Les Investissements
1 Merci beaucoup. Je considère certainement ceci comme l’un de grands moments de ma vie, être ici dans cette grande ville de New York pour parler à ce chapitre, ou plutôt à ces chapitres, avoir le temps de m’asseoir à l’estrade avec mes frères dans le ministère et parler de notre Seigneur Jésus-Christ aux hommes et aux femmes d’affaires de cette ville. Sans doute que beaucoup parmi vous Le connaissent, à voir votre comportement ce matin et à voir comment vous vous réjouissez et vous Le louez pour Sa bonté et Sa miséricorde.
2 Je me sens très petit ici, en me tenant ici avec ces orateurs de renom et d’avoir à me tenir ici pour parler à cet auditoire ; en effet, je ne suis pas un grand orateur, j’ai toujours dit que je suis un pneu de réserve. Vous savez, on utilise un pneu de réserve quand on a une crevaison ; mais nous n’avons pas de crevaison, cependant, on laisse simplement le pneu de réserve rouler quelques minutes, je suppose.
3 Je réfléchissais dans mon âme, dans mon esprit, il y a quelques minutes, au sujet de… au sujet de porter le fruit de l’Esprit, comme l’un des frères l’a dit : « Porter le fruit. » Vous savez, nous ne pouvons pas fabriquer le fruit. Nous devons porter le fruit. Voyez, un mouton ne fabrique pas de la laine ; mais comme il possède de la laine et qu’il la porte, il est un mouton. Voilà pourquoi il porte de la laine. C’est l’unique moyen pour nous d’être donc chrétiens, ce n’est pas parce que nous en portons le nom, ou nous essayons d’en venir à quelque chose, de fabriquer cela. Etant un mouton, vous ne faites que porter de la laine. Etant un chrétien, vous ne faites qu’en porter les fruits. Oui.
4 Et pendant que je suis assis ce matin, je sais que notre temps dans ces réunions est limité.
5 Une autre raison pour laquelle nous sommes à New York cette fois-ci… je suis désolé de n’avoir pas pu assister à cette convention. Un très cher ami à moi m’a mal compris, quand il a dit : « Allez-vous parler à la convention de New York ? » C’est monsieur Williams. J’habite Tucson, en Arizona ; lui habite Phoenix, en Arizona, juste à une distance d’environ cent vingt miles [193 km]. Et j’ai dit : « Oui, je–j’y serai en novembre, je serai content de le faire », de rencontrer frère Nelson, frère Sweet, ainsi que mes amis ici. Et j’ai fini par découvrir que c’était en octobre. Et en octobre, je devais être en Alaska, j’étais donc très loin de New York à ce moment-là.
6 Mais, nous avons eu ce privilège de venir ici avec frère Vick de Rock Church, et les ministres, et nous sommes ici à l’auditorium Marc, où nous passons un bon moment cette semaine, voyant le Royaume de Dieu parmi nous. Nous en sommes si heureux. Et aussi de venir cette fois-ci, ce matin-ci, ici où peut-être des hommes, des hommes et des femmes d’affaires de toutes les couches sociales sont assis, des méthodistes, baptistes, presbytériens, catholiques, et que sais-je encore.
7 Cela me rappelle, il y a des années, quand je travaillais dans une ferme d’élevage de bétail là, dans le Colorado. J’étais… Nous emmenions le bétail. L’Association Hereford faisait paître dans la–la vallée, et on appelait ça Troublesome River Hereford Association. Notre petite ferme d’élevage se trouvait là à la source de la rivière. Et nous avions le East and West Fork, et nous le faisions paître à East Fork. Et alors, en printemps, quand nous emmenions donc le bétail dans le pâturage, nous le placions dans la forêt Arapaho, où l’Association faisait paître.
8 Eh bien, c’est l’Association Hereford. Il y a là beaucoup de gens, là-bas dans cette Association, qui élèvent du bétail Hereford. Et si votre ferme d’élevage peut produire deux tonnes de foin, vous êtes autorisé, suivant la marque, à placer une vache dans le pâturage en été, pour permettre à votre foin de pousser là où on irrigue et nourrir le bétail en hiver.
9 Eh bien, lors du rassemblement de printemps, on amenait le bétail là dans le pâturage, il y avait une clôture démontable. Une clôture démontable empêche le bétail de retourner sur–sur un terrain privé, on les plaçait dans un domaine de l’Etat. Alors le garde forestier se tenait toujours à cette clôture démontable, surveillant le bétail à son passage. Eh bien, il y avait beaucoup de marques qui passaient par ce–ce portail, ou plutôt par cette petite clôture.
10 Et il y avait… eh bien, monsieur Grimes, l’un de grands propriétaires des fermes d’élevage, avait ce qu’on appelait le Diamond Bar. Il avait plusieurs milliers de têtes de bétail. Et le Turkey Track, et le Lazy K, et beaucoup d’autres là-bas. Ils passaient.
11 Je me suis souvent tenu debout, ou plutôt assis sur une selle avec une jambe sur le pommeau de la selle, et j’observais ce garde forestier pendant qu’il regardait ce bétail passer. Et ce qui étonnait, c’est qu’il ne faisait pas cas des marques sur le bétail. Pas du tout. Ils devaient tous être des Hereford, sinon ils n’y accédaient pas. Et tout ce qui l’intéressait, c’était de savoir si c’était un Hereford ou pas ; pas le genre de marque qu’ils portaient. Il y avait à l’oreille une étiquette de sang qui montrait que c’étaient des Hereford.
12 Et je me suis donc dit qu’il en sera ainsi lors–lors du grand rassemblement, à la grande entrée du Royaume de Dieu. Il ne fera pas cas de la marque, que nous soyons méthodistes, baptistes, presbytériens. Mais Il veillera sur l’Etiquette du Sang. C’est que nous devons tous porter l’Etiquette du Sang : « Car, quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous. » L’homme a essayé d’instruire les gens pour les faire entrer en Jésus-Christ ; nous avons essayé de leur faire la morale pour les faire entrer. Mais Dieu a une voie, c’est sous le Sang, nous avons des choses en commun.
13 Il y a quelque temps, une famille était en voie de se séparer. Et un avocat leur a dit qu’ils feraient mieux de se mettre à se partager leurs biens avant que le divorce soit prononcé, parce qu’il ne resterait rien si les avocats s’en emparaient. Il s’est donc fait que cet avocat-là était leur ami personnel. Alors, ils sont entrés dans une pièce, le salon, le mari et la femme, et ils ont fait le partage, et ils se sont disputé sur ce qu’il y avait là. Et dans la pièce suivante, ils se sont encore disputés. Finalement, ils sont allés au grenier, une vieille mansarde, et ils ont trouvé là une malle, et ils se sont partagés les biens qui étaient là-dedans, l’un étendait la main et saisissait : « Et ça, c’est pour moi ! Et ça, c’est pour moi ! »
14 Et, finalement, ils ont soulevé quelques habits, et ils ont tous deux saisi quelque chose. Et alors, ils se sont attrapés par les mains. Et sous ces mains, il y avait une paire de petits chaussons de bébé, fruit de leur union, un petit enfant que Dieu avait rappelé à la Maison. Personne ne pouvait réclamer cela, parce que cela leur appartenait à tous deux. Ils avaient trouvé quelque chose qu’ils avaient en commun. Et là, ils se sont regardés en face, ils n’ont pas tardé à tomber l’un dans les bras de l’autre. Et le divorce n’a pas été prononcé, on a pu l’annuler, parce qu’ils avaient trouvé quelque chose qu’ils avaient en commun.
15 Je pense que c’est ce qu’il nous faudra trouver. Il y a une seule chose. Nous ne pourrions pas nous accorder de devenir tous méthodistes, ou baptistes, ou pentecôtistes, ou autres, mais il y a une seule chose que nous avons en commun : Jésus-Christ ; c’est Lui que nous avons en commun.
16 Il y a quelque temps, quelqu’un m’a posé une question, disant : « Pourquoi vous accrochez-vous à ces Hommes d’Affaires du Plein Evangile ? Vous êtes censé être un prédicateur. »
J’ai dit : « Eh bien, je suis un homme d’affaires. »
Il a dit : « Un homme d’affaires ? »
J’ai dit : « Oui, oui, je suis–je suis un homme d’affaires. »
Il a dit : « Quel genre d’affaires faites-vous ? »
J’ai dit : « Assurance Vie Eternelle. »
17 Je n’ai point dit : « Les assurances », j’ai dit : « L’assurance. » Si quelqu’un parmi vous s’intéresse à cette police d’assurance, j’aimerais certainement en parler avec vous immédiatement après la réunion.
18 Cela me rappelle, quand j’étais à l’école, encore petit garçon, nous avions là un copain, c’était un très bon ami ; il était un agent d’assurances. Et je ne sais trop comment, eh bien, je n’ai rien contre les assurances, mais je n’ai aucune police d’assurances sur cette terre. Alors, il y a quelque temps, ce jeune homme… Son frère est un prédicateur baptiste aussi, et il écrit des articles dans la Haute... pour La Chambre Haute. Et il est venu chez moi, il a dit : « Eh bien, Billy, je suis certainement content de te revoir. »
J’ai dit : « Assieds-toi, Wilmer. »
19 Nous nous sommes mis à causer. Et je savais pourquoi il était venu. J’ai un frère qui vend les assurances, mais je n’en ai jamais souscrit une, de toute façon. Alors, il a dit, après que nous avons causé un petit moment, il a dit : « Je comprends, Billy, que tu n’as pas d’assurances, a-t-il dit, et je me suis dit que, peut-être, je pourrais te parler d’une police d’assurances. Et… »
20 « Oh ! ai-je dit, merci, Wilmer, mais j’ai déjà souscrit une–une police d’assurances. »
21 Et il a dit : « Oh ! je suis désolé, a-t-il dit ; quel genre d’assurances as-tu, Billy ? » Et j’ai dit : « Vie Eternelle. »
22 Et que vous y croyez ou pas, le jeune homme a dit : « Je ne pense pas en connaître la société. » Il a dit : « Où se trouve son quartier général ? »
J’ai dit : « Dans la Gloire. »
Il a fait : «Oh ! »
J’ai dit:
« C’est l’assurance bénie, Jésus est mien !
Oh ! quel avant goût de la Gloire divine !
Je suis héritier du salut, racheté par Dieu,
Je suis né de Son Esprit, et je suis lavé dans Son Sang. »
23 « Oh ! a-t-il dit, ça, c’est très bien, Billy, mais ça ne t’amènera pas là au cimetière. »
24 « Mais, ai-je dit, ça m’en fera sortir. » Je ne me soucie pas d’y entrer. Oui. Amen. Je ne me soucie pas d’y entrer. C’est d’en sortir.
25 Ainsi, je–je suis très content d’avoir cette assurance que je sortirai. En effet, c’est Lui qui a donné cette assurance que nous pouvons tous en sortir. J’ai reçu dans mon coeur cette assurance, que je suis passé de la mort à la Vie. Et je sais qu’un jour, Il me fera sortir.
26 Maintenant, juste avant que nous abordions la Parole, j’aimerais que nous inclinions la tête et que nous parlions à l’Auteur, juste un instant, si vous le voulez bien.
27 Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, vos yeux fermés et, je l’espère, nos coeurs aussi inclinés dans Sa Présence, je me demande, à l’instant même, s’il y a ici quelqu’un qui n’a vraiment pas cette assurance pour la résurrection, cachée loin dans la boîte de sécurité de votre coeur ce matin, et qui voudrait qu’on se souvienne de lui dans la prière. Voudriez-vous bien, alors que personne ne regarde, lever juste la main pour dire : « Incluez-moi, frère. » Merci, merci. Que le Seigneur vous bénisse. Des douzaines de mains, pendant que nous prions.
28 Très Gracieux Dieu, Eternel, Père de notre Seigneur Jésus-Christ, Toi qui L’as ressuscité le troisième jour après Sa crucifixion pour notre justification, et qui nous L’as présenté sous la forme du Saint-Esprit qui vient maintenant bénir nos coeurs et nous accorder ces choses dont nous avons besoin dans le pèlerinage de cette vie.
29 Nous comprenons, en voyant ces mains se lever, Seigneur, qu’il y a un grand besoin parmi nous ce matin. Et je Te prie, ô Dieu, de ne laisser personne parmi ces gens sortir d’ici sans avoir cette assurance que ses péchés sont sous le Sang, qu’il est né de nouveau et scellé dans le Royaume de Dieu par le Saint-Esprit. Accorde-le, Père.
30 Bénis-nous aussi alors que nous écoutons Ta Parole. Nous savons que Ta Parole est la Vérité, et il n’y a pas d’autre Vérité en dehors d’Elle. Et nous prions, Père, que Ta Parole devienne une réalité pour nous, aujourd’hui. Car il est écrit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. Le même hier, aujourd’hui et éternellement ! »
31 Et Il nous a dit que nous ferons aussi les oeuvres qu’Il faisait, parce que Sa Vie est en nous. Et nous prions, Père, que ceci soit clairement compris de nous tous ce matin. Et s’il nous fallait professer ce matin que Shakespeare vivait en nous, nous savons que nous réaliserions ses oeuvres, composer des poèmes. Si les oeuvres, ou plutôt la vie de Beethoven était en nous, nous serions un Beethoven, nous composerions des chansons. Mais comme nous confessons que la Vie de Jésus-Christ est en nous, la Vie Eternelle, alors la Vie Elle-même témoignera de ce que nous sommes. Et comme le frère parlait de–de « porter le fruit », nous savons que la Vie de Christ en nous prouvera qu’Il est là. Nous Te prions donc de nous accorder cette expérience, à chacun de nous, ce matin, alors que nous attendons.
32 Quant à ouvrir Ta Parole, nous ne le pouvons. Nous pouvons tourner les pages et lire, mais seul le Saint-Esprit peut prendre la Parole et L’apporter à nos coeurs selon nos besoins. Et nous Te louerons avec humilité, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.
33 J’aimerais que vous… si vous avez vos Bibles. Et bien des fois, les gens aiment assister au service et aussi suivre ce que le prédicateur lit. En effet, après tout, la Parole de Dieu est la Vérité. Il n’y a pas d’autre vérité qui puisse prendre Sa place. Elle est toute la Vérité. La Parole est Dieu, C’est Dieu sous forme de lettres.
34 Dieu va juger le monde un jour par Jésus-Christ. Nous le savons.
35 Il ne peut pas le juger par une église. Si c’était le cas, les catholiques romains diraient : « Il va le juger par notre église » ; qu’en serait-il alors des catholiques grecs ? Les méthodistes diraient : « Il le jugera par notre église » ; qu’en serait-il alors des baptistes ? Ainsi, voyez-vous, il y a trop de différences.
36 Il doit y avoir un étalon. Et si Jésus-Christ est la Parole, alors Il le jugera par la Parole. Ainsi, tout ce que Dieu a dit dans Sa Parole, c’est ce dont nous vivons : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. »
37 Prenons Saint Marc, chapitre 10, lisons juste une portion des Ecritures.
38 Et pendant que vous prenez cela, j’aimerais vous inviter à l’auditorium. Mais, hier soir, j’ai vu une scène triste au moment même où je sortais du taxi, ou je descendais du taxi pour monter en chaire. Il y avait littéralement des centaines de gens qui marchaient dans la rue ; beaucoup parmi eux pleuraient parce qu’on leur avait refusé d’entrer dans l’auditorium. Il n’y avait pas de places. Nous regrettons de ne pas disposer d’un endroit plus spacieux. Mais nous espérons qu’un jour, si nous pouvons tous venir voir… sinon, nous vous verrons juste de l’autre côté de la frontière, juste de l’autre côté.
39 Maintenant, chapitre 10.17, à partir de 17, juste pour un petit texte, pour faire un… pour en tirer une conclusion d’un contexte que, nous l’espérons, Dieu nous accordera. Comme Jésus avait… se mettait en chemin, un homme accourut, et, s’agenouillant devant lui : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Il n’y a de bon que–que Dieu seul. Tu connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère, tu ne tueras point ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; tu ne feras tort à personne ; honore ton père et ta mère. Il lui répondit : Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, l’ayant regardé, l’aima, et lui dit : Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras des trésors dans le ciel. Puis viens, prends ta croix et suis-moi. Mais affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste; car il avait de grands biens.
40 J’aimerais que vous observiez bien ce jeune homme, il n’était pas un athée. Il était censé être un croyant. Il était membre d’église. Et ce matin, j’aimerais parler pendant les quelques prochaines minutes, je ne sais exactement combien de temps on y réserve, mais j’aimerais vous parler sur quelques passages des Ecritures que j’ai notés ici, sur ce sujet : Les Investissements.
41 Je crois que tout homme d’affaires devrait s’intéresser à un bon investissement. Et nous parlons, je présume, aux hommes d’affaires de cette grande ville célèbre, New York. Et tout homme qui peut faire un investissement qui lui sera bénéfique doit s’y intéresser. Eh bien, nous avons toutes sortes d’investissements. Mais l’investissement dont je parle ce matin… Peut-être que vous avez fait beaucoup de bons investissements, mais celui-ci est le meilleur que vous puissiez faire. Moi, comme je venais de le dire, je suis un agent de Vie Eternelle.
42 Ce n’est pas une bonne affaire que de jouer à l’argent, de tenter sa chance. Le… notre frère ici parlait, il y a quelques instants, sur… il allait dans des endroits jouer à l’argent. Ça, c’est tenter sa chance. Un homme d’affaires raisonnable ne fera pas cela. Il ne devrait pas le faire, de toute façon. Ça, c’est jouer à l’argent. Vous–vous pouvez du coup faire faillite, avec de telles choses.
43 Et puis, un bon homme d’affaires sain, ou plutôt un bon homme d’affaires raisonnable n’investirait jamais dans une histoire du genre « devenir riche en une soirée », dans une entreprise instable, y investir. Il–il ne le ferait point, un bon homme d’affaires raisonnable, comme vous, je pense, ainsi que vous les femmes d’affaires raisonnables.
44 Cette histoire du genre « devenir riche en une soirée. » J’avais autrefois un ami qui avait ses épargnes dans une banque, et il en retirait un petit intérêt, et quelqu’un est venu avec un raccourci. Vous savez, aujourd’hui, nous entendons tellement parler des raccourcis. Le monde en est plein : les publicités, la télévision, la radio, les journaux. Et le peuple américain se laisse prendre par de telles choses !
45 Il n’y a pas longtemps, je suivais une publicité sur une–une–une femme, ou on parlait à la–à la radio. J’étais dans ma voiture, allant quelque part, et on disait : « Utilisez cette bonne poudre à vaisselle », d’un certain genre, « vous n’aurez même pas à laver les assiettes. » Vous n’aurez qu’à les plonger là-dedans, vous déversez un peu de cette poudre et vous les secouez de haut en bas sans qu’il y ait question de nettoyer, rincer, sécher, ni rien d’autre. » Et c’était l’une des plus grandes choses que la science nous ait jamais offertes.
46 Et juste après, il y en a eu pour un autre produit, c’était : « N’utilisez pas ces nouveaux détergents. Regardez combien les mains de la maman sont belles. Ces nouveaux détergents vous brûlent les mains. Soyez… Ayez de belles mains comme la maman ; et n’utilisez pas ce nouveau détergent. »
47 Et il s’est fait qu’à l’époque j’habitais Jeffersonville, où se trouve la grande usine Colgate Palmolive Peet, et c’est la même compagnie qui fabriquait tous les deux produits. Voyez ? Voyez ? C’est un–c’est un truc. Et il y en a plein au monde, aujourd’hui !
48 Et je dis ceci avec révérence et respect, et j’espère que cela n’a pas l’air sacrilège, mais cette même chose est entrée dans le mouvement ecclésiastique. Dieu n’a pas de raccourcis. Vous en payez bien le prix. Venez suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu pour nous.
49 Si vous investissez dans un « devenir riche en une soirée »... Alors la chose suivante, vous savez, cet ami avait perdu tout ce qu’il avait. Ça, c’est une mauvaise affaire, faire pareille chose. Cela montre qu’on n’a pas une bonne intelligence, ou un bon sens des affaires, se lancer dans une affaire non identifiée.
50 Et puis, ce n’est pas une bonne affaire que de garder ce que vous avez dans votre poche ; en effet, vous feriez mieux de faire tourner cela. Vous souvenez-vous de notre Seigneur parlant des talents ?
51 Je n’aurai pas le temps d’aborder cela dans tous les détails, mais j’espère que vous comprenez de quoi je–je parle, en faisant ce parallélisme-ci, pour faire comprendre ce que je veux vous faire comprendre.
52 Maintenant, nous voyons que si vous gardez votre argent en poche, les voleurs peuvent le dérober. Et nous ne voulons pas faire cela, parce que ce n’est pas une bonne ligne de conduite, garder son argent en poche. Vous pouvez le perdre, et vous pouvez… quelqu’un peut vous le dérober.
53 Et ne l’investissez pas dans une sottise. Mais investissez-le dans une société vraiment fiable qui a donné ses preuves et qui est parfaitement identifiée comme rentable. Eh bien, c’est ce que vous pensez, vous, les hommes et les femmes d’affaires. Si ce n’est pas rentable, alors vous en avez peur. Mais s’il est établi que c’est rentable, que c’est fiable, alors, investissez-y. Vous pouvez y placer tout ce que vous avez, parce que c’est établi, parfaitement établi, que c’est rentable.
54 Et, ce jeune homme riche, ou ce jeune homme d’affaires (je vais l’appeler ainsi), ce jeune homme d’affaires de la ville avait eu une occasion de faire un investissement dans l’une des activités identifiées les plus grandes du monde. Il avait eu l’occasion de contracter une–une assurance Vie Eternelle, comme nous le dirions. Mais une telle assurance ne l’intéressait pas, parce que son prix semblait l’éloigner des choses qu’il tenait à faire. Voilà un point.
55 Or, le jeune homme savait qu’il lui manquait quelque chose. Malgré que nous (il avait) comprenons parfaitement bien qu’il devait avoir un–un bon père, une bonne mère, une expérience d’église, qu’il était membre d’église, car Jésus lui a demandé : « Garde les commandements. Honore ton père et ta mère. Tu ne tueras point et tu ne commettras point adultère », et toute cette morale que l’église enseigne, mais pourtant, Jésus le lui a dit : « Il te manque une chose. »
56 Il n’était pas… il n’a pas demandé à Jésus : « Que puis-je faire pour adhérer à Ton église ? Que puis-je faire pour en devenir membre ? » Mais il a dit : « Que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle ? » Quoique membre d’un corps religieux, le jeune homme était néanmoins assez raisonnable pour savoir qu’il lui manquait la Vie Eternelle.
57 Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Eternelle. Nous essayons d’obtenir cela. Et il lui a été donné l’occasion de La recevoir, sur sa demande ; en effet, il est écrit : « Demandez et vous recevrez. »
58 Et Cela lui a été présenté, mais cependant il a été assez insensé pour rejeter cela à cause du prix trop élevé. Et en tant que chrétien, et ayant voyagé à travers le monde, je trouve ce même désir dans les coeurs de beaucoup de gens aujourd’hui. Comme ma femme a l’habitude de dire : « On veut à la fois manger son gâteau et le garder. » Vous–vous ne le pouvez pas.
59 Vous ne pouvez pas à la fois conserver l’amour du monde et l’amour pour Dieu. « Car vous ne pouvez pas aimer Dieu et Mammon, ce qui veut dire le monde. Et si vous aimez le monde, ou les choses du monde, l’amour du Père n’est pas en vous. »
60 Mais beaucoup de gens aiment dire : « Je suis membre de tel. » Mais là n’est pas la question. Ce n’est pas de cette police d’assurances dont je parle ce matin.
61 Il s’agit de la Vie Eternelle, la Vie Eternelle ! Et tout ce qui est éternel n’a point de commencement; par conséquent, cela ne peut pas connaître de fin. Ce qui est éternel n’a point de commencement. Et alors, le seul moyen pour vous de pouvoir être éternel, c’est de recevoir la Vie Eternelle. Et il n’y a qu’une seule Chose qui est Eternelle, c’est Dieu. Ce n’est pas adhérer à une église, ni aux crédos, ou tourner une nouvelle page le jour de l’an, ou quoi que ce soit ; mais c’est recevoir Dieu, la Personne de Dieu, sous forme du Saint-Esprit dans votre vie. Et vous devenez une partie de Dieu et tout aussi éternel que Lui, parce que vous êtes une partie de Lui. Tout ce qui a un commencement a une fin. Le monde a eu un commencement, il aura une fin ; le ciel a eu un commencement, il aura une fin. Jésus a dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront point », parce que Lui est la Parole. Il est la Parole, et Elle est éternelle.
62 Et cette Parole en vous produit la Vie de Christ. Si je pouvais tirer la vie d’un pêcher pour la verser dans un poirier, elle ne porterait plus des pêches, cela porterait des poires, car la vie qui est dans l’arbre produit ce qu’il est. La vie qui est en vous démontre ce que vous êtes. Le témoignage de votre vie est tellement éloquent qu’on n’entend pas votre témoignage. On reconnait ce que vous êtes par la vie que vous menez et les choses que vous faites. Si la Vie de Christ est en vous, alors, par conséquent, vous menez la Vie de Christ et vous accomplissez Ses oeuvres, parce que c’est Sa Vie qui vit en vous. Vous n’êtes qu’un instrument pour continuer l’oeuvre de Dieu.
63 Quelle imprudence ce jeune homme a commise en ne se–s’intéressant pas à un tel investissement ! Il nous est dit qu’il avait de grandes richesses. Mais la richesse du monde doit périr. Quelle est la condition du jeune homme aujourd’hui ? Je me demande où il est. Il a rejeté l’opportunité qu’il avait. Pourtant, il était un croyant chrétien, ou un croyant, dirions-nous, pour être plus fondamentaliste. Il était un croyant, il marchait dans toute la lumière de la loi et, probablement, il était un membre loyal d’une grande assemblée, mais cependant, il savait qu’il lui manquait la Vie Eternelle.
64 Eh bien, il avait vu en Jésus quelque chose qu’il n’avait jamais vu dans d’autres hommes. Il voyait ses sacrificateurs, il voyait les membres de sa famille, il voyait des hommes bons, mais il y avait quelque chose de spécial en Jésus-Christ. Ils avaient vu, même les scribes et les soldats qui avaient été envoyés du temple pour L’arrêter, ils ont dit : « Jamais homme n’a parlé comme cet Homme. » Il ne parlait absolument pas comme un sacrificateur ou un–un laïque, mais Il–Il avait… Dieu confirmait ce qu’Il disait. Il était…
65 Il n’avait point écrit des livres. Nous n’avons rien que Jésus aurait écrit de Sa Vie. Tout ce que nous savons, c’est qu’Il avait une fois écrit par terre quand une–une petite femme de mauvaise vie avait été amenée devant Lui, puis Il a effacé cela. Pourquoi n’avait-Il pas écrit ? Il était la Parole. Il était la preuve vivante qu’il existait un Dieu vivant, Sa Vie même en Lui.
66 Il a dit : « Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Même si vous ne pouvez pas Me croire (comme Il était un homme), croyez cependant aux oeuvres. Vous sondez les Ecritures, car en Elles vous pensez avoir la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui témoignent de Moi. Elles vous disent qui Je suis. » Ça, c’était un langage inconnu pour beaucoup de ces membres du clergé de l’époque.
67 C’est vraiment dommage, on dirait que ça se répète. Mais c’est… le monde demeure le même. Les esprits ne changent pas. Ils vont d’un groupe à un autre, d’un homme à un autre ; les mauvais esprits, le bon Esprit venant de Dieu aussi. Le Saint-Esprit demeure juste le même qu’Il était quand Il venait de descendre le jour de la Pentecôte, quand Dieu, dans cette glorieuse Colonne de Feu, s’est séparé parmi Son peuple.
68 Mais en ce Jésus, le jeune homme d’affaires avait vu quelque chose qu’aucun autre homme n’avait; il avait vu Dieu vivant dans un être humain.
69 Et alors, ce matin, en tant que personnes qui réfléchissent avec intelligence, si cette même Vie qui était en Christ est en vous, comment peut-Elle manquer de vivre la même chose, tout en étant la même ? Elle doit le faire. Nous pouvons donc être excités par des émotions, nous pouvons être bourrés de crédos ou de quelque chose d’autre, au point de penser que c’était ça. Mais quand nous lisons ce qu’Il était, c’est donc cela qu’Il est aujourd’hui. Ce que Dieu était en Christ, votre Frère Rédempteur, c’est ce qu’Il est en vous, en tant qu’enfant racheté.
70 Jésus a vu ce jeune homme, et Il l’a aimé. Eh bien, il y a une chose qui semble nous faire beaucoup défaut aujourd’hui : du fait que les gens ne nous aiment pas, on dirait que nous ne voulons pas les aimer. Depuis que je suis parmi les gens du Plein Evangile, et ça, c’est une chose que je vois, avant que j’aie rencontré ce groupe des Hommes d’Affaires, les organisations de foi pentecôtiste semblent s’isoler. Ce n’est pas ça exprimer la Vie de Jésus-Christ. Il aimait tout le monde, et Il a aimé ce jeune homme d’affaires. Bien qu’il L’ait rejeté, pourtant Jésus l’a aimé.
71 Et le jeune homme avait trouvé en Jésus quelque chose qu’il n’avait trouvé nulle part ailleurs, et il a été invité à recevoir ce qu’Il avait, mais le prix était trop élevé. Et encore qu’il avait vu que cet investissement qu’on lui demandait de faire lui coûtait tous ses biens mondains, car Jésus lui a dit : « Va vendre ce que tu as. »
72 Eh bien, hommes et femmes, ne–ne me comprenez pas mal. Je ne veux pas dire qu’il ne nous faut pas avoir de l’argent. Mais quand vous en faites votre Dieu, quand c’est sur ça que vous comptez, cela doit périr. Et aujourd’hui, il arrive bien des fois que les hommes et les femmes d’affaires cherchent à voir combien ils peuvent posséder, alors que nous devrions voir combien nous pouvons perdre. Combien c’est différent aujourd’hui, ce qui se passe parmi les chrétiens, les églises dénominationnelles et les autres, eux tous ! Combien c’est différent, on dirait, aujourd’hui, de ce qui se passait dans l’Eglise primitive de la Pentecôte ! Aujourd’hui, on dirait qu’on cherche à se vanter : « J’ai un parc de Cadillacs, donc je suis spirituel parce que je possède beaucoup de biens de ce monde. » Et nous voyons cela être trop exalté, même parmi nos frères. Les pentecôtistes du temps primitifs avaient vendu ce qu’ils avaient et l’avaient distribué aux pauvres et entre eux.
73 Il n’y a pas longtemps, un jeune homme, en Jamaïque, où nous avons été, aux champs de courses, j’étais avec les Hommes d’Affaires du Plein Evangile, j’avais fait une remarque sur quelque chose de pareil, un soir, à un rassemblement des hommes d’affaires venus de toutes les îles, de partout, de toutes–toutes les îles de là, alors, ce jeune chanteur est venu vers moi et a dit : « Frère Branham, la déclaration que vous avez faite ce soir n’était pas trop fameuse, ce que vous avez dit sur les pentecôtistes qui avaient vendu leurs biens. »
74 Je prêchais sur les critiqueurs des pentecôtistes, disant que c’est là l’unique chose qu’ils avaient le droit de critiquer. J’ai dit : « Vous les hommes d’affaires, vous êtes toujours là à montrer comment devenir riche. Ces hommes savent comment devenir riches. Ils sont déjà riches. Ce qu’il vous faut leur vendre, c’est Jésus-Christ, Quelque Chose qu’ils n’ont pas. »
75 Vous n’êtes pas capables d’amener l’Evangile là dans le monde. C’est le monde que nous amenons ici, absolument. Hollywood cherche les choses brillantes, un singe fait de même. Hollywood brille, mais l’Evangile luit. Il y a une grande différence entre briller et luire. Nous cherchons à entasser de grandes choses, et devenir un grand personnage. Ce n’est pas comme ça qu’on peut avoir ceux du dehors. Vivez la Vie, et laissez Christ vivre en vous, c’est ce qui donnera la faim et la soif à quelqu’un d’être comme vous. Devenez salé, il aura soif. Le seul moyen pour vous d’être salé, c’est de laisser la Vie de Christ être en vous, car c’est ce qu’Il est. Le sel ne préserve que quand il entre en contact.
76 Eh bien, nous voyons que ce jeune homme savait que cet Homme était plus qu’un homme ordinaire. Il savait qu’Il devait être Dieu, parce que la Vie de Dieu se reflétait au travers de Lui ; et Il était complètement confirmé par la Parole qu’Il était Dieu.
77 Maintenant, j’aimerais parler juste un moment à mes frères prédicateurs aussi. Nous formons ici une assemblée des ministres et des hommes d’affaires. J’ai un peu peur que le grand système de nos églises aujourd’hui en soit arrivé au même point, car la Bible déclare que nous y arriverons, dans les derniers jours, concernant l’âge de l’Eglise de Laodicée, qui est riche, qui s’est enrichi, et qui n’a besoin de rien. « Et tu ne sais pas que tu es misérable, pauvre, malheureux, aveugle, et tu ne le sais pas. » C’est ça qui est triste : « Tu ne le sais pas ! » Aveuglé !
78 Pourquoi ces pharisiens, ces érudits des séminaires, n’ont-ils pas reconnu Jésus-Christ alors qu’Il était complètement identifié par la Bible, quand Il a prouvé qu’Il était le Prophète que Moïse avait dit qu’il serait suscité ? Et ils n’avaient pas eu de prophètes pendant des centaines d’années. Et voici qu’Il était parmi eux, avec la Parole même de Dieu, mais la Bible dit qu’ils étaient des « pharisiens aveugles. » Et la Bible nous dit qu’ils devaient être aveugles. Quelle chose pitoyable !
79 Et la même Bible, qui dit qu’ils devaient être aveugles, dit que l’âge de l’église de Laodicée serait aveugle, misérable, malheureux, pauvre, nu et aveugle, et il ne le sait pas.
80 Si on trouvait un homme dans la rue, ou quelqu’un dans cette condition, ce serait une chose pitoyable, si on allait donc vers lui pour lui parler, lui ou elle. Et si vous regardez l’habillement de certaines de nos femmes modernes, vous verrez qu’elles sont à peu près comme ça dans le naturel. Mais si vous allez vers elles pour leur dire qu’elles sont dans l’erreur et si elles entendaient, comprenaient qu’elles sont nues, elles chercheraient à s’habiller. Mais : « Nu, et tu ne le sais pas. »
81 Eh bien, aujourd’hui, Dieu a de nouveau envoyé le Saint-Esprit. En fait, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors Il est toujours le même Messie. Et la Vie de Christ est dans Son Eglise, confirmant Sa Parole. C’est comme ça que Dieu était sur la terre, sous la forme de Jésus-Christ, comme la Parole, pour faire vivre la Parole. Et le Saint-Esprit est aujourd’hui dans la chair, vivifiant la Parole de Dieu pour chaque promesse et chaque prodige. Et tout ce qu’Il a promis se trouve là.
82 Et il a été donné aux églises l’occasion de recevoir cette police d’assurances Vie Eternelle, mais elles ont commis l’erreur fatale que le jeune homme riche avait commise. Elles sont allées dans des conseils s’unir, se soumettant toutes à une espèce de chef ecclésiastique qui a été prédit dans la Bible. Nous voyons cela dans les systèmes de nos organisations. Et ils sont dans Rome et autres aujourd’hui. Eh bien, nous n’avons pas d’intérêt personnels à servir, nous n’avons pas à mâcher les mots, nous disons simplement la Vérité, telle que C’est écrit. Dieu confirme toujours Sa Vérité. Et il a été offert à l’église dans cet état où elle est de souscrire la Police d’assurance.
83 Et sur la même base, que beaucoup parmi vous, hommes d’affaires ici présents ce matin, membres de ces églises... je ne dis pas : « Quittez-les », non, non, allez-y et soyez la Lumière, mais emportez la Lumière avec vous. Voyez ? Remarquez.
84 Sur la même base où le jeune homme riche a rejeté cette occasion, l’église rejette aujourd’hui cette occasion pour la Vie Eternelle. En effet, l’église elle-même, cela détruirait l’héritage de leurs pères, les grandes traditions que les pères soutenaient. Et alors, si le Saint-Esprit descendait dans un grand système ecclésiastique, eh bien, je crains que les responsables ne supportent pas cela. Ça sera être excommunié de cette organisation. Voyez ? Et c’est à peine s’ils peuvent se le permettre, il ne serait plus « docteur, saint père », ou je ne sais quoi, il serait juste un homme ordinaire parmi nous.
85 Il n’y a pas de grandes personnes dans la chrétienté. C’est le monde qui a ça. Nous sommes tous pareils, des fils et des filles de Dieu, et il n’y a pas de plus saint que toi. Nous sommes des enfants de Dieu, par la grâce de Dieu.
86 J’ai lu dans la Bible que Dieu avait parlé à Jean sur l’île de Patmos, disant qu’Il haïssait « les oeuvres des Nicolaïtes. » Nikao : Conquérir les laïques, conquérir les laïques et placer toute la sainteté sur certains hommes. La sainteté est pour tous. Le Saint-Esprit était descendu sur tout le groupe. Il n’y a pas de saint homme, après tout, il y a un Dieu Saint. Nous ne disons pas : « La sainte église, un peuple saint. » C’est « le Dieu Saint. » Nous ne sommes pas saints, mais c’est Lui qui est saint. Il n’y a pas un saint prédicateur ; c’est le Saint-Esprit, oeuvrant au travers d’un prédicateur. Il n’y a pas d’hommes saints ; aucun de nous n’est saint. Mais, apparemment, bien souvent, les gens rejettent cette même occasion.
87 Dans Apocalypse 3, nous lisons ceci, que l’Eglise de Laodicée… On nous décrit l’un des tableaux les plus tristes de toute la Bible, dans Apocalypse 3, à l’Eglise de Laodicée. Toutes les autres églises, jusqu’à l’âge de Luther, et les Sept Ages de l’Eglise, chacun d’eux, ça ne s’est pas fait, on parlait de Jésus à l’intérieur de l’église : « Celui qui est dans l’Eglise. » Mais dans Laodicée, Il était dehors, frappant à la porte, essayant de rentrer. Quelle chose pitoyable à laquelle penser, à savoir : « Le Fils de Dieu, frappant à la porte de Sa propre Eglise, essayant de rentrer. »
88 Mais les richesses de ce monde ont aveuglé leurs yeux. Non seulement la richesse en argent, mais la richesse en popularité, la richesse dans les choses du monde, les soucis de la vie, au point que vous vous êtes associées, et les hommes intellectuels sont entrés et ont ôté le Grain, cette–cette Perle de grand prix. Mais Dieu a prédestiné un peuple à être là ; quelqu’un sera là. Mais ils rejettent Cela. Ils ne le feront pas eux tous, d’autres recevront Cela. Aujourd’hui, ils L’ont exclu de leur amour, leur amour de Sa Parole. Le… Ils prennent un credo et l’adoptent, tout ce que vous prenez à la place de quelque chose d’autre.
89 Par exemple, vous étiez marié à une belle femme. Elle vous aimait et vous l’aimiez, disiez-vous. Peu après, vous prenez une autre femme ou vous prenez un autre homme, vous devez d’abord rejeter votre premier amour.
90 Et c’est l’unique moyen pour nous de pouvoir adopter un credo, c’est quand nous rejetons notre premier amour, la Parole. Vous ne pouvez pas croire à une erreur, à moins d’être d’abord sorti de la Vérité. Mais nous en sommes arrivés à nous serrer la main et à les inscrire dans l’église. Ils continuent à fumer, à boire, à avoir des fêtes.
91 Hier soir, je parlais, en descendant dans un ascenseur. Il y avait dans l’ascenseur une dame qui disait qu’elle allait à une fête d’église ; elle disait : « Ça sera au sous-sol de l’église. Nous allons jouer au jeu d’arnaque, et on y distribuera des dindons; c’est dans le but d’aider à payer le pasteur et les missions. » Voyez, vous adoptez autre chose. Ce n’est pas ça le programme de Dieu. Si jamais on en arrive à ce que je ne peux pas prêcher l’Evangile sans devoir m’adonner à des choses pareilles, je fermerai la Bible et rentrerai chez moi. C’est dommage. Mais on vit ça (Pourquoi ?), parce qu’on a rejeté la police d’assurance Vie Eternelle. C’est ce qui est à la base, ils ont perdu leur amour.
92 Je suis allé à un petit endroit, dans le hall d’un hôtel, avant-hier soir; j’allais prendre un sandwich et j’ai dit à une dame : « Apportez-moi un–un sandwich avec un verre de babeurre. »
93 Je ne suis pas sûr de le prononcer comme il faut, ou pas. Mais la petite dame semblait être atteinte de chancre, avec tout ce bleu sous les yeux et autres ; et–et elle ne portait pas assez d’habits, on pourrait les mettre dans une boîte d’aspirine. Elle a dit : « Voulez-vous du bourbon avec des glaçons ? »
J’ai dit : « Pardon? »
Elle a dit : « Bourbon avec quoi ? »
J’ai dit : « J’ai dit du babeurre. » Voyez ?
Elle a dit : « Eh bien, que voulez-vous boire ? »
J’ai dit : « Du babeurre. »
Elle a dit : « Eh bien, nous avons des cocktails ici. »
J’ai dit : « Madame, je suis un ministre de l’Evangile. »
94 Elle a dit : « Nos… Je suis catholique. » Et elle a dit : « Nos prêtres viennent boire. »
95 J’ai dit : « Moi, je ne suis pas un prêtre catholique. Je suis un ministre de l’Evangile. »
Elle a dit : « Ne voulez-vous pas prendre un cocktail ? »
96 J’ai dit : « Ne mélangez rien avec cela, apportez-moi simplement du babeurre pur. » Oui. Et elle ne le savait pas. Mais vous y êtes, voyez, vous y êtes.
97 La religion, c’est la même chose que le monde. La religion signifie une couverture. Si vous pouvez vous couvrir du monde, vous agirez comme le monde.
98 Mais si vous vous couvrez du Sang de Jésus-Christ, vous serez rattaché à Lui, vous ne vous souciez plus de ces choses. Vous ne voyez que le Sang. Et Dieu ne reconnaît que le Sang. « Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous. » Amen. Nous sommes reconnaissants à Dieu pour ces choses. Maintenant, nous parlons de cette police d’assurance Vie Eternelle.
99 Et, bien souvent, je suis parmi ces pentecôtistes, ils–ils peuvent bien prêcher très rapidement, et–et moi, je–je–je suis si lent. Je suis un–je suis un rebelle pour commencer, un homme du Sud ; je–je dois simplement prendre mon temps. C’est comme ici dans la rue, on a failli me renverser, et je–j’ai reculé dans un coin, et j’ai attendu que toute la foule passe. Et alors, c’est comme s’il n’y avait pas de fin là ; je suis donc un peu lent, on doit me supporter un petit peu.
100 Pensons à–à certains détenteurs de cette police d’assurance. Investissons ceci, ou plutôt examinons ce matin ces gens qui ont souscrit cette police d’assurance dans le temps, afin que nous puissions voir si cette assurance est fiable ou pas. Je parle de la Parole de Dieu, qui est Christ dans la chair. Quelqu’un qui a été un détenteur de cette assurance; nous allons commencer dans le passé et passer rapidement en revue quelques détenteurs.
101 Il y eut une fois un homme à qui on avait offert cette assurance. C’était un fermier. Et le Seigneur Dieu l’a rencontré avec Sa Parole et lui a dit : « Il y aura un–un déluge qui va détruire le monde entier. Tu vas donc agir de façon vraiment drôle si tu veux recevoir cette assurance, mais cela te sauvera la vie. Je voudrais que tu construises une arche. » C’était Noé. Et malgré que le reste du monde religieux de l’époque pensait que le vieil homme était fou et que cela n’était certainement pas conforme à l’ordre scientifique de l’époque…
102 En effet, Jésus a dit : « Ce qui arriva du temps de Noé (un monde semblable), arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme », où beaucoup de noms figurent dans cette police d’assurance, et où Il est là ce matin, rachetant tous ceux dont les noms figureront dans ce Livre. Eh bien, dans peu de temps, le dernier nom y passera et ce sera… ce sera la fin. Entrez maintenant, mes frères. N’attendez pas. Dans peu de temps, ça pourra être trop tard. Venez maintenant pendant que vous en avez l’occasion, pendant que vous … pendant que cela vous est offert.
103 Nous voyons que Noé a fait cet investissement, c’était un fermier très populaire, et probablement qu’il connaissait beaucoup de gens, et il avait beaucoup de biens. Mais il a peut-être vendu sa ferme pour acquérir le matériel de construction de l’arche. Les gens se sont moqués de lui ; c’est Satan qui était à la base de cela. Il a peut-être été taxé de saint exalté.
104 Comme quelqu’un l’a déclaré ce matin, il était devenu un saint qui se roule par terre quand il a vu son nom écrit dans le Sang du Seigneur Jésus, comme quoi il voulait être détenteur de cette assurance.
105 Et lui, Noé, a fait la même chose. Il s’est débarrassé de ce qu’il avait, et il a construit une arche. On s’est moqué de lui, il a été tenté par Satan, mais nous voyons que son assurance avait payé, en épargnant sa vie ; non seulement sa vie, mais celle de sa maison.
106 Et je crois que c’est vrai. Pas seulement vous, peut-être une–une femme, une femme d’affaires, un homme, un homme d’affaires.
Vous direz : « Qu’est-ce que cela a à faire avec ma famille ? »
107 Une fois, on a posé cette question à Paul et à Silas. Le geôlier philippien a demandé : « Que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle ? »
108 Il a dit : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, toi et ta famille ! » Pourquoi ? S’il croyait réellement, pas faire semblant de croire, mais croire ! Jésus a dit : « Voici les miracles (Marc 16) qui accompagneront (pas peut-être), qui accompagneront ceux qui auront cru. » Et si vous avez assez de foi pour votre propre salut, vous pouvez aussi réclamer votre famille, par la foi. Si vous avez ce genre de foi, votre foi peut aider votre famille ; « toi et ta famille. »
109 Alors, la famille de Noé, voyant que le père, un homme bon, travaillait d’arrache-pied, ses fils, ses belles-filles et autres sont venus travailler d’arrache-pied avec lui, portant l’opprobre de la Parole. C’est ce qu’il vous faut toujours faire. Le Royaume de Dieu ne vient pas sans épreuves. Les hommes usent de violence pour Y entrer, entrer dans le Royaume de Dieu ; ce n’est pas en observant. Eh bien, cela a cependant porté des fruits : sa vie a été sauvée. Nous pouvons passer des heures sur Noé.
110 Mais passons à quelqu’un d’autre, du nom de Daniel. Comme il était prophète, il avait eu l’occasion de devenir le prophète de Dieu, et la Parole de Dieu vient seulement au prophète, pas par une autre voie. Elle vient toujours au prophète.
111 Shh, juste un instant. [Un frère parle dans une langue inconnue et un autre donne l’interprétation. – N.D.E.] Amen. Merci, Seigneur. Nous comprenons. A l’intention de ceux qui ne pourront peut-être pas comprendre, un homme d’affaires, je–je ne dirais rien de critique à ce sujet. Voyez, ça doit être une chose importante pour que le Saint-Esprit interrompe le message, pour faire pareille chose, donner un avertissement.
112 Maintenant, nous croyons dans le parler en langues comme un don. Autrefois, je pensais que c’était faux. Quand je venais d’abord d’entrer parmi les gens, je pensais que peut-être ces gens qui parlaient en langues, peut-être, ils ne faisaient que de la mascarade. Mais je ne disais rien, parce que, souvenez-vous, nous pouvons blasphémer contre le Saint-Esprit, c’est-à-dire parler en mal de la chose. Alors, j’ai découvert, quand je suis allé en Afrique et que j’ai voyagé à travers le monde, qu’il n’y avait pas un son sans signification. Chaque petit son et chaque petit mouvement avaient une certaine signification.
113 Donc, nous nous tenons bien tranquilles tant que le Saint-Esprit apporte Sa Parole. Et c’est peut-être la raison pour laquelle Il a interrompu le message, pour dire, comme je l’ai compris (j’espère avoir compris), ceci : « Ecoutez les Paroles du Seigneur, et obéissez aux Paroles du Seigneur. » Maintenant, souvenez-vous bien, ce n’était pas moi. C’étaient des hommes, les hommes qui ont des dons, le parler en d’autres langues. Et–et les hommes eux-mêmes ne diraient pas cela ; je ne le pense pas. Quand un message est donné, ils ne le proclameraient pas si ce n’était pas quelque chose que le Saint-Esprit voulait peut-être communiquer de toute urgence à une seule âme ici. Je ne sais pas. Voyez, je n’en sais rien, ça dépend de Dieu. Voyez ? Mais nous voulons toujours respecter et témoigner de la révérence pour tout ce que Dieu fait.
114 Maintenant, retournons à notre pensée sur les détenteurs de la police d’assurance même dont ces hommes sont remplis, pour apporter en plein message quelque chose, l’y insérer et dire : « Ceci est le Saint-Esprit », en d’autres termes, « qui vous parle. »
115 Daniel, c’est de lui que nous parlions… Il détenait une assurance. C’était un homme rempli de l’Esprit de Dieu. En effet, la Parole était en Daniel, Daniel était un prophète.
116 Et la Bible dit, dans Hébreux, chapitre 1 : « A plus… et de plusieurs manières et à divers endroits, Dieu a parlé aux pères par les prophètes. » Eh bien, le mot prophète est un mot composé qui signifie un révélateur des Ecritures, et quelqu’un qui prédit des événements à venir, pour montrer que Dieu ne change pas Son Message. Dans chaque âge, Dieu a toujours utilisé, non pas une organisation, ni un groupe ou un système, mais un homme.
117 Et le Dieu Immuable a frayé une voie dans le jardin d’Eden, par laquelle l’homme devrait être sauvé ; c’est par le Sang. Nous pouvons avoir des systèmes d’instruction et des systèmes de dénomination, mais Dieu rejette cela. C’est toujours le Sang. C’est l’unique voie.
118 Dieu utilise un individu. Deux hommes ne verront jamais une chose de la même manière ; ainsi, Dieu ne peut que prendre une seule personne dans Sa main ; c’est donc par là, par Moïse, Daniel et différents prophètes, par exemple. Et écoutez.
119 Vous direz : « Eh bien, qu’en est-il du Saint-Esprit ? » Le Saint-Esprit ne change pas cela.
120 Ecoutez, la Parole du Seigneur vient au prophète. Jean était le prophète de l’heure. Il se tenait dans l’eau, déclarant que le Messie était déjà quelque part au milieu d’eux. Il avait su cela par un signe. Et quand le Messie, qui était la Parole, est entré dans l’eau, vers le prophète ; la Parole venant au prophète !
121 Jésus a dit, pour ces jours-ci, Il a dit : « Lui (ce qui est un pronom personnel), Lui, le Saint-Esprit, quand Il viendra sur vous, Il viendra à vous, Il vous montrera ces choses que Je vous ai enseignées, et Il vous montrera les choses à venir. » C’est toujours la même chose, le Saint-Esprit est le Prophète parmi nous aujourd’hui. Le Saint-Esprit est le Prophète.
122 Daniel était un prophète. Les Paroles de Dieu, la Bible, étaient confiées à Daniel pour qu’il montre aux gens que Dieu était toujours vivant. Et Daniel résolut dans son coeur de ne pas souiller son investissement.
123 Oh ! si seulement l’église pouvait faire cela ! Si seulement l’église pouvait résoudre dans son coeur de ne pas souiller son investissement en s’associant aux choses qui vous introduisent dans un système qui vous éloigne de Lui !
124 Daniel prit une résolution dans son coeur. Et quel en fut le résultat ? Cela sauva sa vie des lions.
125 Les enfants hébreux avaient fait un investissement en Dieu, qu’ils ne briseraient pas Ses commandements, peu importe que la statue soit celle de leur saint frère Daniel. En effet, je crois que la statue était celle de Daniel, parce qu’il était le dieu de Belschatsar, et nous voyons qu’on avait fait une statue à l’image de ce saint homme. Peu importe combien saint était l’homme, ils ne devaient pas se prosterner devant une quelconque espèce de statue, peu importe à l’image de qui la statue était faite. Le monde des Gentils a commencé avec l’adoration d’une sainte statue, il va se terminer de la même façon, et vous voyez le système faire cela aujourd’hui. Donc, les enfants hébreux ne voulaient pas se prosterner devant une statue, et vous voyez que les dividendes tirés de leur investissement, c’était que leur vie avait été épargnée.
126 Maintenant, juste un instant, nous voyons un autre homme du nom de… C’est un homme d’affaires, un commerçant qui avait une activité commerciale. Il–il était un pêcheur. Il s’appelait Simon. Et son frère, c’était André. Son père s’appelait Jonas. Non, excusez-moi. Oui, c’était ça. Je pense que c’est ça.
127 Et nous voyons donc que le frère de ce pêcheur avait assisté au réveil d’un baptiste, Jean-Baptiste. Et il avait… cet homme qui baptisait a dit : « Ce n’est pas Moi qui ai cela, mais ça vient. »
128 Ce serait une bonne chose si notre organisation (et moi, j’ai été baptiste pendant un temps) faisait la même chose. Oui, Cela vient. Si vous… Cela devra venir d’En Haut. C’est une promesse.
129 Et un jour, ce baptiste, ou celui qui baptisait, a annoncé : « Le voilà, juste au milieu de vous. »
130 Cela a tellement ravi André qu’il est allé chercher son frère, le pêcheur.
131 Il était trop occupé à ses affaires ; finalement un matin, il a pu prendre part à un–un petit-déjeuner. Je ne sais pas à quoi il avait pris part, c’était là sur le rivage. Et alors, il est entré dans la Présence de cet Orateur, et l’Orateur a dit : « Tu t’appelles Simon, et tu es le père… ton père, c’est Jonas. »
132 Très vite, ce membre du sanhédrin, ce membre du grand corps ecclésiastique, qui avait lu sa Bible et qui savait que cet homme même, Moïse, dont ils étaient les disciples, leur avait dit que quand le Messie viendra, Il sera un Prophète… Il a écouté ce que la Parole avait à dire, sans tenir compte du système ecclésiastique dont il était membre.
133 Ne pouvons-nous pas aujourd’hui écouter le même Homme, Jésus-Christ, qui nous avait annoncé ce qui arriverait ici dans les derniers jours ?
134 Et quand il est venu devant cet Homme et que Celui-ci lui a dit qui il était, non seulement lui, mais son vieux père pieux qui était déjà parti, rapidement il a investi dans cette assurance Vie Eternelle, et il est devenu l’évêque de Rome, à l’église. Nathanaël, après…
135 Il y eut un homme du nom de Philippe qui avait vu cela et qui était très ravi ! Il a reconnu que c’était le Messie, parce qu’Il était un Prophète. Ils avaient eu toutes sortes de prophètes, mais ce n’était pas le bon genre de Prophète. Quand ils ont vu ce Prophète venir, Il était pleinement identifié par la Parole !
136 C’est comme ça que l’église est un prophète aujourd’hui, elle doit être pleinement identifiée par la Parole de Dieu, qui est un Prophète. Et si nous nous organisons et que nous formons des groupes, et que nous nous séparons les uns des autres, apparemment sans foi, comment allons-nous recevoir la Parole ? Voyez, nous ne le pouvons pas. Revenez à la Parole, Ceci est la Vie Eternelle : « Mes Paroles sont Vie. »
137 Maintenant, remarquez ce qui s’est passé. Nous voyons Philippe devenir si enthousiasmé qu’il contourna la montagne en courant. Si vous mesurez cela, ou jusque là donc, ça fait environ 15 miles [24 km]. Probablement qu’il est revenu le lendemain matin, amenant un homme, Nathanaël ; il avait trouvé son ami avec lequel ils avaient suivi une étude biblique. Et il était sous un olivier, priant ; en effet, il avait une plantation. Et, rapidement, il n’avait donc pas de temps à perdre, il était aussi détenteur d’une police d’assurance et il voulait la montrer aux autres. Quand vous recevez cette assurance, il y a quelque chose à ce sujet, vous en devenez très vite vendeur. Et il n’a point attendu ni parlé de l’évolution de sa plantation. Il a dit : « Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus, le Fils de Joseph, Jésus de Nazareth. »
138 Et, rapidement, ce Juif loyal issu de grandes cours du sanhédrin, de la synagogue, a dit : « Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »
139 Voyez-vous comment Dieu rend les gens humbles, les humilie ? Quand ils se font quelque chose, Dieu suscite un petit rien qui ne connaît même pas son ABC, et Il humilie simplement la chose. Voyez, c’est ainsi que Dieu s’y prend. En effet, Dieu reste toujours Dieu, Il prend un rien pour en faire quelque chose. Et s’Il était venu vers Caïphe, les souverains sacrificateurs ainsi que le clergé qui avait été formé à exercer le ministère à l’époque où le Messie était venu ? Ils auraient eu de quoi se vanter.
140 Et puis-je dire ceci, non pas pour être rude (J’espère que ce n’est pas ainsi qu’on me comprend) : cela ne s’était-il pas, peut-être, répété avec ce que nous pensons donc : « C’est nous les méthodistes qui avons la chose ; c’est nous les baptistes qui avons la chose », et Dieu peut susciter un homme qui n’est jamais sorti d’une école ou un groupe de gens, qu’Il peut oindre de Son Esprit, qui ne connaît même pas son ABC. La Bible dit que Pierre était un homme du peuple sans instruction. Mais ce qu’il avait, ils ont remarqué ça, parce que c’était Dieu qui vivait en lui. « Ce que j’ai, je te le donne », voyez, au boiteux.
141 Nous voyons donc qu’en ce moment important, cet homme a dit : « Eh bien, attendez donc une minute ; peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »
142 Eh bien, il a donné à l’homme une très bonne réponse; il a dit : « Viens, et vois. »
143 Ne restez pas à la maison pour critiquer, venez voir de vous-mêmes. Ne dites pas ou ne racontez pas ce que quelqu’un d’autre a dit. Venez voir de vous-mêmes.
144 En route, tout autour de la montagne, peut-être qu’ils ont parlé de l’époque où–où ils allaient acheter des poissons. Il a dit : « Te souviens-tu du vieux pêcheur qui ne pouvait même pas écrire son nom sur le reçu, le vieux pêcheur ? »
« Oui, je me souviens de lui. Simon. »
145 « Eh bien, aussitôt qu’il était entré dans la Présence de–de ce… [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] détenteur de la Vie Eternelle, eh bien, Il lui a dit, alors qu’Il promenait le regard tout autour, Il a dit : ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’ » Voyez ? Et Philippe a dit : « Tu sais que notre conducteur qui nous a laissé cette Parole, nous a enseigné que dans les derniers jours, pour nous, ‘un Prophète viendra’, le Seigneur Le suscitera parmi nous. » « Oh ! a-t-il dit, c’est à peine si je peux croire cela. Il me faudra aller voir. »
146 Aussitôt qu’il est entré dans l’auditoire, pas en critiqueur… Eh bien, j’espère que c’est ainsi que vous êtes venu ce matin, pas en critiqueur, juste venir voir si c’est vrai ou pas. Il est entré dans l’auditoire, il s’est bien tenu là. Et aussitôt qu’il l’a fait, observez cette Source de la Vie Eternelle, et la seule Source. Il s’est retourné et l’a regardé, et Il a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. »
147 Il a dit : « Rabbi (sans ambages), quand m’as-Tu donc connu ? Je ne T’ai jamais vu et Tu ne m’as jamais vu. Comment sais-tu quelque chose à mon sujet ? »
148 « Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. » La veille, à 15 miles [24 km] de l’autre côté de la montagne!
149 Quoi ? Il a investi dans une assurance sur-le-champ. Il est tombé à Ses pieds, cet homme loyal, un membre d’église. Quelle différence entre lui et le jeune homme riche ! « Rabbi, Tu es le Fils de Dieu ! Tu es le Roi d’Israël ! » Il a vite souscrit une police d’assurance.
150 Qu’en est-il de la femme au puits ? Ceux-là étaient des Juifs ; allons chez les Samaritains.
151 Et aujourd’hui, nous sommes chez les Gentils. Les Juifs et les Samaritains attendaient un Messie ; pas les Gentils. Nous adorions des idoles. Les Romains et les Grecs, et je ne sais quoi nous étions, nous adorions des idoles. Mais les Juifs attendaient un Messie, les–les Samaritains aussi, et nous voyons que le Messie se révèle seulement à ceux qui L’attendent. Si vous êtes ici ce matin, L’attendant, Il se révèlera. Sinon, Il ne le fera pas. « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. »
152 Donc, les Samaritains attendaient. Et Il allait à Jéricho, mais Il devait passer par la Samarie. Et pendant qu’Il était assis à la porte de la ville de Sychar, nous voyons que Ses disciples étaient allés acheter à manger. Et Il était resté seul.
153 Et une–une petite dame, une petite femme, une femme de mauvaise réputation, elle n’avait pas d’argent, elle n’était pas comme ce jeune homme riche. Elle est donc venue; tout ce que nous savons qu’elle avait, c’était une vieille cruche, et elle l’a posée par terre et s’est apprêtée à faire descendre le pouliot dans le puits pour puiser de l’eau.
154 Et elle a regardé à côté d’elle, un petit panorama, et il y avait un Homme assis là, un Juif, Il était, on disait, je pense… La Bible dit : « Toi, un Homme de pas plus de cinquante ans. » Je suppose qu’Il donnait l’air d’en avoir cinquante, mais Il n’en avait que trente et quelque. Et il n’était pas de coutume pour les Juifs et les Samaritains de communier, parce qu’il y avait une ségrégation. Alors, Il a dit : « Donne-moi à boire », contactant son esprit.
155 Elle a dit : « Eh bien, il n’est pas de coutume que vous, les Juifs, vous demandiez une telle chose à une Samaritaine. »
156 « Mais, a-t-Il dit, si tu savais à qui tu parles ! » Et alors, Il a saisi son esprit et Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’en ai point. »
157 Il a dit : « Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
Cela l’a arrêtée. Qu’était-ce ? Elle a dit : « Seigneur ! »
158 Vous souvenez-vous des pharisiens, quelques jours auparavant ? Ils avaient vu Jésus manifester le signe messianique qui montrait qu’Il était le Prophète qui était censé venir, et ils avaient dit : « C’est un spirite. C’est Béelzébul, le prince des démons, une espèce de diseur de bonne aventure. » Ils devaient avoir une réponse à donner à leur assemblée, les oeuvres ayant été accomplies. Ils devaient avoir une tête haute devant leur assemblée. Les oeuvres ayant été accomplies, ils ne pouvaient pas renier cela. Ils ont dit : « C’est un mauvais esprit. »
159 Jésus a dit : « Je vous pardonne. » L’Agneau n’avait pas encore été immolé. « Mais quand le Saint-Esprit viendra faire la même chose, un mot contre Cela ne sera jamais pardonné. » Voyez, voyez, nous les voyons donc ici dans cette condition.
160 Mais cette petite femme n’avait rien. Elle se tenait probablement loin de l’église, elle y avait vu tant d’histoires. En effet, au fin fond de son coeur, il y avait une semence, la Vie Eternelle : « Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. » Et aussitôt que cette Lumière l’a frappée, elle n’a pas taxé cela du diable. Regardez la différence entre cette femme et le clergé. Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète ! Nous savons que quand le Messie viendra, c’est ce qu’Il doit faire. Nous attendons un Messie. Nous n’avons pas eu de prophète depuis des centaines d’années. Mais notre conducteur, Moïse, nous a dit qu’un Prophète serait suscité dans les derniers jours et qu’Il serait le Messie », ce qui veut dire l’Oint, l’Oint.
161 Il était la Parole. Dieu est la Parole, et Il était en Christ. Et la Bible dit : « La Parole de Dieu, la Parole, est plus vivante, plus efficace, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants (Hébreux 4), Elle perce jusqu’à séparer la moelle des os et Elle juge les sentiments et les pensées du coeur. » C’est pourquoi Il pouvait les regarder et savoir ce qu’ils pensaient, parce qu’Il était la Parole. Il était la Vie. Il est toujours la Parole et Il est toujours la Vie. Et Il le savait ! Il fait la même chose. Eh bien, nous voyons…
162 [Une soeur donne une exhortation dans l’assemblée. – N.D.E.] Amen. Béni soit le Nom du Seigneur, pour Son message là-dessus.
163 Oh ! cette police d’assurance Vie ! La Vie ! La Vie, la plus grande chose qui existe, c’est la Vie. Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Eternelle, et c’est Dieu.
164 Maintenant, regardez cette petite femme, alors que la prophétie continuait, elle tenait une cruche en main. Mais elle en avait aussi une dans le coeur. Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète, et nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses. C’est ce qu’Il fera. Ça sera le signe de Sa confirmation. Il sera la Parole, perçante. Et Tu me dis exactement ce qu’il y a sur mon coeur. Qui es-Tu ? » Et Jésus a dit : « Je Le suis. »
165 Alors, ce pot est resté en place, mais cet autre a été rempli, et elle a souscrit cette police d’assurance Vie Eternelle. Il a dit : «Les Eaux que Je donne, c’est la Vie Eternelle ; Elle bouillonne et jaillit dans le coeur. »
166 Et alors, elle ne pouvait pas se tenir tranquille. Elle voulait que ses concitoyens aient aussi cette assurance, et elle est rentrée dans la ville. Franchement parlant, elle n’en avait pas le droit, c’était une femme de mauvaise réputation. Vous les hommes et les missionnaires ici, vous savez que dans l’Est, c’est toujours le… On ne l’écouterait pas. Mais, comment s’en abstenir ? Elle était pleine de Vie Eternelle. Ils devaient l’écouter. C’est comme une maison en feu par un jour venteux et sec, vous ne pouvez pas arrêter cela. Elle est partie ! Et non seulement cela, si elle n’avait pas été remplie, les hommes ne l’auraient pas écoutée. Mais elle avait quelque chose de sûr qu’elle savait. Et nous voyons qu’ils ont dit… « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? »
167 Et ils L’ont fait entrer dans la ville. Il n’a plus fait cela, mais les gens ont cru au témoignage de la femme. Et ils ont tous cru au Seigneur Jésus-Christ.
168 Rapidement maintenant, parce que je–je suis désolé de vous retenir comme cela. Mais si vous m’accordez seulement… Supportez-moi quelques instants encore, j’ai ici quelque chose que j’aimerais dire. Remarquez.
169 Nicodème était un grand homme, et il était un homme pieux. Il était un maître, un dirigeant parmi son peuple, un homme de renom.
170 C’est comme Siméon, le sacrificateur, à la naissance du Seigneur Jésus, le Saint-Esprit lui avait promis qu’il ne verrait pas la mort avant de voir le salut du Seigneur ; comment il était conduit par l’Esprit dans la pièce pour bénir l’Enfant !
171 Comment Anne, la prophétesse, aveugle, là dans un coin qu’elle ne quittait pas jour et nuit, mais au même moment (Personne ne lui en avait parlé), conduite par le Saint-Esprit, cette femme aveugle s’est frayée un chemin parmi les gens, elle s’est tenue à côté de Lui et a béni Dieu pour Lui. Si une femme physiquement aveugle, dans un mauvais état (et il y a ce matin à New York des gens qui sont plus aveugles que cette femme et qui voient des deux yeux), mais elle était conduite par l’Esprit, et l’Esprit de Vie l’a conduite à la Fontaine de Vie.
172 Puisque vous avez soif de Cela, il doit y avoir une Fontaine quelque part. David a dit : « Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. » En d’autres termes, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait d’abord y avoir de l’eau pour qu’il y nage, sinon il n’aurait jamais eu cette nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sur la terre, il devait d’abord y avoir une terre pour qu’il y pousse, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre. Et vous voyez ce que j’essaye de dire, s’il devait y avoir… Puisque vous avez soif ce matin, puisque les gens ont soif, cela montre qu’il y a une Fontaine de Vie ouverte quelque part (voyez), pour que vous répondiez à Cela. Il doit y avoir une Profondeur d’abord pour répondre à cette profondeur qui appelle (voyez), sinon il n’y aurait pas eu d’appel là.
173 C’est pourquoi les gens vont adhérer à l’église et inscrivent tout bonnement leurs noms dans un registre, au lieu de naître de nouveau, de souscrire la police d’assurance Vie. Puis, ils sortent directement et cherchent à étouffer ces saints appels en fumant, en buvant et–et en jouant à l’argent, et en courant çà et là, l’immoralité. Voyez-vous là ? Comment osez-vous étouffer ce saint appel de Dieu, que Dieu a mis là pour qu’on ait soif de Lui ? Vous n’en avez pas le droit.
174 J’ai une chose pour vous ce matin, c’est la Vie. C’est ce que vous voulez. C’est la Vie.
175 Et celle-ci est une vie pervertie, c’est la mort. C’est ce que la Bible dit : « La femme qui vit dans le plaisir est morte quoi que vivante. » Voyez ? Vous ne pouvez donc pas vivre dans les plaisirs du monde et avoir la Vie Eternelle.
176 L’assurance est rentable, mes amis. Alors, Nicodème, il est venu faire l’investissement. Il est venu la nuit, et il a trouvé la banque toujours ouverte. Donc, peut-être que c’est tard, mais c’est toujours ouvert. C’est ouvert, Lui, toujours, la–la banque est ouverte pour faire les affaires. Et alors, il–il a trouvé la Vie Eternelle, en venant à Jésus.
177 Examinons une autre personne, ou deux. Prenons Luc 24.49. Les disciples avaient cru au Seigneur Jésus, et il était alors temps pour la promesse, c’était proche Et alors, Jésus a dit à Ses disciples, aux détenteurs de l’assurance, qu’ils allaient tirer des intérêts là-dessus, mais qu’ils devaient attendre dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce qu’Il aille au quartier Général et qu’Il leur envoie Cela, jusqu’à ce que le chèque soit retourné. Il allait monter, Il l’avait signé de Son propre Sang, et Il montait pour leur envoyer les dividendes, mais ils devaient attendre leurs dividendes.
178 Eh bien, Il n’a pas dit : « Attendez cinq minutes, puis soyez découragés. » Si vous avez la foi en Celui qui vous parle, Dieu qui vous parle, Il a dit : « Restez jusqu’à ce que (Jusqu’à quand ? Une semaine, dix jours, cinq jours, je ne sais combien ?), jusqu’à ce que vous receviez cette rémunération, jusqu’à avoir les dividendes. Car voici, J’enverrai sur vous la promesse de Mon Père. Mais attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous receviez Cela, jusqu’à ce que vous soyez–vous soyez revêtus des dividendes d’En Haut, en contrepartie de votre police d’assurance d’avoir cru en Moi. »
179 Oh ! vous les baptistes, vous les méthodistes, vous les presbytériens ! Je ne veux pas être excité, mais c’est assez pour exciter quelqu’un. Pourquoi n’attendez-vous pas là ? Vous êtes détenteur d’une assurance, et Ceci produit des dividendes.
180 Dans Actes 19, Paul a demandé à ces baptistes. (Je suis moi-même un baptiste, je suis un baptiste pentecôtiste.), Il a donc demandé : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? » Eh bien, on nous enseigne que nous recevons le Saint-Esprit quand nous croyons, mais lui a demandé : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? »
181 Ils ont dit : « Nous ne savons pas qu’il y ait un Saint-Esprit. »
Il a demandé : « Alors, comment avez-vous été baptisé ? »
Ils ont répondu : « Nous sommes déjà baptisés. »
182 Il a dit : « Cela ne vaut plus. » Et quand ils ont entendu cela… « Ils devaient croire en Jésus qui devait venir.» Et quand ils ont entendu cela, ils furent baptisés au Nom de Jésus-Christ. Paul leur imposa les mains, et le Saint-Esprit vint sur eux ; et ils parlèrent en langues et glorifièrent Dieu.
183 Paul a aussi dit, là dans un autre chapitre, il a dit : « Si–si un ange du Ciel prêche un Evangile autre que Celui que vous m’avez entendu prêcher, qu’il soit anathème ; qu’il soit un évêque, un cardinal, qui qu’il soit. » Oui ! « Si un ange du Ciel », ne parlons même pas d’un cardinal, ni d’un évêque, ni d’un prédicateur, « prêche autre chose que cette assurance Vie Eternelle par Jésus-Christ, qu’il soit anathème. »
Vous avez dit : « Frère Branham, vous vous égarez… »
184 Je sais exactement où je suis, voyez. Je ne suis pas perdu. Je sais exactement où je suis. Il se peut que je sois excité, mais comme je l’ai dit ici l’autre soir…
Quelqu’un a dit : « Vous devenez fou. »
J’ai dit : « Eh bien, laissez-moi tranquille, je me sens mieux comme ça que je ne me sentais autrement; je–j’ai donc la Vie. »
185 En effet, c’est la Vie ! C’est de la folie pour le monde, mais pour moi, c’est glorieux. Je suis sauvé, alors que je ne l’étais pas. J’ai maintenant la résurrection de Christ en moi. Et il y en a beaucoup d’autres ici, des frères, qui connaissent cette Vérité ; vous avez Cela en vous, la résurrection ! Oui.
186 Ils sont montés, ces détenteurs de l’assurance, pour tirer des dividendes. Oh ! la la ! Mes frères prédicateurs, faisons cela ce matin, tirons des dividendes maintenant. « La promesse, a dit Pierre le jour de la Pentecôte, la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, les Gentils, (Ecoutez attentivement, frères.) en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Et c’est sûr qu’Il appellera tout celui qui a son nom dans le Livre de Vie de l’Agneau. Les dividendes, c’est pour tous, oui. « Pour vous, et pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin. » Et les intérêts produits par l’assurance ont déjà été versés le jour de la Pentecôte.
187 Eh bien, le jeune riche, Paul, a rencontré la même Personne, car Il est demeuré le même après Sa mort. Il est toujours le même.
188 Saul de Tarse, un homme bien formé, un érudit, pardonnez-moi. Et il–il était un homme de bien. Il avait été enseigné par Gamaliel, le grand docteur hébreu. Ses parents étaient riches. Paul était plutôt un homme riche. Il parlait plusieurs langues. Il était instruit. Ses ambitions étaient de devenir un–un homme de loi ; un des hommes de loi, ou un sacrificateur, ou quelque chose comme ça dans la… ou plutôt un homme de loi, dans son église. Intelligent, il connaissait la Parole. Il était riche, et il avait des ambitions.
189 Quand il a entendu parler de ce tas d’histoires drôles, de bruits, de cris et de parlers en langues, et, eh bien, il s’est dit : « C’est une honte pour la communauté de Jérusalem. On devrait mettre fin à ça. » Il a donc reçu des lettres de la part du souverain sacrificateur. Il–il est allé ravager l’église. Il est donc parti chez le cardinal ou l’évêque, ou je ne sais comment vous voudriez l’appeler, le souverain sacrificateur, et il a reçu de lui une lettre qui lui a été remise, et il est descendu à Damas.
190 Mais, vous voyez, l’église semble avoir toute l’autorité, avec les clefs du Royaume, et tout, et ils avaient choisi Matthias pour remplacer Judas. Mais voyez quel choix insensé l’homme peut faire ! Il n’a jamais rien fait. Il se peut qu’il ait été un homme de bien. Sans doute qu’il était un homme de bien. Sans doute qu’il était un humble serviteur de Christ. Mais, vous voyez, cela ne représente pas toujours le choix de Dieu.
191 Dieu a choisi un petit critiqueur de l’église, un petit Juif au nez crochu, assez colérique pour combattre une scie circulaire, et il le pouvait. Il était là sur son chemin. Il allait là arrêter ces saints exaltés. Il allait pour les enchaîner. Il allait pour les lier. Il en avait reçu le pouvoir de son évêque. Il allait le faire.
192 Et un jour, vers 11h, il fut terrassé avec ses papiers en main. Il a levé les yeux et a vu une Colonne de Feu. Vous savez, il–il a dû reconnaître Cela. Paul était mieux avisé pour adorer les idoles ou les mauvais esprits. Mais étant Juif, il savait que cette Colonne de Feu était la même Colonne de Feu qui avait conduit Son peuple hors d’Egypte, et Elle était là.
193 Quand Jésus était sur terre, Il a dit : « Je viens de Dieu, Je vais à Dieu. » Après Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection et Son ascension, Il était là, retourné de nouveau à Dieu, la Colonne de Feu.
194 Et Il a dit : « Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu ? Tu as des papiers en main. Tu es un grand homme. Tu viens de telle organisation, l’organisation la plus loyale et–et la plus honorée de la contrée. Tu as des papiers en main, mais tu agis mal. Pourquoi Me persécutes-tu ? »
195 Ecoutez ce Juif dire : « Seigneur ! » Il savait Qui C’était. Vous y êtes, la même Colonne de Feu qui avait conduit Moïse et qui parla ! Il n’avait jamais eu l’occasion de voir Jésus, alors il a dit : « Seigneur, Qui es-Tu, Toi que je persécute ? »
Et Il a dit : « Je suis Jésus. »
196 Et il était là sur son dos, vous savez, il–il a déchiré les papiers et a dit : « Que puis-je faire ? »
197 Il a dit : « J’ai un prophète là, du nom d’Ananias. Eh bien, descends la rue appelée La Droite, il te dira quoi faire. »
198 Le Seigneur parla alors à Ananias. Ce dernier vint et dit : « Frère Saul, le Seigneur Jésus t’ayant apparu en chemin et ayant voulu que tu souscrives cette assurance, je viens te la livrer en t’imposant les mains. » Il fut un homme changé. Observez la différence. Ce que le… Voyez ?
199 Après, Paul a vu cette confirmation claire, que ce n’était rien d’autre que la même Personne. Dieu et Christ, c’était la même Personne. Ce n’était pas de la folie parce qu’Il avait vu que la Parole était la Colonne de Feu, qu’Elle a été faite chair pour racheter ; et Elle était redevenue la Colonne de Feu, que Dieu et Christ, c’était la même Personne. Et Le voici, Il est revenu comme le Saint-Esprit, ainsi appelé aujourd’hui, parce qu’Il est sur un homme. Il a vu Cela clairement identifié, et–et confirmé : « Seigneur, que veux-Tu que je fasse ? Que dois-je faire ? » Eh bien, souvenez-vous, c’était un homme pieux, un homme d’affaires. « Que veux-Tu que je fasse ? »
200 Quelle différence là entre ce jeune homme d’affaires riche et cet autre jeune homme, Saul ! Pour l’un, le prix était trop élevé.
« Bien, direz-vous, Paul n’avait rien à abandonner. »
201 Il avait son église, ses frères. Il fut un fugitif loin de l’église après cela. Il a dû fuir. Et finalement, sa propre église lui a ôté la vie ; ils l’ont tué. Et nous le voyons persécuté de ville en ville, il fut lapidé et a failli mourir une fois, et tout ; ses propres frères. Et il a dit : « Je préférerais être anathème pour eux. » Il ne les méprisait pas. Quand il a reçu le Saint-Esprit, il les a aimés. Il voulait les sauver. Ne vous isolez pas ; allez vers ce genre là. Paul voulait être anathème ; en effet, c’était l’Esprit de Christ en lui, Il a été maudit et pendu sur un bois pour les Siens.
202 Et nous voyons la différence entre ce jeune homme, le chef riche, l’homme d’affaires, et Paul.
203 Paul a dû abandonner son instruction, toute sa théologie qu’il avait apprise au cours des années et des années de recherche et de formation. Il a dû oublier tout cela. Il a dit aux Corinthiens : « Je ne suis jamais venu vers vous avec intelligence et de grands mots de sagesse, de peur que votre foi ne puisse reposer sur la sagesse d’un homme. Mais je suis venu vers vous avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. »
204 C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, mes amis. C’est de cette police d’assurance dont je parle. Pas celle qui consiste à adhérer à une église, ou placer votre main sur cela ; je n’ai rien contre cela, c’est en ordre. Mais on est à une autre heure, c’est tout ce que j’essaye de vous vendre. Adhérer à une église… Je cherche à vous dire qu’il y a une police d’assurance et une Fontaine qui est ouverte pour le péché et l’impureté. Le péché, c’est quoi ? L’incrédulité. L’incrédulité à quoi ? A la Parole. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » C’est vrai.
205 Voyez quelle décision irréfléchie ! Ce jeune homme est comme beaucoup de gens aujourd’hui, qui tiennent compte de l’opinion publique. Il est parti. Au lieu de prendre cela au sérieux, il a perdu son assurance. Nous terminons maintenant.
206 Il… Avait-il donc été frappé d’un malheur ? Non. Il a eu le bonheur. Nous le voyons à un autre endroit, il avait eu tellement d’argent qu’il a dû reconstruire ses granges. Et il a même dit : « Mon âme, repose-toi. »
207 Eh bien, nous voyons là qu’il n’était pas un homme mauvais. Quand on organisait une vente de charité ou une fête d’église, ou quelque chose du genre, le pauvre en esprit couchait à sa porte; quelqu’un qui était un détenteur d’une assurance que lui avait refusée ; il lui jetait des miettes et lui donnait une offrande missionnaire ou quelque chose comme cela. Il n’était pas un homme mauvais. Voyez, il laissait tomber des miettes à l’intention de ceux qui étaient persécutés. Il disait : « Oh ! j’ai assisté à l’une de leurs réunions, je pense que c’est une bonne chose. Il n’y a vraiment rien que je puisse dire contre eux. » Il laissait tomber des miettes, mais cela ne faisait pas l’affaire. Finalement, sa rétribution vint.
208 Et, souvenez-vous, mon ami, ma rétribution, votre rétribution arrivent. Elle arrive pour nous tous. J’aimerais que vous y pensiez sérieusement maintenant, pour terminer.
209 Sa rétribution arriva, certainement. On organisa un grand service funèbre en son bonheur, sans doute que des membres du clergé bien formés vinrent parler. Peu importe, je pense, il avait des hommes d’affaires chrétiens dans son cortège funèbre. Et il avait la célébrité de la contrée là, et peut-être un membre du gouvernement, on a mis le drapeau en berne pour lui. Tous les dignitaires étaient là. Et sans doute que le pasteur, ou un homme, le sacrificateur, je ne sais qui a prêché à ses funérailles, il a prêché un –un sermon si puissant que les gens ont été touchés, montrant combien cet homme était grand : « Il donnait même aux pauvres dans la rue. Oh ! notre frère est au Ciel aujourd’hui. »
210 Mais Jésus a dit : « Il a levé les yeux depuis l’enfer, et il vit le détenteur de la Vie Eternelle, loin dans le sein d’Abraham, celui qui avait pris le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. »
211 Comme Jésus l’a dit : « Heureux serez-vous quand on vous persécutera, » dans Matthieu, chapitre 5, « qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de Mon Nom. Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume est à eux! Heureux les débonnaires, ils hériteront la terre. » Et vous êtes les détenteurs de l’assurance Vie Eternelle.
212 Cependant, il est resté membre d’église, voyez. Remarquez donc. Vous direz : « Est-ce vrai ? » Oui. « Comment pouvez-vous le prouver, prédicateur ? »
213 Le voici. Il a dit : « Père Abraham ! Père Abraham ! Je te prie d’envoyer ce détenteur de l’assurance ici, avec juste un peu d’eau. Ces flammes me tourmentent. »
214 Suivez Abraham : « Fils », un chrétien de nom, un croyant de nom, comme nous le dirions, voyez, « tu avais eu ton occasion. L’offre de la police d’assurance Vie Eternelle t’avait été faite, c’est ce qui t’aurait donné l’assurance de venir ici, mais tu–tu as rejeté Cela. Tu n’as pas voulu souscrire Cela. Et alors, ce pauvre homme a malgré tout accepté Cela. Maintenant, il est réconforté, et toi, tu es maintenant devenu un mendiant. »
215 Oh ! que ceci ne vous arrive pas, mes amis. Non, non. Ne commettez pas cette même er… [Espace vide sur la bande–N.D.E.]… la voie par laquelle l’assurance vient, c’est par Christ; l’assurance que vous êtes sauvé, que vous êtes détenteur de la police d’assurance. Eh bien, si vous ne l’avez pas, pourquoi ne pas la souscrire ?
216 Il se peut que vous pensiez, eh bien, comme ce jeune homme l’a dit ce matin : « Je–je suis allé à des endroits et eux tous… J’étais un grand homme d’affaires, on me faisait des courbettes, et des choses pareilles. » Ne considérez pas cela.
217 Tout récemment, un jeune musicien a effectué une tournée en Russie. C’était un chanteur. Et certainement qu’il a eu un–un grand succès chez les Russes. Et alors, tout le monde applaudissait et continuait comme cela, pendant que le jeune homme jouait sa musique. Et ils étaient si transportés, ils frappaient du pied et applaudissaient, mais le jeune homme ne faisait point cas de tous ces applaudissements. Et les gens se demandaient donc pourquoi. Ils se sont aussi dit : « Peut-être qu’il ne comprend pas. » Alors, ils ont de nouveau tous frappé très fort les mains, l’applaudissant. Ils… Il avait très bien exécuté sa musique. Mais ils ont encore remarqué qu’il–il–il ne faisait pas cas de leurs applaudissements. Et ils ont remarqué que son regard était tout le temps fixé sur le balcon ; ils ont fini par découvrir que c’était sur le maître qui l’avait formé. Il ne faisait pas cas de ce que les gens disaient ; il regardait ce que le maître en dirait.
218 Et je pense, aujourd’hui, mes amis, qu’au lieu de bomber le torse et dire : « Nous sommes membres d’église », levons les yeux et voyons ce que le Maître dit à ce sujet. Voyez ?
219 Inclinons la tête juste un moment. [Un frère parle en langue. Une soeur donne l’interprétation. – N.D.E.]
220 Avec nos têtes inclinées maintenant, nos coeurs aussi, je vais bien céder la place juste dans une minute ou deux. Je me demande ce matin, en toute sincérité donc, sans aucun dérangement, pensez-y juste un instant. Avez-vous reçu cette glorieuse Bénédiction ? Détenez-vous cette police d’assurance Vie, le témoignage du Saint-Esprit que votre vie est tournée vers Christ, et que Christ est en vous ?
221 Comme je l’ai dit dans le message, si Beethoven était en vous, vous feriez les oeuvres de Beethoven, vous mèneriez la vie de Beethoven. Vous ne pourriez rien faire d’autre. Vous ne feriez que composer des chansons. Et vous seriez un grand compositeur, Beethoven, parce qu’il serait en vous. C’est lui que vous seriez. Vous seriez un Beethoven réincarné.
222 Et si Christ est en vous, vous serez la Vie de Christ, un amoureux de la Parole. Rien ne pourrait résister à la Parole ni prendre Sa place, car Il est la Parole. Il ne peut pas renier Sa propre Parole et demeurer Dieu.
223 Et si vous n’avez pas reçu Christ dans votre coeur, vous êtes membre d’église. Eh bien, certainement que je n’ai rien contre l’église, ni contre les grandes institutions et organisations ainsi que les systèmes, mais je cherche à dire que ce n’est pas ça la réponse. Il est établi que ce n’est pas ça la réponse. C’est Christ qui est la réponse, la Personne de Christ. Et si vous ne L’avez pas reçu dans votre vie ce matin et que vous voulez que nous nous souvenions de vous dans la prière, je me demande si vous voudriez bien humblement le faire. Nous n’avons pas de place pour un appel à l’autel. Mais, vous savez, si vous… Je crois que si vous vous levez simplement, vous savez, et que vous dites : « Priez pour moi », juste pendant que vous êtes debout et que j’offre une prière, si vous croyez que Dieu va exaucer ma prière, je–je… et vous êtes sincère là-dessus, je crois qu’Il l’exaucera.
224 Et vous, dans les couloirs, et les foules autour des portes et tout, peu importe où vous êtes, aux balcons, sur les marches, veuillez simplement dire : « Je veux que Christ se souvienne de moi maintenant, je veux que Sa Vie soit dans la mienne. Je suis sûr que de par mon comportement, je–je suis sûr que de par ma façon de penser et les choses que je fais, que je veux être comme cela, mais je ne suis pas encore arrivé à ce niveau-là. Je–je veux vraiment avoir cette police d’assurance, Frère Branham. Vraiment, je veux Cela. Et demandez-Lui si je peux avoir Cela. Je suis prêt à recevoir Cela. »
225 Voulez-vous bien vous lever, et que je puisse alors prier pour vous ? Juste… Et que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. C’est bien, restez debout juste un instant. Restez simplement debout. Vous direz : « Ça me–m’intéresse, Frère Branham. Je–j’ai une âme, et je–j’aurai à mourir. Il se peut que ça m’arrive aujourd’hui, et quel bien cela me fera-t-il si je ne suis pas rempli de cette Vie ? » En effet, souvenez-vous, toute autre vie doit périr ; elle a un commencement.
226 Vous direz : « Bien, je suis membre de telle église depuis des années. » C’est très bien. J’apprécie ça. Mais ce n’est pas ce dont je parle en ce moment même. »
227 Etes-vous détenteur de la Vie Eternelle ? Voudriez-vous bien vous lever là aux balcons, devant, à droite et à gauche ? Que Dieu vous bénisse. Levez-vous.
228 Vous qui êtes déjà debout dans les couloirs, veuillez simplement lever la main ; en guise d’identification, quelque chose que vous pouvez faire, pour vous mettre en mouvement : « Je L’ai accepté moi-même, ce matin. » Que Dieu vous bénisse. Très bien.
229 Et sur les escaliers, où que vous soyez, levez simplement la main et dites : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham. Je–je suis… J’ai vraiment besoin de la Vie Eternelle. »
230 Maintenant, pensez-y très sérieusement. Ce–c’est peut-être le temps où tout pourrait être réglé. Je vais–je vais être sincère, mes amis, ceci est la Vie pour moi. Et je–je–je sais que c’est vrai. C’est vrai.
231 Y en aurait-il d’autres ? On dirait qu’il y en avait plus que ceux qui ont levé la main il y a quelques instants. Eh bien, si vous n’êtes pas sûr, voudriez-vous juste faire ceci : vous lever seulement et dire : « Souvenez-vous de moi dans votre prière, Frère Branham, pendant que vous priez. » Très bien. Combien encore ? Levez-vous, peu importe qui vous êtes, levez-vous simplement et dites : « Priez pour moi, frère. » Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, là aux balcons et aux alentours. Maintenant, êtes-vous sûrs que c’est tout ? Que Dieu vous bénisse. Un autre groupe s’est levé. Y en aurait-il d’autres maintenant ? Levez-vous simplement. Dites…
232 Eh bien, je sais que nous sommes en retard, et le Saint-Esprit nous a interrompus à quelques reprises. Bien, c’est merveilleux, nous aimons que le Saint-Esprit fasse cela, voyez, tant que c’est Lui qui apporte Sa Parole. Cela montre que ce n’est pas seulement ma parole, mais c’est Sa Parole aussi. Très bien.
233 Maintenant, levons-nous, voyez, tout celui qui n’est pas rempli du Saint-Esprit, qui sait qu’il n’y a aucune évidence dans sa vie de ce qu’il est rempli du Saint-Esprit, et qui veut Cela.
234 Maintenant, il se peut que vous soyez un bon et loyal membre d’église. Et cela, oh ! comme j’apprécie cela, certainement. Continuez simplement avec votre église. C’est bien. En effet, les vierges endormies viennent maintenant, vous voyez cela. Et, souvenez-vous, Jésus a dit que quand les vierges endormies… celles qui essayaient de mener une bonne vie d’elles-mêmes, c’étaient des vierges, mais elles n’avaient pas d’Huile. L’huile symbolise l’Esprit. C’est pourquoi nous oignons avec l’huile, voyez. L’huile symbolise l’Esprit. C’étaient de bonnes gens, des gens excellents, de bons membres d’églises méthodiste, baptiste, luthérienne, toutes sortes d’églises, mais ils n’avaient pas d’Huile.
235 Et elles sont venues à la dernière veille, le Septième Age de l’Eglise, pour acheter de l’Huile. Et pendant qu’elles achetaient de l’Huile, qu’est-il arrivé ? L’Epoux vint. Eh bien, cet éminent prédicateur ici venait de lire cela dans les Ecritures il y a quelques instants. Et ne voyez-vous pas, vous les pentecôtistes, qu’il n’y a jamais eu de temps au cours des âges, là au cours des âges, il n’y a jamais eu un temps où les méthodistes, les baptistes et les presbytériens ont réclamé le Saint-Esprit comme ils le font aujourd’hui? Voyez ? Et alors, c’est quoi ? Il est venu à ce moment-là même ! C’était l’heure de Sa Venue. Et juste pendant qu’ils… Tous ces frères et toutes ces églises ont faim, ça doit… Cette vierge se tiendra, vous savez, dans le dernier jour, au Jugement du Trône Blanc ; mais pas l’Epouse.
236 Eh bien, si vous n’avez pas d’Huile dans votre lampe, pendant que les portes de la miséricorde, je l’espère, sont encore ouvertes, ne voudriez-vous pas vous lever pour dire : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham. » En faisant cela, pour Dieu, cela signifiera : « Je vais… je n’ai pas d’Huile dans ma lampe, Frère Branham, je–je crois en Christ. Certainement, je crois. Ça fait longtemps que je suis membre d’église. Mais quant à dire que ma vie est réellement remplie de cet aimable Saint-Esprit, que tout est différent, que je suis une nouvelle création, ce n’est pas ce que je suis, Frère Branham. Priez pour moi. » Que Dieu vous bénisse maintenant. Il y en a beaucoup, beaucoup, debout, aux balcons et partout.
237 Maintenant, je voudrais que vous, les frères prédicateurs ici, mes–mes précieux frères, chacun de vous, vous priiez avec moi maintenant, alors que nous prions.
238 Qu’est-ce qui a fait que vous vous leviez ? Voyez, vous êtes une vie. Il y a quelque chose en vous. S’il n’y avait pas de vie, vous ne vous lèveriez pas. Et selon la science, voyez, la pesanteur vous retiendrait en bas. Mais un–un esprit en vous vous a poussé à prendre une décision, à partir du témoignage d’un autre Esprit, une Vie qui dit : « Tu as besoin de Moi », et vous vous êtes levé. Vous avez défié les lois de la nature en vous levant en guise de témoignage. Jésus a dit : « Celui qui rendra témoignage de Moi, en d’autres termes, devant les hommes, Je rendrai témoignage de lui devant Mon Père et les saints anges. » Maintenant, vous avez besoin du Saint-Esprit.
239 Eh bien, si certains d’entre vous sont près de ces gens qui se sont levés, et que vous avez le baptême du Saint-Esprit, voudriez-vous… Je ne peux pas les atteindre tous, nous n’en avons pas le temps. Aux balcons, partout, voudriez-vous simplement lever la main et la leur imposer (voyez) à titre commémoratif ?
240 Vous savez, ils… quand Philippe est allé prêcher aux Samaritains, ces derniers n’avaient toujours pas reçu le Saint-Esprit, voyez. Philippe les a seulement baptisés au Nom de Jésus-Christ, mais le Saint-Esprit n’était pas descendu sur eux. Pierre et Philippe sont allés là, ou plutôt… Pierre et Jean sont allés prêcher, ils leur ont imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux.
241 Maintenant, vous les croyants qui avez reçu le Saint-Esprit, regardez qui est debout, tout autour de vous, puis, imposez-lui les mains en commémoration que vous êtes croyant, touchez sa main ou quelque chose comme ça pendant que nous prions. Ne doutez pas. Croyez donc. Ce n’est pas une émotion, c’est la douceur du Saint-Esprit qui descend remplir chaque vie. Maintenant, ils sont entre vos mains. Vous avez établi un contact avec eux. Juste comme quand vous imposez les mains…
242 Le Juif posait sa main sur le sacrifice pour s’y connecter. Un jour, vous avez posé les mains sur Jésus et vous vous êtes connecté au Sacrifice. La Vie du Sacrifice est revenue sur vous. En fait, ce soir, je pouvais parler à l’église ce soir sur Le signe, et Il est sur vous maintenant.
243 Et vous vous êtes connectés à cet homme ou à cette femme qui veut croire. Levez-vous simplement maintenant et imposez les mains à ceux qui veulent recevoir Cela. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Quel moment merveilleux ! Ne doutez donc pas. Ne soyez pas pressé. Souvenez-vous simplement, priez pour cette personne.
244 Et vous, priez aussi, dites : « Seigneur Jésus, mon pauvre coeur a faim. Je Te veux dans mon coeur. Je Te veux dans ma vie. Remplis-moi, Seigneur. Je suis ici, prêt. »
245 Notre Père céleste, beaucoup sont debout, ils disent par cela qu’ils veulent la Vie. Et la Vie vient seulement par l’obéissance à Christ. Il est la Vie. Il a une exigence qu’il nous faut remplir. Et en remplissant cette exigence… Comme nous nous souvenons d’Abraham, il avait cru en Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Et après que cela lui fut imputé à justice, Dieu lui donna le sceau de la circoncision comme une confirmation qu’Il avait agréé sa foi. Beaucoup de ces gens professent avoir la foi, mais ils ne sont pas encore scellés par le Saint-Esprit. Et maintenant, ils sont debout, Seigneur, pour montrer qu’ils croient effectivement. Scelle-les maintenant, Seigneur, de Ton Saint-Esprit. Puisse-t-Il descendre sur eux et sceller chaque coeur ici même, maintenant. Que le Saint-Esprit descende dans cette salle de bal, en ce moment même.
Et, Satan, sors de leur vie, relâche-les.
246 Et que la puissance de Jésus-Christ ressuscité vienne sur ces gens en ce moment même, et puissent-ils être remplis de la puissance et de la résurrection de Jésus-Christ. Amen.