Encore une fois

Date: 63-1117 | La durée est de: 1 hour and 52 minutes | La traduction: Shp
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1 J’aimerais dire que je… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.] J’apprécie ça. Merci beaucoup. J’aimerais dire que moi aussi j’aime certainement cet homme. Frère Joseph est mon ami depuis des années. J’aimerais un jour avoir l’occasion de vous raconter comment nous nous sommes donc rencontrés. Mais je–je pense bien que si le Seigneur m’aime comme frère Joseph m’aime, alors tout ira très bien pour moi. Que Dieu vous bénisse, Frère Joseph. [Frère Joseph Boze dit : « Merci. » – N.D.E.] Que le Seigneur vous bénisse.

2 Je pense que nous allons chanter Maintenant, je crois. Disons-le du fond de nos coeurs ce soir : Maintenant, je crois. Très bien. Maintenant, je crois, maintenant, je crois
Tout est possible, maintenant, je crois ;
Maintenant, je crois, maintenant, je crois ;
Tout est possible, maintenant, je crois.

3 Inclinons la tête juste un instant pendant que nous sommes debout. Et, en ce moment-ci, inclinons aussi nos coeurs devant Lui. Maintenant, je me demande s’il y a quelqu’un dans cette assemblée qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans cette prière, qu’il lève simplement la main vers Dieu pour dire : « Ô Dieu, par ceci, je montre que j’ai aussi un besoin auquel j’aimerais que Tu pourvoies. » Que Dieu vous accorde votre requête.

4 Notre Père céleste, le Grand et Tout-Puissant Jéhovah, Toi qui as créé la terre à partir de Ta Parole et qui nous as donné l’occasion de séjourner ici et de décider si nous voulons vivre ou mourir. « Choisissez aujourd’hui. » Et nous choisissons entre la mort et la Vie. Ainsi, je Te prie, ô Père, s’il y en a ici qui ne Te connaissent pas comme leur bien-aimé Sauveur personnel, qu’ils Te choisissent ce soir ; en fait, Te connaître, c’est la Vie. Et ensuite, s’il y en a ici ce soir qui sont malades et sujets à la mort physique, qu’ils Te choisissent ce soir comme leur Guérisseur, et cela représentera aussi la restauration de leur corps une fois de plus.

5 Oh ! Tu es si bon envers les fils des hommes ; Tu uses de patience, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. Tu envoies des nuages pour la pluie, Tu produis le fruit et la nourriture sur la terre pour nourrir Tes enfants. Et nous sommes si indolents, ô Seigneur, si destructeurs, gaspilleurs, égoïstes. Et, ô Dieu, pardonne-nous simplement, Seigneur. Nous–nous implorons miséricorde. Nous ne voulons ni Ta justice ni Ton jugement ; nous voulons Ta miséricorde, Seigneur, aussi prions-nous que nous puissions bénéficier de Ta miséricorde.

6 Et, Père, ce n’est pas pour que cette assemblée m’entende, mais afin que Toi, Tu m’entendes pendant que je me tiens ici en cet endroit consacré, je Te remercie pour cette merveilleuse communion. Et je crois, de tout mon coeur, que si Tu devais venir ce soir, il y aurait un grand nombre de gens de New York qui irait dans ce glorieux Enlèvement. Et, Père, nous prions que nous devenions des lampes, non pas des lampes placées sous un boisseau, mais sous l’onction du Saint-Esprit qui allume la chandelle, afin que nous devenions des lumières pour ce monde qui se meurt, alors que ces gros nuages sombres d’incrédulité affluent de tout côté. Nous savons que bientôt nous verrons notre Seigneur franchir ce nuage, quand la Lumière commencera à briller. Et nous espérons, Seigneur, que Tu nous auras apprêtés. S’il y a un besoin parmi nous ce soir, pourvois à cela pour nous, Seigneur, par Ta grâce. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

7 Je ne suis pas très éloquent. Mais j’aimerais dire au pasteur Vick, à son jeune collaborateur ici ainsi qu’à la chorale, ce groupe de braves dames et de braves hommes, à tous les pasteurs qui collaborent, aux laïcs, à vous tous, les visiteurs, les étrangers dans nos murs, j’aimerais vous remercier pour votre soutien durant cette semaine, vos prières et votre collaboration, en fournissant des efforts pour que la Lumière de l’Evangile soit apportée à cette ville.

8 Et nos efforts, ceux du pasteur Vick et de beaucoup d’autres pasteurs sont… Nous pêchons à la seine dans ce grand lac. Il y a ici des poissons qui appartiennent à Dieu. Nous ne savons pas qui ils sont ni où ils sont. Mais pendant qu’il se tient dans un coin, un autre dans un autre coin, pêchant à la seine, je viens simplement mêler mon filet aux leurs, le ministère qui m’a été donné aux leurs, pour essayer d’atteindre un–un groupe un peu plus large et le faire entrer, et nous pourrons le présenter à Dieu en disant : « Père, y a-t-il un poisson ici ? Y a-t-il des semences de vie, prédestinées à être dans le Livre de Vie, pour lesquelles l’Agneau est mort ? » S’il y en a, nous pensons que quand la Lumière de l’Evangile les frappera, elles La verront très vite, parce qu’elles sont prédestinées à cela.

9 Maintenant, nous sommes désolés de ne pas disposer d’une salle convenable pour les gens. Chaque soir, pratiquement, à mon arrivée, je trouvais de très grandes foules de gens ici et là dans la rue, marchant, cherchant à entrer. Certains pleuraient, d’autres indifférents, vous savez.

10 Mais je sais que c’est… qu’il y a une loi ici, la loi anti-incendie, selon laquelle il faut un certain nombre de gens, il faut laisser les allées très dégagées et tout. Et alors, on n’y peut rien. En effet, nous sommes, en tant que chrétiens, il nous faut observer cela. Car la Bible dit, Jésus nous a dit de le faire : « Rendez à César ce qui est à César; et puis, à Dieu ce qui est à Dieu. » C’est ce que nous essayons donc de faire. Et si nous n’obéissons pas à César, il est douteux que nous obéissions à Dieu. Et tant que–que les lois de César n’interfèrent pas avec celles de Dieu, il nous faut premièrement obéir à Dieu. Ainsi donc, ces risques d’incendie et autres, eh bien, eux–eux savent s’en occuper, et ils nous en ont prévenu.

11 Je–j’implorais miséricorde pour les gens, en les voyant çà et là dans des rues, et tout, des malades cherchant à entrer, et on les amenait à bord des taxis de quelque part ailleurs, de New York, de Long Island, de Jersey et de divers endroits, ainsi que de Manhattan. Eh bien, vous voyez, mais c’est tout ce qu’on–on peut faire, implorer. Et puis, comme je vois que c’est une loi, eh bien, on a dit : « Si la police anti-incendie venait nous trouver bondés comme ceci, elle arrêterait toute la série des réunions. » Alors, cela mettrait tout le monde dehors.

12 J’aimerais exprimer ma reconnaissance au–au–au propriétaire, ou je ne sais qui, ou à l’entreprise propriétaire de ce bâtiment et au gérant, pour nous avoir accordé ce bâtiment, et au concierge pour sa courtoisie en nous laissant avoir l’accès. Ils ont été très, très gentils. Et s’ils sont… Si en ce moment-ci ils n’ont pas la Vie Eternelle, je crois que Dieu la leur accordera.

13 Et maintenant, ceci peut sembler être une–une forte déclaration, mais je le dis uniquement par zèle pour Christ. Et je prie réellement, si ce bâtiment est utilisé, à n’importe quel moment, à partir de maintenant, pour des danses ou des loisirs mondains, que le Saint-Esprit convainque tellement les gens qu’ils pleureront. Je prie pour cela. En effet, je suis sûr que même les propriétaires préféreraient voir des âmes être sauvées pour le Royaume de Dieu plutôt que de voir autre chose s’y passer.

14 « Et maintenant, soyez le bienvenu prochainement », c’est pour que je revienne ; cela comble bien mon coeur. En effet, ces drôles de petits ministères ne sont parfois pas les bienvenus parmi les frères, surtout parmi ceux-là qui–qui, dans certaines organisations, ont atteint le niveau où ils ne peuvent pas accepter cela (voyez ?), parce qu’il y a un système derrière cela. Ce n’est pas que beaucoup de ces précieux hommes…

15 J’ai rencontré des prêtres catholiques qui m’ont pris par la main et qui m’ont regardé droit dans les yeux. Et, pensez-vous que je ne savais pas ce qui se passait dans leur esprit ? C’est le discernement, vous voyez, ce que vous voyez ici. Il voulait recevoir Cela, mais il ne pouvait pas le faire (voyez ?) ; il–il serait excommunié. Voyez ? Des prédicateurs protestants, c’est pareil, de braves frères, et ils–ils veulent recevoir cela.

16 Ainsi, quand je parle contre une dénomination, ou contre le système dénominationnel, ce n’est pas contre les gens qui y sont. C’est au système que je m’en prends (voyez-vous ?), qui garde ces gens séparés, qui nous empêche de recevoir cela. Voyez ? Ils élaborent leurs déclarations, disant : « Nous croyons ceci, point. » S’ils terminaient cela par une virgule : « Nous croyons ceci, plus tout ce que le Seigneur peut nous montrer dans Sa Parole », ça serait en ordre. Mais ils ne le font pas comme ça. Vous savez cela. Elle ne pourrait pas être une dénomination et faire cela. Voyez ? Ce serait bien une action de Dieu, continuellement en cours. Voyez ? Et le…

17 Chacun devient la pluie de l’arrière-saison pour l’autre. Voyez, le… Luther était la pluie de l’arrière-saison pour les catholiques. Et John Wesley était la pluie de l’arrière-saison pour Luther. Les pentecôtistes étaient la pluie de l’arrière-saison pour la dénomination. Aujourd’hui, les pentecôtistes se sont organisés ; alors, que va-t-il arriver ? Voyez ? Voyez ? Voyez ?

18 Mais rappelez-vous, les enfants de Dieu n’enfonçaient jamais les piquets, de leurs tentes ou–ou… de façon solide, mais telle qu’ils les enlevaient. Et quand le Feu se déplaçait, la Colonne de Feu, ils se déplaçaient avec Cela. Voyez ? Ils se déplaçaient avec la Colonne de Feu.

19 Mais quand vous voyez la Colonne de Feu faire quelque chose, le Saint-Esprit faire quelque chose, et puis après, cet homme qui a le Message quitte ce monde, alors on dit qu’ils forment une organisation à partir de son oeuvre. Et la Colonne de Feu abandonne carrément cela et les laisse plantés là. Elle continue simplement d’avancer. Ils sont tellement enfoncés qu’ils ne peuvent pas se déplacer, et… mais il y a là beaucoup de bonnes personnes.

20 Je ne sais pas si mon coeur a eu plus de liberté d’expression que ce que j’expérimente maintenant.

21 Eh bien, là… on dit que les habitants de New York sont froids, indifférents, formalistes ; qu’ici, c’est le grand moule où on trouve une poignée de pires gens de chaque nation, et on les jette là, on les broie et on obtient New York. Voyez ? Mais j’aimerais que vous sachiez qu’il y a là aussi des saints de Dieu. Voyez ? C’est vrai. C’est la vérité. Et partout où je vais, à travers le monde, je trouve des saints de Dieu dans chaque nation, partout. Et la chose étrange, c’est…

22 Voici ce que je peux dire à certains d’entre vous, juste l’insérer. En tant que missionnaire, je–je vois cela quand je vais dans une nation qui ne sait même pas distinguer la main droite de la main gauche, où ils ne savent pas ce que sont des mots, comment épeler quoi que ce soit ; tout ce qu’ils savent, c’est tuer et manger, c’est tout. Mais laissez ces gens-là recevoir le Saint-Esprit, alors, ils feront la même chose que vous, ils agiront comme vous, sans même savoir une seule parole à ce sujet. Vous voyez donc que ce sont toutes les races, tous les peuples partout, et nous avons tous de bonnes et de mauvaises choses.

23 Et ce soir, j’en ai la nette impression, et je remercie notre Père céleste, car je–je crois que c’est à une partie de la crème de la moisson que j’ai le privilège de parler ce soir.

24 Eh bien, vous pouvez vous représenter la responsabilité qu’il y a de parler à un–un groupe qui s’accroche à chaque parole que vous dites. Et puis, vous aurez à répondre au Jour du Jugement pour ce que vous leur aviez dit. En effet, par cet humble petit ministère, les gens reçoivent la foi en voyant qu’un être humain ne peut pas faire ces choses. Cela doit venir de Dieu. Par conséquent, ils s’accrochent à chaque parole que vous dites. Ainsi, je ne cherche jamais à élaborer quelque chose, penser ou écrire des passages des Ecritures, et–et des notes, me disant que ce serait quelque chose qui réjouirait beaucoup les gens. Voyez, je–j’essaie de prier et de penser à quelque chose qui pourrait vous édifier, qui vous aiderait.

25 En effet, je ne suis pas ici juste pour… pour que nous applaudissions et que nous criions, que nous courions çà et là dans les allées. Oh ! je crois en cela, assurément, mais il–il y a plus que cela, là. Il faut que cela ait un fondement. Voyez ? Je pense que quand vous sautez et que vous redescendez, il vous faut ensuite vivre à la hauteur de votre saut, vous voyez ? Et si vous ne le faites pas, ne sautez pas. Voyez ? Ainsi donc, sautez chaque fois à la hauteur de votre vie, c’est tout. Et maintenant, c’est–c’est ce qu’il nous faut faire. En effet, après tout, vous voyez, votre–votre vie parle plus fort que votre témoignage, vous le savez. Voyez, les gens savent ce que vous êtes par votre façon de vivre et par les choses que vous faites.

26 Et maintenant, j’ai été très long le soir. Je suis censé sortir d’ici, eh bien, je pense, à l’heure exacte, dans les vingt prochaines minutes, et je n’ai même pas commencé. Et je–je suis lent. Donc, je–je…

27 Je–je suis toujours en retard. Je–je–je suis né en retard ; j’avais un peu dépassé neuf mois. Et puis, j’étais… C’est vrai. A ma naissance, j’avais un peu dépassé le temps, c’est ce que ma mère disait. Et puis, quand j’ai reçu l’instruction que j’ai eue, j’étais toujours en retard. Et quand je me suis marié, j’ai fait attendre ma femme pendant environ trois heures, le temps que je termine d’appeler les malades ; j’ai été en retard à mon mariage. Eh bien, si seulement je peux être en retard à mes funérailles, là, c’est la prochaine chose (voyez) ; c’est la chose principale. Je ne dis pas cela pour un… mais c’est la vérité.

28 Mais je–je n’ai jamais essayé d’Y faire entrer les gens par l’instruction. Je n’ai jamais osé y penser ; je laisse simplement le Saint-Esprit s’y prendre à Sa manière.

29 J’ai deux filles chez moi. Je venais de leur parler il y a quelques instants. L’une d’elles, c’est Rebecca, l’autre… Celle-là, c’est l’aînée. La plus jeune, sa soeur qui la suit, c’est Sara. Et elles ont pratiquement un écart de cinq ans. Il y a quelque temps, je tenais une série de réunions une série de réunions dans les champ des missions, je suis rentré tard chez moi. Et ce sont des filles à papa. Et même maintenant, Rebecca est une jeune fille, mais elle est toujours une fille à papa. J’aime mes enfants. Et je me souviens qu’elles restaient éveillées à m’attendre. Je ne revenais pas des mois durant. Et puis, à mon retour, elles attendaient de me voir. Eh bien, elles étaient alors des petites. Il y a de cela plusieurs années, environ dix ans passés. J’étais allé outre-mer, et j’en revenais. L’avion avait connu un retard, et alors, les petites filles avaient eu sommeil et elles étaient parties au lit. Le marchand de sable leur était entré dans les yeux, ou plutôt leur avait jeté du sable dans les yeux. Ainsi donc, eh bien, ma femme est restée éveillée.

30 Et finalement, je suis rentré aux premières heures, vers trois heures du matin. Et alors, j’étais très fatigué et épuisé, je n’arrivais pas à dormir. Je me suis couché pendant environ une heure, puis je me suis réveillé, je suis allé au salon et je me suis assis dans un fauteuil. Et, peu après, c’était l’aurore.

31 Et tout d’un coup, vous savez, j’ai entendu du bruit, là dans la chambre, et c’étaient les deux fillettes qui s’étaient–s’étaient réveillées. Rebecca s’était réveillée la première, une idée l’a frappée : « Papa est à la maison. » Et elle est venue, sortant de son lit, et elle est venue là. Eh bien, cela a réveillé sa jeune soeur.

32 Je–je pense que mes enfants sont comme les vôtres. Dès que quelque chose est pratiquement usé entre les mains de l’aînée, ça passe à celle qui la suit, l’habit usagé. Ainsi, Sara portait le pyjama de Beck. Et c’était à l’époque du pyjama genre pattes de lapin, avec de très grosses jambes, et c’était certainement trop long pour–pour Sara. Et alors, elle ne pouvait pas tenir, ses jambes étaient trop courtes.

33 Et alors, Rebecca a couru, elle a sauté sur mon genou et elle a jeté ses deux bras autour de moi et s’est mise à m’embrasser. Et, naturellement, j’ai dû crier un peu. Et alors, la pauvre petite Sara s’est dit qu’elle était abandonnée, que Beck l’avait battue ; et elle s’est alors tenue à la porte, elle a levé ses gros yeux noirs, et les larmes lui coulaient sur les joues.

34 Alors, Rebecca s’est retournée et a dit : « Sara, ma soeur ! » Elle a agi comme, je pense, certaines églises essayent de le faire, vous savez. Elle a dit : «J’aimerais te faire savoir que c’est moi qui suis arrivée ici la première. » Et elle a dit… Et elle avait les deux bras autour de moi, et elle a dit : «J’ai pris tout papa, il n’y a rien qui reste pour toi. » Eh bien, c’est ce qu’elles essayent de nous dire souvent, vous savez. Eh bien, Beck avait des jambes un peu longues et elle pouvait donc atteindre le plancher ; elle était très bien établie, vous savez, comme beaucoup d’églises.

35 Mais la petite Sara, elle était très affectée, jusqu’au moment où je l’ai regardée et lui ai fait un clin d’oeil, vous savez, et j’ai fait un signe comme ça. Alors, j’ai dégagé mon autre genou. C’est ce qu’elle attendait. Elle s’est avancée là. Elle a sauté sur ma jambe, c’était un peu trop élevé pour ses courtes jambes, et elle s’est tortillée comme si elle allait tomber. Eh bien, je l’ai saisie avec les deux bras, et elle a placé sa petite tête contre mon sein. Elle a plutôt apprécié cette marque d’affection, je pense, et moi aussi ; alors, je l’ai étreinte.

36 Et elle s’est redressée, elle a levé les yeux vers Rebecca. Et je me suis dit que c’en était une très bonne. Elle a dit : «Rebecca, ma soeur, j’aimerais aussi te dire quelque chose. » Elle a dit : « C’est peut-être vrai que tu as été ici la première et que tu as eu tout papa, mais j’aimerais te faire savoir que papa m’a eue tout entière. » Alors… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.]

37 Je ne suis pas un théologien. Je n’ai pas une assez longue instruction dans une quelconque école de théologie, mais je–j’espère qu’Il m’a pris tout entier, ouais, c’est tout , ainsi, Il peut m’utiliser.

38 Le dernier, mais pas le moindre, en aucun cas. Je–je ne viens jamais ici… Et je leur ai demandé de ne pas prélever une offrande, voyez. Je–je ne viens pas pour ça. Je n’ai jamais, moi-même, prélevé une offrande de ma vie. Tout mon… Ça fait trente-trois ans que je suis prédicateur, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Des ministres en ont prélevé pour moi. Mais moi-même, je n’en ai jamais prélevé une de ma vie, et je–j’espère que je n’aurai jamais à en prélever une.

39 Mais comme vous avez fait cela, elle sera affectée ; je prendrai cela et je l’affecterai aux missions à l’étranger et j’irai moi-même apporter aux gens qui n’ont pas le privilège que vous avez ici, apporter ce même Evangile à ceux qui ne peuvent avoir le moyen de m’envoyer chercher ou de me payer le voyage. Donc, je… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.] Merci. C’est afin qu’eux aussi, ceux qui sont défavorisés, puissent avoir le même privilège que nous avons ici. Et pas un seul sou de ceci ne sera dépensé, vous le savez, à boire, à fumer, ou… Cela–cela sera pour le Royaume de Dieu. Et je crois que Dieu va, par cela, vous accorder une grande récompense : « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes frères, c’est à Moi que vous les avez faites. » Que le Seigneur vous bénisse. Ainsi donc, ce soir, je vais essayer…

40 J’aimerais poser une question. Combien étaient dans cette longue ligne de prière hier soir, ceux qui étaient passés et à qui ces prédicateurs avaient imposé les mains, sentent que le Saint-Esprit agit déjà dans leur cas ? Faites-nous voir la main en la levant. Oh ! C’est merveilleux ! C’est vraiment bien. C’est beau. Il agit toujours. Il travaille pour vous.

41 Maintenant, ce soir, je me suis dit que comme nous avons eu beaucoup de services de guérison… Et nous avons vu le Seigneur Jésus dans Sa grande puissance, cela fait de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et nous avons appris pendant la semaine qu’Il nous a montré beaucoup de grands signes, par Sa Présence, ici même parmi nous maintenant, sous la forme du Saint-Esprit.

42 Eh bien, le dimanche prochain, je dois être dans mon tabernacle, le dimanche matin et le dimanche soir, dans–dans l’Indiana. Et puis, la semaine qui suivra, je serai à Shreveport, en Louisiane, dans une grande convention. Puis après cela, j’irai à Yuma, en Arizona. Et je retournerai à Phoenix pour les Hommes d’Affaires Chrétiens. Puis, je retournerai en Indiana pour les vacances de Noël.

43 Après, j’irai encore à Phoenix, pour le cas où quelqu’un parmi vous reste quelque part là et a des amis. Ça commencera le dix-neuf, on me donne ce bel auditorium d’environ quatre mille sièges, le Ramada, c’est climatisé, c’est dégagé, avant la convention internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et je parlerai à deux soirées sur les quatre ; monsieur Roberts, à une soirée et, je pense, frère Brown, à une autre soirée. Et je pense que les miennes seront celle d’ouverture et celle de clôture. Et puis, à partir de là, ça va continuer.

44 Priez pour moi. Et maintenant, je–j’ai besoin de vos prières. S’il y a quelqu’un qui a besoin de prière, c’est bien moi. Voyez ? Et Satan, assurément, je suis sa cible, vous savez. Et je dois garder tout le temps ma foi en forme, ce bouclier, pour continuer à marcher. Que le Seigneur vous bénisse donc.

45 Et si jamais je ne vous revois plus avant ce Jour-là, je vous rencontrerai ce matin, voyez, à cette Porte-là. Et alors, Là-dedans, je pourrais dire ce que je dis maintenant, je continuerai à croire ce même glorieux Evangile et croire que Jésus-Christ n’est pas mort, mais Il est vivant parmi Son peuple, et Son Evangile est le même. Les oeuvres qu’Il a faites, nous devons les faire jusqu’à ce qu’Il vienne. Je sais que Dieu me jugera pour ces choses que j’ai prêchées. Je–je suis… je dois répondre devant Dieu de ce que je dis.

46 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et juste encore un mot de prière avant que nous ouvrions le Livre.

47 Seigneur Jésus, prends maintenant la Parole et nourris nos âmes affamées. Nous attendons patiemment, Seigneur. Nous sommes dans une grande expectative. Comme au dernier jour de la fête, oh ! comme les gens s’étaient réjouis ! Nous pensons à Siméon dans le temple, à qui le Saint-Esprit avait promis qu’il ne verrait point la mort avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et alors, en ce grand jour où les femmes venaient faire circoncire leurs enfants, donner une offrande de purification, et ce fut en ce temps-là que Jésus a été amené au temple. Et Siméon, peut-être qu’il vint de quelque part dans une pièce à l’écart ce matin-là, dans le bureau, mais le Saint-Esprit lui avait donné la promesse. Et le Messie était là dans les bras de Sa mère, un petit Enfant emmailloté là.

48 Alors, Marie, les gens gardaient distance vis-à-vis d’elle, parce qu’elle avait une–une mauvaise réputation ; c’est ce que les gens pensaient : « Cet Enfant est né hors des liens sacrés du mariage. » Personne ne voulait avoir à faire avec cette femme-là. Mais dans le coeur de Marie, elle savait Ce qu’elle tenait dans ses bras. Et, Père, puisse notre coeur, ce soir, servir de berceau à ce même espoir. Peu importe ce que le monde dit, nous savons ce qui est entré dans notre vie.

49 Et en ce temps-là, Siméon, celui qui avait dit qu’il… Le Saint-Esprit lui avait dit qu’il verrait le Messie. Quoique vieux, très avancé en âge, un vieux sage, un homme honorable, mais il croyait la Parole du Seigneur qui lui avait été adressée. Le Saint-Esprit est allé vers lui et il est allé, conduit par le Saint-Esprit, dans la salle, il a parcouru cette longue file des mères. Sur les deux millions et demi de gens de l’époque, on pouvait, chaque nuit, enregistrer la naissance de plusieurs centaines d’enfants. Et ils étaient là, prêts pour la circoncision et la purification.

50 Et, oh ! comme le Saint-Esprit l’a conduit droit vers cette petite personne rejetée ! Il a tendu la main, il a pris le Messie dans ses bras, avec des larmes lui coulant sur la barbe. Il a dit : « Maintenant, Seigneur, Tu laisses Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut. »

51 Une vieille prophétesse s’est avancée en titubant dans la salle, la Parole du Seigneur était aussi venue à elle, et elle avait aussi prophétisé à Son sujet ; ses yeux étaient aveuglés, mais pas son esprit. Elle a reconnu que c’était là le Messie.

52 Seigneur Dieu, puissent nos yeux s’ouvrir au fait qu’Il est toujours le Messie. Et puissions-nous L’embrasser ce soir, car nous avons confessé que nous sommes pèlerins et étrangers dans ce monde. Ceci n’est pas notre demeure. Ce n’est pas notre pays. Nous sommes un peuple qui agit différemment parce que nous sommes nés d’En Haut.

53 Et nous qui gardons cette promesse dans notre coeur, puissions-nous voir la promesse que Jésus a faite à Son Eglise, que nous verrons se passer, juste avant Sa Venue, ce qui s’était passé du temps de Noé : « Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, donnaient en mariage, et il y avait de l’immoralité sur la terre. » Puis, Il a dit : «Ce qui arriva du temps de Sodome, aux Gentils, avant que le feu tombât, Dieu était descendu et s’était manifesté dans une chair, Il connaissait les secrets des coeurs de gens. » Et Il a promis que la même chose se répéterait. Puissions-nous avoir ce privilège ce soir, Glorieux Saint-Esprit, car nous le demandons humblement au Nom de Jésus. Amen.

54 [Une soeur parle en langues. Un frère donne l’interprétation. – N.D.E.] Amen.

55 Oh ! je pense être maintenant conscient de ce fait que l’Esprit est près de nous, la Lumière. Sortez de la coquille de l’heure dans laquelle on est, et du temps, et soyez conscients de l’Esprit de Dieu qui est maintenant parmi nous.

56 Prenons le Livre des Juges, au chapitre 16, à partir du verset 23, alors que nous lisons la Parole.

57 Et pendant que vous prenez cela, je peux dire ma pensée, en choisissant de lire ce chapitre cet après-midi, à la fin de cette série de réunions, c’est peut-être quelque chose qui est apporté, qui pourrait édifier l’Eglise. Et je m’attends toujours à voir ce que le Saint-Esprit dira dans la pièce, quand Cela me frappe. Je peux noter différents passages des Ecritures et autres, puis, je me demande ensuite ce qu’il en sera une fois arrivé là. « Que dira-t-Il concernant Ceci ? »

58 Et maintenant, écoutez attentivement, essayez d’être aussi attentifs que possible, pendant que nous lisons. En effet, ici, si c’est la volonté du Seigneur, j’essaie d’établir un parallèle, un parallèle entre un tableau et un autre. Ecoutez donc attentivement, verset 23, pour commencer. Et quand les princes des Philistins... s’assemblèrent pour offrir un grand sacrifice à Dagon, leur dieu, et pour se réjouir. Ils disaient : Notre dieu a livré entre nos mains Samson, notre ennemi. Et quand le peuple le vit, ils célébrèrent leur dieu, en disant : Notre dieu a livré entre nos mains notre ennemi, celui qui ravageait–ravageait notre pays, et qui multipliait nos morts. Dans la joie de leur coeur, ils dirent : Qu’on appelle Samson, et qu’il nous divertisse ! Ils firent sortir Samson de la prison, et il joua devant eux. Ils le placèrent entre les colonnes. Et Samson dit au jeune homme qui le tenait par la main : laisse-moi, afin que je puisse toucher les colonnes sur lesquelles repose la maison et m’appuyer contre elles. La maison était remplie d’hommes et de femmes ; tous les princes des Philistins étaient là, et il y avait sur le toit environ trois mille personnes, hommes et femmes, qui regardaient Samson jouer. Alors Samson invoqua Dieu, l’Eternel, et dit : Seigneur... souviens-Toi de moi, je te prie ; ô Dieu ! donne-moi de la force seulement cette fois, et que d’un seul coup je tire vengeance des Philistins pour mes deux yeux ! Et Samson embrassa les deux colonnes du milieu sur lesquelles reposait la maison, et il s’appuya contre elles ; l’une était à sa droite, et l’autre à sa gauche. Samson dit : Que je meure avec les Philistins ! Il se pencha fortement, et la maison tomba sur les princes et sur tout le peuple qui y était. Ceux qu’il fit périr à sa mort furent plus nombreux que ceux qu’il avait tués pendant sa vie.

59 Quel triste spectacle ! Ça a dû être un après-midi chaud, le soleil brillait, lors de cette glorieuse célébration, et trois mille Philistins regardaient en bas depuis les tribunes du stade, alors que deux personnes entraient. Des seigneurs de guerre très honorés et leurs femmes bien parées de bijoux se penchèrent en avant pour bien voir, alors qu’un jeune homme conduisait cet homme aveugle ! Il y avait eu tout cet après-midi-là dans des halls des bruits des festivités des ivrognes, célébrant (c’est ce qui me fait mal), célébrant la victoire de leur dieu poisson, Dagon, sur un serviteur de Jéhovah. Quelle disgrâce ! Quelle histoire était arrivée là ! Cet homme-là avait failli. Ce n’était pas Dieu qui avait failli.

60 Et qu’a dû penser Jéhovah alors qu’Il jetait un regard sur la terre et voyait tout cela se passer ? Un rassemblement d’ivrognes, des femmes ivres à moitié nues, bien parées de bijoux, embellies, bien arrangées, leurs maris ivres buvaient et célébraient la victoire d’un dieu, un dieu poisson, une idole, sur un serviteur de Jéhovah.

61 Le jeune homme conduisit cet homme aveugle qui titubait entre la colonne… les colonnes où ils se tenaient, eux deux, tenant ces très grandes colonnes en pente, ou plutôt c’était une très grande salle en pente comme ceci. Et deux énormes colonnes, comme je peux me représenter le lieu abritant les gens, trois mille seigneurs de guerre, des célébrités, des–des soldats arborant les médailles les plus honorifiques, les guerriers les plus redoutables. Il n’y avait que les–les célébrités qui étaient invitées à cet événement, car c’était une célébration.

62 Et en face d’eux se trouvait cette très grande statue d’un poisson, avec du sang humain en dessous, sur l’autel, le sacrifice offert à ce dieu poisson, une parfaite statue païenne qui ne peut ni parler, ni entendre ni respirer. Mais eux–eux, dans leur ignorance, adoraient ce dieu-là, pensant qu’il leur avait donné la victoire ; une occasion de célébrer.

63 Et alors, on l’a conduit vers ces colonnes du bâtiment, là où ils pouvaient tous voir le–l’événement principal qui était sur le point d’avoir lieu. Il y avait eu beaucoup de divertissements, peut-être comme ils en avaient l’habitude, des singes ; il y avait des gladiateurs, et quand ils avaient un duel, les gladiateurs pouvaient demander si la victime (qui était par terre) devait être tuée ou pas. Et ils devaient voir le sang être versé. Et tous les–les événements avaient eu lieu, et alors, l’événement principal allait avoir lieu. Les préliminaires étaient terminés. Et l’événement principal, c’était de se moquer de Jéhovah, se moquer de notre Dieu, tout cela, parce que Son serviteur avait manqué de Lui être fidèle.

64 Voyez, Il est Dieu ; c’est vrai, mais nous sommes Ses serviteurs et nous avons notre commission à exécuter exactement tel qu’Il nous a ordonné de l’exécuter.

65 Alors, nous voyons que dans leur état d’ivresse, de manque de respect, ils s’étaient alors tous levés, car, il y avait eu un grand silence, peut-être qu’une trompette avait retenti. Et ils allaient avoir l’événement principal, ce qu’ils célébraient, en faisant venir un témoin de Jéhovah ; ils l’ont fait venir là au milieu de la salle, afin qu’ils puissent tous se moquer de lui, qu’il les divertisse.

66 Regardez-le, humilié, brisé, un symbole d’une–d’une église déchue, spirituellement nue, moralement déchue. Quel exemple de l’état actuel !

67 « Samson, c’était là Samson, Samson le puissant, c’était donc lui, l’instrument très puissant de Dieu ? » Eh bien, beaucoup de Philistins, je peux me représenter ces seigneurs de guerre là debout, regardant là ; eh bien, rien qu’à se souvenir de son nom, tout le pays tremblait. Rien que de dire « Samson », c’est tout ce qu’on avait à faire ; rien que de mentionner le nom de « Samson », et tout le monde tremblait à son nom. Et maintenant, regardez-le.

68 Vous savez, autrefois, le Nom du Seigneur Jésus était beaucoup respecté ; les gens L’honoraient beaucoup. Et ceux qui L’honoraient, pouvaient chasser les mauvais esprits par Cela et pouvaient amener la nature à obéir, sur leur ordre, par Son Nom.

69 Mais je pense qu’ici Samson, j’aimerais établir un parallèle entre cela et la... locale et moderne, ou plutôt, pas locale, mais la–la condition moderne de l’église aujourd’hui. C’est un parallèle parfait. L’église a depuis longtemps perdu de son respect ; non pas que Dieu ait délaissé l’église, mais c’est l’église qui a délaissé Dieu. Ce n’était pas Dieu qui avait délaissé Samson, mais Samson avait délaissé Dieu. Alors que nous devrions être dans l’état où était l’église quand Ananias et Saphir avaient été présentés devant l’église, mais au lieu de cela, nous avons fait beaucoup de compromis avec les choses du monde et nous les y avons fait entrer au point qu’aujourd’hui, cela est taxé de bande de saints exaltés, ou–ou rien qu’une autre dénomination ordinaire, rien qu’une église. Il n’y a pas… Ça n’a pas… ça n’a pas la marque de dignité que ça devait avoir.

70 Je me représente, alors qu’ils se tenaient là, debout, tandis que l’événement principal avait lieu… Retournons là pendant quelques minutes. Je peux me représenter les Philistins, beaucoup de ces grands guerriers se tenant là en compagnie de leurs femmes bien parées de bijoux, leurs bras autour d’elles, buvant à la santé de Dagon. « Avé, Dagon, tu as remporté une victoire sur Jéhovah! Nous leur avons prouvé ce dont nous sommes capables. Nous avons prouvé à cet homme très prétentieux que Jéhovah est une nullité. »

71 C’est pratiquement la condition de l’église aujourd’hui. Nous qui tenons les clés du Royaume en main, et chaque don spirituel que Dieu a donné à l’homme se trouve dans l’église, mais nous avons depuis longtemps fait des compromis avec–avec des crédos et autres, au point que nous l’avons dépouillée de toute la puissance de Dieu, et c’est devenu rien qu’une loge.

72 C’est comme le cas qui a récemment eu lieu, quand un musulman s’est tenu à côté de notre évangéliste de premier rang, et il lui a dit : « Je vais faire venir trente personnes malades et affligées, tu vas en guérir quinze et moi, je vais en guérir quinze. » Et je ne dis pas ceci contre l’évangéliste, pas du tout ; mais l’évangéliste a détalé, laissant cet homme seul, sans lui répondre.

73 Quelle–quelle–quelle déception pour notre Dieu ! En effet, la Parole est Dieu. Et la promesse de la Parole, c’est une promesse de Dieu : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. »

74 Et on en est pratiquement arrivé à un autre défi, ou plutôt à une autre célébration, où les dieux païens peuvent parler à l’église, et l’église se tient là impuissante, vaincue, spirituellement nue. Eh bien, il y a quelque chose qui est à la base de cela, c’est que les soucis du monde sont entrés dans l’église et l’ont transformée en loge, c’est tout. C’est ce que nous voyons. Je crois…

75 Je ne sais pas ce que j’aurais fait dans ce cas. J’aurais dû attendre pour voir ce que Dieu dirait. Mais je pense que j’aurais réagi comme les enfants hébreux : « Notre Dieu peut nous délivrer de ceci. Sinon, qu’Il le fasse ou pas, nous n’adorerons pas votre statue. »

76 Mais nous avons perdu le courage ; c’est ce que Samson avait fait, il avait perdu sa puissance. L’église a perdu l’influence de son témoignage, qu’elle est le Corps vivant et agissant de Christ. Elle a accepté des dogmes, elle a mélangé cela avec leurs croyances au point que la Parole n’a plus la prééminence. C’est comme Jésus l’a dit à cette église désespérée à laquelle Il était venu : « Vous prenez les commandements de Dieu et, par vos traditions, vous les anéantissez. Vous anéantissez les commandements de Dieu par vos traditions, en les niant. »

77 Il y a quelque temps, dans une école, un brave homme d’ici à New York est venu chez moi et m’a dit… C’était un frère baptiste, et il m’a dit : « Frère Branham, je suis un–un baptiste. » Et je l’ai fait entrer et je l’ai fait asseoir, lui et un autre frère. Et nous avons longtemps parlé. Et peu après, il a dit : « Quand j’étais un petit garçon, j’ai été appelé au ministère. »
Il a dit : « Ma précieuse vieille mère faisait la lessive sur une planche à laver pour m’envoyer à l’école. » Et il a ajouté : « Le jour où j’allais décrocher mon diplôme de licence en lettres, mon diplôme de licence en lettres, a-t-il dit, je me suis alors dit qu’assurément, Christ serait là-dedans, mais, a-t-il dit, Il n’y était pas. » Il a dit : « Quand j’ai obtenu mon doctorat, je me suis alors dit : ‘Christ sera là-dedans’, mais Il n’y était pas. » Il a dit : « Et c’était pareil quand j’ai obtenu mon doctorat en droit, mon doctorat en lettres et autres. » Et il a dit : « J’ai tellement de diplômes et des diplômes à titre honorifique que je peux tapisser votre mur avec, mais où est Christ dans tout cela ? » Il a dit : « Je Le cherche toujours. » Il a dit : « Je vais vous poser une question. » Il a dit : « Les enseignants étaient-ils en erreur ? »

78 J’ai dit : « Mon frère » Juif, pour commencer… J’ai dit : « Je n’ai pas de compétence, n’ayant qu’une instruction du primaire, pour dire si les enseignants sont en erreur. Je–je–je ne peux pas le dire. Je–je ne suis pas compétent pour condamner qui que se soit. Mais voici ce que je dirai : Je L’ai trouvé et Il n’était pas dans cela. »

79 Et il a dit : « J’ai appris que vous étiez baptiste. »
J’ai dit : « C’est vrai. »

80 Et il a dit : « Je comprends que maintenant vous êtes devenu pentecôtiste. »

81 J’ai dit : « Non. Je n’ai reçu que la bénédiction de la Pentecôte, voyez, pas la dénomination pentecôtiste. La bénédiction de la Pentecôte. »

82 Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, j’ai–j’ai été dans leurs réunions. Je les ai vus renverser des chaises et jeter un livre par la fenêtre. » Et il a ajouté : « Vous ne pourrez pas dire que c’est là le comportement de l’Adorable Saint-Esprit. »
J’ai dit : « Je ne suis toujours pas à mesure de juger Dieu. »

83 Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, serait… qu’est-ce… qu’est-ce qui les fait agir comme cela ? »

84 J’ai dit : « Dans mes voyages, je rencontre deux catégories de gens. » Et j’ai dit : « L’une d’elles, ce sont les fondamentalistes ; côté position, ils savent, de par la mécanique, qu’ils sont censés être des fils et des filles de Dieu. » Et j’ai dit : « La catégorie suivante que je trouve, ce sont des pentecôtistes, ceux qui ont le baptême du Saint-Esprit. » Mais j’ai dit : « Les fondamentalistes, côté position, savent où ils se tiennent, mais ils n’ont pas foi dans la Parole. Et les pentecôtistes ont une grande foi, mais ils ne savent pas qui ils sont. » Et j’ai dit : « C’est comme un homme qui a de l’argent en banque, mais qui ne peut pas signer un chèque ; et un autre qui peut signer un chèque, mais n’a pas d’argent en banque. Si seulement on pouvait les mettre ensemble ! »
Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui les fait agir comme cela ? »

85 J’ai dit : « Ils laissent échapper la pression. » J’ai dit : « Eh bien, je ne pense pas que cela soit nécessaire, ai-je dit, mais ils–ils doivent se défouler quelque part. » Et j’ai dit : « Or, si seulement ils pouvaient prendre toute cette pression et savoir comment l’orienter sur base la Parole, le puissant moteur de Dieu se mettrait en marche. »

86 C’est par là que Satan s’infiltre, pour faire de tout cela de la mécanique sans dynamique. D’autre part, la dynamique sans la mécanique. Voyez, il nous faut mettre cela ensemble. Nous avons la puissance du Saint-Esprit, mais il nous faut revenir avec la Parole pour alimenter cette machine. On ne peut pas l’alimenter avec un credo. ça ne produira pas la combustion. Ça bouchera les conduits et il n’y aura pas de combustion. Cela a été créé pour la Parole de Dieu. « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole », pas seulement une partie de Cela, « toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. »

87 Nous voici donc, une église commissionnée, lors de la dernière commission, la dernière chose que Jésus a dite à Son Eglise, la dernière commission qui a été donnée : « Allez par tout le monde, faites de toutes les nations des disciples. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et… » Et est une conjonction qui relie les éléments d’une phrase. « Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »

88 Pourquoi devrions-nous donc nous tenir en présence d’un dieu païen et être vaincus ? Nous voici de nouveau comme Samson, spirituellement nus, moralement déchus. Qu’est-il arrivé ? Autrefois, on avait affaire à des hommes et des femmes honorables, mais aujourd’hui, vous–vous… c’est terrible.
Eh bien, examinons pendant quelques minutes certaines pensées conçues à ce sujet. Samson se tenait donc là. Et, excusez-moi, le voici de nouveau ici aujourd’hui, de nouveau moralement et spirituellement nu. Et c’est aussi un symbole d’une nation déchue. Mais nous parlons de l’église, car Samson était un serviteur de Dieu, il était supposé l’être, et l’église est censée être la servante de Dieu sur la terre.

89 Beaucoup de vaillants héros qui se tenaient là étaient dessoûlés pendant un moment, alors que les vins coulaient de leurs… probablement de leurs armes et de leurs cuirasses, et leurs bras étaient autour de leurs jolies reines parées de bijoux, tandis qu’ils contemplaient là le spectacle, beaucoup parmi eux contemplaient ce spectacle. Un jeune homme tenait ce grand gaillard, aux orbites sans yeux ; ceux-ci avaient été crevés.

90 C’est ce que l’ennemi fait. Quand il s’empare de vous, la première chose, il fait comme il avait fait à Samson. Il vous crève les yeux et vous empêche de voir la Lumière de l’Evangile. Maintenant, il ne peut pas voir. Ses yeux étaient crevés. C’est depuis longtemps que l’église a perdu sa vue spirituelle, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que chaque promesse est vraie.

91 Le voilà donc là, sans yeux ; un spectacle ridicule, une disgrâce de se tenir sous le dieu-poisson, prisonnier de la nation même contre laquelle Dieu l’avait suscité, pour la détruire.

92 Eh bien, je vais en arriver à nous dans une minute. Voici nos pentecôtistes qui, il y a cinquante ans, ont abandonné cette boue de dénomination ; Dieu nous a appelés à en sortir pour être un peuple séparé. Et aujourd’hui, nous voici des douzaines d’organisations pentecôtistes différentes, se battant les unes les autres. La chose même que Dieu nous a appelés à vaincre, nous a vaincus. Si quelqu’un va à cette dénomination-ci et qu’il tient une réunion, alors le reste d’entre eux ne voudront pas collaborer avec lui. Vous pouvez bien en trouver de temps en temps. C’est vrai. Et la dénomination a toujours été une malédiction aux yeux de Dieu. ça n’a jamais existé, Dieu n’en a jamais formée une ; ça n’a jamais été Son plan.

93 Dieu ne peut pas changer Son programme. Dieu traite avec des individus. Du temps de Noé, il y en avait des millions, mais c’est Noé qui a été oint. Il y en avait des millions du temps d’Elie, jamais Elisée et Elie au même moment. C’était pareil dans chaque génération ! En Egypte, il y en avait deux millions et demi. Moïse est allé là. Voyez ? Il y en avait des millions du temps de Jésus. Même quand Jean, le grand prophète a été suscité, quand il a vu ce Puissant venir, il a dit : « Je dois maintenant diminuer, mon oeuvre est terminée, et Lui va croître, Dieu. » Il leur a montré l’Agneau.

94 Mais, voyez, cela a continué pendant trois cents ans jusqu’au Concile de Nicée, et puis, on a dû former une organisation. A partir de là, cela est tombé. Et chaque fois qu’un message est proclamé, et qu’on en fait une organisation, il meurt spirituellement pour ne plus jamais se relever. C’est donc une chose maudite pour l’Eglise de Dieu, pour l’homme, de placer sa main sur l’action de l’Esprit. ça a toujours été le cas.

95 Puis, on les amène là et on en fait des prédicateurs du séminaire, ils côtoient le monde, et tout. La chose suivante, vous savez, on a des femmes qui se comportent comme le monde, les hommes. La chose suivante, vous savez, les politiciens, les évêques, ils veulent mettre une plume à leur chapeau, ils s’offensent, se bousculent, se querellent et se disputent, au point que le Saint-Esprit est complètement affligé.

96 Certains parmi eux se souviennent avoir vu Samson quand l’onction était sur lui, debout dans un champ, encerclé par un millier de Philistins ; il avait en main juste une vieille mâchoire fragile d’un mulet et, avec cela, il avait fracassé les casques d’airain d’une épaisseur d’un pouce [2,54 cm], assommant des Philistins de part et d’autre, quand l’Esprit du Seigneur était sur lui. Et beaucoup parmi eux s’étaient réfugiés derrière le rocher. Et, lui se tenait là, disant : « Si vous en voulez encore, venez. » Certains parmi eux se souviennent avoir vu cela.

97 Certains parmi eux se chuchotaient peut-être, disant : « Vous rappelez-vous, cette nuit-là, à Gaza, quand une rumeur avait couru, disant que notre ennemi était dans la ville ? Nous avons fait appel à l’armée, nous avons fermé les portails. Et ces portails pesaient peut-être six ou sept tonnes, ces grands portails en airain, là où quatre ou cinq chars pouvaient tous passer côte à côte, une armée entrant dans une ville. Nous avons fait appel à l’armée, avec nos lances et nos épées, nous nous sommes tenus là et avons dit : ‘Cette fois-ci, nous l’avons eu’. Et quand nous nous sommes réveillés… » Il était carrément passé, au milieu d’eux, les poussant à gauche et à droite. Il avait saisi le portail, en avait arraché les battants l’un après l’autre, et il avait placé cela sur ses épaules. Il avait gravi la colline et s’était assis. Là, c’est quand l’Esprit du Seigneur était sur lui. Un jour…

98 D’autres se rappelaient peut-être quand ils avaient vu un lion rugir contre lui, lequel l’aurait tué en une seconde.

99 Si quelqu’un sait ce que… à quelle vitesse un lion peut vous tuer… Et par un grand grondement et un rugissement, en une fraction de seconde, il tue une–une bête sauvage de deux tonnes, ou un buffle, rien qu’avec l’une de ses pattes, il lui brise le cou comme ça, ou le mord comme ça, et c’en est fait de lui. Sans même donner un coup de sabot, il le tue juste en un instant.

100 Et voilà cet homme qui s’avançait, alors que le lion rugissait ; il était sans secours, il n’avait même pas de mâchoire de mulet en main. Mais la Bible dit : « L’Esprit de l’Eternel vint sur lui », et il saisit le lion et le déchira.

101 Mais maintenant, il se tient là impuissant, dépouillé de toute force. C’est la même chose aujourd’hui, c’est comme cela que l’église se tient, alors qu’autrefois l’église chassait les démons, l’église ressuscitait les morts. L’église accomplissait les oeuvres que Jésus avait accomplies. Le péché ne pouvait pas rester parmi eux, le Saint-Esprit venait et le condamnait. Si un homme avait fait quelque chose en secret, alors qu’il était membre de ce groupe de chrétiens, aussitôt qu’il arrivait, le Saint-Esprit révélait son péché. Soit il se repentait, soit il périssait. Mais, vous voyez, nous n’avons plus cela.

102 Et ils ne recevront plus cela. Et quand cela s’accomplit, ils osent le taxer de mauvais esprit, afin qu’ils puissent recevoir une plus grande condamnation. Quelque chose doit les condamner.

103 Remarquez. Dépouillé de force, qu’est-ce qui a dû traverser l’esprit de cet homme ? Il était autrefois ce genre de guerrier, et maintenant, c’est un petit garçon qui doit le conduire. Pourquoi ? Il est aveugle. Il ne voit pas. Il n’a rien avec quoi voir.

104 Ô Dieu, aie pitié de nous. L’église est tellement ancrée dans la dénomination et tellement éloignée que le diable lui a crevé les yeux, la vue spirituelle qui permet de savoir que Ceci est la Parole de Dieu : Pas un credo ; c’est la Parole. Et Dieu est tenu de–de manifester tout ce qu’Il a promis dans cette Bible. Les gens disent : « Nous, nous croyons… » La foi ne viendra pas si c’est contraire à Ceci. La pensée de Christ en vous, vous croyez ce que Christ a écrit ; en effet, Ceci est Christ, la Parole. Mais considérez la condition, remarquez le parallèle, alors que nous regardons cela.

105 Qu’est-ce qui a dû traverser son esprit ? Voyons ce qui a traversé son esprit.

106 Nous avons vu ce qui se passait dans l’esprit des seigneurs de guerre, la peur qu’ils éprouvaient autrefois rien qu’à entendre son nom. Ils avaient peur de faire quoi que ce soit. Pour eux, rien que dire Samson, c’était tout, tout le monde était parti. Mais maintenant, il se tient là, victime de Dagon, le dieu poisson. Un Juif qui méprisait des idoles, il se tenait là victime d’une idole. Pourquoi ? Parce qu’il avait manqué d’être fidèle à Dieu. Samson se tient là, sans doute… Sondons son esprit pendant trois ou quatre minutes environ.
Il doit avoir pensé à toutes les victoires qu’il avait remportées. Il se tient là, ce qu’il avait fait, combien l’Eternel l’avait béni, comment autrefois il était un grand homme tant qu’il était dans le Royaume de Dieu, qu’il gardait la promesse de Dieu.

107 Voyez, il n’avait pas tenu parole, il s’était débarrassé de la promesse. C’est ce que l’église a fait : elle s’est débarrassée des promesses. « Oh ! Eh bien, c’est… nous rédigerons notre propre petit catéchisme, ceci, vous voyez. C’est ça, la Parole.

108 Eh bien, remarquez. Il a pensé à toutes ses victoires. Et puis, ceci doit avoir traversé son esprit, comment il avait délaissé le peuple de Dieu.

109 Ça doit être une honte pour un ministre qui s’assoit et lit cette Bible, puis se présente devant son peuple… Le monde est plein de Lot. La Bible dit que les péchés de Sodome tourmentaient journellement son âme juste, mais il n’avait pas le courage de se lever et réprimander ce péché-là. Et il y a beaucoup d’hommes aujourd’hui…

110 Et je dis ceci avec respect, seulement avec–avec amour, mais juste pour dire la Vérité. Il est possible que nous ne nous rencontrions plus jamais.

111 Il y a beaucoup d’hommes qui lisent cette même Bible que nous lisons, assis dans leurs bureaux, préparant leurs messages, et ils trouvent les vérités de Dieu, mais doivent les contourner. Il aura peur de prêcher contre les femmes qui se coupent les cheveux, son organisation le chasserait ; de prêcher contre les femmes qui s’habillent immoralement et qui commettent l’adultère spirituel ; et des hommes qui–qui prennent un verre amical à la Noël et–et qui sortent et se tapent un peu de loisir sain à l’américaine, qui racontent de sales plaisanteries, mais qui conservent toujours leur poste de diacre. Ils savent que ces choses sont fausses, mais ils sont là comme du temps de Lot. Nous en sommes revenus à ce même péché une fois de plus, voyez ?

112 Oh ! Combien le Saint-Esprit a dû rappeler à Samson qu’il avait délaissé le peuple de Dieu, qu’il avait délaissé Dieu Lui-même. Maintenant, il est prisonnier de la chose même pour laquelle Dieu l’avait suscité et qu’Il lui avait donné le pouvoir de détruire.

113 Et avec amour et avec… Je suis un membre. Je suis dans Ceci avec vous, pas un membre d’une–d’une organisation. Que Dieu m’en garde. Mais je suis un membre, par la grâce, du Corps de Christ. Je suis votre frère. Je n’ai pas de motifs égoïstes, mes motifs en accomplissant quoi que ce soit. Je suis seulement zélé pour le Seigneur Dieu, et je dis ceci de–de tout mon coeur. La chose même d’où vous étiez appelés à sortir, vous y êtes retournés une fois de plus. Et comme la Bible le dit : « Comme le cochon qui retourne à son bourbier, le chien à ses vomissures… » Et si les vomissures ont rendu le chien malade pour commencer, ne le rendraient-elles pas malade la seconde fois ? Et si l’organisation et les crédos avaient tellement lié les gens, et que Dieu vous en a fait sortir pour être un peuple libre, mais que vous avez carrément fait demi-tour et que vous avez fait la même chose, cela sera… c’est un péché plus grave.

114 Eh bien, ils lui faisaient faire des jeux pour les divertir. Et c’est pratiquement ainsi que ça se passe, au lieu que ce soit par le Saint-Esprit.

115 Quand quelqu’un se lève et devient arrogant, le Saint-Esprit est obligé vis-à-vis de Dieu d’arrêter cette chose. J’en ai vu être emportés des réunions, paralysés, aveugles, muets, et même mourir là en pleines réunions, tomber raides morts, pendant qu’ils cherchaient à réprimander Cela. Dieu au Ciel sait que c’est vrai. Beaucoup parmi vous ici ont été dans d’autres réunions et ont été témoins de la même chose.

116 Il doit y avoir une sainte puissance tout autour et dans l’église, qui fera s’enfuir les démons. Au lieu de cela, c’est devenu un objet de risée. Qu’est-ce ? La mécanique plutôt que la dynamique. Maintenant, il est en train de faire des amusements.

117 Qu’est-ce qui est à la base de cela ? Qu’est-ce qui était à la base de la chute de Samson ? Il a laissé une femme le séduire et l’éloigner de la promesse de Dieu. C’est exact. Nous le savons tous. Il avait sept tresses. Et il était né, de par sa naissance, il devait être un naziréen, une personne particulière pour le Seigneur. Mais, vous voyez, il a laissé cette femme le séduire au point qu’elle lui a rasé sa particularité.

118 Et c’est ce qui est arrivé à l’église. Vous êtes né un peuple particulier, une nation sainte, un sacerdoce royal. Mais qu’est-il arrivé ? Vous avez laissé le monde raser votre particularité au point que vous êtes devenu l’un d’eux. Il vous a fallu avoir une dénomination juste comme la leur. Il vous a fallu dépasser les baptistes ou les méthodistes, l’un ou l’autre. Et aujourd’hui, les assemblées essayent de dépasser les unitaires, les unitaires dépasser les assemblées, l’église de Dieu dépasser telle autre et, oh ! (Oh ! la la !) ainsi de suite, trente ou quarante différentes organisations. Voyez ? C’est comme un chien qui retourne à ses vomissures, c’est la même chose.

119 Remarquez, la même chose s’est passée comme autrefois, tu laisses Jézabel, « la mère des prostitués », Apocalypse 17. Souvenez-vous, elle était appelée une prostituée ; ça, c’est une–c’est une femme immorale. Et la femme représente toujours… l’église est représentée par une femme. En effet, Christ, ce qu’Il vient chercher, c’est une Epouse. Et elle était la mère des prostituées. Et c’est quoi, une femme immorale ? Eh bien, ça ne pouvait pas être des hommes, parce qu’elles étaient des prostituées. Voyez ? C’est une femme infidèle à son mari. Elle soutient que c’est elle la mère de toutes les églises, et elle l’est.

120 Et qu’est-ce qui a fait d’elle une prostituée ? C’est parce qu’elle a commis des fornications spirituelles. Elle a adopté des crédos plutôt que la Parole de son Mari. Plutôt que de devenir une véritable et fidèle compagne pour son Mari, elle a pris un autre livre, de crédos. Et qu’était-elle ? La mère des prostituées qui a fait la même chose. Eh bien, vous n’avez plus besoin d’explication pour cela. Voyez ? Vous voyez où on en est. Qu’était-ce ? L’organisation, s’éloigner de la Parole.

121 Remarquez maintenant ce que Delila a fait à Samson, alors qu’elle continuait à le courtiser : « Oh ! Tu es un grand homme. Tu es puissant. Mais ne me trompe. Révèle-moi où réside ta puissance. » Et elle l’a aimé, elle lui a fait l’amour jusqu’à ce que, finalement, il a cédé. Et qu’a-t-elle fait ? Premièrement, elle lui a arraché son secret.

122 Eh bien, c’est ce qui est arrivé (pour vous les lecteurs et vous qui étudiez la Bible) au Concile de Nicée. L’ancienne tendance de la Pentecôte tenait à rester avec la Parole. Et ils ont adopté des conceptions païennes avec Constantin et les autres, et ils ont amené… De même qu’Achab avait épousé Jézabel et avait introduit l’idolâtrie en Israël, de même l’église a épousé le romanisme et a directement ramené l’idolâtrie dans l’église une fois de plus.

123 Eh bien, vous avez une petite bande de prostituées, sur base de mêmes principes, alors regardez ce qui arrive maintenant. La mère courtise, et elle va de nouveau vous dépouiller de tous vos droits. Que Dieu nous vienne en aide pour ne jamais laisser tomber Cela. C’est soit cette Parole, soit la mort. Le Conseil des églises se rassemble et s’unit dans la fraternité autour de Rome, exactement ce que la Bible a dit qu’il ferait.

124 En 1933, le Saint-Esprit est venu un matin et m’a annoncé sept événements qui devront s’accomplir avant que cette nation soit détruite. L’un d’eux, c’est cela. C’est écrit sur un vieux papier là à l’église ; beaucoup ont vu cela. Comment nous entrerons en guerre contre Hitler et qu’ils allaient… comment l’Allemagne construirait une fortification, la ligne Maginot, ou plutôt la ligne Siegfried, je pense, onze ans avant qu’on n’y ait jamais pensé. Et comment les automobiles auraient constamment la forme des oeufs. Et comment on permettrait aux femmes de voter et, par là, elles voteraient pour un mauvais président. Et par cela, une femme s’élèvera pour diriger les Etats-Unis d’Amérique : pas réellement une femme, mais une église. Enfin, je l’ai vue rien que de la cendre. Ça va arriver.

125 Cinq de ces événements se sont parfaitement accomplis. Comment Mussolini s’élèverait et irait contre l’Ethiopie, tomberait sur ses marches et serait rejeté par le peuple, dans la honte, avec une femme. Bien, bien des années avant que cela arrivât parfaitement à la lettre. Et cela n’a jamais failli, et ça ne faillira pas, parce que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et ce n’est pas contraire à cette Bible. Cela doit arriver.

126 Aujourd’hui, elle fait l’amour à ses filles, les courtise pour les ramener à la maison. Elles n’ont pas d’entendement spirituel, elles sont dépouillées, c’est une oasis pour elle. Ils disent : « Oh ! Quelle glorieuse chose ! » Oh ! la la ! Et les pentecôtistes siègent au conseil à Rome, et ils envoient des lettres partout, disant : « C’était le moment le plus spirituel qu’on ait jamais connu. » Comment un homme né de nouveau peut-il dévoiler son secret, mettre de côté la Parole et vivre par un credo ? C’est exactement ce que Delila a fait aujourd’hui, en mettant la Parole de côté, et vous vivez de credo.

127 Eh bien, considérez la débâcle aujourd’hui, par rapport à ce qui devrait se passer. Les prédicateurs, au lieu qu’on ait des prédicateurs appelés de Dieu pour notre groupe pentecôtiste, il vous faut pratiquement avoir un–il vous faut pratiquement avoir un doctorat avant que vous puissiez monter en chaire. Voyez ? C’est vrai. La chose suivante, il vous faut avoir une carte de membre. Et si vous… Et maintenant, dans nos grandes dénominations pentecôtistes, avant qu’on envoie un missionnaire, on doit l’amener devant un psychiatre pour voir s’il peut réussir au test mental. Eh bien, là, ce ne sont pas des presbytériens, ce–ce sont des pentecôtistes. Voyez ? Eh bien, c’est vrai. Eh bien, je ne dirais pas cela si je ne pouvais pas le soutenir. Voyez, voyez ? Exact. Dites-moi si c’est ça la condition pour être un prédicateur.

128 La Bible dit… Ils ne s’étaient jamais présentés devant un psychiatre : « Mais ils ont attendu dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce qu’ils fussent revêtus de la puissance d’En haut. » Certains parmi eux ne pouvaient même pas écrire leur nom. Quelques jours plus tard, l’un d’eux passait par la porte appelée La Belle, et il ne s’était jamais présenté devant un psychiatre. Il n’avait jamais eu de carte de membre, mais il a dit : « Ce que j’ai ! » Je n’ai jamais vu une carte de membre produire cela jusqu’à présent.

129 Que sommes-nous ? Nous sommes dépouillés, embarrassés dans la Présence du Saint-Esprit. Cela accomplit certainement ce que le prophète a dit dans II Timothée 3 : « Ils seront emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu. » Autrefois, c’était mauvais pour nos femmes pentecôtistes d’aller se baigner en maillots de bain, dans un bain mixte. Ce n’est plus le cas, voyez ? Non, non, c’est juste comme le monde, c’est pareil. Toutes ces choses (voyez ?), c’est de la mondanité. Tout ce qu’il y a dans le monde, ils l’ont simplement adopté, et des prédicateurs se sont levés et ont permis à leurs femmes de faire cela. Et elles ont fait toutes sortes de sottises, et cette génération-ci passe, et puis, une autre vient. Juste… Oh ! la la !

130 Samson se tenait là, pensant à ses grandes victoires. Remontons dans le passé et voyons les grandes victoires de la Pentecôte au début. On n’a pas à remonter à une période d’il y a deux mille ans ; remontons juste à il y a cinquante ans. Et, rappelez-vous, l’Eglise catholique romaine était au départ une église pentecôtiste. Et ils disent que l’église était née, et que l’Eglise romaine était née à Nicée, Rome. J’aimerais un passage des Ecritures qui soutienne cela. La première église n’a jamais commencé à Nicée, Rome. La première église a commencé à Jérusalem le jour de la Pentecôte. Oh ! Victime de toutes les erreurs ! Oh !

131 Alors, quand il s’est rendu compte de sa condition, quand il s’est rendu compte de ce qui était arrivé…

132 Comme je l’ai dit, il se peut que je ne vous revoie plus jamais. Je ne sais pas. Ceci peut être le dernier message que je vous apporte. Je peux, si je… Si le Seigneur le permet et que je revienne l’année prochaine, nous ne serons pas tous ici. Non, non. Certains parmi nous seront partis. Et, chaque fois, je dois parler comme si c’était notre dernière rencontre ; en effet, c’en est une pour certains parmi nous. Ceci peut être le dernier moment pour moi.

133 Quelle condition est-ce, une erreur ! Et si seulement nous nous arrêtions comme Samson et que nous réfléchissions un moment à ce que nous sommes censés être, d’après la Bible de Dieu ! Non pas un grand quelque chose, non pas se mettre à rivaliser avec les voisins, mais être un petit groupe de gens humbles, respectueux, remplis de l’Esprit : pas brillants ; luisants. Le Hollywood brille ; l’Evangile luit. Voyez ? Nous, nous voulons quelque chose de brillant, les plus grandes églises que nous n’ayons jamais eues. Nous serions de loin mieux si nous nous tenions dans l’allée, dans un entrepôt, avec l’Esprit de Dieu sur nous une fois de plus. C’est exact. Remarquez.

134 Et pendant qu’il était là, il s’est rendu compte que sa chevelure avait commencé à repousser ; mais il ne pouvait pas agir parce qu’il n’avait plus d’yeux. Alors, il s’est écrié : « Seigneur, venge-moi pour mes yeux. Ils m’ont crevé les yeux. »

135 Ce sont, aujourd’hui, je peux dire, les crédos ! « On m’a envoyé au séminaire. Et l’appel que j’avais dans mon coeur, de la part du Dieu vivant, ils m’en ont dépouillé, disant : « ‘Ces choses étaient pour un autre âge.’ »

136 « Venge-moi pour mes yeux. » Que pensait Samson ? « Il y avait une possibilité, peut-être. Jéhovah est plein d’amour. Il… Peut-être qu’Il peut m’exaucer. »

137 Oh ! je souhaiterais pouvoir amener Samson à se réveiller à cela ce soir : il y a une possibilité. Il est plein d’amour, Il pardonne l’iniquité de Son peuple, de génération en génération, Il témoigne de la miséricorde aux milliers qui L’aiment et qui observent Ses commandements.

138 « Il y a une possibilité, s’est dit Samson, si seulement je pouvais tirer vengeance pour mes yeux. Je ne vois plus ces choses. Cela n’arrive pas. »

139 Nous ne voyons pas, dans nos grandes dénominations, le Glorieux agir comme autrefois, au commencement. C’est fini. Voyez, ça n’existe plus. On est aveugle et on ne le sait pas. Jésus avait dit qu’il en serait ainsi, cet âge de l’église de Laodicée : « Riche, dit-elle, je suis riche, je me suis enrichie, je n’ai besoin de rien ! Et tu ne sais pas que tu es nue, aveugle, misérable, pauvre, et tu ne le sais pas. » Voyez, tu ne le sais pas.

140 Eh bien, en 1944, nous avions un slogan : « Un million de plus », une certaine dénomination. Et par le ministère de grands hommes, ils ont eu un million de plus. De quoi ? Des adhérents. C’est exact.

141 Il savait qu’il y avait une possibilité, mais le problème aujourd’hui, c’est que les gens ne semblent pas se rendre compte de cette possibilité. Ils sont satisfaits de suivre carrément le vieux train qu’ils suivaient. Voyez, ne le faites pas. Croyez en Dieu. Ayez foi en Lui.

142 Eh bien, ils disent… Oh ! ils disent : « Nous serons à l’étroit. » C’est vrai. « Nous tapons les mains, et–et tout, et nous crions. » Mais vous étiez là tel un bateau aux voiles tout déployées sans ancre. Voyez ?

143 Comment pouvez-vous taper les mains et crier, puis nier que la Parole est la Vérité ? Comment pouvez-vous taper les mains et crier, puis le Saint-Esprit passe parmi vous, et alors, vous dites : « Oh ! C’est une télépathie. C’est–c’est quelque chose comme cela ; ça ne vaut pas la peine ? » Voyez, voyez ?

144 Nous avons de grands rassemblements, de grandes réunions avec éclat et des clinquants, et qu’avons-nous eu ? Davantage de membres. L’Eglise pentecôtiste, il y a trois ans, a fait entrer plus de membres que tout le reste des églises réunies. C’était dans Our Sunday Visitor, un journal catholique. Le Sunday Visitor a dit qu’ils ont converti un million de gens au catholicisme cette année-là et, disait-il, les pentecôtistes ont eu un million cinq mille cent convertis. Ouais. Oui, oui.

145 Toutes sortes d’érudits, des gens qui ont appris à parler dans des écoles et à prononcer des discours intellectuels, des acteurs à la Hollywood (Permettez-moi l’expression), prêchant à un groupe de soi-disant petits-fils pentecôtistes.

146 Dieu n’a pas de petits-fils. Ils y sont entrés... Les vieux père et mère pentecôtistes, de par leur expérience, vous y ont fait entrer ; et vous êtes entré dans l’église, tout bonnement, vous vous êtes assis là, et automatiquement vous êtes devenu un pentecôtiste. Il n’a pas de petits-fils. Il n’a que des fils et des filles. Il n’y a pas de petits-fils. Il vous faut payer le même prix pour recevoir le même Saint-Esprit qu’eux autrefois. Il vous faut devenir un fils et une fille, pas un petit-fils et une petite-fille. Ce n’est pas un vieux grand-père marionnette mou, qui laisse ses enfants se tirer avec n’importe quoi, bénissant leur petit coeur. Il est Dieu, l’Eternel. C’est vrai. Des fils et des filles !

147 Nous avons toujours une grande masse comme Samson. Il se tenait là avec toute sa puissance. Il se tenait là, aussi grand qu’il l’a toujours été. Et nous sommes plus grands qu’auparavant, mais dépouillés de puissance. Samson était toujours très musclé, il avait toujours tous ses organes physiques, mais l’Esprit du Seigneur ne venait plus sur lui. Nous sommes des millions de fois forts, plus forts qu’auparavant, mais où est le Seigneur ? Comme l’Ange l’a dit jadis, du temps de Gédéon, Il avait dit : «Si où est… s’Il est toujours Dieu, où sont Ses miracles ? Où sont les choses qu’Il est censé faire ? Où est Sa manifestation comme étant vivant et le même hier, aujourd’hui et éternellement ? » C’est ce que nous obtenons.

148 Remarquez, Samson avait bien prié. Samson a prié, disant : « Seigneur, que je meure avec l’ennemi », quand il s’est rendu compte de ce qui se passait autour de lui. Il n’avait plus d’yeux. Il n’avait plus de force. Il n’avait plus de communion. Mais il y avait une possibilité, c’est qu’une réunion de prière puisse une fois de plus enflammer cela. Voyez ? Alors, il a bien prié correctement : « Que je meure avec l’ennemi. »

149 Vous devez mourir avec votre ennemi. C’est exact. Vous devez mourir à votre ennemi qui vous a entraîné dans cette condition. C’est vrai.

150 Samson était disposé à payer le prix pour recouvrer la puissance de Dieu. Il a vu ce pour quoi il était suscité. Pas être un acteur, mais être un serviteur, se maîtriser de sorte que la puissance de Dieu coule à travers lui.

151 Nous sommes des millions de fois plus nombreux qu’autrefois, mais la puissance… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… but.

152 Jésus a même dit : « Ce qui arriva du temps de Noé, où huit âmes furent sauvées par l’eau, arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme. » Tout ce que vous voyez passer dans la rue, c’est de la chair à canon. C’est de la chair pour la bombe atomique, cela se trouve là uniquement pour le jugement. Si l’Enlèvement a lieu, il y en a très peu qui iront. « Etroite est la porte, resserré le chemin, et il y en a peu qui le trouvent, mais large est la porte qui mène à la destruction et il y en a beaucoup qui entrent par là. Ceux qui Me disent : ‘Seigneur, Seigneur’ n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père. » C’est celui-là qui entrera (voyez ?) ; non pas ceux qui disent « Seigneur » dans leurs belles prières, et–et des réveils et autres.

153 Oh ! J’entends quelqu’un dire : « Eh bien, attends une minute, Frère Branham, nous avons des réveils. » Ouais. C’est exact. C’est exact. Nous avons des réveils, et qu’avons-nous ? C’est un réveil dénominationnel, voyez, si nous pouvons en avoir davantage dans l’église.

154 Et nous avons un autre grand réveil aussi ; nous faisons entrer toutes les églises dans une seule : le Conseil des églises. Ouais, ça s’éloigne davantage de la Parole de Dieu, tout le temps. S’unir… « Deux hommes marchent-ils ensemble sans en être convenus ? » Comment allons-nous marcher avec les gens qui nient la résurrection même de Christ ? Comment pouvons-nous marcher avec des gens qui disaient : « Les jours de miracles sont passés » ?

155 Vous êtes un peuple séparé par le Saint-Esprit. Voyez ? Aujourd’hui, le monde veut les–les–les… ce que le monde veut aujourd’hui, ce sont ceux qui mélangent. Ils veulent quelqu’un qui peut aller çà et là et–et avoir communion avec le monde, avec les gens, et avoir beaucoup de membres, avoir une organisation sociale. Alors que le Saint-Esprit avait cependant dit : « Séparez-moi Paul ! » Dieu sépare. Il ne mélange pas, Il sépare.

156 Il savait que sa force de rétrograde, quand bien même tout était là, la grande carrure qu’il avait toujours eue, il se tenait là, mais sa force de rétrograde ne pouvait relever le défi de l’heure.

157 Et l’église sait aussi cela. L’évangéliste savait cela quand ce musulman lui avait lancé le défi. Votre force intellectuelle ne peut relever le défi de l’heure, parce que le diable s’est déchaîné parmi nous avec une puissance que rien ne peut–ne peut oser affronter en dehors de l’Esprit du Dieu Tout-Puissant, quand cette Parole sera faite chaire. Et ça va sans cesse s’empirer, constamment s’empirer.

158 Il savait qu’il était incapable. Il ne pouvait pas faire cela. Et il savait ce qui arriverait si Dieu exauçait sa prière.

159 Je me demande si nous sommes autant disposés ce soir. Je me demande si le monde pentecôtiste est disposé ce soir à s’accorder de même avec Dieu. « Seigneur Dieu, si cela met ma dénomination en pièces, qu’on m’excommunie du conseil ! Peu m’importe qu’on me retire la carte de membre, et que je doive me coucher à plate couture, boire de l’eau du robinet et manger des biscuits secs, plutôt que rouler dans une grosse voiture avec un gros salaire. Peu m’importe le prix. Ce système m’a éloigné de Toi. Ramène-moi une fois de plus, Seigneur. Je croirai Ta Parole. Venge-moi de mes yeux crevés. Que je meure avec cela. Amen. Que je meure à moi-même. Peu m’importe ce qu’on dit à mon sujet. Je peux devenir l’évêque. Je peux devenir ceci, cela ou autre. Peu m’importe ce qu’on dit. Restaure la puissance du Saint-Esprit dans ma vie. J’ai été assez longtemps aveuglé. »

160 Ô église, êtes-vous disposée pour cela ? « Que je meure avec les autres. Que mon titre de révérend, docteur, ou je ne sais quoi, périsse. Ô Dieu, accorde-moi une fois seulement, envoie sur moi, une fois seulement, cette glorieuse puissance qui était descendue le jour de la Pentecôte, qui peut relever le défi de cette heure, face au communisme qui se lève ou n’importe quoi d’autre qui se lève. Que je meure, Seigneur, avec eux. » Il y a une possibilité, vous savez.

161 Vous savez quoi ? Lors de cette confession, les Philistins, ils étaient trop ivres pour remarquer ce qu’il faisait. Tout d’un coup, quand il a vu qu’il y avait une possibilité, il a redressé la tête vers les cieux, et les larmes ont coulé de ses orbites aveugles. Il s’est mis à bouger les lèvres, les larmes coulaient de ses yeux. Les autres ne le remarquaient pas. Ils étaient trop occupés à se moquer de lui. Il voulait la Parole de Dieu, que le véritable Dieu vivant entre une fois de plus en scène. Il lui avait fait défaut. Il savait qu’il Lui avait fait défaut. Mais il voulait voir le Dieu vivant vivre ici pour prouver à ce groupe de Jézabel qu’Il était toujours Dieu.

162 Oh ! si cela vous déraidit, si ça ne vous fait pas agir comme une espèce de vedette de cinéma, s’il vous faut laisser pousser vos cheveux et enfiler une robe à l’ancienne mode : « Peu m’importe le prix, je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. Seigneur, fais-nous voir cela une fois de plus ; fais-nous voir la Présence de Dieu agissant devant cette Jézabel. »

163 Il savait ce qui se passerait si Dieu exauçait sa prière, mais il était prêt et il était vraiment dans le besoin.

164 C’est ce qu’il nous faut. Soyez prêt ; prenez une décision. Fermez vos yeux, laissez vos affections… n’adaptez pas la Parole de Dieu à vous ; adaptez-vous à Sa Parole. « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne, Seigneur. Non pas ce que je pense à ce sujet ; c’est ce que Tu as dit à ce sujet. » C’est exact.
Qu’a-t-il crié ? « Seigneur… »

165 Il a dit : « Jeune homme, place l’une de mes mains sur ce poteau ; c’est possible. » Oh ! la la ! « Conduis-moi vers cette colonne qui soutient ceci, parce que j’aimerais faire reposer mes mains. Je suis fatigué. On s’est assez longtemps moqué de moi. » Oh ! la la !

166 « Je sais, Seigneur, ce qui en sera le prix, mais peut-être que Tu le feras. Il y a une possibilité. Tu es plein de miséricorde. Je t’ai fait défaut, Seigneur. » Cela devrait être le cri de l’église ce soir.
« Jeune homme, veux-tu bien placer ma main sur une colonne ? »
« Oui. »
« Et ma main sur cette autre colonne ? »
« Oui. »
« Est-ce que mes mains sont bien placées ? »
« Oui, elles sont bien placées. »

167 Alors, il s’est mis à prier. Et il a dit : « Seigneur, venge-moi mes yeux. » En d’autres termes : « J’ai mal agi. Mais encore une fois seulement, Seigneur, encore une fois… »

168 Oh ! Si seulement cela pouvait être l’objectif du mouvement pentecôtiste ce soir : « Je suis disposé à oublier si je suis comme ceci, si je suis unitaire, binitaire, trinitaire. Je suis disposé à oublier toutes ces mondanités et tout. Encore une fois seulement, Seigneur ! Encore une fois, fais-moi sortir de ce credo et de cette chose qui m’a lié. Encore une fois ! Encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ apparaître le même hier, aujourd’hui et éternellement. Encore une fois, Seigneur, encore une fois. » Cela devrait être le cri de l’Eglise, même si les gens sont aveuglés par ces choses, aveuglés par leur frère et leur conception. Prenez simplement la conception de Dieu et vous n’aurez pas à discuter à ce sujet. « Encore une fois, Seigneur, encore une fois. »

169 Donc, là se tenait cette grande carcasse sans puissance et sans secours. Tout d’un coup, il a commencé à sentir quelque chose se passer. Chaque fibre de son corps a commencé à se remplir de la puissance de Dieu.

170 Oh ! si seulement l’église pouvait en arriver là une fois de plus, du prédicateur au diacre, jusqu’au laïc, chaque fibre et chaque membre du corps seraient remplis de la puissance de Dieu.

171 Ces gros muscles se sont redressés, et il a resserré cela : « Laisse-moi mourir avec eux, Seigneur. Laisse-moi mourir avec eux. Tu m’as suscité pour détruire cela. Maintenant, je me suis fortifié pour ça ; laisse-moi me détruire moi-même avec cela, ma réputation, quoi que ce soit. Laisse-moi détruire cela, mais j’aimerais voir la puissance de Dieu une fois de plus. »

172 chaque fois que la puissance de Dieu se manifeste, les murs, dans lesquels vous étiez enfermé tombent. Vos murs dénominationnels s’écrouleront et Dieu se fera de nouveau connaître. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

173 Chacune de ses fibres se remplissait du Saint-Esprit, chaque muscle en était plein, et chaque partie de son corps était bien remplie du Saint-Esprit. C’était la plus grande victoire de Samson.

174 Ô Eglise du Dieu vivant ! Je vais mettre de côté mes autres notes pour dire cette seule chose. Pourquoi ne le faisons-nous pas ? Etes-vous prêtes, assemblées de Dieu ? Etes-vous prête, vous, United Church ? Etes-vous prêts, vous les unitaires, les trinitaires, quoi que vous soyez ? Etes-vous prête, Eglise de Dieu ? Etes-vous prêtes, vous toutes les autres dénominations, à oublier ce non-sens et ce que vous avez fait ? Regardez où vous avez amené les gens ce soir et dans quel état ils sont.

175 Ô Dieu, accorde-nous de briser ces murs. « Encore une fois, Seigneur. Peu m’importe. Nous sommes à la fin du temps, mes amis. Il ne nous reste pas grand-chose. Nous ferions mieux de crier maintenant même, crier : « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Juste cette fois-ci seulement, Seigneur, à la fin du monde, que Ta Puissance remplisse chacune de mes fibres. Je me débarrasserai de toutes ces autres choses. Les cartes de membre, les évêques et les dénominations, et tout, ça ne représente rien pour moi. C’est Toi que je veux, Seigneur, plus que n’importe quoi. »

176 Pensons-y alors que nous inclinons la tête juste un instant. Je me sens poussé à faire ceci. « Encore une fois, Seigneur. » Tout le monde, avec sincérité et respect, aussi respectueux que possible. Ayez simplement foi et, au fond de votre coeur, dites : « Encore une fois, Seigneur. »

177 Seigneur Jésus, Grand Maître de la Vie, le Berger des brebis, viens, Seigneur. Ces gens ont faim. Ils ont soif. Seigneur, ça fait des années que je désirais voir ceci arriver, peut-être que ça arrivera. Encore une fois seulement, Seigneur, une plus grande action de l’Esprit. Encore une fois, Seigneur, et l’Eglise pourra recevoir la foi de l’Enlèvement pour partir. Accorde-le, Seigneur. Montre que Tu es avec nous, et nous Te louerons pour cela. Au Nom de Jésus, nous le demandons. Amen.

178 Je sais que ce qui compte, ce n’est pas beaucoup de paroles ; je sais que ce n’est pas une longue prière, mais Il connaît mon objectif. Je suis sérieux là-dessus. Jésus peut-Il vivre parmi nous ce soir ? Jésus peut-Il encore une fois venir vers nous et montrer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, comme nous l’avons appris ? Y a-t-il des malades, des affligés, ou des gens découragés ici, en fait–en fait, vous savez qu’on n’a pas distribué des cartes de prière (Nous les avions toutes prises hier soir.), mais ils croient Dieu et ils aimeraient lever la main pour dire : « Je suis dans le besoin, Frère Branham. Je prie que Dieu me parle » ? Levez la main, où que vous soyez. C’est partout.

179 Eh bien, voici (quoi ?) la grâce de Dieu pour témoigner que ce que j’ai dit est la Vérité. Voyez ? Voyez, un homme peut dire n’importe quoi, si Dieu ne le confirme pas, alors c’est faux. Croyez donc.

180 J’aimerais que vous croyiez que je suis Son serviteur. J’aimerais que vous disiez à Dieu… Vous voyez, quand Il m’a rencontré, Il a dit : « Si tu amènes les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère… »

181 Et maintenant, si Jésus se tenait ici ce soir et que vous étiez malade ou nécessiteux, ou quoi que ce soit, Il ne pourrait pas vous guérir ; Il l’a déjà fait. Mais Jésus et la Parole, c’est la même chose. Il est la Parole. Et Il a dit que l’homme vivrait de cette Parole, pas d’un credo, de la Parole. « Et celui qui croit en Moi (non pas qui fait semblant de croire, mais qui croit) fera aussi des oeuvres que je fais. »

182 Comment connaissait-Il leurs pensées ? Comment s’y prenait-Il ? Ils pensaient qu’Il lisait leurs pensées ; et Il leur a dit qu’Il leur pardonnerait cela : « Mais quand le Saint-Esprit viendra faire cela, dire un mot contre cela ne sera jamais pardonné. » Eh bien, nous avons vu cela tout au long de la Bible et nous avons trouvé que Dieu s’était identifié en ce moment-là comme le Messie en montrant qu’Il était le Prophète et la Parole. En effet, la Bible dit : « La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants (Hébreux 4), Elle discerne les pensées du coeur. » C’est pourquoi on ne pouvait rien Lui cacher. Et les choses que… c’est ainsi qu’ils ont reconnu.

183 C’est ainsi que la femme au puits a su qu’Il était le Messie. Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses. C’est ce qu’Il fera. »
Il a dit : «Je Le suis. »

184 Elle est entrée en courant et a dit aux gens : « Venez voir un homme qui m’a dit ce que–ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? » Et ils ont cru cela.

185 Mais on ne sait trop comment, nous ne croyons pas. On dirait que le monde ne veut pas croire cela. Mais Dieu riche en miséricorde, il y a une possibilité qu’Il puisse encore faire cela. Il doit s’identifier comme cela, le Messie ; Il ne peut pas faire cela pour les Samaritains et les Juifs, et puis exclure les Gentils. ça doit se faire. Priez donc et touchez le bord de Son vêtement.

186 Et à l’intention des membres du clergé : « Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » C’est vrai. Hébreux 3.

187 « Il est maintenant le Souverain Sacrificateur (et nous croyons tous cela.) qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Donc, Sa vie, Ses actions, tout de Lui est le même. « Encore un peu de temps, et le monde (le cosmos, l’ordre) ne Me verra plus », ils ne verront jamais cela.

188 Rappelez-vous l’Ange qui est descendu sous la forme d’un Homme, qui a parlé à–à Abraham, l’Eglise élue appelée à sortir. Il n’est jamais descendu à Sodome pour agir là-bas comme ces autres compagnons qui y étaient allés prêcher, comme Billy Graham et les autres aujourd’hui, avec ce G-r-a-h-a-m de nouveau, comme A-b-r-a-h-a-m. Voyez ? Chacun avait son messager. Suivez. On en a aujourd’hui, la même chose est arrivée. Il est allé là auprès de l’Eglise appelée à sortir qui n’était pas à Babylone, et c’est là que cette chose mystérieuse a eu lieu, quand Il a dit à Sara, alors qu’elle était dans la tente derrière Lui, ce qui n’allait pas.

189 Elle a ri. Et Il a dit : « Pourquoi Sara a-t-elle ri, disant dans son coeur que ces choses ne peuvent pas arriver ? » Et Abraham l’a fait venir et elle a essayé de nier cela. Et Il a dit…

190 Regardez, voilà la grâce. Voici–voici une possibilité. Dieu aurait pu frapper Sara de mort là même, mais Il ne l’a pas pu ; elle était une partie d’Abraham. A cause de notre incrédulité, Il aurait pu nous frapper de mort, mais Il ne le peut pas ; nous sommes une partie de Christ. La grâce nous préserve. Voyez ? Mais Il doit toujours garder Sa Parole. Maintenant, priez.

191 Je ne vois personne que je connais réellement dans cette salle, sauf frère Pat Tyler assis ici au bout, que je connais en fait. Mais en ce qui concerne… Et je pense que c’est frère Bill Dauch qui est assis ici même, avec sa femme. En dehors de cela, ce sont les seuls je connais. Frère Joseph. Et si le Saint-Esprit leur parle, je vous dirai ce qu’il en est, et donc mettre cela de côté pour vous le dire après la réunion.

192 Mais, encore une fois, Seigneur, encore une fois ! « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Maintenant, croyez, et voyez si cette même Lumière que vous voyez constamment…

193 Eh bien, quand nous avons terminé les Ages de l’Eglise, là au tabernacle, il y avait à peu près autant de gens qu’ici. Il y a des gens qui sont assis ici même présentement qui étaient là. Cette même Colonne de Feu est allée au mur latéral, Elle a dessiné ces Ages de l’Eglise tel que je les avais dessinés au tableau. Est-ce vrai ? Beaucoup parmi vous étaient là. [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E] Les gens s’étaient évanouis et tout le reste. J’ai dit : « Elle est là maintenant, s’il y a un doute. »

194 On En a une photo ici à Washington D.C., protégée par le droit d’auteur comme étant l’unique Etre surnaturel jamais photographié. George J. Lacy, le responsable du département de F.B.I. chargé des empreintes digitales et des documents suspects, a examiné Cela, quand cette Lumière est apparue là. Il a dit : « Frère… Monsieur Branham, je disais que c’était de la psychologie ; j’ai assisté à vos réunions ; mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas photographier de la psychologie. » Voyez ? Il a dit : « La lumière a frappé l’objectif. »

195 Eh bien, si c’est Christ qui avait terrassé Paul, et ce dernier L’a appelé : « Seigneur, » voyez, « que veux-Tu que je fasse ? », la Vie qui était en Lui sera reproduite aussi en nous. Voyez, Il est ici avec l’Eglise appelée à sortir.

196 Et puisse cela arriver encore une fois, Seigneur, afin que ces gens voient que Tu es toujours vivant, que Tu n’es pas mort et que Tu n’as jamais abandonné Ton peuple. Ils sont ici, mais, Seigneur, ils ont les yeux crevés par une organisation, une Jézabel, Delila, qui les a éloignés de la vraie Parole en faveur d’un credo. Que les murs tombent, Père. Accorde-le. Encore une fois, Seigneur ! Comme je l’ai dit, il y en a beaucoup ici que je ne verrai probablement plus jamais. Mais, encore une fois, Seigneur, que Jésus apparaisse parmi nous sous forme du Saint-Esprit, qu’Il puisse reproduire en nous la Vie qu’Il menait là, pour accomplir Sa Parole.

197 « Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » Que les malades et les affligés touchent ce Maître. Tu es le même, Seigneur, qui pouvait dire à Simon Pierre, quand il s’est avancé parmi les gens : « Eh bien, Tu es Simon, le fils de Jonas. » Tu es le même, Père. Tu ne faillis pas. Le même. La petite femme qui toucha Son vêtement, le même Christ vit ce soir. Puisse cela se passer encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Je le demande, pour la gloire de Jésus. Amen.

198 Maintenant, que personne ne se déplace. Avec respect, inclinons-nous avec sincérité et respect. Nous ne faisons pas ces choses par hasard.

199 C’est une promesse de Dieu. L’Esprit divin du Dieu vivant a promis cela dans Sa Parole, et cette Parole est Vie et Esprit. Jésus a dit qu’Elle l’était. Et lui et la Parole, c’est la même chose. Et l’homme vit de cette Parole. Cette Parole vit dans l’homme.

200 Maintenant, c’est comme un don. Maintenant, je vais vous livrer un secret alors que je pars. Vous avez été doux et gentils. Je n’avais jamais dit cela exactement comme ceci, à ce que je sache, en public auparavant. « Frère Branham, ce don, c’est quoi ? » C’est un don qui consiste à savoir mettre William Branham hors du chemin afin que Jésus-Christ puisse vivre dans un vase. Juste se mettre hors du chemin !

201 Je ne vous connais pas. Je ne sais rien à ce sujet, mais Lui le sait. Il s’agit de Lui.

202 Maintenant, ayez foi et croyez. Dites : « Seigneur, cet homme ne me connaît pas. Et pourtant, Tu as dit : ‘Encore un peu de temps, et le monde (Babylone ou Sodome), ne Te verra plus. Mais vous, vous Me verrez. Vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.’ »

203 On n’est pas encore arrivé à la fin. « Vous Me verrez. Vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous. » Vous verrez Sa Vie reproduite dans les croyants.

204 Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle pour la gloire de Dieu, afin que les oeuvres de Dieu soient de nouveau manifestées, s’Il trouve convenable de faire cela.

205 À peine ai-je dit ce mot, j’ai regardé ici, au coin, et ici… Ne pouvez-vous pas voir cette Lumière suspendue là même ? Elle est ambre, Elle se déplace. Ou est-ce… suis-je dans une autre dimension, et ne fais-je que m’imaginer, c’est mon esprit ?

206 Il y a une petite femme assise là. Elle est en difficulté. Elle souffre de la–la gastrite. Elle a subi une opération à cause du cancer, et le cancer était sur le sein. Le cancer a été enlevé, petite dame. Oui. [La soeur dit : « C’est vrai. » – N.D.E.] C’est vrai.

207 Ainsi, maintenant, vous le saurez. Je ne vous connais pas, mais croyez-vous que je suis Son prophète ? Je vais le dire clairement ce soir ; je vais partir. [L’assemblée se réjouit et dit : « Amen. » – N.D.E.] Me croyez-vous ? [« Amen »] Croyez-vous que cela nous est promis dans les derniers jours, selon Malachie 4, que cela ramènera les coeurs des enfants au Père ? [« Amen »]

208 Eh bien, Madame Taylor, c’est ça votre nom. Vous pouvez rentrer chez vous, et Jésus-Christ vous guérit. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.]

209 Que pensez-vous ? Vous avez aussi subi une opération. Croyez-vous ? Si vous croyez de tout votre coeur… Votre opération, c’était aussi pour le cancer, une tumeur dans les intestins, l’appareil digestif. Mais maintenant, vous avez des complications. Si vous croyez, madame Shukwit, de tout votre coeur, que Jésus-Christ vous guérit, vous pouvez avoir ce que vous demandez.
Croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

210 Tenez, une dame ici derrière, c’est une dame de couleur. Elle souffre d’un mal des yeux et d’un mal des membres, des jambes. Son nom, c’est madame Washington. Levez-vous, s’il vous plaît. Vous êtes guérie.

211 Qu’a-t-elle touché ? Demandez-lui ce qu’elle a touché. L’humilité de cette femme de couleur…

212 A propos, Cela a frappé une autre femme de couleur assise ici au bout. Elle souffre de coeur. Son nom, c’est madame Harris. Croyez-vous, Madame Harris ? Votre maladie de coeur vous a quittée.

213 Qu’a-t-elle touché ? Elle ne m’a point touché. Elle est à 20 yards [18 m] de moi. Elle a touché le Souverain Sacrificateur.

214 Tenez, voici une autre femme, je détourne la tête, elle est assise ici même. Elle souffre d’une maladie de coeur aussi. Madame Carter, levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit.

215 Là au fond, une femme souffre d’un estomac ulcéreux, son nom est madame P-a-o-l-i. Madame Paoli, levez-vous, Jésus-Christ vous a guérie. Très bien. Vous y êtes.

216 « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! » Croyez-vous en Lui ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

217 Levons-nous. Confessons nos péchés et prions : « Encore une fois, Seigneur, que le Saint-Esprit vienne sur nous. » Levons les mains.

218 Seigneur Dieu, nous sommes embarrassés ; le monde se moque de nous, Seigneur. Viens-nous en aide ce soir. Que le Saint-Esprit vienne encore une fois, qu’Il soit déversé sur les gens. Puisse-t-Il venir maintenant, Seigneur. Que chaque malade soit guéri. Que chaque pécheur soit sauvé, que chaque personne qui cherche soit remplie. Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Encore une fois seulement, Seigneur. Encore une fois, que le Saint-Esprit descende sur les gens.

219 Levez vos coeurs maintenant, et criez : « Encore une fois, Seigneur ! » Tous ensemble : « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! » [L’assemblée se réjouit et crie à haute voix : « Encore une fois, Seigneur ! » – N.D.E.]

220 Encore une fois, Seigneur ! Encore une fois, que le Saint-Esprit s’empare de cette assistance, qu’Il brise les puissances de l’ennemi, qu’Il remplisse chaque fibre du baptême de l’Esprit.

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