Pourquoi la petite Bethlehem?

Date: 63-1214 | La durée est de: 1 hour and 44 minutes | La traduction: Shp
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1 C’est agréable d’être ici ce matin. Et je crois que nous allons écouter maintenant un cantique spécial, comme me le disait frère Williams, par quelqu’un de son église. Oui, frère Williams… [Une soeur chante Remplis ma coupe, Seigneur. – N.D.E.]
C’est merveilleux ! C’est pour cela que nous sommes ici ce matin, pour lever nos coupes : « Remplis-la, Seigneur. » Voici le seul moment où nous avons l’occasion de demander cela. Il viendra un moment où nous serons de l’autre côté, et alors nous n’aurons plus cette occasion. Ainsi, quand nous l’avons effectivement, et que nous sommes dans notre bon sens, je pense que l’une des choses les plus sensées que quelqu’un puisse faire pendant que Dieu nous a donné l’occasion de le faire, c’est de le faire, faire que nos coupes soient donc remplies de Son amour et de Sa miséricorde.

2 Il y a quelqu’un qui s’asseyait avec nous il y a longtemps, pas très longtemps non plus, et il est allé de l’autre côté. Et nous éprouvons un grand chagrin dans nos coeurs pour frère Williams. Il s’agit du père de frère Williams, le président de notre chapitre ici. Quel âge avait votre père, Frère Williams ? Quatre-vingt-huit ans. Je pense que cela fait environ dix-huit ans, au-delà du – du… non, c’est, oui, dix-huit ans au-delà du temps arrêté. Un brave homme… Il n’y a pas très longtemps, il était assis dans la réunion, et je lui ai dit, et ce n’est pas par manque d’égard envers frère Williams, j’ai dit : « Vous semblez plus jeune que votre fils, Carl. » Cela montre simplement que nous sommes ici aujourd’hui et demain nous ne sommes plus là. Nous ne savons pas quand viendra cette heure-là, quand elle arrivera, mais nous savons qu’elle vient. Je me disais : « Mais la vie, c’est une grande chose, c’est… la vie est une opportunité. »

3 Nous venions de connaître une grande tragédie avec quelqu’un qui fréquentait notre église, en venant de très loin, de Chicago, qui a été tué l’autre jour en rentrant chez lui, une mère. Je pense qu’elle approchait – approchait soixante-dix ans, et elle et son mari roulaient là dans le Kansas, dans le Missouri, l’un ou l’autre, et un blizzard soufflait dans la contrée. Un homme au volant a perdu le contrôle de la voiture, le cou de la soeur a été brisé sur le champ. Et nous ne savons simplement pas quand cela va venir. Quand je… On m’a téléphoné pour m’en informer, et j’ai téléphoné à tous les enfants à travers la nation pour les en informer. En effet, étant leur pasteur, pour ainsi dire, j’étais la personne indiquée pour leur annoncer la nouvelle. Je réfléchissais combien notre départ peut-être soudain, et puis il y avait là devant moi une boite de bonbons qu’elle avait confectionnés pour moi il y a environ une semaine, et qu’elle m’avait offerts. Juste de voir combien vite on peut être retiré… Mais si cette – si cette vie était la seule chose sur laquelle reposaient nos espoirs, nous serions des malheureux. Job a dit au chapitre 14 : « Oh ! Si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts, me tenir à couvert dans le lieu secret ! »

4 Avez-vous déjà remarqué que la nature témoigne de Dieu ? Nous voyons les arbres, les feuilles tombent des arbres, et la vie de l’arbre descend dans le sol comme dans la tombe, et elle y reste jusqu’à ce que la colère de l’hiver soit passée, puis elle revient, produisant une nouvelle vie. C’est un témoignage que nous revivrons. Le soleil se lève le matin, c’est juste un petit bébé ; il est faible ; peu après, c’est le temps où il va à l’école, à l’école secondaire ; puis à midi, il est dans toute sa force ; ensuite l’après-midi il commence à descendre de l’autre côté ; puis le soir, il s’affaiblit de nouveau et il meurt. Mais ce n’est pas la fin du soleil, il se lève de nouveau le lendemain matin pour témoigner à une autre génération qu’il y a la vie, la mort, l’ensevelissement et la résurrection.

5 Même la nature partout parle de Lui. Et la nature c’est un grand témoignage sous une autre forme ; c’est-à-dire que nous ne pouvons pas avoir cette résurrection de la Vie à moins que celle-ci ait servi le dessein de Dieu. Eh bien, quand une semence est plantée, et que cette semence a été fécondée, elle produit une nouvelle fleur. Mais si elle n’est pas fécondée, elle ne produira pas une nouvelle fleur, si elle ne sert pas le dessein de Dieu. Cependant, ce n’est pas simplement parce que c’est une fleur qu’elle ressuscite, mais c’est parce qu’elle sert le dessein de Dieu. C’est la raison pour laquelle le soleil se lève, c’est parce qu’il sert le dessein de Dieu. Et nous ressusciterons si nous servons le dessein de Dieu.

6 Je crois que frère Williams a servi le dessein de Dieu dans sa vie, c’était un vrai père. Et je vois sa chère compagne, madame Williams, assise ici. Un véritable mari, c’est l’un des desseins de Dieu. Un père, c’est l’un des desseins de Dieu… Et le Saint-Esprit l’a vivifié pour Dieu, le dessein principal de Dieu. Dire donc que frère Williams ne ressuscitera pas pour être de nouveau avec nous reviendrait à dire que la sève ne – ne descend pas, qu’il n’y a pas de lever du soleil. Tout témoigne qu’il ressuscitera pour être de nouveau avec nous, tout. Premièrement, le soleil, les fleurs, la nature, la vie végétale, tout témoigne de cela. Et puis, la Parole de Dieu plaide en sa faveur. Et à part cela, la foi même qui est dans notre coeur vibre pour dire que nous le reverrons. Que Dieu reçoive son âme. Juste pour rendre un petit hommage à celui qui s’asseyait autrefois parmi nous, tenons-nous debout juste un moment.

7 Père céleste, nous n’avons jamais essayé de tenir une réunion comme celle-ci dans le simple but d’être vu ou d’être entendu. Nous nous réunissons chaque fois pour l’édification de Ton Fils, Jésus-Christ, et pour témoigner à ceux qui ne L’ont pas, afin qu’ils puissent Le trouver. Nous sommes… Nous avons un fardeau dans nos coeurs pour ceux qui sont restés derrière, après le départ de notre frère, quelqu’un qui s’asseyait avec nous il n’y a pas longtemps, et qui, à plusieurs reprises, était assis juste ici dans ce même chapitre. Cependant, nous croyons que Tu lui as accordé de vivre une bonne et pleine vie, et que son âme est avec Toi aujourd’hui. Reçois son âme, ô Dieu, jusqu’à ce jour-là où nous le reverrons. Bénis son fils qui est ici, ses autres enfants, sa chère épouse, et ceux qui l’aimaient, c’est-à-dire nous tous, Père. Et puissions-nous tenir compte de ceci, que nous aussi nous sommes fragiles et que nous devrons partir un de ces jours, que nous puissions donc nous préparer pour cette glorieuse heure. Et s’il y en a ici ce matin qui ne se sont pas préparés pour ce même événement, puisse ceci être le jour où ils diront oui au Seigneur Jésus, et où le Saint-Esprit les vivifiera aussi pour Lui. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

8 Maintenant, nous voudrions faire – faire quelques annonces. Mon épouse qui est assise là derrière ce matin, je lui ai parlé, j’ai dit : « Chérie, je vais sortir du petit-déjeuner… » Nous devions aller en ville pour faire certaines choses. Et j’ai dit : « Je vais sortir à 10 heures. » Elle m’a regardé. J’ai dit : « Si à 10 heures je ne suis pas sorti, je vais t’acheter trois nouvelles robes de ton choix. » Je – je sais donc ce qui va se passer, je dois maintenant même trois robes, car déjà il va être 10 heures dans 20 minutes. Mais je vais tâcher de me dépêcher autant que possible.

9 Nous sommes heureux d’être avec vous ce matin, frères, ici à Jéricho, et nous vous invitons à venir lundi soir à Jérusalem, à Tucson, à – au banquet qu’il y aura là. Voyez-vous, Phoenix, comme Jéricho, est dans la vallée. Tucson, où je vis, se situe sur la montagne, c’est – c’est Jérusalem. Où es-tu, Tony ? Pourquoi personne ne dit amen par ici. Tiens, je suis donc pris au piège ; Tony ne s’est même pas fait voir. Eh bien, demain – ou plutôt lundi soir, c’est le banquet à – à Tucson, et nous serons certainement heureux, si vous qui êtes par là, vous passez nous voir. Mon sujet pour cette soirée-là, le Seigneur voulant, c’est : Nous avons vu Son Etoile en Orient, et nous sommes venus pour L’adorer.

10 Et maintenant, le 19 de ce mois, je… ou plutôt du mois prochain – prochain, le 19 janvier, je commence un réveil ici, juste dans cette salle, ici à l’Auberge Ramada, et ce sera le 19, le 20 et le 21. Et ensuite le 22, je crois, commencera le… Le 23… J’aurai quatre soirées ici au… de réveil. Nous serons certainement heureux d’avoir bon nombre d’entre vous, frères ministres, qui êtes avec nous ce matin, et nous vous invitons cordialement à amener vos fidèles, particulièrement ceux qui sont – que vous connaissez ici dans la ville et qui ne connaissent pas Jésus comme leur Sauveur. Et puis, en second lieu, ceux qui sont malades et – et qui croient que Dieu répond à la prière, nous comptons prier pour les malades pendant cette période juste avant la grande convention nationale qui doit se tenir ici à partir du 22. Et je suis sûr qu’il vous faut suivre cela, car beaucoup d’orateurs remarquables viendront, et je suis certain que vous passerez de grands moments.

11 Eh bien, ce matin je me suis dit que je parlerais ici à ce chapitre ; en effet, Phoenix a toujours été un endroit que je porte sur mon coeur. J’aime Phoenix. J’étais ici lorsque j’étais un petit garçon, ici à Wickenburg, juste au nord, et j’ai habité ici, au croisement de la 16e et de Henshaw. A l’époque, c’était un désert. Mais je vois que c’est en plein centre de la métropole, et, eh bien, vraiment au coeur de la ville. Cela montre qu’il y a un temps de changement, le changement. Mais il y a une chose sur laquelle je désire parler ce matin, c’est de Celui qui ne change pas, c’est-à-dire Dieu. Dieu, dans Son programme, Sa Parole, Elle ne change jamais. Les temps changent, les hommes changent, les systèmes changent. Mais Dieu ne change jamais, Il demeure toujours le même.

12 Et je pensais qu’étant donné que nous nous dirigeons vers la Noël, que nous pourrions… je prêcherai peut-être un – un message de Noël. Et maintenant, si vous avez vos Bibles, et si vous aimez lire, parfois les gens aiment lire après l’évangéliste ou l’orateur ; je désire lire un passage de la Parole dans l’Evangile de saint Matthieu, au chapitre 2. Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, Et dirent : Où est le Roi des Juifs qui vient de naître ? Car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l’adorer. Le roi Hérode,… appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui. Il rassembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s’informa … eux où devait naître le Christ. Ils lui dirent : A Bethléhem en Judée ; car voici ce qui a été écrit par les prophètes : Et toi, Bethléhem, terre de Juda, tu n’es certes pas la moindre entre les principales villes de Juda, Mais de toi sortira un chef qui paîtra Israël, mon peuple.

13 Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et maintenant, j’ai ici quelques notes et quelques Ecritures auxquelles je vais me référer, je voudrais que vous portiez toute votre attention pendant quelques instants sur le sujet Pourquoi la petite Bethléhem ?

14 Vous savez, à Noël, je pense que tous nous… Plusieurs parmi nous, je ne dirais pas tout le monde, mais plusieurs parmi nous ont perdu la véritable signification de Noël. Comme je l’ai remarqué ici, même les palmiers sont décorés ; et à l’est ce sont toujours les sapins ou les arbres à feuilles persistantes. Et des mois ou plutôt des semaines, peut-être un mois ou six semaines avant que ne commence Noël, ce sont toujours les guirlandes et – et les grandes… Les gens en ont fait une affaire commerciale plutôt que ce que cela signifie réellement.

15 Je ne crois pas que Christ est né le 25 décembre. Je – je ne crois pas du tout cela. C’était une chose impossible. Les collines de Judée sont plus enneigées que, oh ! là-bas en Judée au mois de – de décembre la neige vous arrive jusqu’à la taille. Mais en étudiant l’histoire, on se rend compte que Christ était probablement né au printemps, peut-être en avril ou en mai, là quelque part. Mais quand ils ont changé cela, les gens – les gens ont amené cela… Quand le christianisme a été converti en romanisme, les gens ont fait de l’anniversaire du dieu soleil, c’est-à-dire celui du soleil qui était célébré le 25, du 21 au 25 décembre, au moment où le soleil semble se coucher, c’est à peine s’il change. Et c’était donc l’anniversaire du dieu soleil, ils ont donc changé cela pour en faire celui du Fils de Dieu.

16 Mais, souvenez-vous, quel – quel que soit le jour que cela pourrait être, nous n’ôtons pas pour autant à la chose le caractère sacré qu’elle est censée avoir. En effet, Satan nous a dérobé cela et en a fait une grande affaire commerciale, et Père Noël a usurpé toute l’adoration. Et c’est devenu un – un jour comme celui de la Pâques, comme Jeannot lapins et des canards roses. Et – et puis, qu’est-ce que cela a à voir avec la Pâques ? Qu’est-ce que cela a à voir avec la résurrection de Christ ?

17 C’est exactement comme le monde aujourd’hui, les gens peuvent… Les enfants dans la rue peuvent vous parler plus de David Crockett qu’ils ne le peuvent de Jésus-Christ. Ils peuvent vous parler plus d’un hors-la-loi, d’un criminel d’autrefois, qu’ils ne le peuvent du Prince de la Vie qui – qui fut né il y a dix-neuf cents ans. Mais cela n’éloigne pas la véritable chose de nous chrétiens.

18 Voyez-vous, c’est dans les ténèbres que la lumière brille toujours le mieux. L’éclair en zigzags qui, la nuit, déchire le ciel sombre et nuageux, montre qu’il peut y avoir de la lumière dans les ténèbres. Et quand la lumière brille, vous ne voyez pas… Quand le soleil brille, vous n’avez pas tellement besoin de lampes. Mais plus il fait sombre, plus la lumière est petite, plus elle brille dans les ténèbres. Plus il fait sombre, plus elle brille, plus elle se manifeste. Et c’est plus le petit qui… Nous les chrétiens, nous devrions témoigner à la gloire de Dieu qui nous a donné Son Fils. Cette Noël devrait être une chose extraordinaire. Nous chrétiens, devrions… Peu importe l’aspect de la chose, cela fera que cela brille davantage. Le monde entier a des guirlandes de Noël. Nous avons Christ, et c’est ce que nous devrions faire briller dans cette heure sombre dans laquelle nous vivons maintenant.

19 Nous nous demandons comment Dieu fait des choses de façon inhabituelle, c’est parce que Lui-même est inhabituel. Dieu est inhabituel. Il est – Il est le Surnaturel, l’Infini, par rapport à nous qui sommes limités. Ainsi tout ce qu’Il fait est – est vraiment inhabituel. Et Dieu est si – si grand qu’Il prend les choses terrestres inconnues pour s’identifier par cela.

20 Nous voyons ici dans mon sujet Pourquoi la petite Bethléhem ? Cette ville, la plus petite de toutes en Judée, des autres villes principales de Judée. Pourquoi Dieu a-t-Il choisi d’envoyer Son Fils à cet endroit ? C’est de cela que nous voudrions parler. Dieu prend les choses du monde, je crois que les Ecritures disent : « C’est par la folie de la prédication qu’il a plu à Dieu… » Prendre les choses inconnues… Ce que nous appelons grand, Dieu l’appelle folie. Ce à quoi nous accordons tant de gloire, Dieu dit que c’est – c’est – ça ne vaut rien. Et Dieu glorifie ce que nous pensons ne rien valoir.

21 Je pensais à la période juste avant la naissance de notre Seigneur, quand tous les prophètes et tous les autres avaient parlé de la venue du précurseur, disant que chaque montagne serait abaissée et que les lieux abaissés seraient élevés, et que les montagnes sauteraient comme de petits béliers, et que les feuilles battraient les mains. Et c’était un – un ministre, un prophète du nom de Jean qui sortit du désert, pas même d’une école théologique ; il avait le visage couvert de barbe, il était vêtu d’un morceau de peau de brebis, il ne portait pas de vêtements sacerdotaux, il est apparu, annonçant : « Le Royaume de Dieu est proche. » Et les gens avaient de la peine à comprendre un type comme cela qui venait sans aucun papier d’un quelconque – un quelconque système, de quelque chose dont il était membre, une carte de membre, ou le soutien d’une quelconque dénomination. Le – le message était trop important ; Jean ne pouvait pas recourir à des hommes. Dieu l’avait formé dans le désert. Son message n’était pas d’un certain style aux – aux termes théologiques. Il parlait des serpents, des cognées, des arbres, et c’est ce à quoi il était habitué, la nature, en l’observant, tel qu’elle fonctionnait. Et c’était là son – son approche, pas comme un ecclésiastique, mais comme – comme un homme de la nature.

22 Et les gens avaient de la peine à le comprendre. Il n’avait même pas de chaire, et il n’était probablement pas le bienvenu à une quelconque chaire, mais il prêchait sur les rives du Jourdain, probablement se tenant dans la boue qui lui arrivait jusqu’au mollet. Mais les gens sortaient pour l’écouter, ceux qui avaient un coeur sincère. Ils désiraient écouter parce que c’était quelque chose de différent ; cela sonnait vrai.

23 Aujourd’hui nous devrions en être là, à l’approche de la naissance de Christ ; notre message devrait sonner vrai, ce qui donnerait aux gens la soif de Le trouver.

24 Dieu a pris cet homme ordinaire, sans instruction, qui n’a jamais été un seul jour à l’école, et pourtant il est dit qu’il était le plus grand de tous les prophètes qui n’eussent jamais vécu, parce que Dieu s’identifie au moyen des choses inconnues.

25 Quand Jésus a choisi Ses disciples, c’était la même chose, et il y avait beaucoup d’hommes mieux qualifiés pour le travail que ces disciples ; il y avait des ecclésiastiques ; Il n’en appela jamais un seul. En ce temps-là, il y avait des ecclésiastiques, de grands hommes, des sacrificateurs, des hommes instruits, des hommes de renom, mais Il ne les a jamais appelés. Il a pris des pêcheurs et des percepteurs d’impôts et ainsi de suite pour – pour répandre Son message. C’est ce qu’Il fait toujours.

26 Au temps de Noé, Il a choisi un paysan, juste un paysan ordinaire, pour annoncer la destruction de cet âge-là : juste un paysan ordinaire, pas un ecclésiastique, juste un paysan. Aux temps de Noé, Il a pris un – un… ou au… Excusez-moi.

27 Au temps de Moïse, Il a pris un esclave fugitif, pas un ecclésiastique. Et Il l’a laissé sortir jusqu’au point où l’homme était satisfait là derrière le désert et avait perdu son instruction, alors Il lui est apparu dans un buisson ardent, et Il l’a envoyé avec un bâton tordu en main, pour prendre le contrôle sur une nation qui avait… d’où il s’était enfui.

28 Voyez-vous, Dieu prend des choses simples pour s’identifier par elles. Voyez-vous, Il prend Son… C’est juste Sa Parole. Il a fait le monde à partir des choses qui – qui… invisibles.

29 Il y a quelques jours, j’étais à l’amphithéâtre Morris, lors de l’une de nos grandes campagnes de New York, et je suivais une conférence sur Einstein, où l’on parlait de cette galaxie, où on disait qu’il faut 150 millions de – d’années- lumière pour y aller, et 150 millions d’années pour revenir. Et ainsi, pensez-y un peu, 150 millions d’années-lumière ; cela ferait 300 millions d’années-lumière. Et puis, en rentrant ici, votre voyage n’aurait duré que 50 ans. Pensez-y, oh, à quelle vitesse la lumière se déplace, à 186 mille miles [299274 km – N.D.T.] par minute, et considérez combien de milliards et de billions d’années il faudrait pour aller là et revenir : 120 – ou plutôt 300 millions d’années-lumière. Et c’est juste pour arriver à une galaxie qui se trouve dans la constellation que Dieu a soufflée de Ses mains, et Il a fait des temps infinis d’années-lumière au-delà de cela, et là, Il baisse les yeux pour regarder cela.

30 Et puis ce Russe a déclaré qu’il était à environ 150 ou 200 miles [193 ou 321 km – N.D.T.], là dans l’espace, et il a déclaré qu’il n’a vu ni Dieu ni les anges. Combien l’homme peut devenir simple ! Et puis pensez à tous ces milliards et ces billions d’années ; et ça ne fait que cinquante années ici, qu’avait-il fait ? Il est entré dans l’éternité.

31 Les gens disent que cet astronaute qui vient de monter là-haut, qui était là-haut pendant plusieurs heures, a fait plusieurs tours, 17 fois le tour du monde, ou quoi que ce fût, les gens ont dit que cela n’a même pas… Il n’a pas fait une seconde dans sa vie. Il voyageait avec le temps. Ainsi, voyez-vous, vous entrez dans l’éternité. Voilà la grandeur de Dieu.

32 Certains… Notre esprit ne peut pas comprendre combien Il est grand. Et pourtant quand Il s’apprête à se révéler, Il rend la chose si simple, il prend des choses simples pour le faire ; la simplicité de la chose !

33 David semblait être le – le… De tous les sept fils d’Isaïe, il était le dernier à être amené devant le prophète. Eh bien, même sa propre famille a pu s’en moquer, ils ne pouvaient pas s’imaginer que le petit blond de David, un peu voûté, un blond, serait le roi d’Israël. Il n’avait peut-être pas l’air d’un roi pour ces gens-là, mais il devait certainement en avoir pour Dieu. En effet, les gens… Il l’a oint roi de toute façon. Voyez-vous, il a pris la simple famille de David ou plutôt la famille d’Isaï pour – pour en tirer des rois. Quelque chose que le monde avait rejeté, le… Il l’a fait retourner ou plutôt renvoyer s’occuper des brebis. Il a amené son – son fils aîné, un homme très fort et à l’allure imposante, qui peut-être pouvait se tenir droit et avoir l’air d’un roi d’Israël, et c’est la personne que les gens pensaient qu’elle aurait belle apparence avec une couronne sur la tête ; c’est la personne qui, avec la… portait la – la robe royale et qui pouvait tenir le sceptre, et tout ce qui devait être fait au roi. Et il – il semblait bien convenir aux yeux du peuple.

34 Mais le prophète, avec l’huile d’onction dans la main, a dit : « N’en as-tu pas un autre ? » Et il les a amenés l’un après l’autre jusqu’à ce que finalement le prophète a dit : « N’en as-tu pas un autre ? »

35 Il a dit : « J’en ai un, mais peut-être qu’il ne représenterait rien. C’est juste le genre d’homme un peu ratatiné ; nous avons envoyé là-bas pour paître les brebis. »

36 Il a dit : « Allez le chercher. » Et aussitôt que le prophète oint l’a vu, il a versé l’huile sur sa main… tête, et il a couru à sa rencontre ; il a dit : « Voici celui que Dieu a choisi. » Voyez-vous ? Voyez-vous, il ne s’agit pas toujours des guirlandes du monde. Il est question du choix de Dieu.

37 Il nous a choisis par grâce, nous sommes donc reconnaissants pour cela ce matin. Et cela ne nécessite pas ces grandes choses enguirlandées du monde. Le plus humble peut être un serviteur de Christ : il faut quelqu’un qui est disposé.

38 Dieu l’a oint, voyez-vous, Il prend les choses insignifiantes. Eh bien, pourquoi a-t-Il choisi la petite Bethléhem ? A ce qu’il paraissait, il y avait de plus grandes villes où le Roi, le grand Roi des rois aurait pu naître.

39 D’habitude, quand nous préparons un événement ici sur la terre, nous essayons de trouver la chose la plus élevée, la plus étincelante à laquelle nous pouvons penser ; nous amenons cela dans les endroits les plus importants et nous dépensons le plus d’argent, et les choses les plus raffinées. C’est comme ça que nous nous y prenons.

40 Mais Dieu ne procède pas de cette manière-là. Pour montrer Sa puissance, Il prend quelque chose qui ne représente rien pour montrer qu’Il est puissant, qu’Il est capable de… Si dans les jours où Il appelait les apôtres, Il avait pris un souverain sacrificateur ou un homme bien instruit, s’Il l’avait pris à la place d’un ignorant, d’un pêcheur sans instruction, qui ne savait même pas écrire son propre nom, les gens auraient dit : « Oh ! cela… Voyez-vous, votre instruction paye. » Mais Dieu a pris un homme qui ne savait même pas écrire son nom, afin de prendre quelque chose qu’Il pouvait avoir dans Sa main, quelque chose dont Il pouvait faire une chose, pour montrer qu’Il est Dieu. Quand nous en arrivons à un point où nous réalisons que nous ne sommes rien, alors Dieu nous prend entre Ses mains, et Il peut nous façonner et faire de nous ce qu’Il veut que nous soyons. Mais aussi longtemps que nous sentons que nous sommes importants, alors nous n’irons nulle part. Dieu ne peut nous avoir entre Ses mains que si nous réalisons que nous ne sommes pas importants.

41 L’autre jour, l’une de mes fillettes me posait une question au sujet de l’importance. J’ai dit… Eh bien, on parlait d’un certain homme important… Eh bien, il s’agissait du président qui vient d’être assassiné, et nos coeurs en étaient attristés. Et j’ai dit : « Eh bien, c’était un homme important. » Les journaux ont mis l’accent là-dessus, et la télévision a filmé cela, cela a coûté des milliards et des milliards de dollars au Gouvernement pour diffuser cela. En effet, c’est en ordre ; c’est leur affaire. Mais j’ai dit… Ce petit prédicateur pentecôtiste là-bas en Caroline, chez qui un homme est entré, un homme ivre muni de son fusil de chasse, il a appelé son épouse et il a abattu l’homme en plein à la chaire, ensuite il a abattu sa propre épouse, pour en fin se tirer dessus lui-même ; et juste un petit article d’environ cette taille y a été consacré au dos du journal. Laissez-moi vous dire, frère, peu importe qui nous sommes, « si vous voulez savoir combien vous êtes important », ai-je dit à ma fillette, « plonge le doigt dans un seau d’eau, puis retire-le et essaye de retrouver le trou ». Nous ne valons rien. Il n’y a qu’une personne qui est importante, c’est Dieu. Nous devons nous souvenir que c’est Lui.

42 Il semblait que si les gens voulaient… l’homme préparait un endroit pour que le Roi y naisse, il y avait de plus grandes villes religieuses et historiques pour le Roi à la place de cette petite Bethléhem, des villes comme Silo par exemple. C’est à Silo que l’arche avait campé pour la première fois, nous le savons, quand on traverse là où – quand on traverse le Jourdain pour passer de l’autre côté en Palestine, et là où l’arche fut établie comme son premier lieu d’adoration. Ou Guilgal, Sion ; Sion c’est une ville importante ; Guilgal aussi, ou la grande et majestueuse capitale de Jérusalem, où les chefs de toutes les organisations se réunissaient, où se trouvaient leurs quartiers généraux, vraisemblablement les gens auraient arrangé un endroit là à Jérusalem pour que le grand Roi y naisse, s’ils avaient voulu une ville, une ville historique ou une grande ville remarquable.

43 C’est là qu’étaient établis les quartiers généraux religieux de leur religion, vers lesquels le Roi venait. Il venait représenter leur religion. Et Il… Et quand Il est venu, au lieu qu’on Lui prépare un endroit à Jérusalem ou à l’un de ces grands lieux historiques, Il naquit à Bethléhem, la plus petite de toutes les villes : « N’es-tu pas la moindre entre les principales villes de Judée ? Mais de toi sortira un – un Chef qui paîtra Mon peuple. » Et cette grande et majestueuse Jérusalem et toutes les autres villes furent rejetées.

44 Ou peut-être qu’on aurait pu prendre l’une des villes de refuge, les villes importantes telles que Hébron, Kadès, ou Ramoth en Galaad, l’une de ces grandes villes de refuge, car Il devait être notre Refuge. Si nous devrions essayer d’arrêter cela dans notre propre esprit, nous aurions probablement pris, dit : « Eh bien, maintenant, si ce grand Roi vient, Lui qui sera notre Refuge, Il doit naître dans l’une de ces grandes villes de refuge, qui sont des mémoriaux, les villes telles que Ramoth en Galaad, ou Kadès, ou – ou l’une d’elles. » Nous aurions essayé d’arrêter cela comme ça dans nos esprits.

45 Mais, voyez-vous, Dieu a d’autres façons de faire les choses. Il sait faire les choses comme il faut. Et maintenant, avec la pensée et l’aide de Dieu, nous allons essayer de dire pourquoi ceci est arrivé, car tout marche parfaitement dans le grand programme de Dieu. Et je désire que vous qui êtes ici à Phoenix, et dans les parages, vous essayiez de saisir ceci. Que vous vous souveniez que Dieu sait ce qu’Il fait. Voyez-vous ? Et Il utilise des moyens simples pour faire cela. En effet, s’Il fait une chose en utilisant quelque chose de très remarquable, alors… Dieu ne fait jamais les choses comme cela. Il ne l’a jamais fait dans toute l’histoire de la Bible. Dieu n’a jamais traité, en aucun moment Il n’a pris un groupe de gens pour faire quelque chose. Dieu utilise un individu. Il s’agit de vous, vous, une seule personne. Et Dieu ne change jamais Son programme. En effet, Son premier programme reste toujours le programme auquel Il doit S’en tenir.

46 Au temps de Noé, Il avait un homme : Noé. Au temps où Il a fait sortir Israël, Il avait un homme ; c’était Moïse. Nous savons que Dathan et plusieurs autres ont essayé de penser, eh bien, qu’ils avaient la même autorité et ainsi de suite. Vous savez ce qui leur est arrivé. Lors de la Venue du Seigneur, au temps de – de Jean-Baptiste et de différents autres, Il avait un seul individu avec lequel Il travaillait. Et Il traite avec nous aujourd’hui comme un individu, pas comme un groupe, une personne. Cela va dépendre de vous et de moi, de la façon dont nous nous tenons devant Dieu. Car Il traite avec vous et moi en tant que des individus, pas en tant qu’un groupe dans lequel nous sommes, pas en tant qu’une église dénominationnelle dont nous sommes membres, mais avec vous et moi comme des individus.

47 Eh bien, Josué en faisant le partage du pays, il a donné ce petit endroit à Juda. Beaucoup d’entre vous… Je – j’ai noté ici quelques passages montrant où cela se trouve, mais nous en sommes tous conscients, que ça se trouve au coin. Et c’était juste un petit endroit qui a été donné à… Josué, en faisant le partage du pays, donna cela à la tribu de Juda.

48 Et maintenant, quand Israël a traversé le fleuve Jourdain… A présent, essayez de saisir ceci. Quand Israël a traversé pour entrer dans le pays, la terre promise, il y avait une femme des nations que nous connaissons comme étant Rahab la prostituée. Et elle a imploré miséricorde, et elle a obtenu miséricorde. Elle a obtenu miséricorde tant qu’elle est restée sous ce fil cramoisi. Et c’était seulement ainsi qu’elle pouvait obtenir miséricorde. C’était un signe, un signe qui lui fut donné.

49 Aujourd’hui nous avons aussi un Signe, et nous sommes en sécurité aussi longtemps que nous restons sous ce fil cramoisi, le Sang de Jésus-Christ. En tant qu’individu, pas en tant que groupe, en tant qu’individu, chacun de nous doit rester sous ce fil cramoisi du Sang de Jésus-Christ.

50 Et ensuite, cette Rahab, après qu’elle eut été épargnée, elle fit entrer toute sa famille ; tout ce qui était sous ce fil fut – fut sauvé. C’est exactement comme lorsque Dieu, en Egypte… quand tout ce qui était sous le sang fut sauvé. Tout ce qui était sous le fil cramoisi fut sauvé. Tout ce qui est sous le Sang de Jésus est sauvé, tout ce qui n’est pas sous cela est perdu et prêt pour la destruction. Et nous voyons maintenant, en faisant ceci… Et puis l’histoire nous apprend qu’elle courtisa un général (Je ne me rappelle pas son nom à l’instant) de l’armée d’Israël. Et elle a finalement épousé cet homme. Et ils se sont établis là dans ce… près de ce petit endroit, et ce fut son fils, Salmon, qui fonda Bethléhem. Voyez-vous, dès le départ une femme des Gentils est associée à cela, une femme des Gentils, Rahab la prostituée.

51 Eh bien, nous voyons que Salmon a fondé cette petite ville de Bethléhem et il a engendré Boaz. Et c’est Boaz qui épousa Ruth, une autre femme des Gentils. Et à présent, nous suivons cette lignée. Ruth a… Elle était une Moabite, elle a épousé Boaz, et elle est venue dans cette petite ville juste à la saison des orges. Oh ! si nous avions le temps ce matin, jusqu’à… là-dessus, après je vais devoir six robes à mon épouse. Mais comment s’attarder sur ce sujet…

52 Naomi représente l’église orthodoxe ; elle était partie à cause de la famine, elle était allée dans le pays de Moab, c’est comme la dispersion d’Israël parmi les nations. Et ensuite, en revenant, elle a ramené Ruth la Moabite et elle est rentrée juste à la saison des orges, juste à la récolte des premières orges. C’est-à-dire que l’Eglise des Nations vient aussi à Dieu juste à la saison des orges. Quelle merveilleuse image là ! Et ensuite elle et Boaz se sont mariés et leur célèbre fils, Obed, y fut engendré, il naquit aussi là. Et ensuite son fils, son petit-fils, Isaï, est issu d’Obed. C’est là aussi que ce dernier engendra son fils David, que le roi David naquit.

53 Considérez cette évolution maintenant. On part de Rahab la prostituée dont le fils a fondé la ville. De là est venu – de là est venu Boaz qui a fait entrer une autre femme des Gentils. Et ensuite, de Boaz est issu Isaï. Et, là, Isaï, de lui naquit David. Et David, juste ici dans cette même petite Bethléhem, fut oint par le prophète de Dieu pour être roi d’Israël. Toutes ces choses spirituelles cachées aux yeux du monde se passaient ici dans cette petite ville de Bethléhem. Voyez-vous, c’est ainsi que Dieu agit.

54 Eh bien, je crois que le Saint-Esprit sera présent maintenant pour vous donner la compréhension correcte, que Dieu n’opère pas par ces grandes choses. C’est par l’Esprit. « Ce n’est ni par la force, ni par la puissance, mais c’est par Mon Esprit, dit l’Eternel. » Voyez-vous ? Dieu travaille par l’Esprit parmi le peuple. Voyez-vous, ces merveilleux arrière-plans, Il ne pouvait venir que dans cette ville. C’est le seul lieu où Il pouvait naître. Dieu suivait Sa même lignée. C’est ce que Dieu fait toujours, Dieu suit la – la lignée de Sa Parole. Il ne peut aucunement revenir sur Sa Parole et puis rester Dieu. Il doit s’en tenir à la Parole. Il ne peut jamais La laisser.
Aujourd’hui, nos traditions et tout le reste nous éloignent de la Parole. Nous avons des crédos et tout que nous injectons dans la Parole, ce qui souille toute la chose. Mais Dieu ne peut jamais laisser la lignée de Sa Parole. Sa Parole est toujours la Vérité, car Il est la Parole. Dieu et Sa Parole sont la même chose.

55 Eh bien, nous voyons ici que cette petite Bethléhem, bien que passant inaperçue, une petite ville pas vraiment remarquable pour le monde extérieur, juste la plus petite ville, personne n’y prêtait attention. Et pourtant, dans le dessein de Dieu, c’était… c’était là que toutes ces choses allaient arriver. Eh bien, la pensée spirituelle saisit cela, car le prophète a dit ici, voyez-vous, le prophète a dit : « Toi, Bethléhem de Judée, n’es-tu pas la moindre entre les principales villes ? Mais de toi sortira un Chef qui paîtra Israël, Mon peuple. » Le prophète, la pensée du prophète a vu cela.

56 Voyez ces choses spirituelles, le Saint-Esprit aujourd’hui conduit ces choses. Ce que le monde dit, avec toutes ses guirlandes, ça ne change rien. Observez le Saint-Esprit dans la Parole ; c’est là que ça vient.

57 Pourquoi Job, lors de sa mort, a spécifié l’endroit où il devait être enterré ? Ensuite est venu Abraham ; Abraham a acheté un lopin de terre pour y enterrer Sara, sa femme. Et Abraham, à sa mort, il a demandé d’être enterré à côté de Sara. Abraham a engendré Isaac. Isaac, à sa mort, a demandé d’être enterré à côté d’Abraham. Isaac a engendré Jacob. Jacob est mort en plein en Egypte, mais il a fait jurer à son fils Joseph, le prophète, qui était à côté de lui, avec sa main sur sa hanche boiteuse, qu’il ne l’enterrerait pas en Egypte. Pourquoi ? Il a dit : « Emmène-moi dans le pays », et qu’il soit enterré là-bas. Et Joseph à sa mort en Egypte, il a parlé de la sortie de… et Israël qui sortirait conformément à la prophétie, et il a dit : « Emportez mes os hors de ce pays. » Pourquoi ? Ils savaient que les prémices de la résurrection sortiraient de ce pays-là ; en effet, Job avait dit : « Je sais que mon Rédempteur est vivant, et que dans les derniers jours Il se tiendra sur la terre ; et quand les vers de la peau détruiraient ce corps, dans ma chair je verrai Dieu. »

58 Ils savaient que les prémices de la résurrection sortiraient de la Terre promise, pas de l’Egypte. Ils étaient spirituels ; ils étaient des prophètes. Et quand Jésus est mort le – le vendredi saint, et qu’Il est ressuscité le matin de Pâques, le matin du dimanche qui a suivi, la Bible dit que plusieurs saints qui dormaient dans la poussière de la terre sont ressuscités et sont sortis des tombes, qu’ils sont entrés dans la ville, qu’ils sont entrés dans la Gloire avec Lui. Pourquoi ? C’étaient ces prophètes qui savaient avec exactitude où il fallait être enterré, l’endroit et le moment. Cela était caché aux yeux des sages. Mais eux savaient ce qu’il en était – ce qu’il en était ; ils regardaient du point de vue de l’Esprit. Les – les prémices de la résurrection devaient sortir de la Palestine, pas de l’Egypte.

59 Il en est de même aujourd’hui, les amis. Beaucoup de gens s’accrochent aux choses du monde, ou à un grand système ou à quelque chose comme ça. Enterrez-moi en Jésus, car ce sont ceux qui sont en Christ que Dieu amènera avec Lui à cette résurrection. Et peu m’importe ce que le monde a à dire, combien les gens essaient d’orner les choses avec des guirlandes. C’est en Christ ; ce sont ceux qui sont en Christ que Dieu amènera avec Lui. La pensée spirituelle saisit ces choses spirituelles.

60 Le prophète a dit ici : « Petite Bethléhem, n’es-tu pas la moindre entre toutes les principales villes de Juda ? Mais de toi sortira un Chef », pas de la prétendue grande capitale, pas des milieux d’une église historique ou quelque chose de ce genre, là où les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes et que sais-je encore ont commencé. « Mais de la moindre de celles-ci, d’un petit endroit insignifiant Je susciterai cet endroit, le Chef de Mon peuple. »

61 Mais aujourd’hui nous essayons de dire : « Nos pères ont fait ceci, nos pères ont fait cela. » Voyez-vous, Dieu ignore totalement cela. Dieu fait ce qu’Il veut. Observez la lignée de l’Esprit ; observez ce que disent les – les Ecritures. Les gens ignoraient cela. Mais, voyez-vous, ce sont les Ecritures qui ont raison. Dieu a toujours raison.

62 David fut oint par ce grand prophète pour être le roi. Sans doute que Samuel, ce grand prophète, savait ces choses à l’avance. Et ce fut là que sa grande semence spirituelle promise… En effet, Dieu avait juré par un serment qu’Il susciterait Christ pour qu’Il s’asseye sur le trône de David. Où encore Christ pouvait-Il donc naître ? C’était là qu’étaient nés Son père, Son grand-père, Son arrière-grand-père, Son arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand père et ainsi de suite. Voyez-vous, Sa famille fut introduite dans la lignée des Nations. Et maintenant la Bible dit que les Nations espèreront en Son Nom.

63 Voyez-vous, il faut tout aborder pour que vous puissiez voir cela. Nous aimerions nous attarder là un moment et rester là, pour vous montrer pourquoi les Nations ; mais je suis sûr que la pensée spirituelle va saisir cela directement maintenant ; en effet, il s’agissait des mères et pas du père. Eh bien, en effet il – il s’agissait d’une femme, l’Epouse. Les Nations seront constituées… l’Epouse sera constituée des Nations. Les Nations, « Il choisira du milieu des Nations un peuple qui porte Son Nom ». Il s’agit de Son Nom. Il a choisi du milieu des Nations une Epouse, voyez-vous. Et il devait en être ainsi, une femme est entrée, l’église, elle l’était. Elles étaient des femmes des Gentils ces grand-mères là-bas dans la lignée de la Semence, donc juste comme Isaac était par ailleurs dans la lignée de la Semence.

64 Maintenant, remarquez ceci. Nous voyons ensuite que David avait eu cette promesse d’un fils. Eh bien, nous remarquons combien il y a encore de similitude avec Israël. Quand Israël… Ou plutôt Abraham reçut la promesse que sa postérité… ce qu’elle serait, que ce grand Sauveur viendrait de sa postérité, et qu’Abraham serait le père des Nations. Sa semence naturelle, bien sûr, c’était Isaac, et celle-ci a échoué. Mais de sa Semence spirituelle, par la foi qu’il avait, est venue Christ qui a fait entrer toutes les nations.

65 Ainsi donc, la même chose s’est répétée encore ici. La semence naturelle de David, c’était Salomon, et elle a rétrogradé juste comme l’autre semence d’Abraham. Elle a rétrogradé. Salomon a donc rétrogradé. Il a pris trop de femmes, et bien vite, elles ont entraîné son coeur loin de Dieu. Et il a suivi cette voie et a rétrogradé, il est mort dans cette condition-là de rétrograde. Israël est mort dans la même condition de rétrograde.

66 Mais nous voyons que cette Semence spirituelle qui fut promise par la semence naturelle comme une lignée des gens qui viendraient à travers Abraham, cependant à… la royauté est venue par la promesse spirituelle de David. Et David est né à Bethléhem. Et il fut oint à Bethléhem. Et nous voyons ensuite que lorsque sa vraie Semence royale, l’héritier de son trône, naquit dans cette même ville, la petite Bethléhem… « Tu es la moindre d’entre les principales villes de Juda, mais de toi sortira un Chef qui paîtra Mon peuple. »

67 Dans cette petite ville, dans une petite étable, dans l’étable de la ville située sur le flanc de la falaise, il y avait une caverne dans la falaise, et c’est là que vint par ses petites portes le Prince de paix, né dans une étable, dans une – une petite caisse remplie de – de paille qui était là quelque part, une grange pleine de fumier, et ainsi de suite, mais c’est là que vint ce Grand Prince, la Semence de la femme. C’est là que vint le Sauveur du monde ; c’est là que vint Jéhovah Lui-même sous la forme d’un Homme, Il vint dans cette humble petite étable de Bethléhem. Il n’était pas né dans un palais royal, dans une famille royale, mais c’est là qu’Il vint à partir de cet humble endroit, là-bas où il y avait un tas de fumier, et Il était enveloppé des langes. Comme le dit la tradition, ces langes furent pris du joug d’un boeuf avec lequel on avait labouré.

68 C’étaient des gens pauvres, Joseph et Marie étaient tous les deux très pauvres, et ils étaient là dans cette petite étable. Combien Dieu peut s’humilier ! Et puis nous, nous essayons de nous faire passer pour quelque chose de grand. Ne pouvez-vous pas voir comment Dieu s’humilie et prend les choses qui ne sont rien afin d’accomplir Ses grandes promesses ? Ce petit Jéhovah était couché dans une mangeoire, enveloppé dans le – le linge qu’on avait retiré de l’arrière d’un joug, du cou d’un joug qui avait été sur un boeuf, et on en a enveloppé le Prince de la Vie. Oh ! la la ! Qui sommes-nous alors ? Quel est notre mérite ? Si Dieu peut s’humilier comme cela, ne devrions-nous pas être en mesure de nous humilier pour devenir Ses serviteurs, si Lui a fait des choses de cette manière-là ? Ne pouvons-nous pas oublier nos grands titres vils ainsi que les choses de ce monde, et abandonner cela, et nous humilier devant Lui en cette Noël ? Et être un… Lui montrer que nous apprécions cette naissance et cette humilité, en nous humiliant et en recevant Sa Parole. Peu importe ce que dit la tradition, c’est Sa Parole qui compte. C’est ce qu’Il acceptera, Sa Parole, et Elle seule.

69 Bon, nous voyons que c’est là, dans cette petite étable, que la première Noël fut chantée sur terre, et qu’elle fut chantée par des anges. Pensez-y. La première Noël ne fut pas chantée là avec Caïphe, pas dans une très belle église où il y avait un merveilleux pasteur, mais dans une étable à Bethléhem, la moindre de toutes les villes. Mais la première Noël fut chantée par des êtres angéliques dans la petite ville de Bethléhem. Comprenez-vous ce que je veux dire ?

70 Peu importe combien vous êtes pauvre, combien vous – vous pourriez être petit ou insignifiant, Dieu peut vous utiliser, si seulement vous Le laissez le faire. Dieu a besoin de vous. Il ne veut pas que vous… Vous n’êtes pas tenu d’être membre d’un grand club, d’un grand ordre, d’une grande fraternité ou de quoi que ce soit ; cela ne signifie rien pour Dieu. Dieu a besoin de vous. Et si vous êtes… Si vous estimez que vous êtes grand, faites sortir de vous ce sentiment. Vous devez faire sortir cela. Vous dites : « Eh bien, eh bien, j’ai un doctorat, un doctorat en droit. » Cela ne fait que vous éloignez davantage de Dieu. Oubliez la chose. Revenez à Dieu. Revenez à l’humilité de l’Esprit, et aimez Dieu et recevez Sa Parole.

71 « Et si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voulez, cela vous sera accordé. » Dieu a promis cela. « Si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous le verrez s’accomplir. » « Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais il les fera aussi. Il en fera même de plus grandes, car Je M’en vais au Père. » Quelles promesses !

72 Il y a quelque chose qui manque quelque part. Ce que nous essayons de faire, c’est de tordre la chose et d’en faire une grande chose là-bas, de mettre des fleurs et des guirlandes dessus, et nous souillons cela juste comme les Nations ont souillé Noël. C’est juste. Si nous pouvions ôter les guirlandes de la chose, et ramener la – l’humilité dans le coeur de l’homme… Si nous pouvions ramener à la Noël l’humilité et en faire ce qu’elle doit être, pas un jour commercial, pas des lumières et des pères Noël, mais retourner à l’adoration du Dieu de la création qui est venu dans une étable et qui est né en tant qu’un Bébé, Dieu fait chair et habitant parmi nous. Si nous pouvions revenir à cela, nous éloigner des guirlandes et de grandes choses ! Dieu ne traite même pas avec cela, pas du tout.

73 Vous dites : « Eh bien, je suis membre de la plus grande organisation. » Cela vous éloigne davantage de Dieu. Vous dites : « Je fais ceci, cela. » Cela vous éloigne tout simplement davantage.

74 Vous devez vous humilier jusqu’à ce que vous voyiez cela, jusqu’à « si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez alors ce que vous voulez ». Ce que nous essayons de faire, dès que Dieu nous donne une petite pluie de bénédictions, nous essayons de tordre complètement la chose pour avoir là-dedans des dignitaires qui vont se faire de très grands noms et surpasser l’autre. Celui-ci va dans ce sens-ci et l’autre dans celui-là ; Dieu abandonne toute la chose. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un nouveau déversement du Saint-Esprit sur les coeurs qui sont humbles. Nous avons besoin d’une véritable Noël, d’un lieu de naissance. Si vous pouviez comprendre que vous n’êtes rien qu’une étable… Dieu n’est pas allé à Jérusalem, à Silo, ou à Ramoth en Galaad, Il est venu vers une étable qui était polluée.

75 Quand vous laissez Dieu, vous devenez… Et vous vous rendez compte en vous-même que vous n’êtes rien qu’une étable qui pue. Mais faites bon accueil, ouvrez vos portes pendant que les – ces très grandes villes et ces très grandes auberges Le rejettent, ouvrez les portes de la crèche de votre coeur et laissez Jéhovah y entrer, et voyez ce qui arrivera, car Il est la Parole. Il a dit : « Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous… » Il est la Parole. Laissez-Le entrer en vous, et voyez ce qui arrivera. Ensuite, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé.
Oui, c’est là que la première Noël fut chantée par des Anges, il y a bien des années. Et quand Il…

76 [Un parler en langues ainsi que l’interprétation sont donnés. – N.D.E.] Amen. Eh bien, nous savons que le message doit être très important, car Dieu a voulu le donner, sinon Il n’aurait pas interrompu un message pour faire une telle chose. « Humiliez-vous sous la main de Dieu », tel était le message.
Maintenant, notre Père céleste, nous savons que Tu es toute sagesse et que Tu fais toutes choses correctement. Nous Te prions d’accorder maintenant que ceci soit un – un message pour le peuple, comme quoi ils doivent vraiment s’humilier (nous tous) et venir sous la main du Dieu Puissant. Nous nous confions à Toi, Père, afin que Tu nous accordes ceci. Au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

77 Maintenant, pour continuer, je parlais du moment où la première Noël fut chantée, et elle fut chantée par des anges, à la petite Bethléhem. C’est là que sont nés tous ces grands hommes. C’est là que la promesse du Roi fut née. C’est là qu’est venu le Roi promis. Eh bien, le mot… Pour aller vite maintenant, pour que je ne vous retienne pas trop longtemps. La – la promesse, voilà ce qu’était le mot. Le mot Bethléhem, analysons-le. J’ai sauté quelques notes ici pour gagner du temps. Maintenant, Bethléhem. Le mot B-e-t-h signifie maison. E-l signifie Dieu, en hébreu. E-l-h-e-m, c’est le pain. Bethléhem, la maison du Pain de Dieu. Voilà la signification de ce mot.

78 Les mots, les noms ont des significations. Beaucoup de gens ne croient pas cela, mais c’est la vérité. Si les noms n’avaient pas une quelconque signification, pourquoi le nom d’Abram a-t-il dû être changé en Abraham ? Pourquoi Saraï a-t-il dû être changé en Sara ? Pourquoi Saul a-t-il dû être changé en Paul ? Pourquoi Simon a-t-il dû être changé en Pierre ? Voyez-vous, tous ces noms ont des significations ; tout a une signification.

79 Et le nom Bethléhem signifie la maison du Pain de Dieu. Eh bien, combien cela convient à Jésus, le Pain de la Vie Eternelle ! Christ est le Pain de Vie. C’est ce que nous croyons tous, n’est-ce pas ? Combien Bethléhem convient là, le centre mondial du pain ; c’était le centre du Pain de la Vie Eternelle. C’est pour cette raison-là que le Roi a dû naître là-bas. Il a dit dans Saint Jean 6.35 : « Je suis le Pain de Vie qui est descendu du ciel d’auprès de Dieu. Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont tous morts. Mais ce Pain-ci, quand un homme mange ce Pain-ci, il vit éternellement. » Jésus est donc le Pain de Vie, le Pain de Vie devait donc venir à Bethléhem. Il est notre Pain de Vie pour le pèlerinage, comme pour Israël. Dieu a donné à Israël le pain descendu du ciel pour leur voyage, alors qu’ils se rendaient à la Terre promise après leur sortie de l’Egypte. Le pain tombait du ciel pendant la nuit. Et Dieu nous a donné le Pain de Vie pour notre voyage, Il est venu à Bethléhem, à la maison du Pain de Dieu. Voyez-vous comment ça devait être ? Ça doit être là où ce nom est invoqué, Bethléhem, la maison du Pain de Dieu. Dans ce cas, comment pouvait-Il naître à Jérusalem ? Comment pouvait-Il naître à Ramoth en Galaad ? Voyez-vous, Il est venu là où était Son Nom, la maison du Pain de Dieu.

80 Oh ! remarquez, Israël recevait chaque soir un nouveau pain frais, qui tombait du ciel, pour leur voyage. Christ est notre Vie, le Pain de Vie, et chaque jour nous recevons de Christ, du ciel, une fraîcheur, le Saint-Esprit qui descend à nouveau, chaque jour, sur les croyants.

81 L’expérience d’hier, beaucoup d’entre nous vivent de l’expérience d’hier. Nous ne devons pas faire cela. Il s’agit de l’expérience d’aujourd’hui. Voilà le problème qu’ont nos dénominations ; elles vivent de l’expérience de John Wesley, de l’expérience de Dwight Moody, de Finney, de Sankey, de Knox, de Calvin, de beaucoup de ces gens d’autrefois. Les gens vivent de cette expérience-là. Mais, souvenez-vous, le pain qui est tombé, les gens ont essayé de le garder, il se contaminait ; c’était infesté d’asticots, de petits vers. Et c’est là le problème aujourd’hui, ce sont des citernes contaminées, d’un vieux pain qui est contaminé.

82 Nous devons avoir quelque chose de nouveau de la part de Christ, Sa Parole aujourd’hui pour cette heure. Voyez-vous ? Il est notre fraîcheur, notre Pain qui tombe chaque jour du Ciel sur le croyant. Il est notre Bethléhem, la Maison de Dieu, Maison du Pain de la Vie Eternelle. Christ est né à Bethléhem, et Il est devenu la Maison de Dieu, Maison du Pain de la Vie Eternelle. Il est le Pain de Vie. Il est notre Bethléhem. Christ est notre Bethléhem. Le pain naturel est appelé le soutien de la vie. On appelle le pain naturel, par exemple notre pain léger, et le truc que nous avons, on appelle cela le soutien de la vie. Jésus est le Soutien de la Vie de Dieu, le – le – le Soutien du Pain de la Vie pour la Vie Eternelle. Comme le soutien de la vie est l’appellation du pain, Jésus, étant le Pain de Vie, Il est le Soutien de Dieu du Pain de la Vie Eternelle pour nous. Voyez-vous ?

83 Nous ne pouvons pas aller ; quelque chose doit mourir pour que nous mangions. Ce matin, quand vous avez mangé, vous avez mangé une substance morte. Si rien ne meurt, alors vous ne pouvez pas vivre, car vous ne vivez que d’une substance morte. Quand vous mangez de la viande, c’est que le cochon est mort. Quand vous mangez du porc, c’est que le cochon est mort, bien sûr. Et puis, quand vous mangez du boeuf, c’est que la vache est morte. Vous dites : « Mais je mange du pain. » Alors le blé est mort. « Eh bien, je mange des légumes. » Les légumes sont morts. Vous ne vivez que d’une substance morte, et c’est le seul moyen par lequel vous pouvez vivre.

84 Si donc vous ne pouvez avoir la vie naturelle que par une substance morte, si quelque chose a dû mourir pour que vous ayez la vie naturelle, à combien plus forte raison quelque chose a dû mourir pour que vous puissiez vivre éternellement. Christ est mort afin que nous vivions éternellement. Et Il est devenu la Maison de Dieu, Maison du Pain de la Vie Eternelle, que nous recevons fraîchement à chaque moment du jour, et qui descend du Ciel d’auprès de Dieu sous la forme du Saint-Esprit, qui nourrit nos âmes affamées tandis que nous sommes assis dans les lieux célestes. Il est notre Bethléhem.

85 Alors tous les vrais fils de Dieu qui croient sont nés à Bethléhem avec Lui. Si Christ a dû devenir le Pain de Vie, en naissant à Bethléhem qui est la Maison du Pain de Vie, alors chaque véritable croyant en Christ est né en Christ, est né à Bethléhem de Dieu. Amen. Alors, ce n’est pas Jésus seul qui est né à Bethléhem ; je suis né à Bethléhem ; vous êtes né à Bethléhem. Comment l’êtes-vous ? Juste ici à Phoenix, en Arizona, ce matin au Ramada, vous pouvez naître de nouveau dans la Bethléhem de Dieu, la Maison du Pain de la Vie Eternelle. Mangez-Le et vivez pour toujours.

86 Pourquoi la petite Bethléhem ? Aujourd’hui c’est : « Pourquoi une bande de petits saints exaltés ? Pourquoi ceci, cela ? » Les gens n’en savent rien du tout. Mais l’Esprit révèle cela. La Parole montre la Chose. C’est la manifestation de la Parole de Dieu. Nous avons la Vie par Christ et par Lui seul.

87 Nos organisations, nos dénominations, nos différends ne font que nous séparer de Dieu. Nous avons un seul accès à Dieu, et c’est par Jésus-Christ. Il n’y a pas une autre voie par laquelle nous puissions venir ; et ce n’est pas par un prêtre, ni par un prédicateur, ni par un système, ni par quelque chose d’autre ; ce n’est que par Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié. Il est le Pain de Vie de Dieu, et nous sommes nés en Lui. Et s’Il est le Pain de Vie de Dieu, alors Il est Bethléhem. Et étant nés en Christ, nous sommes alors nés de Dieu à Bethléhem, en Christ Jésus, et nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes, nous nourrissant de Lui. Se nourrir de Lui, qui est-Il ? Il est la Parole. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu. » Et quand nous pouvons nous asseoir avec un seul objectif, la Parole de Dieu, et que nous mangions de Cela, nous sommes dans la Bethléhem spirituelle de Dieu, mangeant le Pain spirituel de Dieu, et nos âmes ponctuent chaque Parole qu’Il a prononcée d’un amen. Nous nous régalons de cette nourriture céleste des Anges.

88 Quand Elle dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru… » Les crédos ou les dénominations disent : « Oh ! il n’en est pas ainsi. » Mais le vrai homme qui est né à Bethléhem dit : « Amen. »

89 « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Les dénominations disent que c’est un tas d’émotions fabriquées. Mais le véritable habitant de Bethléhem dit : « Amen », parce qu’il est satisfait de cette nourriture des Anges.

90 « Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé. » Amen.

91 Oh ! les hommes importants et intelligents ne verront jamais cela. Nous nous accrochons tellement aux traditions de nos anciens, au point qu’il nous faut avoir des cartes et tout le reste pour monter à une chaire. Ce n’est pas ça. Vous pouvez monter à la chaire de Dieu en vous humiliant. Entrez dans la Maison du Pain de Vie, Jésus-Christ, et vivez éternellement dans Sa Présence, étant élevés dans les lieux célestes en Jésus-Christ, festoyant avec la Parole. C’est la Bethléhem de Dieu.

92 Combien d’entre nous s’Y trouvent ce matin ? Combien sont disposés à oublier leurs traditions ? Combien sont disposés à oublier leurs crédos qui ne concordent pas avec la Parole ? Pourquoi n’avons-nous pas de réveil ? Pourquoi ces choses ne se produisent-elles pas ? Quel est le problème de la Pentecôte ? Elle s’est organisée. C’est cela. Vous ne pouvez pas organiser la Pentecôte. Vous pouvez faire une organisation. Mais la Pentecôte est une bénédiction ; c’est la puissance de Dieu. Et si c’est la véritable Pentecôte, elle ne passera jamais outre la Parole au profit d’un credo. Elle acceptera la Parole. C’est juste, car elle est séparée du monde et des choses du monde par la circoncision. Elle se tient seulement sur la Parole de Dieu et elle La croit. Nous sommes à Bethléhem, des candidats pour le Royaume de Dieu. Nous mangeons le Pain de Dieu, Pain de la Vie Eternelle. Nous sommes nés, le Pain de Dieu, nous sommes nés à Bethléhem pour devenir le Pain spirituel de la Vie, de la Vie Eternelle dans la maison de Dieu. Oh ! la la ! nous sommes nés à Bethléhem, ce matin, en naissant en Jésus-Christ, car Il est la Bethléhem de Dieu. Jésus est la Maison de Dieu, Maison du Pain de la Vie Eternelle.

93 Il est aussi notre Eau pour le voyage. Eh bien, nous savons qu’Il est l’Eau. C’est comme Israël dans son voyage, il… Ils ont frappé un rocher et leur pain est descendu du ciel, mais un rocher fut frappé pour qu’ils puissent y boire pour le soutien de leur vie pendant le voyage. Dieu a frappé un rocher, ou plutôt Il a ordonné à Moïse de le faire ; Son prophète a frappé le rocher. De quoi s’agissait-il ? Ouvrir le rocher. Et si le Rocher était Christ… Croyez-vous cela ? Très bien. Si donc le prophète a ouvert le rocher pour que la vie en sorte, alors si c’est le Rocher aujourd’hui, il nous faut le Saint-Esprit dans un homme qui frappera de nouveau le Rocher, amen, et fera sortir la Parole, car Il est la Parole.

94 Nous avons fait des contours pour prendre des crédos et nous avons bu de l’eau stagnante des citernes. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est l’ouverture de la Parole qui vit, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne peut faillir. Les gens peuvent taxer cela de la télépathie mentale ; ils – ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent, ou traiter cela de spiritisme ou – ou de démon, aussi longtemps que cette Parole coule librement et produit exactement ce qu’Elle a promis de produire, c’est de nouveau une Fontaine dans la maison de David, c’est de nouveau Bethléhem, où ce Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, pour Ses habitants de Bethléhem. Vivez de Cela ; vivez là-dedans, c’est l’Eau de Vie pour notre voyage comme en avait Israël.

95 L’une des grandes expériences du grand David, si vous voulez lire cela dans II Samuel 35.15, au début, nous lisons là que David, qui est né à Bethléhem, était malgré tout devenu un fugitif. Oh ! quelle scène. A ce moment-là, il y avait des postes de Philistins dans le pays, parce que Saül, le grand homme qui avait entraîné tout Israël dans le péché, était tombé et s’était éloigné de Dieu ; il était devenu un ennemi de Dieu, et il était cerné – cerné par des postes ; les Philistins avaient des postes autour de Bethléhem. Et David, qui essayait de retourner dans sa propre patrie, ne le pouvait pas ; il était dans le désert parce qu’il était devenu un fugitif pour le peuple, ou plutôt il avait été chassé.

96 Quelle merveilleuse image de Christ aujourd’hui, un Fugitif ! Il l’est. Eh bien, vous dites : « C’est impossible. » Eh bien, si vous croyez la Bible, c’est bien le cas. La Bible dit, dans l’âge de l’Eglise de Laodicée, que Christ était hors de l’Eglise, frappant, cherchant à rentrer dans Sa propre Eglise. Un fugitif, c’est quelqu’un qui a été refusé, rejeté. Et la Parole et le Saint-Esprit sont rejetés. C’est juste. Vous ne pouvez pas y entrer. Si jamais vous Le recevez, vous devez sortir de là pour L’avoir. Vous devez sortir pour aller vers Lui. Lui ne peut pas entrer. Les gens sont tellement établis dans leurs crédos qu’ils – ils ne voudront pas vous laisser prêcher ces choses ; ils ne vous permettront pas de croire ces choses.
On demande : « Croyez-vous qu’Il est le même ? »

97 « Oh ! dans un sens, Il est le même. » Eh bien, ça ce n’est pas vivre à Bethléhem. Non, non. Ça, c’est boire à une citerne stagnante d’il y a longtemps, un vieux pain contaminé qui est tombé il y a plusieurs années. « Qu’a dit Untel à ce sujet ? » Ils avaient peut-être raison en leur temps. Ceci est un autre jour. Ceci est le jour du Seigneur. C’est un autre âge de l’Eglise, ce n’est pas l’âge de Philadelphie. Celui-ci, c’est Laodicée. Il est rejeté, et Christ est devenu un Fugitif dans Sa propre Eglise, Il est mis dehors. Il est étranger.

98 Il peut descendre directement et agir juste au milieu des gens, faire les mêmes choses qu’Il faisait ici, qu’Il a promis de faire dans les derniers jours, manifester les mêmes prodiges et autres qu’Il a promis de faire, comme c’était aux jours de Sodome. Nous savons ce qu’Il avait fait pour l’Eglise là-bas.

99 On voit Billy Graham, pour ainsi dire. Et ces messagers sont allés là dans l’église dénominationnelle, et ils ont prêché là-bas, et ils ont appelé les gens à sortir, en leur disant de croire la Parole et de sortir de Sodome.

100 Le groupe d’Abraham n’était pas à Sodome ; il avait déjà été appelé à sortir. Observez l’Ange, ce qu’Il a fait là-bas pour eux comme signe et qu’ils ont reconnu. Et la même chose peut être faite, et les gens disent : « Oh ! eh bien, ne croyez pas cela. » Pourquoi ? Pourquoi ? Parce qu’ils ont fait de Christ un Fugitif pour leurs organisations ; ils sont si étrangers à cela, les pentecôtistes et tous les autres ensemble. Eh bien, c’est tout à fait la vérité. Je sais que ça écorche. Mais, écoutez, quand quelque chose qui ne… Si – si c’est la vérité, cela écorchera. Et c’est juste. Cela doit être la vérité.

101 Eh bien, maintenant, observez. David, quand il était là-bas, David revivait en pensée ses grandes victoires. Il était dans une caverne, il se tenait en retrait, très loin, à environ quinze mille [environ 24 km – N.D.T.] de la ville. Et il a monté [la colline] et il a vu là-bas sa propre ville bien-aimée où il était né, où il avait été oint roi, et ainsi de suite, là-bas.

102 En ce temps-là, les habitants d’Israël étaient à peu près comme ceux de l’Allemagne d’aujourd’hui. Ils ont de petites villes. Et puis ils vivent dans des villes pour se protéger, et puis ils amènent leurs brebis et leur bétail dans la campagne pour les faire paître, puis ils les ramènent, et le soir venu, ils les mettent dans des enclos.

103 Et David, les regards baissés sur la ville, commence à se souvenir des miracles que Dieu avait accomplis par lui, de très grandes victoires que Dieu avait remportées par lui. Un jour, pendant que ses brebis étaient là-haut dans les montagnes où il se trouvait, couché là près de verts pâturages et ainsi de suite, un ours est venu, s’est emparé de l’un des petits agneaux et l’a emporté. Et il a poursuivi l’ours, et il l’a tué. Dieu lui a donné la victoire parce que son père l’avait désigné pour s’occuper de ces brebis. C’était son – c’était son travail : s’occuper des brebis.

104 Oh ! pasteur, c’est votre travail. Et elles mangent la Nourriture des brebis, pas les almanachs, la Nourriture des brebis : la Parole de Dieu. C’est juste.

105 Et quelqu’un est venu et en a pris une et s’est enfui. Quelqu’un est venu et en a pris une et s’en est allé ; il l’a poursuivi. Un lion est venu et en a pris une ; il l’a poursuivi. Il n’était satisfait que lorsqu’il l’a récupérée.

106 Cela lui a donné cette grande victoire un jour, quand il a vu Israël totalement acculé. Voyez-vous, Israël avait entendu tous les crédos et tout. Ils avaient tous… Ils allaient tous à l’église. Ils avaient été tous circoncis. Ils avaient été tous chez le sacrificateur et avaient reçu leurs bénédictions avant d’aller à la bataille. Mais quand vint l’épreuve de force concernant le Surnaturel, ils se sont montrés tous des poltrons, parce qu’ils voyaient une résistance. Et ils n’avaient pas le courage ; ils – ils n’avaient pas ce que nous appelons aujourd’hui, selon une – une expression de la rue, ils n’avaient pas le – le – le « va t’en emparer ». Quelque chose manquait. Ils n’étaient pas en mesure de sortir là pour affronter ce géant. Pourquoi ? Pourtant ils avaient tous été bénis par le sacrificateur. Ils avaient sur eux les bénédictions sacrées, ils s’étaient agenouillés et avaient été probablement oints avec l’eau bénite, et que sais-je encore, et voilà qu’ils se tenaient tous là. Mais quand la résistance se fit très grande, ils n’avaient pas la chose. Saül se tenait là, le surveillant général ou l’évêque se tenait là, dépassant de la tête son armée.

107 Et Goliath a lancé un défi, il a dit : « Si je le tue, alors vous nous servirez. Mais s’il me tue, alors c’est nous qui vous servirons. » Et la résistance était trop grande. Ses doigts mesuraient quatorze pouces [environ 35,5 cm – N.D.T.], ce qui faisait vingt-huit pouces pour sa main [environ 70 cm – N.D.T.]. Considérez quelle main il avait. Son – son aiguille… Sa lance était semblable à l’aiguille du tisserand. Et imaginez la grosseur de sa tête, c’était comme un tonneau. Et un – un casque d’airain d’un ou deux pouces [environ 2,5 cm ou 5 cm – N.D.T.] couvrait sa tête. Considérez cette armure, les parties de l’armure qui lui permettaient de respirer et de bouger étaient comme des jalousies ; c’est ainsi que fonctionnaient les armures. Il avait sur lui la grande cuirasse d’airain à écailles qui pouvait peser cent ou deux cents livres [environ 45 ou 90 kg – N.D.T.] sur sa poitrine. Il avait une – il avait une aiguille, une lance dans sa main, longue peut-être de trente-cinq pieds [environ 10,6 m – N.D.T.].

108 Qu’est-ce que l’ennemi ne ferait pas quand il pense avoir l’avantage sur vous, de quoi ne se sent-il pas capable, combien il bombe le torse ! « Les jours des miracles sont passés. Vous ne pouvez pas vous en tirer avec une telle histoire. »

109 Mais voilà venir un petit rougeaud qui n’avait aucune expérience théologique, mais qui avait cette expérience selon laquelle Dieu reste toujours Dieu. Dieu tient Sa Parole. Et le voilà venir. Et Saül a dit : « Attends, je – je vais te donner une licence en lettres. »

110 Il lui fit porter son casque, et cela descendit et l’engloutit. Il ne connaissait rien de cela. Il a dit : « Je ne connais rien de ce genre de choses. » Il a dit : « Je ne sais pas. Mais je sais une chose, et avez-vous peur d’aller combattre ce géant ? Et vous vous tenez ici et vous vous dites l’Eglise du Dieu vivant, et puis vous laissez cet incroyant incirconcis se tenir là et bomber le torse comme cela ? »

111 Il a dit : « Je vais aller le combattre. » Oh ! aujourd’hui, nous avons besoin de tels hommes, des hommes qui ont eu une expérience.

112 Qu’a-t-il fait, qu’a fait le petit David de Bethléhem ? Il s’est présenté là pour combattre le géant. Et le géant l’a maudit au nom de ses dieux (les dieux, au pluriel), il l’a maudit au nom de ses géants ou plutôt de ses dieux, et il s’est avancé là et a dit : « Aujourd’hui, je vais te prendre avec ma lance et je vais suspendre ton cadavre là-haut dans l’arbre et le donner en pâture aux oiseaux. »

113 Il a dit : « Tu marches contre moi en tant que Philistin, au nom d’un Philistin, avec une armure et une lance, mais moi, je marche contre toi au Nom de l’Eternel Dieu d’Israël. » Qu’était-ce ? La Parole. La Parole, « Je marche contre toi avec la Parole. » Il a dit : « Aujourd’hui, je vais te couper la tête de dessus tes épaules. » Ce géant a ri et s’est rué sur lui. Et David n’a pas reculé ; lui aussi s’est rué sur lui. Il n’y avait qu’un petit endroit, et Dieu y a dirigé sa pierre.

114 David était étendu là comme un fugitif, il pensait à cela, combien cette victoire était éclatante. Ensuite, il a dû se mettre à penser aux Psaumes, que des fois là-bas sur les montagnes il s’étendait et méditait sur Dieu. Il a dit qu’il avait attaché Ses commandements au pilier de son – son lit et à ses doigts, et partout où il allait. « J’ai toujours l’Eternel devant moi ; je ne chancellerai pas. » Il gardait Dieu devant lui. Et les grandes victoires qu’il avait… quand il était très inspiré, il était un psalmiste, il sautait et prenait sa plume et écrivait les psaumes et les chantait. Il entrait dans l’Esprit, et il dansait et dansait sans cesse dans l’Esprit. Il était tellement emporté par l’Esprit qu’il dansait dans l’Esprit en écrivant ces Psaumes. Et il a dû prendre les différents Psaumes : « L’Eternel est mon berger, je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages », le Psaume 23, « Il me conduit près des eaux paisibles ; Il restaure mon âme. Oh ! Il me conduit dans le sentier de la justice à cause de Son Nom. Et quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal. Tu es avec moi. »

115 Et pendant qu’il pensait à ces choses, ç’a dû être un jour chaud, il avait soif, il avait chaud et il transpirait. Il pouvait voir tout au fond de la vallée, du sommet des montagnes, du côté oriental ou du côté occidental, ou c’est plutôt à l’orient de la ville, quand il a baissé les regards et a vu là au fond tous les Philistins, des milliers en poste tout autour. Il a vu ce vieux puits où il avait bu autrefois. Oh ! il s’est mis à penser comment le matin il prenait ses brebis, il sortait pour – pour les faire paître, il passait par ce vieux puits, car c’était un important point d’eau. Et il allait donc là et il buvait de l’eau, il buvait, il faisait boire ses brebis. C’est là à Bethléhem qu’il abreuvait ses brebis.

116 C’est exactement là que Dieu abreuve encore Ses brebis aujourd’hui, juste là à Bethléhem, avec Son eau douce et fraîche.

117 Il s’est écrié : « Si seulement je pouvais encore boire l’eau de ce puits-là. » Je vais terminer maintenant, suivez attentivement. « Si seulement je pouvais boire… » Au-dedans de lui il s’est écrié : « Si seulement je pouvais boire encore une fois l’eau de ce puits de Bethléhem… » Son désir était un commandement pour ceux qui l’aimaient. Rappelez-vous, son âme réclamait de boire de cette eau-là. Et pour ceux qui l’aimaient, son moindre désir était un commandement. Il nous est rapporté qu’un – trois de ces hommes se sont mis ensemble, de vaillants hommes. L’un d’eux avait tué huit cents hommes à lui seul. L’autre était entré d’un bond dans une fosse et avait tué un lion. Un autre avait pris un bâton et avait désarmé un Egyptien de sa lance et l’avait tué avec sa propre lance, il s’était tenu dans un champ de lentilles comme cela et a tué autour de lui trois cents hommes. De vaillants hommes, c’étaient des Gentils. Observez d’où ils venaient.

118 David ici est un type de Christ, Bethléhem, car Christ est le Fils de David. Le voici qui se tient là, réclamant de boire de cette eau-là. Et son désir était un commandement, ai-je dit, pour ceux qui l’aimaient. Trois de ces hommes ont dégainé leurs épées et ont combattu des hommes sur une distance de quinze miles [environ 24 km – N.D.T.] jusqu’à cette ville. Tandis que d’autres se battaient pour garder… C’étaient de vaillants combattants ; ces Philistins avaient certains deux fois leur taille. Mais c’étaient de vaillants hommes, capables de combattre. L’un d’eux avait tué en se tenant là d’une seule main, il avait tué huit cents hommes juste autour de lui, et en un seul jour. C’étaient de vaillants hommes ; ils croyaient en Dieu. Ils avaient foi dans leur leader. Et ils se sont frayé un chemin jusqu’à ce que certains d’entre eux se sont introduits là et ont puisé un seau d’eau, et ils se sont frayé un chemin retour, faisant encore quinze miles au milieu des hommes, et ils ont amené cela à David pour qu’il puisse en boire.

119 Voici Christ représenté dans ceci, à la fois Roi et Guerrier, parce qu’Il s’est frayé un chemin. Il a brisé les lignes de la mort de l’ennemi. Il a brisé les lignes de l’ennemi, afin que nous puissions avoir la Vie Eternelle, les Eaux de la Vie Eternelle. Il a traversé même la mort, et Il a pris la mort sur Lui-même et Il est mort et Il est revenu, afin que nous puissions avoir la Vie Eternelle. Il est à la fois le Roi et le Guerrier. Nous, nous n’avons pas conquis ; la chose a déjà été conquise. Nous n’avons pas conquis la mort. C’est Lui qui a conquis la mort pour nous. Il est notre David de ce jour. Il a conquis la mort.

120 Le Pain et l’Eau de Bethléhem. Bethléhem était le centre. Vous, les historiens, vous le savez, que c’était le centre. Il y avait là-bas une grande contrée du blé, au moyen de l’irrigation et tout. Ils pouvaient faire d’importantes récoltes de blé. Et c’est là aussi qu’il y a la meilleure eau. C’était le centre du pain et le centre de l’eau de la Palestine.

121 Et aujourd’hui, peu importe combien d’organisations nous avons, combien d’autres soi-disant frères, et toute autre voie qui puisse exister, malgré tout Christ reste toujours la Bethléhem du croyant. Il est l’endroit où il y a le Pain et l’Eau. Méthodistes, c’est bon pour vous ; c’est bon pour vous baptistes, pour vous pentecôtistes, pour vous autres. Le tout à un seul endroit ; c’est à Bethléhem, c’est de là que viennent le Pain et l’Eau de la Vie. Oui.

122 Le voici, notre Pain, le Pain et l’Eau de Dieu pour nous. Il est le centre, le seul lieu où nous pouvons venir recevoir Cela, c’est auprès de Lui. La Maison de Dieu, dans la Personne de Jésus-Christ, notre Bethléhem, le Pain et les Eaux de la Vie Eternelle. Et Il est la Parole faite chair. Voici la Parole, le Pain et l’Eau de la Vie. Hébreux 13.8 dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela fait de Lui notre Bethléhem, le lieu où nous avons le Pain et l’Eau, le seul lieu de la Vie Eternelle.

123 Remarquez David, quand il a reçu cette eau, il n’a jamais bu cela. Il a dit : « A Dieu ne plaise ! C’est le sang de ces hommes qui ont mis en péril leurs vies », pour aller lui chercher cette eau à boire. Suivez. Il a répandu cela sur la terre comme une libation à Dieu. Amen. Hommes et frères, élevez maintenant votre foi juste une minute. Il a refusé de boire cela lui-même. Il a répandu cela sur la terre comme une libation à – à Dieu.

124 Combien cela correspond à Jean 3.16, où il est dit que Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique. Jésus, le Prince de la Vie, est venu ici ; Il n’avait pas besoin de mourir. Il a conquis Lui-même la mort et Il a répandu la Vie de Son propre Sang sur la terre, amen, en offrande pour tous nos péchés. Il est notre Rocher qui a été frappé. Sur la terre Son précieux Sang que Dieu a donné…

125 L’autre soir j’ai entendu quelqu’un dire dans un message… il a dit que les gens en étaient arrivés à… Je crois que c’était Billy Graham ; nous le suivions hier soir, quand il disait qu’il était allé en Israël, qu’il était allé en Palestine, et il a dit : « Je suis venu pour croire dans votre peuple », quelque chose dans ce sens -là. Et je l’ai certainement admiré hier soir, quand il est apparu dans cette émission mondaine. Beaucoup d’entre vous ont rejeté l’homme pour avoir fait cela. Mais, écoutez ceci, il s’est tenu alors devant la nation toute entière. Et n’a pas retiré cela ; il s’en est tenu très exactement à ce qu’il croyait. Et je l’admire certainement pour cela. Et il a dit : « Je suis allé en Israël et je leur ai dit : ‘J’adore l’un de vos enfants’, en d’autres termes, comme ceci. »

126 Je me suis dit : « Billy, c’est merveilleux. J’aurais aimé voir cette puissance de la part de Dieu que tu as pour te tenir là au milieu de tout cet éclat d’Hollywood et donner un témoignage par Jésus-Christ ; mais Jésus-Christ n’était pas un Juif. » Jésus était Dieu, pas un Juif.
Rappelez-vous, la cellule de sang vient du sexe mâle. Et Lui n’était pas un homme, Il n’était ni un Juif ni un Gentil ; Il était Dieu créé dans la chair. Nous ne sommes pas sauvés par le sang d’un Juif ni par le sang d’un Gentil ; nous sommes sauvés par le Sang de Dieu. Il était Dieu, rien de moins. Il n’était ni Juif ni Gentil. Puisqu’il y avait en Lui le Sang créé par Dieu, nous devenons… S’Il était un Juif ou un Gentil, nous sommes tous perdus. Il était Dieu dans la chair. C’est juste.

127 Je n’adore pas un Juif ; j’adore Dieu quand j’adore Jésus-Christ. Je n’adore pas une fiction ou une certaine chose historique. J’adore Jésus-Christ, la Présence de Jésus-Christ maintenant même, c’est-à-dire Sa Parole qui est manifestée dans cet âge.

128 Dieu a assigné à chaque âge une portion de Sa Parole, depuis le commencement, et chaque fois dans chacun de ces âges passés, Dieu envoie un prophète oint pour cet âge-là. Au temps de Noé, aux temps de tous les autres, quand Il a fait les promesses… Peu m’importe dans quel genre de condition se trouve l’église, Il fait toujours cela, Il envoie un homme oint. En effet, la Parole du Seigneur vient aux prophètes. Et il se tenait là, chaque prophète, et quoi que condamné par les organisations de ce temps-là, il se tenait néanmoins sur la Parole et rendait la Parole vivante.

129 Jésus était la Plénitude de la Parole de Dieu, car Il était la Plénitude de la Divinité corporellement, et en Lui habitait la Plénitude de Dieu. Dieu vivait en Jésus-Christ. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même : Pas un Juif ni un Gentil mais Dieu. Il se tenait là, faisant Lui-même la chose. Combien cela concorde… Et le propre Sang de Dieu a dû être répandu sur la terre pour nous racheter depuis le sang innocent d’Abel qui était répandu. Il n’a pas considéré Sa propre Vie ; Il n’a pas gardé Sa propre Vie ; Il a dit : « Père, est-ce possible que cette coupe s’éloigne de Moi ? Mais, toutefois, que Ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne. » Il s’est abandonné à la Parole.

130 Aujourd’hui nous pouvons faire la même chose. Vous pouvez soit prendre vos crédos, prendre vos ceci et cela, et partir partout où vous voulez avec cela ; et vous pouvez dire : « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne. » Revenez à cette Parole de Dieu. Prenez vos guirlandes et votre Noël, et faites-en ce que vous voulez, mais donnez-moi Jésus-Christ dans mon coeur. Peu importe combien de gens s’en moquent ou que sais-je encore. Observez – observez la nature de la chose ; voyez si cela agit exactement comme Lui. Si ce n’est pas le cas, et que cela n’est pas en accord avec cette Parole, laissez cela tranquille ; ce n’est pas Christ ; car Christ est la Parole.

131 Maintenant, nous voyons combien cela concordait, notre Rocher frappé, la Vie de Son Sang fut répandue sur la terre, un sacrifice d’expiation pour le pécheur. Notre Bethléhem, l’Eau, le Pain et la Vie, offerts pour la purification de nous pécheurs impurs.

132 Oh ! mon ami pécheur, comment pouvez-vous refuser si bêtement un tel sacrifice, alors que Dieu a donné Son Fils unique, un sacrifice pour le péché, afin que quiconque croit en Lui, en Lui, ne périsse point mais qu’il ait la Vie Eternelle ? Comment entre-t-on en Lui ? Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former une seule Bethléhem, la Parole de Dieu qui est Christ rendu manifeste pour cet âge.

133 Et chaque promesse que la Bible donne en rapport avec cet âge, Il attend qu’un certain prophète monte sur la scène pour manifester cela ; Il a promis cela conformément à Malachie 4. Cela va s’accomplir. Peu importe combien les gens pensent que c’est insensé, cela s’accomplira de toute façon. C’est Dieu qui l’a dit. Il est capable de ces pierres… nous… Nos crédos ne recevront pas cela ; si nos églises ne veulent pas recevoir cela, Dieu peut retourner dans l’étable, Il peut aller n’importe où Il veut. Mais il y aura quelqu’un pour prendre position pour cette Parole qui a été annoncée pour ce jour. Quelque chose doit manifester Cela. Il ne s’agira pas non plus d’un groupe ; ça n’a jamais été le cas.

134 Oh ! fils guerriers, alors que je termine. Je ne voudrais pas vous garder ici trop longtemps. Je vais terminer tout à l’heure, le Seigneur voulant. Il est onze heures moins cinq, moins six plutôt. Remarquez, oh ! fils guerriers, vous les hommes par ici qui déclarez être des fils. Savez-vous ce que David représentait ? David représentait Christ. Il était… Christ était le Fils de David. Maintenant, suivez, alors que nous terminons. Ces guerriers qui étaient des Gentils, beaucoup d’entre eux, remarquez qu’ils venaient de partout, mais ils savaient que ce fugitif était oint. Ils savaient que David était rejeté par son propre peuple, mais ils savaient que l’onction était sur lui. Ils pouvaient remarquer cela. Ainsi ils se sont tenus juste à ses côtés, quitte à en mourir. C’étaient de vaillants hommes, peu importe que le monde extérieur n’ait pas cru cela.

135 Son propre peuple l’avait chassé. Ils ne voulaient rien avoir à faire avec lui. Saul l’avait chassé, le chef de la dénomination l’avait chassé, il n’avait rien à voir avec ; le conseil l’avait chassé et il était devenu un fugitif. Il devait aller n’importe où qu’il pouvait. Le voilà là haut dans les montagnes, mais il y avait un petit groupe d’hommes, constitué de Gentils et ainsi de suite, qui considéraient cet homme et qui savaient qu’il allait devenir roi.

136 Il en est de même aujourd’hui de véritables et vaillants soldats de la foi de cette Parole, qui savent que cette Parole promet que Jésus-Christ va revenir. On ne s’intéresse pas aux millions de dollars pour ceci et aux millions de dollars pour cela. Je m’intéresse au retour de Jésus-Christ. Oh ! guerriers fils de Dieu, quel est votre problème, quel est votre position aujourd’hui ? Alors que nous voyons que la Bible prédit qu’Il est un fugitif aujourd’hui, qu’Il est chassé de Son Eglise, qu’Il est chassé des organisations… Et vous le savez. Il est inutile de cacher cela, c’est la vérité. La Bible a dit qu’il en serait ainsi. Sortez de ces marques de la bête.

137 Considérez ces hommes. Ils ont tiré leurs épées. Qu’était-ce ? Son désir était de boire de l’eau fraîche. David… Quel type de ce jour, notre David, Christ ; nous savons qu’Il est traité de saint exalté. Il est chassé d’un côté, traité de fanatique pour tout, rejeté par les églises. Ils ont établi leurs crédos et tout en cette Noël, comme les gens l’avaient fait à la première Noël. Nous savons cela, mais nous savons que cette Parole demeure à toujours la vérité, et qu’Elle doit être accomplie. Et le désir de Christ est que des hommes, des guerriers prennent position. Amen.

138 Oh ! venez vous tenir à mes côtés, vous qui vous tenez dans une position dangereuse. Aujourd’hui je lance un défi. Ces bandes vont partout dans le monde. Je demande aux hommes, aux guerriers qui aiment Jésus-Christ, qui savent que ces choses doivent s’accomplir aujourd’hui, frères, venez vous tenir à mes côtés et tirez la Parole de Dieu. Oubliez ces citernes desséchées et ces dénominations stagnantes dans lesquelles vous vivez. Tirez la Parole fraîche de Dieu ; donnons à Jésus une bonne Eau fraîche de la Pentecôte. C’est cela Son désir aujourd’hui, retourner à la Pentecôte originelle, retourner à la Parole. Il a été prophétisé dans Malachie, chapitre 4, que c’est ce que nous ferions : « Ramener la foi des enfants à celle des pères. » Qui voudrait prendre position ce matin ?

139 Comme pour David, nous savons que David va prendre le pouvoir. Jésus-Christ va posséder le monde. Il va hériter la terre. Il va être le Roi de la terre. Aujourd’hui Il est rejeté ; Il est un Fugitif parmi Son peuple. Bien sûr, Il est un Fugitif pour le monde, ç’a toujours été le cas. Mais aujourd’hui, Il est un Fugitif pour Sa propre église ; ils Le rejettent. Ils aiment leurs crédos et les grands dignitaires au lieu de la Parole. Ils ne veulent pas Le laisser être manifesté. Ils ne veulent pas permettre qu’Il soit prêché dans Sa puissance. Ils se sont séparés de cela, exactement comme la Bible l’a annoncé dans Apocalypse 17. Que font-ils ? Ils vont tous là aujourd’hui, et ils entrent tous dans ce Conseil des Eglises : le catholicisme et le protestantisme s’unissent, formant la marque et l’image à la bête, et les protestants suivent carrément cela, les pentecôtistes partout. Les dignitaires des milieux pentecôtistes se sont rendus à Rome, puis à leur retour ils ont déclaré : « C’est l’endroit le plus spirituel. » Et au Texas et partout ailleurs, ils s’ouvrent et donnent des explications sur les stations et ainsi de suite, sachant que ce sont des crédos qui ont été injectés dans cette Parole.

140 Oh ! vous êtes les habitants de Bethléhem… Alléluia ! J’appelle des hommes, des guerriers qui n’ont pas peur. Peu m’importe qu’il y en ait huit cents qui se tiennent d’un côté et dix mille de l’autre. J’ai besoin des guerriers qui viendront avec moi et qui tailleront une brèche dans cette ligne de Philistins incrédules, le Conseil Mondial a placé des postes tout autour de la Parole de Dieu, essayant d’en faire des crédos et d’en nourrir le peuple. Il y a un Puits ; il y a une Fontaine ouverte dans la Maison de David. Bethléhem, notre Sauveur, nous purifie. Frère, le péché c’est l’incrédulité vis-à-vis de Sa Parole.

141 Qui est ce guerrier-là qui peut voir venir le Millénium ? Quel est ce guerrier-là qui peut voir ce glorieux Saint-Esprit venir sous la forme de Jésus-Christ, le Corps littéral de Christ, pour reprendre le pouvoir ? Qu’il se tienne avec moi. Tenez-vous à mes côtés. Taillons une brèche dans ce credo dénominationnel. Allons-y. Il réclame de boire la bonne Eau fraîche de la Pentecôte, de la Pentecôte originelle, pas un tas d’histoires, de cris, d’hurlements. Oui, je parle d’un authentique baptême du Saint-Esprit qui produit de nouveau la Vie de Jésus-Christ dans la personne.

142 Pardonnez-moi si je vous ai blessés. Non, ne faites pas cela. Je fais ceci au Nom du Seigneur Jésus. Revenez. Prenez position, vous vaillants hommes qui voyez David se tenir là-bas, Jésus-Christ, un Fugitif chassé de Son église, qui est exclu par leurs crédos. Il y a une Fontaine fraîche suspendue là-bas. Amen. Il y a la puissance pour vivifier cette Parole à nouveau ; il a été prophétisé que cela doit s’accomplir en ce jour-ci. Dieu a dit que cela s’accomplirait. Cela doit s’accomplir. Vous ne le ferez jamais dans l’armée dans laquelle vous êtes maintenant. Vous vous êtes postés, la Pentecôte, juste tout autour avec toutes les autres organisations, découpant la chose pour en faire un credo.

143 Ô hommes de Dieu, où est cette Epée ? Notre Seigneur désire boire une eau fraîche. Peu m’importe s’il faut mourir ou vivre ; taillons-nous un chemin à travers cette chose. C’est si dur de se tenir tout seul. Je lance un appel aux hommes pour se tenir à mes côtés, pour s’en tenir à la Parole. Ce que dit cette Parole, faites-le exactement tel que la Parole le dit. Peu m’importe ce que quoi que ce soit d’autres dit, gardez-Le de cette façon-là, car c’est la seule chose qui coupera. Allons à Bethléhem, la véritable Eau de Dieu.

144 « Si un homme demeure en Moi et Moi en lui, si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous… » Demeurer, pas sauter d’un lieu à un autre, échanger votre carte de membre unitaire contre celle d’un binitaire ou d’un trinitaire, et retourner chez les presbytériens, chez les luthériens. « Vous demeurez en Moi, » et Il est la Parole, « Mes Paroles demeurent en vous, n’ayez pas peur des huit cents ou des huit millions de personnes ; je me tiendrai à vos côtés. Je désire boire de nouveau de ce Puits. »

145 Dieu aura un peuple qui boira de ce Puits-là. Alléluia. Vous pourriez penser que je suis fou, je le suis peut-être ; alors je suis fou de Jésus-Christ et de Sa Parole. Si je dois être traité de fou, que je sois traité de fou à cause de Sa Parole. Je ne suis jamais contre les hommes qui sont dans ces organisations ; je suis contre le système qui exclue la Parole de Dieu. Taillons un chemin, guerriers ; tenez-vous à nos côtés. Entrons dans ce Puits ; Il est notre Bethléhem.

146 Ces vieilles citernes, le Conseil Mondial des églises organisent maintenant… Restaurons la Parole fraîche de Dieu, pas une dénomination. Ne prenons pas un credo ; ce sont de vieilles citernes stagnantes qui sont tombées il y a quarante ans, il y a vingt ans, il y a trente ans, ou l’an passé ; je veux la Parole de Dieu qui a été promise pour aujourd’hui. C’est l’Eau qu’Il veut que je boive : cette Parole d’aujourd’hui. C’est une petite Bethléhem ; Elle est rejetée.

147 C’est… Je sais que c’est juste comme vous – vous pensez : « Eh bien, si mon… » Oui, c’est juste ; les gens pensaient qu’Il devait naître à Jérusalem. Ils pensaient qu’Il devait naître là où se trouvait le siège de leur dénomination. Mais Il a contourné tout cela. Il est venu vers le nom Bethléhem, car c’est ce qu’Il était. Alléluia ! Il ne vient pas pour les méthodistes, les baptistes, les presbytériens ou les pentecôtistes. Il vient pour l’Epouse, Jésus-Christ. Voilà pour qui Il vient. Cela peut vous sembler étrange, mais croyez cela.

148 Voyez-vous ces types ? Il ne peut venir autrement que par la Parole. Le seul lieu où Il pouvait naître, c’était cette Bethléhem. Voilà pourquoi ça devait être cette humble petite ville. C’est ainsi que ça doit être ce matin, cela doit être de la même façon, par la Parole promise. Absolument. Le Conseil Philistin des Eglises s’organise maintenant, il a placé des postes partout autour de notre Bethléhem. Autour de cette Noël, ils se sont mis en garnisons partout tout autour ; c’est tout décoré avec des guirlandes mondaines. « Oh ! nous allons amener une paix mondiale. » Le pape Luther, Jean ou peu importe son nom, va se réunir avec tous les grands évêques de l’église, le Conseil Uni des Eglises et le Conseil Mondial se réunissent tous. Comment deux peuvent-ils marcher ensemble sans en être convenus ? Amen.

149 Il y en a Un Seul avec qui vous pouvez marcher ; c’est Jésus-Christ. Comment – comment pouvez-vous marcher avec Lui ? Quand vous êtes en accord avec qui Il est, la Parole. Ne laissez pas cela vous quitter.

150 Peu m’importe le nombre de guirlandes qu’ils ont : « Vous devez faire ceci sinon nous allons fermer vos églises ; nous sommes… » Peu m’importe ce qu’ils ferment ; cela n’a rien à voir avec la Parole. Absolument pas. Où vous dirigez-vous ? Très exactement là où la Parole a dit que vous iriez, retournant carrément en arrière, tout habillés de guirlandes mondaines, avec toutes sortes de promesses mondaines, mais cela est à des millions de kilomètres de la Parole. La chose est là aujourd’hui, c’est de nouveau Noël, pour nous garder loin de la Parole. Mais Celle-ci s’accomplira. De ces pierres Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham. Oh ! on cherche à garder les vrais et authentiques habitants de Bethléhem loin de la Vie Eternelle ; c’est cela leur objectif.

151 Levez-vous, vous les fils et les guerriers ; taillons-nous un chemin du retour vers notre Bethléhem originale. Rappelez-vous quand David a accédé à son trône. Ces hommes se sont tenus à ses côtés parce qu’il savait… ils savaient qu’il allait accéder au trône. Ils savaient que David allait monter sur le trône, peu importe combien il était rejeté. Il était le pire fugitif du pays. Et il en est de même de la véritable Parole de Dieu ce matin ; Elle est étrangère aux organisations. Regardez ce qu’elles ont fait. Cela montre la chose juste devant vous.

152 Les gens essayent de dire : « Frère Branham, vous cognez contre l’église. » Je cogne contre ces systèmes. L’Eglise c’est Jésus-Christ, pas un système.

153 Et regardez ce qu’ils ont fait aujourd’hui ; regardez ce qu’ils font. Et vous pouvez voir ce qu’ils font ; ils cherchent à garder les gens loin de Cela. Ils ont placé de plus en plus des postes autour de ce Puits, pour s’assurer que personne n’En boira. Mais, oh ! les guerriers de Dieu, je crois que Jésus-Christ viendra un jour avec gloire. Je crois qu’Il viendra et s’assiéra sur le trône de Son père David, bien qu’Il soit un Fugitif, que Sa Parole ce matin soit rejetée par Son propre peuple comme l’était David, que les organisations aient rejeté Sa Parole ; ils L’ont rejetée, alors que Dieu vient et confirme Sa pure Parole. J’en sais quelque chose. Pendant des années, à travers le pays, ils s’En éloignent davantage tout le temps.

154 L’autre jour, j’ai parlé de Jacqueline Kennedy, combien de fois je vous ai réprimandées, vous femmes, pour le fait de vous couper les cheveux, de porter du maquillage, vous femmes pentecôtistes qui vous coupez les cheveux, chose au sujet de laquelle Dieu a dit que vous – vous – vous vous faites une – une prostituée en faisant cela. Et selon Dieu, votre mari n’a plus aucun droit de vivre avec vous. Une femme qui se coupe les cheveux déshonore sa tête qui est son mari. C’est exact. Que disent les gens à ce sujet ? Et vous m’appelez à ce sujet… Je reçois des lettres qui disent : « Espèce de vieil excentrique ! » D’accord, ils ont taxé Elie de la même chose. Ils ont taxé chaque Parole de Dieu qui… Chaque fois que la Parole de Dieu s’accomplit, on La taxé…

155 L’autre jour, quelqu’un a dit : « Eh bien, nous croyons que vous êtes un prophète. » Je n’ai jamais dit cela. Je ne le dis pas. Je ne suis pas un prophète ; je suis juste un serviteur de Dieu qui essaye ici de vous dire la vérité. C’est tout.

156 Laissez-moi vous le dire ; la Parole de Dieu soutient cela. Il a dit : « Les filles de Sion, le germe qui aura échappé en ce jour-là à toute cette contamination, aura de la gloire aux yeux de l’Eternel. » Frayez-vous un passage, femmes ; vous avez un endroit pour vous frayer un chemin à travers, l’Hollywood mondain et les films, et toutes ces histoires qui passent à la télévision sur lesquelles vous cherchez à tirer exemple, vous présentant dans la rue dans une tenue sexy.

157 Et quelqu’un a dit : « Eh bien les gens ont besoin que vous leur enseigniez comment recevoir le Saint-Esprit et comment obtenir… »

158 Vous prétendez avoir reçu le Saint-Esprit et ensuite vous reniez la Parole ? Votre propre vie prouve que vous ne L’avez pas. Voyez-vous ? Eh bien, je ne suis pas fâché. Je vous dis simplement la Vérité. Considérez-vous et voyez. Paul a dit : « Quand un ange du ciel enseignerait quelque chose d’autre, qu’il soit anathème », Galates 1.8. C’est juste.

159 Et si Jacqueline Kennedy… Elle a donné le ton pour les femmes avec toutes ces coiffures à l’hydrocéphale et tout qu’elles ont, toutes ces robes sexy, et comme ces robes futures mères et tout. Toutes les femmes dans le pays veulent porter cela, vous pentecôtistes aussi. Ecoutez, Jacqueline Kennedy n’a jamais entendu un message comme celui-ci. Si elle avait entendu Cela, elle se serait peut-être repentie il y a longtemps. Mais vous les femmes pentecôtistes, vous entendez Cela jour après jour, année après année, et malgré tout, vous ne faites rien à ce sujet. Alléluia ! Un de ces jours Dieu en aura assez. Dieu en aura assez. Eh bien, je sais que vous pensez que je suis fou. Allez de l’avant ; c’est en ordre. C’est ce que les gens pensaient à travers tous les âges, quand la Parole… Voyez-vous ?

160 Oh ! guerriers, tirez cette Epée ; soutenons tout ce que cette Epée soutient. Allons à ce Puits où il y a une Fontaine remplie de Sang tirée des veines d’Emmanuel : pas celles d’un Juif, les veines d’Emmanuel, Dieu avec nous, là où les pécheurs, une fois plongés sous ce flot, perdent toutes les taches de leur culpabilité.

161 « Et de Bethléhem sortira Celui qui dominera sur Mon peuple. » Aujourd’hui le Saint-Esprit domine sur le peuple, et le Saint-Esprit, c’est la Parole. Est-ce juste ? (Maintenant, pour terminer, avec révérence.) Il domine sur le peuple. Peu importe ce que vous pensez ; conformez-vous à la Parole. Sinon le Saint-Esprit n’est pas là ; vous rendez témoignage de vous-même, peu importe ce que vous dites. Vous pourriez sautiller, parler en langues, courir partout sur le plancher, et malgré tout avoir des cheveux coupés court et faire les choses que vous faites ; cela témoigne contre vous, qu’il n’en est rien.

162 Habitants de Bethléhem, que Dieu vous bénisse, traversons. Christ a besoin d’une véritable Eglise. Il a besoin d’une Epouse. Taillons-nous un chemin. Sortez d’ici ; ôtez ces crédos afin que les personnes qui boivent réellement puissent revenir boire de cette véritable Eau fraîche de la Pentecôte qui coulait autrefois de ce grand Puits. Elle coule toujours. Ne voudriez-vous pas venir aujourd’hui et croire cela de tout votre coeur, alors que nous inclinons la tête juste un instant ?

163 J’ai beaucoup de choses ici dont je devrais parler. Le temps ne le permettra pas ; il est 11 heures maintenant. Je ne sais pas combien de guerriers il y a ici. Vous ministres, vous méthodistes, baptistes, presbytériens, vous prêtres catholiques, quoi que vous soyez, êtes-vous convaincus ? Je sais que je ne suis pas un ecclésiastique. Je pourrais être sorti du désert, avec ceci cela d’entrecoupé, mais c’est la Parole. Et croyez qu’Elle est vraie, et croyez que c’est la Parole ; c’est la Bethléhem. Jésus a dit : « L’homme ne vivra pas de pain seulement mais de chaque Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Et la Parole est ici, la Bible. L’homme vivra de Cela, et Il est cette Parole.

164 Oh ! guerrier, voudriez-vous tirer l’Epée de Dieu et dire : « J’en ai fini avec ces traditions ; je reviens à la Parole ; je reviens à la Vérité » ? Femmes, hommes… Femmes, n’avez-vous pas honte de vous-même pour la manière dont vous vous comportez ? Etes-vous prêtes ce matin à cette Noël pour revenir et refléter le vrai Jésus-Christ ?

165 Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées et tous les yeux fermés, voudriez-vous lever la main, dire ; « Priez, Frère Branham. Sincèrement, je désire faire cela dans mon coeur. Je le désire. Je crois cela » ? Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! des ministres, des femmes, partout.

166 Dans Bethléhem, Bethléhem, la ville du Pain et de l’Eau de Dieu, Christ, notre glorieuse Bethléhem… Comment entrons-nous en Lui ? I Corinthiens 15 : « Nous sommes baptisés dans un seul Esprit, pour former le Corps mystique de Jésus-Christ. »

167 Nous nous nourrissons de Sa Parole, pas de quelque chose d’autre : uniquement la nourriture de brebis, cette Parole, rien d’autre. Vous ne pouvez pas Y ajouter un credo ; nous n’écouterons pas cela. Absolument pas. Vous vous mettez à dire : « Eh bien, c’est comme ceci. » Si la Bible dit que c’est comme ceci, c’est comme cela que nous le voulons. Nous ne voulons pas que cela soit trop assaisonné. Nous voulons cela tel quel.

168 Ô Dieu notre Père, aujourd’hui il y a encore des âmes affamées sur la terre. Pourquoi la petite Bethléhem ? A ma pauvre manière d’un ignorant, Seigneur, j’ai essayé d’amener ce petit groupe qui m’aime… Je sais qu’ils m’aiment, Seigneur. Et je les aime. Et je les aime tellement, Seigneur, que je suis – je suis zélé pour eux. Je ne veux pas les voir se mêler à ces grandes histoires, et être alors séparés quand il sera trop tard, et voir ces pauvres âmes là-bas en prison, et savoir qu’elles avaient eu une fois l’opportunité.

169 Seigneur Dieu, aujourd’hui, peu importe ce que pense la grande Jérusalem ainsi que la Galaad… et la Ramoth en Galaad et que sais-je encore, Silo, et les grands lieux d’adoration, où qu’ils soient, il y a une Bethléhem. « N’es-tu pas la moindre parmi toutes ces villes ? Mais de toi… » Des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des catholiques, la grande capitale et Ramoth en Galaad, où Luther a combattu ; et – et les – les Silo, où peut-être Wesley a combattu ; et – et beaucoup d’autres villes… Mais, Seigneur, Seigneur, Tu as suscité un groupe pentecôtiste, et ils ont carrément fait demi-tour et ont agi de la même manière.

170 Jésus de Nazareth, je Te prie, Seigneur, de permettre que des guerriers sortent de tous ces crédos là-bas en Ton Nom, qu’ils se frayent une voie à travers tous ces crédos et retournent à la véritable Parole sans mélange, rejetant tout fardeau qui les enveloppe si facilement, rejetant chaque heure qu’ils perdent là stupidement cherchant à faire des membres d’une organisation. Ô Seigneur Dieu, permets qu’ils reviennent pour faire des convertis à Jésus-Christ, pas pour glorifier une quelconque organisation ou une quelconque personne, mais Jésus-Christ, et Lui seul.

171 C’est pour David que ces hommes ont combattu. C’est pour David qu’ils ont mis leur vie en péril. Et ces très puissants guerriers, sans crainte, se sont frayé une voie là, parce que c’était le désir de David. C’était son désir de boire de l’eau de ce puits-là.

172 Seigneur Dieu, peut-être que nous ne sentons pas ce… juste ce petit coup, mais écoute, c’est Ton désir que ces choses soient faites. Comme Tu l’as dit à Jean : « Il nous incombe, ou il est convenable que nous accomplissions toute justice. »

173 Il nous incombe, aujourd’hui en tant que ministres, de veiller à ce que cette Parole soit prêchée, de veiller à ce que cela soit fait. Cela nous incombe à nous, des hommes de cette heure dans laquelle nous vivons. Aujourd’hui, de grands hommes sur la terre, ô Dieu, sont là-bas ; permets qu’ils voient cela et saisissent l’Epée. Peu importe l’opposition, si Dieu est pour vous, qui peut être contre vous ? Il nous importe peu de mettre notre vie mondaine en péril ; il nous importe peu de mettre ceci ou cela en péril ; nous voulons avoir de nouveau l’Eau de Vie.

174 Allons à Bethléhem, Seigneur, permets-le pour chacun d’eux. Permets-le pour toutes ces femmes, car si elles ont levé la main, certainement qu’elles ont eu honte d’elles-mêmes. Permets qu’elles se rendent compte que ces hommes seront comme monsieur Kennedy un de ces jours. Ils – ils – ils seront comme les autres hommes ; ils doivent mourir. Ces femmes se meurent. Moi je me meurs. Nous sommes tous en train de nous consumer ici sur terre, et nous savons que nous n’en avons pas pour longtemps, qu’il nous reste seulement très peu de jours. Et, ô Dieu, au lieu d’essayer d’ériger de grands systèmes, Seigneur, permets que les hommes et les femmes voient ce matin que c’est la Venue du Roi, ô Dieu, la Venue de ce grand Roi Jésus. Et cela…

175 Et nous savons, ô Dieu, que chacun de ces hommes qui avaient tiré cette épée et qui avait combattu pour David, quand il était un fugitif, lorsqu’il a pris le pouvoir, il les a établis chefs sur des villes. Chacun d’eux avait des villes. Et Tu as promis cela dans la Bible, que nous aurons des villes. Ô Dieu, en tant que des Gentils, nous sommes devenus des héritiers au travers des Gentils, afin que nous puissions être participants de Sa sainteté et de Sa justice. Accorde-nous, aujourd’hui, ô Seigneur, en tant que des hommes, des guerriers, de prendre cette Parole, sachant que ceux qui prennent position pour Lui en cette heure seront établis chefs sur des villes. Non pas que nous voulions être des chefs, mais nous voulons être Tes serviteurs, ô Seigneur. Ô Dieu, nous voyons la vision de cette petite minorité, de ce petit groupe, de ce qui est traité de fanatisme dans le… Paul a dit en son jour : « Selon la voie qu’on appelle une secte, la folie… » C’est là que je désire combattre, ô Seigneur. Ta Parole est la Vérité. Et Tu es la Parole, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

176 Ô Dieu, oins-nous de Ta Parole, et accomplis Ta Parole promise pour ce jour. Puissions-nous quitter cette salle ce matin comme des instruments de Dieu resplendissants. Puissions-nous aller avec l’Epée scintillant dans l’air, pour retrancher chaque fardeau et tout le reste, jusqu’à ce que nous puissions ramener le peuple à Christ et amener une eau fraîche à notre Seigneur, au lieu de ces sales crédos stagnants. Que le peuple boive à la Fontaine une véritable bénédiction fraîche et rafraîchissante de la Pentecôte, afin que cela puisse bénir Son coeur et Le ramener parmi nous. Accorde-le, Seigneur. Je prie au Nom de Jésus.

177 Pendant que nous avons la tête inclinée, si la pianiste ou l’organiste, ou que sais-je, veut bien passer à l’orgue, au piano, je désire que nous chantions doucement ceci : Il y a une fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel ; quand les pécheurs sont plongés dans ce flot… Pécheur, qu’est-ce qu’un pécheur ? Un incroyant. « Les incroyants plongés… » L’incrédulité à quoi ? A la Parole. Oh ! ces Juifs ne voulaient pas admettre qu’ils étaient des incroyants ; ils pensaient qu’ils étaient sauvés ; mais Dieu savait qu’ils avaient besoin d’un Sauveur. Ils priaient pour avoir un guerrier, Dieu leur a donné un Bébé, un Sauveur. Il savait ce dont ils avaient besoin. C’est cela leur cadeau de Noël. C’est ce dont vous avez besoin aujourd’hui ; c’est ce dont j’ai besoin aujourd’hui : un Sauveur pour mon incrédulité, un Sauveur pour vous sauver de votre incrédulité. Pendant que nous chantons, prions pour cela maintenant dans nos coeurs. Et veuillez prier sincèrement, église. Il y a une fontaine remplie de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Et les pécheurs (les incroyants) plongés (pas un membre d’église, là) dans ce… (C’est là qu’ils plongent)
Perdent toute tache de leur culpabilité.
Perdent toute tache de leur culpabilité,
Perdent toute tache de leur culpabilité ;
Le pécheur…

178 Seigneur Jésus, je Te prie maintenant de nous recevoir. Je me place moi-même juste ici avec ce groupe, Seigneur. Ôte de moi toute mon incrédulité, Seigneur. Laisse-moi mourir, Seigneur, comme s’est écrié Samson, laisse-moi mourir avec ces Philistins. Laisse-moi faire tout ce qu’il m’est possible de faire, mais, ô Dieu, purifie mon âme. Ôte tout doute. S’il y a quelque chose dans cette Parole que je ne crois pas, Seigneur, et si – s’il n’y a pas quelque chose ici que Tu as promis, que je n’ai pas vu ma propre vie confirmer que c’est la Parole pour ce jour, alors, Seigneur, pardonne-moi. Pardonne-moi, Seigneur.

179 Donne-moi du courage. Ô Seigneur, j’ai besoin de courage pour couper cette chose, pour démolir ce mur, car je sais que c’est Ton désir. Tu as dit qu’il en serait ainsi en ce jour : « Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Nous voyons ce dernier mouvement, ce dernier signe qui a été donné à l’église. C’était le dernier signe que la semence naturelle d’Abraham a vu avant que le feu ne consume le monde des Gentils. Et c’est donc le dernier signe que Sa Semence royale verra avant que le feu ne consume le monde des Gentils. Tu … Seigneur, puissent-ils voir que c’est exactement la raison pour laquelle Jésus devait naître à Bethléhem. C’est Ta Parole ; c’est Ta promesse. Bénis-les maintenant, Père ; je Te les donne comme des trophées. Et puissions-nous tirer ensemble la Parole aujourd’hui et aller de l’avant au Nom de Jésus. Amen.

180 Que Dieu vous bénisse. Aimez-vous le Seigneur Jésus ? Croyez-vous que c’est la Vérité ? Levez la main si vous croyez que c’est la Vérité. Merci, les amis. Regardez, je suis… Je pense que la bande s’est arrêtée. Voyez-vous, en parlant ici, je ne parle pas simplement à vous. Cette bande va dans le monde entier et des hommes et des femmes dans le monde entier écoutent cela. Nous allons de nation en nation ; les gens se tiennent juste là avec de petits tubes dans les oreilles et – et ils proclament Cela à des centaines et des centaines de gens à travers le monde.

181 Et regardez, il ne s’agit donc pas de vous les femmes ; je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments en vous disant ces choses. Mais si votre pasteur ne vous dit pas cela, il y a quelque chose qui cloche en lui. Il n’a pas – il n’a pas le courage de le faire. Il se cache derrière une organisation. Ou il est comme Lot, assis là, avant que le feu ne tombe, il – il n’avait tout simplement pas la véritable – la véritable chose qu’il fallait pour se tenir là. Il… La Bible dit que le péché de Sodome tourmentait chaque jour son âme juste. Son âme était avisée, mais il n’avait pas la véritable chose qu’il fallait pour se tenir là et condamner cela. Et un pasteur qui ne dit pas à une femme que c’est mal de se couper les cheveux et de porter ce genre de vêtements, il y a quelque chose qui cloche dans cet homme.

182 Et vous hommes, vous hommes qui laissez vos femmes faire de telles choses, qu’est-ce qui ne marche pas en vous ? Qu’est-ce qui ne marche pas en vous ? Vous traînez votre femme à travers la ville en tant qu’une – comme une prostituée publique, et ensuite vous giflez un homme à la bouche pour l’avoir insultée. C’est plutôt vous qui avez besoin d’une gifle à la bouche. C’est juste, et Dieu le fera aussi un jour. C’est juste. Il nous faut revenir à cette Parole.

183 Pas seulement ça, ce n’est qu’une petite – petite chose. Mais comment allez-vous obtenir les grandes choses si vous refusez les petites ? Comment pouvez-vous apprendre l’algèbre si vous ignorez l’abc ? Si vous ne savez pas compter jusqu’à 10, comment allez-vous connaître vos mathématiques ? Vous devez commencer à partir de la base. Vous cherchez à arriver au sommet ; descendez ici et commencez comme il faut.

184 C’est maintenant le moment de le faire, à Noël. C’était la naissance de Christ ; que Christ naisse en nous. Qu’est-ce que Christ ? Christ est la Parole. Combien savent cela ? « Au commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu. »

185 L’autre jour quelqu’un a dit, il a dit : « Frère Branham, vous, les gens vous connaissent comme un misogyne. » Je ne le suis pas. Je ne le suis pas. J’ai un véritable amour pour mes soeurs. Un homme se retournera, se disant que vous êtes belle, avec des yeux rouges et des yeux verts, et des cheveux coupés court, cet homme a une opinion différente de la mienne. Votre… J’aime cette âme qui est en vous, qui devra rencontrer Dieu. Voilà ce que je suis en train… Ma soeur pour l’éternité, ce n’est pas une certaine petite histoire de sexe ici sur terre qui va…

186 Combien ont déjà lu le déclin ou la chute de Rome ? Certainement. Considérer cela, c’est exactement ce que nous faisons : l’attrait sexuel. La jeunesse dans la condition où elle est, c’est exactement ce dans quoi on se retrouve maintenant, des problèmes raciaux. Et la jeunesse est en train de prendre le dessus, et les hommes et le sexe. Exactement la manière dont l’Empire Romain est tombé il y a mille huit cents ans, et voici de nouveau cette chose ici parmi les Gentils. Voyez-vous ? La confusion parmi les religions et tout… Oh ! quelle heure que celle dans laquelle nous vivons !

187 [Un message est donné. – N.D.E.] Amen. Le Seigneur Dieu a parlé. Je crois cela.

188 Maintenant, levons-nous. Quand Il parle, c’est le moment pour nous d’être respectueux. (Que dites-vous ?) Par la grâce de Dieu et avec l’aide de Dieu, je suis plus déterminé que jamais à soutenir cette Parole et à faire de mon mieux avec l’aide de Dieu pour me tailler de nouveau un chemin jusqu’à Bethléhem, là où les habitants de Bethléhem peuvent boire à cette Fontaine. Combien veulent se joindre à moi, avec les mains levées pour dire : « Je promets à Dieu que je vais le faire » ? Que Dieu vous bénisse.
Maintenant, inclinez la tête juste un instant, et je crois qu’un frère ici, frère Jeffries, vient ici. Il va congédier l’auditoire pendant que nous avons la tête inclinée pour la prière, si vous voulez bien. Très bien, frère.

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