Encore une fois
1 J’aimerais dire que je… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.] J’apprécie ça. Merci beaucoup. J’aimerais dire que moi aussi j’aime certainement cet homme. Frère Joseph est mon ami depuis des années. J’aimerais un jour avoir l’occasion de vous raconter comment nous nous sommes donc rencontrés. Mais je–je pense bien que si le Seigneur m’aime comme frère Joseph m’aime, alors tout ira très bien pour moi. Que Dieu vous bénisse, Frère Joseph. [Frère Joseph Boze dit : « Merci. » – N.D.E.] Que le Seigneur vous bénisse.
2 Je pense que nous allons chanter Maintenant, je crois. Disons-le du fond de nos coeurs ce soir : Maintenant, je crois. Très bien.
Maintenant, je crois, maintenant, je crois
Tout est possible, maintenant, je crois ;
Maintenant, je crois, maintenant, je crois ;
Tout est possible, maintenant, je crois.
3 Inclinons la tête juste un instant pendant que nous sommes debout. Et, en ce moment-ci, inclinons aussi nos coeurs devant Lui. Maintenant, je me demande s’il y a quelqu’un dans cette assemblée qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans cette prière, qu’il lève simplement la main vers Dieu pour dire : « Ô Dieu, par ceci, je montre que j’ai aussi un besoin auquel j’aimerais que Tu pourvoies. » Que Dieu vous accorde votre requête.
4 Notre Père céleste, le Grand et Tout-Puissant Jéhovah, Toi qui as créé la terre à partir de Ta Parole et qui nous as donné l’occasion de séjourner ici et de décider si nous voulons vivre ou mourir. « Choisissez aujourd’hui. » Et nous choisissons entre la mort et la Vie. Ainsi, je Te prie, ô Père, s’il y en a ici qui ne Te connaissent pas comme leur bien-aimé Sauveur personnel, qu’ils Te choisissent ce soir ; en fait, Te connaître, c’est la Vie. Et ensuite, s’il y en a ici ce soir qui sont malades et sujets à la mort physique, qu’ils Te choisissent ce soir comme leur Guérisseur, et cela représentera aussi la restauration de leur corps une fois de plus.
5 Oh ! Tu es si bon envers les fils des hommes ; Tu uses de patience, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. Tu envoies des nuages pour la pluie, Tu produis le fruit et la nourriture sur la terre pour nourrir Tes enfants. Et nous sommes si indolents, ô Seigneur, si destructeurs, gaspilleurs, égoïstes. Et, ô Dieu, pardonne-nous simplement, Seigneur. Nous–nous implorons miséricorde. Nous ne voulons ni Ta justice ni Ton jugement ; nous voulons Ta miséricorde, Seigneur, aussi prions-nous que nous puissions bénéficier de Ta miséricorde.
6 Et, Père, ce n’est pas pour que cette assemblée m’entende, mais afin que Toi, Tu m’entendes pendant que je me tiens ici en cet endroit consacré, je Te remercie pour cette merveilleuse communion. Et je crois, de tout mon coeur, que si Tu devais venir ce soir, il y aurait un grand nombre de gens de New York qui irait dans ce glorieux Enlèvement. Et, Père, nous prions que nous devenions des lampes, non pas des lampes placées sous un boisseau, mais sous l’onction du Saint-Esprit qui allume la chandelle, afin que nous devenions des lumières pour ce monde qui se meurt, alors que ces gros nuages sombres d’incrédulité affluent de tout côté. Nous savons que bientôt nous verrons notre Seigneur franchir ce nuage, quand la Lumière commencera à briller. Et nous espérons, Seigneur, que Tu nous auras apprêtés. S’il y a un besoin parmi nous ce soir, pourvois à cela pour nous, Seigneur, par Ta grâce. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
7 Je ne suis pas très éloquent. Mais j’aimerais dire au pasteur Vick, à son jeune collaborateur ici ainsi qu’à la chorale, ce groupe de braves dames et de braves hommes, à tous les pasteurs qui collaborent, aux laïcs, à vous tous, les visiteurs, les étrangers dans nos murs, j’aimerais vous remercier pour votre soutien durant cette semaine, vos prières et votre collaboration, en fournissant des efforts pour que la Lumière de l’Evangile soit apportée à cette ville.
8 Et nos efforts, ceux du pasteur Vick et de beaucoup d’autres pasteurs sont… Nous pêchons à la seine dans ce grand lac. Il y a ici des poissons qui appartiennent à Dieu. Nous ne savons pas qui ils sont ni où ils sont. Mais pendant qu’il se tient dans un coin, un autre dans un autre coin, pêchant à la seine, je viens simplement mêler mon filet aux leurs, le ministère qui m’a été donné aux leurs, pour essayer d’atteindre un–un groupe un peu plus large et le faire entrer, et nous pourrons le présenter à Dieu en disant : « Père, y a-t-il un poisson ici ? Y a-t-il des semences de vie, prédestinées à être dans le Livre de Vie, pour lesquelles l’Agneau est mort ? » S’il y en a, nous pensons que quand la Lumière de l’Evangile les frappera, elles La verront très vite, parce qu’elles sont prédestinées à cela.
9 Maintenant, nous sommes désolés de ne pas disposer d’une salle convenable pour les gens. Chaque soir, pratiquement, à mon arrivée, je trouvais de très grandes foules de gens ici et là dans la rue, marchant, cherchant à entrer. Certains pleuraient, d’autres indifférents, vous savez.
10 Mais je sais que c’est… qu’il y a une loi ici, la loi anti-incendie, selon laquelle il faut un certain nombre de gens, il faut laisser les allées très dégagées et tout. Et alors, on n’y peut rien. En effet, nous sommes, en tant que chrétiens, il nous faut observer cela. Car la Bible dit, Jésus nous a dit de le faire : « Rendez à César ce qui est à César; et puis, à Dieu ce qui est à Dieu. » C’est ce que nous essayons donc de faire. Et si nous n’obéissons pas à César, il est douteux que nous obéissions à Dieu. Et tant que–que les lois de César n’interfèrent pas avec celles de Dieu, il nous faut premièrement obéir à Dieu. Ainsi donc, ces risques d’incendie et autres, eh bien, eux–eux savent s’en occuper, et ils nous en ont prévenu.
11 Je–j’implorais miséricorde pour les gens, en les voyant çà et là dans des rues, et tout, des malades cherchant à entrer, et on les amenait à bord des taxis de quelque part ailleurs, de New York, de Long Island, de Jersey et de divers endroits, ainsi que de Manhattan. Eh bien, vous voyez, mais c’est tout ce qu’on–on peut faire, implorer. Et puis, comme je vois que c’est une loi, eh bien, on a dit : « Si la police anti-incendie venait nous trouver bondés comme ceci, elle arrêterait toute la série des réunions. » Alors, cela mettrait tout le monde dehors.
12 J’aimerais exprimer ma reconnaissance au–au–au propriétaire, ou je ne sais qui, ou à l’entreprise propriétaire de ce bâtiment et au gérant, pour nous avoir accordé ce bâtiment, et au concierge pour sa courtoisie en nous laissant avoir l’accès. Ils ont été très, très gentils. Et s’ils sont… Si en ce moment-ci ils n’ont pas la Vie Eternelle, je crois que Dieu la leur accordera.
13 Et maintenant, ceci peut sembler être une–une forte déclaration, mais je le dis uniquement par zèle pour Christ. Et je prie réellement, si ce bâtiment est utilisé, à n’importe quel moment, à partir de maintenant, pour des danses ou des loisirs mondains, que le Saint-Esprit convainque tellement les gens qu’ils pleureront. Je prie pour cela. En effet, je suis sûr que même les propriétaires préféreraient voir des âmes être sauvées pour le Royaume de Dieu plutôt que de voir autre chose s’y passer.
14 « Et maintenant, soyez le bienvenu prochainement », c’est pour que je revienne ; cela comble bien mon coeur. En effet, ces drôles de petits ministères ne sont parfois pas les bienvenus parmi les frères, surtout parmi ceux-là qui–qui, dans certaines organisations, ont atteint le niveau où ils ne peuvent pas accepter cela (voyez ?), parce qu’il y a un système derrière cela. Ce n’est pas que beaucoup de ces précieux hommes…
15 J’ai rencontré des prêtres catholiques qui m’ont pris par la main et qui m’ont regardé droit dans les yeux. Et, pensez-vous que je ne savais pas ce qui se passait dans leur esprit ? C’est le discernement, vous voyez, ce que vous voyez ici. Il voulait recevoir Cela, mais il ne pouvait pas le faire (voyez ?) ; il–il serait excommunié. Voyez ? Des prédicateurs protestants, c’est pareil, de braves frères, et ils–ils veulent recevoir cela.
16 Ainsi, quand je parle contre une dénomination, ou contre le système dénominationnel, ce n’est pas contre les gens qui y sont. C’est au système que je m’en prends (voyez-vous ?), qui garde ces gens séparés, qui nous empêche de recevoir cela. Voyez ? Ils élaborent leurs déclarations, disant : « Nous croyons ceci, point. » S’ils terminaient cela par une virgule : « Nous croyons ceci, plus tout ce que le Seigneur peut nous montrer dans Sa Parole », ça serait en ordre. Mais ils ne le font pas comme ça. Vous savez cela. Elle ne pourrait pas être une dénomination et faire cela. Voyez ? Ce serait bien une action de Dieu, continuellement en cours. Voyez ? Et le…
17 Chacun devient la pluie de l’arrière-saison pour l’autre. Voyez, le… Luther était la pluie de l’arrière-saison pour les catholiques. Et John Wesley était la pluie de l’arrière-saison pour Luther. Les pentecôtistes étaient la pluie de l’arrière-saison pour la dénomination. Aujourd’hui, les pentecôtistes se sont organisés ; alors, que va-t-il arriver ? Voyez ? Voyez ? Voyez ?
18 Mais rappelez-vous, les enfants de Dieu n’enfonçaient jamais les piquets, de leurs tentes ou–ou… de façon solide, mais telle qu’ils les enlevaient. Et quand le Feu se déplaçait, la Colonne de Feu, ils se déplaçaient avec Cela. Voyez ? Ils se déplaçaient avec la Colonne de Feu.
19 Mais quand vous voyez la Colonne de Feu faire quelque chose, le Saint-Esprit faire quelque chose, et puis après, cet homme qui a le Message quitte ce monde, alors on dit qu’ils forment une organisation à partir de son oeuvre. Et la Colonne de Feu abandonne carrément cela et les laisse plantés là. Elle continue simplement d’avancer. Ils sont tellement enfoncés qu’ils ne peuvent pas se déplacer, et… mais il y a là beaucoup de bonnes personnes.
20 Je ne sais pas si mon coeur a eu plus de liberté d’expression que ce que j’expérimente maintenant.
21 Eh bien, là… on dit que les habitants de New York sont froids, indifférents, formalistes ; qu’ici, c’est le grand moule où on trouve une poignée de pires gens de chaque nation, et on les jette là, on les broie et on obtient New York. Voyez ? Mais j’aimerais que vous sachiez qu’il y a là aussi des saints de Dieu. Voyez ? C’est vrai. C’est la vérité. Et partout où je vais, à travers le monde, je trouve des saints de Dieu dans chaque nation, partout. Et la chose étrange, c’est…
22 Voici ce que je peux dire à certains d’entre vous, juste l’insérer. En tant que missionnaire, je–je vois cela quand je vais dans une nation qui ne sait même pas distinguer la main droite de la main gauche, où ils ne savent pas ce que sont des mots, comment épeler quoi que ce soit ; tout ce qu’ils savent, c’est tuer et manger, c’est tout. Mais laissez ces gens-là recevoir le Saint-Esprit, alors, ils feront la même chose que vous, ils agiront comme vous, sans même savoir une seule parole à ce sujet. Vous voyez donc que ce sont toutes les races, tous les peuples partout, et nous avons tous de bonnes et de mauvaises choses.
23 Et ce soir, j’en ai la nette impression, et je remercie notre Père céleste, car je–je crois que c’est à une partie de la crème de la moisson que j’ai le privilège de parler ce soir.
24 Eh bien, vous pouvez vous représenter la responsabilité qu’il y a de parler à un–un groupe qui s’accroche à chaque parole que vous dites. Et puis, vous aurez à répondre au Jour du Jugement pour ce que vous leur aviez dit. En effet, par cet humble petit ministère, les gens reçoivent la foi en voyant qu’un être humain ne peut pas faire ces choses. Cela doit venir de Dieu. Par conséquent, ils s’accrochent à chaque parole que vous dites. Ainsi, je ne cherche jamais à élaborer quelque chose, penser ou écrire des passages des Ecritures, et–et des notes, me disant que ce serait quelque chose qui réjouirait beaucoup les gens. Voyez, je–j’essaie de prier et de penser à quelque chose qui pourrait vous édifier, qui vous aiderait.
25 En effet, je ne suis pas ici juste pour… pour que nous applaudissions et que nous criions, que nous courions çà et là dans les allées. Oh ! je crois en cela, assurément, mais il–il y a plus que cela, là. Il faut que cela ait un fondement. Voyez ? Je pense que quand vous sautez et que vous redescendez, il vous faut ensuite vivre à la hauteur de votre saut, vous voyez ? Et si vous ne le faites pas, ne sautez pas. Voyez ? Ainsi donc, sautez chaque fois à la hauteur de votre vie, c’est tout. Et maintenant, c’est–c’est ce qu’il nous faut faire. En effet, après tout, vous voyez, votre–votre vie parle plus fort que votre témoignage, vous le savez. Voyez, les gens savent ce que vous êtes par votre façon de vivre et par les choses que vous faites.
26 Et maintenant, j’ai été très long le soir. Je suis censé sortir d’ici, eh bien, je pense, à l’heure exacte, dans les vingt prochaines minutes, et je n’ai même pas commencé. Et je–je suis lent. Donc, je–je…
27 Je–je suis toujours en retard. Je–je–je suis né en retard ; j’avais un peu dépassé neuf mois. Et puis, j’étais… C’est vrai. A ma naissance, j’avais un peu dépassé le temps, c’est ce que ma mère disait. Et puis, quand j’ai reçu l’instruction que j’ai eue, j’étais toujours en retard. Et quand je me suis marié, j’ai fait attendre ma femme pendant environ trois heures, le temps que je termine d’appeler les malades ; j’ai été en retard à mon mariage. Eh bien, si seulement je peux être en retard à mes funérailles, là, c’est la prochaine chose (voyez) ; c’est la chose principale. Je ne dis pas cela pour un… mais c’est la vérité.
28 Mais je–je n’ai jamais essayé d’Y faire entrer les gens par l’instruction. Je n’ai jamais osé y penser ; je laisse simplement le Saint-Esprit s’y prendre à Sa manière.
29 J’ai deux filles chez moi. Je venais de leur parler il y a quelques instants. L’une d’elles, c’est Rebecca, l’autre… Celle-là, c’est l’aînée. La plus jeune, sa soeur qui la suit, c’est Sara. Et elles ont pratiquement un écart de cinq ans. Il y a quelque temps, je tenais une série de réunions une série de réunions dans les champ des missions, je suis rentré tard chez moi. Et ce sont des filles à papa. Et même maintenant, Rebecca est une jeune fille, mais elle est toujours une fille à papa. J’aime mes enfants. Et je me souviens qu’elles restaient éveillées à m’attendre. Je ne revenais pas des mois durant. Et puis, à mon retour, elles attendaient de me voir. Eh bien, elles étaient alors des petites. Il y a de cela plusieurs années, environ dix ans passés. J’étais allé outre-mer, et j’en revenais. L’avion avait connu un retard, et alors, les petites filles avaient eu sommeil et elles étaient parties au lit. Le marchand de sable leur était entré dans les yeux, ou plutôt leur avait jeté du sable dans les yeux. Ainsi donc, eh bien, ma femme est restée éveillée.
30 Et finalement, je suis rentré aux premières heures, vers trois heures du matin. Et alors, j’étais très fatigué et épuisé, je n’arrivais pas à dormir. Je me suis couché pendant environ une heure, puis je me suis réveillé, je suis allé au salon et je me suis assis dans un fauteuil. Et, peu après, c’était l’aurore.
31 Et tout d’un coup, vous savez, j’ai entendu du bruit, là dans la chambre, et c’étaient les deux fillettes qui s’étaient–s’étaient réveillées. Rebecca s’était réveillée la première, une idée l’a frappée : « Papa est à la maison. » Et elle est venue, sortant de son lit, et elle est venue là. Eh bien, cela a réveillé sa jeune soeur.
32 Je–je pense que mes enfants sont comme les vôtres. Dès que quelque chose est pratiquement usé entre les mains de l’aînée, ça passe à celle qui la suit, l’habit usagé. Ainsi, Sara portait le pyjama de Beck. Et c’était à l’époque du pyjama genre pattes de lapin, avec de très grosses jambes, et c’était certainement trop long pour–pour Sara. Et alors, elle ne pouvait pas tenir, ses jambes étaient trop courtes.
33 Et alors, Rebecca a couru, elle a sauté sur mon genou et elle a jeté ses deux bras autour de moi et s’est mise à m’embrasser. Et, naturellement, j’ai dû crier un peu. Et alors, la pauvre petite Sara s’est dit qu’elle était abandonnée, que Beck l’avait battue ; et elle s’est alors tenue à la porte, elle a levé ses gros yeux noirs, et les larmes lui coulaient sur les joues.
34 Alors, Rebecca s’est retournée et a dit : « Sara, ma soeur ! » Elle a agi comme, je pense, certaines églises essayent de le faire, vous savez. Elle a dit : «J’aimerais te faire savoir que c’est moi qui suis arrivée ici la première. » Et elle a dit… Et elle avait les deux bras autour de moi, et elle a dit : «J’ai pris tout papa, il n’y a rien qui reste pour toi. » Eh bien, c’est ce qu’elles essayent de nous dire souvent, vous savez. Eh bien, Beck avait des jambes un peu longues et elle pouvait donc atteindre le plancher ; elle était très bien établie, vous savez, comme beaucoup d’églises.
35 Mais la petite Sara, elle était très affectée, jusqu’au moment où je l’ai regardée et lui ai fait un clin d’oeil, vous savez, et j’ai fait un signe comme ça. Alors, j’ai dégagé mon autre genou. C’est ce qu’elle attendait. Elle s’est avancée là. Elle a sauté sur ma jambe, c’était un peu trop élevé pour ses courtes jambes, et elle s’est tortillée comme si elle allait tomber. Eh bien, je l’ai saisie avec les deux bras, et elle a placé sa petite tête contre mon sein. Elle a plutôt apprécié cette marque d’affection, je pense, et moi aussi ; alors, je l’ai étreinte.
36 Et elle s’est redressée, elle a levé les yeux vers Rebecca. Et je me suis dit que c’en était une très bonne. Elle a dit : «Rebecca, ma soeur, j’aimerais aussi te dire quelque chose. » Elle a dit : « C’est peut-être vrai que tu as été ici la première et que tu as eu tout papa, mais j’aimerais te faire savoir que papa m’a eue tout entière. » Alors… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.]
37 Je ne suis pas un théologien. Je n’ai pas une assez longue instruction dans une quelconque école de théologie, mais je–j’espère qu’Il m’a pris tout entier, ouais, c’est tout , ainsi, Il peut m’utiliser.
38 Le dernier, mais pas le moindre, en aucun cas. Je–je ne viens jamais ici… Et je leur ai demandé de ne pas prélever une offrande, voyez. Je–je ne viens pas pour ça. Je n’ai jamais, moi-même, prélevé une offrande de ma vie. Tout mon… Ça fait trente-trois ans que je suis prédicateur, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Des ministres en ont prélevé pour moi. Mais moi-même, je n’en ai jamais prélevé une de ma vie, et je–j’espère que je n’aurai jamais à en prélever une.
39 Mais comme vous avez fait cela, elle sera affectée ; je prendrai cela et je l’affecterai aux missions à l’étranger et j’irai moi-même apporter aux gens qui n’ont pas le privilège que vous avez ici, apporter ce même Evangile à ceux qui ne peuvent avoir le moyen de m’envoyer chercher ou de me payer le voyage. Donc, je… [L’assemblée applaudit. – N.D.E.] Merci. C’est afin qu’eux aussi, ceux qui sont défavorisés, puissent avoir le même privilège que nous avons ici. Et pas un seul sou de ceci ne sera dépensé, vous le savez, à boire, à fumer, ou… Cela–cela sera pour le Royaume de Dieu. Et je crois que Dieu va, par cela, vous accorder une grande récompense : « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes frères, c’est à Moi que vous les avez faites. » Que le Seigneur vous bénisse. Ainsi donc, ce soir, je vais essayer…
40 J’aimerais poser une question. Combien étaient dans cette longue ligne de prière hier soir, ceux qui étaient passés et à qui ces prédicateurs avaient imposé les mains, sentent que le Saint-Esprit agit déjà dans leur cas ? Faites-nous voir la main en la levant. Oh ! C’est merveilleux ! C’est vraiment bien. C’est beau. Il agit toujours. Il travaille pour vous.
41 Maintenant, ce soir, je me suis dit que comme nous avons eu beaucoup de services de guérison… Et nous avons vu le Seigneur Jésus dans Sa grande puissance, cela fait de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et nous avons appris pendant la semaine qu’Il nous a montré beaucoup de grands signes, par Sa Présence, ici même parmi nous maintenant, sous la forme du Saint-Esprit.
42 Eh bien, le dimanche prochain, je dois être dans mon tabernacle, le dimanche matin et le dimanche soir, dans–dans l’Indiana. Et puis, la semaine qui suivra, je serai à Shreveport, en Louisiane, dans une grande convention. Puis après cela, j’irai à Yuma, en Arizona. Et je retournerai à Phoenix pour les Hommes d’Affaires Chrétiens. Puis, je retournerai en Indiana pour les vacances de Noël.
43 Après, j’irai encore à Phoenix, pour le cas où quelqu’un parmi vous reste quelque part là et a des amis. Ça commencera le dix-neuf, on me donne ce bel auditorium d’environ quatre mille sièges, le Ramada, c’est climatisé, c’est dégagé, avant la convention internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et je parlerai à deux soirées sur les quatre ; monsieur Roberts, à une soirée et, je pense, frère Brown, à une autre soirée. Et je pense que les miennes seront celle d’ouverture et celle de clôture. Et puis, à partir de là, ça va continuer.
44 Priez pour moi. Et maintenant, je–j’ai besoin de vos prières. S’il y a quelqu’un qui a besoin de prière, c’est bien moi. Voyez ? Et Satan, assurément, je suis sa cible, vous savez. Et je dois garder tout le temps ma foi en forme, ce bouclier, pour continuer à marcher. Que le Seigneur vous bénisse donc.
45 Et si jamais je ne vous revois plus avant ce Jour-là, je vous rencontrerai ce matin, voyez, à cette Porte-là. Et alors, Là-dedans, je pourrais dire ce que je dis maintenant, je continuerai à croire ce même glorieux Evangile et croire que Jésus-Christ n’est pas mort, mais Il est vivant parmi Son peuple, et Son Evangile est le même. Les oeuvres qu’Il a faites, nous devons les faire jusqu’à ce qu’Il vienne. Je sais que Dieu me jugera pour ces choses que j’ai prêchées. Je–je suis… je dois répondre devant Dieu de ce que je dis.
46 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et juste encore un mot de prière avant que nous ouvrions le Livre.
47 Seigneur Jésus, prends maintenant la Parole et nourris nos âmes affamées. Nous attendons patiemment, Seigneur. Nous sommes dans une grande expectative. Comme au dernier jour de la fête, oh ! comme les gens s’étaient réjouis ! Nous pensons à Siméon dans le temple, à qui le Saint-Esprit avait promis qu’il ne verrait point la mort avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et alors, en ce grand jour où les femmes venaient faire circoncire leurs enfants, donner une offrande de purification, et ce fut en ce temps-là que Jésus a été amené au temple. Et Siméon, peut-être qu’il vint de quelque part dans une pièce à l’écart ce matin-là, dans le bureau, mais le Saint-Esprit lui avait donné la promesse. Et le Messie était là dans les bras de Sa mère, un petit Enfant emmailloté là.
48 Alors, Marie, les gens gardaient distance vis-à-vis d’elle, parce qu’elle avait une–une mauvaise réputation ; c’est ce que les gens pensaient : « Cet Enfant est né hors des liens sacrés du mariage. » Personne ne voulait avoir à faire avec cette femme-là. Mais dans le coeur de Marie, elle savait Ce qu’elle tenait dans ses bras. Et, Père, puisse notre coeur, ce soir, servir de berceau à ce même espoir. Peu importe ce que le monde dit, nous savons ce qui est entré dans notre vie.
49 Et en ce temps-là, Siméon, celui qui avait dit qu’il… Le Saint-Esprit lui avait dit qu’il verrait le Messie. Quoique vieux, très avancé en âge, un vieux sage, un homme honorable, mais il croyait la Parole du Seigneur qui lui avait été adressée. Le Saint-Esprit est allé vers lui et il est allé, conduit par le Saint-Esprit, dans la salle, il a parcouru cette longue file des mères. Sur les deux millions et demi de gens de l’époque, on pouvait, chaque nuit, enregistrer la naissance de plusieurs centaines d’enfants. Et ils étaient là, prêts pour la circoncision et la purification.
50 Et, oh ! comme le Saint-Esprit l’a conduit droit vers cette petite personne rejetée ! Il a tendu la main, il a pris le Messie dans ses bras, avec des larmes lui coulant sur la barbe. Il a dit : « Maintenant, Seigneur, Tu laisses Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut. »
51 Une vieille prophétesse s’est avancée en titubant dans la salle, la Parole du Seigneur était aussi venue à elle, et elle avait aussi prophétisé à Son sujet ; ses yeux étaient aveuglés, mais pas son esprit. Elle a reconnu que c’était là le Messie.
52 Seigneur Dieu, puissent nos yeux s’ouvrir au fait qu’Il est toujours le Messie. Et puissions-nous L’embrasser ce soir, car nous avons confessé que nous sommes pèlerins et étrangers dans ce monde. Ceci n’est pas notre demeure. Ce n’est pas notre pays. Nous sommes un peuple qui agit différemment parce que nous sommes nés d’En Haut.
53 Et nous qui gardons cette promesse dans notre coeur, puissions-nous voir la promesse que Jésus a faite à Son Eglise, que nous verrons se passer, juste avant Sa Venue, ce qui s’était passé du temps de Noé : « Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, donnaient en mariage, et il y avait de l’immoralité sur la terre. » Puis, Il a dit : «Ce qui arriva du temps de Sodome, aux Gentils, avant que le feu tombât, Dieu était descendu et s’était manifesté dans une chair, Il connaissait les secrets des coeurs de gens. » Et Il a promis que la même chose se répéterait. Puissions-nous avoir ce privilège ce soir, Glorieux Saint-Esprit, car nous le demandons humblement au Nom de Jésus. Amen.
54 [Une soeur parle en langues. Un frère donne l’interprétation. – N.D.E.] Amen.
55 Oh ! je pense être maintenant conscient de ce fait que l’Esprit est près de nous, la Lumière. Sortez de la coquille de l’heure dans laquelle on est, et du temps, et soyez conscients de l’Esprit de Dieu qui est maintenant parmi nous.
56 Prenons le Livre des Juges, au chapitre 16, à partir du verset 23, alors que nous lisons la Parole.
57 Et pendant que vous prenez cela, je peux dire ma pensée, en choisissant de lire ce chapitre cet après-midi, à la fin de cette série de réunions, c’est peut-être quelque chose qui est apporté, qui pourrait édifier l’Eglise. Et je m’attends toujours à voir ce que le Saint-Esprit dira dans la pièce, quand Cela me frappe. Je peux noter différents passages des Ecritures et autres, puis, je me demande ensuite ce qu’il en sera une fois arrivé là. « Que dira-t-Il concernant Ceci ? »
58 Et maintenant, écoutez attentivement, essayez d’être aussi attentifs que possible, pendant que nous lisons. En effet, ici, si c’est la volonté du Seigneur, j’essaie d’établir un parallèle, un parallèle entre un tableau et un autre. Ecoutez donc attentivement, verset 23, pour commencer. Et quand les princes des Philistins... s’assemblèrent pour offrir un grand sacrifice à Dagon, leur dieu, et pour se réjouir. Ils disaient : Notre dieu a livré entre nos mains Samson, notre ennemi. Et quand le peuple le vit, ils célébrèrent leur dieu, en disant : Notre dieu a livré entre nos mains notre ennemi, celui qui ravageait–ravageait notre pays, et qui multipliait nos morts. Dans la joie de leur coeur, ils dirent : Qu’on appelle Samson, et qu’il nous divertisse ! Ils firent sortir Samson de la prison, et il joua devant eux. Ils le placèrent entre les colonnes. Et Samson dit au jeune homme qui le tenait par la main : laisse-moi, afin que je puisse toucher les colonnes sur lesquelles repose la maison et m’appuyer contre elles. La maison était remplie d’hommes et de femmes ; tous les princes des Philistins étaient là, et il y avait sur le toit environ trois mille personnes, hommes et femmes, qui regardaient Samson jouer. Alors Samson invoqua Dieu, l’Eternel, et dit : Seigneur... souviens-Toi de moi, je te prie ; ô Dieu ! donne-moi de la force seulement cette fois, et que d’un seul coup je tire vengeance des Philistins pour mes deux yeux ! Et Samson embrassa les deux colonnes du milieu sur lesquelles reposait la maison, et il s’appuya contre elles ; l’une était à sa droite, et l’autre à sa gauche. Samson dit : Que je meure avec les Philistins ! Il se pencha fortement, et la maison tomba sur les princes et sur tout le peuple qui y était. Ceux qu’il fit périr à sa mort furent plus nombreux que ceux qu’il avait tués pendant sa vie.
59 Quel triste spectacle ! Ça a dû être un après-midi chaud, le soleil brillait, lors de cette glorieuse célébration, et trois mille Philistins regardaient en bas depuis les tribunes du stade, alors que deux personnes entraient. Des seigneurs de guerre très honorés et leurs femmes bien parées de bijoux se penchèrent en avant pour bien voir, alors qu’un jeune homme conduisait cet homme aveugle ! Il y avait eu tout cet après-midi-là dans des halls des bruits des festivités des ivrognes, célébrant (c’est ce qui me fait mal), célébrant la victoire de leur dieu poisson, Dagon, sur un serviteur de Jéhovah. Quelle disgrâce ! Quelle histoire était arrivée là ! Cet homme-là avait failli. Ce n’était pas Dieu qui avait failli.
60 Et qu’a dû penser Jéhovah alors qu’Il jetait un regard sur la terre et voyait tout cela se passer ? Un rassemblement d’ivrognes, des femmes ivres à moitié nues, bien parées de bijoux, embellies, bien arrangées, leurs maris ivres buvaient et célébraient la victoire d’un dieu, un dieu poisson, une idole, sur un serviteur de Jéhovah.
61 Le jeune homme conduisit cet homme aveugle qui titubait entre la colonne… les colonnes où ils se tenaient, eux deux, tenant ces très grandes colonnes en pente, ou plutôt c’était une très grande salle en pente comme ceci. Et deux énormes colonnes, comme je peux me représenter le lieu abritant les gens, trois mille seigneurs de guerre, des célébrités, des–des soldats arborant les médailles les plus honorifiques, les guerriers les plus redoutables. Il n’y avait que les–les célébrités qui étaient invitées à cet événement, car c’était une célébration.
62 Et en face d’eux se trouvait cette très grande statue d’un poisson, avec du sang humain en dessous, sur l’autel, le sacrifice offert à ce dieu poisson, une parfaite statue païenne qui ne peut ni parler, ni entendre ni respirer. Mais eux–eux, dans leur ignorance, adoraient ce dieu-là, pensant qu’il leur avait donné la victoire ; une occasion de célébrer.
63 Et alors, on l’a conduit vers ces colonnes du bâtiment, là où ils pouvaient tous voir le–l’événement principal qui était sur le point d’avoir lieu. Il y avait eu beaucoup de divertissements, peut-être comme ils en avaient l’habitude, des singes ; il y avait des gladiateurs, et quand ils avaient un duel, les gladiateurs pouvaient demander si la victime (qui était par terre) devait être tuée ou pas. Et ils devaient voir le sang être versé. Et tous les–les événements avaient eu lieu, et alors, l’événement principal allait avoir lieu. Les préliminaires étaient terminés. Et l’événement principal, c’était de se moquer de Jéhovah, se moquer de notre Dieu, tout cela, parce que Son serviteur avait manqué de Lui être fidèle.
64 Voyez, Il est Dieu ; c’est vrai, mais nous sommes Ses serviteurs et nous avons notre commission à exécuter exactement tel qu’Il nous a ordonné de l’exécuter.
65 Alors, nous voyons que dans leur état d’ivresse, de manque de respect, ils s’étaient alors tous levés, car, il y avait eu un grand silence, peut-être qu’une trompette avait retenti. Et ils allaient avoir l’événement principal, ce qu’ils célébraient, en faisant venir un témoin de Jéhovah ; ils l’ont fait venir là au milieu de la salle, afin qu’ils puissent tous se moquer de lui, qu’il les divertisse.
66 Regardez-le, humilié, brisé, un symbole d’une–d’une église déchue, spirituellement nue, moralement déchue. Quel exemple de l’état actuel !
67 « Samson, c’était là Samson, Samson le puissant, c’était donc lui, l’instrument très puissant de Dieu ? » Eh bien, beaucoup de Philistins, je peux me représenter ces seigneurs de guerre là debout, regardant là ; eh bien, rien qu’à se souvenir de son nom, tout le pays tremblait. Rien que de dire « Samson », c’est tout ce qu’on avait à faire ; rien que de mentionner le nom de « Samson », et tout le monde tremblait à son nom. Et maintenant, regardez-le.
68 Vous savez, autrefois, le Nom du Seigneur Jésus était beaucoup respecté ; les gens L’honoraient beaucoup. Et ceux qui L’honoraient, pouvaient chasser les mauvais esprits par Cela et pouvaient amener la nature à obéir, sur leur ordre, par Son Nom.
69 Mais je pense qu’ici Samson, j’aimerais établir un parallèle entre cela et la... locale et moderne, ou plutôt, pas locale, mais la–la condition moderne de l’église aujourd’hui. C’est un parallèle parfait. L’église a depuis longtemps perdu de son respect ; non pas que Dieu ait délaissé l’église, mais c’est l’église qui a délaissé Dieu. Ce n’était pas Dieu qui avait délaissé Samson, mais Samson avait délaissé Dieu. Alors que nous devrions être dans l’état où était l’église quand Ananias et Saphir avaient été présentés devant l’église, mais au lieu de cela, nous avons fait beaucoup de compromis avec les choses du monde et nous les y avons fait entrer au point qu’aujourd’hui, cela est taxé de bande de saints exaltés, ou–ou rien qu’une autre dénomination ordinaire, rien qu’une église. Il n’y a pas… Ça n’a pas… ça n’a pas la marque de dignité que ça devait avoir.
70 Je me représente, alors qu’ils se tenaient là, debout, tandis que l’événement principal avait lieu… Retournons là pendant quelques minutes. Je peux me représenter les Philistins, beaucoup de ces grands guerriers se tenant là en compagnie de leurs femmes bien parées de bijoux, leurs bras autour d’elles, buvant à la santé de Dagon. « Avé, Dagon, tu as remporté une victoire sur Jéhovah! Nous leur avons prouvé ce dont nous sommes capables. Nous avons prouvé à cet homme très prétentieux que Jéhovah est une nullité. »
71 C’est pratiquement la condition de l’église aujourd’hui. Nous qui tenons les clés du Royaume en main, et chaque don spirituel que Dieu a donné à l’homme se trouve dans l’église, mais nous avons depuis longtemps fait des compromis avec–avec des crédos et autres, au point que nous l’avons dépouillée de toute la puissance de Dieu, et c’est devenu rien qu’une loge.
72 C’est comme le cas qui a récemment eu lieu, quand un musulman s’est tenu à côté de notre évangéliste de premier rang, et il lui a dit : « Je vais faire venir trente personnes malades et affligées, tu vas en guérir quinze et moi, je vais en guérir quinze. » Et je ne dis pas ceci contre l’évangéliste, pas du tout ; mais l’évangéliste a détalé, laissant cet homme seul, sans lui répondre.
73 Quelle–quelle–quelle déception pour notre Dieu ! En effet, la Parole est Dieu. Et la promesse de la Parole, c’est une promesse de Dieu : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. »
74 Et on en est pratiquement arrivé à un autre défi, ou plutôt à une autre célébration, où les dieux païens peuvent parler à l’église, et l’église se tient là impuissante, vaincue, spirituellement nue. Eh bien, il y a quelque chose qui est à la base de cela, c’est que les soucis du monde sont entrés dans l’église et l’ont transformée en loge, c’est tout. C’est ce que nous voyons. Je crois…
75 Je ne sais pas ce que j’aurais fait dans ce cas. J’aurais dû attendre pour voir ce que Dieu dirait. Mais je pense que j’aurais réagi comme les enfants hébreux : « Notre Dieu peut nous délivrer de ceci. Sinon, qu’Il le fasse ou pas, nous n’adorerons pas votre statue. »
76 Mais nous avons perdu le courage ; c’est ce que Samson avait fait, il avait perdu sa puissance. L’église a perdu l’influence de son témoignage, qu’elle est le Corps vivant et agissant de Christ. Elle a accepté des dogmes, elle a mélangé cela avec leurs croyances au point que la Parole n’a plus la prééminence. C’est comme Jésus l’a dit à cette église désespérée à laquelle Il était venu : « Vous prenez les commandements de Dieu et, par vos traditions, vous les anéantissez. Vous anéantissez les commandements de Dieu par vos traditions, en les niant. »
77 Il y a quelque temps, dans une école, un brave homme d’ici à New York est venu chez moi et m’a dit… C’était un frère baptiste, et il m’a dit : « Frère Branham, je suis un–un baptiste. » Et je l’ai fait entrer et je l’ai fait asseoir, lui et un autre frère. Et nous avons longtemps parlé. Et peu après, il a dit : « Quand j’étais un petit garçon, j’ai été appelé au ministère. »
Il a dit : « Ma précieuse vieille mère faisait la lessive sur une planche à laver pour m’envoyer à l’école. » Et il a ajouté : « Le jour où j’allais décrocher mon diplôme de licence en lettres, mon diplôme de licence en lettres, a-t-il dit, je me suis alors dit qu’assurément, Christ serait là-dedans, mais, a-t-il dit, Il n’y était pas. » Il a dit : « Quand j’ai obtenu mon doctorat, je me suis alors dit : ‘Christ sera là-dedans’, mais Il n’y était pas. » Il a dit : « Et c’était pareil quand j’ai obtenu mon doctorat en droit, mon doctorat en lettres et autres. » Et il a dit : « J’ai tellement de diplômes et des diplômes à titre honorifique que je peux tapisser votre mur avec, mais où est Christ dans tout cela ? » Il a dit : « Je Le cherche toujours. » Il a dit : « Je vais vous poser une question. » Il a dit : « Les enseignants étaient-ils en erreur ? »
78 J’ai dit : « Mon frère » Juif, pour commencer… J’ai dit : « Je n’ai pas de compétence, n’ayant qu’une instruction du primaire, pour dire si les enseignants sont en erreur. Je–je–je ne peux pas le dire. Je–je ne suis pas compétent pour condamner qui que se soit. Mais voici ce que je dirai : Je L’ai trouvé et Il n’était pas dans cela. »
79 Et il a dit : « J’ai appris que vous étiez baptiste. »
J’ai dit : « C’est vrai. »
80 Et il a dit : « Je comprends que maintenant vous êtes devenu pentecôtiste. »
81 J’ai dit : « Non. Je n’ai reçu que la bénédiction de la Pentecôte, voyez, pas la dénomination pentecôtiste. La bénédiction de la Pentecôte. »
82 Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, j’ai–j’ai été dans leurs réunions. Je les ai vus renverser des chaises et jeter un livre par la fenêtre. » Et il a ajouté : « Vous ne pourrez pas dire que c’est là le comportement de l’Adorable Saint-Esprit. »
J’ai dit : « Je ne suis toujours pas à mesure de juger Dieu. »
83 Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, serait… qu’est-ce… qu’est-ce qui les fait agir comme cela ? »
84 J’ai dit : « Dans mes voyages, je rencontre deux catégories de gens. » Et j’ai dit : « L’une d’elles, ce sont les fondamentalistes ; côté position, ils savent, de par la mécanique, qu’ils sont censés être des fils et des filles de Dieu. » Et j’ai dit : « La catégorie suivante que je trouve, ce sont des pentecôtistes, ceux qui ont le baptême du Saint-Esprit. » Mais j’ai dit : « Les fondamentalistes, côté position, savent où ils se tiennent, mais ils n’ont pas foi dans la Parole. Et les pentecôtistes ont une grande foi, mais ils ne savent pas qui ils sont. » Et j’ai dit : « C’est comme un homme qui a de l’argent en banque, mais qui ne peut pas signer un chèque ; et un autre qui peut signer un chèque, mais n’a pas d’argent en banque. Si seulement on pouvait les mettre ensemble ! »
Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui les fait agir comme cela ? »
85 J’ai dit : « Ils laissent échapper la pression. » J’ai dit : « Eh bien, je ne pense pas que cela soit nécessaire, ai-je dit, mais ils–ils doivent se défouler quelque part. » Et j’ai dit : « Or, si seulement ils pouvaient prendre toute cette pression et savoir comment l’orienter sur base la Parole, le puissant moteur de Dieu se mettrait en marche. »
86 C’est par là que Satan s’infiltre, pour faire de tout cela de la mécanique sans dynamique. D’autre part, la dynamique sans la mécanique. Voyez, il nous faut mettre cela ensemble. Nous avons la puissance du Saint-Esprit, mais il nous faut revenir avec la Parole pour alimenter cette machine. On ne peut pas l’alimenter avec un credo. ça ne produira pas la combustion. Ça bouchera les conduits et il n’y aura pas de combustion. Cela a été créé pour la Parole de Dieu. « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole », pas seulement une partie de Cela, « toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. »
87 Nous voici donc, une église commissionnée, lors de la dernière commission, la dernière chose que Jésus a dite à Son Eglise, la dernière commission qui a été donnée : « Allez par tout le monde, faites de toutes les nations des disciples. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et… » Et est une conjonction qui relie les éléments d’une phrase. « Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
88 Pourquoi devrions-nous donc nous tenir en présence d’un dieu païen et être vaincus ? Nous voici de nouveau comme Samson, spirituellement nus, moralement déchus. Qu’est-il arrivé ? Autrefois, on avait affaire à des hommes et des femmes honorables, mais aujourd’hui, vous–vous… c’est terrible.
Eh bien, examinons pendant quelques minutes certaines pensées conçues à ce sujet. Samson se tenait donc là. Et, excusez-moi, le voici de nouveau ici aujourd’hui, de nouveau moralement et spirituellement nu. Et c’est aussi un symbole d’une nation déchue. Mais nous parlons de l’église, car Samson était un serviteur de Dieu, il était supposé l’être, et l’église est censée être la servante de Dieu sur la terre.
89 Beaucoup de vaillants héros qui se tenaient là étaient dessoûlés pendant un moment, alors que les vins coulaient de leurs… probablement de leurs armes et de leurs cuirasses, et leurs bras étaient autour de leurs jolies reines parées de bijoux, tandis qu’ils contemplaient là le spectacle, beaucoup parmi eux contemplaient ce spectacle. Un jeune homme tenait ce grand gaillard, aux orbites sans yeux ; ceux-ci avaient été crevés.
90 C’est ce que l’ennemi fait. Quand il s’empare de vous, la première chose, il fait comme il avait fait à Samson. Il vous crève les yeux et vous empêche de voir la Lumière de l’Evangile. Maintenant, il ne peut pas voir. Ses yeux étaient crevés. C’est depuis longtemps que l’église a perdu sa vue spirituelle, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que chaque promesse est vraie.
91 Le voilà donc là, sans yeux ; un spectacle ridicule, une disgrâce de se tenir sous le dieu-poisson, prisonnier de la nation même contre laquelle Dieu l’avait suscité, pour la détruire.
92 Eh bien, je vais en arriver à nous dans une minute. Voici nos pentecôtistes qui, il y a cinquante ans, ont abandonné cette boue de dénomination ; Dieu nous a appelés à en sortir pour être un peuple séparé. Et aujourd’hui, nous voici des douzaines d’organisations pentecôtistes différentes, se battant les unes les autres. La chose même que Dieu nous a appelés à vaincre, nous a vaincus. Si quelqu’un va à cette dénomination-ci et qu’il tient une réunion, alors le reste d’entre eux ne voudront pas collaborer avec lui. Vous pouvez bien en trouver de temps en temps. C’est vrai. Et la dénomination a toujours été une malédiction aux yeux de Dieu. ça n’a jamais existé, Dieu n’en a jamais formée une ; ça n’a jamais été Son plan.
93 Dieu ne peut pas changer Son programme. Dieu traite avec des individus. Du temps de Noé, il y en avait des millions, mais c’est Noé qui a été oint. Il y en avait des millions du temps d’Elie, jamais Elisée et Elie au même moment. C’était pareil dans chaque génération ! En Egypte, il y en avait deux millions et demi. Moïse est allé là. Voyez ? Il y en avait des millions du temps de Jésus. Même quand Jean, le grand prophète a été suscité, quand il a vu ce Puissant venir, il a dit : « Je dois maintenant diminuer, mon oeuvre est terminée, et Lui va croître, Dieu. » Il leur a montré l’Agneau.
94 Mais, voyez, cela a continué pendant trois cents ans jusqu’au Concile de Nicée, et puis, on a dû former une organisation. A partir de là, cela est tombé. Et chaque fois qu’un message est proclamé, et qu’on en fait une organisation, il meurt spirituellement pour ne plus jamais se relever. C’est donc une chose maudite pour l’Eglise de Dieu, pour l’homme, de placer sa main sur l’action de l’Esprit. ça a toujours été le cas.
95 Puis, on les amène là et on en fait des prédicateurs du séminaire, ils côtoient le monde, et tout. La chose suivante, vous savez, on a des femmes qui se comportent comme le monde, les hommes. La chose suivante, vous savez, les politiciens, les évêques, ils veulent mettre une plume à leur chapeau, ils s’offensent, se bousculent, se querellent et se disputent, au point que le Saint-Esprit est complètement affligé.
96 Certains parmi eux se souviennent avoir vu Samson quand l’onction était sur lui, debout dans un champ, encerclé par un millier de Philistins ; il avait en main juste une vieille mâchoire fragile d’un mulet et, avec cela, il avait fracassé les casques d’airain d’une épaisseur d’un pouce [2,54 cm], assommant des Philistins de part et d’autre, quand l’Esprit du Seigneur était sur lui. Et beaucoup parmi eux s’étaient réfugiés derrière le rocher. Et, lui se tenait là, disant : « Si vous en voulez encore, venez. » Certains parmi eux se souviennent avoir vu cela.
97 Certains parmi eux se chuchotaient peut-être, disant : « Vous rappelez-vous, cette nuit-là, à Gaza, quand une rumeur avait couru, disant que notre ennemi était dans la ville ? Nous avons fait appel à l’armée, nous avons fermé les portails. Et ces portails pesaient peut-être six ou sept tonnes, ces grands portails en airain, là où quatre ou cinq chars pouvaient tous passer côte à côte, une armée entrant dans une ville. Nous avons fait appel à l’armée, avec nos lances et nos épées, nous nous sommes tenus là et avons dit : ‘Cette fois-ci, nous l’avons eu’. Et quand nous nous sommes réveillés… » Il était carrément passé, au milieu d’eux, les poussant à gauche et à droite. Il avait saisi le portail, en avait arraché les battants l’un après l’autre, et il avait placé cela sur ses épaules. Il avait gravi la colline et s’était assis. Là, c’est quand l’Esprit du Seigneur était sur lui. Un jour…
98 D’autres se rappelaient peut-être quand ils avaient vu un lion rugir contre lui, lequel l’aurait tué en une seconde.
99 Si quelqu’un sait ce que… à quelle vitesse un lion peut vous tuer… Et par un grand grondement et un rugissement, en une fraction de seconde, il tue une–une bête sauvage de deux tonnes, ou un buffle, rien qu’avec l’une de ses pattes, il lui brise le cou comme ça, ou le mord comme ça, et c’en est fait de lui. Sans même donner un coup de sabot, il le tue juste en un instant.
100 Et voilà cet homme qui s’avançait, alors que le lion rugissait ; il était sans secours, il n’avait même pas de mâchoire de mulet en main. Mais la Bible dit : « L’Esprit de l’Eternel vint sur lui », et il saisit le lion et le déchira.
101 Mais maintenant, il se tient là impuissant, dépouillé de toute force. C’est la même chose aujourd’hui, c’est comme cela que l’église se tient, alors qu’autrefois l’église chassait les démons, l’église ressuscitait les morts. L’église accomplissait les oeuvres que Jésus avait accomplies. Le péché ne pouvait pas rester parmi eux, le Saint-Esprit venait et le condamnait. Si un homme avait fait quelque chose en secret, alors qu’il était membre de ce groupe de chrétiens, aussitôt qu’il arrivait, le Saint-Esprit révélait son péché. Soit il se repentait, soit il périssait. Mais, vous voyez, nous n’avons plus cela.
102 Et ils ne recevront plus cela. Et quand cela s’accomplit, ils osent le taxer de mauvais esprit, afin qu’ils puissent recevoir une plus grande condamnation. Quelque chose doit les condamner.
103 Remarquez. Dépouillé de force, qu’est-ce qui a dû traverser l’esprit de cet homme ? Il était autrefois ce genre de guerrier, et maintenant, c’est un petit garçon qui doit le conduire. Pourquoi ? Il est aveugle. Il ne voit pas. Il n’a rien avec quoi voir.
104 Ô Dieu, aie pitié de nous. L’église est tellement ancrée dans la dénomination et tellement éloignée que le diable lui a crevé les yeux, la vue spirituelle qui permet de savoir que Ceci est la Parole de Dieu : Pas un credo ; c’est la Parole. Et Dieu est tenu de–de manifester tout ce qu’Il a promis dans cette Bible. Les gens disent : « Nous, nous croyons… » La foi ne viendra pas si c’est contraire à Ceci. La pensée de Christ en vous, vous croyez ce que Christ a écrit ; en effet, Ceci est Christ, la Parole. Mais considérez la condition, remarquez le parallèle, alors que nous regardons cela.
105 Qu’est-ce qui a dû traverser son esprit ? Voyons ce qui a traversé son esprit.
106 Nous avons vu ce qui se passait dans l’esprit des seigneurs de guerre, la peur qu’ils éprouvaient autrefois rien qu’à entendre son nom. Ils avaient peur de faire quoi que ce soit. Pour eux, rien que dire Samson, c’était tout, tout le monde était parti. Mais maintenant, il se tient là, victime de Dagon, le dieu poisson. Un Juif qui méprisait des idoles, il se tenait là victime d’une idole. Pourquoi ? Parce qu’il avait manqué d’être fidèle à Dieu. Samson se tient là, sans doute… Sondons son esprit pendant trois ou quatre minutes environ.
Il doit avoir pensé à toutes les victoires qu’il avait remportées. Il se tient là, ce qu’il avait fait, combien l’Eternel l’avait béni, comment autrefois il était un grand homme tant qu’il était dans le Royaume de Dieu, qu’il gardait la promesse de Dieu.
107 Voyez, il n’avait pas tenu parole, il s’était débarrassé de la promesse. C’est ce que l’église a fait : elle s’est débarrassée des promesses. « Oh ! Eh bien, c’est… nous rédigerons notre propre petit catéchisme, ceci, vous voyez. C’est ça, la Parole.
108 Eh bien, remarquez. Il a pensé à toutes ses victoires. Et puis, ceci doit avoir traversé son esprit, comment il avait délaissé le peuple de Dieu.
109 Ça doit être une honte pour un ministre qui s’assoit et lit cette Bible, puis se présente devant son peuple… Le monde est plein de Lot. La Bible dit que les péchés de Sodome tourmentaient journellement son âme juste, mais il n’avait pas le courage de se lever et réprimander ce péché-là. Et il y a beaucoup d’hommes aujourd’hui…
110 Et je dis ceci avec respect, seulement avec–avec amour, mais juste pour dire la Vérité. Il est possible que nous ne nous rencontrions plus jamais.
111 Il y a beaucoup d’hommes qui lisent cette même Bible que nous lisons, assis dans leurs bureaux, préparant leurs messages, et ils trouvent les vérités de Dieu, mais doivent les contourner. Il aura peur de prêcher contre les femmes qui se coupent les cheveux, son organisation le chasserait ; de prêcher contre les femmes qui s’habillent immoralement et qui commettent l’adultère spirituel ; et des hommes qui–qui prennent un verre amical à la Noël et–et qui sortent et se tapent un peu de loisir sain à l’américaine, qui racontent de sales plaisanteries, mais qui conservent toujours leur poste de diacre. Ils savent que ces choses sont fausses, mais ils sont là comme du temps de Lot. Nous en sommes revenus à ce même péché une fois de plus, voyez ?
112 Oh ! Combien le Saint-Esprit a dû rappeler à Samson qu’il avait délaissé le peuple de Dieu, qu’il avait délaissé Dieu Lui-même. Maintenant, il est prisonnier de la chose même pour laquelle Dieu l’avait suscité et qu’Il lui avait donné le pouvoir de détruire.
113 Et avec amour et avec… Je suis un membre. Je suis dans Ceci avec vous, pas un membre d’une–d’une organisation. Que Dieu m’en garde. Mais je suis un membre, par la grâce, du Corps de Christ. Je suis votre frère. Je n’ai pas de motifs égoïstes, mes motifs en accomplissant quoi que ce soit. Je suis seulement zélé pour le Seigneur Dieu, et je dis ceci de–de tout mon coeur. La chose même d’où vous étiez appelés à sortir, vous y êtes retournés une fois de plus. Et comme la Bible le dit : « Comme le cochon qui retourne à son bourbier, le chien à ses vomissures… » Et si les vomissures ont rendu le chien malade pour commencer, ne le rendraient-elles pas malade la seconde fois ? Et si l’organisation et les crédos avaient tellement lié les gens, et que Dieu vous en a fait sortir pour être un peuple libre, mais que vous avez carrément fait demi-tour et que vous avez fait la même chose, cela sera… c’est un péché plus grave.
114 Eh bien, ils lui faisaient faire des jeux pour les divertir. Et c’est pratiquement ainsi que ça se passe, au lieu que ce soit par le Saint-Esprit.
115 Quand quelqu’un se lève et devient arrogant, le Saint-Esprit est obligé vis-à-vis de Dieu d’arrêter cette chose. J’en ai vu être emportés des réunions, paralysés, aveugles, muets, et même mourir là en pleines réunions, tomber raides morts, pendant qu’ils cherchaient à réprimander Cela. Dieu au Ciel sait que c’est vrai. Beaucoup parmi vous ici ont été dans d’autres réunions et ont été témoins de la même chose.
116 Il doit y avoir une sainte puissance tout autour et dans l’église, qui fera s’enfuir les démons. Au lieu de cela, c’est devenu un objet de risée. Qu’est-ce ? La mécanique plutôt que la dynamique. Maintenant, il est en train de faire des amusements.
117 Qu’est-ce qui est à la base de cela ? Qu’est-ce qui était à la base de la chute de Samson ? Il a laissé une femme le séduire et l’éloigner de la promesse de Dieu. C’est exact. Nous le savons tous. Il avait sept tresses. Et il était né, de par sa naissance, il devait être un naziréen, une personne particulière pour le Seigneur. Mais, vous voyez, il a laissé cette femme le séduire au point qu’elle lui a rasé sa particularité.
118 Et c’est ce qui est arrivé à l’église. Vous êtes né un peuple particulier, une nation sainte, un sacerdoce royal. Mais qu’est-il arrivé ? Vous avez laissé le monde raser votre particularité au point que vous êtes devenu l’un d’eux. Il vous a fallu avoir une dénomination juste comme la leur. Il vous a fallu dépasser les baptistes ou les méthodistes, l’un ou l’autre. Et aujourd’hui, les assemblées essayent de dépasser les unitaires, les unitaires dépasser les assemblées, l’église de Dieu dépasser telle autre et, oh ! (Oh ! la la !) ainsi de suite, trente ou quarante différentes organisations. Voyez ? C’est comme un chien qui retourne à ses vomissures, c’est la même chose.
119 Remarquez, la même chose s’est passée comme autrefois, tu laisses Jézabel, « la mère des prostitués », Apocalypse 17. Souvenez-vous, elle était appelée une prostituée ; ça, c’est une–c’est une femme immorale. Et la femme représente toujours… l’église est représentée par une femme. En effet, Christ, ce qu’Il vient chercher, c’est une Epouse. Et elle était la mère des prostituées. Et c’est quoi, une femme immorale ? Eh bien, ça ne pouvait pas être des hommes, parce qu’elles étaient des prostituées. Voyez ? C’est une femme infidèle à son mari. Elle soutient que c’est elle la mère de toutes les églises, et elle l’est.
120 Et qu’est-ce qui a fait d’elle une prostituée ? C’est parce qu’elle a commis des fornications spirituelles. Elle a adopté des crédos plutôt que la Parole de son Mari. Plutôt que de devenir une véritable et fidèle compagne pour son Mari, elle a pris un autre livre, de crédos. Et qu’était-elle ? La mère des prostituées qui a fait la même chose. Eh bien, vous n’avez plus besoin d’explication pour cela. Voyez ? Vous voyez où on en est. Qu’était-ce ? L’organisation, s’éloigner de la Parole.
121 Remarquez maintenant ce que Delila a fait à Samson, alors qu’elle continuait à le courtiser : « Oh ! Tu es un grand homme. Tu es puissant. Mais ne me trompe. Révèle-moi où réside ta puissance. » Et elle l’a aimé, elle lui a fait l’amour jusqu’à ce que, finalement, il a cédé. Et qu’a-t-elle fait ? Premièrement, elle lui a arraché son secret.
122 Eh bien, c’est ce qui est arrivé (pour vous les lecteurs et vous qui étudiez la Bible) au Concile de Nicée. L’ancienne tendance de la Pentecôte tenait à rester avec la Parole. Et ils ont adopté des conceptions païennes avec Constantin et les autres, et ils ont amené… De même qu’Achab avait épousé Jézabel et avait introduit l’idolâtrie en Israël, de même l’église a épousé le romanisme et a directement ramené l’idolâtrie dans l’église une fois de plus.
123 Eh bien, vous avez une petite bande de prostituées, sur base de mêmes principes, alors regardez ce qui arrive maintenant. La mère courtise, et elle va de nouveau vous dépouiller de tous vos droits. Que Dieu nous vienne en aide pour ne jamais laisser tomber Cela. C’est soit cette Parole, soit la mort. Le Conseil des églises se rassemble et s’unit dans la fraternité autour de Rome, exactement ce que la Bible a dit qu’il ferait.
124 En 1933, le Saint-Esprit est venu un matin et m’a annoncé sept événements qui devront s’accomplir avant que cette nation soit détruite. L’un d’eux, c’est cela. C’est écrit sur un vieux papier là à l’église ; beaucoup ont vu cela. Comment nous entrerons en guerre contre Hitler et qu’ils allaient… comment l’Allemagne construirait une fortification, la ligne Maginot, ou plutôt la ligne Siegfried, je pense, onze ans avant qu’on n’y ait jamais pensé. Et comment les automobiles auraient constamment la forme des oeufs. Et comment on permettrait aux femmes de voter et, par là, elles voteraient pour un mauvais président. Et par cela, une femme s’élèvera pour diriger les Etats-Unis d’Amérique : pas réellement une femme, mais une église. Enfin, je l’ai vue rien que de la cendre. Ça va arriver.
125 Cinq de ces événements se sont parfaitement accomplis. Comment Mussolini s’élèverait et irait contre l’Ethiopie, tomberait sur ses marches et serait rejeté par le peuple, dans la honte, avec une femme. Bien, bien des années avant que cela arrivât parfaitement à la lettre. Et cela n’a jamais failli, et ça ne faillira pas, parce que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et ce n’est pas contraire à cette Bible. Cela doit arriver.
126 Aujourd’hui, elle fait l’amour à ses filles, les courtise pour les ramener à la maison. Elles n’ont pas d’entendement spirituel, elles sont dépouillées, c’est une oasis pour elle. Ils disent : « Oh ! Quelle glorieuse chose ! » Oh ! la la ! Et les pentecôtistes siègent au conseil à Rome, et ils envoient des lettres partout, disant : « C’était le moment le plus spirituel qu’on ait jamais connu. » Comment un homme né de nouveau peut-il dévoiler son secret, mettre de côté la Parole et vivre par un credo ? C’est exactement ce que Delila a fait aujourd’hui, en mettant la Parole de côté, et vous vivez de credo.
127 Eh bien, considérez la débâcle aujourd’hui, par rapport à ce qui devrait se passer. Les prédicateurs, au lieu qu’on ait des prédicateurs appelés de Dieu pour notre groupe pentecôtiste, il vous faut pratiquement avoir un–il vous faut pratiquement avoir un doctorat avant que vous puissiez monter en chaire. Voyez ? C’est vrai. La chose suivante, il vous faut avoir une carte de membre. Et si vous… Et maintenant, dans nos grandes dénominations pentecôtistes, avant qu’on envoie un missionnaire, on doit l’amener devant un psychiatre pour voir s’il peut réussir au test mental. Eh bien, là, ce ne sont pas des presbytériens, ce–ce sont des pentecôtistes. Voyez ? Eh bien, c’est vrai. Eh bien, je ne dirais pas cela si je ne pouvais pas le soutenir. Voyez, voyez ? Exact. Dites-moi si c’est ça la condition pour être un prédicateur.
128 La Bible dit… Ils ne s’étaient jamais présentés devant un psychiatre : « Mais ils ont attendu dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce qu’ils fussent revêtus de la puissance d’En haut. » Certains parmi eux ne pouvaient même pas écrire leur nom. Quelques jours plus tard, l’un d’eux passait par la porte appelée La Belle, et il ne s’était jamais présenté devant un psychiatre. Il n’avait jamais eu de carte de membre, mais il a dit : « Ce que j’ai ! » Je n’ai jamais vu une carte de membre produire cela jusqu’à présent.
129 Que sommes-nous ? Nous sommes dépouillés, embarrassés dans la Présence du Saint-Esprit. Cela accomplit certainement ce que le prophète a dit dans II Timothée 3 : « Ils seront emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu. » Autrefois, c’était mauvais pour nos femmes pentecôtistes d’aller se baigner en maillots de bain, dans un bain mixte. Ce n’est plus le cas, voyez ? Non, non, c’est juste comme le monde, c’est pareil. Toutes ces choses (voyez ?), c’est de la mondanité. Tout ce qu’il y a dans le monde, ils l’ont simplement adopté, et des prédicateurs se sont levés et ont permis à leurs femmes de faire cela. Et elles ont fait toutes sortes de sottises, et cette génération-ci passe, et puis, une autre vient. Juste… Oh ! la la !
130 Samson se tenait là, pensant à ses grandes victoires. Remontons dans le passé et voyons les grandes victoires de la Pentecôte au début. On n’a pas à remonter à une période d’il y a deux mille ans ; remontons juste à il y a cinquante ans. Et, rappelez-vous, l’Eglise catholique romaine était au départ une église pentecôtiste. Et ils disent que l’église était née, et que l’Eglise romaine était née à Nicée, Rome. J’aimerais un passage des Ecritures qui soutienne cela. La première église n’a jamais commencé à Nicée, Rome. La première église a commencé à Jérusalem le jour de la Pentecôte. Oh ! Victime de toutes les erreurs ! Oh !
131 Alors, quand il s’est rendu compte de sa condition, quand il s’est rendu compte de ce qui était arrivé…
132 Comme je l’ai dit, il se peut que je ne vous revoie plus jamais. Je ne sais pas. Ceci peut être le dernier message que je vous apporte. Je peux, si je… Si le Seigneur le permet et que je revienne l’année prochaine, nous ne serons pas tous ici. Non, non. Certains parmi nous seront partis. Et, chaque fois, je dois parler comme si c’était notre dernière rencontre ; en effet, c’en est une pour certains parmi nous. Ceci peut être le dernier moment pour moi.
133 Quelle condition est-ce, une erreur ! Et si seulement nous nous arrêtions comme Samson et que nous réfléchissions un moment à ce que nous sommes censés être, d’après la Bible de Dieu ! Non pas un grand quelque chose, non pas se mettre à rivaliser avec les voisins, mais être un petit groupe de gens humbles, respectueux, remplis de l’Esprit : pas brillants ; luisants. Le Hollywood brille ; l’Evangile luit. Voyez ? Nous, nous voulons quelque chose de brillant, les plus grandes églises que nous n’ayons jamais eues. Nous serions de loin mieux si nous nous tenions dans l’allée, dans un entrepôt, avec l’Esprit de Dieu sur nous une fois de plus. C’est exact. Remarquez.
134 Et pendant qu’il était là, il s’est rendu compte que sa chevelure avait commencé à repousser ; mais il ne pouvait pas agir parce qu’il n’avait plus d’yeux. Alors, il s’est écrié : « Seigneur, venge-moi pour mes yeux. Ils m’ont crevé les yeux. »
135 Ce sont, aujourd’hui, je peux dire, les crédos ! « On m’a envoyé au séminaire. Et l’appel que j’avais dans mon coeur, de la part du Dieu vivant, ils m’en ont dépouillé, disant : « ‘Ces choses étaient pour un autre âge.’ »
136 « Venge-moi pour mes yeux. » Que pensait Samson ? « Il y avait une possibilité, peut-être. Jéhovah est plein d’amour. Il… Peut-être qu’Il peut m’exaucer. »
137 Oh ! je souhaiterais pouvoir amener Samson à se réveiller à cela ce soir : il y a une possibilité. Il est plein d’amour, Il pardonne l’iniquité de Son peuple, de génération en génération, Il témoigne de la miséricorde aux milliers qui L’aiment et qui observent Ses commandements.
138 « Il y a une possibilité, s’est dit Samson, si seulement je pouvais tirer vengeance pour mes yeux. Je ne vois plus ces choses. Cela n’arrive pas. »
139 Nous ne voyons pas, dans nos grandes dénominations, le Glorieux agir comme autrefois, au commencement. C’est fini. Voyez, ça n’existe plus. On est aveugle et on ne le sait pas. Jésus avait dit qu’il en serait ainsi, cet âge de l’église de Laodicée : « Riche, dit-elle, je suis riche, je me suis enrichie, je n’ai besoin de rien ! Et tu ne sais pas que tu es nue, aveugle, misérable, pauvre, et tu ne le sais pas. » Voyez, tu ne le sais pas.
140 Eh bien, en 1944, nous avions un slogan : « Un million de plus », une certaine dénomination. Et par le ministère de grands hommes, ils ont eu un million de plus. De quoi ? Des adhérents. C’est exact.
141 Il savait qu’il y avait une possibilité, mais le problème aujourd’hui, c’est que les gens ne semblent pas se rendre compte de cette possibilité. Ils sont satisfaits de suivre carrément le vieux train qu’ils suivaient. Voyez, ne le faites pas. Croyez en Dieu. Ayez foi en Lui.
142 Eh bien, ils disent… Oh ! ils disent : « Nous serons à l’étroit. » C’est vrai. « Nous tapons les mains, et–et tout, et nous crions. » Mais vous étiez là tel un bateau aux voiles tout déployées sans ancre. Voyez ?
143 Comment pouvez-vous taper les mains et crier, puis nier que la Parole est la Vérité ? Comment pouvez-vous taper les mains et crier, puis le Saint-Esprit passe parmi vous, et alors, vous dites : « Oh ! C’est une télépathie. C’est–c’est quelque chose comme cela ; ça ne vaut pas la peine ? » Voyez, voyez ?
144 Nous avons de grands rassemblements, de grandes réunions avec éclat et des clinquants, et qu’avons-nous eu ? Davantage de membres. L’Eglise pentecôtiste, il y a trois ans, a fait entrer plus de membres que tout le reste des églises réunies. C’était dans Our Sunday Visitor, un journal catholique. Le Sunday Visitor a dit qu’ils ont converti un million de gens au catholicisme cette année-là et, disait-il, les pentecôtistes ont eu un million cinq mille cent convertis. Ouais. Oui, oui.
145 Toutes sortes d’érudits, des gens qui ont appris à parler dans des écoles et à prononcer des discours intellectuels, des acteurs à la Hollywood (Permettez-moi l’expression), prêchant à un groupe de soi-disant petits-fils pentecôtistes.
146 Dieu n’a pas de petits-fils. Ils y sont entrés... Les vieux père et mère pentecôtistes, de par leur expérience, vous y ont fait entrer ; et vous êtes entré dans l’église, tout bonnement, vous vous êtes assis là, et automatiquement vous êtes devenu un pentecôtiste. Il n’a pas de petits-fils. Il n’a que des fils et des filles. Il n’y a pas de petits-fils. Il vous faut payer le même prix pour recevoir le même Saint-Esprit qu’eux autrefois. Il vous faut devenir un fils et une fille, pas un petit-fils et une petite-fille. Ce n’est pas un vieux grand-père marionnette mou, qui laisse ses enfants se tirer avec n’importe quoi, bénissant leur petit coeur. Il est Dieu, l’Eternel. C’est vrai. Des fils et des filles !
147 Nous avons toujours une grande masse comme Samson. Il se tenait là avec toute sa puissance. Il se tenait là, aussi grand qu’il l’a toujours été. Et nous sommes plus grands qu’auparavant, mais dépouillés de puissance. Samson était toujours très musclé, il avait toujours tous ses organes physiques, mais l’Esprit du Seigneur ne venait plus sur lui. Nous sommes des millions de fois forts, plus forts qu’auparavant, mais où est le Seigneur ? Comme l’Ange l’a dit jadis, du temps de Gédéon, Il avait dit : «Si où est… s’Il est toujours Dieu, où sont Ses miracles ? Où sont les choses qu’Il est censé faire ? Où est Sa manifestation comme étant vivant et le même hier, aujourd’hui et éternellement ? » C’est ce que nous obtenons.
148 Remarquez, Samson avait bien prié. Samson a prié, disant : « Seigneur, que je meure avec l’ennemi », quand il s’est rendu compte de ce qui se passait autour de lui. Il n’avait plus d’yeux. Il n’avait plus de force. Il n’avait plus de communion. Mais il y avait une possibilité, c’est qu’une réunion de prière puisse une fois de plus enflammer cela. Voyez ? Alors, il a bien prié correctement : « Que je meure avec l’ennemi. »
149 Vous devez mourir avec votre ennemi. C’est exact. Vous devez mourir à votre ennemi qui vous a entraîné dans cette condition. C’est vrai.
150 Samson était disposé à payer le prix pour recouvrer la puissance de Dieu. Il a vu ce pour quoi il était suscité. Pas être un acteur, mais être un serviteur, se maîtriser de sorte que la puissance de Dieu coule à travers lui.
151 Nous sommes des millions de fois plus nombreux qu’autrefois, mais la puissance… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… but.
152 Jésus a même dit : « Ce qui arriva du temps de Noé, où huit âmes furent sauvées par l’eau, arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme. » Tout ce que vous voyez passer dans la rue, c’est de la chair à canon. C’est de la chair pour la bombe atomique, cela se trouve là uniquement pour le jugement. Si l’Enlèvement a lieu, il y en a très peu qui iront. « Etroite est la porte, resserré le chemin, et il y en a peu qui le trouvent, mais large est la porte qui mène à la destruction et il y en a beaucoup qui entrent par là. Ceux qui Me disent : ‘Seigneur, Seigneur’ n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père. » C’est celui-là qui entrera (voyez ?) ; non pas ceux qui disent « Seigneur » dans leurs belles prières, et–et des réveils et autres.
153 Oh ! J’entends quelqu’un dire : « Eh bien, attends une minute, Frère Branham, nous avons des réveils. » Ouais. C’est exact. C’est exact. Nous avons des réveils, et qu’avons-nous ? C’est un réveil dénominationnel, voyez, si nous pouvons en avoir davantage dans l’église.
154 Et nous avons un autre grand réveil aussi ; nous faisons entrer toutes les églises dans une seule : le Conseil des églises. Ouais, ça s’éloigne davantage de la Parole de Dieu, tout le temps. S’unir… « Deux hommes marchent-ils ensemble sans en être convenus ? » Comment allons-nous marcher avec les gens qui nient la résurrection même de Christ ? Comment pouvons-nous marcher avec des gens qui disaient : « Les jours de miracles sont passés » ?
155 Vous êtes un peuple séparé par le Saint-Esprit. Voyez ? Aujourd’hui, le monde veut les–les–les… ce que le monde veut aujourd’hui, ce sont ceux qui mélangent. Ils veulent quelqu’un qui peut aller çà et là et–et avoir communion avec le monde, avec les gens, et avoir beaucoup de membres, avoir une organisation sociale. Alors que le Saint-Esprit avait cependant dit : « Séparez-moi Paul ! » Dieu sépare. Il ne mélange pas, Il sépare.
156 Il savait que sa force de rétrograde, quand bien même tout était là, la grande carrure qu’il avait toujours eue, il se tenait là, mais sa force de rétrograde ne pouvait relever le défi de l’heure.
157 Et l’église sait aussi cela. L’évangéliste savait cela quand ce musulman lui avait lancé le défi. Votre force intellectuelle ne peut relever le défi de l’heure, parce que le diable s’est déchaîné parmi nous avec une puissance que rien ne peut–ne peut oser affronter en dehors de l’Esprit du Dieu Tout-Puissant, quand cette Parole sera faite chaire. Et ça va sans cesse s’empirer, constamment s’empirer.
158 Il savait qu’il était incapable. Il ne pouvait pas faire cela. Et il savait ce qui arriverait si Dieu exauçait sa prière.
159 Je me demande si nous sommes autant disposés ce soir. Je me demande si le monde pentecôtiste est disposé ce soir à s’accorder de même avec Dieu. « Seigneur Dieu, si cela met ma dénomination en pièces, qu’on m’excommunie du conseil ! Peu m’importe qu’on me retire la carte de membre, et que je doive me coucher à plate couture, boire de l’eau du robinet et manger des biscuits secs, plutôt que rouler dans une grosse voiture avec un gros salaire. Peu m’importe le prix. Ce système m’a éloigné de Toi. Ramène-moi une fois de plus, Seigneur. Je croirai Ta Parole. Venge-moi de mes yeux crevés. Que je meure avec cela. Amen. Que je meure à moi-même. Peu m’importe ce qu’on dit à mon sujet. Je peux devenir l’évêque. Je peux devenir ceci, cela ou autre. Peu m’importe ce qu’on dit. Restaure la puissance du Saint-Esprit dans ma vie. J’ai été assez longtemps aveuglé. »
160 Ô église, êtes-vous disposée pour cela ? « Que je meure avec les autres. Que mon titre de révérend, docteur, ou je ne sais quoi, périsse. Ô Dieu, accorde-moi une fois seulement, envoie sur moi, une fois seulement, cette glorieuse puissance qui était descendue le jour de la Pentecôte, qui peut relever le défi de cette heure, face au communisme qui se lève ou n’importe quoi d’autre qui se lève. Que je meure, Seigneur, avec eux. » Il y a une possibilité, vous savez.
161 Vous savez quoi ? Lors de cette confession, les Philistins, ils étaient trop ivres pour remarquer ce qu’il faisait. Tout d’un coup, quand il a vu qu’il y avait une possibilité, il a redressé la tête vers les cieux, et les larmes ont coulé de ses orbites aveugles. Il s’est mis à bouger les lèvres, les larmes coulaient de ses yeux. Les autres ne le remarquaient pas. Ils étaient trop occupés à se moquer de lui. Il voulait la Parole de Dieu, que le véritable Dieu vivant entre une fois de plus en scène. Il lui avait fait défaut. Il savait qu’il Lui avait fait défaut. Mais il voulait voir le Dieu vivant vivre ici pour prouver à ce groupe de Jézabel qu’Il était toujours Dieu.
162 Oh ! si cela vous déraidit, si ça ne vous fait pas agir comme une espèce de vedette de cinéma, s’il vous faut laisser pousser vos cheveux et enfiler une robe à l’ancienne mode : « Peu m’importe le prix, je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. Seigneur, fais-nous voir cela une fois de plus ; fais-nous voir la Présence de Dieu agissant devant cette Jézabel. »
163 Il savait ce qui se passerait si Dieu exauçait sa prière, mais il était prêt et il était vraiment dans le besoin.
164 C’est ce qu’il nous faut. Soyez prêt ; prenez une décision. Fermez vos yeux, laissez vos affections… n’adaptez pas la Parole de Dieu à vous ; adaptez-vous à Sa Parole. « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne, Seigneur. Non pas ce que je pense à ce sujet ; c’est ce que Tu as dit à ce sujet. » C’est exact.
Qu’a-t-il crié ? « Seigneur… »
165 Il a dit : « Jeune homme, place l’une de mes mains sur ce poteau ; c’est possible. » Oh ! la la ! « Conduis-moi vers cette colonne qui soutient ceci, parce que j’aimerais faire reposer mes mains. Je suis fatigué. On s’est assez longtemps moqué de moi. » Oh ! la la !
166 « Je sais, Seigneur, ce qui en sera le prix, mais peut-être que Tu le feras. Il y a une possibilité. Tu es plein de miséricorde. Je t’ai fait défaut, Seigneur. » Cela devrait être le cri de l’église ce soir.
« Jeune homme, veux-tu bien placer ma main sur une colonne ? »
« Oui. »
« Et ma main sur cette autre colonne ? »
« Oui. »
« Est-ce que mes mains sont bien placées ? »
« Oui, elles sont bien placées. »
167 Alors, il s’est mis à prier. Et il a dit : « Seigneur, venge-moi mes yeux. » En d’autres termes : « J’ai mal agi. Mais encore une fois seulement, Seigneur, encore une fois… »
168 Oh ! Si seulement cela pouvait être l’objectif du mouvement pentecôtiste ce soir : « Je suis disposé à oublier si je suis comme ceci, si je suis unitaire, binitaire, trinitaire. Je suis disposé à oublier toutes ces mondanités et tout. Encore une fois seulement, Seigneur ! Encore une fois, fais-moi sortir de ce credo et de cette chose qui m’a lié. Encore une fois ! Encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ apparaître le même hier, aujourd’hui et éternellement. Encore une fois, Seigneur, encore une fois. » Cela devrait être le cri de l’Eglise, même si les gens sont aveuglés par ces choses, aveuglés par leur frère et leur conception. Prenez simplement la conception de Dieu et vous n’aurez pas à discuter à ce sujet. « Encore une fois, Seigneur, encore une fois. »
169 Donc, là se tenait cette grande carcasse sans puissance et sans secours. Tout d’un coup, il a commencé à sentir quelque chose se passer. Chaque fibre de son corps a commencé à se remplir de la puissance de Dieu.
170 Oh ! si seulement l’église pouvait en arriver là une fois de plus, du prédicateur au diacre, jusqu’au laïc, chaque fibre et chaque membre du corps seraient remplis de la puissance de Dieu.
171 Ces gros muscles se sont redressés, et il a resserré cela : « Laisse-moi mourir avec eux, Seigneur. Laisse-moi mourir avec eux. Tu m’as suscité pour détruire cela. Maintenant, je me suis fortifié pour ça ; laisse-moi me détruire moi-même avec cela, ma réputation, quoi que ce soit. Laisse-moi détruire cela, mais j’aimerais voir la puissance de Dieu une fois de plus. »
172 chaque fois que la puissance de Dieu se manifeste, les murs, dans lesquels vous étiez enfermé tombent. Vos murs dénominationnels s’écrouleront et Dieu se fera de nouveau connaître. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
173 Chacune de ses fibres se remplissait du Saint-Esprit, chaque muscle en était plein, et chaque partie de son corps était bien remplie du Saint-Esprit. C’était la plus grande victoire de Samson.
174 Ô Eglise du Dieu vivant ! Je vais mettre de côté mes autres notes pour dire cette seule chose. Pourquoi ne le faisons-nous pas ? Etes-vous prêtes, assemblées de Dieu ? Etes-vous prête, vous, United Church ? Etes-vous prêts, vous les unitaires, les trinitaires, quoi que vous soyez ? Etes-vous prête, Eglise de Dieu ? Etes-vous prêtes, vous toutes les autres dénominations, à oublier ce non-sens et ce que vous avez fait ? Regardez où vous avez amené les gens ce soir et dans quel état ils sont.
175 Ô Dieu, accorde-nous de briser ces murs. « Encore une fois, Seigneur. Peu m’importe. Nous sommes à la fin du temps, mes amis. Il ne nous reste pas grand-chose. Nous ferions mieux de crier maintenant même, crier : « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Juste cette fois-ci seulement, Seigneur, à la fin du monde, que Ta Puissance remplisse chacune de mes fibres. Je me débarrasserai de toutes ces autres choses. Les cartes de membre, les évêques et les dénominations, et tout, ça ne représente rien pour moi. C’est Toi que je veux, Seigneur, plus que n’importe quoi. »
176 Pensons-y alors que nous inclinons la tête juste un instant. Je me sens poussé à faire ceci. « Encore une fois, Seigneur. » Tout le monde, avec sincérité et respect, aussi respectueux que possible. Ayez simplement foi et, au fond de votre coeur, dites : « Encore une fois, Seigneur. »
177 Seigneur Jésus, Grand Maître de la Vie, le Berger des brebis, viens, Seigneur. Ces gens ont faim. Ils ont soif. Seigneur, ça fait des années que je désirais voir ceci arriver, peut-être que ça arrivera. Encore une fois seulement, Seigneur, une plus grande action de l’Esprit. Encore une fois, Seigneur, et l’Eglise pourra recevoir la foi de l’Enlèvement pour partir. Accorde-le, Seigneur. Montre que Tu es avec nous, et nous Te louerons pour cela. Au Nom de Jésus, nous le demandons. Amen.
178 Je sais que ce qui compte, ce n’est pas beaucoup de paroles ; je sais que ce n’est pas une longue prière, mais Il connaît mon objectif. Je suis sérieux là-dessus. Jésus peut-Il vivre parmi nous ce soir ? Jésus peut-Il encore une fois venir vers nous et montrer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, comme nous l’avons appris ? Y a-t-il des malades, des affligés, ou des gens découragés ici, en fait–en fait, vous savez qu’on n’a pas distribué des cartes de prière (Nous les avions toutes prises hier soir.), mais ils croient Dieu et ils aimeraient lever la main pour dire : « Je suis dans le besoin, Frère Branham. Je prie que Dieu me parle » ? Levez la main, où que vous soyez. C’est partout.
179 Eh bien, voici (quoi ?) la grâce de Dieu pour témoigner que ce que j’ai dit est la Vérité. Voyez ? Voyez, un homme peut dire n’importe quoi, si Dieu ne le confirme pas, alors c’est faux. Croyez donc.
180 J’aimerais que vous croyiez que je suis Son serviteur. J’aimerais que vous disiez à Dieu… Vous voyez, quand Il m’a rencontré, Il a dit : « Si tu amènes les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère… »
181 Et maintenant, si Jésus se tenait ici ce soir et que vous étiez malade ou nécessiteux, ou quoi que ce soit, Il ne pourrait pas vous guérir ; Il l’a déjà fait. Mais Jésus et la Parole, c’est la même chose. Il est la Parole. Et Il a dit que l’homme vivrait de cette Parole, pas d’un credo, de la Parole. « Et celui qui croit en Moi (non pas qui fait semblant de croire, mais qui croit) fera aussi des oeuvres que je fais. »
182 Comment connaissait-Il leurs pensées ? Comment s’y prenait-Il ? Ils pensaient qu’Il lisait leurs pensées ; et Il leur a dit qu’Il leur pardonnerait cela : « Mais quand le Saint-Esprit viendra faire cela, dire un mot contre cela ne sera jamais pardonné. » Eh bien, nous avons vu cela tout au long de la Bible et nous avons trouvé que Dieu s’était identifié en ce moment-là comme le Messie en montrant qu’Il était le Prophète et la Parole. En effet, la Bible dit : « La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants (Hébreux 4), Elle discerne les pensées du coeur. » C’est pourquoi on ne pouvait rien Lui cacher. Et les choses que… c’est ainsi qu’ils ont reconnu.
183 C’est ainsi que la femme au puits a su qu’Il était le Messie. Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses. C’est ce qu’Il fera. »
Il a dit : «Je Le suis. »
184 Elle est entrée en courant et a dit aux gens : « Venez voir un homme qui m’a dit ce que–ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? » Et ils ont cru cela.
185 Mais on ne sait trop comment, nous ne croyons pas. On dirait que le monde ne veut pas croire cela. Mais Dieu riche en miséricorde, il y a une possibilité qu’Il puisse encore faire cela. Il doit s’identifier comme cela, le Messie ; Il ne peut pas faire cela pour les Samaritains et les Juifs, et puis exclure les Gentils. ça doit se faire. Priez donc et touchez le bord de Son vêtement.
186 Et à l’intention des membres du clergé : « Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » C’est vrai. Hébreux 3.
187 « Il est maintenant le Souverain Sacrificateur (et nous croyons tous cela.) qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Donc, Sa vie, Ses actions, tout de Lui est le même. « Encore un peu de temps, et le monde (le cosmos, l’ordre) ne Me verra plus », ils ne verront jamais cela.
188 Rappelez-vous l’Ange qui est descendu sous la forme d’un Homme, qui a parlé à–à Abraham, l’Eglise élue appelée à sortir. Il n’est jamais descendu à Sodome pour agir là-bas comme ces autres compagnons qui y étaient allés prêcher, comme Billy Graham et les autres aujourd’hui, avec ce G-r-a-h-a-m de nouveau, comme A-b-r-a-h-a-m. Voyez ? Chacun avait son messager. Suivez. On en a aujourd’hui, la même chose est arrivée. Il est allé là auprès de l’Eglise appelée à sortir qui n’était pas à Babylone, et c’est là que cette chose mystérieuse a eu lieu, quand Il a dit à Sara, alors qu’elle était dans la tente derrière Lui, ce qui n’allait pas.
189 Elle a ri. Et Il a dit : « Pourquoi Sara a-t-elle ri, disant dans son coeur que ces choses ne peuvent pas arriver ? » Et Abraham l’a fait venir et elle a essayé de nier cela. Et Il a dit…
190 Regardez, voilà la grâce. Voici–voici une possibilité. Dieu aurait pu frapper Sara de mort là même, mais Il ne l’a pas pu ; elle était une partie d’Abraham. A cause de notre incrédulité, Il aurait pu nous frapper de mort, mais Il ne le peut pas ; nous sommes une partie de Christ. La grâce nous préserve. Voyez ? Mais Il doit toujours garder Sa Parole. Maintenant, priez.
191 Je ne vois personne que je connais réellement dans cette salle, sauf frère Pat Tyler assis ici au bout, que je connais en fait. Mais en ce qui concerne… Et je pense que c’est frère Bill Dauch qui est assis ici même, avec sa femme. En dehors de cela, ce sont les seuls je connais. Frère Joseph. Et si le Saint-Esprit leur parle, je vous dirai ce qu’il en est, et donc mettre cela de côté pour vous le dire après la réunion.
192 Mais, encore une fois, Seigneur, encore une fois ! « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Maintenant, croyez, et voyez si cette même Lumière que vous voyez constamment…
193 Eh bien, quand nous avons terminé les Ages de l’Eglise, là au tabernacle, il y avait à peu près autant de gens qu’ici. Il y a des gens qui sont assis ici même présentement qui étaient là. Cette même Colonne de Feu est allée au mur latéral, Elle a dessiné ces Ages de l’Eglise tel que je les avais dessinés au tableau. Est-ce vrai ? Beaucoup parmi vous étaient là. [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E] Les gens s’étaient évanouis et tout le reste. J’ai dit : « Elle est là maintenant, s’il y a un doute. »
194 On En a une photo ici à Washington D.C., protégée par le droit d’auteur comme étant l’unique Etre surnaturel jamais photographié. George J. Lacy, le responsable du département de F.B.I. chargé des empreintes digitales et des documents suspects, a examiné Cela, quand cette Lumière est apparue là. Il a dit : « Frère… Monsieur Branham, je disais que c’était de la psychologie ; j’ai assisté à vos réunions ; mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas photographier de la psychologie. » Voyez ? Il a dit : « La lumière a frappé l’objectif. »
195 Eh bien, si c’est Christ qui avait terrassé Paul, et ce dernier L’a appelé : « Seigneur, » voyez, « que veux-Tu que je fasse ? », la Vie qui était en Lui sera reproduite aussi en nous. Voyez, Il est ici avec l’Eglise appelée à sortir.
196 Et puisse cela arriver encore une fois, Seigneur, afin que ces gens voient que Tu es toujours vivant, que Tu n’es pas mort et que Tu n’as jamais abandonné Ton peuple. Ils sont ici, mais, Seigneur, ils ont les yeux crevés par une organisation, une Jézabel, Delila, qui les a éloignés de la vraie Parole en faveur d’un credo. Que les murs tombent, Père. Accorde-le. Encore une fois, Seigneur ! Comme je l’ai dit, il y en a beaucoup ici que je ne verrai probablement plus jamais. Mais, encore une fois, Seigneur, que Jésus apparaisse parmi nous sous forme du Saint-Esprit, qu’Il puisse reproduire en nous la Vie qu’Il menait là, pour accomplir Sa Parole.
197 « Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » Que les malades et les affligés touchent ce Maître. Tu es le même, Seigneur, qui pouvait dire à Simon Pierre, quand il s’est avancé parmi les gens : « Eh bien, Tu es Simon, le fils de Jonas. » Tu es le même, Père. Tu ne faillis pas. Le même. La petite femme qui toucha Son vêtement, le même Christ vit ce soir. Puisse cela se passer encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Je le demande, pour la gloire de Jésus. Amen.
198 Maintenant, que personne ne se déplace. Avec respect, inclinons-nous avec sincérité et respect. Nous ne faisons pas ces choses par hasard.
199 C’est une promesse de Dieu. L’Esprit divin du Dieu vivant a promis cela dans Sa Parole, et cette Parole est Vie et Esprit. Jésus a dit qu’Elle l’était. Et lui et la Parole, c’est la même chose. Et l’homme vit de cette Parole. Cette Parole vit dans l’homme.
200 Maintenant, c’est comme un don. Maintenant, je vais vous livrer un secret alors que je pars. Vous avez été doux et gentils. Je n’avais jamais dit cela exactement comme ceci, à ce que je sache, en public auparavant. « Frère Branham, ce don, c’est quoi ? » C’est un don qui consiste à savoir mettre William Branham hors du chemin afin que Jésus-Christ puisse vivre dans un vase. Juste se mettre hors du chemin !
201 Je ne vous connais pas. Je ne sais rien à ce sujet, mais Lui le sait. Il s’agit de Lui.
202 Maintenant, ayez foi et croyez. Dites : « Seigneur, cet homme ne me connaît pas. Et pourtant, Tu as dit : ‘Encore un peu de temps, et le monde (Babylone ou Sodome), ne Te verra plus. Mais vous, vous Me verrez. Vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.’ »
203 On n’est pas encore arrivé à la fin. « Vous Me verrez. Vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous. » Vous verrez Sa Vie reproduite dans les croyants.
204 Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle pour la gloire de Dieu, afin que les oeuvres de Dieu soient de nouveau manifestées, s’Il trouve convenable de faire cela.
205 À peine ai-je dit ce mot, j’ai regardé ici, au coin, et ici… Ne pouvez-vous pas voir cette Lumière suspendue là même ? Elle est ambre, Elle se déplace. Ou est-ce… suis-je dans une autre dimension, et ne fais-je que m’imaginer, c’est mon esprit ?
206 Il y a une petite femme assise là. Elle est en difficulté. Elle souffre de la–la gastrite. Elle a subi une opération à cause du cancer, et le cancer était sur le sein. Le cancer a été enlevé, petite dame. Oui. [La soeur dit : « C’est vrai. » – N.D.E.] C’est vrai.
207 Ainsi, maintenant, vous le saurez. Je ne vous connais pas, mais croyez-vous que je suis Son prophète ? Je vais le dire clairement ce soir ; je vais partir. [L’assemblée se réjouit et dit : « Amen. » – N.D.E.] Me croyez-vous ? [« Amen »] Croyez-vous que cela nous est promis dans les derniers jours, selon Malachie 4, que cela ramènera les coeurs des enfants au Père ? [« Amen »]
208 Eh bien, Madame Taylor, c’est ça votre nom. Vous pouvez rentrer chez vous, et Jésus-Christ vous guérit. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.]
209 Que pensez-vous ? Vous avez aussi subi une opération. Croyez-vous ? Si vous croyez de tout votre coeur… Votre opération, c’était aussi pour le cancer, une tumeur dans les intestins, l’appareil digestif. Mais maintenant, vous avez des complications. Si vous croyez, madame Shukwit, de tout votre coeur, que Jésus-Christ vous guérit, vous pouvez avoir ce que vous demandez.
Croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
210 Tenez, une dame ici derrière, c’est une dame de couleur. Elle souffre d’un mal des yeux et d’un mal des membres, des jambes. Son nom, c’est madame Washington. Levez-vous, s’il vous plaît. Vous êtes guérie.
211 Qu’a-t-elle touché ? Demandez-lui ce qu’elle a touché. L’humilité de cette femme de couleur…
212 A propos, Cela a frappé une autre femme de couleur assise ici au bout. Elle souffre de coeur. Son nom, c’est madame Harris. Croyez-vous, Madame Harris ? Votre maladie de coeur vous a quittée.
213 Qu’a-t-elle touché ? Elle ne m’a point touché. Elle est à 20 yards [18 m] de moi. Elle a touché le Souverain Sacrificateur.
214 Tenez, voici une autre femme, je détourne la tête, elle est assise ici même. Elle souffre d’une maladie de coeur aussi. Madame Carter, levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit.
215 Là au fond, une femme souffre d’un estomac ulcéreux, son nom est madame P-a-o-l-i. Madame Paoli, levez-vous, Jésus-Christ vous a guérie. Très bien. Vous y êtes.
216 « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! » Croyez-vous en Lui ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
217 Levons-nous. Confessons nos péchés et prions : « Encore une fois, Seigneur, que le Saint-Esprit vienne sur nous. » Levons les mains.
218 Seigneur Dieu, nous sommes embarrassés ; le monde se moque de nous, Seigneur. Viens-nous en aide ce soir. Que le Saint-Esprit vienne encore une fois, qu’Il soit déversé sur les gens. Puisse-t-Il venir maintenant, Seigneur. Que chaque malade soit guéri. Que chaque pécheur soit sauvé, que chaque personne qui cherche soit remplie. Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! Encore une fois seulement, Seigneur. Encore une fois, que le Saint-Esprit descende sur les gens.
219 Levez vos coeurs maintenant, et criez : « Encore une fois, Seigneur ! » Tous ensemble : « Encore une fois, Seigneur, encore une fois ! » [L’assemblée se réjouit et crie à haute voix : « Encore une fois, Seigneur ! » – N.D.E.]
220 Encore une fois, Seigneur ! Encore une fois, que le Saint-Esprit s’empare de cette assistance, qu’Il brise les puissances de l’ennemi, qu’Il remplisse chaque fibre du baptême de l’Esprit.
1 I want to say that I... [Congregation applauds--Ed.] I appreciate that. Thank you very much. I want to say that I certainly love this fellow too. Brother Joseph has been my friend for years. I would like to have this opportunity sometime and tell you how we ever come together. But I--I just trust that the Lord loves me like Joseph does, and I'll be all right. God bless you, Brother Joseph. The Lord bless you.
I believe we were going to sing that, "Now I believe." And let's mean it from our hearts tonight, "Now I believe." All right.
Now I believe, now I believe
All things are possible, now I believe;
Now I believe, now I believe
All things are possible, now I believe.
3 Let us bow our heads, just a moment, while we remain standing. And in this moment, let's bow our hearts also to Him. Now, I wonder if there's any in the congregation would like to be remembered in this prayer, just by raising your hand to God, saying, "God, this signifies I have a need yet, and I'm wanting You to supply it." God grant your request.
4 Our heavenly Father, great and Almighty Jehovah Who formed the earth out of Your Word, and has given us the opportunity to sojourn here and make our decision whether we want to live or die. "Choose you this day." And we choose between death and Life. So I pray, Father, if there be some in here that does not know Thee as their own beloved Saviour, that this night they will choose You, which is Life to know. And then if there's those here tonight that's sick unto physical death, that they will choose You tonight as their Healer, and it will also mean physical restoration again.
Oh, Thou art so good to the sons of men: long-suffering, not willing that any should perish, but that all might come to repentance. You send forth the clouds for the rain, and bring forth fruit and food upon the earth to feed Your children. And we are so dilatory, Lord, and so destructive to waste and to be selfish. And, O God, just forgive us, Lord. We--we plead for mercy. We would not want Your justice or Your judgment; we want Your mercy, Lord, so we pray that we may be partakers of Your mercy.
6 And, Father, not that this congregation hear me; but that You might, standing here in this place that's been dedicated, I thank Thee for this fine fellowship. And I believe with my heart, that if You should come tonight, there would be a host of New York people go in that great rapture. And, Father, we pray that we will be lights, not under a bushel, but under the anointing of the Holy Spirit that lights the candle, that we might be lights to this dying world, as the great dismal fogs of unbelief is floating in from every side. We know soon we'll see our Lord break back that fog, when the Light begins to shine. And we trust, Lord, that You'll make us ready. If there's anything we have need of tonight, supply it to us, Lord, through Thy grace. For we ask it in Jesus' Name, Thy Child. Amen.
7 I am not very expressive. But I'd like to say to Pastor Vick, his little co-worker there, and the choir, fine bunch of ladies and men, to all the cooperating pastors, laity, all of you, and the visitors, strangers in our gates. I want to thank you for your support this week, of your prayer and cooperation, to try to bring the Gospel Light to this city.
And our efforts, Pastor Vick with many other pastors, are the--we are seiners in this great lake. There's fishes in here that belong to God. We do not know who they are and where they are. But as he stands at one corner, another at another corner, seining, I just come to weave my net with theirs, with the ministry that's giving, mine with theirs, to try to reach out and get a--a little larger group in, that we might present them to God, and say, "Father, is there any fish in here? Is there any seeds of life, predestinated to be in the Book of Life that the Lamb died for? If they're there, we feel, that when the Gospel Light strikes, they'll see It right quick, because they are predestined to that.
9 Now, we're sorry that we did not have room to accommodate the people. Each night, nearly, when I've come up, there's been great throngs of people all up-and-down the street, walking, trying to get in, and some crying; some different, you know.
But I know that it's they have a law here, a fire marshal's law; just so many, you have to leave so much aisles, and so forth. And that they cannot help. Because that we are, as Christians, we've got to do that. For the Bible said, Jesus told us to, "Give Caesar those things that pertain to Caesar, and then to God those things that belong to God." So we try to. And if we will not obey Caesar, it's doubtful that we'd obey God. And as long as--as Caesar's laws doesn't interfere with God's, we must obey God first. And then these fire hazards, and so forth, well, they--they know how to take care of that, and they told us.
11 I--I was asking for mercy for the people, and seeing them up-and-down the streets, and things, and the sick, and trying to get in, and bringing them in cabs from across somewhere else in New York, or Long Island, and Jersey, or different places, and Manhattan. Well, you see, but we--we can only ask. And then when I find out that that's the law, why, he said, "If the fire marshal would come in and catch us crowded like that, he'd close the whole meeting." So that would cut everybody out.
I want to express my gratefulness to the the--the--the owner, or whatever it might be, or the company that owns this building, and to the management for letting us have this building, and for the custodian and the courtesy of--of giving us right of way. They've been very, very nice. And if they're... If they don't at this time have Eternal Life, I trust that God will give them Eternal Life.
13 And now, this may sound like a--a rashal statement, but I say this only because of I'm zealous for Christ. I do pray that if this building be used at anytime, from hereafter, for dances or worldly entertainment, that the Holy Spirit will throw such conviction upon those people until they'll weep. I pray to that. Because I'm sure that the people even that owns it would rather see souls saved to the Kingdom of God, than to have the other going on.
"And now, you're welcome back," for me to come back, that just fills my heart. Because little odd ministries is sometimes so unwelcome amongst brethren, especially some of them that--that in their certain organization that they are built up to a place till they cannot accept it (See?), because there's a system behind it. Not that many of those precious men...
15 I've met Catholic priests that's took my hand and just looked me in the eye. And think I didn't know what was going through his mind? That's discernment (You see?), what you see here. He wanted to embrace it, but couldn't do it (See?); he--he'd be excommunicated. See? Protestant ministers, the same way, fine brethren, and they--they want to do it.
That way, when I speak against some denomination, or the denominational system, it isn't the people in there. It's the system that I'm against (You see?), that holds them apart, holds us from receiving. See? They draw up their declarations, say, "We believe this, period." If they would end it with a comma, "We believe this, plus as much as the Lord can show us out of His Word," it would be all right. But they do not do it that way. You know that. It couldn't be a denomination and do that. See? It would just be the move of God, moving on all the time. You see? And the...
17 Each one becomes a latter rain to the other. See, the--Luther was a latter rain to the Catholic. And John Wesley was the latter rain to Luther. The Pentecost was the latter rain to the denomination. Now, the Pentecostals are organized, now what's going to happen? See, see?
But remember, the children of God never drove their stake tents down or--or so tight but what they could pull it up. And when the Fire moved, the Pillar of Fire, they moved with It. See? They moved with the Pillar of Fire.
But when you get the Pillar of Fire doing something, the Holy Spirit doing something, and then after that man with a message departs this life, then they say they organize upon his work. And the Pillar of Fire moves right out and leave them setting there; just goes right on. They're so staked down till they can't move, and now--but in there is many fine-hearted people.
I don't know when that I've had any more liberty to speak just my heart than I have right here.
21 Now, there--they say that, "The New York people are cold, different, informal; the great molding pot, where they get a handful of the worst out of every nation, and dump it in and grind it up, and you got New York." See? But I want you to know, in there, some of the saints of God are in there also. See? That's right. It's true. And everywhere I go, around and around the world, I find the saints of God are in every nation, everywhere. And the strange thing is...
I might say this to some of you, just drop it in. As a missionary, I--I find that I go into a nation that doesn't even know which is right or left hand, they do not know what any words, how to spell anything, only thing they know is just kill and eat. But let those people receive the Holy Spirit, and they do the same thing you do, and act the same way you act, not even knowing one word about it. So, you see, it's to all races, all peoples everywhere, and we all have the good and bad.
And I do feel tonight, and thank our heavenly Father, for I--I believe that part of the cream of the crop, I have the privilege of speaking to tonight.
24 Now, you can imagine the responsibility to speak to a--a group that would lay onto every word you say, and then you'll have to answer for what you told them at the day of judgment. Because through the little humble ministry, it gives people faith to know that a human being cannot do those things; it has to come from God; therefore, that they lay onto every word you say. So I never try to build something, thinking, or writing down Scriptures and--and notes that it would be something that I thought would make the people all elated. See, I--I try to pray and to think of something that would be constructive to you, that would help you.
'Cause I'm not here just to--for us to clap hands and shout, and run up-and-down the aisles. Oh, I believe in that, sure, but there--there's more than that to it. It's got to have a foundation for this. You see? I believe that when you jump, and when you come back down, then live as high as you jumped. You see? And if you don't, don't jump. See? So then just always jump as high as you live. And now, that's--that's what we should do. Because after all (See?) your--your life speaks louder than your testimony. You know. See, people know what you are by the way you live and the things you do.
26 And now, I've been very long at night. Supposed to be out of here, well, I guess at the correct time in the next twenty minutes, and I haven't even started. And I--I'm slow. I--I just...
I--I'm always late. I--I--I was late getting here; I was a little over nine months. And then I was... That's right. When I was born, I was a little overtime, my mother said. And then when I got it, what education I got, I was always behind. And when I got married, I had my wife waiting about three hours till I made a sick call; I was late at my wedding. Now, if I can just be late for my funeral, that's the next thing (See?); that's the main thing. I don't say that for a... But that's the truth.
28 But I--I've never tried to educate people into it. I never tried to think; just let the Holy Spirit have Its way.
I've got two girls at home. I was just talking to them a few moments ago. One of them is Rebekah, the other one... That's the older. The younger one, sister next to her, is Sarah. And they are about nearly five years apart. Sometime ago, I was in a missionary meeting, come home late. And they're daddy's girls. And they even now, Rebekah's a young woman, but she's still daddy's girl. And I love my children. And I remember they would set up and wait. I wouldn't come in for months. And then when I come in, they'd wait to see me. Well, they were little. It's been several years ago, about ten years ago. I'd been overseas, and I was coming in. And the plane was late, and so the little girls got sleepy and went to bed. The sandman got in their eyes, or throwed the sand in their eyes, rather. So then, well, wife waited up.
30 And finally I got in early, around three o'clock in the morning. So then I was so tired and weary, I couldn't sleep. I laid down for about an hour, and I got up, went in the living room, and set down in the chair. And after while, it broke day.
And the first thing you know, I heard a noise back in the room, and it was the two girls had--had woke up. And Rebekah woke up first, the idea struck her, "Daddy's home," and here she come, out of the bed and here she come. Well, that woke her little sister up.
Well, I--I guess my children's like yours. When the oldest one wears something almost out, the next one gets the hand-me-down, so Sarah was wearing Becky's pajamas. And that was the times that they had these kind of rabbit-feet pajamas, great big feet in them, and they were certainly way too long for--for Sarah. And so she couldn't keep up; her legs was too short.
33 And so Rebekah run in and jumped up on my knee, and throwed both arms around me and begin to hugging me. And, 'course, I had to cry a little. So and poor little Sarah thought she was left out, Becky had beat her; so she was standing at the door, and her big black eyes looked up, and the tears on her cheeks.
So Rebekah turns around and said, "Sarah, my sister..." She acted something like, I think, some of the churches try to do, you know. Said, "I want you to know that I was here first." And she said... And she had both arms around me, and she said, "And I've got all of daddy, and there's none left for you." Now, that's what they try to tell us a lot of times, you know. Well, Becky was kind of long-legged and so she could reach the floor; she was pretty well established, you know, like many of the churches.
35 But little Sarah, she was so hurt, until I looked at her and I winked my eye at her, you know, and motioned like that. And stuck my other knee out. That's what she was waiting for. Here she come. And she jumped up on my leg, and it was a little too high for them short legs of hers, and she was wiggling about like she was going to fall. Well, I caught her with both arms, and she put her little head up against my bosom. And she kind of liked the feeling, I guess, and so did I, so I was hugging her.
And she raised up, and she looked up at Rebekah. And I thought this was pretty good. She said, "Rebekah, my sister, I want to tell you something too." She says, "It may be right that you were here first and you've got all of daddy, but I want you to know daddy's got all of me." So... [Congregation applauds--Ed.]
I am not a theologian. I didn't have long enough to grow in some school of theology, but I--I hope He's got all of me, yeah, that's all, so He can use me.
38 Last, but not least, by no means, I--I never come here... And I asked them not to take up any offering. See? I--I don't come for that. I've never took up one myself in my life. All my... I've been a minister for thirty-three years; I've never took an offering in my life. There's been some taken for me by ministers. But I never took one in my life, and I--I hope I never have to.
But that you have done it, it will go; I will take it and put it into foreign missions and go over myself to bring the people that hasn't the privilege that you have here, to bring this same Gospel to those who cannot afford to send for me or pay my way. Therefore, I... [Congregation applauds--Ed.] Thank you. That they too, who are underprivileged might have the same privilege that we have here. And not one penny of it will be spent for, you know, drinking, smoking, or... It--it'll be for the Kingdom of God. And I trust that God will, in that, give you a great mention. "Insomuch as you have done unto the least of these, My little ones, you have done it unto Me." And may the Lord bless you. And now, I'm going to try tonight...
40 I want to ask one question. How many was in that great prayer line last night, that passed through under the hands of these ministers, that feel the Holy Spirit's already working in your case? Let's see you put your hands up. Oh, that's wonderful. That's just fine, beautiful. He always does. He works in your behalf.
Now, I thought tonight, being we've had so much healing services... And we've seen the Lord Jesus in His great power, making Him the same yesterday, today, and forever. And we have learned through the week, that there has been many great signs that He has showed us of His Presence right here with us now in the form of the Holy Spirit.
42 Now, next Sunday, I'm to be at my Tabernacle, Sunday morning and Sunday night, at--in Indiana. And then the following week, I'm in Shreveport, Louisiana, in a big convention. Then after that, I go to Yuma, Arizona, and back to Phoenix, for the Christian Business Men, then back to Indiana, for the Christmas holidays. Then back to Phoenix again, if any of you is around there and have friends... Beginning on the nineteenth, they give me that nice, about four thousand seating, Ramada auditorium, air-conditioned, free, prior the international convention of the Christian Business Men. And I speak two nights out of the four, and Mr. Roberts one night and I think Brother Brown one night, and I think mine's the opening night and the closing night. And then from there, on and on.
44 Pray for me. And now, I--I need your prayers. If there's anybody needs prayer, it's me. See? And I... Satan sure... I'm a target for him, you know. And I have to keep up the faith all the time, that shield, to march on. The Lord ever bless you.
And if I never see you no more until that day, I will meet you in the morning (See?) at that gate. And then in there, I can say as I say now; I'll still be believing this same glorious Gospel, and believing that Jesus Christ is not dead. But He's alive among His people, and His Gospel is the same. And the things that He did, we are to do till He comes. And I realize that God will judge me for those things that I have preached. I--I'm--I have to answer to God for what I say.
46 Now, may the Lord bless you. And just another word of prayer before we open the Book.
Lord Jesus, take the Word now and feed our hungry souls. We are waiting patiently, Lord. We are under great expectations. Like at the last day of the feast, how the people rejoiced. We're thinking of Simeon in the temple, promised by the Holy Ghost that he would not see death until he seen the Lord's Christ. And there it was on that great day, when the women come in to have their children circumcised, and offer the gift for purification, and it was at that time that the--the Jesus was brought into the temple. And Simeon, maybe off somewhere in a side room that morning in the office, but the Holy Spirit made him the promise. And here was the Messiah in the arms of His mother, the little Fellow out there wrapped in His swaddling cloth.
And Mary, them keeping their distance away from her, because she had a--a bad name, so thought the people, "the baby was born out of holy wedlock." No one wanted anything to do with that woman. But in her heart, she knew what she held in her arms. And, Father, may our heart tonight cradle that same hope. No matter what the world says, we know what has entered our life.
49 And at that time, Simeon the one that said that he... The Holy Spirit told him that he would see the Messiah. Yet, old, well-stricken, an old sage, honorable man, but he believed the Word of the Lord to him. The Holy Spirit coming to Him, and, he going, led by the Holy Spirit, down through the building, around this great string of mothers. With two and a half million people that time, overnight there might've been as many as several hundred babies born. And there they were, standing ready for circumcision and purification.
And how the Holy Ghost led him right to this little rejected Person, reaching over, picked the Messiah in his arms, with tears running down his beard. He said, "Lord, now let Your servant depart in peace according to Thy Word, for my eyes have seen Your Salvation."
Staggering through the building come an old prophetess, to whom the Word of the Lord comes to, and also prophesied of Him; blinded in eyes, but not in spirit, she knew that was the Messiah.
52 Lord God, may our eyes come open to the fact that He is still the Messiah. And may we embrace Him tonight, for we have confessed that we are pilgrims and strangers of this world. This is not our home. This is not our land. We are a different acting people because we are borned from above.
And we who hold this promise in our heart, may we see the promise that Jesus made to His Church, that we would see just prior His coming, as we see the days of Noah returning, "eating, drinking, marrying, given in marriage, and immorals of the land." Then He said, "As it was in the days of Sodom, to the Gentiles, before the fire fell, that God came down and was manifested in flesh, by knowing the secrets of the hearts of the people." And He promised the same thing to return. May we have the privilege tonight, great Holy Spirit, for we humbly ask it in Jesus' Name. Amen.
54 [Tongues and interpretation are given--Ed.] Amen.
Oh, I think now to be conscious of the Spirit near us, Light. Break out of the shell of the hour we're living, and the time, and be conscious of the Spirit of God now among us.
Let us turn to the Book of Judges the 16th chapter, beginning with the 23rd verse, as we read the Word.
And as you are turning, I might say, my thinking in choosing this chapter to read this afternoon at the closing of this meeting, might be something brought forth which would be constructive to the Church, and always I wait to see what the Holy Spirit will say in the room, as It strikes me. I might jot down different Scriptures and things, then wonder what it'll be when I get there. "What will He say concerning this?"
58 And now listen closely, just try to be just as attentive to it as you possibly can, as we read. For in here, if it be the will of the Lord, I'm trying to set forth a parallel--parallel from one to another. And listen close now: 23rd verse, beginning.
And when the lords of the Philistine gathered... together for to offer a great sacrifice unto Dagon their god, and to rejoice: for they said, Our god has delivered Samson our enemy into our hand.
And when the people saw him, they praised their god: for they said, Our god has delivered into our hands our enemy, and destroyed--and destroyed our country, which slew many of us
And it came to pass, when their hearts were merry, that they said, Call for Samson, for he may make us sport. And they called for Samson out of the prison house; and he made them sport: and they set him between the pillars.
And Samson said unto the lad that held him by the hand, Suffer me that I may feel the pillars whereupon the house standeth, that I may lean upon them.
Now, the house was full of men and women; and all the lords of the Philistines were there; and they were upon the roof about three thousand men and women, that beheld while Samson made sport.
And Samson called unto God--unto the LORD, and said, O Lord... remember me, I pray thee, and strengthen me, I pray thee, only this once, O God, that I may be... once avenged of the Philistines for my two eyes.
And Samson took hold of the two pillars upon which the house stood, and on which he... borne it up, of the one, and the... his right hand, and on the other... his left
And Samson said, Let me die with the Philistines.
And he bowed himself with all his might; and the house fell upon the lords, and upon all the people that were therein. So the dead which he slew at his death was more than they which he slew in his life.
59 What a sad sight. Must've been a hot afternoon, sun shining down at its great celebration and three thousand Philistines looked down from the galleys of the stadium as the pair entered. High honored war lords, and their fine-jeweled ladies leaned forward to get a good look, as the boy led this blind man. The halls had echoed all afternoon with drunken revelry, celebrating (here's what hurts), celebrating the victory of their fish god, Dagon, over Jehovah's servant. What a disgrace. What a thing had happened. The man had failed. Not, God had not failed.
And what Jehovah must've been thinking as He looked down and see all this going on. Drunken conglomeration of women half stripped, fine-jeweled and decorated, and fixed up, their drunken husbands drinking and celebrating to a god, a fish god, an idol that had took the victory over Jehovah's servant.
61 The lad led the stumbling blind man to the middle of the pole--the poles where they stood, two of them, holding this great big slanting pillars, or a great big hall that slanted down in this manner. And two great big huge posts, as I could think of the setting; holding the people, of three thousand war lords, and the celebrity, the--the finest honored soldiers, the greatest warriors. Just that the--the celebrity was invited to this, because it was a celebration.
And across from them was this huge image of a fish, with human blood beneath it upon the altar, sacrifice to this fish god, a total pagan statue that can neither speak, hear, nor breathe. But they--they in their ignorance, they was worshipping this god, thinking that he had give them the victory, a celebration.
63 And then led to these posts in the floor, where they could all see, the--the main event was just about to take place. There had been many entertainments, maybe like they used to have, monkeys; and they had gladiators, and when they would duel, and the gladiators would say whether the victim was on the floor should be killed or not. And they had to see shedding blood. And all the--the events had taken place, and now the main thing come up. The preliminaries were over. And the main event was to make fun of Jehovah, make fun of our God, all because His servant had failed Him.
See, He's God; that's true, but we're His servants and we got our commission to carry out exactly the way He said to carry it out.
65 Then we find, in their drunken irreverent condition as they were in, and now, they'd all raised up because there was a great silence, perhaps a trumpet sounded. And they were going to have the main event, to what they were celebrating, bringing in Jehovah's witness: bringing him out there in the middle of the hall, that they all might make fun of him, and make sport out of him.
Look at him, humiliated, broken, a symbol of a--of a fallen church, spiritually stripped, morally broken. What a example that is of the conditions of today.
"Samson, this was Samson, Samson the great; so this was him, the great mighty instrument of God?" Why, many Philistines, I'd imagine them war lords standing there looking there; why, at the very remembrance of his name, the whole country trembled. Just say "Samson"; that's all you had to do. Just mention the name "Samson" and everyone trembled at his name, and now look at him.
You know, it used to be that the Name of the Lord Jesus had a great reverence; people highly honored It. And the ones who honored It could cast out evil spirits by It, and could make nature obey their command through His Name.
69 But I think that Samson here, what I want to parallel it to, is the modern local... or not local, but the--the modern conditions of the church today. It's a perfect parallel. The church has long lost its respect; not because that God has failed the church, but the church has failed God. It wasn't because that God had failed Samson, but Samson had failed God. Where we ought to be standing in such a condition like the church was when Ananias and Sapphira was brought before the church, but instead of that, we have long compromised with the things of the world and brought it in, until today, it to be called a bunch of holy-rollers, or--or just an ordinary other denomination, just some church. There's not... It hasn't--doesn't pack the dignity that it should have.
70 I guess, as they stood there, standing to their feet, when the main event was taking place... And let's just take ourselves back there for a few minutes. And I'd imagine, the Philistines, many of those great warriors standing there, with their fine-jeweled women, their arms around them, drinking a toast to Dagon. "Hail, Dagon, thou art victorious over Jehovah. We have showed them what we can do. We show this fellow, who claimed so much, that there's nothing to him."
That's almost the condition of the church today. We who have the keys of the Kingdom in our hand, with every spiritual gift that God give to man, laying in the church, long have we compromised with--with creed, and so forth, until we've windled all the power of God out of it, until it becomes no more than a lodge.
72 Like in a recent event, when a Mohammedan stood by the side of our foremost evangelist, and he said, "I'll bring up thirty people that's sick and afflicted, and you heal fifteen of them and I'll heal fifteen of them." And I say not this against the evangelist, by no means; but the evangelist took off and left the man alone, without an answer.
What a--a--a letdown to our God, for the Word is God. And the promise of the Word is a promise of God, "These signs shall follow them that believe."
And it's almost come to another challenge, or another celebration, when heathen gods can speak to the church, and the church stands helpless, defeated, spiritually stripped. Now, there's something that's done that; that's been the cares of the world entering into the church, and it's got it no more than any lodge. We find that. I believe...
75 I don't know what I would've done in the case. I'd have to wait to see what God said. But I believe I would've felt like the Hebrew children, "Our God is able to deliver us from this. But nevertheless, we'll never bow to your image, whether He does or does not."
But we've lost the courage; that's what Samson had done, lost its power. The church has lost the influence of its testimony, that it is a--a living, moving, body of Christ. It has accepted dogmas, mixed it in with their beliefs until the Word has not the preeminence. As Jesus said to that helpless church that He come to, "You have taken the commandments of God, and with your traditions you've made them of no effect: made the commandments of God without an effect by your traditions, to explain it away."
77 Sometime ago in a school. There's a fine New York man here that come to my house, and he said to me... He was a Baptist brother, and he said to me, "Brother Branham, I am a--a Baptist." And I had him to come in and set down, he and another brother. And we talked for--at length. And after while he said, "When I was a little boy, I was called to the ministry." He said, "My precious old mother washed over a washboard to send me to school." And said, "The day that I was going and received my degree of Bachelor of Art, my B.A. degree," he said, "I thought then surely Christ would be in that," but said, "He wasn't." Said, "When I received my doctor's degree then I thought, 'Christ will be in that,' but He wasn't." He said, "And when I got my L.L.D., Doctor of--of Literature, and so forth." And said, "I've got enough degrees and honorary degrees till I could plaster your wall with them, and where's Christ in all of it?" He said, "I'm still looking for Him." Said, "I'm going to ask you a question." Said, "Has the teachers been wrong?"
78 I said, "My brother (Jewish to begin with)..." I said, "I am in no position as a--a--a seventh-grade education, to say that the teachers are wrong. I--I--I could not say that; I--I don't feel qualified to condemn anybody. But I'll say this: that I have found Him and He wasn't in that."
And he said, "I hear that you were a Baptist."
I said, "That is true."
And he said, "Now, I understand that you have turned Pentecostal."
I said, "No. I have just received the Pentecostal blessing (See?) not the Pentecostal denomination, the Pentecostal blessing."
And he said, "Well," he said, "I've--I've been to their meeting. And I have seen them kick over the chairs and throw a book through the window." And he said, "You couldn't call that the behavior of the blessed Holy Spirit."
I said, "I'm still not able to judge God."
And he said, "Well," he said, "Would... What's... What makes them do that?"
84 I said, "In my travel, I find two classes of people." And I said, "One of them are fundamentals; positionally they know by the mechanics that they are to be sons and daughters in God." And I said, "The next I find is the Pentecostals, they--with the baptism of the Holy Spirit." But I said, "The fundamentals positionally know where they're at, but they don't have any faith in the Word. And the Pentecostals has got a lot of faith, but don't know who they are." And I said, "It's like a man that had money in the bank but could not write a check; and one could write a check but had no money in the bank. If you could just get them together..."
He said, "Well, what makes them act like that?"
I said, "It's letting off the steam." I said, "Now, I don't think that would have to be necessary," I said, "but they--they've got to give vent somewhere." And I said, "Now, if they would just take all that steam and could know how to direct it fundamentally in the Word, the big regime of God would start moving on."
There is where Satan got in to make it all mechanics and no dynamics. That's all dynamics and no mechanics. See, we've got to put it together. We've got the power of the Holy Spirit, but we've got to come back with the Word to feed this machine. We can't feed it on creed. It won't burn it: chokes up the flues. It will not burn it. It was made for the Word of God. Man shall not live by bread alone, but by every Word, not just part of It, every Word that proceeds out of the mouth of God.
87 So here we stand, a church commissioned on the last commission, the last thing that Jesus said to His church, the last commission given, "Go ye into all the world, and make disciples of all nations. He that believeth and is baptized shall be saved; he that believeth not shall be damned. And..." And is a conjunction to tie your sentence together. "And these signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils; they shall speak with new tongues; if they take up serpents or drink deadly things, it will not harm them; if they lay their hands on the sick, they shall recover."
So why should we have to stand in the presence of some heathen god and take a defeat? We stand again like Samson, spiritually stripped, morally broken, our churches. What has happened, they--they used to be honorable men and women, and today you--you... It's terrible.
Now, let's just look a few minutes at some thoughts that passed upon this. So there stood Samson. And, pardon me, here he is again today, again stripped morally, spiritually. And it's also a symbol of a fallen nation. But were speaking of church, because Samson was God's servant, supposed to be, and the church is supposed to be God's servant in the earth.
89 Many great warriors standing there, sober up for a moment, as the liquors run off of their--probably their armors and breastplates, and their arms around their pretty jeweled queens, as they looked out upon there, and many of them looking at this sight. A little boy holding this big bulk of a man, and no eyeballs in his sockets; they'd been burnt out.
That's what the enemy does. The first thing, when he gets ahold of you, he does like he did to Samson. He shuts your eyes off from the Light of the Gospel. Now, he cannot see, his eyes are gone. And long has the church lost its spiritual sight, that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever, and every promise is true.
And as they stand there now, no eyes, a ridiculous sight, a disgrace standing beneath the fish god, a captive of the very nation that God raised him up to destroy...
92 Now, I'm going to come home just a minute. And here is our Pentecostal people that fifty years ago left that muck of denomination; God called us out to be a separated people. And we stand today just dozens of organizations, different, and Pentecost all fighting one another. The very thing that God called us out to defeat, it has defeated us. If one goes to this denomination, has a meeting, the rest of them don't want to cooperate. Just now and then you can find one. That's right. And denomination has always been a curse in the sight of God. It never was; God never did; that never was His plan.
God cannot change His program. God deals with individuals. There were millions in the days of Noah, but Noah was the anointed one. There was millions in the days of Elijah, never Elisha and Elijah at the same time. On down, each generation... There were two and a half million in Egypt; Moses went down. See? There were millions in the days of Jesus. Even when John the great prophet stood, when he seen this great Mighty One come on, he said, "I must decrease now; my work is over; and He will increase. God..." He pointed them to the Lamb.
94 But, see, that went on for three hundred years, until the Nicaea Council, and then we had to have an organization. Then from that on, that fell. And every time that a message comes forth, and they organize it, it dies spiritually and never comes back again. So it's a cursed thing to the Church of God, for man to put his hand upon the moving of the Spirit: always.
Then they take them out there and get seminary ministers, and they rub shoulders with the world, and so forth. The first thing you know, they got the women acting like the world, and the men. The first thing you know, politics and bishops, and they want a straw in their hat, and they cut and push, and fuss and fight, until the Spirit of God is completely grieved away...?...
96 Some of them remember seeing Samson when the anointing was upon him, standing in a field with a thousand Philistines laying around him, with nothing in his hand but an old brittle jawbone of a mule, that he had beat through inch-thick helmets of brass, knocking Philistines one way and the other, when the Spirit of Lord was upon him. And many of them had took refuge to the rock. And he was standing there, saying, "If you want some, come on out." Some of them remember seeing that.
Some of them might've whispered across and said, "Do you remember in Gaza that night when it was noised abroad that our enemy was in the city? And we got the army, we locked the gates. And the gates, weighing maybe six or seven tons, those big brass gates, where a whole four or five chariots abreast could move in, an army moving in the city. And we took the army, with our spears and swords, and we stood and said, 'Now we've got him.' And when we awakened..." He just walked right down through them, shoving them right and left, took the gate and pulled one off, and pulled the other one off, and laid it on his shoulders, and walked up on the mountain and set down. That's when the Spirit of the Lord was upon him. One day...
98 Some of them might've remembered when they seen a lion roar against him, which would've killed him in a second.
If anyone know what--how fast a lion can kill you... And with a one big blast and a roar, in a split second they kill a--a two-ton wildebeest or a buffalo; with just one of them paws, break his neck like that, or bite him like that, and he's gone. Don't even kick a hoof, kills them so instantly.
And here this man walking along, and a lion roared, and he was helpless, not even a jawbone of a mule in his hand. But the Bible said, "The Spirit of the Lord came upon him," and he grabbed the lion and tore him apart.
101 But now he stands helpless, all stripped of power. It's the same thing now. The church stands the same way. Where, once the church used to cast out devils... The church used to raise up the dead. The church used to do the things that Jesus did. Sin could not dwell among them, the Holy Spirit came in and condemned it. If a man done something secretly, and belonged to this Christian group, as soon as he come in, the Holy Spirit revealed his sin. He either repented or perished. But, you see, we don't have it no more.
And they won't receive it no more. And when it does come, they try to call it an evil spirit, that they might receive that much more condemnation. Something has to condemn them.
103 Notice. Stripped of power, what must've went through that man's mind? Once that kind of a warrior, and now a little boy has to lead him around... Why? He's blind. He can't see. He has nothing to see with.
God, have mercy upon us. The church is so denominated and so far away, till the Devil has poked out the eyesight, the spiritual sight that This is the Word of God: not a creed; It's the Word. And God's duty bound to--to produce everything that He promised in this Bible. They say, "We--we believe..." You haven't got no belief coming, if it's contrary to This. The mind of Christ in you, you believe the things that Christ wrote, 'cause This is Christ, the Word. But look at the condition, look at the parallel, when we see that.
What must have went through his mind? Let's see what went through his mind.
106 We see what went through the war lords' mind, of the fear that they once had just of his name. They was a scared to do anything. They... Just mention Samson, that's all, everybody was gone. But now there he is standing a victim under Dagon, the fish god. A Jew that despised idols was standing a victim under one. Why? Because he had failed God. Samson standing there, no doubt... Let's--let's--let's search his mind for about three or four minutes.
He must have thought of all the victories he had. There he stands, what he'd done, how the Lord had blessed him, and how that he once was a great man as long as he was in the Kingdom of God, keeping the promise of God.
See, he'd failed, and got rid of the promise. That's the same thing the church has done: got rid of the promises. "Oh, well, that's... We'll write our own little catechism; this is..." See? This is It, the Word.
108 Now, notice. He'd thought of all of his victories. And then this must've went through his mind, and how that he had failed God's people.
It ought to be a shame to a minister that'll set and read this Bible then walk out before his people. The world is full of Lot's. The Bible said that the sins of Sodom vexed his righteous soul, but he didn't have the courage to stand up and rebuke that sin. And there's many men today... And I say this with reverence, only with--with love, but just to say Truth. We may never meet again.
111 There's a many man that reads this same Bible that we read; sits in his office, preparing his message, and run upon these Truths of God, and have to bypass them. He would be afraid to preach against the women cutting their hair. His organization would turn him out. About them wearing immoral clothes and committing spiritual adultery; and about the men that--that takes a sociable drink on Christmas, and--and gets out and has a little clean American fun, tells dirty jokes, and still maintains the office as deacon. They know them things are wrong, but they're as it was in the days of Lot. We're back to that sinful place again, See?
112 Oh, how Samson must've been reminded by the Holy Spirit, that how he'd failed God's people, and had failed God himself. Now, he is a prisoner of the very thing that God raised him up and give him power to destroy.
And with love and with... I am a member. I am in This with you, not a member of a--a organization. God forbid. But I am a member, by grace, in the Body of Christ. I am your brother. I have no selfish motives, my motive to achieve anything personally. I'm only zealous for the Lord God, and I say this with--with all my heart. The very thing that you were called out of, you've gone back into it again. And as the Bible said, "As the sow goes to her wallow, and a dog returns to its vomit..." And if the vomit made the dog sick in the first place, won't it make him sicker the second time? And if organization and creeds that had got the people so bound up, and God called you out to be a free people, and you turned right back around and done the same thing, it'll--it's a greater sin.
114 Now they had him doing tricks to entertain them. And that's just about the way it's got, instead of a Holy Spirit.
That when someone raises up and gets arrogant, the Holy Spirit is obligated to God to shut that thing up. I've seen them pack them from the meeting, paralyzed, blinded, dumb, and even die right in the meetings and drop dead while they're trying to rebuke It. God in heaven knows that's right. Many of you here has been in other meetings and witnessed the same thing.
There ought to be a holy power surrounding, and in the church, that'll make demons flee. Instead of that, it's become a laughingstock. What is it? The mechanics instead of the dynamics.
117 Now, he's doing tricks. What caused it? What was the cause of Samson's fall? He let a woman lure him away from the promise of God. That's exactly what... We all know that. He had seven locks. And he was born; his birth path was to be a Nazarite, a odd fellow to the Lord. But, you see, he let this woman lure him until she shaved his oddness off.
And that's the same thing that's happened to the church. You are born a peculiar people, a holy nation, a royal priesthood. But what happened? You've let the world shave off your peculiarness until you have become one of them. You had to have a denomination just like they had. You had to outshine the Baptists or the Methodists, one. And now the Assemblies is trying to outshine the United, and the United outshine the Assemblies, the Church of God out this, and, oh, my, on and on, thirty or forty different organizations (See?), like the dog returning to its vomit, the same thing.
119 Notice, the same thing has been done as it was then: let Jezebel, the mother of harlots, Revelations 17... You remember, she was called a whore; that's a--a woman that's immoral. And woman always is a--represents... The church is represented by a woman. Because Christ, one He's coming after is a Bride. And she was the mother of harlots. What is a immoral woman? Now, it couldn't have been men, because they were harlots. See? Is a woman that would live untrue to her husband. And she claims that she is the mother of all churches, and she is.
And what made her a whore? Is because she committed spiritual fornication. She adopted creeds instead of her Husband's Word. Instead of becoming a real true mate to her husband, she took another book of creeds. And what was she? The mother of harlots that did the same thing. Now, you don't need any more explaining to that. See? You see where it's at. What was it? Organization, getting away from the Word.
121 Notice now what Delilah did to Samson when she kept wooing him. "Oh, you are a great man. You are powerful. But don't deceive me; tell me wherein lieth your strength." And she loved him, and she made love to him until finally he gave in. And what did they do? The first thing she did, she had his secret taken from him.
Well, that's the same thing that happened (to you readers and Bible students) at the Nicaea Council. The old path of Pentecost wanted to stay with the Word. And they adopted some pagan ideas through Constantine and them, and brought... As Ahab married Jezebel and brought in idolatry into Israel, so did the church marry into Romanism and bring in idolatry right straight back in the church again.
Now, you've got a little bunch of harlots on the same principles, and look what's taking place now. Mother is a wooing, and again she's going to shave all your rights away from you. God help that we'll never give It up; it's this Word or death. The Council of Churches, putting themselves together and uniting in fellowship around Rome, exactly what the Bible said it would do...
124 1933, the Holy Spirit came one morning and told me seven things that would take place before this nation was destroyed. One of them is that. It's on old paper there at the church; many has looked at it. How that we would go to war with Hitler and they'd... How Germany would fortify and build a Maginot Line, or the Siegfried Line, I believe it was, eleven years before it was ever thought of. And how that automobiles would constantly shape like eggs. And how that they'd permit women to vote, and in doing so, they would elect the wrong President. And in this would be a woman stand up that would govern the United States: not actually a woman, but a church. Then I seen her with nothing but ashes. It's going to happen.
Five of those things has perfectly been fulfilled exactly. How Mussolini would rise and go to Ethiopia, and fall at his steps; and he would be turned to the people, in shame, with a woman. Many, many years before it happened perfectly on the dot... And it's never failed, and it won't fail, because it's THUS SAITH THE LORD. And it's not contrary to these Bible. It's got to be.
126 Now, she's making love to her daughters, wooing them right back home again. With no spiritual understanding, stripped, it's an oasis for her. They say, "Oh, what a grand thing it is." Oh, my. And Pentecostal men setting in the council at Rome, and sending letters around, that "It was the most spiritual time they ever seen." How could a borned again man cut off his secret, cut off the Word, and they live by the creed? That's exactly what Delilah has done today, cutting off the Word and you live by the creed.
127 Now, look at the defeat today, from what it would be. Ministers, instead of God-called ministers for our Pentecostal group, you almost have a--have to have a doctor's degree before you can get in the pulpit. See? That's right. The first thing, you got to have a fellowship card. And if you... And now in our great denominations of Pentecost, before they send a missionary, they have to take him before a psychiatrist to see if he can stand the mental test. No, that ain't Presbyterian, that--that's Pentecost. See? Now, that's right. Now, I wouldn't say that 'less I could back it up. See, see? Right. Tell me if that's the qualification of a minister.
128 The Bible said, they never went before any psychiatrist, "But they waited in the city of Jerusalem, until they were filled with power from on high." Some of them could not write their name. A few days later, one passed through the gate called Beautiful, and He had never been before a psychiatrist. He never had his fellowship card, but He said, "Such as I have..." I have never seen a fellowship card produce that yet.
What are we? We are stripped, embarrassed in the Presence of the Holy Ghost. It's certainly fulfills what the prophet said in Second Timothy 3, "It'd be heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God." Used to be wrong for our Pentecostal women to go bathing in suits, and mixed bathing. It isn't no more. See? No, no, just like the world, just the same. All these things (See?) worldly... Everything that's in the world, they just brought it in, and ministers has raised up and permitted their wives to do it. And they've done all this kind of stuff, and this generation grows along, and then the next one comes on and it's... Oh, my.
130 Samson stood, thinking of his great victories. Let's look back and see the great early Pentecostal victories. You don't have to look plumb back two thousand years ago; just look back fifty years ago. And, remember, the Roman Catholic church was first the Pentecostal church. And they say that the church was borned, and that the Roman church was borned at Nicaea, Rome. I want Scripture for that. The first church never begin at Nicaea, Rome. The first church begin in Jerusalem on the day of Pentecost. Oh, a victim of all the errors... Oh.
131 Then when he realized where he was standing, when he realized what would happen... As I said, I may never see you again. I don't know. This may be my last Message to you. I may, if I... If the Lord permits, and I come back next year, we all won't be here. No. Some of us will be gone. And each time I must speak as if it was our last time; 'cause it is, some of us. It may be my last time.
What a condition it is, a error. And if we would only stop like Samson did and think just a moment of what we are supposed to be by God's Bible. Not a great big something, not a going, keeping up with the Joneses, but a humble, reverent, Spirit-filled little group of people: not shining; glowing. Hollywood shines; the Gospel glows. See? We want something shiny, the biggest churches we've ever had. We'd be better off, we stood down at the alley, in a storeroom, and have the Spirit of God back on us again. That's right. Notice.
134 And as he stood there and realized, and his hair had begin to grow out again; but he could not be effective, because he didn't have any eyes. And he cried, "Lord, revenge my eyes. They've put my eyes out."
They're... Today I might say, the creeds... "They sent me to a seminary. And the call that was in my heart of the living God, they punched all that out of me, saying, 'Those things was for another age.'"
"Revenge my eyes." What was Samson thinking? "There was a possibility. Perhaps... Jehovah's full of love. He... It--it might be possible that He would hear me."
Oh, I wish I could get Samson to wake to that tonight. There is a possibility. He's full of love, forgiving the iniquity of His people from generation to generation, showing mercies to thousands that love Him and keep His commandments.
138 "There's a possibility," Samson thought, "if I'd only get revenge of my eyes. I can't see those things no more. They don't happen."
We can't see the great Holy Spirit in our great organizations, moving like It did at the beginning. It's gone. See, it isn't there. It's blind and don't know it. Jesus said it would be that way, this Laodicea church age. "Rich, say, 'I am rich, and increased in goods, and have need of nothing.' And don't know that thou art naked, blind, miserable, and poor, and don't know it." See, don't know it.
Well, we had a slogan out, "1944, a million more," a certain organization. And though the ministry of great men, they've had a million more what? Joiners. That's right.
141 He knew there was a possibility, but the thing of it is today, the people don't seem to come conscious that there is a possibility. They're satisfied to go right on down the old trend they're going. See, don't do that. Believe God. Have faith in Him.
Now, they say... Oh, they, "We'll set tight." That's right. "We clap our hands, and--and everything, and shout." But you was all sails and no anchor. See?
How can you clap your hands and shout, and deny the Word being the Truth? How can you clap your hands and shout, and the Holy Spirit will walk among you, and then you say, "Oh, it's a telepathy. It's--it's something; it's just not worth it"? See, see?
144 We have great gatherings, glitter, worldly tinsel, great meetings, and what do we get? More members. The Pentecostal church three years ago, put more members in it than all the rest of the churches did together. That was in "Our Sunday Visitor," the Catholic paper. "The Sunday Visitor" said they had a million converts to Catholicism in that year, and said the Pentecostals had a million five hundred thousand. Yeah. Yes, sir.
All kinds of scholarship, men learned to talk in the schools, and say their speeches, intellectual, Hollywood showmen (Pardon the expression.), preaching to a bunch of so-called Pentecostal grandchildren.
146 God don't have no grandchildren. They come in. The old Pentecostal father and mother under an experience brought you in; and you just come into the church and set there, and automatically you was a Pentecostal? He don't have grandchildren. He only has sons and daughters. There's no grandchildren. You have to pay the same price and get the same Holy Ghost that they did. You got to be a son and daughter, not a grandson and granddaughter. He's not an old dotty grandfather, soft, and lets his kids get by with anything, bless their little heart. He's God, the Eternal One. That's right. Sons and daughters...
147 We still got the big bulk like Samson had. He stood there with all of his power. He stood there just as big as he ever was. And we stand bigger than we were, but we're stripped of power. Samson still had the brawny muscles, he still had every physical part he had, but the Spirit of the Lord didn't come on him no more. We stand million's strong, stronger than we were, but where is the Lord? As the Angel said back there in the days of Gideon... He said, "If where is... If there is still God, where is His miracles? Where's the things that He's supposed to do? Where is He proving Himself that He's alive and the same yesterday, today, and forever?" That's what we get.
148 Notice, Samson prayed right. Samson prayed, "Lord, let me die with the enemy," when he realized what was happening around him. His eyes were gone. His strength was gone. His fellowship was gone. But there's a possibility that a prayer meeting might spark it again. See? Then he prayed right, "Let me die with the enemy."
You must die with your enemy. That's right. You must die to the enemy that's got you in this condition. That's right.
Samson was willing to pay the price to get the power of God back on him again. He seen what he was raised up to do: not be a showman, but to be a servant, to have hisself so that the power of God could flow through him.
151 We stand millions stronger than we were, but the power... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... purpose.
Jesus even said, "As it was in the days of Noah, wherein eight souls were saved by water, so shall it be at the coming of the Son of man." All this you see walking on the street's cannon fodder. That's atomic fodder, only laid in there for judgment. The rapture comes, there'll be a scarce few. "Strait is the gate, and narrow is the way, and but few there'll be that find it; for broad is the road that leads to destruction, and many there be that go in thereat. Not all that saith unto Me, 'Lord, Lord,' will enter therein, but the one that doeth the will of My Father." That's the one that goes in (See?), not saying, "Lord," and their fine prayers, and--and revivals, and so forth.
153 Oh, I hear somebody say, "Now, wait a minute, Brother Branham, we have revivals." Yep. That's right. That's right. We have revivals, and what do we have? It's a denomination revival, see if we can get some more in the church.
And we're having another great revival too; we're taking all the churches into one: the Council of Churches. Yeah, getting farther and farther away from God's Word all the time. Uniting... "How can two walk together except they be agreed?" How we going to walk with people who deny the very resurrection of Christ? How can we walk with people who said, "The days of miracles is passed"?
You are a separated people by the Holy Ghost. See? The world wants today, the--the--the... What the world is wanting today is mixers. They want somebody who can walk around and--and fellowship with the world and fellowship with the people, and get a lot of members, and have a social organization. But when the Holy Ghost said, "Separate Me Paul..." God is a separator, not a mixer: a separator.
156 He knew that his backslidden strength, though there it all stood; the great regime that he ever was, he stood there, but his backslidden strength could not meet the challenge of the hour,
And the church knows that too. The evangelist knowed that when that Mohammedan challenged him. Your intellectual strength doesn't meet the challenge of the hour, 'cause the Devil is loose among us with powers that nothing can--can dare to challenge but the Spirit of Almighty God, when this Word's made flesh. And it's going to get worse and worse, constantly worse.
He knowed that he was insufficient. He couldn't do it. And he knowed what would happen if God answered his prayer.
159 I wonder if we're that willing tonight? I wonder if the Pentecostal world is willing tonight to make that same agreement with God? "Lord God, if it knocks my denomination to pieces, if they excommunicate me from the council... I don't care if they take my fellowship card, and I have to lay on my stomach, and drink branch water and eat soda crackers, instead of riding around in a big car with a big salary. I don't care what the price is. That system drove me away from You. Take me back again, Lord. I'll believe Your Word. Revenge my eyes that's been put out. Let me die with it. Amen. Let me die out to my ownself. I don't care what they say about me. I may be bishop. I might be this, that, or the other. I don't care what they say. Bring back the power of the Holy Ghost in my life. I've been blinded long enough.
160 Oh, church, are you willing for... Let me die with the rest of them. Let my name, as reverend, doctor, or--or whatever it be, perish. O God, just give me again, just send upon me again, that glorious power that fell on the day of Pentecost, that can meet the challenge of this hour in the face of communism or anything else that rises. Let me die, Lord, with them." There's a possibility, you know.
You know what? On such a confession, the Philistines, they was too drunk to notice what he was doing. All at once, when he seen there was a possibility, he turned his head up towards the skies, and the tears running out of the blinded sockets. He begin to move his lips, tears falling from his eyes. They wasn't noticing. They were too busy making fun of him. He wanted God's Word, the real living God to come on the scene once more. He had failed Him. He knowed he failed Him. But he wanted to see the living God living here to prove to that Jezebel outfit that He still was God.
162 Oh, if it takes the starch out of you, if it makes you not act like some kind of a movie star, if you have to let your hair grow down, and put on an old fashion dress, "I don't care what it costs; I'll take the way with the Lord's despised few. Lord, let's see it again; let's see the Presence of God moving before this Jezebel."
He was aware of what happened if God answered his prayer, but he was ready and in dead earnest.
164 That's what we have to do. Get ready; make up your mind. Shut your eyes, let your affections... Don't alter God's Word to you; alter yourself to His Word. "Not my will, Thine be done, Lord. Not what I think about it; it's what You said about it." That's right.
What did he cry? "Lord..."
Said, "Little boy, put one of my hands upon this post; it's possible." Oh, my. "Lead me to the post that holds this, because I want to rest my hands. I'm tired. I've been made fun of long enough." Oh, my.
"I know, Lord, what it's going to cost, but maybe You will. There's a possibility. You're full of mercy. I failed You, Lord." That ought to be the cry of the church tonight.
"Little lad, would you put my hand upon one pillar?"
"Yes."
"And my hand upon the other pillar?"
"Yes."
"Is my hands placed right?"
"Yes, they're right."
And he started to pray. And he said, "Lord, revenge my eyes." In other words, "I've done wrong. But just once more, Lord, once more..."
168 Oh, if that could only be the objective of the Pentecostal move tonight, "I'm willing to forget about whether I'm this way, or oneness, twoness, threeness. I'm for--willing to forget about all of these worldly things and everything. Just once more, Lord. Once more take Me out of this creed and this thing that I'm bound up in and once more... Once more let me see the appearing of Jesus Christ, the same yesterday, today, and forever. Once more, Lord, once more." The church would scream that, though they've been blinded from these things, blinded from their brother and his idea. Just take God's idea and you won't have to argue about It. "Once more, Lord, once more."
169 Then there stood that big bulk of a frame, powerless and helpless. All at once he begin to feel something happening. Every fiber of his body begin to fill with the power of God.
Oh, if the church could only get to that again, and all the way from the preacher to the deacon, to the laity, every fiber and every member of the body would be filled with the power of God...
Those big brawny muscles straightened up, and he crushed it together. "Let me die with them, Lord. Let me die with them. You raised me up to destroy it. I've built myself up around it; let me destroy myself with it, my reputation and whatever it is. Let me destroy it, but I want to see the power of God again."
172 Always when the power of God comes in, the walls that you've built around you fall. Your denominational walls will crush and God will be known again. He's the same yesterday, today, and forever.
And every fiber filling with the Holy Ghost, every muscle filled, every bit of his body was just filled up with the Holy Ghost. That was Samson's greatest victory.
Oh, church of the living God... I'm going to omit the rest of my notes to say this one thing. Why don't we? Are you ready, Assemblies of God? Are you ready, you United Church? Are you ready, Oneness, Trinity, whatever you are? Are you ready, Church of God? Are you ready, all the rest you denominations, to forget this nonsense and the thing that you've done? Look where you got people tonight and what kind of a condition they're in.
175 O God, let's break them walls down. "Once more, Lord." I don't care. We're at the end of the time, folks. We ain't got much left. We better be hollering right now, crying out. "Once more, Lord, once more, just this once more at the end of the world, let Your strength fill my every fiber. I'll break away from all these things. Fellowship cards, and bishops, and denominations, and everything don't mean a thing to me. I want You, Lord, more than anything."
Let's think of it as we bow our heads just a moment. I'm urged to do this. "Once more, Lord." Everybody, sincerely, reverently, just as reverent as you can be. Just have faith, and down in your heart say, "Once more, Lord."
177 Lord Jesus, great Master of Life, the Shepherd of the sheep, come forth, Lord. These people are hungering. They're thirsting. Lord, years I've wanted to see this happen, maybe it will. Just once more, Lord, one more great move of the Spirit. One more time, Lord, and the Church might receive the rapturing faith to go in. Grant it, Lord. Make known that You're with us, and we'll praise Thee for it. In Jesus' Name we ask it. Amen.
178 I know it's not many words; I know it ain't a long prayer, but He knows my objective. I meaned it. Can Jesus live among us tonight? Can Jesus once more come to us and show that He is the same yesterday, today, and forever, as we been taught? Is there sick or afflicted, or downcast in here, that just (You know there is no prayer cards out. We taken them all last night.), but believe God, would raise up your hand and say, "I'm in need, Brother Branham. I pray to God that He will speak to me"? Raise your hands, wherever. It's all over.
Now, here is (What?) the grace of God to bear record of what I said is the Truth. See? See, a man can say anything; unless God vindicates that, then it's wrong. Now, you believe.
And I want you to believe me as His servant. I want you to say to God... You see, when He met me, He said, "If you would get the people to believe you, and then be sincere..."
181 And now, if Jesus stood here tonight, and if you were sick or needy, whatever, He could not heal you; He's already did it. But Jesus and the Word is the same. He is the Word. And He said man should live by this Word, not by a creed, by the Word. "And He that believeth on Me (not make-believeth, but believeth on), the works that I do shall he also."
How could He perceive what was in their minds? How did He do it? And they thought He was reading their minds; and He told them He'd forgive them for that, "But when the Holy Ghost come to do it, to speak against That would never be forgiven." Now, we've been through it, right straight through the Bible, and find that God, if He identified Himself then as Messiah by showing that He was the prophet and the Word... Because the Bible said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword (Hebrews 4) and a Discerner of the thoughts that's in the heart." That's the reason they couldn't hide nothing from Him. And the things that... That's how they knowed.
183 That's how the woman at the well knew that He was Messiah. She said, "Sir, I perceive You're a prophet. We know, when the Messiah cometh, He'll tell us those things. That's what He'll do."
He said, "I'm He."
She run in and said to the people, "Come, see a Man Who told me what--what I've done. Isn't this the very Messiah?" And they believed it.
But somehow we don't... Seem like the world don't want to believe it. But God rich in mercy, it's a possibility that He might do it again. He has to identify Himself like that, the Messiah; He can't do it to the Samaritans and Jews, and then leave the Gentiles out. It's got to be done, so you pray and you touch the border of His garment.
And to the clergy, "He is the High Priest now that can be touched by the feeling of our infirmity." That is true: Hebrews 3. Now, He is the High Priest (And we all believe that.) that can be touched by the feeling of our infirmities. And He's the same yesterday, today, and forever." Then His Life, His actions, His everything is the same. "A little while, and the world (kosmos, the order) will not see Me no more, they'll never see it."
188 Remember the Angel that come down in a form of a man, that talked to--to Abraham, the called-out, elected church. He never went down in Sodom and done down there like those other fellows went down there and preached, like Billy Graham and them today, with that G-r-a-h-a-m again, like A-b-r-a-h-a-m. See? Each once had their messenger. They got it today, the same thing come. Go up here to the called-out church, who wasn't in Babylon, and there's where that mysterious thing was done; when He told Sarah, when she was in the tent behind Him, what was wrong.
She laughed. And He said, "Why did Sarah laugh, saying in her heart, that these things can't be?" And Abraham called her forth, and she tried to deny it. And He said...
Look, here's the grace. Here's--here's the possibility. God would've struck her dead right there, but He couldn't; she's part of Abraham. For our unbelief He'd strike us dead, but He can't; we're part of Christ. Grace holds us. See? But He still has to keep His Word.
191 Now, you pray. I don't see a person that I really know in the building. But Brother Pat Tyler setting over here on the end, I do know him. But as far as... And I think Brother Bill Dauch's setting right here, and his wife. Outside of that, that's the only people that I know. Brother Joseph... And if the Holy Spirit would speak to them, I'll just tell you what about it, and then omit it and tell you after the service.
But once more, Lord, once more. "The works that I do shall you also." Now, you believe, and see if that same Light that you see constantly...
193 Well, when we got through with the Church Ages, down there in the Tabernacle, about this many people. There's people setting right here now was present. That same Pillar of Fire come right over by the side of the wall, and drawed out those church ages the way I had them on the blackboard. Is that right? Many of you was there. And the people fainting and everything else... And I said, "There It is now, if there's a question."
They got the picture of It here in Washington D.C., copyrighted as the only supernatural Being was ever photographed. George J. Lacy, the head of the F.B.I. fingerprint and document, examined It, when that Light was there. He said, "Brother--Mr. Branham, I said it was psychology; I attended your meetings; but the mechanical eye of this camera won't catch psychology." See? Said, "The Light struck the lens."
Well, if that is Christ that was--strickened Paul down, and called Him, "Lord (See?), what would You have me to do?" the Life that was in Him will be reproduced in us then. See, He's here with the called-out Church.
196 And may it come to pass, once more, Lord, that this people may see that You still live, and You're not dead, and neither have You left Your people. They are here, but, Lord, they have had their eyes punched out by a organization, a Jezebel Delilah, that took them from the true Word to a creed. May the walls fall, Father. Grant it. Once more, Lord. As I said, there's many here I'll probably never see again. But once more, Lord, let Jesus appear among us in the form of the Holy Spirit, that He might reproduce the Life in us, that He was then, to fulfill His Word: "He's the High Priest that can be touched by the feeling of our infirmity."
Let the sick and afflicted touch this Master. You're the same One, Lord, that could tell Simon Peter, when he come up among them, "Why, your name is Simon. You're the son of Jonas." You're the same One, Father. You don't fail. Same... Little woman that touched His garment, the same Christ lives tonight. May it be once more, Lord, once more. For Jesus' sake I ask it. Amen.
198 Now, no one moving. Reverently, let's be down sincere and reverent. We don't hit these things haphazardly. It's a promise of God. The Divine Spirit of the living God promised that in His Word, and that Word is Life and Spirit. Jesus said it was. And He and the Word is the same. And man lives by that Word. That Word lives in man.
Now, as a gift... Now, I'm going to tell you a secret, as I leave. You've been sweet and kind. I've never exactly expressed this I know of, public, before. "Brother Branham, what is that gift?" It's a gift of knowing how to get William Branham out of the way so Jesus Christ can live through a vessel: just getting yourself out of the way.
I don't know you. I don't know nothing about it, but He does. He's the One.
202 Now, have faith and believe. Say, "Lord, that man doesn't know me. And yet You said, 'A little while, the world (Babylon or Sodom,) won't see You. But ye shall see Me. You shall see Me, for I will be with you all the way to the end of the world.'" It hadn't come to an end yet. "You will see Me. Ye shall see Me, for I'll be with you, even in you." You'll see His Life reproduced in the believers.
Now, in the Name of Jesus Christ the Son of God, I take every spirit in here under my control for the glory of God, that the works of God might be made known again, if He so sees fit to do it.
No more than I had said that word, I looked here in the corner, and here... Can't you see that Light hanging right there, amber, moving around? Or is it... Am I in another dimension, and just imagine? My spirit...
206 There's a little woman setting there. She's in trouble. She's suffering with a--a stomach trouble. And she's had an operation for cancer, and the cancer was on the breast. They removed the cancer, little lady. Yes. That's right.
So now that I--you'll know. I don't know you, but do you believe me to be His prophet? I'll say it plainly tonight; I'm leaving. Do you believe it? Do you believe that we're promised that in the last days according to Malachi 4, that would turn the hearts of the children back to the Father?
Why, Mrs. Taylor that's your name. You can go home, and Jesus Christ make you well.
209 What do you think? You've had an operation too. Do you believe? If you do, with all your heart... Your operation was also cancer, tumor in the bowels, intestinal tract. But now you're suffering with complications. If you'll believe, Mrs. Shukwit, with all your heart, that Jesus Christ will make you well, you can have what you ask.
You believe?
Here, a lady back here, she's a colored lady. She's suffering with something wrong with her eyes, and with her limbs, her legs. Her name is Mrs. Washington. Stand up, if you wish. You're healed. What did she touch? Ask what she touched. The humility of that colored woman...
212 By the way, It struck another colored woman setting right out here on the end. She's suffering with a heart trouble. Her name is Mrs. Harris. Do you believe, Mrs. Harris? Your heart trouble has left you.
What did she touch? She never touched me. She's twenty yards from me. She touched the High Priest.
Here, here's another woman, as I turn my head, setting right here. She's suffering with a heart trouble too. Mrs. Carter, stand up; Jesus Christ makes you well.
Way back, a woman with an ulcerated stomach, her name is Mrs. P-a-o-l-i. Mrs. Paoli, stand up, Jesus Christ healed you. All right. There you are.
"Once more, Lord, once more." Do you believe Him? [Congregation says, "Amen."--Ed.]
217 Let's stand up. Let's confess our sins and pray, "Once more, Lord, let the Holy Ghost fall upon us." Raise up our hands.
Lord God, we stand embarrassed; the world makes fun of us, Lord. Help us tonight. Let the Holy Ghost come again, be poured out upon the people. May He come now, Lord. May every sick person be healed, every sinner be saved, every seeker filled. Once more, Lord, once more. Just once more, Lord. Once more let the Holy Ghost fall among the people.
Raise up your hearts now, and cry, "Once more, Lord." All together, "Once more, Lord, once more." Once more, Lord. Once more let the Holy Ghost take this audience, break down the powers of the enemy, and fill every fiber with the baptism of the Spirit.