Poussé à bout

Date: 63-0901E | La durée est de: 2 hours and 17 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1 Restons debout maintenant pendant que nous inclinons la tête. Seigneur Jésus, nous croyons seulement. Tu nous as demandé de croire tout simplement, et nous croyons maintenant. Et nous Te remercions et Te louons pour ce que nous avons déjà entendu et vu, cela ancre notre foi. A présent, nous Te remercions pour cette nouvelle occasion de venir prêcher à ceux qui sont dans le besoin. Et je Te prie, ô Dieu, de répondre à nos besoins, ce soir, conformément à Ta promesse. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

2 Ce soir, nous sommes très heureux du privilège que nous avons de venir dans ce tabernacle une fois de plus pour – pour… avec l’Evangile du Seigneur Jésus ressuscité. Et j’étais un peu en retard. Tout à l’heure, j’ai eu un cas urgent venant du Michigan. Le Seigneur a donc fait une chose merveilleuse pour nous sur-le-champ. Oh ! la la ! Comme Il connaît tout et manifeste cela… Nous n’avons pas à le Lui dire, Il sait (Vous voyez ?)… Il sait exactement la chose à faire. Et ainsi, nous en sommes très reconnaissants. Les gens ont roulé toute la journée pour arriver ici. Nous en sommes donc très reconnaissants.
A présent, n’oubliez pas le… L’enregistrement passe-t-il ? Oh, c’est… Je vois… [Frère Branham parle à frère Neville – N.D.E.]. N’oubliez pas les – les réunions de la semaine prochaine, le mercredi soir, le prochain dimanche matin ainsi que le dimanche soir. Si vous êtes dans les parages, et que… Je sais que l’on sera certainement heureux de vous avoir ici.
Et maintenant, priez pour moi comme je vais continuer ma route pour me rendre ailleurs, et j’espère retourner bientôt.

3 Je voudrais vous remercier vous tous pour votre gentillesse et – et pour les souvenirs, les choses que vous avez faites pour moi. Un frère d’une petite église en Georgie m’a envoyé un complet neuf. Et – et… Ces gens… C’est vraiment merveilleux. Et je voudrais remercier ces gens du Kentucky avec qui j’ai passé mes vacances la semaine passée, et j’aimerais remercier le Seigneur pour tout ce qu’Il a fait pour nous là-bas… pour Sa glorieuse et puissante main que nous avons vue, pour ce qu’Il a fait.

4 A présent, nous espérons vous revoir très bientôt, aussitôt que je pourrai revenir par ici en allant à New York pour la réunion. Ce sera au Stone Church avec le frère Vick ; ça commencera, je pense, le 12 novembre. Nous serons ici pendant quelques jours avant cette date. Ensuite, nous repasserons en allant à – à Shreveport, en Louisiane avec le frère Jack Moore. Ce sera au Thanksgiving, la semaine du Thanksgiving [Thanksgiving Day : Festivités américaines qui se tiennent chaque année le quatrième jour de novembre en commémoration de la fête organisée par les Pères pèlerins à l’occasion de leurs premières récoltes sur le sol américain en 1621. – N.D.T.] où nous serons à Shreveport. C’est au tableau d’affichage, je pense, là, dans les annonces.

5 Et ensuite, nous comptons nous retrouver avec certains de nos amis du Sud après Noël. Et nous serons à Phoenix en janvier. Et en attendant donc les appels d’outre-mer, nous pourrons ainsi préparer les réunions d’outre-mer. On y travaille présentement, ce dernier mois; frère Borders assure la correspondance pour un tour du monde complet que l’on va commencer aussitôt que nous pourrons être prêts ; mais nous devons attendre que certaines conditions soient remplies.

6 La foule est très nombreuse là-bas, nous ne saurons pas mettre ces gens dans des bâtiments, nous les mettrons en plein air, sur un terrain. Et puis, parfois ils atteignent presque un nombre incroyable, parfois jusqu’à 500.000 personnes, ce qui fait un demi-million de gens pour un seul rassemblement, pas le nombre de ceux qui assistent aux réunions pendant plusieurs jours, mais à un seul rassemblement. Vous savez, habituellement, les évangélistes comptent le nombre de gens qui sont venus en six semaines. Vous voyez ? Eh bien, nous comptons le nombre de ceux qui sont venus ce seul jour-là, en une seule fois. Ainsi, parfois, il manque des sièges où les installer, vous savez, vous êtes obligés de les mettre en plein air sur un terrain. Et nous devons choisir des saisons au cours desquelles il ne pleut pas et où il n’y a pas d’averse. Et ces pauvres gens se mettent là en plein air… J’ai vu des femmes rester là dehors avec leurs cheveux descendant comme cela, des personnes bien habillées et qui sont restées toute la journée sous la pluie, assises là, pendant que la pluie se déversait, que les tonnerres grondaient, les éclairs jaillissaient et que la tempête rugissait ; et les gens s’appuyaient les uns contre les autres comme cela, se tenant juste là, attendant jusqu’à ce que l’on vienne prier pour eux. Vous voyez ? Eh bien, vous savez, Dieu honore une telle foi. Certainement.

7 Vous devez faire quelque chose que Dieu va honorer. Vous voyez ? Montrez-Lui… Les gens qui reçoivent facilement les choses, généralement ils ne – ils ne font rien pour cela, vous voyez ? Vous devez… Le don est gratuit, c’est vrai, mais vous devez… Vous devez…

8 Il semble que, vous savez, comme on le dit, si vous êtes né avec une cuillère en argent (Vous en avez déjà entendu parler), vous ne saurez pas l’apprécier. Mais s’il vous faut travailler pour l’avoir, vous en apprécierez la valeur.

9 Eh bien, vous autres qui recevez les bandes là-bas, je voudrais que – que… je pense maintenant… Je… Ce matin… Le message de ce matin était pour moi le message le plus marquant de tout mon ministère. Le message de ce matin, vous voyez, est le message le plus marquant de tout mon ministère. Un jour, je vous raconterai la manière dont il m’est parvenu. Et je reconnais que chaque chose a concouru des mois et des mois pour que nous parvenions à ce seul message, les choses ont évolué de sorte que nous atteignions ce point que nous avons atteint. C’était le temps du couronnement de cela. Vous voyez ? Et c’est un…

10 Maintenant, je suis sûr ou plutôt j’espère que vous avez saisi le – ce que signifie le « Signe ». Vous voyez ? Le Signe est la preuve que le Sang a été appliqué, que le prix exigé et demandé par Dieu, Jésus a payé ce prix en versant Son propre Sang. Il l’a fait. Ensuite, de Sa Vie est sorti le Saint-Esprit. Et quand le Sang est appliqué sur vous, le Saint-Esprit est le Signe qui montre que votre prix a été payé. Dieu vous a agréé, et c’est ce que signifie le Signe. Ne l’oubliez pas, c’est cela le Signe.

11 Eh bien, il y a beaucoup de gens qui ne… Ils – Ils ne savent pas ce que représente le Signe. Voyez ? Et vous devez faire comme si personne ne le sait (Vous voyez ?) pour que le – chacun puisse L’avoir. C’est juste comme prêcher le salut ; nous devons prêcher le salut de telle manière que chaque personne… comme si c’est pour tout le monde, mais nous savons que ce n’est pas le cas. Nous devons prêcher la guérison divine comme quoi elle est pour tout le monde, mais nous savons qu’il n’en est pas ainsi. Voyez, Jésus est venu pour sauver ceux qui étaient dans le Livre de la Rédemption avant la fondation du monde. Il est venu sauver seulement ceux-là. Qui sont-ils ? Je ne sais pas. Voyez ? Mais vous… Personne ne peut avoir la foi à moins que vous disiez que cela est pour tout le monde, et c’est le cas. Personne ne peut venir à moins que Dieu l’appelle. C’est vrai.

12 Ainsi, il y a beaucoup de gens qui ne seront pas sauvés. Nous savons cela. Ils sont… Dieu savait cela avant que le monde soit, qu’ils ne seraient pas sauvés. Il y en a beaucoup qui ne seront pas guéris. Voyez ? Beaucoup ne seront pas guéris. Ils ne peuvent pas… Ils ne peuvent pas saisir cela. Ils ne savent pas ce que c’est. Beaucoup le seront. Mais nous prêchons cela comme quoi c’est pour tout le monde, car nous ne connaissons pas la personne concernée, nous ne savons vraiment pas. Mais il s’agit de n’importe quelle personne. Mais certaines personnes n’arrivent pas à avoir cette foi.

13 Eh bien, il en est de même de ce Signe. Le Signe, nous avons parlé tout ce temps du Signe. Mais maintenant, c’est la manifestation du Signe. Vous voyez ?

14 Eh bien, nous avons parfois admis Cela… Les luthériens ont admis que c’est le fait d’accepter la Parole, accepter Christ comme Son Sauveur personnel. Les méthodistes ont dit : « Quand vous êtes suffisamment heureux, au point de crier, c’est Cela. » Les pentecôtistes disent : « Si vous parlez en langues, vous avez la Chose. » Et nous voyons que tout cela, c’était faux. Voyez ? Le Signe reste le Signe. Il s’agit de Christ et de vous en tant que des personnes unies. Vous voyez ? C’est le Saint-Esprit, Sa Vie en vous, menant Sa – Sa Vie même en vous. Cela est pour le riche, le pauvre ou quiconque veut Le recevoir.

15 A présent, n’oubliez pas, le Signe, c’est ce que vous… Vous allez à une société des chemins de fer, et vous y achetez votre billet. Il y a un prix, un coût, par exemple, cela coûte 50 cents pour emprunter cette – cette ligne de bus ou plutôt pour ce train qui part d’ici vers Charlestown, en Indiana, le coût est de 50 cents. Eh bien, à présent, la société émet des tickets en sorte que… Vous voyez ? Eh bien, voici ce que vous faites : vous vous rendez là, [à la société des chemins de fer] et quelqu’un achète pour vous un billet à 50 cents. On vous remet un billet qui vous donne accès à ce train jusqu’à sa destination, c’est-à-dire n’importe où va le train. Vous voyez ? Cela vous accorde… Cela est un signe.

16 Eh bien, dans ce cas, le sang était le signe. Littéralement, il devait être appliqué, car il s’agissait d’une substance chimique, et c’est tout ce qu’on avait ; en effet, il s’agissait du sang d’un agneau, un animal, le sang d’un agneau. Ainsi, la vie qui était dans le sang, la vie qui était sortie… Le sang avait donc été versé. Vous voyez ? La vie était sortie, mais elle ne pouvait pas revenir sur le croyant, parce qu’il s’agit d’un animal. Mais cela parlait uniquement d’une bonne conscience disant qu’une Personne allait venir, un Sacrifice parfait. Et pour que ce Sacrifice soit parfait, le Juge suprême, le Dieu du Ciel est devenu ce Sacrifice, Juge, Jury et Avocat. Vous voyez ? Il est devenu le Sacrifice, et ensuite quand Sa Vie est sortie, Laquelle était Dieu… Et le terme à l’origine, là où il est dit : «Maintenant, Je leur donnerai la Vie Eternelle. »… Eh bien, en Grec… Je sais que je parle aux érudits. J’en vois deux ou trois. Voyez ? « Et je… » Et le terme grec pour cela, c’est « Zoé », Z-ô-ê, en grec signifie « la Vie même de Dieu. » « Et Je leur donnerai Zoé, Ma propre Vie. » Christ et Dieu étaient Un.

17 Ainsi, la Vie qui était en Christ, c’est le Saint-Esprit, pas une troisième personne, mais la même Personne, sous la forme du Saint-Esprit, venant sur vous en tant que Signe montrant que votre vie et votre billet ont été payés. Vous avez été agréé. Avant que ce Signe vienne, vous n’avez pas accès à cette autoroute. Vous n’avez pas accès dans cette – à cette… ligne de bus. Vous ne pouvez pas monter à bord à moins que vous présentiez le signe, et ce signe, c’est votre billet. Et maintenant, le Signe prouve que le Sang a été versé et qu’Il a été appliqué sur vous, le prix a été appliqué sur vous, et vous avez le Signe montrant que le Sang a été appliqué sur vous et que vous avez été agréé. Comprenez-vous maintenant ? Oh ! la la ! Oh !

18 Eh bien, eh bien, il n’y a pas… Il n’y a pas une évidence certaine. Voyez, vous direz : « Frère Branham (je perçois vos pensées, vous voyez ?), comment le saurais-je ? » Ecoutez. Qu’étiez-vous ? Et qu’êtes-vous ? C’est ainsi que vous le saurez ? Vous voyez ? Qu’étiez-vous avant que ce Signe soit appliqué ? Qu’êtes-vous après qu’Il a été appliqué ? Quels étaient vos désirs avant et quels sont vos désirs après ? Vous saurez alors si le Signe a été appliqué ou pas. Et ces autres choses L’accompagnent automatiquement. Voyez ? Ce – ce n’est pas…

19 Si par exemple en parlant de cela vous dites : « Les langues sont l’évidence.» Eh bien, si j’achetais une paire de souliers, la languette du soulier n’est pas le soulier. Voyez ? Elle va de paire avec le soulier. Eh bien, c’est la même chose en ce qui concerne le Signe. Le Signe, c’est Christ. Mais parler en langues, chasser les démons et faire toutes ces choses, prêcher ou n’importe quoi, c’est l’évidence qu’Il est là, c’est vrai ; mais c’est… Ce n’est pas Lui. Voyez ? C’est Son don.

20 Si je vous disais que… Si vous dites : «J’ai besoin de vous, Frère Branham », et que je vous donnais un cadeau, voyez, eh bien, cette chose-là, ce n’est pas moi, c’est mon don. Les langues sont un don du Saint-Esprit et non le Saint-Esprit, c’est un don du Saint-Esprit.

21 Et le diable peut imiter chacune de ces choses. Mais il ne peut être le Saint-Esprit. Voyez ? Il peut imiter ces dons, mais il ne peut être le Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit, c’est le Signe montrant que le Sang a été appliqué, parce qu’Il suit le Sang tout au long du Livre de la Rédemption. Voyez-vous cela? C’était le but de Sa Venue. C’est ce qu’Il a poursuivi dans chaque âge. Dans chaque âge, Il a suivi cela pour veiller à ce que cela soit produit. Et eux ne pouvaient pas être amenés à la perfection sans nous. Et maintenant, le Saint-Esprit dans Sa totalité visite l’Eglise, faisant que Dieu soit dans une chair humaine, comme Il l’a été avant Sodome, sa destruction par le feu, ce qui était un type. Ensuite, Il est apparu à Abraham.

22 Et toutes les choses qu’Il n’a pas faites au cours des âges, dans les âges de l’église, Il les accomplit maintenant. Un retour à la Parole, parce que des messages et des messages et des messages doivent aboutir à la Parole entière. Et dans les derniers jours, les Sept Sceaux qui ont été ouverts devront prendre toutes les choses éparpillées qui avaient été mises de côté, les mettre ensemble pour reconstituer le grand Corps de l’Epouse, afin que ceux qui ont vécu autrefois là-bas et qui ne pouvaient pas être parfaits avant que cette Eglise soit parfaite, le groupe de l’Epouse des derniers jours, afin qu’ils entrent et que tous ensemble, ils soient enlevés. Voyez ?

23 Le Signe, Jésus-Christ, le Saint-Esprit, est au milieu de nous. Nous devrions avoir de la révérence envers Cela. Nous – nous – nous ne nous abaisserons jamais assez. Enlever les souliers ou s’agenouiller ne pourront jamais répondre à cela, cela n’apportera pas de satisfaction, cela ne nous suffira pas, mais une vie qui porte les fruits de l’Esprit…

24 Eh bien, quels sont les fruits de l’Esprit ? Voyez ? L’amour, la joie, la paix…

25 Vous souvenez-vous de ce matin ? La préparation. Dieu a envoyé le messager avec le message. La chose suivante qu’Il a faite, après qu’Il a envoyé le messager avec le message, c’est qu’Il a envoyé la Colonne de Feu comme confirmation. La chose qui a suivi cela, c’était la consolation. Voyez ? Vous avez su que c’était vrai, vous avez reçu la paix. Nous avons la paix avec Dieu par Jésus-Christ. Voyez ?

26 Eh bien, ce soir, nous allons prier pour les malades. Et je pense qu’on prendra la communion. [Frère Branham converse avec frère Neville. – N.D.E.] Vous – vous n’avez pas de baptême, de service de baptême ? Rien que la communion – la communion. Et nous voulons que vous restiez pour la communion, et avec cela… Et dans trente cinq ou quarante minutes, nous voulons terminer et être prêts pour la communion.

27 Eh bien, demain, c’est la fête du travail… Vous pouvez donc vous reposer un peu. Eh bien, j’ai dit que c’était là mon intention. Vous voyez ? Nous ne saurons pas ce que le… Je voudrais m’assurer que j’ai corrigé cela.

28 Eh bien, ce matin, je vous disais... n’étant pas avec vous, je – je pense que nous avons pris encore un message de deux ou trois heures ce matin. Mais… mais je – j’ai commencé et je me disais que j’allais continuer avec cela jusqu’à ce soir, mais c’était également d’un niveau très élevé. Je ne sais pas si oui ou non les gens l’ont saisi. J’espère qu’ils ont saisi cela, partout. J’espère qu’il y avait des bandes de bonne qualité sur cela, pour que cela soit apporté à l’extérieur afin que l’on sache que je crois que de tous les messages que j’ai prêchés, celui-là était inspiré de Dieu, qu’il sortait de la ligne de ma commission ordinaire ; qu’il était dans la même ligne que les Sept Sceaux et le reste, qui ont été directement la Parole de Dieu. Je parlais d’un message à prêcher, je pense que celui-là en était un (voyez), c’est le – le – le message qu’il faut pour faire suite à ces Sept Sceaux.

29 Eh bien, voyez ce qui vient après les Sept Sceaux : l’unité des gens, l’unité des signes, le feu rouge clignotant dans ces derniers jours, le signe des femmes qui deviennent plus jolies, et les hommes, ce qu’ils feraient ; tous ces signes du Saint-Esprit qui [nous] conduit, et ensuite on est encore arrivé ici, au couronnement de tous ces messages depuis les Sept Sceaux.
Cela trouve son couronnement en cette seule chose : le Signe, qui montre que nous sommes parfaitement en règle. Voyez ? Examinons-nous pour voir si nous sommes dans la foi.

30 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse ! Et maintenant, avant que nous… Avant que nous ouvrions la Bible… Pour prier pour les malades… Nous demandons, ce matin, combien ont été guéris parmi ceux pour qui on a prié le dimanche passé ; ceux qui sont déjà guéris cette semaine ? C’est pratiquement tout le monde qui a levé la main. C’était au cours de la réunion de dimanche dernier. Eh bien, c’est quelque chose… Vous comprenez. C’est quelque chose qui est… C’est – c’est… J’ai saisi cela de moi-même.

31 Il y avait un petit garçon… On venait de nous dire qu’il est venu de Chicago, une petite dame. (Quelle était cette dame ?) [Frère Branham demande à frère Neville le nom de la femme. – N.D.E.] Peckenpaugh – Madame Peckenpaugh de – de… C’était une très bonne soeur chrétienne. Et elle avait amené quelqu’un, un – un enfant, d’après ce que j’avais compris, un petit garçon ou quelqu’un d’autre, dont – dont les médecins ne savaient même pas de quoi il souffrait. Ses poumons étaient en si mauvais état ou quelque chose du genre, au – au point qu’on ne pouvait faire – qu’on ne pouvait pas l’envoyer à l’école ou quelque chose comme cela. Ils étaient en très – très mauvais état. Et il a été dit… Juste après le message. Le Saint-Esprit a parlé au petit garçon et l’a appelé, lui a révélé son état et tout et a déclaré sa guérison. Et cette semaine, il est allé… Sa mère ou les parents ou je ne sais qui l’a encore amené chez le médecin, et le médecin a déclaré qu’il avait de nouveaux poumons, vous voyez, de nouveaux poumons. Et si j’ai compris… Les parents ou quelqu’un d’autre a téléphoné de très loin pour annoncer cela à l’assemblée, vous voyez ?

32 Eh bien, Dieu le Créateur peut créer des poumons neufs. Je – je crois réellement que nous sommes au – au bord de l’une des plus grandes choses qui aient jamais frappé la terre depuis l’époque… Voyez ? Mais maintenant, nous sommes simplement reconnus comme… Ce sera humble. Vous voyez ? Vous voyez, ce que l’homme appelle grand, Dieu l’appelle abomination. Mais ce que l’homme appelle folie, Dieu l’appelle grand. Vous voyez ? Mais maintenant, observez cela, voyez, ce sera si humble que vous ne manquerez jamais – que vous le manquerez si vous n’avez pas reçu le Signe là pour examiner cela. Vous voyez ? Vous voyez ?

33 Qui aurait jamais pensé que les montagnes étaient en train de sautiller comme des veaux et que les feuilles étaient en train de battre leurs mains, quand ce prophète est venu du désert, ce dont avait parlé Esaïe, mille deux cents ou sept cent douze ans avant, ce prophète dont le visage était tout couvert de barbe, vêtu d’une peau de brebis, n’ayant même pas une chaire où prêcher, et qui avait été chassé de toutes les églises, et qui se tenait là sur les rives du Jourdain en train de crier : «Repentez-vous. » Il traitait les gens de race de vipères, de serpents. Pourtant, c’est ce que Dieu avait annoncé, que lorsqu’Il viendrait, les montagnes sautilleraient comme des veaux. Vous voyez ? Les humbles ont vu cela et se sont réjouis.

34 Comment pouvait-on comprendre qu’on – que ce Grand Messie dont la prophétie avait annoncé la Venue depuis le tout début du Livre, dans la Genèse, un Sauveur… Tous les sacrifices, tous les prophètes et tout pointaient vers Lui. Et ensuite, quand Il est venu par une naissance qu’on prétendait être illégitime, le père qui n’était même pas encore marié à Sa mère, soi-disant… Voyez ? Et la femme a été trouvée enceinte avant même qu’elle soit mariée. Et Il est venu dans un tel… Et Il est né dans une – une petite… Eh bien, dans la Bible on parle d’une étable. Mais une étable, à l’époque, c’était une caverne au fond – au fond d’une muraille. J’ai vu une place du même genre dans l’Arizona une fois au cours d’une partie de chasse. Il y avait une étable au fond, sous une falaise de pierres. Et c’est dans ces conditions-là que Jésus est né, là au fond, dans cette petite étable, au pied d’une falaise, dans une crèche de paille et de foin, une étable de boeufs, vous voyez, où était le bétail.

35 Il a été élevé comme un aide-charpentier, comment pouvait-Il être le Puissant Jéhovah ? Mais Il était… Vous voyez, Il L’était. Voyez-vous ? Il était un genre d’Homme très étrange, mais oh, quand Il était un jeune Garçon, Il avait confondu les sacrificateurs par la connaissance qu’Il avait de cette Parole, car… Pourquoi ? Il était la Parole. Vous voyez ? Il était la Parole. Il n’a jamais écrit un livre. Il n’a jamais écrit un… Il n’a jamais griffonné un mot. Le seul écrit qu’Il ait jamais griffonné, je pense, et qu’Il a effacé, sur le – sur le sable, c’était quand la femme avait été surprise en flagrant délit d’adultère. Il n’a jamais griffonné un mot, pourquoi ? Il était la Parole. Vous voyez ? Il était la Parole. Il n’était pas obligé d’écrire Cela. Il vivait la Parole. Il était la Parole. S’il… « Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. » Voyez ? « Si Je ne fais pas exactement ce que la Parole a dit que Je ferais, alors Je ne suis pas la Parole. » Mais si… C’est ce qu’Il voulait dire. Il est la Parole.

36 Ainsi donc, préparez-vous maintenant pour le – le prochain service de guérison et la communion. Nous serons heureux de vous voir rester avec nous si c’est possible. Si ce n’est pas possible, nous allons vous congédier aussitôt.

37 Et ne l’oubliez pas, priez pour moi et priez pour mon épouse, la femme la plus douce du monde entier, ainsi que pour mes enfants. Et maintenant, je les réclame tous pour le Seigneur Jésus.

38 Eh bien, Becky a atteint exactement l’âge des petites « Ricketta » vous savez, juste une petite « adolescente » comme nous l’appelions autrefois. Et elle traverse donc cet âge-là. Mais maintenant, elle est une fille très gentille. Je – je remercie le Seigneur pour cela. Elle ne fume pas, elle ne boit pas, elle ne court pas çà et là, rien du tout. Mais elle traverse vraiment cet âge-là… Elle est insouciante. Elle n’aime pas aller à l’église, et quand elle y va, elle s’assied là au fond, mâchant son chewing-gum, elle se lève et sort. C’est… Vous voyez, je veux la voir remplie du Saint-Esprit.

39 J’aimerais voir Joseph. Je veux que ce garçon… Je pense qu’un jour, quand je ne pourrais plus monter en chaire, je voudrais prendre cette vieille Bible usée et La lui remettre en disant : « Joseph, accroche-toi à Elle, mon fils. » Alors, je serai prêt à monter au Ciel. J’aimerais entendre le vent souffler de quelque part, lever les yeux, agiter ma main et m’en aller.

40 Prions. Dieu notre Père, toute notre vie est enveloppée là-dedans, car il s’agit de Toi, et Tu es notre Vie. Maintenant, il y en a ici, Seigneur, qui – qui ont même ce Signe dont j’ai parlé. Ils ont reçu ce Signe, mais ils sont malades. Et j’aimerais prêcher ce soir pour leur redonner courage, pour – pour les encourager à entrer en possession de ces droits donnés par Dieu. Ils ont le droit de vaincre ce démon. Il a déjà été vaincu, et il est en train de les tromper. Je les réclame, Père.

41 Maintenant, aide-moi à prêcher la Parole. Parle au travers de moi, Seigneur, à l’aide de ces quelques notes que j’ai écrites ici et de ces quelques Ecritures transcrites ici. Je Te prie de m’aider, Seigneur, à entrer dans la Parole et à leur donner la foi pour la gloire de Dieu. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

42 Eh bien, rapidement, j’aimerais que vous ouvriez la Bible dans le Livre de Jérémie au chapitre 29, si vous voulez lire ou si vous ne le voulez pas, notez cela : Jérémie, chapitre 29, nous allons commencer au verset 10 de Jérémie, le verset 10 du chapitre 29. Nous allons aussi lire dans Luc au chapitre 16 à partir du verset 14.

43 Maintenant, je vais donner mon sujet pendant que vous – vous – vous ouvrez vos Bibles. Mon sujet ce soir, c’est : Le désespoir. [Poussé à bout – N.D.E.] Et je… Le désespoir. Et maintenant… Vous savez ce que signifie « le désespoir? » Et maintenant nous allons lire dans Jérémie chapitre 29, verset 10 : Mais voici ce que dit l’Eternel : Dès que soixante-dix ans seront écoulés pour Babylone, je me souviendrai de vous, et j’accomplirai à votre égard ma bonne parole, en vous ramenant dans ce lieu. Car je connais les projets que j’ai formés sur vous… (C’est bon, n’est-ce pas ?) dit l’Eternel, pro-… projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. Vous m’invoquerez et vous partirez ; vous me prierez et je vous exaucerai. Vous me chercherez et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l’Eternel, et je ramènerai vos captifs ; je vous rassemblerai de toutes… nations et de tous les lieux où je vous ai chassés, dit l’Eternel, et… vous ramènerai dans – dans le lieu d’où je vous ai fait aller en captivité. (Un retour à la Pentecôte…. C’est moi qui ai mis cela, ce n’est pas ce qui est écrit, c’est ce que je voulais dire à l’église.) Luc 16, à partir du verset 15 – ou plutôt du verset 16. La loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean; depuis lors, le royaume de Dieu est annoncé, et chacun use de violence pour y entrer – chacun use de violence pour y entrer. (On n’y entre pas facilement, mais il faut y entrer en usant de violence. Voyez-vous?)

44 Bon. « Si vous Me cherchez de tout votre coeur, alors vous Me trouverez. » Et Il a promis de revenir pour ramener les gens qui étaient dispersés dans le monde entier après ces soixante-dix ans, à Jérusalem d’où ils étaient partis, et Il l’a fait exactement ainsi. C’est vrai.

45 Eh bien, nous allons donc parler de – de Etre poussé à bout pour quelques minutes. Généralement, il faut un état d’urgence pour nous plonger dans le désespoir. Voyez ? C’est vraiment dommage qu’il doive en être ainsi. Mais les hommes sont si lents d’esprit qu’il faut une urgence, quelque chose qui surgit, et quand cela leur arrive, alors cela les plonge dans le désespoir. Et quand ils sont réellement dans cette condition, étant poussés à bout, cela dévoile ce que vous êtes réellement. Cela montre de quoi vous êtes fait, quand vous êtes poussé à bout. Généralement, cela manifeste toutes les bonnes choses qui sont en vous.

46 A l’heure de la mort, j’ai entendu des gens dire des choses qu’ils avaient gardées secrètes toute leur vie, quand ils étaient sûrs qu’ils allaient mourir, ils… [Frère Branham parle d’une voix haletante imitant quelqu’un qui est dans le désespoir. – N.D.E.] Etant dans le désespoir, ils cherchaient à confesser cela. Voyez ? Et ils essayaient de dire : « Et… Prenez telle chose… et… Allez… S’il vous plaît. Allez… Faites-le. » Voyez ? Ils étaient dans le désespoir. Ils auraient dû faire cela avant, voyez, au lieu d’attendre le temps d’urgence. « Voulez-vous faire telle et telle chose pour moi ? » L’urgence fait que l’on soit dans le désespoir alors qu’on devrait faire les choses sans urgence.

47 Eh bien, nous voyons ce soir que nous prenons les symboles de la Pâque. Et la Pâque était prise dans l’urgence au moment où les gens étaient dans le désespoir. Si vous remarquez bien dans – dans Exode, chapitre 12, verset 11, je crois que c’est cela, il est dit : « Vous mangerez cette Pâque avec vos souliers aux pieds, vos reins ceints et votre bâton à la main. » Vous voyez, vous la mangerez dans un état d’urgence.

48 Ils avaient vu la grande main de Dieu. Ils avaient vu tous Ses miracles, et ensuite ils se sont mis sous le signe du Signe. Et pendant qu’ils étaient sous le signe du Signe, ils ont pris la communion étant – étant poussés à bout, car ils savaient qu’à ce moment-là, Dieu s’apprêtait à frapper par les jugements.

49 C’était un temps de secousse. C’était un temps où chaque homme s’examinait, car pas une seule fois la Parole du prophète n’a failli. Elle était prouvée comme étant la Vérité. Tout ce qu’il disait s’accomplissait exactement tel qu’il l’avait dit. La Colonne de Feu était toujours là. Et ensuite, le prophète a annoncé que Dieu ne passerait par-dessus que s’Il voyait le signe sur la porte. Et c’était une urgence.

50 Je m’imagine que les enfants étaient… Quand ils ont vu ces grandes ailes sombres descendre du ciel comme une fumée qui planait au-dessus de la ville, des pleurs fusant de chaque maison, peut-être que les enfants étaient allés vers leurs pères pour demander : « Papa, es-tu sûr que nous sommes sous le Signe ? »

51 Et le père pouvait aller à la porte jeter un coup d’oeil au poteau et au linteau et dire : « Mon fils, la chose est conforme à Sa Parole. »
« Papa, n’oublie pas que je suis le fils aîné, es-tu sûr ?»
« Je suis sûr. C’est conforme à ce que le prophète nous a dit, et il a la Parole du Seigneur. Dieu a dit : "Quand Je verrai le sang, Je passerai par-dessus vous. Prenez un agneau par famille." Je vous ai emmenés tous, vous les enfants, sous le sang. Tu es le plus âgé de mes fils, mon fils aîné ; et ce sont les premiers-nés qui se meurent là dehors. Mais il y a le sang. C’est ce qu’était l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Repose-toi donc, repose-toi à l’aise, mon fils, car Dieu a fait la promesse. Vous voyez ?
«Eh bien, Papa, pourquoi as-tu porté tes souliers ? Pourquoi as-tu ce bâton dans ta main ? Pourquoi as-tu un morceau de pain dans une main et de la viande d’agneau dans l’autre ? Pourquoi ces herbes amères et tout ? Pourquoi manges-tu cela? Pourquoi ton visage est-Il en sueur?».
«Fils, la mort est prête à frapper». Voyez, c’était un temps d’urgence.

52 Eh bien, je pense que nous vivons dans les jours où nous sommes… 0u en d’autres termes, les jours dans lesquels nous vivons devraient amener l’Eglise à être complètement poussée à bout. Je pense qu’à partir du message de ce matin, ce message venant de Dieu, non de moi, je pense que cela devrait faire que toute cette assemblée soit à bout, car nous nous sommes assez longtemps amusés, il y a longtemps que nous fréquentons l’église. Il nous faut faire quelque chose.

53 Comment se fait-il que nous pouvons voir d’autres grands signes et prodiges s’opérer chez les autres et qu’en est-Il de nous ? Cela devrait provoquer un état d’urgence, qui devrait faire que nous soyons déterminés, devant Dieu. Les signes de Sa Venue devraient amener toute cette assemblée, après que nous avons lu cela dans la Parole… Et le Saint-Esprit nous a dit : «Allez à tel endroit, il arrivera telle chose. » Il ne nous a pas dit ce que c’était, mais cela arriverait. Nous nous y sommes rendus et la chose s’est accomplie à la lettre. Les journaux ont publié cela. Les magazines ont publié cela et en ont publié la photo.
Nous sommes revenus ici et nous avons vu ces glorieux mystères qui étaient cachés dans la Bible nous être révélés dans un nouveau domaine, que nous ne connaissions pas auparavant, mais cela concorde parfaitement avec la Venue du Seigneur Jésus.

54 Ensuite, à la fin des messages, nous voyons l’action du Glorieux Saint-Esprit, nous Le voyons descendre visiblement devant les gens, on En a même pris des photos, nous L’avons vu agir, montrant qu’il ne s’agit pas d’un homme, qu’il ne s’agit pas simplement d’un prédicateur, ni d’une certaine assemblée ; il s’agit du Saint-Esprit montrant la même chose qu’Il avait faite quand Il était incarné dans le Corps de Jésus-Christ. Maintenant, Il est incarné dans le corps de Son Epouse. Cela devrait nous pousser à bout.

55 Ces gens ont vu la main de Dieu. Et en cette nuit de la communion, ils ont pris celle-ci avec – étant dans un état d’urgence, car ils savaient que quelque chose était prêt à arriver. Et nous savons que quelque chose est prêt à arriver. Et ne l’oubliez pas, la Venue du Seigneur sera un départ soudain et secret. Il viendra et enlèvera Son Epouse comme un voleur dans la nuit. Et de penser que si quelqu’un… Et tout à coup, des membres de notre famille seront partis ; et vous serez laissés derrière. Cela devrait nous pousser à bout de telle sorte que par la grâce de Dieu, nous ne soyons pas laissés derrière. S’il y a une chose que je n’aimerais pas… Ne – ne me laisse pas, Seigneur.

56 Il y a quelques jours, j’écoutais Mel Johnson chanter ce cantique: Souviens-Toi de moi quand les larmes coulent. (Oui)
Souviens-Toi de moi quand les amis ne seront pas là,
Quand je traverserai ce Jourdain,
Quand Tu appelleras les noms, souviens-Toi de moi.

57 Et je veux que mon nom soit inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. Je voudrais qu’Il se souvienne de moi quand Il fera l’appel. Et cela me pousse à bout, c’est-à-dire, comme Paul l’a dit : « Après que j’ai prêché l’Evangile, devrais-je devenir un intrus ? Devrais-je devenir un proscrit ?» Ça se pourrait. Cela me met dans un état d’urgence ; cela me pousse à bout de penser qu’après toutes ces années de prédication… Devrais-je… ? Pourrais-je en arriver à Le décevoir ? Et maintenant que vais-je faire ? Que vais-je faire par la suite ? Cela me plonge dans un état de nervosité, de penser à ce que je vais faire. Cela m’amène dans les montagnes et dans les vallées. Et c’est dur, car lorsque je suis avec les gens, il me faut être tout vis-à-vis de tout le monde en sorte que je puisse en gagner quelques-uns à Christ, avec toutefois ce Signe devant moi. Voyez ?

58 Je vois des choses surgir, et on ne peut pas en parler aux gens. Vous voyez beaucoup de choses, et il ne vous est pas permis d’en parler. Ces visions que les gens cherchent, parfois, les gens seraient peinés si on les leur racontait. Et vous êtes mieux avisé de ne pas le faire. Et ensuite, vous entrez très profondément dans les visions à tel point que tout devient une vision et cela vous plonge dans un état de nervosité. Vous – vous regardez et vous vous demandez : « Eh bien, suis-je dans une vision ? » C’est comme me tenant là, je me demande : « Est-ce une vision ? Où est-ce que je me tiens réellement ? » Voyez-vous ? Vous vous surchargez de travail, vous vous surmenez. Et vous découvrez chez des gens des choses que vous souhaiteriez ne pas connaître. Les gens qui recherchent ces choses, ceux qui cherchent à savoir ces choses, ils ne se rendent pas compte de ce que ça coûte d’avoir un tel genre de ministère. Vous ne savez pas ce que cela entraîne. Ensuite, cela vous plonge dans un état de désespoir, vous dites : « Seigneur, je sais que j’aurais à répondre. »

59 Une fois, Jack Moore m’a dit : « Je n’aimerais pas avoir à répondre comme vous aurez à le faire au jour du Jugement. » Il a ajouté : « Dieu a mis ces gens entre vos mains, vous aurez à rendre compte pour chacun d’eux. Vous aurez à répondre pour votre ministère ; » il y a de cela quinze ans ou peut-être dix-huit ans ; et depuis lors, je suis poussé à bout. Que ferai-je ? Que je ne dise que ce que Tu dis, Seigneur. Que je leur dise la Vérité ou que je ne dise alors rien de tout ! Cela me pousse à bout.

60 Ensuite, de voir ces signes qui s’accomplissent, en voyant le Saint-Esprit nous amener là-bas et apporter ces Sceaux et en faire des provisions comme cela, prendre les âges de l’église et emmagasiner cela, et ensuite Il est descendu là sous la forme d’une grande Colonne de Feu là-bas, et – et Il s’est révélé. Ensuite, Il est descendu pour la chose suivante, les Sept Sceaux et les a révélés, et cela a été même publié dans les journaux, les magazines. Ensuite, Il est descendu prendre les Anges de Dieu, ces sept Anges qui avaient sept Messages et confirmer cela tel que la Bible le dit ; ensuite, pendant ce temps-là, on a apporté ces Sceaux… Ces signes et ces lumières clignotantes du temps de la fin. Puis, Il a apporté cela aux gens et leur a révélé ce que c’est, et tout ce qu’il en est ; le Seigneur agissant juste là, se montrant Lui-même comme étant présent ; et ensuite, immédiatement après, comme ce matin, Il veut exiger ce Signe sur chaque personne. Vous êtes donc les miens. Vous êtes ceux que j’aime, ces gens-ci, ainsi que ceux qui suivent ces bandes et les autres. Vous voyez donc combien cela me pousse à bout.

61 Poussé à bout ; les signes de Sa Venue devraient donc pousser chaque membre de Christ à bout, concernant nos âmes, concernant notre – notre – notre récompense de l’autre côté. Eh bien, à quoi servira-t-il de gagner le monde entier ? Pourquoi est-ce que nous – pourquoi vivons-nous ? Pourquoi travaillez-vous ? Pourquoi mangez-vous ? Pourquoi luttez-vous ? Pour vivre. Pourquoi vivez-vous ? Pour mourir. Et vous n’êtes pas digne de vivre avant que vous soyez prêt à mourir. C’est vrai.

62 Et nous avons vu tant de miracles de guérison, cela devrait donc nous pousser à bout.

63 Si ce petit garçon… Je… Est-ce madame Peckenpaugh que je suis en train de regarder maintenant? Est-ce madame Peckenpaugh? Est-ce vous qui avez amené ce petit garçon ici, quelque chose comme cela? Eh bien, voici assise juste ici la dame dont je parlais. Il s’est fait qu’en regardant, je l’ai vue.

64 Eh bien, si Dieu a pu faire cela pour ce petit garçon, cela devrait vous pousser à bout.

65 Il y a un – un homme de New Albany, il est peut-être ici ce soir. C’est un ami à mon frère Roberson, celui qui avait un petit garçon ici. Je pense que c’est son épouse qui avait autrefois le cancer, et elle en a été guérie. Et – et maintenant, ce petit garçon est si gravement atteint de l’asthme qu’il est dans un état grave. Le petit ami, avec pratiquement le cancer dans sa gorge… Vous voyez? Et alors, il a amené le petit garçon (oui, je vois qu’il a levé la main là au fond, là-derrière), on a prié pour lui ce matin. Vous voyez? Poussé à bout…

66 Quand son épouse était sur le point de mourir du cancer, il était certain que Dieu pouvait la guérir. Si Dieu a pu guérir son épouse, Dieu peut guérir le garçon. Cela pousse à bout. Vous voyez? Vous devez venir, et quand vous êtes poussé à bout, alors Dieu va vous écouter. Mais si vous êtes mou et que cela ne vous préoccupe pas, qu’Il le fasse ou pas, eh bien, alors c’est différent. Vous dites que cela vous préoccupe, mais il faut être poussé à bout pour parvenir à cela.

67 Je crois que la raison pour laquelle nous ne sommes pas poussés à bout, c’est par manque d’amour, l’amour de Dieu. Je crois que l’amour de Dieu pousse à bout. Si Dieu est en vous, et que le Signe est au-dedans de vous, quand vous voyez les conditions du moment et les gens qui pataugent dans le péché tel qu’ils le font, cela va vous pousser à bout. Je crois que c’est ce qui se fera.

68 Or, la Parole déclare clairement (si vous voulez noter cela), dans Galates 5.6 que la foi est agissante par l’amour. Vous voyez? La foi est agissante par l’amour. Et le seul moyen pour que vous puissiez avoir la foi, c’est d’avoir d’abord l’amour. En effet, après tout, la foi incite à l’amour. Une incitation, c’est exactement ce que – ce qu’est la foi, elle incite à l’amour. Eh bien, vous – si vous n’avez pas l’amour, vous ne pouvez pas avoir la foi. Vous voyez ?

69 Comment pouvez-vous avoir la foi dans votre femme si vous ne l’aimez pas? Ça, c’est dans l’amour philéo. Eh bien, qu’en est-il de l’amour agapao envers Dieu? Comment cela peut-il se faire si vous n’aimez pas Dieu? Si vous dites que vous aimez votre femme et que vous ne le lui dites jamais, et que vous ne vous assoyiez jamais pour lui faire l’amour, pour lui exprimer cela, l’embrasser, l’étreindre, lui dire qu’elle est la meilleure cuisinière du pays, tout ce que vous savez, combien elle est belle et combien vous l’aimez; si vous ne faites pas cela, elle ne le saura jamais. C’est comme ça. Si vous l’aimez vraiment, vous exprimerez cela.

70 C’est ce que nous faisons vis-à-vis de Dieu. Quand nous L’aimons, nous le Lui disons. Nous nous assoyons et nous L’adorons, nous Lui rendons un culte, et… vous voyez, l’amour nous pousse à faire cela.

71 Eh bien, qu’en serait-il s’il faut que quelque chose soit fait pour votre épouse? Eh bien, vous serez poussé à bout afin que cela soit fait. Qu’en serait-il si quelqu’un déclarait que votre épouse a le cancer? Qu’en serait-il si quelqu’un disait que votre – votre épouse avait la tuberculose, et qu’elle était sur le point de mourir? En dépit de tout, vous – vous feriez n’importe quoi, vous voyez, cela vous pousserait à bout.

72 C’est la même chose. Nous devons avoir l’amour avant de pouvoir avoir la foi, et la foi… Quand nous avons le véritable amour, que fait-il? Il amène notre foi au front pour Dieu. Le véritable amour divin pour Dieu, pour Sa Parole et pour Son peuple poussera la foi là. L’amour s’empare de la foi et – et… «Allez ! Partons !» et elle s’en va, car c’est ce que fait l’amour.

73 Dans Jean 14.23, Jésus a dit : « Si quelqu’un M’aime, il gardera Mes Paroles. » Or, vous ne pouvez pas garder Ses Paroles sans avoir la foi dans ce qu’Il a dit. Vous voyez donc, si quelqu’un aime Dieu, il garde alors la Parole de Dieu. Si Dieu a dit : « Je suis l’Eternel qui te guérit », lui il croit cela. L’amour lui fait croire cela, car l’amour domine sur tout. « Quand je parlerais des langues des hommes et des anges, et que je n’ai pas l’amour, ça ne vaut rien.» Vous voyez? « Quand j’aurais la foi pour déplacer des montagnes et que je n’ai pas l’amour, ça ne veut rien dire. » L’amour domine sur tout, car Dieu est amour, un Dieu d’amour. Bon. Absolument. Si Jésus a dit: « Si un homme M’aime, il gardera Mes Paroles »…

74 Nous savons qu’il est vrai que Dieu rencontrera une âme qui est poussée à bout. Eh bien, nous savons tous cela. Mais d’habitude, il faut que quelque chose nous pousse dans ce – dans ce désespoir, dans cet état où nous sommes poussés à bout. Il faut que quelque chose le fasse.

75 Nous voyons dans Jacques 5.15, la Bible dit que la prière fervente (c’est-à-dire qu’on est poussé à bout) – la prière fervente du juste a une grande efficacité. Quand un homme juste, un homme de bien est en travail ou que son âme voyage ou plutôt que son âme est en travail, l’un ou l’autre… [Frère Branham utilise le terme anglais « travel », qui signifie « voyage » au lieu du terme « travail », qui signifie « douleurs d’enfantement » – N.D.T.] (Je – je pense que voyage [En anglais : « Travel – N.D.T.] est le meilleur terme. Travail ou voyage [En anglais : « Travail » or « travel » – N.D.T.], l’un ou l’autre, le terme par lequel vous voulez désigner cela.) Mais quand une – l’âme est poussée à bout tandis qu’elle travaille, la prière fervente d’un homme qui peut montrer le Signe produit quelque chose. Vous voyez?

76 Remarquez ce que la Bible dit aussi ici dans Jacques 16… 5.16, il est dit: « Si… En confessant nos péchés (en nous mettant en ordre, nous préparant pour cela)… Confessons nos péchés les uns aux autres. » N’ayons point – point de péché… demandez aux gens de prier pour vous, confessant nos péchés les uns aux autres et priant les uns pour les autres… Voilà ! Ayant un amour – un amour tel que j’aurai confiance, et que je pourrai vous confesser mes torts. Vous pouvez me confesser vos torts; je vous aime tellement que je vais prier pour vous, et vous, vous prierez pour moi; et je m’en tiendrai à cela, à cette prière fervente jusqu’à ce qu’elle soit exaucée. C’est – c’est cela être poussé à bout. C’est la condition dans laquelle nous devrions être.

77 Prenons donc quelques exemples de cela dans les Ecritures, sur ce qui s’est passé; pendant environ quinze minutes encore, le Seigneur voulant.
Jacob… C’était un homme. Il était pour commencer un garçon du genre insouciant. Dans sa pensée, il considérait que le droit d’aînesse représentait tout pour lui, et cela lui importait peu comment il l’obtiendrait. Ainsi, il l’a tout simplement obtenu. Et après l’avoir obtenu, il pensait que tout était en ordre comme il avait le droit d’aînesse. Il pensait que la chose était réglée. Il s’est approché de son frère pendant que celui-ci était affamé et qu’il revenait des champs après s’être occupé du bétail et après avoir chassé les cerfs. Et son frère, il – il avait besoin d’un grand pot de potage, de lentilles sauvages et – et d’autres choses mélangées avec cela. Peut-être que ça a été très séduisant, quand un homme a faim, après avoir marché toute la journée. Et son frère a dit: « Je suis sur le point de m’évanouir. Donne-m’en un peu.»

78 Et Jacob a dit : « Eh bien, maintenant, si tu me jures que j’obtiendrai le droit d’aînesse. » Vous voyez? Le moyen de l’obtenir lui importait peu, il l’a donc obtenu. Et il pensait que lorsqu’il aurait obtenu le droit d’aînesse la chose serait réglée.

79 Vous, les pentecôtistes, c’est là que vous avez failli. Vous avez pensé que comme vous êtes nés de l’Esprit, nés de l’Esprit de Dieu, le droit d’aînesse, c’était réglé. Mais cela ne fait que commencer la chose. Souvenez-vous du message Ecoutez-Le, comment l’enfant, après qu’il était né dans la famille, il devenait un fils. Il avait droit au droit d’aînesse, mais il devait être éprouvé, il devait être éduqué en tant qu’un enfant. Et alors, s’il s’avérait qu’il n’était pas un enfant obéissant à la volonté de son père, alors il devait être… Eh bien, il n’obtenait pas le – le… Il n’était pas le… ne devenait pas héritier. Il n’héritait de rien, bien qu’il fût un fils. Mais il n’héritait de rien, s’il ne s’intéressait pas au travail du père.

80 Et ainsi, quand le Saint-Esprit est descendu sur les pentecôtistes et qu’ils – et que les dons et les choses qui étaient dans l’église ont commencé à être restaurés, ils se sont dit que comme ils étaient nés de l’Esprit, cela réglait la chose. Voyez. Mais vous voyez, il y a le placement du fils. Et après que le fils s’était avéré être un véritable fils, alors il était amené sur une place publique, et alors on le mettait sur une place surélevée et on lui changeait de robe, et on le mettait là sur une place surélevée, et alors ce fils était placé. Et celui-ci devenait l’héritier de tout ce que le père possédait.

81 Dieu a fait la même chose à Son Fils sur la montagne de la transfiguration. Celui-ci était couvert de – de la… d’une nuée et Il était transfiguré, et Ses vêtements resplendissaient comme le soleil, et une voix fit entendre ces Paroles : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute Mon affection. Moïse et la loi ont failli, et Celui-ci, c’est Lui. Ecoutez-Le. » Il était placé. Voyez?

82 Eh bien, Jacob pensait que comme il avait le droit d’aînesse, tout était fait. C’est ce qu’ont pensé les pentecôtistes, et ils se sont mis à organiser les – les unitaires, les trinitaires, et les « trinitariens » ainsi que toutes sortes d’organisations, à faire des histoires et à se tirailler les uns avec les autres ; cela a prouvé que le Signe n’était pas manifesté. La malice, l’envie, les querelles... Voyez? Mais c’est à cela que la chose a abouti.

83 Eh bien, vous voyez, Jacob s’est dit la même chose. Mais une nuit, il a craint pour sa propre vie, et il est tombé dans le désespoir. Quand il s’est dit ceci : « Juste là, de l’autre côté de la rivière, mon frère m’attend pour me tuer. Il va... » Vous voyez, le droit d’aînesse qu’il avait reçu était la chose qui allait causer sa mort. Et parfois, cette même chose que vous avez reçue, ce Saint-Esprit, et c’est… Et quand vous êtes né de nouveau de l’Esprit, si vous ne faites pas attention, cette même chose vous condamnera à la fin. C’est vrai. Les eaux mêmes qui ont sauvé Noé, ont condamné le monde. La chose que – que vous traitez de fanatisme pourrait être la chose même qui vous condamnera à la fin de la route.

84 Eh bien, Jacob était conscient du fait que sa vie était tout proche de la fin. Un messager est venu lui dire que son frère venait à sa rencontre, avec quatre cents hommes armés ; Jacob savait que son frère – que son frère venait pour l’attaquer. La crainte s’est emparée de lui. Il a envoyé des hommes au devant avec des boeufs, du bétail et des moutons pour donner une offrande de paix à Esaü. Puis après cela, il a envoyé un autre groupe avec un autre tas de présents. Ensuite, il a envoyé un autre groupe avec un autre tas de présents, cherchant que ces choses le rencontrent premièrement, pour essayer de détourner la colère de son frère. Alors, il s’est mis à penser : « Cela ne l’arrêtera pas, parce qu’il est probablement plus riche que moi. Il n’en a pas besoin. » Ensuite, il a pris ses femmes ainsi que ses petits enfants et les a envoyés de l’autre côté, afin qu’Esaü les voie. Certainement qu’il ne tuerait pas tous ses propres petits-neveux et petites-nièces. Esaü s’est donc calmé et il ne les a pas tués. Dieu sait comment avoir un homme. Jacob a traversé le ruisseau. Là, il s’est agenouillé. Vous savez, il était en quelque sorte une espèce de petit escroc avant cela. Excusez-moi l’expression, mais une espèce de petit... Il était un Jacob. « Jacob » signifie « un trompeur », et c’est ce qu’il était. Mais quelque chose devait lui arriver. Là pendant qu’il était dans le désespoir, là quand la mort se tenait devant lui...

85 Ce soir, il se peut qu’il y ait des hommes et des femmes qui sont assis ici et devant qui la mort se tient, et la seule façon pour que vous soyez en mesure d’obtenir la chose que vous désirez, c’est de venir avec désespoir et de dire : « Je dois l’avoir ce soir. Je dois l’avoir maintenant, sinon, c’en est fini de moi. Demain, c’est trop tard; je dois l’avoir maintenant. » Quand vous priez pour le baptême du Saint-Esprit, le Signe, ne dites pas : « Eh bien, je vais donc aller essayer. Seigneur, je – je suis un peu fatigué. » Oh, miséricorde ! Restez sur votre siège. Ne – n’essayez même pas. Si vous venez en disant : « Je passerai dans la ligne de prière pour qu’on me mette de l’huile sur la tête, et je verrai si cela me fera du bien. » Vous feriez aussi mieux de rester là où vous êtes jusqu’à ce que vous en arriviez à ce point-là, jusqu’à ce que toute l’église arrive à ce point, entre la vie et la mort, comme quoi vous devez l’avoir maintenant sinon vous allez périr ; alors Dieu entrera en scène. Il faut être poussé à bout pour amener Dieu sur la scène.

86 Jacob a crié comme jamais auparavant. Désespérément, il a imploré jusqu’à ce qu’il a saisi Dieu; et quand il l’a fait, il n’a pas lutté pendant quinze minutes. Il a lutté toute la nuit pour Le garder dans son âme, cependant il savait qu’il n’avait pas [encore] reçu la bénédiction; et il a pu tenir bon jusqu’à ce que la bénédiction vienne. Il a lutté étant poussé à bout jusqu’à ce que la bénédiction vienne. Alors... Et quand il a vu... Avant que Dieu vienne sur la scène, il a donc dit étant dans le désespoir : « Je ne Te laisserai pas partir », et quand il a commencé à sentir la bénédiction descendre sur lui... Beaucoup de gens disent : « Gloire à Dieu ! Je L’ai reçu maintenant. » Là, vous êtes séduit. Ouais.
Quelqu’un dira : « Oh, je me sens si bien, Frère Branham, je suis allé là et j’ai prié. Oh, des frissons m’ont parcouru et je... » Il se peut que ce soit Dieu. « J’ai vu une grande lumière devant moi. » Cela pourrait toujours être Dieu, mais ce n’est pas de cela que je parle.

87 Dans Hébreux chapitre 6, la Bible dit : « La pluie tombe sur les justes et les injustes », exactement de la même façon. Eh bien, prenez du blé et des mauvaises herbes et mettez-les dans un champ. En réalité, la pluie est envoyée pour le blé, mais elle tombe sur les mauvaises herbes comme elle tombe sur le blé. Et la pluie... Et les mauvaises herbes sont tout aussi contentes de la pluie que le blé, et c’est exactement la même pluie. Le vrai Saint-Esprit peut tomber sur un incrédule et le faire agir exactement comme un croyant, mais c’est à leurs fruits qu’on les reconnaît. C’est de cela que je parle, du Signe.

88 Et David ou plutôt Jacob, étant poussé à bout, a dit : « Je sais, je T’ai senti, Tu es ici avec moi, mais je ne Te laisserai pas partir. » A la première petite sensation qu’une personne ressent, cette dernière se lève, saute, court dans l’allée et s’écrie : « Je L’ai reçu, je L’ai reçu, je L’ai reçu. » Oh, non ! Hum hum, non. Jacob est resté là jusqu’à ce que Quelque chose soit arrivé, qui a fait qu’il marche différemment, et qui a fait de lui une personne différente, parce qu’il est resté là jusqu’à ce que cela arrive, et il pouvait… La Bible dit qu’il a tenu bon jusqu’à ce qu’il ait vaincu. Comment un homme peut-il vaincre Dieu? Mais vous pouvez le faire. Vous pouvez le faire. Un homme peut vaincre Dieu.

89 Il y avait, une fois, un homme du nom d’Ezéchias, un prophète lui avait dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu vas mourir. »
Ezéchias a tourné son visage contre le mur, et étant dans le désespoir, il a pleuré, disant : « Seigneur, regarde-moi. J’ai marché devant Ta face avec intégrité de coeur, et j’ai besoin de quinze ans de plus. » Et ceci, après que Dieu lui a dit que quelque chose allait arriver, qu’il allait mourir. Mais étant poussé à bout, il a changé le programme de Dieu. Etant dans le désespoir, il a pleuré amèrement, étant poussé à bout.

90 Jacob est resté là jusqu’à ce que la bénédiction soit venue [sur lui] et que son nom de « trompeur » fût changé en celui de « prince avec Dieu. » Une nation même est appelée de son nom. Oui oui. Qu’était-ce? Le fait qu’il soit poussé à bout au sujet de la chose a produit des résultats. Et le jour suivant, quand il a rencontré Esaü, il n’a pas eu besoin des gardes. Il est simplement sorti et est allé à sa rencontre. Voyez? Pourquoi? Il était poussé à bout au point qu’il a obtenu l’assurance. Et il vous faut être poussé à bout jusqu’à ce que vous obteniez l’assurance. Si vous ne l’êtes pas, ne venez même pas pour qu’on prie pour vous. Ne venez même pas à l’autel. Attendez jusqu’à ce que ce soit une question de vie ou de mort pour vous, alors quelque chose va arriver. Certainement. Le désespoir.

91 Une fois, Ruth était poussée à bout quand elle était avec Naomi. Devrait-elle retourner vers son peuple, vers tous ceux qu’elle aimait, et tout ce qu’elle… les dieux qu’elle adorait et sa famille, ou devrait-elle rester accrochée à Naomi? Qu’a-t-elle dû faire? Elle était poussée à bout et elle s’est écriée : « Où tu iras, j’irai; où tu vivras, je vivrai; où tu mourras, je mourrai; où l’on t’enterrera, j’enterrerai – je serai enterrée; et ton Dieu sera mon Dieu. » Vous y êtes, poussée à bout. Dieu l’a bénie, Il lui a donné un fils, Obed. Obed a engendré Isaï; Isaï a engendré... C’est de la lignée d’Isaï que Jésus est né. A cause du désespoir...

92 C’est comme Rahab, la petite prostituée, elle était poussée à bout. Elle savait que la mort l’attendait. Elle était sous le jugement ; elle était poussée à bout et elle a dit : « Je vous cacherai, vous les espions; je ferai tout; jurez seulement à votre Dieu que ma maison subsistera. » Vous y êtes.
Un des espions a dit : « Je vais... Si tu appliques ce signe, elle subsistera. »

93 Eliezer était poussé à bout quand on lui avait confié la responsabilité de chercher une épouse pour Isaac. Eliezer de Damas était un grand homme. Il avait trouvé faveur auprès d’Abraham, et celui-ci lui avait confié cette mission d’aller chercher une épouse, un bon genre de femme pour son fils Isaac, au travers de qui le Christ devait naître.

94 Eh bien, Eliezer étant un homme spirituel, il savait ce que cela représentait. Il fallait que l’épouse de cet – cet homme soit le bon genre de femme. Et comment la choisirait-il ? A l’heure où il était poussé à bout, quand il est arrivé dans la ville, il a prié et a dit : « Seigneur Dieu... » Voilà la chose. Lorsque vous êtes poussé à bout, mettez-vous à prier. «Seigneur Dieu, que la première jeune fille qui sortira et qui donnera à boire aux chameaux et à moi-même soit celle-là. » Il a prié à l’heure où il était poussé à bout.

95 Rébecca, la belle jeune fille est venue, et a abreuvé les chameaux. Et alors il a dit : « Ne me retardez pas dans mon voyage. » Elle devait en arriver à un temps où elle devait se décider à partir ou pas. Elle était un type de l’Epouse. Devait-elle – devait-elle partir et se marier avec un homme qu’elle n’avait jamais vu du tout? Eh bien, c’est une grande chose. Elle ne l’avait même pas encore vu, mais elle avait seulement entendu parler de lui par son serviteur. C’est un type de l’Epouse. Vous n’avez jamais vu Christ, mais vous avez entendu parler de Lui par Ses serviteurs, quel genre d’Homme Il est. Vous vendez tout, vous quittez vos maisons, et toutes les autres choses qu’il vous faut quitter pour aller Le trouver.

96 Maintenant, remarquez. Et elle a pris la décision, un type de l’Epouse ; elle a quitté sa dénomination-mère (Vous voyez ?) pour partir.

97 Jonas, jeté par-dessus bord par un temps de tempête, s’est retrouvé au fond de la mer, dans le ventre d’un gros poisson. Tout espoir de survie était perdu. Mais il lui est arrivé de se souvenir que Salomon, lors de la dédicace du temple, avait dit : « Ô Eternel, si Ton peuple est dans la détresse quelque part et qu’il se tourne en direction de ce temple et prie, alors exauce-le. » Et s’étant retourné dans le ventre du gros poisson, il a réussi à s’agenouiller quelque part, j’imagine, avec les vomis du gros poisson partout sur son corps. Il a prié là-bas, étant dans le désespoir ; et dans cet état de désespoir... Tout ce qu’il avait dans ce ventre du gros poisson, c’était quelques bouffées d’oxygène, et avec ces quelques bouffées d’oxygène qu’il aspirait, peut-être qu’il ne savait pas dans quelle direction il regardait, mais il a dit : « Seigneur, je crois que j’ai levé les yeux en direction de Ton temple.» Et avec juste assez d’oxygène pour aller, dans ces circonstances, il a prié désespérément comme jamais auparavant, mais il était désespéré. Il a prié, et Dieu l’a gardé vivant pendant trois jours et trois nuits, et l’a libéré sur la place publique pour qu’il livre son message. Etre poussé à bout.

98 Une femme stérile dans la Bible, Anne, avait besoin d’un fils, elle s’est mise à jeûner pour l’avoir. Elle avait jeûné et prié au point que même le sacrificateur au temple pensait qu’elle était ivre. Elle était dans un tel état de désespoir… Avec les autres femmes qui faisaient attention au genre de bonnet que telle autre femme avait porté (vous savez comment ça se passe), et celle-ci à son tour en voyant le genre de vêtements que les autres femmes avaient portés… Et elles bavardaient sur ce qui se passait à la ferme. Mais ce n’était pas le cas avec Anne, elle s’est frayée un chemin à travers toute la foule et elle est allée à l’autel. Elle jeûnait. Elle voulait que sa honte soit ôtée.
Combien c’est différent aujourd’hui ! C’est presque une honte que d’avoir un enfant. A l’époque, c’était – c’était une honte que de ne pas en avoir un. Et elle s’est agenouillée, et elle n’a pas fait attention aux dignitaires du temple. Elle n’a point prêté attention au sacrificateur de haut rang pendant que celui-ci s’était présenté là. Elle était tellement dans la détresse que les larmes lui coulaient sur les joues, et étant poussée à bout, elle pleurait, disant : « Ô Eternel Dieu, donne-moi un fils. Donne-moi un fils. »

99 Et remarquez, elle n’a pas été égoïste. Quand Dieu l’a exaucée et qu’Il a répondu à sa prière en lui donnant un fils, elle l’a remis à Dieu. Et comme elle n’avait pas voulu se montrer égoïste après que Dieu a répondu à sa prière, Dieu lui a donné un prophète. Oh, c’était une bénédiction supplémentaire. Oh, Il en a tout plein, ces petites choses qu’Il donne en plus. Non seulement un fils, mais aussi un prophète (et il n’y avait plus de vision depuis des années et des années en Israël), Samuel était le premier prophète après plusieurs années parce qu’une mère était poussée à bout du fait qu’elle ne pouvait pas avoir des enfants; et elle avait déjà dépassé l’âge d’avoir des enfants, elle avait probablement soixante ou soixante-dix ans. Et elle avait prié étant poussée à bout. Elle a dû avoir cet enfant. Qu’était-ce? Dieu lui avait parlé, sans aucun doute.

100 Vous ne pouvez pas être poussé à bout avant que Dieu vous parle. Oh, église, lève-toi et secoue-toi. Pince ta conscience; réveille-toi en cette heure. Nous devons être poussés à bout sinon nous allons périr. Il y a quelque chose qui vient de la part du Seigneur. Je sais que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Quelque chose vient, nous ferons mieux d’être poussés à bout. C’est une question de vie ou de mort. Cela nous passera par-dessus la tête et nous ne le verrons pas.

101 Comme elle n’a pas été égoïste, il lui a été donné un prophète.

102 La femme sunamite avait un petit garçon au sujet duquel le prophète avait prononcé la Parole du Seigneur, bien qu’elle et son mari étaient avancés en âge ; ils n’avaient point d’enfant, mais elle s’était montrée aimable vis-à-vis de ce – de ce prophète. Et elle savait que c’était un homme de Dieu. Elle avait compris que c’était un homme honorable, un vrai homme. Le prophète est venu chez elle à la maison en l’absence de son mari et tout. C’était un saint homme. Ils ont pu voir qu’il était une personne honorable. Elle l’avait vu accomplir des miracles et des prodiges; elle l’avait entendu annoncer des choses qui se sont accomplies. Il était un homme honorable et saint. Elle a dit à son mari : « Je perçois que cet homme qui séjourne chez nous est un homme saint. »
La maîtresse de la maison savait que c’était un homme saint; et elle lui a construit une petite maison là pour qu’il ne se sente pas gêné. Il pouvait passer là quand il le voulait et ainsi de suite ; elle y avait mis un – un petit lit, et une – et une cruche d’eau, et que sais-je encore pour qu’il se lave et ait de quoi boire. Et elle envoyait probablement une bonne ou quelqu’un d’autre, le maître d’hôtel avec – avec de la nourriture pour le servir, et elle passait lui rendre visite le jour ou quelque chose comme ça.

103 Et quand Elie a donc vu cette gentillesse qu’on lui témoignait… Et il est écrit : « Ce que vous faites à Mes petits, c’est à Moi que vous le faites. » Ainsi, elle a vu... Cette – cette femme honorait Dieu en honorant ce prophète, car elle avait vu Dieu dans le prophète. Et ainsi, elle ne voulait rien en échange. Elle ne désirait pas quelque chose dans son coeur pour cela. Elle le faisait tout simplement parce qu’elle aimait Dieu. Elle ne le faisait pas pour recevoir une quelconque bénédiction; elle le faisait simplement.

104 Eh bien, Elie a donc dit : « Allez lui demander si je peux parler au roi pour elle. Je suis son ami personnel, ou le capitaine en chef, je – je le connais très bien. Je peux lui faire une certaine faveur, je peux faire quelque chose pour elle, j’aimerais lui donner quelque chose à cause de la façon dont elle a agi à mon égard. Elle – elle m’a nourri, elle m’a offert un lit où dormir et elle – elle a été très gentille envers nous. Que puis-je faire maintenant ? »
Elle a dit : « Non, j’habite au milieu de mon peuple. Nous sommes – nous sommes riches. Nous gagnons notre vie et cela nous suffit. Nous n’avons besoin de rien. »

105 Et Guéhazi a dit au prophète : «  Mais elle n’a pas d’enfant. »
Aussitôt que Guéhazi a dit cela, sans doute que le prophète a eu une vision, car il a dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, va lui dire qu’au temps marqué ou au temps approprié, d’ici une année, elle embrassera un fils. »

106 Et le fils est né. Quand il a atteint l’âge d’environ douze ans... Combien ce couple âgé a dû aimer ce petit garçon, leur unique enfant. Et un jour, il était dehors cueillant le blé avec son papa. Ça a dû être aux environs de midi, il a eu un coup de soleil, je pense, parce qu’il s’est mis à crier : « Ma tête ! » Il est devenu plus malade. Son papa a dû le faire partir du champ, et c’était un cas très urgent là, il a envoyé un serviteur et a fait rentrer l’enfant à la maison.

107 La mère l’a porté sur ses genoux jusqu’à midi, et il est mort. Remarquez, son unique enfant que le Seigneur lui avait donné par la prière et la promesse d’un prophète et l’AINSI DIT LE SEIGNEUR... Elle savait que quelque chose n’allait pas quelque part. Cela ne marcherait pas. Comment Dieu pouvait-Il lui donner ce fils et permettre qu’elle couvre cet enfant de son – son amour… Pourtant elle n’avait point demandé cet enfant. Elle était trop vieille pour l’avoir. La main de Dieu a dû le prononcer. Un homme l’a dit, le prophète. Et voilà que cet enfant se retrouvait dans cet état-là, et il est mort, son unique fils. Ainsi, elle a dit à son serviteur : « Selle-moi un mulet, monte dessus et ne t’arrête pas. Si quelqu’un essaie de t’arrêter, ne dis aucun mot, mais va tout droit au Mont Carmel. Là-haut dans une caverne quelque part, il y a un serviteur du Dieu Très-Haut, qui s’est retiré [là], c’est lui qui m’a dit par l’AINSI DIT LE SEIGNEUR que j’aurai cet enfant. Je veux savoir pourquoi Dieu a agi ainsi. » Elle a donc dit : « Fonce droit devant toi et n’arrête pas ce mulet; laisse-le courir de toutes ses forces, avec tout ce qu’il y a en lui; laisse-le courir jusqu’à ce que tu arrives là. » Le désespoir.

108 Et Elie le prophète s’est levé, a regardé, et a dit : « Voici venir cette Sunamite, et elle est… Quelque chose ne va pas chez elle. Dieu m’a caché cela; je ne sais pas ce qui ne va pas. » Il a dit : «  Va à sa rencontre. J’ai... Dépêchons-nous. Quelque chose ne va pas. » Le désespoir s’était emparé et du prophète et de la femme. Voyez, ils venaient l’un à la rencontre de l’autre, l’un cherchant à savoir ce qu’était la Parole du Seigneur, et l’autre ne sachant pas ce qu’était la Parole du Seigneur. Voilà. L’un cherchait à savoir, et l’autre ne savait pas cela. La femme cherchait à savoir Cela, et le prophète L’ignorait. Il a dit : «  Dieu me l’a caché. Je ne sais pas ce que je vais lui dire quand elle sera ici. » Ainsi, elle était donc presque arrivée là, à ce moment-là. Il a levé la main, il a demandé : « Tout va-t-il bien chez toi, tout va-t-il bien avec ton mari? Tout va-t-il bien avec l’enfant? »

109 Eh bien, la femme en était arrivée à la fin de son désespoir. Elle a dit : « Tout va bien. » Gloire ! « Tout va bien. » Son désespoir était fini. Elle avait trouvé le serviteur du Seigneur. S’il n’était pas là, elle serait restée dans le désespoir. Mais elle a vu qu’il était là, et elle a répondu : « Tout va bien. »

110 Elisée s’est demandé : « Eh bien, qu’est-ce qui se passe alors? » Elle a donc couru et elle s’est jetée à ses pieds. Cela avait l’air quelque peu inhabituel ; ainsi, Guehazi l’a relevée. Le prophète a dit : « Laisse-la tranquille, ne fais pas cela. » Elie a dit à son serviteur : « Ne fais pas cela; laisse-la tranquille. Il y a quelque chose qui ne marche pas. Dieu me le cache. » Elle lui a alors révélé que l’enfant était mort.

111 Eh bien, le prophète n’a pas su quoi faire. Il a dit : « Guéhazi, prends ce bâton dont je me suis servi pour marcher. » Il savait que tout ce qu’il touchait était béni ; en effet, ce n’était pas lui, c’était Dieu en lui. Il savait qui il était. Il savait qu’il était un prophète. Ainsi, il a pris ce bâton et il a dit : « Guéhazi, prends ceci, va poser ceci sur l’enfant. Et si quelqu’un te parle, ne t’en occupe pas. Et ne salue personne, et que rien... Continue à avancer, ne parle à personne. Pose cela sur l’enfant. »

112 Mais la femme… Cela n’a pas mis fin à son désespoir. Cela n’a pas satisfait le but pour lequel elle était venue. Elle a dit : « Comme le Seigneur Dieu est vivant, je suis…Je ne vais pas te quitter jusqu’à ce que tu ailles secourir l’enfant. »

113 Et Elie était poussé à bout, et le voici descendre la route, lui et la femme. Et quand ils sont arrivés là, le… tout le monde était dehors dans la cour en train de crier et de pleurer. Et la femme avait fait la chose la plus convenable qui pouvait être faite. Elle a pris l’enfant et l’a couché sur le lit où Elie se couchait. C’était aussi bon que son bâton. Et l’enfant ne s’est pas réveillé là, la chose n’a donc pas marché. Elle a voulu savoir quelque chose d’autre.

114 Le prophète est entré. Il est donc poussé à bout. Eh bien, que va-t-il faire? Nous voyons dans la Bible qu’il faisait les cent pas sur le plancher, et il était poussé à bout. « Je ne sais rien faire d’autre, Seigneur. Me voici. Tu m’as ordonné de le dire à cette femme selon l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, et c’est arrivé exactement de la manière dont je le lui avais dit, parce que c’est Toi qui me l’avais dit. Eh bien, voilà qu’elle a des ennuis, et je ne sais quoi faire. Un garçon mort est étendu là. Que puis-je faire, Seigneur? »

115 Sans aucun doute, le Saint-Esprit a dit : « Si Dieu est en toi, étends-toi alors sur l’enfant. » La première chose vous savez, il s’est arrêté ; il a couru et a posé ses mains sur les mains de l’enfant, son nez sur le nez de l’enfant, ses lèvres sur les lèvres de l’enfant. Et quand il s’est étendu sur l’enfant, celui-ci a éternué sept fois. Le désespoir était parti. L’enfant est revenu à la vie, parce que ce désespoir a conduit la femme vers le prophète, et le désespoir a conduit le prophète vers l’enfant. Et le désespoir dans ces deux personnes a attiré Dieu sur la scène. L’amour pour Dieu et l’amour pour Son peuple, a fait descendre l’amour de Dieu et a mis la foi au front, et l’oeuvre était accomplie et le cas fut clos. Amen. Voilà. C’est le désespoir qui fait cela. Certainement. Elle n’allait pas partir.

116 L’aveugle Bartimée pensait que Jésus allait passer près de lui, il était assis là à la porte, il était aveugle et il mendiait l’aumône. La première chose, vous savez, il a entendu un bruit; Jésus passait par là. Il a demandé : « Qui passe? » Quelqu’un l’a bousculé. Et il lui a demandé : « S’il vous plaît, qui passe? »
Quelqu’un, peut-être une aimable petite femme disciple s’est adressée à lui, disant : « Monsieur, ne connaissez-vous pas Celui qui passe? »
Il répondit : « Non. J’entends certaines personnes dire : ‘Il y a un cimetière tout plein de cadavres par ici. Si Tu ressuscites les morts, va les ressusciter.’ S’agit-il d’un blasphémateur ou de quelqu’un d’autre? »
– Non. Avez-vous déjà entendu parler de ce Prophète de Galilée, ce jeune Prophète appelé Jésus de Nazareth?
–  Non.
– Eh bien, vous savez, dans la Bible, il est dit dans nos rouleaux que le Fils de David sera suscité et s’assiéra sur [le trône]. C’est Lui. »
– Est-ce Lui? Est-ce Lui? Et Il est en train de passer par ici !
Le désespoir l’a poussé à crier : « Oh, Jésus, Toi le Fils de David, aie pitié de moi! » Ne me passe pas, ô doux Sauveur,
Entends mon humble cri;
Quand Tu appelles les autres,
Ne me passe pas.

117 « Oh, Jésus ! »
Certains d’entre eux ont dit : « Tais-toi, tu fais trop de bruit. »
Mais il était poussé à bout. Si Jésus passait, Bartimée ne pourrait plus avoir une autre occasion. Nous, non plus. Cette soirée peut être la dernière. Désespéré, il a crié : « Oh, Jésus! » Peu lui importait la personne qui lui a dit d’arrêter, il a malgré tout crié beaucoup plus fort. Quand on lui a demandé de se taire, cela le fit crier plus fort. Il était poussé à bout. Personne ne pouvait l’arrêter. « Ô Toi, Fils de David, aie pitié de moi ! » Et il criait désespérément.

118 Et le Fils de Dieu, avec les péchés du monde sur Ses épaules, se rendant à Jérusalem pour être offert en sacrifice pour le monde, s’est arrêté sur Son chemin. Le désespoir, un cri de désespoir a arrêté le Fils de Dieu. Celui-ci a dit : « Que veux-tu que Je fasse pour toi? » Oh !
Il a répondu : « Seigneur, que je puisse recouvrer ma vue. »
Jésus lui a dit : « Va, ta foi t’a sauvé. »
Cela avait suffi. Etre poussé à bout. Quand vous êtes poussé à bout et qu’il faut recevoir quelque chose, la foi s’agrippe au moindre petit toucher. Voyez? Il n’a pas dit : « Eh bien, attendez une minute, attendez une minute, gardez cela là une minute; voyons si je peux voir maintenant. Je n’ai pas vu mes mains depuis plusieurs années. Voyons si je vois maintenant. Je ne vois encore rien. »
Quand Jésus a dit : « Ta foi t’a sauvé. » Cela a suffi. C’est tout ce qu’il cherchait.

119 Il faut qu’il y ait une chose qui fait que vous soyez poussé à bout, et cette chose… si petite soit-elle, quand elle est reçue, elle est alors directement crue ; en effet, la foi saisit la chose quand elle est poussée par le désespoir. Voyez? Là, l’amour s’unit à la foi et amène celle-ci à obtenir la chose. C’est ce que fait le désespoir.
L’aveugle Bartimée a vite saisi la vision.

120 Une nuit, sur la mer, Pierre était tout énervé quand il était désespéré, et il s’est mis à crier : « Quelque chose ne va pas. Je vois un esprit qui vient dans ma direction. » Le bateau était sur le point de sombrer. Il a dit : « Si c’est Toi Seigneur, ordonne que j’aille vers Toi sur les eaux. » Et il a fait un pas hors du bateau et il s’est mis à marcher; puis il a eu peur quand il s’est mis à marcher, et il a commencé à s’enfoncer et le désespoir… Bien qu’il ait commis une erreur pendant qu’il essayait de suivre les commandements de Dieu... J’espère que l’église saisit cela. L’homme faisait ce que Dieu lui avait demandé de faire.

121 Eh bien, ce soir, vous les chrétiens, vous êtes dans la ligne du devoir, essayant de suivre la conduite du Saint-Esprit, et un cancer vous saisit, ou la – la mort vous saisit, le cancer, la tuberculose, peu importe ce que c’est, alors que vous êtes dans la ligne du devoir, vous avez le même droit que Pierre.

122 « Seigneur, sauve-moi ou je meurs. » Dans le désespoir, il a crié. Une main s’est étendue et l’a relevé...?... Vous êtes dans le même cas. Mais il a crié : « Seigneur, sauve-moi !» Il a entendu mon cri de désespoir,
Il m’a tiré des eaux et maintenant je suis en sécurité. (Voyez?)
C’est ce qui vous arrive quand vous criez.

123 Il se peut que cette femme, cette mère, peu importe ses liens avec cet enfant, qu’il fût son petit-fils, son arrière petit- fils ou son neveu, peu importe qui il était ; elle a crié avec désespoir, et Dieu a entendu.

124 Nous découvrons que pendant qu’il s’enfonçait, Dieu l’a entendu. Alors qu’il était dans la ligne du devoir, il a commencé à s’enfoncer. Il avait échoué. Peu importe si vous échouez, cela n’a rien à voir. Nous tous, nous échouons. Pour commencer, nous sommes un échec, mais nous avons Quelqu’un qui se tient debout là, ayant une main puissante, Il peut nous saisir et nous mettre au-dessus des eaux.

125 Si vous avez commis une faute (Si une femme commet une faute, si un homme commet une faute, si un garçon commet une faute, si une fille commet une faute), ne vous enfoncez-pas. Poussez un cri de détresse et dites : « Seigneur, sauve-moi ou je meurs ! » Soyez poussé à bout à ce sujet, et Dieu vous écoutera. Il écoute toujours une âme qui est dans le désespoir. C’est ce que j’essaie de vous dire.

126 Notre Seigneur Jésus Lui-même, quand Il a été sur le plus grand champ de bataille du monde, à Gethsémané, Il avait poussé des cris, étant poussé à bout. Devait-Il porter les péchés du monde ou rester sur terre avec Ses disciples bien-aimés, ce qu’Il voulait bien faire. Mais regardez Son humilité, comment Il s’est humilié, disant : « Que Ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne», Il s’est humilié devant la Parole, la Parole promise du Dieu du Ciel. Remarquez, Il est allé un peu loin ; et s’Il est allé un peu plus loin, combien plus devrions-nous aller un peu plus loin ? Vous voyez ?

127 Et notez que les Ecritures disent ici dans Luc qu’Il priait instamment. Mon frère, ma soeur, si Jésus a dû prier instamment, combien plus devrions-nous prier instamment ? Si Christ, le Dieu du Ciel fait chair a dû prier instamment, alors combien plus nous, des pécheurs sauvés par grâce, devrions-nous prier instamment ? Si – si pour se décider, le Fils de Dieu a dû se sentir poussé à bout, qu’est-ce que cela nous fera à toi et à moi? Nous devons crier avec désespoir.
Dans ces derniers jours, Dieu s’est vraiment manifesté à nous au moyen de Ses grands signes et de Sa grande puissance… Cela devrait nous pousser à bout. C’est vrai. Et Sa volonté pour nous guérir et nous sauver devrait nous pousser tous à bout pour parvenir à cette pierre de la guérison. C’est vrai.

128 Tenez, si Florence Nightingale, l’arrière petite-fille de la feu Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix-Rouge… Vous avez vu sa photo dans le livre, elle pesait environ trente livres [13 kilos – N.D.T.] Le cancer l’avait complètement rongée. A Londres, en Angleterre… On l’avait transportée de l’Afrique jusqu’à Londres en Angleterre. Et là, dans le désespoir… Frère Bosworth a répondu par écrit pour lui dire : « Nous ne pouvons pas venir en Afrique. »

129 Elle a répondu par écrit, elle avait une infirmière qui a écrit, disant : « On ne peut pas me déplacer, je ne saurais pas le faire.» Nous avons montré la photo… Vous avez vu la photo. Nous avons dû seulement la couvrir avec un petit morceau de tissus. Elle n’avait qu’une petite bandelette autour du corps. La photo étant mise dans le livre, je me suis dit que peut-être quelqu’un pourrait critiquer cela parce que Florence était… Son corps était exposé là mais… Et nous avons mis un petit morceau de tissu ici sur elle. Elle n’avait qu’un… Un petit lambeau ou plutôt un essuie-main posé sur – sur ses hanches, mais ici au-dessus elle n’avait rien. Et même… Mais nous nous sommes dit que nous devrions mettre un petit morceau de papier là-dessus, et nous avons photographié la photo. Cela empêche les gens qui ne sont pas animés de bonnes intentions de me critiquer pour avoir mis cette photo dans le journal.

130 Ainsi donc, quand le médecin a dit qu’on ne pouvait pas la déplacer et qu’elle a su que je me rendais en Angleterre, elle a demandé qu’on la mette sur une civière, qu’on la transporte jusqu’à l’avion et qu’on l’amène à Londres, en Angleterre. Et qu’on dépêche un garde à l’avion avant que je me rende au Palais de Buckingham ; on a envoyé un garde là pour que je prie pour elle. Et elle était si mourante qu’elle ne pouvait même pas me parler. On a dû soulever ses mains pour pouvoir les placer dans les miennes.

131 Vous savez comment est la ville de Londres, certains d’entre vous, les soldats, vous y avez été. Elle est tout le temps sous les brouillards. Et je me suis agenouillé là à côté d’une fenêtre et elle… Elle faisait couler les larmes… Elle voulait… Je ne sais même pas comment elle avait assez d’eau pour faire couler des larmes. Elle avait la peau sur les os et ses… ses jambes, au niveau des hanches n’avaient pas, à ce qu’il me semblait, plus de deux ou trois pouces de diamètre [5,4 ou 8 cm. – N.D.T.] Ses veines étaient délabrées. Je ne sais pas comment elle vivait. Vous avez vu sa photo après. Je me suis agenouillé à côté du lit. Eh bien, elle était désespérée. Que je sois allé ou pas, on allait l’amener de toutes les façons.

132 Et je suis allé là, mon coeur saignait au-dedans de moi à cause de la foi de cette pauvre petite créature qui se mourait, et j’ai prié de tout mon coeur. Et quand j’ai commencé à prier, une petite colombe est venue se poser sur la fenêtre et s’est mise à marcher de long en large en roucoulant. Je me suis dit que c’était un oiseau domestique. Ça ne faisait qu’environ une heure depuis que j’étais à Londres ; je me suis rendu là directement, en provenance de l’aéroport. Et je pensais que c’était un oiseau domestique, et quand je me suis levé et que j’ai dit « amen. », elle s’est envolée. J’ai demandé aux frères s’ils avaient entendu cette colombe-là… Ils en parlaient, et quand j’ai voulu demander : « Avez-vous vu… Que signifie cette colombe ? »… L’AINSI DIT LE SEIGNEUR est sorti : « Tu vivras, tu ne mourras pas. » Et aujourd’hui, elle est en vie. Pourquoi ? C’est parce qu’elle était poussée à bout. Le fait que cette femme ait été poussée à bout l’a amenée à prendre une position : vivre ou mourir. Le fait d’être poussé à bout a arrangé les choses de telle façon qu’elle est arrivée au même moment que moi. Et un signe est venu de Dieu, Il a envoyé une colombe pour prononcer l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Poussé à bout.

133 Quand la soeur Hattie Waldrop de Phoenix en Arizona, remontait le trottoir, dans ma première réunion…. L’interne [Un médecin stagiaire logeant au sein de l’hôpital auquel il est attaché. – N.D.T.] et son mari l’avaient amenée, elle avait un cancer de coeur. Elle s’est levée pour essayer d’arriver à la réunion, mais elle était si mal en point qu’elle était – qu’elle n’arrivait plus à respirer, le sang coulait goutte à goutte dans son coeur aux endroits que le cancer avait déjà rongés. Eh bien, le cancer du coeur… Cela s’est passé il y a de cela dix-huit ou dix-neuf ans, peut-être vingt ; c’était en 1947.

134 Eh bien, elle a dit à son mari et à l’interne : «Si… Même si je mourais dans cette ligne, amenez-y-moi.» Poussée à bout, elle avait perdu connaissance. Je ne pense pas qu’elle était morte, elle déclare qu’elle l’était. Eh bien, il se pourrait que ce soit le cas. Il se peut qu’elle entende  cette bande. Vous voyez ? Eh bien, je – je – je… Elle – elle déclare qu’elle était morte. Je ne sais pas. On m’a dit : « Une femme est morte dans la ligne. » Et quand cette femme est arrivée, elle était sans vie. Et quand on l’a amenée là, la Parole du Seigneur est sortie, je suis allé lui imposer les mains et elle s’est réveillée et est retournée à la maison, marchant. Je dirais avec certitude que ceci s’est passé, il y a dix-huit ans ; elle est solide et en bonne santé… Elle viendra me voir à Tucson quand je serai là-bas. C’est cela être poussé à bout : « Même si je mourais en cours de route, continuez, cependant amenez-moi là. Il a guéri les autres, Il me guérira [aussi]. » Voulant…

135 Que nos coeurs soient remplis d’amour en ce jour, et qu’ils soient sincères et poussés à bout. Il se peut que ce soit trop tard au bout de quelque temps.

136 Une fois, Jaïrus, qui était un croyant limitrophe, il avait une fillette mourante. Il croyait en Jésus, mais il avait peur de le confesser, car on le chasserait de la synagogue. Mais un matin, le médecin est venu et a dit : « Elle meurt sous peu. » Le désespoir s’installa. A cause de sa position, il ne pouvait pas se permettre qu’on le trouve avec Jésus de Nazareth, car il aurait perdu sa position de sacrificateur. Mais je vous dis, quand l’urgence s’est imposée, cela le poussa à bout. Je le vois chercher puis mettre son petit manteau de prédicateur ainsi que son chapeau. Le voilà traversant la foule qui le presse de partout, quand il y a eu cette femme qui avait touché le vêtement de Jésus et tout, et que tout le monde criait. Mais il a foncé et a dit : « Maître, ma fillette est étendue [là], à l’article de la mort. Maître, Maître, ma fillette est étendue [là], à l’article de la mort, si seulement Tu venais lui imposer les mains, elle vivra. » Oh ! la la ! Le désespoir vous amène parfois à dire des choses, à faire des choses et vous pousse à l’action. Sa fille fut sauvée parce qu’il était poussé à bout.

137 Soyons poussés à bout comme cette petite femme à la perte de sang. La Bible dit qu’elle avait dépensé tout son argent auprès des médecins, mais cependant, ceux-ci n’ont pas pu l’aider. Elle venait d’entrer dans la ménopause. Et sa perte de sang ne s’arrêtait pas ; ça coulait à flots. Peut-être que des fermes, des mulets, des chevaux et que sais-je encore avaient été vendus, mais rien ne pouvait l’aider. Et le sacrificateur lui avait interdit de se rendre – se rendre à un endroit comme celui-là. Mais un matin, elle regarda en bas. Elle vivait là-haut sur la colline, là où se trouvait sa ferme ; elle a vu une grande foule de gens qui s’étaient rassemblés autour d’un Homme là en bas et elle a demandé : « Qu’est-ce ? »
On lui a répondu : « C’est Jésus de Nazareth. »
Elle était poussée à bout. Elle a dit : « Je ne vaux presque rien… Je – je… Mais si je peux seulement toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie. » Et elle a ignoré toutes les critiques et autre. Mais alors, quand elle est parvenue à toucher Son vêtement et que le désespoir…
Et lorsqu’Il fut touché, Il s’est retourné et a demandé : «  Qui M’a touché ? » Et tous ont nié cela. Mais Il a regardé autour de Lui. Il possédait un grand don de Dieu. Il était Dieu. Et Il a découvert la petite femme et lui a dit que sa perte de sang s’était arrêtée. Poussée à bout, elle avait fait cela.

138 C’était le fait d’être poussé à bout qui a conduit la reine du Sud. Elle avait entendu dire que le don de Dieu opérait en Salomon. Le fait d’être poussée à bout l’a conduite vers cela.

139 Désespérément… Ce sont des êtres humains comme vous et moi. Ils n’étaient pas différents de vous et moi. Ils avaient cinq sens. Ils mangeaient, ils buvaient et tout le reste comme nous, ils vivaient et mouraient. C’étaient des êtres humains.

140 Elle était tellement poussée à bout qu’elle a pris une partie de son royaume. Cela l’a amenée à un point tel qu’elle n’a pas tenu compte des Ismaélites qui pourraient la dévaliser en route pendant les quatre-vingt-dix jours de la traversée du désert de Sahara, à dos de chameaux. Poussée à bout, elle y est allée de toutes les façons. Et quand elle est arrivée là-bas, rien n’a été caché à Salomon, et celui-ci lui a dit les choses qu’elle voulait savoir. Poussée à bout. Jésus a dit qu’elle se lèverait au jour du Jugement avec cette génération-ci et la condamnerait, car il y a ici un plus grand que Salomon. Etre poussé à bout.

141 Pour terminer, je pense dire ceci : « Il n’y a pas longtemps au Mexique, j’ai vécu un cas de désespoir. Je me tenais à l’estrade de ce grand arène, et les gens y étaient depuis neuf heures du matin, et il était presque 22 heures ce soir-là. Le soir précédent, un vieil homme aveugle qui avait été totalement aveugle pendant trente ans avait recouvré la vue et il parcourait la ville ce jour-là en train de témoigner. Un tas de vieux habits, composé de vieux châles étaient posés là sur quarante ou cinquante mètres, atteignant cette hauteur. Il y avait là peut-être quarante ou cinquante mille personnes là. De vieux chapeaux et de vieux châles… Quoi appartenait à qui, j’espère que c’est à eux seuls de le décider. Il pleuvait à verse…

142 Et on m’a fait descendre à l’aide d’une corde par-dessus un mur et j’ai pu avoir accès à l’estrade. Le prédicateur… L’homme qui se tient là, on a amené son… Lui et sa fille sont arrivés de Michigan, il y a quelques minutes. Ils parlaient de frère Armant. On se souvient de lui par ici. Ce soir, il est dans les rues de la Gloire… Frère Armant était là, il a enlevé son pardessus qu’il a donné à frère Jack Moore pour que celui-ci le porte, car Jack grelottait et lui est resté sous la pluie. L’homme du sud allait attraper froid sous cette pluie froide là au Mexique. Et il se tenait là.

143 Et Billy Paul, mon fils, est venu vers moi et m’a dit : « Papa, tu es obligé de faire quelque chose ; il y a une petite femme mexicaine là-bas avec un bébé mort depuis ce matin. Je ne trouve pas assez de huissiers pour la maintenir dans la ligne de prière. » Si le fait d’imposer les mains à cet homme aveugle lui fait recouvrer la vue, imposer les mains au bébé mort de cette dame, lui redonnera la vie. Elle était une catholique, et elle… On ne parvenait pas à la maîtriser.

144 Frère Espinoza et les autres lui ont dit : «  Nous n’avons plus de cartes de prière, vous devez attendre jusqu’à la soirée suivante. »
Elle a dit : « Mon bébé est mort. Il est mort ce matin. Il me faut entrer là-bas. » Et elle s’avançait avec ou sans carte de prière. Et on avait aligné trois cents huissiers. Et elle leur passait juste sous les jambes et leur sautait sur les dos, elle courait avec ce bébé mort et tombait au milieu des gens. Cela ne changeait rien pour elle, elle cherchait à arriver là-bas. Elle était poussée à bout. Dieu avait parlé à son coeur disant que le Dieu qui avait donné la vue pouvait aussi donner la vie. Oh ! la la ! Elle était poussée à bout ; Quelque Chose brûlait en elle.

145 Oh, vous, les malades, si vous laissez ceci brûler en vous pendant quelques minutes, voyez ce qui se passe, ce genre de désespoir… Le Dieu qui a pu guérir ce petit garçon l’autre soir, qui a pu guérir cette dame qui avait le cancer, qui a pu guérir cet homme et faire ceci, mademoiselle Florence Nightingale, oh, des dizaines de milliers… Celui qui…Une preuve indiscutable… Ressuscitant les morts, guérissant les malades et faisant tout le reste, s’il est le Dieu capable de cela, Il était Dieu hier, Il est Dieu aujourd’hui. Soyez poussé à bout, il vous sera fait quelque chose.

146 Etant donc poussée à bout, elle a continué à foncer. J’ai dit à frère Jack Moore. J’ai dit : « Elle ne me connaît pas. Elle ne m’a jamais vu. Elle ne sait pas qui se tient ici à la chaire. » Cette petite catholique ne connaît donc pas un seul mot d’anglais, comment saurait-elle de qui il s’agit? J’ai dit : « Descends là-bas prier pour le bébé, et cela la satisfera et elle s’en ira. » Il a dit : « Cela ne causera pas… » Il y a une clameur constante là-bas. Elle a sauté, tout le monde a crié. Elle montait pratiquement sur les épaules des gens et retombait au milieu d’eux. Elle gagnait petit à petit du terrain, et on essayait de la faire rentrer, et la voilà, elle passait entre les jambes des gens, tenant ce bébé, dérangeant les huissiers et tout le reste. Cela ne changeait rien, elle allait parvenir là-bas. Elle devait parvenir là-bas, cela ne changeait rien, ce que cela était, elle allait atteindre cet endroit-là, voir le prédicateur…

147 N’est-ce pas donc là une histoire semblable à celle de la femme sunamite. Seulement, cela ne s’est pas passé il y a trois mille cinq cents ans ; il y a trois ou quatre ans. Voyez ? Il peut en être de même ce soir. Quand le même désespoir s’élève, il envoie l’amour et la foi là-bas au front pour réclamer ce que vous voulez, car c’est une promesse de Dieu comme quoi vous pouvez obtenir cela. C’est exactement vrai.

148 Je me suis retourné, moi le prédicateur, l’évangéliste, sur – sur la place. Je me suis retourné. J’avais pitié de la femme, mais je n’étais pas poussé à bout. Voyez ? Je me suis retourné et je me suis dit : «  Eh bien, frère Jack priera pour elle et – et cela réglera la chose.» Je me suis retourné et j’ai dit : « Pendant que je parlais, eh bien, la foi… » J’ai regardé par-là, et une vision est apparue. J’ai vu un petit bébé qui se tenait là, un petit bébé mexicain noir qui n’avait pas de dents. Il me souriait, il se tenait là. J’ai dit : « Attendez une minute. Attendez une minute.» Son désespoir avait poussé le Saint-Esprit à changer mon sujet, à changer mon coeur et Il m’a montré son bébé qui se tenait là. Cela a fait revenir l’Esprit. J’ai dit : «  Attendez une minute. Attendez une minute. Apportez-moi le bébé. » La voilà venir avec une petite couverture blanche, mouillée, trempée, contenant une petite forme morte, longue comme ça. Elle se prosterna, tenant un petit crucifix dans sa main et un chapelet pour réciter ces « Je vous salue Marie. » Je lui ai dit : « Mets cela de côté, ce n’est pas nécessaire. »
Et elle est montée près de là où je me tenais et elle s’est mise à crier : « Padre », ce qui signifie « Père. »
J’ai dit : « Ne dites pas cela. Ne dites pas cela. Croyez-vous? » Et on lui a demandé en Espagnol si elle croyait.
Elle a répondu : « Oui. » Elle croyait. On lui a demandé comment elle croyait. Elle a répondu : « Si Dieu peut donner la vue à ce vieil homme, Il peut donner la vie à mon enfant. » Amen. Le fait qu’elle soit poussée à bout l’a amenée jusqu’à cela.
Pas quelque chose venant de moi, tout ce que j’ai vu, c’est une vision. J’ai dit : « Seigneur Jésus, j’ai vu une vision d’un petit bébé, il se peut que ce soit celui-ci. »
Juste à ce moment-là, il a tapé du pied et a crié : « Wouaah ! wouaah ! wouaah ! »
J’ai dit : « Qu’on l’accompagne chez le médecin pour retirer une déclaration écrite du médecin comme quoi cet enfant était décédé.
Et le médecin a écrit la déclaration suivante : « La respiration – le coeur de ce bébé s’était arrêté ce matin dans mon bureau à neuf heures, il est mort d’une double pneumonie. »
Oh ! Autant que je sache, ce bébé est vivant ce soir, à Mexico. Pourquoi ? Le désespoir qui s’était installé dans le coeur d’une mère qui pleurait son enfant, qui avait vu Dieu agir, guérir les yeux d’un aveugle, cette mère avait compris qu’Il pouvait ressusciter un enfant qui était mort.

149 Poussé à bout. « Si tu Me cherches de tout ton coeur, alors Je t’exaucerai. » Voyez ?

150 Le royaume… La loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean. Depuis lors, le Royaume des cieux est prêché, et les gens usent de violence pour Y entrer. Ne reste pas là à dire : « Seigneur, prends-moi par le collet, pousse-moi dedans.» Vous devez user de violence pour Y entrer. Vous devez être poussé à bout, être entre la vie et la mort.

151 Je souhaiterais avoir du temps pour une autre histoire à laquelle je suis en train de penser maintenant même, concernant une femme, une jeune fille qui avait pris le mauvais chemin, qui avait tourné de nouvelles pages et tout, jusqu’à ce que je lui ai dit : « Ma soeur… » Elle s’est levée et a dit : « Je – je crois que je me porterai bien. »
J’ai dit : « Non non. Reste là. »

152 Et ensuite, elle s’est donc mise à prier un tout petit peu, et directement elle a augmenté de plus en plus la voix. Et un moment après, elle était poussée à bout, elle a dit : « Ô Dieu, sauve-moi. »

153 Les alcooliques anonymes n’ont pas pu guérir cela. Rien d’autre n’y a pu. Mais ces grands yeux noirs m’ont regardé, et les larmes coulant sur les joues, elle disait : « Il s’est passé quelque chose. » Oh, oui. Oui, oui… Il s’est passé quelque chose. Elle était poussée à bout.

154 Soyons poussés à bout à ce sujet, que ce soit une question de vie ou de mort. Si vous ne pouvez pas être poussé à bout, ne venez pas ici. Si vous êtes poussé à bout, venez et observez, vous – vous aurez la chose aussitôt que vous serez ici.

155 Prions. Etant poussés à bout, attendez le Royaume de Dieu, Il viendra sur vous.

156 Notre Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus, sois miséricordieux envers nous, Seigneur. Suscite en nous le désespoir. Ô Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers nous, je Te prie. Et que les gens Te cherchent ce soir avec des coeurs désespérés. Nous savons que Tu es ici, Seigneur. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement.

157 Et maintenant, puissent ces gens qui ont le Signe, qui sont passés de la mort à la Vie, ceux qui sont passés de la vieille vie mondaine à une nouvelle vie…Ils ont… Le Sang a été appliqué et Dieu leur a donné le Signe. Puissent ceux qui sont malades prendre ce Signe de leurs mains et dire : « Je suis un produit racheté par Dieu, je suis en Christ, et en Lui il n’y a point de maladie, je suis en Christ, et en Lui il n’y a point de péché. Je suis en Christ, et en Lui il n’y a point d’incrédulité. Je renonce à tout ce que le diable m’a dit. Je prends mon Signe, que mon… Il était blessé pour mes péchés, brisé pour mon iniquité, le châtiment qui me donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. » Et maintenant, je détiens le Signe comme quoi Dieu m’a reconnu… Ce…Le but… La personne… racheté par le Sang du Seigneur Jésus. Et je détiens le Signe de Sa mort dans mes mains ; en effet, Il est ressuscité, je suis Sien et Il est mien. Je m’avance avec une foi déterminée, c’est-à-dire qu’à partir de ce soir, je crois en Dieu et je serai guéri quand je serai là, et je satisferai les exigences car les dernières paroles qui sont sorties de Ses lèvres étaient celles-ci : « S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. » Accorde-le Seigneur. Que l’on soit poussé à bout, car je le demande au Nom de Jésus. Amen.

158 Je peux, je veux, je crois, Je peux, je veux, je crois
Je peux, je veux, je crois
Que Jésus me guérit maintenant; Oh, je peux, je veux, je crois
Je peux, je veux, je crois (Pensez-y : «  Je suis déterminé. »)
Je peux, je veux, je crois
Que Jésus me guérit maintenant. Croyez-vous cela ? « Je me suis décidé, je me suis décidé par la grâce de Dieu de ne jamais m’arrêter jusqu’à ce que cette chose me frappe. Et je monte là pour qu’on m’impose les mains. » Eh bien, Dieu ne nous a jamais déçus. Je crois que le Grand Médecin est proche maintenant. Je crois le Dieu qui a écrit la Parole ; je crois le Dieu qui a offert le sacrifice ; je crois au Signe de Dieu qui nous lave de nos péchés ce soir, le Signe, Sa propre Vie, est ici avec nous ; « Je serai avec vous, même jusqu’à la fin du monde. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous et même en vous jusqu’à la fin du monde.»Croyez-vous cela ? Je crois en Lui. Je crois qu’Il le fera. Pas vous ?

159 Eh bien, dès que je commence cela, je vois des visions apparaître (Amen), de glorieuses visions du Seigneur, parlant des choses glorieuses. Amen. Si je commence cela, nous allons rester ici toute la nuit. Allez-vous croire cela ? Croyez-vous ? Amen. Je le crois de tout mon coeur.

160 Cette petite dame assise là, celle qui vient de chez le frère Palmer. Elle m’est inconnue. Elle vient de la Georgie et elle a une maladie de femme, si elle croit que Dieu peut la guérir, Il le fera. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, mais c’est cela son problème.

161 Cette petite dame, je ne sais pas si oui ou non elle a déjà entendu le Message auparavant ; mais pendant que je prêchais ici, je l’ai vue. Croyez simplement cela et voyez si cela est juste. Amen. Si vous croyez seulement. C’est vrai.

162 Une dame est assise juste ici derrière, souffre d’un mal de dos, elle a vraiment mal, mademoiselle Wisdon. Si vous croyez de tout votre coeur, Jésus Christ vous guérira. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, mais elle est assise là, souffrante. Elle porte une robe jaune. Est-ce juste ? Très bien. Sommes-nous inconnus l’un de l’autre ? Oui. Très bien, monsieur. Vous pouvez retourner chez vous, portez-vous bien. Jésus-Christ vous a guéri. Amen.

163 Une autre dame qui était atteinte de ce mal de dos, est assise ici. Elle a un mal de dos. Elle a un garçon qui a des maux de tête. C’est vrai. Elle s’appelle madame Parker. Si vous croyez de tout votre coeur, Jésus Christ vous guérira tous les deux. Amen. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. C’est l’exacte vérité. Amen. Croyez de tout votre coeur.

164 Voici un homme âgé assis là au fond, il vient du Michigan. Il a des problèmes d’oreilles. Oh, il pense qu’il entend des voix, c’est un problème spirituel. Est-ce-juste ? Vous croyez que–que… Vous ne savez pas si c’est Dieu ou quoi qui est en train de vous parler. Vous entendez du bruit dans vos oreilles. Je vous suis totalement étranger. Si c’est vrai, levez la main, et c’est ce qui se passe pour le moment. Cela ne vous dérangera plus ; Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous au Grand Médecin ?

165 Je vous ai parlé…Mais la Norvège… et vous ne… Vous comprenez le norvégien. Très bien, dites-lui de rentrer chez lui en croyant, soeur, si vous parlez cette langue-là. Dites-lui que ses maux de tête le quitteront. Eh bien, vous savez que je ne le connais pas. Il a quitté la Norvège jusqu’ici pour qu’on prie pour lui. Retournez chez vous en étant un homme bien portant.

166 Oh, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Qu’est-ce ? Il s’agit de cette Colonne de Feu, le Saint-Esprit. C’est le Signe montrant que Jésus-Christ est vivant. Et quand les gens, il y a longtemps L’ont vu faire ces choses, Il discernait les pensées des coeurs de gens ; en effet, Il est la Parole, et la Parole est plus tranchante qu’une épée à double tranchant et Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. Amen !

167 J’ai vu l’eau jaillir, et ce jeune garçon venir ; il a compris et il a lu là-bas un livre, écrit en norvégien. Il a dû comprendre. Quelqu’un lui a parlé, il a des troubles ; mais s’il veut croire de tout son coeur, le Seigneur Jésus va le guérir. Il est venu de loin, pauvre gosse, il essaie de foncer. Et nous allons lui imposer les mains dans une minute.

168 Croyez-vous ? Amen ! Combien c’est merveilleux ! Oh ! la la ! Le Grand Médecin est ici maintenant. Ma soeur… Où se trouve soeur Ungren et l’autre soeur qui joue au piano ? J’aimerais que tu viennes très vite si tu veux et que tu nous donnes un accord. « Ce Grand Médecin est proche maintenant, le Compatissant Jésus. »

169 J’aimerais que les gens qui se trouvent dans cette allée-ci, qui veulent qu’on prie pour eux, qu’ils descendent un peu de ce côté-ci ; juste une allée à la fois. Frère Neville, voulez-vous faire cela ? Où est frère Capps ou l’un de ces conducteurs de chants ? Et frère Ungren ou frère Capps ou que quelqu’un vienne ici pour chanter… Voulez-vous diriger ce chant pour nous ? Est-ce que frère… Où se trouve l’un de ces frères ? Très bien, monsieur. C’est bon. Très bien. Que chacun soit en prière.

170 Souvenez-vous, être poussé à bout. Voyez-vous ce qui se passe quand on est poussé à bout ? Quand vous êtes poussé à bout, vous traverserez la mer. Quand vous êtes poussé à bout, vous serez dans un autre état. Quand vous êtes poussé à bout, vous irez n’importe où. Un précieux brave père et sa fille, poussés à bout avaient essayé d’entrer, de venir, de tout faire, et ils se sont assis de toute façon. Quelques temps après, le Saint-Esprit a dévoilé la chose ici, pendant la réunion. Juste avant que je n’arrive ici. Oh ! Le plus doux chant jamais chanté
Jésus, béni soit Jésus …Grand Médecin est proche maintenant
Le Compatissant Jésus (Seigneur Jésus, exauce ici la prière de Ton serviteur, Seigneur. Je prie que Tu…)
Ô écoute la voix de Jésus Le plus doux chant des séraphins
Le plus doux nom pour les mortels Oh, le plus doux chant jamais chanté. (Que ceux qui sont poussés à bout maintenant, ceux qui savent réellement qu’ils vont être guéris… Pensez-y, à ce que je sache, 100% de ceux du dimanche soir ont été guéris cette semaine.) Le Compatissant…

171 Observez, Il vient. Voyez ? Il vous a déjà guéris. Il apporte Sa Parole. Il La confirme, Il manifeste Sa Présence. Personne ne peut faire ces choses si ce n’est Dieu, vous le savez. C’est le signe du Messie, et vous savez que je ne suis pas le Messie. C’est donc Lui. Eh bien, ici, Il vous a tout prouvé. Eh bien, cela devrait vous pousser à bout. Cela doit électriser cet endroit et toucher un… jusqu’à ce que ce soit comme une allumette à un baril de poudre. Assurément. Et cela devrait faire exploser la foi, et – et l’amour et les gens qui sont poussés à bout sont directement conduits dans le Royaume de Dieu, pour qu’ils croient de tout leur coeur. Croyez-vous maintenant, chacun de vous ?
Très bien, maintenant Billy, tu dois prendre le…

172 Tony, regarde ici dans ma direction une minute. Ça fait longtemps que je ne t’ai pas vu ; mais tu es malade. Tu souffres de quelque chose, on dirait la dysenterie. C’est vrai. Cela va te quitter et s’en aller… ?… J’ai vu cette chose-là le suivre quand il a commencé par là.
A cet instant même, il n’y a rien qui peut être caché aux yeux de Dieu. Je n’ai jamais vu… Je n’ai pas vu Tony dans… depuis des mois, je pense, mais je vois comment il a attrapé cela. Il avait effectivement cela. Il ne l’a plus maintenant.

173 Inclinons la tête, que personne n’ouvre les yeux, que personne ne regarde. Que chacun soit en prière ! Et que Billy Paul ou frère Neville, l’un d’entre eux… appelle la rangée suivante quand ce sera le temps. Eh bien, que chaque personne soit en prière. Nous allons essayer maintenant…
Que l’allée du milieu passe par ta gauche quand elle sera appelée. Et qu’il en soit de même pour celle de gauche, qu’elle passe par ta gauche quand elle sera appelée. Frère Neville vous appellera. Eh bien, je me demande s’il y a des frères ici présents qui aimeraient se tenir ici avec moi pour imposer les mains à ces gens au fur et à mesure qu’ils passent. Chacun de vous, frères ministres, vous êtes assurément les bienvenus en venant vous tenir avec moi, si cela vous plaît. Ce n’est pas l’affaire d’une seule personne. Vous avez autant que moi le droit de prier pour les malades. Je sais que le Saint-Esprit est ici. Si quelqu’un ne veut pas croire cela, il y a quelque chose de faux en lui.

174 Très bien, maintenant croyons de tout notre coeur que Dieu nous accordera ces choses que nous demandons. Ayez foi maintenant, ne doutez pas. Priez les uns pour les autres. Que dit la Bible ? « Confessons nos péchés les uns aux autres ; priez les uns pour les autres. Et vous, les gens qui venez dans la ligne, dès que ces mains vous touchent, vous partirez immédiatement d’ici avec joie et louant Dieu de ce que vous êtes guéris.
Très bien, que chacun soit en prière maintenant pendant que frère Capps dirige le chant.
Seigneur Jésus, aide-moi maintenant, je prie au Nom de Jésus-Christ, que le Saint-Esprit touche chaque personne et que chacune soit guérie du fait que nous obéissons aux ordres en imposant les mains aux malades. Tu as dit qu’ils seront guéris. Nous croyons cela, Père, au Nom de Jésus. Amen.
Très bien, que chacun soit en prière maintenant comme nous nous mettons à prier. D’abord, il y a un petit garçon malade dans un fauteuil roulant.
J’impose les mains à cet enfant au Nom de Jésus-Christ pour qu’il soit guéri… [Frère Branham quitte le micro pour prier pour les gens pendant les dix-huit minutes qui suivent (dix minutes de cette partie jusqu’à ce que la bande change de face.) Toutes les paroles ne sont pas audibles. – N.D.E.]

175 [Frère Branham continue pendant les 8 minutes restantes de la ligne de prière en commençant par là où la bande avait changé de face. Toutes les paroles ne sont pas audibles. N.D.E.]

176 Le plus doux chant jamais chanté
Jésus, béni soit Jésus.

177 Combien parmi vous croient que Dieu a… Vous êtes sûr dans votre coeur, avec une assurance scellée que Dieu a exaucé votre requête parce que vous avez obéi à Sa Parole ? C’est fait. C’est fini. C’est – c’est fait. Croyez en Lui de tout votre coeur que c’est une oeuvre achevée.
Eh bien, observez cette semaine, quand vous serez rentré, observez ce qui est arrivé.

178 Et je pense que Dieu voulant, la fois prochaine, quand je serai de retour, je ferai passer la ligne de prière dans l’une de ces salles, dans cette petite salle où je dois amener les gens. Vous voyez ? Je pense que ça se révèle maintenant (vous voyez ?) l’heure…

179 J’aimerais en arriver à pouvoir prendre les gens, une personne à la fois, traiter individuellement avec eux jusqu’à ce que j’examine la chose et la découvre, puis progresser comme cela jusqu’à ce que je reste avec eux à ce moment-là.

180 Que Dieu vous bénisse tous ! Nous sommes très heureux que vous ayez été ici. Avez-vous reçu… Etes-vous donc persévérants? Etes-vous – êtes-vous poussés à bout ? Le fait que vous étiez poussé à bout au sujet de votre guérison, a-t-il complètement maintenant pris fin à cause de l’amour, de la foi et de la confiance que vous avez comme quoi Dieu fera ce soir, ce qu’Il a promis de faire ? Dieu fera… A commencer par ces petits enfants… Ce soir, il y en a deux ou trois ici dans des fauteuils roulants… Je … Nous croirons pour eux (oui, oui) qu’ils vont être guéris aussi. Ils vont être guéris. (Ne le croyez-vous pas ?) Croyez-vous ? Amen. Ils seront guéris, ils… cela doit se faire. Dieu l’a dit, et nous sommes poussés à bout, et nous allons donc croire que cela sera fait.

181 Eh bien, nos réunions impliquent juste une chose après l’autre. Maintenant nous allons congédier l’auditoire pour ceux qui doivent partir. Au mieux de ma vue, il est 22 heures moins 8 minutes ; et si vous devez partir, nous sommes – sommes heureux que vous ayez été ici, et nous aimerions que vous reveniez et que vous restiez avec nous. Les autres, après que nous nous sommes mis debout, nous allons encore nous asseoir et que ceux qui partent, le fassent aussi silencieusement que possible. Et ensuite, nous allons tenir un service de communion immédiatement après. Vous êtes invités à rester si vous le pouvez. Si vous ne le pouvez pas, que Dieu vous bénisse ! Priez pour moi. Je prierai pour vous. Et souvenez-vous, continuez à appliquer le Signe, et cherchez à tout prix à entrer dans le Royaume de Dieu. Amen !
Maintenant, nous allons chanter notre chant de congédiement, si nous pouvons et… Prends le Nom de Jésus avec toi, pendant que nous nous tenons debout. …le Nom de Jésus avec toi
Enfant de tristesse et de peine.
Il va te procurer la joie et le réconfort,
Prends-Le partout où tu vas. Précieux Nom (Précieux Nom, Nom si doux !),
Espoir de la terre et joie du ciel,
Précieux Nom, ô combien doux! (Nom si !)
Espoir de la terre et joie du ciel.

182 Serrez-vous la main et dites : « Que Dieu vous bénisse, mon frère pèlerin, ma soeur. » Profondément, sincèrement et avec révérence… Et mes amis chrétiens, en temps de communion fraternelle, serrez-vous la main les uns les autres, frères et soeurs. Que Dieu vous bénisse tous ensemble ! Merveilleux !

Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’a aimé le premier,
Et a acquis mon salut
Sur le bois du calvaire Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons,
Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons,
Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons aux pieds de Jésus.
Que Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons,
Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons aux pieds de Jésus (jusqu’à ce que nous nous rencontrerons), Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons,
Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. C’est tout simplement la douceur et la communion du grand Signe de Dieu, le Saint-Esprit, puisse-t-Il demeurer richement en vous tous jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. Que la grâce de Dieu vous accompagne et abatte les voies de la mort au devant de vous, éclairant votre sentier, afin que vous puissiez toujours voir Jésus devant vous et ne jamais être ébranlés.

183 Père céleste, nous remettons ce service, ainsi que celui du matin, ces services et ce qui a été fait ainsi que toute la gloire à Toi, Te remerciant et Te louant pour avoir sauvé les gens, pour les avoir guéris et pour nous avoir donné Ta grande grâce sur laquelle nous comptons tous pour être sauvés. Comme nous Te remercions pour ceci. Sois avec nous jusqu’à ce que nous nous rencontrerons encore. Rencontre-nous dans la communion. Sois au volant de ceux qui roulent, Seigneur, vers leurs maisons. Guide-les au cours de ces congés où les gens sont imprudents, afin qu’il ne leur arrive ni mal ni danger, au Nom de Jésus-Christ nous le demandons. Amen. (Très bien, encore : Prends le Nom de Jésus-Christ avec toi encore) Prends… Nom de Jé… (Vous êtes congédiés maintenant au Nom de Jésus) Vous…
Comme un bouclier face aux pièges.
Quand les tentations vous environnent, (Que faites-vous alors ?)
Murmure simplement ce saint Nom dans la prière. Précieux Nom (précieux Nom), ô Nom si doux! (Ô Nom si doux !)
Espoir de la terre et joie du ciel,
Précieux Nom, ô Nom si doux! (Nom si doux!)
Espoir de la terre et joie du ciel. Au Nom de Jésus nous nous inclinons,
Nous nous prosternons à Ses pieds,
Roi des rois, au Ciel, nous Le couronnerons,
Quand notre voyage sera fini. Précieux Nom, ô Nom si doux!
Espoir de la terre et joie du ciel
Précieux Nom, ô Nom si doux! (Nom si doux!)
Espoir de la terre et joie du ciel,

184 Maintenant, avant de vous asseoir, pendant que l’assistance se tranquillise maintenant en vue du service de la communion… Si je ne me trompe pas, n’est-ce pas là Frère Blair, le prédicateur que j’ai rencontré là en Arkansas, il n’y a pas longtemps ? Je pense que c’était cela. Je n’en étais pas sûr. Vous étiez ici pour la consécration d’un enfant, d’un petit enfant, ce matin. Je me suis dit : « Ne vous ai-je pas rencontré il n’y a pas longtemps à Hot Springs, en Arkansas, avec… ? » Oui, quelque chose était sur le point d’arriver et le Saint-Esprit l’a dénoncé. C’était vrai, n’est-ce pas ? Bon. Je … Il m’est arrivé d’y repenser maintenant, je me suis dit : « Il s’agit de ce frère-là. » Je suis très heureux que vous soyez ici, Frère Blair.

185 Eh bien, je vais demander à frère Blair de bien vouloir prier Dieu, afin qu’Il nous purifie maintenant en vue du service de la communion qui va bientôt avoir lieu. Voulez-vous, Frère Blair ? [Frère Blair prie, frère Branham acquiesce pendant que frère Blair prie N.D.E.] Oui…Oui, Seigneur… Accorde-le Seigneur… Oui, Seigneur… Oui, Seigneur…Oui, Seigneur. Oui… Oui, Seigneur… Amen.
Vous pouvez vous asseoir maintenant, chacun de vous.

186 Eh bien, ma soeur qui est à l’orgue, nous jouons généralement : Il y a une Fontaine remplie de Sang. Et vous pouvez commencer votre…?… là peu importe le… Très bien. La lecture… Eh bien, si seulement nous pouvons être –rester tranquilles un moment.

187 [Frère Branham converse avec quelqu’un – N.D.E.] Oui, soeur. Très bien, ma soeur. Regardez par ici jusqu’à ce que vous trouviez cela. Ce serait très bien, peu importe ce que c’est… C’est cela. Très bien, ma soeur.
Très bien. Eh bien, frère Neville va lire l’ordre de la communion. Et ensuite, les huissiers viendront – s’il y a des étrangers ici – sur chaque siège, entrez allée par allée au fur et à mesure que nous venons, et rangée par rangée pour la communion.

188 Et maintenant, puissiez-vous donc méditer. Souvenez-vous, Israël avait mangé cela dans l’urgence ; et au cours de leur voyage, il n’y avait aucune personne faible parmi eux au bout de quarante ans. Ceci, c’est aussi la guérison divine. Que Dieu vous bénisse, Frère Neville ! [Frère Neville lit : « I Corinthiens 11.23-32 – N.D.T] Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : prenez, mangez. Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous, faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ;faites ceci en mémoire de moi, toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre Lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. Que le Seigneur bénisse la lecture de Sa Parole.

189 Je tiens ce pain kasher rugueux et brisé, qui représente le Corps du Seigneur Jésus-Christ. A travers – à travers ce voile déchiré, nous avons accès au saint des saints.

190 Notre Père céleste, ce pain a été préparé pour représenter ce Corps brisé et déchiré. Puisse chacun de nous qui le prenons, puisse cela être comme si nous avons littéralement posé cet acte. Et puissions-nous recevoir le pardon de nos péchés et avoir accès au saint des saints, pour vivre dans Ta présence, dans notre vie future, et pour tous les jours que nous vivrons ici sur terre, et être avec Toi à jamais dans l’Eternité. Accorde-le, Père. Bénis ce pain pour ce but auquel il est destiné au Nom de Jésus. Amen.

191 La Bible dit : « Après qu’Il a pris le pain et l’a brisé, Il prit de même la coupe, et après avoir soupé, Il dit :‘Ceci est la coupe de la Nouvelle Alliance en Mon Sang, qui a été versé pour vous’. » Que le Seigneur accorde Ses bénédictions sur ceci pendant que nous prions.

192 Seigneur Jésus, je tiens ici le sang de la vigne, le fruit du raisin. Et Père, c’est pour représenter ce précieux Sang qui nous lave, d’où est venu le Signe. Je T’en remercie, Père, et pour ce symbole. Tu as dit : « Celui qui mange et boit ceci a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au temps de la fin. » Nous Te remercions pour cette promesse. Et Père, nous Te prions de laver nos coeurs ensemble, afin que nous soyons dignes par le… notre foi, sachant que par nous-mêmes, nous ne sommes pas dignes, mais notre foi ne faillira pas, car nous avons parfaitement accepté le Sang de Jésus-Christ. Accorde-le, Père.

193 Et sanctifie le vin pour le but auquel il est destiné. Puisse celui qui boit ce vin, ce soir, et qui mange ce pain avoir la force pour le reste du voyage. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils soient en bonne santé, forts et remplis de Ton Esprit, jusqu’à ce que Jésus vienne. Amen. [Espace vide sur la bande. – N.D.E.]

194 Je crois que la communion est l’une des plus solennelles, des plus sacrées et plus douces adorations qu’il y ait au cours d’une réunion dans l’église. Il y a deux choses qui nous ont été laissées ; trois choses que nous devons observer, ce – ce sont des ordres et des ordonnances. Beaucoup essaient donc de dire qu’ils ont le clou original, qu’ils ont un morceau d’étoffe. Mais il y a trois choses qui nous ont été données : le repas du Seigneur, le baptême, le lavage des pieds, sont les trois ordonnances qui ont été laissées à l’Eglise. Et nous…

195 Cette soirée semble être spéciale pour moi. Comme je me tiens ici en train d’observer, généralement je – je suis constamment en prière. Mais ce soir, en regardant différentes choses, j’ai vu des familles qui viennent ici depuis que j’étais un jeune prédicateur et que je me tenais ici sur le plancher de sciure, et je… Certains sont des nouveaux, mais quand je vois les hommes venir, accompagnés de leurs femmes et de leurs familles, et combien ils s’aiment ainsi que le caractère sacré qu’il y a là dedans, combien ils veillent sur leurs enfants, j’ai vu la petite dame, les mains tendues et je me suis dit… cette petite main levée, essuyant les larmes des yeux de l’enfant…

196 Ensuite, j’ai vu venir des familles dont j’ai visité les maisons quand les leurs étaient malades, et que leurs enfants avaient la fièvre ; et le Seigneur Jésus a guéri ces enfants. Je les ai vus quand ils avaient des problèmes au foyer, le Seigneur les a aidés à s’en sortir… et je les vois de nouveau heureux. Et je me représente ce que ça sera quand nous irons à ce souper des noces. Je suis très reconnaissant au Seigneur qu’Il ait fait de moi votre ami, pour vous aider. Je… c’est ma raison d’être ici.

197 Et je… Pensez-y, combien de temps, combien d’années… Voici environ… J’ai commencé à prêcher vers 1930. Voici environ trente-trois ans maintenant que je … trente-trois ans que je prêche. Puis, dans toutes les luttes et les épreuves et… Il semble quand même que lorsque – lorsque nous arrivons au bout, tout cela – cela est oublié. On – on dirait qu’il y a dans la communion quelque chose qui enlève toutes – toutes les anomalies… lorsqu’on prend la communion. Que le Seigneur vous bénisse !
L’ancien va maintenant lire l’Ecriture pour le service de lavage des pieds.

1 Let us remain standing now as we bow our heads. Lord Jesus, we are just only believing. You've told us just to believe, and we believe now. And we give Thee thanks and praise for what we have already heard and seen that anchors our faith. Now, we thank Thee for another opportunity to come to minister to those who are needy. And I pray Thee, God, to meet our needs tonight according to Thy promise. In Jesus' Name we ask it. Amen.

2 We are very happy tonight for this privilege of coming back to the Tabernacle again to--to--with the Gospel of the risen Lord Jesus. And I was just a little late. I had a special rush-in case from Michigan just now. And the Lord done a marvelous thing just then for us. My, how He knows everything and lays it just... Don't have to tell Him; He knows (See?)--He knows just what to do. And so, we're very grateful. The people drove all day to get here. And then, we're so thankful for that.
Now, don't forget the... is tapes on? Oh, that's... I see... [Brother Branham speaks to Brother Neville--Ed.] Don't forget the--the services this coming week, Wednesday night, and next Sunday morning, and Sunday night. If you're around in the neighborhood, that--I know they'd sure be glad to have you here.
And now, pray for me as I go on my road elsewhere, and I hope to be back again soon.

3 I want to thank you all for your kindness and--and memories of what you've done for me. A brother just sent me a new suit of clothes from down in a little church in Georgia. And--and... Them people... It's just marvelous. And I want to thank those people from down in Kentucky that I was with last week on the vacation, and all that the Lord did for us there--great, mighty hand that we seen Him, what He did.

4 Now, we're trusting to see you again pretty soon, as soon as I can get back this way going to New York for the meeting. That's at the Stone church with Brother Vick, beginning, I believe it's November the 12th. We'll be by here a few days before the time. Then we pass back through again going to--to--down to Shreveport, Louisiana, with Brother Jack Moore. That's at Thanksgiving, Thanksgiving week, to be there at Shreveport. It's on the bulletin board, I think, back there in the announcements.

5 And then, we hope to be with some of the southern friends after Christmas. And we'll be in Phoenix in January. And then waiting for the overseas call, so we can get the meetings ready for overseas. They're working on them now, this last month, Brother Borders, corresponding back and forth, from a complete world tour to begin just as soon as we can get it ready; but we have to wait for conditions.
The crowds are so tremendous there, we can't put them in buildings, just have to set them out on the ground. And then, sometimes they run up, it's almost unbelievable to the numbers, sometimes as much as 500,000; that's a half a million people in one single gathering, not how many attends the meeting in so many days, but one gathering. You know, usually evangelists counts how many people attended in six weeks. You see? Well, we count just how many is there that day, that one time. And so, sometimes there's no place to seat will them; you know, you just have to put them out on the ground. And we have to get the seasons where it's not raining and pouring down rain. And those poor people set out there... I seen women set out there with their hair just stringing down, fine dressed people, and just--just set in that rain all day long, just set there, and it just pouring, and thundering, and lightning, and storms blowing, them just leaning back and forth against one another like that, setting right there, wait till you come to pray for them. See? Now, you know, God honors faith like that. He does.

7 You've got to do something for God to honor. You see? You show Him... The people that's got everything handed to them so easy, they don't usually--they--they don't do nothing for it. You see? You've got to... The gift is free, that is true, but you've--you've got to...
It seems like that, you know, like they say, if you was born with a silver spoon (you've heard that), you don't appreciate. But when you have to work for it, you appreciate the valuation of it.

9 Now, you people in the tapes in there, I would that--that--I think now... I... This morning, the message this morning was to me the highlights message of my entire ministry, this morning (See?), highlight message of my entire ministry. Someday I'll tell you how it come about. And I know that everything has worked for months and months and months up to that one message, moving up to come to that place. That was the capping-off time of it. You see? And, it's a...

10 Now, I'm sure, or hope, that you got the--what the Token meant. See? The Token is the sign that the Blood has been applied, that the price that's been asked, required of God, Jesus paid that price by shedding His own Blood. He did that. Then, from His life came the Holy Spirit. And when the Blood is applied to you, the Holy Spirit is a Token that your price is paid. God has received you, and that's the Token. Remember, that is the Token.

11 Now, there's many people who doesn't... They--they don't know what that Token is (See?), and you have to make it like that nobody knows it (See?), so that the--all of them will get it. Just like preaching salvation, we have to preach salvation in a way that everybody--it's for everybody, which we know it isn't. We have to preach Divine healing for everybody, yet we know it isn't. See? Jesus come to save those who was in the Book of Redemption before the foundation of the world. He only come to save those. Who they are, I don't know. See? But you--nobody can have faith unless you say it's for whosoever, and it is. Nobody can come unless God's called them. That is true.

12 So there's many people that won't be saved. We know that. They're... God knew that before the world began, that they wouldn't be saved. There's many that won't be healed (See?), many won't be healed. They just can't--they can't grasp it. They don't know what it is. Many will be. But we preach it that it's for everybody, because we don't know who that person is; we just don't know. But that is a whosoever. But some people just can't grasp that faith.
Now, and the same thing about this Token. The Token, we have talked to the Token all the way along, but now is the manifestation of the Token. See?

14 Now, we have sometimes allowed It... The Lutherans allowed It to accepting the Word, accepting Christ as personal Saviour. The Methodists said, "When you get happy enough to shout, that's It." The Pentecostals says, "Speak in tongues, and you got It." And we find out that all of it was wrong. See? The Token is the Token. It's you and Christ as persons together. See? It's the Holy Spirit, His Life in you working His--His own Life through you. And it's for the rich, the poor, or for whosoever will receive It.

15 Now, remember, the Token is what you... You go to the railroad company and you buy your fare. There's a price, costs, say, it cost fifty cents to ride this--this bus line or the railroad from here to--to Charlestown, Indiana, costs fifty cents. Well now, the company puts out tokens so that... See? Now, the thing you do, you go down and someone purchases your fare, fifty cents. They give you a token that gives you the right on that train till it's destination, wherever that train goes. See? It gives you... That's a token.

16 Now, this case, the blood was the token. Literally, it had to be applied, because it was just chemistry is all they had, because it was a lamb's blood, a animal, a lamb's blood. So the life that was in the blood, the life that was gone out... So the blood was shed. See? The life went out, but it couldn't come back on the believer, because it's an animal. But it only spoke of a good conscience that there was coming One, a perfect Sacrifice. And to make it a perfect One, the whole Judge, the God of heaven, become the Sacrifice, Judge, Jury, and Attorney. See? He become the Sacrifice, and then when His Life went out, which was God... And the Word there where it comes, "Now, I'll give unto them Eternal Life"... Now, in the Greek... (I know I'm talking to scholars. I see two or three. See?) And I... And the word in the Greek there is--is "Zoe," Z-o-e, in the Greek, which means "God's own Life." And "I will give unto him Zoe, My own Life." Christ and God was One.

17 Then the Life that was in Christ is the Holy Ghost, not the third person, but the same Person in the form of the Holy Spirit, coming upon you as a Token that your life and your fare is paid. You have been accepted. Until that Token comes, you're not permitted on the highway. You're not permitted on the--in the--the bus line. You're not permitted to go in until you can present this Token, and that Token is your fare. And now, It shows that the Blood has been shed and been applied to you, the price has been applied to you, and you have the Token that the Blood is applied to you and you're accepted. Get it now? Oh, my. Oh.

18 Now, now, there's just not... No certain evidence. See? You say, "Brother Branham (I feel it in your minds. You see?), why will I know?" Look. What were you? And what are you? There's how you know. See? What was you before this Token was applied? What are you after It's applied? What was your desires before, and what is your desires after? Then you know whether the Token's applied or not. And these other things just automatically go with that. See? It--it isn't...

19 Like, talking about it and say, "Tongues is the evidence." Now, I will bare--buy a pair of shoes; the tongue isn't the shoe. It just comes with the shoe. See? It just comes with the shoe. See? Now, the same thing is the Token. The Token is Christ. But speaking in tongues, and casting out devils, and doing those things, and preaching, and whatever, is the evidence It's there, true; but it's--it's not It. See? It's a gift of It.
If I told you that... You say, "I want you, Brother Branham," and I'll give you a gift (See?), well, that's not me, that's my gift. Tongues is a gift of the Holy Ghost, not the Holy Ghost, a gift of the Holy Ghost.

21 And the devil can impersonate any of those things. But he cannot be the Holy Ghost. See? He can impersonate these gifts, but he can't be the Holy Ghost. And the Holy Ghost is the Token that the Blood's been applied, because It follows the Blood all the way from the Book of Redemption. See it? That was the purpose of Him coming. That's what He followed in every age. Every age He's followed that to see that It's brought forth. And they could not be made perfect without us. And now, the entire Holy Spirit visits the church making God in human flesh as He did before Sodom, the burning there, which was a type. Then Abraham, He appeared to him.
And all the things that He hasn't done down through the ages, in the church ages, He is now doing. Back to the Word, because the messages, and the messages, and the messages has to wind up in the entire Word. And in the last days, the Seven Seals being open, was to pick up every straggle that's been left off in it and make the whole thing in one great big body of the Bride, that them who lived back there was not perfect until this church be perfected, the Bride group in the last days, to bring them in and all together be taken up. See?

23 The Token, Jesus Christ, the Holy Spirit, is among us. We should reverence that. We--we--we can't humble ourselves enough. Taking off your shoes or getting on your knees wouldn't expel it, it would--it wouldn't satisfy; it wouldn't suffice us, but a life that brings forth the fruit of the Spirit...
Now, what is the fruit of the Spirit? See? Love, joy, peace...
Remember this morning? Preparation, sent the messenger with the message. Next thing He done after He sent the messenger with the message, He sent the Pillar of Fire for a vindication. Next thing was after that, was consolation. See? You knew that it was right; you was at peace. We have peace with God through the Lord Jesus Christ. See?

26 Now, tonight we're going to pray for the sick. And I think they have Communion. [Brother Branham speaks to Brother Neville--Ed.] You--you don't have baptism, baptismal service? Just Communion--Communion. And we want you to stay for Communion, and with the--within thirty-five or forty minutes we aim to be finished and ready for the Communion.
And now, tomorrow is the time of Labor day, so you can kinda rest up. Now, I said that was our intentions. You see? We don't know what the... I want to be sure to make that right.

28 Now, this morning I told you, being not with you, I--I think we had another two or three hour message this morning. But--but I--I just got started, and I thought I'd just carry that over for tonight, but it was just too tremendous. I don't know whether the people got it or not. I hope they do, everywhere. I hope there was some good tapes on it, so it can be carried out to be known that I believe of all the message that I ever brought, that absolutely was ordained of God, outside of the--course the regular commission, like the Seven Seals and things--that was directly the Word of God. I'm talking about a message to preach; I believe that one was it (See?), the--the--the one that's needed to follow those Seven Seals.

29 Now, watch what's come after the Seven Seals: the uniting of the people, united signs, the red light flashing in the last days; the sign of women getting prettier; and men, what they would do; all these signs of the Holy Spirit leading up; and then come right back here to the capping-off of all those messages since the Seven Seals. It's capped off in this one thing: the Token that we are all right. See? Just check ourselves and see if we're in the faith.

30 Now, the Lord bless you. And now, before we--before we turn over in the Bible... To pray for the sick... We ask this morning, how many was prayed for last Sunday night that--that had got healed, was healed already this week, and practically everybody here raised up their hand. That was at the meeting last Sunday night. Now, it's something... You understand. It's something that's... it's--it's... I'm catching this for myself.

31 There was a little boy, that was just told, come down from Chicago, a little Mrs. (What was that woman?) [Brother Branham asks Brother Neville the woman's name--Ed.] Peckenpaugh--Mrs. Peckenpaugh from--from... She was a very fine Christian sister. And she brought somebody, a--a kid, the way I understand it, a little boy or something, that--that the doctors didn't even know what was the matter with him. His lungs was so bad or something, that--that they couldn't do--couldn't put him in school or something. It was very, very bad. And said, the Holy Spirit right after the message, spoke to that little boy, and called him, told him his conditions and so forth, and pronounced his healing. And this week he went... The mother, or parents, or whoever it was, taken him back to the doctor; and the doctor said he had a new set of lungs (See?), new set of lungs. And the way I understand that the--that the parents or somebody called a long distance call or some way to let it be known to the congregation. See?

32 Now, God, the Creator, can make a set of lungs. I--I truly believe that we're on the--the verge of one of the most mightiest things that ever struck the earth since the days...?... See? But now, we can only be known as... It'll be so humble. See? See, what man calls mighty, God calls abomination. But what man calls foolish, God calls mighty. See? But now watch it (See?); it'll be so humble that you'll never miss--that you'll miss it if you've not got the Token there to examine it. You see? See?

33 Who would ever thought that the mountains was skipping like little rams and the leaves were clapping their hands, when a prophet came forth from the wilderness, that was spoken by Isaiah 1,200 or 712 years before, with whiskers all over his face, and a piece of sheepskin, not even a pulpit to preach in, excommunicated from all the churches, and standing on the bank of the Jordan screaming, "Repent!" And called the people a bunch of vipers, snakes. But that's what God said, that when He come the mountains would skip like little rams. See? The humble saw it and was glad.
How could they understand that a--that great Messiah, that was prophesied from the very beginning of the Book, in Genesis, that He would come, a Saviour... All sacrifices, and all prophets, and everything had pointed to Him. And then, when He come, supposingly to be a illegitimate birth... A father that was not even married to His mother, supposingly... See? And the woman was found pregnant with the Baby before they was even married. And come up in such... And born in a--a little... Well, it says a stable in the Bible. But a stable in them days was a cave back in the--back in the wall. I met such a place out in Arizona one time hunting. There was a stable back under a cliff of rocks. And that's the way Jesus was born, back in this little cliff stable on a manger of hay and straw, in a cow barn (See?) where stock was.

35 And was raised up as a carpenter's Helper; and how could That be the mighty Jehovah. But it was (See?); It was. See? Very odd sort of a Person, but oh, when He was just a boy, He astounded the priests by knowing that Word, because... Why? He was the Word. See? He was the Word. He never wrote a book. He never wrote a--He never wrote a word. The only word He ever wrote, I guess, He erased it out, in the--in the sand, when a woman had been taken in adultery. He never wrote a word. Why? He was the Word. See? He was the Word. He didn't have to write It; His life lived It. He was the Word. If He... "If I do not the works of My Father, then believe Me not." See? "If I don't do exactly what the Word said I would do, then I'm not the Word." But if... That's what He meant. He is the Word.

36 So now, prepare yourself now for the--the oncoming healing service and the Communion. We'll be happy for you to stay with us if you can. If you can't, we'll have a dismissal right away.
And don't forget, pray for me and pray for my wife, the sweetest woman in all the world, and for my children. And now, I claim them, every one, for the Lord Jesus.

38 Now, Becky is just at the age of little "Ricketta," you know, just a little "teeannie," as we used to call it. And then, she's just at that age. But now, she's a very sweet girl; I--I thank the Lord for that: no smoking, no drinking, no running around, nothing. But she's just at that age... She's--she's carefree. She don't want to go to church, and if she does, she set back there and chew chewing gum, get up and walk out. That's... See? I want to see her filled with the Holy Ghost.
I want to see Joseph. I want that boy... I believe that someday when I can't walk to the pulpit no more, I want to take this old worn out Bible and hand it over to him, say, "Joseph, stay with It, son." Then I'm ready to climb on up. I want to hear a wind blowing somewhere, look up, wave my hand, take off.

40 Let's pray. Father God, our whole life is wrapped in That, for It's You and You are our Life. Now, there's some here, Lord, that--that even holds this Token that I spoke of. They have possessed that Token, and yet they're sick. And I want to speak tonight on giving them courage to--to encourage them to take that God given rights. They have a right to defeat that devil. He's already defeated, and he's just bluffing them. I'm claiming them, Father.
Now, help me to speak the Word. You speak through me, Lord, with these few notes that I got wrote down here and little Scriptures wrote out. I pray that You'll help me, Lord, and get in the Word and give them faith for the glory of God. In Jesus' Name I pray. Amen.

42 Now, quickly, I want you to turn in the Bible to the Book of Jeremiah and the 29th chapter. If you like to read, or if you don't, just mark it down: Jeremiah the 29th chapter, and we're going to begin with the 10th verse of Jeremiah, the 10th verse of the 29th chapter. Also we're going to read from Luke the 16th chapter, beginning with the 14th verse.

43 Now, I'm going to give you my text while you're--you're--you're turning. My text tonight is "Desperation." And I... Desperation. And now... You know what desperations is? And now we're going to read from Jeremiah the 29th chapter, the 10th verse:
For thus saith the LORD, That after seventy years be accomplished at Babylon I will visit you, and perform my good word toward you, in causing you to turn to this place.
For I know the thoughts that I think toward you,... (Isn't that sweet?)... saith the LORD, though--thoughts of peace, and not of evil, to give you the accepted end.
Then shall you call upon me, and ye shall go and pray unto me, and I will hearken unto you.
And ye shall seek me, and find me, when ye shall search for me with all your heart.
And I will be found of you, saith the LORD: and I will turn away your captivity, and I will gather you from all... nations, and from all the places where I have drove you, saith the LORD; and... will bring you again unto--unto the place which I caused you to be carried away captive. (Back to Pentecost... I put that in myself; It doesn't say that. That's what I was meaning to the church.)
Luke 16, begin at the 15 verse--or the 16th verse:
The law and the prophets were until John: since that time the kingdom of God is preached, and every man presses into it--every man presses into it. (Not just simply walks into it easily, but it's got to be pressed into. See?)

44 "Now, when you seek Me with all your heart, then I'll be found." And He promised that He would return and bring the people, from scattered all over the earth after those seven years, back into Jerusalem where they left from; and He did it just that way like. That's right.

45 Now, we're going to talk on--on Desperations for a few minutes now. Usually it takes a state of emergency to throw us into desperation. See? It's too bad it has to do that. But human beings are so slothful in their mind, that it takes an emergency, Something arises, and when they do, then it--it throws them into that desperation. And really, in doing that, in desperation it brings out that real thing that you are. It shows what you're made out of in the time of desperation. It usually pulls out all the good things that's in you.

46 In time of death, I've heard people when they knowed they were dying, and things that they kept secret all their life, they [Brother Branham pants as one in desperation--Ed.]... In desperation they were trying to confess it. See? And trying, "Take this... and... make it right. Go!... Please. Go... Do!" See? In desperation. They ought to have done that beforehand (See?), not wait till the time of emergency. "Will you do so-and-so for me?" The emergency causes desperation when we ought to do it without the emergency.

47 Now, we notice tonight that we're taking the symbols of the Passover. And the Passover was taking in emergency in times of desperation. You notice in--in Exodus the 12th chapter and the 11th verse of the 12th chapter I believe it is, it says, "Eat this Passover with the shoes on your feet, with your loins girded up, and with the staff in your hand." See, you're eating it in desperation.

48 They had seen the great hand of God. They'd saw all of His miracles, and then they come under the sign of the token. And while they were under the sign of the token, they taken the Communion in--in desperation, for they knew at that time God was fixing to strike with judgment.
And it was a shaking time. It was a time where every man was examining himself, because the Word of the prophet had not failed one time. It had been proven to be true. Whatever he said, it happened just exactly the way he said it. The Pillar of Fire was still there. And then, the prophet had announced that God would only pass over when He saw the token at the door. And it was a desperation.

50 I'd imagine the children were--when they saw those big, black wings drop down from the sky like a smoke settling over the city, the screams coming from every house, the children might've went to their daddy and said, "Daddy, are you sure that we're under that token."
And he could go to the door, look upon the post and the lintel and say, "Son, that's according to His Word."
"Remember, I'm your oldest child. Daddy, are you positive?"
"I am positive. That's according to what the prophet told us, and he has the Word of the Lord. Said, 'When I see the blood, I'll pass over you. Take a lamb for the house.' I've brought all you children in. You're my oldest, but my firstborn; that's the one that's dying all out in there. But there is the blood. That's what THUS SAITH THE LORD was. So rest, my son, rest at ease because God made the promise." See?
"Well, daddy, why you got your shoes on? Why you got the staff in your hand? Why have you got a piece of bread in one hand and a lamb in the other hand? Why is them bitter herbs and things? What are you eating it? What's the sweat running off your face about?"
"Son, death's fixing to strike." See, it was in a time of desperation.

52 Now, I believe that we're living in the days that we're... Or otherwise, the days that we're living in should cause the church to go completely into desperation. I believe since the message this morning from God, not me, I believe it ought to throw this entire congregation into desperation, that we have played long enough. We've went to church long enough. We got to do something.
How is it that we can see other great signs and wonders done on others, and what about us? It should cause an estate of desperation, that we are determined, before God... The signs of His coming should bring this entire congregation, when we've read it from the Word... And the Holy Spirit has told us, "Go at a certain place; such-and-such a thing will happen," not tell us what it was, but it would happen. We go there; it happens that way. The newspapers pack it. The magazines pack it, show the picture of it. Come back here and see those great mysteries hidden in the Bible, opened up to us on a new field that we never knowed before, and perfectly blends in to the coming of the Lord Jesus.

54 Then at the end of the messages, see the action of the great Holy Spirit; see Him come down visible before people, even take pictures of It; see It working and showing that it's not a man; it's not just a preacher; it's not a certain congregation; It's the Holy Spirit showing the same thing It did when It was embodied in the body of Jesus Christ. Now, It's embodied in the Body of His Bride. It should throw us into desperation.

55 Those people had seen the hand of God. And that night of the Communion, they took it with--in desperation, because they knowed that something was fixing to happen. And we know something's fixing to happen. And remember, the coming of the Lord will be a sudden, secret going away. He will come and take Her like a thief in the night. And to think that if somebody... All of a sudden, there's members of our family gone, and you're left behind, it should throw us into desperation that, by the grace, of God, we'll not be left back behind. If there's anything I don't want... Don't--don't leave me, Lord.
A few days ago I was hearing Mel Johnson sing that song:
Remember me when tears are falling down. (Yes!)
Remember me when friends are not around.
When I cross over this river Jordan,
When You're calling the roll, remember me.

57 And on the Lamb's Book of Life, I want my name wrote. I want Him to remember me when the roll call. And it throws me into desperation, that is, like Paul said, "After I have preached the Gospel shall I be a--a stowaway--shall I be a--a castoff?" It could happen. So it throws me into a desperate stage, desperations, to think of after all these years of preaching, would I--could I--a place come where I could fail Him. What's the next move? What must I do next? And it throws me into a nervous stage that what can I do. It throws me to the mountains and to the valleys. And it's hard, because when I'm with the people I've got to be all things to all men that I might win some to Christ, yet with that Token always before me. See?

58 And I see things that's coming up, and you can't tell the people. You see different things, and you're forbidden. Them visions that they call on, and sometimes they'd be sorry if you did tell them... And you know better than to do it. And then, you go so far in visions till everything becomes a vision, and it throws you into a nervous stage. You--you look and say, "Now, am I in a vision?" Like setting right here, "Is this a vision? Where am I really standing at?" See? You--you overwork yourself; you overtax yourself. And you find out things about people that you wished you didn't know. The people that desires these things, to know these things, they don't realize what that type of ministry costs. You don't know what goes with it. Then it throws into desperation, "Lord God, I know I'm going to have to answer."

59 Jack Moore said to me one time, "I'd hate to have to answer like you will have to at the day of the judgment." Said, "God has put these people into your hands, and you're going to give an account for every one of them. You're going to answer for your ministry." That's been about fifteen years ago, or maybe eighteen; and since then, I've been in desperation. What will I do? Let me say only what You say, Lord. Let me tell them what's the truth or don't say nothing. It throws me in desperation.

60 Then seeing these signs coming: seeing the Holy Spirit take us out there, and bring these Seals, and lay them in like that; bring the church ages and lay them in; then come down in a great big Pillar of Fire back there and--and reveal Himself; then come down on the next thing, on the Seven Seals, and reveal it, even put it in the papers, the magazines; then come in and take the Angels of God, them seven angels with seven Messages, and confirmed it exactly what the Bible said; then during that time, come up and bring in those Seals--those signs, flashes of the end time, and bringing it up to the people and tell them what it is, and all about it, the Lord working right there showing Himself present; and then, right down like this morning, come up and require that Token on every person. Then you're my people. You're the ones that I love, these and them's listening to the tapes and so forth. Then you see what desperation it puts me in.

61 Desperation, signs of His coming should throw every member of Christ into desperation now, about our souls, about our--our--our welfare for hereafter. Well, what are we going to amount to if we gain the whole world? What are we--what are we living for? What do you work for? What are you eating for? What are you struggling for? To live. What are you living for? To die. And you're not fit to live until you're fit to die. It's true.
And we see so many miracles of healing, it should put us into desperation.

63 If that little boy... I... Am I looking at Mrs. Peckenpaugh now? Is this Mrs. Peckenpaugh? Are you the one that had the boy here, something or another? Why, here's the woman setting right here I was talking about. I just happened to look over and see her.
Now, if God can do that for that little boy, it ought to throw you into desperation.

65 A--a man from New Albany, he may be here tonight. He's a friend to my Brother Roberson that had a little boy here. I think his wife had cancer once and was healed. And--and now, the little boy has got asthma so bad till he's just in bad shape. Little fellow, almost cancer in throat himself... See? And then, he brought the little boy (Yeah, I see his hand up in the back, back there.), was prayed for this morning. You see? Desperation...
When the wife was about to die with cancer, he knowed that God could heal her. If God could heal the wife, God can heal the boy. It throws it into a state of desperation. See? You must come, and when you're desperate, then God's going to listen to you. But if you're just slothful, you don't care whether He does or not, well then, that's different. You say you do, but it takes desperation to do it.

67 I believe that the reason we don't have desperation is because it's a lack of love, the love of God. I think that the love of God causes desperation. If God is in you, the Token inside of you, and you see the conditions of times and people wading in sin the way they are, it'll throw you into desperation. I believe it will.

68 Now, the Word plainly states (if you want to put this down) in Galatians 5 and 6, that faith worketh by love. See? Faith worketh by love. And the only way that you can have faith, is have love first. Because after all, faith is love's incentive. Incentive, that's exactly what--what faith is, is an incentive to love. Now, you--if you don't have love you can't have faith. See?

69 How can you have faith in your wife if you don't love her? That's in Phileo. Now, how about Agapao to God? How can it be if you don't love God? If you said you love your wife and never tell her about it, and never set down and make love to her, expressing it to her, kiss her, hug her, and tell her she's the best cook in the country, all the things that you know, and how pretty she is, and how much you love her; if you don't do that she'll never know it. That's the way. If you do love her, you express it.
That's the way we do to God. When we love Him, we tell Him about it. We set down and we adore Him, and worship Him, and... See, love drives us to that.

71 Now, what if something's got to be done for your wife. Why, it'd throw you into desperation to get it done. What if somebody says your wife's got cancer? What if somebody says your--your wife's got TB; she's fixing to die? Yet, you--you'll do anything. See, it'll throw you into desperation.
That's the same thing that it is. We must have love before we can have faith, and faith... When we have genuine love, what does it do? It pushes our faith out on the battlefront for God. Genuine godly love for God and for His Word and for His people, will push faith out there. Love just takes ahold of faith and--and just... "Come on; let's go." And out it goes, 'cause that's what love does.

73 John 14:23, Jesus said, "If a man loves Me he will keep My words." Now, you can't keep His words without having faith in what He said. So you see, if he loves God, then he keeps God's Word. If He said, "I'm the Lord that heals thee," he believes that. Love makes him believe it, because love dominates all. "Though I speak with tongue of men and Angels and have not love, it's nothing." See? "Though I have faith to move mountains and have not love, it's nothing." Love dominates all, 'cause God is love, a God of love. Now. Yes, sir. If Jesus said, "If a man loves Me, he will keep My words"...

74 We know it is true that God will meet a desperate soul. Now, we all know that. But it usually takes something to drive us into that--to that despair, to the desperation. It takes something to do it.

75 We find out in James 5:15 that the Bible said that the effectual, fervent (that's desperation)--effectual, fervent prayer of a righteous man availeth much. When a righteous man, a good man, gets in travail, or soul travel, or travail, either one... (I--I think "travel" is a better word. Travail or travel, either which one you want to call it.) But when a--the a soul gets in--in desperation in travailing, an effectual fervent prayer of a man that can show the Token, it does something. See?

76 Notice what the Bible said here also in James 16-5:16, said, "If... Confessing our faults (getting right, making ready for it)... Confess our faults one to another." Having no--no faults... ask people to pray for you, confessing our faults one to another and praying one for the other... There you are. With love--love that I got confidence, I can confess to you my wrong. You can confess to me your wrong; I love you well enough that I will pray for you and you pray for me; and will stay with it with an effectual, fervent prayer until it's answered. That's--that's desperation. That's what we should have all the time.

77 Let's take some Scriptural examples of that, what happened, now for another, about fifteen minutes, the Lord willing.
Jacob, he was a man. He was first a-kind of a carefree boy. He thought in his own mind that he knew that the birthright meant everything to him, and he didn't care how he had to get it, just so he got it. And after he got it, he thought everything was all right because he had the birthright. He thought the thing was settled. He come up to his brother when he was hungry, coming in from the field from working with the cattle and hunting the deer. And his brother, he--he needed a big pot of pottage, wild peas and--and things together. Might've been very tempting when a man's hungry after walking all day. And his brother said, "I'm just about ready to faint. Give me some of this."
And he said, "Well now, if you'll swear to me I'll get the birthright." See? He didn't care how he done it, just so he got it. And he thought when he got the birthright that settled it.

79 Pentecost, there's where you failed. You thought because you were borned of the Spirit, borned of the Spirit of God, the birthright, that settled it. But it only starts it. You remember in the message of--of "Hear Ye Him," how that the child, after it was born in the family, become a son. It had rights to the birthright, but it had to be proven, child-trained. And then, if it did not prove out to be an obedient child to the father's will, then it must be... Well, it did not get the--the... was not the... become heir. It heired nothing, yet it was a son. But he heired nothing, if he wasn't interested in the father's work.
And so, when the Holy Ghost fell upon the Pentecostal people and they--begin to restore back the gifts and things that was in the church, they thought because they were born in the Spirit, that settled it. But you see, there's a placing of a son. And after this son proved to be a real son, then he was taken in a public place, and then was set up, and changed robes, and set up there, and then there was a placing of the son that he had heir of everything the father had.

81 God did the same thing to His Son on Mount Transfiguration. He was overshadowed by--by the--a cloud and was transfigured, and His raiment shined like the sun, and a voice said, "This is My Beloved Son in whom I'm well pleased. Moses and the law had failed, and this is Him. Hear ye Him." He was placed. See?

82 Now, Jacob thought because that he had the birthright that everything was made. So did the Pentecostal people, and they begin to organize the--the oneness, threeness, and trinitarians, and all kinds of organizations, and fussing and pulling at one another, proved that the Token wasn't showing. Malice, envy, strife... See? But that's where it got to.
Now, see, Jacob thought the same thing. But in fear one night of his own life, desperation took ahold of him. When he thought that, "Just across that river yonder, my brother's waiting to kill me. He's going to..." See, the birthright that he'd gotten was the thing that was going to cause his death. And sometimes that very thing that you received as the Holy Spirit, and is, and are borned again of the Spirit, if you don't watch, that same thing will condemn you at the end. That's right. The very waters that saved Noah, condemned the world. The thing that--that you would call fanaticism might be the very thing that condemns you at the end of the road.

84 Now, Jacob knew that his life was close at the end. He had a messenger come told him that his brother with four hundred armed men was coming to meet him, knowed he--he was on his road. Fear took ahold of him. He sent men on ahead with ox, and cattle, and sheep to make a peace offering with Esau. Then after that, he started another group with another load of stuff. Then he started another group with another load of stuff, trying to meet him first, to try to turn his wrath. Then he got to thinking, "That won't stop him, because he's probably richer than I am. He doesn't need it." Then he took his wives and his little children and sent them across, that Esau would see them little children and his wives. And surely all his own little nieces and nephews, he would not slay them. Then he still, he couldn't do it. God knows how to get a man. Jacob crossed the brook. There he got down on his knees. You know, he'd kinda been kind of a little shyster before that. Excuse the expression, but kind of a little... He was a Jacob. "Jacob" means "a deceiver," and that's what he was. But there's something had to happen to him. There in desperation, there when death lay before him...

85 There may be men and women setting here tonight that death lays right before you, and the only way that you'll ever be able to achieve the thing that you're wanting is to desperately come. "I must have it tonight. I get it now, or I'm finished. Tomorrow's too late; I must have it now." When you pray for the baptism of the Holy Spirit, the Token, don't say, "Well, now I'll go up and try. Lord, I--I'm a little tired." Oh mercy, stay in your seat. Don't even--don't even make an attempt. If you come say, "I'll pass through the prayer line. Put the oil on my head; I'll see if it does me any good." Might as well set where you're at until you get to that place. Until the whole church gets to a place that it's between death and life, you've got to have it now or perish, then God will move on the scene. It takes desperation to bring God on the scene.

86 Jacob cried like never before. Desperately he called until he got ahold of God; and when he did, he wrestled not for fifteen minutes. He wrestled to keep Him in his soul all night long, and still he knew he didn't have the blessing; and he was able to hold on until the blessing come. He wrestled desperately until the blessing come. Then... And when he seen... Until God came on the scene, and then in despair, "I'll not let You go," when he begin to feel the blessing coming down on him... A lot of people say, "Glory to God, I got it now." There, you're deceived. Yeah.
Somebody say, "Oh, I just feel so good, Brother Branham; I went down there and prayed. Oh, shivers run over me and I..." That--that might've been God. "I saw a great light before me." That still might've been God, but that ain't what I'm talking about.

87 The Bible said, Hebrews the 6th chapter, "The rain falleth on the just and the unjust," just the same. Now, you take wheat and take weeds and put them in the field. And the rain is actually sent for the wheat, but the rain falls on the weeds the same as it does the wheat. And the rain... And the weeds is just as happy about the rain as the wheat is, and it's the very same rain. The very Holy Ghost can fall upon an unbeliever and make him act just exactly the same way a believer acts, but by their fruits they are known. That's what I'm speaking of; that's the Token.

88 And David--Jacob, rather, in desperation he said, "I know, I feeled You; You're here with me, but I'm not going to let You go." Somebody sees it fine, the first little sensation, get up and jump up-and-down, and run up the aisle, and say, "I got It, I got It, I got It." Oh, no, huh-uh, no. Jacob stayed there until something happened that made him walk different, made him a different person, because that he stayed until that happened, and he was able... The Bible said he held until he prevailed. How can a man prevail over God? But you can do it. You can do it. A man can prevail over God.

89 One time there was a man named Hezekiah, had been told by the prophet, "THUS SAID THE LORD, you're going to die."
Hezekiah turned his face to the wall, and in desperation he wept out, "Lord, consider me. I've walked before You with a perfect heart, and I need fifteen more years." After God had told him that something was going to happen; he was going to die. And in desperation he changed the program of God. Desperations, he wept bitterly in desperation.

90 Jacob stayed there until the blessing came and changed his name from "a deceiver" to "a prince with God." Even the nation was called by his name. Yes, sir. What was it? The results was because he got desperate about the thing. And the next day when he met Esau, he didn't need any guards. He walked right out and met him. See? Why? He had got in desperation till he got the assurance. And you get desperate until you get the assurance. If you don't, don't even come to be prayed for. Don't even come to go at the altar. Wait till it's between life and death to you, then something will happen. Certainly. Desperation.

91 Ruth got desperate one time when she was standing by Naomi. Would she have to go back to her people, to all that she loved, and all that she--she worshipped, her gods and her people, or would she cleave to Naomi? What must she do? And she got in desperation and she cried out, "Where you go, I'll go; where you live, I'll live; where you die, I'll die; where you're buried, I'll bury--I'll be buried; and your God shall be my God." There you are: desperate. God blessed her, gave her a son, Obed. Obed begot Jesse; Jesse begot... Through Jesse come Jesus. Because desperation...
Like the little harlot Rahab, she was desperate. She knowed that death laid before her. She was under judgment, and she got desperate, said, "I'll hide you spies; I'll do anything; only swear to your God that my house will stand." There you are.
He said, "I'll... If you'll take this token, it will."

93 Eliezer got desperate when a responsibility was placed upon him to hunt a bride for Isaac. Eliezer of Damascus was a great man. He was favored by Abraham, and he was trusted by Abraham to go out and hunt a bride, a right type of a bride, for his son, Isaac. Through that would bring forth Christ.
Now, Eliezer, being a spiritual man, knowed what it meant. The right kind of a woman had to be that--that man's wife. And how would he choose it? In the hour of his desperation, when he arrived at the city, he prayed and said, "Lord God..." That's the thing. When you get desperate go to praying. "Lord God, let the first maid that comes forth and waters the camel and gives me a drink be that." He prayed in the hour of his desperation.

95 Rebekah, the beautiful maid, came, watered the camel. And then he said, "Don't delay me in my way." She had to come to a time of decision whether she would go. She was a type of the Bride. Would she--would she go and marry a man who she's never even seen? Now, that's a great thing. Never even seen him, yet she'd only heard by his servant. That's a type of the Bride. You've never seen Christ, but you hear by His servants what He is. You sell out everything, leave your homes, everything else it takes, to go to find Him.
Now, notice. And she made the decision, a type of the Bride, left her denominational home (See?) to go.

97 Jonah, throwed overboard in the time of a storm, in the bottom of the sea in the belly of the whale. All hopes of survival was gone. But it happened to come on his mind that Solomon in dedicating the temple said, "Lord, if the people be in trouble anywhere and they'll turn towards this temple and pray, then hear." And turning over in the belly of the whale, managed to get somewhere to his knees, I imagine, with the vomit of the whale all over him. There he prayed in desperation, and in that desperate... Just a few breaths of oxygen is all he had in the whale's belly, and in them few breaths that he was drawing, maybe he didn't know which way he was, but said, "Lord, I believe I'm looking upward towards Your temple." And with just a few breaths to go, in desperation prayed under those circumstances, never been done before, but he was desperate. He prayed, and God kept him alive for three days and nights, and delivered him at the place to deliver his message. Desperation.

98 Hannah, a barren woman in the Bible, she wanted a son, and she got to fasting for him. And she fasted and prayed until even the priest at the temple thought she was drunk. She was in such desperation... With the rest of the women watching what kind of a bonnet the other one had wore (You know how it goes.), and the other one seeing what kind of clothes they had on, and talking about the things going on on the farm... But not Hannah, she stepped right through the whole crowd and went to the altar. She had been fasting. She wanted her reproach taken away.
What a difference it is today. It's almost a reproach to have a child. Then it was--it was a reproach not to have one. And she got on her knees, and she never noticed the dignity of the temple. She never noticed the dignified priest as he walked out. She was in such distress till the tears was rolling down her cheeks, and she was crying in desperation, "Oh, Lord God, give me a son. Give me a son."

99 And notice, she wasn't selfish. When God heard her, and answered her prayer, and gave her a son, she gave him back to God. And because that she was willing not to be selfish after God had answered her prayer, He gave her a prophet. Oh, that was an extra blessing. Oh, He's just full of them, those little extra things that He gives. Not only a son, but a prophet (And there had been no open vision for many, many years in Israel.), Samuel, the first prophet for many, many years because a mother got desperate that she could have no children; and she was past the age of bearing, probably sixty, seventy years old. And she prayed with desperation. She must have this child. What was it? God had spoke to her, no doubt.
You can't be desperate till God speaks to you. Oh, church, rise and shake yourself. Pinch your conscience; wake yourself up in this hour. We must be desperate or perish. There's coming forth something from the Lord. I know it as THUS SAITH THE LORD. There's coming forth something, and we better get desperate. It's between life and death. It'll pass through us and we won't see it.
Because that she wasn't selfish she was given a prophet.

102 The Shunammite woman had a little boy that the prophet had spoke the Word of the Lord over her, though she was old and her husband old. They had no children, but she was kind to this--this prophet. And she knowed that he was a man of God. She perceived that he was honorable, a real man. He come into the house, her husband not there and whatevermore. He was a holy man. They could see that he was a honorable person. She'd watched him do signs and wonders; she'd heard him tell things that happened. He was an honorable, holy man. She said to her husband, "I perceive that this man that stops with us, is a holy man."
The lady of the house, she knowed that he was a holy man; and she built a little house out there for him, so he wouldn't be embarrassed. He could come by when he wanted to and so forth. She put a--a little bed out there, and a--and a jug of water, and so forth, so he could wash hisself and have something to drink. And she'd probably send a maid out or somebody, the butler with--with some food to feed him, and come by, and visit the day to him, or something.

103 And so when Elijah saw this kindness done to him... And it's written, "What you do to My little ones, you do to Me." So she saw... The--the woman was honoring God as she honored this prophet, as she seen God in the prophet. And so, she wanted nothing for it. It wasn't in her heart for anything. She just done it because she loved God. She didn't do it for any blessing; she just done it.
Now. Now, Elijah said, "Go ask her: Shall I speak to the king for her? I'm a personal friend. Or the chief captain, I--I know him real well. There's some favor, something I could do for her, I want to give her something for how she's been to me. She's--she's fed me; she's let me sleep in the beds, and--and she's been real nice to us. Now, what can I do."
She said, "No, I just dwell among my people. We're--we're well off. We have a living, and that's all. We don't need nothing."
And Gehazi said to him, "But she doesn't have any children."
No more that Gehazi saw it, no doubt the prophet saw a vision, for he said, "THUS SAITH THE LORD, go tell her in the appropriate time, or the proper time, a year from now, she'll embrace a son."

106 And the son was born. When he was about twelve years old... How that old couple must've loved this little boy, their only child. And one day he was out cutting wheat with his daddy. Must have been about the middle of the day, he had a sunstroke, I suppose, because he begin to holler, "My head." He got sicker and sicker. His daddy had to take him from the field, and it was such a emergency there, that he sent a servant, and sent him in.
The mother held him on her lap until noontime, and he died. Notice, her only child that had been give to her by the Lord through the prayer and the promise of a prophet and THUS SAITH THE LORD... She knowed there was something wrong somewhere. It just wouldn't work. How would God give her that son and let her--her love come to that baby... Yet she never asked for it. She was too old to have it. The hand of God had to pronounce it. A man spoke it, the prophet. And there this baby in this condition had died, her only son. So she said to the servant, "Saddle me a mule; and you ride, and don't you stop. If anybody tries to stop you, don't you say a word, and you drive straight to Mount Carmel. Up there in a cave somewhere, pulled back, there's a servant of the most high God, the one who told me THUS SAITH THE LORD, I'll have the baby. I want to know why God's did this." So said, "Go straight forward and don't check that mule; let him run just as hard as everything's in him; let him run till you get there." Desperation.

108 And Elijah the prophet raised up, look, and said, "Here comes that Shunammite, and she's--something's wrong with her. God's kept it from me; I don't know what's wrong." Said, "Go meet her. I got... Let's hurry. There's something wrong." Desperation set in on the prophet, desperation on the woman. See, they were coming together, one wanting to know what the Word of the Lord was, and the other one didn't know what the Word of the Lord was. There you are. One wanting to know, and the other didn't know it. The woman wanted to know it, and the prophet didn't know it. Said, "God's kept it from me. I don't know what to tell her when she gets here." So she was almost there then. He raised up his hand; he said, "Is all well with thee, all well with thy husband? Is all well with the child?"

109 Now, the woman had reached the end of her desperation. She said, "All is well. (Glory.) All is well." Her desperation was over. She'd found the servant of the Lord. If he hadn't been there, she'd still been in desperation. But she seen he was there. She said, "All is well."
Elisha thought, "Well, what's going on now?" So she run up and fell down at his feet. That looked kinda uncommon, so Gehazi just lifted her up. Said, "Let her alone; don't do that." Elijah said to his servant, "Don't do that; let her alone. There's something wrong. God keeps it from me." Then she revealed to him that the baby was dead.

111 Now, the prophet didn't know what to do. He said, "Gehazi, take this staff that I've walked on." He knowed that whatever he touched was blessed, 'cause it wasn't him, it was God in him. He knew who he was. He knew that he was a prophet. So he picks up this staff and said, "Gehazi, you take this, and you go and lay it upon the child. And if anybody speaks to you, you get desperate. And don't you salute nobody, and let no... Just keep going on; don't speak to nobody. Put it upon the child."
But the woman, that didn't end her desperation. That didn't satisfy what she come for. She said, "As the Lord God lives, I'm--I'm not going to leave you until you go minister to the child."
And Elijah got desperate, and here he went down the road, him and the woman. And when they got there, the--all the people were out in the yard screaming and crying. And the woman had done the most appropriate thing could be done. She took the baby and laid him on the bed where Elijah had laid. That was as good as his staff. And he didn't wake up there, so the thing wouldn't work. She wanted to know something different.

114 The prophet went in. Now, he's in desperation. Now, what's he going to do? And we find in the Bible that he walked up and down the floor, desperate. "I don't know nothing else to do, Lord. Here I am. You told me to speak that to that woman and THUS SAITH THE LORD, and it was exactly the way I told her, because You told me. Now, there she's in trouble, and I don't know what to do. There lays a dead boy. What can I do, Lord?"
No doubt the Holy Spirit said, "If the God is in you then lay yourself on the baby." First thing you know he stopped, run and put his hands upon its hands, his nose upon its nose, his lips upon its lips. And when he laid hisself over It, the baby sneezed seven times. Desperation was over. The baby come to life, because that desperation drove the woman to the prophet, and desperation drove the prophet to the baby. And desperation in both of them drawed God on the scene. With love of God and love for his people brought the love of God down and throwed faith out on the battlefront, and the work was done: case closed. Amen. That's it. Desperation does it. Certainly. She wasn't going to leave.

116 Blind Bartimaeus thought Jesus was going to pass him by, setting out there at the gate, blind, beggar for alms. The first thing you know, he heard a noise; Jesus was passing by. He said, "Who passes by?" Somebody shoved him down. He said, "Please, somebody, Who's passing by?"
One of them, maybe a kind little disciple woman, said to him, said, "Sir, don't you know Who that is passing by?"
"No" I hear some of them say, 'There's a whole graveyard full of dead people up here. If you raise the dead, go raise them.' Is it a blasphemer or somebody?"
"No. Have you ever heard of that Prophet of Galilee, that young Prophet called Jesus of Nazareth?"
"No."
"Well, you know, in the Bible it said in our scrolls that the Son of David will be raised up to set on it. That's Him."
"Is that Him? Is that Him? And He's passing by." Desperation drove him to scream, "Oh, Jesus Thou Son of David, have mercy upon me!"
Pass me not, O gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.

117 "Oh, Jesus."
Some of them said, "Shut up, you make too much noise."
But he was desperate. If He got by, he might never have another opportunity. We might not either. This might be the last night. Desperation, he screamed out, "Oh, Jesus!" No matter who told him to stop, he cried just the same that much more louder. When they told him to shut up, it made him get louder. He was desperate. Nobody could stop him. "Thou Son of David, have mercy on me." And he screamed in desperation.

118 And the Son of God with the sins of the world upon His shoulders, going to Jerusalem to be offered up right then for a sacrifice for the world, stopped in His tracks. Desperation, a despairing cry stopped the Son of God. Said, "What would you have Me do for you?" Oh.
Said, "Lord, that I might receive my sight."
Said, "Go you way; your faith saves you."
That was enough. Desperation. When desperation is to receive something, the faintest little touch, faith grabs it. See? He didn't say, "Now, wait a minute, wait a minute, hold that there just a minute; let me see if I can see now. I never did see my hands for many years. Let's see if I can see it. I don't see nothing yet."
When Jesus said, "Thy faith has saved thee," that was enough. That's all he wanted.

119 Desperation calls for a--a subject, and when the subject, no matter how faint it is, is received, it's believed right then, because faith catches when desperation's pushing it. See? Love in there mixes with it and brings it to it. Desperation does it.
Blind Bartimaeus caught the vision quickly.
Peter, he was all steamed up one night on the sea when he got in desperation, and he begin to cry out, "There's something wrong. I see a spirit come walking to me." The ship was about to go down. He said, "If it be You, Lord, bid me to come to You on the water." And he stepped down out of the ship and started; and he got scared when he got started, and he started to sink and desperation--though a mistake in trying to follow the commandments of God... I hope the church gets that. The man was doing what God told him to do.

121 Now, you Christians tonight, you're in the line of duty, trying to follow the leading of the Holy Spirit; and a cancer grabs you, or a--a death grabs you, the cancer, tubercular, whatever it is, in the line of duty, you have the same right that Peter had. "Lord, save me or I'll perish." In desperation he called out, and a hand reached and picked him up...?... You have the same thing. But he screamed out, "Save me, Lord."
He heard my despairing cry,
From the waters lifted me, now safe am I. (See?)
That's it, when you cry out.

123 Maybe this woman, mother, whatever it was to her little son or grandson, or nephew, whatever it was, cried out in despair; God heard.
Then we find out that in the sinking, God heard him. In the line of duty he started to sink. He failed. No matter if you fail, that don't have nothing to do with it. We all fail. We're a failure to begin with, but we got Somebody standing now with a strong hand who can reach us and take us above the water.
If you've made a mistake. Some woman made a mistake, some man made a mistake, some boy, girl made a mistake, don't sink. Scream out in despair, "Lord, save me or I'll perish." Get desperate about it. God will hear you. He always hears a desperate soul. That's what I'm trying to tell you about.

126 Our dear Lord Jesus Himself, in the world's greatest battleground, Gethsemane, He cried out in despair. Should He take the sins of the world or should He just remain on earth with His beloved disciples, what He wanted to do. But watch His humility as He humbled Himself, "Not My will but Thine be done," humbled Himself to the Word, the promised Word of the God of heaven. Notice, then He went a little further; and if He went a little farther, how much more ought we to go a little farther. See? And notice, the Scripture says here in Luke that He prayed earnestly. Brother, sister, if Jesus had to pray earnestly, how much more have we got to pray earnestly. If Christ, the God of heaven made flesh, had to pray earnestly, then how much more are we, sinners saved by grace, pray earnestly? If--if the decision throwed the Son of God into despair, what will it do to you and I? Desperately we must cry.
God in these last days has manifested Himself so to us by His great signs and power... Should make us desperate. That's right. And His willing to heal us and save us ought to throw us all into desperation to get to that healing stone. That's right.

128 Look. If Florence Nightingale, the great-granddaughter of the late Florence Nightingale that founded the Red Cross... You seen her picture in the book, weighed about thirty pounds. Cancer had eat her up. In London, England... They brought her from Africa to London, England. And there in despair... Brother Bosworth wrote back and told her, said, "We can't come to Africa."
She just wrote back--had the nurse to write and said, "I can't be moved. I can't do it." Showed the picture... You seen the picture. Only we had to put a little piece over it. It just had a small cord around. I thought maybe somebody, put in the book, might criticize because she was--her body was so exposed there, but--and we put a little thing across her here. She just had a--a little a rag or towel laying across--across her hips, but up above there was nothing. And even... But we thought we'd put a little piece of paper on there and photograph the photograph back. Keeps the people who's not got right kind of a position in their mind of thinking, that they wouldn't criticize me putting that picture in the paper.

130 And then, when the doctor said that she can't be moved, and she knowed I was going to visit England, she had them to put her on a stretcher, and pack her to a plane, and bring her to London, England, and send a guard out to the plane before going down to Buckingham Palace, sent a guard out there to come pray for her. And she was so far gone until she couldn't even speak to me. They had to raise her hands to put it in mine.

131 You know how London is, some of you soldiers been there. It's always so foggy. And I knelt down there by the side of a window, and she... The tears was running off. She wanted to... I don't know how she even got enough moisture to let tears come. It was just only bones, skin over them; and her--her legs up here at the hips wasn't over about, looked to me like about two inches across, or three inches. Her veins was collapsed. How she was living, I don't know. You seen her picture later. I knelt down by the side of the bed. Now, she was desperate. Whether I could come or not, they're going to bring her anyhow.

132 And I got down there; my heart was a-bleeding within me of the faith of that poor, little, dying creature, and I prayed with all the heart that I had. And while I started to pray, a little turtledove come flew on the window, begin to walk up and down, cooing. I thought it was a pet. I hadn't been in England but about an hour, just coming from the airport down there. And I thought it was a pet, and when I raised up and said, "Amen," it flew away. And I started to ask the brethren, did they hear that dove. And they were talking about it, and when I started to say, "Did you see... what that dove mean?" It come out, "THUS SAITH THE LORD, you'll live and not die." And she's living today. Why? Desperation. Desperation drove the woman to take a stand, live or die. Desperation arranged it that she got there at the same time I did. And a token from God, He sent a dove to give THUS SAITH THE LORD: desperate.

133 When Sister Hattie Waldrop of Phoenix, Arizona, she was coming up the sidewalk in my first meeting... The intern and her husband was bringing her: cancer of the heart. She'd made her stand to try to get there to the meeting, but she was so bad she was--couldn't breathe no more; the blood was dropping back through her heart where the cancer had eat into her heart. Now, cancer of the heart... That's about eighteen, nineteen years ago, maybe twenty; 1947 is when it was.
Now, she said to her husband and the intern, "If--though I die in this line, take me up there." Desperation; she lost conscious. I don't think she was dead; she claims she was. Now, she might have been. She may hear this tape. You see? Now, I--I--I... She--she claims she was dead; I don't know. They told me, "There's a dead woman coming up the line." And when the woman come by, she was lifeless. And when they brought her up there, the Word of the Lord came; and I went and laid hands upon her, and she rose up and went home walking. This has been about, I'd say, safely, eighteen years ago, and she's just as healthy and hearty... She'll be at Tucson to meet me when I get down there. Desperation: "Though I die in the road, still, but get me down there. He healed others; He will heal me." Willing...

135 Let our hearts be filled with love in this day, and be earnest, and in desperation. After while it may be too late.
Jairus one time had a little daughter that was dying. He was a borderline believer. He believed Jesus, but he was afraid to confess it, because they'd put him out of the synagogue. But the doctor come one morning and said, "She's dying now." Desperation set in. He couldn't afford, as his position, to be caught with Jesus of Nazareth, because he'd lose his position as a priest. But I tell you; when emergency come, it throwed him to desperation. I can see him hunting for his little preacher's coat and hat, and slipped it on. Here he comes down through the crowd, pressing around, where there was a woman just touched His garment, and so forth, and they was all shouting. But he went in and said, "Master, my little girl's laying at the point of death. Master, Master, my little girl's laying at the point of death, and if You'll just come lay Your hands on her, she'll live." Oh, my. Desperation makes you say things sometimes, makes you do things, and puts you into action. His daughter was saved by the desperation.

137 Let's be desperate, like that little woman with the blood issue. The Bible said she'd spent all of her money with the physicians and yet they couldn't help her. She'd started time of menopause to flooding, and a blood issue, and it wouldn't stop. They'd maybe sold the farm, the mules, the horses, and whatever it was; and nothing could help her. And the priest had told her never to go--go around such as that. But one morning she looked down. She lived up on the bank, up there where her farm was; she seen a great bunch of people gathering around a Man down there, and they said, "What is that?"
Said, "That's Jesus of Nazareth."
Desperation set in. She said, "I'm kind of insignificant... I--I... But if I can only touch the border of His garment, I'll be made well." And she passed by every critic and everything else. But then she got to the spot; she touched His garment, and desperation...
And when He did, He turned and said, "Who touched Me?" And they all denied it. But He looked around. He was possessed with a great gift of God. He was God; and He found the little woman and told her her blood issue had stopped. Desperation drove her to do that.

138 It was desperation that drove--drove the Queen of the South. She heard that the gift of God was working through Solomon. Desperation drove her to that.
Desperately. That's human beings, like you, like me. They wasn't any different from you and I. They had five senses. They eat, and drink, and so forth like we do, live and die. They were human beings.
It drove her into such desperation till she took part of her kingdom. It drove her to a place till she didn't think about the Ishmaelites who'd rob her on the desert, her ninety days on the back of a camel cross the Sahara Desert. Desperation, she's going anyhow. And when she got there, there was nothing held from Solomon but what he told her the things that she wanted to know. Desperation. Jesus said she'll rise in the day of the judgment with this generation and condemn it, 'cause a greater than Solomon is here. Desperation.

141 In closing I might say this: Not long ago down in Mexico I seen something desperate. I just got to the platform there in the big arena, and the people had been in there since nine o'clock that morning, and it was nearly ten o'clock that night. An old blind man, the night before, totally blind for about thirty years, received his sight, and was going around the city that day testifying. An old rick of clothes, laying for maybe thirty, forty yards, that high, of just old shawls. There's maybe forty, fifty thousand people there. And old hats and shawls... Who they belonged to, I guess they'd have to decide that among them. It pouring down rain...

142 And they let me down a rope over a wall, and I got on the platform. The minister... The man that's setting here, they brought his... Him and his daughter come down from Michigan a few minutes ago, talked about Brother Arment. We remember him here. He's on the streets of glory tonight. Brother Arment was there, and took his overcoat off, and stood in the rain, and give it to Brother Jack Moore to put on, 'cause Jack was shivering. The southerner was about to freeze in that cold rain there in Mexico. And there he was standing there.
And Billy Paul come to me, my son, and said, "Daddy, you'll have to do something. There's a little Mexican woman down there with a dead baby that died this morning. I ain't got enough ushers to hold her out of the line." If laying hands on that blind man give him his sight, laying hands on her dead baby would give it its life. She was a Catholic, and she... They couldn't hold her back.

144 And Brother Espinosa and them had told her that, "We have no more prayer cards; you'll have to wait to another night."
She said, "My baby's dead. It's been dead since this morning. I must get in there." And she was coming, prayer card or not. And they lined up about three hundred ushers there. And she'd go right under their legs, and jump right up on top of their backs, and run with this dead baby, and fall down among them. Didn't make any difference to her, she was trying to get there. She was desperate. God had spoke to her heart that the God could give sight, could give life. Oh, my. She was desperate. Something was burning in her.

145 Oh, sick people, if you'd let that burn in you for a few minutes, watch what happens, that kind of a desperation... The God that could heal this little boy the other night, could heal that lady with cancer, heal this man, and do this, Miss Florence Nightingale, oh, the tens of thousands... He that... Undisputable evidence... Raising the dead, and healing the sick, and everything else, if He's God can do that, He's God yesterday, He's God today. Get desperate, then you'll get something done.

146 Then in that desperation she kept rushing. I said to Brother Jack Moore; I said, "She don't know me. She's never seen me. She don't know who it is up here on the platform." That little Catholic woman not--couldn't speak a word of English then, how does she know who it is. I said, "Go on down, pray for the baby, and that'll satisfy her, and she'll go on." Said, "And it won't cause..." There's just constant roar down there. She'd jump up, and everybody'd be screaming. She'd run right over the top of their shoulders and fall right down among them. She'd gain a few feet, and then they'd try to put her back out; and here she'd come right between their legs, holding this baby, upsetting the ushers and everything else. Didn't make any difference; she was getting up there. She had to get there; it don't make any difference what it was; she was going to get there, have the minister...

147 Now, isn't that just a story like the Shunammite woman. Only that wasn't thirty-five hundred years ago; that was about three years ago, or four. See? They can be the same thing tonight. When the same desperation rises will throw love and faith up there to the battlefront to claim what you want, because it's a promise of God that you can have it. That's exactly right.

148 I turned, me, the minister, the evangelist at--at the place; I turned. I felt sorry for the woman, but there's no desperation. See? I turned and thought, "Well, Brother Jack will pray for her and that--that settles it." I turned, and I said, "As I was speaking, now, faith..." I looked out there, and there was a vision. I seen a little baby setting there, a little black-faced Mexican baby with no teeth. It was laughing at me, setting out there. I said, "Wait a minute. Wait a minute." Her desperation drove the Holy Spirit to change my subject, change my heart, and show me her baby setting there. That sent the Spirit back. I said, "Wait a minute. Wait a minute. Bring me the baby." Here she come with a little, wet, soaking, blue and white blanket, a little dead form about that long. She fell with a crucifix in her hand and her rosary to say these hail Marys. I told her, "Put it up; that's not necessary."
And she come up close to where I was, and she begin to holler, "Padre," which means "father."
I said, "Don't say that. Don't say that. Do you believe?" And he said it in Spanish to her, did she believe?
"Yes," she believed. He asked her how would she believe. She said, "If God can give that old man his sight, He can give my baby the life." Amen. Desperation drove her to it.
Not a thing on my part; I just saw the vision. I said, "Lord Jesus, I saw a vision of a little baby. It might be this one."
About that time he kicked its feet, went, "Wha, wha, wha!"
I said, "Follow her to the doctor; get a written statement from the doctor, that baby died.
And the doctor wrote the statement, "That baby's respiration, heart stopped this morning in my office at nine o'clock, died with double pneumonia."
Oh, the baby is a living in Mexico tonight as far as I know. Why? The desperation set in on a little mother's heart, crying for her child, that had seen God do, heal a man's blind eyes, and know He could raise a dead baby.

149 Desperation. "When thou seekest Me with all thine heart, then I'll hear you." See?
The Kingdom... The law and the prophets were until John. Since then, the Kingdom of heaven's been preached, and men press into It. You don't just stand around and say, "Pick me up by the collar, Lord, push me in." You press into it. You get desperate, between life and death.

151 Wished I had time for another story, that I'm thinking right now of a woman, a girl took a wrong road, and how she'd turned new pages and things, till I said, "Sister..."
She got up and said, "I--I believe I'll be all right."
I said, "No, no. Stay there."
And then, the first thing you know she started praying a little bit and directly she got louder and louder. And after while she got desperate, said, "Oh, God, save me."
Alcohol Anonymous couldn't cure it. Nothing else could do it. But them big, black eyes looked at me, and the tears dropping off her cheeks; she said, "Something's happened." Oh, yeah. Yes, sir. Something happened. She got desperate.
Let's be desperate about this; it's between death and life. If you can't get desperate, don't come through here. If you are desperate, come here and watch, you--you'll get it just as soon as you get here.

155 Let us pray. In desperation watch for the Kingdom of God; It'll come upon you.
Our heavenly Father, I pray Thee in Jesus' Name, be merciful unto us, Lord. And start in us a desperation. Oh, Lord God, have mercy upon us; I pray, and let the people seek Thee tonight with desperate hearts. We know You're here, Lord. You're the same yesterday, today, and forever.
And now, may these people who has the Token, that they've passed from death unto Life, they've changed from the old worldly life to a new one... They have... The Blood has been applied and God give them a Token sign. May they take that Token in their hands, them that's sick, say, "I am a purchased product of God. I am in Christ, and in Him is no sickness. I'm in Christ, and in Him is no sin. I'm in Christ, and in Him is no unbelief. I renounce everything that the devil has told me. I take my Token that my... 'He was wounded for my transgressions; He was bruised for my iniquity; the chastisement of my peace was upon Him; and with His stripes I was healed.' And I now hold the Token that God has recognized me that--purpose--person--purchased by the Blood of the Lord Jesus. And I hold the Token of His death in my hands, because He has raised again, and I am His and He's mine. I go with determined faith, that from this night on, I believe God, and I'll be healed when I get there, and meet the requirements; because the last words that fell from His lips was this: 'If they lay hands on the sick, they shall recover.'" Grant it, Lord. May a desperation set in, for I ask it in Jesus' Name. Amen.

158 I can, I will, I do believe;
I can, I will, I do believe.
I can, I will, I do believe,
That Jesus heals me now.
Oh, I can, I will, I do believe;
I can, I will, I do believe. (Just think: "I'm determined.")
I can, I will, I do believe,
That Jesus heals me now.
You believe that? "I'm determined. I'm determined by the grace of God that I'll never stop until that something strikes me. And I'm going up there to have hands laid on me." Now, God has never failed us. I believe the Great Physician now is near. I believe the God that wrote the Word; I believe the God that made the sacrifice; I believe the Token of the God that cleanses us from sin tonight, the Token, His own Life, is here with us, "I'll be with you, even to the end of the world. A little while and the world seeth Me no more, yet ye shall see Me, for I will be with you, even in you to the end of the world." You believe that? I'm trusting in Him. I believe that He will do it. Don't you?

159 Now, as soon as I start that, I see visions appearing (Amen.), great visions of the Lord, speaking great things. Amen. If I start that, we'd be here all night. Going to believe it? You believe? Amen. I believe it with all my heart.
The little lady setting out there from Brother Palmer, she's a stranger to me. She is from Georgia, and she's suffering from a female trouble. If she believe that God will make her well, He will do it. I never seen the woman in my life, but that's what's the matter with her.
That little woman, I don't know whether she ever heard the message before or not, but while I was preaching here, I saw her. You just believe it and see if that's right. Amen.
If you'll only believe. That's right.

162 A lady setting right back here with back trouble, suffering real bad, her name's Mrs. Wisdom. If you'll believe with all your heart, Jesus Christ will make you well. I never seen the woman in my life, but she's setting there suffering. She's wearing a yellow dress. Is that right? All right. Are we strangers to one another? Yes. All right, sir. You can go home, be well. Jesus Christ makes you well. Amen.
Another woman that's just caught that: back trouble, setting over here. She's got back trouble. She's got a boy, and he's got head trouble. That's right. Mrs. Parker is her name. If you believe with all your heart, and Jesus Christ will heal you both. Amen. We're strangers to one another. That's exactly right. Amen. Believe with all your heart.

164 Here's an elderly man setting back there from Michigan. He's having trouble in his ears. Oh, he thinks voices, spiritual trouble. Is that right? You're believing that--that... You don't know whether it's God or what it is talking to you. You hear noises in your ears. I'm a total stranger to you. If that's right, raise up your hands, and that's what's taking place. It'll never bother you no more; Jesus Christ heals you.
Do you believe the Great Physician?
I'd speak to you--but Norway--and you don't--you understand Norwegian language. All right, tell him to go home believing, sister, if you know how to speak it. Tell him his head trouble will leave him. Now, you know I don't know him. He's come here from Norway to be prayed for. Go back a well man.
Oh, Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. What is it? It's that Pillar of Fire, the Holy Ghost. It's that Token that Jesus Christ lives. And when people long ago saw Him do those things, He perceived their thought, because He is the Word, and the Word is sharper than a two-edged sword and a Discerner of the thoughts and intents of the heart. Amen!
I seen water flashing and this young lad coming. He heard, read a book over there and wrote in Norwegian. He got to understanding. Somebody spoke to him. He's having trouble, but if he will believe with all of his heart, the Lord Jesus is going to make him well. Come a long ways, a poor kid at that, trying to press in. And we will lay hands on him in a minute.

168 Do you believe? Amen! How wonderful! Oh, my. The Great Physician now is here. Sister... Where is that Sister Ungren at and that other sister at the piano? I want you to come right quickly if you will and give us a song, "That Great Physician now is near, the sympathizing Jesus."
I want the people that's on this aisle here that wants to be prayed for, kinda come down on this side here, just one aisle at a time. Brother Neville, you do that if you will. Where's Brother Capps or one of those song leaders. How about Brother Ungren, or Brother Capps, or somebody come here, will sing... Lead this song for us if you will. Is Brother... Where is one of those brothers at? All right, sir; that's good. All right. Everybody in prayer.

170 Remember, desperation. See what desperation will do? Desperation will drive you across the sea. Desperation will drive you from another state. Desperation will drive you anywhere. Some precious old father and his daughter with desperation tried to get in, come in, everything else, and set down anyhow. A few moments ago the Holy Spirit delivered the thing here in the meeting, just 'fore I got in here. Oh.
The sweetest carol ever sung,
Jesus, blessed Jesus.
... great Physician now is near,
The sympathizing Jesus; (Lord Jesus, grant here the prayer of Your servant, Lord. I pray that You'll...?...)
O hear the voice of Jesus.
Sweetest note in seraph song,
Sweetest name on mortal tongue;
Oh, sweetest carol ever sung, (Let those who are desperate now, that really knows you're going to be healed... Just think, as far as I know, one hundred percent were from last Sunday night, got well this week.)
The sympathizing...

171 Watch, He comes. See? He's already healed you. He brings His Word; He confirms It; He shows His presence. Nobody can do those things outside of God; you know that. It's the sign of the Messiah, and you know I'm no Messiah. So it's Him. Now, here He's proved everything to you. Now, it ought to throw you into desperation. It ought to electrify this place and touch a--till it'd be like a match to a barrel of powder. Certainly. And it ought to explode the faith; and--and love and desperation drive them people right into the Kingdom of God to believe with all their heart. Do you believe now, every one of you?
All right now, Billy, you ought to get the...

172 Tony, look here at me a minute. I haven't seen you for a long time, but you're sick. You're suffering with something like a dysentery. That's right. It's going to quit and leave you...?... I seen that thing following him as he started through there.
There isn't a thing can be hid from God right now. I never seen--I haven't seen Tony in--for months, I guess, but I see he was having that. He did have it; he hasn't now.
Let's bow our heads: not one eye to be open, not one eye to look. Let's everybody be in prayer. And Billy Paul or Brother Neville, one, will call the next rows when it comes time. Now, everybody in prayer. We're going to try now...
The middle aisle will come to your left-hand side when you're called. And so will the--the left-hand aisle over here come to your left-hand side when you're called. Brother Neville will call you. Now, I wonder if there is any of the brethren here that would like to stand here to lay hands on these people as they come by, with me. Any of you minister brothers, you're certainly welcome to come and stand with me if you want to do it. It's not an isolated thing. You have rights to pray for the sick the same as I. I know the Holy Ghost is here. Anybody that wouldn't believe that, there's something wrong with them.

174 All right, let's believe now with all of our hearts that God will grant these things that we're asking. Have faith now; don't doubt. And everybody pray one for the other. What did the Bible say? "Confess our faults one to another; pray one for another."
And you people come in the line, as soon as these hands touch you, you'll go right out of here just happy and praising God that you're healed.
All right, everybody in prayer now while Brother Capps leads the song.
Lord Jesus, now help us. I pray through Jesus Christ's Name that the Holy Ghost will touch each person, and may they be healed as we follow Your commandments for laying hands on the sick. You said they shall recover. We believe it, Father, in the Name of Jesus. Amen.
All right. Everybody in prayer now as we start praying. First there's a little sick boy in a wheelchair. Laying hands upon the child in the Name of Jesus Christ that he's to be made whole...?...
[Brother Branham leaves the microphone to pray for people for the next 18 minutes (10 minutes in this quote till the tape changes sides)... The words are not all understandable--Ed.]

175 [Brother Branham continues the last 8 minutes of the prayer line starting here where the tape has changed sides. The words are not all understandable--Ed.]

176 ... the sweetest carol ever sung,
Jesus, blessed Jesus.
How many of you believe that God has, you are sure in your heart with a sealed assurance, that God's answered your request because you've obeyed His Word? It's done. It's finished. It's--it's done. Believe Him with all your heart that it is a finished work.
Now, watch this week, and when you come back again watch what's happened.
And I suppose by the next time I get back, the Lord willing, I'll be running the prayer line through one of these rooms in that little room that I'm to take them to. You see? I believe it's unfolding now (You see?) the hour...
I want to come to where I can bring the people one at a time, deal individually with them until I search it out and find it, and then go ahead like that, until I stay right with them in that time.

180 God bless you all. We're so happy you were here. Have you got--are you persistent now? Do you--are you in desperation? Your desperation that you had for your healing, has it all ceased now in the love, and faith, and confidence that God will do what He promised to do tonight. God will do... From them little children--there's two or three of them here tonight in wheelchairs--I--we'll believe for them (Yes, sir.), that they're going to be healed too. They're going to be well. Don't you believe it? Amen! They will recover; they--it's got to do it. God said so, and we're desperate and going to believe it now, that it'll be done.

181 Now, our services just involve one thing right after the other. Now, we're going to dismiss the audience to those who have to go. And best I can see, it's about eight minutes until 10 o'clock; and if you have to go, we're--we're happy you were here, and we want you to come back and be with us. The rest of you, after we stand, will be seated again and those who are going, go just quietly as possible. And then we're going to have the Communion service immediately after that. You're invited to stay if you can. If you can't, God bless you. Pray for me. I'll pray for you. And remember, keep the Token applied and be desperate to press to the Kingdom of God. Amen!
Now, we're going to sing our dismissing song, if we can and... "Take The Name Of Jesus With You," as we stand.
... Name of Jesus with you,
Child of sorrow and of woe;
It will joy and comfort give you,
Take it everywhere you go.
Precious Name (Precious Name),... (O how sweet!)
Hope of earth and joy of heaven.
Precious Name, O how sweet! (How sweet!)
Hope of earth and joy of heaven.

182 Shake one another's hand, say, "The Lord bless you, my pilgrim brother, sister." Deeply, sincerely, reverently... And Christian friends in times of fellowship, shake one another's hand, brother and sister. God bless you altogether. Wonderful.
I love Him, I love Him,
Because He first loved me,
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Till we meet, till we meet,
Till we meet at Jesus' feet;
Till we meet, till we meet,
God be with you till we meet again.
Till we meet, till we meet,
Till we meet at Jesus' feet (till we meet);
Till we meet, till we meet,
God be with you till we meet again.
Just sweetness and fellowship of the great Token of God, the Holy Ghost, may He richly abide with you all until we meet again. God's grace go with you, smite death's ways before you, making your path clear, that you might see Jesus always before your face and you shall not be moved.

183 Heavenly Father, we commit this service and the service this morning, those services and what's been done, and all glory to Thee, giving Thee thanks and praise for saving people, and for healing the people, and for giving us Thy great grace that we all look to save us. How we thank You for this. Be with us now until we meet again. Meet with us in the Communion. Be upon the wheel of those who drive, Lord, to their homes. Guide them through these reckless holidays that no harm and danger may come to them. In the Name of Jesus Christ we ask it. Amen. (All right. "Take The Name Of Jesus With You," again.)
Take... Name of Je... (You're dismissed now in the Name of Jesus.) you,
As a shield from every snare;
When temptation 'round you gathers, (What do you do then?)
Just breathe that holy Name in prayer.
Precious Name (Precious Name), O how sweet! (O how sweet!)
Hope of earth and joy of heaven;
Precious Name, O how sweet! (How sweet!)
Hope of earth and joy of heaven.
At the Name of Jesus bowing,
Falling prostrate at His feet,
King of kings in heaven we'll crown Him,
When our journey is complete.
Precious Name, O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven;
Precious Name, O how sweet! (How sweet!)
Hope of earth and joy of heaven;

184 Now, just before you set down, while the crowd's getting quietened now for the Communion service... If I'm not mistaken, isn't this Brother Blair, the minister that I met over in Arkansas not long ago? I thought it was; I wasn't sure. You had up here for dedication of child, a little one this morning. I thought, "Didn't I meet you not long ago here at Hot Springs, Arkansas, with... Yes, something was about to happen and the Holy Spirit called it out. Was that right? Good. I just... I happened to think back now; I thought, "That's that brother." I'm so glad you're here, Brother Blair.
Now, I'm going to ask Brother Blair if he will pray for God to make us clean now for the Communion that's fixing to take place. Will you, Brother Blair? [Brother Blair prays, Brother Branham agreeing as the brother prays--Ed.] Yes... Yes, Lord... Grant it, Lord... Yes, Lord... Yes, Lord... Yes, Lord... Yes... Yes, Lord... Amen.
You would be seated now, each one.

186 And now, on the organ, sister, we always play "There Is a Fountain Filled With Blood," and you can start your...?... there whatever the...?... All right. The reading... Now, if we'll just be--get quiet just for a moment.
[Brother Branham talks with someone--Ed.] Yes, sister. All right, sister. You just look through here till you find it. That'd be all right, whatever it is... That's it. All right, sister.
All right. Now, Brother Neville will read the order of the Communion. And then, the ushers will be coming--if there's strangers here--to each seat, and bring in aisle by aisle as we come, and row by row for the Communion.

188 And now, may you meditate now. Remember, Israel eat it in desperation, and through the journey there wasn't a feeble one among them in the end of forty years. This is Divine healing also. Lord bless you, Brother Neville. [Brother Neville reads I Corinthians 11: 23-32--Ed.]
For I have received of the Lord that which also I delivered unto you, That the Lord Jesus the same night in which he was betrayed took bread:
And when he had given thanks, he brake it, and said, Take, eat: this is my body, which is broken for you: this do in remembrance of me.
After the same manner also he took the cup, when he had supped, saying, This cup is the new testament in my blood: this do ye, as oft as ye drink it, in remembrance of me.
For as often as ye eat this bread, and drink this cup, ye do shew the Lord's death till he come.
Wherefore whosoever shall eat this bread, and drink this cup of the Lord, unworthily, shall be guilty of the body and blood of the Lord.
But let a man examine himself, and so let him eat of that bread, and drink of that cup.
For he that eateth and drinketh unworthily, eateth and drinketh damnation to himself, not discerning the Lord's body.
For this cause many are weak and sickly among you, and many sleep.
For if we would judge ourselves, we should not be judged.
But when we are judged, we are chastened of the Lord, that we should not be condemned with the world.
(The Lord bless the reading of His Word.)

189 I hold kosher bread, wrinkled and broken, representing the Body of Jesus Christ. Through--through this riven veil we have access to the holiest of holies.
Our heavenly Father, this bread has been prepared to represent that broken and torn Body. May each of us as we receive it, may it be as though we literally had did this act. And may we have the forgiveness of our sins, and the access to the holiest of holies, to live in Your Presence in our future life, and all the days that we shall live here on earth, and be with You in eternity forever. Grant it, Father. Bless this bread for that intended purpose, in Jesus' Name. Amen.

191 The Bible said, "After He had taken and broke the bread, like manner He took the cup, and when He had supped, saying, 'This is the cup of the New Testament in My Blood, which is shed for you.'" May the Lord grant His blessings upon this as we pray.
Lord Jesus, I hold here the blood of the vine, the juice from the grape. And Father, it's to represent that precious Blood that cleanses us, that from there came the Token. I thank Thee for It, Father, and for this symbol. You said, "He that eats and drinks this has Everlasting Life, and I will raise him up again at the end time." We thank Thee for this promise. And Father, we pray that You cleanse our hearts together, that we will be worthy by the--our faith, knowing that in ourselves we are not worthy, but our faith will not fail, that we're accepting perfectly the Blood of Jesus Christ. Grant it, Father.
And sanctify the wine for its intended purpose. May whosoever drinks this wine tonight and takes of this bread, have strength for the journey that lays ahead. Grant it, Lord. May they be healthy, and strong, and filled with Your Spirit till Jesus comes. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

194 I believe that communion is one of the most solemn, sacred, sweetest worships there is in the church service. There was two things left us--three things to do, that--that's order and ordinances. So many try to say if we got a original nail, we got a piece of cloth. But there was three things left us. Lord's supper, baptism, feet washing was the three orders that was left to the church. And we...
Tonight seemed to be a very special time for me. As I stood here and just watching, usually I--I'm constantly in prayer. But tonight, watching the different things, and see some of them families that's come here since I was a boy preacher standing here with sawdust floors, and I... And some of them are new, but watching the men come with their little wives and family, and see how they prefer one another and the sacredness of that, how they watch their children, see the little lady and her hands reach out and think, that little hand washed, wiped the tears from the baby's eyes...
Then I seen the families come up that I been in their homes when they were sick and fevering children, the Lord Jesus made their children well. I seen them when they had family trouble; the Lord's helped them to get it smoothed out, see them happy again. And I just think how it would be when we go to that wedding supper. I'm so thankful that the Lord has let be a friend to you and help you. I... That's what I'm here for.

197 And I... Just think how long, how many years... This is about... I started preaching about 1930. And this is about thirty-two years for me now--thirty-three years I been preaching. Then in all the struggles and trials and--looks like though when--when we come up, it--it's all forgot. You--you just seem like it's something about communion just takes all--all of the twists out of things, taking the communion. Lord bless you.
The elder now is going to read Scripture for the feet wash service.

Up