Qui A Cru À Ce Qui Nous Était Annoncé?

Date: 51-0719 | La durée est de: 1 heure et 18 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Baxter. Merci, frère. [L’assistance applaudit.–N.D.E.] Merci beaucoup pour cet accueil. Cela me réjouit vraiment. J’étais un peu surpris de voir frère Upshaw.

            Je suis juste un peu plus petit que frère Baxter...?... C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir.

            Cet après-midi, je viens de recevoir d’autres bonnes nouvelles: Ma femme pourrait venir durant cette série de réunions. Et–et je souhaite qu’elle soit ici. Je dis que nous ne... elle nous manque. Merci. Merci.

            S’il y a un mérite à attribuer à la famille Branham, que cela lui soit attribué. C’est elle qui mérite. A trente ans, elle a des cheveux blancs. Elle a connu des ennuis. Quand mon téléphone là j’ai... J’ai des fois vu lorsque nous avions... qu’en moyenne soixante-quatre appels de loin par heure, jour et nuit, des gens à la porte, et tout. Elle a connu des moments difficiles. Mais Dieu nous a bénis, et nous sommes heureux de Le servir.

2          C’était vraiment une surprise de voir le membre du Congrès ici ce soir. Je n’oublierai jamais sa guérison. Je sens que cela... C’est de lui que l’Ange du Seigneur parlait quand Il m’a rencontré, et Il a dit: «Tu prieras pour de grands hommes, des hommes d’Etat, des rois de la terre.» Comment pouvais-je donc croire que je prierai pour pareilles gens? Mon premier choc était quand le roi George d’Angleterre m’avait envoyé un câblogramme, pour aller prier pour lui afin qu’il soit guéri de sclérose en plaques, et Dieu l’en a guéri. J’étais...

            Puis, une soirée, alors que je n’avais jamais connu le membre du Congrès Upshaw quand il avait postulé... Il avait postulé pour la présidence, je pense, vers 1919. Et je pense qu’il occupait, là dans l’Etat de la Géorgie d’où il vient, un poste de sénateur ou quelque chose comme ça là. C’est un homme de renommée internationale, il a servi au Congrès et il en est un retraité.

3          Alors, une soirée, alors que j’entrais au temple, je ne connaissais personne, juste comme ici. Il y avait une rangée de fauteuils roulants là, eh bien, juste comme ce soir.

            Aujourd’hui, quelqu’un, un homme d’affaires qui était assis là, voulait savoir pourquoi hier soir cette dame-là a été guérie dans le fauteuil roulant, pourquoi n’ai-je pas guéri tous les autres dans des fauteuils roulants.

            J’ai répondu: «Je ne l’ai point guérie, Je ne guéris personne. C’est Jésus-Christ qui l’a guérie par sa... les mérites de sa foi. J’ai vu cela s’accomplir, je lui en ai parlé et c’est tout.» J’ai dit: «Je pouvais parler à chacun d’eux, s’Il m’avait montré. Mais je ne peux faire que ce qu’Il me dit de faire.»

4          Et de ma vie je n’avais jamais entendu parler de ce vaillant homme, monsieur Upshaw. Je... Vous savez de par mon langage que je ne suis pas instruit. J’ai grandi dans une famille nombreuse, de dix enfants. Je n’avais même pas reçu une instruction de l’école primaire. Tout ce que j’ai eu, c’est l’instruction de septième année primaire. Je devais aller travailler pour prendre soin de neuf enfants. La santé de mon père n’était pas très bonne. Il est mort jeune, et je devais travailler. Je n’ai point reçu mon instruction, sinon j’aurais connu monsieur Upshaw.

            Eh bien, un soir, je suis entré dans une salle, j’ai eu une vision. Tous les fauteuils roulants étaient là. J’ai regardé, et j’ai vu un adolescent tomber, et il s’est fracturé. Il est tombé sur un râtelier, ou quelque chose comme cela. C’est tout ce que je pouvais dire, que je savais. Je l’ai vu en un lieu remarquable, portant un habit avec un col étrange, on dirait, le même homme. Quelqu’un l’applaudissait. C’est tout ce que je savais.

            Quelqu’un a dit... Frère Baxter a dit: «Connais-tu qui tu as vu?»

            J’ai dit: «Non.»

            Il a dit: «C’est... As-tu déjà entendu parler du membre du Congrès Upshaw?»

            J’ai dit: «Non, non.»

            Il a dit: «Il est assis devant toi. C’est lui.»

            Alors, j’ai regardé, et j’ai dit: «C’est cet homme-là. C’est lui qui est assis là.»

5          Je suis allé de l’avant et je me suis mis à regarder pour voir ce qui arriverait. J’ai vu un médecin debout comme cela, un médecin mince, portant d’énormes lunettes en monture d’écaille. Et il avait l’une de ces choses devant sa tête qui... des lunettes comme celles dont on se sert pour regarder dans la bouche. Je l’ai vu secouer la tête comme cela, et il a dit...

            J’ai regardé en bas: il y avait là une petite fille de couleur couchée près de lui. Il lui avait enlevé les amygdales, et cela l’avait paralysée depuis sa voie... ou depuis sa gorge jusqu’en bas. Elle était paralysée. J’ai regardé la petite fille, et j’ai dit: «Je vois un médecin. Il a opéré, il a enlevé des amygdales de cette enfant, d’une enfant de couleur qui est paralysée.»

            J’ai regardé de ce côté-ci, et j’ai entendu quelqu’un pleurer. J’ai regardé, là à droite était couchée une femme de couleur, avancée en âge, pleurant comme cela. Elle a dit: «Bon Seigneur, c’est mon enfant.»

            J’ai vu, couchée là, j’ai dit: «Oui, c’est cet enfant-là. Il y a environ deux ans que cela s’est passé, n’est-ce pas, maman?»

            Elle a dit: «C’est vrai.»

            J’ai dit: «A voir son apparence, je m’imagine qu’il y a de cela environ deux ans.»

            Elle a dit: «C’est ça.»

            Je me suis retourné de ce côté-ci et j’ai appelé une autre dans la ligne. Et il m’est arrivé de regarder; j’ai vu un sentier allant comme ceci, ou cela s’est transformé en une rue. J’ai vu cette petite fille de couleur descendre la rue avec une poupée sur son bras. C’était ça. J’ai dit: «Très bien, maman. C’est terminé. Votre enfant est guérie.» C’était là. Voyez?

6          L’Esprit du Seigneur est entré dans l’assistance et cela m’a bien affaibli. Et juste comme je commençais à m’écrouler, mon frère a couru vers moi pour me saisir. Et j’ai regardé, j’ai vu le membre du Congrès Upshaw. Et il a assisté aux réunions depuis qu’il était un jeune garçon lorsqu’il est tombé et s’est fracturé. Il tenait donc à être guéri par Dieu. Il avait suivi monsieur Roberts; il a assisté aux réunions de monsieur Freeman, monsieur Ogilvie, et beaucoup d’entre eux avaient prié pour lui.

            Mes amis, j’ai quelque chose à dire le long de ces lignes d’ici peu. Peu importe combien vous avez la foi, cela ne changera jamais la volonté prédestinée de Dieu. Cela doit se passer par une vision, voir ce qui arrive.

            Et alors que cela commençait, je l’ai vu en complet marron descendre la rue, tirant son chapeau aux gens comme ça. J’ai dit: «Le membre du Congrès Upshaw est guéri au Nom du Seigneur.»

            Là, après être resté cloué, estropié pendant soixante-six ans, alité pendant plusieurs années, poussé dans un fauteuil roulant... Il a fait étudier des gens à l’université, en vendant des livres dans la rue, qui sont maintenant dans notre gouvernement; et il a fait son temps de service comme un vaillant homme, comme un grand homme, comme un homme d’Etat, un membre du Congrès de notre pays, les Etats-Unis d’Amérique. Et là cet homme, pour la première fois depuis soixante-six ans, a jeté ses béquilles et il a été parfaitement guéri. Il a tenu compte de ce que le Saint-Esprit avait dit de faire.

            Une femme était assise à ses côtés, elle souffrait de l’arthrite depuis quelques années, elle criait et disait: «Qu’en est-il de moi?» Comment pouvais-je le dire? Que pouvais-je lui dire? Le Père devait premièrement me le montrer.

7          Et monsieur Upshaw en avait entendu assez auparavant. Il a dit, avant de venir aux réunions, qu’il savait que–que ce n’était pas moi, que ce que Dieu disait par là, il avait la foi pour croire, car il avait vu d’autres. Et voici monsieur Upshaw et sa femme assis ici ce soir pour suivre ce témoignage, qui est la vérité. Dieu... [Frère Upshaw interrompt.–N.D.E.]

            Et il dit: «Louons le Seigneur.» Amen. C’est... Le voici juste comme... à quatre-vingt-quatre ans tout aussi plein de vie qu’un enfant.

8          Maintenant, pour n’importe qui parmi vous, je suis... Et concernant la guérison, je vous ai souvent dit que je ne peux rien faire avant que le Père me montre ce qui est fait.

            Quelqu’un disait: «Frère Branham, pourquoi ne faites-vous pas monter les gens pour prier pour chacun d’eux?» C’est très bien. Je peux le faire. C’est très bien. Ce n’est pas exactement la façon dont je conduis les réunions. Je conduis des réunions selon la manifestation de l’Esprit de Dieu qui m’est donné pour aider les gens. Maintenant, nous faisons de notre mieux pour leur prêcher.

            Et maintenant, avant d’aller plus loin, j’aimerais lire une portion des Ecritures pour confirmer ce que je viens de dire. J’aimerais lire dans Saint Jean, chapitre 5, vous qui désirez le noter. Et je–j’aimerais que vous écoutiez attentivement maintenant.

            Eh bien, mes paroles sont les paroles d’un homme, elles failliront. Mais la Parole de Dieu, c’est la Parole de Dieu qui ne peut pas faillir. Combien croient que la Parole de Dieu est vraie et Elle est la Vérité infaillible? Merci. Alors cela... Elle peut être mal comprise, je vais lire au sujet de Jésus. C’est tout au début de Son ministère. Il se révélait aux gens.

            Après cela, il y eut une fête des Juifs et Jésus monta à Jérusalem.

            Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreux Béthesda, et qui a cinq portiques.

            Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l’eau;

            Car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l’eau; et celui qui y descendait le premier après que l’eau avait été agitée était guéri, quelle que fût sa maladie.

            Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.

            Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était déjà malade depuis longtemps, lui dit: Veux-tu être guéri?

            Le malade lui répondit: Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi.

            Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.

            Aussitôt cet homme fut guéri... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] prit son lit, et marcha.

            C’était un jour de sabbat.

            Eh bien, j’aimerais que vous lisiez tout ce chapitre. Mais j’aimerais lire les versets 19 et 20:

            Quand il fut interrogé...

            Eh bien, je vais arriver à ce verset dans un instant. J’aimerais que vous observiez la scène. Et maintenant, s’il vous plaît, accordez-moi toute votre attention sur ces versets, ainsi il n’y aura pas... Cela dissipera les superstitions et les pensées qui ne devraient pas exister.

9          Jésus était le Fils de Dieu né d’une vierge. Nous croyons cela. Si nous sommes des chrétiens, nous devons croire qu’Il était né d’une vierge. Et je crois que le Saint-Esprit avait couvert de Son ombre une jeune fille, Marie, et Il a créé cette cellule de Sang dans son sein et cela s’est développé en Fils de Dieu. Et je crois que Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Car Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui demeure en Moi.»

            Ainsi donc, au début de Son ministère, Il est passé à côté de cette piscine, qui était au marché des brebis. Nous n’aurons pas le temps d’analyser, car vous les lecteurs, vous connaissez le marché des brebis, la piscine était là à Béthesda, elle avait cinq portiques par lesquelles les brebis entraient de différents endroits, et la piscine... vers la piscine.

10        Et maintenant, là... des gens pensaient que ceux qui attendaient là étaient superstitieux. Un ange descendait et agitait l’eau, c’est-à-dire bougeait l’eau; c’est une eau très dangereuse. Et le premier homme à y entrer avec foi était complètement guéri de n’importe quelle maladie dont il souffrait.

            Eh bien, observons l’image. Et autour de cette porte, ils étaient donc couchés en grand nombre.

            Eh bien, de quoi, à votre avis, était constitué un grand nombre? Eh bien, il nous est rapporté qu’un grand nombre est constitué de deux mille. Et en grand nombre, c’était au pluriel, en grands nombres. Or, il y a probablement, disons dix mille personnes. Peut-être qu’elles étaient plus. Mais au moins cinq à dix mille personnes, disons.

11        Eh bien, voyons quel genre de groupe, c’étaient: des estropiés, des boiteux, des aveugles et des paralytiques. Quelle–quelle foule de gens défigurés attendant le mouvement de cette eau! Les historiens nous racontent qu’on se battait même pour entrer dans l’eau, on se blessait avec des couteaux en cherchant à précéder l’autre, pour entrer et voir si leur foi était suffisante pour être guéris.

            Bon, Jésus passa par cette piscine. Eh bien, Jésus ne s’habillait jamais différemment des hommes de Son époque. Il n’avait jamais porté son... différent, pour se faire connaître. Le Royaume de Dieu ne réside pas dans la façon dont vous vous habillez; c’est ce qui est dans votre coeur. Vous n’avez pas à tourner votre col, ou à être appelé docteur ou révérend. Il s’agit de ce que vous êtes dans votre coeur.

            Jésus était un Juif d’apparence ordinaire. Et il passait au milieu des gens, et ils–et ils étaient mélangés. On ne savait même pas où–où Il était. Il passait directement. Il n’était pas habillé différemment. Il n’y avait rien d’étrange à Son sujet, dans Sa façon de s’habiller, dans Son apparence.

12        Et Il est entré, Il savait qu’un homme était couché là depuis trente-huit ans, il souffrait d’une affection. Maintenant, écoutez. Il y avait des estropiés, des boiteux, et voici un homme qui était couché avec une affection, une maladie. Peut-être qu’il souffrait de la tuberculose. Peut-être qu’il souffrait de l’hypertension. Peut-être qu’il était anémique, qu’il souffrait du coeur. Mais il souffrait d’une affection pendant trente-huit ans. Il n’était pas cloué sur un petit lit, ou un lit ou dans une chaise. Il a dit: «Lorsque je descends vers l’eau, quelqu’un d’autre qui est en meilleur état que moi me devance.»

            Et alors l’ange, aussitôt que la première personne était guérie, toute la vertu de l’ange quittait l’eau vers la personne, et ça quittait. Et on n’attendait pas un autre jour, mais une autre saison. Peut-être un mois. Mais ils attendaient.

            Nous ne pouvons pas attendre d’une soirée à une autre. Si on n’a pas prié pour nous la première soirée et que nous ne sommes pas guéris, il n’y a rien à cela. Cela montre combien les temps ont changé, et quelle bande de névrosés dans l’âge dans lequel nous vivons. La Bible dit qu’il en sera ainsi. Et nous y sommes.

13        Maintenant, observez ceci. Jésus savait que cet homme était couché là depuis longtemps. Il ne savait que ce que le Père Lui montrait. Et Il est allé et Il a guéri cet homme, et Il s’est éloigné de cette multitude d’estropiés, d’affligés et d’hommes qui souffraient; et Il s’était éloigné d’eux.

            Pouvez-vous imaginer, cela... Croyez-vous que Jésus avait de la compassion? Croyez-vous qu’Il était plein d’amour? Certainement, je crois cela. Mais ces choses vont avec cela, quatre-vingt-dix pour cent de lecteurs de la Bible passent par-dessus cela. Ils manquent d’en voir la vérité. Certainement, Il était plein d’amour.

            Et on dirait que, puisque Il était si plein d’amour, comme nous savons qu’Il l’était, Il a vu ces gens couchés là, des paralytiques, des gens aux membres tordus, des estropiés, des aveugles, ils pleuraient, ils n’avaient aucun moyen de subvenir à leurs besoins, ils ne faisaient que mendier, et... C’est comme si cet aimable Fils de Dieu aurait dû s’avancer et dire: «Maintenant, aveugle, recouvre ta vue. Boiteux, tu es resté couché ici depuis très longtemps, lève-toi. Et monsieur, toi, au bras atrophié, pourquoi ne te lèves-tu pas?»

14        Au lieu de cela, Il est parti vers un homme qui était simplement malade, qui avait mené une vie ordinaire, souffrant d’une affection depuis trente-huit ans. Cela paraît étrange, n’est-ce pas? Vous pouvez à peine comprendre cela. Eh bien, j’aimerais que vous vous rappeliez cette expression: «On ne peut pas comprendre cela...» si les Ecritures n’avaient pas exprimé cela plus tard.

            Les Juifs L’ont interrogé. Maintenant, écoutez ce qu’Il dit au verset 19:

            Jésus reprit donc la Parole et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

            Car le Père mon... aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait; et il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement.

            Maintenant, remarquez. Pourquoi Jésus n’avait-Il pas guéri les paralytiques là? Pourquoi n’a-t-Il pas guéri les affligés? Pourquoi a-t-il guéri un homme qui avait juste, peut-être un trouble d’estomac, ou–ou quelque chose, et comment ça, a-t-Il laissé les autres là? C’est parce que Ses propres Paroles le disent: «Il ne pouvait rien faire sans que le Père Lui ait montré.» Est-ce vrai? Eh bien, n’est-Il pas le même hier, aujourd’hui et éternellement?

15        Quelqu’un m’a posé une question aujourd’hui. Il a dit: «Eh bien, si vous pouvez tout voir ...» J’ai dit: «Je ne peux pas tout voir.»

            Il a dit: «Eh bien, vous–vous... Cette seule femme assise là, clouée dans un fauteuil roulant, vous lui avez dit de se lever. Et il y a ici tout un grand groupe de gens assis devant vous, pourquoi ne leur avez-vous pas dit de se lever?»

            «Comment puis-je le leur dire si Dieu ne me le montre pas?»

            Il a dit: «Eh bien, j’avais une tante assise là derrière. Elle souffre du coeur. Et vous avez guéri un homme qui était assis là avec...»

            J’ai dit: «Frère, je n’ai guéri personne qui souffrait du coeur. C’est Jésus-Christ qui a guéri cet homme par sa prière. Et j’ai simplement vu cela être accompli.» Eh bien, Il guérit les estropiés.

            Mais les gens d’aujourd’hui... Jésus a dit: «Une génération faible et adultère demande des miracles.» Est-ce vrai? Si vous ne voyez pas des miracles, a dit Jésus, et des prodiges, vous ne croyez pas.»

            Eh bien, il y a des estropiés qui ont été guéris. Mais le problème en est que, j’aimerais vous dire, vous les estropiés, que quatre-vingt-dix pour cent d’estropiés, une fois que le médecin dit: «Très bien, vous resterez aussi là le reste de votre vie», ils n’y peuvent rien. Au fin fond d’eux, il y a quelque chose qui les effraie et leur dit que cela va être la vérité. Et vous avez peur de vous déployer.

            Eh bien, vous n’êtes pas sans secours, pas plus qu’un homme qui souffre du coeur. Je me tiens là, je regarde des estropiés, et je vois ce qui cloche chez eux et autres. C’est vrai. Je peux voir cela, ou n’importe quoi de ce genre.

16        Je ne parle point pour dire: «Cet homme, ce garçon ici était tombé et était mort, et il s’est fracturé, et ainsi de suite comme cela, et il s’est cassé la colonne vertébrale, et tout.» Il connaît cela. Et l’estro-... Les gens ici les voient et savent qu’ils sont estropiés, qu’ils souffrent de l’arthrite, du coeur, des maladies comme cela. Ils voient cela.

            Mais ce qui se fait... La puissance de Dieu, c’est–c’est quand un homme se tient ici, apparemment en bonne santé, et vous lui dites ce qui cloche chez lui, alors que pour l’oeil naturel, il paraît en bonne santé. L’oeil naturel peut voir que l’homme est estropié. Voyez, peut-être que sa jambe est courbée, ou son... ou voir l’homme assis là, aveugle avec une canne, ou il se dirige vers... et quelqu’un le conduit, ou... Vous savez qu’il est aveugle. Mais la chose est que les gens paraissent en bonne santé.

17        Ô chrétiens, pincez l’homme intérieur maintenant et réveillez-vous à la réalité, que Jésus-Christ est ici pour se manifester à vous. Et Son attitude présente, maintenant, est juste la même envers vous que–qu’envers les gens d’autrefois. Mais Il ne peut agir que dans la mesure où votre foi confirmera, ou votre foi va s’élever vers le Père pour accepter ce qu’Il a déjà fait pour vous.

            Maintenant, à vous les estropiés. Il n’y a personne ici parmi vous dans un état aussi grave que celui du membre du Congrès Upshaw autrefois. Il est resté estropié soixante-six ans, était poussé dans un fauteuil roulant, couché sur des lits, aidé et il marchait avec des béquilles. Je ne l’avais jamais vu ni n’avais jamais entendu parler de lui de ma vie, et Dieu sait que c’est vrai. Et voici l’homme ce soir, debout devant vous, parfaitement guéri. Voyez?

18        Le membre du Congrès a une femme spirituelle qui l’instruisait, disant: «Croyez.» Et lui-même étant un homme spirituel, il a cru. Et quand il a vu l’action de l’Esprit, en lui-même il s’est dit: «Si seulement Dieu exauce ma prière, et permet que les frères me voient, alors je crois.»

            Peu importe combien d’hommes avaient essayé de chasser, de pousser et d’ôter les béquilles, c’est seulement... Eh bien, je peux descendre là et essayer de relever quelqu’un, du fauteuil roulant, dire: «Lève-toi, tiens-toi debout, tiens-toi debout, fais ceci.» C’est juste un acte de foi. C’est très bien. Si cela peut vous aider, allez de l’avant. Laissez quelqu’un le faire.

19        Mais quant à moi, lorsque je vous dis de vous lever de votre fauteuil roulant, faites ce que je vous dis, vous allez marcher. C’est–c’est tout ce qu’il y a pour ça. En effet, je ne vais pas vous le dire si le Père céleste ne me montre pas que vous êtes guéri. Et faites ce qui vous est dit. Lorsque vous entendez à l’estrade, Cela vous dire quoi faire, allez, faites-le, et vous serez guéri, car ce n’est pas moi.

            Cela n’a jamais failli sur littéralement des centaines de milliers de fois. Cela ne peut pas faillir pour vous. Seulement, ce n’est pas moi; c’est Lui qui fait cela. Voyez? Ce n’est pas moi, c’est Lui. Je ne fais que parler, car je ne parle pas de moi-même. C’est Lui qui parle au travers de moi. Et c’est pratiquement où...

20        Eh bien, Dieu montre des visions. J’aimerais que certains d’entre eux, si c’est possible, me rappellent mon temps. Je... peut-être que je peux voir l’horloge. Je ne suis pas sûr. Cinq minutes après? Merci. Si je peux... Eh bien, je n’aimerais pas m’étendre très longtemps. J’aimerais vous raconter une–une petite histoire, chaque soir, un petit témoignage. Aussi, il fait un peu plus frais ce soir, ce dont nous sommes reconnaissants.

            Et chers amis chrétiens, peut-être que je suis en train de tenir mes dernières réunions en Amérique, au mieux de toute ma connaissance. Je pars outre-mer maintenant. Et je sens l’appel pour terminer mon voyage outre-mer, en Afrique et à divers endroits dans le monde. Je ne sais pas quand je pourrais revenir. Ce sera uniquement par la volonté de Dieu, et tout ce qu’Il me montre à faire. Et je vous aime. Je sais qu’un jour je dois me tenir à la barre du Jugement de Christ pour rendre compte des choses que nous avons faites dans cette vie.

            Maintenant, à... pour quelque chose que peut-être certains ici qui avaient assisté aux réunions et savent cela. Et dorénavant, je vais essayer de donner un témoignage quand je monte à l’estrade, et puis je partirai.

21        Et lors de la distribution des cartes de prière du jour... Vos cartes de prière n’ont rien à faire avec cela, c’est juste un numéro pour vous garder en ligne. Ils essaient de... je demande à mon fils...

            Au début, nous envoyions des cartes de prière aux prédicateurs. Pour commencer, je n’en avais pas du tout. Je disais: «Tout celui qui veut qu’on prie pour lui, qu’il vienne.» Oh! Il y avait une bagarre: Qui serait dans les lignes de devant (En effet, je n’en prends qu’un certain nombre) et qui allait entrer.

            Il nous a fallu faire quelque chose. Nous distribuons les cartes de prière. Alors, nous nous sommes dit: «Eh bien, le premier venu sera servi.» Et le premier jour, là, nous avions simplement distribué toutes les cartes de prière que nous pouvions distribuer. Si quelqu’un d’autre venait un peu en retard, il était exclu. Et il n’y avait que ceux qui recevaient les premières cent ou deux cents cartes pour qui on priait. Si un homme venait avec un cas d’urgence, il–il ne pouvait pas passer avant quelqu’un d’autre, car il l’aurait devancé.

22        Par la suite, il est arrivé que nous les remettions aux prédicateurs. Eh bien, alors... Et disons qu’à chaque prédicateur, on lui envoyait deux cents; et le prochain prédicateur, deux cents, tous les ministres qui collaboraient. Et cela a même fait qu’ils ont perdu les membres de leurs églises. Si quelqu’un donnait une carte de prière à un membre et qu’il ne donnait pas à une autre personne, et alors le premier prédicateur faisait entrer son groupe; le temps qu’on prie pour son groupe, et le reste était terminé, le service était terminé. Cela a causé du trouble.

            Et l’unique moyen prospère que nous avons donc trouvé de faire cela, c’est de prendre un tas de cartes chaque jour et descendre là. Peu importe si vous avez été là une douzaine de fois, ou si vous avez été là... Et alors, nous en prenions et en distribuions, cinquante cartes. On commence par le numéro un.

23        Et si on ne pouvait pas avoir les dix ou quinze premières cartes, on disait: «Je n’en veux pas. On ne va pas m’appeler de toute façon.» Voyez? En effet, c’est environ tout ce que je pouvais prendre en une soirée. Peut-être parfois pas plus d’un ou deux. Et les gens comprennent mal cela. Et des lettres affluent. «On n’a pas prié pour nous.»

            Notre Maître entrait dans une ville, Il guérissait un seul homme, et Il s’en allait de la ville. N’est-ce pas vrai? Et s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Voyez-vous ce que je veux dire?

            Eh bien alors, nous avons compris ceci, et le Seigneur me l’a révélé une nuit. Il a dit: «Va distribuer un tas de cartes. Et puis, cela fait, ne fais savoir à personne à partir de quel numéro et monte en chaire.» Et tout ce qu’Il me met à l’esprit, c’est à partir de là que je commence. Et cela donne à chacun une belle occasion, chaque jour d’entrer.

            Et les cartes de prière, il y a plus de gens guéris dans l’assistance par rapport à ceux qui le sont à l’estrade. Vous savez que c’est vrai. Ainsi, la carte de prière n’a rien à faire avec cela. Je demande chaque soir: «Combien n’ont pas de cartes de prière?» Et j’essaie de veiller sur ces gens pour voir ce que le Seigneur va–va me montrer à leur sujet, et ils seront guéris.

24        Maintenant, c’est la prière, votre prière, votre prière. Eh bien, rappelez-vous, si vous allez être guéri, ne pensez pas que c’est quelqu’un qui a un don de guérison divine qui vous guérit. Si vous allez être guéri par la guérison divine, c’est vous qui avez le don de guérison. C’est votre foi en Christ, pas cette personne, ni un autre homme. C’est votre propre foi personnelle en Christ. Combien comprennent cela? C’est la vérité.

            Je ne peux rien faire. Je peux prier pour vous. Ou votre voisin peut prier pour vous. Mais c’est votre foi qui opère la guérison. Vous acceptez vous-même, individuellement, ce que Christ a fait pour vous. Vous vous y accrochez, et c’est la vérité.

            Maintenant, tout ce que cela fait, c’est que parfois ça corrige la vie d’un homme.

25        Je ne sais pas, on m’a dit... (Oh! C’est comme un songe, après la réunion, lorsque l’onction vient.) au sujet d’un homme qui est venu ici hier soir à l’estrade, et l’Esprit de Dieu est allé vers lui et lui a dit qu’il était une espèce de critiqueur, et qu’il me critiquait. L’organisateur et les autres m’en ont parlé, le... Mon fils dit que cet homme a humblement étendu la main, il a demandé pardon et il a dit que c’était la vérité. Est-ce vrai? Il a donc mis cela en ordre avec Dieu, et il est allé chez lui. On a rapporté qu’une femme sourde a été guérie et tout; et la femme dans le fauteuil roulant et d’autres choses. On me le rapporte. Lorsqu’ils se sont mis à en parler, je–j’ai commencé à... On dirait que ça revient. Je peux m’en souvenir.

            Hier soir en sortant, j’ai pu entendre quelqu’un m’appeler. Je ne pouvais pas savoir où c’était. Et je n’avais rien à faire avec cela moi-même.

26        Eh bien, voici comment cela se passe. Maintenant, pour les quelques prochaines minutes, pendant que j’étais à Houston, quand on avait pris cette photo, le docteur F. F. Bosworth, l’un des vieux hommes les plus braves qu’il y avait au monde... Je tiens beaucoup à ce que le membre du Congrès Upshaw le rencontre.

            Il part avec moi en Afrique, monsieur Bosworth! Nous aimerons le voir terminer son ministère et terminer sa course avec grande joie. Et il part en Afrique avec nous. Je l’aime, d’un amour chrétien et pieux.

            Alors, il est entré dans ma chambre, il a dit: «Frère Branham, regarde ça.» Juste environ une soirée avant que cette photo soit prise. Et il m’a donné la photo de mademoiselle Florence Nightingale, une arrière-arrière-petite-fille de feue Florence Nightingale d’Angleterre qui était partie en Afrique. Et elle se mourait d’une tumeur maligne sur le...?... de l’estomac. Et on lui a tiré une photo.

27        Et je pensais que Georgie Carter, ma pianiste à l’église baptiste de Milltown, dans l’Indiana, était la personne la plus mince que j’aie jamais vue. Elle pesait trente et quelques livres [13 kg], elle souffrait de la tuberculose, et elle est restée couchée sur le dos neuf ans et huit mois. Et une heure après que le Saint-Esprit m’avait montré où elle était afin de prier pour elle, elle jouait de nouveau le piano. Et elle est ma pianiste là ce soir. Il y a six, sept ans, elle est en bonne santé, comme n’importe qui.

            Mais cette femme mesurait presque six pieds [1,82 m], Georgie était une petite femme. Cette femme mesurait à peu près six pieds [1,82 m] et elle pesait environ trente-cinq ou quarante livres [15,8 ou 18 kg]. On l’aidait à se tenir debout, on la soutenait, et elle n’avait qu’un petit morceau de tissu sur elle. Même en étant insensible comme je le suis, cela m’a fait fondre en larmes. Et je...

            Elle me suppliait: «Frère Branham, c’est le dernier appel. S’il vous plaît, venez en Afrique maintenant même.» Elle disait: «Je crois que si seulement je peux vous voir, Dieu me guérira.» Eh bien, elle n’est pas membre d’une église fondamentaliste. Alors... Mais elle avait la foi.

            Toute foi ne réside pas dans l’église fondamentaliste, ou ne–ne réside pas dans l’église pentecôtiste, ou dans l’église de la sainteté. Elle réside dans l’individu. J’ai vu un catholique romain venir à l’estrade et être guéri miraculeusement des maladies. Et différentes personnes...

28        J’ai vu à Winnipeg, au Canada, un adorateur de Bouddha, un petit garçon aveugle, être converti à l’estrade. J’ai dit: «Tu deviens aveugle; crois-tu?»

            Il a dit: «Si Jésus-Christus me guérit ce soir, je n’adorerai plus un autre Dieu que Jésus-Christus.» Et ses yeux s’étaient ouverts. Vous y êtes. Bouddha...

            J’attends voir les Indiens et les Indous en Afrique et les Hottentots être amenés à la grâce salvatrice de Jésus-Christ.

            Ecoutez. J’ai prié, et j’ai dit: «Ô Dieu, je ne peux pas aller là-bas maintenant à moins que Tu me conduises. Je Te demande donc, Seigneur, si Tu guéris cette femme, ça sera un feu vert.»

            Et frère Bosworth s’est agenouillé avec moi, Il a dit: «Va en Afrique.» Frère Baxter ne le sait même pas.

            Et nous avons joint nos mains là, frère Bosworth et moi, ma femme et une petite fille. Nous nous sommes agenouillés et nous avons prié que Dieu guérisse cette femme. J’ai confié cela au Seigneur, et j’ai laissé les choses aller ainsi. Je ne savais rien à ce sujet, j’ai laissé cela aller.

29        Et lorsque frère Baxter et moi, et nous tous, nous sommes arrivés à Londres, frère Baxter et moi, nous sommes arrivés, en fait, il est à l’écoute... assis ici en train de m’écouter maintenant. Lorsque nous sommes arrivés, j’ai dit: «Eh bien, ce sera paisible ici pendant un temps.»

            Je me levais donc, et on m’a appelé. Et quand je suis arrivé là, je me demandais si c’était l’appel du roi pour aller immédiatement au palais de Buckingham, ou ce que c’était.

            Mais ce que c’était, l’appel était de traverser... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il y avait là une dame qui venait d’arriver, avant moi, à bord d’un avion venant de l’Afrique, et on arrivait à peine à la faire sortir de l’avion: Mademoiselle Florence Nightingale. Comment a-t-elle su que je devrais être là, je ne sais pas encore. Et j’ai dit à ce prédicateur, j’ai dit: «Amenez-la quelque part, et je vous reverrai dans environ une journée ou plus.» Nous voulions descendre au palais.

            Il a donc dit: «Si elle vit jusque là.» Il a dit: «Frère Branham, elle est mourante.»

30        On l’avait donc amenée en un lieu et, en ce jour-là, quand frère Baxter, frère Lindsay, frère Moore, les organisateurs et moi, nous sommes allés en ce lieu-là, un prédicateur était venu nous prendre, et nous sommes allés au lieu pour prier pour la femme. Quand je suis entré dans cette pièce, mes amis, je–je–je ne peux vous décrire le sentiment que j’avais éprouvé. Un squelette était couché là, il respirait.

            Eh bien, je suis dans une assistance mixte. Eh bien, vous écoutez votre médecin, et moi, je suis votre frère. Eh bien, s’il vous plaît, comprenez-moi de la bonne manière. Lorsqu’on a fait descendre la couverture, frère Baxter a détourné la tête.

            Et elle voulait... Eh bien, elle ne pouvait pas me parler, et il me fallait m’incliner et laisser l’infirmière répéter ce qu’elle disait. Et je ne sais pas d’où venait assez d’humidité pour faire couler les larmes sur ses joues. Elle voulait mourir. Elle voulait que je demande à Dieu de la laisser mourir.

31        Eh bien, je l’ai tenue par la main, et c’était froid, pi... on dirait juste des os. Sa tête, à ce niveau, le crâne, on pouvait voir les jointures. Ses yeux étaient enfoncés. Et sur sa poitrine, en tant que femme, il n’y en avait pas, c’était enfoncé dans ses côtes. Et quand on a fait descendre la couverture jusqu’ici, ses os... ses jambes ici à la place, à leurs cavités, avaient environ cette grosseur.

            On n’arrivait même pas à trouver des veines pour injecter le glucose ni rien. Ça faisait des mois qu’elle n’avait pas mangé, elle ne pouvait rien avaler. On devait la perfuser et tout. Ainsi donc, on ne pouvait pas trouver des veines pour la nourrir. Et là au niveau de l’os de sa hanche, l’anneau s’était resserré, et la peau de deux côtés de l’anneau se rattachait comme ça. Vous n’avez jamais vu pareil spectacle de votre vie.

            Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, sois miséricordieux.» Je lui ai dit, j’ai dit: «Je ne suis pas sous l’onction; je suis simplement venu ici. Mais je vais prier, mais pas pour que vous mouriez.» Et je me suis mis à prier. Et elle a dit: «Pouvez-vous...?...»

            Je m’inclinais davantage, et l’infirmière a dit: «Elle a dit: ‘Frère Branham, j’ai toujours cru que si je pouvais m’approcher de vous, Dieu répondrait à la prière.’» Même si j’étais un hypocrite, Dieu récompenserait une telle foi. C’est vrai.

32        Et lorsque je me suis mis à prier pour elle, aussitôt que j’ai commencé à prier... Frère Baxter ici est un témoin. Lorsque je me suis mis à prier, un petit pigeon a volé à la fenêtre et s’est mis à faire: «Coucou, coucou.» Et tout...

            Je me suis agenouillé. J’ai dit: «Notre Père qui es aux cieux...»

            Le petit pigeon s’est mis à faire «Coucou.»

            J’ai dit: «Que Ton Nom soit sanctifié.»

            Il a fait: «Coucou», en parcourant.

            Et quand j’ai fini ma prière, et que j’ai dit: «Amen», et que j’ai demandé sa guérison, le petit pigeon s’est envolé.

            Les prédicateurs avaient constaté. Et au moment où j’allais parler à la femme pour la consoler, le Saint-Esprit a parlé et a dit: «Elle va se rétablir.» Et aujourd’hui, elle pèse cent trente-cinq livres [61 kg] et elle est en parfaite santé. C’était là un feu vert pour l’Afrique qui brûle.

33        De là, nous sommes allés à Helsinki. (Et il me faudra me dépêcher, juste avoir une partie de ceci.) Avant de quitter, j’étais à... Un soir, le Saint-Esprit m’est apparu à Miami, en Floride. J’ai vu un petit garçon tué par un accident et couché dans un pays rocailleux. Oh! A voir l’état de cet enfant, il... Je l’avais décrit. Et beaucoup parmi vous ici peuvent reconnaître cela, quand je–j’en ai parlé.

            Et j’ai demandé que cela... Je suis allé à la tente, et j’ai dit: «Un petit garçon quelque part va ressusciter. C’est une contrée rocailleuse. Il a des cheveux bruns, un peu bouclés. Il portait un tout petit ensemble pantalon et chemise boutonnés ensemble. Ses pieds vont ressortir hors de ses chaussettes. Et il sera–sera complètement écrasé suite à un accident. Et il va mourir. Et le Seigneur va le ressusciter. ‘J’ai dit: AINSI DIT LE SEIGNEUR.’» J’ai dit: «Vous tous, écrivez cela dans vos Bibles, et cela apparaîtra dans le journal Voice of Healing. Et un de ces jours, lorsque, je ne sais pas, (parce que la vision a duré deux heures.) cela aura lieu à un moment.

34        Et je pense que c’est l’une des douzaines et des centaines de choses qu’il a montrées. Je prends quiconque ici à témoin, si chacune d’elles ne s’est pas accomplie. Alors quand... Environ deux ou trois soirées après cela, on m’a amené derrière la tente et on m’a dit: «Un petit garçon est couché ici derrière, venez le voir.» Le petit garçon d’environ cinq ans s’était noyé; il avait les cheveux très noirs comme du charbon, eh bien... J’ai dit: «Non, ce n’est pas lui.» J’ai offert une prière de consolation, et je suis parti.

            J’ai parcouru la région de l’Est, jusqu’au Canada. Et je l’ai racontée partout dans mes réunions. Je disais: «Ecrivez cela dans votre Bible. Il y a une vision qui n’est pas encore accomplie. Il s’agit d’un petit garçon qui sera sur son chemin vers l’établissement d’entrepreneur des pompes funèbres ou quelque chose comme cela, et Dieu va le guérir. Je serai là. C’est dans une région rocailleuse, avec beaucoup d’arbres. Et le petit garçon à environ huit ou dix ans; il a un petit visage plat, et des yeux bruns. Et j’ai dit: «Il avait des cheveux coupés au carré comme ceux d’une fille. Il était très pauvrement habillé.»

35        Combien se souviennent que j’avais dit cela? Y a-t-il quelqu’un ici qui s’en souvient? Voici un homme qui lève les mains ici. Oui, un autre là-bas. C’était bien avant (Voyez?) que cela arrive. Là, derrière, oui, je vois vos mains. Très bien. C’était pratiquement une année et demie ou deux ans avant que cela n’arrivât.

            Un jour, lorsque nous sommes partis à Helsinki, nous sommes alors allés à Kuopio. C’était le moment de jeûne, je jeûnais et je priais.

            On chantait, les Russes et tous, certains parmi eux étaient là, et les Finlandais. Ils chantaient un beau cantique: A Golgotha. Et tous leurs cantiques sont en mineur, très triste. Il y avait là un Anglais ivre, en bas aux pieds de la tour. Nous l’avons conduit à Christ lorsque nous sommes descendus.

            J’ai dit aux–aux frères, j’ai dit: «Quelque chose d’étrange va arriver. Je sens que l’Ange du Seigneur est proche, et ce n’est même pas le temps pour la réunion.» Nous tenions des merveilleuses réunions. Des milliers se tenaient debout sur une surface d’un demi mile [804 m], environ cinq ou six pâtés de maisons, aussi loin qu’ils pouvaient se tenir là, à quinze heures, cherchant à entrer à Messuhalli, qui offrait alors vingt-cinq mille places assises ou plus. Ainsi donc, on attendait.

36        Et lorsque vous passez par... On pouvait passer à côté d’eux, des larmes leur coulaient sur les joues; juste en guise de respect, ils se tenaient comme cela. Aimables... Oh! la la!

            Les choses sont faciles ici chez nous. Nous avons... Nous sommes bien nourris et bien habillés, et nous n’avons besoin de rien, comme nous le pensons. Frère, ils peuvent nous enseigner le christianisme. Il leur faut prier et s’accrocher à Dieu pour tout ce qu’ils reçoivent. Nous aurons une économie un jour si nous ne redressons pas notre mode de vie dans ce pays.

            Je suis Américain, né ici, et de génération en génération. J’ai survolé en avion les tombes de beaucoup de Branham qui sont morts, qui gisent en Allemagne, en France et partout là, qui étaient morts pendant les guerres. Et si c’est mon appel ce soir, je mourrai librement pour mon pays. Mais il a besoin d’être redressé. C’est exact.

            Nous parlons du réveil, et nous n’avons pas encore eu de réveil. Nous avons eu beaucoup de rassemblements, mais un réveil, c’est lorsqu’on brise les–les hangars et qu’on se met à prier et à se mettre en ordre avec Dieu. Une religion à l’ancienne mode, du fond du bois, au ciel bleu, qui tue le péché, qui est prêchée et qui amène les gens à se mettre en ordre avec Dieu, c’est ce dont nous avons besoin, d’un réveil, pas de l’adhésion à une église. Amen. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit cela, mais je l’ai déjà dit.

37        Remarquez. Très bien. Et ces gens sont très aimables. Et quand nous sommes descendus, j’ai continué à dire aux frères: «Quelque chose va arriver.» Nous sommes descendus de la colline. Et là en bas, une voiture roulait rapidement.

            Il n’y a pas beaucoup de voitures en Finlande. On vend les Ford d’occasion à environ quatre mille dollars, l’essence à environ un dollar et demi le gallon. Il y a très peu de voitures là, on en voit une rarement.

            Il y eut un accident de véhicule, une Ford verte modèle 35, de fabrication américaine, avait tamponné des écoliers. Deux petits garçons se sont engagés dans cette direction-ci. Ils ont cherché à revenir en courant. L’un est parti d’un côté et l’autre, de l’autre. Et le pare-choc a percuté l’un par le menton. Il est allé comme ceci.

            Quand le chauffeur a pivoté sa voiture vers la droite, il l’a percuté par le menton et l’a projeté comme ceci par terre, il l’a roulé plusieurs fois, il a cogné la bordure, il est allé cogner contre un arbre, et il s’est commotionné le cerveau. Et l’autre petit garçon, cela l’a percuté de face et l’a cogné par le pare-choc, il a roulé sur lui et l’a écrasé.

            Et la voiture roulait à environ soixante miles [96,54 km] à l’heure. Elle lui a roulé dessus, l’a propulsé par derrière et l’a projeté en l’air quand il est sorti, comme cela. Et il est tombé comme un sac par terre. On aurait pensé à un chien qui a été cogné comme cela ou quelque chose de ce genre.

38        C’était quelque temps, quelques minutes, quinze minutes avant que nous arrivions sur le lieu. Le petit garçon était étendu là, mort. Le frère et les autres sont allés là le voir. Je ne pouvais pas regarder cet enfant. Cela–cela donc...

            Frère Lindsay est revenu. Beaucoup parmi vous connaissent frère Gordon Lindsay. Frère Baxter, je ne pense pas... Non, il n’était pas sur le lieu. Frère Baxter n’est jamais allé avec nous. Il se promenait, lui et mon frère. Et quand je suis arrivé là, je...

            Frère Lindsay est revenu en pleurant. Frère Moore est revenu en pleurant. Soeur Isaacson, l’interprète...

            Eh bien, je ne savais que penser. Et finalement, j’ai regardé le petit garçon. Et je me suis mis à pleurer. J’avais un fils ici. Et je me suis dit: «Là loin en Amérique, mon fils.» Eh bien, si je n’étais pas tout excité, j’aurais rapidement reconnu cela. Mais je m’étais retourné. Cela couvrait son petit visage. Et je...

39        On dirait Quelque Chose avait juste placé Sa main sur mon épaule, ou quelque chose comme cela. Alors, je me suis retourné, il n’y avait personne là. Je me suis dit: «Attendez. Quel est ce sentiment étrange?» J’ai attendu quelques instants. J’ai dit: «Laissez-moi revoir ce garçon.» Et on avait enlevé la–la chose qui le couvrait, et là, il était étendu là. Et j’ai dit: «Demandez aux prédicateurs si ce garçon a jamais fréquenté une église.»

            «Non.»

            «Est-ce qu’ils le connaissent?»

            «Non.»

            J’ai dit: «J’ai vu ce garçon quelque part.» Je l’ai encore regardé, j’ai vu son petit pied qui ressortait par cette chaussette. J’ai regardé tout autour, j’ai vu cette contrée accidentée. J’ai dit: «Ça y est.»

            J’ai dit: «Frère Moore, regarde dans ta Bible.»

            Il a dit: «Que veux-tu dire?»

            J’ai dit: «Regardez la page de garde, toi et frère Lindsay. AINSI DIT LE SEIGNEUR, voilà le garçon que j’avais vu en Amérique. Ce garçon vivra dans quelques minutes.» Vous ne saurez jamais le sentiment qu’on éprouve quand on sait où on se tient. C’est vrai.

40        Il a dit: «Est-ce ce garçon-là?» Frère Moore a regardé la page de garde de sa Bible, c’est là que beaucoup... J’avais demandé aux centaines et centaines de gens d’écrire cela là.

            Il a dit: «Frère Branham, c’est la description exacte.»

            J’ai dit: «C’est le garçon.» Très bien. On s’est rassemblés, on s’est agenouillés. J’ai dit: «Ô Eternel Dieu, là loin dans mon pays en Amérique, une nuit, Tu m’avais visité et Tu m’avais montré cette contrée rocailleuse et ce petit garçon. Et le voici étendu ici mort, pendant qu’on attend que son père et sa mère viennent apprendre cette triste nouvelle.» J’ai dit: «Toi qui m’as séparé du sein maternel et qui m’as envoyé pour voir ces visions, maintenant, Dieu Tout-Puissant, parle. Et toi mort, qui le retiens, je rappelle sa vie au Nom de Jésus-Christ qui a montré la vision.»

            Et le petit garçon a lâché un cri, il a sauté sur ses pieds. Et il est aussi normal et bien portant que n’importe qui assis ici dans la salle ce soir. Cette touche est venue comme une traînée de feu.

41        Ce soir-là, alors qu’on cherchait à m’amener à la réunion, eh bien, la... La rue était bondée des gens jusque plus bas, les officiers, la police de patrouille, les officiers militaires avaient dû venir me prendre à quelques pâtés de maisons, là dans la rue. Lorsque je suis entré, je n’oublierai jamais cela.

            Il me faudra me dépêcher; encore une chose. Je vais terminer l’histoire de l’autre garçon demain soir.

            J’entrais dans une salle, il y avait deux soldats finlandais derrière moi et deux devant moi pour me faire partir. Et je suis entré dans la salle, et ils... L’auditorium était rempli. Oh! la la! Et de part et d’autre des rues, on avait dressé des tentes partout tout autour. Et j’ai reçu l’une des autorités de la ville, que nous appelons le maire, il a écrit dans leurs livres, il a signé de son propre nom, qu’il a été témoin de la puissance du Dieu Tout-Puissant qui avait ressuscité le mort.

42        Eh bien, c’est la troisième fois que j’ai vu cela s’accomplir. Peut-être que je peux aborder cela plus tard quand madame Hattie Waldrop là à Phoenix, et Ralph Perry chez nous... Eh bien... Je veux par là parler de ceux qui ont été déclarés morts, qui étaient étendus là... Ce garçon, quand j’allais entrer...

            Je m’avançais vers la petite pièce, et j’ai entendu une porte se fermer. Et c’étaient des toilettes du dortoir des femmes, pour ainsi dire. Et lorsqu’elle est sortie, ce fut le spectacle le plus pitoyable que j’aie jamais vu de ma vie. C’était une jeune fille.

            Combien reçoivent le journal The Voice of Healing? Vous avez probablement vu sa photo et vous savez de quoi je parle. Elle portait un–un gros appareil en acier autour d’elle comme ceci, et une jambe était un peu plus courte que l’autre. Elle n’avait pas de contrôle de ce membre. Elle portait de gros souliers placés au bout de cet appareil orthopédique. Et l’appareil orthopédique était si complet qu’il empêchait le genou de se plier. C’était partout. Cela remontait autour d’elle et était lacé autour. Et il y avait un–un crochet au bout de son soulier, une courroie remontait et passait par-dessus ses épaules et se rattachait à la partie arrière de l’appareil orthopédique. Et puis, elle avait deux béquilles à l’aide desquelles elle marchait.

            Et elle avançait les béquilles, elle oscillait sa petite épaule, et cela faisait avancer ce membre-là. Et cela ne s’était pas assez développé, il était inutilisable, et le poids de cela reposait sur ce support-ci. Voyez? Alors, elle pouvait tenir et marcher. Et cela l’aidait à marcher. Elle posait cette chaussure par terre, elle pouvait effectuer un pas.

43        Et la pauvre petite créature se tenait là. Et les dames, si vous connaissiez comment elles devaient s’habiller... La petite créature se tenait là, de petits lambeaux pendant de son petit jupon et de ses petits habits tout déchirés. Et j’ai appris plus tard qu’elle était une petite orpheline de guerre. Son père et sa mère avaient été tués pendant la guerre; une Russe.

            Elle est sortie là, et elle... sa petite chevelure ébouriffée. Et quand elle m’a vu là, elle a regardé et elle s’est redressée comme cela, et elle a incliné sa petite tête. Oh! la! la! Quelque chose m’a simplement brisé le coeur. J’ai regardé la petite créature. Je... Oh! J’ai donc éprouvé le sentiment le plus horrible. Et ce soldat a dit: «Silence, silence», me poussant.

            Non... Et j’ai compris qu’elle voulait–qu’elle voulait me parler, seulement on leur avait interdit de la déranger dans la rue, ou quelque chose comme cela.

            J’aime ces petits enfants. Je les amenais tous à l’église. Et quand ils étaient dans l’auditorium, au service de l’après-midi... On me remettait de petites pièces d’argent finlandais, je sortais là et je les leur remettais afin qu’ils puissent s’acheter leurs bonbons. Et elles déployaient leurs petites jupes et disaient: «Kiitos.» Kiitos veut dire merci. Et elles criaient: «Kiitos.» Alors, j’avais une file d’enfants, d’ici jusque là derrière le bâtiment, qui me suivaient. J’aime les petits enfants.

44        Alors, elle m’a regardé comme cela, et ses petites lèvres se sont mises à trembloter, et elle s’est tenue tranquille. Et je lui ai fait signe de venir. Je savais qu’elle voulait venir. Et elle est venue là où j’étais. Elle est venue là avec sa petite béquille et son appareil orthopédique, elle s’est avancée. Je voulais voir ce qu’elle allait faire. Et elle s’est saisie de ma veste et elle l’a baisée, elle a laissé tomber cela, elle a levé les yeux vers moi comme ça, elle tenait ses petites béquilles, elle a déployé sa petite jupe et a dit: «Kiitos.» Et les larmes lui coulaient sur ses petites joues comme cela, tombant. Oh! Je... On dirait que mon coeur allait éclater. J’ai baissé les yeux vers elle, et je l’ai vue guérie. Je savais que Dieu récompenserait une telle foi. Et j’ai dit: «Chérie, tu es guérie.»

            Et elle ne pouvait pas me comprendre. On m’a poussé de l’avant.

            Nous avions eu une réunion formidable ce soir-là. Et les gens, quand ils voyaient quelque chose être révélé là, dans l’assistance, ils jetaient simplement leurs béquilles et se mettaient à marcher.

45        Et ce soir-là, on s’est simplement saisi de grandes brassées. Vous avez vu cela dans le journal, des brassées de béquilles et des choses semblables ainsi que des cannes de gens qui avaient été guéris. Ils pouvaient simplement avoir... On les a écartés de moi, docteur Manninen et les autres, quand on a pris la photo. Et j’ai dit à mon frère... Il a dit: «Nous devons t’amener.» Il me faisait partir.

            Et j’ai dit: «Encore quelques-uns.» Et par la sagesse providentielle de Dieu, la prochaine carte qui a été appelée, j’ai entendu quelque chose faire du bruit, et c’était elle. Elle était la personne suivante à monter à l’estrade. Et la voici passer. Et j’ai dit: «Soeur Isaacson,» l’interprète, «rapporte fidèlement mes paroles.»

            Elle a dit: «Très bien.»

            Et j’ai dit: «Chérie, c’est toi la petite fille qui m’a rencontré là dehors dans le hall.»

            Et elle a acquiescé de sa petite tête lorsque l’interprète l’a répété.

            Et j’ai dit: «Jésus-Christ t’a guérie, chérie. Va là, assieds-toi et ôte ton appareil orthopédique. Et juste quand tu... quand tu ôteras cet appareil orthopédique, baisse doucement ta petite main comme cela. Tu es guérie.» J’ai dit: «Je t’ai vue en vision. Tu es guérie.» Elle est allée là. Les huissiers se sont mis à lui enlever les appareils orthopédiques. Et juste quand ils...

46        Je me suis mis à prier pour une autre femme qui se tenait là, qui était montée. Juste à ce moment-là, j’ai entendu un cri. Et j’ai regardé, et la voilà traverser l’estrade, les appareils orthopédiques et les béquilles sur la tête, courant à toute vitesse, comme le membre du Congrès Upshaw, parfaitement guérie. Rétablie.

            Qu’est-ce? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa puissance est illimitée. Elle est limitée à votre foi. Croyez-vous cela? C’est confirmé parmi des milliers de fois, des milliers de gens.

            Et de toute façon, je crois que juste là dans mon livre, je crois que nous avons son adresse et le petit garçon qui ressuscita... était ressuscité d’entre les morts. Je parlerai de l’autre demain soir.

47        Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l’Eternel? Il est ici ce soir. Jésus, le Fils de Dieu, pour bénir chaque personne qui est dans la Présence divine. Je ne peux pas vous guérir. Dieu peut me montrer ce qu’Il a fait pour vous. Si vous confessez votre foi en Lui, et que vous croyez qu’Il m’a envoyé faire... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ceci, vous verrez la gloire du Seigneur. Inclinons la tête... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] alors que nous prions.

            Père céleste, nous aimons bien témoigner de Ta voie. Cela continue simplement à brûler dans mon coeur, cette pauvre petite orpheline finlandaise, la petite créature sans mère, sans père, les deux avaient été tués, la pauvre créature, qui était trimballée de lieu en lieu.

            Et, ce soir, je pense aux scènes que je vois ici chez nous, alors qu’ils vont dehors vers la poubelle et entassent ces gros morceaux de pain et ces morceaux de viande. Alors que ces pauvres petits Finlandais marchent dans les rues; certains d’entre eux avec de petites mains sales, essuyant les larmes de leurs petits yeux. Ils seraient heureux d’avoir un de ces morceaux de pain. Ô Dieu, nous sommes indignes.

48        Un glorieux jour, nous traverserons la frontière. Nous nous assiérons alors à Ta table, nous regardant l’un l’autre, les larmes nous coulant sur les joues, après ces grandes batailles, nous verrons beaucoup de ces anciens vétérans qui ont combattu dans la bataille. Nous–nous nous serrerons la main et nous pleurerons un peu. Et le Roi sortira et Il essuiera toutes les larmes de nos yeux. Il dira: «Ne pleurez plus maintenant. La bataille est terminée; vous êtes à la maison. Entrez dans les joies du Seigneur.» C’est pour ce jour-là que je travaille, Seigneur. C’est pour ce jour-là que nous combattons. Peu importe que les gens croient ce qui nous était annoncé ou pas, Seigneur, nous–nous enseignons cela, et Tu le confirmes.

            Et nous savons que Tu es ici pour faire connaître Tes bénédictions. Ô Dieu, bénis ces gens ce soir, Seigneur Jésus. Beaucoup de vieux papas et mamans qui sont assis... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ça en est pratiquement fini d’eux. Les médecins les ont abandonnés. Beaucoup sont assis ici dans ces fauteuils roulants et pensent qu’ils ne marcheront plus, à moins que quelque chose arrive. Beaucoup de vieux frères qui sont assis ici, peut-être souffrant du coeur, ou une soeur qui partira dans quelques semaines si quelque chose n’arrive pas. Un cancer l’a rongée. Oh! Sois miséricordieux, Jésus. Sois avec nous encore ce soir d’une manière spéciale.

49        J’ai témoigné de Ton Ange qui montre des visions. Ô Père, ce n’est pas afin que cette assistance puisse entendre ma voix, car ce n’est pas moi qui leur parle. Je Te parle. Je Te prie, ô Dieu, de montrer des visions ce soir. Puisse cela apparaître visiblement si c’est possible. Que partout ici dans la salle, que l’Ange de Dieu déploie Ses grandes ailes ici, et que les gouttes de rosée de miséricorde en tombent, Seigneur, sur chaque coeur affamé ici. Et puissent-ils avoir la foi d’être guéris ce soir et d’accepter leur guérison de la part du Seigneur. S’il y en a qui remplissent ces conditions que Tu as exigées, Seigneur, montre cela à Ton serviteur. Et puisse-t-Il engloutir Ton serviteur maintenant, l’enrouler, Seigneur, et le cacher.

            Je sais que frère Upshaw est assis ici, lui qui a attendu soixante-six ans. Mais, à l’heure sombre de sa vie, Tu l’as béni. Tu lui as accordé le désir de son coeur. Tu ne refuses aucune bonne chose à ceux qui marchent dans la droiture.

50        Il y en a assis ici qui se mouraient de cancer et qui sont maintenant bien portants. Une femme qui était estropiée, dans un fauteuil roulant hier soir, est ici maintenant, marchant, bien portante. Ô Christ, que les hommes et les femmes se rendent compte, qu’ils se débarrassent de leurs superstitions, qu’ils regardent maintenant au Calvaire d’où provient notre secours, et qu’ils puissent voir Celui que nous avons essayé de présenter, l’Agneau de Dieu qui a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Puissent-ils Le voir dans Sa puissance et Sa gloire. Puissent-ils Le voir dans la puissance de Sa résurrection ce soir. Et comme Ses disciples autrefois, alors qu’ils revenaient d’Emmaüs, quand cette assistance partira d’ici ce soir, puissent-ils être comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, qui avaient vu la puissance de Christ ressuscité, et qui avaient dit: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous?» Alors qu’Il était là... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] les guérir. Accorde-le, Seigneur.

            Maintenant, je m’abandonne moi-même à Toi... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... une glorieuse effusion de Tes bénédictions, car je le demande au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

51        Maintenant, souvenez-vous, alors que je fais cette déclaration: Je ne suis pas responsable des critiqueurs qui sont dans la réunion. Puis-je le répéter, s’il vous plaît? Je ne serai pas responsable des critiqueurs qui sont dans la réunion. S’il y en a ici qui sont des critiqueurs, ou qui sont venus juste par curiosité, je–je ne voudrais pas qu’ils restent pendant le déroulement de cette partie du service. Revenez demain suivre la prédication. Mais ne restez pas pour ceci. Car soyez-en rassuré, quand les esprits démoniaques et leur puissance sont lâchés, ils cherchent où aller, si c’est possible. Et l’incrédulité va certainement prendre place (Ou si vous êtes un croyant en fait, avec une faible foi et que quelque chose arrive, nous pouvons nous en occuper.) Mais quand vous êtes un incroyant, ou je–je n’ai rien à faire avec cela, parce que je ne pourrais pas faire partir cela.

            Et maintenant, à Celui qui est capable de vous garder de la chute, et qui peut faire infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons penser, que Sa grâce et Son Être oignent notre réunion maintenant. Et puisse votre foi être stable. Et imaginez-vous un–un Pèlerin solitaire, rejeté des hommes, un Homme de chagrin, habitué à la souffrance, accusé d’être un démon, un lecteur de pensées, un spirite, venir en marchant, mal compris. Mais Il était le Fils même de Dieu.

            Et Il est ici ce soir. Il est ici maintenant même avec moi. Il est ici avec vous, et Il connaît toutes choses. Je ne connais rien. Mais Il peut révéler tout. N’est-ce pas?

52        Un pauvre homme estropié est en train d’avancer. Très bien, venez simplement ici un moment. Soyez simplement respectueux au possible. Je me demande si les chrétiens se rendent compte de la position dans laquelle je me trouve. Vous rendez-vous compte que dans une assistance de ce genre, il y a des superstitions, des critiques, et tout, ici? Et j’ai fait une déclaration au sujet de Jésus-Christ.

            Vous direz: «Frère Branham, avez-vous peur?» Non, non! Pas du tout. Je sais Qui se tient ici, et j’ai cru en Lui. Et je suis persuadé qu’Il est capable de garder ce que je Lui ai confié pour cette heure.

            Cet homme m’est inconnu, humainement parlant. Je ne le connais pas. Nous sommes inconnus, n’est-ce pas, monsieur? Oui, oui, nous sommes inconnus. Maintenant, monsieur, j’aimerais juste votre attention pour vous parler juste un moment. Et maintenant, il y a... Si nous sommes inconnus, et que je ne connais rien à votre sujet, cela–cela devra provenir d’une source spirituelle, n’est-ce pas, monsieur? Cela devra provenir d’une source spirituelle. Vous savez qu’il se passe quelque chose. Certainement. C’est juste l’Ange du Seigneur. Etes-vous un croyant? Oui, oui. Vous... Je crois que vous croyez. Vous êtes plus que cela. N’êtes-vous pas un prédicateur? Vous avez prêché de très puissants sermons dans des réunions. N’est-ce pas? Vous aviez été dans un hôpital ou dans le cabinet d’un médecin, ou quelque chose comme cela, pour un examen. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Oui, oui, je le vois examiner. Oui, vous–vous avez des problèmes avec votre foie, c’est sur votre bile, je pense. N’est pas vrai? Je crois que vous souffrez du cancer. Je crois que c’est cela... Jésus-Christ est ici pour vous guérir. Croyez-vous cela? Très bien. Oh! Je vois–je vois cela suspendu comme cela. C’est la vessie plutôt qu’un... n’est-ce pas vrai? La vessie. Venez ici un moment.

53        Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, je pensais que cet homme est un estropié, et je Te vois Te mouvoir là. Mais il est Ton serviteur, et cette main que je tiens a bien des fois été agitée aux pécheurs pour Ta gloire. Sois miséricordieux, Eternel Dieu. Et pendant qu’il est dans Ta Présence, se tenant ici, reconnaissant ceci, la dernière opportunité de sa vie pour recevoir, puissent maintenant les bénédictions de Dieu descendre sur Ton serviteur que voici. Et alors que je lui impose la main, j’ordonne au cancer de le quitter au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez en vous réjouissant maintenant. Descendez directement.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Très bien. Maintenant, que chacun soit respectueux au possible. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...veut louer le Seigneur avec lui. Il est guéri. Il vient de se rendre compte qu’il a... Oui, oui. Il veut louer le Seigneur à partir des marches parce qu’il est guéri. Béni soit le Nom du Seigneur Jésus.

            Nous Te remercions, Seigneur, pour Ta puissance et Tes serviteurs qui T’aiment. Et que ceci soit une grâce. Que notre frère prêche encore beaucoup de puissants sermons, et qu’il convertisse beaucoup de pécheurs à la Croix de Christ. Accorde-le, Seigneur. Alors que nous T’apportons des louanges au Nom de Ton Fils Jésus, nous T’offrons l’adoration de nos coeurs. Amen. Oh!

            Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,

            Conseiller, Prince de la paix, Dieu Tout-Puissant;

            Il me sauve, Il me garde de tout péché et de honte,

            Merveilleux est mon Rédempteur, gloire à Son Nom!

            L’aimez-vous? Que Sa paix repose sur vous, que cela soit sur vous avec grâce.

54        Très bien. Madame, oh! je devrais dire, ma soeur. Vous êtes une chrétienne. Ce désir que vous avez dans le coeur de recevoir le Saint-Esprit, vous–vous voulez Le recevoir, n’est-ce pas? Il y a des troubles qui vous ont causé... Vous êtes nerveuse depuis longtemps, n’est-ce pas? Vous êtes cependant sincère. Oui. Vous souffrez aussi du coeur. C’est... Vous avez toujours de la nervosité, c’est ce qui a causé cela. L’étouffement, quand vous vous couchez, c’est pire que jamais. N’est-ce pas vrai? Je vous vois au lit, essayant de vous tenir comme... Dites donc, quand je me touche... Oh! Chère soeur, vous avez plus que cela. Vous avez le cancer; c’est aussi sur le sein, n’est-ce pas? Oui, oui. Venez ici, soeur. Croyez-vous que Jésus vous a guérie il y a mille neuf cents ans? Acceptez-vous cela maintenant?

            Dieu miséricordieux, bénis cette femme. Puisse-t-elle recevoir le Saint-Esprit et être guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez-y, recevez cela, soeur, et soyez guérie. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que c’est merveilleux! Amen.

55        Eh bien, je ne suis pas une personne surexcité. Mais amen veut dire ainsi soit-il. La Bible dit que l’assemblée dise amen. Ainsi soit-il: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ayez donc foi. Ne doutez pas. Croyez. Tout est possible à ceux qui croient. Amen.

            Combien n’ont pas de cartes de prière? Faites voir les mains. Oh! Un grand groupe parmi vous. Très bien. Croyez-vous?

            Très bien, soeur, votre grande foi vous a guérie pendant que vous étiez assise là. Descendez de l’estrade.

            Disons: «Gloire à Dieu!» C’est comme ça qu’il faut recevoir cela. Nerveuse, la nervosité ... Que c’est merveilleux! Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ne croyez-vous pas cela? Amen.

            A quoi pensez-vous, soeur? C’est merveilleux, n’est-ce pas? Vous vous intéressez aussi on dirait à cet enfant, n’est-ce pas? Hein? Vous en avez deux, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? N’y en a-t-il pas deux parmi eux là? Très bien. Très bien. Croyez–vous? Très bien. Que Dieu vous bénisse. Recevez votre guérison. Amen.

56        Papa, qu’en pensez-vous? Le prédicateur là vient d’être guéri. N’est-Il pas merveilleux? Vous vous sentez mieux maintenant, n’est-ce pas? Votre ami là veut aussi être guéri, n’est-ce pas, celui qui est assis à côté de vous.

            Regardez par ici, monsieur, juste un peu. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous aimeriez que cette grosseur quitte votre nez, n’est-ce pas? Amen. Levez-vous et recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Qu’en pensez-vous, madame, assise à côté de lui? Croyez-vous aussi de tout votre coeur? Très bien. Vous souffrez de la gorge, n’est-ce pas? Levez-vous et recevez alors votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Cela fait que le groupe entier soit guéri. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que chacun croie. Ayez foi en Dieu.

            Venez, soeur. Oh! la la! L’anémie, le diabète, la maladie du coeur. Allez et soyez guérie, soeur, au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» C’est vrai, ayez foi en Dieu.

57        Monsieur assis là, votre maladie du coeur est guérie. C’est vrai. Le troisième homme assis là. Levez-vous. Vous souffriez du coeur, n’est-ce pas? Cela vient donc de vous quitter, monsieur, tout à l’heure. Rentrez chez vous et soyez guéri maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Ne doutez pas, ayez foi.

            Très bien. Venez, monsieur. N’aimeriez-vous pas être guéri de cet asthme? N’aimeriez-vous pas en être guéri? Allez-y, croyez au Seigneur Jésus-Christ et recevez cela. Disons: «Gloire au Seigneur!» Ayez foi.

            Venez, madame. Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu a envoyé Son don pour vous guérir? Croyez-vous? Très bien. Vous avez besoin d’une transfusion sanguine depuis le Calvaire. Vous êtes anémique. Allez de l’avant et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ. Ça y est. Ayez foi.

            Venez, madame. Regardez par ici. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Croyez-vous? Votre maladie du coeur vous a donc quittée. Rentrez chez vous et soyez guérie au Nom de Jésus. Louange soit rendue à Dieu!

            Jeune homme là derrière, voulez-vous être guéri de cette tuberculose? Le voulez-vous? Levez-vous et acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Amen.

            Disons: «Gloire à Dieu!» Très bien.

58        La dame est sourde. Inclinons la tête. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur la femme. Toi qui es mort pour racheter, Toi qui étais blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, le châtiment qui Te donne la paix... qui nous donne la paix est tombé sur Toi, et c’est par Tes meurtrissures que nous avons été guéris. Toi qui chassais l’esprit de surdité et cela T’obéissait, ô Eternel Dieu, écoute cette prière de Ton humble serviteur et je Te représente ici ce soir dans la puissance de la guérison divine. Ecoute la prière de Ton serviteur, et que ce démon qui retient la femme, qui la secoue, sorte d’elle.

            Toi démon, quitte la femme. Au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle. M’entends-tu? Très bien. Vous avez eu des complications et autres qui clochaient chez vous. Pouvez-vous bien m’entendre maintenant? Pouvez-vous m’entendre maintenant? M’entendez-vous maintenant? Vous êtes guérie. Descendez de l’estrade et soyez bien portante. Vous êtes guérie.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Très bien, venez, madame. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Croyez-vous? Vous avez souffert de reins ça fait longtemps, n’est-ce pas? Descendez de l’estrade et soyez guérie. Jésus-Christ vous guérit.

            Disons: «Gloire au Seigneur.» Amen. Il est ici pour guérir. Croyez-vous cela? Ayez foi.

59        Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Si vous croyez, vous pouvez rentrer chez vous. Vous n’aurez plus à perdre du temps avec votre civière et votre brancard. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Amen. La voilà. Ôtez la civière du chemin. La voilà. Très bien. Croyez-vous en Jésus-Christ? Ôtez son brancard, car il y a quelqu’un d’autre assis là qui est prêt d’être guéri.

            Soyez respectueux. Regardez par ici. Croyez de tout votre coeur.

            Très bien, monsieur. Croyez-vous? Votre maladie du coeur vous a quitté. Vous pouvez descendre de l’estrade. (Qu’il soit notre dernier, et ainsi de suite). Descendez de l’estrade étant bien portant.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Regardez là, vous qui n’avez pas votre... regardez par ici.

            Qu’en est-il de vous, monsieur, assis là souffrant de l’estomac? Levez-vous et soyez guéri au Nom de Jésus.

            L’homme à côté de vous souffre des hémorroïdes, n’est-ce pas? Levez-vous et soyez guéri au Nom de Jésus.

            La dame qui souffre de l’arthrite, si vous voulez croire au Seigneur, levez-vous et soyez guérie au Nom de Jésus.

            A tout le reste d’entre vous, croyez-vous en Lui? Qu’en est-il? Il est ici. Levez-vous. Levez la main. Acceptez votre guérison.

            Satan, au Nom de Jésus-Christ, quitte ces gens.

E-1 Thank you Brother Baxter. Thank you Brother.
[Audience claps--Ed.]
Thank you so much for that welcome. I feel real good about that. I was kinda surprised to see Brother Upshaw.
I'm just a little shorter than Brother Baxter...?... It's indeed a great privilege to be here tonight.
I just heard this afternoon some more good news, my wife may come up during this meeting. And--and I hope that she gets here. I say we don't, we going miss them. Thank you. Thank you.
If there's any credit to go the Branham family, let it go to her. She's the one deserves it. Thirty years old and gray headed. She's seen the trouble. When my phone there I've... At times I've seen when we had, that ant--average as many, sixty-four long distance calls an hour, day and night, and the people at the door and so forth. She's had an awful time. But God has blessed us, and we're happy to be serving Him.

E-2 It was indeed a surprise to see the congressman here tonight. I shall never forget his healing. I feel that that... He was the one that the Angel of the Lord was referring to when He met me and said, "You'll pray for great men, statesmen, kings of the earth." How could I ever believe that I would be praying for people like that. My first shock was when King George of England sent me a cablegram, come pray for him to be healed of his multiple sclerosis, which God did heal him. I was...
Then the night when I never knew Congressman Upshaw, when he was running... He run for president, I think in about 1919. And I think he was something in the state of Georgia where he come from, senator or something in there. He's been a internationally known man, served in the congress and retired in congress.

E-3 And one night I walked into the Temple. And I knew no one, just as I know here. There was the wheelchairs lined up through there, why, just as they are tonight.
Someone today, a business man was sitting, wanted to know why that that lady last night was healed in a wheelchair, why didn't I heal somebody else in a wheelchair?
I said, "I never healed her, and I don't heal no one. Jesus Christ healed her by her... the merits of her faith. And I saw it done and I told her about it and that's all." I said, "I could tell everyone of them, if He would show me. But I can only do as He tells me to do."

E-4 And I never heard in my life of this gallant man, Mr. Upshaw. I... You know in my talk that I'm uneducated. I was raised in a big family of ten children. I got not even a grammar school education. Seventh grade was as far as I got in school. I had to go to work, take care of nine children. My father wasn't very healthy, died young, and I had to work. I never got my education, I would've knew mister Upshaw.
Well, one night I walked into the building, and I seen a vision. All the wheelchairs was setting there. I looked, and I saw a young man in his teens, fall; he hurt himself. He fell on a hayrack or something. That's all I could say, knew of. I seen him in a high place, wore a strange looking collar, looked like the same man. Somebody was applauding to him. That's all I knew.
Somebody said... Brother Baxter said, "You know who that was you seen?"
I said, "No."
Said, "That's... Did you ever heard of Congressman Upshaw?"
I said, "No, sir."
Said, "He's setting before you. That's him."
Then I looked, and I said, "That's the guy. That's him setting there."

E-5 I went ahead and I started to look to see what would happen. I seen a doctor standing like that, thin doctor, wearing great big tortoise shell glasses. And he had one of those things out in front of his head that--glass like that they look into the mouth. I seen him shaking his head like that, and said...
I looked down, there laid a little colored girl laying by him. He had taken her tonsils, and it paralyzed her from her way--or from her throat down. She was paralyzed. I looked at the little girl, and I said, "I see a doctor. He's operated, taken the tonsils from a child, a colored child who's paralyzed."
I looked around this a way, and I heard someone weeping. I looked, laying down to the right was an elderly colored woman there, weeping like that. She said, "Good Lord, that's my baby."
I looked laying there; I said, "Yeah, that's the baby. It's about two years since it's been, hasn't it, mother?"
She said, "That's right."
I said, "I imagine by the looks of it, it's about two years ago."
She said, "That's what it's been."
I looked back around this a way and called another to the line. And I happened to look; I seen a path going like this, or it turned out to be a street. I seen that little colored girl going down the street with a doll on her arm. That was it. Said, "All right, mother. It's over. Your baby's healed." There it was. See?

E-6 The Spirit of the Lord come into the audience and just sapped my strength. And just as I started to go down, my brother run to me to catch me. And I looked; I seen Congressman Upshaw. And he'd been in meetings ever since he was a lad when he first fell and hurt himself. He wanted to be healed then by God. He listened to Mr. Roberts; he'd been in Mr. Freeman's meetings, Mr. Ogilvie, and many of them had prayed for him.
Friends, I've got something to say along them lines after a bit. No matter how much faith you have, it'll never change the predestinated will of God. It's got to be by vision to see what happens.
And as it started out, I seen him in a brown suit going down the street, tipping his hat to people like that. I said, "Congressman Upshaw is healed in the Name of the Lord."
There, after laying, been a crippled for sixty-six years, laying on a bed for many years, and rolled around in a wheelchair... Sent people through college by selling books on the streets, that's now in our government; and served his time as a gallant man, as a great man, as a statesman, and congressman of our United States of America. There, that man, for the first time since sixty-six years, threw aside his crutches and was perfectly whole. He minded what the Holy Spirit said do.
There setting by his side was a woman, had arthritis just a few years, screamed, who said, "What about me?" How could I say? What could I say to her? The Father had to show me, first.

E-7 And Mister Upshaw had heard enough of it before. He said before he come into the meetings that he knew that--that it wasn't me. That what God said, through there, he had faith to believe, for he'd seen others. And here's Mr. Upshaw and his wife setting here tonight to listen to this testimony, which is the truth. God... [Brother Upshaw interrupts--Ed.]
And he says, "Let's praise the Lord." Amen. That's... And here he is just as--at eighty-four years old, just as lively as any child.

E-8 Now, for any of you people, I'm... And concerning healing, I have told you many times, I can do nothing until the Father shows me what is done.
Someone said, "Brother Branham, why don't you call the people up and just pray for everyone of them." That's all right. I can do that. That's all right. That's not exactly the way that I carry the meetings. I carry the meetings according to the manifestation of the Spirit of God that's given me to minister to the people. Now, we do the best that we know how, to minister to them.
And now, before I go any farther, I want to read some Scripture in conformation of what I have just said. I want to read from Saint John 5, you that wish to mark them. And I... I want you to listen closely now.
Now, my words is the words of a man, it will fail. But God's Word, is the Word of God which cannot fail. How many believes the Word of God is true and infallibly the truth? Thank you. Then that... It might be misunderstood, I will read about Jesus. This is in the early part of His ministry, He was declaring Himself before the people.
After this there was the feast of the Jews; and Jesus went up to Jerusalem.
And now there is at Jerusalem by the sheep market a pool, which is called in the Hebrew tongue Bethesda, having five porches.
In these laid great multitudes of impotent folks... blind, halt, withered, waiting for the moving of the water.
For an angel went down at... certain season into the pool, and troubled the water: whosoever then first after the troubling of the water stepping in was made whole of whatsoever disease he had.
And a certain man was there, which had an infirmity thirty and eight years.
...Jesus saw him lie, and knew that he had been now a long time in this case, he says unto him, Wilt thou be made whole?
The impotent man answered him, Sir, I have no man... to put me into the water: but while I am coming, another steps down before me.
Jesus said unto him, Rise, take up thy bed, and walk.
And immediately the man was made whole... [Blank.spot.on.tape--Ed.] took up his bed and walked: and the same... was the sabbath day.
Now, I want you to read that whole chapter. But I want to read the 19th and 20th verse.
When he was questioned...
Now, I'll get to the verse just in a moment. I want you to watch the scene. And now, please give me your undivided attention on these lines, so there will not... It'll brush away superstitions and thoughts that should not be.

E-9 Jesus was the virgin born Son of God. We believe that. If we're Christians, we have to believe that He was virgin born. And I believe the Holy Spirit overshadowed a little girl, Mary, and created that Blood cell in her womb that developed into the Son of God. And I believe that God was in Christ reconciling the world to Himself. For he said, "It's not Me that doeth the works; it's My Father that dwelleth in Me."
And now, He came by this pool in the beginning of His ministry, which was at the sheep market. We wouldn't have time to go in, 'cause you readers know what the sheep market, the pool was there at Bethesda, had five porches where the sheep came in from different parts, and the pool... to the pool.

E-10 And now, there... Some people thought these people that waited there was superstitious. There was an Angel came down and troubled the water; that's chopped the waters; it's very dangerous water. And the first man stepping in with faith was made whole of whatsoever disease he had.
Now, let's watch the picture. And around this gate now laid great multitudes.
Now, what would you think consisted of a multitude? Now, we're told that a multitude consisted of two thousands. And multitudes was in the plural, great multitudes. Now, there's probably, let's say ten thousand people. Maybe they was more. But at least from five to ten thousand people we'll say.

E-11 Now, let's look what kind of a group that was: of lame, halt, blind, withered. What a--a mass of disfigured humanity, waiting for the troubling of this water. Historians tell us that they'd even fight to get into the water, cut each other with knives to try to get ahead of the other one, to step in to see if their faith was sufficient to make them whole.
Now, Jesus passed by this pool. Now, Jesus never dressed Himself any different than any man of His day. He never wore His different... to make Hisself known.
The Kingdom of God is not the way you wear your clothes; it's what's in your heart. You don't have to turn your collar around, or be called doctor or reverend. It's what you are in your heart.
Jesus was a common ordinary looking Jew. And He passed through the people, and they--they'd get mixed up. They wouldn't even know where--where He was. He just walked right out. He wasn't dressed any different. Wasn't nothing queer about Him in that manner of His garb, make-up.

E-12 And He walked in, and He knew a man had been laying there now for thirty-eight years, had an infirmity. Now, look. There was lame, halt, withered; and here laid a man with an infirmity, a disease. Maybe he had TB. Might've had high blood pressure. He might been anemia, heart trouble. But he had an infirmity for thirty and eight years. He wasn't bound on a cot, or a bed, or in a chair. He said, "While I'm coming down to the water, somebody that's better off than I beat me to it."
And then the Angel, as soon as the first person was healed, all the virtue of the Angel went off the water to the person, and left. And they didn't wait just for another day: until another season. Might be a month. But they waited.
We can't wait for one night to another. If we don't get prayed for the first night and healed, there's nothing to it. That shows how times have changed, and what a bunch of neurotics in the age that we're living in. The Bible said it would be this a way. And we're here.

E-13 Now, watch this. Jesus knew this man had been laying there for a long time. He knew nothing except the Father showed Him. And He went by and healed this man, and walked away from that multitude of crippled, afflicted, and suffering humanity; and walked away from them.
Could you imagine, that... Do you believe Jesus had compassion? Do you believe He was full of love? Sure, I believe that. But these things that go with that, that ninety percent of the Bible readers go over the top of it. They fail to see the true of it. Sure He was full of love.
And it looked like, that if He was so full of love, as we know He was, and seen those people laying there withered, twisted, and drawed up, blind, crying, no way to make a living, just begging and... Looks like that lovely Son of God would've walked over and said, "Now, blind man, receive your sight. Crippled man, you've been laying here so long, rise up. And mister, you with the withered arm, why don't you rise up."

E-14 Instead of that, going to a man that was just sick, and had lived an ordinary life with an infirmity for thirty-eight years. That looks strange, doesn't it? You couldn't hardly understand that. Now, I want you to remember that word, "couldn't understand it..." if the Scriptures didn't declare it later.
The Jews questioned Him. Now, listen what He says in the 19th verse.
Then Jesus answered and said unto them, Verily, verily, I say unto you, The Son can do nothing in himself, but what he seeth the Father do; for what soever things he doeth, these also doeth the Son likewise.
For the Father sh... loveth the Son, and showeth him all things... himself doeth: and he will show him greater things than this, that you may marvel.
Now, notice. Why didn't Jesus heal the withered there? Why didn't He heal the afflicted? Why did He heal a man that just had, maybe a stomach trouble, or--or something, and leave the rest of them there? Because His own Word says, "He could do nothing unless the Father showed Him." Is that right? Well, isn't He the same yesterday, today, and forever?

E-15 Someone questioned me today. Said, "Well, if you can see all things..."
I said, "I cannot see all things."
He said, "Well, you--you... That one woman setting there bound in the wheelchair, you told her to rise up. And here set a whole big bunch of people setting in front of you, why didn't you tell them to rise up?"
"How can I, except God shows me?"
Said, "Well I had an aunt setting back there. She had heart trouble. And you healed a man setting there with..."
I said, "Brother, I did not heal no one with heart trouble. Jesus Christ healed that man by his prayer. And I only seen it done." Now, He heals the cripples.
But people these days... Jesus said, "A weak and adulternous generation seeketh after signs." Is that right? "Except you see miracles," Jesus said, "and signs, you won't believe."
Now, there's cripples been healed. But the thing of it is, I want to get to you cripples, ninety percent of the people that's crippled, when the doctor says, "All right, you're setting there for life," they can't help it. Way down in them is something that frightens them and tells them that's going to be the truth. And you're afraid to let yourself out.
Well, you're not hopeless, no more than a man with heart trouble. I stand and look at the cripples, and see what's wrong with them and different things. It's true. I can see that, or anything of that type.

E-16 I never speak and say, "This man, this boy here fall and died, and hurting himself, and so forth like that, and bursting up his spine, and everything." He knows that. And the crip... The people here see them and know they're crippled, and arthritis, and heart, the things like that. They see that.
But what does... The power of God is, is when a man standing here looking healthy, and you tell him what's wrong with him, when to the natural eye, he looks all right. The natural eye can see the man's crippled. See, maybe his leg's bent up, or his... Or see the man setting there blind with a cane, or he's walking to and somebody leading him, or... You know he's blind. But the thing, the people look healthy.

E-17 Oh, Christians, pinch the inside man now and wake up to the reality, that Jesus Christ is here to manifest Hisself to you. And His present attitude now is just the same to you as it--as it was to them back there. But He could only do as your faith will vindicate, or your faith will go to the Father and accept what He has already done for you.
Now, to you crippled people. There isn't any of you here as bad off as Congressman Upshaw. He was sixty-six years crippled, wheeled in a wheelchair, laid on beds, helped out and went with crutches. I never seen him or heard of him in my life, and God knows that's true. And here the man is tonight, standing before you, perfectly whole. See?

E-18 The congressman with a spiritual wife instructed in him, and say, "You believe." And him, being a spiritual man himself, believed. And when he saw the operation of the Spirit, he within himself, he said, "If God will only answer my prayer, and let the brothers see me, then I believe."
No matter how many men had tried to cast out and push up, and take the crutches away, that's only... Why, I can walk down there and try to pick somebody up off a wheelchair, say, "Stand up, hold up, hold up, do this." That's just a act of faith. That's all right. If that'll help you, go ahead. Let somebody do it.

E-19 But for my part, when I tell you to rise from the wheelchair, you do what I tell you, you're going to walk. That's--that's all there is to it. For I'm not going to tell you till the heavenly Father shows me that you're healed. And you do what you're told. When you're hear at the platform, and It tells you what to do, you go do it, and you'll get well, because It's not me.
And it never has one time in the literally hundreds of thousands, failed one time. It can't fail with you. But It's not me; It's He that does it. See? Not me, It's He. I only speak, 'cause I don't speak myself. He speaks through me. And that's mostly where...

E-20 Now, God shows visions. I want some of them, if they will, to call my time. I... Maybe I can see the clock. I'm not sure. Five after? Thank you. If I can... Why, I don't want to go too long. I want to get a--a little story to you, each night, a little testimony. Then it's a little cooler tonight, which we're thankful for it.
And dear Christian friends, I may be having my last American meetings for all I know. I'm going overseas now. And I feel the call to finish up my journey overseas in Africa, and the different parts of the world. I don't know when I can be back again. It'll only be through the will of God, and whatever He shows me to do. And I love you. And I know someday I must stand at the judgment seat of Christ to give an account for the things that we've done in this life.
Now, to--for something that maybe some people here has been in the meetings and know this. And from henceforth out, I will try just to give a testimony when I come to the platform, and then leave.

E-21 And in giving out the prayer cards of the day... Your prayer cards don't have nothing to do with this, only just a number to keep you lined up. They try to... I ask my boy...
At first, we would send the prayer cards to the minister. First, I wouldn't have any at all. I'd say, "All who wants to be prayed for, come up." Oh, they would be have a fight, who's going to be in the front lines; 'cause I only get to so many, and who was going to get in.
We had to do something. We give prayer cards. Then we thought, "Well, first come, first served." And the first day there, we just handed out all the prayer cards we could. If anybody else come in a little late, they were out. And just those who got the first hundred or two, was the only ones that got prayed for. If a man come in with emergency case, he--he couldn't come in before someone else, 'cause he'd beat them out.

E-22 Then it got so, we'd give them to the ministers. Well, then... And say each minister, send him two hundred, and next minister two hundred, all the cooperating ministers. And that even caused them to lose members of their church. If someone give a member a prayer card, and didn't give it to this other person, and then the first minister got his group in; time his group got ministered to, the rest of it was finished--the service was finished. That caused trouble.
And the only way successfully we've ever found of doing it, is to take a group of cards each day, and go down there. No matter if you've been there a dozen times, or if you've been there... And then we would take them and give them out, fifty cards. Start from number one.

E-23 And if you couldn't get up for past ten or fifteen, they say, "I don't want it. I won't be called anyhow." See? 'Cause that's about all I could get to in one night. Maybe sometimes not over one or two. And people misunderstand it. And letters flow in. "We don't get prayed for."
Our Master went into a city, and healed one man, and walked away from the city. Isn't that right? And if He's the same yesterday, today, and forever. See what I mean?
Now, then we figured this, and the Lord one night revealed it to me. Said, "Go down and give out a group of cards. And then when you do, let no one know from where, and go walk up to the platform." And whatever He puts on my mind, that's where I start from. And that gives everybody a fair chance every day to come in.
And the prayer cards, there's more healed out in the audience than there is on the platform. You know that's true. So the prayer card don't have nothing to do with it. I ask each night, How many hasn't got prayer cards." And I try to watch over those people to see what the Lord will--will show me concerning them, and they'd be healed.

E-24 Now, it's the prayer, your prayer, your prayer. Now, remember, if you're going to be healed, don't think that somebody that's got a gift of Divine healing heals you. If you're going to be healed by Divine healing, you are the one that's got the gift of healing. It's your faith in Christ, not this person, or no other man. It's your own individual faith in Christ. How many understands that? That's the truth.
I couldn't do nothing. I could pray for you. Or your neighbor can pray for you. But it's your faith that does the healing. You accept yourself, individually, what Christ has done for you. You lay hold on it, and it's truth.
Now, the only thing that this does, sometimes corrects a man's life.

E-25 I don't know, they told me... (Oh, it seems like a dream after the meeting's over, when the anointing comes.) about a man who came here last night on the platform, and the Spirit of God went out to him, and told him that he was some sort of a critic, and had been criticizing me. And the manager and them told me, the... My boy says the man humbly reached out his hand and apologized, and said it was the truth. Is that true? Then he made it right with God, and went to his place. Said a deaf woman got healed, and so forth; and a woman in a wheelchair, and different things. They tell me. When they go to talking about it, I--I began to... It seems like it's way back. I can think of it.
Last night going out, I could hear someone calling me. I couldn't tell where it was. And I had nothing to do with it myself.

E-26 Now, here's how it happens. Now, for the next few minutes: While I was at Houston when this picture was being taken, Doctor F. F. Bosworth, one of the finest old men there is in the world... I'm anxious for Congressman Upshaw to meet him.
He's going with me to Africa, Mister Bosworth. We want to see him finish his ministry and finish his course with great joy. And he's going to Africa with us. I love him with godly Christian love.
And he came into my room, he said, "Brother Branham looky here." Just about a night before this picture was taken. And there he give me the picture of Miss Florence Nightingale, a great-great granddaughter of the late Florence Nightingale from England, that went down into Africa. And she was dying with a malignant growth over the...?... of the stomach. And they held up her picture.

E-27 And I thought Georgie Carter, my piano player at the Milltown Baptist Church in Indiana, was the thinnest person I ever seen. She weighted thirty some odd pounds, with TB, and been nine years and eight months on her back. And a hour from the time that the Holy Ghost showed me where she's at and to pray for her, she was playing the piano again. And she's my piano player there tonight. Six, seven years ago, she's just as healthy as anybody.
But this woman was almost six foot tall, Georgie was a little woman. This woman was about six foot tall and weighed around thirty-five or forty pounds. And they had her standing up, holding her, and her body with just a small clout around her. Even as hard hearted as I am, it broke me down to tears. And I...
She's begging me, "Brother Branham, the last call. Please fly to Africa right away." Said, "I believe if I could just see you, God will heal me." Now, she did not belong to a fundamental church. Then... But she had faith.
All the faith don't lie in the fundamental church, or don't-- lies in the Pentecostal church, or the Holiness church. It lays in an individual. I've seen a Roman Catholic come to the platform and be healed miraculously with things. And different people...

E-28 I've seen in Winnipeg, Canada, a Buddha worshipper, a little blind boy converted at the platform. I said, "You being blind, do you believe."
He said, "If Jesus Christus heal me tonight, I'll worship no other God but Jesus Christus." And his eyes come open. There you are. Buddha...
I expect to see Indians and Hindus in Africa, and Hottentots brought to the saving grace of Jesus Christ.
Listen. I prayed, and I said, "God, I can't go down there now unless You lead me. So I ask Thee, Lord, if You'll heal that woman, that'll be a green light."
And Brother Bosworth kneeling with me, said, "Go to Africa." Brother Baxter doesn't know about this even.
And we joined hands there, Brother Bosworth and I, and my wife, and little girl. And we knelt down and prayed that God would heal the woman. I commit it to the Lord, and let it go. I never knew nothing about that, left it go.

E-29 And when Brother Baxter and I, and all of us arrived in London, Brother Baxter and I were going in, which he's listening... setting here listening at me now. When we were going in, I said, "Well, it'll be peaceful here for awhile."
So I started up, and they paged me. And when I got there, I was wondering if it was the king's call to come to the Buckingham Palace, or what it was, immediately.
But what it was... [Blank.spot.on.tape--Ed.] There was a lady had just flown in front of me from Africa, and they couldn't hardly get her out of the plane: Miss. Florence Nightingale. How she knowed I was to be there, I don't know yet. And I told this minister, I said, "Take her somewhere, and I'll see you in a day or so." We wanted to go down to the palace.
So he said, "If she lives that long." Said, "Brother Branham, she's dying."

E-30 So they got her down to the place, and that day when Brother Baxter and I, and Brother Lindsay, and Brother Moore, the managers, we went down to the place. The minister came and got us, and we went up to the place to pray for the woman. When I walked in that room, friends, I--I--I can't tell you how I felt. There laid a skeleton a breathing.
Now, I'm in a mixed audience. Now, you listen to your doctor, and I'm your brother. Now, please understand me in the right manner. When they brought down the cover, Brother Baxter turned his head.
And she wanted... Now, she couldn't talk to me, and I had to get down and let the nurse say what she was saying. And where enough moisture was coming to make tears rolling down her cheeks, I don't know. She wanted to die. She wanted me to ask God to let her die.

E-31 Well, I took a hold of her hand, and it cold pi--just like bones. Her head here, the skull, how it goes together, you could see the places. Her eyes way back. And on her breast, as a woman, it wasn't, sunk down into her ribs. And when they pulled the cover down to here, her bones... her legs up here at the place, at their sockets, was just about that big around.
They couldn't even find any veins to inject glucose or nothing. She hadn't eat for months, could swallow nothing. They had to put the water in her and so forth. And now, they couldn't find the veins to feed her. And there, the ring of her hip bone had growed together, and the skin from both sides of the ring was sticking together like that. You never seen such a sight in your life.
I knelt down, and I said, "Heavenly Father, have mercy." I told her, I said, "I'm under no anointing; I've just come down here. But I'll pray, but not for you to die." And I started praying. And she said, "Could you...?..."
I was going to get down close, and the nurse said, "She said, 'Brother Branham, I've always believed if I could get near you, God would answer prayer.'" If I was a hypocrite, God would reward such faith as that. That's true.

E-32 And when I went to pray for her, just as I started praying... Brother Baxter here is one witness. As I started to pray, a little turtledove flew at the window, begin to go, "Coo, coo, coo, coo." And all...
I started down. I said, "Our Father, Who art in heaven..."
The little turtledove started going, "Coo, coo."
I said, "Hallowed be Thy Name."
He said, "Coo, coo," walking back and forth.
And when I finished my prayer, and said, "Amen," and asked for her healing, the little turtledove flew away.
The ministers remarked. And when I started to tell the woman to console her, the Holy Spirit spoke and said, "She's going to be well." And today, she weighs a hundred and thirty-five pounds in perfect health. There's a green light in Africa burning.

E-33 We went from there to Helsinki. (And I'll have to hurry, just get part of this.) Before leaving, I was at... One night, the Holy Spirit appeared to me in Miami, Florida. I seen a little boy killed by an accident and laying in a rocky looking land. And oh, at the condition that child, he... I described him. And many you people here might know it, as I--I speak of it.
And I asked it... Went over to the tent, and I said, "There's going to be a little boy somewhere's going to be raised. It's a rocky looking ground. He's got brown hair, kind of bobbed off. He's got little bitty short panty-waist trousers on. His feet's going to be run through his socks, and he's--he's all mashed up from an accident. And he's going to be dead. And the Lord is going to bring him back." I said, "THUS SAITH THE LORD." I said, "All of you write it in your Bibles, and it'll appear in the Voice Of Healing. And one of these days, when, I don't know, (because the vision lasted some two hours.) it'll be some time."

E-34 And I guess this is one of the dozens and hundreds of things that He has shown. I take any person to the record, if every one of them hasn't come to pass.
Then when... About two or three nights after that, they took me back behind the tent, said, "A little boy's laying back here, come see him." The little boy was drowned; about five years old, real coal black hair, well... I said, "No, that's not him." I offered prayer for consolation, and went on.
I come up through the Western country, down through Canada. And I told it everywhere in my meetings. I said, "Write it in your Bible. There's one vision that yet hasn't come to pass. It's a little boy that's going to be on his road to a undertaker establishment or something, and God is going to heal him. I'll be there. It's in a rocky country, lots of trees. And the little boy's about eight or ten years old, a little flat faced, and brown eyes." And I said, "He got bobbed looking hair like a girl's hair like. He's very poorly dressed."

E-35 How many remembers me saying that? Is there anybody here that remembers? Here's one man putting his hands up here. Yes, another one over there. That was way before (See?) it come to pass. Back in there, yeah, I see your hands. All right. That was nearly a year and a half or two years before it happened.
One day when we went to Helsinki, then we went up to Kuopio. It was fast time--I was fasting and praying.
They sing, the Russians and all, some of them were there, and the Finns. They sang a beautiful song, "On Golgotha." And all their songs are in minor, very sad. There was an Englishman down at the bottom below the tower, drunk. We led him to Christ when we come down.
I said to--to brethren, I said, "There's something strange going to happen. I feel that the Angel of the Lord is near, and it ain't even time for the meeting." We was having marvelous meetings. Thousands, they stood for a half a mile, about five or six city blocks, just as far as they could stand at three o'clock in the evening trying to get into the Messuhalli, which was then seated at twenty-five thousand or better. So then, waiting.

E-36 And when you pass by... You could pass by them and the tears would be just dropping off their cheeks, just in respects, they would stand like that. Lovely... Oh, my.
We got it easy over here. We got... We're well fed and clothed, and have need for nothing, as we think. Brother, they could teach us Christianity. They have to pray and hold to God for everything they get. We'll get an economy someday if we don't straighten up our living in this country.
I'm American, born here and generation after generation. I flew over the grave of many dead Branham laying in Germany and France, and through there, that's died in the wars. And if be my call tonight, I'd die freely for my country. But she needs some straightening up. That's exactly right.
We talking about revival, and we ain't had no revival yet. We've had a lot of protractive meetings, but a revival's when they tear down the--the sheds and go to praying and get right with God. An old fashion, back woods, sky blue, sin killing religion preached that makes people get right with God, that's what we need is a revival, not a church joining. Amen. I don't know why I said that, but I've already said it.

E-37 Notice. All right. And those people, lovely. And when we came down, I kept telling brother, "Something's going to happen." We come down the hill. And down below, a car was going swiftly.
Not many cars in Finland. Second-handed Fords sell for about four thousand dollars, gasoline about a dollar and a half a gallon. Very few cars there, you see one a sparingly.
And a car wreck, American made '35 model Ford, green, had run down through some school children. Two little boys started this way. They tried to run back. One went one way and one the other. And the bumper struck one by the chin. He started this way.
When the driver whirled his car to the right, struck him by the chin and threw him down that way, rolled him over and over, hit the curb and up against a tree and concussed his brain. And the other little fellow, it knocked him right in front of him, hit him with the bumper, rolled over him, run over him.
And the car was driving about sixty miles per hour. Rolled him up under the back, and kicked him plumb up in the air when he went out like that. And he fell like a sack on the ground. Think about a dog being hit like that or something.

E-38 Quite a while, a few minutes, fifteen minutes before we got to the scene. The little boy was laid out, dead. Brother and them went over there and looked at him. I couldn't look at the child. It--it just...
Brother Lindsay came back. Many of you know Brother Gordon Lindsay. Brother Baxter, I don't think... No, he wasn't at the scene. Brother Baxter never went up with us. He was taking a walk, he and my brother. And when I got there, I...
Brother Lindsay come back crying. Brother Moore come back crying, Sister Isaacson, the interpreter...
Well, I didn't know what to think. And finally, I took a look at the boy. And I started weeping. I got a son here. And I thought, "Way away in America, my boy." Now, if I hadn't been all excited, I'd have recognized it quickly. But I turned away. It covered his little face. And I...

E-39 Looked like Something just laid Their hand on my shoulder or something. And I turned around, there's nobody there. I thought, "Wait. What's this strange feeling?" I waited just a few moments. I said, "Let me see that boy again." And they raised the--the thing back from over him, and there he was laying there. And I said, "Ask the ministers if that boy's ever been in a church."
"No."
"Do they know him?"
"No."
I said, "I seen that boy somewhere." I looked at him again. I seen his little foot run through that sock. I looked around, I seen that rugged country. I said, "Here he is."
I said, "Brother Moore, look in your Bible."
Said, "What do you mean?"
I said, "Look on the fly leaf, you and Brother Lindsay. THUS SAITH THE LORD, there's the boy that I seen in America. That boy will be alive in a few minutes." You'll never know how you feel when you know where you're standing. That's right.

E-40 Said, "Is that the boy?" Brother Moore looked over the fly leaf in his Bible where many... I asked hundreds and hundreds of people to write it in there. He said, "Brother Branham, that's the description exactly."
I said, "That's the boy." All right. They gathered, knelt down. I said, "O Eternal God, way in my homelands in America, one night You visit me and showed me this rocky country and this little boy. And here he lays here dead, waiting for his father and mother to come to hear this sad news." I said, "You Who separated me from my mother's womb and sent me to see these visions, now, Almighty God, speak; and death, you go hold him, I call for his life in the Name of Jesus Christ Who showed the vision."
And the little boy screamed, jumped on his feet, and is as normal and well as anybody there is setting in the building here tonight. That touch came in like a streak of fire.

E-41 That night when they tried to bring me to the meeting, why the... They was packed so far down the street, the officers, police patrol, army officers had to come and get me from blocks down the street. Coming in, I'll never forget.
I will have to hurry, just one more thing. And I'll finish up about the other boy tomorrow night.
I was going into the room, two Finnish soldiers behind me and two in front of me pushing me along. And I went into the room, and they... The auditorium was packed. Oh, my. And up and down the streets, and they had tents around everywhere. And I've got some of the chief men of the city, which we'd call mayor, wrote up in their books, signed by his own name, witness of the power of Almighty God to raise the dead.

E-42 Now, that's three times that I've seen that done. Maybe I can get to it later when Mrs. Hattie Waldorf here in Phoenix, and Ralph Perry at home. Now... That I mean's been pronounced dead, laying out... This boy, when I started in...
I was going to the little room, and I heard a door shut. And there was the ladies dormitory rest room there, such as it was. And when it stepped out, the most pitiful sight I ever seen in my life. It was a little girl.
How many takes that paper, "The Voice Of Healing"? You've probably seen her picture and know what I'm talking about. She had on a--a big steel thing around her like this, and one leg was a little shorter than the other. And she had no control of this limb. And she had a big shoe built on the bottom of this brace. And the brace was solid, not so it would bend the knee. It was solid. It come up around her and laced around. And there was a--a hook in the toe of her shoe, a strap come up and went over her shoulders and hooked the back of the brace. And then she had two crutches here that she walked on.
And she'd set the crutches out, and she'd swing her little shoulder, and that would set that limb out. And it not being quite grown, and no use of it, the weight of it flew upon this here (You see?) support. And she would hold and walk. And that helped her walk. She'd set that shoe down, she could make a step.

E-43 And the poor little thing standing there... And the ladies, if you knowed how they had to dress... The little thing was standing there, and little rags hanging from her little underskirt, and her little clothes all tore up. And I learned later, she was a little war orphan. Her father and mother was killed in the war, a Russian.
And she come out there, and she... little ragged looking hair. And when she seen me standing there, she looked and she straightened up like that, and bowed her little head. Oh, my, something just mashed down on my heart. I looked at the little thing. I... Oh, I just had the awfullest feeling. And that soldier said, "Mum, mum," pushing me on.
No... And I know she wanted to--she wanted to talk to me, only they'd been told not to bother her on the street or anything.
And I love those little old kiddies. I used to get them all in church. And when they was in the auditorium in the afternoon service... They give me some of that little old Finnish money, and I'd go out there and give it to them so they could buy their candies. And they would pull their little skirt out, and say, "Kiitos." "Kiitos" means "thank you." And they would holler, "Kiitos." And I'd have a line of kids from here back of the building following me along. I love the little fellows.

E-44 And she looked at me like that, and her little lips started quivering, and she stood still. And I motioned to her, come here. I knowed she wanted to come. And she came over to where I was. And she got over with her little crutch and her thing, she walked over. I wanted to see what she's going to do. And she took hold of my coat and kissed me on the coat, dropped it down, looked up to me like that and held her little crutches, pulled back her little skirt and said, "Kiitos." And the tears running down her little cheeks like that, dropping off. Oh, I... Looked to me like my heart would burst. I looked down at her, and I seen her healed. I knowed God would reward faith for that. I said, "Honey, you're healed."
And she couldn't understand me. They pushed me on in.
We had a great meeting that night. And the people, when they would see something being revealed out there, they'd just throw their crutches away and start walking on.

E-45 And that night, they just grabbed big armfuls. You seen it in the paper, of armfuls of crutches and like that, and sticks that the people was healed off of them. They would just have... Pulled them up beside of me, and Dr. Manninen and them when they taken the picture. And I said to my brother... He said, "We got to take you." He pulled me away.
And I said, "Just a few more." And God's wise providence, the very next card that was called, I heard something rattle and it was her. She was the next coming up on the platform. And here she come across. And I said, "Sister Isaacson," the interpreter, "just quote my voice."
She said, "Very well."
And I said, "Sweetheart, you're the little girl that met me out there in the hall." And she nodded her little head when the interpreter said so.
And I said, "Jesus Christ healed you, honey. You go over there and set down, and be taking off your brace. And just when you... when your brace comes off, let your little hand slip right down like that. You're healed." I said, "I saw you in a vision. You're healed." She walked over there. The ushers begin to take the braces off of her. And just as they...

E-46 I begin to pray for another woman that was standing there, had come up. Just then I heard a scream. And I looked, and here she come across the platform, braces, crutches over her head, and running just as hard as she could run. Like Congressman Upshaw, perfectly whole. Made well.
What is it? Jesus Christ, the same yesterday, today, and forever. His power is unlimited. It's limited to your faith. Do you believe it? That's confirmed amongst thousands times thousands of people.
And by the way, I believe right in my book there, I believe we have her address, and the little boy that raised... was raised from the dead. I'll get to the other one tomorrow night.

E-47 Who has believed our report? To whom is the arm of the Lord revealed? He's here tonight. Jesus, the Son of God, to bless every one in Divine Presence. I cannot heal you. God may be able to show me what He has done for you. If you'll confess your faith in Him, and believe that He sent me to do [Blank.spot.on.tape--Ed.] this you shall see the glory of the Lord. Let us bow our heads... [Blank.spot.on.tape--Ed.] as we pray.
Heavenly Father, we just love to testify of Your way. That's just still burning in my heart, that poor little Finnish orphan, little thing with no mother and no daddy, both of them killed, poor little thing, packed about from place to place.
And I'm thinking tonight of the scenes that I see here at home when they go back out to the garbage can and rake out those big slices of bread and pieces of meat. And them poor little Finns, walking the streets; some of them with little dirty hands, wringing the tears out of their little eyes. They'd be happy to have one of those pieces of bread. O God, we're unworthy.

E-48 Some glorious day though, we'll cross the border. Then we'll set down at Your table, look across at one another, tears rolling down our cheeks from the great fights, we see many of the old veterans that's fought along in the battle. We--we'll shake hands with each other, and cry a little. And the King will come out and wipe all the tears out of our eyes. Say, "Don't cry no more now. The battle's over; you're home. Enter into the joys of the Lord." That's the day I'm working for, Lord. That's the day we struggle for. No matter whether people believe our report or not, Lord, we--we teach it, and Thou art confirming it.
And we know that You're here to make known Your blessings. God, bless these people tonight, Lord Jesus. Many old dad and mother setting... [Blank.spot.on.tape--Ed.] just about gone. Doctors has turned them down. Many are setting here in these wheelchairs and think they'll never walk no more, unless something can happen. Many old brothers setting here, maybe with heart trouble, or sister that'll be gone in a few weeks if something don't happen; a cancer eat them up. Oh, have mercy, Jesus. Be with us tonight again in a special way.

E-49 I testified of Your Angel to show visions. O Father, not that this audience could hear my voice, for I'm not speaking to them. I'm speaking to Thee. I pray God, that--that You'll show visions tonight, may appear visible if it would be possible. All over this building here, may the Angel of God throw His great wings across here, and the distilled dew drops of mercy drop from them, Lord, upon every hungry heart in here. And may they have faith to be healed tonight, and accept their healing from the Lord. If there be any who meets this qualification that Thou has required, Lord, show it to Your servant. And may He engulf Thy servant now, enshroud, Lord, and hide away.
Knowing setting here is Brother Upshaw, that for sixty-six years he waited. But in the dim light of his days, You blessed him. You give him the desire of his heart. You withhold no good things from them that walk upright.

E-50 There are those setting here who're dying of cancer, that's now well. One woman who was crippled in a wheelchair last night, she's here walking now, well. O Christ, may men and women realize, shut away their superstitions and look to Calvary now, from whence cometh our help, and may they see Him Who we're trying to represent. The Lamb of God is wounded for our transgressions, with His strips we were healed. May they see Him in His power and His glory. May they see Him in the power of His resurrection tonight. And as His disciples of old, when they were turning from Emmaus, when this audience leaves here tonight may they be like the ones that returned from Emmaus, that seen the power of the resurrected Christ, said, "Did not our hearts burn within us?" For He was there... [Blank.spot.on.tape--Ed.] Healing them. Grant it Lord.
Now, I commit myself to You... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... Glorious outpouring of Thy blessings, for I ask it in the Name of Thy Son, Jesus. Amen.

E-51 Now, remember, as I make this statement: I am not responsible for critics who are at the meeting. Can I say that again please? I will not be responsible for critics at the meeting. If any persons are here who are just critics, or just come for curiosity, I--I wouldn't stay while this part of the service is going on. Come back tomorrow and listen at the preaching. But don't stay for this. For be it assured to you that when demonology spirit and power is let loose, it finds a place to go if it can. And unbelief, it'll certainly take its stand. (Or if you're a believer, truly, and just with a weak faith and something happens, we can take care for that.) But when you're an unbeliever, or I--I have nothing to do with it, 'cause I couldn't make it leave you.
And now, to Him that's able to keep you from falling, and can do exceedingly, abundantly more then we could think, may His grace and Being, anoint our meeting now. And may your faith settle down. And imagine seeing a--a lonely pilgrim, rejected of man, a Man of sorrow acquainted with grief, accused of being a devil, a mind reader, a spiritualist, coming walking along, misunderstood. But He was God's own Son.
And He's here tonight. He's here right now with me. He's here with you, and He knows all things. I know nothing. But He can make known all things, can't He.

E-52 Some poor crippled man coming. All right, just come here just a moment. Just reverent as you can be. I wonder if the Christians realize the position that I'm standing in? Do you realize that in an audience of this type, there's superstitions, critics, and everything setting here? And I made a statement concerning Jesus Christ.
You say, "Brother Branham are you afraid?" No, sir! Not a bit. I know Who's here, and I have believed Him. And I'm persuaded He's able to keep that which I've committed unto Him against this hour.
The man's a stranger to me, humanly speaking. I know him not.
We're strangers, are we, sir? Yes, sir, we're strangers. Now, sir, I just want your attention to talk to you just a moment. And now, there's... If we're strangers, and I know nothing of you, it'll--it'll have to come from some spiritual resource, won't it, sir. It'll have to come from some spiritual resource. You're aware that something's going on. Of course, that's just the Angel of the Lord. You are a believer? Yes, sir. You... I believe you believe. You're more then that. Aren't you a minister? You've preached a mighty fiery sermons in some meetings. Isn't that right? You've been in a hospital or doctor's office, or something, for an examination. Isn't that right? Isn't that right? Yes, sir, I see him examining. Yes, your trouble's on your liver--it's on your gall, I believe. Isn't that right? I believe you have a cancer. I believe it is that... Jesus Christ is here to make you well. Do you believe that? All right. Oh, I see--I see it hanging like that, it's the bladder instead of a... Isn't that right? A bladder. Come here just a moment.

E-53 Almighty God, Who brought again Jesus Christ from the dead, thinking this man being a crippled, and seeing You moving up there. But he's Your servant, and this hand that I'm holding has waved sinners for glory a many a times. Have mercy, Eternal God. And while he's in Your Presence, standing here recognizing this, the last opportunity of his life to receive, may now, the blessings of God come upon this, Thy servant. And as I lay my hand upon him, I ask the cancer to leave him in the Name of Jesus Christ. God bless you, brother. Go rejoicing now. Walk right on down.
Let us say, "Praise the Lord." All right. Now everyone just as reverent as you can be. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.] Wants to praise the Lord with him. He's healed. Just realized that he just got... Yes, sir. He wants to praise the Lord from the steps, 'cause he's healed. Blessed be the Name of the Lord Jesus.
We thank Thee, Lord, for Thy power, and Thy servants that loves You. And may this be a grace. May our brother preach many mighty sermons yet, and convert many sinners to the Cross of Christ. Grant it, Lord. As we offer Thee praise in the Name of Thy Son, Jesus, we give Thee the adoration of our hearts. Amen.
Oh, how Wonderful, wonderful, Jesus is to me,
The counselor, the Prince of Peace, the Mighty God is He;
Saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my redeemer, Praise His name!
Do you love Him? May His peace rest upon you, be graciously unto you.

E-54 All right. Lady, or I should said, my sister. You are a Christian. That desire that you have in your heart to receive the Holy Ghost, you--you want to receive It, don't you? There's been troubles that's caused you... You've been nervous for a long time, haven't you. You're sincere though. Yeah, you have a heart trouble also. It's... You still have some nervousness, is what caused that. Smothering, laying down it's worse than ever. Isn't that right? I see at the bed, trying to hold yourself like... Say, when I touch myself... Oh, sister dear, you have more than that. You have cancer; that's on the breast too, isn't it? Uh-huh. Come here, sister. Do you believe that Jesus healed you nineteen hundred years ago? Do you accept it now?
Merciful God, bless this woman. May she receive the Holy Ghost, and be healed in the Name of Jesus Christ. Amen. Go, receive it, sister, and be well. Let's say, "Praise the Lord." How wonderful. Amen.

E-55 Now, I'm not an excitable person. But "amen" means "so be it." The Bible said the congregation said "Amen." So be it: Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. Have faith now. Don't doubt. Believe. All things are possible to them that believe. Amen.
How many hasn't got prayer cards, let's see your hands around. Oh, a great group of you. All right. Do you believe?
All right, sister, your great faith healed you while you were setting there. Walk on off the platform.
Let us say, "Praise be to God." That's the way to receive it. Nervous, mental nervousness... How wonderful. Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. Don't you believe that? Amen.
What are you thinking, sister? Wonderful, isn't it? You're kind of interested in that child too, aren't you. Huh? Don't you have two of them? Isn't that right? Isn't there two of them there? All right. All right. You believe? All right. God bless you. Receive your healing. Amen.

E-56 Dad, what do you think about it? The minister there was just healed. Isn't He wonderful? You're feeling better now, aren't you? Your friend there wants to be healed too, doesn't he, setting next to you?
Look around this a way, sir, just a little bit. Do you believe with all your heart? You'd like for that growth to go out of your nose, wouldn't you? Amen. Stand up and receive your healing in the Name of the Lord Jesus. Amen.
What do you think about it, lady, setting on this side of him? Do you believe with all your heart too? All right. You got throat trouble, haven't you? Stand up and receive your healing then in the Name of the Lord Jesus. Amen.
That makes a whole group of them healed. Let's say, "Praise the Lord." Everyone believe. Have faith in God.
Come, sister. My, anemia, diabetes, heart trouble. Go and be well, sister, in the Name of the Lord Jesus.
Let's say, "Praise the Lord." That's right, have faith in God.

E-57 Mister, your heart trouble was just healed, setting there. That's right. The third man setting in there. Stand up. You had heart trouble, didn't you? It just left you just then, sir. You go home and be well now, in the Name of the Lord Jesus. Amen. Don't doubt, have faith.
All right, come on, sir. Wouldn't you like to get over that asthma? Wouldn't you like to get over that? Go and believe on the Lord Jesus Christ and receive it. Let's say, "Praise the Lord." Have faith.
Come, lady. You believe? Do you believe God sent His gift to heal you? You do? All right, you need a blood transfusion from Calvary. You're anemia. Go forward and be healed in the Name of Jesus Christ. Here It is. Have faith.
Come, lady. Look this a way. Do you believe me as God's prophet? You do? Your heart troubles leaved you then. Go home and be well in the Name of Jesus. Praise be to God.
Young man back there, do you want to be healed of that TB? You do? Stand upon your feet and accept your healing in the Name of the Lord Jesus. Amen. Amen.
Let us say, "Praise be to God." All right.

E-58 Lady's deaf. Bow your heads. Almighty God, Author of Life, Giver of every good gift, send Thy blessings upon the woman. Thou Who died to redeem, Thou Who was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity, the chastisement of Your peace--our peace was upon You, and with Your stripes we were healed. You Who called to the deaf spirit and it obeyed You, O Eternal God, hear this prayer of Your humble servant, and I represent You here tonight in the power of Divine healing. Hear the prayer of Your servant, and may this demon that's holding the woman, shake her, come out of her.
Thou demon, leave the woman. In the Name of Jesus Christ, come out of her.
Hear me? All right. You have had complications and everything wrong with you. Can you hear me all right now? Can hear me now? Hear me now? You're healed. Go off the platform and be well. You're healed.
Let us say, "Praise the Lord."
All right, come, lady. Do you believe me as God's prophet? You do? You've had kidney trouble a long time, haven't you. Go off the platform and be well. Jesus Christ makes you well.
Let's say, "Praise the Lord." Amen. He's here to heal. Do you believe it? Have faith.

E-59 Do you believe Him with all your heart? If you do, you can go home. You won't have to fool with your cot and stretcher no more. In the Name of the Lord Jesus Christ. Amen. Amen. There she is. Take the cot out of the way. There she is. All right. Do you believe Jesus Christ? Take her stretcher away, 'cause there's somebody else setting there fixing to get healed.
Be reverent. Look this a way. Believe with all your heart.
All right, sir. Do you believe? Your heart trouble's done left you. You can go on off the platform. (Be our last one, and so forth). Just walk on off the platform well.
You believe with all your heart? Look out there, to you without your... Look this a way.
What about you, sir, sitting there with stomach trouble? Raise up and be healed in the Name of Jesus.
Next man to you has got hemorrhoid troubles, haven't you? Stand up and be healed in the Name of Jesus.
The lady with arthritis, if you want to believe on the Lord, stand up and be healed in the Name of Jesus.
All the rest of you, do you believe Him? What about it? He's here. Stand to your feet. Raise your hand. Accept your healing.
Satan, in the Name of Jesus Christ, remove from these people.

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