L’Opprobre À Cause De La Parole

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Date: 62-1223 | La durée est de: 1 hour and 54 minutes | La traduction: VGR
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1 Merci, Frère Neville. [Frère Neville dit: “Amen.”–N.D.É.]
J’ai dit à Frère Neville: “Tu es sûr que tu n’as pas un peu d’onction, ce matin?”

2 Je suis venu prier pour les malades. Il y avait des gens rassemblés, ce que nous…dimanche matin tôt. Ceux dont je dois m’occuper là-bas, je les fais venir ici à l’église. Je–je trouve toujours que c’est mieux de prier pour les malades à l’église. Je ne sais pas. J’aime bien être à l’église, et venir ici où il y a l’assemblée, les gens, ici, qui prient.

3 Et il y avait une petite fille, là-derrière, une petite fille vraiment mignonne – eh bien, elle doit être assise quelque part ici maintenant, si ces gens ne sont pas repartis chez eux. Ah, là je la vois. Elle est vraiment mignonne. Et elle est gravement malade. Nous écoutions, quand nous avons entendu le message en langues et l’interprétation qui ont été donnés. Nous écoutions, et il nous a semblé comprendre qu’il était question d’une petite fille. Et nous attendions de voir si le Seigneur allait donner un message quant à ce qu’il faudrait dire à ce sujet. Mais je pense que la petite fille va bien maintenant, elle va se rétablir. Donc…

4 Et il y avait aussi une dame qui avait perdu la vue, et nous avons prié pour elle. Et puis un homme dans une ambulance, là-bas, un prédicateur. Je pense que cet homme ne pesait pas plus de trente-cinq ou quarante livres [15 ou 20 kg]. Il était vraiment–vraiment très, très… Donc, je suis venu prier pour eux.

5 La raison pour laquelle j’hésitais pas mal, c’est qu’un plombage est tombé de ma dent. Alors, ce matin, je fais des chuintements avec ce trou dans ma dent, là, sur le devant. Et on me dit que je dois me les faire meuler, maintenant, pour poser des couronnes dessus. Donc, c’est la vieillesse qui s’installe, voilà tout. J’avais un plombage dans celle-ci, à peu près la moitié de la dent, et quand je me mets à parler, on le sent – le vent qui passe à travers, vous–vous savez ce que je veux dire, ça filtre vers les lèvres. Et ça fait un peu zézayer.

6 Nous sommes vraiment des gens privilégiés d’être vivants ce matin, et de pouvoir venir à l’église. Et en cette veille de Noël, en attendant la fête qu’ils ont, et je–j’espère que je… Il y a trop d’enfants ici ce matin, ce qui fait que je vais devoir me taire. Voyez? Nous, les adultes, nous disons parfois des choses que les enfants ne devraient même pas entendre, vous savez.

7 Mais je pense que l’assemblée a un petit cadeau, ici, pour les enfants, tout à l’heure. Je regardais cela, là-derrière. Oh, vraiment, il faut que vous restiez. Après l’école du dimanche, patientez un peu, vous voyez, parce que je–je crois qu’ils ont des cadeaux, là-derrière, pour les petits, à distribuer ce matin. Et quand je… Vous, les petits, souvenez-vous: bien que nous fassions cela, je tiens à préciser que ce n’est pas du père Noël, parce que ça, c’est une histoire dont vous apprendrez un jour qu’elle n’est pas vraie. Mais c’est de Jésus-Christ, la Vérité de toutes les vérités, voyez, le Fils de Dieu. Nous vous donnons ce petit cadeau, ce matin, pour vous faire savoir qu’un jour, Dieu a donné le plus grand cadeau qui pouvait être donné à la race humaine: Son Fils. Et nous l’exprimons d’une façon bien limitée. Ce que nous, nous pourrions donner, ce n’est rien en comparaison de cela. Mais entre nous, d’un mortel à l’autre, c’est ce que nous faisons.

8 Bien, j’allais attendre dimanche prochain – c’est probablement ce que je ferai, d’ailleurs – pour dire quelque chose que je voulais dire. Quelque chose nous a été–été révélé, à la maison, par une vision, et je dois l’exécuter. Et c’est un peu… C’est quelque chose qui peut sembler un peu dur, mais nous ne voulons jamais penser que ce que Dieu dit est dur. Ses–Ses fardeaux sont légers.

9 Et puisque dimanche prochain, Dieu voulant, nous aurons une–une réunion ici, ce sera juste avant celle de la veille du Nouvel An, si le Seigneur nous fait la faveur de pouvoir tenir cette réunion. Et nous voulons faire une réunion le matin, prier pour les malades, et peut-être faire un service de baptêmes. Alors j’ai pensé annoncer cela à nos amis pour qu’ils puissent venir. Donc, nous aurons le dimanche matin et le dimanche soir. Et ensuite, les gens qui voudront rester pour le Nouvel An, alors nous… Nous allons avoir le service de longue veille, là? [Frère Neville dit: “Oui.”–N.D.É.]

10 Il y aura plusieurs prédicateurs qui parleront ici, à la veille du Nouvel An, jusqu’à minuit. Et–et nous invitons ces prédicateurs à venir parler. Si le Seigneur le veut, je voudrais être de ceux qui diront quelque chose, à la veille du Nouvel An.

11 Et puis dimanche prochain, je me suis dit que j’allais exposer une série de choses qui se passent, qui se sont passées, montrer comment Dieu traite avec Son peuple, et porter tout cela vers un–un point culminant ici, à l’église.

12 Vous êtes nombreux à vous demander ce qu’il en est de ce problème d’impôt sur le revenu que nous avons subi. C’est réglé. Et je veux aussi vous dire comment c’est arrivé. Et je pense que ce serait, qu’il faudrait le répéter dimanche prochain, alors j’attendrai dimanche prochain. Et je vais plutôt essayer de vous parler un peu de la Parole, ce matin. Voyez? Et dimanche prochain, je vais–vais essayer, Dieu voulant, de vous dire comment tout ceci est arrivé, et de vous exposer chacune des choses que le Seigneur a dites, et de voir comment c’était en plein dans le mille, ça s’est accompli en plein dans le mille. Voyez? Il ne dit jamais rien de faux.

13 Mais maintenant, une chose que j’aimerais dire ce matin, et que je ne, ne dirai probablement pas dimanche prochain, c’est au sujet de quelque chose qui est arrivé hier. J’hésitais un peu à venir ce matin, parce que je suis plutôt bouleversé, ce qui fait que je–je viens comme un peu à reculons. Mais puisque j’y suis, eh bien, je ferai de mon mieux.

14 Avant-hier soir, j’avais de la visite: Frère et Sœur Sothmann, que nous connaissons, ici, l’un des administrateurs de l’église et sa femme, sont venus rendre visite à ma femme et à moi. Et nous parlions des réunions que nous aurons à Phoenix et autour, si c’est la volonté du Seigneur. Et nous sommes restés debout jusqu’à vingt-deux heures trente, il me semble, et je suis allé me coucher vers vingt-trois heures.

15 Et à un moment de la nuit, j’ai eu un songe. Et dans ce songe, je voyais quelqu’un qui était censé être mon père; un grand homme imposant qui représentait, au figuré, mon père. Je voyais une femme, qui ne ressemblait pas à ma mère, et pourtant elle était censée être ma mère. Et cet homme (qui était censé être comme le père, le mari de cette femme) la maltraitait cruellement – à tel point qu’il avait un gros morceau de bois, et qu’il la tenait debout comme ça, et qu’il la frappait avec ce morceau de bois, et elle tombait, elle s’affaissait. Et puis–et puis, au bout d’un moment, elle se relevait. Et il s’approchait, se préparait à la frapper de nouveau, et il la frappait de nouveau. Et moi, j’observais d’assez loin.

16 Finalement, j’en ai eu assez. J’étais beaucoup plus petit que cet homme, qui était censé représenter mon père. Alors, je me suis approché de lui, j’ai mis mon doigt devant sa figure. Je lui ai dit: “Ne la frappe plus.” Voyez? Et à ce moment-là, quelque chose s’est passé. Mes bras se sont mis à se gonfler, et je me suis retrouvé avec de gros muscles bien rebondis. Je n’ai jamais vu de muscles pareils. J’ai attrapé cet homme par le col et je lui ai dit: “Ne la frappe plus. Si tu recommences, tu auras affaire à moi, si tu la frappes encore.” L’homme a eu peur de moi, et il l’a laissée tranquille. Je me suis réveillé.

17 Bon, pendant que j’étais allongé là, quelques instants plus tard, bien sûr, l’interprétation est venue. Bien sûr, la femme représentait l’Église, qui est la mère, en quelque sorte. Le père, c’est la dénomination qui la domine, qui domine sur l’Église, comme le mari sur sa femme. Et ce sont ces dénominations qui frappent l’Église, et qui ne La laissent même pas se remettre sur Ses pieds, comme ça. Dès qu’Elle essaie de se relever, ou de faire quelque chose, les gens qui sont là-dedans, la dénomination, La renvoient au sol. Et il s’agit simplement d’actionner ces–ces muscles de la foi, de continuer à pointer mon doigt là, en disant: “C’est à moi que vous avez affaire. Voyez?” C’est qu’il y a des gens là-dedans qui appartiennent à Dieu. Et ça, c’était très bien. Environ…

18 Nous étions debout depuis environ deux ou trois heures, je crois. Ma fille, l’une de mes filles, Rébecca, qui est là, au fond, elle travaille à l’hôpital méthodiste de Louisville. C’est, oh, un genre de petite formation pour infirmières amateurs. Ils appellent ça les “candy stripers” ou quelque chose comme ça. Et elle était, elle… Ce matin-là, ils l’avaient appelée pour qu’elle se rende là-bas, et c’est pour ça que j’étais debout. Il était tôt, et elle et une de ses camarades de classe, là, elles–elles travaillent ensemble là-bas, et j’allais les emmener à Louisville. Il fallait qu’elles y soient pour dix heures. Et ma femme se demandait pourquoi elle ne pouvait pas entrer dans la chambre. J’avais verrouillé la porte.

19 Il m’est pourtant arrivé beaucoup de choses dans ma vie, mais je n’avais encore jamais eu quelque chose comme ça. Je suis entré en transe. Je ne connais pas l’interprétation. Je n’ai jamais rien eu de pareil de ma vie. Mais devant moi, je semblais me rendre compte que c’était une vision, et que j’étais dans la vision. Mais je parlais à mon fils, Joseph. Et il n’était pas dans la chambre à ce moment-là. Mais pourtant, quand c’est venu sur moi, voilà, j’étais en train de parler à Joseph.

20 Et je–j’ai levé les yeux. Et il y avait comme une forme de pyramide, devant moi, composée de petits oiseaux d’environ un demi-pouce [1 cm] de long. Et ils étaient, sur la branche du haut, il y en avait…disons, trois ou quatre. Et ensuite, sur la branche suivante, il y en avait peut-être huit ou dix. Et en bas, il y en avait quinze ou vingt.

21 C’étaient de petits combattants, parce qu’ils avaient les plumes en bataille; et ils avaient l’air d’essayer de me parler, ils disaient quelque chose. Et j’étais dans l’ouest, apparemment vers Tucson, dans l’Arizona. Et les oiseaux regardaient vers l’est. Et moi, j’écoutais attentivement. Ils essayaient de dire, ils avaient l’air d’essayer de me dire quelque chose. Et ils avaient les plumes tout ébouriffées, et tout. Ils portaient les traces du combat. Et puis tout à coup, un oiseau a pris la place de l’autre, en sautillant comme ça. Et ils, les petits oiseaux se sont envolés rapidement, ils se sont éloignés vers l’est.

22 Et à ce moment-là, ce sont des oiseaux plus grands qui sont arrivés, ils ressemblaient plutôt à des colombes, avec les ailes en pointe. Et–et–et ils sont arrivés en groupe, et rapidement, plus rapidement que les petits oiseaux, ils se sont envolés vers l’est.

23 Et moi, toujours dans mon…avec les deux consciences réunies, je savais que j’étais là, et je savais que j’étais ailleurs. Voyez? Et je me suis dit: “Bon, ça, c’est une vision, et il me faut apprendre ce que cela signifie.”

24 Et à peine le deuxième groupe d’oiseaux passé, j’ai regardé vers l’ouest. Et voilà comme une forme de pyramide, deux de chaque côté et un au sommet, cinq Anges sont arrivés, des plus puissants que j’aie jamais vus de ma vie. Et avec une vitesse foudroyante, je n’avais jamais rien vu de semblable. Avec la tête en arrière et les ailes pointées, Ils se déplaçaient très vite! Et la puissance du Dieu Tout-Puissant m’a saisi, au point que Cela m’a soulevé du sol, depuis le sol, soulevé en l’air.
J’entendais encore Joseph parler.

25 Et un bruit, comme quand le mur du son est franchi, un–un grondement assourdissant, a retenti loin au sud. Et quand j’ai été soulevé… Et il y avait la vitesse tellement foudroyante des Anges! Je–je Les revois très bien en ce moment, voyez, alors que–alors qu’Ils venaient dans cette forme, comme ça, qu’Ils ont fondu sur moi.

26 Bon, je ne rêvais pas, là. Non. J’étais là, aussi bien éveillé que je le suis maintenant. Voyez?

27 Mais Ils sont arrivés, là. Et Ils allaient à une vitesse si foudroyante qu’au moment où Ils sont montés, je me suis dit… J’ai entendu comme une explosion, ou, comme une déflagration qui a retenti, comme le mur du son. Et à ce moment-là, je me suis dit: “Bon, ça, ça doit vouloir dire que je vais bientôt être tué, tu vois, dans une sorte de déflagration.” Et–et je… Pendant que je pensais à ces choses, je me suis dit: “Non, ce n’est pas ça. Parce que, si ça avait été une déflagration, elle aurait emporté Joseph aussi. Mais il parle encore, il pense que je suis là. Je l’entends. Ce n’était pas ça.”

28 Tout ça, c’était encore dans la vision. Ce n’était pas… Voyez? C’était dans la vision.

29 Et puis tout d’un coup, je me suis rendu compte que j’avais été… Ils étaient autour de moi. Je ne Les voyais pas, mais j’avais été emmené dans cette constellation en pyramide qu’Ils formaient, à l’intérieur de cette constellation de–d’Anges, qui étaient cinq. Et je me suis dit: “Mais, l’Ange de la mort serait tout seul. S’il y en a cinq, c’est la grâce.” Je pensais à ça. Je me suis dit: “Oh! C’est–c’est mon Message qu’Ils viennent apporter. C’est mon deuxième point culminant. Ils viennent m’apporter le Message du Seigneur.” Et je me suis écrié de toutes mes forces, aussi fort que je pouvais: “Ô Jésus, que veux-Tu que je fasse?” À ce moment-là, alors–alors Cela m’a quitté.

30 Depuis, je–je–je ne me sens pas tout à fait normal. Voyez? J’ai été, toute la journée d’hier, j’ai dû rester à la maison, je déraisonnais presque. Je n’arrive pas à avoir les idées claires. Et la gloire et la puissance du Seigneur! J’étais tout engourdi quand Cela m’a quitté. J’essayais de me frotter les mains. Et je me disais: “Je n’arrive pas à reprendre mon souffle.” Je faisais les cent pas dans la pièce. Je me disais: “Qu’est-ce que cela veut dire, Seigneur? Qu’est-ce que cela veut dire?” Et puis je me suis arrêté. J’ai dit: “Seigneur Dieu, Ton serviteur est… Je–je ne comprends vraiment pas. Pourquoi? De quoi s’agissait-il? Fais-le-moi savoir, Seigneur.” Eh bien, quand la…

31 Je ne peux pas vous l’exprimer, quand je dis: “La puissance du Seigneur.” Il n’y a pas de moyen d’expliquer cela. Ce n’est pas ce que vous ressentez ici, par les bénédictions. Ça, ce sont les bénédictions du Seigneur. Ceci, c’est quelque chose de sacré! Oh! la la! C’est–c’est au-delà de tout ce qu’un mortel pourrait imaginer. Voyez? Et ça–et ça me tracassait, vraiment beaucoup. Ça ne… Ce n’est pas une bénédiction. C’est un trouble. On est troublé. Voyez? C’est ça. Si seulement vous pouviez…

32 Si seulement je pouvais trouver un moyen d’exprimer aux gens ce que c’était, ou ce que…la sensation que c’était! Ce, ce n’est pas comme quand on est assis ici, qu’on a envie de se réjouir. C’est–c’est quelque chose qui fait que tous vos nerfs sont… C’est plus fort que la peur. C’est plus fort que l’effroi. C’est un saint respect. De… Je… Il n’y a pas moyen d’expliquer cela. Même tout mon dos, d’un bout à l’autre de ma colonne vertébrale, jusqu’au bout de mes doigts, mes pieds et mes orteils, tout mon être était engourdi, voyez, comme si on était–on était quelque part, hors du monde. Et–et cela me quittait progressivement, j’ai dit au–au Seigneur: “S’il Te plaît, fais-moi savoir, ô Dieu!”

33 Je pense que ce que j’ai ressenti de plus semblable à cette force, c’était quand j’étais à Zurich, en Suisse, la fois où Il m’a montré l’Aigle germanique qui observait la chevauchée du cavalier anglais qui traversait l’Afrique. Et Il a dit: “Tous ont péché et sont privés de la gloire.”

34 Et je criais au Seigneur en Lui demandant de m’aider. Je–je voulais qu’Il me donne l’interprétation, parce que je me demandais si ça voulait dire–si ça voulait dire que j’allais partir, que j’allais être tué. Et si c’était le cas, je n’en aurais rien dit à ma famille. Si c’est le moment pour moi de rentrer à la Maison, eh bien, je rentrerai à la Maison, c’est tout. Mais si–si c’était ça, alors je ne voulais pas en parler à ma famille, je ne voulais pas qu’ils le sachent. Que ça se fasse, et c’est–c’est tout.

35 Là, je disais: “Seigneur, aide-moi. Je ne veux pas le dire à ma famille, si–si Tu… Cela, si c’est mon appel pour rentrer à la Maison, eh bien, je–je partirai.” Vous voyez. J’ai dit… Et, vous savez, vous…

36 Vous dites: “Pourquoi n’avez-vous pas pensé à ce que vous aviez dit dans la vision, à ce qui était dit dans la vision?”

37 Mais dans ces moments, on ne peut pas penser à des choses comme ça. On… Moi, du moins, je n’y arrive pas. Et je me suis dit… J’étais vraiment troublé, chiffonné. On ne trouve pas le moyen de penser. On n’arrive pas à penser.

38 Alors j’ai dit: “Père Céleste, si ça veut dire que–que je vais être repris dans une explosion, eh bien, fais-le-moi savoir maintenant, pour que je n’en dise rien. Que Ta gloire et Ta puissance reviennent sur moi et me soulèvent de nouveau. Ou que Ta gloire vienne sur moi, et là je–je saurai que c’est ce que–ce que cela veut dire, alors je le garderai pour moi.” Et il ne s’est rien passé.

39 Et donc j’ai dit: “Alors, Seigneur, si cela veut dire que Tu vas envoyer Tes Messagers pour ma commission, alors, que Ta puissance revienne.” Et elle a failli m’emporter hors de la chambre!

40 Mais là, je–je suis revenu à moi, avec ma Bible en main, voyez, en demandant à Dieu de m’aider. Et à ce moment-là, alors Il–Il m’a montré quelque chose dans l’Écriture, qui se rapportait exactement à cela, en plein là. Et je me suis dit: “Est-ce que ce serait vraiment cela? Comment est-ce que j’y arriverais?” Et, oh, je–je ne peux pas expliquer ces choses, les amis. C’est au-delà de tout ce que je connais. Voyez?

41 Ma femme est une femme très particulière; c’est l’une des meilleures du monde. Et pendant un moment, je n’ai rien dit au sujet de ce qui s’était passé. J’ai continué comme si de rien n’était. Elle savait qu’il s’était passé quelque chose. Alors, quand je le lui ai dit, elle m’a dit: “Tu sais, Bill, je te vois et je t’entends parler d’un grand nombre de ces choses.” Elle a dit: “Tu sais que je te crois de tout mon cœur”, elle a dit. Elle a dit: “Mais là, il y avait vraiment quelque chose.”

42 Cela me secoue réellement, il me semble, cette déflagration, et la vitesse à laquelle ces Anges sont arrivés, comme ça, cinq Anges en même temps, qui formaient une–une constellation. Comme, un peu comme–comme cette pyramide que j’ai dessinée ici, voyez. Ils ressemblaient, d’abord, Ils ressemblaient un peu à…vu de loin, Ils avaient un peu la couleur des colombes. Et ils arrivaient de–de ce côté-là. Et ils étaient, il me semble, un, deux; trois, quatre; et puis un au sommet, voyez, ce qui en faisait cinq. Et ils sont arrivés à une telle vitesse! Il n’y a rien – aucun avion à réaction, rien d’autre – de comparable à cela.

43 Je Les revois: Ils avaient la tête un peu tournée de côté. Les ailes pointées vers l’arrière, armés de pied en cap, Ils sont arrivés, là: “Wououhh!” Comme ça. Ils sont descendus tout droit, et m’ont emmené dans cette constellation en pyramide qu’Ils formaient. Je me suis vu soulevé, élevé du sol. Je me suis dit que peut-être… J’ai entendu, là-bas au loin, ce grondement: “Rrrroum!” Comme un–un–un avion qui franchit le mur du son, vous avez déjà entendu cela, comme un grondement lointain.

44 Je me suis dit: “Ceci veut peut-être dire, là, quand cette vision se terminera, que je vais être tué dans une explosion, ou quelque chose.” Je me suis dit: “Me voici. Je suis soulevé. Je suis… Ils, Ils sont ici, quelque part. Je suis–je suis dans cette pyramide d’Anges, ici. Mais je–je ne sais pas. Peut-être que le Seigneur vient m’emmener à la Maison.”
Alors j’ai entendu Joseph, là-bas, qui disait: “Papa?”
Je me suis dit: “Non, si c’était cela, ça l’aurait emmené, lui aussi.”

45 Alors Quelque Chose m’a dit: “Tu…” Souvenez-vous, j’attends, je m’attends à la venue d’un Message, que j’ai toujours attendu, à quelque chose.

46 Et la vision, l’autre jour, vous savez, celle que j’ai eue il n’y a pas longtemps, au sujet de ce qui allait arriver: alors que je prêchais dans, depuis le soleil, dans un certain endroit. Et–et là Il m’a dit: “Rappelle-toi bien: le deuxième point culminant est encore à venir.”
Je me suis dit: “Il va y avoir un Message.”

47 Vous vous souvenez du Message que j’ai prêché ici? L’ouverture de cette pierre de faîte, là, ces sept voix et ces sept sceaux qui ne sont même pas écrits dans la Parole de Dieu. Vous vous souvenez? Et cela m’a emmené dans la pyramide.

48 Et Junie Jackson, – si tu es ici, – ce songe que tu m’as donné il n’y a pas longtemps. Je ne vais pas le raconter ce matin. Tu étais tellement… C’était Dieu, si parfaitement. Excuse-moi de ne pas t’avoir donné l’interprétation; c’est que j’ai vu quelque chose qui se mettait en action.
J. T., même chose, tu vois. Et je–je–je le savais.
Sœur Collins, exactement la même chose. Voyez?
Et il y en a eu six, qui indiquaient exactement la même chose.

49 Et puis la vision que je vous ai racontée il y a des années, elle s’est accomplie l’autre jour. Voyez? Celle qui allait s’accomplir.

50 Et là, c’est exactement, tout est exactement en place. Il y a quelque chose qui se met en route. Je ne sais pas ce que c’est. Que Dieu me vienne en aide; voilà ma prière.
Prions.

51 Père Céleste, nous ne sommes–nous ne sommes que des mortels, et nous sommes ici ce matin. Et, Seigneur, je… Tu m’as envoyé afin que je conduise ce petit troupeau et cette église. Et j’arrive à ma fin. Je ne sais pas quelle direction, ni quoi, ni où, ni ce qui viendra. Mais je sais une chose, c’est que Tu as dit que Tu ferais “concourir toutes choses au bien de ceux qui” T’aiment et qui sont appelés selon Ton dessein. Je Te prie, ô Dieu, de poser sur nous Ta main miséricordieuse.

52 Nous savons vraiment que Tu es Dieu. Et nous savons que Tu n’es pas quelqu’un qui a vécu dans les temps passés, mais que Tu vis encore aujourd’hui. Tu as toujours été Dieu. Tu seras toujours Dieu. Tu étais Dieu avant le temps, et Tu seras Dieu quand il n’y aura plus de temps. Tu seras encore Dieu.

53 Et nous sommes entre Tes mains, Seigneur. Nous ne sommes que de l’argile, et Tu es le Façonneur, le Potier. Façonne nos vies, Seigneur, de la manière qui servira le mieux à T’honorer. Accorde-le, Père. Nous sommes simplement entre Tes mains.

54 Nous n’avions aucun moyen de venir ici par nous-mêmes, et nous ne savons pas non plus comment nous partirons d’ici. Toi, le Seigneur, Tu nous as donné la vie, et Tu as… Nous T’avons remis nos vies, et pour cela, Tu nous as donné en échange la Vie Éternelle. Notre foi l’insuffle au fond de notre être. Et nous T’aimons à cause de cela, parce que nous savons qu’un jour, nous Te verrons, et que Tu seras dans Ta gloire. Et nous Le contemplerons. Et nous désirons tant entendre ces mots: “Tu as fait du bon travail, Mon bon et fidèle serviteur. Entre dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour toi depuis la fondation du monde.” Jusqu’à ce moment, ô Dieu, où nous nous retrouverons tous, conduis-nous.
Nous sommes Tes serviteurs, et nous demandons le pardon pour nos péchés.

55 Ces visions puissantes, Seigneur, dépassent l’entendement de Ton serviteur. Je ne sais pas quoi faire. Tout ce que je–je sais, c’est qu’elles viennent. Et tout ce que je peux faire, c’est de dire ce que j’ai vu et ce qui a été dit. Et parfois, cela me fait peur, Seigneur. Et je–je me demande quoi faire.

56 Alors je prends la Bible, et là je lis comment Ésaïe a dû se sentir, ce jour-là, dans le temple, quand il a vu ces Anges qui se couvraient les pieds de Leurs ailes. Ce n’est pas étonnant qu’il se soit écrié: “Malheur à moi! car mes yeux ont vu la gloire du Seigneur.”

57 C’est là que le prophète s’est écrié: après avoir été purifié dans le temple, quand l’Ange avait pris, avec des pincettes, une pierre ardente et l’avait posée sur ses lèvres; après qu’il avait confessé qu’il était un homme aux lèvres impures, et qui habitait avec, au milieu d’un peuple impur. Et pourtant, il était prophète. L’Ange a pris les pincettes, Il a posé la pierre ardente sur ses lèvres pour le purifier, et Il a dit: “Maintenant, va prophétiser.”
Seigneur Dieu, Ésaïe s’est écrié: “Me voici, Seigneur. Envoie-moi.”

58 Quand Il a dit: “Qui ira pour nous?” Vers cette génération méchante et adultère!

59 Ô Dieu, que cela se répète. Que cela vienne de nouveau, ô Seigneur. Envoie le Saint-Esprit avec le Feu qui purifie. Car je confesse que j’ai les lèvres impures, et que j’habite sur cette terre, ici, avec des gens impurs. Et nous sommes impurs à Tes yeux, Seigneur. Mais, oh, envoie la puissance qui purifie: le Saint-Esprit! Purifie-nous, ô Seigneur. Purifie Ton serviteur, Seigneur.

60 Puis parle, Seigneur. Ton serviteur écoute. Je désire tant entendre cette Voix. Je suis à Toi. Utilise-moi, Seigneur, comme Tu le voudras, alors que je me mets sur Ton autel. Que le Saint-Esprit me purifie, Seigneur; qu’Il m’oigne et m’envoie, Seigneur, si Tu veux que quelqu’un aille, si c’est maintenant l’heure, si c’est maintenant le moment.

61 Je–je ne sais pas, Seigneur. Tout ce que je–je sais, c’est que j’ai vu ces Anges. Et Tu sais que ces choses sont exactement la Vérité. Et je prie, Seigneur: “Malheur à moi!”, c’est pourquoi aide-moi.

62 Bénis maintenant ces gens. Nous sommes ici aujourd’hui, juste avant la veille du jour où on va célébrer l’anniversaire de la naissance de notre Seigneur. Nous Te prions de nous venir en aide.

63 Et ce matin, Ton serviteur, notre Frère Neville, a pensé qu’il pourrait peut-être profiter de ces quelques instants pour se reposer, et que je pourrais peut-être prendre la parole. Aussi je–je Te prie de me venir en aide maintenant.

64 Il y a des gens ici, Seigneur, et tous, nous avons besoin de Toi. C’est pourquoi nous Te prions maintenant de nous bénir, alors que nous lirons Ta Parole et que nous méditerons pendant un petit moment. Que Ton Esprit descende sur nous, Seigneur. Purifie-nous, et enflamme-nous du Saint-Esprit, du Message de Dieu, qui vient tout frais de l’autel pour secouer un monde moribond, avant que s’approche le grand Dieu Éternel. Car c’est au Nom de Jésus, Son précieux Fils et notre Sauveur, que nous le demandons. Amen.

65 J’aimerais maintenant attirer votre attention sur quelques Écritures, ici, et sur quelques notes que j’ai prises.

66 Et je crois que Doc, ou Billy, ou quelqu’un, m’a dit qu’on veut terminer la réunion un peu plus tôt, à cause des enfants. On a préparé des cadeaux pour eux.

67 Vous, les petits qui venez juste de sortir de l’école du dimanche, restez–restez ici un moment. Ce que nous allons dire ici est peut-être un peu profond pour vous, mais–mais restez tranquilles avec maman et papa quelques instants. Je veux leur parler.

68 Maintenant, dans les Psaumes, – au Psaume 89, – je voudrais lire un ou deux versets, du Psaume 89. Je vais essayer de lire les versets 50, 51 et 52 du Psaume 89.

69 Alors, est-ce que vous entendez bien, tout au fond de la salle? Si vous entendez bien, levez la main. Parce que je… Quel est le… Est-ce que tous ces micros sont branchés? [Quelqu’un dit: “Je ne sais pas.”–N.D.É.] Est-ce que ça va mieux avec celui-ci, ou avec celui-ci? Celui-ci? Celui-ci? [“Ces deux-là, sur le côté, sont branchés.”] Juste là, ces deux-là, sur le côté. [“Celui-ci, celui-ci, et celui-ci.”] Très bien.

70 Je ne sais pas si on va enregistrer ceci ou pas. C’est une occasion un peu imprévue, ce matin.

71 Mais n’oubliez pas, là, dites-le à tous vos amis. Et je–je voudrais que vous fassiez tout votre possible pour assister à la réunion de dimanche prochain.

72 Le bâtiment sera bientôt terminé, ici, je suppose. Et alors je–je reviendrai pour les, pour prêcher les Sept Sceaux, si c’est la volonté de Dieu, ici, en me référant aux Écritures.

73 Dans le Livre des Psaumes, au chapitre 89, en commençant au verset 50. Écoutez bien la lecture de la Parole, maintenant. Souviens-toi, Seigneur, de l’opprobre de tes serviteurs, – je porte dans mon sein celui de tous les grands peuples, – L’opprobre dont tes ennemis couvrent, ô Éternel, dont ils couvrent les pas de ton oint. Béni soit l’Éternel pour toujours! Amen, oui, amen!

74 J’aimerais vous parler quelques instants de… Je voudrais d’abord que vous notiez ceci, et que vous le relisiez plusieurs fois bien attentivement. Peut-être que cela vaut la peine de le relire tout de suite. Écoutez bien, là. Voyez? Souviens-toi, Seigneur, de l’opprobre de tes serviteurs, – je porte dans mon sein celui de tous les grands peuples, – L’opprobre dont tes ennemis couvrent, ô Éternel, dont ils couvrent les pas de ton oint. Béni soit l’Éternel pour toujours! Amen, oui, amen!

75 Examinez bien Ce que David a dit là. Je voudrais prendre comme sujet… C’est très étrange, encore, pour un sujet de Noël; mais dimanche dernier aussi, j’ai prêché sur un sujet étrange. Là je ne me rappelle plus ce que c’était. C’était la… [Un frère dit: “La dislocation du monde.” –N.D.É.] Comment? [“La dislocation du monde.”] La dislocation: La dislocation du monde.

76 Maintenant, j’aimerais prendre comme sujet, ce dimanche-ci: L’opprobre à cause de la Parole. Bon, je vais le répéter bien comme il faut. Le…L’opprobre à cause de la Parole.

77 Dieu a un temps, et une raison d’accomplir toutes Ses Paroles en ce temps-là. Dieu sait exactement ce qu’Il va faire. Nous, non. Nous devons simplement recevoir cela à mesure qu’Il nous le donne. Mais Lui, Il sait, et rien n’ira de travers dans ce qu’Il–qu’Il a prévu de faire. Il faut que cela s’accomplisse entièrement. Il faut parfois qu’il y ait des choses dures et pénibles, rien que pour faire ressortir la véritable, la vraie nature de l’objet.

78 Vous savez, la pluie prend naissance dans un ciel agité, déchiré, zébré d’éclairs et retentissant de tonnerre. Et si on n’avait pas de pluie, on ne vivrait pas. Mais vous voyez ce qu’il faut pour produire la pluie? Le tonnerre, les éclairs, la foudre, la colère. Et c’est de là que sort la pluie.

79 Une semence doit mourir, pourrir, se corrompre, sentir mauvais, et retourner à la poussière de la terre, pour pouvoir produire une nouvelle vie.

80 Il faut que l’or soit battu, retourné et rebattu plusieurs fois, encore et encore, battu jusqu’à ce que toutes les impuretés en soient ôtées. Ce n’est pas le fait qu’il brille, car la pyrite de fer, ce qu’on appelle l’or des fous, brille comme de l’or véritable. Mais si on les met ensemble – en les prenant séparément, on ne peut guère les différencier, mais en les mettant ensemble, on voit la différence. Et l’orfèvre doit toujours battre jusqu’à ce qu’il–qu’il voie son propre reflet dans l’or.

81 Et Dieu fixe un temps et Il a un but dans tout ce qu’Il fait. Rien n’arrive par hasard à ceux qui aiment le Seigneur et qui sont appelés selon Son appel. Voyez? Nous sommes prédestinés. Et toutes choses concourent parfaitement à cela, parce qu’Il ne peut pas mentir. Et Il a dit qu’il en est ainsi, que chaque chose a son temps, sa saison, et sa façon d’arriver. Et Dieu est derrière tout ce qui se passe. Et parfois, on pense que tout va mal. Il n’en tient qu’à nous. Ces choses nous arrivent – les épreuves et la perplexité. Ce sont des tests, pour voir comment nous réagirons à une action.

82 Il y a quelque temps, dans le Vermont, Frère Fred et moi avons traversé jusqu’au côté qui est dans l’État de New York, de l’autre côté du lac Champlain, et nous étions du côté de l’État de New York. Je suis monté dans la montagne, là, sur le mont Hurricane, là où j’avais l’habitude d’aller chasser. Et là, je me souviens de la fois où je m’étais perdu, et comment Dieu m’avait ramené, rien que par le Saint-Esprit, à travers une tempête. Et je serais mort, j’aurais péri, et ma femme et Billy aussi, là-bas, dans un petit campement à des kilomètres de là. J’étais complètement désorienté.

83 Il y avait juste un petit peu de neige que nous avons dû traverser pour atteindre le campement, au début du printemps. J’étais là-bas, en train de parler à Frère Fred, et le Saint-Esprit a dit: “Va-t’en à l’écart.” Je me suis éloigné dans le bois un peu, quelque part. Il m’a dit: “Il y a un piège qui t’attend. Alors fais attention.” Mais Il ne m’a dit ni quoi, ni comment. Je suis revenu, et j’en ai parlé à Frère Fred.

84 Ce soir-là, nous sommes allés à l’assemblée, à l’auditorium, et j’ai annoncé cela aux gens. Et le soir suivant, c’est arrivé. Et j’étais donc là, quand Il m’a dit, concernant des moqueurs, Il a dit: “C’est entre tes mains. Ce que tu feras d’eux. Quoi que tu dises s’accomplira immédiatement.”

85 Voilà. Pour quelqu’un qui manquait de respect, qui se comportait de façon impie, ils se moquaient et raillaient la réunion, un jeune homme et une jeune femme. Et il essayait de lui faire des gestes d’amour obscènes dans la salle; ce qui attirait l’attention de tout le monde, pendant que j’essayais de prêcher. Il lui renversait la tête en arrière, et il montait sur ses genoux, il lui renversait la tête en arrière pour essayer de l’embrasser, et il se conduisait comme ça pendant la réunion, ce qui attirait l’attention.

86 Et le Saint-Esprit a dit: “Là il est… Ils sont entre tes mains. Que veux-tu faire d’eux?”

87 Il y a eu un silence sacré. Tout le monde restait terriblement silencieux. Et j’ai pensé: “Ô Dieu, que dois-je faire?”

88 Alors je me suis rappelé, grâce à l’avertissement que le Saint-Esprit m’avait donné deux jours plus tôt – j’ai dit: “Je vous pardonne.” Bien, c’était cela qu’Il voulait que je dise. Voyez?

89 C’est qu’après tout, je–j’ai été coupable, peut-être pas de cette chose-là, mais coupable. “Et se rendre coupable de la plus petite chose, c’est se rendre coupable de tout.”

90 Donc j’ai dit: “Je vous pardonne.” Et il y a ici des témoins qui étaient là cette fois-là. À ce moment-là, le Saint-Esprit a percé.

91 Alors, vous voyez, je crois que toutes ces choses signifiaient quelque chose. Que va-t-on faire avec la puissance? Comment, voyez, va-t-on réagir à une action? Quelque chose se passe, un acte, alors comment va-t-on réagir à cette action? Vous comprenez ce que je veux dire? Qu’allez-vous faire? Et peut-être que tout ceci a servi à nous amener là où nous en sommes maintenant. Je ne sais pas. Je–je ne saurais vraiment pas le dire. Mais il y a toujours eu une façon…

92 Et rappelez-vous que l’opprobre de–de la Parole a… La Parole a toujours porté un opprobre. Tout au long des âges, la Parole ointe de Dieu a toujours subi un opprobre. Et c’est pour cela que c’est si dur, pour les gens qui ne comprennent pas, de savoir accepter cet opprobre.

93 Vous vous rappelez les disciples, qui sont rentrés en se réjouissant parce qu’ils se regardaient comme ayant été jugés dignes de porter l’opprobre de Son Nom? Il a dit: “Tous ceux qui vivent pieusement en Christ seront persécutés” – l’opprobre de la Parole.

94 Vous aurez toujours à subir cet opprobre, pour être testé, pour voir. Tout homme qui vient à Christ doit d’abord être formé, en vue d’accomplir le–le but auquel Dieu vous a destiné. Et souvenez-vous: si seulement vous pouvez rester tranquille! Souvenez-vous: s’il vous a appelé à ceci, il n’y a rien qui puisse l’empêcher d’arriver. Il n’y a pas assez de démons dans le lieu de tourments pour empêcher la Parole de Dieu de se manifester. Vous êtes né dans un but, et personne ne peut prendre votre place. Vous aurez peut-être des imitateurs, et tout le reste, mais ils ne prendront jamais votre place. C’est vrai. La Parole de Dieu triomphera. Elle ne peut pas faillir. C’est là-dessus que devrait s’appuyer chaque Chrétien, en sachant cela–cela. Les épreuves viendront et vous en feront voir de toutes les couleurs. Mais souvenez-vous: Dieu a un but, et tout concourra comme il faut.

95 Maintenant, rappelons quelques–quelques accomplissements de la Parole de Dieu, et ceux qui ont porté la Parole dans leur âge.

96 Je–j’ai senti, dans l’Esprit, il n’y a pas longtemps, que quelqu’un me critiquait. C’était peut-être au pays des bandes magnétiques. À propos du fait que je me réfère toujours si souvent, que je prends des personnages bibliques pour illustrer ce que je dis. Eh bien, c’est dans un but que je fais cela. Il est dit dans la Bible que ces choses sont écrites pour que nous les considérions. Et c’est la seule façon, pour moi qui n’ai pas d’instruction, la seule façon, c’est de faire référence à ces choses, en disant: “Vous voyez, quand on a pris cette position-là, ce qui est arrivé par suite de cela, et ici, ce qui s’est produit.” Voyez? Et alors, identifiez-vous à cela.

97 Comme je prêchais, il n’y a pas longtemps, au sujet du petit garçon sur le navire, vous savez, et–et du vieux capitaine qui allait mourir. Il était malade. Il a demandé s’il n’y avait pas une Bible à bord. Ils ont trouvé ce jeune garçon qui avait une Bible, et il est venu lire Ésaïe 53.5: “Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité.” Il a dit: “Permettez… Permettez-moi, monsieur le capitaine, de vous exprimer comment ma mère le lisait.” Il a dit: “Voici comment elle l’écrivait. ‘Il était blessé pour l’iniquité de Willy Pruitt. Et Il a été châtié pour Willy Pruitt. Et toutes ces choses qu’Il a subies, Il les a subies pour Willy Pruitt.’” C’était son nom.
Le vieux capitaine a dit: “J’aime ça. Est-ce que tu pourrais le lire avec mon nom à moi?”

98 Il a dit: “Je vais essayer.” Et il a dit: “Il était blessé pour les péchés de John Quartz. Il était meurtri pour l’iniquité de John Quartz. Et c’est par Ses meurtrissures que John Quartz a été guéri.”
Il a dit: “Je le vois.” Et le Seigneur l’a guéri. Voyez?

99 Mettez-y votre nom en le lisant. Il était blessé pour les péchés de William Branham. Il était meurtri pour l’iniquité de William Branham. C’est pour moi qu’Il a fait cela, et c’est pour vous qu’Il a fait cela. Mettez-y votre nom en le lisant.

100 Eh bien, c’est de cette façon que j’aime présenter les Écritures à mes–mes fidèles: ce qu’Il a fait pour quelqu’un d’autre qui Lui a obéi. Ce qu’Il a fait pour quelqu’un d’autre qui a été fidèle à la Cause, et ce qu’Il a fait pour quelqu’un d’autre qui a été infidèle à la Cause, là, vous y mettez votre nom en le lisant. Si vous aviez été là, quelle position auriez-vous prise? Et, souvenez-vous, vous avez aujourd’hui le privilège de prendre le même genre de position.

101 Quand Noé, par rapport à l’opprobre de la Parole que Dieu lui avait annoncée. Noé – il y avait un opprobre. Noé vivait dans un âge scientifique, où il y avait des réalisations scientifiques, ils arrivaient à fabriquer des choses qui dépassaient tout ce qu’on a fabriqué à notre époque. Ils étaient plus brillants, plus intelligents. Leur science était très avancée par rapport à la nôtre. Et rappelez-vous un peu: il a dû subir l’opprobre de la Parole qu’il a prêchée pendant cent vingt ans devant des moqueurs. Leurs grandes démarches scientifiques leur prouvaient qu’il n’y avait pas de pluie dans le ciel. Et pourtant Noé avait entendu la Parole du Seigneur, et Elle était contraire à la conception qu’ils s’En étaient faite. Donc, avant d’avoir la vie sauve, il a dû affronter et subir l’opprobre que lui infligeaient ces moqueurs.

102 Oh, certainement qu’ils ont dû avoir pitié de ce drôle de prédicateur. Ils ne l’ont pas fait enfermer, ni rien, parce qu’il n’y avait peut-être pas beaucoup de maisons de ce genre, à l’époque. Il n’était pas dangereux. Il n’aurait fait de mal à personne, ils l’ont donc laissé tranquille. “Continue, espèce de fanatique, là-bas sur le flanc de la colline, en train de construire un bateau tout là-bas où il n’y a pas d’eau. Oh! le pauvre, quel drôle de type! Mais”, et ils disaient, “d’où feras-tu venir de l’eau pour faire flotter ton bateau, Noé?
– Elle descend du ciel.

103 – Quelle absurdité. Nous pouvons atteindre la lune et les étoiles avec le radar”, ou ce qu’ils avaient, là. “Il n’y a pas de pluie là-haut.”
Mais il a dit: “Dieu a dit qu’Il en mettrait là-haut.
– Comment le fera-t-Il?

104 – Ça, ça Le regarde. Moi, tout ce que je dois faire, c’est vous avertir de partir d’ici.”

105 C’est à peu près pareil maintenant. “D’où viendra le feu?” Frère, c’est un peu plus clair aujourd’hui qu’à l’époque de Noé. Nous voyons déjà où ça se trouve. C’est prêt à éclater, c’est tout. La science a déjà… Cette fois-ci, il n’y a plus du tout d’excuse, parce que la science l’a déjà découvert. Oui monsieur.

106 Donc, nous voyons que c’était toute une histoire. Donc, ils ont eu pitié de ce drôle de prédicateur, ils l’ont laissé faire. C’était quelque chose d’étrange, peut-être, pour ces gens: de penser qu’un homme qu’on disait intelligent puisse croire que Dieu, le Créateur des cieux et de la terre, fasse quelque chose, ou annonce qu’Il allait faire quelque chose, qui était contraire à leur façon de penser, à ce qu’ils avaient déjà. Vous n’avez peut-être pas compris. Regardez. C’était… Ils pensaient pouvoir prouver toutes les choses naturelles par leur science. Si ce n’est pas la sorte de monde dans laquelle nous vivons aujourd’hui: un monde intellectuel, d’instruction, rempli de science! Et du moment qu’ils pouvaient prouver que quelque chose était faux, Dieu… “Dieu, en aucun cas, ne pourrait prononcer quelque chose qui (a été), dont la science peut démontrer que ce n’est pas là.”

107 Et ils ont la même idée aujourd’hui. Si votre médecin dit que vous avez le cancer, que vous devez mourir, et que la science prouve que vous avez le cancer et qu’il est à un stade avancé, c’est ridicule de penser autre chose; en effet, vous allez mourir, c’est tout. La science dit que vous allez mourir. On vous a examiné, et c’est tout: vous allez mourir. Et ils trouvent que c’est fou de votre part de vouloir dire que Dieu a promis de faire ça. Voyez, comme à l’époque, vous devez subir cet opprobre.

108 Ils disent que, si le docteur dit, là: “Nous avons bien examiné, et le cancer est à un stade avancé. Nous vous avons ouvert. Et le cancer a pénétré votre corps tout entier, il a pénétré votre cœur, vos poumons, votre foie, tout. C’est impossible.”
Alors, vous voyez, quand vous dites: “Mais il vivra quand même.”
Ils disent: “Oh, le pauvre, laissez-le aller.”

109 Je me souviens d’un certain soir. Bill Hall, Frère Hall, là-bas, à l’assemblée de Milltown, vous êtes nombreux à vous rappeler ce cas. Alors qu’il… On m’avait fait venir là-bas. Ma femme, ma belle-mère et moi y sommes allés. Il avait épousé une jeune fille qui était une sœur, je crois, de Georges Cupp, le maire de la ville, ou plutôt le juge, ici. Son… C’était son beau-frère. Ils l’avaient amené mourir ici. Le médecin de Milltown, le médecin de New Albany, ils avaient diagnostiqué qu’il avait un cancer du foie. Alors je suis allé voir Mme Hall. Il avait la jaunisse, il était jaune de partout. J’ai dit: “Bon, je suppose qu’il va mourir.” Et j’ai dit…

110 Elle a dit: “Frère Bill, est-ce qu’il y aurait moyen de… Est-ce que vous pourriez recevoir une indication de Dieu?”
J’ai répondu: “Je–je ne sais pas, Sœur Hall. Je peux prier.”

111 J’ai prié. Je suis rentré à la maison, et le Seigneur ne m’a rien dit. Ensuite, le lendemain, je suis retourné, et j’ai prié de nouveau.
Elle a dit: “Connaissez-vous un bon médecin?”

112 J’ai dit: “Eh bien, notre médecin de famille, c’est le docteur Sam Adair, ici, à Jeffersonville. C’est–c’est–c’est… Son père était notre médecin de famille. Le jeune Sam et moi avons toujours été des amis proches, et–et nous étions à peu près en même temps à l’école, nous avons grandi ensemble. C’est toujours lui que nous allons voir quand quelque chose ne va pas.”
Elle a dit: “Je me demande s’il accepterait de venir examiner Bill Hall”, son mari.
J’ai dit: “Je lui demanderai.”

113 Eh bien, Sam m’a dit, il a dit: “Billy, si le médecin a dit qu’il a le cancer,” il a dit, “il n’y a qu’une chose que je puisse faire, je l’enverrai voir quelqu’un de plus compétent que moi, un spécialiste. Et on apportera les radios; pour éviter de l’ennuyer encore.”

114 On a fait venir les radios de New Albany, de chez le médecin, là-bas. On l’a emmené à Louisville pour le faire examiner, on lui a fait faire l’aller-retour en ambulance.

115 Alors, bien sûr, il ne voulait pas dire à Mme Hall ce qu’il avait, donc il m’a appelé. Il m’a dit: “Il va mourir,” il a dit, “ton ami prédicateur.” Il a dit: “Le spécialiste de Louisville vient de m’appeler pour me dire que ‘le diagnostic qu’ont posé les médecins à–à…là-bas, à Milltown, et le médecin, à New Albany, ils ont posé un diagnostic juste’.” Et il a dit: “C’est bien un cancer du foie, et il est à un stade avancé. Et, Billy, on ne peut pas enlever le foie de cet homme et qu’il survive.” Il a dit: “Il va mourir. Et puisqu’il est prédicateur, il devrait bien être prêt.”

116 J’ai dit: “Ce n’est pas la question. Mais il n’a pas plus qu’environ cinquante-cinq ans, alors il a encore plein de vie en lui pour prêcher.” Et j’ai dit: “Eh bien, puisqu’il va mourir, alors, c’est réglé. Merci, docteur Sam.”

117 Et je suis allé voir Mme Hall pour le lui dire. Je lui ai dit: “Madame Hall, Sam a dit que le diagnostic de Louisville, là, c’est le même que ceux de New Albany et de Milltown. Cet homme est en train de mourir. Frère Hall va mourir. Il a un cancer du foie, et il est à un stade avancé.”

118 Alors elle s’est mise à pleurer. Je me suis retourné, et j’ai prié avec lui. Il était dans un tel état qu’il ne se rendait même pas compte que j’étais dans la pièce.

119 Alors je suis rentré. Et il y avait beaucoup de gens qui venaient chez moi, à l’époque. Il n’y avait personne d’autre sur le terrain d’évangélisation. Il n’avait pas encore été tellement pollué, et les gens venaient de partout.

120 Je voulais me reposer un peu. Alors, je suis rentré, et je me suis levé tôt, vers deux heures et demie ou trois heures du matin. Frère Wood n’était pas encore arrivé dans l’allée. J’ai regardé vers la voie d’accès à la maison, il n’y avait, n’y avait personne, j’ai donc pris mon vieux chapeau, je suis allé dans mon bureau prendre ma carabine 22. Je me proposais d’aller à la chasse aux écureuils jusque vers les huit heures, et puis de m’allonger quelque part au pied d’un arbre pour dormir un peu. Il n’y avait pas moyen de dormir, chez moi.

121 J’ai pris mon chapeau, et je me suis dirigé vers l’autre bout de la pièce. Il y avait une pomme accrochée au mur. C’était une–une pomme complètement pourrie. Elle était mangée par les vers, et elle était ratatinée, toute rabougrie. Et je me suis dit: “Pourquoi est-ce que Méda a accroché ça au mur?”

122 J’y ai regardé de plus près: elle n’était pas accrochée au mur. Elle flottait dans l’air. J’ai vite enlevé mon chapeau, j’ai posé ma carabine dans un coin, et je suis tombé à genoux. J’ai dit: “Seigneur, que veux-Tu faire savoir à Ton serviteur?”

123 Une autre pomme est descendue, et encore une autre, jusqu’à ce qu’il y ait quatre ou cinq pommes (j’ai oublié combien c’était, au juste) là, en suspension. Et puis une belle grosse pomme marbrée – une pomme vraiment grosse et belle d’aspect – est descendue, et elle a englouti ces autres pommes à l’aspect répugnant. Et Il a dit: “Debout. Lève-toi.” Il a dit: “Va dire à Bill Hall qu’il ne va pas mourir. Il vivra.”

124 Oh, je m’y suis précipité aussi vite que j’ai pu et j’ai dit: “Madame Hall, j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il vivra.” Et il m’a entendu. Il essayait de pleurer, il n’arrivait plus à parler.

125 Je suis revenu, et j’ai appelé Sam. Je lui ai dit: “Sam, notre–notre frère vivra.”
Il a dit: “Comment est-ce qu’il pourrait vivre, dans l’état où il est?”

126 J’ai dit: “Ce n’est pas à moi de savoir comment. Dieu l’a dit. Ça règle la question.”

127 Il est vivant aujourd’hui. Il y a une dizaine d’années de cela. Il est en pleine santé, en pleine forme. Sa femme est morte depuis. Il s’est remarié.

128 Comment est-ce que ça a pu arriver, dans le cas de Georges Wright, et de beaucoup d’autres dont on pourrait parler, qu’on pourrait nommer? Qu’est-ce que c’est? Il s’agit de subir l’opprobre. Ils en rient, ils se moquent.

129 Je me rappelle, avant l’inondation de 1937. J’étais à la compagnie de livraison et ramassage de Falls City, et je leur disais qu’il allait y avoir trente-deux pieds [10 m] d’eau, je crois, dans la rue Spring. Ils se sont moqués de moi. Ils disaient: “Le pauvre Billy. Je pense qu’il… Ce garçon!” J’étais encore tout jeune, à l’époque. Il a dit: “Billy est un brave garçon. C’est vraiment dommage qu’il ait perdu la tête.” Je n’avais pas perdu la tête. J’avais reçu le baptême, et non pas perdu la tête. J’avais été “reçu”, c’est tout. Et cela s’est accompli exactement de cette façon.

130 J’ai remarqué, en parlant, Sœur Hattie Wright, je crois, assise là-bas. Elle se souvient du cas de Bill Hall. Beaucoup. Combien de ceux qui sont ici ce matin se souviennent de ce cas? Oh! la la! Bien sûr. Beaucoup d’entre vous.

131 Bon, ils nous plaignent, ils plaignent tous ceux qui essaient de s’en tenir à la Parole, en une époque de moqueurs. Mais souvenez-vous: il faut que l’opprobre vienne. Ça a toujours été le cas. Ils ont dû penser ce qu’ils pensaient à l’époque: que Dieu, – une fois que quelque chose était prouvé par la science, – que Dieu ne prononcerait rien de contraire à la science. Eh bien, voilà ce qui fait qu’Il est Dieu. S’Il s’était borné à suivre la science, il n’y aurait rien de plus que ce que l’homme peut accomplir. Mais Il est Dieu. Il est le–Il est le Créateur de la science. Il peut faire tout ce qu’Il veut.

132 Ils ont dû penser: “Le pauvre Noé, eh bien, laissons-le, le pauvre. Il manque tous les divertissements qu’on a à notre époque, alors, laissons-le.” C’est à peu près pareil maintenant.

133 Mais là, j’aimerais dire autre chose, ici. Maintenant, en y repensant, nous admirons sa foi. Mais je me demande: si nous avions vécu à son époque, est-ce que nous aurions pris la même position que Noé? Est-ce que nous serions aptes et disposés à subir l’opprobre qui accompagnait la Vérité? Alors que, parmi tous les millions de gens qu’il y avait dans le monde à l’époque, il n’y a eu que Noé et sa famille qui ont pris position pour cette Vérité. Vous y avez songé? Rien que cet homme et ses trois fils, et ses belles-filles, sa femme, ils ont été les seuls à prendre position pour cette Vérité. Mais ils avaient l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. En y repensant, nous l’admirons. Est-ce qu’on pourrait encore penser la même chose?
Il faut que je me dépêche, à cause des cadeaux pour les enfants.

134 Abraham – le mot Abraham veut dire “père d’un grand nombre”, il a été fait “un père de nations”.

135 Or, Abraham a entendu la Parole de Dieu. Abraham était prophète, et il a entendu la Parole de Dieu. Et nous admirons Abraham, parce qu’il est resté attaché à la Parole de Dieu; et il s’est séparé de sa famille; comme c’était dur pour Abraham. Il avait grandi là-bas. Il était descendu de Babel, et–et il était dans le pays de Schinéar, des–des–des Chaldéens, dans la ville d’Ur, où il y avait tous ses camarades, ses proches, et ceux qui allaient à l’église avec lui, et tout. Mais Dieu a dit: “Sépare-toi.” Oh! la la! Comme c’était terrible de quitter tout ce qui lui était cher, tout ce qui avait de la valeur pour lui, ce à quoi il tenait. Dieu lui a dit: “Sépare-toi.”

136 Et Il lui a donné quelque chose de très étrange. “Tu auras un bébé de ta femme.” Alors qu’il avait soixante-quinze ans, et elle soixante-cinq. Elle avait cessé d’être comme les femmes, comme les femmes qui peuvent avoir des enfants, depuis des années. Et alors qu’il avait vécu avec elle depuis qu’elle était jeune fille, puisqu’elle était sa demi-sœur, alors, comment est-ce qu’il pourrait un jour produire cet enfant? Et maintenant, est-ce que vous imagineriez Abraham qui va vers ses camarades et qui dit: “Nous allons avoir un bébé, Sara et moi”? Est-ce que vous imagineriez ça?

137 Oh, les gens disaient: “Pauvre bougre, ça ne tourne pas rond chez lui.”

138 C’est un opprobre, mais Abraham a tenu ferme. Et à l’âge de cent ans, il n’a pas douté de la promesse de Dieu. Il continuait à supporter l’opprobre, mais oui, il tenait ferme.

139 Vous avez remarqué la différence, là? Sara a essayé de donner à Abraham, ou plutôt à Dieu, un petit coup de main pour L’aider. Elle a pensé, vous savez, là, autrement que ce que Dieu avait promis. “Bon, tu sais, moi, je suis vieille, mais Agar, là, c’est une belle femme. Abraham acceptera bien de l’épouser, elle aussi. Alors, tu sais, ça va–ça va aider Dieu. Ça va aider Dieu, parce qu’Agar, là, elle doit avoir dans les vingt ans. C’est ma servante. Et tu sais ce que je vais faire? Je vais la donner comme épouse à mon mari”, puisque la polygamie était autorisée. Donc il a dit… “Je la lui donnerai, et elle aura un bébé de mon mari, ensuite je prendrai le bébé. Et ce sera celui que Dieu a promis.”

140 Vous voyez, nous essayons toujours de faire quelque chose; nous n’arrivons pas à nous attendre à Lui. Il nous faut faire quelque chose de nous-mêmes. Même si c’était autorisé. Même si elle était jolie. Même si ça avait l’air très bien – il n’en reste pas moins que ça ne concordait pas avec la Parole. Dieu avait dit à Abraham que “le bébé allait venir par Sara”.

141 Vous vous rappelez ce qu’Il a dit du petit Troupeau? “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” “Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la venue du Fils de l’homme, alors qu’un petit nombre de personnes – c’est-à-dire huit âmes – ont été sauvées.” Ces Paroles ne peuvent pas manquer de s’accomplir, donc prenons bien garde à nous-mêmes et tenons-nous-en à la Parole. Très bien. Voyez?

142 Les gens essaient toujours de fabriquer quelque chose pour remplacer la volonté créatrice de Dieu. Vous voyez, comme je l’ai souvent dit, et peut-être déjà devant l’assemblée, vous savez, on ne peut pas demander à un mouton: “Fabrique-moi de la laine, d’accord?” Non, il ne peut pas le faire. Bon, une chèvre ne peut pas fabriquer de laine, parce que sa nature ne le lui permet pas. Vous aurez beau essayer d’accrocher de la laine de mouton sur une chèvre, ça ne marchera pas. La chèvre ne peut pas fabriquer de laine, et un mouton ne fabrique pas de poils. Mais il a de la laine, parce qu’il est un mouton. C’est pour ça qu’il en a. Il ne la fabrique pas.

143 Nous n’avons pas à fabriquer les fruits de l’Esprit. Nous avons à porter le fruit de l’Esprit. Le pommier ne fabrique pas des pommes; il ne fait que les porter, parce que c’est un pommier.

144 Et si nous essayons de fabriquer quelque chose: “Je vais aider la Cause. Je vais faire dix ans d’études au séminaire. Je vais apprendre ceci, cela, ou autre chose, passer ma licence en lettres et mon doctorat. Moi je vais donner un coup de main au Seigneur.” Ça ne marchera pas.

145 C’est Dieu qui, par prédestination, appelle qui Il veut. Il donne le Royaume à qui Il veut bien Le donner. Nous avons tiré cette leçon de Nebucadnetsar.

146 Nous avons tiré cette leçon de–de Jérémie. Quand Dieu lui a dit, par la Parole du Seigneur, qu’un jour viendrait où Israël allait être emmené à Babylone pour soixante-dix ans. Et un autre prophète s’est levé. Il le lui avait déjà dit, Il avait dit: “Bon, des prophètes se lèveront. Et il y en aura qui se lèveront, là-bas à Babylone, des faiseurs de songes et des prophètes, qui donneront des prophéties contraires à Ceci. Mais dis au peuple de ne pas écouter ces gens-là.”

147 Et un homme s’est levé, du nom de–de, un des prophètes, Hanania. Quand Jérémie se tenait là, un joug à son cou, Hanania s’est levé, et il a dit: “AINSI DIT LE SEIGNEUR: Encore deux années, et tous les ustensiles du Seigneur…” Bon, a priori, ça avait l’air très bien. “Dieu va bénir Son peuple. Encore deux ans, et Il va tout ramener.”

148 Et la Bible dit que même le prophète Jérémie a dit: “Amen. Amen. Hanania, que le Seigneur accomplisse tes paroles. Seulement repensons à quelque chose, Hanania. Il y a eu des prophètes avant nous, et ils ont prophétisé, contre de grandes nations, la guerre et tout. Mais rappelle-toi: c’est une fois que sa prophétie est manifestée qu’on reconnaît le prophète.” Voyez?

149 Alors Hanania s’est levé, il a enlevé le joug de dessus le cou de Jérémie, devant tous les sacrificateurs et devant l’assemblée, peut-être un million et demi de gens. Il a enlevé ce joug que Dieu avait mis comme un signe sur le cou de Jérémie et, emporté par son enthousiasme, il l’a brisé et l’a jeté à ses pieds, en disant: “AINSI DIT LE SEIGNEUR: Dans deux ans, ils retourneront.”

150 Jérémie s’est contenté de le regarder. Comme c’était contraire à la Parole, il est tout simplement parti. Et Dieu lui a dit: “Retourne et dis-le-lui,” Il a dit, “ce n’est pas Moi qui lui ai parlé.”

151 Il s’était laissé emporter par son enthousiasme. Il avait suivi sa propre impression. Voyez? Il n’a pas attendu de le voir vraiment, et de savoir que ça ne venait pas de lui, mais que c’était Dieu qui le disait. Il est revenu tout plein d’enthousiasme. Si…

152 Nous voyons ça partout dans le pays aujourd’hui. Récemment, quelqu’un passait une de nos bandes dans une maison, où un groupe de prédicateurs venaient d’être convaincus, et allaient venir se faire baptiser au Nom de Jésus-Christ. Et dans la pièce, un homme s’est levé et a parlé en langues, en disant: “AINSI DIT LE SEIGNEUR. Tenez-vous-en à ce que vous avez. Continuez comme cela, et Je vous bénirai.”

153 Ils ont dit: “Eh bien, puisque le Seigneur le dit, c’est comme cela, alors.” Vous voyez, ce n’est pas examiné au moyen de la Parole. Il faut d’abord et avant tout que ce soit la Parole. Voilà. C’était contraire à la Parole.

154 Jérémie est donc revenu, ce prophète oint. Dieu lui a dit, Il a dit: “Je sais qu’Hanania a brisé le joug de bois que J’avais mis sur ton cou, mais Je vais en faire un de fer.” Il a dit: “Et toutes ces nations qui sont asservies à Nebucadnetsar, Mon serviteur” – lui qui était un païen. Voyez? Alors qu’Israël, eux, observaient tous leurs sacrifices, mais ils ne… Voyez?

155 Dieu a promis de bénir, mais il y a des conditions attachées à ces bénédictions. Et il faut remplir ces conditions pour que tout fonctionne bien.

156 Tout à l’heure, j’étais assis avec une charmante petite fille, ici. D’abord, j’ai examiné toute la famille pour voir s’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Dieu guérit, mais c’est soumis à des conditions. Voyez? La seule chose que j’ai trouvée, c’était que la mère craignait que ce soit mal de prendre des médicaments. J’ai dit: “Ne pensez pas cela, sœur. Enlevez cela de votre esprit. Allez de l’avant avec cette enfant. Donnez-lui le médicament. Dieu fera connaître la chose.” Voyez?

157 Bon, mais ce qu’il faut, c’est trouver, savoir. Ensuite, si c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, d’accord.

158 Bon, nous voyons que ces gens, là, ils essayaient de fabriquer quelque chose; Agar et–et Sara, elles essayaient d’aider Abraham, d’aider Dieu à accomplir Sa promesse. On ne peut pas faire ça. Il n’y a aucun moyen d’y arriver. C’est–c’est contraire à tout. La Parole de Dieu s’accomplira, quoi qu’il en soit. Vous n’avez qu’à vous appuyer fermement sur la Parole, en disant: “C’est comme ça”, et à garder la Parole. Remarquez bien, là: fabriquer quelque chose pour remplacer Sa Parole!

159 Peut-être que même les amis d’Abraham, – fait à remarquer, – peut-être que les amis d’Abraham sont venus en disant: “Eh bien, père de nations, tu as combien d’enfants maintenant?” Quand il avait cent ans. “Dis voir, père de nations, père d’un grand nombre, combien d’enfants as-tu maintenant?” Des moqueurs!

160 Vous avez vu cela se produire, déjà, n’est-ce pas? Nous avons vu cela se produire, n’est-ce pas, des fois, quand nous avons prié pour quelque chose, et que ce n’est pas arrivé?

161 “Voilà un vieillard”, ils disent. “Il est aveugle. Il est sourd. Il est muet. Il est malade. Il a fait ceci. Allez le guérir, vous autres guérisseurs Divins. Nous y croirons.”

162 Est-ce qu’ils se rendent compte que c’est le même démon qui a dit: “Descends de la croix, et je croirai en Toi. Change ces pierres en pains, et j’y croirai”? Voyez? Ce même démon qui a bandé les yeux de notre Seigneur avec un chiffon, et qui L’a frappé sur la tête avec un bâton, en disant: “Maintenant, si Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé, et nous Te croirons.”

163 Vous le savez bien, qu’Il savait qui L’avait frappé. Il aurait pu changer ces pierres en pains. Ou Il aurait pu descendre de la croix. Mais que serions-nous aujourd’hui s’Il l’avait fait? Voyez? Ils ne connaissent pas le programme de Dieu. Il faut trouver ce que Dieu a promis.
Maintenant il faut que je me dépêche.

164 Bon, donc, ils ont peut-être dit: “Père de nations, nous t’avons entendu dire, il y a vingt-cinq ans, que tu allais avoir un enfant de Sara, et–et que de cet enfant sortiraient des nations, beaucoup de gens. Combien d’enfants as-tu exactement, à présent, père de nations?” Hum! Voyez? C’est cette même espèce d’esprit critique, qui critiquait, là.

165 Qu’est-ce qu’Abraham a fait? Il est dit: “Il ne douta pas de la promesse par incrédulité.”
“Mais vous avez prié pour Untel, là, et il n’a pas été guéri.”

166 Ça ne fait rien. Si je priais pour dix mille personnes ce soir, et que dix mille personnes mouraient demain matin, demain soir je continuerais à oindre les malades et à prier pour eux. C’est ce que Dieu a dit. Ce n’est pas un obstacle, pas du tout. Dieu l’a promis. Je le crois. Bien sûr. Ce qu’ils disent, ça ne change rien. Mais ils se moquent. C’est l’opprobre de la Parole.

167 Abraham s’en est tenu à la Parole de Dieu – Elle a fini par s’accomplir. Oh! la la!

168 Regardez la dérision de la stérilité. D’être tournée en dérision, et l’opprobre de la stérilité, d’abord. Ils ont… Elle a dû subir l’opprobre d’être stérile pendant toutes ces années. Elle avait près de cent ans. Elle en avait quatre-vingt-dix, et là la Parole de Dieu disait qu’elle serait aussi princesse, mère de cet enfant. Alors qu’elle et Abraham étaient stériles, ils étaient tous les deux comme morts dans leur–leur corps, et pourtant, ils n’ont absolument pas douté de cette Parole. Mais d’abord, ils ont dû subir cela. Et ensuite, alléluia, Dieu a tenu Sa Parole, en cette heure sombre: Isaac est né. “Et sa postérité est comme le sable des mers ou les étoiles du Ciel.” Voyez? Dieu répond toujours de Sa Parole. Oui. D’abord la stérilité, ensuite Isaac.

169 Zacharie et Élisabeth aussi, ce vieil homme et cette vieille femme, qui continuaient à tenir bon. Quand Zacharie est sorti, là, et qu’il a pu écrire sur sa tablette, pour dire: “Un Ange est venu vers moi, me disant que j’aurai un enfant d’Élisabeth, ma femme, qui est âgée, là. Je ne peux plus parler. Je suis muet. Je resterai muet jusqu’au jour où le bébé naîtra. Mais un bébé viendra, et il sera le prophète du Très-Haut. C’est lui qui présentera l’Étoile du Matin. Il est un précurseur du Messie.” Comment était-ce possible?

170 Certains disaient: “Pauvre bougre. Oh, je–je crois qu’il a un peu perdu la tête, vous savez. Il y a un petit quelque chose. Mais regardez un peu la vieille Élisabeth, là-bas, qui a dans les quatre-vingts ans. Et regardez–regardez–regardez Zacharie, très avancé en âge et tremblotant, et il fallait qu’il dise une chose pareille. Oh, le pauvre bougre.”

171 Mais il avait la Parole du Seigneur. C’était un tel opprobre qu’elle s’est cachée pendant plusieurs jours. Mais il s’en est tenu à la Parole. Oh! la la!

172 Ils ont refusé la popularité, ils ont refusé l’opinion courante, ils ont refusé les raffinements de leur époque, et les styles, et tout, de leur époque. Ils ont refusé cela. Ils ont refusé de marcher avec le grand nombre des incroyants. Ils ont refusé les choses du monde. Ils ont dû le faire pour s’en tenir à la Parole de Dieu. Ils ont dû le faire.

173 C’est pareil aujourd’hui. Vous vous séparez de tout, il n’y a que vous et Dieu. Il ne s’agit pas de ce que fait l’église. Il s’agit de ce que vous, vous faites, avec Dieu. Voyez? Il s’agit de vous, en tant qu’individu. Oui.

174 Mais regardez ce que Dieu lui a donné. Quand Jésus Lui-même est venu, Zacharie était mort, et Élisabeth aussi. Mais quand leur fils est arrivé dans le désert avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, Jésus a dit: “Il n’y a jamais eu un homme, né d’une femme, aussi grand que lui.” Amen. Quoi? Elle a subi l’opprobre de la stérilité. Elle s’est tenue à la Parole, et elle a accouché de ce fils.

175 Comme Sara, autrefois, comme Abraham, autrefois, ces couples âgés ont tenu ferme. Regardez: les plus nombreux qui soient nés, “comme le sable des mers”, il n’y a pas une race de gens au monde qui soit aussi nombreuse que les Juifs. “Comme le sable des mers ou les étoiles du ciel.” Qu’est-ce qui est arrivé? C’est arrivé dans la minorité: un seul enfant.

176 Là, vous voyez où je veux en venir. Un seul enfant, c’était suffisant. Il a suffi d’un seul enfant pour ébranler les nations et présenter le Messie. Il a suffi d’un seul, qui était obéissant. C’est vrai. Dieu n’a besoin que d’un seul homme. C’est tout ce qu’il Lui faut, d’avoir une voix quelque part. C’est tout ce qu’Il veut, d’avoir un seul homme sous Son contrôle. Oh, comme Il aime prendre un seul homme!

177 Une fois, Il a pris un Noé. Une fois, Il a pris un–Il a pris un Moïse. Il a pris un–un Jérémie. Il a pris un–un Élie. Il a pris un Élisée. Il a pris un Jean. Il–Il prend… Il a pris un Samson. Tant qu’Il prend un homme sous Son contrôle, voilà Sa Voix. Il peut parler par elle. Il peut condamner le monde. Oh! la la!

178 Comme Il languit d’avoir un homme sous Son contrôle: “Ainsi Je pourrai parler par lui. Je pourrai faire connaître Ma Voix. Bien qu’il subisse l’opprobre, Je ferai connaître Ma Voix.” Voyez? Oh oui.

179 La stérilité d’abord. Devoir être stérile, devoir subir l’opprobre de la stérilité. Sara a dû le subir. De même, Zacharie et Élisabeth ont dû le subir.

180 Regardez, aujourd’hui. Là je vais dire quelque chose. Regardez, aujourd’hui, les enfants de la prostituée. Elle a assujetti des nations à la domination politique des dénominations – la prostituée et ses filles. Regardez la génération de dénominations qui s’est levée, et comme les justes sont peu nombreux. Ne vous en faites pas. Tenez-vous-en à la Parole. Ça ne fait rien.

181 On se moquera peut-être de vous, on vous traitera peut-être d’exalté. On pourra vous traiter de n’importe quoi, de tous les noms. Mais ne bougez pas de là: C’est la Parole, l’opprobre de la Parole, ce qu’ils diront de vous.

182 Un jeune homme – il est peut-être ici ce matin. C’est un de mes amis: Jim Poole, le jeune Jim, sa–sa famille. L’autre jour, on lui a demandé, – bon, il avait été baptisé ici, – quelqu’un lui a dit, a dit: “Si tu voulais te faire baptiser dans une assemblée, pourquoi tu n’as pas choisi une grande assemblée, ou quelque chose comme ça?” Voyez? Mais il a vu la Lumière. C’était réglé. Voyez?

183 “Les enfants des injustes sont plus nombreux que ceux des justes.” Oui. Bien. Combien peu nombreux sont ceux des justes! Regardez la petite poignée qu’ils étaient à l’époque de Noé. Voyez? Regardez comment c’était à l’époque de Sodome. Voyez? Combien peu nombreux sont les justes!

184 Que les enfants de la prostituée sont nombreux! Elle fait des enfants n’importe comment, mais ce sont tous des enfants bâtards. La prostituée produit des prostituées. La chienne produit des chiennes.

185 Et le Christ produit des oints. La Bible produit des justes, il faut donc nous faire à l’idée d’être un petit nombre. Quel merveilleux produit de la grâce!

186 Regardez la glorieuse assemblée d’Éphèse: ils n’étaient que douze. Oui. Regardez le groupe qu’on a aujourd’hui, à côté d’eux. Oui.
Il n’y avait que huit âmes à l’époque de Noé.

187 Il n’y en avait que cinq à l’époque de Lot, non, quatre: Lot, sa femme, ses deux filles. Et elle est devenue une statue de pierre, après être sortie, pour avoir regardé en arrière. En réalité, il en est sorti trois, en ce jour-là.

188 Et Jésus a dit: “Ce qui arriva en ces jours-là.” Il nous appartient de veiller, et de prendre garde. Combien peu nombreux sont les justes! Mais, comme toujours, les moqueurs doivent jeter l’opprobre. La stéri-… Il faut d’abord subir l’opprobre de la stérilité. Oh!

189 Il faut vraiment que je me dépêche. Je suis… Je ne… On va donner un coup de main, pour ces enfants. Je vous demande juste un peu de patience. Voyez?

190 Les hommes sont toujours les mêmes. Là je vais encore dire quelque chose. Et j’aimerais que vous… Et je ne sais pas si c’est enregistré ou pas. Mais si c’est enregistré, j’aimerais que vous m’écoutiez bien, vous qui écoutez la bande. Ne manquez surtout pas ça, méditez-le bien. L’homme reste ce qu’il a toujours été. Il loue Dieu pour ce qu’Il a fait; il est dans l’expectative de ce qu’Il va faire; et il ne reconnaît pas ce qu’Il a fait et ce qu’Il est en train de faire. Il loue Dieu pour ce qu’Il a fait; il est dans l’expectative de ce qu’Il va faire; mais il ne reconnaît pas ce que Dieu est en train de faire, et là il manque tout. J’espère qu’ils saisissent. Voyez? Ils ne reconnaissent pas ce qu’Il est en train de faire! Il sait ce qu’Il a fait; et il connaît la promesse, ce qu’Il va faire; mais il ne voit pas ce qu’Il est en train de faire.

191 Oh, vous autres pentecôtistes, si vous n’êtes pas des exemples de cela! Vous vous attendez à ce qu’il arrive quelque chose, alors que, comme toujours, c’est arrivé sous vos yeux, et vous ne le reconnaissez pas. “Combien de fois a-t-Il voulu vous rassembler, comme une poule rassemble sa couvée, mais vous ne l’avez pas voulu.” Vous avez attaché plus d’importance à vos traditions et à vos dénominations qu’à Sa Parole et à Son Esprit. Oui.

192 Quel opprobre pour Marie! (Là nous terminons.) Quel opprobre pour Marie et Joseph, à cause de Sa Parole. C’est la période de Noël. Je pensais en garder un petit peu, mais vous en entendrez pas mal à la radio, et parmi vos pasteurs, et tout. Quel opprobre pour Marie et Joseph, de se tenir à la Parole promise de Dieu. Pensez-y, là. Et le mépris, ce sourcil froncé quand ils voyaient passer la petite Marie, quand ils voyaient Joseph. “C’est une prostituée que tu épouses là.” Voyez? Et pensez-y, frère, l’adultère, ça voulait dire la mort, à l’époque. “Là, tu veux lui éviter d’être tuée. Elle est enceinte de toi.” Mais souvenez-vous, pendant tout ce temps, c’est Dieu qui traitait avec eux, et c’était conforme à la Parole. Et ils ne l’ont pas reconnu. Voyez?

193 “Une vierge aura un enfant.” Ça, Joseph le savait. Marie le savait, parce qu’une fois la Parole déjà écrite, il y avait un Ange qui leur avait parlé, qui avait confirmé, ou manifesté la Parole même qui avait été écrite, et qui devait s’accomplir. Ne rêvez pas, maintenant. Réfléchissez. Le Saint-Esprit est descendu sur terre; Il n’a pas parlé à toute l’assemblée. C’est à eux qu’Il a parlé.

194 Joseph a regardé. Avant de recevoir la visite de l’Ange, il a dit: “Bon, je l’aime. Mais je suis un homme juste. Je ne peux quand même pas épouser une femme comme ça.”

195 Et l’Ange de l’Éternel lui est apparu en songe et lui a dit: “Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit.” Oh! la la! Quel réconfort! Voyez?

196 Et Marie, quand elle s’en allait au puits. La petite vierge d’environ dix-sept ou dix-huit ans, qui allait épouser un homme qui avait déjà été marié, et qui avait quatre enfants; un homme âgé. Et elle était… Elle l’aimait, et–et elle ne savait pas pourquoi. Et lui, il l’aimait, et il ne savait pas pourquoi. Et les voilà donc. En route, s’en allant au puits chercher de l’eau, elle méditait toutes ces choses, elle–elle pensait sans doute aux passages de l’Écriture; et alors une Lumière a jailli devant elle. Quand cette Lumière a jailli, il y avait là un Ange.

197 Je me demande: comment s’est sentie la petite Marie? Vous avez déjà pensé à ça? Je me demande si elle a eu peur, comme moi hier.

198 “Je te salue, Marie!” Je te salue, c’est-à-dire: “Arrête-toi.” “Sois attentive à ce que je vais te dire. Tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce devant Dieu, et tu auras un Enfant. Sans avoir connu d’homme, tu auras un Enfant. Et ta cousine Élisabeth, qui est âgée, elle a conçu, elle aussi, et elle aura un enfant. Et ces signes se produiront.”
Elle a dit: “Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme?”

199 Il a dit: “Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre. Le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.”

200 Les moqueurs avaient beau dire ce qu’ils voulaient. Elle, elle le savait. Elle savait que ça allait s’accomplir, parce que Dieu l’avait dit.

201 Et ce qu’elle a dû ressentir, le jour de la présentation, ou plutôt le jour où on venait faire circoncire le Bébé, alors qu’elle s’approchait, avec ce petit Bébé dans les bras, comme ça. Et toutes les femmes se tenaient à distance, elles avaient toutes de la belle dentelle pour faire consacrer leurs bébés et les faire circoncire, et elles tiraient presque toutes un agneau. Mais elle, elle avait deux tourterelles, l’oblation pour sa purification à elle. Ce petit Bébé, enveloppé d’un lange fait du joug qu’on mettait sur le cou d’un bœuf, le joug, la protection qu’on met sur le dos du bœuf. C’était un simple lange, dans la crèche. Ils n’avaient rien pour Lui. Ils étaient trop pauvres. Et la voilà qui se tenait là.

202 Certainement que toutes les femmes tenaient la petite vierge à distance. Elles disaient: “Vous voyez, elle a un enfant illégitime.” Vous voyez comme Dieu fait des choses qui paraissent tellement extrêmes. Oh! la la! Il fait en sorte que Satan n’y voie que du feu. “Quelle chose dégoûtante! Quelle saleté! Un adultère. Voilà ce qu’elle est. Elle est une femme adultère.” Ça n’a pas arrêté ce qui battait dans le cœur de la petite Marie. Ils Le tenaient à distance.

203 Ils font la même chose encore aujourd’hui, maintenant ils Le traitent “d’exalté, de fanatique”, ou quelque chose comme ça.
Marie savait de Qui était ce Bébé. Elle a continué, sans se laisser arrêter.

204 Mais, oh, ils auraient dû le remarquer, n’est-ce pas, puisque Siméon, qui était là-bas dans la pièce, il en avait reçu la promesse? Il circulait partout, en prophétisant. Il disait: “Le Seigneur m’est apparu.” Il disait: “Je ne verrai pas la mort…” Il avait dans les quatre-vingts ans à l’époque. “Je ne verrai pas la mort avant d’avoir vu Son salut.”

205 “Oh, Siméon, tu es vieux, mon gars. Tu–tu… Le pauvre vieux a un peu perdu la tête, vous savez, il est un peu… Laissez-le. Il est inoffensif. Il ne fera de mal à personne.”

206 Mais Siméon avait la Parole du Seigneur, il a dit: “J’ai vu l’Esprit du Seigneur descendre sur moi. J’étais là, debout, je Le regardais. Il m’a dit: ‘Siméon, tu as été un homme juste. Tu ne vas pas… Je vais faire de toi un témoignage là-bas.’” Oui. C’est tout.
“Pourquoi est-ce que Tu vas faire cela, Seigneur?
– C’est Mon affaire.”

207 À mon avis, c’est qu’Il pourra vraiment le leur reprocher, ce Jour-là. “Vous aviez un témoin. Pourquoi ne l’avez-vous pas écouté?”

208 Il y a la vieille Anne, aveugle, qui est assise dans le temple, en train de prier. Le Seigneur lui a révélé: “Siméon a raison.” Amen. Elle ne distinguait même pas le jour de la nuit, mais elle voyait plus loin que bien des gens d’aujourd’hui qui ont de bons yeux. Elle a vu, par l’Esprit, que le Messie qui devait venir était proche, l’Esprit s’agitait dans son cœur.

209 Vous voyez la petite Église que c’était? Zacharie, Élisabeth, Marie, Jean, Anne et Siméon; six sur des millions. Comme à l’époque de Noé. Ils étaient six. Dieu traitait avec chacun d’eux. Ils étaient tous en harmonie. Ils se sont tous rassemblés. Amen.

210 Voici le vieux Siméon. Voici le petit Bébé qui arrive là. Il n’en avait pas entendu parler. Le Bébé était là. Et Siméon était assis dans son cabinet, l’Esprit est descendu sur lui et lui a dit: “Sors, Siméon.”

211 Et il est sorti, s’est mis à marcher sans savoir où il allait. Comme Abraham, il cherchait quelque chose. Il ne savait pas où c’était, mais il a continué à avancer. Au bout d’un moment, il s’est arrêté. Le Saint-Esprit doit lui avoir dit: “Le voilà.”

212 Il a tendu les bras, et il a pris le bébé des bras de Marie. Il a levé les yeux et il a dit: “Maintenant, Seigneur, Tu laisses Ton serviteur s’en aller de cette vie en paix. Mes yeux voient Ton salut.” La chose dont tout le monde se moquait, ce que les femmes évitaient, Siméon en a dit: “C’est Ton salut, Seigneur.”

213 À peu près à ce moment-là est arrivée une vieille femme aveugle, elle avançait à tâtons, elle traversait péniblement l’assistance. Elle s’est approchée de Lui, et elle aussi, elle a prophétisé, car elle L’attendait. Elle a dit à Marie: “Une épée te transpercera le cœur, mais voici Ce qui dévoilera les pensées de beaucoup de cœurs.” Voyez? Qu’est-ce que c’était?

214 Bon, je pense que certaines de ces femmes disaient: “Vous voyez ça! Vous voyez quelle catégorie de gens c’est? C’est ça. Voyez? Voilà ce que c’est. Vous voyez ce qu’il en est? Ce vieillard, il est complètement dérangé. Le voilà qui est allé vers cette prostituée, et qui se met à dire une telle chose. C’est ça. Cet Enfant illégitime. Regardez-moi la vieille Anne, qui reste tout le temps assise là-bas, à se laisser mourir de faim, et tout, comme ça. Elle ne s’amuse pas comme nous. Mais c’est ça, voyez. Elle aurait pu faire partie de toutes les bonnes sociétés de ce pays. Elle vient d’une bonne famille, voyez, et elle pourrait être dans ces milieux-là. Mais la voilà. Vous voyez comme ce groupe de gens là se réunit?” Oh oui. Amen.

215 C’est la même chose aujourd’hui. “Assis dans les lieux Célestes en Jésus-Christ, élevés par le Saint-Esprit.” Certainement. Oui monsieur.

216 Oh, on a bien encore un peu de temps, n’est-ce pas? Il faut vraiment que je dise quelque chose. [L’assemblée dit: “Oui.”–N.D.É.]

217 J’ai encore un personnage, ici, que j’examine, de cette époque où la Parole était en train de se manifester: les mages.

218 J’aimerais avoir le temps, Fred, de te faire lire ça. Tu l’as dans ta poche? [Frère Fred Sothmann dit: “Oui.”–N.D.É.] Je pense que vous êtes nombreux à l’avoir vu dans le périodique.

219 Cette chose que le Saint-Esprit a prononcée là-bas, au bord de la rivière, il y a trente-trois ans, ils viennent de le reprendre, – le 9 décembre, – et ils prouvent la chose, par l’astronomie, en montrant que–que Jupiter et ces étoiles étaient bien en conjonction!

220 Ils ont un vieux calen-…astronomique, des pierres gravées, là, qu’ils ont déterrées. C’est exactement à ce moment-là que cette conjonction s’est faite, dans cette constellation d’étoiles, et qu’elle s’est montrée en plein sur Babylone, et les mages ont suivi cela. Vous vous rappelez? Leurs larges orbites s’étaient croisées, puis de nouveau éloignées à des milliards d’années-lumière de distance. Et ces mages Juifs, qui étaient à Babylone, ont vu cette conjonction revenir dans cette constellation, ces étoiles. Trois étoiles qui se réunissaient, pour donner cette étoile du matin. Et ils savaient, par la Parole de Dieu, que c’était le moment, quand ces étoiles se réunissaient, où le Messie devait être sur terre.

221 C’est pour ça qu’ils se sont mis en route: “Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Où est-Il? Quelque part! Car, lorsque ces étoiles se réunissent, quand leurs corps célestes se fondent en un grand corps céleste, là, quand ces trois-là se réunissent, le Messie doit être sur terre, à ce moment-là.” Et quand leurs orbites se sont rejointes, ces hommes ont su que le Messie était sur terre.

222 C’étaient des maîtres dans leur domaine. C’étaient de grands hommes. Ils étaient des maîtres dans leur domaine de la science religieuse. Ils en examinaient le côté religieux. Et ils ont vu le mouvement de ces étoiles, là-bas, Jupiter et Sargas, et elles se–se sont alignées. Et ils disaient: “Nous savons que le Messie se trouve quelque part. Il doit donc être à Jérusalem, puisque c’est la capitale de la religion du monde, de la religion du Messie. C’est leur siège social. C’est le siège social des dénominations. C’est là que les grands groupes ecclésiastiques siègent.”

223 Et ils ont voyagé sur leurs chameaux, pendant deux ans, ils ont traversé le fleuve Tigre, les marécages et les jungles, ils faisaient route vers cette ville, leurs cœurs remplis de joie.

224 Ils savaient, pendant que ces étoiles se trouvaient dans cette position. Et là, même les astronomes, aujourd’hui, disent: “Si jamais ces étoiles revenaient dans cette même position, elles se verraient comme une seule étoile depuis le point où ils se trouvaient.” Mais il fallait qu’ils se trouvent à cet endroit-là pour le voir. Amen. Amen.

225 Cela dépend de l’endroit où vous vous trouvez. Cela dépend de ce que vous regardez. Ah oui. Oui.

226 Donc, ils l’ont vue, et ils l’ont suivie, ils étaient exactement dans la ligne. Où qu’ils se trouvent, elle était exactement alignée avec eux. Elle les conduisait. Voyez?

227 Comme quoi il faut que vous ayez toutes les Écritures alignées, tout, et que vous restiez alignés avec ces Écritures. C’est la seule manière. Cela vous conduira tout droit à Lui. C’est certain.

228 Maintenant remarquez. Les voilà qui arrivent en criant: “Où est-Il, le Roi des Juifs qui vient de naître?” À Jérusalem, l’Étoile les a conduits en plein là, en plein siège social des dénominations. Mais quand ils se sont tournés vers elles, l’Étoile les a quittés. Ils sont entrés dans la ville, ils ont parcouru les rues. Ils s’attendaient à trouver la ville remplie de la joie de Dieu. Ils ont parcouru les rues en criant avec joie: “Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu Son Étoile lorsque nous étions en Orient, et nous sommes venus L’adorer.”

229 Rappelez-vous, l’Étoile – ils se dirigeaient vers l’ouest. Ils étaient en Orient. “Vers l’ouest nous voyageons, toujours nous avançons. Conduis-nous vers…” Voyez? Ils étaient tout à fait… Ils étaient… Bon, la Babylonie et l’Inde se trouvent à l’est de la Palestine, un peu vers le sud-est. Et ils allaient vers l’ouest. “Vers l’ouest nous voyageons,” vous connaissez ce chant, “toujours nous avançons. Guide-nous vers cette Lumière parfaite.” Voyez? Eux, les mages venaient vers l’ouest. Ils étaient partis de l’Orient, ils allaient vers l’ouest, et ils avaient vu cette Étoile. Or, s’ils avaient été à l’ouest et qu’ils avaient regardé en arrière, ils ne L’auraient pas vue. Voyez?

230 Eux, une fois qu’ils sont arrivés là-bas, – c’est là qu’Elle les avait conduits, – Elle les a quittés. Alors ils se sont dit: “C’est ici. L’Étoile est partie, donc c’est ici.” Ils sont dans la ville. Alors: “Oh! la la!”, ils se disaient, “ils chantent tous, et ils sont tous dans la joie. La gloire de Dieu a tout illuminé. Donc, nous y voilà. Nous savons ce que nous–nous savons ce que nous avons accompli là, en observant cette conjonction, personne, aucun maître ne pouvait monter là-haut réunir ces étoiles. Et nous savons que lorsque ces–lorsque ces étoiles se réunissent dans ce corps céleste, c’est le moment où le Messie est sur terre. Le Messie est sur terre.”

231 Et toutes les quelques centaines d’années, elles repassent dans cette conjonction, vous voyez, et à ce moment-là, il y a un don qui vient sur la terre. Remarquez.

232 “Le Messie est sur terre lorsque ce–lorsque ce groupe d’étoiles se réunit.” Et ils savaient qu’Il était là, ils se sont donc rendus au siège de la religion, et ils se sont mis à circuler, en disant, en parcourant les rues sur leurs chameaux: “Où est-Il? Où est-Il? Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu Son Étoile en Orient. Il est ici, quelque part. Où est-Il? Où est-Il? Où est-Il?” Hum! Quel opprobre!

233 Ils sont allés voir le souverain sacrificateur. Il a dit, peut-être dit: “Qu’est-ce que vous avez, vous autres? Voyons, bande de fanatiques!” Voyez? Quel opprobre jeté sur leur réalisation scientifique! Par la puissance de Dieu, ils avaient vu Son Étoile. Et ils étaient des sages, des hommes intelligents. Ils étaient dans le domaine de la science religieuse. Et ils savaient, lorsque ces étoiles sont arrivées là, que le Messie était présent quelque part. Et ici, à l’endroit où la chose aurait dû être connue, on n’En savait rien.

234 J’imagine les enfants, dans la rue, qui disaient: “Ha! Regardez-moi ça! Ha! C’est une bande de fanatiques. Écoutez-les donc, qui disent: ‘Où est-Il, le Roi des Juifs qui est né?’ Ils ne savent pas que c’est Hérode le roi ici. Ils ne connaissent pas l’évêque Untel.” Oh! la la!

235 “Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu Son Étoile en Orient.”

236 Là on a dit: “Venez par ici, vous, tous les sages d’ici, de la région.” Hum. “Venez par ici. Est-ce que vous voyez une Étoile quelque part?
– Oh, pas du tout, je n’ai rien vu de Cela.”

237 “Vous tous, les astronomes, venez par ici. Est-ce que vous avez vu une Étoile quelque part?
– Non. Non.
– Est-ce que vous avez vu un signe mystérieux, quel qu’il soit?
– Non. Nous ne voyons rien de ça. Non.”

238 Maintenant non plus. C’est pareil. Ils ne voient rien. Ils ne peuvent pas Le voir.
“Euh, faisons venir les–les prédicateurs. Et vous, qu’est-ce que vous en dites?
– Non. Nous, on n’a absolument pas vu d’Étoile.

239 – Bon, et vous autres qui mesurez le temps, ici, sur la muraille? Vous observez les étoiles. Vous connaissez chaque… Vous savez où se trouve chaque conjonction dans les cieux. Vous connaissez chaque étoile. Est-ce que vous avez vu quelque chose?
– Non. Nous, on n’a rien vu du tout.” Et pourtant C’était là.

240 Gloire à Dieu! Oh! la la! Ne pouvez-vous pas Le voir? C’est là, en ce moment même, et ils ne Le voient pas. Cela se passe en leur présence, et ils ne Le voient pas.

241 “Non. Nous n’avons rien vu. Oh, moi, je suis allé là-bas. Je n’ai rien vu.” Bien sûr que non. Vous êtes trop aveugles, c’est tout. Vous n’êtes pas destinés à Le voir. Voyez? Si vous êtes aveugles à ce point, évidemment que vous ne Le verrez pas.

242 C’est seulement pour ceux à qui Dieu Le révèle. Ce sont eux qui Le voient. Ça a toujours été le cas. Certainement.

243 C’est Noé qui voyait la pluie dans le ciel, vous savez, mais les autres, ils ne la voyaient pas. Voyez? Ils ne voyaient pas de pluie là-haut, mais Noé l’a vue.

244 C’est Abraham qui a vu Sara porter le bébé. C’est vrai. Pas les moqueurs qui disaient: “Père de nations, combien d’enfants as-tu maintenant?”

245 Nous pourrions vraiment parcourir toute la Bible – les sages et les prophètes, tout au long! “La foi est une démonstration des choses qu’on ne voit pas.” Ils savent que la Parole a annoncé cela, et voilà, c’est ça: En voici la démonstration. Ils la voient. Bien, remarquez. Oh! la la!
“Nos sages à nous ne voient pas cette Étoile. Il n’y a rien de vrai Là-dedans.”

246 Pourquoi? En fait, quand ils regardaient, alors qu’ils s’étaient joints à un tel groupe, l’Étoile s’est éteinte.

247 C’est la même chose aujourd’hui. C’est ce qui a éteint beaucoup de Lumière, c’est vrai: de se rattacher à un groupe pareil, où on n’Y croit pas du tout, dès le départ. Comment pouvons-nous avoir une–une union d’églises? “Comment pouvons-nous marcher ensemble, si nous ne sommes pas d’accord?” Comment, cette fraternité des…à l’échelle mondiale, là, toutes les–les églises du monde unies? Comment pouvons-nous nous unir, alors que nous sommes à mille lieues les uns des autres? Voyez? Comment le pouvons-nous? Les évangéliques avec nous, et ceux-ci, et ceux-là, et encore ceux-là, tous ensemble, d’être unis quand même, avec toute cette corruption.

248 Dieu prend une Épouse qui est pure, sainte, qui n’est pas adultérée, qui s’en tient à Sa Parole. Très bien.

249 L’opprobre de Jésus, à cause de la Parole. (Et là nous nous arrêterons, dans un instant.) Jésus a subi l’opprobre à cause de la Parole. Regardez, là. Comment pouvait-Il subir un opprobre, alors qu’Il était le Divin, Dieu incarné? Il était Dieu Lui-même fait chair.

250 Bien, vous savez que la Bible le dit. “Nos mains L’ont touché. Les Anges L’ont vu.” Réfléchissez à ça. Je crois que Timothée l’a dit un peu comme cela. Voyez? Disant: “Sans contredit, le mystère de la piété est grand; car Dieu a été manifesté en chair, vu des Anges.”

251 Les Anges étaient présents à Sa naissance. Comme les Anges ont dû regarder et se réjouir, quand ils ont baissé les regards vers la crèche et qu’ils ont vu Dieu incarné. Amen. Ce n’est pas étonnant qu’ils se soient mis à crier: “Aujourd’hui, dans la cité de David, est né le Christ, le Sauveur.” Les Anges se sont réjouis, ils ont battu de leurs grandes ailes, et ils ont chanté sur les collines de Judée: “Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre, et bienveillance envers les hommes.” Ils avaient vu la Parole de Dieu, et ils La suivaient de près, pour La voir se manifester. Et voilà, c’était Cela.

252 Or, Satan ne le croyait pas, vous savez. Il a dit: “Si Tu es…”
L’Ange a dit: “Il l’est.” Voilà la différence.
“Si Tu l’es, fais telle chose. Nous voulons Te voir le faire.”
Mais l’Ange a dit: “Il est là.”

253 Les mages, avec leur science religieuse, ont dit: “Il est là.” Amen.

254 C’est ce qui fait que des archéologues, et tout, aujourd’hui, déterrent ces choses, et il a été prophétisé il y a quelques années que ça allait arriver. Et là, ils déterrent ça. Ils n’ont même pas…

255 Il n’y a rien dans l’histoire qui montre que Ponce Pilate ait existé sur terre. Vous saviez ça? Certains d’entre vous, les écoliers, dites-moi où il est dit, dans l’histoire, que Ponce Pilate a existé. Et les incroyants font des gorges chaudes et se moquent, ils disent: “Il n’y a jamais eu de–d’empereur romain qui se nommait, de–de gouverneur qui se nommait Ponce Pilate.” Mais il y a environ six semaines, ils ont déterré la pierre angulaire: Ponce Pilate, gouverneur. Oh! la la! Quelle absurdité!

256 Ils disaient: “Il n’y a jamais eu de Ramsès dans l’histoire, de Ramsès qui gouvernait l’Égypte.” Mais on a déterré une pierre, l’archéologie, là: Ramsès II. Remarquez.

257 Et ils disaient que ces murailles ne s’étaient jamais écroulées. Des archéologues faisaient des fouilles et, à un moment donné, ils ont fait des fouilles en profondeur à l’endroit où les murailles se sont écroulées, à Jéricho, vous savez, quand les trompettes ont retenti. Ils disaient: “C’était juste un mythe, une chanson que quelqu’un avait récitée, chantée à l’époque.” Eh oui. Voilà ce que disent les moqueurs. “C’était juste un mythe. Ça ne s’est jamais produit, les murailles qui s’écroulent, et Josué qui sonne de la trompette et s’approche des murailles, et qu’elles tombent. Ça ne s’est jamais produit.” Et un éminent archéologue chrétien a poursuivi les fouilles, parce qu’il savait que ça devait être vrai. Il a creusé une trentaine de pieds [une dizaine de mètres] plus bas que les autres. Les murailles étaient là, écroulées sur elles-mêmes, exactement comme la Parole l’a dit.

258 Ils disaient: “Ce n’est pas vrai que David jouait de son instrument, une harpe à cordes, parce que les instruments à cordes n’ont été inventés qu’au quinzième siècle.” Ils disaient: “Ça n’a jamais été vrai.” Des archéologues chrétiens ont fait des fouilles en Égypte. Il y a quatre mille ans, il y avait déjà des instruments à cordes. Amen. Oh! la la!

259 Ils disaient des enfants hébreux qui faisaient des pierres, et des choses comme ça, avec de la paille: “Ça n’a jamais existé.” Des archéologues ont fait des fouilles là-bas. Qu’est-ce qu’ils ont trouvé? C’est scientifique. Qu’est-ce qu’ils ont trouvé? Les murailles de la ville que les Hébreux avaient construite: les pierres du premier rang, il y avait des pailles de grande longueur dedans; celles du deuxième rang, il y avait des petits bouts de chaume dedans; et celles du troisième rang ne contenaient pas de paille du tout. Oh! la la! Les nations se disloquent, Israël se réveille,
Signes que les prophètes ont prédits.

260 Oui monsieur. Tout cela, c’est maintenant arrivé jusqu’à nous, frères et sœurs. Pourquoi donc? Au cours des dernières années, le monde du cinéma a fait des choses qui n’avaient jamais été faites auparavant. L’histoire des Dix Commandements, par Cecil DeMille, est passée à l’écran. La vie de Jésus-Christ, dans Ben Hur, est passée à l’écran. Le grand pêcheur – la conversion de Pierre – est passé à l’écran. Et toutes ces productions religieuses que le cinéma a refusées, et salies, et rejetées. Mais malgré cela, Dieu, par Sa grande puissance, en fait la diffusion sur une grande échelle.

261 Maintenant même, ces choses qui ont été dites il y a quelques années – moi, un humble petit serviteur de Dieu. J’ai dit: “Il y a eu une Lumière qui était là, qui m’a parlé, et qui m’a annoncé les choses que je dois faire.” Les gens ont ricané, en disant: “Il n’a pas toute sa tête.” En voilà la photo. La science l’a prise. Elle est là. C’est la Vérité.
Je disais: “Cette femme est recouverte de l’ombre de la mort.”

262 Ils ont dit: “Une ombre; voyons, c’est absurde. C’est une invention de son esprit.”

263 C’est sur photo. Dieu fera crier les pierres. Il peut faire ce qu’Il veut.

264 Jésus: l’opprobre, à cause de la Parole. Le Divin Fils de Dieu se tenait là, Emmanuel – quel opprobre! Il s’est laissé lier par les pécheurs incroyants, cracher au visage, arracher des poignées de barbe et mettre au défi de réagir. L’opprobre à cause de la Parole! Oui. Quoi? Afin d’accomplir la Parole du Père. Oh! Mais, rappelez-vous: Il doit subir l’opprobre de la mort. Dieu, Lui qui ne peut mourir, pourtant Il était le seul qui pouvait mourir pour sauver un pécheur. Aucun autre, aucune deuxième personne, aucune troisième personne n’aurait pu le faire. Dieu Lui-même était le seul à pouvoir le faire. Et Il était là.

265 Il disait: “Personne n’est monté en haut, si ce n’est Celui qui est descendu d’en haut, le Fils de l’homme, qui est maintenant dans le Ciel.” Amen.

266 Ils ont dit: “Nos pères ont mangé la manne dans le désert.”
“Et ils sont morts”, Il a dit.
“Et Tu dis que Tu es le Pain de Vie?”

267 Il a dit: “Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. Je suis le Pain de Vie. Je suis le JE SUIS.”

268 Ils ont dit: “Tu n’as même pas cinquante ans, et Tu dis que Tu as ‘vu Abraham’?”

269 Il a dit: “Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.” Et ensuite Il s’est laissé lier par les pécheurs, lier par l’église dénominationnelle.

270 Vous vous rappelez, au dernier jour, cette riche église de Laodicée, ils L’ont même mis à la porte de l’église. Vous voyez où c’en est maintenant? Vous voyez pourquoi je crie contre ce système? [L’assemblée dit: “Amen.”–N.D.É.]

271 Pourquoi est-ce que Jésus s’est laissé lier par les pécheurs? C’était pour accomplir la Parole, pour amener un opprobre: que Dieu meure. Il fallait que Dieu meure. Il fallait qu’Il soit en chair, pour pouvoir mourir. Et Jésus savait cela. Il le leur a dit. Il a dit: “Détruisez ce temple, et Je le relèverai.” Pas que quelqu’un d’autre allait le relever. “Je le relèverai. En trois jours, Je le rétablirai. Allez-y, détruisez-le; Je le relèverai. Comme Jonas a été trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, il faut de même que le Fils de l’homme soit dans le sein de la terre.” Et ils n’ont même pas compris. Voyez? Un opprobre à cause de la Parole, c’est ce qu’Il–qu’Il était.

272 Alors, objet de moqueries jusqu’à la mort, pour ressusciter pour la Vie Éternelle. Il devait d’abord être mis à mort, pour pouvoir ressusciter à la Vie Éternelle et amener tous les autres êtres humains (de la même forme que Lui) à la Vie Éternelle, tous ceux qui L’accepteraient. Voyez? Il s’est fait humain, Il s’est fait parent Rédempteur, et Il a dû subir l’opprobre de toutes les moqueries et les railleries, tout comme Ses compagnons de service l’avaient fait avant Lui. Comme Moïse, comme Noé, comme tous les autres ont subi ces moqueries, Lui aussi a dû subir ces moqueries. Pourquoi? Il avait la Parole, et Il était la Parole. C’est pour cela qu’ils se sont moqués de Lui, se sont moqués plus que jamais. Il était Divin, et Il était la Parole Elle-même. Alléluia! C’est ce qui faisait de Lui ce qu’Il était.

273 Jésus a dit: “Hypocrites!” Il a dit: “Vous bâtissez les tombeaux des prophètes, et c’est vous qui les y avez mis. Ils sont venus avec la Parole de Dieu, et vous ne les avez pas crus. Vous êtes coupables, pour chacun d’eux.”

274 À Phoenix, si Dieu le veut, – un mot m’a frappé l’autre jour, – je vais accuser cette génération d’avoir tué Jésus-Christ, de L’avoir crucifié de nouveau. Je vais porter une accusation devant cette association de prédicateurs, si Dieu le veut. Ils sont coupables du Sang de Jésus-Christ, ils L’ont crucifié de nouveau. Oui monsieur. Tous les accuser!

275 Pierre les a accusés, au Jour de la Pentecôte. Il a dit: “Par la main des impies vous avez crucifié le Prince de la Vie, que Dieu a ressuscité. Et nous en sommes témoins.” Il a porté une accusation.

276 Je vais prendre la Parole de Dieu pour accuser toutes les dénominations qui existent, et tous les hommes sur la face de la terre qui sont coupables du Sang de Jésus-Christ. Que Dieu m’aide à être Son avocat ce jour-là. Amen. Oui.

277 Oh, les moqueurs se moquaient de Lui. Ils Lui ont infligé l’opprobre. Il a tenu ferme. Amen. Oh! Remarquez bien ce qu’Il a fait. Il était le Fils de Dieu, Il a souffert la mort pour mettre à mort le péché. Il fallait qu’Il le fasse. Le… C’était le seul moyen de le mettre à mort. Et Il l’a fait, Il a subi cela, comme tous les autres l’avaient subi.

278 C’est que tous les autres, avant, avaient la Parole de Dieu en miniature. En effet, Jésus l’a dit. “La–la Parole du Seigneur est venue aux prophètes. Et lequel d’entre eux”, Il a dit, “vos pères, votre religion organisée, n’ont-ils pas lapidé et mis à mort? Lequel d’entre eux a reçu les prophètes? Ensuite, une fois qu’ils sont partis, vous bâtissez leur tombeau.” Il a dit: “C’est vous qui êtes coupables de les y avoir mis.”

279 Ensuite, Il leur a donné la parabole de la vigne donnée en fermage, et des serviteurs qui étaient venus. Ils les ont maltraités, et finalement ils ont dit: “Maintenant tuons le fils, puisqu’il est l’héritier.” Voyez? Oh, ils se sont mis en colère quand ils ont vu cela. Voyez?

280 Mais Il a dû subir l’opprobre. Et Le voici qui s’est laissé lier, conduire à la mort, pour être mis à mort, afin de ramener la Vie Éternelle. Gloire à Dieu! Oh, comme je L’aime! Ramener la Vie Éternelle et ressusciter tous les fils de Dieu qui, au long des âges, se sont tenus à la Parole et ont supporté l’opprobre. C’est vrai.

281 S’Il n’était pas venu, Noé n’aurait pas pu ressusciter. S’Il n’était pas venu, Élie ne pourrait pas revenir. S’Il n’était pas venu, Noé ne serait jamais ressuscité, s’Il n’avait pas pu…s’Il n’était pas venu. C’est qu’Il était cet Agneau prédestiné, qui est venu prendre l’opprobre sur Lui, et qui a subi la mort pour chaque Parole de Dieu qui avait été prononcée et que ces justes avaient défendue. Il fallait qu’Il le soit. Personne d’autre n’aurait pu le faire. Dieu Lui-même – et c’est Lui qui est venu prendre la place, pour pouvoir racheter et donner la Vie Éternelle à chaque fils de Dieu qui avait défendu cette même Parole et qui avait accepté de subir l’opprobre. Chaque fils de Dieu, au cours des âges, qui avait accepté de subir l’opprobre: personne ne pouvait le racheter, mais par la foi, il a vu venir ce Rédempteur.

282 Job L’a vu. Job était là, à l’époque, et on disait: “Oh, tu pèches en secret. Dieu te malmène, parce que tu pèches en secret, voilà tout.”

283 Il a dit: “Je sais que mon Rédempteur est vivant. Dans les derniers jours, Il se lèvera sur la terre. Quand les vers de ma peau détruiraient ce corps, de ma chair je verrai Dieu.”

284 Sa femme a dit: “Pourquoi ne pas Le maudire, et mourir?” Elle a dit: “Tu as l’air d’une misérable loque.”

285 Il lui a dit: “Tu parles comme une femme insensée.” Amen. Le voilà. “Je sais qu’Il est vivant, et qu’Il se lèvera au dernier Jour.”

286 Si Jésus n’était pas venu, Job n’aurait pas pu être racheté; en effet, c’était Lui l’Agneau immolé depuis la fondation du monde. Il connaissait Sa place. Il connaissait Sa position.

287 C’est pour ça, Marie a reconnu cette position, ce jour-là, quand elle est sortie, là. Il a dit… “Si je…Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.”
Il a dit: “Ton frère ressuscitera.”
Elle a dit: “Oui, Seigneur, à la résurrection. C’était un bon garçon.”
Jésus a dit: “Mais JE SUIS cette résurrection. Crois-tu cela?”

288 Elle a dit: “Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.”
Il a dit: “Où l’avez-vous enterré?” Oh! Voilà. Hmm.

289 Elle a reconnu ce qu’il en était. Pour cette petite femme-là, ce n’était pas que des mots. Sept démons avaient été chassés d’elle. Elle connaissait la puissance de Dieu, qui avait pu enlever d’elle tout l’orgueil et le stress, qui avait pu enlever d’elle cet esprit égoïste de collégienne, et faire d’elle une nouvelle créature. Il avait chassé d’elle sept démons. Ces femmes savaient ce qu’Il était, elles qui L’avaient accepté.

290 Elles savaient ce qu’Il pouvait faire pour elles. Et aujourd’hui encore, elles le savent. Il suffit de l’accepter. C’est ce qu’il reste à faire.

291 Le voilà. Elle a dit cela. Et Il…Vous savez ce qui s’est passé. Oh!

292 Tous ceux qui allaient souffrir pour cette même Parole, Il est mort pour cette cause. Il était le Seul qui pouvait mourir pour cela, car Il était la Parole. Il était la Parole, la Parole manifestée. Tous les autres avaient eu de petites immersions partielles, mais là, en Lui, c’était la plénitude de Dieu. Il est le même aujourd’hui. Hébreux 13.8: “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.” Écoutez.

293 Je termine, là, vraiment. Je vais terminer, il le faut. J’ai dépassé l’heure de beaucoup.

294 Il n’a jamais écrit un seul mot. L’a-t-Il fait? [L’assemblée dit: “Non.”–N.D.É.] Jamais Il n’a écrit un seul mot. Pourquoi? Il était la Parole. Qu’est-ce qu’Il était? Les Paroles qui avaient déjà été écrites, Il était la manifestation de cette Parole. Gloire! Fiou! Là, je me sens bien. Il était la Parole. Il n’avait pas besoin d’écrire quoi que ce soit. Il était la Parole, la Parole écrite manifestée. Gloire à Dieu! Il est le même aujourd’hui – hier, aujourd’hui et éternellement. Il est la Parole, la Parole manifestée.
Vous dites: “C’est vrai, Frère Branham?”

295 Regardez Jéhovah, là, qui soufflait pour assécher un passage entre les eaux, là-bas, pour faire un chemin, afin qu’Israël puisse traverser à pied.

296 Regardez Jéhovah en chair, qui dit: “Silence! tais-toi!” Quand les vagues battaient les côtes, dans la tempête, et que le diable agitait tout, comme ça, Il a dit: “Silence! tais-toi!” Et ils Lui ont obéi; les vents, et tout. Il était Jéhovah. Amen.

297 Ce Jéhovah qui pouvait se tenir là, à l’époque, et faire tomber quelques gouttes de rosée, là-bas, qui tombaient à terre et devenaient du pain pour nourrir un peuple.

298 Il s’est tenu là, Il a pris cinq poissons, ou, cinq petits pains et deux poissons, et Il a nourri cinq mille personnes.

299 Il était la Parole. Amen. Amen. Il est la Parole, et Il sera toujours la Parole. Et, moi et ma maison, nous servirons la Parole. Je désire Le voir, Le voir face à face,
Et chanter pour toujours Sa divine grâce;
Dans les rues pavées d’or élever ma voix;
Mes soucis sont finis, je suis à l’abri.

300 Oh! la la! Oui. Portez l’opprobre de la Parole. Il y a un opprobre qui accompagne la Parole. Tenez-vous-en strictement à la Parole et portez l’opprobre.
Prions.

301 Jésus, comme l’autre soir, Seigneur, j’ai crié: “Ô Jésus, que veux-Tu que je fasse? Qu’est-ce que je peux faire, Seigneur? En voyant ces choses, et en sachant dans quelle heure nous vivons, qu’est-ce que je peux faire, Seigneur? Qu’est-ce que je peux faire?”

302 Je prie pour ma petite église, ici, Seigneur. Je repense aux petits oiseaux de la vision: les choses qui se sont passées; et les autres oiseaux, là, c’était de grandes choses. Mais de ceux-là, il y en avait trois rangs, Seigneur. Mais, quand ces Anges sont arrivés, il ne restait plus d’oiseaux. Ces petits messagers étaient merveilleux, Seigneur, mais je crois qu’il y a quelque chose qui est sur le point d’arriver. Qu’il en soit ainsi, Seigneur. Façonne-nous et forme-nous comme Tu le veux. Nous sommes–nous sommes l’argile. Tu es le Potier.

303 En cette veille de Noël, Seigneur, nous sommes reconnaissants pour le don de Dieu, pour ce que Dieu nous a donné. Bien que ce soit – nous le croyons dans notre cœur – une superstition païenne, ce jour de Noël qu’ils ont essayé d’arranger et dont ils ont fait une sorte de–de messe, une messe pour Christ, mais nous, nous ne venons pas dans la veine du Père Noël, des sapins de Noël et–et des décorations. Mais nous venons au Nom du Seigneur Jésus, pour adorer le Dieu du Ciel qui s’est incarné, qui est devenu chair comme nous, et qui a habité parmi nous pour nous racheter; et qui a subi l’opprobre du Nom, qui a subi l’opprobre de la croix, laissé une institution mondaine mettre à mort Emmanuel, afin qu’Il puisse nous conduire à la Vie Éternelle.

304 Qui sommes-nous, Seigneur? Qui sommes-nous pour fuir l’opprobre? Ô Dieu, fais de nous de vaillants soldats. Je Te remets ces paroles, Père. Elles étaient peut-être un peu décousues; car je suis fatigué et las. Mais, Père, récompense ces gens pour être restés assis à écouter. Et que la puissance qui a ressuscité notre Seigneur, et qui nous L’a présenté comme Sauveur en ces derniers jours, qu’elle fasse que chaque esprit ici, Seigneur, perçoive vivement combien la Venue du Seigneur Jésus est proche. Qu’il en soit ainsi, Père.

305 Guéris les malades et les affligés qui sont parmi nous. Panse les cœurs brisés. Seigneur, nous sommes… Nous avons traversé tellement de choses, mon cœur porte tellement de cicatrices, Seigneur, des durs combats. Je suis un vieux combattant. Aide-moi, Seigneur. J’ai besoin de Ton aide. Peut-être que tout cela, cet entraînement, a rempli un but. Je l’espère, Seigneur. Aide-moi, ô Dieu. Et aide cette église. Bénis-nous tous.

306 Bénis les petits enfants. Je pense à tous ceux, aujourd’hui, les petits, les pauvres petits qui ne recevront rien, là-bas. Je–je Te prie de les accompagner et de les aider. Donne-leur la Vie Éternelle, Seigneur. Voilà le grand…voilà le Cadeau de Noël que nous voulons, c’est la Vie de Jésus-Christ, qu’elle règne et gouverne dans mon cœur. C’est ce que je veux, Seigneur.

307 Bénis-nous tous, maintenant. Nous Te remettons ces Paroles. Qu’elles tombent là où elles tomberont, Seigneur. Partout où il y aura un cœur ouvert, qu’elles apportent un glorieux moment de salut, au Nom de Jésus. Amen.

308 Tous ceux qui… Combien L’aiment? [L’assemblée dit: “Amen.”–N.D.É.] Pourquoi tant nous presser, d’ailleurs? Oh, je L’aime! Je L’aime. “Seigneur, que veux-Tu que je fasse?”

309 N’oubliez pas les réunions de ce soir. Vous savez ce que Noël signifie, maintenant? Oh, mon cadeau de Noël, c’est Ceci. C’est Ceci: cette Parole. Seigneur, si seulement je peux être, si seulement je peux m’enlever du chemin, pour que Ta Parole puisse exprimer tout Cela, S’exprimer ici, c’est–c’est la chose la plus grandiose que je connaisse.

310 Maintenant, je pense qu’ils ont des choses qu’ils veulent offrir aux enfants. Bien, je remets la réunion à Frère Neville. Que Dieu vous bénisse.
Frère Neville.

1-1 I said to Brother Neville, "Are you sure you haven't got a little bit of the anointing this morning?" I come down to pray for the sick. There was some people gathering in what we... early Sunday morning. What I have to catch there, I just have them come here at the church. And I--I always think it's better to pray for the sick around church. I don't know; I like church, and to come down here where the congregation and the people out here praying.
And there was a little girl back there, the prettiest little girl, why, I think she's setting somewhere out here now, if the people didn't go home. Oh, I see now. And that's the prettiest little thing, and she is very sick. And we was listening when the--we heard the message of tongues and interpretation go forward. And we was listening, and we thought we understood that something was said about a little girl. And we were waiting to see if the Lord gave a message what to say in there, but I think the little girl's all right now and is going to be well.

1-3 And so, and there's a lady that had lost her sight also, and we was praying for her; and some man in an ambulance out there, a minister. I don't guess the man would've weighed thirty-five pounds or forty, just--just very, very... And so I come down to pray for them.
And the reason I was kind of hesitant a lot, a filling dropped out of my tooth, and I'm whistling to myself this morning across that place out of my tooth there, in front there. And they tell me now I got to have them ground off, and caps put over them. And so this old age is creeping up; that's the only thing I know. And I had a filling in that one, in kind of half of it, and when I start to speak, you can feel it, the wind kind of push out, you--you know what I mean, out across your lips, and it makes you kind of lisp like.

1-5 We are indeed a privileged people to be alive this morning and to be able to come to church. And on this eve of Christmas, waiting for the celebration that they have, which I--I hope I--I... There's too many kids here this morning, and so I'll just keep still. See? And we adults sometimes we speak things that kids shouldn't even hear, you know.
But I think the church has got a little present here for the little kiddies after while. I was just looking it over back there. Oh, you'll want to stay after Sunday school; just hold on (See?), 'cause I think they've got some presents back there for the little fellows, to give out this morning. And well, now, you little fellows remember, while we're doing this... I want to make this clear. It's not Santa Claus, 'cause that's a story that someday you'll learn that's nothing to it. But it's from Jesus Christ, the Truth of all Truth this is, the Son of God. And we're giving you this little present this morning because it's letting you know that one time God gave the greatest present could ever be give to the human race: His Son. And we have a poor way of expressing it. And there's nothing we can give to compare with that, but just as mortals, one to another, we do that.

2-2 Now, I was going to wait till next Sunday, and I probably will anyhow, upon something that I wanted to say. And something has been--been made known to us up home of a vision, that I must follow it out. As it's kind of a--kind of seemingly would be kind of rough, but we never want to think that what God says is rough. His--His burdens are light.
And being's that next Sunday, God willing, we're going to have a--a service here, that's just before New Years Eve, if the Lord be pleased with us to have this service. And we want to have a morning service, and prayer for the sick, and perhaps a baptismal service. Then I thought, advertise it out to our friends that they could come in. Then we'll have Sunday morning and Sunday night, and then the people want to stay over for New Years, then we have a--going to have watch this time.

2-4 There'll be several ministers here will be speaking New Years night, plumb on till midnight, and--and we invite such ministers to come and speak. The Lord willing, I want to be one of them that's something to say on New Years night.
And then next Sunday, I thought I would bring up a line of things that's being done--that's been done: show how God is dealing with His people, and bring it right up into a climax here at the church.
And many of you are wondering about this income tax affair that we've been going through with; it's settled. And so I want to tell you how that happened also. And I think it would be--to have to tell it over again next Sunday, so I'll just wait till next Sunday, and try to speak to you a little bit this morning out of the Word. See? And next Sunday, I will--will try to, if God willing, to tell you how it all come about, and bring to you each one of the things that the Lord said, and watch it hit just exactly to its spot, just placed exactly to the spot. See? He does not tell anything wrong.

3-1 But now, one thing that I wish to say this morning that I probably won't--will not next Sunday, is concerning something that happened yesterday. I was a little reluctant on coming in this morning, because I really--kind of torn up, so that I--I don't feel much like it; but being that I'm here, well, I'll try the best that I can.

3-2 Night before last I had company, Brother and Sister Sothmann (as we know here, one of the trustees of the church and his wife) came up to visit wife and I. And we were speaking on the oncoming meetings in Phoenix, and around, if it'd be the will of the Lord. And we were up till about ten-thirty, I guess; and I went to bed somewhere around eleven. And sometime in the night, I dreamed a dream. And in this dream, I seen someone that was supposed to be my father: a great huge man. Just representing, figuratively speaking, my father. I seen a woman. Didn't look my mother; but yet, she was supposed to be my mother. And this man that was supposed to be like the father, the husband of this woman, was cruelly mistreating her. Insomuch that he had a great chunk of wood, and he'd hold her up like this and strike her with this chunk of wood, and she would fall out and go down. And then--and then after while she'd get back up again, and he'd walk around and take a notion to strike her again; he'd strike her again. And I was standing off at a distance watching it.

3-3 Finally, I just got fed up on it. And I was way smaller than this man, was supposed to be like my father. So I walked up to him, and put my finger in his face, and I said, "Don't strike her again." And when I did, something begin to happen. My arms begin to pulsate, and I got great big, brawny muscles. I never seen such muscles. And I--I just took the man by the collar and said, "Don't strike her again. And if you do, you'll have to deal with me if you strike her again." And the man got scared of me and left her alone.
I woke up. Well, laying there just in a moment, of course the interpretation of that come. That was, of course, the woman, figuratively speaking is the church, which is kind of the mother. The father is the denomination over her, that dominates over the church like the husband over the wife. And it's these denominations striking that church and don't even let her get on her feet like that. Just every time she tries to get up, or do something, the--the people in there, the denomination strikes her down. And it just means to put some--some faith muscles out here to keep sticking my finger out there and say, "You're dealing with me." You see? 'Cause there's some people in there that belongs to God. And that was all right.

4-1 About--we'd been up about two hours, or three, I guess; and my daughter (one of them) Rebekah, back there, she works at the Methodist Hospital in Louisville. It's oh, that amateur form of nurse training; it's "Candy Stripers" they call them, or something like that. And she was a--she... They called her to come over that morning, and that's what got me up. And it's early, and she with some other little school colleague here (they--they work there together) and was going to take them over to Louisville. They had to be there at ten o'clock. And the wife wondered why she couldn't get in the bedroom. I had it locked.

4-2 Now, I have had many things to happen in my life, but I never had anything like that. I went into a trance. I don't know the interpretation. I've never had anything like it in my life. But before me, it seemingly that I realized that it was a vision, and I was in the vision. But I was talking to my son, Joseph which he was not in the room at the time. But somehow, just as it struck me, I was talking to Joseph.
And I--I looked up, and kind of in the shape of a pyramid, standing before me, was little small birds, something like a half-inch long. And they were up at the top on the limbs, they was a--may say three or four, and the next--next limb had maybe eight or ten, and down at the bottom had fifteen or twenty. They were little warriors, because their feathers was beaten; and looked like they were trying to talk to me, saying something.

4-4 And I was in the west, seemingly around Tucson, Arizona. And the birds were looking east, and I was listening close to--trying to say... Looked like they were trying to tell me something. And they had--little feathers was all been beat up and things. They were pretty well battle-scarred.
Then all of a sudden, one bird begin to take the other one's place--jumping like that--and they, the little birds, swiftly left, flying eastward. And when they did, from that came a larger bird, more like doves, with the pointed wings; and--and--and they come in a swarm and swiftly--more swift than what the little birds was--flew eastward.

4-6 And I, still in my--the two consciouses together, I knowed I was standing here, and I knowed I was somewhere else. See? And I thought, "Now, this is vision, and I must learn what this means." And no more than the second group of birds come by, I looked to the west; and it looked like in a form of a pyramid, like two on each side with one in the top, came five of the mightiest Angels I ever seen in my life. Such a terrific speed I never seen... Their heads back and their pointed wings just sailing quickly.
And the power of Almighty God struck me in such a way till it lifted me plumb from the ground, all the way from the ground up. I could hear Joseph still speaking. And sound like the sound barrier breaking, that--that a great roar went off way in the distance to the south.
And when I was lifted up, and there was such a terrific speed of the Angels. And I--I can just see them right now (See?), as--as they were coming in that shape like that, just sweeping right into me. Now, not dreaming now. No, I was right there wide awake as I am now. See?

5-3 But here they come. And they were so terrifically fast, till I thought when it lifted up... I heard that explosion like, or like a blast that went out, like a sound barrier; and when it did, I thought, "Well, this must mean that I'm fixing to be killed (See?) in a blast of some sort." And--and I--and while I thought on those things, I thought, "No, it wouldn't be that, because if it was a blast, it would've got Joseph too, because there he is still talking, thinking that I'm there. I can hear him. It wasn't that."
This is all still in the vision. It wasn't... See, it's in the vision. And then all at once, as I realized that I had been... They were around me. I couldn't see them, but I'd been brought into this constellation of a pyramid of them, inside this constellation of--of Angels, of five. And I thought, "Now, a death angel would be one, five would be grace." I was thinking that; I thought, "Oh, it's the--it's coming with my message. That's my second climax. They're coming to bring me the message from the Lord." And I screamed out with all of my might, as loud as I could, "Oh Jesus, what would You have me do?" And when I did, it just--just went away from me.

5-5 I--I--I haven't felt just right since. See? I was... All day yesterday, I had to stay in the house, almost feeling beside myself, I can't make my mind get clear, and the glory and power of the Lord... I was numb all over when it left me. I was trying to rub my hands, and I thought, "I can't catch my breath." And I walked around and--through the floor, and back and forth. And I thought, "What does it mean, Lord? What does it mean?"
And then I stopped and I said, "Lord God, Your servant is... I--I just cannot understand why. What was that? Make it known, Lord."

6-1 Well, when the... I can't tell you about when I say, "Power of the Lord." There's no way to explain that. It isn't what you feel here in the blessings. That's the blessings of the Lord. This is a sacred... Oh, my. It's--it's beyond anything that a mortal could even imagine. See?
And it--and it was bothering me real bad. It don't--it isn't a blessing; it's a bother; you're troubled. See? If it is... If you could only... If I could only get some way that I could tell the people what that was, or what--what the feeling of it was. It--it isn't just like setting here want to rejoice. It's--it's something that every nerve in you just... It's beyond scare; it's beyond frightened; it's a holy reverence of... How... There's no way to explain it. Even to my entire back, up and down my spine, through my fingers, up and down, on my feet and toes, my whole being was just numbed. See, just like you was--you'd--it way out of the world somewhere. And--and it was leaving me gradually. And I said to the--to the Lord, "Will You just let me know, O God."
I guess the closest that ever come of being that strong again was when I was in Zurich, Switzerland, that time when He showed me that German Eagle watching that English horse rider come down through Africa. And He said, "All have sinned and come short of the glory."

6-4 And I was crying out to the Lord to help me. And I--I wanted Him to give me the interpretation, because I wondered if it meant--if it meant that I was going to go away--I was going to be killed. And if it was, I wasn't going to say anything to the family about it. If it's my time to go home, I'll just go home; that's all of it. But if--if that's what it meant, I didn't want to tell the family, didn't want them to know nothing about it; just let done, and that--that would be all of it.
And I said, "Lord, help me. I don't want to tell the family if--if You're... If it's my call home, why, I--I'll be going," You see? I said--and I... You know... You say, "Why didn't you think about what you said in the vision, what the vision said?" But you can't think of things like that then. You... I can't anyhow.

6-6 And I thought... I was just troubled, upset. You don't know how to think; you can't think. And I said, "Heavenly Father, if that meant that--that an explosion was going to take me, why, let me know now, so I won't say anything about it. Let Your glory and power come upon me again, and lift me up again, or let Your glory come upon me, and then I'll--I'll know then that it meant--it meant that; and so I can keep it to myself." And nothing happened. So then I said, "Then, Lord, if it meant that You're going to send Your messengers for my commission, then let Thy power come again." It like to took me out of the room.
So I--I've come to myself with my Bible in my hand...?... (See?), and asking God to help me; and when I did, He--He showed me something in the Scripture, pertained right to it, right there. And I thought, "Could that actually be that... How'd I do that?" And oh, I--I can't explain these things, folks. It's beyond anything I know about. See?

7-2 My wife's a very odd woman, one of the best in the world. But a little while, I didn't say nothing about it; I went ahead. She knew there was something happened. So when I told her, she said, "You know, Bill, I see and hear you in many of those things." Said, "You know I believe you with all my heart." She said--she said, "But that really had something."
It just seem to just shakes me, that blasting, and that swift coming of those Angels, like that, five of them together in a constellation of them, like--kind of like a... Like I had that pyramid drawn here. It looked to be... First it looked like, kind of a... In the distance it looked kind of like that color of doves. And they were in a--in a--coming from this way. And they were looked like one, two, three, four, and then one right at the top, making five. And they come with such a speed. There is nothing, no jets, no nothing else can compare with that.

7-4 And I can just see them with their heads kind of turned sideways and those wings tipped back, full armored, and here they come. Whew [Brother Branham makes a whistling sound for description--Ed.], like that. Just come right down and took me right into this pyramid of a constellation of them. I seen I was off--up off the ground. I thought maybe... I heard way in a distance that roar. "Whoom," like a plane when it crosses the sound barrier. You've heard it happen like that, just like a distant roar.
I thought, "This may mean now, when this vision leaves me that I'm going to be killed by an explosion or something." I thought, "Here I am; I'm lifted up. I'm... See, they're here somewhere. I'm--I'm in this--this pyramid of Angels here, but I--I don't know. Maybe the Lord is coming to take me home."
Then I heard Joseph down there saying, "Daddy?"
I thought, "No, if that's it, it would took him too."
Then something said, "You..." Remember, that I'm waiting, watching for a message that I've always looked forward to--something.

7-7 In the vision the other day, you know as I had here not long ago telling me about what was going to happen, how I was preaching in--from the sun into this place, and--and then He said, "Now, remember, the second climax is yet to come."
And I thought, "There'll be a message." You remember my message here? The opening of that capstone, where those seven voices and Seals was not even wrote in the Word of God. Remember? And It took me into that pyramid. And Junie Jackson (if you are here), that dream that you give me not long ago, I won't tell it this morning, you were so... God was so perfectly... Excuse me for not giving you the interpretation, 'cause I seen something moving.
J. T., same thing. See? And I--I--I knew that. And Sister Collins, exactly the same. See? And six of those leading right straight to the same thing, and then the vision that I told you all years ago, it happened just the other day (See?), that would happen. And there it is laying right everything laying right out there. It's just something moving. I don't know what it is. God help me, is my prayer. Let us pray.

8-2 Heavenly Father, we are--we are just mortals. And here we stand this morning. And Lord, I--You sent me to lead this little flock and this church, and I'm at my end; I don't know which way, what, where, is coming; but I know this one thing: that You said You'd make everything work together for good to them that loves You and are called according to Your purpose.
I pray Thee, God, that Thy great hand of mercy will be upon us. We truly know that Thou art God. And we know that Thou art not One who lived in a days gone by, but You live yet today. You always was God. You always will be God. You were God before time, and You'll be God when there is no more time. You'll still be God. And we are in Thy hands, Lord. We are just clay, and Thou art the Molder, the Potter. Shape our lives, Lord, in the way that will get the best service to honor Thee. Grant it, Father. We are just in Thy hands.

8-4 We had no way of bringing ourselves here, or we do not know how we shall go out. But, Lord, You give to us life, and You have... We've give our lives back to You, and in so, You have give us in exchange Eternal Life. Our faith breathes that into our very being. And we love Thee for this, because we know that someday we'll see You, and You'll be in Your glory, and we'll look upon Him; and we long to hear those words, "It was well done My good and faithful servant. Enter into the joys of the Lord that's been prepared for you since the foundation of the world."
Until that time, oh, God, when we all meet, lead us. We are Your servants, and we ask forgiveness of our sins.
These mighty visions, Lord, is too much for Your servant. I don't know what to do. I--I just know they come. And I can only say what I seen, and what It was said. And sometimes It scares me, Lord. And I--I wonder what to do. Then I take the Bible, and read in there how Isaiah must have felt that day in the temple when he seen those Angels with wings over their feet. No wonder he cried out, "Woe is me, for mine eyes have seen the glory of the Lord." And it was then the prophet cried out after he'd been cleansed in the temple; when the angel took the tongs and got a coal of fire and laid it upon his lips, after he confessed that he was a man of unclean lips, and living with--among unclean people. Yet he was a prophet. The Angel took the tongs, and put the coal of fire upon his lips, and cleansed him, and said, "Now, go prophesy."

9-2 Lord God... Isaiah cried out, "Here am I, Lord, send me." When He said, "Who will go for us," for that wicked and adulternous generation.
Oh, God, let it repeat again. Let it come again, O Lord. Send the Holy Spirit with cleansing fire. For I confess that I'm of unclean lips and dwell in the--this earth here with unclean people. And we're unclean in Thy sight, Lord, but oh, send the cleansing power, the Holy Spirit. Cleanse us, O Lord. Cleanse Thy servant, Lord. And then speak, Lord. Your servant is listening. I'm longing to hear that Voice. I'm Yours. Use me, Lord, as You see fit, while I lay myself upon Your altar. Let the Holy Spirit cleanse me, Lord, and anoint and send forth, Lord; if You want someone to go; if this is the hour, and this is the time.
I--I don't know, Lord. I--I just know that I seen those Angels. And Thou knowest them things to be exactly the truth. And I pray, Lord, woe is me, so help me.

9-5 Now, bless this people, and we're here today just before the eve of this celebration time of the birth of our Lord. We pray that You'll help us; and this morning Your servant, our Brother Neville, has felt that maybe it would be a time that he should just rest a few moments, and maybe I should speak. And I--I pray that You help me now. There's those here, Lord... All of us are in need of You, so we pray now that You'll bless us as we read Your Word and meditate for a little while. Let Thy Spirit come upon us, Lord. And cleanse us, and set us on fire with the Holy Spirit with the message of God fresh from the altar to shake a dying world before the approach of the great eternal God. For we ask it in Jesus' Name, His dear Son, and our Saviour. Amen.

9-6 Now, I wish to call your attention to some Scripture here and a few notes that I have jotted down. And I believe Doc, or Billy, or one of them told me they wanted to let out a bit early on account of the kiddies. They got some presents for it.
You little fellows that just got out of your Sunday school, you--you just stick around just a little while. What we say from here may be a little deep for you, but you--but you just set still with mama and papa for a few minutes. I want to talk to them.

10-2 Now, over in Psalms, the 89th Psalm, I want to read a verse or two of the 89th Psalm. I'm going to try to read the 50th, 51st, and 52nd verses of Psalms 89.
Now, can you hear all the way in the back all right? If you can, raise up your hands 'cause I... Which is... Is all these mikes alive? Is this one better? Is this one? This one? This one? Right here, these two on this side... All right. [Brother Branham adjusts microphones--Ed.]
Now, I don't know whether they're going to tape this or not. It's just kind of an unexpected event this morning; but don't forget now, have all your friends... And I--I want you to be sure nearly to try to attend next Sunday's meeting. See? They'll soon have the church finished out here, I suppose, and I'll--I'll be back then for this--preach those seven seals, if it be the will of God out of the Scripture here.

10-5 In the Book of the Psalms the 89th chapter, begin with the 50th verse. Listen close to the reading of the Word now.
Remember, Lord, the reproach of thy servants; how I do bear in my bosom the reproach of all the mighty people;
Wherewith thine enemies have reproached, O LORD; wherewith they have reproached the footsteps of thine anointed.
Blessed be the LORD for evermore. Amen, and Amen.
I would like to speak to you for a few moments on... I want you to mark that first, and read that over and over real good. Maybe it'd bear reading again right now. Listen close now. See?
Remember, Lord, the reproach of thy servants; how I do bear in my bosom the reproach of all the mighty people;
Wherewith thine enemies have reproached, O LORD; wherewith they have reproached the footsteps of thine anointed.
Blessed be the LORD for evermore. Amen, and Amen.

11-1 Study it close as David spoke it. I want to use for a text... It's very strange, a Christmas text again, but as I preached last Sunday on a strange text (I forgot what it was now.). It was the... Pardon? The Falling--"The World Falling Apart." Now, I want to use for a text this Sunday, "The Reproach For The Cause Of The Word." Now, let me repeat it again real good: "The--The Reproach For The Cause Of The Word."

11-2 God has a time and a reason for that time to fulfill all His work. God knows just exactly what He's going to do. We don't. We just have to receive It as He gives It to us. But He knows, and there's nothing going to go wrong with what He--He's planned to do. It's all has to come about. There has to be sometimes rugged and hard things to only bring out the real true nature of the object.
You know, rain is born in a jagged, ragged, lightning strowed, thundering skies. And if we didn't have rain, we wouldn't live. But you see what it takes to bring rain? Thunder, lightning, flashing, anger; and out of there comes rain.
A seed must die, rot, corrupt, smell, and go back to the dust of the earth in order to bring forth new life.
It takes the pounding of gold, turned over and over, back and forth, and pounded until all the dross is taken out of it. Not because it shines, 'cause iron pyrite, what is known as fool's gold, shines like real gold; but you put the two together... You set them out to one side, you can hardly tell them apart; but put them together, you can tell it. And the beater always has to beat till he--he sees his own image reflecting in the gold.

11-6 And God sets a time and has a purpose for everything that He does. There's nothing happens just accidentally to those who love the Lord and are called according to His calling. See, we are predestinated. And everything works just right for that; because He cannot lie, and He said that was so, that everything has its time, its season, and it has its way; and God is behind every move. And sometimes you think that everything's going wrong. It's up to us. Those things are put upon us, trials and wonderings; it's testing to see how we will react on a action.

11-7 Some time ago in--up in Vermont, Brother Fred and I went over on the New York side, across the Lake Champlain. And we had got over on the New York side, and I went up in a mountain where that--up on the Hurricane Mountain, where I used to hunt. And there, I remember when I was lost, and how that God would--led me back just by the Holy Spirit alone through a storm that... I'd have died, perished, and so would my wife and Billy down in a little camp miles away. And I was turned around.
And there was just a little snow we pulled through to get into the camp early in the spring. And I was standing there talking to Brother Fred, and the Holy Spirit said, "Go out to yourself," and I moved out into the bush a little place, and He told me, "There's a trap set for you. Be careful now." But He didn't tell me how or what.

12-2 I come back and told Brother Fred, went to the church that night in the auditorium and announced it to the people, and the next night it happened. And then standing there when He told me upon some mockers. He said, "It's in your hands. Do with them; whatever you say will happen right now."
There you are. For somebody irreverent, ungodly, and they were making fun and scoffing at the meeting, a young man and a young woman. And he was trying to--vulgar love make with her in the building, and everybody's attention while I was trying to preach. He'd pull her head back and climb up in her lap, and throw her head back and try to kiss her, and going on like that in the meeting, drawing the attention.
And the Holy Spirit said, "Now, he's--they're in your hands. What will you do with them?" There was a holy hush. Everybody set deathly quiet. And I thought, "O God, what must I do?"
Then I remembered if it happened in the warning of the Holy Spirit two days before. I said, "I forgive you."
Now, that was what He wanted me to say. See, because after all, I--I've been guilty, maybe not of that, but I--I--guilty. And guilty of the least is of the whole. So I said, "I forgive you." And there's witnesses setting here now was there then. Then the Holy Spirit fell through.

12-7 Now, you see, I believe that all these things had a meaning. What would you do with the power? How would you... See, the reaction of an action, something that is come as an act, then how do you react to that action? Do you understand what I mean? What would you do? And maybe all of this has worked up to where we're at now. I don't know. I--I just can't say.
But there's always been some way... And remember, that the reproach of--of the Word has... The Word has always bore a reproach. All through the ages, God's anointed Word has always been reproached, and that's the reason it's so hard for people who doesn't understand would know how to accept that reproach.

13-1 Can you remember the disciples returning back and rejoicing because they figured that they were counted worthy to stand the reproach of His Name? He said, "All that live godly in Christ shall bear a persecution," the reproach of the Word.
You always have to stand this reproach in order to give your testing to see. Every man that comes to Christ must first be child-trained for the--for the purpose that God has ordained you for. And remember, if you could just keep quiet... Remember, if He's called you for this, there's nothing that can keep it from happening. There's not enough devils in torment but what God's Word will be made manifest. You're born for a purpose. And nobody can take your place. You might have impersonators and everything else, but they'll never take your place. That's right. God's Word will triumph. It cannot fail.
There's where every Christian ought to stand, knowing that--that... And trials will come up and seem every way to you. But remember, God has a purpose, and it all will work right.

13-4 Now, let's just call back a few of the events of God's Word being fulfilled, and those who packed the Word in their age.
I--I felt in the Spirit, not long ago, that someone was criticizing (It might've been in the tape-land.) of always referring so much--go back and pick up Bible characters on what I'm saying. Well, I do that for a purpose. The Bible said these things are written that we might look at them. And that's the only way, without an education, the only way I can do is refer back and say, "You see where this stand, what had happened by it; where this one taken place," See? And then you just place yourself in there.

13-6 Like I was preaching not long ago on the little boy out on the ship, you know, and--and the old captain was dying; he was sick. And he asked if there wasn't a Bible on board. And they caught the little boy that had the Bible, and he come and read Isaiah 53:5. "He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity." and he said, "Let the--let me tell you, Captain, how that my mother used to read it." Said, "Here's the way she wrote it. 'He was wounded for Willy Pruitt's iniquity; and He was chastised for Willy Pruitt, and all these things that He was done was for Willy Pruitt." (That was his name.)
The old captain said, "I like that. Could you read my name in it?"
He said, "I'll try." And he said, "He was wounded for John Quartz' transgressions. He was bruised for John Quartz' iniquity, and with His stripes John Quartz was healed."
He said, "I see it." And the Lord healed him.
See, read your name in it. He was wounded for William Branham's transgressions. He was bruised for William Branham's iniquity. He did that for me and He did that for you. Read your name into it.

14-2 Oh, that's the way I like to bring the Scriptures to my--my people, is what He did for somebody else that obeyed Him; what He did to somebody else that was true to the cause; and what He did to somebody else that was untrue for the cause, then you read your name in it. If you'd have been there, what stand would you have took? And remember, you've got the privilege today to take the same kind of stand.

14-3 When Noah, on the reproach of the Word that God spoke to him... Noah, there was a reproach. Noah lived in a scientific age, where there was a scientific achievement that they were able to manufacture that were beyond anything that we've manufactured today. They were brighter, more intelligent. Their science was far advanced to ours. And just remember, he had to stand the reproach of the Word that he preached a hundred and twenty years in the face of scoffers. Their great scientific ways proved to them that there was no rain in the skies. But yet, Noah had heard the Word of the Lord, and It was contrary to their conception of it. So before his life could be saved, he must stand in the face and bear the reproach that these scoffers reproached him by.

14-4 Oh, there's no doubt they must have felt sorry for the poor old preacher. They didn't have him put away or anything, because maybe there wasn't many houses of that type in that day. He was harmless. He wasn't going to hurt nobody, so they just let him alone. "Go ahead, you old fanatic, up there on the side of that hill, building a ship way out here where there's no water. And, oh, the poor old fellow." But they was saying, "Where are you going to get your water to float your boat, Noah?"
"It's coming down out of the skies."
"Nonsense, we can shoot the moon and the stars with radar," or whatever they had. "There's no rain up there."
But he said, "God said He was going to put some up there."
"How's He going to do it?"
"That's His business. Only thing I'm supposed to do is warn you to get out of here."
Just about the same now. "Where's the fire coming from?" Brother, it's a little plainer today than it was for Noah's time. We already see where it's at, just ready to strike off, that's all. Science has already... There's no excuse this time at all, 'cause science has already found it. Yes, sir.

15-1 So now we find out that it was quite a thing. So they felt sorry for the poor old preacher, and just let him go. It was a strange thing, maybe to them people, to think that a man that was supposed to be intelligent, and would believe that God, the Creator of heavens and earth would do something, or say something that He was going to do which was contrary of their way of thinking. What they had... Maybe you didn't get it.
Look. But they thought that they could prove every natural thing by their science. If that isn't the kind of a world we're living in today: an intellectual, educational world full of science. And anything if they could prove that was wrong... God's... No God could ever speak anything that would--could be scientifically proven that it wasn't there.

15-2 Now, they have the same idea today. If your doctor says that you have cancer, you got to die, and the science proves that you got cancer, and it's in an advanced stage; it's silly to think anything different, because you're going to die. That's all. Science says you're going to die. They've examined you, and that's all of it. You're going to die. And they think it's crazy if you try to say that God promised to do it.
See, like it was, you have to stand that reproach. They say if the doctor says here, "We looked through, and the cancer is advanced. We've opened you up; it's all through your body, through your heart, through your lungs, through your liver, all over. It's impossible."
So you see, when you say, "But... he's going to live anyhow."
They say, "Well, poor fellow. Just let him alone."

15-4 I remember the night, Bill Hall, Brother Hall down at the Milltown church. Many of you remember the case. And when he--they called me out. My wife, my mother-in-law, and I went out here. He married a girl that was a sister, I believe, to George Culp, was the mayor of the city, or the judge here. His... That was his brother-in-law. They brought him up here to die. The doctor in Milltown, the doctor in New Albany, diagnosed his case as cancer of the liver. So I went down to see Mrs. Hall, and he'd took jaundice, and he was yellow all over. And I said, "Well, I suppose he's going to die." And I said...
She said, "Brother Bill, is there any way that--have... Can you hear from God?"
I said, "I--I don't know, Sister Hall. I can pray." I prayed, and I went back home, and the Lord said nothing to me. Then I went back the next day and I prayed again.
And she said, "Do you know any good doctor?"
I said, "Well, our family doctor is Doctor Sam Adair down here in Jeffersonville. He--he--he's--his father was our family doctor. And young Sam and I have always been bosom friends. And--and we went to school about the same time and been raised up together. We always go to him when anything is wrong."
She said, "Wonder if he'd come and look at Bill Hall," her husband.
I said, "I'll ask him."

16-3 All that Sam said to me, he said, "Billy, if the doctor said he had cancer," said, "there's only one thing for me to do. I'll send him to somebody that's smarter than I am, to a specialist. And we'll take the x-rays, and we won't put him to anymore trouble."
We sent to New Albany to get the x-rays from the doctor down there, took him to Louisville and examined him; took him over in a ambulance and brought him back.
Well, of course, he wouldn't say to Mrs. Hall what was his trouble, so he called me. He said, "He's going to die," said, "you're preacher friend." Said, "The specialist in Louisville has just called me and said the diagnosis the doctors give in--down in Milltown and the doctor in New Albany gave the right kind of diagnosis." And he said, "It is cancer of the liver, and it's advanced. And, Billy, we can't cut the man's liver out and him live." Said, "He's going to die. And if he's a preacher, he ought to be ready."

16-6 I said, "That's not the question. But he isn't over about fifty-five years old. So he's still got plenty of life in him yet to preach." And I said, "Well, if he's going to die, that settles it then. Thank you, Doctor Sam."
And I went out and called Mrs. Hall out and I told her. I said, "Mrs. Hall, I--Sam said that the diagnosis of Louisville there was the same as it was in New Albany and Milltown; the man's dying. Brother Hall's going to die. And he's got cancer in the liver and it's advanced."
And so, she started crying. I turned around, prayed with him, and he was so beyond himself then till he didn't know that I was in the room. So I come back. And a lot of people was come at the house in those days. There was nobody else on the field, and it hadn't been contaminated with so much. And the people was coming from everywhere.

17-1 I wanted to rest a little, so I slipped in, got up early, about two-thirty or three o'clock. And Brother Wood hadn't moved up in the lane yet. And I looked out on the runway, and there was no--nobody out there. So I got my old hat, and slipped into the den room, and got my .22 rifle. And I was going to go out and squirrel hunt till it got up to about eight o'clock, and then lay down by a tree somewhere and get me a little sleep. You couldn't get it around home.
I got my hat and started through the room. Hanging on the wall was an apple. And it was the--the most contaminated apple. It was worm-eaten, and it was knotty; it was scabby all over. And I thought, "What did Meda hang that on the wall for?" And I noticed again, and it wasn't on the wall; it was hanging out in the air. I jerked off my old hat, set the rifle in the corner, fell on my knees; I said, "Lord, what would You have Your servant know?"

17-3 Down come another one; down come another one, till about four or five apples (I forget now just which it was.) hung there. Then a great big pretty apple, stripes in it, just a very big healthy looking apple come down and chomped up those other scavenger-looking apples. And He said, "Rise. Stand on your feet." Said, "Go, tell Bill Hall he's not going to die; he's going to live."
Oh, I run just as quick as I could and I said, "Mrs. Hall, I got THUS SAITH THE LORD. He's going to live." And he heard me, and he was trying to cry, and he couldn't speak no more.
I come back and called Sam. And I said, "Sam, our--our brother is going to live."
He said, "How can he live like that?"
I said, "That's not for me to figure out. God said so; that settles it."
He's living today. That's been about ten years ago: just strong and healthy. His wife's died since then; he's remarried again. How's it going to happen to George Wright and many more might we say that we could call. What is it? It's to stand the reproach. They laugh and make fun.

17-7 I remember when 'fore the '37 flood. I stood there with the Fall City Transfer Company, and was telling them about the--there was going to be thirty-two feet of water (I believe it was) on Spring Street. They laughed at me. They said, "Poor Billy, I guess he--that kid..." I was just a boy then. He said, "Billy's a good kid. It's a shame he got all mixed up." I wasn't mixed up. I'd been baptized in, not mixed up. I was just in. And it happened just that way.
Since I've been speaking, I've noticed Sister Hattie Wright, I believe, setting back there. She remembers that case of--of about Bill Hall. How many's here present this morning remembers the case? Oh, my. Sure, there's many of you.

18-2 Now, they feel sorry for us; feel sorry for anybody that tries to hold to the Word in the days of scoffers. But remember, the reproach must come. It's always been that way. They must've thought, as they did then, that God, after anything was scientifically proven, that God wouldn't speak anything that was against science. Well, that's what makes Him God. If He just went according to science, then it wouldn't be no more than what man could achieve. But He's God. He's a--He's a Creator of science. He can do what He wishes to.
They must've thought, "Poor old Noah, why, let the old fellow alone. He's missing all the fun that we're having in these days, so just let him alone." It's about the same now.

18-4 But now, I want to say another thing right here. Now, we look back and admire his faith. But I wonder if we lived in that day, would we have took the same stand that Noah took? Would we be able and willing to stand the reproach that went with the truth? When of all the millions there was in the world then, there was only Noah and his family that stood for that truth. Did you think of it? Just that man and his three sons, and his daughter-in-laws, his wife was the only one that stood for that truth; but they had THUS SAITH THE LORD. We look back and admire him.
Could we think again? (I got to hurry because of these kiddies' presents.) Abraham--the very word "Abraham" means "father of many," make him a father of nations.
Now, Abraham heard the Word of God. Abraham was a prophet, and he heard the Word of God. And we admire Abraham for his holding to God's Word: how that he separated himself from his kinfolks. How hard it was for Abraham; He was brought up there. Come down from Babel and--and was down there in the Land of the Shinar, the--the Chaldeans and the city of Ur, where all of his associates, his people, and those he went to church with, and everything.

18-6 But God said, "Separate yourself." Oh, my. What a horrible thing that was to leave all that he held dear, everything that was real to him, that he held dear; and God told him, "Separate yourself." And give him a very odd thing, "You're going to have a baby by your wife." And he was seventy-five and she was sixty-five. It ceased to be with her as women, as of for order of women was going to bring children, for years.
And here after living with her since she was a girl, because she was his half-sister... And then how could he ever bring that child? And now, could you imagine of Abraham going out amongst his associates and saying, "We're going to have a baby, Sarah and I." Could you imagine that?
Why, the people said, "The poor old fellow. There's something wrong with him."
It's a reproach, but Abraham held on to it. And when he was a hundred years old, he never staggered at the promise of God. He still stood the reproach, sure, holding on to it.

19-4 Did you notice the difference in there? Sarah tried to give Abraham--or give God rather, a little bit of help by herself. She thought, you know, that otherwise than what God promised. "Now, you know, I'm an old woman. But Hagar here is a beautiful woman. Abraham won't mind marrying her too. So you know, that'll--that'll help God. That'll help God, 'cause Hagar, here, she's probably only twenty years old; she's my maid. And you know what I'll do? I'll give her to my husband for a wife," 'cause polygamy was legal. So he said, "I'll give her, and she'll have a baby by my husband; and then I'll take the baby, and that's the one God promised."
You see, we always try to do something, can't wait for Him. We got to do something ourself. Might've been all right. She might've been pretty. It might look very good. But it wasn't according to the Word. God told Abraham the baby was coming by Sarah.
Remember what He said about the little flock, "These signs will follow them that believe. As it was in the days of Noah, so will it be in the coming of the Son of man," wherein a few, even eight souls were saved. Those words can't fail. So let's watch ourselves closely and stay with the Word.

19-7 All right. See, the people are always trying to manufacture something to take the place of God's creative will. You see, as I've often said and maybe before the church before. You know, you could not ask the sheep, "Will you manufacture me some wool?" No, he can't do that. Now, a goat cannot manufacture wool, because his nature won't let him. No matter how much you try to tie sheep wool on a goat, it won't work. The goat cannot manufacture wool. And a sheep does not manufacture hair; but he has wool because he is a sheep. That's what makes him; he don't manufacture.
We're not supposed to manufacture the fruits of the Spirit. We're supposed to bear the fruit of the Spirit. Apple tree don't manufacture apples; it just bears it, because it's an apple tree.
And we try to manufacture anything: "I'll help the cause. I'll study for ten years in the seminary. I'll learn this, that, or the other, and get my Bachelor of Art and my Doctor's degree. I'll help the Lord along." It won't work. God by predestination calls who He will.

20-3 He gives the Kingdom to ever who He desires to give it to. We learned that by Nebuchadnezzar. We learn that by--by Jeremiah, when God told him that by the Word of the Lord that there was going to be a time that Israel was going to be carried away into Babylon for seven years. Here come another prophet up; and he already told them, said, "Now, you'll have prophets will rise up, and you'll have them down there at Babylon that'll rise up, and dreamers and prophets that will prophesy contrary to this; but tell the people not to listen to those people."
Up come a man by the name of--of (one of the prophets) Hananiah. And when Jeremiah was standing there with a yoke over his neck, up come Hananiah, said, "THUS SAITH THE LORD, in two full years all the vessels of the Lord..." Now, fundamentally it seemed very good. "God's going to bless His people; He's going to bring back everything just exactly in two years."
And the Bible said even the prophet Jeremiah said, "Amen. Amen, Hananiah. May the Lord make your words come to pass, but let us think of something, Hananiah. There's been prophets before us, and they've prophesied against great nations of war and so forth. But remember, the prophet is known after his prophecy has been made manifest." See?

20-6 Then Hananiah come up, grabbed the yoke off of Jeremiah's neck, before all the priests in the congregation, maybe a million and a half people, and took that yoke that God had put upon Jeremiah's neck for a sign, and broke it to pieces, and throwed it on his feet, just enthused, and said, "THUS SAITH THE LORD, in two years they'll be back."
Jeremiah just looked at him. It was contrary to the Word, so he just walked away; and God said, "Go back and tell him that I never spoke to him." He was just enthused; He took his own impression. See? He never waited till actually he saw it and knowed it wasn't him, that it was God saying it. He went back all enthused. If...

21-1 We find across the country today. One of our tapes was being played recently in a home, where a group of ministers was right then convinced and was coming to be baptized into the Name of Jesus Christ. And a man rose up in the room and spoke in tongues and said, "THUS SAITH THE LORD: hold on to what you got. Just keep on going on; I'll bless you."
And they said, "Well, if the Lord said that, I guess that's it."
You see, it isn't examined with the Word. It's got to take the Word first. There you are. It was contrary to the Word.
Here come Jeremiah back, that anointed prophet. God told him, said, "I know Hananiah broke that wooden yoke over your neck that I put, but I'm going to make one out of iron." He said, "And all of these nations that I--has went down to serve Nebuchadnezzar, my servant..." And he was a heathen (See?), and Israel keeping all their sacrifices. But they wasn't... See, God made a promise that He'd bless, but them blessings are under conditions. And you've got to meet those conditions to make that work.

21-4 Setting awhile ago with a little sweet girl here, first I combed that family through to see if there was anything wrong. God will heal, but it's under conditions. See? Only thing that I found was the mother, afraid it was wrong to take medicine, and I said, "Don't you think that, sister; get that out of your mind. Go right ahead with the child. Give it the medicine. God will make that known." See?
Now, but the thing is fine. Know. And then if it's THUS SAITH THE LORD, okay.

21-5 Now, we find out here that these people, they was trying to manufacture something (Hagar and--and Sarah) to help Abraham, help God to make His promise come true. You can't do that. There's no way at all of doing it. It's--it's against everything. God's Word is going to happen anyhow. You just got to stand right on the Word and say, "It's this way," and keep the Word.
Now, watch. The manufacture something to take the place of His Word. Maybe Abraham's friends too (if we ever noticed), maybe Abraham's friends come by and said, "Well, Father of Nations, how many children you have now?" when he was a hundred years old. "Say, Father of Nations, Father of Many, how many children do you have now?" Scoffers.

21-7 Now, haven't you seen the time? Haven't we seen it when sometimes that we prayed for something, it didn't happen? Here sets an old man, and they say, "He's blind; he's deaf; he's dumb; he's sick; he's done this. Go down and heal him you Divine healers; we'll believe it."
Do they realize it's that same devil that said, "Come off the cross, and I'll believe you." "Turn these stones into bread, and I'll believe it." See? That same devil that tied a rag around our Lord's eyes, and hit Him on the head with a stick, and said, "Now, if you're a prophet, tell us who hit you, and we'll believe you."
Why, you know He knowed who hit Him. He could've turned those stones to bread, or He could've come off the cross. But what would we be today if He had? See, they don't know the program of God. You must find out what God has promised.

22-3 Now, I must hurry. Now--now, they might have said, "Father of Nations, we heard you twenty-five years ago say you was going to have a child by Sarah, and--and out of that was going to come nations of people. Just how many children do you have at this time, Father of Nations?" See, see? That's that same old critical spirit that would criticize. What did Abraham? Said, "He staggered not at the promise of unbelief."
"Why, here you prayed for so-and-so, and they didn't get well." That doesn't matter. If I prayed for ten thousand tonight, and ten thousand die in the morning, tomorrow night I'd still anoint the sick and praying for them. God said so: doesn't stop it a bit. God promised it; I believe it. Certainly. Don't make any difference what they say.
Still--but they'll scoff. That's the reproach of the Word. Abraham standing on God's Word--finally It was fulfilled. Oh, my.

22-5 Watch the scoffness of barrenness, being scoffed, the reproach of barrenness first. They had... She had to stand the reproach of being barren for all those years. She was nearly a hundred years old... She was ninety. But the Word of God that said she would also be princess--a mother of this child. And she and Abraham barren, both of their bodies as well as dead, but yet they never doubted that Word one bit. But they had to stand that first, and then (Hallelujah.) God kept His Word in that dark hour. Isaac was born, and his seed is like the sands of the sea or the stars of heaven. See, God always answers His Word. Yes, barrenness first then Isaac.

22-6 Zacharias and Elisabeth likewise, that old man and old woman still holding on. When Zacharias come up there, and could write out on his slate, and said, "An angel met me, told me I'd bring forth a child by Elisabeth, my old wife here. I can't talk no more; I'm dumb, and I will be dumb till the day the baby's born. But there's coming a baby, and he's going to be the prophet of the Highest. He will introduce the Morning Star. He's a forerunner of the Messiah."
How could it ever be? Some said, "Poor old fellow. Oh, I--I guess he's kind of got a little bit off at his head, you know. There's a little something... Look at old--old Elisabeth out there, around eighty, and look--look--look at Zacharias, way old and shaking. And then he's going to say such a thing as that. Well, poor old fellow." But he had the Word of the Lord. Such a reproach till she hid herself for several days. But he stayed with the Word. Oh, my.

23-2 Refusing popularity, refusing popular opinion, refuse the polish of the day and the styles and things of their day. They refused it. They refused to walk with the crowd of unbelievers. They refused the things of the world. They had to do it to stay with God's Word: had to do it.
So is it today. You separate yourself from everything but you and God. It's not what the church does; it's what you do with God, you as an individual.

23-4 Yes. But look what God gave him. When Jesus Himself come, Zacharias was gone and Elisabeth too; but when their son came in the wilderness with THUS SAITH THE LORD, Jesus said, "There never was a man born of a woman as great as he is." Amen. What? She suffered the reproach of barrenness. She stayed on the Word and delivered such a son.
Like Sarah of old, like Abraham of old, the old couples held on to it. Look, most that was ever born, like the sands of the sea. There's not a race of people in the world as many as the Jews. Like the sands of the seas or the stars of the sky.
What did happen? It happened in the minority. One child, now, you see where I'm going. One child, that's all it took. It took one child to shake the nations and point to the Messiah. It took one obedient. That's right. God just needs one man. That's all He needs, somewhere He can have a voice. That's all He wants, to get just one man in His control. Oh, how He loves to get one man.

23-7 He got a Noah one time; He got a--He got a Moses one time; He got a--a Jeremiah; He got a--a Elijah; He got an Elisha; He got a John; He--He gets--He got a Samson. As long as He can get one man in His control, that's His voice; He can speak through it; He can condemn the world.
Oh, my, how He hungers and pines to get a man in His control. "That I can speak to him, I can let My Voice be known. Though he will stand a reproach, but I'll make My voice known." See?
Oh, yes, barrenness first, have to be bare; have to stand a reproach of barrenness. Sarah had to stand it. So did Zacharias and Elisabeth have to stand it.

24-2 Look today. I'm going to say something. Look today at the children of the harlot. She's taken nations under the political rule of denomination, the harlot and her daughters. Look what a generation of denominations raised up, and how few are the righteous. Don't you worry. Stay with the Word.
That's all right. You may be scoffed at, called holy-roller. You might be called all--any kind of a bad name, but stay right there. It's the Word, the reproach of the Word; the thing that they'll say about you.

24-4 A young fellow, he may be here this morning; he's a friend of mine: Jim Pool, young Jim. His--his people... He was asked the other day. Well, he was baptized here. Someone said to him, said, "If you were going to be baptized in a church, why didn't you get a big church or something?" See? But he saw the light. That was it. See? "More are the children of the unrighteous, than there is of the righteous." See? All right. How few are they of the righteous.
Look what a little handful there was in the day of Noah. See? Look what it was in the days of Sodom? See? How few are the righteous; how many children the harlot has. She just brings children any old way; but they're all bastard children. The harlot brings forth the harlot. The dog brings forth the dog. And the Christ brings forth the anointed. The Bible brings forth the righteous. So we have to stand the thought of being a little bunch. What a gracious thing it is.

24-6 Look at the great Ephesian church. There's only twelve in it. Look what a group we have today, the side of them. There's only eight souls in the days of Noah. There's only five in the days of Lot. No, four, Lot, his wife, and his two daughters; and she turned to a pillar of stone, after she got out by looking back. Actually three come out in that day. Jesus said, "As it was in them days..." It behooves us to watch and be careful.
How few are the righteous. But as ever, the scoffers must reproach. The barren--stand the reproach of barrenness first. My, I just got to hurry. I'm sorry; I want to help (See?) to get these kids. Just bear with me a little bit. See?

24-8 Man are always the same as ever. Now, I'm going to say something again, and I want you... And I don't know whether it's being taped or not, but if it is on tape, I want you to listen at me, you on the tape. Don't you miss it. But study it. Men now is like he's always been. He's praising God for what He's done, looking forward to what He will do, and ignoring what He has done and is doing. He praises God for what He has done; He looks forward to what He will do; but he ignores what God's a-doing, and there he misses the whole thing. Hope they get it. See? Ignoring what He's doing... He knows what He has done, and he knows the promise what He will do, but he fails to see what He's doing.
Oh, you Pentecostals, if you're not example of that. You're looking forward for something to happen; it's already--it's happened right under you, and you don't know it. "How oft would He have hovered you, as a hen does her brood; but you would not." You thought more of your traditions and denominations than you did of His Word and His Spirit. Yes.

25-2 What a reproach to Mary... (As we are closing.) What a reproach to Mary and Joseph for His Word. It's Christmas time. I was planning on holding just a little bit, but you'll hear much of it on radio, and among your pastors, and so forth. What a reproach for Mary and Joseph to hold to God's Word of promise. Remember now, and the scorn that lifted up a eyebrow when they seen little Mary go by, seen Joseph; "You're marrying a prostitute." See? And remember, brother, adultery was death in them days. "Now, you keep her from getting killed. She's to be mother by you." And... But remember, all the time God was dealing with them; and it was according to the Word, and they didn't know it. See?
"A virgin shall bear a child." Joseph knowed that. Mary knowed that, because after the Word was written, there was an Angel talking to them, vindicating, or manifesting the very Word that was written, that was going to happen. Why, don't dream now, think. The Holy Spirit come down to the earth. He never spoke to the whole congregation. He spoke to them.

25-4 Joseph looked, and before the Angel had visit him, he said, "Well now, I love her, but I'm a righteous man; I can't marry a woman like that."
And the Angel of the Lord appeared to him in a dream and said, "Joseph, thou Son of David, don't fear to take unto thee, Mary, thy wife, for that which is conceived in her is of the Holy Spirit." Oh, my, what a comfort. See?
And Mary on her road to the well, the little virgin about seventeen years old, eighteen, married to a man had been married before and had four children, an old man. And she was... She loved him, and she didn't know why. And he loved her, and he didn't know why. And here they was coming--going to the well to get some water. And all was studying upon the things that she... She was thinking of the Scriptures, no doubt; and then a Light flashed before her. When that Light flashed, there stood an Angel.

26-2 Wonder how little Mary felt? Did you ever think of that? I wonder if she felt as scared as I did yesterday. "Hail Mary." "Hail" means "stop." "Pay attention to what I'm going to tell you. Blessed art thou amongst the women, for you found favor with God, and you're going to bear a Child: knowing no man, but you're going to have a Child; and your cousin Elisabeth, being old too, she has conceived also and is going to bear a child, and these signs will be done."
She said, "How will these be? Know, seeing I know not a man."
He said, "The Holy Ghost is going to overshadow you. That holy Thing that'll be born of you will be called the Son of God."
Let the scoffers say what they want to. She knowed it. She knowed it would be, because God said so.

26-4 Now, how she must have felt that day of the dedication, or the coming for the circumcision of the Baby, when there she was walking up with this little Baby in her arms like that, and all the women keeping their distance, all with fine needle work to dedicate their babies and have them circumcised. And nearly all of them pulling a lamb, but she had two turtle doves, cleansing for her own purification. The little Baby, wrapped in swaddling cloth, made out of the yoke off of the back of an ox's neck. Yoke, the wrapping on the back of an ox... That was this swaddling cloth in the manger. They had nothing for Him. They was too poor. And here she stood.

26-5 No doubt, all of the women kept their distance from the little virgin. Said, "You see, she's got a illegitimate child." See how God makes things so radical looking. Oh, my. He just pulls the wool right over Satan's eyes. "How filthy, how dirty, adultery, that's what she is; she's an adulternous."
That didn't stop that beat in little Mary's heart. They kept their distance from Him; they're still doing the same thing. Call Him now a holy-roller, fanatic, or something. Mary knew Whose Baby that was. She just kept on just the same.

27-1 But, oh, shouldn't they have noticed when Simeon setting back in the room. He'd been promised; he went around prophesying. Said, "The Lord appeared to me and said I'll not see death..." And he was eighty something then. "I'm not going to see death before I see His Salvation."
"Oh, Simeon, you're old, son. You're--you're... The old fellow is kind of got it in his head, you know, he's a little... Just let him alone. He's harmless; he won't hurt nobody."
But Simeon had the Word of the Lord. Said, "I saw the Spirit of God descend upon me. I stood and looked at Him, and He told me, 'Simeon, you've been a righteous man and you're not going to... I'm going to make you a testimony out there.'" That's all.
"What are you going to do that for, Lord?"
"That's My business." My opinion is that he can sure pour the coal to them on that day. "You had a witness. Why didn't you listen to it?"

27-3 There's old blind Anna setting in the temple praying. The Lord revealed to her "Simeon is right." Amen! She couldn't see daylight from dark, but she could see farther than many people today that has got good eyes. She saw in the Spirit the coming Messiah was at hand, the Spirit moving in her heart.
See what a little bitty church there was? Zacharias, Elisabeth, Mary, John, Anna and Simeon, six out of the millions. Like in the days of Noah; six of them. God dealt with everyone of them. They was all in harmony. They all got together. Amen.

27-5 Here old Simeon, here come the little Baby in. He'd never heard nothing about it. Here was the Baby, and then Simeon setting in his room, and--and the Spirit fell on him, said, "Move out, Simeon." Here he went walking, not knowing where he was going. Like Abraham, he was seeking something; he didn't know where it was at, but he kept moving. After while he stopped, and the Holy Spirit must've said to him, "There He Is." He reached over in Mary's arms took up the Baby in his arms, looked up and said, "Lord, let Thy servant now depart from this life in peace. My eyes is looking at Your Salvation."
The thing that everybody was making fun of, what the women was shunning, Simeon said, "It's Your Salvation, Lord." About that time here come an old blind woman, winding her way around, staggering around through the audience; and she come up to Him, and she also prophesied, for she was looking for Him. Told Mary "A sword will pierce your heart, but it'll reveal the thoughts of many hearts." Amen.

28-1 What was it? Now, I guess some of those women said, "Now, see that, see what kind of class it is? There you are. See? That's it. See where it is. That old man, cracked in the head. There he is over there standing before that prostitute girl trying to say a thing like that. There you are. That illegitimate child... Look at that old Anna, sets down here starving herself to death, and going on like that. She don't not--have any fun like we do. But there you are. See? She could belong to all the societies of the country here; she come out of a pretty good family. And she could belong there. But there, she is, see how that bunch gets together. Oh, yes." Amen.
Same thing today setting in heavenly places in Christ Jesus, being lifted up by the Holy Spirit. Sure. Yes, sir. Oh, haven't we got just a little bit more time? I got another character here, I'm looking at. At that time, when the Word was being made manifest, the wise men... Wished I had time, Fred, for you to read that. You got it in your pocket? I guess many of you seen it in the magazine. The thing that the Holy Spirit spoke down yonder at the river thirty-three years ago, they just dug it up December the 9th proving it, that astronomy, how in Jupiter and them stars in their constel.

28-3 They've got an old astronomy calendar, markings there that they dug up. And it's exactly that time that this constel came in and the constellation of these stars, and throwed right down towards Babylon, and the wise men brought it down. You remember, they crossed their orbits, low swung, billions of light years apart again. And those Jewish wise men that was up at Babylon, they seen that constel come into that constellation, them stars, three of them moving together and making that one Morning Star. And they knowed that by the Word of God, that that was the time, when them stars come together, that the Messiah was to be on earth.
That's the reason they started, "Where is He, born King of the Jews? Where is He? Somewhere, for when those stars come into--their celestial bodies become into this one great celestial body here, when them three's moves together, Messiah will be on earth in that time. And when they moved into their orbits, them men knowed that the Messiah was on earth.

29-1 They were masters in their field. They were great men. They were masters in their field of religious science. They was watching the religious side of it, and they seen those stars move out yonder: Jupiter and Sardis, and them move into their--their line. And they said, "We know that Messiah's somewhere; so He must be in Jerusalem, because that's the head-place for the religions of the world--of the religion of the Messiah. That's their headquarters. That's the denominational headquarters. That's where the great ecclesiastical group sets."
And on camels they went, two years, down across the Tigris River, and through the swamps and jungles, journeying, going to the city, hearts filled with joy. They knowed when that stars was hanging in there... And the--even the astronomers say today, if they actually--them stars come into that place again, it would make one star from where they was standing looking. But they had to be standing from that place to see it. Amen. Amen. It depends on where you're standing. It depends on what you're looking at. Yeah.

29-3 So they seen it, and they followed it, and they was right in line. No matter where they got, it was right in line with them. It led them. See? That's where you got to get all the Scriptures lined up, everything, then stay in that line with the Scriptures. That's the only way. It'll lead you right straight to Him, certainly will.
Now, notice. Here they come, crying, "Where is He born King of the Jews?" Into Jerusalem, the Star led them right there, right straight to the denominational headquarters. But when they turned aside for it, the Star left them. Into the city they went, up and down the street. They thought the city would be full of joy of God. Up and down the street with joy they went screaming, "Where is He that's born King of the Jews? We saw His star when we was in the east, and we've come to worship Him."
Remember, the star... They went westward; they were in the east. "Westward leading, still proceeding. Lead us to..." See, it were... Absolutely, they were... Well, Babylon and India lays east of Palestine, kind of southeast, and they were going westward. "Westward leading," you know that song, "still proceeding; Guide us to that perfect Light." See?

29-6 They... wise men was coming west, leaving the east, going west, and they seen that star. Now, if they was in the west looking backwards, they didn't see it. See? They... When they got there, it guided them right there, then it left them; and they thought, "Here it is. The Star has left, so here it is. They're in the city." So, oh, my, they said, "Everybody was just a-singing and happy; the glory of God's lit up everything. So here we are. We know that our... We know that our achievement..." As he watched that constel... No one, no master could come up there and pull them stars together. And we know when that--when that stars come into that heavenly body, that's the time the Messiah's on the earth. The Messiah is on the earth. And ever so many hundred years they pass their constel again. And then there's a gift comes to the earth.

30-1 Notice, the Messiah is on the earth, when that--when that group of stars got together. And they knowed He was there. So they went to the headquarters of religion, and begin going, saying... Up and down the street they went on the--these camels, "Where is He? Where is He? Where is He that's born King of the Jews. We saw His star in the east; He's here somewhere. Where is He? Where is He? Where is He?" What a reproach.
They went to the chief priest, and he said--might've said, "What's the matter with you fellows? Why, you bunch of fanatics..." See, what a reproach upon their scientific achievement by the power of God. They seen His star, and they were wise-men, smart. They were in the field of religious science, and they knowed when them stars got there, Messiah was somewhere. And here the place that should've knowed it, knowed nothing about it.

30-3 Why, I'd imagine the kids standing on the street said, "Ha. Look at that. Ha. That's a bunch of fanatics. Listen at them singing. 'Where is He, born King of the Jews?' They don't know Herod's king down here. They don't know bishop..." Oh, my.
"Where is He that's born King of the Jews? We saw His star in the east."
They say, "Come here, all of you wise-men here, around here. Come here. Do you all see any star anywhere?"
"No, I never seen anything like that."
"All you astronomers come here. Did you all see any star anywhere?"
"No, no."
"Have you seen anything like, any kind of a mysterious sign?"
"No! We don't see nothing like that." No, they don't yet, either. Same thing. They don't see nothing. They can't see it.
"Let's call in the--the ministers. What about you all?"
"No, we never seen no star."
"Well, what about you guys that keep time out here on the wall? You watch the stars, you know ever--you know where every constel is in the heavens. You know every star. Did you see anything?"
"Nope. We ain't seen a thing."

31-1 But It was there. Glory to God. Oh, my. Can't you see it? It's there right now. People can't see it. It's going on right around them, and they can't see it.
"No, we didn't see nothing."
"Oh, I went over there; I didn't see nothing." Sure you don't. Just too blind. It's not for you to see it. See? If you're that blind, well, sure you won't see it. It's just to those who God will reveal it to. That's the one who sees it. Always been that way. Sure.

31-3 It was Noah that could see the rain up in the skies, you know. But the rest of them couldn't do it. They didn't see the rain up there, but Noah seen it.
It was Abraham that seen Sarah holding the baby (That's right.), not the scoffers that said, "Father of Nations, how many children have you got now?"
How we could come down through the Bible--the sages and prophets, all the way through. "Faith is the evidence of things not seen." They know the Word spoken, and there it is--here's the evidence of it. They see it.

31-6 Now, notice. Oh, my. Our wise men don't see that star. There's nothing to it. Why? Actually, when they were looking, and they went in with such a group, the star went out. Same thing today. That's what puts a many a Light out. That's right. It's getting hooked up with such a group as that. They don't even believe it in the first place. And how are we going to have a--a union of churches? How are we going to walk together except we be agreed? How is the fellowship of the--of this here worldwide, all the churches, the united churches of the world, how are we going to unite together, when we are millions of miles apart? See? How we going to do it?
The Evangelicals with their...?... and this, and that, and that all together, yet united together: such a bunch of corruption. God's getting a wife that's pure, holy, unadulterated, stays with His Word.

32-1 All right. Jesus' reproach for the Word. (And then we'll stop in just a minute.) Jesus was reproached for the Word. Look here. How could He stand the reproach, when He was the Divine, incarnate God? He was God Himself made flesh.
Now, you know the Bible said so: we handled Him; Angels saw Him. Just think of that. I believe Timothy puts it something like that (See?), that... "Without contradiction great is the mystery of godliness; for God was manifested in the flesh, seen of angels."
Angels was at His birth. How the Angels must've looked down and rejoiced when they looked down over the manger and seen God incarnate. Amen. They, no wonder, they begin to scream, said, "Today in the City of David is born Christ the Saviour." Angels rejoiced, and they swung their big wings together, and over the hills of Judaea they sang, "Glory to God in the highest, peace on earth, and good will to men." They seen God's Word as they watched over to see It manifested; and there It was.

32-4 Now, Satan didn't believe that, you know. He said, "If Thou be..."
The Angel said, "He is." That's the difference.
"If Thou be, do so and so. Let us see You do it;" but the Angel said, "He's there."
The wise-men with their religious science said, "He's there." Amen.
That's the reason archaeologists and everything today are digging up these things that's been prophesied a few years ago that would come to pass, and here they are digging up... They never even...

32-7 There's no history that ever said that Pontius Pilate was ever on earth. Did you know that? Some of you school kids tell me: whereabouts in history it said there's Pontius Pilate? And unbelievers scoffs at it and make fun of it. Said, "There never was a Roman Emperor named--a governor named Pontius Pilate." But about six weeks ago they dug up the cornerstone: Pontius Pilate, Governor. Oh, my, such nonsense...
They said, "There never was Rameses in history, Rameses over Egypt." But they dug up a stone: archaeologist...?... Rameses II.
Notice, and they said that them walls never did fall down. Archaeologists was digging around; the first thing you know, they dug up way down in where the walls fell down in Jericho, you know, when the trumpet sounded. They said, "That was just a myth, a song somebody said--sang back there." Yeah. The scoffer says that. "That was just a myth. You never want no such a thing as the walls falling, and Joshua blasting the trumpet, and running up to the walls and they went down. There never was such a thing." And some great Christian archaeologist just kept digging, 'cause he knowed it had to be so. He dug thirty-some-odd feet below where the rest of them was. There was the walls, piled right on top of one another just as the Word has said.

33-1 They said, "There wasn't such a thing as David ever playing on his instrument, a string harp, 'cause string music wasn't known till the 15th century." Said, "There never was such a thing." Christian archaeologists dug up down in Egypt, four thousand years ago they had string instruments. Amen. Oh, my.
They said about the Hebrew children making them stones and things like that out of straw, "There wasn't such a thing." Archaeologist went to digging on that. What did they find? That's science. What did they find? The walls of the city that the Hebrews built, the first layer of stones was long straws. The second was chopped up in little bitty pieces of stubbles, and the third had no straw in it at all. Oh, my.
Nations are breaking;
Israel's awakening;
The signs that the prophets foretold...

33-3 Yes, sir, It's all moved right up to us, brother and sister. Why is it? In the last few years never has the movie world ever done what it's done. On the screen comes the story of "The Ten Commandments" by Cecil De Mille. On the screen come the life of Jesus Christ through "Ben Hur." On the screen comes "The Big Fisherman," the conversion of Peter. And all these religious plays which the movies has refused, and dirtied, and throwed away. But God in His mighty power blasted forth just the same.

33-4 Right now, those things that have been said a few years ago... A poor little humble servant of myself, of God, I said, "There is a Light that stood and talked to me, and told me the things to do."
People laughed and said, "He's a little bit off at the head."
There is a picture of It. Science took it. There it's the truth. I said, "The woman's shadowed to death."
They said, "A shadow, now, that's nonsense. He just makes that up in his mind." There's the picture of it. God will make the rocks cry out. He's able to do what He wants to.

34-3 Jesus: the reproach for the Word, the Divine Son of God, standing there, Emmanuel, what a reproach, let the unbelieving sinner bind Him, spit in His face, and jerk handfuls of beard out, and dare Him to do anything about it. The reproach for the Word, what? To fulfill the Father's Word.
Oh, but remember, He must stand the reproach of death. God, Who cannot die, and the only One that could die to save a sinner; no one else, no second person, or third person could do it. God Himself is the only One can do it.
Here He was; He said, "There is no man ascended up but He that descended down, even the Son of man, which now is in heaven." Amen.
They said, "Our fathers eat manna in the wilderness." And there He said... "And you say that You're the Bread of Life."
He said, "Before Abraham was, I AM. I'm the Bread of Life. I am the I AM."
They said, "You're not fifty years old and say that you saw Abraham."
He said, "Before Abraham was, I AM." And then let sinners bind Him, the denominational church bind Him... You remember, the last days this rich Laodicean church, they put Him out even of the church.

34-7 You see where it's at now? Can you see why I'm crying out against that system? Why did Jesus let sinners bind Him? It was to fulfill the Word, bring a reproach to God dying. God had to die. He had to be flesh in order to die. And Jesus knew that. He told them about it. He said, "Destroy this temple, and I'll raise it up again." Not somebody else raise it up, "I'll raise it up. In three days, I'll bring it right back again. You destroy it; I'll raise it up. As Jonah was in the belly of the whale for three days and nights, so must the Son of man be in the heart of the earth," and they didn't even understand it. See, a Reproach for the Word. He--He was.

34-8 Now, scoffed unto death to raise again to Eternal Life. He first had to be put to death so He could raise to Eternal Life and bring every other human being that was in His form to Eternal Life, that would accept it. See, He become human, become a Kinsman Redeemer, and had to stand the reproach of all the scoffing and all the making fun of, just like His fellow servants did before Him: like Moses, like Noah, like all the rest of them stood that scoffing, He had to stand the scoffing.
Why? He had the Word, and He was the Word. That's the reason they scoffed him more than ever. He was Divine and the Word Itself. Hallelujah.

35-2 That's what made them... Jesus said, "You hypocrites," said, "you build the tombs of the prophets, and you're the one that put them in there. They come with the Word of God, and you didn't believe them. You're guilty of every one of them."
At Phoenix, God willing, I hit a word the other day. I'm going to indict this generation for killing Jesus Christ, crucifying Him afresh. I'm going to bring an indictment before that ministerial association, God willing. They're guilty of the Blood of Jesus Christ for crucifying Him afresh. Yes, sir. Indict the whole...
Peter indicted them on the day of Pentecost, said, "You with wicked hands have crucified the Prince of Life, Who God raised up; we're witnesses." He brought an indictment.
I'm going to take the Word of God, indict every denomination there is, and every man on the face of the earth that's guilty of the Blood of Jesus Christ. God help me to be His attorney at that day. Amen.

35-6 Yes, oh, scoffers made fun of Him. They reproached Him. He stayed right with it. Amen. Oh, watch what He did. He was the Son of God: suffered death in order to put sin to death. He had to do that. That--that's the only way it could be put to death. And He did this and stood it, 'cause all the rest of them did, because all them back there had the miniature Word of God, 'cause Jesus said so. The--the Word of the Lord came to the prophets. "Which one of them," He said, "that your fathers--your organized religions, didn't stone and put to death? Which one of them received the prophets? Then you build their tomb after they're gone." Said, "You're the guilty of putting them in there."
Then He give them the parable about the vineyard let out. And servants come; they mistreated them. Then finally said, "Now, we'll kill the son, because he's a heir." See? Oh, they got angry when they seen that. See?

36-2 But He had to stand the reproach. And here He has Himself, bound, lead up to death in order to be put to death to bring back Eternal Life. Glory to God. Oh, how I love Him. Bring back Eternal Life and raise up every son of God down through the age, that stood with that Word and took the reproach. That's right.
If He hadn't have come, Noah couldn't raise. If He hadn't come, Elijah couldn't come back. If He hadn't come, Noah would never raise.
If He couldn't--if He hadn't have come... 'Cause He was that predestinated Lamb that come to take the reproach upon Himself, and die the death for every Word of God that had been spoke that these righteous men had stood for. It had to be. No one else could do it: God Himself... And He come and took the place that He might redeem and give Eternal Life to every son of God that had stood for the same Word and would suffer the reproach.

36-5 Every Son of God, down through the age that would stand a reproach, there was no one could redeem him. But by faith he saw that Redeemer coming.
Job saw Him. Job had stood back there. And they said, "Oh, you're a secret sinner; God's just mistreating you 'cause you're a secret sinner."
And he said, "I know my Redeemer liveth. At the last days, He'll stand on earth; though the skin worms destroys this body yet in my flesh I'll see God."
His wife said, "Why don't you curse Him and die? You look like a miserable wretch."
He said, "You talk like a foolish woman."
Amen. There he was. "I know He lives, and He'll stand at the last days."

36-8 If Jesus hadn't have come, Job couldn't have been redeemed. 'Cause He was the Lamb slain from the foundation of the world. He knowed His place. He knowed His position.
That's the reason when Mary recognized that position that day when she come out there, he said, "If You'd have been here, my brother'd not died."
He said, "Thy brother shall rise again."
Said, "Yes, Lord, in the resurrection, he was a good boy."
Jesus said, "But I am that Resurrection. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord, I believe that You are the Son of God that was to come into the world."
He said, "Where have you buried him?" Oh, there you are. She recognized it.

37-1 That little woman wasn't saying that. She had seven devils cast out of her. She knowed the power of God that could take pride, and stress, and everything away from her, that could take that little selfish high school spirit out of her, and could make her a new creature. He cast seven devils out. Them women knowed what He was who accepted Him; they knowed what He could do for them. So do they today too. Just accept it. That's the next thing.
There He--she said that, and He... You know what taken place.
Oh, all that would suffer for the same Word, He died for that cause. He was the only One that could die to do it, for He was the Word. He was the Word, the Word made manifest. All the others had little dips, but here was the Fullness of God. Yes, sir. The same He is today. Hebrews 13:8: "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
Listen. (I'm closing. Really, I'm going to do it. Just have to. I'm way past time.)

37-3 He never wrote one word. Did He? Never wrote a word. Why? He was the Word. He was what the Word that had been wrote; He was the manifestation of that Word. Glory. Whew. Now, I feel good. He was the Word. He didn't have to write nothing. He was the Word, written Word made manifest. Glory to God. He's the same today, yesterday, and forever. He is the Word: Word made manifest.
You say, "Is that right, Brother Branham?" Watch Jehovah stand back there and blow a streak across those waves back yonder, and make the road for Israel to walk through. Watch Jehovah in flesh say, "Peace be still." When the waves was beating the banks in the storm, and the devil licking on everything like that, He said, "Peace be still," and it obeyed Him: the winds and all. He was Jehovah. Amen.

37-5 That Jehovah that could stand yonder and sprinkle a few dew drops out there, that'd fall to the earth and be made bread to feed a people. He stood and took five fish, or five biscuits and two fish and fed five thousand. He was the Word. Amen. Amen. He's the Word, and He ever will be the Word. And for me and my house, we'll serve the Word.
Oh, I want to see Him, I want to look upon His face,
There to sing forever of His saving grace;
On the streets of Glory, let me lift my voice;
When cares all past,
Home at last, ever to rejoice.
Oh, my. Yes, bear the reproach of the Word. There's a reproach that goes with the Word. Stay right with the Word and bear the reproach. Let's pray.

38-2 Jesus, as the other night, Lord, I cried, "O Jesus, what will You have me do... What can I do, Lord? Seeing these things and knowing the hour that we're living, what can I do, Lord? What can I do?"
I pray for my little church here, Lord. I think of the little birds in the vision: The things that has been, and the other birds which were great things, but there were three decks of them, Lord; but when them Angels stepped in, there was no birds left. The little messengers has been wonderful, Lord, but I believe that there's something just fixing to take place. Let it be, Lord. Mold us and make us after Your way. We are--we are the clay; You are the Potter.

38-4 On this Christmas eve, Lord, we're grateful for the Gift of God. For God giving to us, though this be some, as we believe in out hearts, some pagan superstition of the day that they have tried to mold it and make it be like a--a mass--Christ-mass.
But we are not coming in that way of Santa Claus, and Christmas trees, and--and decorations; but we're coming in the Name of the Lord Jesus to worship the God of heaven that was made incarnate, flesh like us, and dwelled among us to redeem us, and suffered the reproach of the Name, suffered the reproach of the cross to let a worldly institution put Emmanuel to death, in order that He could bring us to Eternal Life.
Who are we, Lord? Who are we that we should shun any reproach? God, make us gallant soldiers. I commit these words to You, Father. They might've been broken up, tired and weary as I am, but, Father, reward these people for setting, listening, and may the power that brought up our Lord, and presented Him to us here for a Saviour in this last days, may it quicken every spirit in here, Lord, to the nearness of the coming of the Lord Jesus. May it be so, Father.

39-1 Heal the sick and afflicted that's among us. Bind up the broken hearted. Lord, we're--we've went through so much. My heart's got so many scars on it, Lord, from hard battles; I'm an old veteran. Help me, Lord. I need Your help. Maybe all this... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... trust it has been, Lord. Help me, O God, and help this church and bless us together.
Bless the little children. I'm thinking of the many today, little--poor little fellows won't receive anything out there, and I--I pray that You'll be with them and help them. Give them Eternal Life, Lord. That's the great--that's the Christmas gift that we want is the Life of Jesus Christ to rule and reign in my heart. That's what I want, Lord.
Bless us together, now. We commit these words to You. Let them fall wherever they will, Lord. Wherever that every heart's open, may they bring forth a great time of salvation, in Jesus' Name. Amen.

39-4 Ever who... How many love Him? Be in such a hurry about anyhow? Oh, I love Him; I love Him. Lord, what will Thou have me do?
Don't forget the services tonight. You know what Christmas means now? Oh, this is my Christmas gift, just that Word. Lord, if I can just let myself--if I can just get myself out of the way so that Your Word can express It--Itself out through here. That's--that's the greatest thing I know of.
Now, I think they got some things they want to give to the children. Now, I'll turn the service back to Brother Neville. God bless you. Brother Neville.

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