Etre pardonné

Date: 63-1028 | La durée est de: 1 hour and 33 minutes | La traduction: Shp
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1 Seigneur, je crois.
Restons debout juste un instant pour la prière. Inclinons maintenant la tête.
Notre Père céleste, nous considérons ceci comme un très grand privilège, de pouvoir nous tenir ici parmi les sauvés, et de pouvoir chanter ce glorieux vieil hymne de l'église, «Seigneur, je crois.», de voir la foi de nos pères toujours vivante dans les coeurs de Ses enfants à travers les âges. Et comme vient de nous le dire le cantique, nous sommes en route vers le pays de Canaan. Nous prions, Père, que ce soir, s'il y en a ici qui n'ont pas encore pris cette décision, qui n'en arrivent pas à - à croire simplement la Parole, je prie que cette soirée soit celle où ils diront leur dernier mot et recevront Christ en tant que Sauveur et où ils seront remplis de Son Esprit.

2 Nous Te remercions pour ce groupe appelé «Les Hommes d'affaires du Plein Evangile», et pour ce qu'ils soutiennent et pour leur droiture. Nous sommes heureux de savoir que dans notre pays il y a des gens de. dans le monde des affaires, qui consacrent leur temps à Te servir, parlant aux autres, consacrant constamment leur - leur argent et leur temps à aider les autres à devenir des citoyens du Royaume de Dieu.
Nous Te remercions pour nos frères ministres qui sont ici ce soir, ceux qui tiennent le flambeau pour montrer à ce monde enténébré qu'il y a un chemin qui mène à la gloire, pour tout membre de l'Eglise du Dieu vivant, et pour ceux qui sont venus ici, Seigneur, les nouveaux venus. Nous prions maintenant, pendant que nous essayons d'ouvrir la Parole, que Tu La partages aux gens selon nos besoins. Et quand le service sera terminé ce soir et que nous rentrerons dans nos maisons, qu'il y ait des nouveaux-nés ajoutés au Royaume. Ou peut-être, s'il y en a ici ce soir, Seigneur, qui sont très malades et qui ont besoin d'être touchés par le grand Médecin, puissent-ils recevoir cela ce soir. Accorde-le, Seigneur. Et nous Te glorifierons humblement. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

3 Vous pouvez vous asseoir. C'est. L'un des moments les plus glorieux de ma vie, c'est quand je dois me tenir devant les gens pour parler de la joie de ma vie, Jésus-Christ, et ce qu'Il représente pour moi, et ensuite quand j'ai le privilège de partager cette joie avec quelqu'un d'autre qui n'a jamais connu cette joie. L'autre jour je parlais. J'étais autrefois un jeune prédicateur. Cela fait trente-trois ans que je suis dans le ministère. Et je vivais sur cette réputation d'être un jeune prédicateur. Mais maintenant, j'ai dépassé ce temps, et maintenant je deviens le vieux prédicateur.
Mais comme l'a mentionné le cantique, chaque jour Il - «Il devient toujours plus doux que la veille.» Comme je commence à. j'ai franchi l'âge moyen et je tends vers le coucher du soleil, Christ devient plus doux pour moi, jour après jour. Et quand j'ai ce privilège de me tenir devant les hommes et les femmes d'affaires des communautés et de leur dire quelque chose qui, pour eux, vaut plus que - que tout au monde. et c'est la Vie Eternelle. Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de plus grand au. auquel je puisse penser, que la Vie Eternelle.

4 Quand on est jeune, on se met à penser à. Eh bien, en tant que jeune garçon, on joue au policier, et la petite fille découpe des poupées en papier. Après quelque temps, il est question de vos études. Et puis, allez-vous épouser la fille aux yeux bruns ou bleus ? Et puis, il faut payer pour la maison, les enfants doivent faire leurs études ; où donc en êtes-vous ?
Mais je suis si heureux qu'il y ait quelque chose de réel après que tout ceci sera terminé. Alors vous vous engagez dans quelque chose qui vaut plus que toutes ces autres choses. Certes, elles sont - elles sont essentielles. Elles le sont assurément pour ce qui est de la personne qui va être la mère de nos. et le père de nos enfants, pour ce qui est de nos foyers et ainsi de suite, et de l'éducation des enfants. Mais même tout cela périra. Cela s'en ira, sauf la Vie Eternelle, la chose la plus glorieuse, à ma connaissance. Elle m'a satisfait quand j'étais un jeune homme. Elle me satisfait maintenant alors que je suis un homme d'âge moyen. Et je suis certain que quand les rideaux tomberont sur ma vie, je serai heureux d'aller à la rencontre de Celui à qui j'ai consacré ma vie.

5 Eh bien, à l'adresse de frère Tony, le - le président de ce chapitre, je suis heureux de communier avec lui ici ce soir, avec frère Carl Williams et d'autres membres ou représentants des chapitres, et avec vous tous, les visiteurs qui êtes avec nous, nous sommes heureux d'être ici.
Une fois je parlais, je crois que c'était à Little Rock, dans l'Arkansas, dans l'auditorium Robinson Memorial, et c'est là qu'a été guéri un homme qui, pendant plusieurs années, était sur des béquilles, et il s'installait dans la rue pour vendre des crayons. Et il pouvait. Oh, ses membres tout tordus étaient paralysés, et ils se balançaient. Les gens le prenaient vraiment en pitié.

6 Un soir, il est venu à la réunion. Et il a obtenu une carte de prière, puis il est entré dans la ligne et a été guéri. Et le lendemain, il portait ses béquilles sur son dos, parcourant la rue en témoignant. Et j'essayais de parler. Et - et un moment après, il s'est mis debout, et il a dit : «Frère Branham, a-t-il dit, je ne sais plus très bien de quel côté me tourner.»  Il a dit : «Quand je vous ai entendu parler, a-t-il dit, j'ai pensé que vous étiez un nazaréen.» C'est ce que lui était. Et il dit : «Et puis, j'ai vu tant de pentecôtistes à vos côtés, a-t-il dit, quelqu'un a dit que vous étiez pentecôtiste. Et ensuite, je vous ai entendu dire que vous étiez baptiste, ou plutôt que vous étiez ordonné dans une église baptiste.»  Il a dit : «Je suis tout embrouillé. Qu'êtes-vous ?»
J'ai dit : «Oh, c'est facile. Je suis un baptiste nazaréen pentecôtiste.» Ainsi c'était. ensemble.

7 Quand je suis arrivé parmi les pentecôtistes, il y a quelques années, en fait, le Seigneur m'y avait envoyé, quand Il m'a ordonné de prier pour Ses enfants malades. Et l'église dénominationnelle à laquelle j'étais affilié à ce moment-là ne croyait pas beaucoup à la prière pour les malades ou plutôt à la guérison divine. Cela leur était étranger. Ils m'ont dit que je deviendrais un saint exalté. Eh bien, peut-être que je suis devenu un saint exalté. Je ne sais pas, mais, quoi que je sois, je suis très heureux. Et quelqu'un m'a dit que j'ai perdu la tête. J'ai dit : «Laissez-moi donc tranquille, parce que je suis plus heureux comme ça qu'autrement.» Ainsi je - je me sens bien ainsi. Et je. C'est une joie inexprimable.
Mais quand je suis arrivé parmi les pentecôtistes, je - je pensais qu'ils ne formaient qu'un seul groupe. Et puis, j'en suis arrivé à découvrir qu'il y a presque autant de groupes séparés parmi eux qu'il y en a dans l'Eglise baptiste d'où je venais. Alors, je n'ai pas voulu me ranger du côté d'un groupe. J'ai essayé de me tenir entre eux tous et de dire : «Nous sommes frères.»  Voyez-vous ? Et cela a été depuis lors mon attitude : voir la grande Eglise du Dieu vivant s'unir ensemble dans la foi, dans la prière, et dans les efforts.

8 Et puis quand les Hommes d'affaires du Plein Evangile ont mis en place leur organisme. En effet, ils ne sont pas une organisation ; c'est un organisme. Et cela a englobé tous les groupes. Et ils m'ont donné une place, et ils m'ont pris en charge. Et je suis très reconnaissant de l'occasion que j'ai de parler pour les Hommes d'affaires Chrétiens, parce que là je peux exprimer ma croyance à tous les groupes au même moment. Et c'est une grande chose pour moi. Et je suis membre d'une organisation ; c'est celle des Hommes d'affaires du Plein Evangile.
Et pour faire cela, il y a maintenant en Afrique, là où nous avons l'intention d'aller immédiatement, en Afrique du Sud, là où le Seigneur nous a donné. L'une des plus glorieuses réunions qu'Il nous ait données, je pense, s'est tenue en Afrique du Sud, là où nous avons vu trente mille purs indigènes recevoir Christ comme Sauveur en une seule réunion de l'après-midi. On a enregistré trente mille personnes.
Le lendemain matin, pendant que Sidney Smith, le maire de Durban, qui avait participé à la réunion, m'appelait au téléphone. nous avions eu quelque chose comme deux cent mille personnes au stade. plutôt. de chien. plutôt au champs de courses. Et il a dit : «Allez à la fenêtre et regardez par la fenêtre.»  Et voilà venir sept fourgonnettes chargées (et ces grands camions anglais étaient pratiquement, presque aussi grands que cette salle), remplies de béquilles, de fauteuils roulants, et - et de choses que les gens avaient déposées la veille. Et ils marchaient derrière les camions, chantant, les mains en l'air, le cantique que vous avez chanté il y a quelques instants, «Crois seulement, tout est possible.»

9 Et je. Dans mon cour, j'ai dit : «Seigneur, ce jour sera un mémorial pour moi.» Et les quelques jours. le jour. Je ne devais y rester que trois jours. Et c'est là que je rentre encore maintenant. Et là, en trois jours, et je - je ne sais exactement pas tout ce qui s'était passé. C'était arrivé par un miracle que le Seigneur avait accompli à l'estrade : il a accordé à un garçon qui marchait sur ses mains et ses pieds comme un chien, Il lui a fait recouvrer le bon sens et l'a redressé devant les gens. Et la veille, ces gens devaient être séparés par une clôture parce qu'ils avaient une guerre tribale. Et là, ils étaient en paix, marchant bras dessus bras dessous, chantant : «Crois seulement, tout est possible.»
Je vous assure que le glorieux vieil Evangile, malgré sa simplicité, n'a jamais perdu Sa puissance quand Il est prêché dans la simplicité de la résurrection de Christ. Et je. Chaque jour, Il devient plus cher pour moi.

10 Et si vous êtes ici ce soir, un homme d'affaires, et que vous n'ayez jamais assisté à une communion d'hommes d'affaires, permettez-moi de vous recommander ces Hommes d'affaires du Plein Evangile. Vous n'êtes pas obligé d'être membre d'une quelconque église, ou - ou quelle que soit l'église dont vous êtes membre, la chose est tout à fait en ordre. Ça s'appelle «Les Hommes d'affaires du Plein Evangile,» et point n'est besoin d'être un homme du Plein Evangile pour le faire. Les méthodistes, les baptistes, les luthériens, les presbytériens, même les prêtres catholiques, et qui que ce soit. Ils sont.
Vous savez, je crois que Jacob avait creusé un puits et les Philistins l'en avaient chassé. Et je crois qu'il l'a appelé «malice» ou quelque chose de ce genre. Et il a creusé un autre et ils l'en ont chassé. Et il l'a appelé «querelles». Et il en a creusé un troisième ; il a dit : «Il y a de la place pour nous tous.» Ainsi, je pense que c'est ce qu'il en est ; il y a de la place pour nous tous ici. Et nous serons heureux de vous recevoir ici dans cette contrée, à Tucson, pour venir communier avec nous.

11 Et puis, n'oubliez pas la réunion de Phoenix. Et maintenant, je sais que nous ne sommes pas censés faire de la publicité à partir de cette estrade, car nous en avons fait un principe. Mais étant donné que ceci est tout à fait en rapport avec les Hommes d'affaires du Plein Evangile, je dois prier pour les malades et prêcher pendant quatre jours avant la série de réunions de Ramada ce décembre prochain - janvier, du 19 au 23. Quatre jours. Je commencerai le 19, est-ce juste ? Je commence le 19. Et puis, j'aurai une série de réunions de quatre jours.
Et pour vous, les gens de Tucson, dimanche prochain au soir je prierai pour les malades, là aux Assemblées de Dieu, à Grantway, à l'église de frère Arnold Mack. Si quelqu'un est malade et aimerait venir, je parlerai là-bas, le Seigneur voulant, dimanche prochain au soir, je prierai pour les malades.

12 Et maintenant, puissent les bénédictions de Dieu reposer sur vous. Et si vous avez votre Bible, j'aimerais aller rapidement à la Parole, parce que je sais que beaucoup d'entre vous travailleront demain. Et je vous parlerai ce soir en partant d'un passage que j'aimerais lire dans le Livre des Romains, Romains chapitre 8. Et nous voulons commencer au verset 28 et lire jusqu'au verset 32 compris ; Romains 8. 28.
Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ?

13 Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et maintenant, j'aimerais parler sur le sujet du «Pardon». La Bible dit ici ce soir qu'Il nous a donné toutes choses. Eh bien, nous ne pourrons certainement pas parler de toutes choses, mais nous prendrons une chose qu'Il nous a donnée, et c'est le pardon. Et je pense que c'est un grand mot, être pardonné. Car nous sommes tous coupables de péché. Nous avons tous péché et sommes privés de la gloire de Dieu, et Dieu, en Son Fils, nous a pardonnés de cette culpabilité d'iniquité et de péché.

14 Et un pardon me rappelle une histoire que j'ai lue une fois concernant un. je crois que c'était pendant la guerre de révolution, qu'il y avait un homme, un soldat, un fantassin, qui avait fait quelque chose qui était. Les tribunaux l'avaient déclaré coupable et il était condamné à être passé par les armes. Je crois qu'il avait déserté son poste du devoir pendant la bataille. Et il - il allait passer devant un peloton d'exécution.
Et un ami a eu si pitié de cet homme qu'il s'est finalement rendu auprès de - de Sa grandeur, le Président Lincoln. Lincoln étant un gentleman chrétien. On raconte qu'il était à bord de sa carrosse quand le messager l'a rencontré. Et il est tombé sur ses genoux et a dit : «Monsieur Lincoln, Président des Etats-Unis, gentil Monsieur, a-t-il dit, j'implore la miséricorde pour quelqu'un, sachant que vous êtes chrétien, et je sais que vous êtes tendre de cour envers ceux qui sont abattus.»
Il a dit : «Mon ami était à son poste du devoir, là où il avait été placé, mais quand les armes ont grondé et que les canons ont tonné, il a eu peur et a déserté son poste du devoir. Monsieur Lincoln, il n'avait pas l'intention de faire cela. C'est un brave homme. Et maintenant, dans une semaine, il doit passer devant un peloton d'exécution. Il n'y a pas moyen de le sauver sauf si vous signez son pardon.»

15 Monsieur Lincoln, les larmes aux yeux, a tiré un bout de papier de son dossier et a écrit dessus : «Moi, Abraham Lincoln, je pardonne cet homme de cette chose, qu'il ne meure pas.» Et il a signé cela de son nom.
Et cet homme a prononcé sur lui les bénédictions de Dieu et est retourné à la prison où il a dit à son ami : «J'ai obtenu ton pardon.» Et il l'a pris, rédigé sur un bout de papier, et le lui a montré.
Et l'homme a dit : «Ne te moque pas de moi. Me voici sur le point de mourir, et toi, tu viens donc avec un truc de ce genre ? Je n'y crois pas. Je ne peux simplement pas croire. Ce n'est pas vrai. N'importe qui peut signer du nom d'Abraham Lincoln.»
Il a dit : «Mais voici la signature du Président, a-t-il dit ; tu es gracié.» Et il lui a tourné le dos et est reparti. Et cet homme a été passé devant le peloton d'exécution.
Et ainsi voici une - une mise en liberté par Abraham Lincoln, le Président des Etats-Unis, pour relâcher cet homme, et il a été cependant fusillé. Ainsi, ce cas a été examiné par les cours fédérales, et voici ce qu'a été la décision : La grâce n'est grâce que si elle est acceptée comme grâce.

16 De même, ce soir j'ai lu ceci, que Dieu nous donne toutes choses, et Il nous accorde le pardon ; c'est un pardon pour ceux qui désirent accepter la Parole de Dieu comme un pardon. Mais seulement cela. Le simple fait de lire cela ne signifie pas que vous êtes pardonné. C'est-à-dire que vous devez accepter cela comme votre pardon, que Dieu a donné Son Fils pour mourir à votre place, et alors c'est un pardon.
Libéré de la culpabilité, c'est ce que nous voulons dire par là. Un pardon venant de Dieu est une libération de la culpabilité. Ce n'est pas se détourner au moyen d'une certaine doctrine psychologique susceptible de vous donner tant soit peu un petit sentiment que vous avez fait la chose juste en vous joignant à une église ou en acceptant un credo. Mais c'est une libération de votre culpabilité par la puissance du Calvaire. Quelque chose vous a libéré. Il n'y a plus de culpabilité. La Bible dit, je crois dans Romains 5. 1 : «Maintenant il n'y a donc pas de condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus, qui marchent non selon la chair, mais selon l'Esprit.»

17 Maintenant, un homme, quand il est libéré du péché, un homme ou une femme, dans son coeur, il n'a plus le désir de suivre les choses du monde. Il est pardonné gratuitement et devient une nouvelle créature en Christ Jésus. Et il s'affectionne aux choses d'En haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu. Il est libéré gratuitement. Il ne lui faut pas un prêtre pour le lui dire ou un ministre pour le lui dire. Il sait de lui-même qu'il est pardonné, car il a accepté cela en raison du fait que Dieu le lui a envoyé par Jésus-Christ. Quel sentiment on éprouve d'être libre du péché !

18 On m'a dit que quand on a signé la déclaration de l'affranchissement des esclaves dans le Sud, il y a de cela plusieurs années, le moment fixé pour qu'ils soient libres, c'était au lever du soleil, un certain matin. Alors, ils sont tous sortis de leur vieille plantation. Et beaucoup de jeunes gens ont gravi le sommet de la montagne, parce que de là ils pouvaient, les premiers, voir le soleil se lever, et ensuite les hommes plus âgés étaient un peu en dessous, et puis venaient les femmes et les enfants au bas de la montagne. Et ils ont attendu longtemps avant le point du jour, parce que les ceintures d'esclave, les dures épreuves avaient marqué leur vie de tristesse, et ils ont soupiré pour ce jour quand ils ont su qu'ils étaient pardonnés.
Et la déclaration de l'affranchissement mentionnait qu'un certain jour, au lever du soleil, ils seraient libres. Et ils avaient désiré ardemment voir le moment où le soleil surgirait, et très anxieux, ils sont montés sur les montagnes. Oh, si seulement ce soir les pécheurs pouvaient être vraiment anxieux de savoir qu'ils sont pardonnés. Vous êtes pardonné au moment même où vous acceptez Jésus-Christ comme votre Sauveur. C'est alors que vous êtes pardonné.
On disait que les jeunes gens ont attendu. Et dès que le soleil a commencé à briller à l'est, ils ont crié aux plus âgés : «Nous sommes libres !» et les plus âgés aux femmes et aux enfants : «Nous sommes libres ! nous sommes libres !» parce que le soleil s'était levé.

19 Oh, quand l'homme a tout vendu au péché, et que le Fils de Dieu, ce matin-là, est sorti de la tombe pour notre justification, je pense qu'il a dû y avoir un cri à travers la nation disant : «Nous sommes libres du péché et de la honte, nous sommes gratuitement pardonnés par les liens du Calvaire.» Rien de plus grand ne pouvait être donné à la race humaine.
Quand l'homme a péché au jardin d'Eden, il a traversé un grand gouffre, se séparant de l'Eternel. L'homme à ce moment-là était éternel avec Dieu. Il n'était pas sujet à la maladie, à la tristesse ou à la mort. L'homme n'était pas créé pour mourir. L'enfer n'avait pas été créé pour l'homme ; l'enfer était créé pour le diable et ses anges, et non pour l'homme. En effet, les hommes avaient été créés sur la terre pour être des fils et des filles de Dieu. Mais quand l'homme a péché et qu'il a franchi la ligne de démarcation entre le bien et le mal, il s'est séparé de Dieu, se privant de tout moyen de retour. Il était totalement perdu. Il ne pouvait plus revenir parce qu'il avait péché.
Mais le Dieu qui est riche en miséricorde, a accepté un substitut. En effet, Il avait dit : «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras,» et la justice de Dieu ainsi que Sa sainteté exigent la mort, parce que c'est Sa Parole. Et Il doit tenir Sa Parole pour être Dieu.

20 Et maintenant. L'amour qu'Il avait pour la race humaine, et cependant Il a dû voir celle-ci séparée de Lui, et la communion qu'Il avait avec Ses enfants dans le jardin d'Eden, et ce chagrin immense qu'Il a connu pendant tout ce temps, car Sa Parole avait dit : «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» . Alors nous pouvons nous reposer sur ceci : tout ce que Dieu dit est vrai, cela doit arriver. Dieu ne peut pas retirer Sa Parole (voyez-vous ?), car Il est infini, et Il est éternel. Et Sa première décision reste une décision de tous les temps. Il n'a pas à - à la retirer comme s'Il avait appris mieux à ce sujet. Il est infini, pour commencer. Et par conséquent, quand Dieu dit quelque chose, c'est parfaitement tel quel. Cela ne peut jamais être changé, parce que c'est une décision parfaite.
Et puis, la manière dont Dieu traitera les - les individus qui acceptent Sa décision, ce sera toujours la même manière pour chaque individu qui accepte ainsi Sa décision. Par conséquent, s'Il a pourvu à une voie pour qu'un homme soit sauvé, la première voie à laquelle Il a pourvu est restée toujours la même voie. Si Dieu a promis la guérison aux malades sur base de la foi, en croyant cela, il en sera toujours ainsi. Il ne peut pas retirer cela. Voyez-vous ? Il doit à jamais rester le même.

21 Maintenant, Dieu a accepté un substitut pour l'homme dans le jardin d'Eden, et c'était la voie du sacrifice de Sang. Le Sang devait payer le prix. Et il en a toujours été ainsi. Jamais un autre moyen ou quelque chose d'autre n'a remplacé cela. C'était le Sang. La seule voie par laquelle Dieu ramène Ses enfants, c'est par ce substitut du Sang. Aucun autre prix ne peut être payé. Rien d'autre ne conviendra. La première décision de Dieu est toujours parfaite, et elle est éternelle. Et nous savons que cela est vrai, parce que Dieu ne peut pas mentir, et Il ne peut pas retirer Sa Parole. Depuis lors, cela a été la seule voie de Dieu et le seul lieu de communion avec l'homme.

22 Eh bien, le sujet était. Eh bien, le mot «mort» signifie «séparation». Quand nous mourons de ce côté-ci, cela ne signifie pas. Notre mort physique ne signifie pas que nous sommes morts. Jésus a dit : «Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; celui qui vit et croit en moi ne mourra jamais.» Eh bien, cette mort dont il est question ici, c'est la séparation d'avec la Présence de Dieu. Mais la mort physique par laquelle nous devons passer ici, n'est pourtant pas la mort. Nous sommes toujours dans la Présence de Dieu. Nous quittons cet endroit pour un endroit plus proche de Lui, dans Sa Présence. Ce n'est pas à la mort que nous, nous appelons mort, que nous faisons allusion ici.
Rappelez-vous, Il a dit de la fille qui était morte, la fille de Jaïrus : «Elle n'est pas morte, mais elle dort.» Et les gens se sont moqués de Lui avec mépris. Il. sachant qu'elle était morte, que c'est cela sa fin, qu'elle était morte. Mais Jésus a dit : «Elle dort.» Et Il est allé la réveiller, et elle est revenue à la vie.

23 Eh bien, d'Adam jusqu'aujourd'hui, l'homme a essayé de faire son propre substitut. Il a essayé de son mieux de faire quelque chose d'un peu meilleur que ce que Dieu a fait à ce moment-là. Et c'est tout à fait naturel chez l'homme. L'homme essaie toujours de - d'améliorer quelque chose, de faire cela autrement. Il veut injecter ses propres idées dans le plan de Dieu. Et c'est pourquoi nous, les chrétiens de par le monde, sommes séparés ce soir par des barrières, par des barrières dénominationnelles. Nous. Cela arrive parce que l'homme a injecté sa propre pensée dans le plan de Dieu. D'Adam jusqu'aujourd'hui, comme je l'ai dit, cela a été ainsi.
Adam a exprimé la pensée humaine dans le jardin d'Eden, quand il s'est fait un tablier de feuilles de figuier pour se présenter devant Dieu. C'est quelque chose qu'il s'est fait ; et après ces feuilles de figuier, il a cherché à avoir l'instruction, les pouvoirs, les villes, les idoles, la civilisation, la dénomination. Mais cela ne change rien. Dieu n'accepte Ses sujets que sous le Sang. Et c'est tout.

24 L'instruction a totalement failli. Plus nous sommes instruits, plus nous nous éloignons les uns des autres. La dénomination a totalement failli. Nous traçons des limites et des barrières, et chacun essaye de faire en sorte que cette dénomination soit plus élevée que l'autre, et cela brise la communion. La civilisation a tout simplement amené la confusion. Les villes, les tours, ou quoi que ce soit d'autre, tout cela a failli. Et le plan de Dieu reste toujours le même : sous le Sang.
Ce Sang doit être un Sang exhibé. Dans le jardin. Là dans le temps, (plutôt) d'Israël, lorsqu'Israël a dû tuer l'agneau et appliquer le sang sur le linteau et sur le poteau, Dieu avait exigé cela. Et ce signe devait être là, peu importe quel autre signe les hommes pouvaient avoir exhibé, comme quoi ils étaient des Israélites circoncis. Il se pourrait qu'ils aient confessé ceci : «Nous croyons chaque Parole que Jéhovah a dite.» Mais cela n'excluait pas la chose. Ils devaient exhiber ce signe. Le sang devait être montré. Et c'est ainsi qu'il en est ce soir. Je crois que tout chrétien doit malgré tout exhiber le Sang de Jésus-Christ, qui l'a purifié des choses du monde.

25 Maintenant, en ce temps-là, le signe devait être sur la porte. Il doit être là, peu importe combien la maison est religieuse, combien les gens sont religieux, combien ils ont bien éduqué leurs enfants, combien ils ont été assidus à l'église, combien ils ont exhibé toutes les choses que Dieu avait exigées. Cependant, en cette dernière heure c'était soit la vie soit la mort, le sang devait être exhibé. Et le sang montrait qu'un substitut innocent avait été pris à la place de l'adorateur. Et les composants chimiques du sang, le sang rouge lui-même était un signe sur la porte comme quoi cette maison était en sécurité sous le sang.

26 Eh bien,  cela était un type. Maintenant, dans ces derniers jours nous revenons encore à l'heure à laquelle Dieu délivre Son Eglise. Je - je crois cela. Et aussi certain que ce sang a dû être là comme mémorial, de même le signe doit être. est exigé aujourd'hui. Car. Eh bien, on ne peut pas prendre le sang chimique du Seigneur Jésus et le placer sur la porte de chaque cour. Mais, voyez-vous, en ce temps-là un animal mourait ; c'était un agneau. Et pour montrer que cet animal était mort, le sang était sur la porte. Ainsi, la vie qui était dans l'animal ne pouvait pas revenir sur l'adorateur, parce que l'animal n'a pas d'âme. Ainsi, la vie qui était dans l'animal ne pouvait pas revenir sur l'adorateur.

27 Mais aujourd'hui, quand le Sang du propre Fils de Dieu a été versé au Calvaire pour notre pardon et notre libération. La Vie qui était dans ce Sang, c'était Dieu Lui-même. Et le Saint-Esprit retourne sur Son Eglise, sur Son croyant, et c'est cela le signe en ces derniers jours. Et Il passera par-dessus l'homme ou la femme qui a accepté la mort de Jésus-Christ comme son substitut, et le Saint-Esprit rend témoignage.
Vous pourriez dire : «J'ai accepté cela.» Et vous vivez toujours dans le monde, vous vivez toujours comme le monde. Alors il n'y a pas d'évidence que cette vie était pour vous, avant que cette évidence du Saint-Esprit ait rempli votre vie. Voilà l'exigence de Dieu, c'est que dans ces derniers jours, chaque homme ou chaque femme doit avoir cette évidence comme signe. «Quand Je verrai le Sang.»
Jésus a dit : «En vérité, en vérité, je vous le dis, si un homme ne naît de nouveau d'eau et d'esprit, il n'entrera pas dans le Royaume.» Cela a donc été tout le temps le programme de Dieu : le Sang.

28 C'était le Sang dans l'Ancien Testament. C'était le Sang dans le Nouveau Testament. Dans l'Ancien Testament, c'était le sang chimique qui était le type de la vie à venir. Cela montrait qu'un substitut avait été pris. Mais l'adorateur s'en allait avec la même conscience de culpabilité qu'il avait en venant offrir son agneau. Mais ici, une fois purifié du péché, l'adorateur n'a plus conscience de la chose, cela est mort, passé, et vous êtes passé de la mort à la Vie. Et vous êtes de nouveau vivant en Christ Jésus, avec la Vie Eternelle, le Saint-Esprit reposant en vous et apportant de nouveau la Vie de Jésus-Christ. Car la Bible dit dans Hébreux 13.8 : «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.»
Dieu attend le moment où Il verra Son Eglise atteindre cette position, ne regardant pas à la dénomination, ne regardant pas au credo, à la race, à quoi que ce soit, quand toute Son Eglise parviendra à cette position où Elle montrera le signe de la mort de Jésus-Christ. «Encore un peu de temps, a-t-Il dit, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez, parce que je vis, vous vivrez aussi. Je serai avec vous, même en vous jusqu'à la fin du monde ;» Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et pour toujours.

29 Des fois, je me retrouve au milieu des chrétiens qui prétendent être des saints hommes et femmes de Dieu. Ils ont honte d'un témoignage. Ils ont honte de dire : «Amen.» Ils ont honte de chanter les cantiques de Sion. Ils ont honte partout. J'aime me trouver au milieu de ceux qui n'ont pas honte de l'Evangile de Jésus-Christ. Même si cela paraît comme de l'hérésie, ils n'ont néanmoins pas honte. Quelque chose est arrivé, et pour eux, cela vaut plus que la vie. C'est la Vie. C'est la Vie Eternelle parce qu'ils ont accepté le substitut de Dieu.

30 J'aime ce genre de cantique. Il y a quelques instants, quand j'étais là derrière priant pour certaines personnes qu'on avait amenées dans. Et ceci n'est pas une réunion de prière, c'est simplement pour parler, j'étais là-dedans et j'ai entendu les cantiques, le battement de leurs mains, et nous nous sommes demandés. Certains d'entre eux, je les ai même vus courir ça et là sur le parquet, ce qu'ils appellent danser dans l'Esprit.
Au début, je critiquais cela, quand j'ai vu les pentecôtistes danser dans l'Esprit. Et je me disais : «Qu'est-ce ? Ça doit être un tas d'absurdités.» Alors, je me suis mis à lire la Bible. Et j'ai trouvé que quand on danse dans l'Esprit. Le diable a copié cela et il a exhibé les gens là avec du rock and roll et tout, mais l'authentique et véritable danse vient de Dieu. C'est exact. Et cela. la danse a toujours été le signe la victoire.

31 Quand David tua Goliath, et que ce petit garçon rougeaud entra dans la ville, traînant la tête de ce géant, les gens sont allés à sa rencontre, en dansant. Ils avaient obtenu la victoire. Quand Moïse a traversé la mer Rouge par la puissance de Dieu, et qu'il a amené les enfants d'Israël de l'autre côté, Myriam a pris un tambourin, ainsi que toutes les filles d'Israël, et elles ont parcouru la rive, jouant du tambourin et dansant dans l'Esprit. Et si ce n'était pas une réunion pentecôtiste à l'ancienne mode, c'est que je n'en ai jamais vu une de ma vie. Mon problème, c'est que je n'avais pas eu assez de victoires. Mais quand vous avez finalement cette victoire et que le signe du Sang de Jésus-Christ vient sur vous.

32 Je me souviens de David, le grand psalmiste de la Bible. Quand il avait fait quelque chose qui. cet exploit, on lui a donné la fille de Saül. Et elle était une sorte de soi-disant croyante, prétentieuse, guindée. Et l'arche était restée loin de Dieu pendant longtemps, la Présence visible de Dieu, la Colonne de Feu qui était suspendue sur cette arche. Sous le règne de Saül, les Philistins étaient venus et l'avaient emportée. Et un jour, quand David a vu l'arche revenir à la maison de Dieu, David a couru devant l'arche et a dansé devant l'Eternel, en chantant les louanges de Dieu. Et la fille de Saül s'est sentie très embarrassée à cause du comportement de cet homme. Son mari, son jeune et beau mari a fait le pitre et s'est mal conduit en sa présence à elle, la fille du roi. Et David a dit : «Si. tant. Si tu n'aimes pas cela, regarde un peu ceci.» Et il a fait le tour de l'arche, puis un autre tour, puis un autre, puis un autre, dansant dans l'Esprit. Et elle était embarrassée. Et Dieu a frappé cette femme d'un malédiction.
Oh, la victoire par le Sang de Jésus-Christ, le signe de la résurrection de Christ, Sa vie est vivante dans Son Eglise. Il n'y a pas d'autre moyen de communion sous. si ce n'est sous le Sang. Nos dénominations nous sépareront, et l'une dira : «C'est absurde.» Et l'autre dira ceci ou cela.

33 La Pentecôte a été notre modèle. Personne ne devra dire que ce que. ou plutôt ne peut nier que l'Eglise avait été inaugurée le jour de la Pentecôte. Et le même Esprit qui était tombé sur eux ce jour-là. Chaque fois dans la Bible et sans faillir, quand le Saint-Esprit est descendu sur les gens, ils agissaient de la même façon.
Permettez-moi de dire ceci, que chez les païens, là où j'ai eu la place. le privilège d'aller, et de voir les purs indigènes des îles, et chez les Hottentots, de les voir se tenir là où on devait parler par l'intermédiaire d'un interprète. Ils n'ont jamais entendu le Nom de Jésus-Christ de leur vie. Mais racontez-leur l'histoire et demandez-leur de lever la main pour recevoir Dieu, ils feront la même chose que vous qui êtes ici quand vous recevez le Saint-Esprit. Cela montre que c'est universel. C'est la puissance du Dieu Tout-Puissant, la démonstration de Son signe sur Ses enfants, qu'ils soient Rouges, Noirs, Blancs ou quoi que ce soit. C'est le seul lieu de communion qui ait été donné.

34 Nimrod avait construit une tour, et Nebucadnetsar une ville, et ainsi de suite. Ils perpétuent cela à travers des savants et tout, mais il n'en reste pas moins que c'était le Sang que. Dieu avait décidé qu'un substitut innocent prenne la place de l'homme coupable pour son pardon, et la même chose demeure ce soir. Il n'a jamais changé cela.
Job a vécu par cela. Job, le plus vieux livre de la Bible. Et même si cet homme en avait vu de toutes les couleurs, il resta toutefois ferme, parce qu'il savait qu'il avait satisfait aux exigences de Jéhovah. Il savait que c'était en ordre ; Abraham de même, ainsi que plusieurs d'entre eux. Israël rencontra seulement. Il n'y avait qu'un seul lieu où Israël pouvait avoir la communion. C'était sous le sang répandu. Les hommes de partout devaient adorer à Jérusalem. Avant qu'il y ait un sacrifice, il n'y avait pas d'adoration, et le sacrifice était le sang.

35 Aujourd'hui, aujourd'hui, si instruite que paraisse pourtant la - la nation, et si cultivés que paraissent les gens, et toutes nos recherches scientifiques pour décomposer un atome, et tout ce qui arrive, lancer une fusée à la lune, ou envoyer un - un satellite, ou quoi que cela soit. toutes nos recherches scientifiques, toutes nos dénominations, toute notre instruction et toutes nos écoles, elles nous ont simplement éloignés davantage de Dieu qu'il n'en était au commencement.
Ce qu'il faut, c'est un cour livré à la puissance du Dieu Tout-Puissant par Sa volonté, et le Saint-Esprit viendra comme un signe sur cette personne. «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» Cela reste toujours le même. Christ l'a dit. «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» C'est la manifestation du Saint-Esprit pour montrer que Dieu a accepté l'adorateur, car l'Esprit et la Vie qui étaient en Christ viennent sur l'adorateur.

36 Pouvez-vous vous imaginer un Juif dans l'ancien temps sous le sang répandu ? Le voici descendre la route. Ce - c'est le jour de l'expiation. Il va offrir un sacrifice. Il a une belle vache grasse. C'est ce que Jéhovah a exigé. Ou disons peut-être qu'il a un - un agneau, un bel agneau gras. Il va être examiné par le sacrificateur pour voir s'il a un défaut. Ensuite, il va au lieu d'adoration. Il se rend compte qu'il est un pécheur. Il a commis un mal.
Maintenant, il pose ses mains sur ce sacrifice. En posant les mains sur le sacrifice, il s'identifie à son sacrifice. Et ensuite, quand l'animal est égorgé, ou plutôt quand sa vie est ôtée, - ses mains étant posées sur lui, et sa vie est ôtée, et il sent cette douleur pendant que cet animal meurt et que le sang gicle sur ses mains, il comprend que cet animal prend sa place. Et il rentre justifié, parce qu'il a fait exactement ce que Jéhovah lui a exigé.

37 Et il en est de même des chrétiens aujourd'hui. Il ne s'agit pas de signer une carte pour montrer que vous viendrez à l'école du dimanche autant de jours, ou plutôt autant de dimanches en une année. Il ne s'agit pas de jurer que vous ne boirez plus pendant six mois. Ce n'est pas ça. Il s'agit de poser vos mains sur le sacrifice auquel Dieu a pourvu, Son pardon, la tête de Jésus-Christ, et de sentir le déchirement de la chair au Calvaire, et puis de vous identifier à Lui dans le baptême, car de même qu'Il est mort et est ressuscité, vous aussi, vous avez été enseveli en Son Nom pour ressusciter en nouveauté de vie, pour marcher comme une nouvelle créature en Christ. Quand vous faites cela avec sincérité.

38 Quand ceci est fait, l'ordre de Jéhovah. Et alors il se sent justifié. Eh bien, le Juif pouvait être justifié parce qu'il avait fait ce que Jéhovah lui avait ordonné de faire. Finalement. C'était correct. Jéhovah avait fait cela, et c'est ce qu'Il avait exigé. Mais finalement, cela est devenu une tradition familiale. Le jour de l'expiation arrivait, et peut-être que le Juif avait commis un mal. Il disait : «Eh bien, je crois que c'est le jour de l'expiation. Je ferais mieux d'amener mon agneau.» Voyez-vous, c'était devenu une tradition familiale. Les gens ne l'amenaient pas avec sincérité. Ils faisaient cela simplement parce que les familles avaient fait cela. «C'est juste la - la chose que nous devrions faire. Toutes les familles le font, nous devrions donc le faire nous aussi.»
Et c'est exactement là où en est arrivé notre christianisme. C'est exactement là où nos mouvements pentecôtistes en arrivent. C'est une tradition de famille. Voyez-vous, nous ne - nous ne nous identifions pas à notre Sacrifice, pour montrer que nous sommes morts avec notre Sacrifice. Nous sommes. Nous disons : «Oh, nous sommes chrétiens parce que nous sommes allés nous joindre à l'église.»
Se joindre à une église est une bonne chose. Mais à moins que vous soyez identifié, que vous ayez posé vos mains sur Lui, que vous et Lui deveniez un, à moins que l'Esprit de Christ vienne en vous et vous en Christ, à moins que vous deveniez fils et fille de Dieu. Il ne semble pas y avoir la sincérité que les gens - les gens devraient avoir. Cela devient un rite. Juste la même chose aujourd'hui ; pour les gens, devenir chrétien, ce n'est qu'un rite.

39 Récemment là, j'ai demandé à une jeune dame dans la ligne de prière : «Etes-vous une chrétienne ?»
Elle a dit : «Eh bien, je suis une Américaine, je vous l'apprends.»
Eh bien, comme si cela avait quelque chose à voir avec. Une Américaine, c'est merveilleux d'être une Américaine, mais cela ne veut pas dire que vous êtes une chrétienne. Vous devez naître de nouveau.
J'ai demandé à une autre femme : «Etes-vous une chrétienne ?»
Eh bien, elle était tellement fâchée qu'elle a dit : «Je vous apprends pour votre gouverne que je brûle un cierge chaque soir.»
Comme si cela avait quelque chose à voir avec. Vous devez être identifié à Christ et Sa vie doit vivre en vous. C'est quand vous êtes identifié à Christ, c'est quand Christ vit en vous. Il ne s'agit pas d'un rite. Il ne s'agit pas d'être membre d'église. Tout cela est bien. Mais vous voyez, la véritable sincérité.
Quand nous venons aux services de guérison, si vous remarquez lors du discernement dans la ligne, c'est constamment : «Dis aux gens de se repentir.» Voyez-vous ? Ils sont. Vous devez.

40 Nos prières sont devenues une tradition. Nous nous mettons à genoux la nuit et disons : «Seigneur, bénis Untel, et bénis Untel, et fais ceci, et aide Jean, fais tout ceci.» Vous faites de Dieu une mascotte, ou plutôt vous faites de Lui une espèce de garçon de course. «Dieu, fais ceci, et fais ceci, et fais ceci.» Ce n'est pas ainsi que Jésus nous a dit de prier. Il nous a dit de prier comme ceci : «Notre Père qui es aux cieux ! Que Ton Nom soit sanctifié ; que Ton règne vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.» Mais nous essayons d'ordonner à Dieu ce qu'Il doit faire pour nous.
Et c'est la raison pour laquelle l'Eglise se refroidit. C'est la raison pour laquelle le grand réveil qui vient de frapper la nation en a fait entrer des millions dans l'église. C'est. cela. Les gens en sont arrivés à utiliser ces expériences, et autres, comme une tradition au lieu d'éprouver une pieuse tristesse, et de laisser le Saint-Esprit faire l'oeuvre de Son office en vous et de créer en vous une nouvelle vie, et de vous rendre si assoiffé d'aller à l'église que vous ne pouvez rester loin de l'église. C'est donc ce qu'il en est. Ce n'est pas signer des tickets et devenir membre et avoir. et ainsi de suite. Il s'agit d'être. d'avoir la Vie de Christ en vous, de sorte qu'Il a hâte de partir. Il y a quelque chose en vous qui vous pousse.

41 Comme je le disais hier à un jeune homme dans une causerie, un petit entretien, j'ai dit que je passais d'habitude près d'une petite source quand j'étais garde chasse dans l'Indiana. Et il y avait. C'était toujours la source la plus heureuse que j'eus jamais vue de ma vie. Les grandes sources de l'Indiana bouillonnent avec une bonne eau fraîche, de l'eau calcaire. Et un jour, je me suis assis près de la source afin de lui parler, juste comme je pense que Moïse s'était assis près du buisson ardent afin de lui parler. Et j'ai dit : «Petite source, qu'est-ce qui te rend si heureuse pour que tu bouillonnes tout le temps ? Quand je viens ici en hiver, tu bouillonnes. Quand je viens au printemps, en automne, en été, n'importe quand, tu bouillonnes. Est-ce peut-être, peut-être parce que tu es très contente du fait que les lapins viennent boire de toi ?»
Eh bien, maintenant, si elle pouvait parler, elle dirait : «Non, c'est - ce n'est pas ça.»
Je dirais : «Eh bien, peut-être parce que les cerfs viennent boire de toi ?»
Elle dirait : «Non, ce n'est pas ça.»
Je dirais : «Eh bien, alors, peut-être parce que je viens ici de temps en temps boire de toi ?»
«Non, ce n'est pas ça. Je suis heureuse que tous viennent boire, mais ce n'est pas la raison pour laquelle je bouillonne tout le temps.»
«Eh bien, qu'est-ce qui te fait bouillonner comme ça ? Qu'est-ce qui te rend si heureuse ? Toujours jaillissante ?»
Si elle pouvait parler, elle dirait : «Ce n'est pas moi. C'est quelque chose derrière moi qui me pousse.»

42 C'est ainsi qu'il en est d'une expérience chrétienne. Ce n'est pas quelque chose que vous essayez de fabriquer. C'est quelque chose derrière qui opère en vous. C'est la Vie Eternelle qui se meut, qui jaillit, comme un. Comme Il l'a dit à la femme au puits : «Ce sera des fontaines d'eau qui jailliront jusque dans la Vie Eternelle.» C'est quelque chose qui se passe dans l'adorateur quand il est identifié à Christ puisqu'il sait qu'Il est vivant. Mais ne cherchons pas à ce que cela devienne une tradition.
Quand Israël en arriva à faire des commandements de Dieu une tradition, avec leurs sacrifices, c'est alors que le puissant prophète Esaïe leur fut envoyé par Dieu avec le AINSI DIT LE SEIGNEUR. Quelque part, d'une façon ou d'une autre, Dieu peut toujours mettre Sa main sur un homme qui n'a pas peur de mettre la chose à nu. C'est cela. Quelque part, à un endroit.

43 Esaïe se leva, si vous lisez Esaïe 1. J'ai cela écrit ici. Esaïe leur parla, disant : «Vos sacrifices (que Jéhovah a exigés) sont devenus une puanteur à mes narines. Je les méprise ainsi que la graisse des béliers, et - et des génisses» et ainsi de suite. Dieu avait méprisé cela. La chose même qu'Il leur avait ordonné de faire, puisqu'ils en avaient fait un rite, alors Dieu a eu cela en dégoût, car ils en avaient fait un rite.
Et nous pouvons faire la même chose de la Parole de Dieu (C'est vrai.) quand nous L'abordons comme une tradition, comme un rite. Nous devons L'aborder, sachant que c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si Dieu a promis ceci, Dieu veillera à Sa promesse. Il est plus grand que Sa promesse. Il l'a toujours été. «Il est capable, comme l'a dit Abraham, d'accomplir ce qu'Il a promis de faire.» Il est toujours capable de faire cela, de garder Sa Parole.

44 Bien. Esaïe a dit aux gens, il a dit que toutes ces choses qu'ils faisaient, ils les faisaient sans sincérité. Ils avaient fait cela simplement parce que les autres le faisaient. Ils étaient devenus. faisaient aussi cela parce que c'était exigé par Jéhovah. Et toutes les familles ont fait cela, et les mamans ont fait cela, et les grand-pères ont fait cela. Pourquoi eux ne pouvaient-ils pas le faire ?
Maintenant, nous faisons la même chose. «Mon grand-père était presbytérien, aussi suis-je presbytérien.»
«Mon père était baptiste, aussi suis-je baptiste,» et ainsi de suite.
«Et mon père était pentecôtiste, aussi suis-je pentecôtiste.» Ce n'est pas cela.

45 Nous en sommes arrivés à un point où nous nous rendons compte que nous sommes séparés. Nous sommes séparés de Dieu. Et nous venons sur base du Sang répandu de Jésus-Christ. Sous ce Sang, c'est là que le méthodiste, le baptiste, le luthérien, le presbytérien et les pentecôtistes peuvent tous se rencontrer, sur un terrain commun, sans regarder à la tradition qu'ils. ou au rite. Ils peuvent se rencontrer là sous une chose commune, et c'est sur base du Sang de Jésus-Christ.
A moins que l'Eglise revienne à une certaine position, et s'éloigne de ses rites et qu'Elle revienne au plan originel de Dieu, afin que les hommes naissent dans le Royaume de Dieu et ne se joignent pas à une église. C'est alors que la communion régnera partout, et que l'Esprit du Seigneur couvrira la terre comme les eaux couvrent la mer, si on en arrive au point où les hommes peuvent oublier leurs différences et se rassembler et communier sous le Sang.

46 Nous ne pouvons pas tous venir sous la tradition baptiste ni sous la tradition presbytérienne, sous la tradition méthodiste, sous la tradition pentecôtiste. Mais nous pouvons tous nous rencontrer et communier sous le Sang de Jésus-Christ, parce que c'est le plan originel de Dieu. C'est vrai. Amen. C'est là qu'il y a le pardon.
Un méthodiste peut regarder un baptiste et garder sa tête tournée de côté, et un baptiste regardera un pentecôtiste, un pentecôtiste fera de même vis-à-vis d'un baptiste, à cause de leurs traditions. Mais quand on se rencontre sous la croix, là où le Sang de Jésus-Christ purifie tout homme du péché, on devient une nouvelle créature en Christ Jésus. On est frère. Peu importe la marque qu'on porte, on est frère. Car c'est sur ce seul terrain que nous pouvons tous nous rencontrer. C'est de cette façon que Dieu procède. Ces autres choses sont des crédos humains qui sont injectés là-dedans. Mais le plan originel de Dieu pour le pardon, c'est sous le Sang de Jésus-Christ. C'est le plan de Dieu pour faire la chose. Oui.

47 Les tra - les traditions en ces jours-là. le grand prophète a crié et il a dit : «Vos traditions sont sans puissance. Elles sont une puanteur à mes narines. N'ayez pas foi en elles.» Les gens offrent ces choses sans même avoir foi en ce qu'ils font. Eh bien, posons-nous une question. N'est-ce pas la même chose aujourd'hui? Dommage que nous n'aimions pas le dire, nous devons affronter la réalité quelque part. Il y a quelque chose qui cloche quelque part.
Eh bien, cette église devait être à des milliers de kilomètres sur la route, de l'endroit où elle se trouve maintenant. Jésus attend que Son Eglise soit prête. Son Epouse s'est Elle-même préparée. Nous avons des potentialités. Le Saint-Esprit est ici. Dieu est ici. La puissance pour guérir les malades, la puissance pour faire toutes les oeuvres que Christ a faites, j'ai moi-même vu cela être manifesté par le Saint-Esprit. Les potentialités sont donc ici.
Dieu attend que nous nous éloignions de nos traditions et que nous revenions sous le Sang de Son Fils Jésus-Christ, et devenions l'Eglise du Dieu vivant, là où le méthodiste, le baptiste, le luthérien, le presbytérien, et que sais-je encore. «Que celui qui veut vienne et boive aux eaux de la vie gratuitement.» Je crois cela de tout mon être. Nous. Dieu a envoyé le Saint-Esprit faire cela. Mais nous, avec nos rites, et sans sincérité. Nous. On y va parce que c'est une tradition, et parce que c'est un rite. Nous y allons sans sincérité, sans un regret sincère du péché.

48 L'autre soir, j'ai remarqué dans cette réunion très populaire de l'un de nos très célèbres frères de Californie. Et j'ai remarqué à cette réunion comment ces gens venaient, des jeunes adolescents. j'ai admiré le frère pour sa brillante position. N'importe qui l'admirerait. Si vous êtes bien placé pour voir la place qu'il occupe dans ces derniers jours, vous l'admirerez aussi. Et comme j'observais ces gens qui s'approchaient de l'autel pour prendre leur décision, les filles mâchaient du chewing-gum, les garçons se donnaient des coups de poing, les gens riaient. Ce n'est pas de cette façon-là qu'on s'approche avec une tristesse pieuse. Vous devez venir étant convaincu. Ô Dieu, envoie-nous un réveil pentecôtiste du Saint-Esprit à l'ancienne mode qui dévoilera la cause du péché et apportera la conviction aux hommes et aux femmes.
Il ne s'agit pas de dire : «Je retournerai à l'église et je renouvellerai ma communion. Je signerai une carte.» Ça, c'est bien. Mais vous pouvez vous joindre aux Francs Maçons, aux Odd Fellows et tout, et obtenir le même résultat. Mais quand vous venez sous l'expiation du pardon de Dieu par le Sang de Jésus-Christ, il faut qu'il y ait la sincérité là-dedans. Dieu exige la sincérité.
Si cela Lui a coûté un tel prix que de donner Son Fils unique, comment allons-nous nous en sortir avec une petite histoire pour rire, et venir nous joindre à l'église, et remplir une carte d'engagement, et l'apporter à l'église, et quoi que ce soit. Ce n'est pas ça l'exigence de Dieu. «Celui qui marche en semant avec larmes, revient avec allégresse quand il porte ses gerbes.» Nous avons besoin des gens qui portent des gerbes.

49 J'ai entendu ce grand évangéliste dire une fois, pendant que j'assistais à l'un de ses petits déjeuners. Il a pris la Bible, et. Je l'ai toujours admiré. Il a dit : «Voici la référence. C'est cela que Dieu exige.» Il a dit : «Je peux aller dans une ville, y tenir un réveil.» Il a dit : «Je peux amener vingt ou trente mille personnes à prendre la décision. Je reviens après quatre ou cinq ans environ, ou peut-être deux ans, a-t-il, et je ne peux pas trouver quinze ou vingt personnes.» Il a dit : «Saint Paul est allé dans une ville et il a fait un converti. Il est revenu une autre année, et à partir de ce seul converti, il avait trente ou quarante.» Alors il a dit : «Ce sont les prédicateurs paresseux qui s'asseyent les pieds sur la table et qui ne vont pas rendre visite aux gens.»

50 J'admire le courage qu'il avait de réprimander ses frères et tout, d'après sa conviction, mais j'aimerais lui poser cette question : «Quel prédicateur parlait à cet unique converti du temps de Paul, alors qu'il n'y avait pas d'église où il pouvait aller?»
Qu'était-ce? Paul l'avait fait sortir d'une tradition, ou du fait de signer une carte, et l'a amené au baptême du Saint-Esprit, comme son âme était en feu pour Dieu. Il devait rendre témoignage et dire des choses. Toute son âme était enflammée par le feu que Dieu avait allumé dedans. Ce dont nous avons besoin ce soir, c'est un signe qui montre qu'un homme ou une femme est sauvée ; vous les verrez aller à la recherche d'autres âmes aussi vite que possible.

51 Une fois il a dit qu'un barman. un petit garçon est entré et a dit : «Monsieur le barman?»
Il a dit : «Oui, fiston.»
Il a dit : «Votre enseigne est tombée.»
Il a dit : «Eh bien, merci, fiston.» Puis il est sorti, et le petit garçon se tenait les mains derrière, et le barman a levé les yeux. Et là, il y avait la publicité d'un grand bar sur une grande plaque en cuivre. Et il a pris son tablier et l'a astiquée. Il a dit : «Fiston, tu t'es trompé. Mon enseigne est debout. "
Il a dit : «Non, Monsieur, a-t-il dit, elle n'est pas debout.» Il a dit : «Je veux dire votre - votre meilleure enseigne.»
Il a dit : «C'est la meilleure enseigne que j'aie.»
Il a dit : «Oh, non. Regardez, celle qui est étendue là.» Et là dans un caniveau était couché un ivrogne. C'était la meilleure enseigne qu'il avait (Certainement !), quand il a vu un homme sous le pouvoir de ce qu'il vendait à l'intérieur.
Et quand nous voyons un homme sous l'influence du Saint-Esprit, jusqu'à ce que sa vie brûle du feu de la Pentecôte à l'ancienne mode, c'est ça la meilleure enseigne que Dieu ait jamais eue, montrant qu'un homme est sauvé. Eh bien, certainement. C'est ça la meilleure enseigne.
Maintenant, comment cela arrivera-t-il? Ce n'est pas en vous joignant à l'église, mais c'est en acceptant Son pardon à travers Jésus-Christ, votre Substitut innocent.

52 Pas de sincérité, pas de vraie tristesse pour le péché. Il a dit qu'Il S'est détourné de leur rite. Leurs prières étaient sans puissance. Ils priaient. Oh, certainement. Ils allaient là et offraient des prières. Ils offraient des sacrifices. C'était devenu du formalisme.
Savez-vous que dans II Timothée verset 3, ou plutôt II Timothée chapitre 3, on nous dit que nous aurons la même chose dans les derniers jours ? La Bible dit : «Ici dans les derniers jours, sachez-le, le temps viendrait où les hommes seraient emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, et ennemis des gens de bien, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces gens-là. Ce sont eux qui vont de maison en maison, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, agitées par des passions de toute espèce, et n'apprenant jamais - apprenant toujours, et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.»

53 Eh bien, comme la Bible prédit que le moment viendra ou l'église s'introduira dans la même tradition où les autres étaient à cause de leurs rites. La voici de nouveau, une religion traditionnelle, sans puissance. «Oh, disaient-ils, ceux-là, c'étaient des communistes.» Non, ils ne l'étaient pas. «Ayant une forme de piété.» Les gens vont à l'église ; ils se joignent à l'église ; ils essaient de faire une longue démonstration comme quoi ils sont. ils vont à l'église et tout. et s'en vont et mènent une vie différente. Il n'y a pas de feu dans leur âme. Il n'y a rien ; ils ne se préoccupent pas des autres. Les autres peuvent mourir et s'en aller s'ils le veulent. Nous sentons que nous sommes sauvés. Les autres, laissez-les s'en aller.»
Ce n'est pas là le vrai christianisme. Le christianisme, c'est aller à la recherche des perdus. Aller chercher ce frère-là. Aller faire quelque chose à ce sujet. Et nous nous tenons là, bras croisés, bien que nous, nous prétendions être sauvés, et nous voyons des hommes et des femmes mourant de tous côtés. Et les rues sont pleines de femmes qui se rendent à l'église en culottes et - et les visages fardés,  et - et elles courent les rues, la cigarette à la main, et - et les visages pleins de maquillage. c'est comme des renards ou des loups, ou quelque chose de ce genre - et les hommes courent les rues, se joignent aux églises et des choses de ce genre. Et vous appelez cela du christianisme et vous restez tranquille ?

54 Que ferait saint Paul s'il se promenait dans Tucson ? Eh bien, je dis qu'on le mettrait en prison avant le matin. C'est vrai ! Pourquoi ? Son âme brûlerait pour Dieu au point qu'Il ne pourrait s'empêcher de faire cela. Certainement. Mais nous nous joignons à l'église. Voyez-vous, nos traditions sont devenues une puanteur devant Dieu.
Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'un prophète qui apparaisse sur la scène avec le AINSI DIT LE SEIGNEUR et qui dénonce ces choses jusqu'au fond et qui dise qu'elles sont devenues une puanteur. Nos dénominations se sont agrandies, et nos églises sont grandes, et elles sont plus belles que jamais. Nous ferions beaucoup mieux de sortir avec une casserole en fer blanc, de nouveau debout dans la ruelle avec une guitare. là dehors, battant le tambour, ou l'une ou l'autre chose, avec un vrai feu de Pentecôte brûlant dans nos âmes, plutôt que nous asseoir sur des bancs magnifiques sur lesquels nous sommes assis aujourd'hui, mourants, avec le monde mourant à nos pieds.

55 Bien sûr que oui, Dieu a un pardon, et ce pardon c'est seulement par Jésus-Christ. L'instruction, la tradition, la dénomination, la science, rien ne peut remplacer cela. C'est sous ce Sang. C'est sous la tradition - pas la tradition, mais sous le Sang de Jésus-Christ, la voie pourvue par Dieu pour les pécheurs, la seule voie par laquelle nous pouvons nous rencontrer. Eh bien, je vous le dis, prenez un méthodiste, prenez un baptiste, et un presbytérien, un luthérien et un pentecôtiste, et laissez chacun venir sous ce Sang. Ils sont frères. Ils ne feront pas d'histoires à ce moment-là. Certainement pas, ils sont frères. Ils voient tout de la même façon.
Mais laissez un méthodiste se disputer avec un baptiste sur l'ordre du baptême. Laissez un unitaire se disputer avec un trinitaire, un trinitaire avec un unitaire, et que sais-je encore. Observez l'agitation et l'affolement. Mais laissez les deux venir sous le Sang, puis observez ce qui arrive. [Espace vide sur la bande. Ed]

56 Et il le sera jusqu'à ma mort Puis dans un chant plus noble et plus doux,
Je chanterai cette puissance qui sauve
Quand cette pauvre langue balbutiante et zézayante
Sera couchée silencieuse dans la tombe. Je témoigne ce soir que le Sang de Jésus-Christ fait d'un méthodiste, un baptiste, un luthérien, un presbytérien, quoi qu'il soit, mon frère. Certainement. Il y a quelque chose dans cet homme, parce que son esprit est - est un frère. Il n'est pas un faiseur d'histoires et - et l'une ou l'autre chose ; il est un frère en Christ. Il croit chaque Parole qui se trouve dans cette Bible.
Comment le Saint-Esprit qui a écrit la Bible, peut-Il renier Cela ? Comment le Saint-Esprit vivant dans un homme, peut-Il dire : «Non, ça c'était pour les disciples.» Cela.
Jésus a dit : «Que celui qui veut.»
Pierre a dit : «La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Le Saint-Esprit était pour celui que Dieu appelait.
Et ici Il dit : «Ceux qu'Il a prédestinés, Il les a connus d'avance.» Il a ordonné et eux ont accepté. «Nul ne peut venir à moi, a dit Jésus, si le Père ne l'attire, et tout ce que le Père m'a donné viendra à moi.»

57 Venons-nous sous l'émotion ? Venons-nous pour nous joindre à l'église ? Venons-nous parce que nous ne voulons pas aller en enfer ? Ou plutôt venons-nous parce que nous aimons Dieu qui a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la Vie Eternelle ? Venons-nous parce que c'est un sacrifice d'amour que Dieu nous offre afin que nous puissions manifester cela ?
Dieu déteste une religion sans puissance. Leur religion n'a pas de puissance. Alors que doit-Il faire à ce jour ? Il déteste une. Dans la Bible, chaque fois que Dieu. dehors. ce côté, la Bible, chaque fois qu'on en est arrivé à une réforme ou plutôt à un réveil, celui-ci était accompagné de grands signes et des puissances. Quand Luther est apparu, quand Wesley est apparu, quand tous les réformateurs : Sankey, Finney, Knox, Calvin, qui que ce soit, quand ils sont venus, il y avait une démonstration de puissance. Là où Dieu est, Il est surnaturel. Là où Dieu se manifeste, il doit y avoir du surnaturel.

58 Considérez les Pharisiens qui étaient venus vers Jésus en ce jour-là. Et vous parlez de la douceur et de l'humilité. Qui était plus humble que le vieux sacrificateur ? Qui était plus grand que leur sacrificateur ? Il vient vous voir à votre naissance. S'il y a une dispute dans le voisinage, il vient et règle le problème. Et c'est toujours un pacificateur. C'est un homme affectueux. Vous savez qu'il l'est. Quand vous avez des ennuis, vous pouvez aller le voir, il vous aidera. Quel homme gentil !
Alors, parler de ce Jésus de Nazareth. Ce sacrificateur, nous savons qui était son père, le père de son père, le père de son père. Nous avons ici une école qui le reconnaît. Qui est ce Jésus de Nazareth ? De quelle école est-il sorti ? A quelle organisation appartient-il ? Que fait-il si ce n'est toujours faire des histoires ?
Que dit-il de votre gentil vieux sacrificateur ? «Il est du diable, a dit Jésus. Vous êtes - vous êtes le. Vous avez pour père le diable, et ce sont ses oeuvres que vous voulez accomplir.» Pouvez-vous vous imaginer ? Il est entré dans le temple, Il a regardé les gens avec colère, Il a renversé les sacrifices que Jéhovah exigeait, et Il s'est écrié : «Il est écrit : ' La maison de mon Père est une maison de prière, et vous en avez fait une caverne de voleurs.'»
Que ferait-Il aujourd'hui s'Il venait dans nos églises modernes ? Il y aurait davantage de tables en l'air. Davantage de bancs qui sauteraient. Eh bien, Il mettrait cela en pièces. Exactement. Ce serait la même chose. Ne voyez-vous pas que Jésus est très scripturaire ? Il était la Parole. Il n'avait pas à écrire quoi que ce soit. Il était la Parole. Il était la Parole vivante. Et les gens ont manqué de reconnaître cela.

59 Et aujourd'hui, comment un homme peut-il, sur base des principes de ce que. Jésus a promis ces signes au monde entier, et cette bénédiction au monde entier, que le Saint-Esprit tomberait sur celui que Dieu appellerait, juste comme au commencement. Comment un homme peut-il se dire chrétien, et renier cette Parole, puis dire que le Saint-Esprit est en lui ? Le Saint-Esprit ponctue chaque Parole de Dieu d'un amen. C'est tout à fait exact.
Oh, frère, nos systèmes d'instruction nous ont éloignés de cela. Et nos - nos dénominations nous ont séparés les uns des autres et de Christ. Mais ce  que. Ils continueront à le faire. Lorsque vous prenez un substitut, n'importe quoi d'autre, ce n'est rien de plus que les feuilles de figuier, de nouveau. Dieu rejette cela. Mais quand l'église vient sous le Sang de Jésus-Christ, ayant sur elle le signe du Saint-Esprit, alors vous allez voir de nouveau la fraternité. Vous allez voir une église remplie de puissance. Vous allez voir.

60 Dieu déteste une religion sans puissance. Elle doit avoir la puissance. Certainement. C'est une puissance pour sauver l'homme du péché. C'est une puissance qui peut accomplir des signes, des prodiges et des miracles comme l'a promis Jésus-Christ. Autrefois les gens portaient toute leur attention sur la Parole de Dieu et La croyaient, et le but était atteint. Portez de même toute votre attention sur la Parole de Dieu, et le but sera de nouveau atteint. Il en sera ainsi, parce qu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Dieu n'aime pas une religion sans puissance. Dieu n'aime pas cela. Dieu veut agir, Dieu veut montrer qu'Il est vivant. Notre vraie espérance, c'est la résurrection. Est-ce juste ? Notre espérance de vie, c'est la résurrection, la résurrection de Jésus-Christ.

61 Vous voyez, Dieu veut travailler dans Son Eglise. Jésus a dit : «Je serai toujours avec vous, même jusqu'à la fin du monde. Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi.» Saint Jean 12.14 : «Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi ; vous en ferez même davantage, car je m'en vais au Père.» Maintenant, l'église cherche à renier cela, à trouver un moyen pour avoir plus de membres, pour être plus populaire.
Eh bien, j'aimerais vous poser une question. Le. Dieu veut agir dans Son Eglise, et l'Eglise veut agir par le credo, et les deux ne peuvent pas marcher ensemble. Vous devez vous débarrasser du credo et recevoir Christ. Mais comment y arriver ? Quand Il voit le Sang, quand le Sang a été appliqué avec un cour sincère et avec une main posée sur Jésus-Christ, et un cour qui est sincère devant Dieu pour confesser qu'on a tort et pour naître du Saint-Esprit, alors les oeuvres de Dieu suivront, comme Il l'a promis. Oui, l'Eglise veut agir par les crédos pour voir combien de membres elle peut avoir. Dieu cherche à agir par la puissance du Sang pour que les chrétiens naissent de nouveau. C'est exactement cela la différence.
Pour faire ceci, vous devez rejeter. Pour faire ceci, ils. vous devez rejeter le Saint-Esprit et Sa puissance agissante avant d'accepter un credo. Vous devez voir la vérité avant que vous n'acceptiez une erreur. Si vous voulez être un chrétien, vous ne pouvez pas. Vous devez passer outre la promesse de Dieu pour tomber dans l'erreur. En effet, il y a tout le temps un feu rouge devant vous, disant : «Voici la Parole.»

62 Vous dites : «Eh bien, ça c'était pour un autre jour.» C'est pour aujourd'hui, parce que Christ est la Parole. Est-ce vrai ? Saint Jean 1 : «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et elle a habité parmi nous.» Et la Bible dit : «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.» Si donc Christ est la Parole, chaque promesse est vraie, et elle est la même hier, aujourd'hui, et pour toujours. Elle doit l'être. Il faut une foi née de nouveau pour croire cela et faire que cela agisse. Seulement. Vous ne pouvez pas faire cela avec la tradition. Cela ne marchera pas. Vous devez venir à ce Sang, aussi sûr que deux et deux font quatre.

63 Après qu'Israël eut dit. Après que Esaïe eut dit à Israël qu'ils avaient pollué leur substitut par leurs traditions, un autre prophète apparut. (Avant que nous ne terminions.) Un autre grand prophète vint sur la scène, et c'était Jean Baptiste. Bien. Il leur montra un Agneau qui pouvait prendre - pouvait agir, non seulement pour Israël, mais pour toute la race déchue d'Adam. Il a dit qu'il y avait. Dieu allait envoyer un Agneau. Et cet Agneau serait et pour les nations, et pour les Juifs, et pour tout celui qui viendrait.
Il ne s'est pas passé longtemps que l'Agneau fût cloué sur la croix de Son autel. Son Sang fut répandu. Le Saint-Esprit revint. Eh bien, quand ce vieil agneau (un animal) mourait, l'esprit de l'animal ne pouvait pas revenir. Ainsi, ce sang n'était appliqué qu'à une nation. Mais maintenant, c'est pour toute la race d'Adam que l'Agneau de Dieu a été répandu - Son Sang ; le signe est revenu sous la forme du Saint-Esprit pour venir sur l'adorateur. Ainsi, c'est ce que Dieu exige. C'est ce qu'ils ont fait en ce temps-là. Et c'est ce qu'ils font aujourd'hui.
Eh bien, si une personne sent le poids du péché et que vous saviez que vous avez tort. Ecoutez, il y a un pardon. Et ce pardon, c'est par l'Agneau de Dieu. Croyez-vous cela ? C'est par l'Agneau, par le Sang de l'Agneau.

64 Une fois on m'a raconté une petite histoire. Cela m'a beaucoup aidé. Un garçon avait été kidnappé autrefois. Je pense que vous tous, vous avez appris l'histoire de la Bible et vous avez appris l'histoire de l'église. Et là, je pense que c'était le Fox. Non, ce n'était pas cela. C'était les pères nicéens, plutôt la vie de saint Patrick. Saint Patrick était. Evidemment, c'était juste un nom qu'on lui avait donné. Son nom était Suscat. Et il avait été - il avait été kidnappé par une bande de - de pirates, et il a été embauché pour élever des cochons.
Et l'histoire dit que cet enfant avait été kidnappé et embarqué à bord d'un bateau et qu'il se débrouillait. Et le vieux capitaine tomba malade un jour et il fut - il fut sur le point de mourir. Et il était très malade, très loin en mer, et le vieil homme à la barbe grise était couché dans sa cabine. Et il appela son équipage, ses matelots, et dit : «Y a-t-il une Bible parmi vous ?» Il dit : «Quand j'étais un enfant, j'étais élevé en chrétien, et, dit-il, je suis en train de mourir. Et, mes amis, je n'aimerais pas mourir comme ça.» Il dit : «Avez-vous la Parole de Dieu ? Y a-t-il ici un homme qui a la Parole de Dieu ?»

65 Finalement, là derrière dans le groupe de gens, un petit garçon se tint debout et dit : «Monsieur, j'ai une Bible. Je suis un chrétien. Je l'ai avec moi.»
Il dit : «Approche, fiston.» Il dit : «Es-tu sérieux en disant que tu as une Bible ?»
Il dit : «Oui.» Il dit : «Ma mère et mon père étaient chrétiens, et j'ai donné ma vie à Christ quand j'étais encore tout petit, et j'amène Sa Parole avec moi partout où je vais.» Il dit : «Je L'ai mise sur mon cour et Elle est dans mon cour.»
Il dit : «Lis-moi quelque chose là-dedans, fiston, avant que je ne meure.»
Et le petit ami ouvrit dans Esaïe 53.5, et il y était écrit ceci : «Il était blessé pour nos péchés ; Il était brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; et c'est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.»
Et quand il a dit cela, le vieux capitaine dit : «Peux-tu continuer de lire ?»
Le petit garçon dit : «Puis-je faire un commentaire ici ?»
Et le vieux capitaine dit au garçon, il dit : «Vas-y.»
Il dit : « Avant que je ne sois arraché à ma mère qui était une chrétienne, dit-il, vous savez, elle me lisait beaucoup cette Ecriture. Et savez-vous comment elle la lisait ?»
Et le vieux capitaine dit : «Non, fiston, j'aimerais entendre comment ta mère, une chrétienne, lisait cela.»

66 Elle dit. Il dit : «Voici comment elle lisait cela : 'Il était blessé pour les péchés de Willie Pruitt, Il était brisé pour l'iniquité de Willie Pruit ; le châtiment de Willie Pruit est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que Willie Pruit est guéri.'»
Le vieux capitaine dit : «J'aime cela. J'aime cela.» Il dit : «Oh, si seulement mon nom pouvait être lu là-dedans.» Il dit : «Penses-tu pouvoir le faire, fiston ?»
Il dit : «Je vais essayer.» Il dit : «Il était blessé pour les péchés de John Quartz, Il était brisé pour l'iniquité de John Quartz ; le châtiment qui donne la paix à John Quartz est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que John Quartz est guéri.»
Les larmes coulant sur sa barbe, il dit : «Apportez-moi mes habits. Jésus-Christ m'a guéri. Je Lui donne ma vie.» Voyez-vous ?

67 Oh, mon ami, si seulement vous pouvez lire votre nom là-dedans. Oh, si je peux lire mon nom. «Il était blessé pour les péchés de William Branham, Il était brisé.» Non pas l'église, non pas ceci, non pas les crédos, mais «brisé pour mon iniquité ; le châtiment qui me donne la paix est tombé sur Lui ; et c'est par Ses meurtrissures que William Branham est guéri.» Oh, si seulement nous pouvons lire notre nom dans l'Ecriture et réellement exprimer cela. C'est. C'est ce que cela fait. Lire notre nom là-dedans fait que nous recevions le pardon. Car, quand nous réalisons qu'Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité.»

68 Autre chose, nous voyons dans Hébreux 9.11 que le pardon produit la pureté, l'adorateur n'ayant plus conscience du péché et s'étant purifié des traditions mortes. Quand nous venons sincèrement sous le Sang, nous sommes purifiés des traditions mortes. L'Ecriture le dit, Hébreux 9. Observez : «Purifiez votre conscience des traditions mortes.»
Ainsi, si vous faites cela, oubliez que vous êtes baptiste, oubliez que vous êtes méthodiste, oubliez que vous êtes pentecôtiste, quoi que vous soyez. Et oubliez ces traditions mortes et venez au Sang. Venez-Y. Lisez votre nom là-dedans et ensuite faites ceci. Ensuite venez à la table de communion. Puis venez et voyez qui a raison et qui a tort, si cela va être une communion fermée ou pas. Voyez si vous pouvez laisser votre frère dehors. Vous ne pouvez pas faire cela. Vous ne pouvez simplement pas le faire. Il y a quelque chose en vous qui ne vous laissera pas faire cela. Il y a justement quelque chose. Voyez-vous ? Votre nom est inscrit là-dedans et vous - vous ne pouvez pas faire cela. Cela vous purifie ; cela vous purifie.

69 Souvenez-vous de Lui pendant que nous sommes à genoux à la croix. Que ce soit un prêtre catholique, un presbytérien, quoi qu'il puisse être, que cet homme vienne pendant qu'il lit son nom là-dedans : «Il était blessé pour les péchés de ce prêtre. Il était blessé pour ce méthodiste, ce baptiste, ce pentecôtiste, ce que. blessé pour nos péchés.» Mon nom, votre nom, peu importe qui vous êtes. Croyons donc cela. Non pas ce que le credo dit ; ce que la Parole dit. Ensuite agenouillons-nous ensemble à la croix ; nous sommes frères.
Oh, oui, les traditions. Nous nous purifions alors de toutes les traditions mortes. Il se pourrait qu'il y ait quarante évêques de district ; il se pourrait qu'il y ait quarante souverains sacrificateurs ; il se pourrait qu'il y ait des cardinaux, des évêques, des papes, et toute autre chose, criant : «Sortez de là. Ne vous souillez pas.» Mais vous, mettez votre bras autour de votre frère, frère. Il y a quelque chose de réel. Vous avez reçu le pardon sous la même expiation par laquelle il a été pardonné. Vous êtes des frères. Cela rapproche plus qu'un frère. Il y a là quelque chose qui vous attire si près de Dieu. Et quand vous êtes près de Dieu, vous vous rapprochez l'un de l'autre. Comment pouvez-vous haïr votre frère que vous voyez, ou le mépriser, et dire que vous aimez Dieu que vous n'avez pas vu ? Vous devenez un menteur, et la vérité n'est pas en vous.
Mais quand nous en arrivons à ce point où le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché, alors nous sommes frères. Alors il n'y a pas de distinction parmi nous. Nos vieilles petites marques que nous avons apposées sur nous ne représentent rien.

70 Je me souviens que je franchissais là le portail l'autre jour et j'ai pensé à l'un des frères qui est assis ici, là où je paissais le bétail. Et lorsque ce bétail passait par là, le garde forestier faisait le marquage, pendant que ce bétail passait, lors du rassemblement de printemps. Et il observait. Jamais il ne. Les bêtes portaient toutes sortes de marques. Mais il ne faisait pas attention à la marque. Il surveillait la plaque de sang. Et elle devait être un Hereford pur-sang sinon elle ne pouvait pas aller dans la forêt Arapao, car c'est l'association Hereford qui faisait paître là. Il fallait que ce soit un Hereford pur-sang.

71 Je pense qu'il en sera ainsi au temps de la fin. Il ne dira pas : «Es-tu méthodiste ? Etais-tu baptiste ?» Ça, c'est la grande question aujourd'hui. Qui - qu'êtes-vous ? Etes-vous méthodiste ? Baptiste ?»
Je dis : «Non.»
«Eh bien, qu'êtes-vous ? Presbytérien, luthérien, nazaréen, pentecôtiste ?»
«Non.»
«Qu'êtes-vous ?»
«Un chrétien.»
Un chrétien, la plaque de Sang, voyez sous le Sang. Cela signifie que sous ce Sang, chaque frère, soeur, est mon frère, ma soeur. Avec une très profonde sincérité là devant Christ, nous, le prêtre, le ministre, ou que sais-je encore, posons nos mains sur le sacrifice et déclarons : «Nous sommes des pécheurs coupables. Nous ne sommes pas dignes de Ta miséricorde, ô Dieu. Mais Tu as envoyé Ton Fils mourir à notre place et nous recevons gratuitement cela.» Oh, nous sommes donc frères.

72 Toute cette vieille histoire est terminée ; c'est entièrement parti. Nous sommes réellement pardonnés. Vous êtes pardonnés et vous êtes purifiés du péché, purifiés de la tradition. Les choses anciennes sont passées, les vielles querelles sont terminées. Tous les baptistes, les méthodistes, et les presbytériens sont tous purifiés par le même Sang et nous sommes devenus des frères. Les histoires traditionnelles sont terminées. C'est alors que la communion peut avoir lieu. Et c'est seulement là que nous pouvons avoir la communion.
J'ai vu des presbytériens se tenir debout dans ces réunions des Hommes d'affaires du Plein Evangile, parler en langues et crier aussi fort que possible, et certains des presbytériens les plus remarquables des Etats-Unis. Jim Brown (Combien l'ont déjà vu ?), un presbytérien formidable, se tenant ici et dansant en Esprit, et parlant en langues, et continuant à faire cela ici, ainsi que le pasteur de l'une des églises presbytériennes les plus connues des Etats-Unis. Les luthériens, les méthodistes, les Prés-.tous ensemble, qu'est-ce ? Ils sont venus sous le Sang. Là, il n'y a pas de marque ; là, il n'y a pas de barrières dénominationnelles. Nous sommes un. Nous sommes chrétiens. Nous avons des choses en commun. Oui.

73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s'il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n'a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu'ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l'un la présence de l'autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d'un avocat pour obtenir le divorce.
Et il a dit : «Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison.» Et il a dit : «Vous feriez mieux tous les deux d'aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue.»

74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : «Je vais prendre ceci.»
Et lui a dit : «Je vais prendre ceci.» Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi.
Quelques instants après, ils ont dit : «Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci.»
«Très bien !» Cela a marché pendant un instant.
Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.

75 Puis finalement ils se sont rappelé qu'il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : «Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci.»
Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu'était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé... A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun.
Quelques minutes après, comme ils se regardaient l'un l'autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu'est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu'ils avaient en commun, l'enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l'un de l'autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s'était rétablie.

76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c'est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C'est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu'il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert.
Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d'instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

77 [Un message est donné à partir de l'auditoire - Ed.] Amen. Avec la tête inclinée, le coeur certainement incliné, inclinons le coeur juste un instant maintenant avec la tête, disant : «Seigneur, avec mon cour incliné maintenant, avec toute ma tradition, ai-je raison ou ai-je tort ?»
Que le Saint-Esprit sonde le coeur maintenant. Et si celui-ci n'est pas exactement là où il doit être, et que vous voudriez qu'on se souvienne de vous dans la prière de clôture, puisque vous savez que nous pouvons tous nous rencontrer sous une seule chose, le Sang, l'expiation. Et quand nous le faisons, nous sommes alors purifiés de toutes les choses du monde. Et vous qui aimeriez que l'on se souvienne de vous dans la prière, voulez-vous le faire savoir en levant la main vers Dieu, disant : «Sou.» Que Dieu vous bénisse. Oh, la la ! les mains. «Souviens-Toi de moi, ô Seigneur.»

78 Réalisez-vous que nous n'avons pas beaucoup de jours pour nous balader sur cette terre ? Vous dites : «Eh bien, je suis jeune.» Je sais. Je ne sais pas, soeur, frère. Beaucoup d'adolescents vont mourir ce soir à travers le monde, des centaines. Non, la seule chose que vous avez et qui vous reste, c'est votre souffle. Voulez-vous maintenant dire : «Seigneur Dieu, avec ma main levée, j'accepte le pardon que Tu as offert, le Sang de Jésus-Christ. Maintenant, que le Signe qui vient du Sang, le Saint-Esprit, vienne sur moi. Je n'ai pas reçu le Saint-Esprit. Je - je le sais. Et j'aimerais recevoir cette chose qui fera que je me sente tel que Tu le dis, que mes péchés sont morts, et le monde, l'amour du monde est mort, et que je suis une nouvelle créature. Je veux être sûr de cela dans mon cour. Et, ô Dieu, je ne lève pas ma main vers frère Branham, mais c'est vers Toi que je la lève, et Tu connais mon cour.»
Et que personne ne regarde. Que Dieu seul voie ceci. Et dites : «O Dieu, je - je - je veux avoir le signe comme quoi le Sang a été appliqué sur moi. Et je veux l'avoir.» Levez la main et dites : «Priez pour moi, Frère Branham.» Que le Seigneur vous bénisse. C'est bien.

79 Qui que vous soyez, méthodiste, baptiste, presbytérien, c'est pour quiconque veut. Maintenant, j'ai. Je ne dis rien contre ces églises, le. elles sont bien. Mais ce que j'essaye de dire, c'est que cela ne peut pas vous sauver. Vous voyez ? Il faut le pardon de Dieu, la grâce qui pardonne. Et cela est seulement représenté, non par une église, mais par le Sang de Jésus-Christ. C'est cela votre Substitut, quand vous pouvez poser vos mains sur Lui et dire : «Maintenant, j'accepte ce substitut. Que Dieu soit miséricordieux envers moi.»
Il se peut qu'il y ait peut-être des membres d'églises ici qui se sont joints à l'église en toute et profonde sincérité. Je crois cela de tout mon cour, que vous vous y êtes joint avec sincérité. Mais, dites : «Frère Branham, sincèrement, mon cour n'a pas été purifié de toutes ces traditions et tout. Je - je crois que si quelqu'un disait du mal de l'église même que je. Si même la Bible disait, me le disait, la Bible me révélait que mon église est dans l'erreur, je - je ne pourrais toujours pas accepter cela de tout mon cour, je - je ne le pourrais pas. Mais j'aimerais bien. Priez pour moi.» Voulez-vous lever la main pour dire : «Priez.» Je le ferai. Oui, certainement. Que Dieu vous bénisse. C'est bon. C'est bien.
«Je - j'aimerais pouvoir accepter tout ce que Dieu a dit, juste tel qu'Il l'a dit dans Sa Bible. Et je veux que le Sang de Jésus-Christ vienne sur moi.»

80 Et si le Sang est appliqué, le Signe. Voyez-vous, il y a un Signe du Sang qui est offert, et c'est le Saint-Esprit. Et quand le Saint-Esprit est descendu le jour de la Pentecôte, vous savez ce qu'Il a fait aux gens. Et chaque fois qu'Il viendra sur les gens, Il fera exactement la même chose. Pierre a dit : «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera», cette même promesse.
Si dix cents valent dix cents ici, cela vaut dix cents là dehors. Où que ce soit, cela vaut dix cents. Si ceci est un diamant ici, c'est un diamant là-bas. Si ceci est une maison ici, c'est une maison là-bas. Si ceci est le Saint-Esprit qui est tombé le jour de la Pentecôte, c'est le même Saint-Esprit aujourd'hui. Et vous qui n'avez pas encore fait cette expérience, acceptez cela maintenant pendant que nous prions, je vous en prie

81 Notre Père céleste, sachant que - que le soleil se couche rapidement, qu'il n'y aura plus de temps, un jour le grand Archange apparaîtra sur la scène du temps, venant de l'éternité. Et la trompette de Dieu sonnera et chaque homme et chaque femme répondra de ce que nous savons être la Vérité, la Parole de Dieu. Il faut que Dieu ait une référence ici sur la terre par laquelle nous devons être jugés. Et si nous prenons comme référence notre église, notre dénomination, combien manquerons-nous la chose ? Et quelle dénomination aurait raison ? Alors, nous serions confus. Nous ne saurions que faire.
Mais il existe une Référence, et c'est Ta Parole. Et Ta Parole dit : «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu.» En d'autres termes, il ne peut pas le comprendre. Il doit l'accepter par la foi et naître de nouveau, et alors il comprendra cela. «Voir», c'est comprendre.

82 Et ce soir nous prions, ô Dieu, que la plupart de ces mains qui se sont levées ce soir dans tout le bâtiment, des hommes d'affaires de la ville, des femmes, des garçons, et des filles, je pense qu'ils ont levé la main en toute sincérité. Ainsi, ils n'auraient pas levé la main à moins d'être convaincus. Et le Saint-Esprit leur a montré par cela qu'ils ont tort, et Il les a convaincus qu'ils ont besoin de se mettre en ordre. Et c'est vers Toi, le Grand Créateur, qu'ils ont levé la main, sachant qu'ils doivent Te rencontrer un jour. Et ils étaient sincères, je crois, Seigneur, et j'intercède en faveur de chacun. Seigneur, pendant que je prie ce soir, je crois qu'aucune main qui s'est levée ne pourra avoir du repos avant que le Saint-Esprit ait rempli leur vie. Accorde-le, Seigneur. Je les réclame comme trophées de Jésus-Christ. Accorde-le, Père, je prie.

83 Sauve les perdus, remplis du Saint-Esprit ceux qui ont accepté Christ. Déverse-Le sur leurs âmes, Père. Reçois Toi-même la gloire. Jésus, Tu nous a dit : «Nul ne peut venir à moi, si Mon Père ne l'attire premièrement.» Et la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend de la Parole de Dieu. Et maintenant, la Parole de Dieu étant prêchée, la foi vient de ce qu'on entend. Et ils ont été attirés, car la Bible dit : «Ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés. Et ceux qu'Il a prédestinés, Il les a appelés. Et ceux qu'Il a appelés, Il leur a donné la Vie Eternelle.»
Et maintenant, là au commencement, avant le monde, Tu avais mis leurs noms dans le Livre de Vie de l'Agneau. Et ce soir, le Saint-Esprit a appelé. Et ils ont levé la main. Maintenant, Seigneur, donne-leur la Vie Eternelle. Je le demande pour la Gloire de Dieu, que le Saint-Esprit descende dans leurs coeurs et les circoncise de toutes les oeuvres mortes et des traditions, et qu'Il leur pardonne gratuitement et les remplisse de Sa Présence, afin qu'ils aillent de l'avant dès aujourd'hui, en ce temps de ténèbres, semblable à ce qui était aux jours de Sodome où les femmes au visage maquillé, l'immoralité, avaient ébranlé les nations.
Ô Seigneur Dieu, que les hommes et les femmes aillent de l'avant comme des flammes ardentes. Que le Saint-Esprit envoie littéralement le feu sacré sur eux, Seigneur, jusqu'à ce qu'ils soient si remplis de la bonté de Dieu et - et afin qu'ils aillent appeler tous les pécheurs de venir entrer en contact avec la croix. Accorde-le, Seigneur, qu'eux aussi tombent là et reçoivent le pardon. Fais-le avec le méthodiste, avec le baptiste, avec le presbytérien, avec les pentecôtistes, et avec tous, Seigneur. Accorde-le. Ils T'appartiennent maintenant. Je les confie entre Tes mains, afin que Tu leur accordes cela. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

84 L'aimez-vous ? Je. Ceci peut être un peu inadéquat. Un instant. Chantons ce bon vieux cantique. Je - j'aime chanter. Vous savez le. Des fois en prêchant, on dit des choses qui blessent, mais elles. il y a du baume en Galaad, n'est-ce pas, qui guérit l'âme ? Chantons ce bon vieux cantique, s'il vous plaît. «Je L'aime, je L'aime, parce qu'Il m'aima le premier.» Connaissez-vous ce cantique ? Que quelqu'un l'entonne alors pour moi. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du calvaire.

85 Fredonnons-le. Maintenant, pendant que vous fredonnez «Je L'aime,» combien y a-t-il de baptistes ici ? Levez la main. De presbytériens ? De luthériens ? De nazaréens ? De pèlerins de la sainteté ? De pentecôtistes ? Oh ! la la ! tout le monde. Tous ensemble. Qu'avons-nous donc fait en venant sous la croix, sous cette grâce qui pardonne ? Nous sommes tous pardonnés, non par notre église, mais par le Calvaire. Serrons maintenant la main aux méthodistes, aux baptistes, et aux pentecôtistes pendant que nous chantons une fois de plus. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Maintenant, chantons-le afin que chacun l'entende. Maintenant, inclinons la tête et levons nos deux mains à Dieu. Et de tout notre cour, si nous L'aimons, disons-le donc maintenant. Je L'aime, (Ô Dieu !), je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

E-1 Let us remain standing just a moment for prayer. Let us bow our heads now.
Our heavenly Father, we deem this such a great privilege to stand here among the saved, and can sing this glorious old hymn of the church, "Lord, I Believe." To see the faith of our fathers still living in the hearts of His children down through the ages, and as the song has just told us, we are on our way to Canaan's land. We pray, Father, tonight if there be some here who has not made that decision yet, that's not come to the place that--that they can just only believe the Word, I pray that this will be the night that they'll make that final say and accept Christ as Saviour and be filled with His Spirit.

E-2 We thank Thee for this group that's called the Full Gospel Business Men, and for what it stands for, for righteousness. We're happy to know that in our land is men of--in the business world who takes time to serve You, to tell others, spending their--their money and their time to help others along the way, becoming citizens of the Kingdom of God.
We thank Thee for our minister brothers here tonight, those who are holding the torch-light to show this darkened world there is a road that leads to glory, for every member of the church of the living God, and for those who have come in, Lord, newcomers. We pray now that as we endeavor to open the Word that You will divide It to the people as we have need of. And when the service is closed tonight and we go home, may there be newborn babes added to the Kingdom. Or maybe there's someone here tonight, Lord, who's very sick and needs the touch of the Great Physician. May they receive it tonight. Grant it, Lord. And we'll humbly give Thee the praise. For we ask it in Jesus' Name, thy Son. Amen.

E-3 You can be seated. It's... One of the greatest times of my life is when I get to stand before people to speak about the joy of my life, Jesus Christ, and what He means to me, and then to have the privilege of sharing this joy with someone else who has never had this joy. I was speaking the other day... I'm used to be a boy preacher. This is thirty-three years in the ministry. And I lived upon the reputation of a boy preacher. But now, I've passed that time, and now I'm becoming the old preacher.
But each day He, as the song said, "He grows still sweeter than He was the day before." As I begin to--crossed over the halfway mark and looking towards the setting of the sun, Christ becomes more to me day by day. And when I have these privilege to stand before businessmen and women of the communities, and to speak to them about something that means more to them than--than anything in the world--and that is Eternal Life... I do not think there's anything any greater in the--that I could think of, than Eternal Life.

E-4 When you're young you begin to think about... Well, as a boy you're playing cops, and the little girl is cutting paper dolls. After while it's your education. And then, are you going to marry the girl with brown eyes or blue? And then the house is to be paid for, the children's to be educated, and where are you at?
But I'm so glad that there's something that's real after this is all over. Then you enter in to something that means more than these other things. Which they are--they are essential. Certainly they are, to who's going to be the mother of our--and father of our children, and our homes and so forth, and the education of the children. But even that all perishes. It goes. But Life Eternal, the greatest thing I know of. It satisfied me when I was a young boy. It satisfies me now while I'm a middle-aged man. And I'm sure when the curtains are falling around my life, I'll be happy to go meet the one that I've spent my life for.

E-5 Now, to Brother Tony, the--the president of the chapter here, and I'm happy to be here with him in fellowship tonight with Brother Carl Williams and other chapter executives, or representatives, and with all you visitors with us, we're happy to be here.
One time I was speaking, I believe it was at Little Rock, Arkansas, in the Robinson Memorial Auditorium. And there'd been a man healed had been several years on crutches, setting on the street, selling pencils. And he could... Oh, just twisted, his limbs was paralyzed, and get around. People felt awfully sorry for him.

E-6 One night he come into the meeting. And he got a prayer card, and got into the line and was healed. And the next day he had his crutches on his back, walking up and down the street testifying. And I was trying to speak. And--and after while he raised up, and he said, "Brother Branham," he said, "I'm kind of at wits end." He said, "When I heard you speaking," he said, "I thought you were a Nazarene." That's what he was. And he said, "And then I seen so many Pentecostals around," he said, "somebody said you were Pentecostal. And then I heard you say that you were a Baptist, or was ordained in a Baptist Church." Said, "I get it all mixed up. What are you?"
I said, "Oh, that's easy. I'm a Pentecostal Nazarene Baptist." So that was--together...

E-7 When I come among the Pentecostal people a few years ago, which the Lord sent me over, when He ordained that I should pray for his sick children. And the own denominational church that I was with at that time didn't believe much on praying for the sick or Divine healing. It was foreign to them. They told me I'd become a holy-roller. Well, maybe I have become a holy-roller. I don't know, but I'm awful happy whatever I am. And someone said I'd lost my mind. I said, "Then just leave me alone, because I'm more happier this way than I was the other way." So I--I just feel good this way. And I... It's been joy unspeakable.
But when I come among the Pentecostal people, I--I thought there were only one group of them. And then come to find out, there's just about as many groups cut away in them as there was in the Baptist church that I came from. Then I wouldn't take sides with any groups. I tried to stand between all of them and say, "We are brothers." See? And that's been my attitude ever since: to see the great church of the living God united together in faith and prayer and effort.

E-8 And then when the Full Gospel Business Men set up their organism... Because they are not an organization; they're an organism. And that took in all groups. And it gave me a place, and they took me under their wing. And I'm very grateful for the opportunity to speak for the Christian Business Men, because there I can express my belief among all the groups at the same time. And it's been a great thing to me. And I belong to one organization; that's the Full Gospel Business Men.
And to do that there is now in Africa, where we are planning going right away, down in South Africa, where the Lord gave us... One of the greatest meetings that I suppose He ever did give us was down in South Africa, where we saw thirty thousand blanket natives receive Christ as Saviour in one afternoon service. They registered thirty thousand.
The next morning, while Sidney Smith, the mayor of Durban, called me on the phone, which was at the meeting... We had somewhat around two hundred thousand at the stadium--or the dog--or the racetrack. And he said, "Go to your window and look out the window." And there came seven van loads (and them great English trucks was practically almost across this room) full of crutches, and wheelchairs, and--and things that the people had laid on the day before. And they were walking behind the trucks, singing, with their hands in the air, the song that you sang a few moments ago. "Only believe, all things are possible."

E-9 And I--in my heart I said, "Lord, this will be a memorial day to me." And the few days... the day... I was only to be there three days. And that's where I'm returning back again now. And there three days, and I--I just don't know what all taken place. That come about by just one miracle the Lord did at the platform: give a boy that was walking on his hands and feet like a dog, restored him to his right mind and straightened him up before the people. And the day before, those people had to be fenced off because they were having tribal war. And now, they were at peace, walking with their arms around each other, singing, "Only believe, all things are possible."
I tell you, the grand old Gospel, though in its simplicity, has never lost its power when preached in the simpleness of the resurrection of Christ. And I--it grows dearer to me each day.

E-10 And if you're a businessman here tonight, and you haven't come into any Business Men's fellowship, let me recommend this Full Gospel Business Men. You don't have to belong to any church, or--or ever church that you're in, it's perfectly all right. It has a title "Full Gospel Business Men," but it don't have to be a full Gospel man to do it. Methodists, Baptists, Lutheran, Presbyterians, even Catholic priests, and whoever it is... They're...
You know, I believe Jacob dug a well and the Philistines run him away from it. And I believe he called it, "Malice", or something. And he dug another one and they run him away from that. And he called it "Strife." And he dug the third one; he said, "There's room for us all." So I think that's what this is; there's room for all of us here. And we'd be glad to have you in this Tucson area here to come in and fellowship with us.

E-11 And then don't forget the Phoenix meeting. And now, I know we're not supposed to give advertisement from the platform here, 'cause we've made that a policy. But being this is all connected with the Full Gospel Business Men, I'm to have prayer for the sick and preaching four days prior to the meeting at the Ramada this coming December--January the 19th to the 23rd. Four days... I'll begin on the 19th is that right? I begin on the 19th. And then I have four day's meeting.
And to you Tucson people, next Sunday night I'm praying for the sick over at the Assemblies of God, Grantway, Brother Arnold Mack's church. If there's someone sick and like to come in, I'll be speaking there, the Lord willing, next Sunday night, praying for the sick.

E-12 And now may the blessings of God rest upon you. And if you have your Bible, I would like to get quickly to the Word, because I know many of you work tomorrow. And I will speak to you tonight from a Scripture that I want to read out of the book of Romans, Romans the 8th chapter. And we want to begin at the 28th verse and read down to 32nd verse inclusive: Romans 8:28.
And we know that all things work together for good to them that love God, to them who are... called according to his purpose.
For whom he did foreknow, he also did predestinate to be conformed to the image of his Son, that he might be the firstborn among many brethren.
Moreover whom he did predestinate, them he also called: and whom he called, them he also justified: and to whom he justified, them he also glorified.
What shall we then say to these things? If God be for us, who can be against us?
He that spared not his own Son, but delivered him up for us all, how shall he not with him also freely give us all things?

E-13 May the Lord add His blessings to the reading of His Word. And now, I want to speak on the subject of "Pardon." The Bible said here tonight, that He gave us all things. Well, we certainly could not speak on all things, but we will take one thing that He has give us, and that is pardon. And I think that's a glorious word, to be pardoned. Because we're all guilty of sin. We've all sinned and come short of the glory of God, and God through His Son has pardoned us from this guilt of iniquity and sin.

E-14 And a pardon reminds me of a story I read once of a--in the Revolutionary War, I believe it was, that there was a man, a soldier, foot soldier, that had did something that was... The courts had found him guilty and he was sentenced to be shot. I believe it was neglecting his post of duty in time of battle. And he--he was going to be killed by a firing squad.
And one fellow felt so sorry for this man until he finally made his way to the--the great President Lincoln. Lincoln being a Christian gentleman... They said he was riding up in his carriage when the messenger met him. And he fell upon his knees and said, "Mr. Lincoln, President of the United States, kind sir," he said, "I ask mercy for one, knowing that you are a Christian, and know that you have tenderness in your heart for the weary."
He said, "My friend was at the post of duty where he was stationed, but when the guns was roaring and the cannons firing, he got scared and he left the post of duty. Mr. Lincoln, he didn't mean to do it. He's a good man. And now, in a week from this day he must die by a firing squad. There's no way to save him except you will sign his pardon."

E-15 Mr. Lincoln, with tears in his eyes, pulled a piece of paper from his brief and wrote on there, "I, Abraham Lincoln, pardon this man of such, and shall not die." and signed his name to it.
And the man gave him God's blessings and returned back to the prison and said to his friend, "I have your pardon." And he pulled it out upon a piece of paper and showed him.
And the man said, "Don't mock me. Here I'm fixing to die, and then come with such as that? I do not believe it. I just can't believe. That isn't so. Any man could sign his name Abraham Lincoln."
He said, "But this is the President's signature." Said, "You are pardoned." And he turned his back and walked away. And the man died under the firing squad.
And then here is a--a release from Abraham Lincoln, the President of the United States, to release this man, and yet they shot him. So it was tried in the Federal Courts, and here was the decision. A pardon is not a pardon unless it be accepted as a pardon.

E-16 So this tonight that I read that God gives us all things, and He gives us pardon, it's pardon to those who want to accept God's Word as pardon. But it only... Just to read it, it doesn't mean that you are pardoned. It means that you've got to accept it as your pardon, that God gave His Son to die in your stead, and then it's a pardon.
Released from guilt is what we wish to place on this. A pardon from God is a release from guilt. Not the turning away by a psychological doctrine of some sort that might in some way give you a little feeling that you have done what's right by joining church, or taking up some creed, but it's a release from your guilt by the power of Calvary. Something has released you. There's no more guilt. The Bible says, I believe in Romans 5:1, "There is therefore now no condemnation to them that are in Christ Jesus, that walk not after the flesh, but after the Spirit."

E-17 Now, a man, when he is released from sin, a man or a woman, there's no more desire in their heart to walk after the things of the world. He is freely pardoned and becomes a new creature in Christ Jesus. And his affections are set on the things that are above, where Christ sets at the right hand of God. He's freely released. He doesn't have to have some priest to tell him or some minister to tell him. He knows in himself that he is pardoned, because he's accepted it upon the grounds that God sent it to him through Jesus Christ. What a feeling it is to be free from sin.

E-18 I was told when the Emancipation of the Proclamation was signed for the slaves in the south, many years ago, that the set time that they were free was at sunup on a certain morning. And they all got out from the old plantation. And many of the young men climbed way to the top of the mountain, because they could see the sun come up first, and then the older men, a little beneath that, and then the women and children at the bottom. And they were waiting a long time before daylight, 'cause slave belts, hard trials had marked their life with sorrow, and they longed for that day that when they knowed that they were pardoned.
And the Emancipation Proclamation said at this certain day at sunup they are free. And they were longing to see that hour when the sun come up, so anxious till they climbed the mountains. Oh, if sinners tonight could only be that anxious to know that you're pardoned. You're pardoned the minute that you accept Jesus Christ as your Saviour. Then you are pardoned.
They said that the young men waited. And as soon as the sun began to shine in the east they screamed down to the older, "We are free," and the older down to the women and children, "We are free; we are free," because the sun was up.

E-19 Oh, when man had sold out to sin, and when the Son of God came up out of the grave that morning for our justification, I think it ought to be a scream across the nation, "We are free from sin and shame, freely pardoned by the bonds of Calvary." No greater thing could be given to the human race.
When man sinned in the garden of Eden he crossed a great chasm separating himself from the eternal One. Man at that time was eternal with God. He had no sickness, sorrow, or death. Man was not made to die. Hell was not made for man; hell was created for the devil and his angels, and not for mankind, because they were created on earth to be sons and daughters of God. But when man sinned and stepped across the boundary line between right and wrong he separated himself from God, leaving himself no way back. He was totally lost. He could not come back because he had sinned.
But God, rich in mercy, accepted a substitute. Because He had said, "The day you eat thereof, that day you die," and God's justice and His holiness requires death, because it's His Word. And He must keep His Word in order to be God.

E-20 And now... The love that He had for the human race, and yet had to see them separated from Him, and the fellowship that He had with His children in the garden of Eden, and that heartbroken condition that He's had to be in all that time, because His Word said, "The day you eat thereof, that day you die."... Then we can rely upon this: whatever God says is true. It must come to pass. God cannot take His Word back (See?), because He's infinite, and He's eternal. And His first decision is all-time decision. He doesn't have to--to take it back because He learned more about it. He's infinite to begin with. And therefore, when God says anything, it's perfectly that way. It can never be changed because it's the perfect decision.
And then the way God acts upon the--the subjects that accepts His decision, it'll forever act upon every subject that accepts His decision that way. Therefore, if He made a way for a man to be saved, the first way He made has ever remained the same way. If God promised healing to the sick upon faith to believe it, it ever remains that way. He cannot take it back. See? He must ever remain the same way.

E-21 Now, God accepted a substitute for the man in the garden of Eden, and that was the way of a blood sacrifice. Blood had to pay the price. And it's forever been the same. There has never been any other way or anything else that ever took its place. It was blood. The only way that God receives His children back is by this blood substitute. No other price can be paid. Nothing else will do. God's first decision is always perfect. And it's eternal. And we know that that's true, because God can't lie, and He cannot take His Word back. Since that time it's been God's only way and only place of fellowship with man.

E-22 Now, the subject was... Now, the word "death" means "separation." When we die this way it does not mean... Our physical death does not mean that we are dead. Jesus said, "He that believeth on Me, though he were dead, yet shall he live: whosoever liveth and believeth on Me shall never die." Now, that death speaking of there is separation from the Presence of God. But the physical death that we have to go through here, yet it is not death. We're still in the Presence of God. We move from this place to a closer place with Him, in His Presence. It isn't the death that we call death what we call it here.
You remember, He said to the girl that was died, Jairus's daughter, "She is not dead, but sleepeth." And they laughed Him to scorn. He... Knowing that she was dead, that's their term, she was dead. But Jesus said, "She sleepeth." And He went and wakened her, and she came back to life.

E-23 Now, from Adam until now, man has tried to make his own substitute. He's tried his best to do something a little better than what God did it then. And that's just natural in man. Man is always trying to--to better something, to make it a different way. He wants to inject his own ideas into the plan of God. And that's why we stand tonight separated, the Christian people of the world, by barriers, by denominational barriers. We... It does this because that man has injected his own idea into God's plan. From Adam until now, as I've said, it's been that way.
Adam expressed man's thinking in the garden of Eden when he made hisself a fig leaf apron to face God. It's something that he did himself. And from fig leaves he's tried education, powers, cities, idols, civilization, denomination. But it ever remains the same. God only accepts His subjects under the Blood. And that's all.

E-24 Education has totally failed. More educated we get the farther we get from each other. Denomination has totally failed. We draw lines and barriers, and each one trying to get that denomination higher than the other, and it breaks fellowship. Civilization has merely brought about confusion. Cities, towers, and whatevermore, has all failed. And God's plan still remains the same: under the Blood.
This Blood must be a displayed blood. In the garden... Back in the time, rather, of Israel, when Israel had to kill the lamb and to place the blood upon the lintel and on the doorpost, God required that. And that token must be there, no matter what other position them men might've showed that they were circumcised Israelites. They might've confessed that "We believe every word that Jehovah says." But that didn't expel it. They had to display that token. The blood must be shown. And that's the way it is tonight. I believe that every Christian has to display the Blood of Jesus Christ that's cleansed them from the things of the world, regardless.

E-25 Now, in that time, the token must be on the door. It must be there, regardless of how religious the house was, how religious the people, how well they had brought up their children, how fine they attended church, how well they'd displayed all the things that God had said. It still, at that last hour where it showed between death and life, the blood had to be displayed. And the blood showed that a innocent substitute had been taken in the place of the worshipper. And the chemistry of the blood, the red blood itself, was a sign on the door that this house was safe under the blood.

E-26 Now, that was a type. Now, in these last days we're coming back again to the hour of God delivering His church. I--I believe it. And as certain as that blood had to stand for a memorial, so does the token have to be--is required today. For... Now, they could not take the chemistry of the Blood of the Lord Jesus and place it upon every heart's door. But you see, that time an animal died, which was a lamb. And to show that the animal was dead, the blood was on the door. So the life that was in the animal could not come upon the worshipper, because the animal doesn't have a soul. So the life that was in the animal could not come upon the worshipper.

E-27 But today when the Blood of God's own Son was shed at Calvary for our pardoning, and released... The life that was in that Blood was God Himself. And the Holy Spirit returns upon His church, upon His believer, and it's a token in these last days. And He'll pass over the man or the woman that's accepted the death of Jesus Christ as their substitute, and the Holy Spirit bears record.
You might say, "I've accepted it." And you still live in the world, you still live like the world. Then there's no evidence that that life was for you, until that evidence of the Holy Spirit has struck into your life. There's God's requirement, that every man or woman must have that evidence as a token in this last days. "When I see the Blood..."
Jesus said, "Verily, verily, I say unto you, except a man be born again of the water and of the Spirit, he will in no wise enter into the Kingdom." Therefore it's been God's program all the time: Blood.

E-28 It was blood in the Old Testament. It was Blood in the New Testament. In the Old Testament was the chemistry, which was the type of the life that is to come. It showed that there was a substitute taken. But the worshipper went out with the same guilty conscience that he had when he come in and offered his lamb. But this way, when the worshipper, once purged from sin, has no more conscience of it, the thing is dead, passed away, and you've changed from death unto Life. And you're alive again in Christ Jesus with Eternal Life, the Holy Spirit resting within you bringing forth the Life of Jesus Christ again. For the Bible said, Hebrews 13:8, "He's the same yesterday, today, and forever."
God is waiting the hour to see His church come to that position, regardless of denomination, regardless of creed, color, whatever it may be, that His entire church would come to the place that they're displaying the token of the death of Jesus Christ. "For a little while," He said, "and the world sees Me no more; yet ye shall see Me: because I live, you live also. I'll be with you, even in you to the end of the world," Jesus Christ the same yesterday, today, and forever.

E-29 I get among Christians sometimes who claim to be sainted men and women of God. They're ashamed of a testimony. They're ashamed to say, "Amen." They're ashamed to sing the songs of Zion. They're ashamed everywhere. I like to get among people who's not ashamed of the Gospel of Jesus Christ. Though it seems like heresy, but yet they're not ashamed. Something has happened, and it means more than life to them. It is life. It's Life Eternal because they have accepted God's substitute.

E-30 I like this kind of singing. When I was back there praying for some of the people a few moments ago that had been brought in... And this not being a prayer service, just to speak, I was in there and I could hear the songs, the clapping of their hands. And we wondered... Some of them, even I seen them run up and down the floor, what they call dancing in the Spirit.
At first time I was a critic of that, when I seen the Pentecostal people dancing in the Spirit. And I thought, "What is this? It must be a bunch of nonsense." Then I got to reading the Bible. And I found out that when dancing in the Spirit... The devil copied it and put them out here with rock-and-roll and stuff, but the real genuine dance come from God. That's exactly. And it--always a dance was victory.

E-31 When David slew Goliath, and this little ruddy-looking boy come dragging the head of this giant into the city, the people met him dancing. They had the victory. When Moses crossed the Red Sea by the power of God and took the children of Israel on the other side, Miriam picked up a tambourine, and all the daughters of Israel, and up and down the bank they went, beating the tambourine and dancing in the Spirit. If that isn't an old fashion Pentecostal meeting, I never seen one in my life. The trouble was with me, I didn't have enough victory. But when you finally get that victory, and the token of the Blood of Jesus Christ comes upon you...

E-32 I remember David, the great psalmist of the Bible. When he had done something that--this great thing, he was given Saul's daughter. And she was kind of a self-starched, self-styled, so-called believer. And the ark had been away from God for a long time, the visible Presence of God, the Pillar of Fire hanging over this ark. The Philistines had come in and took it out under Saul's reign. And one day when David seen the ark coming back to the house of God, David run out before the ark and he danced before the Lord, singing the praises of God. And Saul's daughter seemed to be very much embarrassed at that man's action. Her husband, her young, handsome husband had cutup and misbehave himself in her presence, the king's daughter. And David said, "If... so much... If you don't like that watch this a little while." And around, and around, and around the ark he went again, dancing in the Spirit. And she was embarrassed. And God cursed that woman with a curse.
Oh, the victory through the Blood of Jesus Christ, the token of the resurrection of Christ, His life lives within His church. There's no other way of fellowship under--but under that Blood. Our denominations will separate us, and one say, "That's nonsense." And one say this, that, or the other.

E-33 Pentecost was our pattern. No one will have to say but what--or can say but what that the church was inaugurated on the day of Pentecost. And the same Spirit that come upon them on that day... Every time without fail, in the Bible, when the Holy Ghost came upon the people they acted the same way.
Let me say this, that in the heathen lands where I've had the place--the privilege, of traveling, and seeing blanket natives of the islands, and in the Hottentots, and see them stand there where you'd have to speak through an interpreter... Never heard the Name of Jesus Christ in their life. But tell them the story and ask them to raise up their hands and receive God, they do the same thing you do right here when you receive the Holy Ghost. Shows that it's a universal thing. It's the power of Almighty God, the display of His token upon His children, whether they're red, black, white, or whatever they might be. It's the only place that fellowship is given.

E-34 Nimrod built a tower, and Nebuchadnezzar a city, and so forth. They go on down through scientists and everything, but ever still remains that it was the Blood that... God made His decision that it would be a innocent substitute would have to take the guilty man's place for pardon, and it remains the same thing tonight. He never has changed it.
Job lived by it--Job the oldest book in the Bible. And though everything happened to that man yet he stood firm, because he knowed he had met Jehovah's requirements. He knowed it was right: Abraham, the same way, many of them. Israel met only... There was only one place that Israel could have fellowship. That was under the shed blood. Men ought everywhere to worship in Jerusalem. Until there was a sacrifice there was no worship, and the sacrifice was blood.

E-35 Today, today, yet as fully educated as the--the nation seems to be, and as highly cultured as they seem to be, and all of our scientific research to split an atom, and whatever takes place, to shoot a rocket to the moon, or send up a--a satellite, or whatever it might be--all of our scientific research, all of our denominations, all of our education, all of our schools, has only got us further from God than they was at the beginning.
What it takes is a surrendered heart to the power of Almighty God by His will, and the Holy Spirit will come as a token upon that person. "These signs shall follow them that believe." It ever remains the same. Christ said so. "Go ye into all the world, preach the Gospel to every creature. He that believeth and is baptized shall be saved; he that believeth not shall be damned. And these signs shall follow them that believe." It's the manifestation of the Holy Spirit that God has accepted the worshipper, for the Spirit and Life that was in Christ comes upon the worshipper.

E-36 Could you imagine a Jew in the old days under the shed blood? Here he comes down the road. It--it's the day of the atonement. He's going to make a sacrifice. He has a fine fat bullock. That's Jehovah's requirement. Or maybe we'd say he has a--a lamb, a fine fat lamb. It's going to be looked over by the priest to see if there's a blemish upon it. And then he goes to the place of worship. He realizes he's a sinner. He's did that which was wrong.
Now, he lays his hands upon this sacrifice. By laying his hands upon the sacrifice he identifies himself with his sacrifice. And then when it's throat is cut, or its life is taken, his hands laid upon him, and his life is taken, and he feels the pain as that animal is dying, and the blood squirting out upon his hands, he realizes that that animal is taking his place. And there he goes back justified, because he's done exactly what Jehovah required him to do.

E-37 And that's the same thing it is with Christians today. It isn't signing a card that you'll come to Sunday school so many days, or so many Sundays in a year. It isn't taking a pledge that you won't drink no more for six months. It isn't that. It's laying your hands upon God's provided Sacrifice, His pardon, the head of Jesus Christ, and feeling the tears of the flesh at Calvary, and then identifying yourself with Him in baptism, that as He died and rose again, so are you buried in His Name to rise to newness of life, to walk as a new creature in Christ. When you do that with sincerity...

E-38 Done this, Jehovah's bidding... And so he feels justified. Now, the Jew could be justified because he had did what Jehovah bid him to do. Finally. That was right. Jehovah did that, and that was what He required. But finally that became a family tradition. It come atonement day and maybe the Jews had been doing what was wrong. He'd say, "Well, I believe it's atonement day. I'd better take my lamb down." See, it become a family tradition. They didn't go with it with sincerity. They just did it because the families had done it. "That's just the--the thing we should do. All the families do it, so we should do it too."
And that's just exactly where our Christianity's got. That's just exactly where our Pentecostal movements are coming to. It's a family tradition. See, we don't--we don't identify ourselves with our Sacrifice, that we are dead with our Sacrifice. We are... We say, "Oh, we're Christians because I went and joined the church."
Joining the church is fine. But until you are identified, till you lay your hands upon Him, and you and He become One, until the Spirit of Christ becomes in you and you in Christ, until you become a son and daughter of God... There don't seem to be the sincerity that they--they ought to have. It becomes a ritual. Just the same as it is now, it's a ritual for people to become a Christian.

E-39 Here some time ago I asked a young lady in the prayer line, "Are you a Christian?"
She said, "Well, I'm an American; I'll give you to understand."
Now, like that had anything to do with it. An American, it's great to be an American, but that don't mean you're a Christian. You've got to be born again.
Another woman I asked, "Are you a Christian?"
Why, she was so put out, she said, "I give you the understanding I burn a candle every night."
Like that had anything to do with it. You've got to be identified with Christ and His life living in you. That's when you're identified with Christ, is when Christ lives in you. It isn't a ritual. It isn't belonging to church. That's all good. But you see, the real sincerity...
When we come to the healing services, if you'll notice on the discernment in the line, it's constantly "tell people to repent." See? They're... You go to...

E-40 Our prayers has become a tradition. We kneel down at night and say, "Lord, bless So-and-so, and bless So-and-so, and do this, and help John, do all this." You make God a mascot, or you make Him some kind of an errand boy. "God, You do this, and You do this, and You do this..." That's not the way Jesus told us to pray. He said to pray like this, "Our Father Who art in heaven, hallowed by thy Name. Thy Kingdom come. Thine will be done in earth, as it is in heaven." But we try to order God what to do for us.
And that's the reason the church is cooling off. That's why the great revival that's just struck the land has put millions into the church. It's--it... They have got to a place that they're using these experiences, and so forth, as a tradition instead of being godly sorrowful, and letting the Holy Spirit do the work of His office within you, and creating in you a new life, and making you so hungry to go to church that you can't stay away from church. Then that's what it is. Not to sign tickets and join and have--so forth. It's to be have the life of Christ in you, that He just longs to go. There's something within you pushing you.

E-41 As I was saying to a young man yesterday in a talk, a little interview, I said I used to pass by a little spring when I was a game warden in Indiana. And there was... It was always the happiest spring I ever seen in my life. Great springs in Indiana, they bubble up with that fine cold water, of limestone water. And one day I set down by the spring to talk to it, just like I guess that Moses would've set to the burning bush, to speak with it. And I said, "Little spring, what makes you so happy that you're bubbling all the time? If I come here in the wintertime, you're bubbling. If I come spring, autumn, summer, whenever it is, you're bubbling. Is it because that maybe, perhaps, you're so happy that the rabbits come and drink out of you?"
Well, now, if he could talk, he'd say, "No, that's--that's not it."
I'd say, "Well, maybe because deers come by and drink out of you."
He'd say, "No, that's not it."
I'd say, "Now, well, maybe it's because I come by once in a while and drink from you."
"No, that's not it. I'm glad that they all come and drink, but that's not the reason that I'm bubbling all the time."
"Well, what makes you bubble like that? What makes you so happy? always gushing up?"
If he could talk he'd say, "It's not me. It's something behind me pushing me."

E-42 That's the way it is with a Christian experience. It isn't something that you're trying to work up. It's something behind working in you. It's Eternal Life that's moving up, gushing up, like a... As He told the woman at the well, "It'll be wells of water springing up into Eternal Life." It's something within the worshipper when He's been identified with Christ because he knows that He is alive. But we don't want it to become a tradition.
When Israel got to a place that they made the commandments of God, with their sacrifices, a tradition, it was then that the mighty prophet Isaiah was sent by God to them with THUS SAITH THE LORD. Somewhere, somehow, God always can put his hand on a man that's not afraid to strip down the thing. That's it. Somewhere, some place...

E-43 Isaiah rose up, if you'll read Isaiah 1. I got it written here. Isaiah told them, said, "Your sacrifices (that Jehovah required), has become a stink in my nose. I despise them and the fats of rams, and--and of heifers" and so forth. God despised them. The very thing that He commanded them to do because they made it a ritual, then God despised it because they made it a ritual.
And we can make the Word of God the same thing (That's right.) when we come to it as a tradition, as a ritual. We must come to it knowing it's a "THUS SAITH THE LORD." If God's promised it, God will stand by His promise. He's bigger than His promise. He's always been. "He's able," as Abraham said, "to perform that which He had promised to do." He's always able to do that, to keep His Word.

E-44 Now. Isaiah told them, said all these things that they had been doing, they'd done it without sincerity. They had done it just because the rest of them was doing it. They had become--doing it also because it was a requirement of Jehovah. And all the family did it, and the mothers did it, and the grandfathers did it. Why couldn't they do it?
Now, we do the same thing. "My grandfather was a Presbyterian, so I'm a Presbyterian."
"My daddy was a Baptist, so I'm a Baptist," and so forth.
"And My daddy was a Pentecostal, so I'm a Pentecostal." That isn't it.

E-45 We come to the spot to where we realize that we have separated. We are separated from God. And we come upon the basis of the shed Blood of Jesus Christ. Under that Blood, there's where the Methodist, Baptist, Lutheran, Presbyterian, Pentecostals, can all meet on common grounds, regardless of tradition they--or ritual. They can meet there under one common thing, and that's upon the Blood of Jesus Christ.
Until the church gets back to a place, and away from its rituals and back to God's original plan, that men are born into the Kingdom of God and not joined into the church... Then's the time that fellowship will reign everywhere, and the Spirit of the Lord will cover the earth like the waters covers the sea, when it comes to a place that men can forget their differences and come together in fellowship under the Blood.

E-46 We cannot all come under the Baptist tradition, or the Presbyterian tradition, under the Methodist tradition, under the Pentecostal tradition. But we all can meet and fellowship under the Blood of Jesus Christ, because it's God's original plan. That's right. Amen. There's the pardoning.
A Methodist can look at a Baptist and hold his head sideways, and a Baptist will look at a Pentecostal, a Pentecostal back at the Baptist, on their traditions. But when they meet under the cross where the Blood of Jesus Christ cleanses all men from sin, he's a new creature in Christ Jesus. He's a brother. No matter what brand he's branded with, he's a brother. Because that's one ground that we can all meet on. It's God's way of doing it. These other things are manmade creeds injected into this. But God's original plan for pardoning is under the Blood of Jesus Christ. That's God's plan of doing it, yes.

E-47 Tra--traditions in them days--the great prophet cried out, and he said, "Your traditions are powerless. They stink before me. Have no faith in them." The people is offering these offerings without even having faith in what they're doing. Now, let's just ask ourself the question. Isn't that something like today? As bad as we hate to say it, we've got to face facts somewhere. There's something wrong somewhere.
Why, this church ought to be a million miles up the road to where it is now. Jesus is waiting on His church to get ready. His Bride has made herself ready. We got the potentials. The Holy Spirit is here. God is here. The power to heal the sick, the power to do all the things that Christ did, I've seen it demonstrated myself by the Holy Spirit. So the potentials are here.
What God's waiting for us to get away from is our traditions, and come back under the Blood of His Son Jesus Christ, and become the church of the living God, where Methodist, Baptist, Lutheran, Presbyterian, whatevermore. "Whosoever will, may come and take of the waters of life freely." I believe that with all that's in me. We... God has sent down the Holy Spirit to do that. But we with our rituals, without sincerity... We... Going is because it's a tradition, and because it's a ritual. We go without sincerity, without really sorrowfulness of sin.

E-48 I noticed the other night in that great famous meeting of one of our great renowned brothers in California... And I noticed at that meeting, as those people come down, young teenage children... I admired the brother for his great stand. Anybody would. If you're positioned to see what place he's taken in the last days, you will too. And as I noticed those people coming down to the altar to make a decision, girls chewing chewing gum, boys punching one another, people laughing, that isn't the way to come godly sorrowful. You must come under conviction. God, send us an old fashion Pentecostal Holy Ghost revival that'll bring sin to the root and bring conviction to men and women.
Not to say, "I'll go back to the church and I'll renew my fellowship. I'll sign a card." That's all right. But you can join the Masons, Odd Fellows, and anything, and get the same result. But when you come under God's pardoning atonement of the Blood of Jesus Christ, there's got to be a sincerity set in there. God requires sincerity.
If it cost Him such a price to give His only begotten Son, how are we going to get by under a little laughing affair, and come join church, and make a decision card, and take it into the church, and whatever it might be. That's not God's requirement. "He that goeth forth sowing in tears will doubtless return again rejoicing, bringing with him precious sheaves." We need a sheave-bringing people.

E-49 I heard the great evangelist say one time, when I was attending one of his breakfasts... Picked up the Bible, and... I'd always admired him. He said, "Here is the standard. That's what God requires." He said, "I'll go into a city, I'll have a revival." Said, "I'll have twenty or thirty thousand to make the decision. I come back in about four or five years--or maybe two years," and said, "I can't find fifteen or twenty." Said, "St. Paul went into a city and he made one convert. He come back in another year, he had thirty or forty from that one." Then he said, "It's the lazy preachers that set with their feet up on the desk and don't go out to see the people."

E-50 I admire his courage for bawling out his brethren, and things, upon his conviction, but I'd like to ask him this question, "What preacher told that one back there under Paul, when there was no churches for him to go to?"
What was it? Paul taken him from a tradition, or signing a card, into the baptism of the Holy Ghost, when his soul was on fire for God. He had to testify and say things. His whole soul was a-burning with a flame of fire that God had put in there. What we need tonight is a sign that a man or woman is saved; watch them go after other souls as quick as they can.

E-51 He said one time that a bartender... A little boy come in and said, "Mr. Bartender?"
He said, "Yes, sonny."
He said, "Your sign is down."
He said, "Well, thank you, sonny." So he walked outside, and the little boy stood with his hands behind him, and the bartender looked up. And there was a great barroom on a big brass plate advertised. And he took his apron and polished it. He said, "Sonny, you're mistaken. My sign's up."
He said, "No, sir," said, "it isn't." Said, "I mean your--your best sign."
He said, "That's the best sign I got."
He said, "Oh, no. Look, laying there." And there laid a drunk in the gutter. That was the best sign he had (Yes, sir), when he seen a man under the influence of what he was selling on the inside.
And when we see a man under the influence of the Holy Spirit, until his life's burning with old fashion Pentecostal fire, that's the best sign God ever had that that man is saved. Why, yes, sir. That's the best sign.
Now, how will that come about? Not by joining church--but by accepting His pardon through Jesus Christ, your innocent Substitute.

E-52 No sincerity, no real sorrow for sin. He said He'd hide His face from their rituals. Their prayers were powerless. They prayed. Oh, sure. They went up there and said their prayers. They offered their sacrifice. It become a form.
Do you know in II Timothy the 3rd verse, or the 3rd chapter of II Timothy, we're told the same thing, that we'd get in the last days? The Bible said, "Here in the last days, know this, that the time would come when men would be heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God; truce-breakers, false accusers, incontinent, and despisers of those that are good, having a form of godliness, but denying the power thereof: from such turn away. For this is the sort that go from house to house, and leads silly women, led away with divers lusts, and never--ever learning, and never able to come to the knowledge of the truth."

E-53 Now, if the Bible predicts that the hour would come when the church would get in the same tradition they was there by their rituals... Here it is again, a traditional religion, powerless. "Oh," they said, "them were communists." No, they wasn't. "Having a form of godliness..." They go to church; they join church; they try to make a long showing that they are--go to church and things--and go out and live different. There's no fire in their soul. There's nothing; they're not interested in anybody else. "Everybody else can die and go if they want to. We feel that we're saved. Let the rest of them go."
That isn't real Christianity. Christianity is go after the lost. Go get that brother. Go do something about it. And we stand and fold our hands, even if we claim that we are saved, and see men and women dying on every hand. And the streets full of women going to churches with shorts and--and painted faces, and--and walking up and down the streets with cigarettes in their hands, and--and paint all over their face--it looks like foxes or wolves or something--and men walking up and down the street, joining churches and things like that. And call that Christianity and hold your peace?

E-54 What would St. Paul do if he walked in Tucson? Now, I say they'd have him in jail 'fore morning. That's right! Why? His soul would burn for God till he couldn't keep from doing it. Sure. But we join church. You see, our traditions has become a stink in the face of God.
What we need today is a prophet arise on the scene with "THUS SAITH THE LORD" and strip those things to the bottom and say that they've become a stink. Our denominations has growed, and our churches are big, and they're finer than they ever was. We'd be a lot better off with a tin pan, standing on the alley again with a guitar--out there beating the drum, or something or other, with the real Pentecostal fire burning in our souls, than to set in the great pews that we're setting in today dying, and the world dying under our feet.

E-55 Yes, sir, God has a pardon and that pardon's only through Jesus Christ. Education, tradition, denominational, scientific, nothing will ever take its place. It's under that Blood. It's under the tradition--not the tradition, but under the Blood of Jesus Christ, God's provided way for sinners, the only way that we can ever meet. Now, I tell you, you take a Methodist, take a Baptist, and a Presbyterian, and a Lutheran, and a Pentecostal, and let each one come under that Blood. They're brothers. There's no fussing about them then. No, sir, they are brothers. They see everything alike.
But you let a Methodist get to fussing with a Baptist on the order of baptism. Let a Oneness fuss with a Trinity, a Trinity with a Oneness, and whatevermore. Watch the fuss and hair raise. But let them both come under the cross and watch what takes place. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-56 And shall be till I die.
Then in a nobler, sweeter song,
I'll sing this power to save;
When this poor lisping, stammering tongue
Lies silent in the grave...
I give testimony tonight that the Blood of Jesus Christ makes a Methodist, Baptist, Lutheran, Presbyterian, whatever he is, my brother. Yes, sir. There's something in fellow, because his spirit is--is a brother. He isn't a fusser and--and something or another; he's a brother in Christ. He believes every word that's in that Bible.
How can the Holy Spirit, Who wrote the Bible, deny it? How can the Holy Spirit living in a man, say, "No, that was for the disciples." That...
Jesus said, "Whosoever will."
Peter said, "The promise is unto you, and to your children, them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." The Holy Ghost was for whoever God called.
And here He said, "Those who He predestinated He foreknew." He ordained and they accepted. "And no man can come to Me," said Jesus, "except the Father draws him, and all that the Father has given Me will come to Me."

E-57 Do we come in a worked-up emotion? Do we come to join the church? Do we come because we don't want to go to hell? Or do we come because we love God, that gave His only begotten Son that whosoever believeth in Him shall have Everlasting Life? Do we come because it's a love sacrifice that God give to us that we might display it?
God hates a powerless religion. Their religion has no power. So what must He do to this day? He hates a... Every time in the Bible that God ever... outside... this side the Bible, every time there ever come a reformation, or a revival, it was backed with great signs and powers. When Luther came forth, when Wesley came forth, when all the reformers, Sankey, Finney, Knox, Calvin, whoever, where they come there was power demonstrated. Where God is He's supernatural. Where God displays Himself there's got to be supernatural.

E-58 Look at the Pharisees in that day who came to Jesus. And they talk about meekness and sweetness. Who was any sweeter than the old priest? Who was any greater than their priest? He comes to you when you're born. If there's a fuss in the neighborhood he comes and settles it. And he's always a peacemaker. He's a loving man. You know he is. When you're in trouble you can go to him, he helps you. What about a nice man?
Then speaking of this Jesus of Nazareth... This priest, we know who his father was. His father's father, his father's father. We got a school here that identifies him. Who is this Jesus of Nazareth? What school did he come from? What organization does He belong to? What does he do but always fussing?
What does He say about that gentle old priest of yours? "He's of the devil," Jesus said. "You are--you're the... The devil is your father and his works you'll do." Could you imagine? He went up in the temple, looked upon the people with anger, kicked over the sacrifices that Jehovah required, and screamed out, "It's written, My Father's house is made a house of prayer; and you've made it a den of thieves."
What would He do today if He come to our modern churches? There'd be some more table moving. There'd be some more pew jumping. Why, He'd tear it to pieces. Right. It would be the same thing. Don't you see, Jesus is very Scriptural. He was the Word. He had not to write anything. He was the Word. He was the living Word. And the people failed to recognize it.

E-59 And how can a man today, upon the principles of what... Jesus promised these signs to all the world, and this blessing to all the world, and the Holy Ghost to fall just like it did in the beginning on whosoever God would call. How can a man call himself a Christian, and deny that Word, and say the Holy Spirit's in him? The Holy Spirit will punctuate every Word of God with an "Amen." That's exactly right.
Oh, brother, our educational systems has drawed us away from it. And our--our denominations has separated us from one another and from Christ. But what... They'll continue to do that. When you take a substitute, any other thing, is no more than fig leaves again. God rejects it. But when the church comes under the Blood of Jesus Christ with the token of the Holy Spirit upon them, then you're going to see brotherhood again. You're going to see a church full of power. You're going to see...

E-60 God hates a powerless religion. It's got to be power. Certainly. It's a power to save a man from sin. It's a power that can do signs and wonders and miracles as Jesus Christ promised. They zeroed in on the Word of God back there and believed it, and it hit the target. You zero the same way on the Word of God, and it'll hit the target again. It's got to, because He's the same yesterday, today, and forever. God don't like a powerless religion. God does not want that. God wants to perform. God wants to show Hisself alive. Our very hopes is the resurrection. Is that right? Our hopes of life is resurrection, the resurrection of Jesus Christ.

E-61 You see, God wants to work in His church. Jesus said, "I'll be with you always, even to the end of the world. The works that I do shall you do also." St. John 12:14, "The works that I do shall you do also; even more than this shall you do; for I go to My Father." Now, the church tries to deny that, to get a way to get more members, to be more popular.
Now, I want to ask you something. The... God is trying to perform in His church, and the church is trying to perform by the creed. And the two can't work together. You've got to get rid of the creed and get Christ in. And how can you do it? When He sees the Blood, when the Blood has been applied with a sincere heart and a hand laid upon Jesus Christ, and a heart that's true before God to confess he's wrong and be born of the Holy Spirit, then the works of God would follow, as He said it would do. Yeah, the church wants to perform through their creeds to see how many members they can get. God wants to perform through the power of the Blood to get Christians borned again. That's exactly the difference of it.
To do this you must reject... To do this they--you've got to reject the Holy Spirit and His performing power to accept a creed. You have to see the truth before you can accept an error. If you're going to be a Christian you can't... You have to walk over God's promise in order to get in error. Because there's a red light flashing before you all the time, "This is the Word."

E-62 You say, "Well that was for some other day." It's for today, because Christ is the Word. Is that right? St. John I, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelled among us." And the Bible said, "He's the same yesterday, today, and forever." So if Christ is the Word, every promise is true, and it's the same yesterday, today, and forever. It has to be. It takes a borned again faith to believe it and make it operate. Just... you can't do it with tradition. It won't work. You've got to come to that Blood just as sure as anything.

E-63 After Israel told... After Isaiah told Israel that they had polluted their substitute by their traditions, there appeared another prophet. (Before we close.) Another great prophet come on the scene, and that was John the Baptizer. Now. He pointed them to a Lamb that would take--would do, not only for Israel, but all of Adam's fallen race. He said there was... God was going to send a Lamb. And this Lamb would be for Gentile, Jew, and whosoever would come.
It wasn't very long until the Lamb was nailed to His altar cross. His Blood was shed. The Holy Spirit came back. Now, when the old animal lamb died, the spirit of the animal could not come back. So that blood was just applied to a nation. But now, for all of Adam's race the Lamb of God that was shed, His Blood, the token came back in the form of the Holy Spirit to come upon the worshipper. Now, that's what God requires. That's what they did at that day. And that's what they do today.
Now, if any person feels the weight of sin and you know that you're wrong... Listen, there is pardon. And that pardon is through God's Lamb. Do you believe that? It's through the Lamb, through the Blood of the Lamb.

E-64 I was told a little story once. It helped me a lot. There was a boy that was kidnaped in the early days. I suppose all of you has taken Bible history and taken the history of the church. And in I believe it was the Foxe... No, it wasn't. It was the Nicaea fathers, or, the life of St. Patrick. St. Patrick was... Actually that was just a name was given him. His name was Suscat. And he was--he was kidnaped by a bunch of--of sea-rovers and was hired out to be a hog-raiser.
And this story goes that this kid was kidnaped and taken aboard of a ship, and he was working his way. And the old captain taken sick one day and was--was just about ready to die. And he was so sick, way out on sea, and the old fellow with his gray beard laying in his cabin. And he called his hands, his deck men, said, "Is there a Bible among you?" Said, "When I was a child I had Christian raising," and said, "I'm dying. And, men, I don't want to die like this." He said, "Have you got the Word of God? Any man here's got the Word of God?"

E-65 Finally way back in the bunch of men, a little boy stood up and he said, "Sir, I have a Bible. I am a Christian. I pack it with me."
He said, "Come here, sonny." He said, "Do you mean you pack a Bible?"
He said, "Yes." Said, "My mother and father was Christians, and I gave my life to Christ when I was just a teeny little fellow, and I've packed His Word with me wherever I go." Said, "I put it upon my heart and it's been in my heart."
He said, "Read me something out of there, son, before I die."
And the little fellow turned over to Isaiah 53 and 5 and it reads like this, "He was wounded for our transgressions; He was bruised for our iniquity: the chastisement of our peace was upon Him; and with His stripes we are healed."
And when he said that, the old captain said, "Can you read on?"
The little boy said, "May I comment here?"
And the old captain said to the lad, said, "Go ahead."
He said, "My Christian mother, before I was taken from her," said, "you know she used to read that Scripture to me so much. And you know the way she read it?"
And the old captain said, "No, son, I'd like to hear the way your Christian mother read it."

E-66 She said... He said, "Here's the way she read it: 'He was wounded for Willie Pruitt's transgressions; He was bruised for Willie Pruitt's iniquity: the chastisement of Willie Pruitt was upon him; and with His stripes Willie Pruitt was healed.'"
The old captain said, "I like that. I like that." Said, "Oh, if my name could only be read in there." Said, "You think you could do it, son?"
He said, "I'll try it." He said, "He was wounded for John Quartz' transgressions, He was bruised for John Quartz' iniquity; the chastisement of John Quartz' peace was upon Him; and with His stripes John Quartz was healed."
With tears running down his beard, he said, "Fetch me my clothes. Jesus Christ has healed me. I give my life to Him." See?

E-67 Oh, friend, if you can only read your name in there. Oh, if I can read my name. "He was wounded for William Branham's transgressions; He was bruised..." Not the church, not this, not creed, but "He was bruised for my iniquity: the chastisement of my peace was upon Him; and with His stripes William Branham was healed." Oh, if we can just read our name into Scripture and really mean it. It's... That's what does it. Read our name into it makes a receiving, a pardoning. For when we realize that "He was wounded for our transgressions; he was bruised for our iniquity..."

E-68 Another thing, we find out in Hebrews 9:11, that pardoning produces purity, the worshipper having no more conscience of sin and has cleansed hisself from dead traditions. When we really come under the Blood, we are cleansed from dead traditions. The Scripture says so, Hebrews 9. Watch, "Cleanse your conscience from dead traditions..."
Then, if you do that, forget that you are a Baptist. Forget you are a Methodist. Forget you are a Pentecostal, whatever you are. And forget those dead traditions and come to the Blood. Come to that. Read your name in that and then do this. Then come to communion table. Then come and find out who's right and wrong, whether it's going to be a closed communion or not. See if you can shut your brother out. You can't do it. You just can't do it. There's something in you won't let you do it. There's just something. You see? Your name is read among those and you--you can't do it. It purifies you; it cleanses you.

E-69 Remembering Him as we kneel at the cross. Let him be a Catholic priest, Presbyterian, whatever he may be, let that man come as he reads his name in there, "He was wounded for this priest's transgressions. He was wounded for this Methodist, this Baptist, this Pentecostal, what--wounded for our transgressions." My name, your name, whatever you are... Then let us believe that. Not what the creed says; what the Word says. Then let us kneel down at the cross together; we're brothers.
Oh, yes, the traditions. We cleanse ourself then from all dead traditions. There could be forty state presbyters; there could be forty high priests; there could be cardinals, and bishops, and popes, everything else, hollering, "Get up from there. Don't pollute yourself." But you got your arms around your brother, brother. There's something real. You've got pardoning under the same atonement that he's pardoned by. You're brothers. It sticks closer than a brother. It's something about it that draws you so close to God. And when you draw close to God, you draw close to each other. How can you hate your brother who you do see, or despise him, and say you love God Who you have not seen? You become a liar, and the truth's not in you.
But when we come to a place where the Blood of Jesus Christ cleanses us from all sin, then we are brothers. Then there's no difference in us. Our little old brands that we've tacked on us don't mean a thing.

E-70 I remember there I passed the gate the other day and was referring to one of the brothers setting here, where I used to herd cattle. And coming through there the ranger would mark those cattle as they went through in the spring roundup. And he watched. He never... They had all kinds of brands on them. But he never noticed the brand. He watched for the blood tag. And it had to be a thoroughbred Hereford or it couldn't go on the Arapaho Forest, for the Hereford Association grazed there. It had to be a thoroughbred Hereford.

E-71 I think that's the way it'll be at the end-time. He won't say, "Are you a Methodist? Was you a Baptist?" That's the big question today. "What--what are you? You a Methodist? Baptist?"
I say, "No."
"Well, what are you? A Presbyterian, Lutheran, Nazarene, Pentecostal?"
"No."
"What are you?"
"A Christian."
A Christian, the Blood tag, see under the Blood. That means that every brother, sister, under that Blood is my brother, sister. Very deep sincerity there before Christ, we--the priest, the preacher, or whatmore, lay our hands upon our sacrifice and say, "We're guilty sinners. We're not worthy of Your mercy, O God. But You sent Your Son to die in our place and we freely accept it." Oh, we're brothers then.

E-72 All the old fussing is over; it's all gone. We're sincerely pardoned. You go pardoned and cleansed from sin, cleansed from tradition. Old things is passed away, old fusses is over. All the Baptists, Methodists, and Presbyterians are all cleansed by the same Blood and we become brothers. Traditional fusses is over. Then can fellowship here. And there only can we fellowship.
I've seen Presbyterians stand in these Full Gospel Business Men's meetings speaking in tongues and shouting as hard as they could, and some of the most outstanding Presbyterians there is in the United States. Jim Brown, how many ever met him, an outstanding Presbyterian, stand here and dance in the Spirit, and speak in tongues, and carry on here, and a pastor of one of the most famous Presbyterian Churches in the United States. Lutherans, Methodists, Pres--all together, what is it? They have come under the Blood. There's no tag; there's no denominational barriers. We're one. We are Christians. We have things in common. Yes.

E-73 Here not long ago (in closing), there was a man and a woman, husband and wife was separating. And they tried to make up. They'd went to a psychiatrist to find out if he could draw their minds together. But he couldn't. They went to everything that they could think of to try to stay together, but they just fussed and continually they were divided. And they just couldn't stand each other, and couldn't stand in each other's presence, and they'd go to fussing. So they decided they'd divorce. So they hired a lawyer to give them a divorce.
And he said, "Well, now before we do it," said, "we'll sell the place." And said, "You all better go down and divide the spoils between you before you get the divorce and the place is sold."

E-74 So the husband and wife went together; they went to the home. And they went into the living room and she said, "I'm going to take this."
And he said, "I'm going to take this." And they fussed, and they stewed, and carried on with one another.
After while they said, "Well, I'll give you this if you'll take this."
"All right." That went on awhile.
Then they went into the parlor and different places, and into the kitchen and into the bedroom. They divided their spoils.

E-75 Then finally they remembered there was some stuff in the attic. So they went up into the attic and they pulled out an old trunk. And they begin to lay out different things, say, "You can have this, and you can have this."
And finally both of their eyes fell on a certain little object and they both grabbed for it. And they looked at each other. What was it? A pair of little white shoes that had belonged to a baby that had deceased. It was part of both of them. There with their hands clasped like that over this baby's shoe... Really, who did it belong to? Whose was it? It belonged to both of them. They had things in common.
In a few minutes, as one looked to the other one, tears begin to run down their cheeks. What is it? They could divide everything else, but when they come till they had something in common, the child, and it was in heaven, then the fuss was over. In a few minutes they were in each other's arms; the divorce was settled. Peace reigned.

E-76 And, brethren, let me say this to you tonight. We're not wanting you to join a church. But I'm asking you this; there's one thing that we have in common; that's Jesus Christ. He's in common with us. We can't all be Baptists; we can't all be Methodists; we can't all be Oneness, or Threeness, or whatever it is. We can't be that. But there's one thing we have in common. That's the pardoning offer of God, His Son, Jesus Christ. We have all things in Him. But that's the first thing for us to accept. Then we can get other things when we accept the pardon that God has offered us.
And that won't be through our educational system, through our denominational system, but it'll be through the Blood of Jesus Christ. We all can meet there under the cross and be one and have things in common. You believe that? Let us bow our heads just a moment while we pray.

E-77 [A message is given from the audience--Ed.] Amen. With heads bowed, surely hearts bowed, let's bow our hearts just a minute now with our heads, saying, "Lord, with my heart bowed now, with all of my tradition, am I right or wrong?"
Let the Holy Spirit search through the heart now. And if it's not just where it should be, and you would like to be remembered in prayer in the closing, that you know that we can all meet under one thing, the Blood, the atonement... And when we do, then we're cleansed from all the things of the world. And you'd like to be remembered in prayer, would you let it be known by uplift your hand to God, say, "Re..." God bless you. Oh, my, the hands. "Remember me, O Lord."

E-78 Do you realize that we haven't got many more days to stroll through this earth? You say, "Well, I'm young." I know... I don't know, sister, brother. There'll be a many teenager die tonight across the world, hundreds of them. No, only thing you have is what breath is left in you. Will you at this time, say, "With my hand up, Lord God, I accept the pardon that You offered, the Blood of Jesus Christ. Now, let the Token from the Blood, the Holy Spirit, come upon me. I haven't received the Holy Ghost. I--I know it. And I want to receive that something that makes me feel the way you're talking about, that my sins are all gone, and the world, the love of the world, is passed from me, and I'm a new creature. I want to know that in my heart. And, God, I'm not raising my hand to Brother Branham, but I'm raising it to You, and You know my heart."
And don't anyone look up. Just let God see this alone. And say, "God, I--I--I want the token that the Blood has been applied to me. And I want it." Raise your hand and say, "Pray for me, Brother Branham." Lord bless you. That's fine.

E-79 No matter what you are, Methodist, Baptist, Presbyterian, it's for whosoever will. Now, I have... Saying nothing against those churches, the--they're all right. But what I'm trying to say, that that won't save. You see? It's got to be God's pardon--pardoning grace. And it's only represented, not through a church, but through the Blood of Jesus Christ. That's your Substitute, when you can lay your hands upon Him and say, "Now, I accept this substitute. God be merciful to me."
And maybe there may be church members here that has joined church, with all good sincerity. I believe that with all my heart, you joined with sincerity. But you say, "Brother Branham, really, my heart hasn't been cleansed from all these traditions and things. I--I believe if someone would speak against the very church that I... If the Bible would even say, tell me, I'd be proved by the Bible that my church is wrong, I--I still couldn't accept it from my heart, I--I couldn't do it. But I want to. Pray for me." Would you raise your hand and say, "Pray." I'll do it. Yes, I sure will. God bless you. That's good. That's fine.
"I--I want to be able to accept everything that God said, just the way He did in His Bible. And I want the Blood of Jesus Christ to come upon me."

E-80 And if the Blood is applied, the Token... See, there is a Token given of the Blood, and that's the Holy Spirit. And when the Holy Spirit came down on the day of Pentecost, you know what It did to the people. And every time that it ever will come upon the people, It'll do the very same thing. Peter said, "For the promise is unto you, to your children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call," this same promise.
If ten cents is ten cents here, it's ten cents out there. It's wherever it's at, it's ten cents. If this is a diamond in here, it's a diamond in there. If this is a house here, it's a house there. And if this is the Holy Spirit that fell on the day of Pentecost, it's the same Holy Spirit today. And you have never found that experience, accept it now while we pray, will you?

E-81 Our heavenly Father, knowing that--that the sun is swiftly going down, time shall be no more, one day the great Archangel will step out on the scene of time, from out of eternity. And the trumpet of God shall sound and every man and woman will answer to what we know to be the Truth, the Word of God. There's got to be some standard that God has to have here on earth that we're to be judged by. And if we took the standard of our church, our denomination, how far would we miss it? And which denomination would be right? Therefore, we'd be confused. We wouldn't know what to do.
But there is a Standard and that is Your Word. And Your Word said, "Except a man be borned again he cannot even see the Kingdom of God." In other words, he cannot understand it. He must accept it by faith and be borned again, and then he will understand it. "See" is to understand.

E-82 And we pray God, tonight, that many of those hands going up tonight all over the building, businessmen of the city, and women, boys, and girls, I believe with sincerity they raised their hand. Now, they could not raise their hands unless there was a conviction. And the Holy Spirit by them has proved to them that they are wrong, and brought conviction that they want to be right. And they raised up their hands to You, the great Creator, knowing that they have to meet You someday. And they were sincere, I believe, Lord, and I'm interceding for each one. I trust tonight, Lord, as I pray, that not one hand that went up will ever be able to have rest until the Holy Spirit has filled their life. Grant it, Lord. I claim them for the trophies of Jesus Christ. Do it, Lord, I pray.

E-83 Save the lost, fill those who have accepted Christ with the Holy Ghost. Pour It out upon their souls, Father. Get glory unto Thyself. Jesus, You have said to us, "No man can come to me except My Father draws him first." And faith cometh by hearing, and hearing of the Word of God. And now, Word of God being preached, faith comes by hearing. And they have been drawn because the Bible said, "Those who He foreknew He predestinated." And those who He predestinated He called. And those who He called He gave Eternal Life.
And now, back in the beginning, before the world, You put their names upon the Lamb's Book of Life. And tonight the Holy Spirit has called. And they raised their hands. Now, Lord, give them Eternal Life. I ask it for the glory of God, that the Holy Spirit will come down in their hearts and circumcise them from all dead works and traditions, and give them free pardoning and fill them with His Presence, that they might go forth from this day, in the hour of darkness, like it was in the days of Sodom when painted-faced women, immorality, shook the nations.
O Lord God, may men and women go forth as burning blazes. May the Holy Spirit literally send holy fire upon them, Lord, until they'll be so filled with God's goodness and--and that they'll go forth to call every sinner they come in contact to the cross. Grant it, Lord, where they too can fall and find pardoning. Do that to the Methodist, Baptist, Presbyterian, Pentecostals, and all, Lord. Grant it. They are Yours now. I commit them into Your hands, that You will grant this to them. In Jesus Christ's Name. Amen.

E-84 You love Him? I... This may be a little out of order. Just a moment. Let's sing this good old hymn. I--I love to sing. You know the... Sometimes in preaching you say things that cut, but they--there is a balm in Gilead, isn't there, that heals the soul? Let's sing this good old song, if you will. "I love Him, I love Him, because He first loved me." Do you know the song? Somebody now, lead it off for me.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

E-85 Let us hum it. Now, while you're humming "I Love Him," how many Baptists are here? Raise up your hands. Presbyterians? Lutheran? Nazarenes? Pilgrim Holiness? Pentecostals? My, at the people. All together. What have we done now when we've come under the cross, under the pardoning grace? We're all pardoned, not by our church, but by Calvary. Let's just shake hands with the Methodists, Baptists, and Pentecostals now when we sing again.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Now, we sing it so each one can hear it. Now, let's just bow our heads and raise up our both hands to God. And with all of our heart, if we love Him, let's say so now.
I love Him, (O God.), I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

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