La Résurrection De Lazare
1 Merci, Frère Baxter. Merci, Frère Baxter.
Bonsoir, mes amis, ou plutôt bon après-midi. Je suis très content d’être revenu cet après-midi pour vous parler de l’amour qui est dans mon coeur pour ce glorieux Seigneur que nous servons, Jésus-Christ. Et j’entends ce glorieux vieux cantique Crois seulement, de Paul Rader. C’est lui le compositeur de ce cantique-là. Et j’étais un petit garçon, je m’asseyais à ses pieds. C’est alors qu’il a composé ce cantique. Pensez-y, peu savait-il alors que cela deviendrait mon cantique thème à travers le monde.
Mais, quand j’étais à Fort Wayne et que je me trouvais au bureau où Paul méditait, la première soirée là, et que j’ai entendu cela venir par les haut-parleurs: Crois seulement, tout est possible, je me suis souvenu de ce très vaillant héros. Combien ont déjà entendu parler de Paul Rader? Oh! Pratiquement vous tous. Oh! Quelle mort héroïque a été la sienne. Il n’est point mort; il est simplement allé rester avec le Seigneur. Il–il–il...
2 Les chrétiens ne meurent pas. Il n’y a aucun passage des Ecritures dans la Bible qui soutient que les chrétiens–les chrétiens meurent. Un homme qui... Une personne qui vit dans le plaisir est morte, quoique vivante. La mort veut dire la séparation, la séparation d’avec Dieu. Et les pécheurs ne sont pas sé-... Les pécheurs sont séparés de Dieu, mais les chrétiens ne se séparent jamais de Dieu. Ils quittent simplement le corps ici pour être avec le Seigneur.
Et Paul... J’aime beaucoup cela, quand il partait. Il était un grand personnage très tranchant. Vous rappelez-vous son comportement, certains parmi vous qui le connaissez? Il était toujours tranchant. Il y avait... Il racontait toujours une espèce de petite plaisanterie pour quelqu’un. Et il a dit quand il était... On avait invité le petit institut biblique Moody... on avait invité une chorale là, elle chantait. Et on avait fait descendre les rideaux dans la pièce et on chantait Mon Dieu plus près de Toi.
Alors, Paul s’est retourné et il a demandé: «Dites donc, qui se meurt? Est-ce vous ou moi?», a-t-il dit. Il a dit: «Tirez les rideaux là-bas, ces stores, et chantez-moi de très bon cantiques de l’Evangile pleins d’entrain.» Et alors, ils ont commencé à chanter A genoux à la croix. Et il a dit: «Ça, c’est mieux.»
3 Et puis, il a fait venir son frère, Luc, celui qui l’avait accompagné depuis longtemps, il l’a fait venir à son chevet, il lui a saisi la main, il a dit: «Luc, nous venons de loin ensemble. Mais, a-t-il dit, penses-y donc, dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Il a incliné la tête et s’en est allé à Sa rencontre. «Revêtu de Sa justice, je me tiendrai dans Sa Présence.» C’est ainsi que j’aimerais partir; pas vous?
La vie de grands hommes nous rappelle tous
Que nous pouvons rendre notre vie sublime,... en partant, laisser derrière nous,
Des empreintes de pas sur le sable du temps
N’est-ce pas vrai? J’aime ce Psaume de la Vie.
Et que peut-être un autre,
Naviguant sur l’océan solennel de la vie,
Un frère naufragé et accidenté,
En voyant, reprendra courage.
4 Autrefois, de petits poèmes m’encourageaient beaucoup. Celui de Columbus en était aussi un, qui d’habitude... c’était... «Continue à naviguer, continue à naviguer, continue à naviguer, continue à naviguer.» J’aime ce qui encourage. Je déteste vraiment un lâche (Pas vous?), quelqu’un qui a peur... Tenez-vous là. Si vous avez un bon fondement derrière vous, soutenez ce que vous pensez être correct. Ne soyez pas seulement disposé à vivre pour cela, mais à mourir pour cela, ou n’importe quoi. Si c’est vrai, c’est vrai. D’autres hommes sont morts pour ce qui est vrai.
Ainsi donc, c’est pareil avec l’Evangile. Si je pensais que ceci n’était pas vrai, et que je croyais qu’Il n’était pas le Fils de Dieu, je serais contre Lui. Je me retrouverais ici dehors en train de dire tout ce que je pourrais contre Lui, car je penserais que ce n’est pas vrai. Mais je suis sûr qu’Il a raison. Et alors, par conséquent, je suis... Je crois cela de tout mon coeur.
Et si–et si juste une partie de ceci est vraie, et que le reste n’en est pas vrai, alors cela... rien de cela n’est vrai. Soit tout est vrai, soit tout est faux. Et chaque mot est vrai. Vous pouvez accrocher votre âme à chaque partie de l’Evangile et croire cela; car tout est la vérité. Et n’ayez absolument pas peur. Si vous avez peur, ne faites pas cela, mais si vous savez où vous vous tenez, c’est en ordre. C’est différent.
5 J’étais juste... J’ai rencontré quelques frères là il y a quelques instants et ils disaient: «Nous aimerions vous amener à la chasse à un moment, Frère Branham.» J’aimerais certainement partir aussi. Je–j’aime la chasse.
C’est là que j’ai trouvé Dieu, quand j’étais un petit garçon. Je L’ai vu dans Sa nature. Vous pouvez voir Dieu dans Sa nature. Examinez les arbres, examinez les oiseaux; examinez tout, tout ce que vous voulez examiner. Considérez une fleur. Aucun homme jouissant de son bon–bon sens ne peut examiner juste en face l’un de ces grands lys calla et dire que Dieu n’existe pas. Je–je crois qu’il y a quelque chose qui cloche dans l’esprit d’un homme, si–si–s’il pouvait–s’il pouvait regarder droit cette fleur-là, voir comment elle meurt et ensuite comment elle revit.
6 Eh bien, vous, par ici, vous décorez vos cours partout avec de belles fleurs. J’aime ça. Il fait bien froid par ici, je m’imagine. Puis, peu après, dans quelques mois, la gelée va frapper cette petite fleur, et elle inclinera sa petite tête. Elle mourra. Et les pétales tomberont de la fleur, ses feuilles aussi, ainsi que la tige. Et–et de cette fleur-là il tombera une petite semence noire. Et alors, on organise un cortège funèbre. Dieu fait passer un cortège funèbre, Il envoie un gros nuage en automne. Et cela pleure simplement, la pluie tombe et on ensevelit cette petite semence sous terre, là au fond.
Et puis, l’hiver froid vient et gèle, peut-être qu’il y aura six ou huit pouces [20,3 cm] de gel. Et cette drôle de petite semence gonfle, gèle et éclate. La pulpe en sort. Puis, elle connaît d’ennuyeux mois hivernaux.
7 Eh bien, mettez-vous à chercher votre fleur. Il y a un bulbe complètement séché et fini. La tige n’est plus. La fleur n’est plus. Le pétale n’est plus. La semence n’est plus. Cela a éclaté; la pulpe en est sortie. Tout est parti. Est-ce là la fin pour cette fleur? Oh! Non. Voyez? Laissez simplement que le soleil chaud se mette à baigner cette terre-là un peu. Il y a un germe de vie caché quelque part là-dedans, qu’aucun homme ne peut trouver. Cette fleur-là revivra. Et si Dieu a frayé une voie pour qu’une fleur revive, qu’en est-il de vous et de moi qui sommes créés à Son image? A combien plus forte raison revivrons-nous.
8 Je parlais récemment à un–un homme qui me disait... Nous suivions l’émission L’heure de l’agriculture dans une petite cafétéria. Et on disait qu’on avait du maïs amélioré. Les hommes de science en avaient un très gros qu’ils pouvaient produire par une machine, et on ne pouvait pas distinguer un grain de l’autre. Vous pouvez plonger la main ici dans un sac et prendre une poignée de maïs qui a été fabriqué, et de cet autre côté, prendre une poignée de maïs qui a poussé dans un champ, les regarder: Pas de différence. Mélangez-les et vous ne pourrez pas les distinguer. Amenez-les au laboratoire, découpez-les, et chacun d’eux contient la même quantité de calcium, d’humidité et autre. Mais on disait: «L’unique moyen pour vous de faire la différence, c’est de planter ces grains de maïs.» Et il a dit: «Celui qui a été fabriqué par l’homme ne n’était plus jamais, mais celui que Dieu a fait pousser revivait.»
Et j’ai dit à ce vieux ministre méthodiste: «Vous feriez mieux de me tenir la main parce que je pourrais vous embarrasser ici.» En effet, voici peut-être deux hommes, un... Ils peuvent paraître identiques, et tous deux... Peut-être que les deux hommes... peut-être que l’un peut donner à l’autre son sang pour la transfusion. Mais, dans l’un, il y a le germe de vie du fait d’avoir accepté Jésus-Christ, et l’autre est mort dans le péché et les offenses.
Dieu a pourvu à une voie. Si seulement nous suivons cette voie-là et que nous suivons Sa voie, nous serons tenus d’accoster. Ne le pensez-vous pas?
9 Maintenant, cet après-midi, je suis juste un tout petit peu en retard. Je pense que je commence généralement à quart.
Et frère Baxter... j’ai entendu un commentaire que ma femme m’a rapporté, que lui avait fait, disant que j’étais un–un prédicateur. Eh bien, laissez-moi d’abord vous le dire. C’est une erreur. Soyez... car je ne le suis pas.
Je suis ce qu’on appelle une roue de réserve. Savez-vous à quoi sert une roue de réserve? Quand vous connaissez une crevaison, alors vous placez la roue de réserve et vous roulez avec. Or, je ne veux pas dire que nous connaissons une crevaison. Frère Baxter, ce n’est pas ce que je voulais dire. Ha-ha! ha. Je n’avais–je n’avais... Oh! la la! Je dois m’excuser pour ça. Il va s’en prendre à moi pour ça. Mais j’ai dit cela pour exprimer mon idée, c’est ce dont je parle. Je pense qu’il m’écoute là. Très bien. Je ne voulais pas dire que nous connaissions une crevaison; en effet, nous n’en connaissons pas. Mais une roue de réserve, c’est quand on connaît une crevaison, et alors, on peut rouler avec. Mais on est bien en un temps de rechange.
10 Et, généralement, le dimanche après-midi, frère Baxter m’amène soit à–à raconter l’histoire de ma vie, soit à parler un tout petit peu de notre Seigneur. Et cela me détend.
Eh bien, quand on prêche... Eh bien, je peux prêcher toute la journée et toute la nuit, et cela ne me fera pas de mal. Cela ne me dérange pas du tout. Mais alors, quand j’ai un–un cas de guérison ou une vision devant moi, cela m’épuise plus que huit heures de prédication. Voyez? Cela vous arrache simplement la vie. Voyez? Quand on prêche, on s’édifie. Et quand ceci arrive, ça fait dépérir. Voyez? Voila la différence.
11 C’est inutile pour moi d’essayer d’expliquer ces choses, amis. Peu importe à quel point je pourrais essayer de les expliquer, je n’arriverais jamais à vous les expliquer. Essayez donc simplement de comprendre (Voyez?), et croyez-moi simplement, que c’est–c’est quelque chose qui vous soutire simplement la vie.
Une fois, je me demandais comment Jésus pouvait rester couché dans cette barque-là, malgré ces... malgré toutes ces vagues. Et comment ne pouvait-Il pas savoir que cette tempête était là. Mais je me rappelle: Il était très fatigué, après que la vertu fut sortie de Lui toute la journée, qu’Il eut guéri des gens, qu’Il eut des visions, et–et cela donc... Il était tellement fatigué qu’Il ne pouvait pas se lever. Ce–c’était donc ça. Et on a dû aller Le réveiller.
12 Une parenthèse. Un prédicateur m’a dit ce matin: «Frère Branham, j’aimerais vous corriger sur quelque chose.» C’est en ordre. Je suis content de recevoir cela. Quand... Tout celui qui peut m’aider, et... ou me dire quelque chose. Il a dit: «Je vous entends dire la nuit aux gens, vous êtes conscient de ce que ces gens, certains d’entre eux pensent qu’il s’agit de la lecture des pensées, quand vous parlez. Mais, a-t-il dit, ce qui désarçonne, c’est quand vous remontez dans le temps et que vous leur dites des choses auxquelles ils n’avaient même pas pensé pendant des années.» Il a dit: «Ils reconnaissent alors que c’est... Et, en effet, a-t-il dit, c’est la lecture des pensées, Frère Branham.»
Et j’ai dit: «Eh bien, je...»
Il a dit: «Savez-vous ce que pensent ces gens?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Permettez-moi de vous donner un passage des Ecritures: ‘Jésus connaissait leurs pensées.’»
Il savait que c’était un... Voyez-vous ce que je veux dire?
13 Il connaissait leurs pensées. Il les connaît encore. Est-ce vrai? Eh bien, vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? Jésus connaissait leurs pensées. Il savait ce que... Ils disaient... Il a dit: «Pourquoi raisonnez-vous dans vos coeurs: ‘Qui est le plus grand parmi vous, ou ainsi de suite?’»
Et alors quand ils ont dit: «Cet Homme blasphème»...
Il est dit: «Il connaissait leurs pensées, et Il savait à quoi ils pensaient. Et Il a dit: «Qu’est-ce qui est plus facile à dire: ‘Tes péchés te sont pardonnés, ou prends ton lit et marche.’»? Voyez? Lequel est-ce? Voyez? Il... C’est simplement donc Lui. Ce n’est pas un homme. C’est Christ. Ayez donc foi en Lui et croyez en Lui.
14 Je me rappelle ce petit... Je ne crois pas au fait de dire des plaisanteries du haut de la chaire, car ce n’est pas un lieu où plaisanter. Et je n’aimerais pas que vous pensiez que ceci était une plaisanterie, car je n’y crois pas du haut de la chaire.
Ceci est... Juste un petit quelque chose, vous savez, au sujet de... Quand j’ai été ordonné prédicateur baptiste, au début (Oh! la la!), j’étais très content d’avoir cette Bible. Et je la portais simplement partout où j’allais. En effet, auparavant, je pensais que porter une Bible, ce n’était rien d’autre que faire la poule mouillée.
Ainsi donc... Autrefois, je faisais tout le temps la boxe au point qu’une fois mes oreilles étaient rabattues. J’ai évolué jusqu’à gagner le championnat de poids coq à Three Falls Cities, et puis, lors d’une compétition. Et alors, je pensais que personne ne pouvait me battre, mais un petit garçon de... Billy Prick de Huntington, de la Virginie Occidentale, a failli me tuer un soir. Cela avait donc tout ôté de moi. Mais, j’avais livré quinze combats professionnels et je les avais gagnés tous. Ainsi donc, il m’avait certainement réglé le compte, dans un autre en tout cas. Ha.
15 Ainsi donc, j’avais toujours l’habitude de dire quand j’étais... A l’époque, je me disais: «Eh bien, un prédicateur, c’était juste une poule mouillée.» Et je me disais que peut-être un jour j’aurais à prêcher. Et je me disais donc que ce serait la plus grosse poule mouillée qu’on puisse être. Et puis, après que j’étais sauvé (Oh! la la!), je voulais porter cette Bible-là. Et tout le monde, j’aimais simplement leur dire que j’étais un ministre, j’étais un prédicateur.
Ainsi donc, l’Eglise missionnaire baptiste m’avait donné une licence locale pour exhorter, cela m’accordait le droit de célébrer le mariage, ensevelir, baptiser, ou autres dans l’Etat d’Indiana. Et alors, je me disais: «Oh! la la! Comme c’est merveilleux.»
Quelqu’un demandait: «Etes-vous prédicateur?»
Je disais: «Oui, monsieur. Oui, monsieur.» J’étais content de dire que j’étais un prédicateur.
16 Et cela me rappelle bien... Mon papa était un cavalier. Et il était un très bon tireur. Il avait l’habitude de suivre des spectacles. Et il prenait des fusils, et il était l’un des meilleurs tireurs, à mon avis, que j’aie jamais vu. Il prenait ces très grosses billes et lançait l’une d’elles comme cela, et quand elle s’arrêtait de rouler... il avait deux fusils. Et d’un fusil, il tirait, il frappait une bille en l’air et la faisait éclater avec l’autre fusil avant qu’elle atteigne le sol.
Je n’arrivais pas à atteindre un saindoux à quatre pieds [121 cm] devant moi. J’étais donc loin d’être comme papa. Mais il aimait monter les chevaux. Et il les dressait.
C’est là que ma mère l’a rencontré dans le... quand ils étaient dans l’Oklahoma, il dressait les chevaux. Et il était un très bon cavalier. Quand donc je... Je disais: «Quand je deviendrai un homme, je serai comme mon papa. Je vais devenir un véritable dresseur de chevaux.»
17 Et je me rappelle que j’avais l’habitude de... Quand je faisais sortir le vieux cheval de labour, vous savez, de l’époque, et après que nous avions labouré toute la journée, et la pauvre vieille bête était très fatiguée. Elle était vieille de toute façon. Et on avait creusé un drôle d’abreuvoir dans un rondin.
Combien ont déjà vu un abreuvoir dans un vieux rondin? Il y a un groupe de gens du sud par ici aujourd’hui. Combien ont dormi sur une paillasse? Dites donc, je ne suis pas l’unique garçon de campagne ici; n’est-ce pas? Non, oh! la la! C’est tout autant–tout autant l’Amérique que le jambon qui dégage l’odeur de la fumée du bois d’hickory et de la mélasse de sorgho, n’est-ce pas?
Eh bien, nous descendions là, sur le dos, à côté de la grange. Et–et j’abreuvais le vieux cheval. Et mes petits frères, je les alignais tous, et j’étais leur aîné. Puis, je montais sur ce vieux cheval. Je prenais la selle de papa, je me procurais une poignée de graterons que je plaçais sous la selle, vous savez, et je faisais descendre cela, je sautais dessus.
La pauvre vieille créature était si vieille et fatiguée. Elle ne faisait que brailler, vous savez. Elle tenait sa tête inclinée et braillait. Elle essayait de cahoter. Elle était trop–elle était trop raide. Elle n’arrivait pas, et elle était fatiguée. Elle n’arrivait pas à détacher ses pattes de la terre, vous savez. Alors, j’enlevais ce chapeau de paille et je me balançais de part et d’autre. Je pensais être un véritable cow-boy, là, et je me balançais de part et d’autre sur ce vieux cheval comme cela, et...
18 Un jour, j’ai décidé d’aller à l’ouest. J’avais fui la maison et j’étais parti en Arizona. Je suis arrivé là juste lors d’un rodéo. Alors, je me suis dit: «C’est maintenant le temps, je vais–je vais devenir un vrai cow-boy. Je le tiens bien de mon papa.» Je disais: «Je sais que je vais être...» Vous savez comment sont les enfants. J’avais environ dix-huit ans. Je disais: «Je ferais mieux de descendre me procurer une paire de jambières.» Alors, je suis descendu, j’en ai vu une jolie paire. Je me disais... Je les ai essayées. Et quand j’ai porté cela, il y avait environ dix-huit pouces [45,7 cm] de cuir sur le plancher. J’ai dit: «Ce sont des jambières un peu plus longues, par ici, par rapport à celles d’Indiana.»
Alors, je me suis procuré une paire de Levis. Et je suis allé là, on m’a laissé entrer dans le toboggan. Et ils... Celui qui faisait l’appel s’est avancé, il a fait sortir un cheval là. J’avais vu ces irréguliers, comme on les appelle, les sauvages, alors si sauvages (ils venaient du désert), qu’ils ne mangeraient même pas du foin si cela était placé devant eux.
Et on les a fait courir dans le toboggan, sur la piste, et on les a laissés parcourir. Et il vous fallait saisir aussi fermement que possible quand ils sortaient. Je les ai vus sortir. Et quand j’ai regardé l’un d’eux, je me suis rendu compte que ce n’était pas le vieux cheval de labour, loin de là.
19 J’allais faire le cavalier pour gagner de l’argent, de toute façon, vous savez. Ainsi donc, je me suis présenté là, je me suis tenu sur la clôture du corral avec tous ces cow-boys au visage défiguré, aux jambes arquées, oh! la la! de jeunes gens aux visages burinés. Et j’étais juste un jeune garçon, vous savez, j’étais assis là-haut, je regardais tous ces gars-là. Je regardais, je me disais: «Je me demande si j’ai une belle apparence comme eux.»
Ceci donc... Celui qui faisait l’appel s’est avancé et a dit... Ce cheval allait être monté. Un gars allait le monter. Alors, il s’est levé là. On n’avait pas mis une selle sur lui. On l’attrape juste à son passage dans ce toboggan. Et juste au moment où ce cheval passait, il a sauté sur la selle. Oh! la la! Il aurait pu plonger toutes les quatre pattes dans une bassine à vaisselle, et il a laissé tomber sa croupe...?
J’ai regardé ce cheval-là, il a exécuté environ deux saccades de côté, il a juste fait un poisson-lune. Et alors, cet homme a été projeté, la tête contre une grosse branche, comme cela, il s’est cogné par terre, le sang lui coulait des oreilles et des yeux. Les ramasseurs ont pris le cheval et l’ambulance a pris l’homme.
20 Celui qui appelait est passé par là, traversant par là. Il a dit: «Je donnerai cinquante dollars à tout homme qui le montera pendant soixante secondes.» On l’a attrapé. Tout le monde est resté tranquille. Il s’est dirigé droit vers moi. Il a demandé: «Es-tu cavalier?»
J’ai dit: «Non, monsieur.» J’ai dit: «Non, monsieur.»
C’était pareil quand je fus converti et que j’avais la Bible sous... J’étais juste un prédicateur baptiste local. Je disais: «Voyons, je suis prédicateur.»
Un jour, j’étais à Saint Louis, dans une réunion sous tente, et il y avait un–un prédicateur de la sainteté là-bas, Révérend Daugherty. C’était un prédicateur pentecôtiste. J’étais allé écouter cet homme prêcher. Et sa fillette venait... J’avais été appelé là-bas. Et c’est...
Vous avez entendu son histoire. Elle était la première à être guérie comme cela de la chorée. Ce prédicateur tenait des réunions là, et il s’est mis à prêcher, il a pris un passage. Il a prêché jusqu’à ce que son visage fût comme en feu. Il s’affaiblissait tant; il tombait sur ses genoux comme ça, et il allait droit jusqu’au plancher toujours en train de prêcher, il se relevait, reprenant haleine. On pouvait l’entendre à quatre ou cinq pâtés de maisons plus bas dans la rue prêchant toujours.
Quelqu’un s’est avancé et a demandé: «Etes-vous prédicateur?»
J’ai dit: «Non, non.» Ha, ha, ha. «Non, monsieur.» Avec mes vieilles manières lentes de baptiste, je n’y pense pas aussi vite. C’est tout. Je ne peux donc simplement pas faire cela.
21 Mais j’aime venir ici dimanche après-midi, comme ceci, sans être sous cette onction-là, juste venir apporter la Parole sans être sous... Voyez, vous serez surpris la nuit combien–combien les nerfs sont tendus. Juste comme cela. Les puissances démoniaques instruisent ici, des choses... Vous avez été dans des réunions auparavant et vous avez vu ce qui arrivait. Un critiqueur vient ici, il vient vite ou dit quelque chose comme cela, il vous faut être bien alerté. Voyez? Il suffit d’une seule parole déplacée, c’est tout ce qu’il faut.
Vous entendez quelqu’un monter à la chaire, comme cet homme d’il y a quelques semaines, qui s’est avancé là et a dit... J’étais pratiquement épuisé. J’ai pris sa main. J’essayais de m’abstenir d’avoir une vision. J’ai juste pris sa main pour prier. Il a posé sa main sur la mienne, comme ça. Et j’ai dit: «Eh bien, monsieur, il n’y a physiquement rien qui cloche chez vous.» J’ai dit...
Il a dit: «Oh! Si, il y en a.»
Et j’ai dit: «Non, monsieur. Revoyons-ça.» J’ai pris sa main. S’il y a une maladie causée par un germe, cela le détecte. J’ai dit: «Non, monsieur. Il n’y a pas...»
Il a dit: «Regardez ma carte de prière.» Il disait...
J’ai dit: «Je n’ai rien à faire avec ce que vous mettez sur votre carte de prière, monsieur.» J’ai dit: «Tout ce dont je suis responsable, c’est ici.» Il a dit... Et un frère a pris la carte de prière et a lu cela. Il disait qu’il avait la tuberculose, et j’oublie tout ce qu’il y avait.
Alors, j’ai dit: «Non, monsieur. Vous n’en avez pas.» J’ai dit: «Eh bien, peut-être que vous avez eu la foi là dans l’assistance et vous avez été guéri avant de venir ici.»
Alors, il s’est tourné devant huit mille cinq cents personnes; il a dit: «Vous y êtes. Voilà le montage: Ma grande foi là dans l’assistance.»
22 Alors, je me suis retourné. Juste en ce moment-là, j’ai vu quelque chose de blanc passer devant moi. La chose était là. J’ai dit: «Toi enfant du diable, pourquoi es-tu venu ici à l’estrade pour essayer de séduire Dieu? Tu es exposé. Hier soir, tu étais assis à table avec un homme en costume gris et en cravate rouge. Et tu es membre d’une certaine...» Eh bien, je ne vais pas mentionner cette église, mais de toute façon... «Tu es membre d’une certaine église. Et hier soir, vous vous êtes retrouvés ensemble vous deux et vous avez convenu de venir ici; que c’était de la télépathie mentale; que cet homme prenait la carte de prière et que le patient écrivait sur la carte de prière.»
J’ai dit: «Pensez-vous que le patient écrirait sur sa carte ses adultères et des histoires qu’ils vivent et tout comme ça? Et vous vous êtes dit que c’était de la télépathie mentale; qu’on prenait la carte de prière, et qu’alors on me communiquait cela par télépathie.» J’ai dit: «C’est...?...»
23 Et un homme s’est écrié depuis l’assistance, disant: «C’est vrai, Frère Branham. C’est moi qui étais assis avec lui.» Et il est venu en courant à l’estrade, cet homme.
J’ai dit: «Ces maladies vont venir sur vous.»
Et il est tombé là à l’estrade, il m’a saisi par la jambe du pantalon et il a dit: «Ô Dieu, aie pitié de mon âme pécheresse.» Voyez? Faites attention à ce que vous faites. Voyez?
C’est vrai. Peu m’importe l’enseignement théologique qu’il a, ceci–ceci est Dieu à l’oeuvre parmi Son peuple aujourd’hui. Et si cela était arrivé pendant qu’on n’était pas sous l’onction? Voyez-vous là? On devait faire attention.
Mais Dieu m’a dit qu’Il se tiendrait avec moi. C’est Son obligation. La mienne, c’est de me tenir ici et de dire la vérité. La sienne, c’est de se tenir avec moi. C’est vrai.
24 Cela est donc passé par l’épreuve ardente, amis. Ne pensez pas que cela a... Mais grâces soient rendues à Dieu, nous sommes toujours du côté des victorieux aujourd’hui, car nous sommes en Christ. Et on n’en a pas encore raconté la moitié. C’est encore à ses débuts. Observez cela quand cela atteindra son grand sceau là-bas. Il arrivera un temps où ce vieux monde va recevoir une secousse comme il n’en a jamais reçu auparavant, de tout le temps. Les grandes choses sont à venir. Juste... Nous ne pouvons pas les provoquer, on attend simplement que Dieu les montre.
Mais quand nous venons comme ceci un après-midi, alors on peut bien rabattre son col, pour ainsi dire, vous savez, et se sentir libre de parler, et cela me réjouit. Et j’espère que c’est pareil pour vous.
25 J’aimerais lire un passage des Ecritures, et peut-être juste faire quelques commentaires. Et si je traîne trop, que quelqu’un se lève et me dise de m’arrêter; allez-vous le faire? En effet, je–j’aime vraiment tant parler. Eh bien, il se peut que je parle trop longtemps. Et je vais essayer de ne vous retenir que peu de temps.
Eh bien, il arrive souvent qu’on lise plusieurs petits passages. Et un après-midi comme celui-ci, je ne médite sur rien à dire; en effet, je n’ai jamais fait cela. Je laisse toujours simplement le Saint-Esprit, tout ce qu’Il veut que je dise, je le dis.
Peut-être que je lis un passage des Ecritures que je n’aborde même pas. Peut-être qu’Il a autre chose pour moi à faire. Ça, je ne sais pas. Mais cet après-midi, comme un passage familier à lire, que j’ai lu, j’aimerais... je pensais à... peut-être que le Seigneur aimerait que je prêche sur Viens et vois un Homme. Mais je me suis beaucoup référé à cela cette semaine-ci. Je pensais que je pourrais lire le... là dans Saint Jean, chapitre 11: La résurrection de Lazare.
Combien croient que Lazare était effectivement ressuscité? Faites voir les mains. Merveilleux. Combien de chrétiens y a-t-il ici cet après-midi, des croyants en Christ? Faites voir les mains. Partout dans la salle. Eh bien, oh! la la! c’est cent pour cent. Très bien. C’est merveilleux.
26 Très bien. Je pense que je vais alors aborder cela d’un autre point de vue. Plutôt que de prêcher aux pécheurs, je crois que je vais simplement prêcher alors aux chrétiens. Et que le Seigneur... Nous allons aborder cela pour la guérison divine. Peut-être que le Seigneur nous dira quelque chose pour vous encourager donc en rapport avec la guérison divine. Peut-être qu’Il le fera.
Allons dans Apoca-... dans Saint Jean, chapitre 11. Et lisons quelques versets des Ecritures ici, à partir du verset 18 du chapitre 9... du chapitre 11 de Saint Jean. Et maintenant, rappelez-vous, si vous voulez noter les passages des Ecritures à lire ce jour-ci, comme quoi nous étions ici et nous avions médité sur ces passages des Ecritures ensemble, donc, 11.18:
Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,
Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus (Maintenant, suivez attentivement.) Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.
Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;
et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.
27 Maintenant, pouvons-nous incliner la tête alors que nous... Notre Père céleste, nous avons lu Ta Parole aujourd’hui sur un grand événement qui a eu lieu il y a plusieurs, plusieurs années. Mais il est nouveau pour nous aujourd’hui. Chaque fois que nous lisons cela, cela nous procure quelque chose dans le coeur.
Et nous Te remercions pour Ta Parole qui a été préservée au cours de l’âge, et pour les hommes qui sont morts, tachetant de leur sang la terre afin que notre Bible puisse nous être transmise aujourd’hui. Nous inclinons la tête de reconnaissance et dans l’humilité pour Te remercier pour leur vie. Et, ô Dieu, accorde du repos à leurs vaillantes âmes jusqu’au jour où ils se revêtiront une fois de plus du corps pour être des êtres immortels. Et maintenant, Seigneur, nous croyons que le même Jésus qui a ressuscité cet homme mort de la tombe est ici cet après-midi. Et nous croyons qu’Il est capable de nous ressusciter. En fait, Il ressuscite les morts, les morts physiquement, Il a prouvé cela par des preuves irréfutables, des déclarations médicales et autres, de ceux qui étudient l’anatomie de l’homme et qui le déclarent mort. Et puis, ils reviennent à la vie par la puissance de Christ ressuscité.
28 Et maintenant, il y en a qui sont assis ici, faibles cet après-midi, et ils ont besoin de la guérison physique. Et nous avons choisi ces quelques paroles à lire de Ta part. Et puisse le Saint-Esprit, la troisième Personne de la trinité, venir maintenant, la Promesse, le Consolateur, que Tu avais dit que Tu enverrais; et qu’Il prendrait les choses de Dieu et qu’Il nous les montrerait. Et quand Ton humble serviteur ici parlera, sanctifie les lèvres qui parlent.
Circoncis-les, Seigneur, enlevant toutes les paroles qui ne seraient pas convenables, ainsi que les coeurs et les oreilles là dans l’assistance qui doivent recevoir cela. Que le Saint-Esprit apporte directement la Parole à leur coeur. Et qu’Elle tombe dans une bonne terre, fertile, qu’Elle produise au centuple. Et que cet après-midi, Seigneur, pendant que nous sommes encore en train de parler, que le Saint-Esprit entre dans cette salle comme un Vent impétueux, comme Il avait fait le jour de la Pentecôte. Que la rue soit bondée de gens ici dehors.
Ô Dieu, accorde-le, Père. Que les faibles soient rétablis, que les boiteux marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que les muets parlent, que ceux qui sont liés par la maladie soient libérés. Qu’il y ait une si grande joie dans le camp que chaque coeur sera tellement ravi qu’on ne saura pas où on est ou ce que l’on fait.
29 Ô Dieu, détache-nous de cette existence liée aux sens; amène-nous là dans ces sphères où tout est possible. Accorde-le aujourd’hui, Seigneur. Répète pour nous un autre jour de la Pentecôte.
Maintenant, sous pression et à cause de la sincérité avec laquelle nous prions maintenant, Seigneur, je Te demande dans... d’exaucer cette prière en envoyant le Saint-Esprit, en dirigeant l’esprit de Ton serviteur, mes pensées et mes paroles, et en préparant les coeurs là dans l’assistance à recevoir cela.
Seigneur, nous ne savons quoi dire, mais Tu sais ce dont cette assistance a besoin. Et, ô Dieu, accorde que cette foi soit tellement édifiée aujourd’hui que ce soir il y aura l’un des plus grands apogées jamais atteint dans des réunions. Qu’il y ait une telle effusion ce soir que cela ne sera jamais oublié par les enfants des hommes. Exauce les prières de Ton serviteur, non pas parce que nous sommes ici, Seigneur, mais parce que Toi, Tu es ici, et que le temps approche où Tu vas venir recevoir Ton Eglise.
Bénis-nous. Et s’il y a quelqu’un qui n’est pas sauvé, n’importe où par ici, accorde qu’il voie Jésus aujourd’hui et qu’il soit sauvé. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
30 Maintenant, juste pendant quelques instants, pour parler de ce sujet de–de la résurrection de Lazare, et comme un texte, croire ceci.
Eh bien, Dieu est si merveilleux. J’étais à un grand observatoire il n’y a pas longtemps. Là, on peut regarder dans ce télescope et voir à cent vingt millions d’années-lumière dans l’espace, on peut alors voir l’immensité de Son univers. Et vous pouvez penser à... Nous regardons ce soleil-ci et nous pensons que c’est l’unique soleil. Il y a des soleils et des soleils, et des orbites, et des soleils, des planètes, des soleils au-delà de celui-ci au point qu’on en compte des millions, et Dieu est au-dessus de tout cet univers situé là, Il le dirige. Pouvez-vous vous représenter Qui Dieu est? Pouvez-vous vous faire une idée de Qui Dieu est et ce qu’Il est?
Maintenant, j’ai besoin de vos prières à vous tous. En effet, vous savez pourquoi j’ai ce sentiment pendant que je me tiens ici aujourd’hui, et je suis conscient de la présence de ces prédicateurs qui sont assis ici. Il y a des hommes assis ici qui sont détenteurs des titres académiques, qui ont des diplômes, des ministres qui sont des prédicateurs et qui savent comment élaborer un sermon, le composer et laisser le Saint-Esprit y entrer. Et moi, je me tiens ici avec mes hit, hain’t, tain’t and carry and fetch, et toute ma pauvre grammaire. J’en suis très conscient. Mais je–j’aimerais m’en défaire. En effet–en effet, mes frères, je le sais, sont pour moi et ils m’aiment. Et nous voulons que le Saint-Esprit vienne vers nous aujourd’hui. Et c’est pourquoi nous sommes ici, nous tous. Et nous voulons nous défaire de ce sentiment sensuel.
31 Maintenant, Dieu dans Son grand univers... Pouvez-vous juste vous représenter simplement... Permettez-moi de vous présenter un petit tableau sur ce que je pense que Dieu est, ce que la trinité de Dieu est. Il y a diverses discussions dans le monde concernant la trinité de la Divinité. Si seulement ils pouvaient... ils... Eux tous croient la même chose, mais le diable s’est simplement introduit parmi eux et les a tous divisés. C’est tout.
Dieu est juste comme de l’air. Il remplit tout l’univers... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Son Fils. Un Fils doit être né de. Alors, le Logos, qui était le Fils de Dieu, qui était issu de Dieu, qui couvait la terre...
Maintenant, représentons-nous juste cela comme étant un Halo blanc, sortant de cet espace. C’était le Fils de Dieu, le Logos. Et Il était là dans l’espace en train de se déplacer, comme un petit enfant jouant devant la porte de son parent. Et Il s’est représenté dans Son Esprit ce que cela devait être.
32 Et je peux L’entendre, Il regarde ici et là, et Il dit... (Il n’y avait rien nulle part, pas... rien que l’immensité de l’espace. Le Père couvrait tout l’espace. Et après, ce Dieu est devenu un corps, condescendant en Logos.) Je peux L’entendre dire: «Que la lumière soit.» Et un atome a éclaté là et le soleil est venu à l’existence; la Divinité.
Il s’est mis à tournoyer. Des millions d’années, il a tournoyé. Et peu après, un morceau s’en est détaché. [Frère Branham illustre.–N.D.E.]... étoile. Il s’est tenu là et a observé cela. Et cela est allé tout en bas. Il l’a arrêté ici, après qu’il fut tombé quelques millions d’années. [Frère Branham illustre.–N.D.E.]... un autre s’en est détaché. Il l’a laissé tomber près d’un certain endroit, et Il a arrêté cela. Que fait-Il? Il a alors dans Son Esprit qu’un jour, il y aura une terre. Il y aura des hommes sur la terre.
33 Dieu est en Haut. Il écrit le zodiaque dans le ciel. Le zodiaque commence avec la Vierge, la Première Venue de Christ, et se termine par le Léo, le lion, la Seconde Venue. Et Il écrit Sa première Bible. Il y En a trois.
L’une d’Elles fut écrite dans les cieux, l’Autre dans les pyramides, l’Autre sur Ceci. Tout en Dieu va par une trinité, comme un homme est dans une trinité. Très bien.
Puis, après qu’Il eut tout cela par écrit, les étoiles et les planètes se détachant de ce soleil-là, je peux alors voir une grande boule de glace qui se trouve là quelque part, cette terre. Et Il couvait la terre, se mouvait au-dessus d’elle autour du soleil, Il l’a desséchée. Alors, Il a commencé Sa création sur la terre.
34 Et puis, après qu’Il eut créé toute Sa création, Il a dit: «Faisons (au pluriel) l’homme à notre (au pluriel) image.» Or, si Dieu est invisible, si le Logos était sous la forme (en parlant juste de façon mythique) d’une saynète, sous la forme d’un Halo, C’est donc surnaturel. Il a donc dû créer un homme à Sa propre image. Jean 4 dit que Dieu est Esprit. Il a dû créer un homme Esprit. Et Il l’a donc fait descendre; il y a là la Divinité qui ne peut pas être vue. La Divinité est surnaturelle. Il a ensuite fait descendre Cela, d’un Halo sacré à un petit nuage blanc, quelque chose de plus visible; c’est l’homme. Il lui a donné la domination sur le Royaume.
Et il dominait les bêtes comme le Saint-Esprit conduit l’église aujourd’hui. Mais il n’y avait pas d’homme pour cultiver la terre. Alors, Il a donné à l’homme l’image de l’homme sur la terre. Il l’a créé à partir de la poussière de la terre.
35 Et c’est là que la science s’embrouille. Elle dit: «Non.» Il lui a peut-être donné une main comme celle d’un singe. Il lui a peut-être donné un visage comme celui d’un chimpanzé. Il lui a peut-être donné un pied comme celui d’un ours. Mais Dieu a placé une âme dans un homme.
Ce nuage blanc, la Divinité, est descendue, non pas dans l’animal, dans l’homme. Et alors, s’ils veulent rentrer et déterrer ces vieux os, laissez-les en déterrer autant qu’ils veulent, tous les fossiles, cela n’a rien à faire pour soutenir la Parole de Dieu. Il est là.
Puis, voici cet homme. Ainsi donc, cet homme a péché. Et quand il a péché et qu’il est tombé, alors ce petit nuage à l’intérieur a été abîmé, était devenu noir. Ensuite, le Logos est descendu, Il a été fait chair et Il a habité parmi nous pour racheter cet homme, le ramener à l’amour du Père. Il est arrivé par le baptême du Saint-Esprit, a ôté le péché de l’homme et a ramené l’homme une fois de plus dans la communion avec Dieu. Croyez-vous cela? Ramenez...
36 Remarquez donc. Ensuite, c’est là que vous êtes. C’est ça le problème des pentecôtistes. Eh bien, je suis... Il m’incombe cet après-midi de prêcher. Et j’en ai le droit ici à la chaire. Et je n’aime jamais connaître un homme selon la chair, pendant que je me tiens ici.
C’est ça le problème des pentecôtistes. Ils ne reconnaissent pas qui ils sont. Vous êtes fils et filles de Dieu. Vous avez entre vos mains... Regardez. Puis Jésus, il est une fois dit dans les Ecritures: «Vous êtes des dieux.»
37 Regardez. Divinité... Je suis une partie de Charles Branham, parce que je suis né de Charles Branham, mon papa. Je suis une partie de lui. J’ai un front comme le sien. Mes cheveux sont comme les siens. Je suis un homme de petite taille comme lui. J’ai sa nature, parce qu’il est mon papa.
Et si nous devenons fils de Dieu par l’Esprit, la Divinité demeure dans l’homme. Alléluia! Vous parlez alors des yeux aveugles qui s’ouvrent!
On dit que rien n’est impossible à Dieu. Dieu a dit que rien n’est impossible pour vous si vous croyez, non pas pour Dieu, mais vous. La Divinité est dans l’homme.
Le Dieu même qui se tenait jadis sur l’estrade mythique des éternités, qui a déployé les mondes de Ses mains et qui a créé ces choses, vous donne le privilège d’être Son fils, et vous êtes une partie de Lui. Et Dieu demeure dans l’homme, et l’homme lui-même est la Divinité. Alléluia! Vous y êtes. Cela peut vous choquer, mais réfléchissez-y un petit moment. Voyez?
Il est... Dieu habite dans l’homme. Et l’homme devient un fils de Dieu, non pas de lui-même, mais le Saint-Esprit qui est en lui est Dieu. Le Créateur habite dans la création. Oh! la la! Oh! comme j’y pense! Alors, tenez-vous avec une foi immuable et demandez ce que vous voulez; cela vous sera accordé. Il est là, Dieu. Il est là.
38 Maintenant, avant que ce Rédempteur puisse venir au jour auquel se rapporte notre passage des Ecritures, Jésus était alors devenu très populaire. Même s’Il était né sous d’horrible mépris, Il est entré par la porte de l’étable, Il est sorti par la peine capitale. Saviez-vous cela? Il était considéré comme un fanatique, Il a été ridiculisé, on a craché sur Lui, on s’est moqué de Lui, Lui le Dieu même de Gloire. Il est entré par la porte d’une étable.
Pourquoi Jésus est-Il né dans une étable ou dans une crèche? Y avez-vous déjà pensé? Il lui fallait naître ainsi. Il était un Agneau. Les agneaux ne naissent pas dans des maisons. Les agneaux naissent dans des granges et dans des champs.
Abel avait conduit son agneau avec une plante rampante. Il l’a offert en sacrifice sur l’autel, et Abel est mort sur le même autel où était mort son agneau offert en sacrifice. Et chaque croyant qui vient à Christ doit mourir sur le même autel avec son Agneau mourant, Christ, et mourir en Christ pour être une nouvelle créature: mourir aux choses du monde et naître de nouveau, une nouvelle créature en Jésus-Christ. Mourir sur le même autel de sacrifice de soi. Très bien.
39 Remarquez. Mais avant que Dieu fasse n’importe quoi sur la terre, Il envoie toujours un Message, un avertissement, pour préparer des choses.
Oh! Je–je me sens donc religieux maintenant même. Regardez. Très bien. Je crois qu’il y a un mouvement en cours maintenant, un avertissement de Dieu, comme du temps de Noé, préparant les gens. Quelque chose est sur le point d’arriver. Les puissances atomiques et autres sont pratiquement prêtes à exploser sur nous. Des millions mourront en une fraction de seconde. Mais, oh! la la! Dieu prépare Son Eglise pour l’Enlèvement, la Venue du Fils de Dieu.
Remarquez. Donc, avant que Dieu envoie quelque chose sur la terre, Il envoie toujours Son Message. Dieu envoie Ses Anges pour confirmer ou établir certaines choses.
40 Or, il y a des anges mineurs et des anges majeurs. Eh bien, juste avant la Venue de Jésus, Dieu a envoyé Gabriel, le grand archange.
Regardez. Depuis quatre mille ans, ils attendaient le Messie. Eh bien, les vieilles roues prophétiques s’engrainaient. Juste à temps! Les gens s’étaient enlisés dans leurs histoires ecclésiastiques et autres. Certains d’entre eux ne connaissaient pas Dieu, pas plus qu’un Hottentot ne connaît le chevalier égyptien, mais ils peuvent tout vous dire sur les Ecritures.
Essayez une fois de combattre le diable juste avec la connaissance des Ecritures. Il connaît Cela mieux que n’importe qui parmi vous. «Celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père.»
41 Remarquez. Alors, ils s’étaient représenté tout cela, comment ça devait être. Mais Dieu n’a jamais Lui-même... n’a jamais manqué un témoin. Eh bien, avant la Venue de Jésus... Disons, Dieu a envoyé Gabriel depuis la Gloire.
Eh bien, vous pouvez entendre dire que les anges mineurs viennent. Mais quand Gabriel vient, quelque chose d’important est en cours. Quand Gabriel vient... Il est l’archange. Alors, quelque chose de grand est sur le point d’arriver.
Ecoutez. Gabriel a annoncé la Première Venue de Christ, et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Christ. Vous y êtes. En effet, Il fera retentir la trompette de Dieu. Très bien.
La Première Venue... Prenons, examinons un peu sous forme d’une saynète. Je peux voir un vieux sacrificateur du nom de Zacharie, un vieux personnage merveilleux. Sa femme Elizabeth et lui étaient de bonnes personnes, ils servaient le Seigneur de tout leur coeur. Et il... la mission au temple, c’était d’offrir le parfum sur l’autel pendant que les gens priaient. Et ils observaient toutes les lois et tous les statuts de Dieu, ils marchaient devant Dieu, irrépréhensibles.
42 Alors, je peux voir Zacharie au temple ce jour-là, offrant un sacri-... Les gens priaient, et lui offrait le parfum. Et alors, regardez. Le grand archange descend de la Gloire, il se tient à ses côtés et dit: «Ne crains point, Zacharie, car, quand tu... Après les jours de ton service ici, tu retourneras chez toi pour rester avec ta femme. Et tu auras un enfant, et son nom sera Jean.» Quelle salutation pour un tel homme!
Il a dit: «Comment ces choses peuvent-elles s’accomplir?» J’aimerais que vous remarquiez. Un homme versé dans les Ecritures, un homme qui connaissait toute la Bible, un sacrificateur, un élu a manqué de croire l’Ange de Dieu. Très bien. Suivez.
Alors... Quand Dieu est déterminé à faire quelque chose, Sa volonté prédestinée doit s’accomplir.
43 Alors, je peux voir Gabriel dire: «Parce que tu n’as pas cru à ma parole... Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu. Elles s’accompliront en leur temps. Cela est déjà prononcé. Mais toi, tu resteras muet jusqu’au jour où l’enfant naîtra.»
Eh bien, Zacharie avait plusieurs exemples. Il y avait Sara qui avait dépassé l’âge d’enfanter, à quatre-vingt-dix ans, quarante ans depuis la ménopause. Mais parce qu’elle avait cru en Dieu, elle a eu un fils, par qui le monde est béni.
Il y avait Agar... Anne, je veux dire. Anne avait dépassé l’âge d’enfanter. Un jour, elle est allée au temple, à Silo. Elle est entrée en titubant, elle est tombée à l’autel, elle a levé les mains, elle a crié au point que les gens ont pensé qu’elle était ivre. Elle n’était pas ivre. Elle était simplement mal comprise.
Beaucoup de gens disaient l’autre soir, ils descendaient en disant: «Ça doit être une bande de saints exaltés par là. Eux tous crient et font des histoires.» Vous n’êtes pas fous. Vous êtes simplement mal compris. C’est tout.
44 Anne avait une profonde sincérité. Et un sacrificateur s’est même achoppé et lui a demandé si elle était ivre. Elle a dit: «Je ne suis pas ivre, mais je prie Dieu de me débarrasser de mon opprobre.»
Elle ne cherchait pas à voir le genre de chapeau que les femmes portaient, le genre d’habits qu’elles portaient. Elle était allée là pour adorer Dieu et Lui demander quelque chose.
Et si vous êtes venu cet après-midi, peu importe que vous ayez des béquilles, des fauteuils roulants, quelque soit votre état, si vous êtes venu demander quelque chose à Dieu, demandez et vous recevrez.
Et elle fut mal comprise. Mais quand elle s’est relevée, le sacrificateur a vu qu’elle était sincère, il a dit: «Que l’Eternel Dieu te bénisse.» Et elle a rendu des actions de grâce à Dieu, elle est rentrée chez elle en croyant. Dieu pouvait placer l’enfant dans ses bras à l’instant même, seulement, le petit Samuel naquit neuf mois plus tard. Elle l’a amené au temple.
45 Eh bien, Zacharie avait toutes ces choses comme exemples, mais il a manqué de croire l’Ange. Et Dieu lui a dit... ou l’Ange lui a dit qu’il deviendrait muet. Alors, il est rentré chez lui. Et sa femme devint enceinte.
Environ six mois plus tard, une petite vierge transportait de l’eau un jour. Elle avait dix-huit ans environ, elle était fiancée à un veuf de quarante-cinq ans à peu près, Joseph, qui avait quatre enfants. Et elle... Disons que c’était un lundi, c’est pratiquement la pire des journées pour les femmes, à cause de la lessive. Il me–me faut encore transporter de l’eau le lundi quand je suis à la maison.
Alors, là... Oh! Disons que c’est un lundi. Et je la vois revenir du puits. Et Nazareth, c’était la ville la plus mesquine qu’il y avait sur terre, pire qu’Erie... Oui.
Elle transportait de l’eau là, et elle était une vierge. Elle menait une bonne vie. Peu m’importe combien votre ville est mesquine, vous pouvez être un chrétien n’importe où. Amen. Elle croyait en Dieu.
46 En Orient, on a l’habitude de transporter l’eau sur la tête. Je peux m’imaginer voir la petite vierge passer en transportant de l’eau sur la tête. Et tout d’un coup, une forte lumière brilla devant elle. Et là, dans cette Lumière était un puissant ange, Gabriel. Il a dit: «Je te salue Marie, toi à qui une grâce a été faite.» Quelle salutation! Elle s’est posée des questions sur Sa façon, elle... Cet Ange l’avait abordée. Cela effraya la petite vierge. Cela vous effrayerait.
Cela m’avait effrayé. Et j’ai constaté qu’elle ne comprenait pas. Il lui a parlé de sa cousine Elisabeth, qui allait avoir un enfant dans sa vieillesse et après avoir dépassé l’âge. Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Jean et Jésus étaient des cousins issus des germaines. Et il lui a dit qu’elle allait avoir un Enfant sans avoir connu un homme.
Maintenant, considérez la différence entre un sacrificateur qui avait beaucoup d’exemples dans la Parole et qui avait manqué de croire le Message de l’Ange, et la petite jeune fille... Jamais un enfant n’était né comme cela. Mais elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Alléluia! N’ayez pas peur. Je sais où je me tiens.
Regardez. Alléluia veut dire gloire à notre Dieu. Et Il est digne de toute la louange. Très bien.
47 Elle a cru en Lui. Elle n’a pas douté. Elle a cru en Lui. Il lui a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre, et ce saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»
Elle a dit: «Qu’il me soit fait selon tes paroles.»
Et elle s’est aussitôt mise à témoigner, dire aux gens qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme, avant donc que l’Enfant soit né. Avant qu’elle ait senti quoi que ce soit, avant qu’il y ait une quelconque vie, une quelconque évidence, rien du tout, elle s’est mise à témoigner que c’était vrai. Que Dieu nous donne d’autres Marie par ici en Erie, qui peuvent prendre Dieu au Mot. Avant que vous voyiez, que vous sentiez quoi que ce soit, Le prendre au Mot. Alléluia!
Oh! la la! Je me sens très bien. N’allez pas penser que je suis fou. Si je le suis, je suis heureux, laissez-moi donc tranquille. Très bien.
48 Ô frère! Quiconque osera prendre Dieu au Mot, Dieu l’a dit. Elle a dit que c’est vrai, elle s’est mise à en témoigner. Si Dieu a dit qu’Il vous guérira, si vous avez cru en Lui, prenez-Le au Mot. Ne regardez pas combien vous êtes estropié, à quel point vous êtes aveugle. Prenez-Le au Mot et mettez-vous à en témoigner. Dieu est tenu de faire s’accomplir cela. Amen. D’accord.
Vous pensez que je fais trop de bruits, pour un baptiste? Oh! Les baptistes sont aussi un peu excités. Je suis un baptiste différent. Je suis un baptiste avec le Saint-Esprit. Amen. C’est vrai. J’ai le Saint-Esprit. Donc... C’est le genre de baptistes qu’il nous faut avoir, avec le Saint-Esprit. Si certains de mes frères s’avançaient recevoir la même chose, l’Eglise baptiste aurait de nouveau la vie. C’est vrai. Oh! la la!
49 Je peux la voir se réjouir, heureuse, allant raconter à tout le monde qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme. Pouvez-vous vous représenter cela? Je sais... L’Ange lui avait parlé de sa cousine. Et elle a directement parcouru les collines de Judée, pour lui rendre visite. Elle ne pouvait pas rester davantage. Elle avait entendu de bonnes nouvelles.
Et je peux voir Sara... ou plutôt Elisabeth, assise en train de tricoter, peut-être. Elle a vu Marie venir. Elle est sortie en courant, elle a entouré Marie de ses bras et s’est mise à l’étreindre.
A l’époque, les gens s’aimaient. Nous avons perdu cela aujourd’hui. Vous savez que c’est la vérité. C’est vrai. Les gens ne... même pas... Vous ne pouvez même pas... Celui qui descend en ville, vous ne pouvez guère lui parler, à moins que vous soyez de même haut rang que lui. Et puis, ils vont en ville et parlent, ils esquissent juste une espèce de sourire insignifiant. Ô frère, j’aime une bonne poignée de main à l’ancienne mode. On va droit jusqu’au bout de cela. Qu’êtes-vous après tout. Amen. C’est vrai.
Pas d’amour pour... Vous ne savez même pas que votre voisin est mort à moins de le lire dans un journal. Les gens ne s’aiment plus. On a perdu cela.
50 Il y a longtemps, quand nous étions à court d’argent, nous allions chez le voisin emprunter cinquante dollars pour tenir le coup. Eh bien, nous n’avions pas à signer des décharges. Nous nous faisions confiance les uns aux autres. Vous ne pouvez pas emprunter cinq dollars aujourd’hui sans laisser en gage un bien de dix dollars pour ça. C’est vrai. Pas d’amour...
La Bible déclare: «Et parce que l’amour se sera refroidi, la–la charité... Et parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira.» C’est ça le problème du monde. Ils se meurent faute d’amour. Nous avons beaucoup d’enseignements, beaucoup d’églises, mais nous avons besoin de l’amour de Dieu. Alléluia! ...sais ce qui ne va pas avec moi aujourd’hui...
Regardez, je vais vous le dire, frère. Elles étaient là. Je peux la voir heureuse, se réjouissant. Elle a couru, elle l’a entourée de ses bras, oh! elle était heureuse; en effet, elle en avait entendu parler.
51 Eh bien, je peux l’entendre dire... Elle l’a entourée de ses bras, elle s’est mise à l’aimer, elles se sont étreintes. J’aime ça. Pas vous? J’aime voir des femmes se rencontrer comme cela.
Et j’aime voir les hommes saisir... Il y a quelque temps, un homme s’est avancé là, il m’a tenu la main, il m’a entouré de ses bras, un jeune homme; il a dit: «Frère Branham, j’étais dans votre réunion. Et ma fillette avait été guérie», de quelque chose, j’oublie ce que c’était. Et il a dit: «Vous étiez là et vous avez dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette enfant sera comme ça comme ceci.’» Observez. Il a dit que c’était arrivé exactement comme cela. C’est vrai.
Il m’a entouré de ses bras. J’aime ça. Amen. Je suis simplement un prédicateur de fond des bois, sassafras, à l’ancienne mode. J’aime ça. Oui, oui. Je crois dans cela. Je crois dans la religion de l’ancien temps, au ciel bleu, qui tue le péché. Cela ne vous blanchit pas, mais cela vous lave et vous rend blanc, et fait de vous une nouvelle créature en Jésus-Christ. Amen. Cela rend le diable furieux.
52 Remarquez. Il n’y a pas longtemps, j’étais là en Floride. Ce qui me chiffonne, c’est de voir les gens qui pensent être meilleurs que les autres. Frère, nous en avons beaucoup. C’est vrai. Qu’êtes-vous après tout? Un mètre quatre-vingt-deux de terre.
Je circulais dans un musée il n’y a pas longtemps, et on avait effectué une analyse d’un corps humain qui pesait cent cinquante livres [68 kg]. Ces composants valaient quatre-vingt-quatre cents. C’est vrai. Ça, c’est un homme de cent cinquante livres [68 kg]. Il avait assez de composants chimiques qui valaient quatre-vingt-quatre cents, juste assez pour asperger le nid d’une poule. Et, oh! je ne sais pas, un peu de calcium, vous pouvez tenir ça au bout d’un stylo ou quelque chose comme cela. Ça valait quatre-vingt-quatre cents. Puis, vous mettrez un chapeau de cinq dollars dessus et vous dressez votre nez en l’air. S’il pleuvait, vous vous noieriez. Certaines femmes sont au... C’est vrai. Vous pensez être quelque chose. C’est vrai.
Frère, ce dont le monde a besoin aujourd’hui, ce n’est pas d’un homme nouveau ou d’un nouveau président, mais d’un réveil à l’ancienne mode, à la saint Paul et où on prêche encore le Saint-Esprit de la Bible dans Son Eglise, dans Sa puissance. C’est vrai.
53 Nous parlons des réunions et des réveils. Nous avons des rassemblements, mais pas un réveil. Nous avons besoin d’un réveil. Détruire, aller jusqu’au bout, laisser le sacrificateur s’accrocher à l’autel et pleurer. Amen. Amen. Ne soyez pas excité. Cela veut dire ainsi soit-il.
J’avais un chien qui suivrait tout au monde dans un arbre sauf une moufette puante. Et quand je le faisais suivre dans l’arbre, il tournait tout autour, aboyait à la moufette, mais il n’allait jamais me la chercher. Tout ce que j’avais à faire, c’était de soulever le tas de broussaille, de le tapoter et de dire: «Attaque-le, Fritz.» Frère, il allait chercher la moufette.
La pire moufette que je connaisse, c’est le diable. Et, frère, si vous voulez le suivre dans un arbre cet après-midi, criez simplement: «Amen.» C’est–c’est: Attaque-le. Nous allons le chercher et nous le suivons dans l’arbre. C’est vrai.
54 Maintenant, remarquez. Une fois là à Miami, il y avait une espèce de duchesse, ou quelqu’un de ce genre-là. Frère Bosworth a dit: «Frère Branham, la duchesse de truc et machin, d’une île, quelque chose comme cela, veut faire ta connaissance.»
J’ai dit: «Eh bien, est-elle plus importante que n’importe qui d’autre?» Voyez?
Il a dit: «Eh bien, elle veut faire ta connaissance. Veux-tu attendre juste derrière la tente?»
Et j’ai dit... Eh bien, c’était lui l’organisateur, il n’y avait donc rien à faire pour moi. Et j’ai dit: «D’accord.»
Quand il est sorti de la tente, il y avait un petit endroit là, un petit, délimité par une corde. Et une femme s’est avancée par là, avec juste assez d’habits pour bourrer le mousquet d’un fusil. Il avait des boucles d’oreilles qui pendaient droit comme ceci, on dirait que le diable se servait de son cou comme d’une selle et s’en servirait comme des étriers. Il la chevauchait partout dans l’enfer de toute façon. C’est vrai.
55 Elle s’est avancée là, portant une paire de lunettes, tendant cela au bout d’un bâton d’environ... Vous savez, les gens ne regardent pas au travers des lunettes à distance comme cela, tendant cela comme ça, les tendant au bout d’un bâton, comme ça. Elle est passée par là, vous savez, avec son bâton tendu comme cela, regardant comme cela, regardant en bas. Eh bien, c’était étonnant qu’elle ne se soit pas renversée sur quelque chose. Elle regardait comme cela.
Alors, elle s’est avancée vers moi. Elle a dit: «Est-ce vous docteur Branham?»
J’ai dit: «Non, madame. Non, madame.» J’ai dit: «C’est moi frère Branham.»
Elle a levé la main. Elle a dit: «Enchantée de faire votre connaissance.»
J’ai dit: «Faites-la descendre par ici, afin que je vous reconnaisse quand je vous reverrai.» C’est exact.
Frère, que sommes-nous après tout? Un mètre quatre-vingt-deux de terre. Alléluia! C’est la grâce de Dieu qui a changé nos coeurs et...?... Ce n’est pas par nous-mêmes, mais c’est par Sa grâce que nous sommes sauvés.
56 L’autre jour, j’ai vu une drôle de petite femme entrer dans une grande église là, dans une ville. Et elle descendait, sa fille et elle ont adhéré à une église. Elle est entrée là, elle portait une petite robe en calicot, je ne sais comment vous appelez ces tissus. Elle est entrée là, le prédicateur a dit quelque chose. Elle a dit: «Gloire au Seigneur!» Et tout le monde a tendu son cou comme une oie sur un étang, regardant tout autour comme cela pour voir ce qui se passait. Eh bien, cela a remué tout le monde. Ils n’avaient jamais entendu quelqu’un dire amen. Elle venait du Kentucky où il reste encore un peu de religion.
Alors, après, elle s’est ressaisie là. Et le prédicateur a dit: «Et Jésus-Christ, le Fils de Dieu...»
Elle s’est écriée: «Gloire!» Et alors, le prédicateur a dit [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.] Il a dit: «On m’interrompt.» Oh! Frère, si vous ne faites pas cela, c’est alors qu’on m’interrompt. D’accord.
Remarquez. Et alors, il a encore prononcé quelques paroles et elle a dit: «Louange au Seigneur. C’est vrai.» Et les huissiers sont allés, ils l’ont fait sortir de l’église.
Je me suis dit: «Oh! Oui. Son nom peut ne pas figurer dans le Who’s Who, mais je parie qu’il est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. C’est là que j’aimerais que le mien figure. Frère, non pas dans le Who’s Who, j’aimerais que mon nom figure dans le Who’s Who de Dieu.
57 Le jour dans lequel nous vivons est un temps de grande compétition. Croyez-vous cela? Mettez de la peinture rouge à vos marches et observez. Tous les voisins peignent aussitôt les leurs en rouge: un temps de compétition. Tout le monde veut imiter quelqu’un d’autre: la compétition.
J’ai toujours dit: Peu m’importe que mes souliers soient assortis à mon pantalon, ou que ma chemise soit assortie à mon manteau, je veux que mon expérience s’accorde à la Bible de Dieu.
Quand Il a dit: «Vous devez naître de nouveau», quand ils ont reçu le baptême du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte, c’est ce que je veux. Je veux que mon expérience s’accorde à cela. Amen.
Pierre a dit: «C’est ici ce qui.» Si ce n’est pas ici ce qui, je vais garder c’est ici jusqu’à ce que ce qui arrive. C’est ce que je vais faire. Amen. Je passe un bon moment avec ça. Très bien.
58 Je peux voir Marie l’entourer de ses bras et dire: «Oh! Elisabeth, que c’est agréable de te revoir.» Et elle a dit: «On vient de me dire que tu vas avoir un enfant dans la vieillesse.»
Je peux entendre Elisabeth dire: «Oui, Marie. C’est vrai. Je–je vais avoir un enfant. Mais je suis inquiète à ce sujet. (Voyez?) Ça fait six mois, il n’y a pas encore de vie.» C’est tout à fait anormal. Voyez? La vie se manifeste vers... Vous sentez la vie vers trois à quatre mois, quelque chose comme cela, deux mois et demi. Elle a dit: «Mais il n’y a pas encore de vie.»
Et Marie a dit: «Tu sais...»
Oh! la la! Je sais, je suis censé rester ici, mais je ne le peux pas.
59 Regardez. Elle a dit: «Tu sais, le Saint-Esprit est descendu, Il m’a couverte de Son ombre, Il m’a dit que j’aurais aussi un Enfant, sans avoir connu un homme. Et que je L’appellerais Jésus.»
Et aussitôt qu’elle a dit: «Jésus», le petit Jean a tressailli dans le sein de sa mère, il s’est mis à tressaillir comme cela, il a reçu la vie. La première fois que le Nom de Jésus-Christ a donc été prononcé par des lèvres d’une mortelle, un enfant mort est revenu à la vie dans le sein d’une mère.
Frère, si Cela ramène un enfant mort à la vie, qu’est-ce que Cela devrait faire à une Eglise née de nouveau? Alléluia! C’est vrai. Il n’est pas étonnant que Cela fasse marcher les boiteux, fasse voir les aveugles, fasse entendre les sourds, le Nom de Jésus-Christ.
Le petit Jean mort dans le sein de sa mère, et Elisabeth a dit: «D’où vient que la mère de mon Seigneur est venue vers moi?» Elle a dit: «Car, voici aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mes oreilles, mon enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Quel Enfant! Alléluia! Quel Nom! «Mon enfant a tressailli d’allégresse dans le sein aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mes oreilles.»
60 Frère, qu’est-ce que Cela devrait faire à un groupe de gens nés de nouveau? Mais vous ne pouvez pas maudire ce Nom-là, vous moquer de ce Nom-là, douter de ce Nom-là, et vous En réjouir. Vous devez Le respecter dans votre coeur. Croire Cela de tout votre coeur. Très bien.
Alors, elles ont passé quelques jours là-bas. Puis, peu après, le petit Jean devait naître. Quand il est né... A l’âge d’environ neuf ans, il n’est pas allé à une espèce de séminaire ou cimetière. C’est un–un séminaire, je veux dire. C’est tout à fait pareil. C’est un lieu des morts. C’est exact.
Vous savez quoi? Un prédicateur de séminaire me rappelle toujours des poulets de couveuse. Un petit poulet de couveuse va piauler, piauler, piauler, et il n’a pas de maman auprès de qui se rendre.
C’est à peu près ainsi avec un prédicateur de couveuse, avec la lecture, l’écriture et l’arithmétique, et il ne connaît pas Dieu, pas plus qu’un lapin n’en sait au sujet de raquettes de neige. Vous savez que c’est la vérité. C’est vrai.
61 Je n’ai rien contre, mais nous avons besoin aujourd’hui... Je préférerais confier mon jeune garçon à un homme qui ne sait pas distinguer le grain de haricot du grain de café, mais qui connaît le Saint-Esprit, plutôt que celui qui a toute l’instruction du monde et qui cherche à la lui inculquer. C’est vrai. Alléluia! Je me sens bien religieux.
Regardez. Permettez-moi de vous dire quelque chose, frère. «Ce n’est ni par la puissance, ni par la force, mais c’est par Mon Esprit», dit l’Eternel. C’est ça la chose. Oui, oui. Il a cru en Lui.
62 Et maintenant, remarquez. Cela... Quel genre d’enfant allait-il être là au désert à l’âge de neuf ans et y rester? Et quand il en est ressorti à l’âge de trente ans, frère, il a laissé les éclats voler, aussi.
Il s’est présenté sur les rivages du Jourdain, prêchant l’Evangile. Il a secoué toutes les régions environnantes de Jérusalem. On venait l’entendre pendant qu’il était sur les rivages. Il n’était pas habillé en un très chic costume smoking, avec un col retourné. Non. Il portait un drôle de pantalon à poils, il portait une ceinture de peau de brebis, comme cela. Mais il a secoué toutes les régions environnantes du Jourdain. Que se passait-il? Il prêchait Christ par le baptême du Saint-Esprit.
Et, je vous assure, frère, chaque fois que cela est toujours prêché dans Sa puissance, toujours dans Sa simplicité, Cela attirera les nations partout, l’attraction de l’Evangile de Christ. Amen.
63 Je suis content que frère Baxter m’ait dit que je pouvais venir: Je me sens très religieux.
Remarquez. Après, la chose suivante, vous savez, qu’a-t-il fait? Il a secoué les régions. Un jour, vers onze heures, il prêchait et là se tenait un petit sacrificateur, de l’autre côté; il a dit: «Veux-tu me dire, Rabbi, qu’il arrivera un temps où il n’y aura plus de sacrifice quotidien? Tu es en erreur.»
Il a dit: «Il arrivera un temps où un Homme deviendra le sacrifice.»
«Oh! a-t-il dit, ça ne peut pas être vrai.»
Il y avait tellement de gens qu’il devait se tenir de l’autre côté de la rivière, ses foules grossissaient beaucoup. Et peu après, je remarque Quelqu’Un arriver, Il descend. Il a dit: «Voici...» Voici veut dire regardez. «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Le voilà venir, un petit Homme ordinaire, d’environ trente ans passant par là en robe bleue, les cheveux flottant aux vents. Oh! Quel Homme! Frère, je vous assure, c’est là le Prince de tous les princes, le Roi de tous les rois, le Seigneur de tous les seigneurs, le Fils du Dieu vivant, la promesse divine de Dieu.
64 Dieu est tenu de prendre soin de Sa promesse. Quand Dieu avait fait sortir Israël du désert là-bas, Il l’a fait entrer dans le désert plutôt, Il avait promis de prendre soin d’eux. Et ce que Dieu a promis, Il est tenu de l’accomplir. Quand ils avaient besoin d’eau, ils allaient au rocher. Quand ils avaient besoin de nourriture, Dieu faisait pleuvoir du Ciel la manne. Il a ouvert la mer Rouge.
Regardez cette manne qui descendait; quel beau type de notre Eglise aujourd’hui! De même que Dieu avait conduit Israël dans le naturel, Il conduit l’Eglise aujourd’hui dans le spirituel.
Suivez ceci. Alors, quand ils ont traversé la mer Rouge, tous les chefs de corvées étaient morts. La mer Rouge, le Sang de Christ... L’homme qui passe par le Sang est sanctifié des choses du monde. Il se tient sur les rivages par ici, d’un nouveau pays, un nouveau peuple.
Miriam était là, elle était très contente. Elle a pris un tambourin et s’est mise à danser. Elle parcourait les rivages en dansant. Les filles d’Israël l’ont suivie derrière en dansant.
Moïse est entré en Esprit, il a chanté un chant en Esprit. Si ce n’était pas là une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, c’est que je n’en ai jamais vue une de ma vie. Vous y êtes. Après qu’ils eurent traversé vers un nouveau pays, alors Dieu a dit qu’Il prendrait soin d’eux.
65 Alors, j’ai constaté que ce soir-là, il n’y avait pas de pain. Ils ne s’en souciaient pas. Mais Dieu fit pleuvoir de la manne du ciel, elle tombait par terre. Et ils sortaient ramasser cela et ils mangeaient. Ils ont dit que cela avait le goût du miel. Avez-vous déjà mangé de cela? Oh! C’est bon. Oh! la la! Vous devriez en goûter un peu, chérie.
Vous savez, David d’autrefois, il était un berger. C’est lui qui a dit que cela avait le goût du miel. Cela avait le goût du miel sur le rocher. David, parlant de ce... Il avait l’habitude de porter... Les bergers portaient d’habitude une gibecière à leurs flancs, ils y mettaient du miel. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils mettaient ce miel sur un rocher, et la brebis allait lécher ce rocher. Et en léchant ce miel du rocher, elle léchait le calcaire du rocher et se rétablissait. Voyez?
Ils mettaient du miel sur le rocher et amenaient les brebis à lécher. Et elles léchaient du miel. Et en léchant du miel, elles consommaient du calcaire, provenant de la roche calcaire. Et le calcaire guérissait les brebis.
66 Dans l’ancien temps, quand les gens étaient mordus par un chien enragé, on les prenait et on les mettait contre une pierre antirabique. S’ils collaient à cette pierre-là, ils se rétablissaient. Sinon, ils mourraient.
Et je disais, il y a quelques instants, que le pire chien enragé que je connaisse, c’est le diable. S’il vous a mordu et qu’il vous a rendu malade, allez au Rocher, Jésus-Christ. Collez-vous-Y, accrochez-vous-Y; tenez ferme; ne quittez pas; accrochez-vous aux ailes de la croix et vous êtes sûr de vous rétablir. Amen.
Cette manne encore... Permettez-moi de vous donner autre chose ici. J’aime vraiment ces vieilles pépites, pas vous? Oui, oui. Donnez un coup de brosse à cela; regardez à quoi ça ressemble.
67 Puis, Dieu a dit à Aaron... Eh bien, Il a dit: «Maintenant, ne cherche pas à garder quoi que ce soit de cela jusqu’au lendemain. Si tu gardes cela jusqu’au lendemain, ça s’abîmera.»
C’est ça le problème de beaucoup de pentecôtistes. Vous gardez cela jusqu’au lendemain. «J’ai eu une expérience il y a vingt ans.» Frère, cette expérience contient des asticots aujourd’hui. Qu’en est-il de maintenant même?
Vous direz: «Quand j’ai reçu le baptême du Saint-Esprit, j’avais la joie, la paix et la longanimité?» Qu’en est-il de maintenant? Cette expérience de jadis est déjà passée. Qu’en est-il d’une nouvelle aujourd’hui? Chaque jour, ils ramassaient une nouvelle manne. Et la manne, c’est un type parfait du Saint-Esprit venant de Dieu, le Soutien, pour leur faire traverser le désert, comme l’Esprit est notre Soutien aujourd’hui pour nous faire passer ce pèlerinage. Nous sommes en route vers la Terre promise. Est-ce vrai?
«Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. Si cela n’était pas, Je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.» Est-ce vrai? Nous sommes en route vers la Terre promise.
Remarquez. Et nous sommes nourris chaque jour du Saint-Esprit qui descend du Ciel, d’auprès de Dieu. Il est doux à nos âmes comme du miel sur le rocher. Je dois consommer Cela à chaque heure de ma vie, sinon je meurs. C’est vrai. Cela doit venir vers moi, sinon je ne peux vivre. Cela viendra.... devra venir vers vous, sinon vous mourrez. C’est vrai.
68 Eh bien, remarquez. J’aimerais que vous saisissiez bien cela. Eh bien, permettez-moi de vous montrer ce type premièrement.
Moïse a dit à Aaron: «Va prendre plusieurs omers pleins de cela, met cela derrière, dans le lieu très saint.» Il arrivera donc que chaque génération, après eux, ceux qui viendront après qu’ils auront effectué le pèlerinage, c’était un... Celui qui deviendra un sacrificateur, qui sera digne d’entrer et être un sacrificateur, il pourra entrer là-bas et prendre un peu de cette manne, de la manne originelle, goûter cela, manger de cette manne. Alors, il pourra dire aux autres ce qu’il en était de tout cela. Conservez cela là derrière, dans le lieu très saint. Cela subsistera là derrière. Cela ne s’abîmera pas là derrière, car cela vient tout droit du ciel, la puissance de Dieu dans le lieu très saint.
69 Et chaque sacrificateur savait qu’en devenant sacrificateur, il avait le droit de goûter de la manne originelle qui était tombée au début. Eh bien, c’était leur manne pour leur donner tout au long de leur pèlerinage quelque chose comme ils... un mémorial que Dieu les avait fait passer de la mort à la vie, et pouvait... Il avait nourri les enfants d’Israël.
Et le jour de la Pentecôte, quand notre Manne était venue du Ciel, d’auprès de Dieu, après que l’église fut inaugurée et que le Saint-Esprit devait venir, Jésus a dit: «Voi–voici, J’enverrai sur vous ce que Mon Père a promis. Mais vous, restez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en Haut. Après cela, le Saint-Esprit viendra sur vous. Vous serez Mes témoins à Jérusalem, en Judée, en Samarie, à Erie, en Pennsylvanie, jusqu’aux extrémités du monde.» Amen.
70 Remarquez. Eh bien, ils sont rentrés là. Aussitôt qu’ils avaient traversé la mer Rouge, tout comme les disciples étaient retournés après l’effusion du Sang rouge de Christ pour purifier l’Eglise. Et comme le jour de la Pentecôte ... Oh! la la! Maintenant, regardez comment nous recevons cela aujourd’hui. Dans l’Eglise protestante, nous nous avançons et nous disons: «Est-ce que vous êtes... Prenez le... Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est le Fils de Dieu?»
«Oui.»
«Inscrivez votre nom dans le registre. On va vous soumettre à une période probatoire de six mois, on vous fait entrer dans l’église. Allez de l’avant avec la boisson, la cigarette, un tas de choses, faites tout ce que vous voulez.» Dans l’Eglise catholique, nous nous avançons et nous faisons sortir la langue, nous prenons la communion, la sainte eucharistie. D’accord. Alors, on devient un membre d’église.
Eh bien, aucun d’eux n’est dans le vrai. Le jour de la Pentecôte, il n’y eut pas de prêtre qui remonta la rue avec un paquet de communion en main. Il n’y eut pas de prédicateur qui sortit de séminaire et dit: «Je suis maintenant docteur Jones. Je vais maintenant vous prendre par la main droite et vous donner la communion dans l’église, vous faire entrer par une lettre de recommandation.»
71 Mais le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu, ils ne disaient pas: «Moi, je suis méthodiste; moi, je suis baptiste. Moi, je suis luthérien. Moi, je suis ceci.» Ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Et soudain, il vint du ciel, non pas remontant la route, non pas sortant du séminaire, mais du ciel, un bruit comme celui d’un vent impétueux. Et Il remplit toute la maison où ils étaient assis. Et le Saint-Esprit descendit sur eux. Ils sortirent là dans les rues, titubant, chancelant, faisant comme une bande d’ivrognes.
Attendez une minute, ami. La vierge Marie bénie a eu à entrer là pour recevoir la même chose. Et si Dieu n’a pas permis que la vierge Marie entre au Ciel sans avoir reçu le baptême du Saint-Esprit, n’allez pas penser que vous, vous pouvez vous revêtir d’une quelconque église et y entrer avec quelque chose de moins. Vous allez recevoir le Saint-Esprit, sinon vous serez dehors. C’est tout. C’est tout. C’est l’enseignement de l’Evangile, frère. Cela peut vous consumer, vous écorcher, vous boursoufler, et tout le reste, mais cela vous fera du bien.
72 Eh bien, quand j’étais un petit garçon, il nous fallait prendre l’huile de ricin tout le temps. Nous n’avions rien à manger, on faisait bouillir de vieilles peaux de viande pour en extraire de la graisse à mettre sur le pain de maïs. Et il nous fallait prendre de l’huile de ricin chaque samedi soir. Le vieux baquet, tendre la main là et prendre... Prendre un vieux baquet... Maman nous frottait et ajoutait de l’eau dans une bouilloire, et elle en ajoutait un peu plus dedans et frottait le... sur nous. Puis, on se tenait le nez et on prenait l’huile de ricin. Oh! la la! J’en prenais tellement que j’en tombais malade. Et chaque fois que j’entrais même dans la cuisine, je commençais à avoir haut le coeur. Je me tenais le nez, et je tirais fort et j’avais haut le coeur. Et je disais: «Maman, ce produit me rend vraiment malade.»
Elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, cela ne te fera aucun bien.» Cela vaut cet après-midi. Si cela ne vous rend pas très bien malade, cela ne vous fera aucun bien. Donc... la maintenir, s’arranger; c’est l’unique chose à faire. Reprendre. Amen. L’Evangile à l’ancienne mode vous fera du bien, ce dont vous avez besoin. Amen. Vous savez que c’est vrai. C’est vrai. Cela fera de vous une nouvelle créature en Jésus-Christ. Cela peut vous amener à vous débarrasser de certaines choses dont vous n’avez pas besoin en vous. C’est en ordre.
73 Elle devait recevoir le baptême du Saint-Esprit, sinon Dieu ne l’aurait pas reconnue comme l’une des Siennes. Exact. Et quand ils ont reçu le Saint-Esprit, ils sont entrés dans des rues en criant, agissant comme une bande d’ivrognes, comme cela, titubant.
Et aujourd’hui, ils parlent... ils ont ôté le Saint-Esprit, ils ont mis une hostie sous la langue, ou ils serrent la main à un prédicateur. Oh! Frère, j’en ai marre de cette confession à l’oeil sec. Il n’y a rien à cela, pas plus qu’il y a un... Comme un homme qui cherche à boire de l’eau d’un vieux chiffon sec quelque part. C’est vrai.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon baptême du Saint-Esprit frais, qui descend et qui secoue encore les gens.
J’étais en train de contempler votre lac par ici l’autre jour. Quand je suis descendu là-bas, il connaissait un grand réveil. Les vagues sautaient simplement, bondissaient et sautaient. J’ai dit: «Il n’y a pas plus d’eau là-dedans que quand cela est lisse, mais il connaît un réveil.» C’est ce dont nous avons besoin: un vent soufflant sur nous, vous secouant un tout petit peu.
74 Remarquez. Et puis, combien glorieux... Eh bien, Pierre a alors dit: «Eh bien, écoutez ça.» Tous les hommes et les frères se sont vite assemblés et ont dit: «Regardez ces gars (les croyants); ils sont tous pleins de vin doux. Regardez ces femmes là-bas. Qu’est-ce que je vous ai dit? Eh bien, ils sont tous pleins de vin doux.»
Pierre s’est présenté là. Je pense qu’il prêchait sur une caisse à savon. C’est ce qu’on disait de moi. C’est donc en ordre. Il a pris sa caisse à savon, ou une souche, ou je ne sais quoi c’était, il est monté dessus et a dit: «Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci; ces hommes ne sont pas ivres comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour. Mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël.»
Il a prêché un sermon, frère, tel qu’il a secoué les stalactites de l’enfer sous les yeux du diable. C’est vrai. Et alors, il a dit... Ils ont vu tout ça. Il a dit: «C’est ce qui a été annoncé par prophétie, comme devant arriver.»
Ils ont dit: «Que pouvons-nous faire pour être sauvés?»
Il a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.»
75 Qu’est-ce? C’est la même promesse. La même manne qui était tombée sur eux pour leur donner la Vie Eternelle, comme la même manne qui avait soutenu les enfants d’Israël dans le désert, le même baptême du Saint-Esprit qui soutient l’Eglise jusque dans la Gloire. Et chaque homme, comme le sacrificateur était alors... Le mur de séparation a été détruit. Chaque homme qui viendra à Christ, et qui croira qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent, et qui renonce à ses péchés et ouvre ses bras à Dieu, peut avoir, non pas quelque chose qui ressemble à cela, une imitation de cela, mais un coeur authentique plein du véritable baptême du Saint-Esprit, comme Celui qui était descendu le jour de la Pentecôte, qui accomplit les mêmes signes, les mêmes prodiges, et tout le reste se produit. Alléluia! Vous savez que c’est vrai.
Cela vous fait agir de même, comme un homme ivre. Cela vous fait agir juste comme eux l’avaient fait le jour de la Pentecôte. Chaque croyant a le droit de recevoir Cela, juste comme chaque sacrificateur qui commençait le sacerdoce pouvait prendre la manne. Alléluia! Oh! la la! Je souhaiterais avoir deux fois ma taille, peut-être que je ferais deux fois du bruit.
76 Frère, je me sens très bien de toute façon à ce sujet. Ce dont cette église a besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil, pas une nouvelle doctrine, pas un nouvel ordre, mais juste agiter ce que vous connaissez déjà à ce sujet.
Il n’y a pas longtemps, mon frère et moi, nous marchions le long d’une rivière. Nous avons trouvé une vieille tortue. Je ne sais pas si vous en avez par ici ou pas, une tortue terrestre... une tortue de mer. Et c’était la créature la plus amusante. Elle étend ses pattes comme ceci, vous savez. Et j’ai dit: «Regardez cette amusante bête.»
Et quand nous nous sommes accroupis vers elle, elle s’est retirée dans sa carapace comme ça. Cela me rappelle certains de ces chrétiens, lorsque vous vous mettez à déverser l’Evangile sur eux, ces vieux membres d’églises tièdes, ils se retirent dans la carapace: «Je suis membre de telle et telle. Docteur Untel a dit telle chose.» Ils se retirent à l’intérieur.
J’ai dit: «Je vais la faire marcher.» Je suis allé là et je me suis coupé une longue baguette, et j’ai déversé cela sur elle. Cela n’a fait aucun bien. Vous pouvez la faire entrer en la frappant.
77 J’ai dit: «Je vais lui régler son compte.» Je l’ai amenée à la rivière, je l’ai plongée dans l’eau. Il y a eu juste quelques bulles qui sont montées.
Frère, vous pouvez vous plonger pécheur sec et vous relever pécheur mouillé, juste quelques bulles. Vous pouvez le baptiser de ce côté-ci, ce nom-là, et de haut en bas ce côté-ci, par derrière et par devant, l’asperger, tout ce que vous voulez, il est toujours un pécheur. C’est exact.
Je suis allé prendre un morceau de papier et j’ai allumé un petit feu, et j’ai placé la vieille créature là-dessus. Elle a alors marché.
Frère, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’avoir derrière la chaire des prédicateurs qui prêchent la puissance de l’Evangile de Jésus-Christ avec le Saint-Esprit et le baptême du feu qui descend sur les gens. Cela les fera alors marcher. Non pas s’établir ici sur ces plages un dimanche après-midi en maillot de bain. Cela les fera partir à l’église. Non pas là à jouer au golf... Oh! Frère, est-ce que cela vous écorche?
J’étais descendu là ce matin, il y avait de petites dames étendues partout là sur cette plage. De petites femmes, je ne peux pas dire dames. Les dames ne font pas des choses pareilles. Mais étendues là sur la plage en maillot de bain, étendues en train de se bronzer au soleil.
78 J’ai une fille. Elle a six ans. Que je l’attrape étendue là comme cela, elle va avoir un bronzage du fils. Mais ça sera un bronzage du fils de Charles Branham à l’aide d’une planche aussi durement que je le peux. Je la ferai rentrer à la maison avec un véritable bronzage qu’elle n’oubliera pas pendant longtemps.
Il y a ici des gens qui disent que ces vieilles mamans du Kentucky étaient des illettrées et tout. Elles peuvent venir vous enseigner comment élever votre fille. C’est vrai.
Vous revêtez votre fille de petits habits bizarres, elle se tient ici dans la rue, et puis un gars fait un commentaire à son sujet, et on veut envoyer le gars en prison. C’est vous qui avez besoin de fouet. C’est vrai.
Frère, si l’amour de Dieu est dans votre coeur, comme il se devait, vous n’habillerez pas votre enfant comme cela. Ouf! Je ferais mieux de me taire. Ces gars viennent vous prêcher l’Evangile.
79 Frère, je crois au fait de rester ce qu’on est. Amen! Et je crois que la puissance du Saint-Esprit vous purifie totalement de telles choses. Ne vous avilissez pas vous-même en vous étalant là dehors.
Ecoutez, frère, ce n’est pas à votre régime alimentaire qu’on vous reconnaît. Les buses mangent n’importe quoi. Les colombes connaissent leur régime alimentaire. C’est vrai. Ils n’ont pas communion entre elles. Ce qui se ressemble s’assemble. Tenez-vous loin de ces endroits; aimez Dieu. Si vous aimez le Seigneur de tout votre coeur, vous n’avez pas de place pour de telles choses. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un autre... Vous parlez d’un réveil, des gens qui agissent comme cela. C’est bien.
Continuons avec notre passage. Très bien. En tout cas!
80 Je peux voir Jésus sortir après qu’Il était devenu populaire; les miracles commençaient à L’accompagner. Il désignait les gens et leur disait ce qu’ils étaient. Dieu était avec Lui, Il se manifestait à Lui.
Et puis, un jour, Il est allé habiter chez Marthe, Marie et Lazare. Ce dernier était Son copain. Alors, quand Il est allé là chez les Lazare... Il avait quitté la maison un jour, non pas parce qu’Il y était obligé, mais parce que Son ministère Le poussait vers une autre contrée pour accomplir une vision que Dieu Lui avait donnée.
Suivez. Il a quitté la maison. Et aussitôt qu’Il avait quitté la maison, la tristesse et la maladie sont entrées. Et quand Il quitte votre maison, la tristesse et la maladie entrent. Exact.
81 Lazare tomba malade. Les théologiens pensent qu’il était mort de l’hémorragie pulmonaire. Ça, je ne sais pas. La Bible n’en dit rien. Certains écrivains ont dit que c’était ça. D’accord.
Il tomba malade. Et parfois, Dieu éprouve votre foi. Croyez-vous cela? Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé. Ne trouvez pas étrange les épreuves ardentes qui arrivent, car cela n’est fait que pour perfectionner votre foi, vous rapprocher davantage. Cela est plus précieux pour vous que de l’or. D’accord.
Alors, quand ces choses commencèrent à arriver, Marie et Marthe ont envoyé dire: «Faites venir Jésus afin qu’Il prie pour lui.»
Et Jésus a tout bonnement ignoré leur appel. Il est allé plus loin dans une autre ville. Eh bien, ensuite, ils L’ont encore envoyé chercher. Il ignorait toujours l’appel.
82 Or, si votre pasteur faisait cela (Oh! la la!), vous diriez: «Eh bien, ce vieil hypocrite!» Eh bien, on ne m’a point dit de dire ceci. Mais vous diriez: «Ce vieil hypocrite! J’irai adhérer à l’église de docteur Untel. S’il ne...»
Ne savez-vous pas que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu? C’est la raison pour laquelle il n’a pas eu... il ne peut pas vous aider. Il est un homme de Dieu, mais il ne peut vous aider que si vous croyez en lui. Croyez votre pasteur s’il est un homme bien. S’il croit dans la guérison divine, qu’il la prêche, qu’il prenne position pour cela, s’il mène un bon genre de vie, il a le droit de prier pour vous tout autant que n’importe quel homme sur la face de la terre. Mais vous devez croire en lui et avoir confiance en lui en tant qu’homme de Dieu.
Et elles L’ont encore envoyé chercher, et Lui a simplement continué d’avancer. Eh bien, suivez. Voici la partie que j’aime. Il s’est retourné et a dit: «Notre ami Lazare dort», et c’est ce qu’il faisait en fait.
Et on Lui a dit: «Oh! a-t-on dit, s’il dort, il fait bien.»
Alors, Il leur a parlé dans leur langage habituel, ce qu’ils savaient. Il a dit: «Lazare est mort, et je suis content à cause de vous de ce que Je n’étais pas là. Mais Je m’en vais le réveiller.» Oh! la la! Dieu... Observez à la tombe, et voyez si Dieu ne Lui avait pas déjà montré cela. «Je m’en vais le réveiller.» Ils sont retournés.
83 Eh bien, le premier jour passa, à la petite maison. Ils ont fait sortir Lazare, ils ont embaumé son corps, ils l’ont enseveli dans la tombe, c’était lui qui leur procurait à manger. Nous avons appris que Lazare avait été un–avait été un scribe au temple. Marie et Marthe faisaient la petite tapisserie et autres comme cela. Leurs parents étaient morts.
Et alors, celui qui gagnait du pain était donc mort: un temps sombre. Le deuxième jour passa. Elles sont allées à la tombe et elles ont pleuré. Le troisième jour passa, le quatrième jour passa. La corruption s’installe dans les soixante douze heures, trois jours et trois nuits. Les vers qui sont dans le corps travaillaient dans son corps. Il n’y avait plus d’espoir, c’était l’heure la plus sombre que la petite famille ait jamais connue.
Avez-vous déjà connu pareille heure? J’en ai connue dans notre maison. Les bien-aimés ont été retirés et c’est l’obscurité.
84 L’heure la plus sombre que la petite famille ait jamais connue. Et c’est alors que Jésus vint. Il vient généralement à l’heure la plus sombre.
J’étais étendu là à l’hôpital Mayo. Les frères Mayo m’ont consulté, ils m’ont fait passer des examens. Ils ont dit: «Révérend Branham, nous sommes désolés de vous annoncer ceci. Mais, ça en est fini de vous. Rien ne peut être fait pour vous. Ça en est fini de vous.» Et alors Jésus vint. Oh! la la! Oh! Miséricorde!
Ça peut être l’heure la plus sombre pour vous maintenant, frère, pendant que vous êtes assis là en train de trembloter dans le fauteuil. Je vous ai observé pendant deux soirées. Ne serait-ce pas merveilleux si Jésus venait en ce moment-ci?
Qu’en est-il de vous assis là souffrant du cancer? Le médecin dit que vous ne pouvez pas vivre? C’est votre heure la plus sombre, et puis Jésus vient.
Il est toujours là juste à l’heure la plus sombre.
Quand les enfants hébreux effectuaient leur dernier pas pour entrer dans la fournaise ardente, c’est alors que Jésus vint.
Quand la femme à la perte de sang avait...?... dépensé tout son argent chez les médecins, et que personne ne pouvait lui faire du bien, alors Jésus vint. Il est là même. Ne vous inquiétez pas. Si vous L’aimez, accrochez-vous bien à Lui. Il sera là. Jésus vint.
85 Certains d’entre eux ont dit: «Le Maître est venu.»
Or, Marie a toujours été, ou plutôt Marthe, un peu en retard, mais son coeur brûlait. La voici enfiler son voile sur le visage et s’en aller.
J’entends certains parmi eux dire: «Où est ce Prédicateur saint exalté qui prêchait la guérison divine? Oui, oui. Quand l’épreuve arrive, Il s’enfuit, n’est-ce pas? Où est-Il maintenant? Où est ce Guérisseur Divin?»
Marthe et les autres avaient quitté l’église. En effet, il était formellement dit que quiconque suivait Jésus serait excommunié du temple. Elles étaient donc là. Elles ne pouvaient plus avoir communion dans leur synagogue. Elles avaient perdu leur église, perdu leurs pasteurs, perdu leurs amis, perdu tout; tout avait disparu. Il n’y avait plus d’espoir. Elles étaient là seules. Et alors, Jésus vint.
Alors, Marthe... Je peux la voir prendre ses habits, se les draper et se mettre à sortir en courant. Je peux entendre certains parmi eux dire: «Bon, nous nous demandons où elle va.» Eh bien, je me suis toujours imaginé que Marthe savait au fond de son coeur que si jamais elle pouvait arriver auprès de Jésus, elle découvrirait tout ce qu’elle voulait savoir.
86 Eh bien, jadis dans la Bible, là... Comme la femme sunamite, Marthe avait probablement lu cela. La femme sunamite, quand elle a perdu son enfant... Je pense que celui-ci avait eu une insolation. Dieu lui avait donné cet enfant-là. Et il avait atteint neuf, dix, douze ans. Un jour, vers là, vers onze heures, dans le champ, il était avec son papa, il a dit: «Ma tête, ma tête.» Il est retourné à la maison, il avait attrapé une insolation. Et il est mort.
Eh bien, elle a dit: «Selle le mulet et va de l’avant. Ne t’arrête pas à moins que je te l’ordonne. Va chez l’homme de Dieu, au mont Carmel.»
Eh bien, elle savait que Dieu était en Elie. Eh bien, écoutez attentivement maintenant juste avant que je termine. Elle savait que Dieu était en Elie. Si jamais elle pouvait arriver auprès d’Elie, qu’elle ne pouvait pas récupérer son enfant, néanmoins elle saurait pourquoi cet enfant avait été retiré. Et son mari a dit: «Ce n’est ni la nouvelle lune ni le sabbat, il ne sera pas là.»
Elle a dit: «Tout va bien. Allons.» Et ils ont chevauché... «Et ne t’arrête pas, à moins que je te l’ordonne.»
87 Je peux la voir s’approcher de l’homme de Dieu. Eh bien, il ne savait pas. Dieu ne révèle pas tout à Ses prophètes. Il a dit: «Voici venir cette Sunamite, et il y a quelque chose qui cloche chez elle. Elle est attristée, et Dieu me l’a caché.»
Est-ce vrai? Il ne savait pas ce qu’il y avait. Il s’est donc avancé, elle... Il a dit: «Tout va-t-il bien avec toi, avec ton mari et avec ton enfant?»
J’aime ça. Elle a dit: «Tout va bien.» Elle était arrivée auprès du prophète. Elle savait que tout allait alors bien. Elle s’est avancée à côté... D’un bond, elle est descendue, elle s’est prosternée à ses pieds.
Guéhazi l’a retirée d’auprès de son maître. Qu’était-ce? La tenir à distance. Il a dit: «Laisse-la tranquille.» Il a dit: «Elle est triste. Dieu me l’a caché.» Et alors, elle le lui a révélé, que l’enfant était mort.
88 Maintenant, regardez. Voici là où Paul, à mon avis, a eu cette idée, frères prédicateurs, de poser les mouchoirs sur les malades. Il a dit: «Amène mon bâton, s’adressant à Guéhazi. Amène mon bâton, et si un homme te salue, ne lui répons pas.» C’est ça le problème lorsque nous avons une commission aujourd’hui, il nous faut nous arrêter et faire autres choses. Voyez?
Mais il a dit: «Ne lui réponds pas. Et amène mon bâton, dépose-le sur l’enfant.» Eh bien, Elie savait que Dieu était en lui. Et tout ce qu’il touchait était béni. Et s’il pouvait amener la femme à croire la même chose... Je pense que c’est de là que Paul a tiré le fait de prendre les mouchoirs qui avaient touché son corps. Il savait que Dieu était en lui et que ce qu’il touchait était béni, mais pourvu que les gens croient cela.
89 Alors, Guéhazi s’est avancé. Et évidemment, l’enfant n’était point ressuscité, parce que la foi de la–la femme était en Elie. Elle a dit: «L’Eternel Dieu est vivant et ton âme ne meurt jamais, je ne te quitterai pas.»
Alors, Elie s’est ceint les reins et il est parti. Il est arrivé à la maison, et là était étalé l’enfant mort et les gens criaient. Eh bien, combien c’est approprié! Elle lui avait bâti une petite maison. Elle a donc pris l’enfant et l’a déposé sur son lit, là où lui dormait. C’était un bon endroit où le déposer, n’est-ce pas? Sur le lit.
Alors, le prophète est entré. Il a fait les cents pas dans la pièce, il a parcouru la pièce de part et d’autre, et puis, il a posé son corps sur le corps de l’enfant mort. Et celui-ci a éternué sept fois et il est revenu à la vie. Dieu était dans Son prophète.
90 Et Marie s’est dit... Marthe plutôt a dit: «Si Dieu a été dans Son prophète, assurément que Dieu est dans Son Fils.» Elle est donc partie à Sa rencontre. Ô frère! Oh! Alléluia! Elle est... Je ne suis pas excité. Je sais bien où je suis maintenant.
Eh bien, suivez. Elle est allée à Sa rencontre, passant droit au milieu de ces critiqueurs, vous savez, poursuivant son chemin, dépassant ceux qui disaient: «Les jours des miracles sont passés.» Elle tenait à arriver auprès de Lui.
Eh bien, on dirait que lorsqu’elle est arrivée auprès de Lui, elle aurait pu Le réprimander, Le gronder, dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu vers mon frère? Nous avons tout abandonné.» Eh bien, cela aurait été la version 1951 de la chose, mais pas à l’époque. Si elle avait donc fait cela, le miracle n’aurait jamais été accompli.
Mais elle a couru à toute vitesse. Elle est arrivée auprès de Lui. Elle est tombée à Ses pieds. Oh! J’aime ça. Eh bien, elle est venue dans la simplicité. Elle a eu une bonne approche.
91 Si vous arriviez à saisir ce dont je parle maintenant! Il y a une approche: la simplicité. Ne pensez jamais être meilleur que quelqu’un d’autre. Ne pensez pas que Dieu vous le doit. C’est vous qui le devez à Dieu. Venez avec humilité. «Rien, Seigneur. Je n’ai rien. Je viens humblement.»
Là à Mexico, quand ces Espagnols sont venus, ces catholiques, aussitôt qu’ils ont vu ces choses se passer, ils ne voulaient pas qu’on prie pour eux. S’ils pouvaient même s’approcher, juste passer à côté, c’est tout ce qu’ils voulaient faire. Et je n’ai jamais vu un être rejeté jusqu’à présent.
Humble. Evidemment, nous avons beaucoup d’instruction; nous connaissons tout à ce sujet et tous les détails. Vous voyez? Nous connaissons trop à ce sujet.
92 Mais voici venir Marthe; elle court, se prosterne à Ses pieds, et dit: «Seigneur...» C’était le titre convenable pour Lui. Etait-Il le Seigneur? «Seigneur, si Tu eusses été là, mon frère ne serait pas mort.» Oh! «Si Tu eusses était là, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Vous y êtes. Vous y êtes. Humble, couchée à Ses pieds, un Homme, levant les yeux et L’appelant par le titre qu’Il affirmait avoir, peu importe que le monde ait dit qu’Il était un saint exalté, qu’Il était Béelzébul, un spirite, un diseur de bonne aventure, elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été là, mon frère ne serait pas mort.» Confessant sa foi en Lui, Lui reconnaissant Son vrai titre, ce qu’Il était. «Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» Oh! J’aime ça!
93 Vous direz: «Frère Branham, je suis dans cet état ça fait longtemps.» «Mais, maintenant même...» «Frère Branham, le médecin m’a dit que je souffrais du coeur. Je pourrais mourir à n’importe quel moment.» «Mais, maintenant même, Seigneur.»
Vous direz: «Mais, Frère Branham, je suis rongé par un cancer.» «Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Il est assis à la droite du Père pour intercéder. «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
94 Je peux Le voir. Il n’était pas beau à voir. La Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards, Il n’était pas un grand gaillard de plus d’un mètre quatre-vingt-deux. Il était un petit Homme frêle. Il a redressé Son petit corps, Il avait des épaules affaissées. Il est dit que Sa barbe grisonnait avant qu’Il ait trente ans. Ses épaules étaient affaissées comme cela. Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»
Oh! la la! Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je sais qu’il ressuscitera au dernier jour.» Ces Juifs croyaient dans la résurrection générale. Elle a dit: «Je sais qu’il ressuscitera au dernier jour. C’était un bon garçon. Et Dieu le ressuscitera au dernier jour.»
Je peux voir Jésus dire: «Mais Je suis la Résurrection et la Vie. Je suis (pas Je serai, J’étais; Je suis (au présent)) Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi ne mourra jamais.» Oh! la la! Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie, a dit le Seigneur. Celui qui croit en Moi, quand bien même il serait mort, il vivra. Quiconque vit en Moi aura... et croit en Moi ne mourra jamais.» Il a demandé: «Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois en Toi. Je crois que Tu es exactement ce que Tu dis que Tu es. Je crois que Tu es le Fils de Dieu. Je crois que Tu es le Seigneur du Ciel qui est descendu ici sur terre. Et tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui est venu sur terre.»
Oh! la la! Quelque chose doit arriver. Quelque chose doit arriver. Des choses arrivaient comme ceci, arrivaient à la fois. Oh! la la! Il a demandé: «Où l’avez-vous enseveli?»
«Viens, et vois.» Le voilà partir.
95 Une petite dame, membre d’une certaine église, cherchait à discuter avec moi il n’y a pas longtemps, l’église scientiste, elle connaissait tout scientifiquement. Elle a dit: «Révérend Branham, voulez-vous me dire que vous croyez qu’Il était Dieu?»
J’ai dit: «Je sais qu’Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il était juste un homme.»
J’ai dit: «Il était plus qu’un homme.» J’ai dit: «Il était Dieu-Homme.»
Elle a dit: «Il n’était qu’un homme.»
J’ai dit: «Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même.» J’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il ne L’était pas. Il était un homme.»
J’ai dit: «Il était un Homme Divin.»
Elle a dit: «C’est impossible, et je peux vous le prouver par les Ecritures, qu’Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Regardez, madame. Le Dieu Tout-Puissant avait couvert de Son ombre une vierge. Et nous savons qu’un enfant né par l’homme, que la cellule du sang vient du sexe masculin.» Vous croyez cela, n’est-ce pas?
96 Tenez, je vois que vous avez tous des poulets et autres par ici, des oiseaux au printemps. Une vieille mère oiseau peut sortir ici et couver tout un nid plein d’oeufs; et elle peut voltiger sur ce nid-là, rester sur ce nid-là, le réchauffer, jusqu’à se rendre tellement pauvre qu’elle ne pourra pas s’envoler du nid. Si elle n’a pas été avec un oiseau mâle, ces oeufs n’écloront jamais. Ils resteront là même et pourriront. Est-ce vrai?
Je pense que c’est pratiquement ça le problème de l’église aujourd’hui. Nous avons simplement un gros nid plein d’oeufs pourris. Il est temps de mettre cette affaire dehors et de reprendre à nouveau. Quelqu’un qui a été en contact avec Christ... Oui, monsieur.
Et là... Mais quand cette poule peut pondre un oeuf, cela n’éclora jamais à moins qu’elle ait été avec un oiseau mâle. Le germe vient du mâle. Vous n’êtes pas... La cellule de sang vient de l’homme.
97 Et nous sommes rachetés par le Sang de Christ. Et le Dieu Tout-Puissant est Esprit. Il avait couvert de Son ombre la vierge Marie et a créé... Dieu le Créateur a créé la cellule de Sang dans le sein de cette femme-là, qui n’avait pas connu un homme par le désir sexuel. Croyez-vous cela? Et cette cellule de Sang s’est développée en un Homme qui était le Fils de Dieu. Et par ce Sang sans mélange du Fils de Dieu, le Sang créé par Jéhovah sans le désir sexuel, par l’effusion de ce Sang sur la croix du Calvaire, nous sommes rachetés du péché et de la maladie. Alléluia!
Frère, je suis prêt à mourir pour cela cet après-midi. Si vous ne croyez pas cela, vous êtes perdu. C’est vrai. Je crois cela de tout mon coeur. Oui, oui.
98 J’ai dit: «Oui, Il était Dieu. Il était le Fils de Dieu créé.» Et j’ai dit: «Dieu était en Lui réconciliant le monde avec Lui-même.»
Elle...?... «Il était juste un simple homme. Il n’était pas Dieu.» Elle a dit: «Je vais vous le prouver par les Ecritures. Allez-vous accepter cela?»
J’ai dit: «Si vous pouvez le prouver par les Ecritures, je l’accepterai. Et si je vous démontre le contraire de votre conception, allez-vous accepter cela?»
Elle a dit: «Je vais premièrement vous prouver que vous êtes en erreur.»
J’ai dit: «Faites-le-nous voir.»
Elle a dit: «Quand Il descendait à la tombe de Lazare, a-t-elle dit, Il est descendu à la tombe; Il avait pleuré.» Elle a dit: «Cela montrait qu’Il n’était qu’un homme, car Il avait éprouvé de la tristesse dans Son coeur. Il avait pleuré. Il était un mortel.»
J’ai dit: «Oui, madame. Je serai d’accord avec vous qu’Il avait pleuré comme un homme quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare. Mais quand Il s’est tenu là, dans ce petit corps frêle, qu’Il s’est redressé et a dit: ‘Lazare, sors’, c’était plus qu’un mortel là. C’était Dieu parlant par Son Fils.» Alléluia! Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est mis sur ses pieds et il a encore vécu. Croyez-vous cela? Oui, oui.
99 J’ai dit: «C’est vrai, femme. Il était un Homme quand Il descendait de la montagne cette nuit-là, affamé. Il a cherché partout dans un arbre pour trouver de la nourriture. Il était affamé comme un homme, Il cherchait de la nourriture; Il avait faim. Mais quand Il a pris cinq petits pains et cinq petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans Son Fils qui parlait, le Créateur Lui-même.» Alléluia!
Ouf! Vous allez me taxer de saint exalté de toute façon, je ferais tout aussi mieux de passer un bon moment pendant que je suis ici. Laissez-moi vous dire, frères. Oui, oui. Suivez.
Il était un Homme quand Il était affamé, mais Il était Dieu quand Il a nourri cinq mille personnes. Il était un Homme quand Il était couché à la poupe de la barque cette nuit-là, alors que la mer était agitée, déferlant, alors que dix mille démons de la mer juraient de Le noyer cette nuit-là. Il était couché là à la poupe, tellement fatigué qu’Il ne pouvait pas bouger, alors même que les vagues puissantes ne Le réveillaient pas, Il était un Homme quand Il était endormi; mais quand Il s’est réveillé (Alléluia!), Il s’est levé là, Il a collé Son pied sur le bastingage de cette barque, Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», et que les vagues et les vents Lui ont obéi, Il était Dieu quand Il... Quand les vents et les vagues Lui ont obéi, Il était plus qu’un homme mortel, Il était Dieu.
100 Frère, quand Il mourut sur la croix du Calvaire, Il a crié: «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il est mort comme un homme. Mais quand Il est ressuscité le matin de Pâques, Il a brisé chaque chaîne de l’enfer, de la mort et de la tombe. Il a prouvé qu’Il était Dieu, Emmanuel. Il est monté en haut aujourd’hui. Crois-tu cela?
Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela? Il est ici maintenant même. Crois-tu cela? C’est Lui qui opère parmi nous. Crois-tu cela?
Je crois que le Saint-Esprit est en train de circuler dans cette salle maintenant. Crois-tu cela? Je crois que nous pouvons guérir chacun de nous maintenant même. Crois-tu cela? Alléluia! Crois-tu cela?
L’Ange de Dieu est en train de circuler dans cette salle maintenant même. Je crois que tout homme ou toute femme ici présente qui aimerait être guérie, peut se lever maintenant même et être guérie. Crois-tu cela? Levez-vous. Alléluia!
Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur ces gens maintenant même. Guéris tout le monde, Seigneur. Que Ta miséricorde descende. Que Ta puissance soit ici, guérissant tout le monde maintenant même. Qu’ils s’avancent et soient guéris au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
Levez les mains. Louez-Le. Il est ici maintenant. Il guérit les gens; la vertu est en train de sortir. Alléluia! Crois-tu cela? Il est ici.