous ne pouvez pas être entre les deux. Il n’existe pas de très bon chrétien. Vous avez déjà entendu cette observation, mais cela n’existe pas. Soit vous êtes chrétien, soit vous ne l’êtes pas.
Et le seul moyen pour vous d’être un chrétien, c’est en naissant de nouveau de l’Esprit de Dieu. Et c’est cela le seul remède : sous le Sang du Seigneur Jésus. Et quand vous confessez vos péchés à Dieu et que vous obtenez vraiment de Dieu le pardon, alors vous n’êtes pas un pécheur. Celui qui est né de Dieu ne commet pas le péché. S’il le commet, ce–ce n’est pas intentionnellement. Une fois purifié, l’adorateur n’a plus conscience du péché.
9 Par exemple, dans l’Ancien Testament, le sang des taureaux et des boucs couvrait simplement le péché, il ne l’ôtait pas ; mais le Sang de Jésus ôte cela. Il sépare de cela. Il n’est plus question du péché.
Par exemple, ma mère, elle vient de partir au Ciel il y a quelques mois… Je me tenais à ses côtés quand elle s’en allait, et elle en était arrivée à un point où elle ne parlait plus. J’ai dit : « Maman, si tu peux encore m’entendre… Si en ce moment de ta mort Jésus est toujours aussi doux pour toi qu’Il l’était quand tu étais en vie, et dans les réunions… si tu ne sais plus parler, bats tout simplement des yeux très vite et je saurai que tu dis oui. » Elle a battu des yeux et les larmes coulaient sur son visage. Et… Mais elle s’en est allée à la rencontre du Seigneur. Et j’ai baptisé ma propre mère il y a environ trente ans. Je n’étais qu’un jeune prédicateur.
10 Eh bien, quand donc elle essayait d’ôter une tache de ma chemise lorsque j’étais petit, il y a bien des années, elle essayait d’obtenir du pétrole ou–ou quelque chose comme ça pour ôter cette tache. Et, en fait, elle n’ôtait jamais la tache, elle la rendait simplement un peu plus grande. Cela n’était pas si remarquable lorsque c’était à un seul endroit. Mais c’est de cette manière… c’est tout ce qu’on avait pour s’en servir.
A présent, comparons cela au sang des boucs et des brebis qui était versé pour le péché. Ce n’était que… C’était une expiation, certainement, mais cela ne faisait pas le travail d’une manière efficace, il s’agissait d’un sang animal. Et quand cette cellule de sang de l’innocent était brisée… vous voyez, la vie de l’agneau ne pouvait pas revenir sur l’homme, car l’animal n’avait pas d’âme. Ce n’est qu’un animal. Mais quand Jésus est venu et que cette cellule de Sang a été brisée, la Vie de Dieu Lui-même est venue sur nous et nous sommes des fils et des filles de Dieu, ayant Sa nature. Remarquez.
11 Eh bien, aujourd’hui, si j’ai une tache sur ma chemise, ma charmante épouse va simplement se procurer une de ces choses qu’on a ici, je pense qu’elle appelle cela l’eau de javel Clorox ; elle applique cela à cet endroit et tout disparaît.
Imaginons simplement une petite goutte d’encre, une petite goutte d’encre noire. Eh bien, cette encre a été fabriquée pour un certain usage, et elle a une couleur. Et, en fait, il n’existe qu’une seule couleur. Toutes les autres dérivent d’elle. Et il s’agit de la couleur blanche.
Mais maintenant, cette couleur… Je n’en connais pas les composés chimiques, mais disons ceci : cela doit avoir eu comme origine la création, car c’est ce que c’est. Cela a dû être créé par un Créateur. Un créateur doit créer une création. Et cette petite goutte d’encre, eh bien, elle coule… disons par exemple, c’est dans un but. Cette petite goutte d’encre peut donc écrire Jean 3.16 et pardonner mes péchés. Ou cette petite goutte d’encre peut signer mon arrêt de mort et m’envoyer à la–à la potence. C’est dans un but.
12 Mais si peut-être cette petite goutte d’encre, eh bien, malgré toute sa coloration, tombait dans un baquet d’eau de javel, qu’arriverait-il à la couleur ? Pensez-y tout simplement, qu’arriverait-il à cela ? Vous ne la retrouveriez plus jamais. L’eau qui était dans l’encre, la–la formule de H2O, est toujours… est contenue dans l’eau de javel. L’eau de l’encre se change en celle de l’eau de javel.
Mais disons que si la couleur a eu son début depuis le commencement… Cela retourne peut-être comme à une vapeur ou un gaz. Et ce gaz… Eh bien, ce n’est pas cela la formule. Si jamais il y a quelqu’un ici qui comprend ceci, je le dis juste pour un… afin que vous compreniez de quoi je parle. Disons qu’il y avait un... que cela redevenait des atomes ou des molécules, et que les molécules retournaient à des atomes.
Et disons que la molécule 4-6-9 plus la 6-9-7 donnaient le noir. Si ç’avait été la molécule 6-9-6, cela serait devenu rose et ainsi de suite, jusqu’à retourner aux atomes. Quelque chose a dû déterminer cela au commencement, ce que cela allait être. Mais dès que cela tombe là dans cette eau de javel, cela retourne tout droit à chaque molécule, à chaque atome, cela retourne à son Créateur.
13 Eh bien, c’est pareil avec nos péchés noirs. Une fois qu’ils sont confessés dans le Sang de Jésus-Christ, ils sont oubliés. Il n’y a plus de péché du tout. Vous êtes affranchi du péché, et il n’y a plus de péché à ce sujet. Ce n’est pas parce que vous–vous le méritez, mais c’est parce que la grâce de Dieu selon laquelle vous êtes… Quand un homme a péché, il a traversé un grand gouffre entre Dieu et lui … Il n’y a pas de chemin de retour. Mais Dieu était plein de miséricorde ; Il–Il a pris un substitut. Et un agneau était ce substitut jusqu’à la plénitude des temps, quand Il... Dieu a été fait chair pour ôter le péché.
Et à présent, il n’y a même plus de gouffre là entre… L’homme et Dieu sont devenus Père et fils. Il n’y a plus de péché du tout. Dieu les plonge dans la mer d’eau de javel, de l’oubli, et Il ne peut même plus s’en souvenir. Or, nous, nous ne pouvons pas faire cela. Nous sommes des hommes. Nous pouvons pardonner, mais nous ne pouvons pas oublier. Mais Dieu est infini et Il est si grand qu’Il est capable d’oublier totalement que vous aviez fait cela. Pensez-y. Vous n’avez même jamais péché. Et voilà que l’homme est de nouveau dans la Présence de Dieu comme son Père, et vous êtes Son enfant. Nous sommes des fils et des filles de Dieu maintenant; pas nous serons, maintenant nous sommes des fils et des filles de Dieu. Oh ! la la ! Cela donne aux méthodistes envie de crier, n’est-ce pas ?
Eh bien, nous sommes vraiment heureux de savoir que nous avons cette merveilleuse, une–une–merveilleuse Eau de javel que Jésus-Christ nous a apportée, Son propre Sang. Nous allons maintenant parler un peu de Lui, vous offrir l’occasion de vous calmer un peu.
14 Et maintenant, si vous voulez bien ouvrir les Ecritures dans Saint Jean, le chapitre 14 de Saint Jean. Et je voudrais lire quelques versets, les versets 7 et 8 ; c’est Jésus qui parle : Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi Mon Père. Et dès maintenant vous Le connaissez, et vous l’avez vu. Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
15 Je–je vais prendre comme sujet : Montre-nous le Père. Je–je voudrais parler de cela. Le coeur humain a toujours ardemment désiré voir Dieu. Comme nous le disions l’autre soir au sujet de ces Grecs qui sont venus pour adorer, ils ont dit : « Seigneur, nous voudrions voir Jésus. » Ils avaient entendu parler de Lui et ils ne pouvaient pas se donner du repos tant qu’ils ne L’avaient pas vu. Et je pense qu’il en est vraiment ainsi de tout vrai et authentique croyant qui entend parler de Dieu, il y a en lui quelque chose qui vibre, disant : « Si seulement tu peux Le voir. »
Et pourtant, nous pouvons Le voir. Jésus a dit ici : « Quand vous M’avez vu, vous avez vu le Père. » Ainsi, nous sommes sûrs qu’on peut Le voir, eh bien, aussi longtemps que nous pouvons penser au fait que les êtres humains ont toujours eu un ardent désir de voir Dieu. Même Job… Je pense que c’est le Livre le plus ancien de la Bible, paraît-il, et il a été effectivement écrit avant que Moïse n’écrive la Genèse. Et Job, ce grand patriarche, sachant que Dieu… et quand il lui est arrivé d’avoir des ennuis… D’habitude, l’homme cherche Dieu quand il a des ennuis. J’ai entendu des hommes dire : « Je ne crois pas qu’il existe un Dieu. » Mais qu’il tombe seulement et se fasse mal, ou que le médecin déclare qu’il va mourir, c’est alors que vous l’entendez dire : « Ô Dieu! », comme Bob Ingersoll. Vous–vous penserez à Dieu avant même de penser à votre mère ou à qui que ce soit d’autre, car il y a quelque chose en vous ; vous êtes un être humain.
16 Nous voyons donc que Job se retrouva dans une grande détresse, quand il eut une irruption des ulcères ainsi que des ennuis, et il s’asseyait sur un tas de cendres et grattait ses ulcères. Je me souviens qu’il y a quelques années j’ai pris ce Livre de Job au Tabernacle, et j’ai passé pratiquement une année sur le Livre de Job. Et une soeur a eu assez de grâce pour… Elle ne me l’a pas demandé directement à l’estrade, mais elle m’a écrit une lettre. Elle a dit : « Frère Branham, quand allez-vous relever Job de ce tas de cendres ? » Je l’avais gardé assis là, et j’essayais de bâtir tout autour pour faire une remarque quelque part, le – le moment d’épuisement, pour montrer aux gens à quel moment nous pouvions avoir l’appel à l’autel, et ensuite des centaines ont répondu.
Eh bien, alors qu’il était dans la détresse, il avait un ardent désir de voir Dieu. Il a dit : « Si–si seulement je savais où Il demeurait, si je pouvais aller frapper à Sa porte, je–je ferais Sa connaissance. J’aimerais m’asseoir et parler avec Lui. » Voyez-vous, le coeur humain réclamant Dieu…
17 Et, certainement, s’il y a un désir humain dans le coeur de l’homme qui est une créature de Dieu, réclamant Dieu, il doit y avoir un Dieu quelque part pour répondre à cet appel. Et quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une réponse à cet appel. Avant qu’il y ait ici dedans une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur là pour répondre à cet appel, sinon il n’y aurait pas d’appel ici dedans.
Comme je l’ai souvent dit, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir d’abord une eau pour qu’il utilise cette nageoire, sinon il n’aurait pas de nageoire. Avant qu’il y ait un arbre sur terre pour qu’il y pousse, il devait d’abord y avoir une terre, sinon il n’y aurait pas d’arbre. Et aussi longtemps qu’il y a une création, il y a eu un Créateur pour créer cette création. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Et quand il y a une faim et une soif de quelque chose dans le coeur de l’homme, il doit y avoir quelque chose pour y répondre, sinon la soif ne serait pas là.
18 Nous disons donc ici ce soir : Montre-nous le Père et cela nous suffit. Et maintenant, s’il y a un Dieu, et nous savons qu’il y en a Un, et s’il y a dans notre coeur un appel pour Le voir, alors pourquoi ne Le voyons-nous pas ? S’il y a ici un appel qui nous dit que nous désirons Le voir, il doit y avoir une raison pour laquelle nous... un moyen de Le voir. Et maintenant, moi, avec l’aide de Dieu, je vais essayer de–de vous montrer ou de parler de trois différents moyens, ou plutôt je dirais de quatre différents moyens de voir Dieu. Je vais parler de Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son peuple.
19 Et premièrement donc, nous parlerons de Dieu dans Son univers. Je ne pense pas qu’il y ait quelqu’un qui puisse comprendre comment cet univers fonctionne, comment le grand système solaire fonctionne, et qui, étant dans son bon sens, puisse dire qu’il n’existe point de Dieu. Savez-vous que cette terre tourne à plus de mille miles à l’heure [à plus de 1.609 km/h – N.D.T]? Elle a une circonférence de vingt-cinq mille miles [environ 40.225 km – N.D.T], et elle tourne, elle réalise une révolution complète toutes les vingt-quatre heures. Cela fait donc qu’elle tourne dans ce sens à plus de mille miles à l’heure. Et pendant qu’elle tourne autour de l’orbite du soleil… Je ne sais pas à combien de milliers de miles à l’heure elle tourne, et elle est si parfaitement à l’heure, sans aucune seconde de décalage. Il n’existe pas de montre, ni d’appareil qui puisse être réglé aussi parfaitement pour empêcher son usure, ni aucune montre.
J’ai une montre qui m’a été offerte en Suisse, et on dit qu’en monnaie américaine elle vaudrait trois cents dollars, si je l’achetais ; c’est l’une de leurs meilleures montres. Pourtant cette montre connaît un retard chaque... d’une minute de temps en temps, ou elle prend de l’avance ou–ou quelque chose comme ça. Elle n’est pas… Elle ne peut pas être parfaite.
20 Et pourtant, cette terre tourne elle-même dans l’espace. Qui la fait tourner et la maintient parfaitement à l’heure ? Elle ralentirait certainement un peu s’il n’y avait pas quelque chose qui la maintenait en mouvement. Et comment cela pourrait-il la garder si parfaitement dans son mouvement ? Et comment tourne-t-elle autour du–du–du soleil si parfaitement tel qu’elle le fait ? Cela amène l’hiver, l’été et ainsi de suite, aussi parfaitement. Et puis, il n’y a personne… Pendant six mille ans, elle n’a pas été en retard d’une seule seconde, elle est toujours à l’heure. C’est si parfait que les gens peuvent calculer le moment de l’éclipse du soleil et de la lune; ainsi, ils peuvent vous dire l’heure exacte où ils se croiseront dans vingt ans, en étudiant l’astronomie, en étudiant le système solaire.
Comme c’est glorieux ! Oh ! la la ! Je pense que si quelqu’un levait les yeux vers les cieux, il crierait comme cet auteur suédois qui a écrit ce cantique : Que Tu es grand ! Que Tu es grand ! De voir ces petites étoiles, et peut-être que dans les cieux, on dirait qu’elles ne sont pas séparées de quatre pouces [environ 10,16 cm – N.D.T] les unes des autres, et pourtant, elles sont plus éloignées les unes des autres que nous le sommes d’elles. Et cependant, Dieu contrôle tout cela.
21 Et au mont Wilson, en Californie, près de… Un astronome qui avait assisté à ma réunion de Chattanooga m’a permis, avec cet autre astronome, de monter là-haut pour regarder dans ce grand télescope. Ils avaient des photographies, car j’étais allé pendant la journée. Et vous pouvez voir à cent vingt millions d’années-lumière. Si vous convertissez cela en kilomètres, il vous faudrait entourer Tucson d’une rangée de 9 à quelques reprises, en essayant de convertir cela en kilomètres.
Vous ne pouvez pas vous représenter cela à l’esprit : cent vingt millions d’années-lumière, et au-delà de cela il y a des lunes, des étoiles et des mondes. Et notre Père a créé cela pour Son propre plaisir, et tout fonctionne tout à fait parfaitement. Oh ! comme c’est merveilleux de voir combien Il est grand, et puis combien Il peut se rendre simple, de sorte que vous ne–vous ne vous perdiez pas sur la voie. Esaïe 35 dit : « … mêmes les insensés ne pourront s’égarer. » Cela ne requiert pas de l’intelligence, de l’instruction. Si c’était le cas, je serais un perdu. Il faut tout simplement la foi pour y croire. Ne cherchez pas à comprendre cela, mais croyez cela. Dieu l’a simplement fait, et cela règle la question.
22 Or, nous voyons que les gens essaient de discuter, disant que ce n’est pas vrai, des incroyants. Il y a quelque temps, dans le Colorado… Oh ! je pense il y a trente, quarante ans. Il y avait un incroyant qui sillonnait le pays, essayant de faire des convertis à l’athéisme. Et il avait même dit à sa propre mère, quand elle se mourait… Elle a dit : « Que pourrais-tu m’offrir maintenant ? »
Il a dit : « Maman, prends-le avec sourire. » Et quelle chose à dire à sa propre mère!
Il a fait une dépression nerveuse, il s’est donc rendu dans l’Ouest pour–pour se reposer un peu. Et il a pris un sac à dos et il est allé dans les montagnes. Et un jour, il se promenait… Et les prédicateurs avaient peur de s’attaquer à lui, disaient-ils, parce qu’il était, oh ! il était un savant, avec une haute instruction et très raffiné. Ils l’ont laissé tranquille, ils l’ont laissé se casser la figure.
Ainsi donc, les gens ont dit qu’un jour il faisait une promenade, et il est sorti, et il s’est mis à regarder les rochers et il a commencé à se demander d’où réellement ils venaient. Et ensuite, le vent s’est mis à souffler dans les sapins, en faisant : « Adam, où es-tu ? » Vous voyez, la Bible dit que si les gens se taisent, les pierres crieront aussitôt. Cet infidèle est tombé à genoux et est devenu un chrétien doux et aimable, parce que Dieu, dans Son univers, a appelé, en disant : « Je suis le Créateur qui a fait les cieux et la terre. »
23 Il y a quelque temps, un de mes amis, M. Wood, qui habite à Jeffersonville, un proche voisin à moi… M. Borders que voici, l’un de mes managers, qui est assis ici ce soir, le connaît bien. Il était un… il est venu aux réunions de Louisville. Et il était un témoin de Jéhovah et on lui avait interdit d’assister aux réunions. Mais il est quand même venu avec son épouse. Son épouse était membre de l’Eglise de Dieu d’Anderson.
Et ils ont vu une fillette être amenée là sur l’estrade et le Saint-Esprit a dit à la fillette son problème et depuis combien de temps… Elle était devenue… J’oublie le nom de cette maladie qui donne aux gens l’aspect de la craie ou de la pierre. Depuis environ trois ans, elle n’avait pas bougé. Et Il lui a dit au Nom du Seigneur qu’elle irait bien. Et le jour suivant, la fille montait et descendait les marches en courant; et ce soir-là, elle courait partout dans la salle sur l’estrade et tout.
24 M. Wood étant en quelque sorte secoué à cause de cela, finalement il–il… Il avait–il avait un fils qui était boiteux par suite de la polio, sa jambe était recroquevillée. Je suis parti de là pour Houston, au Texas, où a été prise la photo de l’Ange du Seigneur, que vous avez. Et il y avait eu là-bas ce débat avec ce prédicateur baptiste qui s’opposait à nous, disant que Christ ne guérit plus aujourd’hui. Et alors, le Seigneur est venu devant trente mille personnes ce soir-là et a mis cela… Il s’est fait prendre la photo, la Lumière qui donne le discernement, ce qui a prouvé que c’était vrai.
25 Et George J. Lacy, le responsable du FBI pour les empreintes digitales et les documents, a quitté la Californie et est venu là au bâtiment Shell pour examiner la photo, et il a dit : « M. Branham, je vous ai critiqué, et j’ai dit que c’était de la psychologie, mais, a-t-il dit, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie. La lumière a bel et bien frappé l’objectif. » Et ainsi, vous avez maintenant la photo. Et l’une de ces photos est à Washington D.C., au hall des arts religieux, avec une note en dessous, disant : « Le seul être surnaturel qui ait jamais été photographié dans l’histoire du monde. » Et maintenant, si donc vous passez par là, arrêtez-vous-y pour voir cela.
26 Maintenant, remarquez. Alors M. Wood a amené son fils à un endroit dans ce… là où nous nous trouvions, à un autre endroit, et le Saint-Esprit a appelé et a dit : « Il y a au fond de la salle un garçon répondant au nom de David Wood. Son père est un entrepreneur, c’est un témoin de Jéhovah. » Je ne les avais jamais vus de ma vie, ils vivaient dans une autre contrée, dans le Kentucky. Et ainsi Il a dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, le garçon est guéri. » Et ce garçon boiteux s’est aussitôt tenu sur ses pieds, tout aussi normal que quiconque d’autre. A présent, il est mon voisin. Je l’ai marié à une gentille fille chrétienne il y a environ trois ans, et ils ont deux beaux enfants. Beaucoup ici le savent.
27 M. Wood et moi, en rentrant chez nous, nous avons roulé dans les montagnes du Kentucky, dans une petite contrée où j’avais été sur un terrain de camping méthodiste, là, à un endroit qui s’appelle Acton : A-c-t-o-n, il y a juste une–juste une épicerie, une station service et un terrain de camping. Et ça s’appelle Acton, dans le Kentucky. Ce petit endroit a son propre bureau de poste, et il se trouve dans ce magasin. J’ai tenu une réunion là-bas et cela m’avait semblé être une bonne région pour la chasse à l’écureuil, je voulais donc y retourner.
Environ deux ans plus tard, nous sommes rentrés pour retourner chasser l’écureuil. Et, bien sûr, vous les gens de l’Arizona qui êtes ici, je pense… Combien savent ce que c’est les écureuils gris du Kentucky ? Combien ont déjà vu les écureuils gris ? Oh! eh bien, de quelle partie du Kentucky êtes-vous ? Ainsi donc, je me sens vraiment chez moi. Donc, il n’y a pas de meilleure nourriture au monde. S’il y a mieux, je n’ai jamais trouvé cela.
28 Nous sommes donc allés chasser pendant deux semaines de vacances, et il faisait très sec. Et ces petits animaux, oh ! la la ! qu’est-ce qu’ils peuvent se sauver ! Et nous utilisions des carabines de calibre 22, mais il faisait si sec que nous n’arrivions pas à chasser. Et M. Wood a dit : « Frère Branham, je–je connais un endroit où un–un homme possède environ cinq ou six cents acres [environ 250 à 300 hectares – N.D.T.], et là-bas il y a des collines et des vallées, où les eaux descendent dans les ruisseaux. » Il a dit : « Ça pourrait être humide. Nous pourrions marcher dans le fond de ces petits cours d’eau ; nous ne les effrayerons pas. Mais, a-t-il dit, l’homme en question est un infidèle. »
J’ai dit : « Eh bien, allons l’éprouver. »
Nous avons donc traversé la contrée à travers les bois et par-dessus les collines, en empruntant de petites pistes semblables à celles des sangliers, jusqu’à ce que nous sommes arrivés à une maison, et deux hommes âgés aux chapeaux rabattus étaient assis sous un arbre. Et il a dit : « C’est celui qui est de l’autre côté. » Il a dit : « C’est un type difficile. »
Et nous nous sommes donc arrêtés et j’ai dit : « Vous feriez peut-être mieux d’y aller, puisque vous le connaissez. Moi, je ferais mieux de m’asseoir dans la voiture. »
Il a dit : « D’accord. » Il est donc descendu et s’est approché là. Il a dit : « Bonjour. » Et il a dit : « Je m’appelle Wood. » Il a dit : « Je m’appelle Banks Wood. » Il a dit : « Serait-il possible, s’il vous plaît, que nous puissions chasser ici un petit moment ?» Il a dit : « Nous étions en train de chasser par ici du côté de l’autre ruisseau. » Il a dit : « Là-bas il fait sec ; nous n’arrivons pas à chasser. »
29 Il a dit : « Etes-vous le fils de Jim Wood ? » Eh bien, son père était un lecteur chez les Témoins de Jéhovah, l’un des lecteurs. Il a dit : « Un homme honnête et bien brave. »
Il a dit : « Je suis son fils. »
Il a dit : « Eh bien, Jim Wood est l’une des personnes les plus honnêtes que j’aie jamais rencontrées. » Il a dit : « Vous pouvez tout simplement faire votre choix. Chassez où vous voulez. »
Il a dit : « Merci, monsieur. » Il a dit : « Je suis accompagné de mon pasteur. Je pense qu’il n’y a pas d’inconvénient à ce qu’il vienne. »
Et il a dit : « Vous ne voulez pas me dire que vous êtes tombé si bas que vous devez traîner avec vous un prédicateur partout où vous allez ? » Et il a dit… Je me suis dit que je ferais mieux de descendre, je suis donc descendu de la voiture et je me suis approché. J’ai dit : « Bonjour. »
Et il a dit : « Bonjour. » Et il a dit : « Vous savez, je pense que je suis un homme un peu dur avec des gens comme vous. »
J’ai dit : « Eh bien, à chacun son opinion. » Moi, j’avais besoin de chasser.
Et alors, il a dit… J’ai dit : « Je pense que vous pouvez… A chacun son opinion. »
30 Et il a dit : « Oui, a-t-il dit, il n’y a qu’une seule chose que j’ai contre vous. » Il a dit : « Vous aboyez à un mauvais arbre. »
Combien savent ce que ça veut dire ? Il s’agit d’un chien trompeur, voyez-vous, qui aboie à l’arbre pour dire : «Le raton laveur est ici », alors que celui-ci s’est déjà sauvé. Il n’y a pas de raton laveur là-haut. Voyez-vous ?
Il a dit : « Vous aboyez à un mauvais arbre. »
J’ai dit : « Eh bien, c’est une opinion. »
Et ma maman me disait toujours, elle disait : « Donne simplement à la vache assez de corde, elle se pendra elle-même. » Je me suis donc dit que je lui donnerai beaucoup de cordes, je l’ai donc laissé–laissé aller de l’avant et parler.
Il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, je suis dans cette contrée-ci… Et cette vieille cheminée là-haut, c’est là où notre première maison a brûlé il y a environ soixante ans. Mon père a alors construit cette maison. J’ai vécu ici, j’ai donc parcouru ces endroits. » Il a dit : « J’ai soixante-six ans. Et je n’ai jamais vu de Dieu, ni d’ange ni rien d’autre. » Il a dit : « Donc, a-t-il dit, je… il n’en existe pas un. »
J’ai dit : « Eh bien, évidemment, c’est toujours votre opinion. » J’ai dit…
31 Il a dit : « Eh bien, je pense que vous êtes des gens qui vous promenez tout simplement et gagnez facilement votre vie. »
Je me suis dit : « Oh! mon ami, si seulement vous saviez…?… facilement ? »
Il a dit : « Je pense que vous gagnez tous facilement votre vie. »
J’ai dit : « Certainement. » J’ai dit : « C’est… Eh bien, ai-je dit, c’est toujours votre opinion. »
Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, c’est ce que je pense à ce sujet. » Et il a dit : « Vous ne faites qu’aboyer à un mauvais arbre. » Et il a dit…
J’ai dit : « Etes-vous déjà allé une fois à l’église ? »
Il a dit : « Non. Je… » Il a dit : « Je ne crois pas au fait d’y aller. » Il a dit : « Un jour, un homme est venu ici de l’Indiana, il y a environ deux ans ; il avait un endroit par ici. Ils ont tenu une série de réunions au terrain de camping méthodiste. » Il a dit : « J’ai oublié le nom de cet homme. » Et il a dit : « Si jamais je le rencontrais, je voudrais lui parler. »
J’ai dit : « Oui ? »
32 Et frère Wood s’est mis à dire… Et je… La vache en était au bout de la corde, vous savez, quand il…?… Et j’ai dit… Je me tenais là avec la barbe au visage, longue comme ça, j’étais couvert de sang, et cela faisait deux semaines que je n’avais pas pris un bain, et ainsi, vous comprenez. Et j’ai dit : « Oui, monsieur. » J’ai dit : « Et alors ? »
Il a dit : « Eh bien, nous avons une vieille dame du nom d’Unetelle qui habite ici en haut sur la crête. » Et il a dit : « Elle se mourait du cancer. » Il a dit : « On l’a amenée à Louisville chez le spécialiste du cancer, et ils ont essayé d’opérer, et cela se trouvait dans l’estomac. » Et il a dit : « Son estomac et son système intestinal étaient tellement atteints qu’on ne pouvait même pas lui faire un lavement. Et on l’a tout simplement ramenée chez elle pour qu’elle y meure. » Et il a dit : « Elle était si faible qu’on ne pouvait plus la mettre sur le bassin hygiénique ; on devait tout simplement utiliser une alaise. » Il a dit : « Mon épouse et moi, nous montions là deux fois par jour pour changer son lit. » Et il a dit : « Elle était mourante. »
Et il a dit : « Ce prédicateur était ici à Acton, a-t-il dit, et il y était pour deux soirées. » Et il a dit : « Sa soeur habite ici au bas d’un autre ruisseau, plus bas à environ trente miles [environ 48 km – N.D.T.]. Elle s’y est rendue cette soirée-là, et elle a dit que l’homme n’avait jamais été dans cette contrée auparavant. Et elle a dit que pendant qu’il se tenait à l’estrade, il a regardé là par-dessus mille cinq cents personnes et a dit : ‘La–la dame là répondant au nom d’Unetelle, quand vous avez quitté la maison ce soir, vous avez mis dans votre poche un petit mouchoir blanc, que vous avez sorti d’une commode dont le dessus est en marbre. Et il a un petit ouvrage décoratif bleu au coin. Vous avez une soeur qui s’appelle Unetelle qui se meurt du cancer. Allez avec ce mouchoir et placez-le sur votre soeur. Car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.’ »
33 Et il a dit : « Le soir, vers vingt-trois heures, j’ai cru qu’on avait fait venir l’Armée du Salut ici au sommet de la colline, tellement il y avait du bruit. » Et il a dit : « Je… m’a réveillé. » Et il a dit : « J’ai dit à mon épouse : ‘Eh bien, elle est morte. Et ainsi demain matin, je vais prendre ma charrette pour l’emporter.’ » C’était le seul moyen pour arriver là où elle habitait. On devait l’emporter à l’aide d’une charrette jusqu’à l’endroit où on pourrait la mettre dans une voiture. Il a dit : « Je vais tout simplement attendre jusqu’au matin et, a-t-il dit, nous irons la prendre et l’emporter. »
Il a dit : « Le lendemain matin, mon épouse et moi, nous nous sommes levés tôt pour monter là-haut, et qu’avons-nous trouvé en entrant ? Elle était en train de manger des tartes aux pommes frites à table en compagnie de son mari ! » Et il a dit : « Elle est là-haut maintenant. Non seulement elle fait son propre ménage, mais elle fait aussi le ménage du voisin. »
Je me suis dit : « Oh ! oh ! Ça y est ! » Et j’ai dit : « Eh bien, vous ne croyez pas cela. »
Il a dit : « Eh bien, si vous, vous n’y croyez pas, montez voir vous-même. » C’est lui qui me prêchait alors.
Oh! j’ai dit : « En ce jour où nous avons la science moderne, des médecins, et des excellents tels que nous en avons, et vous voulez me dire qu’un… »
« Eh bien, a-t-il dit, si vous n’y croyez pas, montez là-bas lui demander. » Il a dit : « Elle est là. » Il a dit : « N’est-ce pas vrai, John ? »
Celui-ci a dit : « C’est exact. » L’autre vieil homme était un croyant. Il a dit : « C’est exact. Elle est juste là-haut maintenant. Vous pouvez aller lui demander. »
Eh bien, c’est lui qui me prêchait alors. Voyez-vous ? Je me suis donc dit : « C’est très bien. » Ainsi j’ai dit : « Eh bien, vous dites que c’est quoi, ce qui s’était passé ? »
Il a dit : « Comment… Je voudrais demander à cet homme-là comment il a su qu’il s’agissait de cette femme ici en haut ? Il n’avait jamais été dans cette région auparavant. Elle se mourait du cancer. Comment savait-il qu’elle se mourait du cancer ? Comment connaissait-il son nom ? Et comment savait-il que c’était là sa soeur ? Et comment savait-il qu’elle allait se rétablir après que ce mouchoir serait posé sur elle ? » Il a dit : « J’aimerais lui parler quand je le verrai. »
J’ai dit : « Eh bien, j’espère que vous le ferez. » Je me suis donc retourné et le…
34 C’était à la mi-août, et il fait très chaud, et les feuilles commençaient à tomber des arbres. Et il avait là un beau pommier, et–et il y avait des pommes partout sur le sol, et j’ai dit : « Cela vous dérangerait-il si je prenais une de ces pommes ? »
Il a dit : « Les guêpes les mangent. » Combien savent ce que c’est qu’une guêpe ? Il a donc dit : « Elles les mangent. Pourquoi pas vous ?»
J’en ai alors cueilli une et je l’ai frottée contre mon vieux pantalon sale, vous savez, et j’en ai pris une bouchée. J’ai dit : « C’est délicieux comme pomme. »
Il a dit : « Oh ! oui. J’ai planté cet arbre il y a quarante ans. »
J’ai dit : « Ah bon ? »
« …?… Oui, monsieur. C’est moi qui l’ai planté. »
J’ai dit : « En produit-il comme cela chaque année ? »
« Oui, bien sûr que nous… Nous cueillons plusieurs boisseaux de pommes chaque année. Nous en faisons sécher sur le toit de la grange. »
Et j’ai dit : « Oui, monsieur. » J’ai dit : « C’est très délicieux. »
35 J’ai dit : « Maintenant, il y a une chose étrange. » J’ai dit : « Remarquez que nous n’avons même pas eu de gelée ; nous n’avons eu ni vague de froid ni rien ; et pourtant toutes les feuilles tombent de cet arbre. » J’ai dit : « Je me demande pourquoi. »
Il a dit : « Eh bien, la–la vie a quitté la–la feuille. »
J’ai dit : « La vie a quitté la feuille ? »
Il a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Où s’en est allée cette vie ? »
Il a dit : « Elle est descendue dans la racine de l’arbre. »
« Oh! ai-je dit, pourquoi est-elle descendue là ? »
Et il a dit : « Eh bien, pour être épargnée pendant l’hiver. » Il a dit : « Vous voyez, il fait environ vingt degrés en dessous de zéro ici. » Il a dit : « Si–si cette vie restait en haut dans l’arbre, elle mourrait. Elle doit descendre dans la racine. »
J’ai dit : « Oh ! je–je vois. Oui, oui. » Et j’ai dit : « J’aimerais vous poser une question. » J’ai dit : « Vous savez que cet arbre n’a pas d’intelligence, car ce n’est qu’un arbre, il fait partie de la vie botanique. » Et j’ai dit : « Quel genre d’Intelligence lui dit, avant que la gelée ne vienne : ‘Retire-toi vite de là. Descends vite te cacher dans la racine, sinon tu vas mourir.’ Quelle est cette Intelligence qui fait cela ? »
« Eh bien, a-t-il dit, c’est juste la nature. »
J’ai dit : « Eh bien, je vais vous dire. Prenez un seau d’eau et placez-le là-bas sur un poteau. Et tout… Laissez-moi voir toute cette eau descendre au bas du poteau, puis remonter au printemps. »
Il a dit : « Je n’avais jamais pensé à cela. »
36 Et j’ai dit : « Réfléchissez-y pendant que moi je m’en vais chasser l’écureuil. Et alors, quand je reviendrais, si vous me dites quelle est cette Intelligence qui dit à la sève de cet arbre, à cette vie : ‘Descends dans les racines te cacher jusqu’au printemps et puis reviens’, quand vous aurez trouvé cette Intelligence qui fait que cette vie monte et descende dans cet arbre avec des saisons, je vous dirai quelle est cette Intelligence qui m’a dit que cette femme allait être guérie. »
Il a dit : « Qui vous a dit ?»
J’ai dit : « Oui, monsieur. » J’ai dit…
Il a dit : « Ce n’est pas vous ce prédicateur-là ! »
J’ai dit : « C’est moi frère Branham. »
Il a dit : « Pouvez-vous le prouver ? »
J’ai dit : « Certainement. » Et j’ai dit : « Je pense que je n’en donne pas l’air. »
Il a dit : « Non, j’admire cela. » Il a dit–il a dit : « Vous avez l’air d’un homme. »
Et j’ai dit : « Eh bien… » Eh bien, j’ai dit–eh bien, j’ai dit à cet… Eh bien, j’ai dit : « D’accord, monsieur. »
Et il a dit : « Etes-vous ce ministre-là ? »
J’ai dit : « Oui, monsieur. Le même Dieu qui peut parler à un arbre peut parler à un homme. » Et là même j’ai conduit ce vieil homme à Christ.
Une année plus tard, je suis retourné là et il était allé à la rencontre du Seigneur. Et son épouse m’a parlé, disant : « Frère Branham, il est mort en vainqueur, en louant Dieu. »
37 Qu’était-ce ? Il a vu Dieu parler dans Son univers. De toutes les choses qu’il avait vues, ce fut pourtant la nature même d’un arbre qui lui a déclaré qu’il y avait un Dieu. Voyez-vous ? Et il a trouvé la chose, il a trouvé Jésus-Christ comme son Sauveur.
Oh ! combien vous pouvez Le voir dans le lever du soleil, Le voir dans le coucher du soleil! Où que vous regardiez, vous pouvez voir Dieu. C’est comme je l’ai dit l’autre soir : « S’Il est à l’intérieur de vous, vous pouvez Le voir là à l’extérieur. »
38 Là dans le Colorado… J’y vais d’habitude pour chasser. Et un automne… Un autre ami et moi faisons la chasse là-bas, et nous nous séparons. Nous chassions l’élan, là dans les hauteurs, jusqu’à ce que la neige est venue et a fait descendre les élans. Ils sont vraiment en haut vers la limite des arbres, car ce sont des créatures sauvages. Et nous avions donc amené chacun un cheval de bât et un cheval de selle, et nous sommes montés très haut. Et–et monsieur Jefferies, le propriétaire du ranch était retourné à un embranchement du ruisseau, à environ vingt miles [environ 32 km – N.D.T.], et moi, j’avais pris l’autre direction.
39 Et pendant l’automne, cette période de l’année comme cela, vous savez, le soleil brille un moment, puis il pleut un moment, puis il neige un moment, puis il pleut encore, et ensuite le soleil réapparaît. Vous savez comment ça se passe. Et une tempête a balayé la montagne.
J’étais presque à la limite des arbres et j’avais attaché mon cheval de selle tout en bas, à dix ou vingt miles [environ 16 ou 32 km – N.D.T.] en dessous de l’endroit où j’étais, et je chassais tandis qu’il faisait très sec, et une tempête a éclaté. Et je me suis mis derrière un fourré, près d’une aire ravagée par une tempête et où le vent avait renversé quelques arbres, quelques sapins du Canada. Et ainsi, je me suis tenu derrière ces arbres jusqu’à ce que le–le vent fut passé, et que la tempête se fut calmée. Je me suis tenu là environ une heure et demie, je pense, et j’étais pratiquement gelé et le vent soufflait. Et après, au bout d’un moment, ça s’est calmé, et j’ai eu un peu sommeil et j’ai eu un peu envie de dormir.
40 J’ai donc levé les yeux et alors je… me tenant là, regardant tout autour. Et j’ai vu le soleil apparaître tandis qu’il se couchait. Et là tout en haut, là où la pluie qui avait soufflé s’était abattue sur les arbres à feuilles persistantes, et elle avait formé de la glace sur eux. Et le soleil se reflétait dans cette glace et cela a produit un arc-en-ciel. Oh ! la la ! Je pouvais voir Dieu là-dedans. Voilà Dieu juste là dans l’arc-en-ciel de l’alliance. Je me suis dit : « Dieu est ici en haut, sur le sommet de la montagne. »
Puis au bout d’un moment, j’ai entendu le gros élan mâle (il s’était perdu dans la tempête) appeler le troupeau. Je–je–je pouvais entendre Dieu là-dedans. Et un vieux loup s’est mis à appeler sur la montagne, la compagne répondait en bas dans la vallée. Dieu est là-dedans. J’ai toujours cru qu’Il vivait là-haut. Et voilà qu’Il était dans le coucher du soleil. Il était là dans l’arc-en-ciel. Il était là dans l’appel de l’élan. Il était là dans l’appel du loup. Il est partout dans la nature, partout.
41 Et à mon étonnement, juste en face de moi, un petit écureuil des pins se tenait sur une souche. Il est tout simplement comme le hibou de l’Irlandais : trop de bruit et d’agitation pour rien, vous savez, et c’est un tout petit animal, il était assis tout en faisant le gros dos. Mais c’est le policier des bois à la tenue bleue. Quand il crie, tout le gibier s’enfuit. Et il était assis là en train de jacasser après moi, c’est comme s’il allait me mettre en pièces; pourtant, il n’était pas aussi gros que ça, mais il ne faisait que sautiller. Et je me suis dit : « Ne sois pas si excité, petit ami. » Et ce qui faisait qu’il soit excité…
Moi-même, je–je devenais un peu excité quand j’ai commencé à voir toutes ces choses. « Ô Dieu, ai-je dit, oh ! quel merveilleux endroit où se trouver! » Je me sentais un peu comme Pierre sur la montagne de la Transfiguration : «Erigeons trois tentes et restons ici. » Et je fus si rempli de la gloire de Dieu dans mon âme que je–j’ai posé mon fusil contre l’arbre. Et je pense que j’ai explosé. J’ai fait le tour de l’arbre sans arrêt en courant, en criant : « Gloire à Dieu, gloire à Dieu ! » Je devais donner libre cours à quelque chose. C’était la seule soupape d’échappement que j’avais, je pense. Ainsi, tout simplement je… Je ne sais pas si vous vous êtes déjà senti bien comme cela. Mais vous pouvez expérimenter cela, car moi, j’en ai fait l’expérience. Je sais que c’est juste.
42 Quand vous faites attention et que vous voyez Dieu tout autour de vous… Là-bas, vous ne sentez pas l’odeur des cigarettes. Et là-haut, il n’y a pas de bière et de telles histoires, ni des femmes à moitié vêtues. Ils sont–ils sont en bas dans les amas d’ordures du diable. Mais c’est là-haut que Dieu vit.
Ainsi donc, là-haut, je courais sans cesse tout autour, en disant : « Merci, Seigneur, j’ai vu cet arc-en-ciel. » Et je me suis dit : « Il a l’aspect… » Au premier chapitre de l’Apocalypse, Jean L’a vu comme un arc-en-ciel, comme l’Alpha et l’Oméga, oh! le Commencement et la Fin, avec une alliance selon laquelle Il ne détruirait plus le monde. Et ainsi, nous avons un… dans ce… Le Nouveau Testament, c’est l’Alliance de Son Sang.
43 Comment j’ai commencé et j’ai continué à faire cela ? Je ne faisais pas l’hypocrite ; je me sentais bien, et je voulais me libérer, et je criais : « Gloire à Dieu », en faisant sans cesse le tour de l’arbre. Je pense que les gens se sont dit qu’il y avait un fou dans les bois, si quelqu’un s’était amené là. Mais ça m’importait peu qui était là. Je me sentais bien, et je voulais me réjouir dans le Seigneur. Et je pense que j’avais excité un peu cet écureuil et il… Je pense qu’il n’avait jamais rien vu de pareil. Pas seulement les écureuils, mais bien d’autres gens n’ont jamais vu quelque chose de pareil, ou même les êtres humains.
Et j’étais là, faisant le tour. Je pense que le spectacle paraissait bien drôle, mais je me sentais très bien. Et alors, il se tenait là tout en faisant le gros dos et me criait dessus, ses petits yeux exorbités étaient presque sur ses joues. J’ai dit : « Ne sois pas excité. J’adorais simplement notre Créateur. Assieds-toi. Fais de même. Tu te sentiras mieux. » Et alors le petit gars s’est assis. Je me suis dit : « Ne vois-tu pas ? Regarde, Le voici. Lève les mains et loue le Seigneur. » J’ai dit…
44 Et il s’est trouvé que j’ai remarqué que ce n’était pas moi qu’il regardait. Il gardait la tête baissée, regardait comme cela. Et je me suis dit : « Eh bien, qu’est-ce que ce petit ami regarde ? » Et la tempête avait soufflé et forcé un grand aigle à descendre dans ce lieu ravagé par la tempête. Et c’est cela qui le rendait tout excité, cet aigle rampait là en bas dans cette broussaille.
Je me suis donc dit : « Eh bien, Seigneur, je Te vois dans l’arc-en-ciel ; je Te vois dans le coucher du soleil ; je T’entends dans le cri des animaux. Et maintenant, comment pourrais-je Te voir dans cet aigle ? Es-Tu dans cet aigle ? Et pourquoi m’as-Tu arrêté alors que je Te louais ? » Voyez-vous, Dieu fait tout avec raison. Il savait que je raconterais ceci un jour. Et Il était là. Ce grand aigle a sauté sur le... une branche, et il m’a regardé. Et je me suis dit : « Oh ! la la! je l’admire. Il n’a pas peur. » J’admire tout ce qui n’a pas peur.
45 Dieu ne peut pas utiliser un lâche. Si vous êtes trop lâche pour témoigner devant votre patron, devant n’importe qui d’autre, et si vous avez honte de Jésus-Christ, Il ne peut pas vous utiliser. Si vous avez honte de l’Evangile de Jésus-Christ… Je pense que c’est comme l’a dit Paul : « Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit. » Certains peuvent se comporter drôlement dans l’église, mais quand ils se retrouvent dehors, ils ont peur. Eh bien, ce genre de religion-là n’est bon à rien. C’est juste pour la parade. Ça doit être du vécu.
Et alors, j’ai observé ce grand aigle. Il n’avait pas peur. Et je me suis dit : « Eh bien, tu sais quoi ? N’as-tu pas peur de moi ? » Ses énormes yeux gris me regardaient, je me suis dit : « Pourquoi n’as-tu pas peur ? » J’ai dit : « Je pourrais prendre mon fusil là et t’abattre. » J’ai dit : « N’as-tu pas peur de moi ? » Et tout simplement il… Il ne faisait pas attention à moi ; il observait cet écureuil. Il me regarda de nouveau, puis regarda l’écureuil. Et j’ai pensé : « Je commence à en avoir marre de ce bruit, moi aussi. Est-ce le cas pour toi ? »
46 Et ainsi, il continuait tout simplement à observer ici et là, et au bout d’un moment, je me suis dit : « Qu’est-ce qui le rend si–si sûr de lui ? » J’ai remarqué qu’il ne cessait de bouger ses ailes, vous savez, de secouer les plumes de ses ailes. Oui, oui. Voyez-vous ? Et voilà. Voyez-vous, il avait un don de la part de Dieu, ces ailes. Et il savait qu’avant que je ne mette la main sur cette carabine, il se retrouverait dans cet arbre. Voyez-vous ? Et il n’avait pas peur aussi longtemps qu’il pouvait sentir la–la force que Dieu lui avait donnée pour se mettre en sécurité.
Oh ! si seulement les chrétiens pouvaient faire cela! Si un aigle peut avoir une telle confiance dans une paire d’ailes pour le mettre à l’abri des ennuis, à combien plus forte raison un homme ou une femme qui est dans la Présence de Jésus-Christ où Il se révèle ne devrait avoir peur de rien. Si vous pouvez comprendre cela et voir–et voir la Bible dire qu’il en serait ainsi, et voici ici Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement, marchant parmi nous, faisant la même chose qu’Il a toujours faite, et Il a promis qu’Il le ferait juste avant le temps de la fin, comment aurions-nous peur ?
Rien ne vous fera du mal. Comment cela peut-il vous faire du mal ? Il a tout vaincu et tout conquis : la mort, le séjour des morts, la tombe, la maladie, et tout le reste, le péché. Il est… Je suis parfait en Lui, non pas par moi-même, je n’ai rien. Mais je… En Lui, je suis en sécurité.
47 Je l’ai vu continuer à faire cela. Une fois quelqu’un m’a dit, il a dit : « Frère Branham, ne craignez-vous pas de recevoir quelqu’un un jour à l’estrade et de faire une erreur ? » Pas du tout; aussi longtemps que je peux Le sentir tout près, il n’y aura pas d’erreur. C’est juste. Il en sera toujours ainsi.
Vous savez, il s’est tenu là jusqu’à ce qu’il en a eu marre d’entendre là-bas ce vieux petit écureuil terrestre américain jacasser, jacasser, et jacasser. Ainsi, il a fait juste un seul grand saut. Il a battu des ailes environ deux fois et j’ai constaté qu’il n’a plus battu des ailes. Il savait comment déployer ses ailes. Et quand le vent est venu, il s’est simplement élevé en se laissant porter par le vent. Et quand le vent est revenu, il s’est tout simplement laissé encore porter par le vent. Et il s’est simplement laissé porter vagues après vagues, et je me suis tenu là et je l’ai observé jusqu’à ce qu’il soit devenu juste un petit point dans le ciel. Il s’est éloigné de plus en plus et de plus en plus.
48 Et je me suis tenu là, je me suis mis à essuyer les larmes de mon visage. J’ai dit : « Voilà, ô Dieu. Je vois pourquoi Tu as envoyé cet aigle ici. » Voyez-vous, il ne s’agit pas de sauter et de devenir méthodiste cette semaine, puis de sauter et de devenir baptiste la semaine suivante, et de voler d’un groupe, puis voler vers un autre. Il s’agit plutôt de savoir déployer ses ailes de la foi dans la puissance du Saint-Esprit. Et quand elle vient comme un flot mugissant, se laisser porter par son courant.
Eloignez-vous de ces vieilles petites jacasseries terrestres, en disant : « Les jours des miracles sont passés. Le baptême du Saint-Esprit n’existe pas. La guérison divine n’existe pas. » Jacasser, jacasser ici, jacasser, jacasser là. Déployez tout simplement vos ailes dans la puissance du Saint-Esprit et laissez-Le vous transporter au-delà du bruit de toutes ces vieilles jacasseries, jacasseries qui consistent à dire : « Cela n’existe pas. » Cet aigle savait ce qu’il faisait ; il pouvait avoir confiance.
49 Voyez-vous, Dieu est dans Son univers. Ne croyez-vous pas cela ? Voyez-vous Dieu dans Son univers ? Vous pouvez Le voir dans les oiseaux ; vous pouvez Le voir dans les fleurs ; vous… Oh ! Nous pourrions passer toute la nuit là-dessus. Mais croyez-vous que Dieu est dans Son univers ? Très bien.
A présent, nous allons voir si Dieu est dans Sa Parole. A présent, nous allons considérer Dieu dans Sa Parole. Non seulement Il est dans Sa Parole, mais Il est la Parole. C’est juste. La Bible dit dans Saint Jean, chapitre 1 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. » Dieu et Sa Parole, c’est la même chose.
50 La Parole, a dit Jésus, est une Semence qu’un semeur a semée. Et toute semence fécondée qui est dans une bonne terre se reproduira selon son espèce. Et maintenant, je me rends compte que ceci est enregistré. Et ces bandes… Nous avons un ministère des bandes partout dans le monde. Et beaucoup de gens prennent… Juste ici ce soir où environ mille personnes écoutent, avant que cette bande ne s’arrête, des milliers et des milliers l’écouteront, voyez-vous, à travers le monde. Et je continue d’enregistrer et voici ce que je dis de la Parole de Dieu : Elle est une semence. Si vous pouvez avoir l’attitude mentale correcte envers chaque promesse divine de Dieu, Il l’accomplira.
Si vous pouvez vous mettre dans la position où vous croyez que cette promesse est pour vous… Mais si vous laissez un Ricky renvoyer cela à plus tard (ayant plus d’instruction qu’il ne connaît… assez de jugeote pour savoir comment contrôler la chose), il peut attribuer cela à un âge passé, ou à un âge à venir, cela n’aura aucun effet pour vous.
51 C’est comme l’a dit Jésus : « Vous prenez vos traditions et vous annulez la Parole de Dieu », quand vous essayez de donner à Dieu la place d’un Dieu historique, ou d’un Dieu imaginaire. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est tout autant Dieu maintenant qu’Il l’a toujours été. Et si vous pouvez adopter cette attitude pour montrer que cette promesse est vôtre… Jésus a dit dans Saint Marc 11.22 : « Je vous le dis en vérité, si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas dans votre coeur mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous le verrez s’accomplir. » J’ai dit : « Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé ; cela vous sera accordé.’ » Quoi de plus peut être fait comme promesse ? Vous devez le croire, car c’est une semence.
Maintenant, si je… Si vous me demandez un chêne et que je vous donne un gland, potentiellement vous avez un chêne. C’est sous forme de semence. Et si vous désirez avoir Dieu dans votre vie, acceptez-Le tout simplement comme votre Sauveur. Potentiellement vous êtes un fils de Dieu qui a atteint la stature parfaite. Vous allez croître jusqu’à la stature de Dieu, comme le fait le gland : il croît jusqu’à devenir un chêne.
52 Eh bien, vous ici en Arizona, vous cultivez les orangers. Au départ, c’est une semence. La semence pourrit. La semence, le grain de blé doit tomber en terre, comme Jésus l’a dit à Son propre sujet. Elle doit pourrir. Et tout ce que vous pouvez faire, c’est… La seule manière, c’est d’accepter ce germe de vie de la Parole de Dieu, la Vie même de Dieu, et puis pourrir à vos propres pensées. Laissez Dieu faire cela.
Ce n’est pas mon affaire d’essayer de comprendre cela. Je ne peux pas le comprendre. Je le crois tout simplement. Il ne m’a jamais demandé de le comprendre. Il n’a jamais dit : « Avez-vous senti cela ? » Il n’a jamais dit : « Avez-vous compris cela ? » Il a dit : « Avez-vous cru cela ? » C’est ça la chose.
N’essayez pas d’aller dans un séminaire pour que vous soit injecté un liquide d’embaumement en vous endoctrinant avec un certain credo social. Ce qu’il vous faut, c’est le baptême du Saint-Esprit, la–la puissance incarnée de Dieu demeurant en vous et acceptant cette Parole pour La faire vivre telle qu’Elle est réellement. Partout dans le monde, et devant toutes sortes de gens, je sais que c’est la vérité. Il est Dieu.
53 Maintenant, ce petit oranger, s’il est sous… Eh bien, quand vous le plantez… Peut-être que lorsque vous le prenez, c’est un jeune plant, une petite branche, d’à peu près cette taille. Eh bien, vous plantez cela. Eh bien, c’est tout ce que vous devez faire avec cela. Vous ne devez pas aller dire : «Eh bien, je dois me procurer des oranges quelque part et venir les poser dessus.» Les oranges sont déjà dedans. Tout ce que ce petit arbre doit faire… Vous continuez à l’arroser abondamment. Et tout ce que l’arbre doit faire, c’est boire. Et il boit continuellement, jusqu’à boire au-delà de sa capacité. Et au fur et à mesure qu’il boit, il fait pousser des branches. Et en buvant encore, il fait sortir des feuilles ; en buvant encore, il fait sortir des fleurs ; en buvant encore, il fait sortir des oranges. Juste boire et pousser, boire et pousser, c’est…
Et il s’agit de vous. Quand nous sommes plantés ensemble en Christ, la seule chose que nous devons faire, c’est boire à Sa promesse pour pousser. Tout ce dont vous avez besoin est en vous, quand vous recevez Christ, car Christ est en vous. Et vous devez tout simplement boire à Sa Parole, à Sa Vie, pour pousser. Oh ! oui. Je crois qu’Il est l’Eau qui descend sur nous. Il est la Vie. Je crois qu’Il est l’inépuisable Fontaine de la Vie, que nous sommes tout simplement plantés en Lui et que nous poussons.
54 Abraham a reçu Dieu dans Sa Parole alors qu’il était un vieil homme de soixante-quinze ans. Sara en avait soixante-cinq. Cela faisait environ vingt ans qu’elle avait dépassé la ménopause. Il avait vécu avec elle depuis qu’elle avait environ dix-huit ans ; c’était sa demi-soeur, il l’avait épousée. Et un jour, Dieu est venu vers ce vieil homme un jour et lui a dit qu’il allait avoir de Sara un enfant. Et cette Parole, cette Parole, Dieu dans Sa Parole… Quand Dieu a dit cela à Abraham, tous les raisonnements venant de tout ce qui était contraire l’ont quitté. C’est ce que vous faites quand vous voyez Dieu dans Sa Parole. Vous devez recevoir cela comme ça malgré tout.
55 Voyez-vous, votre parole ne meurt jamais. Je pourrais parler ici avec un–avec un émetteur, et mes paroles vont parcourir le monde en un instant. Ce soir, des images de gens traversent ce bâtiment. Allumez votre téléviseur et voyez si ce n’est pas le cas. Des paroles des gens traversent ce lieu-ci. Vous ne voyez pas cela. Vos sens ne le déclarent pas, mais ça se trouve là. Et une parole ne meurt jamais.
56 Il n’y a pas longtemps, j’ai eu la vision concernant cette jeune femme qui se mourait, celle dont on a dit qu’elle s’est suicidée. Cela fait environ une année. J’oublie… C’était plutôt une jeune fille… C’était une femme très populaire. Et j’étais dans les montagnes et je l’ai vue mourir. Et les gens m’ont parlé, disant… Le Seigneur m’a parlé, disant : « Eh bien, elle–elle… Tu peux dire que c’était à quatre heures. C’était juste quelques secondes avant quatre heures. » Et Il a dit : « Les gens diront qu’elle s’est suicidée, mais elle est morte d’une crise cardiaque. » Comment s’appelle cette femme ? Elle… Une jeune blonde… Marilyn Monroe, c’était ça. Elle–elle est morte. Et–et elle ne s’est pas suicidée. J’étais désolé pour cette jeune fille. Elle m’avait toujours semblé être le genre de femme abattue qui avait besoin de quelque chose. J’aurais souhaité entrer en contact avec cette enfant. Elle avait besoin de Christ. Elle avait peut-être fréquenté une église froide et formaliste. Mais elle avait vraiment besoin de salut avec quelque chose dans son coeur pour lui donner cette assurance. Elle… Elle n’avait jamais vu son père. Sa mère était dans un hôpital psychiatrique. Tout cela occupait la pensée de cette fille. Elle avait besoin de Christ.
57 Et puis, à ce propos, nous savons que… L’autre soir, mes enfants me racontaient qu’on allait faire passer à la télévision une pièce intitulée : La rivière du non-retour. C’est là que j’avais obtenu le record mondial de la truite arc-en-ciel, une fois là-bas avec les Hommes d’Affaires Chrétiens. Et les enfants voulaient que je voie s’il s’agissait de la rivière, que j’aille là où il y avait la télévision pour voir si–s’il s’agissait de cette rivière, si c’était Don Smith, le guide qui accompagnait cette fille. Elle était là à la télévision, la même fille que j’avais vue, et cela faisait une année qu’elle était morte. Mais là, chaque mouvement qu’elle faisait était juste là, elle jouait, sa voix était vivante. Eh bien, c’est dans un... comme une quatrième dimension. Et ce sera la même chose pour chacun de nous au jour du Jugement.
58 Et quand donc Jésus-Christ a prononcé ces paroles, elles ne mourront jamais. La science déclare que dans vingt ans on pourra capter la voix littérale. Ils seront en mesure de capter la voix littérale de Jésus. Elle est toujours sur la terre. En effet, voyez-vous, vous êtes un émetteur. Et ensuite il doit y avoir un récepteur. Et si vous pouvez être un réceptacle, voir... un récepteur pour recevoir la Parole de Dieu, alors Elle devient réelle pour vous, et Elle sera tout autant vivante qu’Elle l’était alors. Amen.
59 Eh bien, Abraham a capté cela. Dieu a dit : « Tu auras un enfant de Sara, ta femme. » Eh bien, par rapport à l’entendement naturel, c’est de la folie. Pourriez-vous imaginer un vieil homme de soixante-quinze ans, avec sa femme de soixante-cinq ans, venir dire : « Eh bien, docteur, nous voulons prendre des dispositions pour l’hôpital.» Eh bien, les gens avaient dit que le vieil homme avait perdu la tête, voyez-vous. Mais tout celui qui prend Dieu au mot, le monde considère qu’il a perdu un petit peu la tête, car les choses de ce monde sont charnelles pour Dieu. Et la–la prédication de l’Evangile et le christianisme sont aussi de la folie pour ceux qui périssent.
60 Mais Abraham a cru cela. Je peux voir Sara tricoter de petits chaussons, vous savez, et préparer les épingles, et elle est prête. Le premier mois est passé et, voyez-vous, c’était… Il a dit : « Chérie, comment te sens-tu ? »
– Pas de changement.
– Gloire à Dieu. Nous l’aurons de toute façon. Eh bien, Dieu l’a dit.
Une année passa.
– Comment te sens-tu, Sara ?
– Pas de changement.
– Nous l’aurons de toute façon. Alléluia !
– Comment sais-tu que vous allez l’avoir ?
– Dieu l’a dit. C’est la Parole. Dieu a fait la promesse.
Vingt-cinq ans plus tard–vingt-cinq ans plus tard, alors qu’il avait cent ans et elle, quatre-vingt-dix, une petite grand-mère avec une écharpe sur les épaules et un petit bonnet pour se protéger contre la poussière, tenant un bâton comme ceci, et lui, un vieillard avec une barbe pendante, a dit : « Sens-tu un changement, chérie ? »
– Pas du tout, chéri.
– Gloire à Dieu ! Nous allons l’avoir de toute façon. Dieu l’a dit.
Vous y êtes. Et puis, nous nous disons la postérité d’Abraham. Peu importe… Eh bien, ce sera une grande… Il peut louer Dieu davantage après vingt-cinq ans; ce sera un plus grand miracle.
61 Mais nous voyons Jésus-Christ se manifester juste devant nous, et s’Il ne fait pas quelque chose de spontané : « J’ai manqué la chose. Je n’ai pas reçu cela. » La postérité d’Abraham ! Voyez-vous ?
Dieu est dans Sa Parole. « Les cieux et la terre passeront, a dit Jésus, mais Ma Parole ne passera jamais.» Dieu est dans Son univers. Croyez-vous cela ? Dieu est dans Sa Parole.
62 Quand les cent vingt petits peureux qui avaient marché avec Jésus pendant trois ans et demi sur terre et qui L’avaient vu ressusciter des morts et accomplir des miracles, des signes et ainsi de suite… Ils craignaient la menace des Juifs. Ils sont montés dans la chambre haute qui donnait sur l’extérieur du bâtiment, par les marches qui montaient du temple à une petite chambre haute, une petite salle de prière donnant sur l’extérieur où de petites chandelles à l’huile d’olive brûlaient, ou plutôt des lampes ayant une mèche. Et ils sont montés là-haut et ils ont barricadé les portes parce qu’ils avaient peur des Juifs.
Et alors, le jour de la Pentecôte, il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Les portes s’ouvrirent, les fenêtres s’ouvrirent, ils sont sortis dans la rue, témoignant sous la puissance, l’impact du Saint-Esprit. Pourquoi ? La Parole de Dieu leur avait été manifestée. Dieu avait tenu Sa Parole : plus de peur alors, quand la Parole s’était ancrée.
63 A présent, je vais m’arrêter ici juste une minute pour dire ceci. Quand un homme ou une femme, peu m’importe que le médecin ait dit que vous allez mourir du cancer, de la lèpre ou que sais-je encore, si vous pouvez accepter cette Parole qui est Dieu, quelque chose va se produire. Et personne ne vous dira le contraire. Vous êtes sûr de ce que vous faites. Certainement.
Croyez-vous que Dieu est dans Son univers ? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole ? Il est certainement dans Sa Parole. Maintenant, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole. Vous voyez Dieu dans Son univers. Vous voyez Dieu dans Sa Parole parce qu’Il est la Parole. C’est Dieu sous forme imprimée. C’est la Parole mise sous forme imprimée, mais Elle est aussi dans l’air si vous pouvez L’accepter. Oh ! la la ! C’est comme cette petite femme qui avait touché le bord de Son vêtement, elle avait accepté cela, voyez-vous. Peu importe ce que c’était, elle savait dans son coeur que si elle pouvait Le toucher, elle serait guérie.
64 Et maintenant, voyez Dieu dans Son Fils. Oh ! Jean 14.8, Jésus a dit : « Moi et Mon Père, nous sommes Un. Le Père demeure en Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même. » Saint Jean, chapitre 5, verset 19 : « Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. » Voyez-vous, Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
65 Eh bien, beaucoup de gens embrouillent complètement la trinité quand ils se mettent à réfléchir là-dessus. Certains en font trois personnes différentes, d’autres une seule, et ils sont tous dans l’erreur. Remarquez, il ne s’agit pas de trois Dieux ; il s’agit de trois manifestations du même Dieu. Voyez-vous ? Il s’agit de trois attributs : Dieu le Père qui était dans le désert sous la forme d’une Colonne de Feu ; et ensuite, ce même Dieu s’est exprimé dans Son Fils, ce qui était le même Dieu dans Son Fils ; et maintenant, ce même Dieu s’exprime donc en vous et en moi en tant que Saint-Esprit, toujours le même Dieu, pas trois Dieux, trois manifestations du même Dieu, trois attributs d’un Père ; c’est ce qu’Il était. Il a manifesté cela en tant que Fils ; c’est ce qu’Il était. Et à présent, en tant que le Saint-Esprit dans Son peuple, la condescendance de Dieu qui ne peut être touché, parce que le péché…
Alors Dieu Lui-même a été reflété dans un homme parce que l’homme fut créé à l’image de Dieu. Et Dieu a été fait à l’image de l’homme afin de souffrir et pouvoir ainsi ôter le péché. Et alors… Et maintenant, Il est en nous. «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus ; mais Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge » : Dieu en nous. Voyez-vous ?
66 Bon. Maintenant, on dirait que n’importe qui pourrait voir ceci. Bien des fois, les gens disent que Jésus était un Juif. Certains ont dit qu’Il était à moitié Gentil et à moitié Juif. Il n’était ni l’un ni l’autre. Il était Dieu. C’est ce qu’Il était. Bon, souvenez-vous, quand un bébé naît, toute vie vient du sexe mâle. Le germe de vie vient de l’hémoglobine, du sang. Et le sang est… la vie est dans le sang. C’est ce que dit la Bible. Eh bien, le… C’est comme le–le–le…
C’est le printemps, et maintenant tous les oiseaux font leurs nids, et ils remplissent le nid d’oeufs. Eh bien, une vieille mère oiseau peut aller là et bien embellir son nid, et le décorer entièrement avec toutes sortes de plumes. Et elle peut pondre tout un nid d’oeufs et rester sur ces oeufs avec une telle fidélité qu’elle… Elle peut les retourner parfaitement comme il faut chaque jour, et elle peut les couver et–et les garder au chaud à tel point qu’elle ne va pas… Elle peut crever de faim. Elle deviendra si faible qu’elle sera incapable de quitter le nid pour aller se procurer à manger. Elle peut être si fidèle envers ces oeufs, envers ses petits qui viennent. Cependant, si cet oiseau femelle n’a pas été avec l’oiseau mâle, ces oeufs n’écloront jamais. Elle doit être en contact avec le mâle.
67 Cela me fait penser aux églises d’aujourd’hui. Des fois, nous pouvons bâtir la plus belle église, nous devenons si… et avoir la meilleure équipe de diacres et tout le reste comme cela, une grande congrégation, le maire de la ville et tout le monde y venir et s’en vanter. Mais s’ils n’ont pas été en contact avec la nouvelle naissance, avec le Mâle, Christ, vous avez un nid plein d’oeufs pourris. Ils resteront là et pourriront, chacun d’eux. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un bon nettoyage à l’ancienne mode du nid, en partant des presbytériens, des baptistes, jusqu’à la fin, aux pentecôtistes et tout.
Vous devez entrer en contact avec Jésus-Christ : la Vie. Il s’agit de Lui. Une poule peut pondre un oeuf, mais celui-ci n’éclora pas si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle. Et le Dieu Tout-puissant, Dieu le Père, a couvert de Son ombre la vierge Marie et a créé en son sein une cellule de Sang qui a engendré le Fils de Dieu sans désir sexuel. Et ce sang a été versé au Calvaire. Alléluia!
C’est dans ce Sang que je me confie ce soir, quand il n’y a rien… « Je ne connais aucune autre source, rien que le Sang de Jésus. » Par conséquent, le Sang de Dieu nous sauve. Le Sang de Dieu amène Jésus-Christ au milieu de nous. Le Sang de Dieu amène le Saint-Esprit, non pas le sang d’un Juif ou d’un Gentil, mais le propre Sang créé de Dieu. Jésus, Homme, était Son Fils qu’Il a créé Lui-même, et Dieu a habité dans ce Tabernacle. Et Dieu…
68 Une loi sans sanctions n’est pas une loi. Si vous dites que c’est–c’est contraire à la loi de brûler un feu rouge et qu’il n’y a pas de sanctions pour cela, alors ce n’est pas une loi. Et la loi de Dieu a des sanctions.
« Le jour où tu en mangeras, ce jour là tu mourras. » Et quand l’homme en a mangé, il n’y a pas… Dieu ne pouvait pas envoyer une autre personne pour prendre sa place. Ce serait encore injuste. Pour moi, faire mourir ce frère pour ce que ce frère-là a fait ne serait pas correct. Dieu a dû descendre Lui-même. Et la seule manière dont Il pouvait faire cela, c’était de venir dans Sa propre chair, lequel était Son propre Corps créé qu’Il s’était fait, afin qu’Il puisse souffrir la mort. Amen.
Voilà l’Evangile en puissance. C’est Dieu manifesté en chair, Emmanuel, pour ôter les péchés du monde. Et nous nous confions dans ce Sang, non pas dans celui d’un Juif ou d’un Gentil, mais dans le Sang de Dieu qui était Jésus-Christ. C’est la raison pour laquelle Il a dit : « Moi et Mon Père, nous sommes Un. Mon Père demeure en Moi. » C’était le Père en Lui.
69 Une fois, au cours d’une rencontre dans la rue, une femme a dit : « A qui adressait-Il Sa prière dans le jardin de Gethsémané ?» J’ai dit : « Je voudrais vous poser une question. Vous avez témoigné avoir le Saint-Esprit. Où se trouve-t-Il ? A qui adressez-vous votre prière ? » C’est à l’intérieur de vous, bien sûr.
Eh bien, nous avons l’Esprit avec mesure. Lui L’avait sans mesure. Nous sommes des fils et des filles de Dieu avec mesure. C’est comme prendre une cuillerée d’eau de l’océan, et Lui, Il est tout l’océan. Mais les mêmes éléments chimiques qui se trouvent dans cette cuillerée se trouvent dans tout l’océan. C’est la quantité, mais c’est la même qualité. C’est pourquoi, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Dieu est en nous. Oui.
70 Voyez Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils. Or, en ce jour où les prédicateurs de l’évangile social, frères, essaient de faire de Lui une sorte de... juste un prophète ou–ou un bon philosophe, ou quelque chose comme ça... Soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu. Il était Dieu, ni plus ni moins.
71 Une femme était membre d’un certain culte qui ne croit pas à la naissance virginale de Jésus, qui n’accepte pas cela. Eux croient simplement à la primauté de l’esprit sur la matière. Et elle vient bien souvent m’écouter prêcher. Un soir, elle est venue me voir tandis que je sortais. Elle a dit : « Frère Branham, j’aime vous entendre parler. »
J’ai dit : « Merci. »
Elle a dit : « Il n’y a qu’un seul défaut que je trouve chez vous. »
J’ai dit : « Eh bien, grâces soient rendues au Seigneur. J’espère que le Seigneur ne trouve que cela, juste un seul défaut. » Et j’ai dit : « Dites donc, de tous les défauts que j’ai, vous n’en avez trouvé qu’un seul ? » J’ai dit : « Merci beaucoup. » J’ai dit : « Puis-je demander quel est ce défaut ?»
Elle a dit : « Oui. Vous vantez trop Jésus. »
J’ai dit : « Je veux certainement continuer, si c’est là tout ce que j’ai comme défaut, de Le vanter. » J’ai dit…
Elle a dit : « Vous Le vantez trop. »
J’ai dit : « Que voulez-vous dire par ‘je Le vante’ ? »
Elle a dit : « Eh bien, vous faites de Lui Dieu. »
J’ai dit : « Il était Dieu. »
« Oh! a-t-elle dit, Monsieur Branham, là, vous êtes dans l’erreur. » Elle a dit : « Il était un homme de bien. »
J’ai dit : « Il était plus qu’un homme de bien. »
Elle a dit : « Il était un prophète. »
J’ai dit : « Il était plus qu’un prophète. Il est le Dieu des prophètes. »
72 Et elle a dit : « Oh ! Monsieur Branham. » Elle a dit : « Si je vous prouve… Vous avez dit que vous étiez fondamentaliste. Et si vous... je vous prouvais par votre propre Bible qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous l’accepter ? »
J’ai dit : « Si la Bible le dit. Je crois la Bible. »
Elle a dit : « Très bien, je vais vous donner vos propres Ecritures. » Elle a dit : « Dans Saint Jean chapitre 11, la Bible dit que lorsque Jésus est allé à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il a pleuré. Et Il ne pouvait pas être Dieu et pleurer. »
J’ai dit : « Est-ce tout ? » J’ai dit : « Est-ce tout ce que vous aviez à dire ? »
Elle a dit : « Oui. »
Et j’ai dit : « Madame, votre argument est moins consistant qu’un bouillon fait de l’ombre d’un poulet mort de faim. » J’ai dit : « Eh bien, vous en savez–vous en savez mieux que cela. »
Elle a dit : « Que voulez-vous dire par là ? »
J’ai dit : « Eh bien, vous ne… Regardez ici. Permettez-moi de vous montrer quelque chose. » J’ai dit : « Il était un homme, mais vous manquez de voir qu’Il était plus qu’un homme. » J’ai dit : « C’était un homme quand Il pleurait. C’était un homme quand Il se tenait là avec Ses petites épaules voutées, quand la Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards. C’était un homme qui se tenait là comme cela et qui pleurait. Mais quand Il a redressé Ses petites épaules, a levé les yeux vers le ciel et a dit : ‘Lazare, sors !’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie, c’était plus qu’un homme. Un homme ne peut pas faire cela. C’était Dieu dans Son Fils. »
73 Croyez-vous cela ? Certainement. Son… Eh bien, cet homme mort, il s’était décomposé. En d’autres termes, il était pourri. Il est dit : « Il sent. » Son âme se trouvait quelque part à quatre jours de marche. Nous n’allons pas engager une discussion là-dessus, où que ce fût. Mais quoi qu’il en fût, la corruption a reconnu Son Maître. Alléluia ! Et l’âme a reconnu Son Créateur et Celui qui l’aimait, et une âme qui était sortie d’un corps en décomposition depuis quatre jours s’est tenue sur ses pieds et est revenue à la vie. Dites-moi, un homme peut-il faire cela ? C’était Dieu dans Son Fils qui a fait cela.
Je reconnais que c’était un homme quand il avait faim, alors qu’Il descendait de Jérusalem ce soir-là, cherchant sur un arbre, essayant de trouver quelque chose à manger. C’était un homme. C’est juste. Mais quand Il a pris cinq petits biscuits et deux poissons, et qu’Il en a nourri cinq mille personnes et qu’on a emporté douze paniers, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu, le Créateur, qui se tenait là. Il a pu changer l’eau en vin. Il a pu prendre ces petits biscuits et multiplier de la nourriture et du poisson. Dieu était dans Son Fils, absolument.
74 Oui, Il était un homme quand Il était couché ce soir-là dans cette vieille petite barque et que celle-ci tanguait; Il était tellement épuisé après avoir eu des visions et libéré la vertu, prêché l’Evangile, guéri les malades et subi des critiques de tout le monde. Il est allé à l’arrière du bateau et s’est couché. C’était un homme qui était couché là, endormi. Cependant, cette fois-là, dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. Il était là si fatigué qu’Il ne pouvait pas bouger. Même les vagues ne pouvaient même pas Le réveiller. La petite barque, semblable à un bouchon de bouteille sur une mer en furie, ne pouvait toujours pas Le réveiller. Il était un homme. Il avait sommeil, Il était fatigué, Il était épuisé.
Mais dès qu’Il s’est réveillé, Il s’est avancé là et Il a regardé Ses disciples, et Il a dit : « Oh ! gens de peu de foi ». Il a posé Son pied sur la cargue de la barque, Il a levé les yeux et Il a dit : « Silence, tais-toi ! » Et les vents et les vagues Lui ont obéi. Là, c’était plus qu’un homme qui parlait. C’était Dieu qui parlait au travers de Son Fils. Oui, oui. Dieu était dans Son Fils. Je crois qu’Il était Divin.
75 C’est vrai, Il est mort à la croix en implorant miséricorde. Il est mort en demandant un verre d’eau. Il est mort en implorant miséricorde. Il était un homme quand Il mourrait. Mais ce troisième jour-là, quand cette prophétie fut accomplie : « Je ne laisserai pas Son âme au séjour des morts ni ne permettrai que Mon Saint voie la corruption. », tous les démons du séjour des morts… Il est sorti avec les clés de la mort, du séjour des morts et de la tombe. Il est ressuscité et Il est monté en haut et a fait des dons aux hommes. C’était plus…
76 Tous les hommes qui ont déjà accompli quelque chose de grand croyaient aussi à cela : les poètes, les auteurs ainsi que–ainsi que les prophètes de l’âge. Nous pourrions interviewer certains d’entre eux. Qu’en serait-il si nous appelions Eddie Perronett ici ce soir sur la scène ? Il n’arrivait pas à vendre ses chansons. Personne ne voulait les acheter. Un jour, le Saint-Esprit l’a frappé et il a saisi sa plume et il a écrit :
Que tout acclame la puissance du Nom de Jésus,
Que les anges se prosternent.
Amenez le diadème royal
Et couronnez-Le Seigneur de tout.
Bien sûr que oui. Il est le Seigneur de tout. Il croyait que Dieu était en Lui. Oh ! quand j’entends un autre dire :
Quand je contemple la croix merveilleuse sur laquelle le Prince de gloire mourut,
Je considère que toute ma renommée n’est qu’une perte.
Un autre a écrit :
Vivant, Il m’aima,
Mourant, Il me sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés ;
Ressuscitant, Il justifia gratuitement pour toujours
Un jour Il va venir. Oh ! quel jour glorieux !
77 Si je pouvais appeler Fanny Crosby ce soir et lui demander : « Que penses-tu de Lui ? Etait-Il un prophète ou qu’était-Il ? » Elle dirait ceci :
Ne m’oublie pas, Ô Doux Sauveur
Ecoute mon humble cri.
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.
Toi la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui sur terre ai-je à par Toi ?
Ou qui au Ciel ai-je à par Toi ?
Gloire à Dieu! Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils (Oui, oui), maintenant Dieu dans Son peuple.
78 Croyez-vous que Dieu était dans Son univers ? Que Dieu est dans Sa Parole ? Que Dieu était dans Son Fils ? A présent, qu’en est-il de Dieu dans Son peuple ? Amen. Oh! « Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus », a dit Jésus. « Mais vous, vous Me verrez ; car Je serais avec vous, même en vous, jusqu’à la fin, jusqu’à la consommation. Je serai en vous, le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Oui, oui.
79 Quel genre de personnes devrions-nous être ? Cela me rappelle une histoire. Il n’y a pas longtemps, dans le Sud, on achetait des esclaves, des gens de couleur. Les Boers (les Hollandais) les amenaient là et les vendaient. Et on les vendait ici en Amérique comme esclaves. Ce n’est pas correct. Les hommes n’ont jamais été faits pour dominer les uns sur les autres. Nous avons un seul Dieu. La couleur de la peau d’un homme n’a rien à voir avec son âme. Nous sommes tous issus d’un seul sang. Un homme de la race jaune peut donner son sang par transfusion à un Noir, et de même un Noir peut donner son sang à un Blanc. Nous sommes… D’un seul homme Dieu a fait toutes les nations (oui, oui), d’un seul homme. Mais les gens ont toujours… Dieu a fait l’homme, l’homme a fait des esclaves.
Cela n’a jamais été correct au commencement. Ils venaient et les vendaient comme un lot des véhicules d’occasion. Il y avait ces maisons et ces plantations du type ancien, et les gens venaient là acheter ces esclaves. Des acheteurs venaient, des courtiers, pour les acheter.
80 Un jour, un courtier est passé à une certaine plantation. Il a dit : « Eh bien, combien d’esclaves avez-vous ? »
On a dit : « Environ trois cents. »
Il a dit : « J’aimerais jeter un coup d’oeil sur eux. » Il est sorti. Et ils étaient tristes. Ils étaient loin de chez eux. Ils ne – ils ne savaient pas comment… Ils savaient qu’ils ne rentreraient plus jamais chez eux. Ils ne reverraient plus jamais papa, ils ne reverraient plus jamais leurs mères, et les mères ne reverraient jamais les enfants. C’était triste. Et on les fouettait avec des fouets pour les faire travailler, pour essayer de les pousser à faire leur travail.
81 Mais il a remarqué là un jeune homme ; on n’avait pas besoin de le fouetter. Il avait la tête dressée, le menton relevé, il était toujours en mouvement et juste à la tâche. Ce courtier a dit : « Je veux acheter cet esclave-là. »
Le propriétaire a dit : « Mais il n’est pas à vendre. »
Il a dit : « Qu’est-ce qui le rend si différent ? » Il a dit : « Est-il le chef de tous les autres ? »
Il a dit : « Non. » Il a dit : « C’est un esclave. »
Il a dit : « Peut-être que vous le nourrissez différemment des autres. »
Il a dit : « Non. Il mange à la cantine comme les autres esclaves. »
Il a dit : « Qu’est-ce qui le rend si différent des autres esclaves ? »
Il a dit : « Je me le demandais moi aussi jusqu’à ce que j’ai compris. Là dans leur patrie, en Afrique, d’où ils viennent, son père est le roi de la tribu. Et quoiqu’il soit un étranger, il sait cependant qu’il est le fils d’un roi. » C’est son caractère. Il voulait se conduire comme son père.
82 Oh ! quelle disgrâce aujourd’hui que des hommes et des femmes qui prétendent être des fils et des filles de Dieu, ayant la nature de Dieu, des ministres à la chaire prétendant être des fils de Dieu, mais reniant qu’il y ait une guérison divine, reniant qu’il y ait une action du Saint-Esprit !
Quelle honte pour nos soeurs qui prétendent être des saintes de Dieu, tout en se coupant les cheveux et en ôtant leurs habits et en agissant comme elles agissent ! Quelle honte pour nos églises de permettre à des hommes mariés deux ou trois fois d’être des diacres dans le comité et tout ! Quelle disgrâce !
Nous devrions comprendre que même si nous sommes des étrangers dans ce monde, nous sommes des fils et des filles du Roi du Ciel, et nous... notre caractère devrait être comme celui de Jésus-Christ, afin qu’ils... que nous puissions refléter Son… Son Etre. Dieu est dans Son peuple. Oui, je le crois de tout mon coeur.
83 Jean 14.12 dit… Jésus a dit : « Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera », les mêmes manifestations. Considérez ce que nous avons vu durant cette semaine, comment Il se manifeste pour être le Messie, un don qui était en Lui. Il pouvait discerner notre coeur, discerner les pensées des gens, leur dire ce qu’elles étaient.
Un jour, une petite femme s’est faufilée à travers la foule, elle toucha le bord de Son vêtement et elle a dit : « Si seulement je peux arriver à Le toucher… » Elle a couru dans la foule, elle s’est tenue là, elle s’est assise ou quoi que ce fût.
Et tout le monde L’entourait de ses bras, disant : « Bonjour, Rabbi, jeune Prophète. Comment ça va ? » Et d’autres disaient : « Eh, j’ai appris que Tu peux ressusciter les morts. Nous en avons un cimetière plein. » Des critiqueurs, vous les trouvez partout.
84 Et Il était là, se pressant à travers la foule. Peu après, Il s’est arrêté. Il a dit : « Qui M’a touché ? » Alors, Pierre a peut-être dit ces paroles : « Seigneur, les gens vont penser que Tu as quelque chose qui cloche mentalement. Regarde les bras et les mains qui Te touchent de partout, et puis Tu dis : ‘Qui M’a touché ?’ »
Il l’a réprimandé pour cela. Jésus a dit : « Mais J’ai senti un genre de toucher différent, un toucher réel. »
Beaucoup parmi nous ce soir font des confessions, beaucoup parmi nous font différentes choses, et pourtant il y a un toucher, il y a quelque chose qui attire l’attention de Dieu. Et Dieu se reflète dans Son Fils. Nous sommes censés faire les mêmes oeuvres qu’Il fait.
Cette petite femme s’est assise là. Et Jésus a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il l’a trouvée, et Il lui a parlé de sa perte de sang et lui a dit que sa foi l’avait sauvée.
85 Oh! nous Le voyons lorsque la petite femme au puits est venue puiser un seau d’eau. Et elle avait soif, et elle s’est mise à faire descendre le – le seau dans le puits quand elle a entendu un jeune Juif dire : « Apporte-Moi à boire. »
Elle a regardé là et elle a dit : « Ce n’est pas de coutume. Ici, nous avons une ségrégation. Tu ne devrais pas me demander à moi, une femme… »
Il a dit : « Mais si tu savais à Qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire. » Et alors, Il a poursuivi la conversation jusqu’à ce qu’Il découvrît ce qu’était son problème. Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu as dit la vérité. Tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as dit la vérité. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Et nous savons que lorsque le Messie viendra, c’est exactement ce qu’Il fera. »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. » Oh ! la la ! Que faisait-Il ? Il reflétait Dieu. Qu’est-ce que l’église est censée faire ? Refléter la même chose que Lui a reflétée…?... Oh ! Dieu reflété dans Son peuple!
86 Je me souviens du moment où un vieux prophète dans la Bible était si rempli du Saint-Esprit que… Une Sunamite avait un enfant et celui-ci mourut, et le prophète n’a pas... ne pouvait entendre nulle part un mot de la part de Dieu. Mais il a fait les cents pas, allant et revenant, jusqu’à ce que l’Esprit de Dieu est venu sur lui. Il s’est étendu sur ce petit enfant mort et celui-ci a éternué sept fois et est revenu à la vie. Qu’était-ce ? Ce prophète-là ? Pas du tout. Dieu dans Son peuple. C’est juste. C’était Dieu dans Son peuple. Certainement. C’est tout à fait juste.
87 Nous voyons un homme répondant au nom de saint Pierre, qui n’avait aucune instruction, aucune expérience de séminaire, qui n’avait aucune carte de membre d’une quelconque organisation. Mais il était rempli du Saint-Esprit, Dieu dans Son peuple. Les gens l’avaient vu prophétiser et ils ont vu cela s’accomplir. Les gens ont observé sa merveilleuse vie. Les gens ont entendu parler de son influence, un homme qui parlait comme Jésus-Christ.
La Bible dit que les gens savaient que c’était des hommes du peuple sans instruction, mais ils reconnurent qu’ils avaient été avec Jésus. Voyez-vous ? Vous voyez, cela Le reflète en vous. Ils virent cela, alors le peuple crut cela si fortement, tellement que Dieu est venu sur ces gens, à tel point que les gens se couchaient même à l’ombre de ce pêcheur de poissons ignorant. Et tous ceux qui se couchaient là avec foi, en croyant, Dieu les guérissait ; il ne s’agissait pas de l’ombre de ce pêcheur de poissons, mais de Dieu dans Son peuple, Dieu agissant au travers de Son peuple. Certainement.
88 Ils virent Paul se tenir là et donner des prophéties. Et chacune d’elles s’accomplissait à la lettre : prédire des choses et faire tout ce que Jésus-Christ faisait quand Il était ici sur terre. Les gens virent qu’il avait été avec Christ ; ils étaient tellement sûrs que Christ était avec lui qu’ils lui demandaient même d’appliquer sur les malades et les affligés des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps, et les mauvais esprits sortaient des gens. Des maladies étaient guéries. Qu’est-ce ? Dieu dans Son peuple.
89 Oh ! c’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. Considérez ce qui s’est passé hier soir. J’écoutais une bande. Une petite femme est venue, je crois, de l’Oregon ou quelque part ailleurs. C’était une femme pauvre. Elle avait dépensé son argent pour venir ici. Elle avait un mari et des enfants qui n’étaient pas sauvés. Elle était malade et affligée, elle est venue sur l’estrade. Quelqu’un qui se trouvait là pensait quelque chose de contraire, à savoir que je devinais ce qui était révélé comme son problème.
Alors le Saint-Esprit est revenu et lui a dit qui elle était, quel était le nom que sa mère lui avait donné, et lui a dit le nom qu’elle avait reçu encore bébé, lui a dit le nom qu’elle portait après son mariage, lui a dit où elle avait été, ce qu’elle avait fait, d’où elle venait, ce qu’elle faisait, la maladie dont elle souffrait et a dit qu’elle avait un mari pécheur et–et un... des enfants pécheurs, et qu’elle souffrait d’une espèce de maladie. Je ne sais donc pas, je suivais tout simplement la bande.
90 Et alors, le Saint-Esprit est venu là et a dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, Je te donne ton mari ; Je te donne tes enfants, Je te guéris. » Et aujourd’hui, elle est bien portante. Son mari a été le premier hier soir à l’autel, et ses enfants sont sauvés. Qu’est-ce ? Celui qui connaît le passé, le présent, le futur. Qu’est-ce ? Dieu dans Son peuple. Amen! C’est juste. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a promis ces choses pour les derniers jours.
Me voici, il est déjà vingt-deux heures moins dix. Je suis désolé, je me mets simplement à parler. J’ai encore trente Ecritures ici.
Oh ! oh ! Je vais–je vais garder cela pour demain soir.
Dieu dans Son peuple. Croyez-vous que Dieu est dans Son univers ? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole ? Que Dieu est dans Son Fils ? Que Dieu est dans Son peuple ? N’êtes-vous pas heureux de savoir que Dieu est dans l’univers, que Dieu est dans Son Fils, que Dieu est dans Son peuple? Dieu est toujours Dieu. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Béni soit le Nom du Seigneur. Je vous assure… Prions. Inclinons la tête.
91 Notre Père céleste, nous croyons que Tu es Dieu. Nous savons que Tu es tout près. Nous Te voyons autrefois là avant le commencement du monde. Nous Te voyons étendre Tes mains et créer le monde. Le monde a été formé par la Parole de Dieu. La terre même sur laquelle nous nous tenons ce soir est la Parole de Dieu rendue manifeste. Si ce n’est pas le cas, d’où vient-elle ? Tu as parlé et cela fut ainsi. Tu es toujours Dieu ce soir. Ô Dieu! laisse-nous–laisse-nous en avoir la vision. Fais que nous saisissions la véritable signification de Ta précieuse Parole. Accorde-le, Père. Bénis-nous ce soir.
Je Te prie de nous accorder ce soir de voir que Tu es dans Ton peuple. Maintenant, ils peuvent Te voir dans l’univers ; ils peuvent Te voir à différents endroits, Seigneur. Maintenant, permets–permets que nous Te voyions apparaître, notre Père céleste, si cela nous honore tant. Je Te prie de considérer, Seigneur, que nous ne voulons pas dire qu’il faut que nous voyions ces choses, mais plutôt que Ta Parole soit accomplie. Tu n’avais pas besoin de guérir les gens pour prouver que Tu étais le Fils. Tu l’as fait parce que Tu avais dit que c’était afin que la Parole soit accomplie. Et ce soir, Tu ne fais pas ces choses juste parce que Tu penses que Tu devrais les faire. Tu les fais parce que Tu as promis de les faire. Tu es... Tu as des obligations envers la Parole, Seigneur, et c’est certain que Tu La rends toujours réelle.
92 Voici des mouchoirs posés ici, Seigneur, et il y a des gens malades à travers le pays. Il y a juste de petits enfants malades, des mères. Tu as vu ces mouchoirs. Je pose mes mains dessus, Père. Je sais que je ne suis pas saint Paul, mais Toi, Tu es toujours Jésus.
Et une fois, dans la Bible, il a été dit qu’un groupe de gens, appelés les Israélites, obéissaient à Ton commandement. Ils étaient en plein sur le chemin du devoir. Et étant sur la ligne du devoir, la mer Rouge leur fit obstacle. Elle leur barra le passage. L’armée de Pharaon approchait. Les montagnes et le désert étaient de part et d’autre. Apparemment, Dieu Lui-même n’avait laissé aucun endroit pour la retraite. Et quelque chose faisait obstacle sur leur route. Tu leur avais promis que Tu les amènerais dans un nouveau pays. La mer Rouge leur faisait obstacle. Un écrivain a dit que Dieu a baissé les regards à travers cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et il a dit : « Alors, la mer Rouge eut peur et recula, et Israël continua le pèlerinage. »
93 Ô Dieu du Ciel, Tu es toujours Jéhovah ce soir. Non seulement Tu regardes au travers de la Colonne de Feu, mais Tu regardes à travers le Sang de Ton propre Fils ce soir. Et la maladie a barré le passage à ces malades qui sont ici, que ces mouchoirs représentent. Grand Jéhovah Dieu, quand ces mouchoirs seront posés sur les malades, que ces démons soient effrayés et reculent. Et, ô Dieu, amène-les dans cette promesse : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Ton Fils Jésus-Christ. Et maintenant, Seigneur, bénis ceux qui attendent dans l’assistance. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
94 Eh bien, je crois que nous sommes juste un peu en retard. Chaque soir, nous appelons des cartes de prière à l’autel. Je crois que ce soir nous n’appellerons que ceux qui n’ont pas de cartes de prière, pour que vous voyiez que la carte de prière n’a rien à avoir avec cela. Combien ici sont malades et n’ont pas de cartes de prière ? Levez la main. Très bien. Je ne vois personne ici que je connaisse. Je ne connais le nom de personne, excepté ces petits chanteurs qui sont assis ici devant.
95 Si j’ai dit que Dieu est dans Son univers, que Dieu est dans Son peuple… Croyez-vous que Dieu est dans Son peuple ? A présent, chacun de vous, regardez par ici. C’est comme Pierre et Jean l’ont dit, en franchissant la porte appelée La Belle, ils ont dit : « Regarde-nous. » Cela veut dire prêter attention, écouter ce que je vais dire. Il a dit : « Je n’ai ni or ni argent. Mais ce que j’ai (la foi)… ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi. » Il a tendu la main et a saisi l’homme, il a commencé à le tenir jusqu’à ce que les os de ses chevilles se sont fortifiés. Alors il s’en est allé en se réjouissant.
96 Comme vous le savez déjà, je suis sans instruction. Je ne suis pas… Je ne peux pas m’appeler prédicateur. Je suis en quelque sorte un pneu de rechange. Mais Dieu m’a donné un don, notamment un don pour manifester Jésus-Christ, pour amener les gens à voir qu’Il est toujours vivant. Eh bien, s’Il n’est pas mort… s’Il est mort, alors notre–notre religion est vaine.
Mais j’ai vu des centaines de religions, en tant que missionnaire qui va partout dans le monde et qui fait face à toutes sortes de démons, de sorciers et tout. Mais notre religion est véritable. Notre Dieu vit. Il n’est pas mort. Il est vivant. Et Il a promis : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. »
Je vous dirai que tout homme qui a confessé ses péchés dans... sous le Sang de Jésus-Christ, est un fils de Dieu s’il est né de l’Esprit de Dieu. Ils sont des fils et des filles de Dieu.
97 Maintenant, qu’arriverait-il si Jésus se tenait ici ce soir, vêtu de ce complet qu’Il m’a donné à travers mon brave ami Carl Williams ? Qu’arriverait-il si – s’Il se tenait ici, portant ce complet, et que vous vous avanciez vers Lui et disiez : « Seigneur Jésus, je Te prie de me guérir.»? Eh bien, Il ne pourrait pas le faire. Il l’a déjà fait. C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Vous pourriez dire : « Pardonne-moi. » Il l’a fait au Calvaire. L’oeuvre du plan entier du salut a été achevée ; la guérison et tout ont été accomplis.
98 La Bible dit qu’Il est monté En Haut et qu’Il s’est assis à la droite de Dieu. Croyez-vous cela ? Il est là pour faire l’intercession et Il est notre Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Croyez-vous cela ? Le seul Intercesseur que nous avons entre Dieu et les hommes, c’est Jésus-Christ. C’est ce que dit la Bible. Vous pourriez demander à d’autres d’essayer de le faire. Mais il n’y en a qu’Un Seul que Dieu écoute, et c’est Jésus-Christ. C’est juste. Remarquez comme Il est assis là en tant que Souverain Sacrificateur, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Eh bien, s’Il marchait ici ce soir et que vous ayez la foi pour croire qu’Il peut vous guérir, juste comme cette petite femme qui croyait que Dieu était dans Son Fils… Eh bien, croyez que Dieu est dans Sa Parole. Croyez que Dieu est dans Son peuple.
Jésus est ressuscité des morts, Il est retourné à la forme du Saint-Esprit et Il est rentré de nouveau vivre dans Son peuple pour faire les mêmes oeuvres qu’Il a faites. Et le moment est venu pour que ceci soit accompli, car la fin de la dispensation des Gentils est proche. Il l’a fait à la fin de la dispensation des Juifs, à la fin de la dispensation des Samaritains, et maintenant à la fin de la dispensation des Gentils, exactement comme Il le fit alors : Il a promis de le faire selon les Ecritures.
99 Maintenant, chacun de vous là-bas qui êtes malades et dans le besoin, et le Père céleste sait que je dis la vérité... S’il y a quelqu’un que je vois dans cette salle et que je connais … Juste en ce moment-ci, en regardant par ici il y a assis juste ici ces petits garçons et la jeune fille qui ont chanté, ce sont les seuls que je vois et que je connais. Combien d’entre vous là-bas savent que je ne sais rien à votre sujet, que vous m’êtes inconnus ? Levez la main. Voyez-vous ? Tout le monde. Peu importe où vous êtes, dans le fond, où que ce soit.
Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et étant donné qu’Il est le Souverain Sacrificateur et que nous sommes devenus pour Lui un poste récepteur, les oeuvres qu’Il a faites, nous devons aussi les faire. Je sais que vous pouvez entendre un sermon psychologique. Nous pouvons parler de ce qu’Il était et de ce que… c’est très bien. Mais cela agira-t-il ? Nous pourrons dire qu’Il est le même, mais cela agira-t-il ? C’est comme quelqu’un qui essaie de vendre quelque chose : cela a l’air bien, mais voyons si cela fonctionne.
100 Eh bien, notre religion doit entrer en action. La religion chrétienne, c’est une action. C’est Jésus-Christ Lui-même en action, qui peut… C’est juste comme le micro que voici ; ce micro est tout à fait muet à moins que quelque chose ne parle dedans. Et alors il transmet la voix de celui qui parle dedans. Mais en soi, il est muet. Il en est de même de tout homme et de toute femme. Quand on en vient à ces choses, vous êtes muet, mais si vous êtes en contact et que Christ vous a attiré pour vous utiliser, vous n’êtes pas… Ce n’est pas votre voix, c’est la Sienne. C’est la raison pour laquelle je prends n’importe qui à témoin pour les dizaines de milliers et de milliers de fois. Avez-vous déjà vu cela faillir ? Cela ne faillira jamais, car c’est Dieu. Eh bien, vous devez croire cela. Vous devez accepter cela. Vous devez avoir la foi et ne pas douter de cela.
101 Maintenant, à vous, là dans l’assistance, je veux que vous incliniez la tête pendant quelques minutes, et je désire que vous priiez comme le fit cette petite femme-là. « Seigneur, je suis malade », ou « j’ai un ami malade », ou « je suis sérieusement dans le besoin. J’ai des problèmes dans le ménage », ou tout autre grand besoin que vous avez.
Dites : « Seigneur Jésus, je sais que cet homme ne me connaît pas. Il m’est parfaitement inconnu. Mais Toi, Tu me connais, et j’ai besoin, Père céleste, que Tu me viennes en aide. Je veux que–que Tu me guérisses. Et je vais toucher Ton vêtement. Je suis très éloigné de lui, de toute façon ça ne servirait à rien de le toucher. Il n’est qu’un homme. Mais je vais Te toucher, Toi. »
« Et il a dit que nous vivons dans les derniers jours, et que le dernier signe a frappé l’église selon les Ecritures, comme Tu vins vers Abraham, l’élu qui avait été appelé en dehors de Sodome. »
« Maintenant, Divin Père, que cela se produise ce soir. Père, fais que lorsque… Fais que cet homme me parle, s’adresse à moi comme Lui le fit avec la femme qui avait touché Son vêtement, et je croirai en Toi de tout mon coeur. »
102 A présent, que la musique joue très doucement, s’il vous plaît, soeur. Maintenant, priez. Maintenant, que tout celui qui est malade, que personne ne bouge et ne–ne… Quelqu’un vient de prendre une photo. Ne–n’en prenez plus. Voyez-vous, le Saint-Esprit est une Lumière. Je L’observe.
Maintenant, voyez-vous où je me tiens ? Voici derrière moi un – un groupe de ministres qui font le parrainage ; il y a environ mille personnes assises devant moi. J’ai vu une fois où un demi-million étaient assis là… Je ne connais personne. Et ce soir, vous qui n’avez pas de cartes de prière, je veux que vous priiez et que vous disiez : « Seigneur Jésus, que cela, que toute superstition soit ôtée de moi. Il a dit que Dieu était dans Son peuple. Il a dit que Dieu l’a envoyé pour manifester Jésus-Christ à l’église dans les derniers jours. Je suis malade, mais si seulement je peux toucher Ton vêtement ce soir… »
« On–on me dit que la Bible parle et dit que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Et la Bible dit que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Alors, aujourd’hui, Tu agiras comme hier. »
« Et cette femme qui T’a touché s’est assise dans l’assistance, et Tu T’es retourné et Tu lui as dit ce qu’était son problème, et Tu lui as dit que sa foi l’avait guérie. »
103 Maintenant, priez sincèrement, et ma prière est que l’Eternel Dieu puisse exaucer la requête. Maintenant, soyez très respectueux, priez juste un instant. Si vous êtes un pécheur, dites : « Pardonne-moi, Seigneur. » Si vous êtes malade et un pécheur, dites : « Pardonne-moi, Seigneur. » Si vous êtes un chrétien, vous avez droit à l’Arbre de la Vie.
Maintenant, si vous sentez que vous avez prié, mais que vous avez quelque chose qui… Maintenant, gardez votre pensée sur Christ. Vous pouvez relever la tête si vous le voulez, mais gardez votre pensée sur Christ et regardez par ici. Regardez par ici, vers moi.
104 Et maintenant, croyez tout simplement de tout votre coeur. Dites : « Seigneur Jésus, au mieux de ma connaissance j’ai fait la prière de la foi. Mais je n’ai pas de carte de prière. Je ne serai pas appelé dans la ligne de prière. Eh bien, s’il appelle une ligne de prière dans quelques instants, je n’y serai pas. Je n’ai pas de carte de prière. Mais j’ai la foi, ô Dieu. Viens-moi en aide. »
Eh bien, faites cela. Et puis, si Jésus-Christ descend et nous oint, qu’Il oint votre foi pour que vous croyiez la chose, mes yeux pour que je voie la chose, et mes lèvres pour que je prononce la chose… Et s’Il fait la même chose qu’Il fit hier quand Il était ici sur terre, et Il a promis de faire cela encore, alors Dieu est dans Son peuple. Alors dites : « Montre-nous le Père, et cela nous suffit. »
105 Priez tout simplement. Maintenant, il ne s’agit pas de ma foi ; il s’agit de votre foi. J’attends simplement qu’Il me parle. S’Il ne parle pas, alors je vais appeler la ligne de prière. C’est tout ce que je peux faire. Eh bien, je–je suis impuissant sans Lui. Mais je suis sûr qu’Il est ici. C’est exact. Si seulement je voyais quelqu’un qui a la foi… Ne–ne soyez pas nerveux. Vous n’obtenez jamais quoi que ce soit en étant nerveux. Soyez tout simplement respectueux devant Dieu, présentez tout simplement vos besoins.
Quel moment ! Quel moment ! Voyez-vous, Dieu la Parole est la Vérité, et la Parole va être découverte. Soit je suis un faux témoin de la Parole, soit j’ai dit la vérité. Dieu confirmera que cette Parole est la Vérité. C’est juste. Dieu n’a rien à voir avec un mensonge. Vous savez cela.
106 Le voici. Merci, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, je prends chaque esprit qui est ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Croyez maintenant, avec respect, croyez. Cet Ange que vous voyez sur la photo est ici à l’estrade. Il va dans l’auditoire. Juste un moment. Il a quitté… Le voici. Pouvez-vous voir Cela ? C’est une petite dame qui est assise juste ici sur... non loin du bout de la rangée. Voyez-vous cette Lumière ambre juste à côté de la dame ? Elle sera bientôt mère. N’est-ce pas juste ? Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas. Vous n’en avez pas besoin. Mais vous croyiez. Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur ? Si le Seigneur Jésus-Christ me révélait les choses qui sont sur votre coeur et le motif de votre présence ici, allez-vous accepter cela ?
Vous êtes nerveuse, naturellement, étant donné que vous allez devenir mère. Mais votre mal est situé dans le dos. Vous souffrez du dos, et c’est vraiment de cela que vous demandiez à Dieu de vous guérir. N’est-ce pas vrai ? Si c’est juste, levez la main. Maintenant, si ces choses qui ont été dites sont vraies, j’aimerais que vous vous teniez debout afin que les gens sachent que c’est la vérité. Sommes-nous de parfaits inconnus l’un à l’autre ? Si c’est juste, levez la main. Ce qu’Il a dit, est-ce la vérité ? Si c’est juste, agitez la main comme ceci.
107 Eh bien, une femme a touché Son vêtement. Elle ne pouvait pas me toucher. Elle est à trente ou quarante pieds [environ 9 ou 12 m – N.D.T.] de moi. Mais elle a touché Son vêtement à Lui. Et demandez à la femme. Elle prie pour que Dieu guérisse son dos et lui accorde la naissance de ce bébé. C’est juste ? Est-ce juste ? Et l’avez-vous fait avant de venir ici à l’église ce soir ? Et vous avez prié afin que, d’une manière ou d’une autre, vous soyez admise dans la ligne de prière. Si c’est juste, si c’est cela votre prière, levez la main. Comment puis-je me tenir ici et lui dire ce qu’elle a dit avant qu’elle ne quitte sa maison ? Croyez-vous que Dieu peut me dire votre nom ? Madame Cisco, croyez de tout… C’est juste. Si c’est juste, levez la main. Maintenant, rentrez chez vous. Vous êtes bien portante. Que Dieu vous bénisse ainsi que votre enfant et votre mari qui est assis là. Alors que je me tiens devant Dieu, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie auparavant. Jésus-Christ est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement.
108 Tenez, la petite femme qui a l’air d’une espagnole qui se tient là, elle était toute émue à ce sujet. Elle se rend compte qu’il se passe quelque chose. Elle pleure car cette Lumière est juste au-dessus d’elle. Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue. Mais elle avait quelque chose sur le coeur pour lequel elle priait. C’est au sujet de sa mère. C’est juste. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas besoin. Vous n’en avez pas. Vous n’en avez pas besoin.
Votre mère est très malade. Elle n’est pas ici. Elle est à Bakersfield. C’est juste. Vous êtes la femme d’un ministre. C’est votre mari qui est assis à côté de vous. Il a un frère ; il l’appelle Joe. C’est juste. Eh bien, si c’est la vérité, levez la main. Je n’ai jamais vu ces gens de ma vie. Si c’est vrai, tenez-vous debout vous deux. Si c’est vrai et que je vous suis un parfait inconnu, levez la main. Vous avez une requête. Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous entend. Gloire soit rendue à Dieu.
109 Cette femme assise juste derrière avec cette blouse rose, avez-vous une carte de prière, madame ? Je vous suis inconnu. Je ne vous connais pas. Est-ce juste ? Mais il y a un cercle noir, sombre qui tourne autour de la dame. Qu’est-ce que cela représente-t-il ? Que le Seigneur Dieu me le dise. Oui, je la vois tomber. Elle fait une espèce de crise. Elle a l’épilepsie. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir ? Alors acceptez votre guérison. Puissiez-vous ne plus jamais faire encore une crise, au Nom de Jésus-Christ. Croyez-vous de tout votre coeur ? Ayez foi en Dieu.
Croyez-vous ? Remarquez. La voici une fois de plus. Observez. Elle est au-dessus d’une petite femme, une petite femme mince, elle est assise juste ici en bas. Elle souffre d’une anémie. Elle va manquer la chose. Seigneur Dieu, aide-moi. Je T’en prie, Père, ne permets pas que cela la passe. Elle s’appelle madame Marsh. Levez-vous, madame Marsh, et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ. Satan pensait qu’il allait s’en tirer avec cela, mais il a raté cela. Je ne connais pas cette femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu qui est au Ciel sait cela.
110 Qu’est-ce ? Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son peuple, Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Combien croient cela ? Levez la main.
Combien ont besoin de Dieu dans leur vie ? Levez vos mains et agitez-les. Maintenant, prenez ces mains que vous agitez et posez-les les uns sur les autres, je vais prier pour vous à partir d’ici. Priez pour quelqu’un. Posez simplement vos mains les uns sur les autres et vous verrez la gloire de Dieu.
Peu m’importe que vous soyez estropié. S’il y a quelqu’un ici dans un fauteuil roulant, quelqu’un sur des béquilles, quelqu’un qui ne peut pas marcher, préparez-vous, vous allez marcher. Vous allez sortir en marchant si vous le croyez. Posez vos mains les uns sur les autres et priez les uns pour les autres.
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici, Dieu dans Son peuple. Jésus a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
111 Père céleste, je viens demander la grâce qui pardonne et la prière pour ces gens alors que nous savons que Ta présence est ici. Je demande que chaque puissance démoniaque soit brisée dans l’assistance et que Jésus-Christ prenne le contrôle de la réunion en ce moment et qu’Il guérisse chaque personne malade qui est dans la Présence Divine. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.
112 Je crois cela. Peu m’importe votre problème, ce qu’a été votre problème; je vais vous déclarer guéris. Si vous le croyez de tout votre coeur, laissez vos béquilles là où elles sont. Où que ce soit, quoi que ce soit qui n’aille pas, tenez-vous debout et témoignez à Dieu que vous acceptez votre guérison maintenant. Tenez-vous debout et croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ… Vous y êtes. C’est ça. Tout le groupe est debout, cent pour cent. Jésus-Christ a guéri chaque personne qui est dans la Présence Divine et qui a cru.
Maintenant, si vous ne Le connaissez pas comme votre Sauveur, venez maintenant ici et recevez-Le pendant que Sa présence est ici. Je vous prie de vous approcher ici maintenant pour Le recevoir. Levez les mains vers Dieu et rendez-Lui grâces et louanges alors que je demande à l’un des pasteurs de bien vouloir prendre ma relève pour la suite du service. Que Dieu vous bénisse, frère.