1    Bonjour, mes amis, c'est un privilège d'être ici.
    Et--et un... pour accomplir cette merveilleuse introduction que notre pasteur nous a donnée, voilà qui requerrait certainement une vraie vie, n'est-ce pas? Alors, nous rendons grâces à Dieu pour tout Son grand pouvoir de guérison et Sa miséricorde qu'Il nous a accordés à travers les années.

2    J'ai maintenant quelques annonces à faire. Premièrement nous, le Frère Wood et le Frère Roberson... Nous voulons tous vous remercier de prier pour nous, que nous ayons un voyage à l'abri du danger. Nous avons passé des moments merveilleux; nous sommes simplement partis quatre jours et demi, je crois, et nous sommes revenus sains et saufs. Le Seigneur nous a vraiment bénis.

3    Maintenant, nous annonçons que les réunions de réveil du frère Graham Snelling continuent au bout de la Brigham avenue ici en ville. Et mercredi soir prochain... (Je désire partir demain, après un service de funérailles pour une personne, que j'annoncerai d'ici quelques instants.) Nous vous mettrons au courant mercredi soir, nous voulons aller avec une délégation complète pour rendre visite au frère Graham avant qu'il ne termine sa campagne là-bas. Et nous essaierons de réunir l'église tout entière si nous le pouvons, pour aller en tant que délégation à la rencontre... pour être avec frère Graham dans une de ses réunions.

4    Et maintenant cet après-midi, à l'établissement de l'entrepreneur de pompes funèbres à Charlestown, il y a une certaine madame Colvin qui jadis est venue à l'église ici il y a de nombreuses années, âgée de 74 ans, qui a quitté cette vie hier, afin de s'en aller pour être avec le Seigneur Jésus. Et le service de funérailles devra être prêché lundi par le pasteur monsieur McKinney, qui jadis... a d'abord été le pasteur de l'église méthodiste à Port Fulton pendant de nombreuses années et qui était un ami personnel de sa famille. Je dois l'assister lundi à... je crois que c'est à une heure trente à la chapelle de Charlestown, Indiana.
    Et vous tous les amis de la famille Colvin, ils apprécieraient, je le sais maintenant, juste quelques paroles d'encouragement ou une simple poignée de main. Car nous savons tous ce que c'est, nous qui nous sommes trouvés nous-mêmes dans ces situations, dans les vallées, nous savons ce que ça signifie de perdre un ami. Aussi nous... elle gît à la chapelle maintenant, à Charlestown, Indiana. Si vous y allez cet après-midi, certainement que la famille Colvin apprécierait cela, j'en suis sûr. Beaucoup d'entre eux viennent encore ici au Tabernacle. J'ai marié, enterré, baptisé presque toute leur famille. Et monsieur Grayson qui était notre voisin ici même est l'entrepreneur de pompes funèbres là-bas.

5    Et alors, ce soir, le Seigneur voulant, là où nous avions laissé la chose ce matin, nous essaierons de reprendre ce soir, dans cette grande étude dans laquelle nous nous sommes maintenant... Donc, je pense que c'était les annonces pour autant que je sache. Et pour mercredi soir, nous annoncerons ce soir que nous irons là-haut pour être avec le Frère Graham.

6    Nous souhaitons la bienvenue à tous les étrangers se trouvant dans nos portes. Et nous sommes heureux de vous voir ici ce matin et nous prions que Dieu vous bénisse extrêmement et abondamment aujourd'hui pour ce rassemblement.

7    Le Frère Cox vient juste de me dire que l'équipement de sonorisation n'a pas fonctionné trop bien pour le moment. C'est peut-être dû au temps, il y a énormément d'humidité dans les haut-parleurs là-bas. Et ils ne sont déjà pas trop bons pour commencer; cela pourrait donc en être la cause.

8    Tandis que je vois une soeur ici présente que je connais, la Soeur Arganbright, je... Ce n'est pas gentil et--et selon les convenances de demander ceci, mais avez-vous eu des nouvelles du Frère Arganbright depuis qu'il est allé de l'autre côté de l'océan. Je suis très intéressé d'entendre de ses nouvelles dès que ce sera possible. Il est en Suisse et en Allemagne, dans une réunion là-bas avec le Frère Tommy Hicks et Paul Cain. Si vous entendez quelque chose, Soeur Ruth, faites-le moi savoir tout de suite, aussi vite que vous le pouvez.

9    Maintenant, le petit Tabernacle n'a pas d'adhérents mais nous avons de la communion. Nous n'avons pas de credo, si ce n'est Christ, pas de loi sinon l'Amour, pas de livre sinon la Bible! C'est là le seul Livre que nous connaissions, et la seule chose que nous sachions. Comme nous avons... Comme le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tous péchés, nous avons communion l'un avec l'autre, chacun.

10    J'ai remarqué ce matin, et je dis ceci à certains d'entre vous qui pourraient avoir entendu prier le Frère, que c'était un catholique aussi... ou précédemment un cathodique, car nous avons toutes sortes de gens qui viennent ici. J'ai juste eu le privilège il y a quelques moments de serrer la main à un frère Mennonite ici présent. Et les membres Mennonites, ou quiconque veut, qu'ils viennent! Nous communions ensemble autour des bénédictions de la Parole de Dieu. Nous trouvons ici présents des Témoins de Jéhovah et différentes sortes de gens, de dénominations si différentes.

11    Autrefois j'aimais (en fait, je l'aime encore) l'Ouest. J'aime les chevaux et les troupeaux. J'ai simplement été à la ferme, et je l'aime. Nous étions accoutumés à voir le rassemblement du bétail, et j'allais avec eux et nous avions une «clôture de rassemblement». J'ignore si vous, les gens de l'Est, savez ce qu'est une «clôture de rassemblement» ou non. C'est quand on met le troupeau dans la forêt: on met une clôture pour les empêcher de «dériver» comme ils disent, de revenir vers les fermes. Ils mangeraient toute l'herbe, alors qu'on laisse croître l'herbe pour la pâture d'hiver.
    Et alors, là-haut sur la montagne, on a également des «clôtures de rassemblement» où on sépare autant de femelles et de mâles, et tout le reste, cela s'appelle une «clôture de rassemblement». Mais la principale clôture de rassemblement, c'est là où se trouve le vacher quand le troupeau passe.

12    Je me suis donc trouvé là pas mal de jours sur ma selle et je les observais alors que le troupeau passait. Il y en avait avec toutes sortes de marques qui pénétraient. Il y en avait certains qui s'appelaient «diamant», et certains appelés «Bar X», et certains... les nôtres étaient les «Trépieds», quelque chose comme un emblème de boy-scout. Les suivants, plus bas, étaient une «Trace de Turquie» [Noms de races de bovins en anglais. – N.D.T.] sur le cheval. Et il y avait toutes sortes de marques différentes au fer rouge, pour reconnaître son troupeau quand on le sortait.

13    Or le vacher n'était pas tellement intéressé de savoir quelle marque ils avaient, mais voici ce qui comptait, ce qui intéressait le vacher était de voir une étiquette dans l'oreille. Tout ce qui entrait là, peu importe quelle était la marque, devait être un Hereford pur-sang. Il ne pouvait entrer là s'il n'était pas un Hereford; ce devait être un bétail enregistré, sinon il ne pouvait pas passer.

14    Je pense qu'en ce jour-là où le Seigneur viendra, Il ne prêtera aucune attention à la marque que nous portons, mais bien à savoir si nous sommes tous des chrétiens nés de nouveau. C'est vrai! C'est là le troupeau de Christ. Le reste du sang va nous prouver que nous sommes des chrétiens. Et si nous allons tous être ainsi là-bas, nous pourrions tout aussi bien être ainsi ici. Ne pensez-vous pas cela? C'est ainsi que nous apprécions toute communion de toutes les différentes églises.

15    Maintenant, nous sommes en train d'étudier dans ce livre béni des Hébreux. Un frère y a tellement pris plaisir qu'il en a pris les bandes et qu'il est en train de faire un livre de conférences à ce sujet.

16    Maintenant, nous allons aborder très bientôt le chapitre 2. Nous nous attendons à passer l'hiver sur ce sujet, le chapitre 2. Pour chacun de ces personnages, nous souhaitons remonter le livre et faire en sorte que soient liées ensemble toutes les Écritures. J'allais le faire... je le fais en partie, pour certaines parties de ceci (de ces chapitres précédents), pour faire en sorte que le livre entier soit lié ensemble. Car, voyez-vous, l'Écriture doit prouver l'Écriture.

17    C'est pourquoi, s'il y a quelque contradiction, que certains penseraient que «les Écritures se contredisent entre elles», c'est une erreur! Aucune Écriture ne contredit les autres passages des Écritures. La contradiction, on la trouve dans le fait que l'Écriture contredit peut-être notre façon de voir la Chose, mais Elle ne se contredit pas en Elle-même! J'ai été dans le ministère pendant maintenant vingt-six ans, et je n'ai jamais trouvé une seule fois une chose dans la Bible qui contredise une autre chose qui a été écrit dans la Bible, et je sais tout simplement que ça ne se trouve pas.

18    Aujourd'hui, nous étudions l'un des chapitres les plus bénis des Hébreux, le chapitre 7. Et si quelqu'un n'a pas de Bible et qui aimerait nous suivre dans la lecture, nous serions heureux de vous apporter une Bible, si vous levez simplement la main. Je demanderai à quelques-uns des anciens... Que quelqu'un vienne ici pour prendre quelques... Il y en a qui lèvent les mains là-bas dans le fond et... Merci, mon frère. Et si vous désirez une Bible, levez simplement la main et on vous l'apportera.

19    La seule façon maintenant par laquelle une église puisse être édifiée, la seule façon pour un homme d'avoir la Foi, ce n'est pas par sa dénomination, pas par son affiliation, sa Foi n'est pas fondée sur la théologie des idées d'hommes (car ce n'est pratiquement rien d'autre que l'homme), mais la seule manière que la Foi puisse trouver son solennel lieu de repos, c'est sur la Parole immuable et inchangeable de Dieu. «La Foi vient de ce qu'on entend, de ce qu'on entend la Parole.» Voilà ce que cela requiert. Et quand la Foi est entendue et acceptée, c'est réglé pour toujours. Plus rien ne peut plus jamais la remuer, peu importe ce qui va ou ce qui vient. Plus rien ne peut jamais changer cette Foi. Songez-y!
    Vous êtes ancré et vous ne changez plus, pour le temps et l'éternité! Vous êtes ancré à jamais! «Car Dieu, par un seul sacrifice, a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés, ou appelés.»

20    Et la Foi occupe une telle place dans le chrétien, dans la vie du croyant, qu'elle peut prendre position à côté d'un tombeau boueux ou au-dessus d'un cercueil, ou quand un précieux bébé ou un être chéri est passé de cette vie à l'au-delà, et avec le regard austère d'un oeil d'aigle, on peut regarder à Celui qui a dit: «Je suis la résurrection et la Vie.» Et on oublie ce qui est dans le passé, on court vers le but de la vocation céleste!

21    Je suis tellement heureux que Dieu ait pourvu à cela et en ait fait un don gratuit pour tous. Voilà ce que les églises doivent être. L'expression «les églises» ne signifie pas des dénominations ou des organisations, elle signifie «des groupes de gens (de croyants) qui se sont réunis ensemble dans la communion de la Parole».

22    Et dans ce merveilleux enseignement ici, ce saint Paul, comme arrière-plan, dans les chapitres précédents, il a traité de manière spécifique de la Déité suprême du Seigneur Jésus et de qui Il était. Christ était Dieu fait de telle manière que l'homme puisse Le sentir et Le toucher, et avoir communion avec Lui. Christ, le Seigneur Jésus, était le corps dans lequel Dieu a demeuré. «Dieu a été fait chair, et il a habité parmi nous.» 1 Timothée 3:16. «Sans contredit, le mystère de la piété est grand, car Dieu a été manifesté en chair.»

23    Le grand Jéhovah est descendu et a été rendu tangible en vivant dans le corps de son propre Fils, faisant ses déclarations et réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu n'était rien... Christ n'était rien de moins que Dieu, et Dieu n'était rien de moins que Christ. Les deux ensemble ont constitué corporellement le Divin, abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges afin qu'Il puisse souffrir. Les anges ne peuvent pas souffrir! Jésus était le Tabernacle dans lequel Dieu demeurait.

24    La Bible a dit, au chapitre 7 des Actes des Apôtres que: «Tu n'as voulu ni tabernacles ni holocaustes... (plutôt)... ni sacrifices ni holocaustes, mais tu m'as formé un corps. Cependant le Très-Haut n'habite pas dans des tabernacles faits de main d'homme, mais Tu M'as formé un corps.» C'est-à-dire en tabernaclant ou demeurant dans une communion avec l'homme.

25    Si Dieu le permet, dès que nous en aurons terminé avec ce livre, nous reviendrons en arrière et prendrons le livre de Ruth pour y monter comment Dieu est devenu notre parent pour réconcilier avec Lui-même ceux qui étaient perdus en ayant communion avec nous et en devenant l'un des nôtres. Le Sauveur doit être un parent, et la seule manière par laquelle Dieu pût devenir notre parent, était de devenir l'un des nôtres. Il ne pouvait donc pas devenir un Ange et être apparenté à l'homme.

26    Hier soir, quand je parlais au fils au coeur brisé, mon collègue, le fils dont la mère venait juste de décéder, il m'a dit: «Oh! frère Bill, je suppose qu'elle est un ange ce soir.»

27    Je dis: «Non, Earl, elle ne sera jamais un ange. Elle est une femme ce soir, juste telle que Dieu l'a faite, et elle le sera toujours; elle ne sera jamais un ange.» Dieu a fait les anges. Il n'a jamais fait en sorte que les hommes deviennent des anges. Il a fait les anges et les hommes. Les hommes ne seront donc jamais des anges, et les anges ne seront jamais des hommes! Dieu les a faits différents.

28    Alors, et dans le fait que Christ soit devenu chair pour sauver de ce grand au-delà où l'homme était tombé et où cette immortalité était tombée à cause du péché... Dieu est descendu et a revêtu la forme d'un homme, et est devenu notre parent, afin qu'Il puisse supporter nos péchés et notre mort.

29    Et dans une des illustrations que nous avons données, dans les leçons précédentes... (simplement un petit arrière-plan afin que les nouveaux venus puissent comprendre)... Dieu, sur son chemin du Calvaire, tandis que l'aiguillon de la mort était sur Lui et qu'il bourdonnait autour de Lui, cet aiguillon L'a finalement piqué jusqu'à ce qu'Il meure. Il est mort à tel point que le soleil s'arrêta de briller. Il est tellement mort que la lune et les étoiles ne donnèrent plus leur lumière. Mais quoi?

30    Il devait faire cela pour ancrer l'aiguillon de la mort. S'Il avait été une personne immortelle, s'Il avait été dans sa théophanie ou s'Il avait été dans l'Esprit, la mort n'a aucun contrôle sur ces choses! Il fallait qu'Il devienne chair, afin qu'Il puisse prendre l'aiguillon de la mort. Mais lorsqu'une abeille ou un insecte qui pique... une fois qu'il a piqué profondément, il ne piquera plus jamais. Il laisse son aiguillon dans la chair. Et c'est là ce que Christ... ou ce que Dieu est devenu, Christ a vécu dans la chair afin qu'Il puisse ancrer dans sa propre chair l'aiguillon de la mort. Et lorsque la mort s'est dégagée de Lui à la Croix, elle a laissée son dard, cela ne pouvait plus jamais piquer un croyant! Elle peut faire un bruit vrombissant, elle peut faire un bourdonnement et une menace, mais elle ne peut pas piquer! Elle n'a pas de dard!

31    Le grand saint Paul, dans sa marche de la mort, cria et dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Et Hadès, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous a donné la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!» car, et la mort et le tombeau ont perdu leur pouvoir!

32    Donc... alors, Dimanche dernier, nous avons pris: «Laissant les éléments de la Parole de Christ», au chapitre six, et nous avons lu ceci: «Tendons à ce qui est parfait.» Et nous avons découvert que les gens aujourd'hui dans nombre d'églises tout comme au Branham-Tabernacle et dans différentes églises, nous mettons trop l'accent sur l'étude des éléments de Christ: «Il était le Fils d'Abraham, il était le fils d'un tel, et ainsi de suite jusque dans les généalogies.»
    Mais la Bible dit: «Mettons ces choses de côté et tendons à ce qui est parfait!»

33    D'abord, vous devez connaître la doctrine, et ensuite il vous faut connaître toutes ces choses; alors mettons-les de côté, dit-il, ce qui concerne la résurrection des morts, l'imposition des mains, les baptêmes et tous ces articles morts de Dieu. Car, ils n'ont point de vie en eux. Mais l'église aujourd'hui va simplement vers ces choses: «Oh! nous croyons en la Divinité de Christ.» (Oui, certainement,) «Nous croyons au baptême d'eau» (oui, certainement,) «l'imposition des mains!»

34    Paul dit: «Nous ferons tout ceci, si Dieu le permet. Mais face à tout cela, mettons ces choses de côté maintenant et tendons à ce qui est parfait!»

35    Or, l'église ne peut être rendue parfaite par des organisations. Cela l'éloigne constamment de Dieu tout le temps, et éloigne l'un de l'autre. Nous dressons des barrières, nous nous séparons, n'ayant apparemment pas la foi. Mais alors, quand nous laissons ces éléments de la Parole, si nous continuons à avancer vers la perfection, alors ces petites choses n'ont plus beaucoup d'utilité.

36    Nous entrons dans une relation et nous découvrons que la seule manière que nous puissions être rendus parfaits est d'être en Christ. Et nous découvrons alors, par les enseignements de la Bible, que... comment nous entrons en Christ. Pas par le baptême d'eau, pas par l'imposition des mains, pas par l'enseignement, mais «nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul corps, et sommes rendus parfaits par sa souffrance.» Alors, nous avons une apparence différente, nous pensons différemment, nous agissons différemment, nous vivons différemment. Ce n'est pas parce que c'est un devoir ou que nous appartenions à l'église, mais à cause de «l'amour que Dieu a répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit!», qui fait de nous des concitoyens du Royaume de Dieu, et alors il n'y a ni dénomination ni barrières là-dedans. Nous sommes tous un Corps puissant.

37    Maintenant, nous sommes prêts pour entrer dans la leçon du matin, dans quelques instants. Une chose de plus à laquelle j'aimerais arriver, c'est que Paul nous parle dans le livre au sujet du chapitre 7, ou du chapitre 6, et nous découvrons ici que nous sommes rendus parfaits en Christ. Alors au verset 13 du chapitre 6, simplement un petit arrière-plan:
    Lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, ne pouvant jurer par un plus grand que lui, il aura par lui-même. (Dieu jura par lui-même, parce qu'il ne pouvait pas jurer par quelqu'un de plus grand.)

38    Alors, nous allons revenir en arrière, passons aux Galates juste quelques instants. Retournez au livre des Galates 3:16. Et nous lirons ici, simplement un instant, au sujet de ce par quoi Il a juré:
    Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n'est pas dit: et aux postérités, comme s'il s'agissait de plusieurs mais en tant qu'il s'agit d'une seule:... à la postérité, c'est-à-dire, à Christ.

39    Maintenant, si vous pouvez le remarquer, en regardant de bien près, remarquez en lisant:
    ...les promesses (pluriel) ont été faites à Abraham et sa Postérité...

40    Or, la Postérité d'Abraham était une seule, c'est-à-dire Christ (et en préfiguration, Isaac). Mais Abraham avait beaucoup d'enfants. Il en avait un avant d'avoir Isaac, ce qui a montré l'erreur dans l'incrédulité de Saraï qui voulait que Anne produise l'enfant, pensant qu'elle-même était trop âgée, et que Dieu contourne la chose en frayant une voie différente de celle qu'Il avait promise de faire.

41    Mais Dieu tient sa promesse! Peu importe combien cela peut paraître déraisonnable, Dieu est obligé de tenir sa promesse. Et Saraï pensait que peut-être elle pouvait ordonner à Anne, ou plutôt à Agar, sa servante, de donner naissance à un bébé par Abraham et qu'elle prendrait l'enfant. Cela devint Ismaël, qui fut une écharde dans la chair à partir d'alors jusqu'à maintenant. C'est toujours une écharde dans la chair, car de là sont issus les Arabes et ils ont toujours été ainsi.

42    Maintenant, chaque fois que vous êtes incrédules à l'égard de la Parole de Dieu sans fard et que vous acceptez une autre voie, ce sera une écharde dans votre chair à partir de là. Vous devez recevoir simplement ce que Dieu a dit. S'il l'a dit, c'est tout simplement ce qu'Il entend par là (oh! loué soit Son Nom!) prenez simplement Sa Parole!

43    Peu importe ce qui essaie de contourner cela, comme «eh bien! ceci ne signifie pas vraiment cela.»
    Cela signifie exactement ce qui est dit, quand Dieu fait une promesse!

44    Maintenant, si nous faisons très attention:
    ...les promesses ont été faites... à Abraham et à sa postérité.
    Un seul était la Postérité (singulier), et l'autre c'était des promesses, il y a plus d'une promesse et plus d'une personne qui sont incluses dans la Postérité d'Abraham. Voyez-vous, il y a une Semence, mais beaucoup de personnes de cette Postérité. Voyez-vous, elles n'étaient pas simplement pour Abraham toute la Postérité d'Abraham. Les promesses ont été faites à absolument chaque semence individuelle de cette Postérité. Vous comprenez?

45    C'est pourquoi nous, étant morts en Christ, conformément aux Écritures nous revêtons la Postérité d'Abraham et sommes héritiers conformément à la promesse, non pas en adhérant à l'église, ou en établissant les articles morts ou etc. Mais par le fait d'être nés de l'Esprit de Christ, nous sommes la Postérité d'Abraham et sommes cohéritiers avec Lui dans le Royaume.

46    Alors, nous continuons donc à lire, simplement un peu plus loin maintenant. Dieu fait un serment. Maintenant, le verset 17 du chapitre 6:
    C'est pourquoi Dieu, voulant avec plus d'évidence... Dieu voulant montrer avec plus d'évidence aux héritiers de la promesse l'immuabilité de la résolution, intervient avec un serment.

47    Oh! reposons-nous donc simplement quelques minutes: «Dieu voulant davantage...!» Non pas qu'Il ait à vouloir plus, mais pour faire de ceci une chose certaine!

48    Donc, nous avons déjà découvert que Dieu s'est fait chair, qu'Il a habité parmi nous, comment Il s'est Lui-même manifesté à l'égard du monde. Lorsqu'Il trouva la femme en état d'adultère, Il dit: «Je ne te condamne pas; va, et ne pèche plus!» Lorsqu'Il trouva les malades, Il se comporta exactement comme Il devait se comporter, car Il était Dieu, et Il guérit les malades. Il ressuscita les morts. Il pardonna les péchés, peu importe combien ils étaient grands et nombreux, et combien la personne avait rétrogradé. Il leur pardonna, de toute manière, s'ils étaient désireux de venir et de demander pardon.

49    Maintenant, faites attention! Si Dieu a agi une fois dans une certaine circonstance et si cette même circonstance se présente à nouveau, Il doit agir la seconde fois comme Il l'a fait la première fois, sans quoi Il serait injuste. Voyez-vous? Peu importe combien vous êtes enfoncés dans le péché, combien vous pouvez être avilis là-dedans, Il est tenu d'agir à votre égard comme Il l'a fait à l'égard de cette femme déchue, sans quoi Il avait mal agi alors.

50    Le comportement de Dieu, c'est la personne, et ce qu'Il est dans son comportement déclare sa personne. Et c'est ainsi que ce que vous êtes, dans votre comportement dans la vie, cela exprime qui vous êtes. Comme nous l'avons vu et parcouru lors de la dernière ou avant dernière leçon, les Méthodistes voulaient affirmer que «Quand on crie, on l'a».
    Les pentecôtistes disent: «Quand vous avez parlé en langues, vous l'avez.»
    Les «trembleurs» disent: «Quand on tremble, on l'a» les Trembleurs de Pennsylvanie [«Pennsylvania Shakers» – N.D.T.]
    Et nous découvrons qu'ils sont tous dans l'erreur. Votre vie déclare la chose! Votre personne déclare ce que vous êtes, un homme est connu par ses oeuvres. Et quelle que soit votre vie...

51    Vous avez entendu la vieille histoire: «Votre vie parle tellement fort que je ne puis entendre vos paroles!» Ainsi, quoi que vous soyez, vous l'êtes! La vie que vous vivez montre quelle sorte d'esprit est en vous.

52    Et alors, on peut imiter la chose fausse... ou, imiter la vraie chose, voilà ce que je dis maintenant, vous pouvez imiter un chrétien, mais bientôt il viendra un temps où la tension viendra, et elle montrera ce que vous êtes. Une chaîne est aussi forte que son chaînon le plus faible!

53    Lorsque Christ, le Fils de Dieu, a été mis à l'épreuve, cela a montré ce qu'Il était. Sûrement! Quand vous serez mis à l'épreuve, ça prouvera ce que vous êtes. Votre vie reflète toujours ce qu'il y a à l'intérieur de vous. Dans un proche avenir... Mais soyez certains que vos péchés ne vous découvrent pas. Et c'est cela que nous essayons de dire.

54    Jésus dit, dans Saint Jean 5:74: «Celui qui écoute... (pas celui qui tremble, celui qui parle, celui qui...) celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la Vie éternelle et ne viendra jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

55    C'est votre foi! Et votre foi, confessée par vos lèvres, rend manifeste aux gens qui peuvent entendre, mais votre vie est ouverte devant tous. Ainsi, peu importe combien vous essayez de vous conduire comme ceci et de faire comme cela, ça ne marchera jamais, il faut que la Chose soit en vous. Voilà le vrai moyen de toute l'histoire. Votre foi personnelle dans le Christ ressuscité en tant que votre Sauveur; qu'Il est à la droite de Dieu agissant à votre place ce matin alors que vous agissez à Sa place ici-bas comme témoin. Un témoin c'est celui qui agit à la place de quelqu'un, qui se tient pour vous comme témoin. Et comme votre vie reflète ici ce qu'est votre témoignage en Christ, elle reflète là-haut et elle reflète ici pour vous, Il reflète et là-haut et ici. Ainsi vous êtes... C'est par votre foi que vous êtes sauvé, et par elle seule. Ainsi, les sensations, les émotions, les sentiments, ou quoi que ce soit, n'y ont aucune place.

56    Alors, je ne suis pas... ceci... Maintenant, ne vous faites pas de fausse idée en pensant que je ne crois pas dans ces émotions. Certainement j'y crois! Mais ce dont nous traitons maintenant, ce que nous essayons d'exercer avec les gens de ce jour, ce ne sont pas les émotions. Le diable a pris ces choses et les a utilisées de manière désordonnée avec les gens en leur faisant baser leur destination éternelle sur une émotion! le fait de crier, parler en langues, aller à l'église tous les Dimanches, se comporter comme un chrétien, cela ne rapportera rien du tout en ce jour-là! «Si un homme ne naît de nouveau!...» Et votre vie reflète ce que vous êtes à l'intérieur, voyez, pas vos émotions!

57    Vous pouvez avoir du sang dans les mains, vous pouvez parler en langues, vous pouvez guérir les malades, vous pouvez déplacer des montagnes avec votre foi, et vous n'êtes toujours rien! 1 Corinthiens 13, voyez-vous. Il faut que ce soit quelque chose qui se produise par une naissance qui vient de Dieu, et Dieu apporte une nouvelle naissance en vous et vous donne une partie de Lui-même. Alors ces choses sont! Vous êtes une nouvelle création. «Je leur donne la Vie...»

58    Nous avons examiné le mot «éternel». «Pour toujours», c'est «un espace de temps». L'éternité, c'est pour toujours, pour toujours et pour toujours, mais il n'y a qu'une seule éternité; et nous découvrons que l'on reçoit la «Vie éternelle», et le mot en grec est «Zoé», ce qui signifie «la vie de Dieu», et vous recevez une partie de la vie de Dieu, qui fait de vous un fils spirituel de Dieu, et vous êtes juste aussi éternel que Dieu! Vous n'avez pas de fin, pas d'endroit où vous arrêter, parce que vous n'avez pas eu d'endroit où commencer. Tout ce qui a un commencement a une fin, et ce qui est sans commencement n'a pas de fin.

59    Combien nous aimons cette précieuse Parole! combien le chrétien devait être fondé dans la Foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes et ne pas flotter d'endroit en endroit, et adhérer à diverses églises. Toute église à laquelle vous désirez appartenir est très bien aussi longtemps que vous êtes chrétien; mais mettez la première chose en premier lieu, c'est-à-dire la naissance qui fait de vous des êtres apparentés à Dieu comme Dieu est devenu votre parent.

60    Il est devenu notre parent afin de pouvoir vous ressusciter... Avant qu'Il puisse vous ressusciter, Il doit vous donner la Vie éternelle. Alors Dieu devait devenir notre parent pour recevoir la mort, afin de vous ressusciter. Alors, vous devez devenir apparentés à Lui, afin d'entrer dans la résurrection. Vous voyez ce que c'est? C'est simplement un échange. Dieu est devenu vous afin que vous puissiez devenir Dieu. Voyez-vous? Dieu est devenu une partie de vous (chair), afin que vous puissiez devenir par sa grâce une partie de Lui (c'est tout, pour avoir la Vie éternelle). Quelle belle image! Et, oh! nous T'aimons!

61    Maintenant:
    ...Dieu, voulant avec plus d'évidence... (il ne le devait pas, mais il était désireux de le faire.)

62    J'en suis tellement heureux (pas vous?), que notre Dieu soit désireux! Regardez, qu'en serait-il, s'Il n'était pas patient? Quel est le fruit de l'Esprit? l'Amour, la joie, la fidélité, la paix, la longanimité. Voilà une partie de Dieu qui est en vous. Et peut... la patience, supporter les fardeaux les uns des autres. Le pardon réciproque, comme Dieu vous a pardonné, à cause de Christ. L'Esprit de Dieu en vous, vous rend ainsi. Et alors, quand Dieu était ici-bas et qu'Il est devenu vous, qu'Il est devenu péché, quand Lui, a pris votre péché, Il l'a porté pour vous et en a payé le châtiment. Dieu est patient, supportant nos fardeaux.

63    Ensuite, c'est un Dieu bon. Si vous voulez que... certaines choses à votre façon, vous savez que Dieu a la bonté de faire cela. Il aime vous rendre--rendre heureux. Il veut... Il est Amour, et Son amour va jusqu'à Le contraindre parfois à descendre, pour que vous ayez les choses que vous voulez.

64    Regardez Thomas, après la résurrection, Thomas ne voulait pas croire. Oh! il a beaucoup d'enfants aujourd'hui! Mais Thomas disait: «Non, non! il me faudra avoir quelque évidence. Je devrai mettre mes mains dans son côté et dans son... mettre mes doigts par ici dans ses mains, avant que je ne le croie! Peu m'importe ce que vous dites.»
    Voyez-vous, il était complètement en dehors de l'ordre scripturaire, à ce moment-même. Vous êtes censé le croire! Aussi il disait: «Je dois avoir une sorte d'évidence, pour le prouver.»

65    Et Jésus est apparu, car il est bon: «Viens donc, Thomas, si c'est là ce que tu veux, eh bien! nous y voilà. Tu peux l'avoir.»

66    C'est ainsi que nous sommes! Nous disons: «Seigneur, je dois parler en langues. Je dois crier, je dois...»

67    «Oh! vas-y! Je permettrai que tu l'aies.»
    Il est bon.

68    Aussi, il enfonce les mains dans Son côté; alors il dit: «Oh! c'est mon Seigneur et mon Dieu!»

69    Il dit: «Alors, Thomas, tu crois depuis que tu as vu. Mais combien plus grande est la récompense de ceux qui n'ont pas d'évidence et cependant le croient!» Nous y voilà! C'est là que nous devons aboutir. «Combien pour grande est la récompense de ceux qui n'ont rien vu mais cependant le croient!» C'est un acte de foi, que nous l'acceptons.

70    Maintenant, je crois que les signes accompagnent les croyants, mais mettons les premières choses en premier lieu. Vous pouvez avoir les signes sans Ceci. Paul a dit que vous pouviez les avoir, il dit: «Je pourrais parler en langues comme les hommes et les anges: je ne suis rien! Je puis déplacer des montagnes par la foi; je ne suis rien! Je pourrais comprendre tous les mystères de Dieu: je ne suis rien!» Voyez-vous, voilà des dons du Saint-Esprit sans le Saint-Esprit!

71    Le Saint-Esprit est Dieu, et Dieu est «l'Amour, la Joie, la Paix... la longanimité, la bienveillance,» la patience: voilà l'Esprit de Dieu. Voilà ce que Dieu suscite au dernier jour, par cet Esprit.

72    Maintenant, «Dieu, voulant davantage montrer... aux héritiers de la promesse... » Qui sont les héritiers? «Nous, étant morts en Christ, nous revêtons la Postérité d'Abraham et nous sommes des héritiers!» Oh! cela pénètre-t-il en vous? Nous sommes héritiers du Royaume de Dieu par une promesse jurée! Dieu n'avait pas à jurer. Sa Parole est parfaite. Mais Il jura également par Lui-même, car il n'y a pas de plus grand que Lui.

73    Pendant que nous continuons à lire juste un instant, écoutez:
    ...la promesse d'immuabilité de sa résolution, intervint par un serment... (l'immuabilité: ce qui ne change point.)

74    Dieu ne peut changer. Il doit rester le même. Et si Dieu a guéri une personne malade, Il ne peut jamais changer son attitude. Si Dieu a pardonné à un pécheur, une prostituée, Il ne peut jamais changer son attitude. L'immuabilité, ce qui ne change pas dans la Parole de Dieu. Si Dieu a dit à un endroit: «Je suis l'Éternel, qui guérit toutes tes maladies.» Il doit demeurer fidèle à cela; car Il est infini, Il connaissait jusqu'à la fin des choses et ce dès le commencement.

75    Maintenant, je peux dire: «Je ferai ici», alors que la Bible a dit que nous devrions dire: «si le Seigneur le veut» (parce que je suis mortel, j'ignore ce qui arrivera). Parfois, je dois retirer ma parole, mais Dieu ne peut pas retirer la Sienne. Il est Dieu!

76    Et Il n'a requis qu'une seule chose: «Si tu peux le croire!» Oh! la la! «Si tu peux croire, tout est possible! si tu peux croire.» C'est tout ce que vous... si tu peux! Voilà la question. Mais la question n'a pas trait à la Parole de Dieu; à cause de Son immuabilité, Il ne peut changer! Comme c'est merveilleux!

77    Écoutez donc, tandis que nous continuons à lire:
    Afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente... (impossible, une impossibilité et l'immuabilité sont pratiquement le même mot: cela ne peut se changer, ne peut bouger, cela doit rester pareil pour toujours. Ça ne peut être changé: l'immuabilité et l'impossibilité.)
    Et deux... par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente... («Nous avons deux choses?» Oui! Premièrement, sa Parole a dit qu'Il ferait la chose. Le second point était son serment juré à ce sujet, qu'Il le ferait.)

78    Oh! la la! quel genre de personnes devrions-nous être? pourquoi devrions-nous flotter et tourner en rond en acceptant les choses du monde et en nous comportant comme ce christianisme modelé style 1957? Nous devons être le type de chrétiens à l'ancienne mode qui prennent Dieu au mot et qui appellent les choses qui n'étaient point comme si elles étaient! «Si Dieu l'a dit, ça règle la chose!»

79    Abraham, à qui la promesse fut donnée, à lui et à sa Postérité, il appela les choses qui n'étaient point comme si elles étaient. Car c'était le promesse de Dieu, sachant que Dieu ne pouvait pas mentir. Il lui promit cela, et il le crut. Et tandis que les années passaient et que la promesse semblait s'éloigner davantage de l'oeil naturel, la chose s'est rapprochée d'Abraham.

80    Au lieu de s'affaiblir et de dire: «Eh bien! peut-être que la guérison divine, cela n'existe pas. Peut-être ai-je mal considéré la chose. Peut-être que cela n'existe pas. Peut-être me suis-je trompé dans toutes mes conceptions...»
    Alors cela montre une chose: que vous n'êtes pas né de nouveau.

81    «Car il est...» Nous sommes passés Dimanche dernier juste un peu plus loin en arrière dans le chapitre: «car il est impossible que quelqu'un qui a goûté une fois les dons célestes et autres choses, tombe encore et soit renouvelé et amené à la repentance.»(Absolument totalement impossible.) «Car celui qui est né de Dieu ne pratique et ne peut pas pratiquer le péché. Parce que la Semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pécher.» (La Semence de Dieu est «La Parole de Dieu».) «La foi vient de ce qu'on entend, de ce qu'on entend dans la Parole: ‘le sacrifice était fait, tout est terminé'!»

82    Maintenant, si vous commettez une faute, Dieu vous fera payer pour cette faute! Mais si vous le faites... la faute, vous ne le faites pas volontairement. Chapitre 10, le verset 47, je crois: «Car si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité...» Mais une fois que vous êtes né, vous avez la vérité; pas la connaissance de la vérité, mais vous avez accepté la vérité, et elle est devenue une réalité, et vous êtes un enfant de Dieu pour le temps et l'Éternité! Dieu a juré qu'Il le ferait!

83    Jésus a dit: «Celui qui écoute mes Paroles, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la Vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour; il ne viendra jamais en jugement, il est passé de la mort à la vie.» Alors avec pareil serment: «Dieu voulant que nous le recevions...»

84    Maintenant, remarquez ce que dit Paul ici, s'adressant à l'église:... «... est impossible que Dieu mente, nous devrions trouver un puissant encouragement... (pas: «Eh bien! si les Baptistes ne me traitent pas comme il faut, j'irai chez les Méthodistes!» Voyez-vous?)... Nous devrions trouver un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de saisir l'espérance qui nous était proposée.»

85    Maintenant donc, la lecture de la fin:
    Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme (l'espérance: le serment juré de Dieu)... nous la possédons comme une ancre de l'âme, sûre et solide; elle pénètre au-delà du... du voile.

86    Parlons juste un moment au sujet du «voile». Nous ne l'avons pas tellement bien saisi, Dimanche soir passé.

87    «Au-delà du voile!» le voile, c'est la chair. Le voile est ce qui nous empêche de voir Dieu face à face dans cette église. Le voile est ce qui nous empêche de voir les anges à leur place ce matin, debout à côté des sièges. Le voile est ce qui nous empêche de voir. Nous sommes cachés derrière le voile, et ce voile-là, c'est la chair. Nous sommes fils et filles de Dieu, nous sommes dans la Présence de Dieu. «Les Anges de Dieu campent auprès de ceux qui Le craignent.» Nous sommes en présence de Dieu tout le temps. «Je ne quitterai jamais; jamais Je ne t'abandonnerai. Je serai avec toi tous les jours, jusqu'à la fin.»
    Mais le voile est la chair, c'est là ce qui nous retient hors de Sa Présence. Mais à travers l'âme, l'Esprit, par notre foi nous savons qu'Il nous garde. Il est à nos côtés. Il est ici maintenant!

88    Un jour, le matin, à Dothan, un vieux prophète était encerclé par une armée et... son serviteur est allé à sa rencontre pour dire: «Oh! mon père, le pays tout entier est entouré par les étrangers.»

89    Et Élie s'est levé, disant: «Eh bien! mon fils, il y en a plus avec nous qu'il n'y en a avec eux!»

90    Eh bien! il écarquilla les yeux et regarda autour de lui, il ne pouvait rien voir.

91    Il dit: «Dieu, j'aimerais que Tu lui ouvres les yeux, que Tu lui enlèves le voile.» Et lorsque le voile tomba autour de ses yeux, autour de ce vieux prophète, il y avait des chars de feu, la montagne était en feu avec des anges et des chars. Vous y êtes!

92    Oh! Alors Guéhazi a pu dire: «Maintenant, je comprends.»
    Voyez-vous, le voile tomba. Voilà où réside l'empêchement!

93    Voici la chose, cramponnez-vous bien, c'est le voile qui nous empêche de vivre de la manière qu'il nous faudrait vivre! C'est le voile qui nous empêche de faire les choses que nous voulons vraiment faire. Et Dieu est devenu voilé dans la chair, et le voile a été déchiré en deux. Et Dieu est redevenu Dieu et Il fit revenir à la vie le voile dans lequel Lui-même s'était caché, c'était la résurrection du Seigneur Jésus. En nous prouvant que dans ce voile dans lequel nous sommes cachés maintenant... Par la foi, nous le croyons et l'acceptons. Et quand ce voile-là sera déchiré en deux, j'irai dans Sa présence, avec cette assurance de savoir que «Je le connais dans la puissance de sa résurrection.»
    À la venue du Seigneur Jésus, ce voile sera à nouveau ressuscité, d'une manière parfaite, au point que je me promènerai et parlerai avec Lui en tant que mon Sauveur et mon Dieu, quand Il s'emparera du trône de David. Et nous vivrons pour toujours dans ce voile après qu'il aura été rendu parfait, mais ce voile contient du péché. Il était... peu importe comment... ne pensez jamais à ce corps glorifié dans cette terre. Il doit mourir tout comme votre âme doit mourir, pour naître de nouveau. Dans la perfection...

94    Ce n'est pas le fait de manger des viandes, de faire telle chose et de perfectionner le corps, vous ne le recevrez jamais avec cela. Et devoir abandonner ceci, et faire ceci, et faire cela et encore faire ceci, cela c'est la loi! C'est légaliste! Nous le croyons ainsi: «C'est par la grâce que nous sommes sauvés!» Et ce n'est pas vous. Vous n'avez rien à voir avec cela. C'est l'élection de Dieu qui vous sauve: «Nul ne peut venir à Moi, si mon père ne l'attire.» C'est vrai. Et il... Tout ce que Jésus est venu faire, c'était d'obtenir ceux que le Père pré-connaissait; et Il les a prédestinés avant la fondation du monde, à devenir fils et filles de Dieu. Amen, «Ce n'est ni celui qui court, ni celui qui veut, mais Dieu qui fait miséricorde!»
    C'est Dieu qui le fait! Vous ne pouvez pas du tout vous vanter. Il n'y a pas une seule chose que vous ayez faite, Dieu par grâce, vous a sauvé; ce n'est pas vous-même; si c'était le cas, vous auriez quelque chose dont vous pourriez vous vanter. Mais vous n'avez rien pour vous vanter. Toutes les louanges Lui reviennent. C'est Lui. Alors Il vous donne cette ferme assurance, Il l'a jurée par un serment, l'impossibilité pour ses enfants de jamais être perdus.

95    Maintenant, on reçoit des coups de fouet pour avoir mal agi, on sème ce qu'on récolte, on reçoit cela. Ne pensez pas maintenant que vous puissiez simplement continuer à sortir et à pécher et vous en tirer sans problème! Si vous le faites, et que vous ayez cette attitude, cela montre que vous n'êtes jamais né de nouveau. Vous saisissez? Si vous avez encore le désir en vous de faire le mal, alors vous êtes encore dans le mal, Voyez-vous? «Car Il a rendu parfaits pour toujours ceux qui...»
    Et ces bêtes sous l'Ancien Testament, aux jours de la loi, offerts annuellement, continuellement, ne pouvaient jamais ôter le péché. Mais lorsque nous mettons les mains sur Sa tête et que nous confessons nos péchés et que nous sommes nés de nouveau de l'Esprit de Dieu, nous n'avons plus le désir du péché. Le péché s'est éloigné de vous. Et c'est pour le temps et l'éternité!

96    Vous ferez des fautes, vous tomberez, vous ferez volontairement le mal, vous sortirez parfois pour faire certaines choses; cela ne signifie pas que vous soyez perdu, cela signifie que vous allez recevoir une correction!

97    Mon petit garçon, maintes fois... Mes enfants feront certaines choses, les vôtres en font aussi, de manière à ce que vous... ils savent que c'est contre les règles établies. Et ils savent à quoi s'attendre quand ils le font: ils auront la fessée à cause de cela, et parfois une bonne! Mais c'est toujours votre enfant! Certainement!

98    Il est impossible pour cet homme de se perdre de nouveau, une fois, celui qui est une fois né de la Vie éternelle, Dieu n'est pas un «donneur indien». «Celui qui écoute mes Paroles, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la Vie éternelle et ne viendra jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Et je le ressusciterai à la fin des temps.» Voilà la promesse de Dieu!

99    Maintenant, si vous continuez à dire: «Eh bien! alors je puis simplement faire...»
    Je fais toujours ce que je veux faire. Mais si vous êtes chrétien, vous ne voulez pas faire les choses qui sont fausses, à cause de la Vie-même qui est en vous, le fondement-même. Si vous voulez faire les mauvaises choses, cela montre que les mauvaises choses sont là, à l'intérieur. Comment l'eau amère et douce peuvent-elles provenir de la même fontaine?

100    Aussi, si vous avez été tout embrouillé à cause d'une espèce d'émotion ou de quelque chose de fantastique, oubliez-le! Retournez vers l'autel et dites: «Dieu, enlève ma vieille vie pécheresse, et mets-moi dans une telle condition que mon désir tout entier...»
    «Celui qui est né de Dieu ne pratique pas le péché.» C'est vrai, il n'a aucun désir d'agir ainsi.

101    Sûrement le diable lui tendra des pièges ici et là, mais il n'y tombera pas volontairement. Certainement qu'il tendra des pièges. Il a essayé de tendre un piège à notre Seigneur Jésus. Il l'a essayé avec Moïse et il l'a essayé avec Pierre et l'a attrapé. Il l'a essayé avec un grand nombre, mais... Pierre a même renié Jésus, mais il est allé pleurer amèrement, car il y avait quelque Chose en lui.

102    Lorsque la colombe fut envoyée hors de l'arche... le corbeau est sorti, et il a croassé tout autour. Il était très bien dans l'arche, mais quand il en est sorti, sa nature était différente. Il pouvait manger toutes les vieilles carcasses mortes qu'il voulait, et être satisfait. Pourquoi? Il était un corbeau au départ, il était un nécrophage, il ne valait rien de bon. C'était un hypocrite, assis sur le perchoir avec la colombe, aussi gros que la colombe! Et il pouvait voler partout où la colombe volait! Et il pouvait manger de la bonne nourriture tout comme la colombe, mais il pouvait aussi manger de la nourriture putréfiée, ce que la colombe ne pouvait pas faire! Car la colombe a une constitution différente, elle est de fabrication différente, c'est une colombe! Et la colombe ne peut digérer de la nourriture putréfiée, car elle n'a pas de bile.

103    Et un homme qui est né de l'Esprit de Dieu devient une colombe de Dieu, sa nature, son changement, sa composition. Oui monsieur! Si vous mettez l'esprit de la colombe dans le corbeau, il ne s'assiéra jamais sur un cadavre! s'il se posait par erreur, il s'éloignerait certainement vite, il ne pourrait pas le supporter. Et quelqu'un qui est né de l'Esprit de Dieu, ne le tolère pas! Il pourrait filer une fois pour aller dans un bar, mais il en sortira rapidement. Une femme pourrait l'attirer, faire en sorte qu'il se retourne, mais il détournera de nouveau la tête. Il s'éloignera de là rapidement. Pourquoi? Il est une colombe. C'est vrai. Vous ne pouvez le duper, parce qu'il sait bien, c'est: «Mes brebis connaissent Ma Voix, et elles ne suivront point un étranger.» Il est une colombe au départ. C'est ce dont je parle, la chose réelle qui est ancrée là-dedans.

104    Maintenant, faites bien attention, Dieu l'a juré:
    Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme... et solide: elle pénètre au-delà du voile.

105    Le voile: Dieu est descendu voilé dans la chair. Pour faire quoi? Pour Se montrer Lui-même! Il devait se cacher, parce que nous ne pouvions pas Le voir. Et Il s'est caché derrière le voile. Et le voile était qui? Jésus! «Ce n'est pas Moi qui fais les oeuvres, mais mon Père, dit Jésus. Mon Père demeure en moi, j'agis et mon père agit; Moi aussi, j'agis jusqu'à présent.» Le voici en tant que Celui est voilé, marchant en chair, Dieu Emmanuel (Dieu avec nous). «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même.» Le voici marchant parmi nous.

106    Alors Il est descendu et a fait une sanctification (ou une provision ou une propitiation), de sorte que par Sa mort qu'Il a offerte, Il a payé le salaire du péché; afin de pouvoir revenir et demeurer en nous. Alors, la foi que nous avons est une--est une foi voilée ou une personne voilée, c'est pourquoi nous ne regardons pas aux choses que nous voyons dans ce voile. Le voile a de l'éducation, et il fait des choses et parle certaines choses. C'est une chose scientifique. Mais l'Esprit du Dieu vivant qui demeure ici à l'intérieur, appelle les choses qui n'étaient point comme si elles étaient, si Dieu a dit qu'elles étaient. Voilà votre voile. Nous sommes dans le voile.

107    Maintenant, un jour Il ressuscitera ce voile non point né d'une femme par le désir sexuel de l'homme et de la femme, mais par la volonté de Dieu. Il parlera et la chose s'accomplira. Alors nous aurons un corps comme Son propre corps glorieux. Nous serons voilés afin de pouvoir parler l'un à l'autre, se serrer la main l'un de l'autre.

108    Maintenant, lorsque nous partons d'ici, il y a un tabernacle, une théophanie (simplement l'image d'un homme), qui ne mange pas, ne boit pas, ne dort pas, toujours éveillé! C'est là que nous allons. Mais ils attendent sous l'autel, criant «Seigneur, combien de temps? combien de temps?», avant de pouvoir redescendre, parce qu'ils veulent se serrer la main, ils veulent s'asseoir, manger et se parler. Ce sont des humains. Béni soit le Nom du Seigneur!

109    Lorsque Dieu fit l'homme à Sa propre image au commencement, Il le fit ainsi. L'homme avait communion avec les autres, parce que nous nous connaissons les uns les autres. Nous aimons les choses que Dieu a faites de nous, parce que nous avons été faits ainsi. Et dans Sa grande venue, ceux qui sont prêts seront ainsi pour toujours, immortels, nous nous tiendrons dans Sa ressemblance. Oh! béni soit ce Nom de Christ!

110    Et maintenant nous avons les arrhes de notre Salut, alors que nous L'acceptons comme notre Sauveur personnel, comme notre Guérisseur. Toutes ces autres rémunérations sont les dividendes payés sur la police d'assurance, amen! Vous savez ce qu'est une police d'assurance. Vous pouvez en tirer des dividendes jusqu'à ce que vienne la valeur nominale. Certainement, vous pouvez retirer des dividendes, et nous retirons des dividendes maintenant. La seule chose qu'il y ait, c'est que, dès que nous retirons des dividendes, les rémunérations augmentent à nouveau.

111    Un agent d'assurance me dit une fois: «Billy, j'aimerais vous vendre une assurance.»
    Je dis: «J'en ai une!» Ma femme se retourna pour me regarder.

112    Maintenant, je n'ai rien contre les assurances. Mais certaines personnes sont «pauvres d'assurance». Ainsi, ils se sont retournés, et il dit...

113    Ma femme me regardait drôlement: «Tu as une assurance?»

114    Je dis: «Bien sûr!» Eh bien! elle n'en savait rien!

115    Il dit: «Eh bien! Billy, quelle sorte d'assurance avez-vous?

116    Je dis:
Certitude bénie, Jésus m'appartient!
Oh! quel avant-goût de la gloire divine!
Héritier du Salut, par Dieu racheté,
Né de son Esprit, dans Son sang lavé!

117    Il dit: «Cela c'est très bien, Billy, dit-il, mais cela ne vous aidera pas pour vous mettre au cimetière.»
    Je dis: «Mais Cela m'en sortira, c'est la chose principale. Je ne suis pas inquiet d'aller là. Je suis inquiet d'en sortir.»

118    Et depuis que j'ai l'assurance, par le Dieu de l'éternité, qui a juré qu'Il me ressuscitera à nouveau à la ressemblance de Son Fils au dernier jour, je marcherai avec hardiesse et j'aurai une consolation et une ancre de l'âme, à savoir que pendant que je suis dans ce voile, il y a quelque chose d'invisible qui me tient ancré dans le Rocher des siècles là-bas! Et les eaux peuvent sauter et exploser, cela n'a aucune espèce d'importance. Si la mort, les périls ou quelque chose nous séparent, ça ne nous séparera pas de l'Amour de Dieu. Mon ancre tient au-delà du voile! que les flots se lèvent, qu'ils heurtent, que les infidèles arrivent, le croyant né de nouveau possède une ancre.
    Vous ne pouvez pas encore voir à travers ce voile. Mais je sais que mon ancre tient là-bas fixée au Rocher des siècles, qui est une promesse jurée qu'Il me ressuscitera au dernier jour.

119    Il n'est pas étonnant que vous puissiez voir la mort en face et dire: «Où est ton aiguillon? Tombeau, où est ta victoire? mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!» Nous sommes dans le Précurseur. Oh! la la! (Nous n'allons pas parvenir à la leçon.) Nous avons un Précurseur pour nous.

120    Un précurseur. Avez-vous jamais remarqué dans les jours d'autrefois dans l'Ouest, souvent le long des vieilles pistes, il y avait un éclaireur avant-coureur? Quand le convoi de chariots était en péril pour manque d'eau, l'éclaireur courait en tête (et s'il voyait les tribus d'Indiens, il les contournait), et il voyait où il y avait une fontaine d'eau.

121    Et ici, nous avons l'Avant-Coureur. L'homme fut une fois cloué par le diable sous la mitraille, mais quelqu'Un a pris le nid de la mitrailleuse. C'était Jésus, le Précurseur est allé devant nous. Et Satan se tenait là avec une mitrailleuse, et nous clouait au sol (toujours dans l'esclavage et effrayés de la mort); il montait la garde devant cette Fontaine; certainement qu'il la montait, la commission lui avait été faite parce que nous avions péché et que nous en avions été chassés. Mais le Précurseur, Christ, est entré et a pris le nid!

122    Avez-vous entendu ce vieux cantique: «Tenez le fort car je viens!» non pas «tenez le fort!», mais «prenez-le!» Nous ne voulons pas le tenir plus longtemps, Christ a pris le fort! Alléluia! La porte est ouverte. Une source est ouverte dans la maison de Dieu, dans la cité de David, pour que vous puissiez vous purifier, pour la purification des impurs. Notre Précurseur est déjà entré à l'intérieur pour nous!

123    Le Précurseur, Il nous dit: «Il y a un endroit juste au-delà, là-bas, où vous ne vieillirez jamais!» Où il n'y aura pas de rides, où vous ne devrez pas utiliser du Max Factor pour avoir l'air belle pour votre mari! Le Précurseur est allé de l'avant. Il n'y aura plus jamais d'endroit où vous vieillirez et deviendrez las et chancelant. Il y a un endroit où vous ne deviendrez jamais malade. Où les bébés n'auront jamais de coliques. Où vous ne perdrez jamais de fausse... ou de dent pour en avoir une fausse. Alléluia! Oh! béni soit Son Nom! Il y est entré, et nous nous tiendrons un jour immortels à Sa ressemblance, de l'autre côté, pour briller plus que les étoiles et le soleil! Certainement, le Précurseur est allé au-devant de nous!
    ...Jésus est allé... est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour nous, selon l'ordre de Melchisédek.

124    Ce grand Précurseur est allé devant nous, a frayé un chemin. Il viendra de l'Esprit, les grandes fontaines de l'arc-en-ciel de Dieu, qui n'avait ni commencement ni fin. Il était pour toujours, Dieu. Ce rayon de lumière est sorti, c'était un rayon d'Amour, c'est là le principal, le rouge. La couleur suivante était le bleu; le bleu, la fidélité. Après, ce qui suivait, c'étaient d'autres couleurs jusqu'à former sept couleurs parfaites, qui sont les sept esprits de Dieu, qui sont sortis de grandes sources ou de ce grand Diamant dont Jésus a parlé. Ce grand Diamant, qui a été taillé pour refléter ces couleurs: Dieu a été fait chair et a habité parmi nous, afin de pouvoir refléter Sa bonté et miséricorde parmi nous par des dons, des signes et des prodiges! Tout ce grand arc-en-ciel avait revêtu la forme d'une théophanie de... Faite à l'image de l'homme! Cependant, Il n'était pas un homme, Il n'avait pas encore de chair, Il était une théophanie.

125    Moïse dit: «J'aimerais Te voir.» Dieu le cacha dans le rocher.

126    Et lorsqu'il passa par là, Il lui tourna le dos. Moïse dit: «Cela ressemblait à un homme vu de dos.»

127    Alors, que s'est-il passé ensuite? un jour là-bas, alors qu'Abraham était assis dans sa tente...
128    Eh bien! nous aborderons cela ce soir. Quand Abraham était assis dans sa tente, Dieu est venu vers lui dans un corps de chair.

129    «Eh bien! direz-vous, Frère Branham, il était...»
Nous allons le découvrir ici rencontrant Abraham avant cela, selon l'ordre de Melchisédek; un corps de chair qui était Dieu dans la chair.

130    Vous dites: «Alors, Frère Branham, pourquoi devrait-il revenir et naître?»
    Il n'était pas né alors, il était simplement créé, un corps dans lequel il a habité.

131    Melchisédek était le Roi de Salem, c'est-à-dire le Roi de Jérusalem, c'est-à-dire le Roi de Paix; qui n'avait ni père, ni mère, ni commencement de jours ni fin de vie. Jésus avait et père et mère, et un commencement de jours et une fin de vie. Mais lui a été fait selon l'ordre de Melchisédek, qui n'avait ni commencement de jours ni fin de vie.

132    Melchisédek était Dieu Lui-même. Melchisédek était Jéhovah Dieu, le même qui rencontra Abraham des années plus tard, devant sa tente. Il avait le dos tourné par rapport à lui. Il dit: «Pourquoi donc Sara a-t-elle ri?» C'est vrai. Il était celui qui se tenait là, regardant en direction de Sodome. Abraham L'a reconnu, parce qu'à l'intérieur de son voile il y avait une ancre qui était cette promesse. Non parce qu'il avait une certaine sensation, mais parce que Dieu lui avait fait la promesse! Et quand il est entré en contact avec ce grand aimant, il savait qu'Il était dans cette chair!

133    Il est sorti avec Abraham, a marché un petit bout de chemin avec lui. Il dit à Abraham ceci: «Je veillerai à ne pas refuser ces choses à Abraham, pour qu'il voie qu'il est l'héritier du monde; Je ne le lui cacherai pas! Aussi Abraham, Je te dirai ce que Je suis en train de faire (nous le prendrons ce soir), là-bas, à Sodome.» (Et ce qu'ils allaient tous faire.) Et dès qu'il eut béni Abraham, Il retourna dans l'espace. Un homme qui était debout là et avait de la poussière sur les vêtements, un homme. Et non seulement cela, mais Il a mangé la chair d'un veau qu'Abraham avait tué, et a bu du lait de vache, et a mangé quelques galettes de maïs (un pain de maïs) qui était beurré. C'est l'exacte vérité! Et puis Il est retourné à une théophanie.

134    Qu'était-ce? Pourquoi ne l'a-t-il pas prise alors? il n'était jamais né comme vous et moi; mais il devait naître dans la chair afin de pouvoir saisir cette sphère. C'était là un corps créé. C'était un corps où il avait simplement retiré le calcium et la potasse de la terre et a dit [Frère Branham souffle. – N.D.É.]... et Il est entré dedans. C'était la même chose qu'était Melchisédek. Il est entré en lui, dans un corps où Il pouvait marcher devant lui sous un voile, un voile de sa propre création; non pas un voile de la création d'une femme, par le sein d'une femme, par une cellule, jamais, mais Il a créé ceci et y est entré et Il a parlé selon l'ordre de Melchisédek.

135    Qui était ce Melchisédek?
    En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, (c'est-à-dire Jérusalem), prince du Dieu Très-Haut (certainement), alla au-devant d'Abraham lorsqu'il revenait de la défaite des rois, qui le bénit,
    et à qui Abraham donna la dîme de tout, qui est d'abord Roi de justice, d'après la signification de son nom, (grand Amour, l'Amour, ce grand Esprit au commencement)... Roi de justice, ensuite roi de Salem, c'est-à-dire le Roi de paix, qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie.

136    Qui était-ce? Il n'était jamais né, Il ne mourra jamais. Qui est-ce? C'était Dieu, bien sûr, en préfiguration du Seigneur Jésus. Certainement qu'Il était dans cette préfiguration. Mais Il devait venir par une femme, selon l'ordre des choses par lequel vous venez par une femme, et Il devait venir de la façon que vous venez, afin de vous ramener à Lui. Alléluia!
Oh! grâce étonnante, combien le son en est doux,
Grâce qui a sauvé un misérable comme moi!
J'étais perdu mais maintenant je suis sauvé (par sa grâce)
J'étais aveugle, mais maintenant je vois!

137    Je comprends ce qu'il devait faire. Dieu est devenu moi, afin que moi par grâce je puisse devenir partie de Lui; Il a pris mes péchés, afin que par sa justice je puisse avoir la Vie éternelle. Je n'ai pas pu me choisir moi-même, ma nature était d'être pécheur. Je n'y suis pour rien. J'étais «né du monde, enfanté dans l'iniquité, venu au monde parlant le mensonge.» Il n'y a pas même la moindre chance, rien, pas même un désir.

138    Dites à un cochon que c'est «faux de manger de la boue». Voyez combien il vous écoutera! Dites à un corbeau que «c'est faux de manger de la charogne», et voyez ce qu'il vous dira! S'il pouvait parler, il dirait: «Occupez-vous donc de vos propres affaires!» Certainement.

139    Oh! mais la grâce de Dieu qui a changé cette nature et m'a donné la possibilité de désirer et de languir après Lui, et d'avoir soif. «Ton amour, ta bonté vaut mieux pour moi que la vie, ô mon Dieu. Mon coeur aussi soupire après toi.»

140    David: «Comme une biche soupire après des courants d'eaux, ainsi mon âme est assoiffée de Toi, ô Dieu.»

141    Dieu a donné à l'homme cette soif de l'adorer, d'aimer, de Le rechercher. Mais l'homme la pervertit par l'appel du diable, et il va convoiter des femmes, des plaisirs et des choses du monde, essayant de satisfaire cette sainte création où Dieu l'a mis pour L'aimer, et il la projette (cette soif) sur les choses du monde. Mais, mon frère, une fois qu'il est changé et que cette fontaine avec des vers dedans (toutes sortes de désordres de la citerne) a été purifiée et stérilisée et que la pure Parole de Dieu y est mise, le péché ne peut jamais le toucher. Amen!
Oh! comme je L'aime, comme je L'adore!
Ma vie, mon soleil, mon tout en tout!
Le grand créateur est devenu mon Sauveur,
Et la plénitude de Dieu demeure en Lui.
Du haut de sa gloire, l'éternelle histoire,
Mon Dieu et sauveur vint, Jésus, Son Nom divin,
Né dans une crèche, étranger aux siens,
Le Dieu de peine, de larmes et d'agonie
Oh! comme je L'aime, comme je L'adore!
Mon souffle, mon soleil, mon tout en tout! (Oh! mon Dieu!)

142    Comment pouvait-il le faire? Les hommes ont essayé de le décrire. Quelqu'un a dit:
Si les océans étaient tous remplis d'encre
Et les cieux un parchemin
Si chaque tige sur Terre était une plume,
Et chaque homme un écrivain,
Décrire l'Amour de Dieu (comment ce grand Dieu du Ciel est devenu chair et a pris mon péché)
Décrire l'Amour de Dieu mettrait à sec les océans;
Et le rouleau ne pourrait en contenir le tout
Quoique étendu d'un bout à l'autre du ciel.

143    Et pour donner au héritiers de ce Salut une espérance certaine, Il a juré par Lui-même, qu'Il nous ressusciterait au dernier jour, qu'Il nous donnerait la Vie éternelle. «Et personne ne peut les ravir de Ma main!» Amen! Prions:

144    Êtes-vous coupable de rejeter avec mépris son Amour? Avez-vous fui Son être béni (ce grand Être qui a fait de vous ce que vous êtes)? Et maintenant vous avez choisi, ce matin; arrivé à un moment de la vie, et cela vous donne une chance. Voulez-vous continuer à vivre? Il n'y a qu'une seule manière de vivre, c'est en croyant au Seigneur Jésus! Si vous croyez de tout votre coeur, qu'Il est le fils de Dieu, et que vous L'acceptiez en tant que votre Sauveur, et croyiez que Dieu l'a ressuscité pour votre justification, si vous voulez accepter les choses sur cette base, cela vous appartient maintenant!

145    Voulez-vous lever la main? S'il y a l'une ou l'autre âme impénitente qui aimerait se repentir ce matin, que cette personne dise: «Souviens-toi de moi, mon frère prédicateur, dans cette prière. Moi aussi j'ai failli. J'ai adhéré à l'église, mais je sais que je n'ai jamais eu la chose dont vous parlez. Je ne suis jamais né de cet Esprit-là, Frère Branham. Je ne l'ai simplement pas, c'est tout! je veux que vous priiez pour moi, que Dieu me le donne ce matin.»
    Que Dieu vous bénisse, monsieur, y en aurait-il encore un autre? Dites: «Dieu, fais de moi ce que je... Tu veux que je sois? Je désire que Tu sois... Je désire être comme Tu veux que je sois. J'ai rejeté avec mépris Ton amour.» Dieu vous bénisse, mon fils!

146    Un moment simplement, maintenant: [le Frère Branham chante – N.D.É.]
Si les océans étaient tous remplis d'encre
Et les cieux un parchemin,
Si chaque tige sur Terre était une plume,
Et chaque homme un écrivain,
Décrire l'Amour de Dieu
Mettrait à sec les océans,
Et le rouleau ne pourrait en contenu le tout
Quoi que étendu d'un bout à l'autre du ciel.
Oh! Amour de Dieu si riche et pur!
Combien Tu es vrai et fort!
Le chant des anges et des Saints
À jamais durera!

147    Mon cher Dieu, vraiment ce poète qui a écrit ces mots était simplement comme beaucoup d'autres de Tes croyants, recherchant, essayant de trouver des mots pour exprimer la chose. Et il est écrit dans la Bible: «De plus, parce que le Prédicateur était sage, il a sondé et mis en ordre beaucoup de paroles.» Oh! comme nous aimerions avoir la langue et le vocabulaire afin de pouvoir expliquer aux gens ce que c'est réellement, mais cela n'a pas pu être trouvé sur des lèvres mortelles. Toute l'éternité, sans doute ne révélera jamais comment le Dieu du Ciel est venu ici-bas pour sauver de pauvres pécheurs perdus et misérables.

148    Je Te prie, ô Père, que par ces quelques paroles non brisées... ou brisées plutôt en ce matin, comme j'aurais dû dire, que quelqu'un ait trouvé la paix ainsi qu'une satisfaction et un puissant encouragement, quelqu'un qui a trouvé refuge. Et puisse leur âme être ancrée à cette promesse que Dieu a jurée, qu'Il les ressusciterait au dernier jour. Plusieurs mains se sont sevrées dans le bâtiment, ici même dans ce tabernacle. Dieu, donne-leur cette ferme espérance à l'instant même. Puissent-ils être ancrés au Rocher des siècles. Peu importe combien la mer est agitée et combien leurs petites barques sautent, elles ont une ancre: la promesse de Dieu. C'est là qu'ils se tiennent: «Dieu l'a dit, Il ne peut mentir.»

149    «Celui qui écoute mes Paroles (que j'ai essayé de prêcher ce matin), et qui croit à celui m'a envoyé, Jéhovah, a la Vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

150    Ô Éternel, bénis ceux-là aujourd'hui, et puisse chaque personne ici à l'intérieur qui n'est pas sous le Sang, dont l'âme n'a jamais été convertie... puisse la chose se produire en cet instant même, Seigneur! Tu opères le mystère, tout T'appartient, c'est remis entre Tes mains. Je prie que Tu leur donnes la Vie éternelle. Puissions-nous un jour, là-bas sur l'autre rive, alors que nous descendons à travers la vallée un par un, puissions-nous nous rencontrer là-bas où on ne dira plus jamais «au revoir».
Et un jour nous atteindrons le fleuve à la fin des temps,
Quand les dernières pensées de chagrin s'en seront allées;
Quelqu'un nous attendra, qui montrera le chemin...
    [Le Frère Branham se remet à chanter – N.D.É.]
Une personne... Quelqu'un attendra, qui m'indiquera le chemin
Je n'aurai pas à traverser...

151    Tous ceux qui ont cette espérance, levez la main maintenant alors que vous levez la tête:
Je n'aurai pas... (adorez-Le donc simplement. Le message est terminé. N'êtes-vous pas heureux? Dieu a juré qu'Il ne... Dieu a juré qu'Il vous rencontrerait là)
Jésus est mort pour expier tous mes péchés.
Quand je vois... (que dites-vous? l'aiguillon n'est plus là!)
Il m'attendra, c'est certain. Je n'aurai pas à traverser seul le Jourdain
Parfois je suis abandonné, soucieux, (Adorez-Le simplement maintenant.)
Mes amis semblent être tous partis: (Avez-vous jamais connu cette situation?)
Mais une pensée me redonne du courage (Quelle était la promesse?)
...réjouit mon coeur serein:
Je n'aurai pas à traverser le Jourdain...

152    Maintenant, enfants de la promesse, adorez-Le simplement, parce qu'Il traverse le fleuve avec vous:
Je n'aurai pas à traverser seul le Jourdain;
Jésus est mort pour expier tous mes péchés;
Quand je vois l'obscurité, Il m'attendra, c'est certain
Je n'aurai pas à traverser seul le Jourdain
Quand j'approcherai le fleuve.
    (Chacun d'entre vous y vient. Il y a une grande ombre obscure se dressant là devant vous. C'est une grande porte. Vous allez entrer là-dedans, un de ces jours, peut-être avant que le jour soit terminé, Peut-être avant que l'église ne ferme ce matin. Vous allez entrer là-dedans. Chaque fois que ce coeur bat, vous vous en approchez d'un pas.)
Mais quand je vois l'obscurité, Il m'attendra là-bas. (Il a dit qu'Il attendrait! Il a juré qu'Il attendrait!)
Alors je n'aurai pas à traverser seul le Jourdain.

153    Oh! Seigneur béni, nos coeurs sont pleins ce matin, jusqu'à déborder.

154    Quand on pense au moment où le pouls s'arrête, et que l'infirmière serre le coussin autour de votre tête. Et que vos mains, vous ne pouvez plus les bouger, vos mains sont devenues de glace. Vos enfants, votre mère, vos bien-aimés pleurent et crient. Cette grande porte s'ouvre largement là-bas! Il sera en train d'attendre!

155    David dit: «Si je me couche au séjour des morts, il y sera.» Je n'aurai pas à le franchir seul. Et les poussières d'eau du fleuve commencent à briller dans notre visage; Dieu prendra le canot. Il a promis qu'Il le ferait. David, le prophète, a dit: «Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal; tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent!»

156    Seigneur, nous sommes tellement heureux aujourd'hui, d'avoir été inclus dans les héritiers de la promesse. Aujourd'hui, nous avons en nous la Vie éternelle, parce que nous aimons le Seigneur Jésus et que nous L'avons cru, et accepté Sa Parole, et Son enseignement. Et Il nous a donné comme sceau de notre foi, le Saint-Esprit, le Sceau du Saint-Esprit; notre foi, le Saint-Esprit; notre foi à l'intérieur de nous est agréée. Et si nous traversons souvent des ombres sombres, si nous trébuchons souvent le long du chemin, cependant notre ancre tient toujours bon! Il y a quelque chose là-dedans, loin d'ici qui semble continuer à guider et à dire: «Continue à avancer. Nous continuons.»

157    Dieu, bénis-nous! Nous avons besoin de Toi. Garde-nous toujours fidèle jusqu'au temps où Tu viendras nous chercher, et nous Te louerons pour les siècles des siècles. et en ce jour où nous nous tiendrons debout sur Terre... Ses pieds bénis n'ont encore jamais touché la terre. Et voilà là dans les airs, et les saints et les rachetés de tous les âges dans chaque veille (la première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième et septième), tous sont debout là, vêtus dans Sa justice.
    Et nous Le couronnons Rois des Rois et Seigneur des seigneurs et nous chanterons ces histoires de la rédemption, nos pauvres coeurs trembleront tandis que nous regardons vers Celui qui nous a aimés et S'est donné pour nous. Alors que nous n'étions pas aimables et pécheurs, Christ est mort fin que nous puissions être sauvés. Nous Te remercions pour cela, Père, dans le Nom de Christ. Amen.

158    Vous savez, il y a eu quelques personnes qui avaient l'habitude de venir à mes réunions à Phoenix, Arizona, qui disaient: «J'aimerais reparler de ces choses avec lui. J'aimerais dire: «Seigneur, Tu m'as aimé, alors que mon sentier devenait tellement obscur. J'aimerais tout simplement parler de ces choses avec lui avant que nous traversions. Je veux le voir. Je veux tout simplement le voir. Quand je pense comment je me sentirai! Alors, mon pauvre coeur tremblera quand je le verrai debout là!»

159    Je me suis souvent demandé: «Je souhaiterais pouvoir avoir entendu cette voix disant: ‘venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés; je vous donnerai du repos'.»

160    Je n'entendrai probablement jamais cela aussi littéralement qu'Il l'a prononcé alors, mais je veux l'entendre dire: «Voici le dernier jour. C'était bien, mon bon et fidèle serviteur, entre donc dans les joies du maître qui ont été préparées pour toi!»
    - Depuis combien de temps?

161    - Depuis que vous êtes sauvé?

162    Non, mon frère: «Depuis la fondation du monde, quand Je t'ai vu et connu d'avance et prédestiné à la Vie éternelle.» Alors tu as été béni! «Tous ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a appelés.» Est-ce vrai? «Tous ceux qu'Il a appelés, Il les a justifiés. Ceux qu'Il a justifiés, Il les a déjà glorifiés.» Nous y voilà! Il nous a connus d'avance, Il nous a appelés, Lui à la fin du monde, allons vers notre récompense. N'êtes-vous pas heureux? Certainement, cela ferait en sorte que vous L'aimiez. Alors que vous ne pouviez pas vous en tirer tout seul, voici qu'Il est venu et a fait cette chose pour vous.

163    «Béni soit le lien... (Soeur Gertie)... qui nous unit en Christ...»; pendant que nous avons ce peu de communion dans l'adoration ici maintenant... alors nous allons prier pour les malades. Dieu vous bénisse, vous qui avez levé les mains vers Christ ce matin, trouvez un endroit pour adorer; servez-Le.

164    Maintenant, adorons-Le simplement en tant que congrégation, vous tous méthodistes, de l'Église de Dieu, des Assemblées de Dieu, presbytériens, luthériens, catholiques. Tous ensemble maintenant, chantons donc:
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le Saint amour, l'Amour divin,
Que verse en nous l'Esprit!
Au ciel, vers notre Dieu,
Avec joie et ferveur,
S'élèvent nos chants et nos voeux,
Parfums doux au Seigneur
Si nous devons bientôt
Quitter ces lieux bénis;
Nous nous retrouverons là-haut (Combien de méthodistes, de baptistes, et tout le reste?)
Pour toujours réunis!

165    Cela ne vous fait-il pas du bien? Retournons-nous et serrons-nous maintenant la main les uns les autres pendant que nous chantons de nouveau:
Au ciel... (serrez la main de quelqu'un derrière vous, en face de vous, d'un côté ou de l'autre.)
Avec joie et ferveur,
Parfum doux au Seigneur.
Alors, si nous devons bientôt (nous nous aimerons les uns les autres.)
Quitter ces... (souhaitez-vous que la réunion puisse continuer? Voyez, c'est ainsi que vous...?...)
...lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut, (en un)
Pour toujours réunis. (si nous ne nous rencontrons plus ici, c'est en ce grand jour que nous nous rencontrerons.)

166    Maintenant, père, reçois notre adoration ce matin. Prends la Parole et plante-La dans le coeur du croyant. Puissent-ils ne pas simplement flotter, être en haut aujourd'hui et en bas demain. Mais puissent ces Paroles trouver leur lieu de repos dans le coeur de chaque croyant, pour savoir que «Dieu a juré par un serment, et il y a deux choses invariables dans ce qui ne change pas chez Dieu, c'est qu'Il ne peut mentir; afin que les héritiers de ce Salut puissent avoir cette forte espérance, solide et sûre, une ancre dans l'âme». De savoir ceci, que Dieu nous a promis par un serment juré: premièrement qu'Il ne peut mentir; l'autre chose, son serment juré en plus de cela, qu'Il nous ressuscitera au dernier jour et nous donnera la Vie éternelle. Sachant que après que nous avons été appelés, Il a dit que «Il nous a connus avant la fondation du monde et prédestinés à être Ses enfants d'adoption par Jésus-Christ.»
    Et Il nous a connus d'avance. Il nous a appelés. Et quand Il nous a appelés, Il nous a justifiés. Nous ne pouvons pas nous justifier nous-mêmes, aussi Il nous a justifiés par la mort de son propre Fils. Ceux qu'Il a justifiés, Il les a déjà glorifiés. La Parole a déjà prononcé, et nous sommes simplement en route, continuant sur le chemin, nous réjouissant sur notre chemin vers la gloire.

167    Donne de la foi aux gens, et puissent les petites habitudes et autres qui s'accrochent aux gens, puissent-elles être secouées et se détacher d'eux en ce matin, avec cette Parole de Dieu qui est une ancre de l'âme, solide et sûre. Puissent-ils se débarrasser de leurs habitudes, de leurs petits accès de colère, et les choses qui ont été... comme Paul a dit, dans la partie suivante du message d'il y a quelques jours: «Rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, ayant les regards sur le chef et le consommateur de la foi, Jésus-Christ, qui a été tenté comme nous de toutes les manières, sans pécher. Il a été permis qu'il fût tenté, mais il n'a pas cédé à la tentation.» Et nous sommes tentés de pécher, mais jamais de céder. Parce que la Vie qui est en nous est l'ancre de notre destination éternelle, et nous tenons cela sacré dans nos coeurs.

168    Maintenant, il y en a beaucoup qui sont malades et ont... sont affligés. Nous sommes sur le point de prier pour eux, Père. Puissent-ils, pendant qu'ils passent par ici sous la Parole de Dieu aujourd'hui... Cette précieuse Parole qui a été prêchée, la Bible rendant témoignage, les Anges de Dieu se tenant auprès d'elle, et le grand Saint-Esprit (au-dessus de tout) se tient ici pour rendre témoignage à la Parole. Maintenant, Père, tandis qu'ils passent sous la parole de promesse, ce matin, puissent-ils s'en aller d'ici en allant bien.
    Accorde Seigneur, d'enlever leurs liens, qu'ils quittent leurs chaises roulantes et civières sur lesquelles ils étaient étendus, et qu'ils soient simplement guéris. Puissent-ils retourner et se réjouir à la prochaine réunion où il leur sera permis de venir, ou devant leurs propres églises, en montrant quelles grandes choses Christ a faites. Nous faisons ceci pour Ta gloire, au Nom de Jésus! Amen.

169    Je dois des excuses pour une promesse que j'ai faite, que ce matin nous aurions le chapitre 7, mais je n'y suis pas parvenu! Et nous devons laisser un peu de temps ici pour une... ce... pour la ligne de prière. Et alors, ce soir, le Seigneur voulant, nous prendrons le chapitre 7, et nous découvrirons qui était ce Melchisédek. Combien aimeraient savoir? Oh! nous allons simplement tout droit vers lui, nous découvrons juste exactement qui il est. Et l'Écriture nous dit qui il est, voyez-vous!

170    Scofield a dit que «c'était un sacerdoce».
    Comment cela pouvait-il être un sacerdoce, sans commencement ni fin? vous voyez, ce n'était pas un sacerdoce. C'était un homme, Melchisédek, un nom, une personne. Comme...

171    Je ne le dis pas par manque d'égard, mais la Science Chrétienne dit que le Saint-Esprit est une «pensée».
    Et la Bible dit: «Il, le Saint-Esprit». Et «il» est un pronom personnel, c'est une personne. Pas une pensée, c'est une personne. Absolument!

172    Et Melchisédek est un homme, un homme qui n'avait pas de commencement de jours ni fin de vie. Il n'avait ni père, ni mère, ni généalogie. Et nous découvrirons qui il est, le Seigneur voulant, ce soir par la Parole. Aimez-vous cela? «Oh! Ta parole est une lampe sur mon sentier et à mes pieds.» Oh!

173    Maintenant, vous dites: «Frère Branham, je ne comprends pas tout à fait ceci.»
    Moi non plus!

174    Mais un jour, je prêchais là-bas dans le Kentucky. Et s'il y a quelques-uns des nouveau-venus, catholiques et d'autres personnes qui ne comprendraient pas combien ces choses profondes et riches de l'Écriture... J'avais prêché au sujet de la guérison divine. Une petite fille pieds nus avait apporté... elle n'avait que quinze ans; elle avait un petit bébé.

175    Elle a dit: «Il a des spasmes.»
    Elle ne savait pas quoi dire, la paralysie, elle ne savait pas comment appeler cela.

176    La petite n'avait probablement jamais porté de paire de chaussures de sa vie. La petite chérie d'un homme, avec de longs cheveux qui pendaient... et je dis: «Croyez-vous?»

177    Et ces petits yeux gris acier me regardaient, elle disait: «Oui, monsieur, certainement que je crois!»

178    J'ai pris le petit bébé. Et pendant que je priais pour lui, il s'est arrêté d'avoir des spasmes. Eh oui! et cela s'en est allé!

179    Le lendemain, je chassais des écureuils sur le flanc d'une montagne. Et j'ai entendu un homme assis là en train de parler, une vieille tronçonneuse bourdonnait. Et je me suis glissé là; j'avais été chasser des écureuils. Ils parlaient de moi, avaient parlé de moi, assis là en train de mâcher du tabac et de cracher, pendant que les feuilles volaient ainsi. Et ils parlaient alors au sujet la réunion du soir précédent. L'un d'entre eux a dit: «J'ai vu ce bébé; je suis passé par là ce matin. Il n'avait plus de spasmes ce matin.» Voyez-vous? Il a dit: «Cela c'était réel.» Et il cracha son...

180    Or, ils avaient des fusils appuyés contre l'arbre, aussi je pensais que je ferais mieux de me faire connaître. Vous savez, ils avaient des querelles internes là-bas aussi. Aussi, je me suis dirigé vers eux et j'ai dit: «Bonjour, frères!»

181    Et ce grand gars semblait être en train de parler, il avait une chique de tabac dans la bouche comme ça, qui ressortait très fort sur le côté comme ça, et un grand, un long cou. Et il portait un très grand et vieux chapeau rabattu sur son visage. Il a regardé tout autour et il m'a vu; il a tendu la main et il prit ce chapeau, et l'a jeté de côté, et est allé... [Frère Branham illustre ce qu'il dit. – N.D.É.]... Il a avalé ce tabac à chiquer et a dit: «Bonjour, pasteur!»
    Voyez-vous? Oui, monsieur! Du respect! Et cela est juste. Comment il a jamais pu survivre à cela, je l'ignore. Mais il a survécu!

182    Ainsi donc, le lendemain soir, alors que je retournais, il y avait là un homme qui voulait discuter un petit peu avec moi. Il fréquentait une église qui ne croyait pas en la guérison divine. C'était une église méthodiste, à White Hill, dans le Kentucky. Donc il--il est allé... il se tenait dehors. Il avait une lanterne à la main et il disait: «Je veux dire quelque chose, prédicateur: je ne peux simplement pas accepter cela, parce que je ne veux pas le voir!»

183    J'ai dit: «vous ne pouvez pas le voir?»

184    Il a dit, «Non! je suis moi-même un homme malade, mais je ne peux tout simplement pas le voir!» qu'il disait.
    J'ai dit: «Où habitez-vous?
    Il a répondu: «De l'autre côté, à Big Renox.»
    J'ai dit: «Eh bien! alors, comment allez vous pouvoir rentrer chez vous?»
    Il a dit: «Eh bien! je vais marcher pour rentrer.»
    J'ai dit: «Pouvez-vous voir votre maison?»
    Il a dit: «Non monsieur!»
    J'ai dit: «Il fait terriblement noir ce soir, c'est nuageux.»
    Il a dit: «Oui.»
    J'ai dit: «Comment rentrerez-vous chez vous?»
    Il a dit: «Avec cette lanterne.»
    J'ai dit, «Mais la lanterne n'éclaire pas le chemin tout du long jusqu'à la maison! Comment allez-vous faire?» lui ai-je dit.
    Il a dit: «Je marcherai à l'aide de la lanterne.»

185    J'ai dit: «C'est ça! vous avez la lumière de la lanterne maintenant, et chaque fois que vous marchez dans cette direction, la lumière continuera à montrer le chemin devant vous. Si vous continuez simplement à marcher, la lumière continuera à avancer avec vous.»

186    Et vous, faites donc cela ce matin, vous avez besoin de Christ le grand souverain Sacrificateur. L'Intercesseur, pour votre maladie ou vos problèmes de santé ou votre âme. Il se peut que vous ne le compreniez pas, nous ne la comprenons pas, mais nous avons reçu l'ordre de «marcher dans la lumière comme Lui est dans la lumière!» Vous, vous faites un pas dans la lumière, elle brillera jusqu'au jour parfait, elle montrera le sentier devant vous.
Et nous marcherons sur cette noble, vieille grande route,
Racontant partout à la ronde:
Plutôt être un chrétien à l'ancienne mode, Seigneur
Que toute autre chose au monde (N'avez-vous jamais entendu ce vieux cantique?)
Il n'y a rien comme un chrétien d'autrefois
Pour manifester l'amour chrétien,
Nous marcherons sur cette noble, vieille grand route,
Racontant partout à la ronde:
Plutôt être un chrétien à l'ancienne mode, Seigneur,
Que toute autre chose au monde (J'aime cela, tout simplement.)

187    Très bien, maintenant nous allons prier pour les malades. Nous ne sommes pas... nous ne prétendons pas que nous pouvons guérir les malades, sinon nous dirions quelque chose de faux. Chaque personne malade ici dedans est déjà guérie, c'est ce que dit l'Écriture: «C'est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Est-ce vrai?

188    Chaque pécheur ici présent, peut-être y en aurait-il un... vous êtes sauvé depuis que Jésus est mort. Mais ne mourez jamais là alors que votre occasion a été mise devant vous d'entrer dans Sa présence, pour essayer de L'accepter après. C'est fait pour maintenant. À l'instant même vous devez l'accepter. Si vous allez au-delà du Sang, alors vous n'êtes rien d'autre que... Vous êtes déjà jugé, parce que vous êtes jugé par la façon dont vous avez traité l'Expiation du Seigneur Jésus-Christ. Voyez-vous, là vous--vous vous jugez vous-même.

189    Ainsi, «Il était blessé pour nos péchés, et c'est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Aussi je n'ai rien qui puisse vous guérir. L'église n'a rien qui puisse vous guérir. La seule chose que nous pouvons prier est ceci: que votre foi ne faillisse pas, que vous veniez à l'autel ce matin pour accepter Christ comme votre Guérisseur, comme vous l'avez accepté comme votre Sauveur. Et sans conteste... Dieu après des miracles, Il montre de grands signes; les aveugles, les sourds, les muets et tous sont guéris ici même au tabernacle. Mais qu'il en soit ainsi ou pas, nous l'acceptons de toute manière! De nombreuses fois, ces choses se font par des visions.

190    Combien étaient ici il y a à peu près trois Dimanches, ou quatre, cet homme est venu ici, à la fois aveugle et paralysé, il était assis dans une chaise roulante, il n'avait pas le nerf de l'équilibre. Et avant de quitter la maison, je l'avais vu dans une vision: «Il y avait un homme là aux cheveux foncés, grisonnant. Sa femme est une femme d'apparence attrayante, âgée d'à peu près 60 ans. Elle viendra en pleurant et elle me demandera... Et que je revienne et prie pour son mari.» Il était assis exactement là.

191    Je suis venu et j'ai dit à quelques-uns de mes frères ici: «Observez ceci.»

192    Et quand nous nous sommes agenouillés à l'autel, d'autres avaient prié. Quand je suis allé pour prier, j'ai reculé aussitôt et suis revenu par ici. Et sa femme s'est levée et est venue juste exactement de la manière que le Seigneur avait dit que ça serait. Les gens regardaient pour voir si cela arriverait de cette manière-là, cela n'a jamais failli. Et ainsi quand il a marché...

193    J'ai été amené à découvrir qu'un homme, le docteur Ackerman, là-bas à Birdseye en Indiana, était celui qui l'avait envoyé par ici; c'est un catholique, et son garçon est prêtre dans le monastère là, à Saint-Meinrad. Et le docteur Ackerman est un de mes compagnons de chasse, et c'est lui qui a envoyé l'homme par ici. Le Seigneur m'avait montré un homme aux cheveux noirs qui l'enverrait, mais j'ignorais qui c'était.

194    J'ai dit: «Était-ce le docteur Ackerman?»

195    Il a dit: «Oui, c'était lui.»
    Voyez-vous? Et alors cet homme...

196    J'ai dit: «C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» J'ai marché vers lui, j'ai dit: «Monsieur, levez-vous!» Il était à la fois aveugle et ne pouvait... Il avait été... le nerf d'équilibre était mort, il ne pouvait lui-même se tenir debout comme ça. Voyez-vous, il avait été ainsi pendant des années, il avait été chez les Mayo et partout. J'ai simplement dit la prière pour lui, et je l'ai fait se lever. Et voilà qu'il s'est mis à marcher à travers...

197    D'abord, il a dit: «Je ne peux pas vous voir.» Puis, il a crié: «Oui! je peux!»
    Ses yeux se sont ouverts là, il avait été orthodoxe, sa femme presbytérienne.

198    Certains croient que «les presbytériens ne crient pas, ni les orthodoxes».
    Vous auriez dû les entendre! Sûrement. Ils criaient et s'étreignaient l'un l'autre. Il est revenu, a pris sa chaise roulante et a continué à marcher vers la sortie et a descendu les marches comme tout le monde! Il pouvait voir, parler, etc.

199    J'ai reçu de lui une lettre, ou un appel téléphonique, l'autre jour. Je crois que le Frère Cox est allé vers lui et il disait: «Il sentait ses yeux brûler.» Certainement! C'était le nerf--les nerfs optiques qui grandissaient et revenaient à la vie, vous savez, et qui prenaient leur place. La malédiction était ôtée!

200    Si vous permettez à la nature d'avoir ses droits, si rien n'entrave la nature, elle exercera alors son plein pouvoir. Si vous avez un bandage autour du bras, qui coupe la circulation sanguine, votre main finira par mourir. Maintenant, parce que naturellement, tout sera en ordre si vous lui laissez simplement son libre cours... Mais quelque chose a interrompu la nature. Alors, si vous ne pouvez le voir, il n'y a aucun moyen pour un médecin de la comprendre. Il n'y a que deux choses par lesquelles il puisse agir: ce qu'il peut voir, ce qu'il peut sentir. C'est là la seule chose par laquelle il puisse agir: ce qu'il voit, et ce qu'il ressent.

201    S'il ne peut pas le voir, alors cela doit être spirituel. Et il y a... la seule chose qui peut arriver: nous prions et Christ ôte la malédiction (Il renvoie le diable), et la chose commence à devenir normale, à aller bien. On recouvre la santé, et c'est tout ce qu'il en est. «En mon nom, ils chasseront les démons». Est-ce juste? C'est une promesse pour l'Église... C'est Sa présence au milieu de nous. Maintenant, ce qui nous empêche d'être parfaits ce matin, pour faire ces choses juste comme Lui les a faites, c'est parce que nous sommes toujours dans le voile. Voyez-vous? Mais nous avons l'un ou l'autre sentiment là qui nous dit: «Oh! Oui.» Voyez-vous?

202    Et quand vous acceptez votre guérison... Peu importe ce que dit le voile, c'est ce que dit La Parole, qui compte. Voyez-vous, c'est cela. C'est cela. Et la Parole est toujours prédominante au-dessus de tout: la Parole éternelle de Dieu.

203    Regardez Sara, sa matrice était morte, elle était âgée de quatre-vingt-dix ans; elle avait vécu avec son mari depuis qu'elle avait à peu près seize ou dix-sept ans, sans avoir d'enfants; Abraham, cent ans, et Dieu s'est retourné et leur a donné le bébé! Voyez-vous parce qu'ils croyaient, ils appelèrent ces choses qui n'étaient point comme si elles étaient! Entrez par ce chemin ce matin, mes amis.

204    Et ce soir, nous attendons... Si vous tous êtes là pour nous rendre visite, nous sommes heureux de vous voir ici ce matin. Et que Dieu soit avec vous. Et si vous êtes en ville pour la soirée, nous serions heureux de vous avoir ce soir pour la suite de ce service, au sujet de Melchisédek. Et ensuite, si vous n'y êtes pas, et que vous ayez votre propre église, allez donc à votre propre église. C'est là votre poste de devoir. Si vous appartenez à une église, allez-y. Ceci est simplement un petit tabernacle où nous nous rassemblons ici et où nous avons communion les uns avec les autres. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse!

205    Et la soeur Gertie jouera pour nous «le grand Médecin est ici.» Levez la main, ceux qui veulent venir dans la ligne de prière pour placer votre foi sur Christ. Très bien, si vous voulez vous aligner de ce côté-ci de l'église, s'il vous plaît. Et si on veut bien abaisser le siège juste un petit peu, mon frère, s'il vous plaît, afin que nous puissions avoir un petit emplacement là-dedans et que nous puissions faire passer les gens. Passez donc de ce côté-ici.

206    Nous allons prier maintenant, pendant que nous chantons. Je vais demander aux anciens ici (de quelque dénomination ou église, peu importe ce que c'est), si vous croyez en la guérison divine, voudriez-vous vous tenir debout ici avec moi sur cette estrade pour prier pour les malades? Nous serions heureux de vous avoir. L'une ou l'autre dénomination, ou sans dénomination, ou quoi que vous soyez, nous serions heureux de vous avoir. Voudriez-vous simplement venir maintenant, pour la prière, venir ici et vous tenir avec lui? Frère Neville, si vous voulez venir avec l'huile...