L’Ange De Dieu
1 Merci, Frère Baxter. Bonsoir, assistance. Oui, oui. Je suis juste un peu plus petit que frère Baxter. Nous sommes contents d’être ici cet après-midi... ou plutôt ce soir, pour adorer le Seigneur avec vous et prier pour les malades. Nous croyons que Dieu nous aidera tous ce soir, j’ai confiance qu’Il le fera. Nous sommes désolés que le... Nous n’avons plus de places assises pour les gens. Venez donc de toute façon, nous sommes à mesure d’en trouver quelque part, venez donc de toute façon, ou au besoin, eh bien, nous pouvons dégager là derrière, en en ôtant toutes les voitures, et occuper là derrière, il y a beaucoup d’espace là derrière. Ainsi, nous... n’importe quel lieu auquel le Seigneur pourvoira pour nous.
Il nous faut trouver des auditoriums qui peuvent nous permettre de recevoir. Et–et nous avons... Nous sommes contents d’avoir même celui-ci. C’est très difficile d’en trouver. Veuillez m’excuser une minute, je pense que ceci est une série ici. Parfois, c’est ce qui fait cela, lorsqu’on en a en série.
2 Maintenant, ce soir, je souhaiterais lire une portion de la Parole de Dieu. Je suis arrivé ici juste à temps pour suivre la dernière partie de l’exposé de frère Baxter, ou plutôt de son sermon, sur les anges. Pendant que je me tenais là derrière, j’ai donc pensé à cette Ecriture. J’aimerais La lire dans le Livre des Actes, au chapitre 27 des Actes des apôtres, à partir du verset 21, c’est Paul qui parle. Paul a été réconforté par un Etre surnaturel à l’approche des troubles. L’Eternel est un Secours qui ne manque jamais dans la détresse, n’est-ce pas?
Ainsi, juste environ vingt minutes avant qu’on vienne me chercher ce soir, j’étais assis dans ma chambre, et j’ai senti Quelque Chose s’approcher, plus près. Je ne savais pas exactement ce que c’était, et je me suis levé, je suis allé à la fenêtre, et j’ai regardé dehors, je me suis un peu frotté le visage, comme j’étais en prière un peu de temps. J’ai pensé: «Ce n’était certainement pas juste une impression.» Et tout d’un coup, Cela m’a simplement emporté par un tourbillon. Et alors, c’était Lui. Et Il me confirmait quelque chose qui était sur le point d’arriver, qu’Il m’avait montré il y a environ six ou huit mois. Et Il m’a dit de rester humble devant le Seigneur et que ce serait merveilleux lorsque cela arriverait. J’en suis donc très content.
3 Maintenant, à partir du verset 21 du chapitre 27:
... pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit: Ô hommes, il fallait m’écouter et ne pas prendre... partir de Crète, afin d’avoir... d’éviter ce péril et ce dommage.
Maintenant je vous exhorte à prendre courage; car aucun de vous ne périra, et il n’y aura de perte que celle du navire.
Un ange de Dieu à qui j’appartiens et que je sers m’est apparu cette nuit,
Et m‘a dit: Paul, ne crains point; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.
C’est pourquoi, ô hommes, rassurez-vous, car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.
4 Inclinons la tête juste un moment. Notre Père céleste, nous sommes très reconnaissants ce soir pour l’opportunité d’être en vie et d’être ici sur terre à la fin de l’histoire de ce monde, de voir l’évolution de ces grandes choses, la matérialisation de la Parole de Dieu et cela nous être manifesté par le ministère de Ton Esprit. Et combien nous T’aimons pour cela! Et c’est un grand privilège de prêcher aux gens en ce dernier jour, sachant que bientôt le soleil va se coucher pour la dernière fois, et qu’alors Jésus viendra. Nous Le verrons, nous viendrons à Ses pieds déposer là nos trophées. Oh! Puissé-je en ce glorieux moment m’approcher humblement en rampant, placer mes mains sur Ses pieds bénis, puis me retourner avec des larmes de joie, m’en aller, sachant que tout va bien.
Me retourner, Seigneur, et voir beaucoup de vaillants soldats de la croix se tenir là, voir l’homme sur qui nous venons de lire il y a quelques instants dans Ta Parole, Ton bien-aimé apôtre Paul, le voir se tenir là dans sa robe, beau, tout blanc, voir la couronne placée sur sa tête au couronnement des saints. Oh! Quel jour ce sera!
5 Et nos coeurs sont étrangement émus, quand nous voyons les nations s’élever contre les nations. On regarde là à Jérusalem ce soir et on voit pour la première fois, depuis deux mille cinq cents ans, cette vieille étoile de David flotter de nouveau sur Jérusalem, le figuier bourgeonner. Voir notre nation bien-aimée, comme les termites, son fondement est rongé, les hommes, «emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-là», comme nous entendons l’Esprit le dire il y a deux mille ans, de veiller à ce jour.
Et maintenant, nous vivons de la réputation de nos ancêtres pendant que l’orgueil et autres rongent comme des termites le fondement de notre grande civilisation, voyant l’homme moderniser des choses, abandonnant le Saint-Esprit, adoptant la lecture, l’écriture et l’arithmétique à la place de la puissance de Dieu. Ô Père, puis voir ceux qui ont encore une foi vivante... Nous nous souvenons de notre Maître lorsqu’Il a dit: «Quand Je viendrai, trouverai-Je la foi?» Il n’avait pas posé des questions sur la sincérité ou le christianisme, Il a dit: «Trouverai-Je la foi quand Je viendrai?»
6 Et il nous faut avoir ce soir cette action qui stimule la foi des gens; nous Te sommes reconnaissants, Seigneur, et seulement nous sommes reconnaissants pour chaque persécution amère, et nous considérons cela comme un privilège de porter la croix pour notre Christ. En plein conflit, Tu as dit: «Tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse quand vous... on dit faussement de vous toute sorte de mal à cause de Mon Nom. Car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.» Et nous aimons reconnaître ce jour-ci comme celui où ces paroles sont en train de s’accomplir, ce soir même, ici devant nous.
7 Nous Te remercions pour cette aimable assistance ici dans cette salle ce soir. Bien qu’il fasse chaud et que beaucoup soient debout, mais je me souviens du jour où Jean est sorti du désert de la Judée en train de prêcher, il a secoué toutes les régions aux alentours du Jourdain. Ce n’était pas par ses habits chics, car il n’était pas très bien habillé. Ce n’était pas par son parler. En effet, à neuf ans, il est allé dans le désert. Mais c’est parce qu’il prêchait Christ. Et cela a remué les régions. Bien que dans sa simplicité, cependant aujourd’hui, cela remue des régions quand Christ est rendu réel dans les coeurs des gens, qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi Son peuple.
8 Maintenant, pardonne-nous nos péchés. Quand nous nous souvenons qu’autrefois nous étions étrangers, éloignés de Dieu, sans miséricorde, Christ est mort à notre place, Lui l’Innocent pour les coupables. Et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps semblable au Sien, parce que nous Le verrons tel qu’Il est. Dans nos corps, nous soupirons maintenant pour ce jour-là; la terre tout entière soupire pour ce jour-là. Nous Te remercions d’avoir frayé pour nous une voie pour être heureux; de jouir de la santé et de la force et de travailler dans la moisson pour notre Maître.
Accorde, Seigneur, que beaucoup de ceux qui n’ont pas ce privilège ce soir, lorsque cette réunion sera terminée, qu’ils sortent heureux de cette salle, se réjouissant, guéris, que beaucoup de pécheurs soient sauvés, et que beaucoup de ceux qui étaient devenus froids et errants soient ramenés dans le Royaume de Dieu ce soir dans les bras du Père d’amour, et que l’Esprit les courtise pour les ramener vers Dieu. Accorde-le, Seigneur. Cache Tes serviteurs ce soir derrière la croix. Que le Sang s’intercale entre nous et tout danger. Et puisse la simplicité de l’Evangile attirer l’attention de tout le monde. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.
9 Nous sommes contents d’être ici ce soir pour servir Dieu avec vous tous. Et maintenant, on annonce que demain et dimanche, ce sont nos derniers jours ici, au mieux de notre connaissance; puis, nous irons à Toledo, ou plutôt à Erie. Et puis de là, nous irons à Shreveport, en Louisiane; et ensuite en Rhodésie du Sud, en Afrique, à partir de là. Je m’attends à ce que vous priiez pour moi. Plus les réunions grandissent, plus il faut d’effets, tout le temps.
Hier soir, j’ai eu un bon moment de me défaire de l’onction. Beaucoup de gens ne comprennent pas cela, je le sais. Je ne comprenais jamais très bien cela jusqu’à il y a environ une année. J’étais... demandais comment cela pouvait amener un être humain à se sentir comme cela, très faible, simplement... votre force diminue tellement, je ne peux simplement pas me tenir debout, je n’arrive simplement pas à me contenir. Et puis, je commence à trembler. Je me disais: «Je me demande si cela pouvait...» Mais quand j’ai découvert que notre Maître avait dit que la vertu était sortie de Lui, cela avait réglé la chose.
10 Alors, j’étais à la chaire, le Old Kentucky Home, juste de l’autre côté de la rivière, par rapport à là où j’habite maintenant. C’était mon premier voyage là et je... Là où Stephen Foster, le célèbre poète américain des années passées, avait composé sa célèbre chanson: My Old Kentucky Home... Si vous remarquez bien, la plupart des poètes, des prophètes et autres, sont toujours considérés dans le monde comme des névrosés. Avez-vous déjà pensé à cela? Tous, ils sont toujours mal compris.
Par exemple, Stephen Foster, je pense, il a donné à l’Amérique certaines de ses meilleures chansons traditionnelles: The Old Folks At Home, Swanee River, Old Black Joe, et beaucoup de ces vieilles chansons qui vont droit au coeur, que chantaient les gens du Sud, lors de leurs rassemblements dans des plantations, et qui faisaient couler les larmes sur les joues de plusieurs. Et pendant que j’étais là, mon bras posé sur son bureau, le guide étant parti, ainsi que d’autres qui étaient sortis de ma classe de l’école du dimanche, son portrait était peint là, avec le séraphin qui était censé l’avoir touché et lui avoir donné l’inspiration, peint à côté de lui, je me suis dit: «Monsieur Foster», m’adressant à son portrait, j’ai dit: «Tu avais cela dans la tête, mais pas dans le coeur.»
Il était inspiré pour l’une de ces chansons, il a composé des chansons, et après qu’il fut sorti, il allait s’enivrer. Il restait ivre pendant longtemps. Et alors, un jour, après que l’inspiration l’eut quitté, il a appelé un serviteur, il a pris une lame de rasoir, il s’est tranché la gorge et il s’est suicidé.
11 Combien connaissent ce célèbre et ancien cantique:
Il y a une Fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité:
Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour;
Là puissé-je, bien que vil comme lui,
Etre lavé de tous mes péchés.
Le célèbre poète anglais, William Cowper, est le compositeur de ce cantique. Je me suis tenu à sa tombe il y a quelques mois. Je ne pouvais simplement pas m’empêcher de verser quelques larmes par sympathie pour lui. J’ai regardé là, j’ai vu Charles Wesley gisant là, et Bunyan qui a écrit Le Voyage du Pèlerin, le cousin de John Wesley a écrit: Robinson Caruso, Wesley lui-même, de l’autre côté de la route.
Je pensais à William Cowper, il était considéré en Angleterre comme un névrosé, un peu cinglé. Et il pouvait entrer sous l’inspiration et, finalement, il allait loin sous l’inspiration; il a écrit ce merveilleux cantique: Il y a une Fontaine remplie de sang. Pendant qu’il était là-haut, il était en Esprit, mais quand il redescendait, il cherchait à trouver une rivière où se noyer, se suicider. Il y avait tellement de brouillards qu’on ne pouvait pas l’atteindre, qu’il n’a pas pu atteindre la rivière; William Cowper.
12 J’ai pensé à Jonas, un homme de Dieu, le prophète, à qui Dieu avait parlé et Il l’a envoyé à Ninive avec un message pour ces gens-là. Et Dieu était tellement résolu et l’avait tellement rempli de Son Esprit que Jonas est resté en vie trois jours et trois nuits dans le ventre d’un poisson au fond de la mer. Il en est ressorti avec une telle force de persuasion, que les gens l’ont écouté et ont fait porter le sac à leurs animaux, sur les collines. La ville entière, ils étaient si ignorants, personne ne savait, certains d’entre eux ne savaient pas distinguer leur main droite de leur main gauche, mais ils se sont repentis devant Dieu et Il a épargné leur ville. Et après que l’inspiration eut quitté Jonas, il voulait mourir. Il s’est assis sous cet arbre, et il a demandé à Dieu de lui ôter la vie.
Qu’était-ce? Un prophète. J’ai vu Elie, lorsqu’il est monté sur le Mont Carmel ce jour-là et qu’il est entré sous l’inspiration, il a fait descendre du ciel le feu. Et le même jour, il a fait descendre du ciel la pluie. L’eau et la pluie, je veux dire, la pluie et le feu sont descendus des mêmes cieux, sous l’inspiration. Mais quand cela l’a quitté, il a fui dans le désert, il s’est assis, et il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix.»
13 Qu’est-ce que cela montre? Etre mal compris, vous ne pouvez pas comprendre cela. Un sur un million en touche très rarement le bord. Quand vous montez là, il y a quelque chose, vous êtes au-delà d’ici. Quand vous redescendez, c’est comme si vous avez perdu quelque chose; quelque chose manque quelque part.
J’aime faire la pêche et la chasse comme une personne normale. J’aime parler à mon prochain, mon associé. C’est... Mais quand arrive le temps où Dieu doit m’utiliser, Il m’amène quelque part, dont je ne sais rien. Et alors, quand j’en reviens, je perds toute vue et idées des endroits, du temps, et de là où on est. Mais voici ce que cela représente pour moi: Il y a un pays au-delà de la rivière, appelé la terre de joie sans fin. S’il y a un endroit où d’ici sur terre nous pouvons entrer dans cette sphère de l’esprit, c’est qu’il y a un endroit où nous allons lorsque nous quittons ce corps. Seulement, une confirmation directe...
14 J’aurais bien voulu ce soir que tout le monde essaie de bien comprendre l’Ange du Seigneur, Sa grande mission et Son oeuvre ici sur terre. Et comme c’est un être humain, un pauvre, non instruit, et tout ce qui le déclare, ne regardez pas à l’homme; regardez à Dieu. Si un homme accouchait ici ce soir avec un télégramme ou un mandat-poste pour vous d’un import de cent millions de dollars, vous ne feriez pas cas pour savoir s’il était en lambeaux, un homme de couleur, un jaune, qui qu’il fût. C’est le message qu’il apporte qui compte.
Quelqu’un a dit l’autre jour, il a dit: «J’ai assisté à votre réunion l’autre soir. N’est-ce pas vous le prédicateur qui tient cette série de réunions ici?»
J’ai dit: «Oui, oui.»
Il a dit: «Eh bien, vous n’avez qu’une bande de gens ordinaires.»
J’ai dit: «Oui, oui, c’est le genre qui écoute Dieu.» J’ai dit: «Il est écrit dans l’Evangile selon Luc, qu’une grande foule l’écoutait avec plaisir. Et cela n’a pas changé.» Ceux qui ont des trésors ici sur terre recherchent les choses terrestres. Mais ceux qui ont des trésors au Ciel, c’est là que se trouvent leurs coeurs; ils regardent d’où Jésus viendra pour les y amener.
15 Souvent, les gens sont très pressés pour leur guérison. Si Dieu prononce quelque chose, croyez cela. Peu importe ce qu’Il dit, accrochez-vous-y. Ecoutez témoigner ceux qui viennent de diverses réunions. Accrochez-vous simplement à ce qui vous est dit. Et, souvenez-vous, comme je le dis ce soir, je me sens trop petit pour me tenir ici et parler des Ecritures. Je suis juste un enfant dans la Parole. J’ai été converti dans l’Eglise baptiste, et je viens de sortir de l’Eglise baptiste. Je ne suis membre d’aucune église maintenant, afin que je puisse rassembler la famille de Dieu. Je ne représente aucune église, mais je représente l’unique Eglise, et c’est la seule vraie Eglise, le Corps de Jésus-Christ.
Lorsque Cela est venu pour la première fois vers moi, plusieurs différentes organisations... Les baptistes ne m’ont jamais chassé; l’unique raison pour laquelle vous pouvez être chassé de la communauté baptiste, c’est une vie immorale, pas à cause de votre doctrine; c’est une vie immorale. Mais ils ne croyaient pas dans la guérison divine et aux dons. Ils ont dit: «Cela ne marchera pas.» Mais maintenant, ils voient que ça marche.
16 J’ai donc dit: «Il y aura certainement quelqu’un, si c’est Dieu qui a envoyé cela, il y aura quelqu’un qui sera prêt à le recevoir.» Je ne connaissais alors rien à votre sujet. Je n’avais que quelques amis. J’ai toujours été plus au moins, comme le dit l’expression, une brebis galeuse. Mais je remercie Dieu de ce qu’en essayant de vivre pour Lui et de faire ce qui est juste, Il m’a donné des millions d’amis maintenant. Il vous accordera le désir de votre coeur.
Quand je suis entré dans l’église, ou au milieu de vous, et que j’ai reçu le baptême de l’Esprit, ce fut la première fois de ma vie de me sentir chez moi. Je n’avais jamais senti que j’étais avec les gens qui m’aimaient et qui me comprenaient. J’avais toujours été considéré comme quelque chose d’autre, peut-être un névrosé. Mais je suis content de–d’être chez moi ce soir avec le peuple de Dieu.
17 Et je comprends maintenant l’Ange de Dieu. Parfois, quand une bénédiction est prononcée sur vous, il se peut qu’Il ne vous parvient pas à l’instant même; il se peut que ça ne soit pas une guérison instantanée, mais comme vous croyez, votre foi vous guérira. Certaines personnes ont une foi spontanée, une grande foi, profonde comme ça. C’est un miracle. D’autres ont une foi à peu près profonde comme ça; cela prendra un peu de temps. D’autres ont une foi comme un grain de sénevé, très petite. Mais restez simplement avec cela; cela vous tirera d’affaire. Cela va se matérialiser.
Lorsque Dieu a prononcé la Parole, cette... la–la–la terre sur laquelle vous êtes assis ce soir, c’est la Parole de Dieu. Dieu a simplement dit: «Qu’il y ait», et Sa Parole a été matérialisée. Est-ce vrai? Où a-t-Il trouvé cette terre, si cela n’existait pas? Il a simplement prononcé cela, et la Parole de Dieu s’est matérialisée en terre sur laquelle vous êtes assis. Oh! Que c’est merveilleux! Ça dépasse la découverte. C’est par la foi que nous croyons en Lui. Dieu a cru Sa propre Parole, et Cela a formé le monde. Si nous avions le temps d’aborder ces choses.
18 Maintenant, j’aimerais dire ceci que, pendant que Dieu envoie Ses messagers, les anges... (Ça concerne encore la vertu.) Avez-vous remarqué à la piscine de Béthesda lorsque cet ange descendait? La première personne qui y entrait avec foi était guérie, tout ce qui était dans l’ange entrait en lui et quittait la piscine. Voyez-vous comment ça se passe? Maintenant, comprenez-vous? Quelqu’un a dit: «Je ne vois pas comment, si c’est le Saint-Esprit qui amène frère Branham dans cet état-là, il n’a pas par après assez de force pour se tenir là et prier pour tout le groupe.»
Voyez, c’est mal comprendre, cher chrétien. Je ne peux l’expliquer, donc je... Vous n’avez qu’à me croire sur parole, c’est tout, voyez.
Maintenant, et puis, parfois dans les Ecritures... Je–je ne connais peut-être pas beaucoup au sujet de la Parole. Je ne connais pas le Livre, mais j’en connais l’Auteur. Et je–et je L’aime, et je suis sûr qu’Il ne me laissera pas m’écarter trop du chemin. Lorsque je dis ceci, je sais que je suis dans le vrai, que chaque personne ici qui va... est déjà guérie, chacun de vous. Tout ce que je peux faire ou que Dieu peut faire, que n’importe qui peut faire, c’est d’élever votre foi pour croire cela. S’il y a un prédicateur, ou une personne ici qui peut faire quelque chose pour aider quelqu’un à croire, c’est ce que vous êtes censé faire.
19 Et Dieu, par Son amour souverain, a envoyé ce don pour se manifester devant vous, vous faire savoir qu’Il n’est jamais resté mort là, qu’Il est ressuscité. Et Il est le Christ ressuscité avec nous ce soir, Sa même puissance, Sa même manifestation. Bien que vous ne Le voyiez pas, cependant vous savez qu’Il est ici. Vous Le voyez agir sous forme de l’Esprit. Judas a dit, ou plutôt Thomas a dit: «Si je peux toucher Son côté, et que je peux toucher Ses mains, je croirai en Lui.»
Il a dit: «Combien plus grande est la récompense de celui qui ne M’a jamais vu et qui pourtant croit.»
Il peut ne pas apparaître physiquement devant vous ce soir, mais Il est ici. Et chaque Parole de Dieu est une Semence, et Elle se manifestera si vous La croyez. Acceptez simplement Cela dans votre coeur, et croyez Cela, et Cela s’accomplira.
20 Eh bien, parfois peut-être si on a prié pour vous, vous entendez l’Ange du Seigneur parler fort, dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous serez guéri.» N’en doutez pas. Souvenez-vous, si c’est malin, ou un cancer, ou une grosseur, dans environ soixante-douze heures, vous tomberez bien malade. Frère Baxter a probablement expliqué tout cela, c’est ce qu’il fait dans la réunion, vous dire tout ce qu’il en est. En effet, sans cela, vous allez certainement manquer votre guérison. Vous ne comprendrez pas comment vous y prendre. Si vous ne savez pas comment aborder cela, vous êtes certainement à côté. C’est à cela donc que servent les réunions de l’après-midi, et autres, c’est pour expliquer cela. C’est frère Baxter qui le fait, car je n’ai pas de temps. Et si j’aborde comme ça, alors parfois, cela éloigne de moi l’Esprit, et il me faut assez de temps pour Le faire revenir.
Eh bien, combien savent... ont déjà lu dans le Livre au sujet du ministère des anges aux gens dans l’Ancien Testament et dans le Nouveau Testament? Nous tous. Parfois, quand une bénédiction est prononcée, elle est prononcée sur vous, elle doit arriver. C’est nous seuls qui sommes pressés; Dieu n’est jamais pressé. Il a laissé les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente avant qu’Il fasse quoi que ce soit à ce sujet. Il est simplement resté aux cieux, les observant jusqu’à ce qu’ils sont entrés.
21 Il n’y a pas longtemps, il y avait une femme, c’était à l’une des réunions, elle souffrait sérieusement de l’estomac. Et elle est rentrée à la maison après la réunion. Elle était passée par l’estrade, et elle pouvait, oh! elle n’arrivait pas du tout à manger; rien ne restait dans son estomac. Cela donc... L’acide lui remplissait la–la bouche, et c’était plein de gaz; et–et elle se retrouvait donc dans un état si affreux qu’elle avait des palpitations du coeur; elle n’arrivait pas à se reposer la nuit. Elle a dit: «Quand je suis passé à l’estrade, je vous ai regardé...» Elle a dit: «Vous m’aviez saisi par la main, a-t-elle dit, ça a commencé...» Elle a dit: «Votre visage avait changé, et Quelque Chose a parlé sur un ton différent, disant: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous souffrez de l’estomac, mais votre foi vous a guérie.’» Elle a dit: «J’ai quitté l’estrade en me réjouissant, la personne la plus heureuse, à mon avis, qu’il y avait au monde.» Elle a dit: «Je suis rentrée ce soir-là; je suis rentrée à la maison et j’ai essayé de manger.» Et elle a dit: «Lorsque j’ai essayé de manger, il y avait les mêmes effets qu’auparavant.» Elle a dit: «Je suis restée juste avec cela; je ne me suis pas relâchée.» Elle a dit: «Les jours s’écoulent les uns après les autres. Vous aviez déjà quitté la ville et d’autres villes.»
Et elle est venue à la réunion; elle a dit: «Un matin, j’ai essayé de prendre de la bouillie d’avoine au petit-déjeuner, et elle m’est remontée à la bouche.» Et elle a dit: «Je me tenais à la fenêtre, faisant la vaisselle, je pleurais, disant: ‘Seigneur, je–je suis... je ne peux qu’être sûre que c’est la vérité, et il m’a dit que si je témoignais de quelque chose de moins, eh bien, ma foi diminuerait.»
22 Elle a dit: «Pendant que je me tenais là, a-t-elle dit, la sensation la plus douce m’a envahie, je ne l’avais jamais éprouvée de ma vie.» Elle a dit: «Toute la brûlure a cessé. La grosseur, sans renvoi, a-t-elle dit, m’a quittée.» Elle a dit: «J’ai tendu la main et j’ai pris un quartier d’orange. D’habitude, cela me dérangeait terriblement à table, et je me suis mise à le manger.» Elle a dit: «Quand cela est descendu, ça n’a pas brûlé.» Elle a dit: «J’ai fini mon bol de bouillie d’avoine, et j’ai versé un peu de café, que je n’avais pas pris depuis longtemps, j’ai bu, et c’était bien.»
Elle a dit: «J’ai couru chez ma voisine pour lui en parler. On avait prié pour elle. A quelques maisons en bas de chez moi, on avait prié pour une grosseur qu’elle avait à la gorge. Et je suis allée pour lui raconter ce qui était arrivé.» Elle a dit: «Quand je suis arrivée là, elle criait à tue-tête.» Et elle a dit: «La grosseur venait de quitter sa gorge.» Qu’était-ce? C’était l’Ange de Dieu qui était passé dans le voisinage. Ses bénédictions avaient été prononcées.
23 Parfois, elles ne vous parviennent pas comme vous le souhaitez. Combien se souviennent quand Daniel, l’Ange est venu vers lui et lui a dit: «Il a résisté pendant vingt et un jours.» Vous rappelez-vous cela? Daniel a prié, mais l’Ange a dit qu’il avait connu des problèmes là et qu’il ne pouvait pas l’atteindre vingt et un jours après qu’il eut adressé la prière.» Ne soyez donc pas pressé. Croyez simplement; ayez foi. Et si vous acceptez Jésus ce soir comme votre Guérisseur, ayez foi; cela doit arriver.
Et autre chose, je ne ferais jamais venir un homme à l’estrade si ce n’était pour une chose, que je puisse me tenir face à face avec la personne. Souvent, dans la salle, vous m’entendrez appeler les gens, dire des choses. Je vois cela se matérialiser; la vie même se matérialise devant moi. Peut-être, je commence ici et je regarde là, je vois une petite fille, je dis, et cela commence à se matérialiser. Je vois comment elle est... Quelque chose arrive et je me mets simplement à dire ce que je vois, et puis, peu après, cela va disparaître devant moi et peut-être que la femme se tient juste ici. Elle est déjà revenue à cet âge-ci, et je vois où elle est. Peut-être qu’elle est à l’hôpital, peut-être que quelque chose est arrivé. J’en parle simplement.
Alors, peut-être avant que j’en parle, je vois la personne s’en aller bien portante. Peut-être que je ne la vois pas, je dis simplement: «Que le Seigneur vous bénisse, que le Seigneur vous guérisse, ce qu’Il a déjà fait», qu’Il lui donne la foi.
24 Mais sur l’estrade, je dois veiller. J’ouvre simplement mon coeur. Je sens que je suis devant des amis ce soir. Il me faut faire attention à ce que je fais. Saviez-vous que les dons divins peuvent–peuvent vous faire perdre votre âme? Vous voyez, vous devez veiller à ce que vous faites avec les dons divins. J’éprouve de la compassion. Je regarde ici et je vois ce petit bébé hydrocéphale couché devant moi maintenant; vous ne savez quelle compassion j’éprouve pour ce bébé. J’aurais voulu voir ce qui peut arriver. Combien j’avais le... Je pense dire à cette petite maman-là: «Oh! Jésus-Christ a guéri votre bébé; vos prières sont exau-...» J’aurais voulu dire cela; mais je ne le peux pas avant qu’Il me le dise. Alors, je dois être attentif.
25 Eh bien, peut-être le privilège d’avoir cette personne devant moi, peut-être que quelque chose est à la base de cela. Eh bien, si je saisis cela, peut-être que pendant que je me tiens devant la personne, ou que cette dame assise ici, vous... ou l’un de vous, Cela pourrait détecter la raison. Eh bien, remarquez, je suis très particulier sur la manière dont je réprimande l’esprit là. En effet, vous devez veiller. Parfois, Dieu utilise la maladie pour châtier les gens. Le saviez-vous? Parfois, cela est placé sur eux comme un fouet pour les ramener à Dieu. Et si c’est Dieu qui a permis quelque chose là, et moi, par un don divin, j’ôte cela sans que la personne se soit repentie.
Avez-vous remarqué l’homme là qui m’a dit, il y a quelques soirées, une chose ou une autre, qui se tenait ici sur l’estrade, qu’il–qu’il avait professé être un chrétien? Il était membre de l’église moderne et tout, et quelque chose clochait chez lui. Et j’ai regardé et j’ai vu cela continuer à devenir noir, et j’ai continué à observer. Je l’ai vu se tenir dans un coin avec un cigare à la bouche, fumant comme cela, soufflant la fumée. J’ai dit: «Monsieur, vous avez une mauvaise habitude, et c’est ce qui fait obstacle entre vous et Dieu. Si vous êtes prêt à abandonner ces cigares, Dieu est prêt à vous guérir maintenant.» Voyez?
26 Il n’y a pas longtemps, une femme est passée par l’estrade, une femme apparemment très sainte, et elle est montée sur l’estrade; et elle était sourde d’une oreille. J’ai simplement détecté un esprit de surdité. Et j’ai essayé de réprimander cela et cela–et cela s’accrochait à la femme. Et pendant que je la regardais, j’ai vu une jeune fille debout devant moi, d’environ quatorze ans. Et elle a pris une mauvaise voie. J’ai commencé à parler. J’ai dit à la femme qu’elle avait eu un enfant avant même qu’elle soit mariée. Et puis, elle s’est mariée à un homme, elle l’a quittée. Mais c’était une espèce de culte religieux qui l’avait amenée à épouser un autre homme. Elle ne l’aimait pas. Elle l’avait quitté.
J’ai dit: «Vous vivez maintenant avec un mari avec qui vous avez toutes sortes de troubles.» Et cette femme s’est évanouie sur l’estrade. Et quand elle s’est relevée de là, elle s’est écriée: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Et alors, Dieu lui a ouvert l’oreille et lui a donné le baptême du Saint-Esprit pendant qu’elle se tenait là même à l’estrade.
27 La suivante [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’était une femme, une maladie gynécologique, qui ne la quittait pas dans la réunion. Je ne sais pas pourquoi. Richard T. Reed, révérend Richard T. Reed, du vieux et béni Bible Hour Tabernacle à Jonesboro, dans l’Arkansas, c’est lui qui les avait baptisés dans l’église le lendemain matin. Vous pouvez le lui demander. Vous devez faire attention. Si Dieu vous a confié quelque chose, vous ne pouvez pas par après utiliser cela juste pour–pour votre propre bien. Vous devez utiliser cela pour la gloire de Dieu. Est-ce vrai?
Combien croient que Moïse était un prophète? Il l’était, et Dieu l’aimait. Et quand il est allé là vers le rocher, Dieu a dit: «Va là-bas et parle au rocher, et il fera jaillir de ses eaux.»
Mais Moïse, dans sa colère (Il était de tempérament colérique), il est allé là, au lieu de parler au rocher, il l’a frappé, et il l’a frappé deux fois. Cela avait brisé tout le tableau du programme de Dieu. Le rocher était Christ. Vous croyez cela, n’est-ce pas, prédicateurs? Il a été frappé une seule fois, et nous Lui parlons maintenant. Est-ce vrai? Et Moïse a frappé Christ pour la deuxième fois. Mais cela brisa tout le tableau du grand programme de Dieu ici, cela vola en éclats là même, Christ frappé deux fois, alors qu’Il est frappé une seule fois.
Mais Dieu était obligé, comme Il avait donné à ce prophète la puissance de faire cela. Mais Dieu s’est occupé de Moïse plus tard. Est-ce vrai?
28 Combien se souviennent d’Elie? Il était un jeune homme; il devenait chauve alors qu’il était un jeune homme. Et des petits enfants couraient derrière lui en disant: «Vieux chauve, vieux chauve.» Et ce prophète en colère s’est retourné et a prononcé une malédiction sur ces enfants au Nom de l’Eternel. Et deux ours sont sortis des bois et ont tué quarante-deux petits enfants innocents. Est-ce vrai? Ce n’est pas là la nature du Saint-Esprit, mais c’était là un prophète en colère. Voyez? Vous devez faire attention à ce que vous faites avec les dons divins. Je préférerais veiller à cela et savoir de quoi je parle, je sais alors si notre Père céleste a dit oui ou non.
Certainement, vous pouvez m’apprécier davantage si je suis sincère devant Dieu. Même si vous... Je ne prends pas beaucoup parmi vous, vous comprendrez. Je dois premièrement savoir, puis je peux pr-... prononcer cela après que Dieu m’a montré. Et je ne peux rien faire avant qu’Il me montre. Hier soir, j’ai promis de vous relater la fin de l’histoire, sur ce qui s’était passé en Finlande. En fait, j’ai environ huit minutes pour le faire.
29 J’avais fini de vous parler de la petite orpheline de guerre qui était guérie entre-temps, les deux petits garçons qui avaient été cognés, et l’un était mort. Il était resté étendu là environ quinze ou vingt minutes, mort sur la route avant que j’arrive. La vision est apparue ici en Amérique. Combien étaient ici hier soir, si nous pouvons vous voir? Eh bien, vous vous souvenez alors de l’histoire.
Alors, cet autre petit garçon était à l’hôpital, mourant. Le jour suivant, le lendemain matin, la mère et le père de cet autre petit garçon... Il avait eu une commotion cérébrale; il n’était jamais revenu à lui-même. L’aile l’avait percuté juste sous le menton, l’a renversé et l’a fait rouler jusque de l’autre côté de la route, et l’a cogné contre la bordure du trottoir, et de la bordure du trottoir, il l’a heurté contre un arbre, comme cela. Il n’était point revenu à lui... le sang lui sortait des oreilles, des yeux et de la bouche. Le pauvre petit garçon...
30 Sa mère et son père étaient simplement dans tous leurs états. C’étaient de jeunes Finlandais, ils cherchaient à venir pour me faire aller à l’hôpital. C’est contre les consignes; les organisateurs ne me laissent pas aller d’un lieu à un autre. En effet, si vous faites ça, si donc vous allez à tel endroit et non pas à tel autre là, cela suscite des ressentiments. On les met tous donc à l’église, et là, l’Esprit de Dieu opère à partir de là.
Ils devaient donc faire cela outre-mer. Et je n’oublierai jamais cela. Madame Isaacson, elle a dit: «Frère Branham, je vais vous dire quoi, ces gens sont sur le point de me rendre folle.»
Et ce soir-là, lorsqu’ils sont rentrés, la petite mère et le petit père étaient assis là sur les marches. On a dû me tirer par-dessus eux pour entrer. Ils m’avaient pratiquement enlevé mon veston en le tirant, et les autres se tenaient dans la rue. Je me suis dit: «Oh! Qu’est-ce?»
Elle a dit: «Ce sont la mère et le père de ce petit enfant-là, ils veulent que vous alliez à l’hôpital.»
31 Le lendemain matin, ils étaient encore là. Ainsi, madame Isaacson a dit: «Voudriez-vous juste leur parler vous-même un instant?»
J’ai dit: «Faites-les entrer dans le hall.»
Et ils sont entrés là dans le hall, on est allé vers eux, et ils ont dit: «Oh! Venez guérir notre enfant; il se meurt; il se meurt.»
Environ trois jours, il n’est point revenu à lui-même. J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre enfant.» Tout ça, c’était au travers d’un interprète. J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre enfant.»
Ils ont dit: «Eh bien, vous avez guéri l’autre.»
J’ai dit: «Non, non. C’est Jésus-Christ qui a guéri l’autre enfant, pas moi. Voyez? Je n’avais rien à faire avec cela.» J’ai dit: «Là en Amérique, Il m’avait montré une vision, il y a une année, que ce petit garçon ressusciterait des morts. Il ne m’avait jamais montré votre garçon.»
Et ils ont dit: «Oh! Ayez une vision pour notre garçon.»
Et j’ai dit: «Eh bien, je–je ne peux pas avoir des visions à volonté.» J’ai dit: «Je les vois seulement quand Dieu permet de les avoir.» J’ai dit: «Priez.»
Ils ont continué. Elle ne pouvait simplement pas comprendre cela. Et j’ai dit... elle a dit, a demandé à mademoiselle Isaacson: «Demandez-lui si mon garçon va mourir.»
J’ai dit: «Je ne sais pas.»
Elle a dit: «Eh bien, venez à l’hôpital, et demandez à Dieu de le guérir, et tout.»
J’ai dit: «Nous ne pouvons pas faire ça.»
32 Et puis, je leur ai posé une question en ces termes: «Etes-vous chrétiens?»
«Non.» Aucun d’eux n’était chrétien.
J’ai dit: «Eh bien, écoutez. Si Dieu ramène votre petit garçon à la Maison et que vous mouriez pécheurs, eh bien, vous ne pouvez plus jamais le revoir. Et si le petit garçon, Dieu l’amène au Ciel, et que vous mouriez chrétiens, que vous donniez votre coeur à Dieu et que vous mourriez chrétiens, vous pouvez rentrer à la Maison au Ciel, auprès de votre petit garçon, et ne plus jamais connaître un autre accident là. Ça, c’est une chose sûre, remerciez Dieu.» Et j’ai dit: «Il n’y aura plus d’accidents là-haut, et vous vivrez aux siècles des siècles. Mais, sinon, vous ne verrez plus jamais votre petit garçon s’il meurt.» Et j’ai dit: «Si vous vouliez donc une faveur de ma part, vous chercheriez à faire quelque chose pour moi. Et si vous voulez une faveur de la part de Dieu, faites quelque chose pour Dieu.» Et j’ai dit: «Pourquoi ne donnez-vous pas votre vie à Dieu?» Et ils ont vu qu’ils ne pouvaient pas perdre là-dessus; en effet, ils deviendraient des chrétiens. Si le petit garçon mourait, eh bien, ils retourneraient à la Maison avec lui. Et s’il ne mourait pas, peut-être qu’ils trouveraient grâce aux yeux de Dieu et il pourra vivre.
Ils se sont donc agenouillés, et–et ils ont donné leur vie à Christ. Et quand ils se sont relevés, la petite mère... Ça paraît comme une plaisanterie, mais je ne crois pas au fait de plaisanter ici à la chaire, mais ce n’était pas une plaisanterie. Elle a sauté et a couru vers moi, très hystérique, et elle a dit, la main de madame Isaacson la retenant, elle a dit–elle a dit: «Ayez une vision; ayez une vision pour mon garçon.» Voyez?
Et j’ai dit: «Je ne sais pas.»
Elle a dit: «Venez, allez-y maintenant.»
J’ai dit: «Non, Dieu peut me montrer dans ma chambre tout comme Il peut le faire là.»
Et elle a dit: «Entrez et ayez une vision pour notre garçon.»
J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas obliger Dieu à me montrer une vision. Eh bien, Il peut ne rien me dire, jamais. Et s’Il le fait, je vous le dirai. S’Il ne le fait pas, eh bien, je ne le peux.»
Et alors, elle a dit: «Eh bien, nous attendons, entrez.»
C’était bien beau, mais vous savez, vous ne pouvez pas produire ces choses. Alors, madame Isaacson, elle a fini par les convaincre de partir. Et je suis entré en chambre. Et environ vingt minutes, ils ont téléphoné pour demander: «Dieu a-t-Il montré une vision?»
«Non.»
Et environ dix ou quinze minutes encore, ils ont téléphoné: «Dieu a-t-Il montré la vision?» Ils ont fait cela plusieurs fois avant la réunion du soir.
33 Ce soir-là, dans la–dans la réunion, il y avait une glorieuse et merveilleuse réunion. Eh bien, ces Lapons et autres entraient, ils étaient guéris, des centaines et des centaines d’entre eux... Ils n’entraient même pas dans la ligne de prière, s’ils pouvaient même gagner le... Ils entraient dans l’auditorium; et ils se tenaient là loin derrière, et on voyait des béquilles et des cannes voler; ils jetaient par terre les civières sur lesquelles on les avait transportés, ils sortaient en marchant. C’est... Ils voulaient simplement voir cela être accompli; c’est tout, ils savaient que Dieu était là.
Pourquoi ne pouvons-nous pas faire cela? Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir cette simple foi? Voyez-vous? Si nous ne cherchions pas à comprendre des choses, cela s’accomplirait pareillement ici même. Voyez-vous? Dieu ne fait acception de personne; Il honore simplement la foi. Voyez-vous? Dieu ne vous guérit pas sur base des mérites de votre salut; Il vous guérit sur base des mérites de votre foi. Voyez?
34 Puis, je... nous avons eu, nous sommes rentrés à la maison. Et lorsque... Il ne fait jamais sombre là pendant cette période-là de l’année, vous pouvez lire en pleine rue, à minuit, n’importe quand, il n’y a pas de lumière ni rien. Et un peu plus tard, le soleil ne se couche jamais, il baisse simplement et il réapparait. C’est le pays du soleil de minuit. Ainsi, nous...
Je suis monté à l’étage, c’était on dirait poussiéreux. Ainsi, j’étais à l’étage, à l’hôtel, et je suis allé à la fenêtre. J’avais cette Bible-ci. Je n’oublierai jamais ceci. Ecoutez attentivement maintenant. Je suis sur le point de terminer. Et j’avais cette Bible-ci, alors je suis entré et frère Baxter là, et–et mon frère Howard, il–il avait été guéri d’une maladie horrible, mon frère. On l’avait renvoyé de l’armée pour mourir. Et il... nous... il m’avait accompagné. Frère Baxter et lui occupaient une même chambre. Frère Lindsay et frère Moore occupaient une autre chambre. Madame Isaacson était dans sa chambre, et j’avais une chambre en privé là, pour que je sois seul à cause de la visitation de l’Ange du Seigneur. Et je suis allé...
35 Et mes amis, si j’en avais le temps, je pouvais parler dès maintenant, semaine après semaine sans jamais vous dire le tiers de ce que je L’ai vu faire, sur de grandes et puissantes choses. Et la nuit, je me demande quoi–quoi dire, ce qu’Il voudra que je vous dise concernant certaines choses qu’Il a accomplies, juste en guise de témoignage. Et Il a dit, je crois, que nous avons vaincu par le Sang de l’Agneau et le témoignage; est-ce vrai? Il est le Souverain Sacrificateur de notre témoignage, et ainsi Il...
Nous sommes entrés... Je suis entré dans ma chambre. J’avais la Bible que voici, que mon église m’avait donnée juste avant de partir pour les campagnes, lorsque j’ai commencé après l’apparition de l’Ange. Et j’avais cela ici.
36 Et mon frère, en montant cette nuit-là, m’avait donné deux petits bonbons qu’il avait, d’environ cette grandeur.
Eh bien, s’il vous plaît, mes amis Canadiens, ne prenez pas ceci du mauvais côté. Quelques-uns de mes amis les plus fidèles que j’ai, sont de l’autre côté de cette frontière, là au Canada. Ils sont tout aussi loyaux que possible, ils sont aimables. Mais ils n’ont pas les ingrédients que nous avons ici aux Etats-Unis. Ils n’en ont pas partout dans le monde comme nous ici. Nous avons des ingrédients pour en fabriquer. Nous avons les meilleures voitures; nous avons les–les meilleures de tout. Le problème en est que nous en sommes tellement indignes. Et ils n’ont pas d’ingrédients à mettre dans leurs bonbons, et nous avons pris quelques bonbons au Canada, c’était horrible. Juste comme... juste quelque chose comme, oh! de l’amidon. Et, évidemment, ils ont de bons bonbons, mais nous en avons eu des mauvais.
37 Ainsi, Howard m’a dit, il a dit: «Bill.» Et il l’a dit, on dirait, derrière le dos de frère Baxter, il a dit: «Goûte ce bonbon-ci, tu pensais que les bonbons que nous avons achetés là à Prince Albert étaient mauvais.» Il a dit: «Goûte ceci si tu veux un peu d’amidon.»
Et j’ai dit, en les plaçant dans ma main, j’ai dit: «Très bien.» Il cherchait à me faire sortir de l’onction, vous savez, me secouant un peu. Nous sommes donc entrés en chambre et j’ai posé ces bonbons sur la table, je suis allé là-bas, j’ai déposé la Bible. Je me suis avancé là vers la fenêtre, et j’ai regardé dehors. Et il y avait ces soldats finlandais et les autres qui traversaient le parc, ils parlaient des réunions, vous savez, allant de l’avant. Et l’un disait comment il a vu une certaine personne être guérie, et ils se pressaient dans les rues, revenant de l’auditorium.
Et je me tenais là, j’ai porté le regard au loin, de l’autre côté des montagnes, les Russes étaient venus pour bombarder les Finlandais lorsqu’ils étaient en guerre. Et je regardais là, et j’ai dit: «Oui, les avions russes sont venus dans cette direction-ci un jour, mais de l’est viendra le Seigneur Jésus, Il percera les cieux et les ailes s’étendront encore dans les airs, mais ce sera le Fils de la Justice avec la guérison sous ses ailes.» Je pensais: «Ô Grand Jéhovah, combien merveilleux, combien merveilleux Tu es! Tes oeuvres dépassent l’entendement.» J’ai dit: «Combien Tu es glorieux! Combien je T’aime, ce que Tu fais ici. Aussitôt que mes pieds ont foulé le sol européen, le Saint-Esprit m’a rarement quitté. Il est simplement resté jour et nuit.» Les prédicateurs vous diront la même chose.
38 On pouvait être en ville, je disais: «Eh bien, quand nous rentrerons chez nous, vous êtes... Un homme sortira d’un côté, en habit gris. Il cherchera à m’amener à l’étage pour que je prie pour une femme, et juste au coin, il y aura deux femmes habillées en noir, et elles me rencontreront comme ceci. Et vous verrez un fauteuil roulant ici dans ce coin. Cette personne sera guérie...?...» Allant... Oh! C’est juste comme cela... Juste où que ce soit une vision apparaît constamment tout le temps comme cela, combien cela se produisait.
Et alors, j’étais simplement en train de louer Dieu, me tenant là comme cela. J’ai dit: «Ô Grand Jéhovah, que Tu es merveilleux!» J’ai dit: «Combien je T’aime! Combien je T’aime! Oh! Que c’est merveilleux!» J’ai ouvert les yeux comme ça. J’ai entendu Quelque Chose faire: Whooush! [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Alors, j’ai regardé et Il était debout là juste à côté de moi. Il me regardait comme cela, C’est un Homme robuste, Il pèse environ deux cents livres [90,6 kg]. Il a les cheveux très noirs qui Lui retombent sur les épaules. Il a un teint olivâtre, un regard doux sur Son visage, Il a les bras croisés, Il porte une robe blanche et Il est pieds nus. Il se tenait juste là, me regardant. Il a tourné Sa tête comme ceci et a regardé sur la table. Quand j’ai regardé sur cette table, il y avait là un petit vase d’environ cette hauteur. Comment cela se trouvait là, Dieu seul sait. Mais il y avait là un petit vase.
39 Eh bien, ce n’était pas une vision. Eh bien, je sais ce qu’est une vision; je devrais le savoir. Et je sais ce que c’est quand l’Homme est là. Il n’est pas une vision. Il est tout aussi réel que tous ces hommes qui se tiennent ici. Il est bien réel. Je Lui ai parlé. Et Il me parle. Ce n’est pas une vision; l’Homme se tient là. Je L’entends lorsqu’Il marche et tout. Il est aussi réel que n’importe qui d’autre. Et cette Lumière est toujours au-dessus de Lui, tournoyant simplement tout autour comme cela. Il est ici maintenant, et Il... Je sais qu’Il est ici; je sens cela.
Il se tenait là et Il a dit: «C’est quoi ça?» Et dans ce vase-là, il y avait deux de ces (je les appelle) fleurs de Pâques. Je ne sais pas si vous les appelez les jonquilles. Elles poussent au printemps, de petites fleurs jaunes on dirait, vous savez. Nous les appelons fleurs de Pâques là dans notre contrée. Et l’une d’elles était étendue comme ceci, et l’autre s’inclinait; et, comme cela. Et je me suis dit... L’une penchait vers le nord et l’autre vers le sud.
40 Eh bien, je ne le savais pas à ce moment-là, c’était la position même dans laquelle ces deux garçons étaient tombés. L’un avait été percuté comme ceci, vers le nord, on a roulé sur lui et il était écrasé sous la voiture. Et l’autre, l’aile l’a percuté lorsque le véhicule a changé de direction, comme ceci, et l’a projeté contre un arbre, de l’autre côté. Et celui-ci, qui était ici en bas, était tout étendu par terre. Et j’ai regardé cela, et celui du côté gauche faisait: «Teuf, teuf, teuf, teuf» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], et cet autre était couché à plat.
Il m’a parlé, disant: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»
Et j’ai dit: «Deux bonbons, Seigneur.»
Il a dit: «Mange-les.»
Et j’en ai pris un, je l’ai mis dans la bouche, et je me suis mis à le manger, il avait un goût délicieux. Je–j’ai avalé cela, et quand je l’ai avalé, quelque chose a fait... [Frère Branham siffle.–N.D.E.] Alors, celui qui était couché vers le nord comme cela s’est tenu tout droit. Et l’autre faisait: «Teuf, teuf.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.]» Il a dit: «Mange l’autre.»
Je l’ai pris et c’était pratiquement la chose la plus dégoutante que j’aie jamais placée dans ma bouche. Je l’ai fait sortir comme cela, et cet autre-là continuait à faire: «Teuf, teuf.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Il a dit: «Mange l’autre, sinon ce garçon va mourir.» Je l’ai remis dans la bouche, et je me suis mis à le mâcher très vite, et je l’ai avalé. Et aussitôt que je l’ai avalé, cela a fait: «Teuf.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Les deux se sont mises debout comme ça. Alors, Il m’a regardé comme cela, Il a un peu incliné Sa tête, et ce tourbillon de Lumière a fait: Whoooush, Il n’était plus dans la chambre.
41 Je suis sorti en courant, et j’ai appelé frère Baxter et tous les autres qui étaient là, et j’ai dit: «Ecoutez, appelez la femme, rapidement; AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce garçon vivra et ne mourra pas.»
Ils ont dû appeler plusieurs fois ce jour-là. Le médecin l’avait déjà abandonné. Elle est donc allée vers ce petit téléphone, il vous faudrait voir ce que c’était, le téléphone, là. Oh! la la! On place la petite chose dans votre oreille et on tourne la manivelle, et elle a appelé chez les parents. Les parents avaient été appelés à l’hôpital, l’enfant se mourait.
J’ai dit: «Appelez à l’hôpital et dites à la mère: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR.’» Mes amis, cela ne peut donc pas faillir, cela ne peut simplement pas faillir. J’ai dit: «Le petit garçon va vivre, peu importe ce que le médecin a dit. Dieu a dit: ‘Le petit garçon va vivre.’» Donc, j’ai dit: «Dites-lui qu’il y a eu la vision.»
42 Et elle–elle a appelé à l’hôpital; et la mère est venue au téléphone, sanglotant, pleurant; et elle a dit: «Frère Branham a dit de vous dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant va vivre.’»
Elle a dit: «Oh! Je le sais; il y a environ deux, cinq minutes, il s’est relevé de lui-même et il est normal maintenant même. Nous allons le ramener à la maison.» Il était là, devenu parfait, normal et bien portant.
Eh bien, qu’était-ce, ami? Etait-ce ma prière? Non, non, non. C’était la foi en Dieu de cette petite femme finlandaise qui a fait cela pour son enfant. Ce même Ange de Dieu qui a montré cette vision-là ce soir-là, qui se tient ici sur l’estrade ce soir, est ici pour accomplir tout ce que Jésus-Christ a ordonné que ça soit fait, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
43 Prions. Notre Père céleste, oh! comme mon coeur brûle! Je pense au jour où tout sera terminé, quand j’aurai à rencontrer de nouveau tous ces gens. Je pense à la lettre que nous avons reçue l’autre jour dans le courrier, qui disait que cet homme est un ami à Jésus. Ce pauvre petit garçon, par reconnaissance, combien nous sommes très reconnaissant. Combien je suis reconnaissant ici ce soir, Seigneur, de savoir que les visions se produisent, et Tu permets qu’elles soient annoncées, et puis, on les voit se matérialiser, car c’est Ta Parole, Seigneur. Tu es Dieu. Tu ne peux pas mentir, c’est impossible. Et nous sommes très reconnaissants de savoir que Tu es ici.
Et maintenant, Père céleste, alors que les réunions touchent à la fin, beaucoup sont guéris. L’Esprit de Dieu se meut sur des corps mortels. Et nous T’en remercions.
44 Et maintenant, ce soir, Seigneur, oh! s’il Te plaît, Bien-Aimé Jésus, le Fils de Dieu, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette assistance. Ils attendent ici sous cette chaleur du soir. Quand le soir arriva, Jésus, on Lui amena beaucoup de gens, et Il les guérissait par la puissance de Sa Parole. Et puisse la Parole de Dieu balayer ce soir cette salle, et puisse le Saint-Esprit être ici pour amener cela à chaque coeur affamé et confirmer cela, Seigneur, par des signes et des prodiges, afin que les gens sachent que le même Jésus à Qui on amenait les malades et les affligés il y a plusieurs, plusieurs années, est ici dans cet auditorium ce soir avec la même puissance dévoilée pour atteindre l’assistance, et que la vertu plane dans cette assistance vers chaque croyant.
Ô Christ de Dieu, beaucoup de choses sont arrivées depuis ces jours-là. Beaucoup ont marqué la conscience des gens, et cela a causé des déceptions et tout, mais Père, je Te prie d’enlever chaque cicatrice ce soir, de guérir chaque coeur brisé, et que la puissance de Dieu brûle encore une fois dans une foi vivante dans chaque coeur. Accorde-le, Seigneur, afin que Ton grand Nom soit glorifié. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
45 De 51 à 100? Série E? Mon fils dit qu’il a distribué aujourd’hui les cartes de prière série E, de 51 à 100. J’ai une surprise pour vous demain soir. J’aimerais que chaque prédicateur qui croit se tienne près de moi demain soir. Et commençons notre ligne de prière, commençons à prier. Beaucoup parmi vous, évidemment, je peux prendre un; je peux prendre cinq; je peux prendre cinquante. Je ne sais pas. Mais je–je ferais de mon mieux. Je ferai tout mon possible. Je pense que vous croyez cela, n’est-ce pas? Ne savez-vous pas que j’aime descendre là? Eh bien, qui sera le premier? Vous dites: «Eh bien, c’est moi, Frère Branham.»
Eh bien, voici un autre, qui pense de même. Eh bien, si je pars, si je dis: «Vous», vous allez venir; eh bien alors, cet autre va penser: «Eh bien, Frère Branham, vous avez choisi celui-là (Voyez?). Il a plus de considération pour lui que pour moi.» Non. Dieu n’a pas plus de considération pour l’un plutôt que pour l’autre. Il est mort pour racheter chacun de vous. C’est vrai. Vous êtes tous Ses délégués.
46 Et au mieux de ma connaissance, ami chrétien, c’est juste distribuer ces cartes et... Mais–mais, amis, avez-vous remarqué, les gens qui sont guéris là dans l’assistance sans cartes sont plus nombreux que ceux qui sont guéris ici avec des cartes. Voyez-vous? Il y a plus...
Vous n’avez pas besoin de carte. La carte, c’est simplement pour garder les gens en ligne. Mais croyons donc–donc en Lui; le ferez-vous? Croyez en Lui de tout votre coeur. Acceptez-Le. Advienne que pourra, cela ne doit pas arriver maintenant même. Lorsque–lorsque cela arrive, cela n’arrive plus tellement dans votre bras estropié, dans votre jambe estropiée, ou dans votre coeur en mauvais état; ou le cancer; cela arrive ici dans votre coeur. Vous croyez cela; vous vous y accrochez et cela se matérialise.
47 Chaque semence se reproduira selon son espèce, est-ce vrai? Le blé produira le blé. L’orge produira l’orge. Le maïs produira le maïs. Est-ce vrai?
Eh bien, Jésus a dit que la Parole de Dieu est une Semence. Est-ce vrai? Eh bien, Marc 11.24: Une Semence donc? Jésus a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir.» Maintenant, regardez le–l’ordre des Ecritures. Croyez maintenant que vous recevez cela (au présent), cela vous sera accordé dans le futur. «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous le recevez et vous le verrez s’accomplir.» Voyez? Vous recevrez cela dans le futur. Acceptez simplement cela; croyez cela. Accrochez-vous-y. Arrosez cela. Croyez-le. Cela s’accomplira. Dieu est obligé, n’est-ce pas? Dieu est obligé vis-à-vis de Sa Parole.
48 Très bien, 50? Commençons. Commençons juste les–les numéros, 51 ainsi de suite comme cela, jusqu’à ce que nous arrivions vers... Essayons d’abord avec les dix premiers et voyons combien nous pouvons avoir. De... Quel était le numéro? Je voulais dire la série E; la série E, de 51 à 61, essayons cela, voyons combien nous avons reçu. Nous en avons beaucoup là debout. La série E, de 51 à 61... Que quelqu’un regarde chez les gens alités pour voir s’ils en ont; vérifiez ces cartes-ci où que vous soyez, vérifiez vos cartes partout et voyez.
Il y a un homme assis ici, je vois qu’il a une carte de prière dans sa poche. Vérifiez et voyez quel est son numéro, là, monsieur, si vous le pouvez. 78. Très bien. Ayez simplement bon courage maintenant, frère. Ayez foi. Croyez simplement en Dieu. Ne pensez pas que votre cas est désespéré. Non. Abraham, alors qu’il avait dépassé l’âge de la fécondité, Dieu lui est apparu et Il a dit: «Je suis El Shaddaï, le Tout-Puissant. El Shaddaï veut dire les seins, comme une mère qui allaite un enfant agité. Peu importe votre âge, à quel point ça en est fini pour vous, Il est El Shaddaï. Appuyez-vous sur Son sein, Sa Parole, et nourrissez-vous-En. Tirez de Cela jusqu’à ce que votre corps se fortifie. Amen.
49 Très bien. Avez-vous de l’espace pour d’autres? Très bien, allons donc jusqu’à 65 si vous avez un peu plus d’espace. Très bien. Voyez si... alors, si nous pouvons en avoir d’autres, alors parfois lorsque le... ils commenceront à passer avec une grande foi... Que dites-vous? Quelle était encore cette lettre-là? La série E, de 51 à 65; alors, levez-vous. Cela permettra d’amener un peu plus de gens. Et alors, quand la ligne commencera à passer, eh bien, alors, il n’y aura pas beaucoup de problèmes...?...
Maintenant, combien là dans l’assistance n’ont pas de cartes de prière et veulent qu’on prie pour eux, et veulent que Dieu les guérisse? Là, je vois droit au fond, là derrière. Très bien. Je–je dis ceci par l’autorité de l’Ange de Dieu. Ce n’est pas ce signe qui opère cela; Jésus a envoyé cet Ange et Il a dit ceci, Il m’a dit, Il a dit: «Tu es né dans ce monde pour prier pour les malades. Et si tu amènes les gens à te croire, et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» C’était ça la commission.
Et j’ai dit: «Ils ne me croiront pas, Seigneur, je ne suis pas instruit, je ne parle pas comme les autres prédicateurs et autres.»
Il a dit: «De même qu’il a été donné au prophète Moïse deux signes pour confirmer son ministère...» Voyez, Moïse se plaignait d’avoir la bouche embarrassée, ce qui était vrai; peut-être qu’il bégayait. Mais il ne parlait pas bien, et Dieu allait l’en guérir. Mais Il a dit: «Qui a créé la bouche de l’homme?» Moïse était tel que Dieu l’avait créé.
50 Il a dit: «De même qu’il a été donné à Moïse deux signes pour confirmer son ministère, il te sera donné deux signes.» Il a dit: «L’un, tu les prendras par la main, tu sauras, tu leur diras ce qui cloche.» Ce n’est pas toi qui parleras, mais l’Ange parlera au travers de moi. Voyez? Il a dit: «Le suivant, tu leur diras les secrets même de leurs coeurs.»
Et la première chose était... Combien se souviennent lorsque... Je ne pouvais rien savoir qu’en prenant la main. Et combien ici se souviennent de ces premiers jours du ministère? Vous souvenez-vous que je vous avais dit que ce que vous voyez maintenant s’accomplirait? Est-ce vrai? Levez la main si c’est vrai; que j’avais dit que cela arriverait. Cela est-il arrivé? La Bible déclare: «Lorsqu’il y aura un homme spirituel ou un prophète, et que ce qu’il dit arrive, croyez donc en lui.» Est-ce vrai? Eh bien, je soutiens cela. «Mais si cela n’arrive pas, ne croyez pas cela.» Ces choses sont innées; vous êtes né pour faire cela.
51 Et maintenant, mes amis, me croyez-vous? Alors, écoutez ce que je vous dis. Jésus-Christ le Fils de Dieu a guéri chacun de vous au Calvaire. Ni moi ni personne d’autre ne peut rien faire à ce sujet, pas plus que vous désigner Jésus-Christ, le Sacrifice de Dieu qui a été blessé pour vos péchés, brisé pour vos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Je dis donc la vérité. C’est en Christ et non en moi, ou non dans l’Ange de Dieu. Cet Ange de Dieu n’a rien à faire avec la guérison, si ce n’est confirmer ce que le Dieu Tout-Puissant a déjà accompli pour vous, selon votre foi. L’Ange ne guérit pas. Il montre seulement et voit des visions. C’est un messager envoyé de Dieu. Combien comprennent maintenant? Votre guérison est déjà accomplie si seulement vous croyez cela.
52 Très bien. Faites venir la dame. Bonsoir, madame. J’aimerais juste remonter ici. M’entendez-vous très bien quand je parle à voix basse? Que quelqu’un me le dise quand l’onction descendra, afin que je ne parle pas à très haute voix. Pouvez-vous m’entendre tout au fond si je parle comme ça? C’est bien. Merci. Maintenant, vous allez tous apprécier cela. Et priez pour moi, le ferez-vous?
Maintenant, vous n’avez donc pas... Eh bien, si je vous demande d’incliner la tête, parfois un mauvais esprit s’élève. Vous voyez? Et alors, ce-... c’est un combat. Et alors, il vous faut prendre... Combien parmi vous ont lu mon petit livre qui est là derrière, mon livre: Un homme envoyé de Dieu? C’est bien. Je–je déteste faire mention de quelque chose comme cela du haut de la chaire. J’aurais souhaité être à mesure d’en donner un à chacun de vous. J’aurais bien voulu en être capable, mais je ne le peux pas. Je n’en ai pas les moyens. Je n’ai pas d’argent pour le faire. Et je suis–je suis pauvre. C’est vrai. Dieu sait que c’est vrai. C’est exact. Si j’avais pris l’argent qui m’a été offert, je serais devenu un multimillionnaire. Mais je préfère être pauvre et avoir la faveur de Dieu plutôt d’avoir la meilleure maison qu’il y a à Toledo. C’est vrai. Je préférerais avoir cela. En effet, ceci est mon–mon travail, servir Dieu. C’est ce qui est dans mon coeur.
53 Si vous vous mettez à tripoter... Si un prédicateur, il y a trois choses, s’il se met à tripoter avec, il sera ruiné. Ce sont, premièrement: l’argent; puis, les femmes, et enfin, la popularité. Dès qu’il commence à penser qu’il est quelqu’un, en ce moment-là même il est en voie de sortie. C’est vrai. Car nous sommes toute chair, juste comme de l’herbe; il n’y a rien de bon en nous. Tout ce qu’il y a de bon en nous, c’est la portion de Dieu qui est en nous. Et Il–Il nous a donné une moyenne à nous tous. Il n’y a donc rien, personne n’est au-dessus de l’autre; nous sommes tous les mêmes (C’est vrai), des enfants de Dieu; nous sommes frères et soeurs. Et j’essaie avec l’aide de Dieu de rester loin de cela. Et priez pour moi afin que je sois toujours ainsi, afin que je puisse Le servir jusqu’au jour où Il viendra, et nous nous avancerons devant Lui. Alors, je regarderai ce groupe de Toledo et je dirai: «Toledo, vous étiez une aimable petite assistance, vous étiez assis là dans ces auditoriums surchauffés ce soir-là, je vous ai dit la vérité; voici mon Maître pour confirmer cela et déclarer que j’avais dit la vérité.» Voyez, vous le saurez alors.
54 Je crois qu’Il est ici ce soir pour confirmer cela, pour dire que c’est la vérité, non pas attendre le futur...?... Lorsque... si je vous demande d’incliner la tête, alors faites-le rapidement. Voyez? Inclinez rapidement la tête si je dis: «Inclinez la tête maintenant.» Si... Parfois, l’épilepsie s’éloigne de moi. C’est donc une chose horrible et cela attaque simplement quelqu’un. Cela peut sauter d’une personne à l’autre comme cela. C’est très méchant. Et au cours des âges, cela a vraiment eu de la mainmise sur des gens.
Souvenez-vous, les disciples n’arrivaient pas à mettre fin à la crise d’épilepsie d’un garçon. Alors, ils l’ont amené à Jésus, vous en souvenez-vous? Vous rappelez-vous cet homme-là qui souffrait d’épilepsie, et certaines personnes sont allées là, des jeunes hommes prédicateurs, et ils pensaient avoir un don de guérison divine, et ils sont allés là et ils ont chassé ce démon? Ils ont dit: «Je t’adjure au Nom de Jésus que Paul prêche, sors!» Actes 19; vous en souvenez-vous?
Il a dit: «Je connais Paul, je connais Jésus, mais vous, qui êtes-vous?» Vous en souvenez-vous? Et ce démon reconnaît toujours. C’est la chose même qui me dérange, ne sachant pas cela, mais c’est ce qui a été un long... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
55 Ô soeur, comment pouvez-vous douter? Venez ici, soeur. Ô Jésus, sois miséricordieux envers la pauvre créature, Seigneur. Elle a tout fait, mais Tu es ici pour l’aider. Dieu bien-aimé, alors que Ton humble serviteur lui impose les mains et réclame la miséricorde, accorde-le, Seigneur. Satan, je t’adjure par Jésus-Christ le Fils, de Dieu, sors de cette femme et ne la dérange plus.
Maintenant, madame, avez-vous... Vous ai-je dit la vérité lorsque je parlais, peu importe ce que c’était? Si vous étiez... si vous étiez allée chez les médecins, je vous dirais ce qui clochait chez vous et quoi faire. Vous n’avez pas besoin de faire cela si vous croyez ce que... Il y a eu des douleurs ici; vous étiez inquiète. Vous pensiez que vous souffriez du cancer des poumons. N’est-ce pas vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais je–je sais ce que... Voyez, ce n’est pas... Vous ne souffrez pas de cancer; c’est un nerf qui est coincé (C’est exact), il part de la vertèbre par derrière de votre dos. C’est derrière là au dos, est-ce vrai? Très bien. Comment ai-je su cela? Très bien. Allez et croyez donc, soyez bien portante au Nom du Seigneur Jésus.
Disons: «Gloire au Seigneur Jésus-Christ, qui donne toutes les bonnes choses à ceux qui Le cherchent. Béni soit le Nom du Seigneur.»
56 Maintenant, juste un instant, si je peux me souvenir, la dame est bouleversée. Et elle pense qu’elle souffre du cancer; elle est inquiète, elle a pleuré; on a prié pour elle, et tout. Je la vois debout; il y a un bâtiment, quelque chose comme ceci. Il y avait beaucoup de gens qui se réjouissaient. Maintenant, cela s’est matérialisé ici devant moi. Et je l’ai vu troublée, et j’ai regardé tout autour et je l’ai vue se tenir le dos comme ceci. Ce n’est rien d’autre qu’une vertèbre coincée au dos. Si elle fréquentait un médecin, je lui aurais dit d’aller chez un chiropraticien et on lui aurait permis de soulager cela. Mais si elle a la foi en Dieu, elle n’a pas besoin d’aller chez un chiropraticien. Jésus-Christ le fait pour elle. C’est vrai. Amen.
57 Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Très bien. Voyons, vous êtes le... Oh! C’est–c’est un garçon. Très bien. Eh bien, que son petit coeur soit béni, un bon garçon. Maintenant, croyez-vous, maman? De tout votre coeur, croyez-vous? Eh bien, maintenant, asseyez-vous simplement là à côté de... sur la chaise, s’il vous plaît, afin que je prenne le petit garçon seul.
Bonsoir, petit ami. Oh! la la! Je ne m’imagine pas que ce petit garçon... Aimes-tu faire la pêche? N’est-ce pas... chaque petit garçon... Savez-vous ce que je pense de petits garçons? Je pense qu’un petit garçon qui aime faire la pêche et qui aime sa mère, est un bon petit garçon. Peux-tu croire cela? Oui, oui. Oh! Pauvre petit garçon. Regarde ici, fiston. Toi et moi, nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas? Mais tu sais ce qui cloche chez toi, n’est-ce pas, chéri? Ecoute, tu souffres du coeur; c’est le rhumatisme articulaire aigu dans ton coeur, n’est-ce pas, fiston? Tes parents sont presque hors d’eux-mêmes. Le médecin a déjà dit qu’il ne peut rien faire pour toi. Tu sais cela. Mais, regarde par ici, fiston. Jésus-Christ...