Il devait passer par ici (Il doit passer par ici)
1 Restons simplement debout quelques instants, pour lire la Parole de Dieu. Je pensais… Après toute cette présentation, il me faudrait vraiment vivre une vraie vie pour être à la hauteur, n'est-ce pas? Ce sont des gens qui vous aiment.
Dans le Livre de Saint Luc, chapitre 19, j'aimerais lire juste une portion de cette Ecriture, les cinq premiers versets.
Jésus, étant entré dans Jéricho, traversait la ville.
Et voici, un homme riche, appelé Zachée, chef des publicains, cherchait à voir qui était Jésus;
Mais il ne pouvait pas y parvenir, à cause de la foule, car il était de petite taille.
Il courut en avant, et monta sur un sycomore pour le voir, parce qu'il devait passer par-là.
Lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et lui dit : " Zachée, hâte-toi… descendre, car il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison.
Zachée se hâta de descendre, et le reçut avec joie.
Voyant cela, tous murmuraient, et disaient : Il est allé loger chez un homme pécheur.
Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit: Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j'ai fait tort de quelque chose à quelqu'un, je lui rends le quadruple.
Jésus lui dit : le salut est entré aujourd'hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d'Abraham.
Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
2 Prions. Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce matin parce que Tu cherches toujours à sauver les fils d'Abraham, ce qui était perdu. Nous Te prions, Père céleste, de recevoir notre humble prière, et de bénir le rassemblement que nous avons ici aujourd'hui. Que celui-ci ne soit pas vain, mais que le Glorieux Saint-Esprit puisse nous enseigner le chemin de la vie, sachant ceci, que nous devrons nous tenir un jour dans Sa Présence pour rendre compte de ce que nous aurons fait de cette vie. Bénis-nous ensemble maintenant, alors que nous nous attendons davantage à Toi. Au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
3 Je suis certainement heureux d'avoir de braves amis, des gens qui croient, qui croient dans les efforts qu'on essaye de fournir. Si j'avais un autre objectif, celui de me singulariser tout simplement, eh bien, je serais un véritable pécheur. Mais mon objectif, c'est d'élever Jésus-Christ. Et quand vous avez un Message de la part de Dieu, il y a quelque chose dans l'homme qui fait que vous ne pouvez pas vous arrêter, il y a quelque chose en vous qui bouillonne; Cela continue de toute façon. Vous ne pouvez pas ralentir la chose, l'arrêter ou la faire démarrer. C'est cette chose qui vous arrête, vous fait démarrer et vous fait ralentir. Vous voyez? C'est elle qui a le contrôle.
Je remercie ces braves frères pour leurs témoignages au sujet de notre Seigneur Jésus. Ce n'est pas de moi qu'ils parlaient. Bien sûr que non. C'est de Lui qu'ils parlaient.
4 C'est comme ce petit article que j'ai lu ici il n'y a pas longtemps, portant sur monsieur Moody. Il était dit que Chicago allait… Un journal allait écrire un éditorial à son sujet. Et ils ont envoyé un - quelqu'un pour savoir pourquoi les gens se rassemblaient pour écouter monsieur Moody. Et l'éditorial… Monsieur Moody était comme moi-même. Il n'avait pas suffisamment d'instruction pour lire l'éditorial, son organisateur devait donc lire cela. Au départ, monsieur Moody était un cordonnier, et il fut appelé par Dieu pour un Message de son - de l'heure.
Et ainsi, l'organisateur lisait l'éditorial et il était écrit : " Pourquoi les gens vont-ils écouter Dwight Moody? " Il était écrit: " Pour commencer, c'est l'homme le plus laid que j'aie jamais vu. " Et il était écrit : " Il est chauve et il a une longue moustache ", et tout. Et il était écrit: " Et il - il parle d'une voix gémissante, sa grammaire est la pire que j'aie jamais entendue et… " Oh, et cela continuait simplement dans ce sens-là.
On dit que monsieur Moody a tout simplement haussé les épaules et a dit : " Certainement pas. Ils viennent pour voir Christ. " Je - je pense donc que c'est la réponse qu'il faut. C'est Christ que nous voulons voir. " Quand je serai élevé, j'attirerai tous les hommes à Moi. "
5 Je réfléchissais, après avoir visité cette - cette ville, et voyant combien les gens avaient été très gentils, combien nous avons tenu de belles réunions ici, dans cette école secondaire de Denham Springs, ou plutôt dans l'auditorium de l'école. Je me disais que les gens d'ici sont en quelque sorte comme le café qui est servi ici. Oh! la la! il ne s'agit pas de la quantité, mais plutôt de la qualité. Une seule de ces tasses en contient une bonne dose.
Rappelez-vous la première fois que j'ai atterri ici à l'aéroport. Le frère qui était venu me prendre est assis ici. Et il y avait là une jeune française. J'ai demandé un hamburger et une tasse de café. Je n'en avais jamais pris jusqu'à l'âge de 38 ans environ; j'aurais dû être très prudent. Mais… Et frère Brown, je pense qu'il est quelque part ici ce matin. Il est assis juste ici. Il aimait bien cela. Et il m'a pris… J'avais un petit déjeuner avec les ministres à sept heures, un autre à huit heures, un autre à neuf heures. On ne pouvait pas manger tout ça, on versait donc du café, et je me suis mis à boire cela à petites gorgées. Et ensuite, je me suis mis à prendre cela.
J'ai donc demandé à cette jeune fille, je lui ai dit que je voulais avoir un hamburger et une tasse de café. Quand on amena la petite tasse, je me suis dit : " Oh! la la! Ils prennent certainement une cuite par ici avec leur café. " Au premier coup, à la première gorgée, je vous assure! Oh! la la! j'ai dû lutter pour reprendre le souffle.
La demoiselle a dit : " Vous devez être un Yankee [Américains du Nord des E.U. - N.D.T.] " Elle a dit : " Je vais vous préparer une tasse pour les Yankees."
6 C'est donc ainsi que je trouve les gens. Ce n'est peut-être pas la plus grande foule à laquelle je me sois jamais adressé, mais c'est vraiment une qualité authentique. Je suis reconnaissant pour cela : un auditoire qui écoute, quelqu'un qui s'assied et qui prête attention à ce que vous dites. C'est ce que je veux que vous fassiez. Examinez ce qu'un homme dit avec la Parole de Dieu. Et si la chose n'est pas correcte, alors elle n'est pas correcte. C'est tout. Si c'est la Parole de Dieu, alors Dieu doit rendre témoignage à Sa Parole, car Il l'a promis. Ainsi, c'est de cette manière que nous aimons examiner ces choses pour - pour découvrir.
7 Bon, j'ai compris ce matin qu'il s'agissait d'un déjeuner des Hommes d'Affaires, des Hommes d'Affaires du Plein Evangile, et je suis membre de leur chapitre. Je pense que ceci… Ils ont dit que certains d'entre eux sont ici. Certains d'entre eux ne sont pas sortis. Peut-être que ce sont des hommes d'affaires. Ils ont des affaires dont ils doivent s'occuper. Je vais les excuser de toute façon. Ainsi - ainsi, il a dit que beaucoup de gens étaient de toute façon là. C'est donc très bien.
Je… juste une petite blague. J'ai déjà raconté cela, mais peut-être que cela… Ceci n'est pas un endroit où faire des plaisanteries, bien sûr que non, mais juste un petit sens de l'humour. Quand on parle comme nous l'avons fait il y a quelques instants, eh bien, on ramène peut-être les gens avec un peu de sens de l'humour.
8 Je me souviens qu'autrefois un ami et moi avons été à l'école ensemble. Il s'appelle Wilmer Snyder. Son frère est un ministre baptiste. Et il - il tient dans La chambre haute, il tient une rubrique dans La chambre haute. Nous étions ensemble des écoliers. Et moi, j'ai appris le ministère, et lui - lui est devenu un agent des assurances. Et alors, il est venu chez moi un jour pour me rendre visite, et…
Eh bien, il se pourrait qu'il y ait des agents d'assurances ici. Je ne parle pas des assurances maintenant. J'espère que vous ne pensez pas en mal de ceci, mais pour saisir un peu ce que je - la façon dont je le dis. Mon frère est donc aussi - s'occupe des assurances industrielles, il vend des assurances industrielles.
9 Ainsi, une fois, j'avais fait faire un petit quelque chose par une compagnie d'assurances que je… je pense, sans en savoir grand-chose, je… On m'a mal lu la police, et on me l'a mal présentée, et je n'y ai simplement jamais souscrit, je…
Ainsi, un jour Wilmer est venu me voir, et il a dit - il a dit : " Comment vas-tu, Billy? "
J'ai dit : " Bien. "
Il a dit : " J'ai appris que tu étais parti assister à des réunions. "
J'ai dit : " Oui, je me suis déplacé pour assister à des réunions."
Je lui ai parlé d'un homme qui m'a dit, il a dit : " Dites donc, vous, vous êtes un prédicateur. Qu'avez-vous à vous coller à ces hommes d'affaires? "
" Eh bien, ai-je dit, je suis un homme d'affaires. "
Et il a dit : " Oh ! quel genre d'affaires faites-vous? "
J'ai dit : " Les assurances. " Et, voyez-vous, il n'a pas compris cela. Je n'ai jamais dit : " la police d'assurances ", j'ai dit : " l'assurance ". Et j'ai donc dit: " Les assurances ".
Il a dit : " Oh, a-t-il dit, je vois. " Il a dit : " Quel - quel type d'assurance vendez-vous? "
J'ai dit : " Je vends l'assurance Vie Eternelle. " Et je continue à vendre cela. J'étais donc… Si quelqu'un parmi vous est intéressé, j'aimerais parler de cette police d'assurance avec vous juste après la réunion, si ça ne vous dérange pas.
Et ainsi il - il a dit - il a dit : " La Vie Eternelle? " Il a dit : " Je ne pense pas avoir déjà entendu parler de cette compagnie-là. "
J'ai dit : " Oh, jamais ? Frère, elle est bien connue. " Et il a dit… j'ai dit: " C'est un vieil établissement. "
Il a dit : " Où se trouve son siège social? "
J'ai dit : " Dans la gloire. "
10 Wilmer m'a dit; il a dit : " Billy, j'ai pensé venir te vendre une assurance. " Il a dit : " J'ai appris que tu n'as pas d'assurance. "
Et j'ai dit : " Oh ! si. J'ai - j'ai l'assurance. "
Il a dit : " Oh ! excuse-moi. " Il a dit: " Je pense que ton frère, tu en as une par son canal. "
J'ai dit : " Non, pas exactement par son canal. "
Mon épouse m'a jeté un regard, comme pour dire: " Eh bien, tu racontes certainement des histoires. " Elle savait que je n'avais aucune assurance, mais elle non plus ne saisissait pas cela. J'avais dit assurance, pas police d'assurance.
Il a dit : " Quelle assurance as-tu, Billy? "
J'ai dit: " Assurance bénie, Jésus est mien. Oh ! quel avant-goût de la gloire divine! Je suis héritier du salut, racheté par Dieu, né de Son Esprit, lavé dans Son Sang. "
Il a dit: " Billy, c'est très bien. " Il a dit : " C'est très bien. " Il a dit : " Je n'ai rien contre cela. " Et il a dit : " Ce n'est pas cela qui va t'amener là au cimetière quand tu seras mort. "
J'ai dit : " Cela m'en fera sortir. Y entrer ne me tracasse pas. Y entrer, ce n'est pas ce qui me préoccupe; ma préoccupation, c'est comment en sortir. " Voilà donc la seule chose qui, à ma connaissance, vous fera sortir. Si donc en sortir est ce qui vous préoccupe, parlons-vous-en.
11 Je regarde l'auditoire ce matin, je ne vous garderai qu'un tout petit moment. Et j'avais un texte sur lequel j'allais prêcher, et puis, je me suis donc dit : " Eh bien, je ferais mieux de ne pas faire cela. " Je vais juste faire une petite illustration sur quelque chose, un personnage dans la Bible.
Pendant que je réfléchissais ici sur des problèmes importants… Eh bien, pendant que nous sommes assis ici en tant que des chrétiens, je pense que nous le sommes pour la plupart, savez-vous que ceci pourrait être la dernière fois que nous prenons le petit déjeuner ensemble? Avez-vous déjà pensé à cela? Et vous rendez-vous compte que ces quelques paroles que je dois dire ici, Dieu me fera répondre de cela là-bas au Jour du Jugement? Vous voyez? Et j'ai des âmes ici, peu importe que ce soit un petit groupe, mais néanmoins j'ai… c'est… je - j'aurai à répondre là-bas pour les paroles que je prononce. Il se peut donc que nous ne prenions plus un autre petit déjeuner ensemble. Mais j'ai cette espérance que nous prendrons un souper ensemble un jour. Ce sera le dernier souper ; là-haut avec Lui, ce sera le premier là-bas.
Et ainsi, pendant que nous sommes assis ici ce matin, je regarde ces hommes qui sont ici, et certains d'entre eux sont de grands ministres instruits. Et moi, ici, je suis venu comme un homme de brousse, sans instruction, alors qu'il y a ici des hommes qui sont qualifiés pour prêcher, des docteurs en théologie. Je me sens très petit pour me tenir là et parler devant de tels hommes. Mais néanmoins, j'ai - je dois exprimer ce que je ressens. Et j'apprécie leur remarquable gratitude et leur amabilité en me laissant me tenir ici pour le faire, frères, ils apportent leur collaboration pour la réunion et se mettent ensemble. Je suis ici pour vous aider. Je vais faire tout ce qui m'est possible pour chacun de vous, par la grâce de Dieu.
12 Et puis, un jour, quand tout sera terminé… Si je ne peux plus prendre le déjeuner avec vous, quand tout sera terminé et que nous serons à table les uns en face des autres, c'est le moment que j'attends. Sans doute que quelques larmes couleront sur nos joues, nous nous regarderons par-dessus la table et nous nous tiendrons l'un et l'autre par la main. En ce moment-là, cela signifiera quelque chose. Travaillons pendant que le temps est là pour travailler, pendant qu'il fait jour. Dans peu de temps, le soleil va se coucher. Il est très bas.
Et puis, de penser que pendant que nous serons assis là, nous tenant les mains et pleurant un peu, alors le Grand Roi apparaîtra vêtu de Sa robe majestueuse, Il descendra la rangée, Il essuiera les larmes de nos yeux et dira : " C'est bien, Mes bons et fidèles serviteurs. Entrez dans la joie du Seigneur qui a été préparée pour vous depuis la fondation du monde. " Pendant que le soleil est encore là et qu'il fait suffisamment clair pour travailler, travaillons.
13 Maintenant, ce petit texte-ci pourrait sembler un peu bizarre, mais nous allons parler sur le sujet suivant : Il devait passer par ici.
Ç'a dû être une - une nuit terrible pour le petit homme. Il n'a pas pu dormir du tout. Il n'a fait que se tourner et se retourner toute la nuit. C'était l'aube. Et nous savons tous ce que signifient ces nuits agitées. Vous n'arrivez pas à dormir. Quelque chose vous tracasse, ou quelque chose vous a mis dans tous vos états.
Et ce petit homme était un homme d'affaire, peut-être de la ville de Jéricho, c'était quelqu'un comme vous hommes et femmes d'affaires qui êtes ici. Et il - il avait sans doute des affaires qui prospéraient. Il était en bons termes avec les - tous les clubs et ainsi de suite, il était un membre d'église, du conseil du sanhédrin, et avait un bon sacrificateur. Et il croyait dans ce sacrificateur.
14 Cependant, ce qu'il y a d'étrange dans cette affaire, c'est l'épouse de cet homme. Nous l'appellerons Rébecca. Il pensait qu'elle s'était égarée et était allée du mauvais côté. Le sacrificateur pensait de même. Elle suivait un homme qui était supposé être un prophète de Nazareth, un homme du Nom de Jésus. Et le peuple, les gens de la basse classe croyaient qu'Il était un prophète, ou le Messie qui avait été promis. Mais cela ne correspondait pas aux critères du sanhédrin.
Chose étrange, des fois Dieu fait des choses qui diffèrent totalement de ce que nous pensons qu'elles devraient être. Selon leur opinion, cet Homme (voyez-vous?) était né d'une naissance illégitime. Sa mère l'avait mis au monde avant qu'elle et son mari ne soient mariés. De plus, Il n'avait pas d'instruction. On ne disposait d'aucune trace attestant qu'Il avait été à l'école. Il n'était pas un sacrificateur. Il n'était pas non plus un rabbin. Il n'avait pour ainsi dire que des prétentions qui Lui étaient propres. Comme frère Don l'a si bien dit ce matin, c'était un tournant. Les gens n'ont pas reconnu cela. Ça se passe généralement de cette façon-là; on était arrivé au moment de prendre ce tournant.
Mais d'une manière ou d'une autre, son épouse était convaincue qu'Il était le Prophète qui devait venir, et elle L'avait suivi, elle avait cru en Lui. Elle avait essayé d'en parler à son mari, mais il était si absorbé par ses affaires et avec le… Il était membre d'église, n'était-ce pas suffisant?
15 C'était quelqu'un comme le jeune chef riche, vous savez. Il faisait aussi des affaires, mais il s'est rendu compte… Il était membre d'église, mais il n'avait pas la Vie Eternelle. Et il avait… il a vu quelque chose en Jésus que les autres n'avaient pas. Et il a dit - il est venu vers Lui et il a dit qu'il voulait savoir s'il - ce qu'il pouvait faire pour avoir la Vie Eternelle.
Et Jésus lui a dit : " Observe les commandements. "
Il a dit : " J'ai fait cela dès ma jeunesse. " Vous voyez, cela montrait qu'il était un croyant. Mais il savait que Jésus avait quelque chose que ces sacrificateurs et ces rabbins n'avaient pas. Et quand un homme entre en contact avec Jésus-Christ, dès lors il devient différent. Une fois que vous Le voyez, vous n'êtes plus jamais le même, s'il y a une étincelle de Dieu en vous.
16 Ainsi, Rébecca avait trouvé ce Jésus. Et pour elle, Il - Il était l'accomplissement parfait de la promesse que les Juifs attendaient pour leurs jours. La nouvelle s'était donc répandue qu'Il allait avoir un petit déjeuner ou une sorte de déjeuner, ou quelque chose comme ça à Jéricho. Elle était donc occupée à prier pour son mari, homme d'affaires. Il nous faut davantage de Rébecca partout. Vous voyez? Vous voyez, la prière change les choses. Si - si vous présentez votre mari ou l'un des vôtres qui n'est pas sauvé devant Dieu et qu'alors vous priez, Dieu frayera une voie quelque part, car Il a promis de le faire.
Voilà donc ce que Rébecca… Etant une croyante dévouée et une disciple du Seigneur Jésus, elle devait être une personne douce et très gentille, elle avait - elle se préoccupait de son foyer. Et je pense que cela se reflète encore, si - si quelqu'un rencontre Jésus et Le rencontre vraiment dans son coeur, il sera préoccupé non seulement pour sa propre famille mais pour la famille de Dieu, partout. Vous vous souciez que les gens puissent Le connaître. Et Le connaître Lui, c'est la vie ; Le connaître Lui (voyez-vous?), non pas savoir lire la Parole ou… mais Le connaître Lui, c'est la vie. Ainsi, elle avait beaucoup prié.
17 Et le jour approchait où Jésus était censé venir dans la ville. Sans doute que la veille, elle avait observé pour voir si l'attitude de son mari avait un peu changé. Elle a donc peut-être dit : " Zachée, vas - vas-tu aller à ce petit déjeuner le matin? "
" Eh bien, bien sûr que non. Eh bien, cette bande de gens… Tu t'attends à ce que moi… je possède le meilleur restaurant de la ville, et on organise cela chez Levinski (J'espère qu'il n'y a pas un Levinski ici.). Et de toute façon, ce sera à cet autre endroit-là. Tu vois? Eh bien, j'ai le meilleur endroit de la ville. Ils ont choisi cet endroit-là, alors qu'ils auraient dû - ils auraient dû venir chez moi pour organiser cela. " Vous voyez? Il n'y allait pas.
Alors, elle s'est mise à prier vraiment désespérément. Ainsi donc, cette nuit-là, le petit homme n'a pas pu se reposer du tout. Vous savez, il y a quelque chose là-dedans. Si vous vous mettez vraiment à prier désespérément au sujet de quelque chose, Dieu va agir aux deux bouts de la ligne. Voyez-vous? Il - Il - Il répond.
18 Ainsi, le petit homme a dû se mettre à réfléchir cette nuit-là, se disant: " Je me demande si je dois aller pour - pour - pour écouter cet homme. Eh bien, Rébecca dit qu'Il est un prophète. Or, nous savons que nous n'avons pas eu de prophètes depuis des siècles, et je me suis enquéri de cela auprès du sacrificateur. Il a dit : 'C'est tout simplement du non-sens. Si un prophète devrait être suscité, ne viendrait-Il pas par l'église? C'est de cette manière-là qu'Il devrait venir. Il viendrait vers nous les Pharisiens, ou les Saducéens, ou vers notre groupe, sinon, il n'est pas un prophète.' "
Vous savez, on rencontre encore cette attitude là. Les gens pensent donc que cela doit venir de cette manière-là, autrement c'est faux. Ils disent donc… Sans doute que dans cette grande heure où… Elle croyait de toute manière cela, mais lui en avait parlé avec le sacrificateur.
Et le sacrificateur avait dit : " Eh bien, écoutez ceci. L'époque des prophètes a existé il y a des années et des années. Nous avons la loi. Elle est entièrement écrite. La situation est sous contrôle, et nous avons la chose entre nos mains. Et nous connaissons ces choses. "
Mais alors, bien sûr que Zachée n'a pas examiné cela, absolument, il ne faisait que présumer cela, il tenait cela pour certain. Le mot présumer signifie s'aventurer sans autorité. Eh bien, il - il pensait que tout allait bien, du moment qu'il était membre d'église, c'était tout ce qu'il lui fallait.
Mais ensuite, alors que la nuit commençait à avancer, soudainement il eut un désir dans son coeur. " Peut-être, si cet Homme est dans la ville, il se peut qu'Il ne puisse plus jamais revenir. Je devrais aller examiner cette - cette situation, voir cela personnellement. "
Eh bien, voilà une bonne idée. Etudiez cela personnellement. N'allez pas critiquer. Prenez la Parole et examinez-la par la Parole.
Ainsi, elle… comme une femme pouvait le faire, Rébecca avait tenté d'expliquer cela, ce que les prophètes avaient dit, et ce que Moïse avait dit que cette Personne serait quand Il viendrait. Elle doit donc avoir tenté d'expliquer cela à son mari. Mais néanmoins le sacrificateur avait bien plus d'influence sur lui que n'en avait Rébecca, sa femme.
19 Le jour commença donc à se lever. Eh bien, le petit homme était… Rébecca, je peux me la représenter et la voir lui donner un petit coup en disant : " Zachée, tu veux dire que tu ne veux pas y aller? "
" Non, je ne veux rien avoir à faire avec cela. "
Vous savez, ne soyez pas - ne soyez pas écoeurée, Rébecca. Parfois c'est un bon signe. Vous voyez? Quand il en arrive à manquer le courage d'en parler et tout le reste, des fois c'est un très bon signe.
Ainsi, peu après… Rébecca a fait comme si elle dormait; elle priait simplement. Et elle voit Zachée se glisser très doucement hors du lit, vous savez, il va là et fait sa toilette; il se peigne bien les cheveux et porte son meilleur vêtement ; et du coin de l'oeil, elle regardait pour voir ce qu'il faisait. Elle comprit à ce moment-là que Dieu avait exaucé sa prière. Elle comprit que quelque chose allait se passer.
20 Zachée sort donc sur la pointe des pieds, sans signifier à Rébecca où il se rend, vous savez. Et il sort furtivement, il arrive dehors et regarde derrière. Rébecca soulève le rideau, regarde pour le voir sortir. Elle dit : " Merci, Seigneur. Tout va bien maintenant. " Vous voyez? C'est comme Elie quand il a dit : "Je vois que le nuage a la taille de la main d'un homme ", juste la première petite évidence, " quelque chose va arriver ".
Il est donc sorti et a descendu les rues. Il a dit : " Eh bien, si j'ai bien compris, Il va entrer par la porte du midi, je ferais donc mieux d'aller me tenir là. " Il a dit : " Maintenant, je vais me trouver une place, et je vais me tenir juste là. Et quand Il arrivera, je verrai à quel point ce gars est prophète. Je vais simplement m'avancer, mettre mon doigt sur Son nez, et je vais Lui dire ma façon de penser. "
" Et quand Il viendra, je Lui dirai qu'à cause de toutes Ses absurdités, mon épouse… Et ces réunions de prière et tout, j'en ai marre. Je vais… Je vais dire quelque chose à ce sujet. (Vous voyez?) Je vais le Lui dire. Et puis je sais que rabbi va certainement me tapoter dans le dos et me dire : 'Zachée, tu es un bon membre de cette église. Tu - tu es certainement un brave homme.' " Il a donc dit : " Je vais m'y rendre de bonne heure. "
21 Il est donc allé… Quand il est arrivé à environ un ou deux pâtés de maisons de la porte, il s'est finalement rendu compte que l'endroit était bondé de monde. Les gens étaient sur les murs et partout. D'une manière ou d'une autre, même si les gens parlaient de Lui en mal, il y avait toutefois quelqu'un qui aimait L'écouter. On aimait L'écouter. Il s'est donc dit : " Eh bien, comment Le verrai-je franchir la porte? " Souvenez-vous, la Bible dit qu'il était de petite taille. Et il a dit : " Je suis trop court. " Il a donc poussé là, disant : " Eh, faites-moi un peu de place. "
On peut voir qu'il n'est pas encore chrétien, voyez-vous, par sa manière d'agir. Les chrétiens n'ont pas une telle attitude. Voyez-vous?
" Reculez. Savez-vous qui je suis? Je suis Zachée. Je suis propriétaire de ce restaurant là-bas. Mettez-vous… écartez-vous de mon chemin. "
Vous voyez, il n'était donc pas un chrétien, tout le monde savait qu'il ne l'était pas. Peut-être que certains d'entre eux savaient que Rébecca priait. Eh bien, ils ont dit : " Eh bien, reculez. "
22 Et il comprit donc qu'il ne pourrait jamais Le voir au milieu de toute cette foule, il ne serait donc pas en mesure de Lui dire ce qu'il pensait. Il s'est donc dit : " Eh bien, maintenant, que vais-je faire? Je vais peut-être rentrer chez moi, et oublier toute cette histoire. " Mais, vous savez, il y a quelque chose là qui fait que lorsque vous vous décidez à Le voir, rien ne va vous en empêcher. Peu m'importe ce que c'est, vous - vous persévérez. Tout comme la petite femme grecque a persévéré pour atteindre Jésus.
Et il y a quelque chose à cela, qui fait que lorsque vous êtes déterminé à Le voir, il n'y a rien pour vous arrêter. Mais souvenez-vous, quand vous prenez une décision, le diable va alors faire tout ce qu'il peut pour vous arrêter. Il est déterminé à faire en sorte que vous ne compreniez pas la chose. Vous n'allez pas voir la chose. Il jettera devant vous chaque voile noir qu'il peut pour vous empêcher de voir la chose. C'était donc sa première barricade, juste là.
23 Il s'est donc mis en route, il s'est dit : " Eh bien, je pense… " Et il a jeté un coup d'oeil là et voilà que certains de ses concurrents se tenaient là. Et eux, ils… Il comprit alors que… Certains membres de l'église, qui étaient donc là… Il s'était tellement moqué de ce Jésus de Nazareth comme étant un prophète, et puis voici que là se tenaient ses - certains de ses membres qui le regardaient, justement là dans le même groupe. Il ne pouvait pas se cacher. Il était identifié.
Et Zachée, vous êtes déjà identifié, ainsi… Vous savez, si par hasard il y en a un ici, vous êtes déjà mêlé au groupe maintenant. Les gens savent donc déjà que nous sommes ici. Nous ferions donc mieux de faire connaissance, de nous connaître les uns les autres.
Il s'est donc dit : " Eh bien, c'est drôle. " Il a regardé tout autour, et en a vu un autre se tenant là.
24 Vous savez, après tout, ils sont tous comme vous. Ils - ils veulent découvrir quelque chose. L'homme est conscient qu'il vient de quelque part dans l'au-delà, et que lorsqu'il s'en va, il retourne quelque part. Il essaye constamment de trouver quelque chose pour découvrir d'où il vient, et où il va. Une seule Personne a la réponse, c'est Dieu. Tout homme désire regarder au-delà du rideau. Et lorsque vous voyez quelque chose qui peut vous montrer ce qu'il y a au-delà de ce rideau, où vous avez été, qui vous êtes, et où vous allez…
Il n'y a qu'un seul Livre… De toute la littérature qui a été écrite, sur les millions de tonnes, voici le Livre qui vous dit qui vous êtes, d'où vous venez, et où vous allez. Aucun autre Livre ne le fera; c'est cette Bible. Et la Parole est Dieu, dit la Bible.
25 Nous voyons donc que ce gars, avec tout ce monde autour… Il était embarrassé en voyant qu'il était au milieu des gens qui criaient, hurlaient, acclamaient et agissaient comme des fous. Ainsi… mais il… il se tenait là, identifié à eux. Alors il - il devait tout simplement rester. Voilà tout. Alors, il s'est dit : " Eh bien, puisque je suis arrivé jusqu'à ce niveau, je ferais mieux de continuer jusqu'à Le voir réellement. "
Eh bien, Zachée, voilà une bonne idée. Vous êtes déjà arrivé ici au déjeuner, maintenant continuons donc tout simplement. Voyez-vous? Nous en sommes tous à ce point-là.
A présent, nous voyons donc que, tandis qu'ils avançaient, il s'est dit : " Eh bien, si je reste ici, je - je ne pourrais pas voir, car je suis trop court. Alors, tu sais, je crois que je vais sortir de cette foule et courir jusque là au coin où je me tiendrai tout seul, je vais me trouver une place juste au bord de la chaussée. Et quand Il passera, je vais alors carrément sortir dans la rue et Lui dire ce que je pense de Lui. Je vais Lui dire ma façon de penser. "
26 Il est donc sorti de la foule et a avancé. Il s'est dit : " Maintenant, quel chemin va-t-Il emprunter? "
Eh bien, il est allé sur l'avenue Alléluia. D'habitude, c'est par-là qu'Il passe. Vous voyez? Et il est allé au coin Amen, là où il y a un tournant pour descendre jusqu'au - au lieu où on mange. C'est là que vous allez, vous savez, sur l'avenue Alléluia, et au coin Amen. A ce moment-là, vous êtes alors prêt pour manger la Parole. Voyez-vous?
Il est donc allé jusqu'à ce coin, il s'est tenu là au coin, il s'est dit : "Maintenant, il n'y a personne ici. Et quand je… " (Je sais que cela semble ridicule, mais je… Attendez un peu.) Ainsi donc, la première chose, vous savez, il est descendu jusqu'à ce coin. Et il s'est dit : " Il n'y a personne ici, je vais donc me tenir ici. Et quand Il passera, je verrai bien combien Il est prophète. Je vais sortir directement dans la rue et je vais Lui dire quelque chose. "
27 Le voilà donc qui se tient là. Il s'est fait qu'il s'est mis à réfléchir : " Maintenant, une minute. Tu sais, si j'ai été trop court là-bas, cette foule va certainement Le suivre partout où Il ira. Et je - je ne voudrais pas que quelqu'un crie pendant que je Lui parle. Je veux Lui parler de façon qu'Il m'entende. Et avec ces gens qui crient 'amen', 'alléluia', 'gloire à Dieu', 'Hosanna au prophète qui vient au - au Nom du Seigneur', oh, eh bien, on ne m'entendra pas, avec toute cette foule bruyante. Il n'y a donc qu'une seule chose à faire. Il y aura une foule tout autour de moi. Et alors je - je ne saurai même pas Le voir du tout. "
Il se fit donc qu'il jeta un coup d'oeil, alors qu'il se tenait au coin, il y avait là un vieux sycomore qu'il connaissait. C'est typiquement un arbre de l'Indiana. Tandis qu'il se tenait donc au coin, il s'est dit: " Eh bien, si je peux grimper là-haut sur cette branche et m'installer là, je serais alors là-haut. Je pourrais alors vraiment Lui parler quand Il passera. "
28 Le voilà donc venir en toute hâte, mais il est trop court. Il ne parvient pas à atteindre la branche. Il s'est donc dit : " Eh bien, maintenant, il ne me reste qu'une seule solution. " Et là au coin se trouvait la poubelle de la - la ville. Il s'est donc dit : " Eh bien, maintenant, si j'allais chercher cette poubelle, la prendre et l'amener ici, je pourrais alors en me tenant dessus atteindre l'arbre. Cela va m'aider. "
Il est donc allé là. Et le service de ramassage des ordures n'était pas encore passé ce matin-là; la poubelle était très lourde. Ainsi, étant petit, il n'arrivait pas à la soulever. La seule façon d'y aller, c'était de l'entourer de ses bras. Et il portait son meilleur vêtement. Ainsi, vous savez, il y a toujours des obstacles quand vous cherchez à voir Jésus. Mais ça ne changeait rien que ce soit un beau vêtement ou pas, il voulait de toute façon voir Jésus. Il passa alors ses bras autour de la poubelle afin de pouvoir l'amener là. Il a donc fait glisser cela. Et voilà qu'il était couvert d'ordures. Eh bien, cela ne changeait rien; il - il voulait Le voir de toute façon.
Ainsi, pendant qu'il poussait la poubelle avec ses bras autour de cela, il entendit quelqu'un rire. Et il regarda autour de lui, et tiens, Levinski, son concurrent, se tenait là, disant : " Eh bien, vous savez quoi? Zachée a abandonné le restaurant pour un nouveau job. Il travaille au ramassage d'ordures. "
Vous savez, le diable veut simplement voir ce qu'il peut faire pour jeter tout ce qu'il peut en travers de votre chemin, afin de vous empêcher de voir Jésus. Il vous dira que c'est une bande de saints exaltés. Il vous dira que c'est une bande d'ignorants. Il dira qu'ils - ils ne valent rien ces gens-là; ce sont de pauvres racailles de la ville - tout ce qu'il est capable de faire. Mais si vous êtes déterminé à Le voir, Dieu frayera une voie pour que vous Le voyiez. Gardez simplement cela à l'esprit. Quelque chose se produira si cette faim commence à entrer dans votre coeur - quelque chose. Vous irez Le voir de toute façon.
Cela ne changeait donc rien. Son vieux petit visage a rougi, il était embarrassé. Mais il a continué malgré tout à pousser la poubelle. Ayant pris appui là-dessus, il grimpa sur l'arbre. (C'est en ordre, n'est-ce pas, grimper? Vous gens du Sud, vous savez ce que c'est que grimper. C'est monter sur l'arbre.) Il monta sur l'arbre. Et il monta là-haut et trouva un endroit où deux branches se rencontrent sur le tronc de l'arbre. Et il s'installa là.
Eh bien, c'est un bon endroit où s'asseoir, là où deux voies se rencontrent : la vôtre et celle de Dieu, votre opinion et la Sienne. C'est un moment approprié pour s'asseoir et bien examiner la chose : votre propre opinion sur Lui, et ce que Sa Parole dit qu'Il est; ce que vous vous pensez qu'Il est et ce que la Parole dit qu'Il est; ce qu'est le Message de l'heure d'après votre opinion, et ce qu'est le Message de l'heure selon Sa Parole, voilà la différence. Assoyez-vous là et examinez bien cela un petit moment.
29 Sans doute que Satan est venu à l'une de ses épaules et a dit : " Tu sais quoi? Tu offres un beau spectacle, assis ici en haut, en train d'arracher des échardes de tes mains, vêtu de tes plus beaux vêtements et cela entièrement - entièrement couverts d'ordures. Et maintenant ton nom va paraître partout dans la ville. Toutes les plaisanteries porteront sur toi, car regarde quelle imprudence tu as commise en t'asseyant ici. " Vous voyez, Satan… Dès que vous commencez quelque chose, il cherchera alors à vous dire que vous avez commis une erreur.
Il se tenait là dans cet état. Il s'est dit : " Eh bien, Rébecca dit qu'Il est un prophète. Je vais Le mettre à l'épreuve. Je vais voir s'Il est un prophète. " Alors, il s'est dit : " Quand Il passera par ici, je vais simplement me cacher, et Il ne saura point que je suis ici en haut. Je vais d'abord Le regarder. Et ensuite, quand je L'aurai vu, je vais alors sauter de cet arbre. Je descendrai donc là et je Lui parlerai. " Alors, il s'est dit : " Eh bien, cependant s'Il - s'Il est un prophète, comme le dit Rébecca, Il pourra savoir que j'étais dans cet arbre, si c'est vrai. Je t'assure donc, je vais Lui régler Son compte. "
Il ramena alors toutes les feuilles autour de lui et se cacha complètement, de telle sorte qu'on ne puisse pas le voir, et il laissa une seule feuille pour pouvoir regarder, vous savez, afin de Le voir quand Il prendrait le tournant.
30 Et ainsi, il était assis là examinant bien tout cela. Au bout d'un moment, il entendit un bruit provenant du coin. C'est étrange. Partout où Il est, il y a toujours beaucoup de bruit. Vous savez, le bruit est un signe de la vie. Voyez-vous? Souvenez-vous, le souverain sacrificateur, quand il s'habillait et qu'il entrait dans le saint des saints, il y avait des grenades et des clochettes sur la bordure de son vêtement. Et ce bruit dans le saint des saints était le seul moyen pour que ceux qui attendaient sachent si oui ou non le souverain sacrificateur était en vie. Cela produisait un bruit. Et quand il n'y avait pas de bruit, alors c'était possible - c'était donc possible qu'il soit mort.
Je pense que c'est là tout le problème de nos églises aujourd'hui. Elles n'ont pas assez de bruit, pas assez d'enthousiasme, rien de suffisant.
Et ainsi, là où se trouve Jésus, il y a toujours du bruit. Une fois, alors qu'Il entrait à Jérusalem, les gens criaient, hurlaient : " Hosanna au Roi qui vient au Nom du Seigneur !"
Et certains de ces sacrificateurs qui se trouvaient là, dirent : " Eh bien, faites-les taire, qu'ils gardent silence. "
Il dit : " S'ils se taisent, ces pierres crieront. " Quelque chose doit bouger quand Il est là. Remarquez, et alors… ceux qui croient en Lui…
31 Et il entendit donc ce bruit venir du coin, des cris et un tas d'histoires, il s'est donc dit : " Eh bien, Il doit être certainement tout près. " Il a alors écarté sa feuille, il s'est redressé pour regarder. " Eh bien, je L'ai bien eu maintenant. Nous allons voir à quel point Il est prophète. " Ainsi, pendant qu'il était assis là avec sa feuille écartée, regardant, et - et en haut dans cet arbre, tout au-dessus de leurs têtes, alors qu'ils passaient sous l'arbre…
Ainsi, quand il a observé… Le premier homme qui prit le tournant doit avoir été l'apôtre Pierre, en effet, il était grand, robuste, le genre costaud. Je peux le voir repousser la foule en disant : " Mes amis, je suis désolé, notre Maître a tenu un grand service hier soir. Beaucoup de vertu est sortie de Lui. Veuillez tous être compréhensifs. Voulez-vous bien vous tenir de côté pour que le Maître puisse passer? Faites-le, je vous en prie. "
Et voilà venir Matthieu, Marc, et les autres. Ils disaient : " Eh bien, nous - nous ne voulons pas être rudes. Nous - nous ne sommes pas ici pour cela. Mais notre Maître est très fatigué. Il n'a pas pris Son déjeuner. Ainsi, nous sommes - nous sommes - nous voulons que vous vous teniez de côté, s'il vous plaît. "
32 Un - un homme se tenait là, que Zachée avait peut-être aperçu. Quelques jours avant, lors d'une des réunions dans une maison d'affaires, un médecin se trouvait là et avait dit à ce petit homme dont la fillette faisait une forte fièvre, que celle-ci n'allait pas survivre…?… Il avait fait tout ce qu'il pouvait pour elle.
Et Zachée, quand il a écarté sa feuille pour regarder, il vit cet homme prendre le tournant, tenant le bébé enveloppé d'une couverture. Il s'est dit: " Quelle imprudence ce père fait en essayant de suivre ce - ce soi-disant prophète. Le voilà qui prend le tournant avec ce bébé, qui a la fièvre, et il se tient là dehors avec ce vent. "
Mais, vous savez, tout comme Zachée, quand vous croyez réellement, rien ne va vous arrêter. Vous… Comme il voulait lui apporter ce bébé... Et chaque fois qu'il prenait un tournant ou changeait de direction, on le repoussait. Mais il - il a persévéré. Il a continué. Finalement, arrivée à ce tournant, la petite mère accourut avec l'enfant dans ses bras. Et elle est certainement tombée. Et elle a dit : " Seigneur, aie pitié de mon enfant. " Et là se tenait le père de l'enfant, en larmes lui aussi, il était un ami de Zachée.
Il s'est dit : " Qu'est-ce qui a changé son attitude? " Ainsi, il n'arrivait pas encore à comprendre qui était cet homme. Il se trouvait là dans la foule.
Tout à coup il vit une main se tendre et toucher le dessus de cette petite couverture. Et on ôta la couverture qui couvrait la fillette et celle-ci se mit à sautiller dans la rue. Eh bien, il doit y avoir quelque chose de réel là-dedans, Zachée.
33 Finalement, l'Homme apparut. Et une fois qu'il L'a regardé, Zachée avait déjà changé d'opinion, juste au premier coup d'oeil sur Lui. Le voilà; Il n'était pas comme les autres hommes. Il avait quelque chose de différent: humble, doux, aimable. Cependant, il semblait que s'Il parlait, le monde toucherait à sa fin. C'était un personnage différent de ce qu'il s'était imaginé. Son attitude commença à… Quand il Le vit, il commença à perdre toute sa raideur. Il vient en descendant la rue… Il s'est dit, par-dessus cette petite feuille, regardant pour voir ce qui se passait… Et comme Il avançait, Il arriva juste en dessous de l'endroit où il se trouvait. Zachée se dit : " Tu sais, cet Homme pourrait être un Prophète. Peut-être que Rébecca avait raison. Elle doit connaître les Ecritures mieux que moi. "
Il marchait donc là, la tête baissée, marchant avec humilité, avec douceur, comme toujours, et les disciples écartaient les gens de Son chemin. Et quand Il arriva juste en dessous de l'arbre, Il s'arrêta. Zachée regardait par-dessus les feuilles, quelque chose comme cela. Jésus leva les yeux dans l'arbre, Il dit : " Zachée, descends. "
Non seulement Il savait qu'il était dans l'arbre, mais Il savait aussi qu'il s'appelait Zachée. Il eut bien moins de difficultés pour descendre de l'arbre qu'il n'en avait eu pour y grimper. Il le connaissait. Le miracle était opéré sur lui.
34 Voyez-vous? Il a dit : " Seigneur, j'ai eu tort. Je suis prêt à confesser que j'ai tort. Si j'ai pris quoi que ce soit injustement, je - je vais le rembourser. Je vais donner la moitié de mes biens aux pauvres. "
Jésus a dit: " Aujourd'hui le salut est venu dans ta maison. "
Qu'est-ce qui le changea? C'était quoi le changement, frère et soeur? Pensez-y un peu. Le changement, c'était quelque chose d'authentique qu'il avait vu. Il avait entendu parler de toutes les promesses qui avaient été faites, le sacrificateur avait parlé de ce qui avait été, du grand prophète Moïse, du grand ceci, cela, annonçant la promesse de quelque chose de glorieux dans le futur, mais il ignorait ce qui se passait dans l'entre-temps. Il en est ainsi avec l'homme. Il avait vu quelque chose d'authentique, quelque chose qu'il a pu voir personnellement. Le miracle avait été opéré sur lui. Cet Homme était ce Prophète-là, car Il ne le connaissait pas, Il ne l'avait jamais vu non plus dans l'arbre. Mais quand Il est arrivé juste en dessous de l'arbre, Il s'est arrêté, puis a levé les yeux et dit : " Zachée, descends. Aujourd'hui le salut est venu dans ta maison. "
35 Frères, ce qui change les pensées des hommes, ce qui change leur attitude, c'est quelque chose de réel. Des fois, il faut se bousculer, assurément, pour atteindre la chose. Mais ce matin, si vous vous approchez de Christ avec - avec cette - cette pensée dans votre coeur : " Je ne serai pas un critiqueur. Je vais plutôt étudier les Ecritures pour voir qui Il était ", s'il venait à la réunion ce soir…
Avant de venir, étudiez et voyez ce qu'Il était. Tout ce qu'Il était, Il doit être le même aujourd'hui. Son… Comme je l'ai dit hier soir, si beaucoup d'entre vous étaient là... Vous voyez? Dieu s'identifie-t-Il par Ses caractéristiques? Il doit toujours continuer comme cela, car Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Les coeurs des hommes sont - sont si… Un homme ou une femme qui craint réellement Dieu, un homme d'affaire, qui qu'il soit, il est toujours… Il y a dans son coeur, pour peu qu'il y ait la crainte de Dieu en lui, quelque chose qui le pousse à connaître quelque chose sur Dieu.
36 Dites donc, je ne vous ai pas dit ce qui est arrivé à Zachée. Il est devenu membre du chapitre des Hommes d'Affaire du Plein Evangile de Jéricho. Vous voyez? Je voudrais vous parler encore de lui. Vous voyez? Eh bien, certainement, il ne pouvait être rien d'autre qu'un membre du Plein Evangile, bien sûr. C'est tout ce que Jésus a prêché. Et là, il est donc devenu membre. Vous devriez également en être membre.
Maintenant, remarquez. Il voulait pourtant voir quelque chose de réel, et quand il vit lui-même quelque chose de réel, qui était identifié dans les Ecritures, alors il était prêt. Ce sont les choses réelles qui représentent...
37 Juste une petite histoire avant de terminer. Combien ici sont des chasseurs? Faites voir vos mains, mes frères qui êtes ici. Oh! la la! Je savais bien que je n'étais pas seul. J'aime donc faire la chasse, je - j'avais l'habitude de monter dans les bois du Nord, dans le New Hampshire. C'est le milieu du cariacou. J'aime bien les chasser. Et j'avais l'habitude de monter là-haut chaque année. Et j'avais là-bas un partenaire qui s'appelait Burt Caul, l'un des hommes les plus braves avec qui j'aie chassé. Et ma nature m'a toujours attiré vers les bois. Je suis né dans les bois, il m'a toujours semblé avoir grandi là-bas. Même ma conversion n'a pas ôté cela de moi.
Ce n'est pas tellement pour avoir du gibier, mais c'est juste pour me retrouver dans les bois, je crois que Dieu s'y trouve. Le voir, comment Il agit, comment la nature meurt, va dans la terre et réapparaît dans la résurrection. Le soleil se lève le matin, un petit bébé qui naît, et puis, vers neuf heures, il va à l'école, et vers dix heures, il en sort. A douze heures, il est dans toute sa force. A quatorze heures, il a à peu près mon âge. A dix-sept heures, il a quatre-vingts ans; il meurt. Il va sous terre. Il a accompli le dessein de Dieu. Il n'est pas mort. Il reviendra le lendemain matin. C'est Dieu qui rend témoignage qu'il y a la vie, la mort, l'ensevelissement et la résurrection.
Observez ces arbres qui sont là. L'automne passé, la sève est descendue dans la racine de l'arbre avant que le gel ni quoi que ce soit d'autre ne vienne. Que faisait-elle? Elle descendait dans la tombe. Qu'arrive-t-il ensuite? Elle remonte au printemps. Elle n'est pas morte. Elle descend et repose dans la terre, puis remonte. Si elle reste là haut, alors l'hiver va la tuer. Vous voyez? Dieu a… Ce n'est pas l'intelligence de la sève qui envoie cette sève dans la terre; c'est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Cela suit donc tout simplement la voie à laquelle Dieu a pourvu : elle descend dans la terre, elle se cache pendant l'hiver et revient avec une nouvelle vie l'année suivante, témoignant par là qu'il y a la vie, la mort, l'ensevelissement et la résurrection. Partout c'est la même chose, Dieu dans Sa glorieuse création, rendant témoignage de Lui-même.
38 Ce chasseur est un excellent tireur, un bon tireur. Mais c'était l'homme le plus cruel que j'aie jamais connu. Il - il se moquait tout le temps de moi. Il tirait sur les faons. Eh bien, ce n'est pas que ce soit mal de tirer sur un faon si la loi le permet. Mais… Vous savez, Abraham tua un veau et en donna à manger à Dieu. Il ne s'agissait donc pas du - du sexe ou plutôt de la taille; il est question de l'attitude. Il tirait sur eux juste parce que cela me faisait mal.
Et il disait : " Oh ! vous êtes un peureux comme les autres prêtres. Billy, tu serais un bon chasseur si tu n'étais pas un prédicateur. " Et il disait : " Mais tu es trop peureux. C'est ainsi que sont ces gens de prédicateurs. " Il disait : " Ils sont - ils sont trop peureux. "
Et je disais : " Burt, tu es cruel. " Ses yeux étaient quelque peu comme ceux d'un lézard. Et il disait… Ses yeux étaient comme ceux d'un lézard, comme les femmes qui essaient de se farder les yeux, vous savez, remontant comme cela.
Il disait… Et il me regardait de la tête aux pieds comme cela et disait : " Tu es vraiment un peureux. "
Il tirait donc sur ces petits faons, il en tuait un, il le laissait là et continuait tout simplement, il en tuait un autre, juste pour me faire mal.
Il disait : " Un de ces jours, je te détournerai de la prédication. "
Je disais : "Oh! non, Burt. Non, non. "
39 Alors, un jour… En automne, je suis allé là-haut, mais c'était tard. La saison avait été ouverte depuis environ une semaine et j'étais occupé. J'étais garde-chasse de l'Etat de l'Indiana, et je - j'étais occupé, et c'était juste pendant la saison de chasse. Je devais donc prendre mes vacances. J'y suis allé un peu en retard. Et ces cariacous, quand on leur tire dessus, … Vous dites de Houdini qu'il est un spécialiste de l'évasion, oh! la la! il n'est qu'un amateur à côté d'eux. Et ainsi donc, ils restent parfaitement cachés. Et c'était des nuits au clair de la lune, et il y avait environ six pouces de neige sur le sol, c'était favorable pour suivre les pistes.
Ainsi, quand Burt est venu à la cabane où je me trouvais, il a dit : " Dis donc, Billy, j'en ai une bonne pour toi cette année. "
Et j'ai dit : " Et c'est quoi? "
Il a mis la main en poche, et il en a tiré quelque chose. Et il avait un petit sifflet. Il a sifflé, et cela produisait exactement le cri d'un petit faon réclamant sa maman, le petit du cerf, vous savez, réclamant sa maman.
J'ai dit : "Burt, combien tu peux être cruel! " J'ai dit : " Tu veux dire… Tu ne vas pas faire une chose comme ça? "
Il a fait : " Ha !Ha ! Espèce de prédicateur peureux. "
40 Et ce jour-là, nous sommes allés chasser et nous sommes allés à la gorge de Jefferson. Et on n'avait pas à s'inquiéter à son sujet; il savait comment rentrer. Nous sommes donc montés jusque vers midi, et alors nous nous sommes séparés, et l'un est allé d'un côté et l'autre de l'autre. Et alors, quand nous abattions notre cerf, nous le suspendions. Et - et ensuite, nous allions chercher nos chevaux pour aller le prendre.
Nous sommes donc arrivés vers onze heures et nous n'avions pas vu une seule piste, pas une seule. Tous les cerfs étaient couchés. Ils sont dans les buissons, sous les tas de broussailles et tout, là où… les sommets des arbres, là où les bûcherons étaient passés. Et ils - ils se cachaient et restaient retranchés puisqu'on avait tiré sur eux. Ils étaient effrayés.
41 Vers onze heures, Burt s'est arrêté et s'est assis. Il y avait une petite clairière à peu près, oh, de la dimension de l'intérieur de ce bâtiment, peut-être deux fois cette dimension, une petite clairière, là. Et il s'est assis. Il s'est retourné pour prendre, pensais-je, son - son thermos qu'il avait dans son manteau. D'habitude nous amenons un thermos, et nous avons du chocolat chaud, car cela est nutritif, vous savez, et alors - et alors, nous prenons un sandwich, après quoi nous nous séparons.
Nous étions en train de monter vers la limite de la forêt, je me suis donc dit que Burt allait peut-être prendre son sandwich. Il s'est donc assis et il a fait sortir ce thermos… Et je pensais qu'il allait le faire sortir. J'ai simplement posé mon fusil contre un arbre et je me suis mis à chercher le mien. Mais, en fait, c'est ce petit sifflet qu'il faisait sortir.
Alors, quand il a fait sortir ce petit sifflet, il a soufflé dedans. Quelqu'un a-t-il déjà entendu le cri d'un pauvre petit faon? C'est plutôt pitoyable, de toute façon. Et quand il souffla dans ce sifflet, à ma surprise, juste en face de lui, une très grosse mère biche s'est redressée. Eh bien, la biche, c'est la mère cerf. Elle s'est donc redressée. Ses grands yeux bruns et…?… ces grandes oreilles étaient dressées, comme cela. Vous voyez, son petit était en difficulté.
42 Et il siffla encore, et elle regarda tout autour. Et elle s'avança tout droit jusque dans cette clairière. Eh bien, c'est inhabituel (vous tous chasseurs le savez) qu'un cerf fasse cela. Elle s'est avancée là. Je pouvais voir ses gros yeux. Elle n'était pas à plus de 20 yards [environ 18 m - N.D.T.] de moi.
Et je me suis dit : " Oh ! Burt, tu ne peux pas faire ça. Tuer cette précieuse pauvre mère, qui cherche son petit, et tu la trompes comme cela ! "
Et ce sifflet avait retenti, et elle était - elle s'est avancée là. Et le chasseur releva le levier de sa carabine de calibre 30-06, puis le fit descendre. Cela arma le fusil, vous savez, le dispositif de sécurité étant désactivé. Et elle entendit cela, et elle regarda tout autour et vit le chasseur. Ses oreilles se rabattirent immédiatement. D'habitude, elle aurait détalé, et pour commencer, elle ne se serait pas avancée là à cette heure là du jour.
Mais, voyez-vous, elle était une mère. Il y avait quelque chose en elle, elle - quelque chose d'authentique, quelque chose… Elle ne faisait pas une mise en scène. Elle était une mère. Elle était née une mère, et son petit était en difficulté, et c'est ce qui la préoccupait.
43 Et Burt me regarda avec ses yeux de lézard et sourit. Et j'ai dit : "Burt, ne fais pas ça. Ne fais pas ça." Il a simplement souri, il s'est retourné avec cette carabine.
Oh! la la! il était un tireur d'élite. Et je savais que lorsque ce fil de la lunette pointerait son fidèle coeur de mère, il le lui ferait sauter. Vous voyez, elle ne se tenait pas à 20 yards [environ 18 m - N.D.T.] 180 gros grains et - une balle en forme de champignon, contenant 180 grains, et il ferait tout simplement sauter son coeur directement de part en part. Je me suis dit: " Comment peux-tu être si cruel pour faire sauter le coeur de cette précieuse mère à la recherche de son petit, comment peux-tu faire cela, Burt? ", me disais-je. Et j'ai vu son bras descendre. Je ne pouvais pas regarder cela. Je ne pouvais simplement pas le faire. J'ai tourné le dos. Je - je ne pouvais pas voir cela, cette authentique et fidèle mère se tenant là. Elle n'était pas une hypocrite. Elle ne faisait pas semblant pour offrir un spectacle. Elle était une mère. C'est pour cela qu'elle faisait cela. La mort ne signifiait rien pour elle; le petit était en difficulté. Elle se souciait plus de son petit que de sa propre vie. Peu importe que le chasseur tire ou quoi d'autre. Son coeur loyal était en train de battre. Sa maternité, la maternité en elle appelait. Son petit pleurait. Quelque chose en elle palpitait. C'était réel.
Et comment ce chasseur cruel pouvait-il faire sauter ce coeur loyal? Je ne pouvais simplement pas voir cela. J'ai détourné la tête. Je me suis dit: "Ô Seigneur Dieu, ne le laisse pas faire cela ! " Je me tenais comme ceci. Je ne pouvais pas entendre… Je ne voulais pas entendre la détonation de la carabine. C'était simplement trop.
Et j'ai attendu; le coup n'est pas parti. Et je me suis retourné et j'ai regardé, et cela allait comme ceci. Il n'a pas pu le faire. Il s'est retourné et m'a regardé, et ces gros yeux avaient changé. Des larmes coulaient sur ses joues. Il m'a regardé, ses lèvres tremblaient. Il a jeté la carabine sur le talus de neige, il m'a saisi par la jambe de mon pantalon, il a dit : " Billy, j'en ai assez de cela. Conduisez-moi à ce Jésus dont tu parles. "
Là, sur cet amoncellement de neige, je l'ai conduit au Seigneur Jésus. Pourquoi? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait été dans toutes sortes d'églises. Il avait vu quelque chose qui n'était pas un simulacre. Il avait vu quelque chose d'authentique.
44 Mes amis, nous pourrions avoir des statuts, des ordonnances d'églises, des théologies et tout le reste, mais il existe un vrai et authentique Jésus. Regardons à Lui en cet instant même, pendant que nous avons la tête inclinée pour la prière. Alors que vos têtes sont inclinées, j'aimerais vous poser une question, vos coeurs étant aussi inclinés. Combien ici… Maintenant, à vous qui confessez être chrétien mais qui ne l'êtes pas… si vous n'avez qu'une confession… Mais combien d'entre vous aimeraient être chrétiens autant que cette biche était une mère, avec quelque chose de très authentique en vous, qui semble représenter plus que votre vie, ou tout ce que vous avez?
Et vous diriez, vous pourriez dire ceci : " Frère Branham, je suis un membre d'église. Je suis un homme d'affaires, une femme d'affaires, quoi que ce soit d'autre, une ménagère. Mais en réalité, pour ce qui est d'être ce genre de chrétien tel que je peux mettre de côté tout ce qui est du monde, supporter les critiques et tout autre chose, je - j'aimerais être autant… Dans mon coeur, je voudrais être un chrétien autant que cette biche était une mère. "
Maintenant, pendant que vos têtes sont inclinées et vos yeux fermés devant Dieu, j'aimerais vous demander au Nom de Christ, en cette fin d'âge : " Voudriez-vous simplement lever la main? " Je ne peux pas faire l'appel à l'autel car il n'y a pas de place. Mais dites simplement : " Priez pour moi, Frère Branham, afin que je sois ce genre de chrétien qui l'est autant que cette biche était une mère. " Que Dieu vous bénisse. Il y a des mains partout. " Que je sois un chrétien autant… "
Eh bien, Zachée, quand vous levez la main, cela montre qu'Il vous a vu. Eh bien, pourquoi ne descendez-vous pas simplement de l'arbre? Il va aller dîner chez vous aujourd'hui. Il restera avec vous le reste de vos jours.
45 Père céleste, nous sommes reconnaissants pour le Seigneur Jésus, pour Sa Présence. Et nous sommes conscients qu'il y a quelque chose ici qui a fait que des hommes et des femmes, certains d'entre eux ont même confessé être des chrétiens depuis des années… Mais il y a eu - il y a quelque chose ici qui les appelle même s'ils ont fait une confession, même comme Zachée, mais une fois que Christ les a touchés… Ils ont levé la main en guise de témoignage que quelque chose en eux leur a dit de le faire.
Qu'ils sachent maintenant même que c'est Jésus. Il devait passer par ici ce matin, et Il est passé. Il y avait, je pense, quelque cent cinquante mains levées, Seigneur. Je Te prie de visiter chacun d'eux et de leur donner la réalité qui consiste à être un véritable chrétien. Peu importe combien le monde cherche à nous décourager, combien les autres cherchent à nous décourager, que nous puissions savoir que c'est un combat pour y arriver. C'est un effort que nous devons déployer. Mais quand nous entrons en contact avec quelque chose d'authentique, de réel, alors cela nous change.
Je Te prie de changer chaque coeur, Seigneur, et de faire que tout celui qui est dans Ta divine Présence en ce moment fasse entrer le Saint-Esprit dans sa vie, pour qu'il soit autant chrétien que cette mère biche était une mère. Elle était née une mère. Et puissent-ils naître de l'Esprit de Dieu et devenir de véritables disciples de Jésus-Christ.
Puissent-ils descendre aujourd'hui de leur sycomore. Accorde-le, Seigneur. Puisses-Tu rentrer avec chacun d'entre nous, et demeurer là avec nous jusqu'au jour où Tu viendras pour nous ramener à notre demeure éternelle. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
46 Tous mes remerciements. Que le Seigneur vous bénisse. Je vous ai gardés jusque tard. J'étais supposé quitter ici à dix heures. Il est onze heures moins dix. J'espère que Dieu prendra ces quelques petites paroles brutes, que j'ai apportées étant nerveux et tendu, et qu'Il nourrira votre coeur. Souvenez-vous, il y a quelque chose d'authentique en Christ. Que Dieu vous bénisse.
E-1 Let us just remain standing for a few moments, as we read God's Word. I was thinking of all that introduction I'd really have to live a real life to live that up, wouldn't I? That's men that love you.
Over in the Book of St. Luke the 19th chapter, I want to read just a portion of this Scripture, the first five verses.
And Jesus entered and passed through Jericho.
And, behold, there was a man named Zacchaeus, which had... was a chief among the publicans, and he was rich.
And he sought to see Jesus who he was; and he could not for the press, because he was little of statue.
And he ran before, and climbed up into a sycamore tree to see him: for he was to pass that way.
And when Jesus came to the place, he looked up, and saw him, and said unto him, Zacchaeus, make haste... come down; for to day I must abide at thy house.
And he made haste, and came down, and received him joyfully.
And when they saw it... all murmured, saying, That he was gone to be the guest of a man which was a sinner.
And Zacchaeus stood, and said unto the Lord; Behold, Lord, the half of my goods I give to the poor; and if I have taken any thing from any man by false accusation, I restore to him fourfold.
And Jesus said unto him, This day is salvation come to this house, forsomuch as he also is a son of Abraham.
For the son of man is come to seek and to save that which was lost.
E-2 Let us pray. Our heavenly Father, we are grateful to Thee this morning because You are still seeking to save the sons of Abraham, that which is lost. We pray, heavenly Father, that You will receive our humble prayer, and bless our gathering together here today. And may it not be in vain, but may the great Holy Spirit teach us the way of life, knowing this, that we must stand in His Presence someday to give an account of what we've done with this life. Bless us together now, as we further wait on Thee. In Jesus' Name. Amen. Be seated.
E-3 I am sure happy to have good friends--people who believe, and believe the efforts that you're trying to put forth. If I had any other objective, just merely to be different, why, I would be a real sinner. But my objective is to magnify Jesus Christ. And something that's in a man when you have a message from God, you cannot stop yourself; there's something in you pulsating; it goes on anyhow. You can't slow it up, stop it, or start it. It stops, and starts, and slows up you. See? It's the one that has control.
Thanks to these fine brethren, for their testimony of our Lord Jesus. They wasn't speaking of me. Of course not. They were speaking of Him.
E-4 Like I was reading a little article here not long ago about Mr. Moody. Said Chicago was going... Newspaper was going to write an editorial on him. And they sent a--someone out to find out why people gathered to hear Mr. Moody. And the editorial... Mr. Moody is like myself. He didn't have enough education to read the editorial, so his manager had to read it. Mr. Moody was a shoe cobbler formerly, and he was called of God for a message of his--the hour.
And so, the manager was reading the editorial, and it said, "Why would anybody go to hear Dwight Moody?" Said, "The first place, he's the ugliest man I ever seen." And said, "He's baldheaded and long whiskers," and so forth. And said, "And he--he whines when he talks. His grammar is the worst I ever heard, and..." Oh, it was just carrying on like that.
Said Mr. Moody just shrugged his shoulders and said, "Certainly not. They come to see Christ." So I--I think that's just the answer. It's Christ that we want to see. "If I be lifted up I'll will draw all men unto Me."
E-5 I was thinking, after visiting here in the--the city, and finding that the people how nice they've been, what a nice meeting we're having up here at this Denham Springs High School, or school auditorium. I was thinking the people here are something like the coffee here. My, it's not quantity, but it's quality. Whole lot in one of them cups.
You remember my first time landing at the airport out here. The brother that was coming to get me is setting here. And a little French girl there. I asked for a hamburger and a cup of coffee. I never drank it till I was about thirty-eight years old; I ought to knowed better. But... And Brother Brown, I guess he's here this morning somewhere. He's setting right here. He liked it so well. And he got me... I had a ministerial breakfast at seven o'clock, and one at eight o'clock, one at nine o'clock. You couldn't eat all that, so they pour coffee, and I got to sipping it. And first thing, I got to drinking it.
So I asked this girl, I told her I want a hamburger and a cup of coffee. When they brought the little cup out I thought, "My, my. They're sure tight on their coffee around here." First drink, first swallow, I tell you. Oh, my. I had to fight for breath.
That little lady said, "You must be a Yankee." She said, "I'll fix you a Yankee cup."
E-6 So that's the way I find the people. Maybe not the greatest crowds I've ever spoke to, but real genuine quality. I'm grateful for that, a listening audience, somebody who sets and pays attention to what you're saying. That's what I want you to do. Examine what a man says by the Word of God. And if it isn't right, then it isn't right. That's all. If it is the Word of God, then God's got to testify of His Word, because He promised to. So, that's the way we like to examine these things to--to find out.
E-7 Now, I understood this morning that this was to be a Business Men's breakfast, and the Full Gospel Business Men, which I'm a member of their chapter. I think this... They said some of them was here. Some of them didn't get out. Maybe they're businessmen. They got their business they have to tend to. I'm going to give them excuse anyhow. So--so he said, many of the people were here anyhow. So that's very fine.
I... just a little joke. I've told it, but maybe it... This is not a place to joke, of course, but just a little sense of humor. When you talk like we've been awhile ago, well, maybe get people back on some sense of humor.
E-8 I remember one time a friend and I were at school together. His name's Wilmer Snyder. His brother's a Baptist minister, and he--he writes in this "Upper Room," a column in "The Upper Room." We were school boys together. And I studied the ministry, and he--he become an insurance agent. And so, he come to my house one day to visit me, and...
Now, there may be some insurance agents here. I'm not saying nothing about insurance now. I hope you don't think wrong of this, but to catch the little hang of what I--the way I said it. So, my brother also is--has the Prudential, and he sells Prudential insurance.
E-9 So one time I had a little something done by an insurance company that I... I guess, not knowing very much, I... They read the policy to me wrong, and it was misrepresented to me, and I just never did take it out, I...
So one day Wilmer come up to see me, and he said--he said, "How you getting along, Billy?"
I said, "Fine."
Said, "I hear you been out in the meetings." I said, "Yes, I'm out in the meetings."
I was telling him about a fellow, said to me, said, "Say, you're a preacher. What are you doing hanging around these businessmen?"
Well, I said, "I am a businessman."
And he said, "Aw, what business you in?"
I said, "Assurance business." And, see, he didn't get it. I never said, "insurance," I said, "assurance." And so I said, "Assurance business."
He said, "Oh," said, "I see." Said, "What--what insurance do you sell?"
I said, "I sell Eternal Life assurance." And I'm still selling it. So I'd be... If any of you are interested, I'll like to talk the policy with you, right after the meeting, if it's all right.
And so he--he said--he said, "Eternal life?" Said, "I don't believe I ever heard of the company."
I said, "Oh, you never? Brother, It's well known." And he said... I said, "It's an old establishment."
And he said, "Where's the headquarters?"
I said, "In glory."
E-10 Wilmer said to me; he said, "Billy, I thought I'd come up and sell you some insurance." Said, "I hear you don't have any insurance."
And I said, "Oh, yes. I--I have assurance."
And he said, "Oh, I'm sorry." He said, "I guess your brother, you have it with him."
I said, "No, not exactly with him."
My wife looked at me, as if she said, "Well, you must be telling a story." She knowed I didn't have any insurance, but she didn't get it either. I said, "assurance," not "insurance."
He said, "What insurance do you have, Billy?"
I said, "Blessed assurance, Jesus is mine! Oh, what a foretaste of glory Divine! I'm a heir of salvation, purchased of God, borned of His Spirit, washed in His Blood."
He said, "Billy, that's very nice." Said, "That's very nice." Said, "I've nothing against that." But said, "That won't put you up here in this graveyard when you're gone."
I said, "It'll get me out. I'm not worried about getting in. I'm not bothered about getting in; it's getting out." So this is the only thing I know will get you out. So if you're interested in getting out, let us talk to you about it.
E-11 Looking upon the audience this morning, I won't keep you but just a little bit. And I had a text I was going to preach from, so then I thought, "Well, I better not do that." I'm just going to have a little drama of something, a character in the Bible.
In thinking here over in serious matters... Now, while we're setting here as Christians, I suppose most of us, did you know this may be the last time that we'll ever eat breakfast together? Did you ever think of that? And do you realize what little words I have to say here, God's going to make me answer for it up there at the day of judgment. See? And I have souls here no matter if it's a small group, but yet I have... It's... The words that I say, will--I'll have to answer for them up there. So we may never eat another breakfast together. But I hope we eat a supper together someday. That's the last supper, up there with Him. It'll be the first one there.
And then, as we sit here this morning, and I look upon these men here, and some of them great ministers who's studied. And me, here, just a bushman come out, no education, setting here men that's qualified to preach, and doctors of divinity, I feel very little to stand and talk before men like that. But yet, I've--I got to express what I feel. And their great gratitude and kindness to let me stand and do this, I appreciate it, brothers, cooperating in the meeting and getting together. I'm here to help you. I'm going to do everything I can for each one of you, by the grace of God.
E-12 And then when it's all over someday... If I don't get to eat breakfast with you again. When it's all over, setting across the table from one another, that's the time I'm looking for. No doubt but little tears will run down our cheeks, look across the table and get each other by the hand. It'll mean something then. Let's work while there's time to work, while the sun's up. It'll be down after while. It's getting very low.
Then, to think that while we're setting there holding each other's hands and weeping a little, then the great King will come out in all of His great robes, come down along the line, wipe all tears away from our eyes and say, "It's well done, My good and faithful servants. Enter into the joys of the Lord that's been prepared for you since the foundation of the world." While the sun's up and it's light enough to labor, let's labor.
E-13 Now, this little text here may seem kind of ridiculous, but we're going to talk on this subject: "He Was to Pass This Way."
It must've been an--an awful night on the little fellow. He couldn't sleep at all. He just rolled and tossed all night long. It was breaking day. And we all know what those restless nights mean. You can't sleep. You got something on your mind, or something's got your nerves all upset.
And this little fellow was a businessman, maybe in the city of Jericho, which is something like you businessmen and women here. And he--he, no doubt, had a growing business. He stood in good with the--all the clubs and so forth, and was a member of the church, the Sanhedrin Council, and had a fine priest. And he believed this priest.
E-14 And the strange thing about this case though, is his wife. We'll call her Rebekah. She had strayed off on the wrong side; he thought. So did the priest. She was following a Man that was supposed to be a prophet of Nazareth, a Man named Jesus. And the people, the poor class of people, believed Him to be a prophet, or a Messiah that was promised. But it didn't meet just the qualifications of the Sanhedrin.
Strange, sometimes God does things off of the color that we think it ought to be in. This Fellow (You see?) was born, to their opinion, a illegitimate birth. His mother gave birth to Him before her and her husband was married. Another thing, He had no schooling. They didn't have no record of Him ever going to school. He was not a priest. Neither was He a rabbi. He just had claims, like, of His own. As Brother Don so greatly stated this morning, it was a turning corner. They didn't recognize it. It usually happens that way; it come to that cornertime.
But somehow or another, his wife had been persuaded that He was that prophet that was to come, and she had followed Him, believed Him. And she had tried to tell her husband, but he was so carried away in his business, and with the... He belonged to church, isn't that good enough?
E-15 Something like the rich young ruler, you know. He had a business also, but he realized... He was a member of the church but he didn't have Eternal Life. And he had... He seen something in Jesus that other men didn't have. And he said--come to Him and said he wanted to know if he--what he could do to have Eternal Life.
And Jesus told him, "Keep the commandments."
He said, "I've done this since I was a youth." See, it showed he was a believer. But he knew that Jesus had something that those priests and rabbis didn't have. And when a man ever comes in contact with Jesus Christ, he's different from then. You're never the same when you once see Him, if there's any spark of God about you.
E-16 So Rebekah had found this Jesus. And He--He was to her exactly the fulfilling of the promise that the Jews had been looking for, for their day. So the news had got around that He was going to have a breakfast, or some kind of a dinner, or something, down in Jericho. So she had got busy to praying about her businessman husband. We need more Rebekahs everywhere. See? See, prayer changes things. If--if you lay your husband, or your unsaved one, before God and then pray, God will make a way somewhere 'cause He promised to.
So that's what Rebekah... Being a staunch believer and a follower of the Lord Jesus, and a very fine, sweet person she must've been, she had--interested in her household. And I think that that reflects again, that if--if a person ever meets Jesus and finds Him really in your heart, you're interested not only in your own household but the household of God everywhere. You're interested that they know Him. And to know Him is Life: know Him (See?) not know how to read the Word, or... But know Him is Life. So she had prayed hard.
E-17 And the day grew close to when Jesus was supposed to enter the city. No doubt but the day before, she might've seen if his attitude had changed any. So she said maybe, "Zacchaeus, are--are you going to that breakfast in the morning?"
"Why, certainly not. Why, that bunch of people... You expect me... I've got the best restaurant in town, and they hold it over at Levinski's. (I hope there's not a Levinski here.) But anyhow, over at the other place. You see? And why, I got the best place in town. They picked that place down there, where they ought--they ought to come to my place to hold this." You see? He wasn't going.
Then she got to praying really desperately. So then, that night the little fellow couldn't rest at all. You know, there's something about it. If you go to really desperately praying about something, God works on both ends of the line. See? He--He--He answers.
E-18 So the little fellow, he must've got to thinking that night, "Wonder if I should go down and--and--and hear this Man. Now, Rebekah says that He's a prophet. Now, we know we haven't had any prophets for hundreds of years, and I asked the priest about it. He said, 'Nothing but just a nonsense. If there'd be a prophet raise up, wouldn't he come through the church? That's the way he'd have to come. He'd come to us Pharisees, or Sadducees, or our group, or he wouldn't be a prophet.'"
You know that attitude still holds. So they think it has to come that way, or it isn't right. So they said... No doubt but in this great time that... She believed it anyhow, and he had discussed it with the priest.
And the priest said, "Now, looky here. Them days of prophets have been many, many years ago. We've got the law. We've got it all wrote out. The situation's under control, and we got it in our hands. And we know about these things."
But then, 'course Zacchaeus not looking into it, just absolutely just presuming, taking it for granted. The word "presume" is "to venture without authority." Why, he--he thought that that was all right. As long as he belonged to the church, that's all he had to do.
But then, as night begin to come on, there come a sudden desire in his heart. "Maybe, if this Person is in town, He may never be here again. I should go and investigate the--the situation, see for myself."
Now, that's a good idea. Look it over yourself. Don't go to criticize. Take the Word and examine the Word by it.
So she... Rebekah had tried, as a woman could, to explain that... what the prophets had said, and what Moses had said this Person would be and when He comes. So she must've tried to explain it to him. But yet the priest had much more influence over him than what Rebekah, his wife, did.
E-19 Then morning begin to dawn. Why, the little fellow was... Rebekah, I can imagine her, seen her punch him saying, "Zacchaeus, you mean to say you don't want to go down?"
"No, I don't want nothing to do with it."
You know, don't be--don't be disgusted, Rebekah. Sometimes that's a good sign. See? Just--just when he gets so discouraged to talk about it, and everything else, that's a pretty good sign sometimes.
So after while... Rebekah act like she was asleep, only she was praying. And she finds Zacchaeus slips out of the bed real easy, you know, and goes over and grooms hisself all up, and combs his hair just right, and puts on his best garment. And she peeped over out of one eye to see what he was doing. She knew right then God had answered prayer. She knew something's going to take place.
E-20 So Zacchaeus tiptoes out, not letting Rebekah know where he's a-going, you know. And he slips out, and gets outside and looks back. She raises up the curtain, looks out to see him going out. She says, "Thank You, Lord. It's all all right now." See? Like Elijah did when he said, "I see that the cloud the size of a man's hand," just the first little evidence, "something's fixing to happen."
So he goes out and down the streets. She said, "Now, I understand He's going to enter in by the south gate, so I better go over there and stand." Said, "Now, I'll get me a place, and I will stand right there. And when He comes in, I'll see how much prophet that fellow is. And I'm going to walk right out, and put my finger under his nose, and I'm going to give Him a piece of my mind."
"And when He comes, I'm going to tell Him that all of his nonsense has caused my wife... And these prayer meetings, and things, I'm getting sick and tired of it. I'm going to... I'm going to say something about this. See? I'll tell Him. And then I know Rabbi will certainly pat me on the back and say, 'Zacchaeus, you're a good member of this church. You--you're sure a fine fellow.'" So he said, "I'll get down there early."
E-21 So, he got down... When he got about a block or two of the gate, come to find out the place was jammed. They was hanging on the walls and everywhere. Somehow or another, even though He was talked about, there was somebody still liked to hear Him. Somebody would listen. So he said, "Now, how am I going to ever see Him come in the gate?" You remember the Bible said he was small of statue. And he said, "I'm too little." So he pushed around, "Here, give me a little room."
You can tell he isn't a Christian yet (You see?), acting like that. Christians don't have that attitude. See?
"Stand back. You know who I am? I'm Zacchaeus. I own the restaurant up here. Get--stand out of my way."
See, now that ain't a Christian, and everybody knowed he wasn't. Maybe some of them knew that Rebekah was praying. Well, they said, "Well, you stand back."
E-22 And so he knowed he'd never get to see Him in all that crowd, so he wouldn't be able to express his thoughts to Him. So he thought, "Well, now. What'll I do? Maybe I'll go back home, and just forget the whole matter." But you know, there's something about it, that when you make up your mind that you want to see Him, there's nothing going to stop you from seeing Him. I don't care what it is, you're--you're persistent. And like the little Greek woman was persistent to get to Jesus.
And there's something about it, that whenever you make up your mind that you're going to see Him, there's nothing going to stop you. But remember, when you make up your mind, then the devil's going to do everything he can to stop you. He's determined that you're not going to understand it. You're not going to see it. He'll throw every black sheet across he can to keep you from seeing it. So there was his first barricade right there.
E-23 So then, he started off, said, "Well, I guess..." And looked over there and there stood some of his competitors. And they... He knew then that... Some of the folks from the church, so there... He had made so much fun of this Jesus of Nazareth being a prophet, then here stood his--some of his members looking at him, right down there in the same group. He just couldn't be hid. He was identified.
And Zacchaeus, you're already identified, so just... You know, if there happened to be one here, you're already mixed up in the group now. So they already know that we're here. So we just might as well get acquainted, know one another.
So he said, "Well, this is odd." Here he looked around, seen one standing here.
E-24 You know after all, they're all about like you. They--they want to find out something. A man knows that he come from somewhere from the beyond, and when he leaves he goes back somewhere. And he's always trying to find something to find out where he come from, and where's he going. There's only one has that answer--that's God. Every man wants to look over that curtain. And when you see anything that can show you what's over the curtain, where you been, who you are, and where you're going...
There's only one Book... Of all the literature that is wrote, of the millions of tons, this is the Book that tells you who you are, where you come from, and where you're going. There's no other book that'll do it: that Bible. And the Word is God, the Bible said.
E-25 Now we find that this fellow, with all around... He was embarrassed to find out he was in the midst of a people that was screaming, and crying, and hollering, and acting like they were crazy. So--but he--there he was setting, identified with them. So he--he just had to stay. That's all there was to it. Now, he said, "Well, if I've come this far, I might as well go on till I really find Him out."
Now, Zacchaeus, that's a good idea. You done got here at the breakfast, so now let's just go on. See? We're all this far.
So now we find out that, as they went along he said, "Now, if I stay here I--I cannot see, because I'm too small. So you know, I believe I'll get out of this crowd and run down on the corner, where I'll be standing by myself, get me a place right on the edge of the pavement. And when He comes by, then I'll walk right out in the street and tell Him what I think of Him. I'll give him a piece of my mind."
E-26 So he took off away from the crowd and went down. He thought "Now, which way will He go?"
Well, he went down to Hallelujah Avenue. That's usually the way He travels. You see? And went down to Amen Corner, where it turns there to go down to the--to the eating place. That's where you go, you know, Hallelujah Avenue, and Amen Corner. Then you're ready to eat the Word then. See?
So he went down to this corner, and stood there on the corner, said, "Now, there's nobody here. And when I..." (I know this sounds ridiculous, but I... Just hold on a minute.) So then, first thing you know, he got down to this corner. And he said, "There's nobody here, so I'll stand here. And when He comes by I'll find out how much prophet He is. I'll walk right out in the street, and I'll tell Him something."
E-27 So he's standing there. He happened to get to thinking, "Now, just a minute. You know, if I was too small down there, that crowd will probably go wherever He's going. And I--I don't want nobody hollering when I talk to Him. I want to tell Him so He'll hear me. And them hollering 'Amen,' 'Hallelujah,' and 'Glory to God,' 'Hosanna to the--to the prophet that comes in the Name of the Lord,' oh, now, they'll never hear me, all that noisy bunch. So there's only one thing. There'll be a crowd all around me. And then I--I can't even see Him at all."
So he happened to look, standing on the corner and there was an old familiar sycamore tree. That's a good Indiana tree. So, standing on the corner, he thought, "Well, if I could get up there on that limb and set down, then I'd be up there. Then I could really tell Him when He comes by."
E-28 So he comes running over, and he's too small. He couldn't get up to the limb. So he said, "Well, now, there's only one thing I can do." And there set the--the city garbage can setting on the corner. So he thought, "Well, now, if I go over and get that garbage can, and pick it up, and bring it over here, then I can get the rest of the way up the tree from that. That'll help me."
So he goes over. And the garbage disposal hadn't come by yet that morning; it was pretty heavy. So he was small, and he couldn't pick it up. The only one way to do it, that's wrap his arms around it. And he had on his best garment. So, you know, there's always hindrances when you're trying to see Jesus. But that didn't make any difference whether a good garment or not, he wanted to see Jesus anyhow. So he throwed his arm around the garbage can so he could get it over there. So he scooted it over. And there he had garbage all over him. Well, didn't make any difference; he--he wanted to see Him anyhow.
So, while he was pushing the can over with his arms around it, he heard somebody a-laughing. And he looked around, and if it wasn't Levinski standing there, his competitor, saying, "Well, what do you know. Zacchaeus has got him a new job from his restaurant. He's working for the garbage disposal."
You know, the devil just wants to see what he can do to throw everything in your way that he can, to keep you from seeing Jesus. He'll tell you they're a bunch of holy-rollers. They'll tell you they're a bunch of idiots. He'll say there--there's nothing to them; they're just the poor trash of the city, anything he can do. But if you're determined to see Him, God will make a way for you to see Him. Just keep that in your mind. Something will take place if that hunger begins to break into your heart, something. You'll go see Him anyhow.
So didn't make any difference. Little old face turned red, and he was embarrassed. But he just pushed the can on over anyhow, and got ahold of it, and shinnied up the tree. (That's all right, ain't it? Shinnied? You Southerners know what "shinnied" is. That's climbed up the tree.) Got up the tree. And he got up there, and he found where two limbs come together and met in the trunk of the tree. And there he set down.
Now, that's a good place to sit, where two ways meets: yours and God's, your idea and His. That's a good time to set down and think it over: Your own thoughts about Him, and what His Word says He is; what you think He is, and what the Word says He is; What the message of the hour is to your thinking, and what the message of the hour is to his Word, that's the difference. Set there and think it over a little while.
E-29 No doubt, Satan got on one of his shoulders, said, "You know what? You are a pretty-looking sight, setting up here picking splinters out of your hands, and with your best garment on and it all--garbage all over it. And now your name will be published all through the city. The jokes will be all on you, because look what a rashal thing you have done, setting here." See, Satan... When you make a start then he'll try to tell you you made a error.
There he sat in that condition. Said, "Well, Rebekah said He was a prophet. I'll give Him a trial. I'll see if He's a prophet." Now, he said, "When He comes by here, I'll just disguise myself, and He'll never know I'm up here. First I'll get a look at Him. And then, when I see Him, then I'm going to jump out of this tree. And then I'll go down there and tell Him." Now, said, "Now, if He--if He is a prophet though, as Rebekah said that He was, He might know I was up in this tree, if that's true. So I'll tell you; I'll fix Him up."
So he pulled all the leaves around him and disguised himself all over, so he couldn't be seen, and left one leaf to look out. You know, to see Him as He turned the corner.
E-30 And then, setting there thinking it all over. After while he heard a noise coming around the corner. It's strange. Wherever He's at there's always a lot of noise. You know, noise is a sign of life. See? Remember, the high priest when he dressed and went into the holiest of holies, on the end of his garment he had a pomegranate and a bell. And that noise in the holiest of holies was the only way the waiters knew that he was alive or not. It made a noise. And when there ain't no noise, then might--he might be dead.
I think that's what's a whole lot the matter with our churches today. There's not enough noise about it, not enough enthusiasm, not enough something.
And so, where Jesus is, there's always a noise. One time when He come into Jerusalem, they were screaming and hollering and, "Hosanna to the King that cometh in the Name of the Lord."
And some of those priests standing there said, "Why, make them keep still, hold their peace."
He said, "If they hold their peace, the rocks will cry out." Something has to move when He's around. Notice, and then... Those who believe Him...
E-31 And then he heard this noise a-coming around the corner, and screaming and going on, so he thought, "Well, He must be approaching." So he pulled up his leaf, and raised up to look over. "Now, I've got Him all now. We'll find out how much prophet He is." So when he was setting there with his leaf up, looking, and--and up in this tree, way up above their heads, where they'd pass beneath the tree...
So when he noticed... The first man coming around the corner must've been the apostle Peter, because he was a big, strong, burly sort of a man. I can see him pushing the crowds back, saying, "Friends, I'm sorry, our Master had a great service last night. Much virtue's gone from Him. You all will understand. Would you just stand aside so Master can pass by? Please do that."
And here come Matthew, Mark, and them along. Said, "Now, we--we don't want to be rude. We're--we're not here for that purpose. But our Master's awfully tired, and He hasn't had His breakfast. So we're--we're--we want you to stand aside, if you will."
E-32 There was a--a man standing there, that maybe Zacchaeus took a look at. A few days before that, at one of the meetings at a business place, a doctor had been there and told this little fellow that had a little girl that was real sick of a fever, and she wasn't going to live...?... He'd done all he could do for her.
And Zacchaeus, when he raised his leaf up and looked, he seen this man with this baby wrapped in this blanket coming around the corner. He thought, "What a rashal thing that that father would do, trying to follow that--that so-called prophet. Here he come around the corner with this baby, and it with a fever, and standing out in this wind."
But you know, just as Zacchaeus, when you really believe, there's nothing going to hinder you. You... As he wanted to get that baby to Him. And every time they'd make a corner or change, he'd be pushed back. But he--he was persistent. He was going on. Finally at this corner, the little mother run out with the baby in her arms. And she must've fell down. And she said, "Lord, be merciful to my child." And there stood the father of the baby, crying too, which was a friend to Zacchaeus.
He said, "What's changed his attitude?" So he couldn't make out who the man was yet. He was down in the crowd.
All at once he sees a hand stretch out, and touch over the top of this little blanket. And the little girl was unwrapped, and went skipping down the street. Now, there's got to be something to that, Zacchaeus.
E-33 Finally He come in view. And one look at Him, Zacchaeus had done changed his opinion, just one glimpse of Him. There He was; He didn't look like man. There was something different about Him: meek, gentle, kind. Yet looked like if He'd speak, the world would come to an end. He was a different character from what he had thought. His attitude begin to... All of his starch began to wash out when he seen Him. Comes walking on down the street... He thought, over this little leaf, looking over to see what was taking place. And as He walked, He got right under to where he was. He said, "You know, that man could be a prophet. Maybe Rebekah was right. She might've knowed more about the Scriptures than I did."
So He walked right on down, with His head down, walking along, humble, gentle, as He always did, and the disciples keeping the people out of His way. And as He got there under the tree He stopped. Zacchaeus looking over the leaves, something like that. He looked up in the tree, said, "Zacchaeus, come on down."
Not only did He know he was up in the tree, but He knowed his name was Zacchaeus. He had a lot less trouble getting down out of the tree than he did getting up. He knowed him. The miracle was done on him.
E-34 See? He said, "Lord, I've been wrong. I'm ready to confess I'm wrong. If I've took anything that's wrong, I--I'll pay it back. I'll give half my goods to the poor."
Jesus said, "Today salvation's come to your house."
What changed him? What was the change, brother and sister? Think just for a minute. The change was, he had seen something real. He'd heard all the promises that been made, the priest talking about what was, great prophet Moses, great this, that, or the other, promising a great something in the future, but ignoring what's being done now. That's the way of man.
He saw something genuine, something that he could see himself. The miracle had happened to him. He was that prophet, because He didn't know him. Neither would He ever have seen him up in the tree. But when He got right under the tree, He stopped and looked up, and said, "Zacchaeus, come down. Today salvation's come to your house."
E-35 Brethren, it's the real thing that changes men's mind, changes their attitude. Sometime it's a press, surely, to get to it. But if you'll approach Christ, this morning, with--with the--the thought in your heart that, "I will not be critical. But I'll study the Scripture and see what He was." If He come to the meeting tonight...
Before you come, study and see what He was. Whatever He was, He has to be the same today. His... As I spoke last night, if many of you were there. See? Does God identify Himself by His characteristics? He always must remain that way, because He's the same yesterday, today, and forever. Men's hearts are--are so... A real God-fearing man or woman, businessman, or whatever it is, he's always... There's something in his heart, if there's any God-fear about him, to know something about God.
E-36 Say, I never told you what happened to Zacchaeus. He become a member of the Full Gospel Business Men's chapter of Jericho. See? I want to tell you about him further. You see? Why sure, he wouldn't be nothing else but Full Gospel, of course not. That's all Jesus preached. So he become a member there. You ought to be a member of the same.
Now, notice. But he wanted to see something real, and when he saw something real himself, that was Scripturally identified, then he was ready. It's the real things that amounts.
E-37 Just a little story 'fore closing. How many in here's hunters? Let's see your hands, my brethren in here. Oh, my. I knowed I wasn't alone. So I love to hunt, and I--I used to go up in the north woods up in New Hampshire. It's the home of the white-tail deer. How I love to hunt them. And I used to go up every year. And I had a partner up there named Burt Caul--one of the finest men I ever hunted with. And my nature's always been to the woods. I was born in the woods, and I just seem like I was raised up there. And even my conversion never took it out of me.
Not so much to get the game, but just to be in the woods, I think God is there. To see Him, how He moves, and the nature how it dies, and goes down, and comes back again in resurrection... The sun comes up of a morning, a little baby borned. And then, about nine o'clock it goes to school, and about ten o'clock it's finished. At twelve o'clock it's in its strength. At two o'clock in the afternoon it's getting along about my age. At five o'clock it's eighty years old; it's dying. It goes down. It's served God's purpose. It ain't dead. It'll come the next morning. It's God testifying there is a life, death, burial, resurrection.
Watch them trees out there. Last fall the sap went down into the root before any frost or anything else come. What was it doing? Going down into the grave. What happens then? It comes back again in the spring. It isn't dead. It goes down and lays in the ground, comes back. If it stays up, then the winter will kill it. See? God has... No intelligence of its own sends it down there; it's God's provided way. So it just follows God's provided way: goes down, hides through the winter, comes back again with new life next year, testifying there is a life, death, burial, resurrection. Everywhere is the same thing, God in His great creation testifying of Himself.
E-38 This hunter is a fine shot, a good shot. But he was the most cruelest man I ever met. He--he made fun of me all the time. He shot fawns. Now, not it's wrong to shoot a fawn if the law says so. But... You know Abraham killed a calf and fed it to God. So it wasn't the--the sex, or the size; it's the attitude. He'd shoot them just because it made me feel bad.
And he'd say, "Oh, you're chicken-hearted like the other of them priests. Billy, you'd be a good hunter if it wasn't you was a preacher." And said, "But you're too chicken-hearted. That's the way with them preachers." Said, "They're--they're too chicken-hearted."
And I said, "Burt, you are cruel." He had eyes like a lizard anyhow. And he said... He did, he, like the women try to paint their eyes, you know, up like that.
He said... And he looked over like that, and he said, "You're just chicken-hearted."
So he'd shoot those little fawns, and kill one, let it lay and go right on, get another one, just to make me feel bad.
He said, "I'll get you away from that preaching some of these days."
I said, "Oh, no, Burt. No, no."
E-39 So, one day... I went up there one fall, and it was late. And season had been in about a week, and I was busy. I was state game warden of Indiana and I--I'd been busy, and right in hunting season. So I had to get my vacation. I went up a little late. And those white-tailed deer, if they're ever shot at. You talk about Houdini, and being escape artist, my, he's an amateur to them. And so then, they really stay hid. And it had been moonlight nights, snow on the ground about six inches, good trailing work.
So Burt, when he come down to the cabin where I was at, he said, "Say, Billy, I got a good one this year for you."
And I said, "What?"
Reached down in his pocket, and pulled it out. And he had a little whistle. He'd blow it, and it sound just like a little fawn crying for its mother, the little baby deer, you know, crying for its mother.
I said, "Burt, how cruel can you be?" I said, "You mean... You wouldn't do a thing like that."
He said, "Ha, ha. You chicken-hearted preacher."
E-40 And we went on hunting that day, and we went up over the Jefferson Notch. And you didn't have to worry about him; he knowed how to find his way back. So we climbed up till about noon, and then we'd separate and go one one way, and one the other. And then, if we got our deer, we'd hang him up. And--and then we'd get our horses and go get him.
So we got about eleven o'clock, and we hadn't even seen a track, not one track. All the deer were laying down. They get in the brush, and under the brush piles, and things, where the tops of the trees where the loggers had been. And they would--they would hide and stay away, 'cause they'd been shot at. They were scared.
E-41 About eleven o'clock Burt stopped, set down. There was a little opening about, oh, the size of this building inside, maybe twice this size, a little opening there. And he set down, and he reached back to get, I thought, his--his thermos that he had in his coat. We usually carry a thermos, and have some hot chocolate, because it's got fuel to it, you know, and then--and then, have a sandwich and then we'd separate.
We was getting up high towards timberline, so I thought, maybe, that Burt was going to have his sandwich. So he set down and pulled out this thermos... And I thought he was going to pull it out. And I just set my gun down against the tree and started after mine. But what he was, he was getting that little old whistle out.
So when he got this little whistle out, he blew it. And anyone ever hear a little old baby fawn cry? It's kind of pitiful, anyhow. And when he blew that whistle, to my surprise, right across from him a great big mother doe stood up. Now a doe is a mother deer. So she stood up. There was her big brown eyes and...?... these big ears pointed right up, like that. See, her baby was in trouble.
E-42 And he blew it again, and she looked around. And she walked right out into that opening. Now, that's unusual (Any of you hunters know that.) for a deer to do that. She walked out there. I could see her big eyes. She wasn't standing over twenty yards from me. And I thought "Oh, Burt, you can't do that. And kill that poor precious mother, her looking for her baby, and you deceiving her like that?"
And this whistle had blowed, and she was--she walked out there. And the hunter raised the lever on his .30-06 rifle, and dropped it down. That cocked the gun, you know, with the safety off. And she heard that, and she looked around, and she saw the hunter. Her ears peaked right down. Usually they'd have been gone, and she wouldn't have walked out there in the first place at that time of day.
But you see, she was a mother. There was something in her, she--something genuine, something... She wasn't putting on no show. She was a mother. She was borned a mother, and her baby was in trouble, and that was to her interest.
E-43 And he looked up at me with those lizard-looking eyes, and he grinned. I said, "Burt, don't do it. Don't do it." He just grinned, turned around with that rifle.
Oh, my. He was a dead shot. And I knowed when that scope hair come across her loyal, motherly heart he'd blow it plumb through her. See, she wasn't standing twenty yards--big hundred and eighty grain--hundred and grain mushroom bullet, and there he would just blow her heart plumb through both sides. I thought, "How can you be so cruel as to blow that precious mother's heart out of her, and her seeking her baby? How can you do that, Burt?" I was thinking to myself.
And I seen his arm steady down. I couldn't look at it. I just couldn't do it. I turned my back. I--I couldn't see that, that genuine, loyal mother standing there. She wasn't a hypocrite. She wasn't just putting it on for a sideshow. She was a mother. That's why she was doing it. Death didn't mean nothing to her; the baby was in trouble. She thought more of her baby than she did of her own life. Let the hunter shoot whatever it was. Her loyal heart was beating. Her motherhood, the motherhood in her was calling. Her baby was crying. There was something inside of her, pulsating. It was real.
And how could that cruel hunter blow that loyal heart out? I just couldn't see it. I turned my head. I thought, "Lord God, don't let him do it." I was standing like this. I couldn't hear... I didn't want to hear the gun fire. It was just too much.
And I waited; the gun never fired. And I turned around and looked, and it was going like this. He couldn't do it. He turned around and looked at me, and those big eyes had changed. Tears was running down his cheeks. He looked at me, and his lips quivered. He throwed the gun on the snowbank, and grabbed me by the trouser leg, he said, "Billy, I've had enough of it. Lead me to that Jesus you're talking about."
There on that snowdrift I led him to the Lord Jesus. Why? He saw something real. He'd been in all kinds of churches. He seen something that wasn't put-on. He seen something that was genuine.
E-44 Friends, we might have church rules, and church regulations, and theologies, and everything else, but there's a real genuine Jesus. Let's look to Him just now, as we bow our heads and pray. With your heads bowed, I'd like to ask you a question, and your hearts bowed too. How many in here... Now, to you who profess Christian, and who does not, if a profession is all you have... But how many of you would like to be as much Christian as that deer was a mother, with something so genuine in you that seemed more than your life, or anything that you have?
And you say, may say this, "Brother Branham, I belong to church. I'm a businessman, businesswoman, or whatmore, housewife. But really to be that type of a Christian, that I could lay the whole world aside, stand the criticism or anything, I--I'd like to be as much... I'd like to be in my heart a Christian as that deer was a mother."
With your heads bowed now, and your eyes closed, before God I ask you in Christ's Name, at the ending of the age, would you just put up your hand? I can't make an altar call 'cause there's no room. But just say, "Pray for me, Brother Branham, that I will be the type of a Christian as that deer was a mother." God bless you. Just hands everywhere. "Let me be as much Christian..."
Now, Zacchaeus, when you put your hand up, that shows He's found you. Now, why don't you slide right out of the tree? He'll go home with you today for dinner. He'll stay with you the rest of your days.
E-45 Heavenly Father, we are grateful for the Lord Jesus, His Presence. And we are aware that there's something here that made men and women, some of them's even professed to be Christians for years... But there was... There's something present that calls them even though they be professed, even as Zacchaeus was, but once the touch from Christ... They've lifted their hand as a testimony that something inside of them told them to do it.
Let them know just now that that's Jesus. He was to pass this way this morning, and He has. There was, I guess, some hundred and fifty hands up, Lord. I pray that You'll visit each one, and give to them the reality that it is to be a real Christian. No matter how much the world tries to discourage us, and how much the others try to discourage us, let us know that it's a fight to get there. It's an effort we have to put forth. But when connected with something that's genuine, real, it changes us then.
I pray that You'll change every heart, Lord, and make everyone in Divine Presence at this time, put the Holy Spirit in their life, to be as much Christian as the mother deer was a mother. She was born a mother. And may they be born of the Spirit of God and become a real follower of Jesus Christ.
May they come from their sycamore trees today. Grant it, Lord. May You go home with each one of us, and there abide with us until the time You come to take us to our eternal home. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-46 Thank you kindly. The Lord bless you. I kept you late. I was supposed to be out of here at ten o'clock. It's ten minutes till eleven. I hope that God takes these few little crude words, and nervous and upset, and feeds them in your heart. Remember, there is something genuine about Christ. God bless you.