L’Ange Du Seigneur
1 Merci beaucoup. Bonsoir, ami. Je suis content d’entendre ce témoignage, comme toujours, que notre Seigneur a fait quelque chose pour certains de Ses enfants. Que Dieu vous bénisse, soeur, qui que vous soyez. Et je ne pense pas pouvoir vous reconnaître si vous vous teniez devant moi, en effet, je n’ai pas l’occasion... Très bien. Que Dieu vous bénisse. Et dans quelle réunion était-ce, soeur? [La soeur parle à frère Branham.–N.D.E.] Windsor? Etes-vous Canadienne? Oh! Vous venez de Cleveland. Oui, madame. Je suis content de votre guérison. Je souhaite simplement que tous ceux qui sont dans cette réunion ce soir soient comme vous, bientôt. Que Dieu vous bénisse, soeur.
2 Quand je vous parlais, ou je ne sais quoi était arrivé, vous avez cru que ce que je disais était la vérité. Cela était-il exactement comme j’avais dit que ça arriverait? Exactement comme j’avais dit. Si c’est vrai, levez la main afin qu’on voie. Voyez? Eh bien, et si vous aviez douté de ce que je vous avais dit que le Seigneur avait dit? Vous seriez–vous seriez morte, oui, madame, comme votre médecin vous l’avait dit. Il vous fallait croire l’un ou l’autre. Et Dieu ne dit jamais quelque chose de faux. Il dit toujours la Vérité. Eh bien, que Dieu vous bénisse, soeur. Et si je ne vous rencontre plus dans cette vie-ci, je vous rencontrerai de l’autre côté par la grâce de Dieu. Amen.
J’aimerais m’asseoir avec tous mes amis de l’autre côté, et simplement en parler, là nous aurons beaucoup de temps pour en parler.
3 Eh bien, ce soir, je... Il fait horriblement chaud. Frère Baxter... Hier soir, il faisait très chaud, et nous étions... Quand je suis rentré chez moi, mon manteau était complètement trempé, après que je suis revenu à moi-même, après le service. Je ne suis pas en très bonne forme depuis un temps. Je me sens horriblement faible, mais j’ai encore deux réunions maintenant, avant un petit repos, et avant d’aller outre-mer, puis nous aurons environ deux ou trois soirées à New York City, à un grand terrain de boxe, là-bas, là où on a tous ces grands combats. Je... Il nous faut apparaître là, pour deux ou trois soirées, juste avant d’aller en Rhodésie du sud, en Afrique, pour commencer.
4 Si le Bon Seigneur le veut, nous espérons être à Jérusalem vers Noël. Et ces Juifs ont dit de venir, beaucoup d’entre eux, comme vous l’avez vu dans le magazine Look. Ils disaient: «Si ce Jésus est le Christ...» Ils n’ont jamais rien su à ce sujet. Voyez? Ils étaient là dans ce... là pendant deux mille ans. Ils labourent encore à l’aide de vieilles charrues en bois, comme on le faisait il y a deux mille ans. Beaucoup parmi vous ont lu l’article.
Et l’église norvégienne, l’église suédoise a envoyé un million de Bibles, de Nouveau Testament, et ces Juifs, en lisant le Nouveau Testament, ont dit: «Laissez-nous voir ce Jésus accomplir le signe du prophète, et nous L’accepterons comme Messie.» Oh! Je souhaite que Dieu me permette d’y aller et de faire quelque chose qui–qui les amènera à croire au Seigneur Jésus, eux tous. J’ai confiance qu’Il le fera. Et priez pour moi, comme vous savez qu’il est temps pour moi d’y être, en octobre. Nous commencerons le 4 octobre, à Johannesburg.
5 Et maintenant, comme il fait très chaud dans l’auditorium, et c’est la période de l’année, c’est l’unique chose que nous puissions avoir, et nous sommes content de l’avoir. Je suis seulement content que nous ayons ceci, sinon nous ne pourrions pas venir à la ville. Et j’espère que cela s’avérera une grande bénédiction pour vous tous qui êtes ici. Et que beaucoup, beaucoup de pécheurs soient sauvés, que les chrétiens aient une marche intime avec notre Seigneur, voilà mon désir. Et que tous les malades soient guéris, tous les estropiés soient guéris, c’est ma prière.
J’ai vu une fois, dans ma vie, tout le monde être guéri dans la salle, ou dans le... C’était sous une large tente contenant beaucoup plus des gens que ceux qui sont ici ce soir, et par une seule vague du Saint-Esprit qui a parcouru la tente, aussitôt que je montais à la chaire, il ne restait pas un estropié ni un affligé dans la salle, aucun malade ni rien, ils étaient tous guéris...?... On a entassé des fauteuils roulants et autres si haut, on a dû simplement les prendre et les jeter comme cela, pour les entasser.
6 Le lendemain matin, un gros camion à bétails parcourait la ville, transportant tout cela, et les gens qui autrefois s’en servaient, qui étaient couchés sur des civières et autres, marchaient derrière en chantant Crois seulement, ils étaient escortés par la police. Je me suis tenu à la fenêtre de l’hôtel, j’ai pleuré comme un–un enfant. Je ne pouvais pas m’en empêcher. Mon coeur, j’ai simplement pensé... «Ô Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement.» C’était ça. Ils peuvent avoir la même chose ici à Toledo. Tout ce qui manque, c’est juste un peu de foi. Croyez simplement; croyez simplement ce que vous entendez.
Eh bien, je–j’essaie de dire, au mieux de ma connaissance, tout ce que je sais, pour glorifier Jésus-Christ, Lui qui nous a tous rachetés, rachetés de tout ce qui constitue la chute. Il est venu comme un Parent Rédempteur pour racheter la race humaine, la ramener à Dieu. Et nous avons le gage de notre salut. Ce que nous avons maintenant, ce glorieux Saint-Esprit, ce n’est que le gage de ce que nous sommes au-dessus du péché, dans l’Enlèvement.
7 Et s’il n’y a pas de guérison divine maintenant, il n’y aura pas de résurrection de corps. La guérison divine est le gage de la rédemption de notre corps. Avez-vous déjà pensé à cela? S’il n’y a pas de guérison divine, c’est que lorsque vous irez donc à la tombe, ça sera tout là. Vous y resterez pour toujours, et votre poussière disparaîtra, et vous n’existerez plus. Voyez? Si là... nous avons le gage de notre salut, et la plénitude, le retour à ce que nous étions dans le jardin d’Eden.
Et je pense que la puissance de Dieu qui peut s’emparer d’une femme qui était terrassée par le cancer, à qui le médecin avait accordé juste quelques jours, et son cas en est parmi des milliers qui sont enregistrés, pas juste un homme, pas le témoignage d’une personne, mais le témoignage de médecins, c’en est parmi des milliers. Et elle était rongée (avec quelques heures à vivre) par le cancer, et grâce au gage de la rédemption du corps, elle a récupéré la situation dans laquelle elle est maintenant. Qu’en sera-t-il quand elle tirera plein profit de la résurrection de Jésus-Christ?
C’est juste l’aco... Vous savez ce que c’est l’aco... le gage? Le gage c’est l’acompte pour quelque chose, qui préserve ça, une garantie, une sûreté pour cela. Eh bien, elle a juste reçu le gage de cela, en étant guérie d’un–un cancer hideux, qui lui aurait ôté la vie, et la voici assise ici, bien portante et normale.
8 Eh bien, si jamais il n’y avait pas d’autres cas en dehors du sien, ça serait une preuve parfaite de la volonté divine de notre Seigneur Jésus-Christ envers chaque personne sur la terre. Voyez? Car Il n’a jamais choisi certains, c’est: «Quiconque veut, qu’il vienne.» Voyez? C’est simplement selon votre foi pour croire.
Et maintenant, pendant quelques instants, et j’espère ne pas vous retenir comme je l’ai fait hier soir, et vous laisser moisir dans une salle mal aérée. Eh bien, j’aimerais continuer à vous parler de notre Seigneur dans Son ministère aujourd’hui.
Eh bien, il y a beaucoup de gens, pour qui la Bible, ils enseignent la Bible comme un livre historique, Elle l’est. Mais Elle est plus qu’une histoire, Elle est un Livre prophétique aussi, qui prédit... Elle dit ce qui a été; Elle dit ce qui arrivera. Acceptez-vous que C’est la Vérité? Et maintenant, le même Jésus qui était, qui est, qui sera... Voyez? Il est le même Jésus d’un bout à l’autre des Ecritures, le même Christ, d’un bout à l’autre. Au commencement, Il était au milieu du Livre, Il est: «Voici Je viens, dans le rouleau du Livre il est question de Moi, pour faire Ta volonté, ô Seigneur.» Et à la fin, Il est l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, Celui qui est et Celui qui viendra, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, la Rose de Sharon, le Lys de la vallée.» Eh bien, Il est juste... C’est simplement Lui, n’est-ce pas? Il–Il est Emmanuel. Il est à la fois la Racine et le Rejeton de David. Voyez?
9 Eh bien, Son ministère continue. Beaucoup de gens enseignent la Bible comme une histoire–histoire (ce qui est très bien), nous avons appris dans nos séminaires et nos écoles, c’est bien. Mais, frère, c’est juste ce qui a existé; qu’en est-il de ce qui existe maintenant? Vous ne pouvez pas trouver cela à l’école. Vous ne connaissez pas cela par la généalogie. Vous connaissez cela par la genoulogie, en restant à genoux devant Dieu. Il ne faut pas l’instruction; il faut un coeur abandonné. Dieu travaille dans le coeur. Croyez-vous cela?
Eh bien, si par exemple, si aujourd’hui, si je pouvais venir ici, comme il fait très chaud dans cette salle ce soir et que je pouvais vous peindre un tableau ici sur le mur, de la climatisation, de la région arctique, ou quelque chose comme cela, et que cela paraissait très bien. Si Je disais: «C’est ce qui a existé.» Mais cela ne vous rafraîchit pas, n’est-ce pas, c’est juste un tableau peint? Par exemple, si vous geliez et que je peignais pour vous, je vous ai peint un tableau d’un feu embrasant et brûlant, comme cela, je dirais... et que les gens se tenaient tout autour pour se réchauffer et que je disais: «Regardez là, c’est le feu.» Eh bien, vous ne pouvez pas vous réchauffer à un feu peint; cela ne réchauffera pas. C’est quelque chose qui a existé. Vous devez avoir le feu vous-même. Ce que Jésus était jadis, Il l’est aujourd’hui. S’Il avait été un Feu, une Chaleur pour le coeur, un Réconfort, un Abri en temps de tempête, Il est le même aujourd’hui.
10 Eh bien, il n’y a pas longtemps quelqu’un disait: «Frère Branham, prêchez l’Evangile...» Un très célèbre évangéliste qui parle à la radio, un ami. Nous étions tous membres de la même église. Alors, il disait: «Frère Branham, pendant que vous êtes sur la Côte Ouest, ici, prêchez l’Evangile.»
J’ai dit: «C’est ce que je fais, docteur.»
Et il a dit: «Pas cette guérison divine-là.» Il a dit: «Prêchez la Parole.»
J’ai dit: «La Parole, c’est ce que je prêche, monsieur.»
Il a dit: «Regardez, Frère Branham, a-t-il dit, l’Evangile est la Parole de Dieu.»
J’ai dit: «Ce n’est pas tout, frère. La Bible dit que l’Evangile n’est pas venu à nous en Parole seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit (voyez?), prêcher la Parole, la lettre tue, mais l’Esprit vivifie.» Voyez?
Ça doit être... Jésus a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute création.» En termes bibliques, cela veut dire: Allez par tout le monde et démontrez la puissance de la Parole par le Saint-Esprit. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
11 Aujourd’hui, nous disons: «Quels miracles?» Nous allons à l’église, nous payons nos dîmes, nous traitons bien nos voisins. C’est merveilleux, mais ce n’est pas ce dont Jésus parlait. Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon Nom ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, s’ils saisissent des serpents ou boivent quelque breuvage mortel..., ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ce sont là les miracles dont Jésus parlait.
Notre ministère a changé cela et on a dit: «Oh! Voilà un vrai croyant; je vous assure, il aime le Seigneur; il fréquente l’église chaque dimanche, il paie ses dîmes à l’église, il traite bien ses voisins.» Ça, ce sont juste des actes moraux. Le Saint-Esprit dans l’homme démontre la puissance du Surnaturel, ce qui fait de lui un croyant. C’est Dieu confirmant qu’il est un croyant. Jésus a dit: «Voici (pas voilà) voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
12 Très bien. Maintenant, le Surnaturel, c’est ce qui aveugle les hommes. Cela a aveuglé dans tous les âges. Mais n’est-ce pas merveilleux, de penser que là où le surnaturel est démontré: «Là où sont les aigles, là où est le corps plutôt, là s’assembleront les aigles»? Ça a été ainsi au cours de l’âge. Les hommes somnolent dans la vie, ils entendent leur enseignement et leur philosophie et autres, et–et enseignent des théologies et... mais cela ne satisfait pas le coeur humain.
Et quand le Surnaturel apparaît, comme cela le fit à l’époque de notre Seigneur Jésus, après leurs braves sacrificateurs et autres, qu’ils avaient, et leurs érudits, et leurs philosophies... Quand Jésus est entré avec les Siens, avec la puissance et la manifestation de Dieu, les gens se sont attroupés autour de Lui pour écouter, parce que c’était quelque chose d’au-delà. Et tout homme reconnaîtra tout de suite cela, toute l’instruction qu’il a acquise, et la théologie et autres, pourriront dans la tombe avec lui. Nous le savons. Mais là où il y a le Surnaturel, cela va au-delà de la tombe. Et c’est ce que... les gens regardent, la plupart de temps, s’ils sont des critiqueurs, et qu’ils n’ouvrent pas largement leurs coeurs, ils se formeront une opinion là-dessus, comme ils en avaient fait à Son sujet, et ont dit: «Il est Béelzébul, un démon, Il chasse les démons par le démon. Et Il connaît ces choses, Il les voie. Oui, Béelzébul les Lui montre, et...» Et c’est comme cela. Et ils continuent. Mais d’autres crurent en Lui. Et ceux qui crurent furent sauvés. Ceux qui croyaient pouvaient être guéris. Mais si Jésus Lui-même se tenait ici, portant mon costume et mes souliers, Il ne pourrait pas vous aider ce soir pas plus qu’Il le peut sous la forme où Il est en train d’opérer maintenant. Savez-vous cela?
La Bible déclare qu’Il alla dans une contrée, et, là, «Il n’a pas accompli beaucoup de miracles (Il ne p-o-u-v-a-i-t p-a-s, Il ne pouvait pas le faire à cause de leur incrédulité.»
13 Quand quelques hommes aveugles Le suivaient, Il a touché leurs yeux et Il a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Le Père ne Lui avait rien montré à ce sujet; Il a simplement touché leurs yeux. Mais quand Il a appelé Lazare, là Il l’avait vu, Il a dit: «Lazare, sors. Et pour les autres que le Père Lui avait montrés en vision, ce qu’Il devait faire, Il les a appelés, ainsi de suite. Alors, quand les autres passaient, Il les touchait, et Il disait: «Selon votre foi.»
La femme qui souffrait de la perte de sang toucha le bord de Son vêtement; Il se retourna et dit: «La vertu est sortie de Moi. Quelqu’un M’a touché.» Le Père ne le Lui avait pas montré, mais c’était sensible (L’Esprit), que la vertu était sortie, car le Père avait honoré la foi de la femme dans Son Fils. Voyez-vous ce que je veux dire? Et elle a été guérie là.
14 Eh bien, dans la Bible le même mot qui est traduit par sauvé et guéri, c’est le même mot d’un bout à l’autre des Ecritures. Tout le monde sait cela. Eh bien, bon, quand vous êtes–vous êtes sauvé spirituellement, ou que vous êtes sauvé physiquement... Eh bien, Il a dit à la femme: «Ta foi t’a sauvée», physiquement, ça t’a sauvée. Eh bien, cela c’est dans la rédemption; c’est dans l’expiation; c’est dans le plan de Dieu. Vous pouvez être spirituellement sauvé ou physiquement sauvé, car Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Est-ce vrai? Donc, c’est juste selon votre foi.
Eh bien, selon Ses tendres miséricordes, après que les prédicateurs, au cours des années, ont parcouru le pays et ont prêché cette merveilleuse Parole, des milliers des gens ont été bénis, sauvés, guéris et tout. Puis, dans Sa souveraine miséricorde, dans les derniers jours, comme Il l’avait promis, quand les derniers jours... «Je répandrai de Mon Esprit.» Il y aura la pluie de la première et de l’arrière-saison; et dans les derniers jours, Il enverra une grande bénédiction aux gens. Quand l’ennemi viendra comme un fleuve, J’élèverai contre lui l’étendard.» Voyez?
15 Et comme l’athéisme est en cours et tout, et les églises connaissent une apostasie, deviennent formalistes, laissez-moi vous dire ceci, mon bien-aimé frère, ma bien-aimée soeur, si vous me recevez comme votre frère, nous avons besoin d’un réveil. Eh bien, je–je ne discrédite rien; je vous parle du fond de mon coeur. Nous avons beaucoup de réunions qui durent longtemps, mais ce n’est pas le réveil. Nous avons de grands hommes là, par exemple, Billy Graham, un merveilleux homme; Charles Fuller, docteur De Haan, et beaucoup d’autres que je pourrais citer: Hyman Appleman, beaucoup de grands hommes. Nous avons de grands... Il y a aussi frère Roberts, frère Freeman, mes propres réunions. Nous avons de grandes foules, mais pas de réveil. Nous amenons les gens à venir, peut-être, titubant tout le long, confesser et rentrer. Mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un réveil à l’ancienne mode, qui éclate, qui déchire et déracine, qui commence dans chaque foyer, et balaye toute la ville, et on ferme tous les débits de boisson et tout le reste, on met les choses en ordre. C’est là un réveil. Voyez? Pas juste s’avancer, faire une confession et rentrer, ça, ce n’est pas un réveil. Ça, c’est juste un rite. C’est un état de tiédeur. Nous avons besoin d’un vrai réveil. Et que Dieu nous aide à en avoir.
16 Et quand vous voyez ces foules s’assembler, ça ne veut pas dire que c’est un réveil; c’est juste un rassemblement. Mais un réveil, c’est quand les gens se mettent réellement en ordre avec Dieu, prient jusqu’à l’exaucement, et un réveil commence dans toute la ville et tout. Voyez-vous? On se débarrasse du péché, on se débarrasse de l’iniquité, et...?... On se tourne vers Dieu, on fait demi-tour et on reprend (Voyez?) la route. Eh bien, j’espère qu’il en sera ainsi dans cette ville.
Eh bien, concernant l’opération du don spirituel, frère Baxter vous enseignera au cours de ses réunions d’après-midi et tout, ce que c’est un germe, des maladies, que ce sont des démons qui s’emparent des gens, et les possèdent. Eh bien, j’aimerais vous raconter une petite histoire chaque soir, autant que je le peux.
17 Ce soir, j’aimerais vous parler de l’Ange du Seigneur. Eh bien, pour... C’est tout aussi vrai, amis, que je suis... Je ne peux pas vous faire croire. Voyez-vous? Je ne peux que dire ce qui est la vérité. Et votre attitude envers cela déterminera le succès qu’il y aura pour vous. Je n’ai pas le pouvoir de faire fonctionner cela.
Si ma chère mère gisait ici sur l’estrade, mourante, et qu’elle me disait: «Fils, je t’ai porté sur mon sein, tu as eu la vie en me tétant, et je quittais la table alors que nous n’avions rien à manger, afin que, quand tu étais un petit garçon, tu puisses manger et vivre. Mon cher fils, dis-moi, qu’en adviendra-t-il de moi avec cette...» Je ne pourrais pas dire un seul mot avant premièrement qu’Il me le montre. Car ce n’est pas quelque chose qu’un homme a à faire; l’homme est complètement hors tableau là.
18 Même le Fils de Dieu, Il a dit: «Je ne peux rien faire à moins que le Père me le montre premièrement.» Et si Lui ne le pouvait pas, à combien plus forte raison moi qui suis un homme, un pécheur, et Lui n’a point été un pécheur. Et Il est né Fils de Dieu, d’une vierge. Et moi, je suis né dans le péché, conçu dans l’iniquité, je suis venu au monde en proférant des mensonges, je méritais d’aller en enfer, mais Il m’a racheté. Et les seules mains qu’Il a sur terre ce soir, ce sont les miennes et les vôtres; la seule bouche qu’Il a, c’est la mienne et la vôtre.
«Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Est-ce Sa Parole? Voyez? C’est donc Lui: «Ce n’est pas vous qui parlerez, a-t-Il dit, mais c’est votre Père céleste qui habite en vous, c’est Lui qui parlera, qui vous le dira à cette heure-là.» Voyez-vous?
19 Eh bien, au départ, c’était très difficile pour moi, quand j’annonçais tout au début de l’Ange du Seigneur. Beaucoup de gens, même mon évêque, le pasteur; quand je suis allé vers lui et que je lui en ai parlé; c’était lui le chef de l’église dans cette section de baptistes missionnaires. J’ai dit: «Docteur Davis, l’Ange du Seigneur...» Et puis, je lui en ai parlé.
Il a dit: «Billy, qu’as-tu pris comme souper hier soir? Tu as eu un cauchemar.» Et beaucoup parmi vous qui recevez ce petit journal de frère Lindsay appelé The Voice Of Healing [La Voix de la Guérison], vous avez vu ses excuses récemment.
Il a dit: «Qu’as-tu pris comme souper hier soir?»
J’ai dit: «Monsieur, je n’apprécie pas ça.»
Il a dit: «Ah! Rentre à la maison et oublie ça.»
20 J’ai dit: «Docteur Davis, regardez, vous pouvez me dire de rentrer à la maison et d’oublier cela, mais Dieu a ancré quelque chose ici à l’intérieur. Si vous ne voulez pas de moi, il y en aura d’autres qui voudront de moi.» J’ai dit: «Je suis tenu vis-à-vis de Dieu d’aller.»
Eh bien, c’était très difficile. On m’a dit que cela ne pouvait pas se faire, et tout. Et mon dernier sermon à l’église, c’était David et Goliath, l’opposition que David avait. Mais aussitôt Goliath tué, alors les autres, les Israéliens prirent courage et allèrent de l’avant, et c’est ce qui est arrivé. Quand ils ont vu que cela pouvait se faire. Les prédicateurs assis sur l’estrade, ils n’affirmaient pas être–être en mesure de connaître ces choses, mais ils croyaient dans la Parole, cela leur a donné du courage, et ils sont partis: Oral Roberts, c’en est un d’eux, Frère Oral J... Frère Jaggers, et tous ceux-là. Il y a de tels hommes dans la réunion. Ils ont eu la vision, ils se sont levés, et ils sont partis dans les champs de travail, et ils font ravages maintenant, et ils ont battu les Philistins droit contre les murs. C’est vrai.
21 Maintenant, je quitte les champs de travail très bientôt. J’ai une autre... deux autres réunions en Amérique. Et Dieu seul sait quand j’aurai une autre. Je retourne, comme Elie, au mont Carmel. Je crois que Dieu est sur le point de faire quelque chose pour l’Eglise, et je dois m’attendre au Seigneur et découvrir ce qu’Il ordonne, et alors il y aura une grande action pour le Seigneur. Je crois que nous sommes près de la Venue du Seigneur, quand ces... Il a dit: «J’accomplirai des signes en bas sur la terre, et en haut dans le Ciel avant ce... le jour de l’Eternel arrive.»
J’ai été pratiquement taxé de tout, d’un guérisseur divin au Fils de Dieu incarné, et de démon et de tout le reste, la télépathie, et–et toutes sortes. Mais cela ne change toujours pas du tout la chose. Il est Jésus-Christ, et nous sommes Son peuple. Par Sa grâce, Il nous a rachetés, et c’est tout ce que nous sommes. C’est Lui qui fait toutes ces choses, par la volonté du Père. Nous croyons cela, n’est-ce pas?
22 Eh bien, souvent dans des réunions, l’Ange du Seigneur est apparu, beaucoup parmi vous savent cela, Il apparaît comme... cette nuit-là, et durant tout le temps, une grande Colonne de Feu, on dirait, à peu près de cette épaisseur, et à peu près de cette grosseur. Et cela arrive, avec des langues de feu, tournoyant, faisant [Frère Branham imite le son de l’Ange du Seigneur venant vers lui.–N.D.E.] Des milliers et des milliers ont vu cela. Cela s’est rendu visible...
Il n’y a pas longtemps, j’étais près de Fort Wayne, dans l’Indiana, dans une réunion, et je parlais, l’assistance était, on dirait, très hautaine. C’était dans une salle de théâtre. Et je cherchais à... Je disais: «Eh bien, c’est l’Ange du Seigneur...» Je venais de commencer, j’ai pu voir les gens se regarder, et on pouvait percevoir cette atmosphère froide. Et certains d’entre eux, surtout les malades, ils n’avaient pas de telles pensées à ce sujet. Ils... Les autres agissaient comme cela, ceux–ceux qui n’étaient pas malades. Un homme malade cherche de l’assistance; vous pouvez lui parler. Un homme affamé, qui est vraiment affamé, vous pouvez lui parler de la nourriture. Mais s’il a mangé, vous... Il ne s’intéresse plus tellement au dîner. Voyez? Eh bien, c’est ça, c’est pour ceux qui sont dans le besoin. Et peut-être parfois, vous serez aussi dans le besoin. Ça sera alors différent. Si c’était votre mère qui gisait ici mourante, ou si c’est votre fils ou quelqu’un comme cela, ça serait différent, et que les médecins avaient dit qu’il n’y avait plus d’espoir pour eux, ça serait différent.
23 Mais eux agissaient comme cela. Et j’ai dit: «Je ne peux pas vous faire croire cela.» Et j’ai commencé à–à prier pour les–les gens cette nuit-là, j’allais prier, et j’ai dit... J’ai pris un petit garçon; c’était le premier dans la ligne de prière, un petit garçon aux pieds estropiés. Et c’était la polio qui avait tiré son... qui lui avait tiré petits pieds vers le bas, comme cela. Il y avait un grand piano pour enfant, quelque chose comme ceci, placé là comme ça, et il y avait une jeune fille nazaréenne qui était en train de jouer cela. Et alors, elle jouait le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus. La mère de cet enfant était assise juste ici en bas. L’huissier a fait entrer l’enfant dans la ligne.
24 Et je priais pour le petit enfant, j’ai dit: «Père céleste, je Te demande d’être miséricordieux.» J’ai pensé que le concierge m’avait braqué la lumière au visage, et j’ai vu cela briller de plus en plus, de plus en plus. Et j’ai dit: «Seigneur...» Et je me suis dit: «Oh! la la! Cet homme-là, c’est... Il ne m’aime pas, Il devrait être assez gentleman pour ne pas faire cela.» Et cela continuait à devenir de plus en plus brillant, de plus en plus brillant, et je me suis dit: «Oh! la la!» Et j’ai levé les yeux pour lui faire signe de... J’ai ouvert les yeux plutôt, pour lui faire signe d’arrêter de faire cela, et alors, ce n’était pas lui, c’était l’Ange du Seigneur qui venait en tourbillonnant, comme cela. Cela venait directement vers moi.
Eh bien, je ne sais pas (pour être honnête), si j’avais laissé tomber l’enfant, s’il avait sauté de mes bras, ou le Saint-Esprit l’avait retiré. Je ne sais pas. Mais il était par terre, ses petits pieds étaient tout aussi normaux que possible. Et il s’est mis à descendre en marchant, et la mère de l’enfant a vu cela, ce qui était arrivé, elle a simplement lâché un cri, elle a sauté en avant, et elle a vu la Lumière. Et la jeune fille nazaréenne a levé les yeux... Combien de nazaréens y a-t-il ici, ceux qui viennent de l’église nazaréenne? Voulez-vous dire qu’il n’y a pas de nazaréens ici? Et... ils sont ici, c’est bien, et là derrière; c’est merveilleux.
25 Eh bien, les nazaréens ont assez de religion pour crier quand ils sont heureux. Ainsi donc, la jeune fille nazaréenne, très attrayante, une jeune fille blonde, avec de longs cheveux, elle s’est levée comme cela, elle s’est mise à crier aussi haut qu’elle le pouvait, elle a quitté le piano en courant. Et quand elle s’en est allée en courant, le piano a continué à jouer constamment:
Le Grand médecin est ici maintenant,
Le Compatissant Jésus,
Il console le coeur affligé.
Et cet Ange de Dieu s’est établi là, sept cents et quelques personnes sont venues donner leur coeur à Christ, ils tombaient dans les allées. Il s’est manifesté des centaines de fois. Beaucoup d’articles sont rédigés dans le livre qui est là derrière, si vous le prenez, et... sur des choses que je n’aurai pas le temps de raconter. Eh bien, certains d’entre eux disaient: «Oh! C’est de la psychologie.»
26 Et à Camden, dans l’Arkansas, nous En avons la photo là, le photographe a tiré la photo. Et Cela–Cela descendait dans la réunion, et Cela descendait en tournoyant. Un prédicateur s’est avancé en courant pour faire passer ses bras autour...?... Et il a été frappé de cécité à l’estrade. La photo de tout cela est là. C’est dans le livre.
Puis, j’étais à Houston, au Texas, nous tenions une série de réunions dans un hall de music, qui offrait des sièges à environ quatre mille personnes, je pense. Nous sommes allés au Colisée; nous n’arrivions pas faire asseoir des gens, ainsi, nous sommes allés au Colisée, qui offre des sièges à environ trente mille personnes. Et il y avait un–un membre du clergé baptiste là-bas. Je ne mentionnerai pas son nom, car ce n’est pas très bien de mentionner le nom d’un ministre, et il venait de la conférence de baptistes du Sud, il venait de sortir de l’école, il avait environ trente ans. Et il a lancé un défi dans un journal, il a dit: «Frère Branham n’est qu’un criminel religieux, il devrait être chassé de la ville, et c’est moi qui le ferais.» Il était donc devenu très arrogant.
27 Et je restais à l’hôtel Rice. Docteur Bosworth... Combien connaissent le Révérend monsieur Bosworth? Pratiquement vous tous. Un merveilleux homme, je pensais qu’il était connu partout ici. Il est venu dans ma chambre, il avait soixante-treize ans. Il a dit: «Frère Branham, regardez ce journal d’aujourd’hui.» De très longues colonnes là dedans. Oh! donc il... le prédicateur me taillait en pièces. Il disait: «Lançons le défi... Relevons ce défi.» Je...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] Cette nation, elle est maintenant dans un état d’effondrement. Parce que notre politique et des choses sont très divisées. C’est pourquoi les Indiens l’avaient perdue face à l’homme blanc. Si ces Indiens étaient tous unis, il existerait toujours une Amérique pour les Indiens. Mais ils étaient divisés, les tribus se combattaient et nous sommes arrivés, nous nous en sommes emparés. Et c’est ainsi que nous allons la perdre, c’est ainsi que l’église est en train de perdre aujourd’hui, c’est parce que nous ne sommes pas ensemble–ensemble. Et cependant, cela montrait qu’un jour... ils sont venus de partout, et ils se sont unis comme un grand bloc, et cet immense Colisée Sam Houston, où on tenait des rodéos et autres, était plein à craquer.
28 Monsieur Best s’est avancé, il avait loué le service d’un photographe commercial. Eh bien, voici les commentaires qu’il avait faits: «Venez par ici et tirez-moi six photos sur papier brillant, j’aimerais avoir une photo où j’écorche ce vieil homme.» Il a dit: «Je vais l’écorcher, et enlever sa peau, y frotter du sel, et accrocher cela à ma porte, dans mon bureau.»
Pouvez-vous vous imaginer un chrétien parler comme cela? «C’est à leurs fruits qu’on les reconnaîtra.» Et le premier fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la douceur, la gentillesse, la patience. Eh bien, mais c’est ce que cet homme avait dit. Et alors, monsieur Kipperman, et monsieur Ayers, de Douglas studio, à Houston, au Texas, se sont avancés. Et ce soir-là, il y avait une grande table à l’estrade, et il y avait Look, Life, Time, Colliers, et tous les journaux, ils prenaient des photos. Et alors, quand le débat a commencé, monsieur Cy Ramsar... Combien connaissent Cy Ramsar? C’est lui qui conduisait les chants. Et–et alors, quand il a fini, qu’il a fait ce commentaire-ci, il a dit: «J’ai vu dans le journal que vous étiez... que Frère Branham était un criminel religieux, qu’il devrait être chassé de la ville.» Il a dit: «Si les résidents de cette ville pouvaient consacrer plus de temps à débarrasser la ville des débits de boisson plutôt que des hommes qui croient, ce serait mieux pour eux.»
29 Et là... les gens se sont mis à pleurer, et les choses semblables. Et on m’avait dit que je ne devais pas y aller. Mais je suis monté au balcon trente, boxe trente, avec deux agents de police, mon frère, ma femme et ma fillette, nous sommes montés là et nous nous sommes assis; ils m’ont amené là-haut. Et j’étais assis là. J’avais dit que je n’aurais rien à faire avec cela, pas du tout. Je ne croyais pas dans des disputes.
Alors, ce soir-là, en regardant... Et quand monsieur Bosworth est monté à l’estrade, il a pris son–son journal, et il a dit... il y avait des gens de part et d’autre, qui n’étaient ni d’un côté ni de l’autre en rapport avec le débat. Il a dit: «Monsieur Best a occupé un–un côté pour dire que le... mon adversaire ici, que–que la guérison divine n’est pas enseignée dans le Nouveau Testament. Il a dit: «J’ai six cents passages des Ecritures du Nouveau Testament et de l’Ancien, notés ici, qui affirment que l’attitude présente de Christ envers les gens concernant la guérison divine est la même aujourd’hui qu’elle a toujours été. Si monsieur Best veut prendre ceci et infirmer l’un d’eux, pas avec son manuel, mais avec la Bible, vous n’aurez plus à faire davantage, je m’éloignerai et je dirai: ‘Je suis en erreur depuis tout le temps.’ N’importe laquelle de ces six cents questions... Il a dit: «Eh bien, monsieur Best, vous êtes libre.» Et il n’a pas voulu recevoir cela. Il a dit: «Je vous poserai l’une d’elles s’il veut correctement, par les Ecritures, prouver que c’est faux, alors, je vais–je vais quitter l’estrade.» Il a dit: «Cela devrait être bien assez; il y en a six cents, et j’aimerais que vous produisiez un seul, si vous me montrez un, c’est... qui est contraire à l’un de ceux-ci, alors je dirais que je suis en erreur, et je vais vous montrer six cents pour commencer.» Il a dit: «On dirait que c’est pratiquement perdu d’avance.»
30 Alors, il a dit... Il ne voulait pas le faire. Alors, le modérateur a demandé, il a donc dit: «D’accord, monsieur Best, répondez-moi à ceci.» Il a dit: «Est-ce que les Noms composés de Jéhovah, les Noms composés de la rédemption de Jéhovah, s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?»
Eh bien, cela a failli me faire tomber du siège, là. Eh bien, monsieur Best pensait qu’il ne pouvait pas répondre. S’Il était... s’Il était Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice, s’Il était–s’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, Il n’est pas le Sauveur. Et s’Il est Jéhovah-Jiré, Il est Jéhovah Rapha, le Guérisseur. Et s’Il est Jéhovah-Jiré, et le Jéhovah Rapha, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», Il est donc juste le même Guérisseur. C’est réglé, rien ne pouvait plus être dit.
Alors, monsieur Best s’était très fâché, il s’est mis à marteler le plancher et a dit: «Faites venir ce guérisseur divin, que je le voie.»
31 Et frère Bosworth a dit: «Frère Best, je–je vous demande certainement pardon.» Il a dit: «Frère Branham n’est pas un guérisseur divin, et jamais il ne l’a dit.» Il a dit: «Est-ce que vous...» Il a dit: «Croyez-vous au salut?»
«Oui, monsieur.»
Il a dit: «Aimeriez-vous qu’on vous taxe de sauveur divin?» Il a dit: «Si le fait pour frère Branham de prêcher la guérison divine fait de lui un guérisseur divin, le fait pour vous de prêcher le salut fait de vous un sauveur divin.» Il a dit: «Vous savez que vous n’êtes pas un sauveur.»
«Certainement pas.»
Il a dit: «Lui non plus n’est pas un guérisseur. Si jamais vous avez êtes sauvé, c’est par Christ. Et si jamais vous êtes guéri, c’est par Christ. Vous montrez le salut, c’est ce que frère Branham fait. Il montre la guérison dans l’expiation. Eh bien, si vous voulez en discuter, a-t-il dit, abordez-le (Voyez?), car c’était dans l’expiation.»
32 Alors, il a dit: «Faites venir ce guérisseur, et que je le voie guérir quelqu’un.» Et il a continué comme cela.
Frère Bosworth a dit: «Eh bien, frère Branham consacre son temps à prier.» Et il a dit: «Il ne se dispute pas avec les gens, et il... c’est...» Il a dit: «Eh bien, de toute façon...» (à la fin du débat), il a dit: «Frère Branham est dans la salle. S’il veut venir congédier l’assemblée, c’est en ordre. Sinon, eh bien, il n’est pas... il n’y est pas obligé. Mais, a-t-il dit, je sais qu’il est quelque part dans la salle, a-t-il dit, depuis un temps, je l’ai vu à son entrée.»
33 Et je suis resté assis là, et mon frère, Howard... Beaucoup parmi vous connaissaient Howard. Il était du genre, un vrai Irlandais typique, il a dit: «Eh bien, reste assis tranquille.» Il était juste derrière moi, deux agents de police se tenaient là... Et aussitôt qu’il a dit cela, j’ai senti Quelque Chose faire whoush... [Frère Branham illustre le son d’un tourbillon.–N.D.E.] Je me suis dit: «Oh! Non. Hein, hein, je peux entendre jusque là, mais ça, c’est plus clair.» J’ai encore perçu Cela descendre, faisant whoush... [Il décrit encore le son.–N.D.E.] Quelque Chose m’a juste fait me lever. Ma femme s’est mise à pleurer. J’ai dit: «Ne pleure pas, chérie.»
Et Howard a dit: «Assieds-toi.»
J’ai dit: «C’est le Saint-Esprit, Howard», et il a laissé passer.
34 Et les gens ont levé les yeux là, à ce moment-là, et ils se sont mis à pleurer. Et environ trois ou quatre cents huissiers ont joint leurs mains ensemble alors que les gens perçaient, cherchant à vous toucher les habits ou quelque chose comme cela. C’est pitoyable. Je sais le sentiment que j’éprouverais si mon enfant ou quelqu’un comme cela était malade, et que les médecins l’avaient abandonné, et que je pensais qu’il y avait quelque chose qui pouvait l’aider. Je chercherais à entrer aussi. Je ne suis qu’un humain, comme n’importe qui, et cela me brise le coeur de voir de telles scènes.
Et j’ai commencé à me diriger vers l’estrade. Monsieur... le... Kipperman et les autres avaient pris toutes leurs photos. Et quand je me dirigeais, ils ne nous ont pas permis de prendre des photos dans la réunion, parce qu’eux les vendaient et tout. Alors, il... Ils ont dit: «Qu’on ne prenne plus de photos.» Frère Lindsay et les autres avaient laissé les gens prendre des photos et tout.
35 Je me suis avancé à l’estrade; j’ai dit: «Que personne n’ait des ressentiments envers monsieur Best. C’est pourquoi les jeunes gens sont là en Corée, en train de se battre. C’est afin que nous restions des Américains, croyant tout ce que nous voulons croire.» J’ai dit: «Je n’approuve pas sa théorie, pas du tout», mais j’ai dit: «En tant qu’homme, c’est en ordre.» J’ai dit: «Une mère l’aime tout autant que ma mère m’aime. Et n’ayez pas de ressentiments envers lui; il a le droit d’avoir sa croyance.» J’ai dit: «Eh bien, de toute façon, je–j’ai de la considération pour mon Sauveur, quand on Lui avait mis un lambeau autour des yeux une fois, et qu’on pensait qu’Il pratiquait de la télépathie ou quelque chose comme cela, on L’avait frappé sur la tête avec un roseau, et on a dit: ‘Eh bien, si Tu es Prophète, prophétise, et dis qui T’a frappé.’» Vous rappelez-vous cela? Ils ont dit: «Eh bien, prophétise.» Il n’a pas fait le clown pour qui que ce soit. Il faisait ce que le Père Lui montrait. On a donc placé un lambeau autour de Ses yeux et on L’a frappé. Et ceux-là n’avaient pas senti la vertu, et Lui non plus n’avait pas prophétisé. Il ne faisait le clown pour personne.
36 Et j’ai dit: «Je ne prétends pas être un guérisseur divin.» J’ai dit: «J’affirme simplement prier pour les malades. Et je soutiens un don divin, que je suis né dans ce monde avec, et un Ange de Dieu était venu vers moi sous forme d’une Lumière...» Et j’ai dit: «Il est venu vers moi plusieurs fois. Il vient dans des réunions.» J’ai dit: «Si je dis la vérité, eh bien alors, c’est la vérité.» Mais j’ai dit: «Je ne peux guérir personne, pas plus que monsieur Best, ou n’importe quel autre homme ne peut sauver personne.» J’ai dit: «Mais ils ont été envoyés prêcher, je ne suis pas tellement un prédicateur, mais j’ai vu des milliers être sauvés. J’ai vu deux mille venir sur un seul appel à l’autel, mais si un... Mais ce n’est pas ce dont nous parlons, la guérison divine.»
37 Et j’ai dit: «Eh bien, personne ne peut venir ici sans que Dieu lui dise ce qu’il y a sur son coeur, ce qu’il a fait, et les choses de sa vie. C’est un don divin qui m’a été envoyé du ciel, c’est à moi individuellement. Dieu me l’a donné quand je suis venu dans ce monde.» J’ai dit: «Vous ne pouvez pas cacher vos péchés, et autres, cacher, et les pensées de votre coeur et de votre esprit.» J’ai dit: «Et tout ce que vous avez fait dans votre vie, tout ce qui vous arrivera, vous ne pouvez pas m’empêcher de vous le dire. Mais je peux prier pour vous jusqu’à ce que vous... jusqu’à ce que nous devenions tous vieux et grisonnants, alors que vous souffrez des maux de dent, si vous n’acceptez pas Jésus comme votre Guérisseur, cela sera toujours là, car la guérison, c’est uniquement par Chri-... Dieu Tout-Puissant.»
38 J’ai dit: «Si je dis la vérité, ai-je dit, je vous parle d’un Ange. Si je dis la vérité, Dieu témoignera que j’ai dit la vérité.» J’ai dit: «De même que Jésus l’avait dit aux Juifs: ‘J’ai des oeuvres plus grandes que celles de Jean, car les oeuvres que le Père m’a envoyé accomplir témoignent que je suis envoyé de Dieu.’» Et j’ai dit: «S’Il ne témoigne pas, alors je suis en erreur. S’Il témoigne effectivement, alors je suis dans le vrai. Non pas parce que c’est moi, mais parce que Celui qui m’a envoyé est dans le vrai.» Et j’ai dit: «Tout le monde sait que Dieu n’a rien à faire avec une erreur, et si je dis la vérité, alors Dieu parlera pour moi.»
39 Oh! Je n’oublierai jamais cela. Et à ce moment-là, les Cieux se sont ouverts et Il est venu ici, descendant au-dessus de moi, faisant [Frère Branham imite le son d’un tourbillon.–N.D.E.] Tout le monde était resté calme. Et l’homme qui avait pris les photos de monsieur Best, avant qu’il sache ce qu’il faisait, a couru devant et il a pris la photo. Dieu avait rendu témoignage. Il n’y avait plus rien à faire pour moi. J’ai dit: «Merci, Père», j’ai quitté l’estrade. Tout le monde était resté calme; ils ne savaient pas ce qui se passait.
Cet homme, en rentrant chez lui... Monsieur Kipperman est un Juif orthodoxe. Monsieur Ayers est un catholique romain. Il avait écrit dans un journal la veille, il disait que j’étais un hypnotiseur. Il disait qu’un goitre était sorti de la gorge d’une femme que j’avais hypnotisée. Et un jeune soldat qui était estropié, outre-mer, du dos, de la colonne vertébrale, était étalé sur place, comme une scie, il lui a été dit ce qui n’allait pas chez lui, on lui a dit de se lever. Alors qu’il était couché là-bas paralysé, il s’est levé sur ses pieds, il est sorti en marchant; il a dit que cet homme l’avait ensorcelé, il a fait toutes sortes de moqueries à mon sujet dans le journal. Et sur le chemin de retour chez lui, il a dit à monsieur...?... il a dit: «Qu’en pensez-vous, Ted?»
Ted a dit: «Je ne sais pas.»
40 Monsieur Ayers a dit: «Je suis catholique», il a dit: «On m’a appris à croire pareilles choses, mais cela ne peut venir que par l’église catholique. Si c’était... si c’était vrai, il serait dans l’église catholique.»
Et beaucoup parmi vous... je... mes ancêtres étaient catholiques. Beaucoup parmi vous les catholiques qui êtes là, vous savez que c’est ce qu’on a enseigné, que ça devait se trouver dans l’Eglise catholique. Les Juifs aussi pensaient que Jésus viendrait au temple, mais Il ne l’a pas fait. Il est allé là où Dieu Lui avait dit d’aller. Dieu fait des choses de façon mystérieuse. Vous n’auriez pas pensé qu’Il naîtrait dans une crèche, mais Il y naquit.
Eh bien, ils sont rentrés. Il a dit: «Eh bien, apprêtons ces photos pour Best.» Il les a plongées dans l’acide, six d’entre elles pour monsieur Best. Il en avait tiré une seule, mais il a simplement plongé cela.
41 Monsieur Kipperman est monté à l’étage pour aller au lit, et monsieur Best, ou monsieur Ayers, était resté assis, fumant la cigarette. Et peu après, Il est entré, il les a sorties de l’acide; il a sorti une: vide; deux: vide. Il a sorti toutes les six, elles étaient vides. Et quand il a fait sortir la suivante, l’Ange du Seigneur était là sur la photo. Et il a piqué une crise cardiaque. On a cherché à l’amener à l’hôtel Rice, évidemment on gardait la porte, on ne leur a pas permis d’entrer là où nous étions... là où je restais.
42 Et puis vite, il a soumis cela, il est descendu là, il a envoyé cela à vingt trois, cette nuit-là à Washington, D.C., revêtu du droit d’auteur. Puis, cela a été renvoyé à Houston. Et cela a été confié à George J. Lacy, le meilleur examinateur des Etats-Unis, un ancien de FBI. Il a gardé cela, il a dit: «Bon...» un dur à cuir. Il a gardé cela et a dit: «Bon, attendez une minute, a-t-il dit, j’examinerai cela», ainsi de suite comme cela. Et–et il a amené cela au building Shell pour examen... ce qui était...Au Building Shell pour examen et certification. Il revenait de Californie, d’un cas d’un demi-million et on l’avait amené là. Il a gardé la photo pendant deux jours; puis il a envoyé un mot, disant: «Nous ferons rapport sur cela pour vous faire savoir ce qu’il en est à quatorze heures, l’après-midi du jour suivant, le troisième jour. Un grand groupe de photographes, et autres s’étaient assemblés. Beaucoup de gens de la ville, comme le rédacteur de Colliers et celui de Times, étaient assemblés.
43 Et quand il est sorti, c’est un homme aux cheveux un peu roux, un dur à cuir. Il est sorti, sarcastique; je l’ai regardé, on dirait que son visage s’était attendri. Il a demandé: «Qui s’appelle révérend Branham?»
Et j’ai dit: «C’est moi, monsieur.»
Il a dit: «Tenez-vous debout.» Et je me suis mis debout. Il a dit: «Révérend Branham, un de ces jours vous quitterez la scène de la vie comme tous les mortels.»
J’ai dit: «J’en suis conscient, monsieur.»
Il a dit: «Mais tant que la civilisation chrétienne subsistera, votre photo ne passera jamais.» Il a dit: «C’est la première fois dans toute l’histoire du monde qu’un Etre surnaturel ait jamais été photographié. Mais j’ai fait passer cela par chaque épreuve imaginable et, a-t-il dit, il y avait un Etre surnaturel là qui a été photographié.» Il a dit: ‘Moi-même, je disais, j’avais entendu parler de vos réunions, j’ai lu cela dans les magazines, j’ai entendu parler de cet Ange-là, et autres. Je disais en moi-même, jusqu’au moment où j’ai reçu le négatif, que c’était de la psychologie.’» Il a dit: «Mais, Frère Branham, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie.» Il a dit: «La lumière a frappé l’objectif.»
44 Il a dit: «Ma mère était une chrétienne. Et je–je pensais que je l’étais.» Il a dit: «Mais que Dieu ait pitié de moi.» Il a dit: «Avancez.» Tout le monde s’est mis à pleurer. Il...?... Il a dit: «Autrefois, le vieil hypocrite disait, Frère Branham, (il voulait dire l’incroyant), qu’il n’y a pas de preuve scientifique de l’Etre surnaturel.» Il a dit: «Ces jours-là sont révolus aujourd’hui.» Il tenait le négatif en main. Il a dit: «Ces jours-là sont révolus. Et il a dit: «C’est scientifiquement prouvé que l’Etre surnaturel est ici.» Il a dit: «Monsieur Branham, je vais vous confier ça.»
J’ai dit: «Ce n’est pas à moi, monsieur.»
Il a dit: «Oh! Attendez une minute, a-t-il dit, ce négatif vaut cent mille dollars, tout de suite...»
J’ai dit: «Si cela... pour moi, Cela vaut la vie.»
45 Il a dit: «Frère Branham, vous rendez-vous compte de ce que...» Il a dit: «Vous ne vivrez jamais jusqu’à voir le jour où cette photo aura sa valeur, car le–le testateur doit toujours être mort avant que le testament soit vu.» Et il a dit: «Cela se fera des jours après votre mort.» Il a dit: «Mais maintenant même, vous rendez-vous compte de ce que c’est?»
Et j’ai dit: «Monsieur, Cela appartient à American Photographers Association.» [Association américaine des photographes.] J’ai dit: «Cela... Si Jésus-Christ, mon Seigneur, a eu assez de considération pour moi, pour descendre dans une bataille comme celle dans laquelle j’étais, et se faire photographier avec moi, pour la première fois dans toute l’histoire du monde, je L’aime trop pour commercialiser cela.» Et j’ai dit: «Je n’aurai rien à faire avec ça.»
46 Ainsi donc, on m’a demandé de bien vouloir élaborer un plan pour eux. Les avocats étaient là et tout. Le studio avait les avocats. Et j’ai dit: «Je ne signerai pas de papiers. Mais monsieur Kipperman et vous, si vous souhaitez vendre cela, faites en sorte que tout le monde (les pauvres) puisse avoir cela.» Mais j’ai dit: «Regardez, autre chose, je vais demander, à cause du caractère sacré de la photo, que monsieur Lacy, vous signez un document afin que les critiqueurs ferment la bouche en voyant cela.» J’ai dit: «Et un document signé. Et je vais vous demander, monsieur Kipperman, et vous (par un accord), vous avez le privilège de vendre cela. Je ne signerai pas de documents, mais vous avez le privilège de vendre cela à un prix si bas que les gens pourront se le procurer et qu’aucune photo ne sorte sans une déclaration signée par monsieur Lacy, ici, qui est le meilleur de l’Amérique.» Je pensais donc que c’était le meilleur au monde.
Et il a dit: «Je le ferai.»
Alors, il a rédigé une–une déclaration, ce qu’il a fait, il est allé à l’auditorium, il a cherché pour voir s’il y avait une double exposition, là juste au-dessus de la tête, là où Cela s’était établi, C’était la Grande Colonne de Feu tourbillonnant, tourbillonnant, tourbillonnant.
47 Il a dit: «Frère Branham, dans le... en examinant le négatif par des lumières ultraviolettes et autres, on dirait que c’était un peu jaune, un feu verdâtre, tourbillonnant, comme ceci.»
Et j’ai dit: «C’est exactement ainsi que Cela est.» Et les gens étaient là qui avaient vu Cela.
A mon avis, voici ce que je pense que cela est, pendant que je lis des Ecritures. Premièrement, j’ai la photo ici; j’aimerais vous la montrer. Monsieur Kipperman la vend parfois dans des réunions. Mais quand j’ai découvert qu’il faisait payer trop aux gens pour cela, je ne lui ai plus permis de vendre cela dans des réunions. En effet, la photo ne coûterait pas plus de trente ou quarante-cinq cents, pas plus de cinquante tout au plus, alors vendre cela à un dollar et vingt-cinq cents, c’est trop cher. Ainsi, je... Pouvez-vous voir cela derrière?
48 Eh bien, la nuit, quand vous voyez ces choses se passer ici, ce n’est pas moi qui fais cela; Voici Celui qui les fait. Combien voient à distance là derrière? Faites voir la main, là au fond. Je demanderais à mon jeune garçon d’amener cela au kiosque là derrière. Et ici aussi, si vous voulez lire les écrits de monsieur Lacy, cela se trouve là. Vous pouvez avoir une photocopie... une photocopie se trouve dans mon livre là, mais ils ne nous permettront pas (les studios), ils ne me permettront pas de reproduire la photo dans mon livre. Ils me permettent d’avoir le... ceci, car ceci est sous droit d’auteur. Voyez au verso, et ici? Et vous ne pouvez pas toucher cela (voyez?), car c’est sous droit d’auteur, et on a cela à Washington, DC. Et l’une d’elles est accrochée au musée des oeuvres religieuses, à Washington, DC, comme la première photo jamais prise d’un Etre surnaturel.
49 Savez-vous ce que je pense, amis? Je pense, voici où ça se trouve, dans Exode 13. 21:
L’Eternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée (une Colonne de Nuée) pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent jour et nuit.
La colonne de nuée ne se retirait point de devant le peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit.
Et d’un coeur respectueux et sincère, je cois que c’est le même Ange de Dieu qui avait fait sortir Israël de l’Egypte pour les conduire à la Terre promise, dans le naturel, qui nous conduit vers la Terre promise aujourd’hui, dans le spirituel. Car «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. Je vais vous préparer une place.» Et je crois que l’Ange du Seigneur conduit l’Eglise aujourd’hui, et c’est le même Saint-Esprit. Et tout le monde sait que le–l’Ange de l’alliance était Christ. Et pas... Ce n’est absolument pas pour moi, ami. Je peux être compté parmi vous, mais cet Ange du Seigneur ne fait simplement pas... pour moi, c’est à vous tous. Il est ici maintenant même. Il est juste dans la salle. Je L’ai senti maintenant même. Et je sais que l’Ange... ce même Ange dont je parle ici, n’est pas à cinq pieds [1,5 m] de moi maintenant. Et quand je vous rencontrerai à la barre du Jugement, et que cette nuit apparaîtra, voyez si je ne vous ai pas dit la vérité. Il est juste ici maintenant.
50 Maintenant, si ceci était ma dernière réunion que je devais donc tenir dans toute ma vie, mes paroles sont la vérité. Car je n’ai pas témoigné de moi-même; j’ai témoigné sur Jésus-Christ. Et le monde, le monde ecclésiastique, qui voit Cela, qui voit Son opération, sait et croit que c’est la vérité. Et maintenant, le monde scientifique est sans excuse. Cela est scientifiquement prouvé au monde scientifique.
Vous disiez: «Je n’ai rien vu se répandre ...»
Non, non. On n’a pas permis à Look, Life, Times, ni aucun de journaux d’avoir cela. Eux tous voulaient avoir cela, on ne leur a pas permis d’avoir cela. On disait que s’ils publiaient cela dans le journal... Vous connaissez un Juif. Pas eux tous, mais certains d’entre eux veulent l’argent. Il a dit qu’on découperait cela. Ils veulent rendre Cela, et certainement qu’ils ont vendu des milliers et des milliers, des milliers d’elle, partout. Ainsi donc, je–je n’ai rien à faire avec cela.
51 Mais sauf cette unique chose, c’est que je suis content ce soir, de savoir que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui est Souverain dans Sa Parole et la grâce, a confirmé que je disais la vérité. Et je vous ai dit la vérité. C’est à vous de croire cela; c’est tout. Que Dieu vous bénisse, c’est ma prière.
Fiston... Madame [La femme dit quelque chose à frère Branham.–N.D.E.] Disons: «Gloire au Seigneur.» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.–N.D.E.] C’est... Oh! que Dieu vous bénisse, soeur. Vous savez donc ce qu’est la vérité, n’est-ce pas, soeur? C’est vrai.
Y a-t-il quelqu’un d’autre qui était là à Houston, quand la photo a été prise? Un homme debout ici même, était là quand la pho-... un autre, ici, un autre, là, là, là. Disons: «Gloire au Seigneur.» La Bible dit: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Est-ce vrai?
52 Maintenant, amis, pendant qu’on est en courte visite ici, en–en ce lieu-ci, mettons tous maintenant de côté, chaque petite pensée que nous avions, que c’était... peut-être que c’était ceci, cela ou autre. Disons simplement: «Seigneur Jésus, nous Te remercions beaucoup.» Et pendant ce peu de temps que nous passons ici dans la ville, puissions-nous nous serrer les uns contre les autres comme la poule ramenant ses poussins de sous la pluie. Puissions-nous tous être à l’abri de Son amour, que ces fauteuils roulants, que ces gens souffrant de coeur, de cancer et autres, vivent et ne meurent pas. Allez-vous le faire?
C’est votre foi qui fait fonctionner le don divin. Comme je l’ai dit, si jamais je ne réapparais en public, et que ma vie était retirée ce soir par le Dieu Tout-Puissant, Lui seul a confirmé cela devant le monde spirituel, les croyants, et aussi, devant les incroyants. Combien croient que c’est vrai? Faites voir les mains. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Maintenant, j’ai pris un peu de votre temps. Et, fiston, viens maintenant ou prends la photo, et ils la placeront là-derrière.
Je suis désolé, nous n’en avons pas à vendre, mais vous... allez voir cela, lisez cela, eh bien, c’est parfaitement en ordre. Inclinons la tête maintenant.
53 Ô Père, je ne voulais pas prendre tout ce temps, Seigneur. Quand je me mets à parler de Toi, je T’aime tellement que je... mon coeur brûle simplement en moi. Je–je pense à Paul qui avait prêché toute la nuit, un soir, sur Toi, et un jeune homme est tombé de la fenêtre et a été tué; et–et Paul est allé, il a posé son corps sur lui, car il savait qu’il était oint. Il savait que l’Ange de Dieu qui s’était tenu à côté de lui, là cette nuit-là sur la mer houleuse, était avec lui, et la vie du jeune homme lui a été restituée. Et Il a dit: «Tu vas bien te porter», et il s’est bien porté.
Je me souviens combien Paul T’aimait. Quand on construisait l’échafaud pour lui ôter la vie, il a dit: «J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. «Et désormais la couronne m’est réservée, le Seigneur, le juste Juge, me la donnera en ce jour-là, non seulement à moi, mais à tous ceux qui aiment Son apparition.»
54 Père bien-aimé, je Te demande ce soir, par les miséricordes, d’envoyer la grâce sur cette assistance. Bénis tout le monde, Seigneur. Et, ô Dieu saint, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, j’ai essayé de témoigner au mieux de ma connaissance. Et je Te remercie pour Ta Photo ici avec nous. Je regarde Cela, et mon coeur frémit, je me dis: «Malheur à moi, l’Ange de Dieu s’est tenu près.» Et Tu as confirmé Ta Parole maintenant, pratiquement à travers le monde; des milliers et des milliers se réjouissent. Le monde scientifique regarde Cela, il garde silence devant Cela; ils ne veulent pas que Cela aille plus loin. C’était pareil à Ton époque. Mais ceux qui ont faim et soif de la justice, seront rassasiés. Et ceux qui sont prédestinés à voir le Royaume de Dieu verront: «Car nul ne peut venir à Mon Père... ou venir à Moi si Mon Père ne l’attire.» Et, Seigneur, il y en a ici qui croient. Je Te prie, Père, de nous enfermer ensemble ce soir dans les liens de l’amour de Christ et puisses-Tu tendre Tes saintes mains pour guérir tous dans cette salle.
55 Et que, quand la soirée sera terminée, Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don, encore deux réunions pour terminer ici en Amérique avant de naviguer sur des mers... Et, Seigneur, S’Il Te plaît, exauce la prière de Ton serviteur. Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, accorde que celle-ci soit une grande soirée. Les gens ont longtemps attendu dans une salle surchauffée, mais que ce soir, quelque chose de différent se produise. Que les–les aveugles voient, ou que les sourds entendent, ou que les boiteux marchent ce soir; qu’il y ait quelque chose de grand. Et que le Saint-Esprit soit près, dénonce le péché, réprimande des choses qui ne sont pas correctes, pour redresser une pauvre personne afin qu’elle puisse croire.
56 Et, Seigneur, pendant que Tu es à l’oeuvre ici, comme je l’ai témoigné, témoigne de moi, Seigneur, je T’en supplie, ce soir? Et que Ton Esprit vienne, qu’Il confirme que Tu es présent. Que chaque personne qui Te voit, Ta merveilleuse façon ici à l’estrade, Te mouvant là dans l’assistance, désignant ces gens là-bas. Seigneur, que ceux-là ce soir, ceux qui sont assis dans l’assistance, qui ne seront pas dans la ligne de prière, aient une grande foi, qu’ils regardent et disent: «Je crois que c’est la vérité.»
Alors, Seigneur, guéris-les, et fais que Ton serviteur se tourne vers eux, et le leur annonce, qu’ils sont guéris. Accorde-le, Père. Veux-Tu exaucer ma prière, alors que je Te prie sincèrement? Au Nom de Ton Fils Bien-aimé, Jésus. Amen.
57 [Frère Branham parle à quelqu’un.–N.D.E.] Mon garçon a dit qu’il avait distribué des cartes de prière D aujourd’hui. Commençons ce soir... Hier soir nous avons commencé par 1, n’est-ce pas? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et je leur demande de garder la tête inclinée. Cet esprit froid continuait à affluer. J’ai perçu là où c’était, j’ai regardé en arrière dans l’assistance, un homme était assis là avec la tête relevée, comme cela, un groupe de gens... J’ai dit: «Monsieur, voudriez-vous incliner la tête?» Il a simplement ri de moi.
Et j’ai encore prié, et cela ne voulait pas quitter l’enfant, en effet Il m’avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire...» Et cela montrait qu’ils ne croyaient pas, sinon ils auraient fait ce qu’on leur avait dit de faire. Alors, j’ai dit... j’ai encore essayé, cela ne... j’ai dit: «Maintenant, rappelez-vous, monsieur, tant pis pour vous, je ne suis pas responsable.»
58 Et j’ai dit: «Dieu Tout-Puissant, ne laisse pas ce pauvre petit enfant innocent souffrir pour la culpabilité.» Et il a eu une–une crise là même, j’ai demandé à Dieu de guérir l’enfant. Et quand l’esprit a été réprimandé, le petit enfant s’est calmé, et cet homme, et environ... J’oublie combien de gens, chacun d’eux a piqué des crises d’épilepsie, et ils se sont mis à sauter partout dans la salle, criant, et bavant, et tout. A ce que je sache, ils souffrent encore de l’épilepsie aujourd’hui.
J’ai vu un homme il n’y a pas longtemps à Phoenix en Arizona (Je suppose qu’il est présentement mort), de cancer. Il pensait tout connaître. Il disait: «C’est de la psychologie.»
Quelques soirées après, ce n’était pas de la psychologie, quand il est allé chez son médecin, souffrant des crampes. Il lui avait dit qu’il souffrait du cancer...?... Soyez respectueux. On ne fait pas de religion; le Seigneur Jésus est ici. Nous les Américains, nous sommes têtus, emportés, hautains au point que nous pensons tout connaître. Nous vivons maintenant de la réputation de nos aïeux.
59 Quand Israël sortait de la volonté de Dieu, ils en souffraient, et nous souffrirons aussi. Soyez donc respectueux, et n’oubliez donc pas cela.
Très bien. J’espère que les chrétiens comprendront. Combien de chrétiens y a-t-il ici? Levez la main. Des croyants en Christ...
E-1 Thank you much. Good evening, friend. I'm happy to hear that testimony, always, of where our Lord has done something for some of His children. May God bless you, sister, whoever you are. And I guess I wouldn't know you if you was standing before me, because I don't get a chance... All right. God bless you. And what meeting was that in, sister? [Sister talks to Brother Branham--Ed.] Windsor? Are you a Canadian? Oh, you're from Cleveland. Yes, ma'am. I am happy that you're healed. I just trust that all that's in this meeting tonight will be as you are, shortly. God bless you, sis.
E-2 When I was speaking to you, or whatever happened, you believed what I said was the truth. Did it come out just the way I said it would? Just like I said. If that's true, raise up your hand so you can see. See? Now, what if you'd have doubted what I had told you the Lord had said? You'd have--you'd have died, yes, ma'am, as your doctor said. You've got to believe one or the other. And God never can tell anything wrong; He always tells the truth. Well, God bless you, sister. And if I don't meet you no more in this life, I will at the other side, by God's grace. Amen.
I'd like to set down with all my friends on the other side, and just talk it over, where we have plenty of time to talk it over by it.
E-3 Now, tonight, I... It's awfully warm. Brother Baxter... Last evening it was just so hot, and we was... When I got home my coat was wringing all over, and after I kind of got to myself, after the service was over. I'm not in very good condition for awhile. I'm getting awful weak, but I've just got two more meetings now, before a little rest, and going overseas, then we'll have about two or three nights in New York City at some big boxing place there, where they have them big fights. I... We got to appear there, for two or three nights, just before going to southern Rhodesia, Africa, to begin.
E-4 If the good Lord willing, we hope to be in Jerusalem around Christmas. And those Jews has said to come up, many of them, as you've seen the "Look" magazine. They said, "If this Jesus be the Christ..." They never knowed nothing about it. See? They were down in that--there for two thousand years. They still plow with old wooden plows, like they did two thousand years ago. Many of you read the article.
And the Norwegian church, and the Swedish church sent out a million Bibles, New Testaments, and those Jews reading the New Testament, said, "Let us see this Jesus do the sign of a prophet, and we'll accept Him as Messiah." Oh, I hope God let's me go down there and do something that--that they'll believe on the Lord Jesus, everyone of them. I trust that He will. And you pray for me, when you know it's time for me to be there in October. We begin on October the 4th, at Johannasburg.
E-5 And now, being that it's so hot in the auditorium, and it's the time of year, it's the only thing we could get, and we're happy to have it. I'm only glad that we got this, or we couldn't have come to the city. But I trust that it'll prove to be a great blessing to all of you that's here. And may many of the sinners be saved, and--and the Christians have a closer walk with our Lord, is my desire. And may all the sick be healed, and all the cripples be healed, is my prayer.
I seen one time in my life, where every person in the building, or in the... It was a large tent which consists of many more than what's here tonight, at one wave of the Holy Spirit came through the tent, just as I walked to the platform, and there wasn't a crippled or afflicted person left in the building, no sick people or nothing, they was everyone healed..?... They piled up wheelchairs, and things so high, they just have to take them and throw them up like that, to get them up.
E-6 The next morning, going down through the city, was a great, big cattle truck packing all of them, and the people that once set in them, and laid on their cots and things, walking behind, singing "Only Believe," with a police escort. I stood in the window of the hotel, I wept like a--a child. I couldn't help it. My heart, I just thought.. "O Jesus, the same yesterday, today, and for ever." That was it. And they can be the same thing here at Toledo. The only thing it lacks is just a little faith. You just believe; just believe what you hear.
Now, I--I try to speak to the best of my knowledge, all that I know how, to glorify Jesus Christ, Who has redeemed us all, redeemed from everything that the fall consists of. He came as a kinsman Redeemer to redeem the human race back to God. And we have the earnest of our salvation. This that we have now, this glorious Holy Spirit, is only the earnest of our being above sin in the rapture.
E-7 And if there is no Divine healing now, there is no resurrection of the body. Divine healing is the earnest of our redeemed body. Did you ever think of that? If there's no Divine healing, then when you go at the grave, that's all of it. You'll be there forever, and your dust will go away, and there'll be no more of you. See? If there... We have the earnest of our salvation, and completeness, back the way we was in the garden of Eden.
And I think that the power of God that would take a cancer-ridden woman here, that the doctor's has just given a few days, and she's one of the thousands that's on records, not just the man, the person's testimony, but the doctors testimony, one of the thousands. And her eaten up (with a few hours to live), by cancer, and by the earnest of her redeemed body will put her in the condition it is now, what will it be when she draws the full value off of the resurrection of Jesus Christ? That's just the down... You know what the down... the earnest is? The earnest is the down payment on anything that holds it, a surety, secures it. Now, she's just got the earnest of it by being healed with a--a hideous cancer, that would've taken her life, and here she is setting well and normal.
E-8 Now, if there never was another case besides hers, that would be a perfect evidence of the Divine will of our Lord Jesus Christ to every person on earth. See? For He never just picked out certain ones, it's "Whosoever will, let him come." See? It's just according to your faith to believe.
And now, for a few moments, and I will try not to keep you like I did last night, and let you get so awfully stuffy in the building. Now, I want to continue to speak about our Lord in His ministry today.
Now, there's many people in the Bible that teaches the Bible as a historical book, which It is. But It's more than a history, It's a prophetic Book also, that foretells... It tells what was; It tells what will be. Do you accept that to be truth? And now, the same Jesus that was, is, and will be... See? He's the same Jesus all the way through the Scriptures, the same Christ, all the way through. In the beginning, He was, in the middle of the Book, He's here: "Lo, I come: in the volume of the Book to do Thy will, O Lord." And in the end, He's "Alpha, Omega, the Beginning, the Ending, He which Was, which Is, and shall Come, the Root and Offspring of David, the Morning Star, the Rose of Sharon, the Lily of the valley." Why, He's just... That's just Him, isn't it? He--He's Emmanuel. He's the both the Root and Offspring of David. See?
E-9 Now, His ministry carries on. Many people teaching the Bible as a history--history (which is very fine), that we learned in our seminaries and schools, which is fine. But brother, that's just what was; what about what's now? You can't find that in school. You don't know that by genealogy, you know that by kneeingolgy, on your knees before God. It doesn't take education; it takes a surrendered heart. God works on the heart. Do you believe that?
Now, if for instance, if today, if I could come here as it is very warm in the building tonight, and could paint you a picture here on the wall of a air-cooled, arctic place, or something, it would look very well. I'd say, "That's what was." But that doesn't make you be cool, does it, just a painted picture? For instance, you were freezing, and I painted you a picture of fire licking, and burning, like that, I'd... and people standing around getting warm, I'd say, "Looky there, that's fire." Why you can't get warm by a painted fire; it won't warm. That's something that was. You've got to have the fire yourself. What Jesus was then, He is now. If He was a fire, a warmth to the heart, and a soothing, a shelter in the time of storm, He is the same today.
E-10 Now, someone said not long ago, "Brother Branham, preach the Gospel..." A very noted radio evangelist, a friend. We belong to the same church. And he said, "Brother Branham, while you're on the West Coast here, preach the Gospel."
I said, "I do, Doctor."
And he said, "Not that Divine healing." He said, "Preach the Word."
I said, "The Word is what I preach, sir."
He said, "Look, Brother Branham," he said, "the Gospel is the Word of God."
I said, "Not altogether, brother. The Bible said the Gospel come to us not in Word only, but through power and demonstration of the Holy Ghost (See?) to preach the Word, The letter killeth, but the Spirit giveth Life." See?
It has got to be... Jesus said, "Go into all the world and preach the Gospel to every creature." Then interpret, it in Bible forms means go into all the world and demonstrate the power of the Word by the Holy Ghost. "And these signs shall follow them that believe."
E-11 Today we say, "What signs?" We go to church; we pay our dues, and we treat our neighbors right. That's wonderful, but that ain't what Jesus said. Jesus said, "These signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils, speak with new tongues; take up serpents; drink deadly things; lay hands on the sick, and they shall recover." [Blank.spot.on.tape--Ed.] That's the signs that Jesus said.
Our ministry has changed it over, and said, "Oh, there's a real believer; I tell you; he loves the Lord. And he goes to church every Sunday, and he pays his dues to the church, and he treats his neighbor right." That's just moral acts. The Holy Spirit in the man demonstrates the power of the supernatural, what makes him a believer. It's God vindicating that he is a believer. Jesus said, "These (not 'them'), these signs shall follow them that believe."
E-12 All right. Now, the supernatural is what blinds men. It has in all ages. But isn't it marvelous to think where the supernatural is demonstrated, "Where the eagles are, the carcass is, rather, the eagles will be gathered." Through the age it has been that way. Men walk in slumber of life, and they hear their teaching and their philosophy, and so forth, and--and that teach theologies and... But that still doesn't satisfy the human heart.
And when the supernatural comes into view, like it did in the days of our Lord Jesus, after their fine priests and so forth, that they had, and their scholars, and their philosophies... When Jesus came on the scene with His, with the power and the manifestation of God, the people flocked to Him to hear, because it's something in the realms beyond. And all men knowing that soon, all the education he's got, and the theology, and so forth, will rot in the grave with him. We know that. But where the supernatural is, pierces beyond the grave. And that's what... people look, and most time, if they're critical, and they're not open up in their heart, they'll pass some opinion on it, like they did at Him, and said, "He's Beelzebub, a devil, and he casts out devils by the devil. And he knows those things, He sees them. Yeah, Beelzebub shows Him, and..." and is like that, and they pass on. But some believe Him. And those who believe was saved. Those who believed could get healed. But if Jesus Himself was standing, wearing my suit and my shoes, He could not help you anymore tonight, than what He can in the form He's doing now. You know that?
The Bible said there's a place that He went into that, "Many mighty works He could (c-o-u-l-d n-o-t), could not do because of their unbelief."
E-13 When some blind men followed Him, He touched their eyes and said, "According to your faith be it unto you." The Father had not showed Him nothing about that; He just touched their eyes. But when calling Lazarus, where He'd seen, He said, "Lazarus, come forth." And to the other people who the Father had showed Him by vision, what He was to do, He called them, and so forth. Then when the others come by, He touched them, and said, "According to your faith."
The woman that had the blood issue touched the hem of His garment; He turned around and said, "Virtue has gone from Me. Somebody touched Me." The Father hadn't showed Him, but it was sensitive (the Spirit), that virtue went out, for the Father had honored her faith in His Son. You see what I mean? And there she was healed.
E-14 Now, the same word in the Bible, translated, s-a-v-e-d, and healed, is the very same word all the way through the Scriptures. Anyone knows that. Now, well, when you're--you're saved, spiritually, or you're saved physically... now, He said to the woman, "Thy faith has saved thee," physically, saved you. Now, it's in the redemption; it's in the atonement; it's in the plan of God. You can be spiritually saved or physically saved, because He was wounded for our transgressions, with His stripes we're healed." Is that right? So it's just according to your faith.
Now, in His loving mercy, after ministers, through the years, has passed through the land and preached this wonderful Word, thousands of people has been blessed, and saved, and healed, and so forth. Then, in His sovereign mercy in the last days, as He promised, when the last days... "I will pour out My Spirit." There'd be a former and latter rain; and in the latter days, He would send forth a great blessing to the people. When the enemy comes in like a flood, I will raise up a standard against it." See?
E-15 And as atheism is on the march and so forth, and the churches are falling away, and getting formal, let me say this to you my dear brother and sister, if you'll receive me as your brother, we need a revival. Now, I--I'm not discrediting anything; I'm talking to you from my heart. We're having a lot of protractive meetings, but not no revival. We're have great men out, for instance, Billy Graham, a wonderful man, Charles Fuller, Doctor De Haan, and many of the others that I could call: Hyman Appleman, and many great men. We're having great... There's also Brother Roberts, Brother Freeman, my own meetings. We're having great crowds but no revival. We're getting people to come up, maybe, and stagger along, and confess, and go back. But what we need is an old fashion, breaking up, tearing down, rooting out revival that starts in every home, and sweeps through the city, and they close all the bootleg joints and everything else, and straighten the thing up. That's a revival. See? Not just walking up and making a confession and going back, and it's no revival. That's just a form. It's a lukewarm condition. We need a real revival. And God help us to have it.
E-16 And when you see these crowds gathering, that doesn't mean revival; that's just a gathering. But a revival is when people get really right with God, and pray through, and starts a revival throughout the city, and everything. You see? They put away sin, put away their iniquity, and...?... turn to God, turn around and start back again (See?), the road. Now, I trust it'll be that way in this city.
Now, concerning the operation of the spiritual gift, Brother Baxter will teach you in his afternoon meetings and so forth, what is germ diseases, how they're demons, and how they hold people, and possess people. Now, I want to get a little story to you each night, as I can.
E-17 Tonight, I want to speak to you about the Angel of the Lord. Now, to... It's just as true, friends, as I'm... I can't make you believe it. You see? I can only speak what's truth. And your attitude towards it will determine the success it'll be for you. I have no power to operate it.
If my dear mother laying here, would be on a platform would be dying, and say to me, "Son, I held you on my bosom, and you nursed life from me, and I walked away from the table when we had nothing to eat, so that when you was a little boy you could eat and live. My beloved son, tell me, what will be the outcome of me in this..." I could not say one word until first He showed me. For it's not nothing to do with man; man is completely out of it.
E-18 Even the Son of God, He said, "I can do nothing except the Father shows Me first." And if He couldn't, how much more I, as a man, a sinner, and He never was a sinner. And He was borned the virgin Son of God. And I was borned in sin, shaped in iniquity, come to the world speaking lies, worthy to go to hell, but He redeemed me. And only hands He has on earth tonight, is my hands, and your hands. The only mouth that He has, is my mouth and your mouth.
"I will be with you, even in you, to the end of the world." Is that His Word? See? Then it's Him, "It's not you that speaketh," He said, "but your heavenly Father that dwelleth in you, He doeth, will tell you at that hour." You see?
E-19 Now, in going forth, it was very hard when I first made the announcement about the Angel of the Lord. Many people, even my bishop, pastor, when I went to him and told him, he's the head of the church in that section of the Missionary Baptist. I said, "Dr. Davis, the Angel of the Lord..." and then told him about it.
He said, "Billy, what did you eat for supper last night? You had a nightmare."
And many of you that takes that little paper of Brother Lindsay's, called: "The Voice Of Healing," you seen his apology recently.
He said, "What did you eat for supper that night?"
I said, "Sir, I don't appreciate that."
He said, "Ah, go on home and forget about it."
E-20 I said, "Dr. Davis, look, you might tell me to go home and forget about it, but God has anchored something in here. If you don't want me, there's others that will." I said, "I am under obligation to God to go."
Well, it was very hard. They told me that they couldn't be done, and so forth. And my last sermon at the church was "David and Goliath," the opposition that David had. But as soon as Goliath was slain, then others, the Israelites taken courage and went forth, and that's what's happened. When they seen that it could be done. Ministers setting on the platform, they didn't claim to be--be able to know these things, but they believed in the Word, and give them courage, and they went out: Brother Roberts for one of them, Brother Oral J... and Brother Jaggers, and all of those. They's such man in the meeting. They seen the vision, rose, and went out into the fields, and are slaying now, and they've beat the Philistines plumb to the walls. That's right.
E-21 Now, I'm leaving the fields right away. I have one more--two more American meetings. And God only knows when I will ever have another one. I'm returning back, as Elijah, to Mount Carmel. I believe God is fixing to do something else for the Church, and I must wait on the Lord, and find out what He says do, and then there'll be a great move for the Lord. I believe we're near the coming of the Lord, when these... He said, "I will show signs in the earth below, and in the heavens above before this... the day of the Lord shall come."
I've been called practically everything from a Divine healer, to the incarnate Son of God, and demon, and everything else, mental telepathy, and--and all kinds. But that still doesn't change it a bit. He's Jesus Christ, and we are His people. By His grace He has redeemed us, and that's all we are. And it's Him that does all things by the will of the Father. We believe that, don't we?
E-22 Now, many times in the meeting, the Angel of the Lord which appeared, and many of you know about, it appears like a... that night, and all down through the time, it looks like a big Pillar of Fire, about that thick, and about that big. And It comes in a licking, whirling, going [Brother Branham imitates the sound of the Angel of the Lord coming to him--Ed.] Thousands times thousands has seen It. It's appeared visibly...
Here not long ago, I was standing near Fort Wayne, Indiana, in a meeting, and I was speaking, and the audience was very haughty like. It was in a theater building. And I was trying to... I said, "Now, it's the Angel of the Lord..." I just being started, and I could see the people looking one to another, and you could feel that cold feeling. And some of them, especially the sick, they wasn't thinking of that. They... The others that was acting that, they--they wasn't sick. The sick man is looking for help; you can talk to him. A hungry man that's real hungry, you can talk to him about food. But if he's eat, you... he's not so interested about dinner anymore. See? Well, that's it, it's the ones that's in need. And maybe sometime, you'll be in need, too. So it'll be different. If it was your mother laying here dying, or it's your son, or someone, it would be different, and the doctors said there was no hope for them, it would be different.
E-23 But they were acting like that. And I said, "I can't make you believe it." And I started to--to pray for the--the people that night, was going to pray, and I said... took a little boy, and the first one in the prayer line was a little boy who had crippled feet. And it was polio had drug his--pulled his little feet down, like that. There was a baby grand piano, something like this, setting down like that, and there was a Nazarene girl playing it. And so, she was playing: "The Great Physician Now Is Near," the sympathizing Jesus. And the mother of the child was setting right down here. The usher had brought the child in the line.
E-24 And I was praying for the little boy, and I said, "Heavenly Father, I ask Thee to be merciful." And I thought the custodian turned the light in my face, and I seen it getting brighter, and brighter. And I said, "Lord..." And I thought, "Oh, my, that man, that's... If he doesn't like me, he ought to be gentleman enough not to do that." And it kept getting brighter and brighter, and I thought, "Oh, my." And I raised my eyes to motion to him to... opened my eyes, rather, to motion to him to quit doing that, and when I did, it wasn't him, it was the Angel of the Lord come whirling, like that. It was coming right to me.
Now, I do not know (to be honest), whether I dropped the child, whether he jumped out of my arms, or the Holy Spirit taken him out. I don't know. But he got on the floor, and his little feet was just as normal as they could be. And here he started walking down, and the mother of the child saw it, what had happened, and she just screamed, and jumped forward, and she seen the Light. And the Nazarene girl looked up... How many Nazarenes are here, from the Nazarene church? You mean there was no Nazarenes here? And... here they are, that's fine, and back there; that's wonderful.
E-25 Well, the Nazarene people have enough religion to shout when they get happy. And so the Nazarene girl, a very attractive, blond-headed girl with long hair, she raised up like that, and begin screaming as loud as she could, and run away from the piano. And as she run away, the piano constantly played:
The great Physician now is near,
The sympathizing Jesus,
He speaks the drooping heart to cheer,
And this Angel of God settled over there, seven hundred and something people come giving their hearts to Christ, falling over the aisles. He has vindicated Hisself hundreds of times. Many of the articles is written in the book back there, if you pick it up, and--of the things that I couldn't have time to tell. Well, some of them would say, "Oh, it was psychology."
E-26 And at Camden, Arkansas, we got the picture of It there; the photographer got the picture. And It--It come down through the meeting, and circled down. A minister run forth to throw his arms around...?... and was stricken blind on the platform. There's the picture of the whole thing. It's in the book.
Then I was at Houston, Texas, and we were having a meeting in the music hall, which seated about four thousand people, I guess. And we went to the coliseum; we couldn't seat them, so we went to the coliseum, which seats around thirty thousand. And there was a--a Baptist clergyman down there. I won't call his name, because it's not very nice to call a minister's name, but he was out of the Southern Baptists conference, just come out of school, about thirty years old. And he put a challenge in the paper, and he said, "Brother Branham is nothing but a religious racketeer, and ought to be run out of the city, and I should be the guy that does it." So he got pretty rough.
E-27 And I was staying at the Rice Hotel. Doctor Bosworth... how many knows the Reverend Mr. Bosworth? Nearly all of you do. Wonderful character, I thought he'd be known up around in here. And he came to the room, and he's seventy-three years old. He said, "Brother Branham, look at this paper today." A great big column in there. Oh, he just... the minister ripped me. He said, "Let's challen... let's take that challenge." I...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] This nation, it's in a crumbling condition now. Because our politics and things are so divided. That's why the Indians lost it to the white man. If them Indians'd all gathered together, there'd still be an America for the Indians. But they separated, and the tribes fighting one another, and we come in, and took it. And that's the way we're going to lose it, and that's the way the Church is losing today, because we're not together--together. And but that showed that someday... They come from everywhere, and united as one big unit, and that great big Sam Houston Coliseum where they hold the rodeos and things filled up.
E-28 Mr. Best went over and hired a commercial photographer. Now, here's the remarks he said: "Come over and take six glossies of me (six pictures), I want to have a picture where I skin that old man." He said, "I'm going to skin him, and take his hide, and rub salt in it, and hang it up on my door, in here in my study."
Could you imagine a Christian talking like that? "By their fruits you shall know them." And the first fruit of the Spirit is love, joy, peace, long-suffering, goodness, meekness, gentleness, patience. Now, but that's what the man said. And so Mr. Kipperman, and Mr. Ayers, of the Douglas Studios, in Houston, Texas came over. And that night there was a big platform table setting there, and they had the "Look," "Life," "Time," "Colliers," and all the newspapers, and they were taking pictures. And so when the debate started, Mr Cy Ramsar... how many knows Cy Ramsar? He was leading the songs. And--and then when he got through, he made this remark; he said, "I seen in the paper where you was... that Brother Branham was a religious racketeer, and should be run out of the city." Said, "If the people of this city would put more time running bootleggers out of the city instead of religious men, you'd be better off."
E-29 And there... the people begin crying, and going on. And they told me I didn't have to come down. But I went up in balcony thirty, box thirty, two police, and my brother, and wife, little girl, we went up there and set down; they'd taken me up. And I was setting there. I said I wouldn't have nothing to do with it at all. And I didn't believe in arguing.
So that night watching... And when Mr. Bosworth got to the platform, he'd taken his--his paper, and he said... and people on by the sides, which wasn't on either side of the debate. He said, "Mr. Best has taken the--the side to say the... my opponent here, that--that Divine healing isn't taught in the New Testament." He said, "I've got six hundred Scriptures of the New Testament and Old, written out here, that Christ's present attitude to the people for Divine healing is the same today as it ever was. If Mr. Best will take this and disprove one of them, not by his textbook, but by the Bible, you won't have to do no more, and I will walk away and say, 'I've been in error all the time.' Anyone of those six hundred questions..." He said, "Now, Mr. Best, you're at liberty." And he wouldn't receive it. He said, "I will ask you any one of them if you'll correctly, by the Scriptures, prove that it's wrong, then I will--I will walk off the platform." Said, "That ought to be well enough; there's six hundred of them, and I want you to produce one, if you'll show me one, that's... is contrary to any of these, then I will say I'm wrong, and I will show you six hundred to start with." Said, "Looks like the odds is pretty bad there."
E-30 So he said... he wouldn't do it. So the moderator asked, and so he said, "All right, Mr. Best answer me this." He said, "Was the compound names of Jehovah, Jehovah's redemptive, compound names, were they applied to Jesus, yes, or no?"
Well, that like to shook me off of the seat up there. Well, Mr. Best thought he couldn't answer. If He was--if He was Jehovah-jireh, the Lord will provide His Sacrifice, if He was--if He wasn't Jehovah-jireh, He isn't the Saviour. And if He is Jehovah-jireh, He's Jehovah-rapha, the Healer. And if He is Jehovah-jireh, and Jehovah-rapha, He's "the same yesterday, today, and for ever," so He's just the same Healer. That settled it; nothing could be said no more.
So Mr. Best got real angry and begin to stomp up-and-down the floor, and said, "Bring that Divine healer out, let me see him."
E-31 And Brother Bosworth said, "Brother Best, I--I certainly apologize," said that--that, "Brother Branham is no Divine healer, and never said he was." He said, "Would you..." said, "Do you believe in salvation?"
"Yes, sir."
He said, "Would you want to be called a Divine Saviour?" Said, "If preaching Divine healing makes Brother Branham a Divine healer, preaching salvation makes you a Divine Saviour." He said, "You know you're not a Saviour."
"Certainly not."
Said, "Neither is he a healer. If you're ever saved it's in Christ. If you're ever healed it's in Christ. You point to salvation; so does Brother Branham. And he points to healing in the atonement. Now, if you want to argue that," said, "just step out on it (See?) for it was in the atonement."
E-32 So he said, "You bring that healer forth, and let me see him heal somebody." And kept on like that.
Brother Bosworth said, "Now, Brother Branham takes his time praying." And said, "He don't argue with people, and he just... that's..." He said, "Now, however..." (at the end of the debate), he said, "Brother Branham is in the building. If he wants to come and dismiss the audience, all right. If he doesn't, why he's not--don't have to, but," said, "I know he's in the building somewhere," said, "for awhile ago, I seen them when they come in."
E-33 And I was setting there, and my brother, Howard... Many of you knew Howard. He was kind of, real typical Irishman, he said, "Now you set still." Standing right behind me, and two police standing there... And just as he said that, I felt Something going [Brother Branham makes whirling sound--Ed.] I thought, "Oh, no. Huh-uh, I can listen so far, but that's first. I felt It again coming down, going [He describes the sound again--Ed.] Something just picked me up. My wife started crying. I said, "Don't cry, honey."
And Howard said, "Set down."
I said, "It's the Holy Spirit, Howard," and he dropped back.
E-34 And the people looked up there, about that time, and they started weeping. And about three or four hundred ushers put their hands together as people pressing through trying to touch your clothes or something. It's pitifully. I know how I'd feel if my baby or something was sick, and the doctors had give it up, and I thought there was something could help it. I'd be trying to get in, too. And I'm only human, like anybody else, and it breaks my heart to see such scenes.
And I started walking to the platform. Mr... the... Kipperman and them had took all their pictures. And when I go, they don't let us take pictures in the meeting, because they sell them and so forth. So he... they said, "No more pictures taken." Brother Lindsay and them dropped back the people from taking the pictures, and so forth.
E-35 I walked to the platform; I said, "Don't no one think hard of Mr. Best. That's why the boys are over in Korea fighting. We can be Americans to believe anything we want to." I said, "I don't agree with his theory, not at all," but I said, "as a man, all right." I said, "Some mother loves him just the same as my mother loves me. And don't feel hard at him; he's got a right to his belief." I said, "Now, however, I--I was minded of my Saviour, when they put a rag around his eyes one time, and they thought He had mental telepathy or something, and they hit Him on the head with a reed, and said, 'Now, if You're a prophet, prophesy, and say who hit You.'" You remember that? Said, "Now prophesy." He didn't clown for nobody; He did what the Father showed Him. So they put a rag over His eyes and hit Him. And they felt no virtue, and neither did He prophesy. He didn't clown for anybody.
E-36 And I said, "I do not claim to be a Divine healer." I said, "I only claim to pray for the sick. And I claim a Divine gift, that I was born in this world with, and an Angel of God Who comes to me in the form of a Light..." And I said, "It's come to me many times. It comes in the meetings." I said, "If I tell the truth, well, then, it's the truth." But I said, "I cannot heal any one, no more than Mr. Best, or any other man can save anybody." I said, "But they were sent to preach. I'm not very much of a preacher, but I've seen thousands saved. I've seen as many as two thousand at one altar call, but if a--but that's not what we're talking on, Divine healing."
E-37 And I said, "Now, the person can't come here without God telling me what's on his heart, and what he's done, and the things of his life. That's a Divine gift that was sent from Heaven to me, that's my individual. God gave that to me when He brought me in this world." I said, "You can't keep your sins, and so forth, hid, and the thoughts of your heart and mind." I said, "And whatever that you've done in your life, and what your outcome is, you can't keep me from telling you that. But I could pray for you until you for... till we both got old and gray, and you with a toothache, until you accept Jesus as your Healer, it'll always be there, for healing only is in Chr... God Almighty."
E-38 I said, "And if I tell the truth," I said, "I tell about an Angel. If I tell the truth, God will testify that I've told the truth. I said, "As Jesus told the Jews, 'I have greater works than those of John, for the works the Father has sent Me to do, the same testifies that I am sent from God.'" And I said, "If He doesn't testify, then I'm wrong. If He does testify, then I am right. Not because that it's me, but because it's He that sent me is right." And I said, "Anyone knows that God will have nothing to do with error, and if I tell the truth, then God will speak of me."
E-39 Oh, I shall never forget it. And about that time the heavens let loose, and here He come, coming down over me, going [Brother Branham makes a whirling sound--Ed.] Everyone sit still. And the man who had taken the pictures of Mr. Best, before he knowed what he was doing, run forward and snapped the picture. God had testified. There was no more for me to do. I said, "Thank You, Father," walked off the platform. Everybody set still; they didn't know what was happening.
This man, going home... Mr. Kipperman's an Orthodox Jew. Mr. Ayers is a Roman Catholic. He wrote in the paper the day before and said I was a hypnotizer. Said a goiter went off of a woman throat, that I hypnotized her. And a young soldier who'd been crippled overseas in his back, his spine, and was saw laying on a place and was told what was wrong with him, and told him to rise to his feet. And him laying there paralyzed, rose to his feet and walked out, said that man was bewitched, made all kinds of fun of me in the paper. And on his road home, he said to Mr...?... he said, "What do you think about it, Ted?"
Ted said, "I don't know."
E-40 Mr. Ayers said, "I'm a Catholic," he said, "I'm taught to believe in such things, but it can only come through the Catholic church. If it was... if he was real, he'd be in the Catholic church."
And many of you... I... my former people were Catholic. Many of you Catholics in there know that we been taught that, that it has to be in the Catholic church. So did the Jews think that Jesus would come to the temple, but He didn't. He went where God told Him. God does things in mysterious ways. You wouldn't have thought He'd been born in a manger, but He was,
Now, they went in. He said, "Well, let's fix these pictures for Best." And he throwed them in the acid, six of them for Mr. Best. And he shot one of them from that, but he just throwed it in.
E-41 Mr. Kipperman went upstairs to go to bed, and Mr. Best, or Mr. Ayers setting, smoking a cigarette. And after while he went in, took them out of the acid, took out one, blank, two, blank. Took out all six of them, they were blank. And when he took the next one out, there the Angel of the Lord was on the picture. And he had a heart attack. They tried to get him to Rice Hotel, of course they was guarding the door, wouldn't let them come in to where we was... to where I was at.
E-42 And then quickly, they referred to it, and went down there, and they sent it away at eleven o'clock that night to Washington, D.C., and copyrighted it. Then it was sent back to Houston. And it was given into the hands of George J. Lacy, the best examiner in the United States, ex-FBI. And he kept it, said, "Now..." a very hard boiled. He kept it and said, "Now, wait a minute," said, "I will look it over," and so forth like that. And--and he took it into the Shell Building for examination, which was... Shell Building for examination and document. He just come from California on a half a million dollar case, and they brought him over there. He kept the picture for two days; then he sent word, said, "We'll give the reading on it, and let you know about it on two o'clock, on the following afternoon, on the third day. Big bunch of photographers, and so forth, gathered in. Many of the people around the city, like the writer for the "Colliers" and "Times," they gathered in.
E-43 And when he come out, he's kind of a red headed fellow, very hard-boiled. He walked out sarcastic; I looked at him, and looked like his face had tendered up. He said, "Whose name's Reverend Branham?"
And I said, "Mine, sir."
He said, "Stand up on your feet." And I stood up. He said, "Reverend Branham, one of these days, you're going to pass off of life's scenes like all mortals do."
I said, "I'm aware of that, sir."
He said, "But as long as there's a Christian civilization, your picture shall never die." He said, "It's the first time in all the world's history that a supernatural Being was ever photographed. But I put it through every test that can be thought, and," said, "It was a supernatural Being that's been shot." He said, "For myself, I have said and heard of your meetings, and read it in the magazines, and I heard about that Angel, and so forth. I said within myself, even to the time that I received the negative, 'It's psychology.'" He said, "But Brother Branham, the mechanical eye of that camera will not take psychology." Said, "The Light struck the negative."
E-44 He said, "My mother was a Christian. And I--I thought I was." He said, "But God have mercy on me." He said, "Come forward." And everybody started crying. He...?... said, "It was once said, Brother Branham, by the old hypocrite (he meant the unbeliever), that there's no scientific proof of the supernatural Being." Said, "Them days is passed now." He had the negative in his hand. He said, "Them days is passed." And he said, "It's scientifically proven that here's the supernatural Being." He said, "Mr. Branham, I will submit this to you."
I said, "It's not mine, sir."
He said, "Oh, wait a minute," said, "that negative's worth a hundred thousand dollars right the way..."
I said, "If it... to me, It's worth life."
E-45 He said, "Brother Branham, do you realize what..." said, "You'll never live to see the day that the picture comes into it's value, because the--the testator is always dead before the testament is seen." And he said, "It'll be in the days after you're gone." He said, "But right now, do you realize what that is?"
And I said, "Sir, It belongs to the American Photographers Association." I said, "It... if Jesus Christ, my Lord, thought enough of me, to come down in a battle like I was, and have His picture taken with me, for the first time in all the world's history, I love Him too well to commercialize it." And I said, "I will have nothing to do with it."
E-46 So then they asked me if I'd draw up a plan with them. The lawyers was there, and everything. The studio had the lawyers. And I said, "I will sign no papers. But Mr. Kipperman and you, if you wish to sell it, make it enough so every person (poor people) can get it." But I said, "look, another thing I will require for the sacredness of the picture, that Mr. Lacy, that you'll sign a document, so that the critics will be shut up when they look at it." I said, "and sign a document. And I will ask you, Mr. Kipperman, and you (in the agreement), that you're privileged to sell it. I will sign no papers, but you're privileged to sell it, low priced so the people can get a hold of it, and that no picture can go without a writing signed statement from Mr. Lacy, here, who's our best in America." So I'd think it was the best in the world.
And he said, "I will do that."
And he wrote up a--a thing, what he'd done, and went to the auditorium, he searched to see if it was a double exposure, and there just above the head, where it was settling down, was the big Pillar of Fire a whirling around, and around, and around.
E-47 He said, "Brother Branham, in the... looking through the negative through the ultra-ray lights, and so forth, it looked like it was kind of a yellow, greenish looking fire, a milling, like this."
And I said, "That's just the way It is." And people there who seen It.
To my opinion, here's what I think it would be, while I read the Scriptures. First, I have the picture here; I want to show it to you. Mr. Kipperman sells them sometimes at the meeting. But when I found out that he was overcharging the people for it, I wouldn't let them sell it in the meetings. Because the picture wouldn't cost over thirty or forty cents, not over fifty at the most, and selling it for a dollar and a quarter is too much. So I... Can you see it back there?
E-48 Now, at nighttime, when you see those things going on here, it's not me that does that; here is the One that does it. How many can see how far back, let's see your hand, way back. I will have my boy to take it to the stand back there. And in here also, if you'd like to read Mr. Lacy's write up, there it is. You can have a photostatic copy... A photostatic copy's in my book there, but they won't let us (the studios), won't let me print the picture in my book. They let me have the... this, for this is copyrighted. See on the back, and on here? And you couldn't touch it (See?), because it's copyrighted, and they've got it in Washington, D.C. And one of them hangs in the Religious Hall of Art, in Washington, D.C., as the first photograph that was ever taken of a supernatural Being.
E-49 You know what I think, friends? I think that here's where this is, in Exodus 13:21:
And the Lord went before them by day in a pillar of a cloud (a pillar of a cloud), to lead them the way; and by night in a pillar of fire, to give them light; to go by night and day:
He took not away the pillar of cloud by day, nor the pillar of fire by night, from before the people.
And with a reverent, sincere heart, I believe that that's the same Angel of God that led Israel out of Egypt to the promised land in the natural, is leading us to the promised land today, in the spiritual. For "In My Father's house are many mansions: I will go and prepare a place for you." And I believe the Angel of the Lord is leading the Church today, and It's the same Holy Spirit. And anyone knows the--the Angel of the Covenant was Christ. And not... It isn't just to me, friend. I might be counted in with you, but that Angel of the Lord just doesn't... to me, it's to all of you. And He's here right now. He's right in the building. I feeled it right now, and know that the Angel... This same Angel that I'm speaking of here, isn't five feet from me right now. And when I meet you at the judgment bar, and this night is called into--to order, see if I haven't told you the truth. He's right in here now.
E-50 Now, if this was my last service that I ever have in all my life, my words are the truth. For I have not testified of myself; I have testified of Jesus Christ. And the world, the church world, who sees It, and sees Its operation, knows and believes It's the truth. And now, the scientific world is without excuse. It's scientifically proven to the scientific world.
You said, "I didn't see nothing spread about..."
No, sir. They wouldn't let the "Look," "Life," and "Times," or none of the papers have it. All of them wanted it, and they wouldn't let them have it. Said if they put it in the paper... You know a Jew. Not all of them, but some of them want money. Said they'll cut it out. They're expecting to sell It, and It's sure sold thousands times thousands, and thousands of them, everywhere. And so I--I have nothing to do with it.
E-51 But only this one thing, that I'm happy tonight, to know that Jesus Christ, the Son of God, Who's sovereign in Word and grace, has vindicated that I've told the truth. And I've told you the truth. It's up to you to believe it; that's all. God bless you is my prayer.
Sonny... Ma'am? [Woman says something to Brother Branham--Ed.] Let's say, "Praise the Lord." [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.] That's ri... Oh, God bless you, sister. Then you know what is the truth, don't you, sister? That is true.
Was there anybody else was there at Houston, when the picture was taken? A man standing right here was there when the pi... another one here, another one there, there, there. Let's say, "Praise the Lord." The Bible said, "In the mouth of two or more witnesses let every word be established." Is that right?
E-52 Now, friends, while the little short visit is here at--at this place, let us all now just lay aside every little thought that we had, that was--maybe it was this, that, or the other. Let's just say, "Lord Jesus, we thank You so much." And for this little time while we're here in the city, may we just huddle together as a hen bringing forth her brood out of the rain. And may we all be sheltered by His love, that these wheelchairs, and these people with heart trouble, and cancer, and so forth, will live and not die. Will you do it?
Your faith is what operates the Divine gift. So as I say, if I never appear again in public, and my life is took tonight by Almighty God, He, Hisself, has vindicated it to the spiritual world, the believers, and also, to the unbelievers. How many believes that's true? Let's see your hands. God bless you. That's fine.
Now, I've took quite a bit of your time. And sonny, you come now, or get the picture, and they'll put it back there.
I'm sorry we don't have them to sell, but you wan... go to look at it, and read it, why that's perfectly all right. Let's bow our heads now.
E-53 O Father, I didn't mean to take all this time, Lord. When I go to talking about You, I just love You so much that I... my heart just burns in me. I--I think of Paul preaching all night, one night about You, and a boy fell out of the window and got killed; and--and Paul went and laid his body over him, for he knowed he was anointed. He knowed the Angel of God that stood by him out there that night on the stormy sea was with him, and the boys life returned to him. And he said, "You'll be all right," and he got all right.
I think of how Paul loved You. When they was building the scaffold to take his life, he said, "I've fought a good fight, I've finished the course, I've kept the faith: And henceforth there's laid up for me a crown that the Lord, the righteous judge, will give me at that day: not only me, but all that love His appearing."
E-54 Dear Father, I ask You tonight, in the mercies, that You will send grace upon this audience. Bless everyone, Lord. And, O holy God, Author of Life, and Giver of every good gift, I've tried to testify the best that I knowed how. And I thank You for Your picture here with us. I look at It, and my heart quivers, think, "Woe is me, the Angel of God has stood near." And You've confirmed Your Word now, practically around the world; thousands times thousands are rejoicing. The scientific world looks at It, they hush It; they don't want It to get any farther. So was it in Your day. But those who are hungering and thirsting for righteousness, they shall be filled. And those who are predestinated to see the Kingdom of God shall see, "For no man can come to My Father, exce..." or "come to Me except My Father draw him." And Lord, there's those here who believe. And I pray Father, that You'll shut us together tonight in the bonds of the love of Christ, and may You stretch forth His holy hands to heal all over this building.
E-55 And may, when the evening is over, Almighty God, Author of Life, and Giver of every gift, two more meetings to end up here in America before sailing the seas. And Lord, please hear the prayer of Your servant. If I've found favour with You, grant this to be a great night. The people has waited long in the hot building, but may tonight, something different happen. May the--the blind see, or the deaf hear, or may the lame walk tonight; may there be something great. And may the Holy Spirit stand near, call out sin, rebuke things that's unrighteous, to straighten up some poor person that they can believe.
E-56 And Lord, while You're working here, as I have testified, testify of me, Lord, will You, tonight? And may Your Spirit come, and vindicate that You're present. And may every person that sees You, and Your wonderful way here at the platform, moving out in the audience, and picking those up. Lord, may those tonight, setting out there that won't be in the prayer line, may they have great faith and look and say, "I believe that It's the truth."
Then Lord, heal them, and turn Your servant to them, and announce it to them, that they are healed. Grant it, Father. Will You hear my prayer, as I sincerely pray to You? In the Name of Your beloved Child, Jesus. Amen.
E-57 [Brother Branham talks to someone--Ed.] My boy said he give out prayer cards, D today. And let's start tonight... We started last night at 1, didn't we?
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... and I ask them to keep their head down. This cold spirit kept flowing in. And I felt where it was at, and I looked back in the audience, and a man setting there with his head up like that, and a bunch of people... I said, "Sir, would you put your head down?" He just laughed at me.
And I prayed again, and it wouldn't leave the baby, 'cause He told me, "If you get the people to believe you..." And that showed they didn't believe, or they'd do what you ask them to do. So I said... tried again, and it wouldn't... I said, "Now remember, sir, see you to it, I'm not responsible."
E-58 And I said, "Almighty God, don't let this poor, little, innocent baby suffer for the guilty." And it was in a--a fit right then, and I called to God to heal it. And when the spirit was rebuked, the little baby quietened down, and that man, and about... I forget how many people, everyone of them took epileptic fits, and begin jumping all over the floor, screaming, slobbering, and everything. Far as I know, got epilepsy yet today.
I seen a man not long ago in Phoenix, Arizona (I suppose he's gone now), with cancer. He thought he knew everything. He said, "It's psychology."
A few nights it wasn't psychology when he rushed to his doctor with cramps. He pronounced him with cancer...?... Be reverent. It's not playing church; the Lord Jesus is here. We American people are so heady, and high-minded, and haughty, till we think we know it all. We're living now upon the reputation of our forefathers.
E-59 When Israel got out of the will of God, they suffered for it, and we will too. So you be reverent, and remember that now.
All right. I trust that the Christians will understand. How many Christians is in here? Raise your hand. Believers in Christ...