Les Investissements
1 …d’avoir ces quelques minutes avec vous. Et je suis reconnaissant pour… envers frère Pearry pour m’avoir invité à venir ici, et pour toute votre collaboration. Je pense que c’est pour nous la troisième fois de visiter votre belle ville. Nous avons toujours trouvé les gens d’ici sociables et toujours causants, ouverts; qu’ils vous connaissent ou pas. J’ai visité certains milieux des affaires; comme c’est beau! Cela semble toujours différent de ce qu’il y a dans le nord où les gens sont froids. Eux, [quand] ils me voient entrer, ils prennent soin de moi, puis ils sortent et c’est tout. Mais ici, c’est très rare de visiter une maison sans que quelqu’un ne vous dise: «Merci, revenez nous voir.» J’aime cela.
2 Alors je pense que frère Pearry que voici, comme je l’ai appelé, c’est juste que… Je suis plus âgé que son père; ainsi, je pense que je peux l’appeler frère Pearry. Nous connaissions à peine ce garçon, c’est mon fils Billy Paul qui étudiait avec lui qui me l’avait présenté. Mais si dans cette ville ou dans les parages, dans le rayon où l’on peut capter la télévision, une personne est perdue au dernier jour, ce ne sera pas parce que frère Pearry n’a pas conjugué tous ses efforts pour essayer d’amener les gens à Christ. Il n’a certainement pas laissé une seule pierre qui n’ait été retournée. Et je considère que c’est un grand privilège pour moi d’être ici.
Lorsque frère Pearry m’a dit que j’allais parler à un petit banquet qu’il allait organiser et que certains de ses collègues dans les affaires allaient être ici… Je ne suis vraiment pas un orateur. Je – je ne prétends pas en être un. Mais je pense… Ce serait un honneur pour moi, après avoir reçu une telle invitation, de m’adresser aux – aux – à ses collègues dans les affaires.
3 J’ai eu le privilège de voyager dans beaucoup de nations à travers le monde, et je parle souvent aux chapitres des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Et je sais que ceci n’est qu’un petit moment de communion, ainsi j’aimerais dire quelque chose de délicat qui s’est passé une fois. Une fois un homme… après que j’avais fini de prêcher (C’était tous des hommes d’affaires), et là dehors, un homme est venu vers moi et m’a dit: «Vous êtes prédicateur, n’est-ce pas?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Qu’avez-vous à vous accrocher à ces hommes d’affaires?»
J’ai dit: «Je suis un homme d’affaires.»
Alors il a dit: «Oh! vraiment?»
Et j’ai dit: «Oui, je suis un homme d’affaires.»
Il a dit: «Quel genre d’affaires faites-vous, monsieur?»
Et j’ai dit: «L’Assurance-Vie Eternelle.» Et il ne m’a pas très bien saisi. Je l’avais dit rapidement.
Il a dit: «Oh! l’Assurance-Vie Eternelle?» Je n’avais pas dit «Assurance» [En anglais: «Insurance» – N.D.T.]. J’avais dit: «assurance.» Et il… Mais je ne le lui ai pas expliqué.
Et il a dit: «La Vie Eternelle?» Il a dit: «Je n’en sais rien, je ne crois pas en avoir déjà entendu parler.»
J’ai dit: «C’est bien dommage!»
«Eh bien, a-t-il dit, où se trouve le siège social?»
J’ai dit: «Au Ciel.» Je suis toujours dans ce domaine-là. J’aimerais parler d’une police d’assurance avec chacun de vous ce soir, après la réunion. Je suis très enthousiasmé pour mon travail. Et ainsi, comme je n’avais pas dit «assurance» [«Insurance», en anglais], j’avais dit «assurance»...
4 Avoir une «Assurance», est une bonne chose, cela va sans dire. Je me rappelle… Evidemment, je n’en ai aucune pour le moment. Je me rappelle, après que je me suis marié, ma femme et moi étions assis dans la maison un jour, et un grand ami à moi… Mon frère vend des assurances pour le compte de Western Southern. L’autre jeune homme en vendait pour le compte de Prudential. J’étudiais avec lui. C’était un très bon garçon. Son – son frère est rédacteur à La Chambre Haute de… Je pense que c’est un prédicateur baptiste, et il écrit des articles pour une petite revue appelée La Chambre Haute. Ce sont des gens très bien.
Alors, un jour il est venu me voir, et il a dit… Il a dit: «Billy, je – j’ai appris qu’une fois tu as été victime d’une escroquerie à propos de l’assurance.»
J’ai dit: «Oui.»
Il a dit: «Cela vous a-t-il laissé un sentiment quelque peu amer à l’égard de ces gens-là?»
J’ai dit: «Non, pas vraiment.»
Il a dit: «J’ai pensé venir te parler d’une police d’assurance, Billy.»
Et j’ai dit: «Bien.» J’ai dit: «Merci, Wilmer.» J’ai dit: «Je possède une assurance.»
Et il a dit: «Oh! excuse-moi.»
Et ma femme m’a regardé comme si j’étais un hypocrite. Elle savait que je n’en avais pas. Elle me regarda tout ébahie. J’ai dit...
Il a dit: «Oh! excuse-moi, Billy.» Il a certainement pensé que j’en avais eu une par mon frère Jesse.
Et j’ai dit… Ma femme m’a regardé, et j’ai dit: «Oui, j’ai une assurance.»
Et il a dit: «Auprès de quelle compagnie?»
Et je lui ai dit la même chose: «La Vie Eternelle.»
Et il a dit: «Oh! a-t-il dit; c’est de cela qu’il s’agit?»
Et j’ai dit: «Oui. J’ai une assurance bénie, Jésus est mien. Oh! quel avant-goût de la gloire divine! Je suis héritier du salut, acquis par Dieu, né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.»
Il a dit: «Billy, c’est très bien. J’apprécie cela. Mais ce n’est pas cela qui va t’amener là au cimetière.»
Mais j’ai dit: «Cela m’en fera sortir. Je ne me soucie pas… Je – je ne me soucie pas de comment y entrer; ce qui compte c’est d’en sortir.» J’aimerais toutefois vous parler d’une police d’assurance après la réunion si… Je suis sûr qu’elle vaut la peine.
5 Eh bien, d’habitude je demande aux gens de se lever lorsque nous lisons la Parole. Mais je vais essayer de m’en passer ce soir, parce que c’est si – si difficile pour vous de vous lever. Mais juste avant que nous lisions la Parole, inclinons simplement la tête pendant quelques instants, pendant que nous parlons à l’Auteur de la Parole; comme nous étions en quelque sorte en train de plaisanter les uns avec les autres, comme nous étions en quelque sorte en train de, comme nous le disons, en train de nous détendre.
Maintenant, prenons donc le côté sacré de la chose avec sincérité, et tournons nos coeurs vers le Ciel pendant que nous ouvrons la Parole. Eh bien, tout homme qui est en mesure de bouger ses mains peut ouvrir la Bible. Mais personne n’est vraiment en mesure d’ouvrir l’intelligence en dehors du Grand Saint-Esprit. Ainsi parlons-Lui.
6 Notre Père céleste, nous sommes certainement transportés de joie ce soir d’être assemblés ici avec ce groupe de gens de ce côté de l’éternité, et d’avoir cette belle communion. Et comme nous sommes assis autour de ces tables ce soir, les uns en face des autres, collègues dans les affaires et – et chrétiens, nous sommes conscients qu’il vient un autre temps où nous allons nous rencontrer. Nous espérons que nous serons tous là-bas, chacun sera présent à ce grand souper de noces dans les airs, lorsque le Roi sortira, essuiera toute larme de nos yeux et dira: «C’est bien, mes bons et fidèles serviteurs; entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.» Il doit y en avoir, Seigneur, qui ne Te connaissent pas de cette façon, et je prie ce soir que quelque chose soit fait ou dit, qui les amènera à changer leur façon de penser, à se tourner vers Toi; que ce soit ceux qui sont ici présents ou ceux qui suivent par – par le canal de la télévision, ou bien ceux qui suivront par les bandes qui sortiront d’ici.
Bénis-nous ensemble maintenant, et bénis la lecture de Ta Parole. Tourne nos coeurs et nos pensées vers la fin de cette vie, et ce que sera notre condition en ce moment-là. Car nous sommes sûrs, Père, que nous devrons tous quitter ce monde. Nous sommes des mortels. Et puissions-nous regarder à Celui qui est éternel, le Seul qui peut nous donner la Vie après celle-ci. Nous le demandons au Nom de Son Fils Jésus-Christ. Amen.
7 Maintenant, j’aimerais attirer votre attention, pour un petit instant, à la lecture de la Parole de Dieu. J’aimerais commencer à lire dans l’Evangile de Saint Marc, je pense, au chapitre 10, à partir du verset 17. Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut, et se jetant à genoux devant lui: Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle? Jésus lui dit: Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul. Tu connais les commandements: Tu ne commettras point d’adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne feras tort à personne; honore ton père et ta mère. Il lui répondit: Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, l’ayant regardé, l’aima, et lui dit: Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, prends ta croix et suis-moi. Mais, affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste; car il avait de grands biens. Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la Parole, alors que nous essayons de tirer de ceci un sujet et un contexte.
8 Eh bien, en réfléchissant sur le sujet [approprié] lorsqu’on est en compagnie des hommes d’affaires, et toujours… Je pense que les hommes d’affaires s’intéressent toujours aux – aux bons investissements; par conséquent, je vais intituler ce sujet pour les quelques prochaines minutes Les Investissements. Un véritable homme d’affaires recherche toujours un véritable investissement, un investissement sûr. Si ce n’est pas le cas, alors il n’est pas un véritable homme d’affaires. Il doit chercher quelque chose de réel. Et j’aimerais vous parler de l’invitation que je vous ai donnée, il y a quelques minutes, concernant cette police d’assurance-Vie Eternelle, étant donné que je me suis moi-même présenté comme un – un homme d’affaires. J’ai une affaire et j’aimerais vous en parler pendant quelques minutes. Et j’aimerais utiliser, pendant quelques minutes, ces quelques passages des Ecritures et ces références bibliques que j’ai inscrits ici, ces notes
Jouer aux jeux d’argent n’est pas une bonne affaire. N’importe qui le sait, jouer aux jeux d’argent n’est pas une bonne affaire, parce que c’est un jeu de hasard. Vous ne verrez jamais ou vous verrez rarement un homme qui joue aux jeux d’argent… Un jour il est riche, et le jour suivant il est en train de mendier. Alors vous prenez trop de risques en – en jouant aux jeux d’argent. Je pense qu’un homme qui joue aux jeux d’argent vit simplement sous l’impulsion du moment et ne regarde pas au futur, autrement il ne serait pas en train de jouer aux jeux d’argent.
9 Et je ne crois certainement pas dans ces investissements à vous rendre riche du jour au lendemain grâce à une certaine affaire non identifiée. Eh bien, tout véritable homme d’affaires ne prendrait pas un tel risque, que ce soit sur vos – vos épargnes ou vos revenus. Et allez-vous investir cela dans une quelconque affaire à vous rendre riche tout de suite, une affaire non identifiée, quelqu’un qui circule avec une certaine idée? «Nous avons – nous avons une certaine entreprise par ici.» Une société qui n’a aucun renom. Je pense qu’un homme bien raisonnable devrait avoir perdu la tête pour essayer de faire un investissement dans une telle société, parce que… J’avais un ami qui – qui, une fois, avait essayé une telle chose. Et lorsqu’il l’a fait, il – il a perdu tout ce qu’il avait. Et il a perdu le fruit de tout son travail, il était sur le point de prendre sa retraite. Et il s’est dit: «Eh bien, je vais – je vais tenter ma chance; en effet, l’homme me semblait… il savait de quoi il parlait.» Mais cet ami a fini par découvrir que la société en question n’était qu’une société fictive, sans capital ni rien. Le pauvre gars a donc perdu tout ce qu’il avait. Ainsi, je pense que si un homme veut faire un bon investissement, il devrait d’abord examiner la société ou ce dans quoi il investit, afin de savoir ce qu’il va faire. Je pense que toute personne sensée ferait cela.
10 Et puis en outre, avant que je continue, j’aimerais dire que ce n’est pas une bonne idée que de garder votre argent en poche. Bien des gens disent: «Je – je vais juste mettre cela dans ma poche. Et je – je – je possède cela.» Mais vous savez, vous les hommes et les femmes d’affaires, ne réfléchissez pas de cette manière. Ce n’est pas une bonne chose, parce que cela pourrait être volé. C’est mieux d’avoir cela en circulation.
C’est comme le Seigneur l’a dit une fois… Il a donné beaucoup de talents à plusieurs personnes, et ainsi de suite, et puis Il – ils ont investi cela. Et à ceux qui avaient fait un investissement sûr, Il accorda des dividendes.
Mais lorsqu’un homme a dit: «J’ai simplement – j’ai simplement gardé cela. Je – je ne voulais pas courir des risques avec. Je – je l’ai gardé dans ma poche,» ou bien «j’ai enterré cela quelque part.», alors Il retira ce qu’Il lui avait donné et le remit à celui qui avait produit le plus de bénéfices, il a investi cela dans une bonne affaire. Et ça, c’est la manière d’agir de notre Seigneur.
11 Maintenant, si vous allez investir dans quelque chose dont vous voulez être sûr, vous chercherez une bonne entreprise fiable qui a déjà donné des preuves montrant qu’elle va payer de bonnes dividendes. Eh bien, voilà un investissement très sûr, après que vous avez testé l’entreprise. Vous connaissez son expérience passée, vous avez eu des entretiens avec une personne qui a déjà traité avec cette entreprise, et vous avez entendu le témoignage de tout le monde. «A cent pour cent, ils sont toujours à l’heure pour le versement de leurs dividendes. Et – et ils possèdent un capital important, et c’est une société qui ne va pas tomber en faillite.» Voilà un investissement très sûr. Eh bien, les gens ont appris cela toute leur vie durant.
12 Eh bien, ce soir notre prédication porte sur une Ecriture qui parle d’un jeune Hébreu qui était un jeune homme riche. Peut-être qu’il était issu d’une très bonne famille. Son témoignage montrait sans aucun doute qu’il était issu d’une – une bonne famille. Dans la Bible il est appelé «le jeune homme riche.» [Littéralement: «Le jeune chef riche» – N.D.T.] Je vais changer cela ce soir, juste un peu et l’appeler «le jeune homme d’affaires riche», parce qu’il tenait une affaire, et il s’intéressait aux – aux affaires.
Sans doute que son père était un grand homme d’affaires prospère, sinon il n’aurait pu avoir ce qu’il possédait. Et il était élevé pour – pour être un homme d’affaires. Et il a vu quelque chose dans ce jeune Homme de Galilée, ce jeune Prophète du Nom de Jésus de Nazareth. Sans doute qu’il a entendu son prêtre parler de Lui, et peut-être parler en mal de Lui. Mais lorsqu’il vit pour la première fois le Seigneur Jésus, il y avait quelque chose en Lui qui le rendait différent de tout autre homme.
Et, en tant que chrétien, je dis que c’est vraiment… les choses n’ont pas changé. Nous avons de grands théologiens dans le pays, partout dans le monde, nous en avons eus pendant des milliers d’années, qui peuvent nous présenter un credo; et ils ont été formés dans ces crédos, et dans une église qui est – qui est une église bien établie. Toutefois, cela n’est pas ma… la police d’assurance dont je suis en train de parler ce soir. Je parle de la Vie Eternelle.
13 Et ce jeune homme savait qu’il était un membre d’église, mais en voyant en Jésus quelque chose de différent… Ainsi, l’occasion lui était offerte de faire un investissement, lorsqu’il a rencontré Jésus et qu’il a vu ce qu’Il était en train de faire. Et il avait lu sa Bible et a voyait en Jésus la chose que… avait entendu ses prophètes être lus dans son église, et ce qu’ils étaient, et sans doute qu’il avait étudié cela. Et ainsi, lorsqu’il vit dans ce Jésus de Nazareth, que le peuple prenait probablement pour un prophète, il a vu quelque chose dans cet Homme qui L’identifiait aux Ecritures.
Et je pense que cela n’a pas beaucoup changé aujourd’hui. Pour nous qui lisons et aimons la Bible, si nous jetons vraiment un coup d’oeil sur notre conception intellectuelle de ce que Jésus était et de ce qu’Il est, cela change complètement notre attitude. Nul n’est pareil à Lui. Peu importe combien nous disons un bon… Nous comprenons qu’Il… Nous supposons qu’Il n’avait pas beaucoup d’instruction, et qu’il parlait comme un homme ordinaire, s’habillait comme un homme ordinaire et vivait avec le commun des mortels. Mais il y avait pourtant quelque chose de remarquable dans cet Homme. Et cela attira l’attention de ce jeune homme, étant donné qu’il possédait peut-être toute la richesse du monde dont il avait besoin et qui pouvait lui servir toute sa vie, et il en était satisfait. Mais il vit que cet Homme regardait dans le futur et leur révélait les choses qui allaient venir, et qu’Il s’identifiait dans les Ecritures. Et Dieu s’identifiait dans cet Homme.
14 Eh bien, il n’y a pas un seul homme qui vit, étant dans son bon sens, qui ne s’est jamais demandé d’où il vient, qui il est et où il va. Il y a beaucoup de livres qui ont été écrits. Les philosophes se sont levés et ont sombré. Mais il n’y a qu’un seul Livre qui vous dira qui vous êtes, d’où vous venez et où vous allez, et c’est la Bible. C’est le seul Livre. Tous les bons livres que nous avons, vous pouvez y trouver à redire. Celui-ci est la Vérité. Tout ce qui est contraire à Ceci est faux.
«Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira jamais. Que toute parole d’homme soit un mensonge, et la Parole de Dieu reconnue pour vraie.» Et lorsque vous voyez devant vous quelque chose si clairement… Et les Ecritures ont promis ce que le Messie était censé être en ce jour-là, et ce jeune homme a vu cela être identifié par Dieu. Alors cela faisait de Jésus un Homme totalement différent de tout autre homme qu’il avait déjà vu.
L’occasion lui était donc donnée. Lorsqu’il rencontra le Seigneur Jésus, peut-être qu’il L’avait vu dans Ses réunions, dans un de Ses services, il courut jusqu’à Lui et tomba à Ses pieds, montrant par là qu’il L’approchait avec une attitude correcte. Et il a dit: «Bon Maître, que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle?» Eh bien, voilà la chose dont il s’agissait, il ne s’agissait pas de son argent, il ne s’agissait pas de dire: «Puis-je adhérer à votre église, monsieur?» ou «puis-je devenir membre de votre organisation?», mais «Que dois-je faire pour avoir la Vie Eternelle?» C’était ça la question.
L’occasion lui était donnée de la recevoir, mais il a pris une décision irréfléchie. Il était… Il rejeta cela. Il n’était plus intéressé lorsqu’il découvrit ce qui allait de pair avec la chose. Il avait compris que pour y arriver, il devait renoncer à sa popularité; en effet, Jésus était impopulaire, je dirais grosso modo que quatre-vingt-dix pourcent de gens ne croyaient pas en Lui, ou peut-être quatre-vingt-quinze pourcent de gens étaient… Les gens ne croyaient pas en Lui, ils Le prenaient pour un possédé, et beaucoup de gens Le traitaient de Béelzébul, d’un démon. Et pourtant les Ecritures L’identifiaient parfaitement. Il les a renvoyés aux écritures, en disant: «Sondez les Ecritures; car en Elles vous croyez avoir la Vie Eternelle; et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi, ou qui disent Qui Je suis.»
15 Ce jeune Hébreu avait été élevé dans un foyer, et il savait que la Bible, les rouleaux leur avaient – avaient clairement dit que Dieu, Jéhovah avait dit: «S’il se levait parmi vous quelqu’un de spirituel ou un prophète, Moi, l’Eternel, Je me ferai connaître à lui par des visions. Et si ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez ce prophète, car Je suis avec lui. Mais si cela n’arrive pas, alors n’écoutez pas cela.» Ça, c’est un langage clair. Ce n’est que raisonnable. S’il a déclaré une chose et que cela n’arrive pas, c’est donc un mensonge. Dieu ne l’a pas dit. Mais s’il déclare une chose et que cela – cela arrive effectivement, alors c’est la vérité. Et rien n’est plus vrai que la vérité.
Ainsi ce jeune homme avait vu cela dans le Seigneur Jésus, et il savait que c’est Lui qui détenait les clefs de la Vie Eternelle, et il voulait avoir cette Vie Eternelle. Mais il rejeta l’occasion de faire son investissement. Il n’était pas intéressé par un tel investissement, bien que le – le – c’était bien identifié qu’Il était le Fils de Dieu, c’était parfaitement identifié. La vierge avait conçu, elle a enfanté le Fils. Il avait accompli tous les signes que le Messie était censé accomplir. Mais pour L’accepter, il devait abandonner sa tradition, il devait y renoncer.
16 Nous aimons appliquer cela seulement au – à ce jeune homme juif. C’est bien dommage pour nous de devoir aussi remarquer cela, la même chose aujourd’hui. C’est un grand prix. Nous pouvons appliquer cela aux églises d’aujourd’hui. Et souvent les gens qui se disent croyants ne veulent pas se séparer et renoncer aux choses du monde, comme ce jeune chef à qui il était demandé de souscrire une police d’assurance pour la Vie Eternelle. Et pourtant nous aussi, après avoir vu cela bien identifié par les Ecritures, que les polices d’assurance sont toujours accordées à tout celui qui voudrait recevoir cela…
Comme je l’ai dit, il a vu en Jésus quelque chose qu’aucun homme n’avait. Mais le prix à payer était tellement élevé qu’il n’a pas voulu le faire. C’est la même chose aujourd’hui, alors que je pense que je suis en train de parler à différentes dénominations ce soir: aux méthodistes, aux baptistes, aux presbytériens, aux catholiques romains, aux Juifs orthodoxes, aux bouddhistes, et aux autres qui font partie des hommes d’affaires de cette ville. Mais il y a…
Lorsque vous voyez réellement de vos propres yeux quelque chose que l’Ecriture a identifié comme étant la vérité, nous serions les gens les plus déraisonnables en rejetant cela, si nous sommes intéressés par la Vie Eternelle. Ce serait une décision aussi irréfléchie que celle que ce jeune homme avait prise. Bien des fois, même notre clergé aujourd’hui commet la même erreur fatale, bien qu’ils soient des érudits raffinés qui connaissent leur credo de A à Z. Mais, souvenez-vous, ces prêtres de l’époque connaissaient aussi leurs rouleaux de A à Z, mais ils manquèrent de voir ce qu’avait vu ce jeune homme. Et son intérêt, c’était de recevoir de Jésus la Vie Eternelle, mais lorsqu’il vit ce que cela allait lui coûter, alors il n’était plus intéressé.
17 Vous savez, la Bible nous dit que dans cet âge dans lequel nous vivons, et comme notre très aimable frère Pearry nous l’a montré, il croit que c’est dans les derniers jours que… Je crois fermement cela de tout mon coeur, assurément. Je crois que les Ecritures identifient cela. Je crois que – que – que la science identifie cela. Les hommes de science disent qu’il est minuit moins trois. Le – le… Les programmes que nous suivons à la télévision, et – et à la radio, et – et la façon dont les gens se comportent… Comme j’en ai fait une remarque ici, ou ailleurs, cela me rappelle toutes les extravagances auxquelles les gens se livrent, cela me fait penser à un petit garçon qui traverse un cimetière la nuit en sifflant, pour essayer de se persuader qu’il n’a pas peur, alors qu’il a peur.
C’est cela le problème avec tout notre penchant pour les actes que nous commettons aujourd’hui, toutes nos extravagances populaires. Nous cherchons à amener les gens à penser que nous ignorons que l’heure est proche. Mais nous savons qu’elle est proche. Nos hommes de science le savent, notre… Le Pentagone le sait, tous – tous nous savons que quelque chose est sur le point d’arriver. Vous – vous pouvez sentir cela directement dans l’atmosphère, et nous savons que c’est proche.
18 Et la Bible nous dit dans Apocalypse, chapitre 3, que dans cet âge de Laodicée, l’église va être identifiée à ce jeune riche hébreu: elle est riche, elle n’a besoin de rien, cet âge de Laodicée. (S’il y a des ministres ou des lecteurs de la Bible ici.), ceci c’est l’âge de Laodicée. Et elle dit: «Parce que je suis riche, je suis assise en reine, je n’ai besoin de rien…» Il a dit: «Ne sais-tu pas que tu es malheureuse, pauvre, aveugle, misérable, nue, et tu ne le sais pas?»
La chose la plus triste de cette citation des Ecritures : si nous voyons sur la rue un homme ou une personne aveugle, nue, misérable et pauvre, ce serait une scène horrible. Il n’y a pas une seule personne qui ne courrait vers lui aussi vite que possible pour lui dire: «Mon ami, vous êtes nu. Vous devez… Vous devez… Vous vous êtes exposé. Entrez vite dans la maison, et – et laissez-moi vous donner des vêtements, et je vous emmènerai quelque part pour voir si je peux trouver un médecin pour vous rendre la vue», ou bien pour essayer de faire quelque chose pour cette personne.
19 Qu’en serait-il si vous rencontrez une telle personne et qu’elle se retournait et vous demandait de vous occuper de vos propres affaires? La personne ne sait même pas qu’elle se trouve dans cet état-là. Eh bien, si vous vous trouvez dans cet état et que vous en soyez conscient, ce n’est pas si grave que ça. Mais lorsque vous êtes dans cet état et que vous ignorez cela, voilà qui est dommage. Vous ne pouvez pas leur en parler. Et cette Ecriture doit s’accomplir comme tout le reste des Ecritures.
La Bible dit que cette situation prévaudrait dans les derniers jours. Et ils ont rejeté Jésus, et Il se trouvait à l’extérieur de l’église, cherchant à entrer. Ils L’ont rejeté, c’est juste aussi clair que ce que ce jeune Hébreu a fait. Et celle-ci est une Eglise des Gentils, l’Eglise-Epouse, appelée à sortir, celle qui est appelée l’Eglise chrétienne des derniers jours. Mais ils L’ont mis à la porte pour la même raison qui poussa ce jeune homme d’affaires hébreu à Le rejeter. Le prix à payer était trop élevé. Ils ne peuvent pas accepter cela.
20 Ici la Bible dit qu’ils étaient riches, ils disaient qu’ils n’avaient besoin de rien. Ce jeune homme était riche et n’avait besoin de rien. «Nous sommes une merveilleuse dénomination. Nous avons érigé de grands ordres. Nous possédons une fraternité. Nous possédons tous les ceci, cela et tout. Nous avons eu nos crédos depuis des centaines d’années. Nous sommes établis… Nous n’avons besoin de rien. Ne nous dites rien à ce propos.» Eh bien, c’est une attitude plus arrogante que celle que ce jeune homme avait affichée. Il n’avait pas affiché une telle attitude. La Bible dit que Jésus le regarda et l’aima.
Je me demande aujourd’hui, si au milieu de toute notre confusion et toute notre mondanité (et nous essayons toutefois de confesser toujours que nous sommes des chrétiens), si ce n’est pas l’amour de Dieu qui oblige les ministres à rester dans le champ missionnaire. Je me demande si ce n’est pas la même chose qu’on retrouve ici où nous Le voyons en train de frapper à la porte, cherchant à entrer. Maintenant, nous voyons ces choses, les gens… Cela a toujours été ainsi tout au long des âges.
21 Maintenant, afin d’épargner le temps pour parler encore de cette police d’assurance, je suis juste en train de vous en donner momentanément un bref aperçu. Eh bien, ce riche garçon n’avait pas demandé d’adhérer à son église, il – il en était membre. Il l’avait démontré. Jésus lui a dit: «Observe les commandements. Tu connais les commandements. Tu ne commettras point d’adultère; tu ne voleras point; tu ne mentiras point; tu ne commettras point de fraude, et tu… Et puis, honore ton père et ta mère.»
Et ce jeune homme a prouvé qu’il était un garçon aimable et cultivé, non pas juste comme ce que nous appellerions aujourd’hui un voyou. Il était un bon garçon, il a été élevé dans une bonne famille. Il a dit: «Maître, j’ai observé ces choses dès ma jeunesse, durant toute ma vie.» Voyez-vous? Il montra que ses parents étaient de bons parents. Il fréquentait une église qui croyait dans l’observation des commandements.
Mais pourtant, dans l’église, l’observation des commandements ne donnait toujours pas la chose qu’il voyait en Jésus. Il savait qu’avec nos crédos, notre église, et l’observance des commandements, cela ne nous donne pourtant pas la Vie Eternelle. Cela ne donnait pas la Vie Eternelle en ce temps-là; cela ne nous La donne pas non plus aujourd’hui. Vous devez faire quelque chose.
22 Eh bien, nous voyons que ce n’était pas parce qu’il n’était pas membre d’une église, ce n’était pas parce qu’il n’avait pas une bonne moralité. Il remplissait ces conditions. Mais, nous pouvons être membre d’une église et avoir une bonne moralité sans pour autant avoir la Vie Eternelle. Il ne s’agit pas de connaître la Parole… Certains d’entre eux sont des théologiens, des érudits, des enseignants de l’école du dimanche, d’autres tiennent des conférences sur la Bible. Mais cela ne veut rien dire. Satan connaît cette Bible mieux que n’importe qui d’entre nous. La Bible dit que Le connaître Lui, c’est la Vie; il ne s’agit pas de connaître la Parole, Le connaître Lui, c’est la Vie. Satan croit aussi, et il tremble. Mais nous devons passer par une expérience de la mort, de l’ensevelissement et de la résurrection de notre vieille vie pour passer à la nouvelle Vie, qui vient de Christ. Cela ne vient que par le Saint-Esprit, la nouvelle Vie.
23 Maintenant, passons en revue certaines personnes qui détenaient cette police d’assurance tout au long des âges, et voyons si cela paie ou non. Ainsi, comme je vous l’ai dit au début, je voudrais vous faire comprendre que vous devez consulter quelqu’un lorsque vous êtes sur le point de faire un investissement. Voyez ce qui se passe, ce qui… Cela rapporte-t-il vraiment? Vous devriez appliquer cela dans vos affaires. Je veux parler de quelques détenteurs de cette police d’assurance.
Ce soir, j’aimerais attirer votre attention là dans la Genèse sur un prophète du nom de Noé. Bien qu’il fut mis à l’épreuve de toutes les manières possibles pour qu’il puisse… Satan l’a mis à l’épreuve de toutes les manières possibles pour l’amener à renoncer à cette police d’assurance, mais Noé tint à la promesse de Dieu, la police d’assurance de la Vie, parce que Dieu lui avait dit que tout ce qui serait en dehors de l’arche serait détruit. Et bien que cela semblait assez inhabituel pour ces gens à la conception moderne de son temps…
24 Ce qui fait de l’Evangile ce qu’il est aujourd’hui, c’est son caractère inhabituel, parce que Dieu est inhabituel. Sa Parole est interprétée d’une manière inhabituelle par rapport à la façon dont Elle nous a parfois été interprétée. Mais comme je l’ai dit avant, Dieu n’a besoin de personne pour interpréter Sa Parole. Il donne Sa propre interprétation en – en accomplissant les choses qu’Il avait annoncées. Il interprète Sa propre Parole. Il n’a pas besoin de notre interprétation. C’est… Notre interprétation, ce sont nos propres pensées conçues par les hommes que nous y injectons.
Lorsque Dieu dit: «Que la lumière soit», et la lumière fut; cela n’a besoin d’aucune interprétation. Dieu a dit: «Une vierge concevra», et elle a conçu. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Jésus a dit: «Le Fils de l’Homme monte à Jérusalem, et sera livré entre les mains des pécheurs qui vont Le crucifier; mais le troisième jour Il va ressusciter.» Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin de l’âge, jusqu’à la consommation.» Il est ici. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. C’est Sa promesse.
«Les oeuvres que Je fais, vous le ferez aussi. Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi.» Cela se trouve dans Saint Jean 14.12, et nous savons que c’est vrai. Alors cela – cela n’a besoin d’aucune interprétation.
25 Noé avait la Parole de Dieu, il s’y était accroché parce qu’il était détenteur d’une assurance de Vie – une assurance-Vie. Il détenait l’assurance. Et il était un courtier d’assurances, et il s’en allait partout. Mais parce que cela était impopulaire, il n’a pas pu amener les gens à y souscrire, excepté sa propre famille. Il était… Sa – sa police d’assurance semblait être complètement démodée aux yeux des gens. Elle semblait être contraire au raisonnement scientifique du jour. Une pluie qui descendrait du ciel; il n’avait jamais plu sur la terre, vous vous en souvenez. La terre se tenait droit. Nous pouvons prouver cela aujourd’hui, qu’autrefois la terre se tenait dans cette position-là. Et Dieu arrosait la végétation par l’irrigation et par les sources qui jaillissaient de la terre.
26 Eh bien, les savants de ce temps-là étaient probablement de loin plus intelligents que ceux de nos jours, parce qu’ils ont bâti le Sphinx, les pyramides et autres… des choses que nous ne pouvons pas essayer de réaliser aujourd’hui. Nous n’avons pas la puissance qui puisse – puisse faire cela. Mais eux ont construit ces choses. Et je pense qu’ils pouvaient atteindre la lune à l’aide des radars, ou de ce qu’ils avaient en ces jours-là. Jésus a dit: «Ce qui arriva au temps de Noé (une autre civilisation semblable à cela) arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme.»
Vous voyez, tout récemment, on a déterré une centrale hydraulique moderne par ici, dans l’ancienne Mexico. On n’a pas du tout de renseignements historiques là-dessus. Cela provenait probablement d’un autre âge passé. Jésus a dit: «Ce qui arriva en ce jour-là.» C’étaient des hommes habiles, intelligents. Mais si c’est ce qui était arrivé, il y aura donc une police d’assurance qui sera offerte aux gens. C’est ce qu’Il a dit.
27 Noé… peut-être qu’il n’était pas en mesure de fournir des explications. Pendant que la science disait: «Nous pouvons prendre des instruments et prouver qu’il n’y a pas de pluie là-haut. Vous avez perdu la tête, monsieur.» Malgré tout, il savait que la Voix qui lui avait parlé, c’était Dieu. Alors, si Dieu a dit que l’eau allait tomber de là-haut, même s’il n’y en avait pas… Dieu est Elohim, Celui qui existe par Lui-même. Il est le Tout-Suffisant. S’Il a dit qu’il peut y avoir de l’eau là-haut, Il est capable de mettre de l’eau là-haut afin de tenir Sa Parole.
28 Notre père Abraham, qui est le père d’une multitude de nations… S’il y a des Juifs qui sont assis là, et qui se demandent comment les Gentils y ont été introduits, Abraham était le père des plusieurs nations. Et il ne douta point au sujet de la promesse de Dieu par incrédulité. Il détenait aussi une police d’assurance. Dieu lui avait fait la promesse d’être le père d’une multitude de nations, non seulement de la nation juive, mais des autres nations dont il serait le père.
Remarquez. Comme il avait cru, la promesse que Dieu lui avait donnée était absurde, extrémiste. Il avait soixante-quinze ans et Sara en avait soixante-cinq avant que la promesse ne lui fût donnée. Mais il se sépara d’avec les incrédules, parce qu’il savait qu’il était héritier de la justice par la volonté de Dieu. Et peu importe combien de temps cela a pris...
Il se peut que le premier mois soit passé, et il a dit à Sara: «Comment te sens-tu?»
«Il n’y a aucun changement.»
Il a dit: «Nous allons avoir le bébé de toute façon. Dieu l’a dit. Va de l’avant et confectionne des chaussons; apprête tout. Dieu a dit que nous allons l’avoir. Cela règle la question.»
La première année s’est écoulée. «Chérie, comment te sens-tu?»
«Aucun changement?»
«Bien, ça va être un miracle plus grand que ça l’aurait été si cela était arrivé le premier mois.» Voyez, elle avait dépassé de dix ans l’âge de la ménopause lorsque la promesse fut donnée. Ils n’avaient pas eu d’enfants. Elle était inféconde et il était stérile, alors ils… Mais il s’accrochait toujours à cette police d’assurance parce que c’était la Parole de Dieu, une promesse. Il ne voulait pas y renoncer.
29 Et la Bible dit qu’Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu, sachant ceci que Dieu peut accomplir ce qu’Il a promis. Alors l’enfant naquit parce qu’il détenait la – la police d’assurance.
Noé détenait sa police d’assurance, et celle-ci sauva sa vie. C’était la récompense: ce n’était pas seulement pour sa vie à lui, mais pour la vie de sa famille, cela a rapporté, en sauvant leurs vies.
Parlons d’un autre investisseur, concernant cette assurance-Vie Eternelle. Le prophète Daniel, comme nous appellerions cela… (Je vous prie de me pardonner pour cette expression mondaine. Je ne devrais pas l’utiliser, ici à la chaire. C’est la seule façon pour moi de l’exprimer.) Dans les moments cruciaux…
Le roi Nebucadnetsar avait fait une incursion et avait déporté les enfants d’Israël, parce qu’ils s’étaient éloignés de Dieu. Ils avaient…
30 Ils continuaient à offrir leurs sacrifices… Lorsque Dieu leur demanda d’offrir des agneaux, des taureaux et ainsi de suite. Le jour de l’expiation un homme, un bon Juif descendait la rue avec un taureau bien gras ou – ou un petit agneau sous le bras, il allait pour l’offrir pour son péché; il était sincère lorsqu’il tuait cet agneau-là, et le prêtre l’égorgeait, et l’homme posait ses mains sur l’animal, conscient que cette vie-là était ôtée afin de sauver la sienne. Il était sincère en faisant cela. Et aussi longtemps qu’il était sincère, c’était en ordre.
Mais il y eut un temps où cela devint une tradition familiale. Alors Dieu dit… Il envoya sur la scène un prophète du nom d’Esaïe. Il a dit: «Vos sacrifices et vos fêtes solennelles sont une puanteur dans Mes narines.» C’est là que nous en sommes arrivés. Nous nous joignons à une église, ce qui est très bien. Nous faisons ces choses.
Mais lorsque vous demandez: «Etes-vous chrétien?»
«Je suis méthodiste.»
«Je suis baptiste.»
«Je suis presbytérien.»
«Je suis pentecôtiste» ou quelque chose d’autre.
Ça, c’est une tradition. On n’y entre plus avec sincérité. Ils ne veulent pas avancer, se conformer aux Ecritures et tout le reste. Ils vivent juste de n’importe quelle manière qu’ils veulent. S’ils ont un pasteur qui essaie de les corriger, ils les mettent dehors. Ils n’ont rien à faire avec lui, s’il ne peut pas introduire Hollywood dans l’église (les fêtes, les parties d’arnaque, les soupers de bienfaisance et tout le reste). Ils laissent les femmes se comporter comme elles veulent, s’habiller comme elles veulent, de façon immorale et tout. L’attrait sexuel est devenu une tendance moderne. C’est une disgrâce.
31 Jésus a dit à cette femme: «Tu peux être vertueuse au possible, mais tu répondras au jour du Jugement pour avoir commis adultère, en portant ces vêtements.» Jésus a dit: «Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.» Et peu importe combien vous êtes innocente, ce pécheur répondra pour avoir commis un adultère, et c’est à cause de vous qui vous êtes présentée comme cela. Vous les chrétiennes, n’avez-vous pas honte? Vous devriez vous comporter comme des filles de Dieu.
Et vous les hommes (membres d’église, diacres, même ministres) qui autorisez vos femmes de faire cela, vous devriez être des fils de Dieu. Ce n’est pas là le comportement d’un fils de Dieu ayant la nature de son Père en lui. Vous avez peur de dire quoi que ce soit, parce que l’organisation va vous mettre dehors. C’est vrai.
32 Daniel résolut de ne pas souiller son investissement. Voici ce qu’il avait résolu: «Peu importe le monde, combien le roi est riche, et combien il essaie de m’attirer vers les choses du monde, je ne les ferai pas. Je ne vais pas souiller mon investissement.»
Oh! toi monde chrétien, ne souille pas ton investissement que tu as fait dans la Vie Eternelle. Tu vas polluer cela. Daniel avait résolu de ne pas faire cela. Cela a rapporté en sauvant sa vie, lorsqu’il fut jeté dans la fosse aux lions. Son investissement a vraiment rapporté.
Les enfants hébreux étaient déterminés à ne pas adorer une idole. Et cela rapporta, en sauvant leur vie dans une fournaise ardente.
33 Ensuite vint Simon Pierre, un bon pharisien, qui avait appris de son père qu’il y aurait un jour où – où le Messie viendrait. Tout au long des âges, les Juifs avaient attendu cela. Et sans doute que son père lui a dit: «Mon fils…» (Je – j’ai lu une petite histoire à ce sujet une fois; il se pourrait que ça soit de la fiction. Je ne dis pas que c’était authentique.) Mais il a dit: «J’ai attendu l’heure de la Venue du Messie.» Et il a continué, disant: «Je – je – je sais qu’avant que ce temps arrive, il y aura toutes sortes d’ismes, de fausses choses qui vont sortir. Mais, mon fils, tu es un Hébreu, et nous avons été enseignés, en tant qu’Hébreux, à croire nos prophètes, car la Parole de l’Eternel ne vient qu’aux prophètes.»
Le Seigneur a dit: «Je ne fais rien sans l’avoir premièrement révélé à Mes prophètes.» Et ce Messie… Moïse a dit: «Le Seigneur votre Dieu, vous suscitera d’entre vos frères un prophète comme moi.» Et le Messie ne sera pas un pédagogue; Il ne sera pas une dénomination; Il sera un prophète. Et il aura la Parole de l’Eternel.»
34 André avait entendu Jean le baptiste parler d’un tel Homme qui venait. Mais alors, un jour Simon lui-même s’avança dans la Présence de ce Jésus de Nazareth. Dès qu’Il le regarda, Il dit: «Tu t’appelles Simon, et tu es fils de Jonas.» Immédiatement, il souscrit une police d’assurance. Il a reconnu que c’était le Messie. C’était l’Ecriture confirmée de Son jour, le Messie. Comment les autres ont-ils manqué de voir cela?
Quelqu’un qui se tenait là, du nom de Philippe, a effectué à peu près quinze miles [24,14 km – N.D.T.], en contournant la montagne pour se rendre chez un ami nommé Nathanaël. Ils avaient fait ensemble les études bibliques. Peut-être que leur conversation était à peu près comme ceci, lorsqu’il l’avait trouvé sous l’arbre, en prière. Il a dit: «Nathanaël… alors…» (Naturellement, étant un gentleman qui suivait Jésus…) Tout homme qui suit Jésus sera un gentleman. Alors il l’a trouvé en train de prier, et il a attendu un moment. Mais remarquez, il ne lui a point parlé de son oliveraie et autres. Il est allé droit au but: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»
Nathanaël a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens voir.» C’est la meilleure réponse qu’un homme puisse donner à un autre. «Viens voir par toi-même; ne reste pas à la maison pour critiquer. Viens découvrir cela par toi-même.»
35 Et chemin faisant, leur conversation pourrait avoir été comme suit. Peut-être que Nathanaël a dit: «Tu sais, ça fait des années que nous attendons le Messie. Tu sais, Philippe, que nous avons étudié cela. Eh bien, je crois que si le Messie vient, Dieu va déployer les corridors du Ciel et faire descendre les corridors par un escalier, directement sur – ou sur la cour de notre grand temple, là où se trouve Caïphe, notre souverain sacrificateur... le Messie dira: «Me voici.» Oui, oui.
Mais ce n’est pas ainsi que l’Ecriture dit qu’Il viendrait. Il ne viendra que comme l’Ecriture l’a annoncé. Il vient comme un prophète, juste comme Moïse… un homme ordinaire, un berger.
Remarquez. Lorsqu’il est entré dans la Présence du Messie, et Il était dans la ligne [de prière], ou en train de prier pour les malades, ou quelque chose de ce genre, nous voyons que le Messie l’a regardé et a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, vous pourriez penser que c’était à cause de la façon dont il était habillé. Mais souvenez-vous, tous les peuples orientaux s’habillaient de la même façon: ils portaient un turban, ils étaient barbus et ainsi de suite. Souvenez-vous que Jésus avait marché avec eux sur le chemin d’Emmaüs durant toute la journée après Sa résurrection, et ils ne Le reconnurent même pas, ils s’habillaient de façon identique.
Ainsi, nous découvrons qu’étant dans Sa glorieuse Présence, il a dit: «Rabbi.» Ce brave jeune Hébreu a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Quand m’as-Tu connu, comment as-Tu su que je suis un Israélite honnête… ayant la réputation qui est la mienne? Tu ne m’as jamais vu avant. Comment m’as-tu connu?»
Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, lorsque tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Il a souscrit une police d’assurance. Il tomba à Ses pieds comme cet autre jeune homme là avait fait. Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Son nom est immortel aujourd’hui.
36 Il y avait une petite femme, je pourrais parler d’elle à cause de ces dames qui se tiennent là. Cette petite dame n’était pas comme vous. L’église l’accusait d’avoir une conduite immorale. Peut-être, encore petite fille, elle avait été jetée dans la rue à tort. Peut-être que ses parents n’avaient pas pris soin d’elle. Elle était moitié Juive, moitié femme des Gentils, elle était une Samaritaine.
Souvenez-vous, il n’y a que trois races de gens, si nos Saintes Ecritures sont vraies. Que Dieu me pardonne d’avoir dit: «Si Elles sont vraies.» Elles sont vraies. C’est Dieu Lui-même. «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous.» Le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Alors cette jeune femme, ayant été rejetée…
37 D’abord, je pourrais expliquer qui sont les descendants de Cham, Sem et Japhet. Eh bien, nous les Gentils, nous étions des païens à l’époque. Nous adorions des idoles. Mais les Juifs et les Gentils attendaient le Messie. Et Il ne vient que vers ceux qui L’attendent. Parfois nous disons aujourd’hui que nous L’attendons; et nous plaçons des millions et des milliards de dollars et tout dans la construction des institutions et autres. Cela m’étonne. Et des missionnaires crèvent de faim dans le champ missionnaire. J’en connais ce soir qui sont là-bas en train de prêcher sans chaussures aux pieds. Nous plaçons des millions et des millions de dollars dans des futilités. Donc… Eh bien, nos propres actes condamnent notre témoignage.
38 Mais cette jeune femme-ci, selon que nous la connaissons, était une Samaritaine. Jésus était en route pour Jéricho, qui était située en bas par rapport à Jérusalem. Mais Il fit un détour par la Samarie, arriva dans une ville nommée Sychar, et y envoya les disciples acheter des vivres, de la nourriture. Et pendant qu’ils étaient partis, cette jeune femme est venue pour puiser de l’eau. Et Il – Il lui dit: «Apporte-moi à boire.»
Et elle regarda tout autour et Le vit. Il était un Juif. Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que Toi, Tu me demandes à boire.»
Elle a dit: «Tu es un Juif.»
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui me demanderais à boire. Et je te donnerais une eau qui n’est pas celle que tu viens puiser ici.» Alors la conversation s’est poursuivie sur la religion. Finalement, Il contacta sa vie. Il dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»
Elle dit: «Je n’ai pas de mari.»
Il dit: «Tu as dit la vérité. Tu en as eu cinq; et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
39 Eh bien, quelques jours avant cela, les docteurs et les rabbins de ce temps-là, des hommes qui auraient dû en savoir mieux, ont dit: «C’est Béelzébul, Il accomplit cela par un mauvais esprit.» Ils devaient donner une réponse à leur congrégation. Alors ils ont monté de toutes pièces une histoire, disant: «C’est un mauvais esprit.»
Et Jésus a dit: «Je vous pardonne pour cela.» L’expiation n’avait pas encore été faite. «Mais lorsque le Saint-Esprit viendra pour faire la même chose, parler contre cela ne sera jamais pardonné.»
Et nous savons que cela est arrivé après qu’ils ont rejeté le Saint-Esprit, (lorsque Titus); Titus brûla le temple et dispersa les Juifs partout à travers le monde. Et maintenant, ils sont en train de se rassembler de nouveau. Cela accomplit l’Ecriture.
Maintenant, remarquez. Eh bien, cette jeune femme… Lorsque ces Juifs virent ces oeuvres être accomplies et qu’ils appelèrent cela un mauvais esprit, un esprit impur… La Bible dit, appeler l’Esprit de Dieu qui accomplit ces oeuvres un esprit impur, un démon… comparer cela à un diseur de bonne aventure, ou à une mauvaise personne…
40 Et puis, immédiatement après, cette femme eut une vision différente. Lorsqu’Il a dit: «Va chercher ton mari.» Elle a dit: «Je n’en ai pas.» Il a dit: «Tu as dit vrai, parce que tu en as eu cinq. Celui avec qui tu vis n’est pas ton mari.»
Regardez ceci. Immédiatement elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es un prophète.» Souvenez-vous, ils n’avaient pas eu de prophètes depuis près de cinq cents ans. Malachie fut le dernier prophète hébreu. «Nous – nous savons que le Messie viendra, et ceci sera Son identification. Nous savons que lorsqu’Il viendra, Il fera ces choses.»
Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Et elle a souscrit une police d’assurance. Et elle entra dans la ville répandre la Bonne Nouvelle, disant qu’elle avait trouvé le Messie. Elle a eu la Vie Eternelle parce qu’elle avait cru en Lui. Comment l’a-t-elle su? Elle a vu l’identification de l’Ecriture manifestée par Lui.
«Nous savons que lorsque le Messie viendra… Nous n’avons pas eu de prophète depuis quatre cents ans. Et lorsqu’Il viendra (ce sera la prochaine personne sur la scène), et lorsqu’Il viendra, nous Le reconnaîtrons. Et Il va faire la même chose.»
Il a dit: «Je Le suis.» Elle a souscrit une police d’assurance. Elle était intéressée à Lui.
41 Nicodème… Maintenant, nous allons terminer dans quelques instants. Nicodème, un rabbin, un homme d’environ quatre-vingts ans, était convaincu qu’il y avait en Jésus quelque chose qui Le rendait différent des autres hommes. Ainsi il voulait souscrire une police d’assurance. Alors il vint de nuit pour obtenir la police d’assurance, et il trouva la banque ouverte pour les transactions. Elle est toujours ouverte. Elle est ouverte au banquet. Elle est ouverte là-bas sur la rue; elle est ouverte partout où il y a une personne prête à faire les affaires… cette police d’assurance, et Celui qui la détient. Il trouva la banque ouverte. Il a souscrit une police d’assurance.
42 Eh bien, nous savons que dans Luc 24.49, après que Jésus eut choisi Ses disciples, ceux-ci détenaient la police d’assurance-Vie Eternelle. Ainsi maintenant, vous savez que dans une police d’assurance normale, on paie toujours des dividendes. Ainsi ils avaient déjà été choisis et acceptés par Jésus. Ils montèrent donc à Jérusalem, attendant jusqu’au jour de la Pentecôte pour recevoir leurs dividendes. Et cela a rapporté, si bien qu’ils ont reçu le baptême du Saint-Esprit et la puissance de manifester Jésus-Christ.
43 Vous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les orthodoxes, qui que vous soyez, vous qui prétendez être des chrétiens, pourquoi ne faites-vous pas la même chose? Vous croyez en Jésus-Christ, et vous vous faites membre d’une église. Pourquoi ne montez-vous pas à la Pentecôte chercher votre dividende, la puissance du Saint-Esprit? Ceux qui détenaient cette police d’assurance ont retiré cela. Vous le pouvez aussi, si vous croyez cela… et que vous croyez réellement cela.
Lorsque Pierre parlait aux gens, il leur a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Ils ont voulu savoir ce qu’ils devaient faire. Il leur a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» C’était une promesse.
Alors, si ce soir, vous n’êtes que quelqu’un qui professe, et que vous n’avez jamais retiré vos dividendes, pourquoi n’apportez-vous pas votre police d’assurance ce soir? Laissez-moi vous en parler un instant. Agenouillez-vous avec moi pour quelques minutes, et voyez si ce n’est pas le cas. Soyez sincère à ce propos, ça va rapporter maintenant même. Si vous détenez réellement une police d’assurance, Il reconnaîtra une police d’assurance, votre foi, si vous confessez qu’elle est en Dieu. Si elle est en Dieu et dans Sa Parole, et non pas dans une quelconque église ou un credo dénominationnel, mais que vous croyez simplement en Jésus-Christ… Cela va rapporter. Il reconnaît Sa propre police d’assurance.
44 Prenons un autre personnage, juste pour quelques instants; il y avait un autre riche hébreu qui, un jour, rencontra Jésus, après la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus. S’il y a un Hébreu ici ce soir, ou qui que vous soyez, Il a été crucifié… Il n’y a aucune excuse; vous pouvez certainement Le rencontrer ici même, juste comme le jeune homme riche L’avait rencontré. Si vous désirez une police d’assurance, Il est ici pour faire les transactions.
Il y avait un homme du nom de Saul. Et il avait été enseigné dans toutes les traditions et les grands enseignements de son peuple. Gamaliel, l’un des meilleurs enseignants hébreux de l’époque, était son enseignant. Et Saul en était si zélé qu’il lapida Etienne, ou plutôt assista à la lapidation d’Etienne ou approuva cela… il gardait les vêtements de ceux qui lapidaient Etienne, pendant qu’il approuvait… comme il avait reçu du souverain sacrificateur le pouvoir de jeter en prison tous ces gens qui détenaient cette assurance, parce que ses anciens lui avaient dit que cet homme n’était pas un prophète. Il n’était rien d’autre qu’un extrémiste.
Il avait dans sa poche des lettres, pendant qu’il se rendait à Damas parce qu’il avait appris qu’il y avait là-bas des gens qui détenaient cette police d’assurance. Et ils en avaient retiré un intérêt, et ils accomplissaient vraiment des oeuvres. Et le souverain sacrificateur lui a dit: «Saul, tu es un homme zélé. Je te donne ce pouvoir. Descends là-bas et arrête-les tous, car ils ne sont que des extrémistes. Ce sont des vauriens. Descends là, enchaîne-les et jette-les en prison. S’il te faut les tuer, tue-les. C’est en ordre. Va les arrêter.»
Saul a dit: «Votre Honneur, monsieur le Saint Père, j’irai.»
Il descendit là. Pendant qu’il était en route, il était à peu près onze heures du matin, il s’approchait de la ville. Tout d’un coup, la Colonne de Feu descendit des cieux et le terrassa. Il se releva pour regarder. Cette Colonne de Feu était là devant lui.
45 Maintenant, pour vous le prouver, il était un Hébreu, jamais il n’aurait adoré quoi que ce soit, ni appelé quoi que ce soit «Seigneur», sans qu’il ne fût sûr que c’était le Seigneur. Et étant un enseignant qui avait été instruit aux pieds de Gamaliel, il savait que l’Ange du Seigneur, Lequel était le Logos qui était sorti de Dieu, Lequel était Christ, qui les a conduits dans le désert, était sous forme d’une Lumière, une Colonne de Feu. Et lorsqu’Elle l’a terrassé il a levé les yeux et L’a vue là et il a dit: «Seigneur.» Eh bien, il n’aurait jamais appelé rien d’autre «Seigneur» en dehors d’Elle.
Mais étant un Hébreu, il savait que c’était Jéhovah. Voilà pourquoi il avait la révélation, pourquoi il pouvait dire que Jésus du Nouveau Testament, c’était Jéhovah de l’Ancien Testament. C’était cela sa révélation, parce qu’il avait vu Jéhovah. Et il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus. Et il te serait dur de regimber contre les aiguillons.» Et il a souscrit une police d’assurance.
Comparez les deux hommes, un jeune Hébreu riche qui voulait s’accrocher aux traditions, avec un autre qui était convaincu. L’un d’eux L’a vu comme étant un homme, car Dieu a été fait chair pour mourir, afin d’ôter le péché. La vie qui était dans le sang des agneaux et ainsi de suite ne pouvait pas revenir dans le croyant, parce que c’était la vie d’un agneau. Cela n’a pas d’âme à l’intérieur, la vie animale. Mais ici, c’était Dieu Lui-même.
46 Et alors, nous naissons de cet Esprit-là, nous sommes des fils et des filles de Dieu, la Vie qui était dans notre Sacrifice. Comparez les deux hommes. L’un de deux a vu cela confirmé, que Dieu était en Christ, la même Colonne de Feu qui avait conduit son peuple dans le désert et les avait emmenés à leur… qui les avait nourris tous les jours.
Souvenez-vous, lorsque Jésus était sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.» Il était la Colonne de Feu qui conduisit les enfants dans le désert. La Bible dit que Moïse regarda les richesses de Christ comme étant plus grandes que les trésors de l’Egypte. Il abandonna l’Egypte afin de suivre Christ.
Lorsqu’Il était ici sur terre, cette Colonne de Feu qui était Dieu était représentée en Lui. Il a dit: «Si je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Les oeuvres vous disent ce que je suis censé faire. Si je ne les fais pas, alors ne croyez pas cela. Mais si vous ne pouvez pas Me croire…»
Ils ont dit: «Toi qui es – qui es un homme, Tu Te fais Dieu.»
Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire en tant qu’homme, croyez aux oeuvres. Ce sont elles qui rendent témoignage de Moi.»
Eh bien, après qu’Il était mort, enseveli, ressuscité, monté au ciel, nous Le voyons de nouveau ici dans cette Colonne de Feu. Il vint de Dieu et retourna à Dieu. Il est toujours le même, le même maintenant (Remarquez), certainement le même qu’Il était.
Et lorsque Paul, ou Saul d’alors a reconnu que Dieu, Jéhovah, la Colonne de Feu de l’Ancien Testament, s’était appelé Jésus, il a souscrit sa police d’assurance. Il était alors prêt pour cela.
47 Quelle décision stupide que celle de ce jeune homme riche! Quel… Combien il aurait dû… Quoi? Comment a-t-il pu le faire? Que donnerez-vous en échange de votre âme? Et tous vos immeubles, après que vous – vous les aurez laissés à vos parents qui vont se les disputer et tout le reste, qu’en sera-t-il de cette âme, et où serez-vous? Souvenez-vous, vous serez quelque part d’ici des milliers d’années à partir de ce soir. Ceci pourrait être le moment pour vous de prendre votre décision. Remarquez quelle erreur stupide cet homme d’aff-… Quel – quel médiocre homme d’affaires il était, en essayant de s’accrocher à une tradition alors qu’il avait été prouvé et confirmé devant lui que la Vie Eternelle était là! Et il en a témoigné en posant une question à Jésus à ce sujet.
48 Paul accepta cela. Nous savons comment il est sorti. C’est comme les gens d’aujourd’hui, ils aiment l’opinion populaire… la gloire des hommes, au lieu de chercher l’honneur de Dieu. Paul ne se souciait pas de la gloire des hommes, il recherchait l’honneur de Dieu
Suivons ce jeune homme pendant un instant avant de terminer. Suivons-le. Nous voyons que le prochain passage où ce jeune homme… Savez-vous ce qui lui est arrivé? Il n’est pas devenu un pauvre pour avoir fait cela. Il n’est point devenu un mendiant dans la rue. Il s’est enrichi. Il avait rejeté l’occasion. Souvent, aujourd’hui les gens se rient et se moquent du Saint-Esprit, ensuite ils s’en vont et prospèrent dans leurs affaires.
Vous savez… Pardonnez-moi cette expression. Mais lorsqu’ils font des moqueries, ils disent: «Eh bien, regardez-moi. Si c’était la vérité là (voyez-vous?), eh bien, cela me serait arrivé. Quelque chose me serait arrivé. Vous savez, il y a un proverbe qui dit: «Les fous marcheront avec des souliers cloutés là où les anges craignent de marcher.» C’est pratiquement ce que ce jeune chef a fait. Voyez? Il a commis une – une erreur terrible. Et nous voyons que cela n’avait jamais constitué un obstacle pour ses affaires, il a prospéré. Il est devenu plus populaire et a acquis davantage de biens. Nous découvrons après quelque temps qu’il devint si riche qu’il a dû même bâtir de nouvelles granges pour y emmagasiner ses biens.
49 Et comme l’Eglise a rejeté le Saint-Esprit dans ces derniers jours, elle s’est enrichie. Et maintenant, vous entrez dans le conseil oecuménique, très exactement ce que la Bible a dit que vous feriez. Maintenant, vous êtes vraiment Laodicée: vous êtes riches et vous vous êtes enrichis, exactement comme l’était ce jeune homme. Il était un type de l’église qui rejette. Paul était un type de l’église qui reçoit. L’occasion avait été offerte à tous les deux, comme elle est offerte ce soir à vous et à moi. Il s’est enrichi. Il en est de même de l’église, l’âge de Laodicée, elle s’est enrichie.
Et, souvenez-vous, il était devenu tellement important qu’il devint très populaire, que même les monarques, les grands hommes commençaient à venir. Et une fois, il a offert un grand festin, et là dans son bazar se trouvait un détenteur de la police d’assurance-Vie éternelle. Et nous trouvons qu’il était couché à la porte. Oh! il se pourrait qu’il lui jette quelques miettes.
50 Il avait eu une nouvelle occasion, il y avait un témoin, Lazare, qui lui en rendait témoignage. Mais il était simplement en train de lui jeter les miettes. «Oh! bien. Je vais essayer ceci. Prends cette pièce de vingt-cinq cents» ou que sais-je encore, vous savez. C’est à peu près l’attitude des gens en 1964. «Oh! je vais aider un peu. Ça va, laissez-le simplement partir.» Voyez? Mais il détenait la police d’assurance. Les pauvres en esprit, nous dit Matthieu 5, c’est à eux qu’appartient le Royaume des cieux.
Il a continué à s’enrichir, et à devenir plus important et plus populaire, un grand homme. Mais finalement sa récompense vint. Elle est finalement venue. Il avait reçu une grande récompense sur terre. Sans doute qu’on a organisé de grandes funérailles en son honneur. Le grand prédicateur dénominationnel est venu et il a probablement dit de belles paroles à son sujet. On avait peut-être mis le drapeau en berne en son honneur. De hommes d’affaires distingués ont porté son corps jusqu’au lieu de son enterrement. Mais la Bible dit qu’en enfer il a reçu sa récompense pour avoir rejeté la police d’assurance-Vie Eternelle. Et, il leva les yeux, étant dans les tourments, et il porta son regard de l’autre côté du grand abîme au sujet duquel Jésus a dit qu’aucun homme n’a jamais traversé, ou ne traversera jamais. Et il vit celui qui détenait la police d’assurance-Vie Eternelle; consolé de l’autre côté.
51 Parmi les deux, un avait reçu cela. Les deux ont eu chacun sa récompense. Celui qui jetait les miettes a eu sa récompense, et maintenant c’est l’homme riche qui devient le mendiant. «Permets que celui qui détient la police d’assurance revienne et touche mes lèvres avec de – un peu d’eau, car ces flammes me tourmentent.» Ne commettez pas la même erreur, vous les hommes d’affaires. Vous êtes des mortels tout autant que l’étaient ces gens. Vous devez prendre une décision. Faites votre investissement maintenant. Assurez-vous-en. «Assurez-vous de votre élection et de votre appel.» Souscrivez l’une des polices d’assurance.
Ecoutez. Juste une minute ou deux de plus, si vous le pouvez. Lorsque Moïse, qui refusa d’être roi d’Egypte, un pharaon, regardant l’opprobre de Christ… En regardant dehors, pharaon voyait dans ce peuple une bande de tripoteurs de boue. Mais Moïse voyait en eux un peuple ayant une promesse. Que voyez-vous en regardant le peuple de Dieu?
Moïse avait obtenu sa récompense. Voyez ceux qui ont porté son cercueil. La Bible dit que c’étaient des anges. Pourquoi? Personne d’autre ne pouvait l’emmener là où il se rendait. C’étaient les anges qui ont porté son cercueil.
52 Il y avait Elie à l’époque où toutes les femmes se faisaient couper les cheveux comme Mme Kennedy et les autres le font aujourd’hui, des Jézabels aux visages peinturlurées. Le roi et tout le peuple étaient devenus des mondains. L’église avait fait de même. Et Dieu leur envoya un prophète du nom d’Elie pour condamner cela. Après qu’il fut devenu vieux et épuisé, il était prêt à rentrer à la Maison, il n’a même pas eu à mourir. Sa récompense vint aussi. Dieu lui fit descendre un char et des chevaux qui l’emmenèrent au Ciel.
Etienne, qui se tenait devant le sanhédrin, leur parla et dit: «Oh! vous hommes au cou raide, incirconcis de coeur et d’oreille (qui rejetez la police d’assurance). Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi.» A sa mort, il a reçu la récompense. Il leva les yeux et vit les cieux ouverts, et Jésus se tenant à la droite [de Dieu].
53 Moody… dans les derniers jours, il y a cent ans de cela, il était un petit cordonnier de Chicago, il pouvait à peine écrire son nom. Une fois, un journal envoya quelqu’un pour l’interviewer. Son ministère était tellement remarquable qu’on a voulu le voir être publié dans le journal, ce qui en faisait la force, qui était Moody au juste, quel genre de prédicateur il était. Il devait être un prédicateur plein de dynamisme. Alors, on a envoyé quelqu’un obtenir une interview pour la rédaction de leur éditorial. Moody ne pouvait même pas le lire après qu’on avait écrit cela. Alors, c’est son manager qui devait le lire pour lui.
Et ils ont dit… Voici comment l’éditorial était écrit. Il disait: «Pourquoi une personne voudrait aller entendre Dwight Moody prêcher, c’est ce que je n’arrive pas à comprendre.» Il disait: «Premièrement, c’est l’homme le plus vilain que j’aie jamais vu, il est chauve et porte une barbe pendante.» Et il disait: «Il est aussi – il est tout aussi gros qu’il est grand.» Il était dit: «Et lorsqu’il essaie de prêcher, il ne sait pas lire. Et il nasille lorsqu’il prêche, la voix sort de ses narines et de sa bouche.»
Lorsqu’il eut fini de lire, monsieur Moody haussa simplement ses épaules et dit: «Bien sûr que non. Ils viennent voir Christ.» Eh bien, c’était ça. Peu importe ce qu’étaient les critiques. Il détenait une police d’assurance. Et lorsqu’il se mourait, le médecin a dit: «Ça, c’est la mort qui frappe monsieur Moody.» Il se releva, il dit: «Vous appelez ça la mort? C’est le jour de mon couronnement.» Il avait une police d’assurance.
54 Mon grand ami Paul Rader… Lorsque j’étais un jeune homme, j’ai été ordonné dans l’Eglise baptiste missionnaire. Et Paul Rader était aussi un baptiste missionnaire. Ainsi Fort Wayne… Lorsque j’avais l’habitude d’aller l’entendre prêcher… Plus tard, il est arrivé ici sur la côte ouest, et il a connu beaucoup de problèmes et de difficultés financières, au point qu’il tomba malade, et cela a finalement dégénéré en un cancer, et il était à l’agonie. Lui et Luc avaient voyagé ensemble durant toute leur vie, ils étaient attachés l’un à l’autre, comme mon fils et moi.
Alors pendant que Paul se mourait, l’Institut Biblique Moody envoya un quatuor, et ils se tenaient là. Paul avait un sens de l’humour. Et le – le petit Institut Biblique Moody avait envoyé sa chorale ou plutôt un quatuor là-bas; ils chantaient Mon Dieu, plus près de Toi.
Paul se retourna et ôta la couverture. Il dit: «Qui est en train de mourir, moi ou vous?» Il dit: «Tirez ces rideaux et chantez-moi de bons chants évangéliques pleins d’entrain.» Et ils se sont mis à chanter:
A la croix où mourut mon Sauveur;
Là j’ai crié pour la purification de mes péchés.
Là le Sang fut appliqué à mon coeur;
Gloire à Son Nom.
Paul a demandé: «Où est mon frère Luc?» Luc se trouvait dans la pièce d’à côté; il ne voulait pas voir son frère mourir. Paul a dit: «Dites-lui de venir ici.» Alors Luc entra; beaucoup d’entre vous le connaissent, un grand gaillard corpulent, il entra. Paul qui était couché sur le lit, tendit sa main, et saisit Luc par la main et le regarda en face et dit: «Luc, nous avons longtemps marché ensemble. Mais penses-y, Luc. Dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Pendant qu’il tenait les mains de son frère, sa police d’assurance rapporta.
55 Le vieux Dr Bosworth, qui était ici avec moi la fois passée, l’avant dernière fois, il avait quatre-vingts ans… A mon retour d’Afrique, j’ai reçu un appel pour aller à Miami. J’ai pratiquement déchiré les pneus de ma voiture, pour atteindre le lieu. On m’avait dit qu’il se mourait. Je me suis précipité vers lui. Je savais qu’il était détenteur d’une police d’assurance. Je suis descendu. Je suis entré dans la pièce, et le petit homme chauve avait levé ses mains, ses petits bras maigres… J’ai couru jusqu’à lui, et je suis tombé sur ma face, et j’ai crié: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie.» Il a mis sa main sur moi et m’a béni. J’ai dit: «Frère Bosworth, puis-je prier pour vous?
Il a dit: «Non.» Il a dit: «Je ne suis pas malade.»
J’ai dit: «Qu’y a-t-il, Frère Bosworth?»
Il a dit: «Je rentre simplement à la Maison.»
J’ai dit: «Je le savais.» Et j’ai dit: «Je voudrais vous poser une question, Frère Bosworth.» J’ai dit: «Quel a été le moment le plus glorieux de votre vie dans votre ministère? Vous serviez Dieu avant que je ne fusse né. Nous avons été ensemble dans les champs de missions. Nous sommes passés par des tempêtes dans les airs et sur les mers. Vous vous êtes tenu à mes côtés lorsque je voyais les démons de tous côtés, les sorciers guérisseurs et… C’était très émouvant lorsque nous avons vu Dieu les paralyser, alors qu’ils se tenaient là. Quel a été le moment le plus ravisant de votre vie?»
Il a dit: «C’est cet instant même.» Il était sur le point de toucher les dividendes de sa police d’assurance. Il a dit: «Frère Branham, tout ce pourquoi j’ai vécu, c’est Jésus-Christ. Et d’une minute à l’autre, Il va venir à la porte pour me ramener à la maison.»
56 Oui. C’était des détenteurs de la police d’assurance qui ont donné tout ce qu’ils avaient et l’avaient investi dans la Perle de grand prix. Ne voulez-vous pas y investir aussi ce soir, alors que nous inclinons la tête?
Je ne vois pas à travers l’auditoire. Je ne sais pas ce qui est… Combien de gens, ou qui sont ceux qui sont en train de regarder à travers la télévision à circuit fermé ce soir? Je vous demande, mes amis, de ne pas prendre ceci pour de vaines paroles. Vous êtes des mortels. Vous devrez mourir. Vous le savez. Et il se peut que votre heure sonne avant le matin.
Je ne suis pas vraiment du genre à persuader les gens, et c’est parce que Jésus a dit: «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront.» Si ce soir vous avez de la place dans votre coeur pour cette police d’assurance, ne voulez-vous pas l’accepter? Cette police d’assurance, c’est Christ, la police d’assurance que vous offre l’amour de Dieu, c’est Sa Parole qui doit devenir vivante dans votre coeur, faisant de vous une partie de Lui. Il est la Parole. Acceptez-Le dans votre vie. Ne voulez-vous pas le faire et faire ce grand investissement?
Aussi loin que je puisse voir… Je ne peux voir que jusqu’à environ dix ou quinze pieds de moi [3 ou 4,5m – N.D.T.]. Je vous demanderai de lever la main, si vous voulez recevoir l’une des polices d’assurance-Vie Eternelle. Dites: «J’en ai besoin, Frère Branham. Souvenez-vous simplement de moi dans vos prières. Vous ne voyez pas ma main, mais Dieu la voit.»
57 Notre Père céleste, cette simple et rude histoire de la vie qui est cependant vraie… Je l’ai relatée de cette façon, Seigneur, afin que ces gens, ces hommes d’affaires la comprenne mieux de cette façon comme étant quelque chose qui est représenté ici sur terre. C’est la raison pour laquelle j’ai appelé cela une police d’assurance. Pardonne-moi si j’ai de l’appeler comme cela. Car nous sommes maintenant dans un moment très sacré où il y a sans doute beaucoup de gens qui y pensent sérieusement maintenant, sachant qu’eux aussi doivent recevoir une récompense sur tout ce qu’ils ont ici. Et ils voient ce que ça représente, de rejeter…
Eh bien, ce jeune homme-là, autant que je sache… Peut-être qu’étant très populaire parmi les gens, il est resté dans l’église. Il observait les commandements. Il n’avait pas commis adultère, ni volé, ni fait de telles choses; mais dans son coeur il savait qu’il n’avait pas la Vie Eternelle. Seigneur, ceux qui essaient de Te rencontrer pour la Vie Eternelle juste avec ces qualités morales, fais qu’ils puissent accepter ce soir l’invitation, et qu’ils se tiennent simplement debout et disent: «Seigneur, je ferai tout ce que Tu me demanderas de faire.» Accorde-le, Seigneur. Ils sont tous à Toi maintenant. Je remets tout entre Tes mains.
Et si la semence est tombée quelque part, Seigneur, sur un terrain quelconque, chaque semence prédestinée… Ils ont crevé de faim et sont morts de soif pendant plusieurs années. Cette semence pourrait être tombée quelque part ce soir. Qu’elle reçoive la Vie, ô Père, car je le demande au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, pendant que nous continuons à garder nos têtes inclinées, je vais demander à frère Pearry de bien vouloir venir ici pour rester, continuer le reste du service.