Expectative
1 Merci. Ouais, je pense que c’est en ordre. Merci, Frère Baxter. Bonsoir, mes amis. Nous sommes très contents d’être encore ici ce soir pour exprimer l’amour et l’adoration qu’il y a dans notre coeur devant les adorateurs de Jésus-Christ. Et j’espère que ça sera une soirée glorieuse. Si c’était plus que la soirée dernière, je ne sais pas si nous pourrons supporter cela ou pas.
De toute ma vie, en tant que prédicateur, je n’ai jamais vu une effusion de l’Esprit de Dieu plus rapide que ce que j’ai vu hier soir. J’étais devenu complètement engourdi, totalement parti. J’ai jeté un regard en bas, cela parcourait la salle, et cette Lumière se répandait dans toute la salle. J’ai essayé de dire quelque chose, je n’arrivais simplement plus à parler. Et la chose suivante dont je me suis rendu compte, c’est qu’il y avait quelques huissiers qui me parlaient quelque part, je ne sais plus, là où se trouve le parking.
2 Après l’arrivée de monsieur Baxter, j’ai commencé à me remettre un peu. Et il a dit: «Frère Branham, c’est la première fois de ma vie que je... j’ai été terrassé comme cela.» Et je... C’est simplement merveilleux la façon dont Dieu traitait avec nous. Je n’ai jamais été capable...
Deux, trois soirées, j’essaie de faire ceci, je portais cela dans ma poche. J’aimerais exprimer mes remerciements pour la gentillesse, pour des cadeaux que certains m’ont envoyés. Et j’apprécie tout ce que quelqu’un fait.
Tout au début quand je suis arrivé, il y avait un tas–un bouquet de fleurs, deux, placés sur la table, c’était envoyé par D-e-n-n-e-r-s, Denners, je suppose, de cette ville. Ils sont ici ce soir, peut-être pas. S’ils y sont, j’aimerais vous exprimer mes remerciements pour ces belles fleurs: Les Denners.
3 Et puis après, mon jeune garçon m’a remis une lettre contenant une offrande d’amour de cinq dollars, elle venait de frère S-a-n-d-r-e-s-k-y. Il a dit: «J’aimerais vous entourer de mes bras et vous étreindre.» Eh bien, frère, c’est un sentiment réciproque. J’aimerais certainement faire de même.
Et aujourd’hui, quand mon jeune garçon–garçon est arrivé, il avait deux grands pots de miel et deux paquets de ces framboises rouges, je suppose que c’est ça. Eh bien, je pense que le... Vous ne savez combien j’apprécie cela. Je–j’aime certainement le miel. J’aime aussi les framboises. Je les mélange et je les consomme bien alors, n’est-ce pas?
4 L’une des petites choses les plus chouettes que j’ai jamais vue, c’était un jour lors d’une tournée de pêche dans des montagnes. J’aime vraiment pêcher et chasser. J’étais là-haut dans les montagnes en train de pêcher; j’avais dressé ma tente. Et c’était au début du printemps, je pêchais les truites, je cherchais juste à m’éloigner des foules pour un petit moment. Et je–j’aime les crêpes. Et je pense que j’ai beaucoup de concitoyens en la matière.
Et alors, vous savez, j’étais... J’aime mettre du miel dessus. Et j’ai une théorie à laquelle je suis toujours attaché. Je suis baptiste. Je ne les asperge pas. J’en verse copieusement dessus. Je les avais donc tout couverts, les baptisant. J’emporte toujours un grand seau de miel, vous savez.
Alors, un jour, en revenant, j’ai entendu du bruit. Il y avait une vieille mère ours avec ses deux oursons qui étaient entrés dans ma tente. Ils avaient simplement tout saccagé. Et je n’avais pas mon appareil photo. Le petit geste le plus mignon... L’un des petits a fui avec sa maman. Mais l’autre petit est resté là. Il a enlevé le couvercle du seau de miel. Il s’est servi de sa patte pour faire tomber cela, comme ça, et puis, il est monté et s’est simplement mis à se lécher les pattes. Et il était... Il était devenu du miel, de ses pattes à la tête. Juste comme... il a regardé tout autour, c’était partout dans ses yeux, vous savez. Et il m’a regardé, comme ça, vous savez. Pas de condamnation pour lui. Il a simplement remis sa patte dans le seau et en a encore pris.
5 Et je me disais que c’était juste comme à l’une des réunions du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Vous ne vous souciez pas de qui se trouve à côté tant que vous avez votre main dans le miel. Est-ce vrai? Oui, oui. Lécher cela, il n’y a donc pas de condamnation pour ceux qui lèchent, vous savez. C’est en ordre.
Mais ils passaient–ils passaient sûrement un grand moment. Eh bien, j’ai regardé l’autre petit. J’ai ri jusqu’à me faire mal aux côtes, je me suis simplement éloigné. Et j’étais toujours à distance du seau de miel, je l’ai laissé lécher.
J’apprécie donc beaucoup cela. Et nous rendrons justice à ce miel ce matin. Ainsi, tous mes remerciements.
6 Et alors, les services... Il fait horriblement chaud ici. Et je dois suivre juste une portion de votre émission. Il y a... On est venu me prendre. Et cela avait certainement l’air aimable, des gens qui jouaient et chantaient, ces gens sur ce... cette chose ici, vous savez. Je ne suis pas tellement un musicien, mais... Et à l’orgue et à la trompette ou je ne sais pas ce qu’on jouait. C’était très bien: En avant soldats chrétiens, et toutes vos voix s’harmonisaient.
J’ai eu à déverser un peu de larme aussi, car cela m’a tellement ravi, de penser qu’un jour, les saints de Dieu monteront dans la Gloire en marchant. Et de voir ce grand moment...
7 Frère Baxter m’a rencontré cet après-midi, il a dit: «Frère Branham, c’est à vous de prêcher demain.»
Oh! la la! J’ai dit: «Frère Baxter, je ne peux pas prêcher.» Et il a dit... après qu’un tel homme eut prêché.
Et il a dit... Puis, il m’a rencontré il y a juste quelques minutes, et il a dit: «Les gens aimeraient que vous leur racontiez l’histoire de votre vie demain.» Alors... Oh! Ça, je peux le faire, par la grâce de Dieu.
Et j’aimerais être ici demain après-midi vers quatorze heures trente, je suppose. Et je m’attends à vous voir vous tous. Je serai tout aussi rapide que possible. Amenez demain les pécheurs et les–et les gens qui ne se sont pas repentis, afin que je... nous puissions faire un appel à l’autel, et peut-être que Dieu nous donnera beaucoup d’âmes pour Sa gloire.
8 Maintenant, juste pour un laps de temps, je–j’aimerais lire une portion de la Parole, et ensuite faire simplement quelques commentaires, et peut-être donner un témoignage, essayer de commencer la ligne de prière aussi vite que possible. Et... En effet, on m’a dit, quand on est arrivé ici ce soir (on est venu me prendre), que cet auditorium était plein à craquer depuis environ cinq heures. Et quelqu’un disait qu’il serait ici à six heures du matin pour voir s’il pouvait obtenir un siège de devant.
Nous sommes donc désolés de n’avoir pas un moyen de prendre soin de beaucoup plus. La police anti-incendie autorise un certain nombre ici à l’intérieur. Mais pendant que nous sommes ensemble, je sais que vous avez passé un moment glorieux. S’il nous fallait dire amen et rentrer à la maison, ce serait merveilleux.
Mais maintenant, vous et moi, demandons à Dieu, croyons que Dieu exaucera notre prière. Et demandons à Dieu de guérir ces rangées de gens par ici ce soir, chacun d’eux.
9 Je... Quand frère Baxter est arrivé, mon jeune garçon était plutôt en train de me parler. J’ai pu l’entendre à distance hier soir. Il continuait à s’approcher davantage. Je savais que je revenais à moi-même. Et il a dit: «Papa, vas-tu bien?»
J’ai dit: «Oui.»
Je n’oublierai jamais la première fois que le jeune garçon a vu l’Ange du Seigneur à Vandalia, dans l’Illinois. Je tenais une série de réunions, et j’avais lancé un défi aux gens, disant: «Amenez-moi n’importe qui que vous voulez et laissez-moi passer assez de temps avec lui. Il–il guérira.» Et on m’a amené un jeune aveugle, né aveugle. Alors, je suis resté avec ce jeune homme environ une heure quarante minutes. Il a quitté l’estrade, ayant recouvré la vue.
Il est revenu, il a tenu ma cravate afin de dire... il a dit: «Maman, est-ce ce que vous... quelle couleur dites-vous que c’est?» Et le jeune garçon était né aveugle. Il était tellement ravi, et les gens criaient et faisaient un tas de choses.
10 Et quand je suis rentré là où je restais cette nuit-là, nous étions dans un hôtel. J’étais en prière, puis je me suis presque endormi. Je me suis réveillé, j’ai su qu’Il était dans la chambre. Je ne pouvais pas savoir d’où Il venait. Mais j’ai attendu quelques minutes, et j’ai su qu’Il venait de ce côté-ci, se dirigeant vers le lit.
Je suis sorti du lit. Mon frère et mon jeune garçon étaient à côté de moi, dans un autre lit. Je L’ai senti venir, je suis sorti, et je me suis agenouillé par terre et je me suis mis à prier. Il s’est approché très près. Je n’avais point entendu de voix ni rien. J’ai attendu un peu. Il s’est approché davantage. J’ai continué à parler: «Qu’est-ce que le Seigneur veut que je sache?» Et une Voix s’est mise à parler dans la chambre, me disant de ne pas faire cela, de ne pas faire cela. Et juste... Ma commission était de prier pour les malades, pas de faire cela. Et puis, quand j’ai ouvert les yeux, Il était là, juste au-dessus du lit, en train de tourbillonner à plusieurs reprises.
Et j’ai dit: «Est-ce que–est-ce que ça Te dérangerait que mon frère et mon jeune garçon Te voient?»
Il ne m’a point répondu. Cela me quittait déjà, l’onction. J’ai vu Cela directement me quitter. J’ai gardé mon oeil sur Lui, Il ne m’a point répondu, j’ai pensé que peut-être ce ne Le dérangeait pas. J’ai pris un oreiller, je l’ai jeté sur le lit, et cela a réveillé mon frère. Il a dit: «Que veux-tu?»
J’ai dit: «Réveille Billy.»
Il a dit: «Billy, ton papa te cherche.»
Et aussitôt qu’il a regardé, il a lâché un cri. Il avait vu Cela. Il s’est mis à crier. Et mon jeune garçon a sauté dans le lit à côté de moi, il s’est mis à m’étreindre au cou, disant: «Papa, papa, ne laisse pas Cela me prendre. Ne laisse pas Cela me prendre.»
J’ai dit: «Eh bien, chéri, ce n’est pas ce que... ça ne te fera pas du mal.» J’ai dit: «C’est l’Ange du Seigneur qui guide papa.»
11 Billy est un orphelin. Sa maman est morte quand il avait environ dix-huit mois. Et c’est un petit enfant orphelin. J’ai été pour lui à la fois papa et maman. Et parfois, au moment de partir, le petit garçon se tenait à l’aéroport et criait continuellement. Il disait: «Papa, ne me quitte pas.» Il disait: «Qui d’autre ai-je sur terre à part toi?» Il disait: «Maman est partie et tout.» Et il disait: «Si–si quelque chose t’arrive, que va-t-il m’arriver?»
Ce n’est donc pas facile de quitter vos enfants comme cela. Mais Jésus a dit: «Celui qui n’abandonne pas son... tout pour Me suivre, n’est pas digne d’être appelé Mon disciple.» Peu importe ce que nous faisons, nous ne serons jamais dignes d’être cela. Mais nous aimons faire notre part.
Ainsi, après cette nuit-là, le jeune garçon a été donc consolé, quand il était parvenu à voir l’Ange du Seigneur pour la première fois. Il ne s’inquiétait plus quand je partais.
12 Maintenant, le passage des Ecritures, comme texte pour ce soir, se trouve au chapitre 2 de Saint Luc, vous qui aimeriez vous y référer et lire avec moi. Je...
Vous savez, la Parole de Dieu ne peut pas faillir, Elle ne le peut pas. Ainsi donc, je vous assure, chers amis chrétiens, l’onction de l’Ange de Dieu est si forte que j’arrive à peine à regarder cette assistance. Eh bien, c’est vrai. Je n’aimerais pas que cela soit ainsi juste au début. J’aimerais parler juste un peu sur les Ecritures. Ce n’était pas mon but de faire cela, juste donner un témoignage. Mais je vais essayer de parler juste un peu. Suivez la lecture, à partir du verset 25.
... Voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui.
Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,
Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:
Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur
S’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut.
13 Inclinons la tête. Père, les heures s’écoulent. Aide-nous, Dieu Tout-Puissant, à connaître Ta volonté. Plusieurs sont assemblés ce soir. Il fait chaud dans la salle. Oh! Nous croyons que la moisson est mûre; les champs sont prêts. Jette Ta faucille ce soir, Seigneur; moissonne. Que le vin soit extrait de raisins ce soir, jusqu’à ce que chaque croyant devienne, pour ainsi dire, ivre de l’Esprit de Dieu, ne sachant rien d’autre que la Présence de Dieu, Sa puissance, Ses bénédictions rédemptrices sur nous pour nous racheter de nos maladies, de nos péchés. Accorde ces bénédictions, Seigneur.
Et comme Ton serviteur est déterminé par Ta grâce, si possible, à dire quelques mots, aide-moi, Dieu bien-aimé. Et que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et La plante droit dans le coeur, à Sa place. Et qu’avant la fin du service il y ait des gens partout sur terre, partout. Que les gens quittent ces civières et ces brancards. Que les aveugles déposent leurs cannes. Que les estropiés déposent par terre leurs cannes et leurs béquilles et qu’ils sortent en marchant. Que ceux qui souffrent de coeur n’en souffrent plus, des cancers...
Seigneur, nous Te remercions pour Ta visitation d’hier soir. Et maintenant, Seigneur, peut-être qu’un autre groupe est ici à l’intérieur ce soir. Je Te prie de les guérir, eux tous, et de manifester Cela pour eux par la puissance du Christ ressuscité, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, le Bien-Aimé Fils de Dieu. Amen.
14 Maintenant, vite, toute votre attention. La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. Si nous pouvons appeler cela un sujet, en fait, ça n’en sera pas un, je pourrais dire ce soir: Expectative.
Vous savez, généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez, n’est-ce pas? Ce que vous pensez que vous allez... Si vous êtes venu à la réunion, disant simplement: «Je pense que je vais y aller. Il y a quelque chose qui cloche dans ce genre de réunions. Je vais y aller. Je verrai ce qui cloche avec ça.» Vous allez le voir. Le diable va certainement vous faire voir cela.
Mais si vous êtes venu voir ce qu’il y a de bien à ce sujet, Dieu vous fera voir ce qu’il y a de bien à ce sujet. Voyez? Si vous êtes venu en disant: «Eh bien, si je... je ne crois pas que je serai guéri. Je descendrai peut-être voir si je peux avoir une carte de prière. Mais si je n’en ai pas, eh bien, ils ne vont pas...» Non, c’est exactement ce que vous aurez, voyez donc... Et tout ce à quoi vous vous attendez. Ne croyez-vous pas cela?
Quand vous venez, attendez-vous à ceci: «Attendons-nous à ceci ce soir, attendons-nous à une forte effusion une fois de plus. Je crois que si Dieu répétait de nouveau cela ce soir... Je ne sais pas s’Il le fera. Je Lui ai demandé deux fois. Je pense que frère Baxter vous a parlé de la chose surnaturelle d’hier soir, ce que je n’avais jamais su.
15 Alors, l’Ange du Seigneur m’a rencontré dans la pièce, je Lui ai demandé de faire quelque chose d’extraordinaire. Et il y a quelques soirées, je Lui ai demandé de bien vouloir faire quelque chose d’extraordinaire pour nous ce soir, et Il l’a fait. Il a guéri une–une femme qui était sourde depuis des années, et Il a fait sortir une femme du fauteuil roulant. Et j’oublie tout ce qu’Il a fait. Et maintenant, je demande encore ce soir qu’Il fasse quelque chose de spécial pour nous. Et hier soir, je le Lui ai demandé.
J’espère que mon Père céleste ne se fâchera pas contre moi de ce que je demande ces bénédictions spéciales. Car il est écrit dans la Parole: «Si vous ne voyez pas des signes et des miracles, vous ne croyez pas.» Et nous n’aimerions pas être catégorisés parmi un tel groupe de gens. Eh bien, nous sommes des gens qui croient de toute façon. Voyez, nous croyons de toute façon, et nous voulons accepter cela.
16 Hier soir, je me demandais comment il pouvait rester dans la salle quelqu’un qui n’était pas guéri. Eh bien, cela peut ne pas être visible. Les anges de Dieu et les visions apparaissent aux gens, et parfois ce n’est pas pour tout le monde. Est-ce vrai? Considérez les mages. C’étaient eux seuls qui avaient vu cette Etoile-là. Elle est passée par-dessus chaque observatoire. Elle est passée par tous les astrologues, et tout, cela est passé directement par-dessus les gens spirituels, cela est passé par-dessus le temple; et aucun d’eux n’a vu Cela à part les mages. Cela leur était donné de le voir. Croyez-vous qu’ils avaient vu cela? Moi, je crois, car la Bible dit qu’ils avaient vu. Voyez? Et si c’est possible, que l’Ange de Dieu soit visible à certains et invisible aux autres.
17 Par exemple, un jour, pendant que je baptisais, il y avait environ dix mille personnes, je pense, sur le rivage. Il y a eu au moins sept mille personnes qui avaient vu l’Ange du Seigneur, et disons trois mille autres ne L’avaient point vu. Ils ont dit: «Eh bien, moi, je n’ai pas vu Cela. Je vous ai entendu crier, je vous ai vu lever la main, et tout le monde criait, mais je n’ai rien vu.» Voyez-vous?
Et c’est ce qui s’était passé quand cette photo avait été prise. Des centaines et des centaines avaient vu Cela, tandis que d’autres n’avaient pas vu. Pour certains d’entre eux, du temps de la Bible, c’était pareil. C’est pareil aujourd’hui.
Dieu se révélera à ceux qui s’attendent à Lui. Les mages s’attendaient à voir l’Etoile de Jacob se lever. Ils venaient de l’Orient, ils avaient entendu la prophétie de Balaam, selon laquelle une Etoile de Jacob se lèverait. Ils attendaient cela. Ils étaient dans l’expectative de cela. Et c’étaient eux qui avaient vu cela.
18 Combien ici présent ce soir s’attendent à être guéris aujourd’hui? Faites-nous voir les mains. Eh bien, vous n’allez donc pas être déçus. Si vous... vous ne pouvez simplement pas être déçus si vous vous attendez à cela. Si vous ne vous attendez pas à cela, et que vous dites: «Eh bien, je vais attendre peut-être demain après-midi. Je recevrai cela demain après-midi», eh bien, c’est alors que vous recevrez cela.
Vous dites: «Eh bien, je ne sais pas. S’Il ne vient pas vers moi personnellement, je ne crois pas que j’aurai cela.» Eh bien, c’est...
Jésus a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Est-ce vrai? Et il n’y a pas longtemps, une dame... je suis entré dans une maison prier pour un garçon qui souffrait de la méningite tuberculeuse. Il se mourait. Et quelqu’un a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, oh! la la! a-t-il dit, vous allez contracter la méningite.» Elle a dit: «Je fais sortir mes enfants. Je les ai vaccinés.»
J’ai dit: «Une telle foi leur ferait contracter la méningite.» C’est exact. Vous devez croire. Tout est possible à celui qui croit. Attendez-vous à ce que Dieu vous délivre, car Il l’a promis. Et aussitôt que votre foi peut saisir cela, c’est parti. Et c’est vrai. Maintenant, j’étais... Tout ce à quoi vous vous attendez, c’est ce que Dieu fera.
19 Je pensais à Siméon. A son époque, il était un vieil homme. Nous l’appellerions peut-être en ce jour un vieux sage. Il est juste... Essayez de vous le représenter avec une longue barbe. C’était un merveilleux vieux saint de Dieu. Eh bien, la Bible dit que le Saint-Esprit était sur lui. Croyez-vous cela? Oui, il–il... le Saint-Esprit était sur lui. Le...
Eh bien, Dieu a toujours eu quelqu’un qui croyait Sa Parole. Quelqu’un va s’attendre à ce que Dieu accomplisse Sa Parole, pendant que les autres passent à côté de Cela. Eh bien, comme ce qui arriva à l’époque arrive de même aujourd’hui. L’église est devenue formaliste et elle s’est éloignée de Dieu. Et on pensait que Jésus, leur Christ, ne viendrait pas; peut-être, peut-être que comme beaucoup d’âges s’étaient écoulés. Mais juste au moment où ils s’attendaient à ce que ça soit loin, Il était bien proche.
20 Eh bien, considérons ce cas maintenant, de Siméon. Eh bien, c’était un vieil homme juste. Il croyait que Dieu lui ferait voir le Christ avant sa mort. Eh bien, disons qu’il avait une quatre-vingtaine d’années. Et puis, Il–Il avait un autre témoin là. Il y avait Anne la prophétesse au temple, Jean Baptiste, Joseph et Marie, et beaucoup d’entre eux: un reste.
Dieu a toujours eu un reste quelque part. Et Il a un reste ce soir. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, ce soir, Son–Son reste est composé de Son Corps, Son Corps spirituel ici sur terre, des gens baptisés dans le Corps, que nous composons, le Corps de Christ.
Maintenant, cela ne représente aucune église. Cela représente seulement tous ceux qui sont baptisés par Dieu dans un seul Corps. Ce n’est pas dans une seule église que nous avons tous été baptisés, mais dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous sommes devenus membres du Corps de Christ.
21 Eh bien, je peux voir Siméon, à l’époque, un vieil homme, descendre la rue, disant: «Eh bien, je verrai le Christ avant ma mort.»
Pouvez-vous vous représenter certains de ces érudits dire: «Ne faites pas attention à ce vieil homme. Je pense qu’il est simplement... Il est devenu donc vieux, et il a un peu perdu l’esprit. Et le pauvre vieil homme, c’est un bon vieil homme. Mais, vous savez, un vieil homme comme cela ne va pas... Eh bien, ça fait un siècle que nous L’avons attendu, et regardez l’état du monde aujourd’hui. Eh bien, nous savons qu’Il ne vient pas maintenant.»
Mais Siméon avait une raison pour croire cela: Le Saint-Esprit le lui avait révélé. Voilà une chose. Dieu avait dit à Siméon qu’il ne mourrait pas sans avoir vu le Christ. Et il croyait que ce que le Saint-Esprit avait dit était la vérité.
Eh bien, pouvez-vous faire cela? Eh bien, le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon est le même Saint-Esprit qui est ici ce soir. Il n’y a pas deux Saint-Esprit, n’est-ce pas? Il n’y a qu’un seul Saint-Esprit.
Maintenant, regardez-le. Eh bien, il devait croire un peu plus que vous. Voyez? Les gens sont guéris chaque soir, chaque jour, à travers le monde, de grandes campagnes de guérison partout. Les gens sont guéris. Mais Jésus, ou le Christ n’était point venu sur terre. Mais il avait été prophétisé qu’Il viendrait, et Siméon avait la promesse du Saint-Esprit, qu’il Le verrait.
22 Eh bien, la Bible dit... Je pense que c’est David qui l’a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Eh bien, s’il y a une–une profondeur qui appelle, il doit y avoir quelque part une profondeur pour répondre à cela. Croyez-vous cela? En d’autres termes, c’est comme ceci, comme je l’ai souvent dit: Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir premièrement de l’eau où le poisson devait se servir de cette nageoire-là, sinon il n’aurait pas eu cette nageoire. Est-ce vrai? S’il y a un arbre pour pousser sur la terre, il doit y avoir premièrement la terre où il doit pousser, sinon il n’y aurait pas d’arbre.
Et alors... Voyez, j’aime la nature, observer la nature et contempler le coucher du soleil et les montagnes. Il y a là quelque chose qui appelle simplement.
23 Il n’y a pas longtemps, j’étais assis sous la véranda. Ma femme et moi, nous étions dans une balançoire en train de nous balancer. Les foules venaient de se disperser. Et quelques grues du Canada survolaient par là, descendant à la rivière. Et elles appelaient. Et alors, le... une dame est passée, elle m’a remis une petite carte à peu près comme–comme ça, où il y avait un coucher du soleil, l’étoile du soir et un appel clair pour moi.
J’ai regardé ces vieilles grues, et j’ai dit: «Regarde, Dieu les a nourries toute la journée dans les marécages. Elles descendent maintenant vers les chutes d’eau pour rester avec leurs compagnons et–et passer la nuit là.»
Deux petits rouges-gorges, mes oiseaux favoris, se sont envolés là et sont entrés dans leur nid. Ils avaient nourri leurs petits toute la journée. Dieu avait pourvu pour eux. Et la nuit, Il avait pourvu à un moyen pour eux de percher en sûreté.
Et j’ai dit: «Certainement, un jour, quand la vie sera terminée, et que le soleil de ma vie se sera couché, ainsi que celle de la vôtre, Dieu a un moyen quelque part.» Quelque chose nous dit qu’il y a quelque chose là-bas: la profondeur appelle la profondeur.
24 J’ai lu dans un journal, il n’y a pas longtemps, qu’un petit garçon mangeait les pédales d’une bicyclette, il mangeait les gommes des crayons. Les médecins ont dit ce qu’il y avait: Son petit corps avait besoin de soufre. Et il mangeait ce caoutchouc-là, parce qu’il y a du soufre dans le caoutchouc. Eh bien, avant qu’il puisse avoir... qu’il y ait un ardent désir du soufre, il a dû y avoir quelque chose ici à l’intérieur qui a eu besoin de cela, qui a créé ce désir-là. Et s’il y avait ici quelque chose qui crée ce désir-là, il doit y avoir quelque chose là dehors pour répondre à ce–à ce Créateur, à cette création.
En d’autres termes, c’est comme ceci, comme je le disais, avant que vous puissiez avoir un désir, il doit y avoir un Créateur qui crée ce désir-là. Est-ce vrai? Avant qu’il y ait une création, il doit y avoir un Créateur.
25 Combien ici présents croient que la guérison divine existe? Faites-nous voir les mains. Très bien. Eh bien, si... Merci. Si vous croyez, et qu’il y a quelque chose en vous qui dit que la guérison existe quelque part, la guérison divine, il doit y avoir un Créateur qui crée ce désir-là. Et aussi vrai qu’il y a dans votre coeur un désir d’être guéri par la guérison divine, il y a une fontaine ouverte quelque part. C’est tout. Vous pourriez... Vous ne pouviez pas éprouver ce désir-là s’il n’y en avait pas.
Et vous rappelez-vous, il y a longtemps, quand l’église était devenue formaliste et tout, les gens ont commencé à éprouver un ardent désir de plus de Dieu. Le baptême de l’Esprit est venu. Voyez, vous avez eu faim et soif de plus de Dieu. Et tant que vous avez soif de plus de Dieu, il doit y avoir plus de Dieu quelque part pour répondre à cela. S’il y a une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur pour répondre. Voyez-vous ce que je veux dire?
26 Eh bien, Siméon, c’était pareil pour lui. Il savait qu’il y avait une faim dans son coeur. Il savait qu’il avait une promesse du Saint-Esprit, qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Or, à l’époque, il n’y avait pas de presse ni de radio comme nous en avons aujourd’hui. Ainsi, Jésus, quand Il naquit à Bethléhem de Judée, eh bien, il y avait des bergers qui étaient venus, ils L’avaient adoré et ils avaient chanté. Et les mages étaient venus et ils avaient offert leurs présents et tout. Les nouvelles ne se répandaient pas comme ça se fait maintenant.
Mais le huitième jour, selon la loi juive, la femme devait venir offrir la tourterelle pour son... et son offrande pour sa purification, sa purification.
27 Eh bien, considérons un matin, au temple. Voici un homme assis là, au fond d’une pièce réservée à la prière quelque part. C’était un matin chargé, peut-être que c’était un lundi matin, tout le monde faisait des va-et-vient, des milliers et des milliers.
Eh bien, probablement que parmi ces trois ou quatre millions des Juifs qu’il y avait à Jérusalem et en Palestine en ce temps-là, il y aurait probablement cinquante à cent enfants qui naissaient chaque nuit, peut-être plus. Eh bien, chaque matin, il se formait une ligne de mamans là pour offrir leur sacrifice pour leur purification, et offrir une offrande selon la loi.
Et maintenant, écoutez. Je vois Siméon au fond, dans le temple. Oh! la là! Je peux bien le voir assis là derrière, peut-être en train de lire les Ecritures. Il a donc eu la promesse. Et puis, dans une porte franchissait... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
28 Je suis si reconnaissant que mon nom figure dans Son Livre ce soir, écrit avec le Sang de Jésus-Christ là en travers: «Pardonné.» Oh! la la! Vous allez d’ici peu penser que je suis un saint exalté, bien assurément. Mais, frère, quand je pense au Sang de Christ qui a pardonné mon livre de péché, et qui l’a jeté dans la mer de l’oubli, cela me rend heureux et me réjouit. Je L’aime de tout mon coeur. Si la puissance de Dieu, de l’ancien temps, qui m’a sauvé et qui m’a gardé au cours de l’âge... je L’aime de tout mon coeur ce soir.
Je prends position avec Paul d’autrefois: «Je sers le Dieu de nos pères selon la voie qu’ils appellent secte. Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit.» Merveilleux, Il est merveilleux.
29 Et je vois par là, quand ce temps pour la purification de cette petite mère arriva, quoi qu’avec sa marque et tout, elle tenait dans ses bras (regardez-la), un Enfant emmailloté. C’est ce qu’on me dit, ce qu’on retire de derrière le joug d’un veau qui laboure. Il n’y avait là rien pour emmailloter le petit Enfant, le Roi de Gloire. Pourquoi vous faites-vous des soucis quant à combien vous êtes pauvres? Le Roi de Gloire a été emmailloté, on L’a enroulé dans ce... Et voici le Prince même du Ciel, emmailloté, dans les bras d’une petite fille.
Là se tenaient des mamans riches. Elles ne voulaient pas s’approcher de ce groupe de gens. Ils avaient toujours ce sentiment-là. Ils n’aimeront pas s’approcher de ce groupe-là.
Et Marie s’est tenue là, et l’une d’elles s’est éloignée, elle a dit: «Regardez-la.»
Mais dans son coeur, elle savait qui elle était. Elle savait qu’elle avait les bénédictions de Dieu. Et là, elle L’avait dans ses bras.
Regardez ça. C’est ce que le monde naturel pense. Il regarde tout autour et dit: «Oh! la la! Regardez ça. Cet Enfant n’est même pas bien habillé. Et regardez, une offrande de paysans: deux tourterelles.» Là se tenaient certaines d’entre elles avec des agneaux. C’étaient des riches. Mais l’offrande du paysan...
30 Puis, pendant qu’elle se tenait là, la petite mère gardait tout cela dans son coeur. Je peux voir le Saint-Esprit se mouvoir là dans une pièce sur ce vieil homme appelé Siméon, ce...?... «Siméon, je te donne la promesse: Tu as été fidèle à cela. Lève-toi et mets-toi à marcher maintenant.»
Je peux le voir déposer le rouleau, sortir du bâtiment. Il ne savait pas où il allait. Il était conduit par le Saint-Esprit. Je peux le voir se faufiler parmi les gens, descendre jusqu’à atteindre cette rangée de femmes, descendre le long de la ligne. Il est allé directement là où se trouvait cette petite femme méprisée, qui se tenait là, il a pris cet Enfant emmailloté, les larmes dégoulinaient sur sa barbe, il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Le Saint-Esprit l’avait conduit vers l’Enfant.
31 Au même moment, une vieille prophétesse aveugle assise là dans un coin, le Saint-Esprit lui a parlé. Et elle s’est faufilée au milieu des gens comme cela; aveugle. Elle est allée jusque là où Il était, elle a levé les mains et a béni Dieu: Conduite par le Saint-Esprit, la profondeur appelant la profondeur. Ils s’attendaient à Le voir, Il était là; le Saint-Esprit les conduisait vers Cela.
Pendant des années, nous avons attendu que des dons soient dans l’église; nous avons attendu que la puissance soit dans l’église. Et n’est-ce pas étrange ce soir, vous qui croyez dans la guérison divine, que le Saint-Esprit vous ait conduits ici par le même canal, droit vers les bénédictions de Dieu qui sont suspendues sur le bâtiment, prêt à recevoir et à guérir tout celui qui est dans la Présence Divine, qui croira cela?
Le même Dieu qui a vécu en ce temps-là, et le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon, Anne et les autres vers Christ, vous a conduit ici ce soir où nous sommes assemblés, en cet endroit, au Nom de Seigneur Jésus, pour voir Sa puissance se mouvoir sur Son peuple. Amen! Amen!
Non, cela ne vous effrayera pas. Amen veut dire ainsi soit-il. Et–et c’est vrai. C’est la vérité. Oh! Que c’est merveilleux!
32 Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit? Récemment, juste à titre de témoignage, nous tenions une série de réunions là à Fort Wayne. Je n’oublierai jamais cela. Beaucoup parmi vous ici étaient aux réunions de Fort Wayne, sans doute. Voyons les mains de ceux qui étaient aux réunions de Fort Wayne. Quel moment merveilleux! C’est là qu’un homme avait été guéri de sclérose en plaques. Combien étaient là cette nuit-là quand il avait été guéri? Faites voir les mains.
Il y avait là un vieil homme étendu là, estropié (Ils peuvent être tous deux ici présents maintenant.), couché comme cela. Je ne savais pas. Ils cherchaient à déposer l’homme sur l’estrade. Il était en chemise blanche là. C’était un homme d’affaires, il était paralysé depuis la taille jusqu’aux pieds pendant dix ans, il était resté alité. Je ne le savais pas. Ils–ils... Certains de ses amis essayaient de l’amener là. Le pauvre homme cherchait à toucher la jambe de mon pantalon. Et on l’a retiré de l’estrade.
33 Je me tenais simplement là. J’ai continué de parler. Il m’est arrivé de regarder et j’ai vu cet homme en vision. Je savais qu’il allait être guéri. Je l’avais vu parcourir une espèce de maison. Je lui ai parlé, il... Et j’ai dit: «Tu veux que je vienne t’imposer les mains, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Oui, monsieur.»
Je suis descendu. Au même moment, là, un drôle d’homme était étendu là, tellement estropié, cet homme lui avait écrit, il avait tendu la main et avait saisi mon manteau. Il a dit: «Frère Branham, posez simplement vos mains sur moi aussi pendant que vous êtes ici, et je serai guéri.»
Et aussitôt que j’ai touché cet homme-là, il s’est tenu sur ses pieds. Et ces gens ont poussé un cri. Vous rappelez-vous cela?
34 Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre de tous les deux. L’homme qui était si paralysé, et qui était si estropié, comme cela, labourait dans un champ avec son tracteur. L’autre homme qui souffrait de sclérose en plaques descendait la rue et il l’a vu. Il a sauté de son véhicule, et cet autre homme a sauté de son tracteur, et ils ont couru là dans le champ, ils se sont étreints, ils se sont soulevés comme cela. Qu’est-ce? Rien que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il est omnipotent par Sa puissance dans...?...
Eh bien, Il est le même Christ, hier, aujourd’hui et éternellement. Ses puissances ne peuvent pas faillir, car Il est Dieu. L’ordre divin de Dieu sur la terre, le Saint-Esprit aujourd’hui est le même qu’Il l’a été. Rejeter Jéhovah, c’était passible d’une peine. Vous aviez... Rejeter Jésus, c’était passible d’une peine. Et rejeter Ceci, le Saint-Esprit, ce que les gens taxent du fanatisme, ce que les gens taxent du non-sens. Il a dit: «Prononcer un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» C’est plus passible d’une peine que de rejeter le Saint-Esprit aujourd’hui par rapport à ce que cela était pour Jésus-Christ ou pour le Père. C’est vrai.
N’ayez pas honte. Prenez position pour ce qui est juste. Je ne sais pas ce qui se passe avec moi ce soir. Je suis...?... maintenant. Très bien. Observez-le.
35 Là, dans la réunion, quand ces choses se passaient, je me rappelle, je restais à l’hôtel Indiana. On devait garder le lieu secret, là où on restait, vous savez, car toute la journée durant, lorsqu’on amène ces malades, cela fait descendre l’onction, et on peut à peine arriver à l’estrade le soir.
Et je me rappelle une infirmière, une infirmière de chez les Mayo, l’un des premiers cas de guérison: Madame Margie Morgan. Le cancer s’était tellement répandu qu’elle ne pesait que quarante-sept livres [21 kg]. Monsieur Baxter et les autres lui parlaient l’autre soir. Elle pèse cent cinquante-cinq [70 kg]. Il y a de cela cinq ans.
Les médecins disaient: «Oh! Elle va mourir. Elle est simplement excitée. Eh bien, elle est toujours excitée. Elle vit. Vous ferez donc mieux d’être excité, ainsi donc, cela–cela conservera votre vie ici pendant un petit moment. L’excitation, c’est la puissance du Dieu Tout-Puissant, pas l’excitation. Si ça l’est, ce serait bien pour les psychologues et les médecins de se mettre à enseigner l’excitation. L’excitation ne vous soigne pas. Vous savez que ça ne soigne pas.
36 Remarquez donc. Nous restions dans un hôtel. Et le petit garçon de chambre est monté et a dit: «Révérend Branham, je suis désolé de vous informer, mais vous ne pouvez même pas passer par cette porte ce matin.» Il a dit: «Cet auditorium est plein à craquer. Ils savent que vous êtes ici.»
Nous avons attendu un moment. Il n’y avait pas moyen de sortir pour aller prendre le petit déjeuner. Alors peu après, un autre est monté, il a dit: «Je vais vous dire quoi, je peux vous faire passer par le sous-sol, si ça ne vous dérange pas, votre femme et les autres, ils monteront par dessus les cendres.»
J’ai dit: «Ça ne me dérange pas.»
Nous sommes descendus, nous avons traversé un grand tas de cendre, nous sommes sortis dans une allée. Nous avons commencé à descendre, nous dirigeant vers un petit restaurant appelé Toddle House. Vous rappelez-vous là où ça se trouve? C’est là où monsieur Eaton a été guéri, ce matin-là, des troubles d’estomac, quand il est venu là en vitesse pour payer pour mon petit déjeuner.
37 Et je me rappelle, je portais mon pardessus comme ceci, je descendais la rue portant ma fillette. Madame Morgan était d’un côté, et ma femme était de l’autre. Nous descendions la rue. Je me suis engagé pour traverser la rue vers Toddle House, là où nous prenions notre petit-déjeuner et nos repas. Et juste à ce moment-là, j’ai senti le Saint-Esprit. Croyez-vous donc dans le fait d’être conduit par le Saint-Esprit? D’accord. Suivez donc attentivement. Il a dit: «Tourne de ce côté-ci.»
Et j’ai fait demi-tour. Madame Morgan a dit: «Où vas-tu?»
Ma femme a vite regardé et a dit: «C’est l’Esprit qui conduit maintenant. Observe simplement. Suivons-le simplement.»
Je descendais la rue. Je ne savais pas exactement où j’allais, mais peu après, je me suis arrêté et j’ai levé les yeux. Il était mentionné: Miller’s Cafeteria. Je suis entré là. (Ces gens peuvent être assis ici ce soir, à ce que je sache.) Je suis entré. J’ai commandé une tasse, je pense, de chocolat, ou quelque chose comme cela, je me suis assis pour prendre cela, madame Morgan, et elles toutes.
Alors que nous eûmes demandé la bénédiction, j’ai relevé la tête. J’ai dit quelque chose à ma fillette. J’ai vu une femme se lever, elle a dit: «Que Dieu soit béni! Que Dieu soit béni!»
Je me suis dit... Madame Morgan s’est retournée et a dit: «Tu es pris au piège ici maintenant.»
J’ai dit: «Madame Morgan, ne dites pas cela.» Voyez? J’ai dit: «Ceci est le Saint-Esprit.»
38 Cette femme s’est avancée là, se tordant les mains. Elle a dit: «Frère Branham, je viens de Texas.» Elle a dit: «Mon frère se meurt de maladie du coeur.» Elle a dit: «Nous avons suivi. Ceci est la huitième ou la dixième réunion à laquelle nous assistons, et nous n’avons point été à mesure de recevoir une carte de prière qui a été appelée dans la ligne.» Et elle a dit: «Pour arriver ici cette fois-ci, nous avons vendu notre vache, a-t-elle dit, car mon... le médecin a dit que mon frère ne pouvait plus vivre que peu de temps encore.» Le coeur, quelque chose a causé des lésions au diaphragme. Elle a dit: «Il ne lui reste que quelques semaines à vivre. Et c’était notre dernière chance.» Elle a dit: «Nous...?... jusque hier soir. Nous ne pouvons même plus entrer pour avoir... sur le lieu.» Elle a dit: «J’ai prié toute la nuit.» Et elle a dit: «Ce matin, vers quatre heures du matin, a-t-elle dit, j’ai eu un songe. Et dans ce songe, il m’a été dit de venir ici et de trouver un restaurant appelé Miller’s Cafeteria, et d’être ici à neuf heures, et que mon frère serait guéri.» J’ai regardé ma montre, il était neuf heures pile. Vous savez ce qui s’est passé. Oui, oui. Et ce jeune garçon a été guéri.
39 Je me suis retourné et j’ai pris mon chapeau, je franchissais la porte, les gens se mettaient à crier. Ce cafeteria fut en effervescence pendant quelques minutes. Je franchissais la porte. J’ai dit quelque chose, j’ai prononcé une bénédiction sur eux, je franchissais la porte, alors une petite dame... Elle était à San Bernardino il y a quelques semaines pour me le témoigner. Elle revenait de Brésil, elle avait été voir sa fille qui est missionnaire.
Elle est tombée par terre dans la rue et s’est saisie de mes jambes, comme ça. Elle a dit: «Oh! Dieu...»
Je l’ai relevée et j’ai dit: «Qu’y a-t-il, soeur?»
Meda, ma femme et les autres, se sont mis à la relever. J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»
Elle était très grosse, maligne. Et les frères Mayo l’avaient abandonnée. Son mari est propriétaire d’une fabrique de spaghettis ici à Chicago. C’était une petite femme. Et elle était, oh! tellement enflée. Elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, c’est ma dernière chance.» Elle a dit: «Oh! J’ai simplement prié et pleuré.» Elle a dit: «Les Mayo m’ont abandonnée, il n’y a rien qui puisse être fait à ce sujet ici. J’ai suivi le traitement au radium, j’ai suivi le traitement par les rayons X, et tout, et rien ne peut être fait.» Elle a dit: «Ce matin, vers l’aube, a-t-elle dit, j’ai été réveillée. J’ai regardé dehors. Je me suis rendormie.» Elle a dit: «J’ai eu un songe où je me tenais en face de Miller’s Cafeteria à neuf heures dix pour être guérie.» Oh! la la! Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit? Oui, oui.
40 Je descendais la rue. Juste un peu plus longtemps (Vous de Fort Wayne et de l’autre côté de la frontière, vous les avez.) Je descendais la rue. Ma femme a dit: «Que... Es-tu prêt à entrer maintenant?»
J’ai dit: «Je ne sais pas.» Nous sommes arrivés là, j’ai vu quelques articles de pêche. Et je me retournais vers cela. Juste à ce moment-là, le Saint-Esprit est redescendu et s’est mis à se mouvoir là. Ceci est ma vie intérieure, que je vous raconte. Cela est arrivé ici même dans cette ville aujourd’hui. Et alors, Il se mouvait là. J’ai senti Cela. J’ai dit: «Oh! Cela est là de nouveau.» J’ai dit: «Maintenant, chérie, allez acheter le... au drugstore là-bas et achetez le petit livre de coloriage pour l’enfant.» On devait le garder dans une chambre toute la journée. J’ai dit: «Allez tous là. Je ne sais pas quand je pourrais... le Saint-Esprit me relâchera donc.»
41 Je suis allé au... je suis allé jusqu’au bout de la rue. Alors, je remontais là et j’ai commencé à regarder ces articles et tout. Je suis allé à l’écart, j’ai dit: «Père céleste, où veux-tu que Ton serviteur aille?» Je pensais que peut-être Il voulait que je me tienne ici un petit moment. Je me suis tenu un petit moment là; rien n’est arrivé. Je me suis dit: «Eh bien...» Je me dirigeais vers le coin.
Il a dit: «Traverse l’autre coin.»
Et le policier a fait retentir le coup de sifflet là. J’ai traversé de l’autre côté, je me suis tenu là un petit moment, environ dix minutes. Je ne savais pas pourquoi je me tenais là. Les gens passaient. Je me tenais simplement là. C’est tout ce que je savais. Quand vous êtes conduit par l’Esprit, Dieu veut que vous fassiez juste ce qu’Il vous ordonne de faire. C’est Lui qui opère à l’autre bout de la corde.
42 Je me suis simplement tenu là un petit moment. Et je me disais: «Oh! Qu’est-ce qui va arriver?»
Et un gros policier Irlandais a sifflé encore là. Les piétons ont traversé. Et derrière venait une petite femme en robe à carreaux, portant un béret écossais à carreaux, on dirait une Canadienne. Elle portait un petit porte-monnaie sous le bras. Elle avait la tête inclinée. Elle est passée en marchant comme ceci, et elle...
Le Saint-Esprit a dit: «Arrête-toi ici.»
Et elle est passée près de moi, elle est simplement passée. Je me suis dit: «Pourquoi ça?» Elle a progressé un peu loin. Je me suis dit: «Eh bien, c’est étrange. Il m’a dit de me tenir ici à côté d’elle. Je me demande pourquoi. Peut-être qu’elle a simplement eu la bénédiction en passant comme cela.»
43 Quelques instants après, elle s’est retournée et a dit: «Oh! a-t-elle dit, Frère Branham...» Et elle est revenue. Elle a dit: «Je ne... Je suis hors de moi.»
J’ai dit: «Je ne le pense pas, soeur. Qu’y a-t-il?»
Elle a dit: «Je viens du Canada. Je n’avais que cent cinquante dollars d’allocation annuelle pour venir ici.» Elle a dit: «Je–j’ai dépensé tout mon argent.» Et elle a dit: «Je–je–j’étais dans un couloir d’hôtel, et j’avais cinq cents pour le café de ce matin.» Elle a dit: «Et j’étais sur mon chemin de retour pour faire l’autostop et retourner au Canada.» Elle a dit: «Je ne suis pas parvenue à entrer dans des lignes, et j’ai prié.» Elle a dit: «Quelque chose m’a fait faire demi-tour et m’a amenée à remonter à deux ou trois pâtés de maisons et à marcher de ce côté-ci.» Oh! la la! Il est là.
Je l’ai vue se tenir la main. J’ai dit: «Est-ce votre bras, soeur?»
Elle a dit: «Oui, j’étais tombée sur une pierre. Je faisais courir un chien quand j’étais une fillette, et j’étais tombée sur une pierre et je me suis fait mal à ce bras-ci comme ceci.» Et pendant qu’elle parlait, son bras s’est tendu comme cela. Elle s’est mise à crier à tue-tête.
Et ce gros policier a dit: «Je sais qui vous êtes: Frère Branham.»
Vous parlez d’une ligne de prière, nous en avons eue là tout le long de la rue pendant un moment, les gens étaient debout, s’avançant. Oh! Que c’était merveilleux!
44 Il n’y a pas longtemps, je revenais de Dallas, au Texas en printemps, et je pensais... je revenais en avion, et j’avais atterri à Memphis, là même où mon... on devait passer une soirée, le cinquième, à Memphis, dans le Tennessee. J’ai atterri là, et on m’a logé là dans ce, je pense, l’hôtel Peabody, c’est comme ça que ça s’appelle. C’est un très bel hôtel. Moi-même, je ne pouvais me permettre d’y entrer, mais la–la compagnie aérienne m’y avait envoyé. Et je me souviens ce matin-là, on m’a appelé et on a dit: «Maintenant, l’avion quittera à huit heures, Révérend Branham.» On a dit: «On vous amènera là.»
J’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai apprêté mes lettres et je suis descendu les expédier. Eh bien, suivez attentivement, je vais terminer dans une minute. Et je me suis dit: «Oh! la la! Je vais descendre poster ces lettres.» Et je suis sorti. Je descendais la rue, mettant... cherchant à trouver la poste. Et je descendais la rue en chantant ce petit chant de pentecôtistes, voyons:
Racontant donc partout,
Que Sa puissance est toujours la même,
Je suis si heureux de dire que je suis l’un d’entre eux.
Frère Ryan, vous vous rappelez, quand vous chantiez cela. Et dire: «Nous...» Et j’allais en chantant ce petit cantique. Et peu après, j’ai senti quelque chose faire: Whoooush. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] s’approcher. Je me suis mis à l’écart, derrière une très grosse colonne là, et j’ai dit: «Père céleste, que veux-Tu que Ton serviteur fasse?» Cela a continué à faire: Whoooush. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Je suis resté très calme une minute, j’ai entendu une Voix profonde me dire: «Fais demi-tour, rentre.»
45 Eh bien, j’ai fait demi-tour et j’ai commencé à rentrer, descendant la rue. Je marchais. J’ai dépassé l’hôtel, je parcourais le sud de Memphis, marchant sans cesse. Le soleil était bien là haut alors. Le soleil s’était levé, c’était un beau matin de printemps. Le parfum de fleurs dans le–dans l’air, parfumant l’air.
Je me suis dit: «Que c’est beau!» Je passais là. Je me suis dit: «Seigneur, je ne sais pas. Tu as dit: ‘Marche.’ Me voici. Je marche.» J’ai simplement continué à marcher, marcher, marcher. J’ai marché presque tout près de l’autre côté de Memphis. Et je me rappelle qu’en descendant une petite colline vers une petite rivière, quelque chose traversait dans ce sens-ci, un petit affluent là à la rivière, d’un genre donné. J’ai simplement traversé là. Il y avait une vieille petite hutte blanchie à la chaux là. Beaucoup de gens de couleur habitaient de ce côté-là. Je descendais par là, chantant, fredonnant en moi-même:Crois seulement, crois seulement.
Satan a dit: «Tu vas rater ton avion.»
J’ai dit: «Je vais marcher.» Tout est possible.
Ne le laissez pas vous dire un mensonge. C’est un menteur. Quand Dieu conduit, allez faire ce que Dieu ordonne. Oui, oui. Il vous dit que vous êtes guéri, croyez cela, et mettez-vous simplement à marcher sans cesse. Et j’ai continué simplement comme ça, chantant:Crois seulement...
46 J’ai vu un genre de tante Jemima typique appuyée au portail comme ceci, une femme de couleur très costaude, avec une chemise d’homme nouée à la tête. Elle était appuyée là. J’ai arrêté de chanter, de fredonner, quand je suis arrivé à la distance de ce mur-là, par rapport à elle. Je passais simplement.
Et quand je suis arrivé là, elle m’a un peu regardé et a souri, dévoilant ces grosses dents blanches, et il y avait des traces de larmes sur son visage comme cela. Elle a dit: «Bonjour, parson.» Je me suis retourné. Eh bien, parson, ça veut dire: ministre, ou révérend, là dans le sud. Elle a dit: «Bonjour, parson.»
Je me suis retourné, j’ai dit: «Bonjour, tantine.» J’ai dit: «Dites donc, comment avez-vous su que j’étais pasteur?» Elle a souri et elle s’est essuyé les yeux. Je me suis dit: «Ça y est. Quelque chose se passe.» Je pouvais sentir l’Esprit. Je me suis alors assez approché. Oh! la la! Quand je pense à cela, mon coeur tressaille.
47 Je me suis retourné, j’ai dit: «Comment avez-vous su que je suis pasteur?»
Elle a dit: «Pasteur, avez-vous déjà lu dans la Bible au sujet de cette femme sunamite qui avait reçu un enfant par la promesse?»
J’ai dit: «Oui, tantine. J’ai lu cela plus d’une fois. J’ai prêché là-dessus il n’y a pas longtemps.»
Elle a dit: «Je suis ce genre de femme aussi. J’avais dit au Seigneur que s’Il me donnait un enfant, je l’élèverais pour Lui.» Elle a dit: «Pasteur, le Seigneur m’a donné un garçon, et je l’ai élevé jusqu’à ce qu’il était devenu adolescent.» Elle a dit: «Il a suivi une mauvaise voie, il a eu une mauvaise compagnie.» Elle a dit: «Il est couché là mourant maintenant. Il a attrapé une mauvaise maladie, et les médecins ne peuvent rien faire pour lui.» Elle a dit: «On lui a administré toutes sortes de piqûres mais, a-t-elle dit, il est récidiviste.» Elle a dit: «Il est couché là à l’intérieur, mourant.» Elle a dit: «Il est inconscient depuis avant-hier.» Et elle a dit: «Il ne reconnaît rien. Il pense qu’il est là sur une grande mer profonde quelque part, il fait froid.» Et elle a dit: «Pasteur, ça me brise vraiment le coeur de voir mon jeune garçon mourir comme cela.» Et elle a dit: «Je–j’aimerais qu’il soit sauvé.» Et elle a dit: «J’ai prié toute la nuit et j’ai dit: ‘Seigneur, Tu m’as donné cet enfant, mais–mais où est Elie?’» Elle a dit: «Maintenant, Seigneur, veux-Tu m’aider? Ne laisse pas mon enfant mourir comme ceci.» Et elle a dit: «Et le Seigneur m’a parlé ce matin...» Et elle a dit: «Je m’étais un peu endormie là sur mon fauteuil; et j’ai eu un songe où il m’a été dit que je devais sortir ici me tenir à ce portail et que je verrais un homme venir habiller comme vous l’êtes.» Oh! la la! Vous savez quel sentiment vous éprouvez!
48 J’ai dit: «Tantine, mon nom est Branham. Avez-vous déjà entendu parlé de moi auparavant?»
Elle a dit: «Non, monsieur, je n’ai jamais entendu parler de vous.»
Oh! la la! J’ai dit: «Tantine, je prie pour les malades.»
Elle a dit: «C’est vrai?»
J’ai dit–j’ai dit: «Puis-je entrer voir votre fils?»
Elle a dit: «Oui, pasteur.» Et quand elle a repoussé cette vieille porte, il y avait une chaîne et un socle qui servait d’appui, qui faisait le contre-poids derrière cela... Je suis entré dans des palais des rois, je suis entré dans de très belles maisons, mais jamais je n’avais reçu un accueil aussi chaleureux que celui que j’avais reçu en franchissant cette petite porte ce matin-là, sous ce tréteau. Elle marchait toute heureuse. Elle savait que quelque chose devait arriver; Dieu était aux deux bouts de la ligne.
49 Je suis donc entré dans la pièce. La première chose, là au-dessus, il y avait une petite enseigne: «Que Dieu bénisse notre maison», un vieux four de bois, comme nous l’appelons dans le sud, placé là, un petit lit en fer. Il y avait un grand gaillard corpulent, d’environ cent quatre-vingt livres [81,6 kg], de dix-sept, dix huit ans à peu près, couché là, agrippant une couverture par la main, faisant: «Hmmm, hmmm», comme cela. Il disait: «Il fait très froid, maman, hmmm.»
Elle l’a tapoté. Elle a dit: «Le bébé de maman.»
J’ai pensé là sur-le-champ à l’amour maternel. Peu importe ce qu’il avait fait, peu importe la disgrâce; il était toujours le bébé de maman. Elle l’a embrassé sur le front.
Je me suis dit: «Si l’amour d’une mère peut se manifester comme cela, que fera l’amour de Dieu? Quand Il a dit: ‘Une mère peut oublier son enfant qu’elle allaite, mais Je ne t’oublierai jamais.’» Je me suis dit: «Grâce étonnante, oh! quel doux son, qui sauva un vil comme moi!»
50 Alors, pendant qu’elle était là à côté de son fils, là, j’ai dit: «Tantine, prions.» Elle n’a rien dit au sujet de sa guérison, elle voulait qu’il soit sauvé. Et alors, avant qu’il parte, elle voulait avoir son témoignage qu’il était sauvé. Et cette vieille sainte s’est agenouillée là par terre. Je ne pouvais pas prier. L’entendre prier, oh! la la! elle a ouvert ce coeur-là, et les larmes coulaient sur ses joues, elle a dit: «Seigneur, si seulement Tu le laisses me dire qu’il va partir pour être avec–avec Jésus, a-t-elle dit, je serai contente», comme ça. Et je me suis simplement agenouillé là et j’ai incliné la tête et j’ai pleuré comme un enfant.
Quelques instants après, elle s’est relevée, elle a dit: «Merci, Seigneur.» Elle est allée là, elle a dit: «Bébé de maman.» Elle l’a tapoté comme cela. J’ai touché ses pieds, c’était aussi froid que possible, la mort était sur le jeune garçon. Et il disait...
J’ai dit: «Est-ce qu’il...?»
Elle a dit: «Il ne reconnaît pas...»
J’ai dit, j’ai parlé au jeune garçon, j’ai dit: «Comment te sens-tu maintenant, jeune homme?» Il continuait simplement à faire: «Hmmm.»
Elle a dit: «Il ne sait pas où il est, pasteur; il est inconscient, ça fait maintenant deux jours.»
Et j’ai dit: «Prions encore, soeur.»
51 Et nous nous sommes agenouillés par terre, j’ai dit: «Père céleste, d’une façon ou d’une autre hier soir une tempête a éclaté, et Tu as fait atterrir l’avion.» Vous croyez que toutes choses concourent au bien, n’est-ce pas? J’ai dit: «Je suis sur mon chemin de retour à la maison, allant aux réunions.» J’ai dit: «Tu as fait atterrir l’avion. Et ce matin, quand le soleil brillait, je sais que l’heure est passée, le temps maintenant pour qu’il décolle. Mais d’une façon ou d’une autre, Tu m’as conduit par ici; je ne comprends pas. Mais j’impose les mains à ce jeune garçon au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, réclamant que sa vie soit épargnée.» Et à peine la prière a-t-elle été offerte que je l’ai entendu faire: «Hmmm.» Il a dit: «Oh! Maman.»
Elle s’est relevée et a dit: «Que veut le bébé de maman?»
Il a dit: «Maman, il fait clair dans la chambre, il fait clair dans la chambre.»
Elle s’est mise à pleurer; j’ai levé les mains, je me suis mis à louer. Du lit s’est levé ce très grand gaillard en bonne santé, redevenu normal.
52 Quelques mois après cela, je passais à bord d’un train, je m’étais arrêté pour m’acheter quelque chose à manger; j’ai entendu quelqu’un crier: Pasteur Branham.» Il tirait l’une de ces petites charrettes-là comme ça, là à la station. Il a couru me serrer la main, il a dit: «Vous souvenez-vous de moi?»
J’ai dit: «Non, je ne m’en souviens pas.»
Il a dit: «C’est moi le jeune homme que vous étiez venu voir ce matin-là, le Seigneur vous avait conduit là-bas, quand maman priait.» Il a dit: «Pasteur Branham, je suis en parfaite santé maintenant, et je suis chrétien maintenant.»
Chrétien, oh! frère, et vous savez quoi? L’avion n’avait point décollé, Quelque chose lui était arrivé. C’était environ une heure plus tard, je suis monté à bord de l’avion et je suis rentré chez moi à temps de toute façon.
Laissez-moi vous dire quelque chose. «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Sa puissance est omnipotente, Il–Il ne peut pas faillir. Il est le même Dieu qui était à Memphis, dans le Tennessee, cette nuit-là, à Fort Wayne, dans l’Indiana, Il est ici ce soir. Croyez-vous cela? Il est le même, Il ne peut pas faillir.
53 Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Ta puissance, oh! comme nous pouvons témoigner heure après heure de Tes bénédictions et de tout ce que Tu as accompli pour nous. Je pense à ce temps-là, là à Memphis, je pense à ce qui est arrivé ici à Fort Wayne et à divers endroits à travers le pays.
Ô Dieu, maintenant, Tu es ici. Cela peut paraître particulier à certains, mais, Seigneur, ça ne l’est pas pour nous qui croyons en Toi comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous croyons que Tu es ici ce soir, et Tu es ici dans Ta puissance. Et de même que Siméon autrefois s’attendait à la promesse du Saint-Esprit, pour lui faire voir le Christ avant qu’il mourût... Ô Dieu, le même Saint-Esprit est ici, et nous Lui demandons ce soir au Nom du Maître, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de nous faire voir sa grande puissance. Non pas que nous ayons besoin de voir cela. En effet, nous Te prions de faire cela, Seigneur, pour fortifier la foi des autres, afin que les trois prochaines réunions qui se tiendront dans cet auditorium puissent être un réveil à l’ancienne mode qui amènera les églises à être remplies de Ta gloire.
54 Et, Seigneur, ces prédicateurs, Tes serviteurs, assis juste derrière moi ce soir dans la prière, ô Dieu, que chacun d’eux soit rempli de la puissance. Et que leurs églises soient multipliées et redoublées, Seigneur, des gens qui sont sauvés. Qu’il y ait des puissances de guérison à l’ancienne mode qui coulent dans leurs églises, avec de grands signes et de grands prodiges. Et qu’il arrive quelque chose qui amènera cette ville à en parler pendant longtemps. Accorde-le, Dieu bien-aimé.
Maintenant, pendant que je parle ce soir, dans ce bâtiment où il fait chaud, je Te prie de cacher Ton serviteur derrière la croix, et que l’Ange de Dieu s’approche. Agis comme Tu l’as fait hier soir, ô Ange de Dieu. Descends dans cette salle, et je crois que si Tu nous accordes une autre chance après hier soir, démontrant Ta puissance si Tu nous donnes cette chance ce soir, je crois, Père céleste, si Tu L’envoies se manifester encore, que les malades et eux tous ici présents Le recevront d’un seul coeur et de commun accord. Il y aura des guérisons, Seigneur, dont on parlera pendant des mois et des années à venir. Accorde-le, Seigneur. Nous demandons ce genre de bénédictions et de grâces, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
55 Merci, monsieur...?... ici. Je sais que c’est très difficile (on s’en inquiète), chaud comme ceci; nous n’y pouvons rien. Je souhaite maintenant, par ce beau cantique: Reste avec moi. A l’heure de ma mort, quand la vie sera en train de me quitter, ou oh! la la! les anges de Dieu, j’espère, me porteront vers la gloire, je pense que c’est déjà réglé. Quand ils m’emmèneront, j’espère entendre ce cantique être chanté comme cela: Reste avec moi. Quand la mort m’étranglera la gorge, et que les vapeurs froides se lanceront contre mon âme, quand je m’engagerai dans cette longue vallée qu’on appelle la vallée de l’ombre de la mort, j’aimerais voir l’Etoile du matin apparaître, éclairer le chemin de la vallée de l’ombre de la mort. Et quand j’atteindrai le Jourdain, je m’attends à voir les deux ailes brillantes du Saint-Esprit s’étendre là et emporter nos âmes fatiguées vers un pays meilleur. En attendant ce temps-là, puissions-nous vivre fidèlement envers Lui, Lui qui est fidèle envers Sa Parole. Au Nom du Seigneur Jésus. Tous, ayez foi en Dieu; tous, croyez en Dieu. Que personne ne doute de Dieu, mais croyez seulement.
56 Très bien. Je ne sais que faire. Je demande à mes frères prédicateurs de bien vouloir rester ici où vous êtes. J’aimerais que vous m’aidiez ce soir. Allez-vous le faire? Ces hommes sont ordonnés de Dieu; ils se présentent en public devant la ville, comme ceci, pour s’exposer, qu’ils croient dans la guérison divine en Jésus-Christ. Ils sont ordonnés pour prier pour les malades autant que n’importe qui d’autre dans le monde. Votre pasteur a le même droit de prier. Même les membres laïques ont le droit de prier. Est-ce vrai? «Confessez vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres.» Tout le monde a le droit, celui qui croit dans la guérison divine, de prier pour les malades. L’unique chose, c’est juste votre foi qu’elle monte.
Je ne sais pas ce que le Saint-Esprit... Je Lui ai demandé de nous bénir. Je crois qu’Il le fera. Allez-vous croire avec moi maintenant? Allez-vous vous attendre à ce qu’Il le fasse? Alors, que tout le monde soit respectueux, et formons une petite ligne de prière et commençons. Nous allons appeler quelques-uns, là quelque part dans la ligne, et puis nous allons... Puis, j’aimerais que certains parmi... les autres... Nous ne savons simplement pas ce que le Seigneur va faire pour nous ce soir.
57 Je vous assure, en venant ici ce soir, j’ai simplement dit: «Seigneur, je Te confie cela. Et quand je suis arrivé ici, tous ces pasteurs étaient ici à l’estrade.» Frère Baxter a dit: «Frère Branham, il n’y a aucun moyen au monde pour ces hommes de se tenir quelque part.» Il a dit: «Tout celui qui peut être debout est debout, on en a renvoyé depuis l’après-midi, ou le soir.» Et il a dit: «Il n’y a nulle part...»
Et juste à ce moment-là, le Saint-Esprit m’a révélé quelque chose. J’ai dit: «Laissez les frères là même où ils sont.» Ce n’est pas que je ne veux pas que mes frères soient ici, mais ici, ce sont des croyants; vous êtes des croyants, et certains parmi eux ont aussi besoin de guérison. Et c’est vrai. Et quand cela se croise, de ce côté-ci, cela m’embrouille. Voyez-vous ce que je veux dire? Cela m’embrouille. Et quand je me retourne de côté, si je tourne le patient de ce côté-ci et qu’il n’y a pas un moyen précis de tourner le patient pour le mettre à l’écart... Avez-vous déjà allumé une radio sur environ trois ou quatre stations, essayant de suivre au même moment? C’est la même chose, quand je sens le mouvement.
58 Ce sont des puissances démoniaques ça, pas un démon dans votre âme, un démon dans votre corps. Frère Baxter vous a expliqué tout cela. Et quand ils butent à cela, je... ils ont peur, et si vous remarquez bien, quelqu’un sera guéri ici de quelque chose, et puis, un esprit apparenté, qui sympathise là dans l’assistance, va avoir peur et sortira de la personne. Avez-vous vu cela arriver? Assurément, ils savent quand ils sont fouettés. Vous ne pouvez pas les tromper.
Quelqu’un... L’autre soir, j’étais à un endroit où on disait qu’on tenait une réunion de guérison, un homme se tenait là, martelant de ses pas, tapant l’estrade fortement en disant: «Démon, sors de cela, démon...»
Eh bien, il lui importe peu combien vous chahutez... (Voyez?); cela ne va pas le déranger. Vous ne pouvez pas l’effrayer. Il n’y a qu’une seule chose qui l’ébranlera; c’est la vraie foi divine en Christ. Cela le fera partir immédiatement; il a peur de cela. C’est vrai. Quand vous avez vraiment le Sang de Christ derrière vous, soutenant votre foi, agissant comme cela, il va fuir. Il reconnaît cela. Très bien. Maintenant, que tout le monde soit respectueux.
59 Où est Billy? Très bien. As-tu distribué–distribué... Quelle carte de prière as-tu distribuée? Z, combien? 51 à 100. Prenons environ dix. Prenons de 90 à 100. Prenez de 90 à 100, de Z 90 à 100, alignez-vous ici selon vos cartes, tout de suite.
Maintenant, combien ici n’ont pas de cartes de prière? Faites voir les mains. Oh! C’est bien, la ligne de devant ici; c’est comme ça. Je suis content que vous soyez ici. Maintenant, placez-vous comme ceci.
Combien là dans l’assistance, ici, ont des cartes de prière? Très peu, juste çà et là. Très bien. Maintenant, que quelqu’un regarde aux cartes de prière et voie si on a–si on a ce 100 à... C’était quoi que je... Qu’est-ce que j’ai appelé, Frère Baxter? Oh! 90, 90 à 100, ouais, 90 à 100. Voyez, si c’est un sourd, il ne peut pas entendre. Regardez chez votre voisin et voyez s’il a la carte qui doit entrer directement en ligne.
Je suis juste un peu en retard, mais je vais simplement essayer... Priez pour moi, car je suis... Priez pour moi, frères. C’est difficile...?... me garde, revenant dans–dans le ...
60 Oui, oui. Très bien...?... Excusez-moi, assistance, d’avoir parlé ce soir comme je l’ai fait; j’ai pris beaucoup de votre temps, mais je vous aime tellement que j’ai dû vous dire quelques mots sur l’Evangile avant de vous quitter. C’est un peu difficile quand on parle comme cela, et puis, changer directement pour entrer sous cette autre onction, on–on sent différemment et tout. Ce n’est pas comme parler, ou quelque chose comme cela, mais je prie que Dieu bénisse chacun de vous maintenant et qu’Il vous accorde...
Combien vont croire de tout leur coeur maintenant? C’est bien. Combien parmi vous? Gardez simplement la main levée et dites-le, comme ceci: «Frère Branham, je m’accroche à Dieu pour qu’Il exauce votre prière ce soir.» Allez-vous le faire? Très bien. Faites-le, c’est pratiquement partout, je dirais cent pour cent. Quelque chose doit arriver.
Frère, soeur, voici ce que j’ai dit, je vais dire ceci avant que l’onction descende fortement sur moi, ne faites pas attention à la manière dont j’agis ici, car c’est–c’est juste le... On n’est pas de ce monde en ce moment-là. Je sais où je suis, mais je ne sais pas ce que je dis ou ce que je fais la plupart de temps.
61 Ecoutez, l’Ange de Dieu m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.»
Et j’ai dit: «Seigneur, ils ne me croiront pas; je ne suis pas instruit.»
Il a dit: «Il te sera donné deux signes.» Et Il m’a dit ce que seront les signes; vous comprenez. Il a dit: «Quand cela se fera, ils vont–ils vont alors croire.»
Et puis après que ces signes auront été accomplis, ce qui est infaillible, est-ce la vérité? C’est la vérité. Très bien. Vous avez donc accepté cela. Maintenant, sur cette base-là, tout peut arriver. Ecoutez-moi: tout peut arriver. Ne faites pas attention à un quelconque sens; ne faites pas attention aux–aux doutes, ou–ou à des choses mécaniques. Ecoutez le Saint-Esprit ce soir. Et si vous faites cela, faites exactement ce que je vous dis de faire, vous verrez la gloire de Dieu. Maintenant, je le dis aussi à vous ici en bas. Et je le dis à chacun de vous: croyez et soyez en prière, et acceptez Jésus-Christ comme votre Guérisseur. Et dites à Dieu que vous allez... que vous croyez que vous allez être guéri. Dieu va vous rétablir ce soir et vous recevrez ce que vous avez demandé. Très bien. Tout est prêt. D’accord, faites venir–faites venir l’homme.
62 Bonsoir, monsieur. J’essaie simplement de tourner cela afin que les gens, que–que là dans l’assistance ils puissent entendre. Vous allez veiller à cela pour moi, des fois, Frère Baxter.
Eh bien, mes frères, j’aimerais que vous tous là derrière, d’un commun accord, vous croyiez. Maintenant, vous n’avez pas à garder vos têtes inclinées à moins que je vous le demande. Mais je–j’aimerais que vous me croyiez; je suis ici pour représenter le même Evangile que vous avez prêché toutes ces années. Et vous les frères, certains d’entre vous qui êtes des hommes âgés par rapport à moi, vous, jadis, alors que j’étais un petit garçon, vous prêchiez cet Evangile et vous combattiez pour Cela. Et maintenant, je suis simplement en train de courir sur la route que vous, vous avez pavée; c’est tout. S’il y a un quelconque mérite, si Jésus venait ce soir, je serais heureux de reculer et de vous laisser vous tous entrer. Car je crois que vous le ferez avant moi, car je ne fais que courir sur la route que vous tous, vous avez pavée.
Maintenant, priez pour moi. Et comme–comme les gens sont ici, j’essaie de... C’est ma première fois de faire donc ceci, la première ou la deuxième à peu près, au mieux de mes souvenirs, d’essayer d’avoir l’Esprit de discernement pendant que... vient. Vous me comprenez, vous les frères? Ça vient de deux côtés (Voyez-vous?) comme ça. Très bien. Maintenant, croyez de tout votre coeur, ici. Très bien.
63 D’accord. Venez, frère. Très bien. Oui, monsieur, c’est en ordre, afin que je puisse donc vous parler juste un peu. Et maintenant, je suppose que nous sommes... à ce que je sache, nous sommes inconnus dans la vie. Je ne... je... Oh! Vous avez assisté aux réunions de Fort Wayne, oui, mais vous n’étiez pas entré dans la–dans la rangée. Je vais juste vous parler un tout petit peu, car ce–c’est juste pour établir le contact (Voyez-vous?) avec votre esprit.
Eh bien, c’était une série de réunions merveilleuses, n’est-ce pas? C’était merveilleux. C’est là l’unique fois, à ma connaissance, où le–où le, je pense, le... le journal intitulé We The People, ce célèbre livre, cela, cette réunion s’est tenue là, le soir où une petite fille aveugle a été guérie à l’estrade. Les membres des assemblées de Dieu, c’était dans votre journal, et–et tout, quand la... une petite fille aveugle était venue. Et alors, les journaux ont écrit là, qu’elle ne pouvait pas voir après qu’on avait prié pour elle; et son père est allé sur place, il a amené l’enfant, il a prouvé cela, et tout. Quand j’ai pris la petite fille de côté, l’esprit de cécité avait été chassé d’elle.
Y a-t-il quelqu’un qui était là ce soir-là quand c’était arrivé? Oui, il y a des mains; il y a quelqu’un qui agite la main là derrière. C’est exact, partout. Ce fut un moment merveilleux. Une petite fille était... elle souffrait d’estomac et beaucoup de choses clochaient chez elle; cela a été publié. Combien de membres de l’assemblée de Dieu reçoivent cela? Quel est donc le nom de leur journal? Evangel. Combien ont lu cet article dans Evangel? Faites-nous voir les... Les pentecôtistes reçoivent le Pentecostal Evangel... Ouais, il y a plusieurs mains là qui montrent qu’ils ont lu cet article. C’était dans We The People, un journal international, de cette année.
64 Maintenant, à ce sujet... Si vous voulez, reculez de ce côté-ci juste un peu en arrière... si... non... Dans cette–dans cette réunion-là, des signes et des prodiges avaient été accomplis, n’est-ce pas? Et je crois, dans cette réunion-là, avoir témoigné, disant que j’étais... j’allais outre-mer, et qu’un garçon ressusciterait d’entre les morts quelque part, vous savez; j’en avais parlé. Vous vous en souvenez. C’était environ juste un an avant que cela arrive. Mais cela–cela arriva. Et Dieu fait toujours s’accomplir des choses telles qu’Il l’a dit.
Monsieur, pendant que je me tiens ici, je vous vois revenir; vous êtes un prédicateur de l’Evangile. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas que vous êtes un ministre? Et vous souffrez d’une dépression nerveuse, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Eh bien, venez ici et soyez guéri, mon frère.
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, Satan, ce démon vient en rougissant là; il savait que ce défi de la foi était contre lui. Au Nom de Jésus-Christ, sors de cet homme, laisse-le tranquille. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Vous soumettez vos nerfs à une dure épreuve, et votre âge aussi. Vous voyez, c’est juste le temps. Les hommes connaissent ce temps autant que les femmes. Vous allez être un homme bien portant. Quittez l’estrade; prêchez l’Evangile, allez de l’avant, soyez bien portant.
65 Disons: «Gloire au Seigneur.» Le ministre sera bien portant. Tout celui qui est de Fort Wayne là, observez-le. Il n’y a rien qui cloche chez lui. Satan s’est simplement emparé de lui, c’était tout, une peur. Beaucoup de gens disent: «Eh bien, ressaisissez-vous.» Comment le pouvez-vous alors qu’il y a quelque chose là pour vous effrayer? Et regardez ici, révérend, vous qui venez d’être guéri, regardez ici, sachez de quoi je parle. Il y a au moins soixante pour cent des gens assis ici ce soir, qui souffrent de la même chose. Ils souffrent de nerfs. Combien seront sincères pour dire qu’ils sont nerveux? Levez la main. Comment ça! Environ soixante pour cent, est-ce vrai? D’accord, cela montre que je suis... Dieu me révèle de quoi je parle. Est-ce vrai? Quand ce démon vous a quitté, il a secoué partout là comme ça. Cela m’a aveuglé pendant quelques minutes.
Je pense que chacun de vous maintenant même, pendant que ce ministre a été guéri, celui qui était dérangé par la nervosité, peut être guéri maintenant même. Satan sait qu’il a perdu cette bataille. Assurément, il l’a perdue. Il sait qu’il l’a perdue... Oh! la la! Assurément. Ne serez-vous pas d’accord maintenant même? Les gens sont guéris. C’est vrai.
66 Cela ne peut pas durer longtemps, frères; c’est merveilleux. Très bien. Faites venir votre client, ou plutôt–ou plutôt patient. Oui, c’est exact. Cela... passe juste un peu derrière moi, s’il vous plaît, juste par là. Très bien.
Oh! la la! Amis, s’il vous plaît, croyez-moi en tant que Son serviteur. Quelque chose est arrivé tout à l’heure. Soyez respectueux.
Bonsoir, monsieur. Je crois que c’est notre première rencontre dans la vie. Je ne crois pas vous avoir déjà vu auparavant. Je ne vous ai jamais vu. Et je... Est-ce la première fois pour vous de me voir? Vous avez eu des photos. Je vois. Oui, oui. Et vous aimeriez faire cela. Prenez-vous des photos? Vous, ou prenez-vous des photos? Pas avec l’appareil caméra, vous ne faites pas de photos. Aimez-vous le Seigneur de tout votre coeur? Je le crois. Oui, oui. Dites donc, monsieur, vous souffrez d’une espèce de faiblesse, vous devenez très faible et aveugle, n’est-ce pas? Je vous vois parfois tomber. Est-ce vrai? Et vous êtes... Non, vous n’êtes pas un photographe; vous êtes un musicien. Est-ce vrai? C’est vrai. Et dites donc, vous avez... vous n’avez pas un... une espèce d’affection de vésicule biliaire, ou un... N’est-ce pas vrai? Venez ici et soyez guéri, frère.
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis en Ton Nom. Au Nom de Jésus-Christ, sors de l’homme, toi démon de l’affliction. Très bien, monsieur, mon frère, allez et soyez bien portant au Nom du Seigneur Jésus.
Disons: «Gloire au Seigneur!»
67 Oh! Quelle soirée! Amis, Dieu est mon Juge. Je deviens tellement faible que j’arrive à peine à me tenir sur cette estrade. C’est vrai. Il se passe quelque chose dans cette assistance. Très bien. Que tout le monde soit aussi respectueux que possible; soyez respectueux. Que pensez-vous, soeur, assise là en bas? Croyez-vous de tout votre coeur? Si vous croyez, ayez foi, et Dieu vous permettra de vous lever de là et de marcher.
Vous là-bas, mettez votre bras autour de la dame. Ne laissez pas cela vous étouffer, mais vous croyez aussi, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’elle va se rétablir? Eh bien, dites-lui d’avoir foi. Ne pleurez pas, maman; ayez foi. Voulez-vous être rétablie? Voulez-vous accepter votre guérison? Très bien. Vous souffrez du cancer, n’est-ce pas? Ne voudriez-vous pas vous lever et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus?
Disons: «Gloire au Seigneur!»
Elle sort de son fauteuil pour accepter cela. Disons: «Que le Seigneur soit béni.» Oui. Que Dieu soit béni.
68 Combien parmi vous n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir les mains partout. Cette rangée, on dirait que personne parmi vous n’a de carte de prière. Qu’en est-il de vous, dame, vous, assise là? Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé en tant que votre... en tant que Son serviteur? Croyez-vous que je suis Son prophète, ici? Vous acceptez cela. Très bien. Allez-vous... Si je vous dis quelque chose, allez-vous croire cela? Jésus-Christ vous a guérie de cette tumeur tout à l’heure. Levez-vous et soyez bien portante. Très bien. Rentrez chez-vous, et laissez passer cela maintenant. Au Nom du Seigneur Jésus.
Vous assis à côté d’elle là (Oui, oui.), croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez. Et acceptez-vous que ceci, c’est le prophète de Dieu, ce... Acceptez-vous? Vous aimeriez guérir de ce rhume de foins, n’est-ce pas? Est-ce vrai? D’accord, levez-vous et guérissez-en. Au Nom du Seigneur Jésus, acceptez votre guérison. Amen.
69 Qu’en est-il de la dame assise à côté d’elle? Qu’en pensez-vous, soeur? Croyez-vous de tout votre coeur? Voyons si je peux vous voir. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous croyez. Très bien. Vous avez une faible circulation, cela vous a amenée à avoir une maladie de paralysie. Levez-vous et recevez votre guérison. Au Nom du Seigneur Jésus. Que quelqu’un l’aide. La voilà debout. Oh! Son bras se redresse.
Disons: «Gloire au Seigneur.» C’est ainsi que cela se fait. Au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia! C’est comme ça, soeur. Vous allez être une femme bien portante.
Qu’en est-il de l’homme assis à côté d’elle? Avez-vous une carte de prière, monsieur? Croyez-vous? Regardez de ce côté-ci; êtes-vous malade? Oui. Je vois que vous l’êtes. Dites donc, regardez de ce côté-ci, jeune homme. Avez-vous été soldat? Oui. Vous avez une espèce de fièvre qu’on attrape dans la jungle ou quelque chose comme cela, une espèce de maladie comme ça que vous avez contractée outre-mer. Est-ce vrai? Levez-vous et soyez bien portant. Au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
70 Qui est là à côté sans carte de prière? Qu’en est-il de vous, madame? Vous n’avez pas de carte de prière? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous êtes anémique, n’est-ce pas? Très bien. Rentrez chez vous et soyez bien portante. Au Nom du Seigneur Jésus.
Cet homme assis à côté de vous, il n’y a rien qui cloche chez lui, à part ses yeux. Levez-vous, frère. Soyez guéri. Enlevez vos lunettes au Nom de Jésus-Christ. Il est guéri là.
Qu’en est-il de la femme à côté? Avez-vous une carte de prière? Non? Voyons, croyez-vous en Jésus? Très bien. Rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez; vous souffriez d’estomac; vous êtes guérie. Levez-vous. Disons: «Gloire au Seigneur.» (Donnez-moi juste une minute.)
71 Très bien. Faites venir le patient. Tout le monde, soyez respectueux. Ayez foi en Dieu. Ne doutez de rien. Croyez au Seigneur Jésus et vous serez rétablis. Croyez-vous cela?
Bonsoir, monsieur. Que pensez-vous de cette sensation qui vous envahit maintenant? Croyez-vous que cela vient de Dieu? Vous croyez. Il vous le faut. Vous êtes un prédicateur. Est-ce vrai? Vous avez arrêté le service depuis un temps à cause de l’arthrite. Vous priez et vous cherchez à reprendre, n’est-ce pas? Mais votre... mettez votre canne sur votre épaule, quittez l’estrade, et prêchez l’Evangile au Nom de Jésus-Christ. Disons: «Gloire au Seigneur!» Il est guéri.
Qu’en est-il de vous, soeur? Vous souffriez d’estomac; croyez-vous de tout votre coeur, vous sur le brancard? Levez-vous et soyez guérie. Emportez votre brancard. Au Nom de Jésus-Christ. Enlevez le brancard.
Très bien, prédicateurs, avancez ici. Voyons. Parcourez cette assistance en imposant les mains à ces gens, en passant par l’estrade. Combien aimeraient être guéris?
Vous là souffrant de l’anémie, levez-vous. Jésus-Christ vous guérit. Amen. Enlevez les brancards. Qu’en est-il de cela, vous assis là dans le fauteuil roulant? Ayez foi maintenant. Croyez.
Qu’en est-il du jeune homme avec de gros...?... Hydrocéphale? Posez les mains sur sa tête. Croyez de tout votre coeur. Ça y est. Alléluia!
Prédicateurs, descendez dans l’assistance...?... vous-même, levez les mains, tout le lieu...
E-1 Thank you. Thank you, Brother Baxter. Good evening, friends. Very happy to be here again this evening to give our expressions of love and our adoration of our heart to the worshippers of Jesus Christ. And I trust that this will be a great evening. If it was any more than last evening, I don't know whether we can stand it or not.
Of all my ministerial life, I never seen any more of a quick falling of the Spirit of God than I did last evening. I went completely numb, just went out. I looked down, and coming over the building, and that Light just spread the whole entire building. And I tried to say something; I just couldn't say no more. And the next I knowed, there was some ushers talking to me somewhere, ever which way the--the parking grounds are.
E-2 Mr. Baxter, after he come in, I begin to get to myself a little. And he said, "Brother Branham, this is the first time in my life that I ever--was ever floored down like that." And I... Just how wonderful that God was dealing with us. I've never been able...
Two, three nights, I've been trying to do this, and I packed it in my pocket. I want to express my thanks for the kindness, some presents some people sent me. And I appreciate anything that anyone does.
When I first came in, there was a bunch--a bouquet of flowers, two of them setting on the table, sent from the D-e-n-n-e-r-s, Denners, I suppose of the city. They're here tonight, they may not be. If they are, I want to express my thanks to you for those beautiful flowers: the Denners.
E-3 And then the next was, my boy gave me a letter which had a love offering in it of five dollars, that come from Brother S-a-n-d-r-e-s-k-y. He said, "I'd love to get my arms around you and hug you." Well, brother, that's a mutual feeling. I would sure like the same thing.
And today, when my little boy--boy came in, he had two big jars of honey, and two boxes of these red raspberries, I suppose they are. Well, I guess the... You don't know how I appreciate it. I--I sure love honey. I love raspberries too. Mix them together and I really got them then, haven't I.
E-4 One of the cutest little things that I ever seen was one day on a fishing trip in the mountains. I just love to fish and hunt. And I was up in the mountains fishing; I'd had my tent. And it was early spring, trout fishing, just trying to get away from the crowds for a little while. And I--I love pancakes. And I guess I got a lot of fellow citizens on that.
And so, you know, I was... I like to put honey on them. And I have one theory I still stay with; I'm a Baptist. I don't sprinkle them; I really pour it on them. So I have it covered all over, baptizing them. And always take a large bucket of honey, you know.
And one day coming around, I heard a noise. And there'd been an old mother bear and her two cubs had got in my tent. They just tore it all to pieces. And I didn't have my camera. And the cutest little act... There's one of the little fellows run away with the mother. But the other little fellow set there. He'd got the lid off that bucket of honey. And he taken his paw and push down it like that, and then come up and just lick his hands. And he was mo... He was honey from his feet to his head. Just so... He looked around, it was all in his eyes, you know. And he looked at me like that, you know. No condemnation to him. He just stuck his hand back down in the bucket and got some more.
E-5 And I thought that was just like an old fashion Holy Ghost meeting. You don't care who's around as long as you got your hand in the honey. Is that right? Yes, sir. Licking it around, so no condemnation to them that's licking, you know. It's all right.
But they was--was sure having a grand time. Well, I looked at the little fellow. I laughed till my sides hurt, and I just walked away. And I still was out the bucket of honey, letting him lick.
So I appreciate that very much. And we'll do justice to that honey in the morning. So thank you very much.
E-6 And now, the services... It's awfully warm in here. And I just got to hear just a portion of your broadcast. There's... They come and got me. And it sure sound lovely, the people playing and singing, and those people on that--this thing here, you know. I'm not very much a musician, but... And on the organ and that trumpet or ever what it was a playing; it was really pretty, "Onward Christian Soldiers," and all your voices blending in.
I had to shed a little tear too, because it just made my heart thrill to think that someday, the saints of God will go marching up to glory. And to see that great time...
E-7 Brother Baxter met me this afternoon, said, "Brother Branham, you're to preach for tomorrow."
Oh, my. I said, "Brother Baxter, I can't preach." And he said... after a man like that being preaching.
And he said... Then he met me just a few minutes ago, and said, "The people like for you to tell your life story tomorrow." So... Oh, I can do that, by grace of God.
And I want to be here tomorrow afternoon around two-thirty, I suppose. And I expect to see you all. Be just as quickly as I can. Bring the sinner and the--the unrepented out tomorrow, so that I--we can make an altar call, and maybe God will give us many souls for His glory.
E-8 Now, for just a portion of time, I--I want to read some of the Word, and then just pass a few comments, and maybe give a testimony, and try to get into the prayer line as quick as possible. And... Because they told me, that coming down tonight (they come and got me), that the auditorium had been packed out since about five o'clock. And someone said they was going to be here at six in the morning to see if they could get a seat up front.
So, we're sorry we haven't any way to take care of any more. The fire laws just allows to have so many in here. But while we're here together, I know you've had a glorious time. If we should say, "Amen," and go home, it would be wonderful.
But now, let's just, you and I, ask God, and believe that God will answer our prayer. And let's ask God to heal this rows of people through here tonight, every one.
E-9 I... When Brother Baxter came in, and my boy was kinda talking to me. I could hear him in the distance last night. He kept getting closer. I knew I was coming to myself. And he said, "Daddy, are you all right?"
I said, "Yes."
I never will forget the first time the boy ever seen the Angel of the Lord at Vandalia, Illinois. And I'd had a meeting, and I made a challenge to the people, "Just bring me anybody you want to, and let me have enough time with them. They'll--they'll be healed." And they brought me a blind boy, was born blind. And I stayed with that boy about an hour and forty minutes. And he walked off the platform with his sight.
And he came back, and he picked up my tie so speak... He said, "Mother, is that what you... What color you call that?" And the boy was born blind. And he was just so enthused, and the people screaming and going on.
E-10 And when I went home that night, we was in the hotel. And I was been praying, and I was almost asleep. And I woke up, and I knew He was in the room. I couldn't tell from where He was coming. But I waited a few minutes, and I knew It was coming over this a way, coming across towards the bed.
I got out of the bed. My brother and my little boy was next to me in another bed. And I felt It coming, and I got out, and I knelt down in the floor, and started praying. He got real close. I never heard no voice nor nothing. I waited a little bit. It got closer. And I kept speaking, "What would the Lord have me to know?"
And a voice begin to speak in the room and told me not to do that, not to do that. And just... My commission was to pray for the sick, and not to do that. And then when I opened my eyes, there He was, just above the bed whirling around and around.
And I said, "Do--do You mind if my brother and little son could see You?"
And He never made any answer back. It was done leaving me, the anointing. I seen It right off from me. And I kept my eye on Him, and He never answered me, so I thought maybe He didn't care. I picked up a pillow, and threw it over on the bed, and it woke up my brother. He said, "What do you want?"
I said, "Wake up Billy."
And he said, "Billy, your dad wants you."
And as soon as he looked back, he let out a scream. He saw It. He begin screaming. And my little boy jumped over in the bed with me, and begin hugging me around the neck, saying, "Daddy, daddy, don't let that get me. Don't let that get me."
I said, "Why, honey, that ain't what... That won't hurt you." I said, "That's the Angel of the Lord that leads daddy."
E-11 Billy's an orphan. His mother died when he was just about eighteen months old. And he's a little orphan child. And I been daddy and mother both to him. And sometimes in going away, the little fellow used to stand at the airport and cry and go on. He said, "Daddy, don't leave me." Said, "What have I got on earth but you?" Said, "Mother's gone and everything." And said, "If--if something happens to you, what will happen to me?"
So that's not easy to leave your children like that. But Jesus said, "Whosoever will not forsake his... everything and follow Me, not worthy to be called My disciple." No matter what we do, we'll never be worthy to be that. But we like to do our part.
So after that night, the little boy was consoled then when he got to see the Angel of the Lord for the first time. He never worried no more when I left.
E-12 Now, the reading of the Scripture for the text tonight is found in the 2nd chapter of Saint Luke, you who would like to refer to it and would read with me. I...
You know, God's Word can't fail, can it. And now, I tell you, dear Christian friends, the anointing of the Angel of God is so strong, I can hardly look out over this audience. Now, that's right. And I don't like for it to be like that right to the beginning. And I want to talk just a little while on the Scripture. Wasn't aiming to do it, just give a testimony. But I'll try to talk just a moment.
Listen to the reading, beginning with the 25th verse:
... behold, there was a man in Jerusalem, whose name was Simeon; the same man was just, devout, waiting for the consolation of Israel: and the Holy Ghost was upon him.
And it was revealed unto him by the Holy Ghost, that he should not see death, before he'd seen the Lord's Christ.
And he came by the Spirit into the temple: and when the parents brought in the child Jesus, to do for him after the custom of the law,
Then took he him up in his arms, and blessed God, and said,
Lord, now let thy servant depart in peace, according to thy word:
For mine eyes have seen thy salvation.
E-13 Let's bow our heads. Father, the hours are moving on. Help us, Almighty God, to know Your will. There are many gathered tonight. The building is hot. Oh, we believe the harvest is ripe; the fields are ready. Thrust in Thy sickle tonight, Lord; reap. May the wine be brought from the grapes tonight, till each believer will become, as it were, drunk upon the Spirit of God, knowing nothing but the Presence of God, and His power, His redeeming blessings upon us to redeem us from our sickness, from our sins. Grant these blessings, Lord.
And as Thy servant has determined by Thy grace, if possible, to speak a few words, help me, dear God. And may the Holy Spirit take the Word of God and plant It right into the heart where It belongs. And may, before this service is ended, may there be people all over the floor everywhere. May the people be up off of these cots and stretchers. May the blind be laying their canes back. May the crippled lay down their canes and crutches, and walk out. May those with heart trouble have it no more, with the cancers...
Lord, we thank Thee for Your visit last night. And now, Lord, maybe a new fresh group is in tonight. And I pray that You'll heal them, every one, and make It manifested to them by the power of the resurrected Christ, for we ask it in the Name of Jesus Christ, the beloved Son of God. Amen.
E-14 Now quickly, your undivided attention. Faith cometh by hearing, and hearing of the Word. If we'd say for a text, which it will not be, that I would say tonight, "Expectations."
You know, usually you get what you expect, don't you? What you think you're going... If you come to the meeting, just say, "I believe I'll go down. There's something wrong with that kind of a meeting. I'm going down. I'll see what's wrong with it." You will. The devil will be sure that you see that.
But if you come down to see what's good about it, God will show you what's good about it. See? If you come down, saying, "Well, if I... I don't believe I'll get healed. I'll go down maybe see if I can get a prayer card. But if I don't, well, they won't..." No, that's just what you'll get, just see... And just whatever you expect. Don't you believe that?
When you come, expect this: let's expect this tonight. Let's expect a great outpouring again. I believe if God would repeat that again tonight... I don't know that He will. Twice I've asked Him. I guess Brother Baxter told you the phenomenal of last night, of how that I never knew.
E-15 Then the Angel of the Lord met me in the room, and I asked Him to do something outstanding. And a few nights ago, I asked Him if He would do something outstanding for us that night, and He did. He healed a--a woman that was deaf for years, and taken a woman out of a wheelchair. And I forget what all He done. And now, I'm asking again tonight to do something special for us. And last night I asked Him.
I trust that my heavenly Father won't be angry with me for asking these special blessings. For it's written in the Word, "Except you see signs or miracles, you won't believe." And we don't want to be classed amongst such people as that. Why, we're people who believe anyhow. See, we believe anyhow, and we want to accept it.
E-16 Last night I was wondering how there could be anyone left in the building that wasn't healed. Now, it may not be visible. Angels of God and visions appear before people, and sometime it's not for everybody. Is that right?
Look at the Magis. They were the only ones that seen that Star. It passed by every observatory, passed by all the star gazers and everything, passed right on by the spiritual people, passed right on over the temple; and no one saw It but the Magis. It was for them to see it. Do you believe they saw it? I do, for the Bible said they did. See? And if it be possible that the Angel of God could be visible to some and not visible to the others.
E-17 For instance one day when I was baptizing. There was around ten thousand people, I guess, at the bank. And there was at least seven thousand of them that seen the Angel of the Lord, and say the other three thousand never saw It. They said, "Well, I didn't see It. I heard you hollering, and seen you raise your hand, and everybody screaming, but I didn't see nothing." You see?
And that's the way it was when the picture was taken. Hundreds and hundreds saw It, and others didn't. Some of them in the Bible times, it was the same way. It's today.
God will reveal Himself to those who are expecting Him. The Magis were expecting to see the Star of Jacob rise. They were from the East, and they'd listened to Balaam's prophecy, which said that there would be a Star of Jacob rise. And they were looking for It. They was expecting It. And they were the ones who seen It.
E-18 And how many in here tonight is expecting to be healed tonight, let's see your hands? Well, you're not going to be disappointed then. If you... You just can't be disappointed if you're expecting it. If you're not expecting it, you say, "Well, I'll wait maybe tomorrow afternoon; I'll get it tomorrow afternoon." Well, that's when you'll get it.
You say, "Well, I don't know. If He don't come to me personally, I don't believe I'll get it." Well, that's...
Jesus said, "According to your faith, be it unto you." Is that right?
A lady said not long ago... I went into a place to pray for a boy that had tubercular meningitis. He was dying. And the person said, "Oh, Brother Branham," said, "my," said, "you'll get meningitis." She said, "I run my children out. I give them vaccinations."
I said, "Such faith as that would give them meningitis." That's right.
You must believe. All things are possible to him that believes. Be expecting God to deliver you, for He promised it. And as soon as your faith can catch it, it's gone away. And that's right. Now, I was... Whatever you expect, that's what God will do.
E-19 I was thinking of Simeon. In his day he was an old man. We'd call him maybe in them days an old sage. He's just... Try to picture him with long white beard. And he was a wonderful old saint of God. Now, the Bible said the Holy Ghost was upon him. Do you believe that? Yes, he--he... The Holy Ghost was on him. The...
Now, always God has had someone who believed His Word. Somebody's going to expect God to fulfill His Word, while others pass It by. Now, as it was in that day, so is it now. The Church has gotten formal and got away from God. And they thought Jesus, their Christ, never would come; perhaps, maybe being many ages away. But just when they was expecting it to be way away, He was right at hand.
E-20 Now, let's take this case now of Simeon. Now, he was a righteous old man. He believed that God was going to let him see the Christ before he saw death. Now, let's say he's eighty something years old. And then He--He had another witness there. There was Anna the prophetess at the temple, John the Baptist, and Joseph and Mary, and many of them: a remnant.
God has always had a remnant somewhere. And He's got a remnant tonight. Don't you believe that? Now, tonight, His--His remnant are composed of His Body, His spiritual Body here on earth, baptized people into the Body making us the Body of Christ.
Now, that doesn't represent any certain church; it just represents all the baptized people of God into one Body. By not one church, but by one Spirit are we all baptized to one Body and become members of the Body of Christ.
E-21 Now, in them days I can see Simeon, the old man walking along down the street, and saying, "Well, I'm going to see the Christ before I die."
Could you imagine some of those scholars saying, "Don't pay no attention to the old fellow. I believe he's just... He's got old now, and his mind's kindly went away from him. And the poor old fellow, he's a good old man. But you know, an old man like that isn't going to... Why, we've looked for Him for age, and look at the condition of the world today. Why, we know He isn't coming now."
But Simeon had one reason that he believed that: the Holy Ghost revealed it to him. There's the thing. God had told Simeon that he wasn't going to see death until he had seen the Christ. And he believed what the Holy Ghost said was the truth.
Now, can you do that? Now, the same Holy Ghost that led Simeon, is the same Holy Ghost that's here tonight. There's not no two Holy Spirits, are they, just one Holy Spirit.
Now, look at him. Now, he had to believe something more than you believe. See? People are getting healed every night, every day, and all over the world, big healing campaigns everywhere. They're getting healed. But Jesus or Christ had never come to the earth. But it was prophesied that He would come, and Simeon had the promise of the Holy Spirit, that he was going to see Him.
E-22 Now, the Bible said... I believe David said, "When the deep calleth to the deep..." Now, if there's a--a deep a calling, there's a deep to respond to it somewhere. Do you believe that? In other words like this, as I've often said, "Before there was a fin on a fish's back, there had to be a water first for him to use that fin, or he wouldn't have the fin." Is that right? If there's a tree to grow in the earth, there has to be an earth first for it to grow in, or there would be no tree.
And then... See, I love nature, to look at nature and see the sunsets and the mountains. There's something there that just calls out.
E-23 Not long ago I was setting on the porch. And wife and I, we were in a swing, swinging. The crowds had just got away. And some old sand cranes flew across, going down to the river. And they were calling. And the--a lady come up, give me a little card about like--like that, that had that sunset and evening star and one clear call for me.
And I looked at those old cranes, and I said, "Look, God has fed them all day long out in the swamps. They're going down to the falls now to get with their kindred and--and there be for the night."
Two little robins, my favorite birds, flew up, and went into their nest. They'd fed their young all day long. God had provided for them. And at nighttime, He had a way provided for them to roost in safety.
And I said, "Surely, someday when life is ended, and the sun of my life is setting, and your life, God has a way somewhere." There's something that tells us there's something out there: The deep calling to the deep.
E-24 I read in the paper here not long ago where a little baby eat the peddles off of a bicycle, eat the rubbers off of pencils. The doctors said what it was: his little body needed sulfur. And he was eating that rubber, because there was sulfur in the rubber. Now, before he could've--there could've been any crave for that sulfur, there had to be something in here craving it, creating that desire. And if there's something here creating that desire, there's bound to be something out there to respond to that--to that Creator, creation.
In other words like this, as I'd say this. Before you can have a desire, there has to be a Creator to create that desire. Is that right? Before there is a creation, there has to be a Creator.
E-25 And how many in here believes that there is Divine healing, let's see your hands? All right. Now, if... Thank you. If you believe, and there's something in you that says there's healing somewhere, Divine healing, there's bound to be a Creator to create that desire. And as sure as there's a desire in your heart to be healed by Divine healing, there's a fountain open somewhere. That's all. You would--you couldn't have that desire unless there would be.
And you remember, a long time ago when the church got formal and everything, the people begin to crave more of God? The baptism of the Spirit come into existence. See, you were hungering and thirsting for more of God. And as long as you thirst for more of God, there's bound to be more of God somewhere to respond to that. If there's a deep calling, there's a deep to respond. See what I mean?
E-26 Now, Simeon, he was the same way. He knew that there was a hunger in his heart. He knew that he had a promise by the Holy Ghost that he wasn't going to see death until he seen the Lord's Christ.
Now, in them days, they didn't have press and radio as we have today. So Jesus, when He was born in Bethlehem of Judaea, why there was shepherds come out and worshipped and sang, and the Magis came and offered their presents and so forth. The news didn't scatter like it does now.
But on the eighth day, according to Jewish law, the woman had to come and offer the turtledove for her--and her offering for her cleansing--purification.
E-27 Now, let's take a morning at the temple. Here's a man setting there, back in the prayer room somewhere. It was a busy morning; maybe it was Monday morning, and everybody coming and going, thousands upon thousands.
Well, probably in the three or four million Jews there was in Jerusalem and around Palestine at that time, they'd be probably as many as fifty to a hundred babies borned every night, maybe more. Well, every morning there'd be a line of mothers line up here to offer their sacrifice and for their purifications, and offer the--the--according to the law.
And now, look. I see Simeon back in the temple. My, I can just notice him setting back there, maybe reading the Scriptures. He had the promise now. And then into a door stepped... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-28 I'm so thankful my name's on her book tonight, wrote by the Blood of Jesus Christ across it, "Pardoned." Oh, my. You'll think I'm a holy-roller after while, sure enough. But brother, when I think of the Blood of Christ that pardoned my book of sin, and throwed it in the sea of forgetfulness, it makes me get happy and rejoicing. I love Him with all my heart. If the old time power of God that's saved me and has kept me through the age. I love Him with all my heart tonight.
And I take my stand with Paul of old. "In the way that's called heresy, so worship I the God of our fathers. I'm not ashamed of the Gospel of Jesus Christ for it is the power of God unto the salvation to those who believe." Marvelous, He's wonderful.
E-29 And I see down there, when that time come for the purification of this little mother, although with her scar and things holding in her arms (Look at her.) a Baby wrapped in swaddling's cloth. That's what they tell me, what goes on the back of a yoke of an ox that plows. And they wasn't nothing down there to wrap the little fellow in, the King of glory. What do you care how poor you are. The King of glory wrapped in swaddling's cloth, rolled Him up in that... And here's the very Prince of heaven laying in the arms of a little girl, wrapped in swaddling cloth.
There stood the rich mothers. They wouldn't get along that bunch of people. They still have that feeling. They won't get along that bunch.
And Mary stood there, and one of them walked away, said, "Look at her."
But in her heart, she knew who she was. She knew she had God's blessings. And there she had It in her arms.
Look here. That's what the natural world would think. Look around and say, "Oh, my. Look at that. That baby ain't even dressed well. And look, a peasant's offering, two turtledoves." Here stood some of them with lambs. They were rich people. But a peasant's offering...
E-30 Then while they were standing there, and the little mother keeping it all in her heart, I can see the holy Ghost move out there in the room upon that old man called Simeon, that...?... "Simeon, I give you the promise, and you've lived faithful to it. Get up and start moving now."
I can see him lay down the Scroll, walk out of the building. He didn't know where he was going. He was led by the Holy Ghost. I can see him moving around through the people, come down till he hit this line of women, start down along the line. He went right to where that little scorned woman was standing there, picked up that baby wrapped in swaddling's cloth, and tears dropping off of his beard, said, "Lord, let Thy servant depart in peace, according to Thy Word, for my eyes have seen Thy Salvation." The Holy Ghost led him to the Child.
E-31 At the same time, an old blind prophetess setting down there in a corner, the Holy Ghost spoke to her. And here she comes winding through them people like that: blind. Moved right up to where He was, and raised her hands and blessed God: led by the Holy Ghost, deep calling to the deep. They was expecting to see Him. There He was, the Holy Ghost leading them to it.
For years we've expected gifts to be in the church; we've expected power to be in the church. And isn't it strange tonight that you people believe in Divine healing, that the Holy Ghost has led you here by the same channel, right to where God's blessings hangs over the building, ready to receive and heal anybody that's in Divine Presence, that'll believe It?
The same God that lived in that day, and the same Holy Ghost that led Simeon, and Ann, and them to the Christ, has led you here tonight where we're gathered together in this place in the Name of the Lord Jesus to see His power move upon His people. Amen. Amen.
No, that won't scare you. "Amen" means "so be it." And--and that's right. It's the truth. How marvelous
E-32 Do you believe in being led by the Spirit? Recently, for just for a--a testimony. We was having a meeting here in Fort Wayne. I'll never forget it. Many of you here was in the Fort Wayne meeting, no doubt at all. Let's see your hands who was in the Fort Wayne meeting? What a marvelous time. That's where the man was healed with the multiple sclerosis. How many was there that night he was healed, let's see your hands?
There that old man laying there, crippled up (They both may be present now.) laying like that. I didn't know. They was trying to lay the man on the platform in his white shirt there. He was a business man, had been paralyzed from his waist down for ten years in the bed. I didn't know. They--they... Some of his friends tried to get him up. The poor man was trying to touch my trouser leg. And they took him off the platform.
E-33 I was just setting down. I went ahead speaking. I happened to look out, and I seen a vision of him. I knew he was going to be well. I seen him walking through some kind of a place. I spoke to him, he... And I said, "You want me to come lay my hands on you, don't you."
He said, "Yes, sir."
I walked down. The same time there, a little old man was laying there so crippled, that this man had wrote to, reached over and got a hold of my coat. He said, "Brother Branham, just lay your hands on me too while you're here, and I'll get well."
And no sooner than I touched that man there, he rose to his feet. And that people went into a scream. You remember it?
E-34 Here a few weeks ago, I got a letter from both of them. And the man that was so paralyzed, was so crippled like this, was a plowing out in a field with his tractor. The other man...?... with multiple sclerosis, came down the road and seen him. He jumped out of his car, and the man jumped off the tractor, and they run out there in the field, grabbing one another and lifting one another up and down like that. What is it? Nothing but the Blood of Jesus Christ, the Son of God. He is omnipotent in His power in...?... Why, He's the same Christ yesterday, today, and forever. His powers cannot fail, because He's God. God's Divine order of the earth, the Holy Spirit today is just the same as He was. To reject Jehovah was a penalty. You had... To reject Jesus was a penalty. And to reject this, what people call fanaticism, and what people call foolishness, is the Holy Ghost. He said, "To speak a word against It would never be forgiven in this world to come." It's more of a penalty to reject the Holy Spirit today than it would be to reject Jesus Christ or the Father. That's right.
Don't you be ashamed. Stand for that which is right. I don't know what's the matter with me tonight. I'm...?... now. All right. Watch him.
E-35 There in the meeting when things were going on. I remember that I was staying in the Indiana Hotel. And they have to keep the place a secret of where you stay, you know, because all day long when you get them sick people, that calls the anointing down, and you can't hardly get to the platform at night.
And I remember a nurse, Mayo's nurse, one of the first healings: Mrs. Margie Morgan. Cancer went through till she only weighed forty-seven pounds. Mr. Baxter and them was talking to her the other night. She weighs a hundred and fifty-five. That's been about five years ago.
The doctors said, "Oh, she'll die. She's just excited." Well, she's still excited. She's living. You better get excited then, so then it--it'll hold your life here a little while. Excitement, it's the power of Almighty God, not excitement. If it is, it'd be good for psychologists and doctors to go to teaching excitement. Excitement don't cure you. You know it doesn't.
E-36 Now, notice. We was staying in the hotel. And the little bellhop come up, and he said, "Reverend Branham, I'm sorry to inform you, but you couldn't even get out that door this morning." Said, "That auditorium's packed full. They know you're here."
We waited awhile. And no way to get out to breakfast. So after while, another one come up, said, "I'll tell you; I can take you through the basement if you don't mind, your wife and them, climb over some ashes."
I said, "I don't mind."
We went down, went through a big pile of ashes, and come out into an alley. We started down to the little place called Toddle House. You remember where that's at? There's where Mr. Eaton was healed that morning with stomach trouble when he run up there to pay for my breakfast.
E-37 And I remember, I had my overcoat up like this, walking down the street a holding my little girl, Mrs. Morgan on one side, and my wife on the other. We were walking down the street. I started to cross the street to go to the Toddle House, where we were eating our breakfast and our meals. And just then, I felt the Holy Spirit. You believe in being led by the Spirit now? All right. Listen closely then. It said, "Turn this a way."
And I started to turn. Mrs. Morgan said, "Where you going?"
My wife looked quickly said, "Spirit leading now. Just watch. Just follow him."
And went down the street. I don't know where I went, but after while, I stopped and looked up. It said, "Miller's Cafeteria." I went in. (These people may be setting here tonight for all I know.) I went in. I got a cup of, I believe, of chocolate or something, set down to drink it, Mrs. Morgan, all of them.
When we asked the blessing, I raised my head. I said something to my little girl. I seen a woman raise up. She said, "Bless God. Bless God."
I thought... Mrs. Morgan turned around, said, "You're trapped in here now."
I said, "Mrs. Morgan, don't say that." See? I said, "This is the Holy Spirit."
E-38 This woman come over there wringing her hands. She said, "Brother Branham, I'm from Texas." She said, "My brother is dying with heart trouble." Said, "We followed. This is about eight or ten meetings that we've been into, and we've never been able to get a prayer card that was called into the line." And said, "To get up here this time, we sold our cow," said, "'cause my... The doctor said my brother could only live a little while longer." The heart, something had injured the diaphragm. Said, "He's just got a few more weeks to live. And it was our last chance." Said, "We...?... till last night. We can't even get in to get--to the place any more." And said, "I prayed all night long." And she said, "This morning just about four o'clock in the morning," she said, "I had a dream. And in this dream it told me to come down and find a place by the name of Miller's Cafeteria, and to be here at nine o'clock and my brother'd be healed."
I looked at my watch, and exactly nine o'clock. You know what took place. Yes, sir. And that boy was healed.
E-39 I turned, and got my hat, and started out the door, and people begin screaming. That cafeteria was alive in a few minutes. I started to walk out the door. Said something, a blessing to them, started to walk out the door, and a little woman... She was at San Bernardino a few weeks ago to testify to me, was coming back from Brazil to see her daughter, which is a missionary.
And she fell down on the street and grabbed a hold of my legs like that. She said, "Oh, God..."
I picked her up, and I said, "What's the matter, sister?"
Meda, my wife and them, they started picking her up. Said, "What's the matter?"
And she was way big, malignant. And Mayo Brothers had turned her down. Her husband owns the spaghetti company here in Chicago. And she was a little woman. And she was, oh, so swollen out. She said, "Brother Branham," she said, "it's my last chance." She said, "Oh, I've just prayed and cried." Said, "Mayo's has turned me down, and there's nothing could be done about this here. I've taken radium; I've taken x-ray treatments, and everything, and nothing could be done." And she said, "This morning, just along about the break of day," she said, "I was awakened. I was looking out. And I went back to sleep again." Said, "I dreamed a dream that I was to stand in front of Miller's Cafeteria ten minutes after nine to be healed." Oh, my. Do you believe in leading by the Spirit? Yes, sir.
E-40 On down the street I went. Just a little while longer. (And you people from Fort Wayne and across the line know of this.) I was going down the street. My wife said, "What... Are you ready to go in now?"
I said, "I don't know." We got down there, and I seen some fishing tackle. And I started to turn for that. Just then the Holy Spirit moved down again and begin to move over. This is my inside life I'm telling you about. It's happened right here in this city too, today. And then here It moving around. I felt It. I said, "Oh, It's again." I said, "Now, honey, you go on over and get the... at the drug store over there and get that little coloring book for the baby." Had to keep her in a room all day. I said, "You all go on back in. I don't know when I'm going to be able to--to... the Holy Spirit will relieve me now."
E-41 I went on down at the... Started down at the end of the street. And I walked up there and begin to look towards that tackle and stuff. And I got back to the side; I said, "Heavenly Father, where would You have Your servant go?" I thought maybe He wants me to stand here a little bit. And I stood a little bit; nothing happened. I thought, "Well..." I started to walk towards the corner.
He said, "Go across the other corner."
And the cop blowed the whistle there. And I went across the other side, and stood there a little bit, about ten minutes. I didn't know why I was standing there. People passed. I was just standing there. That's all I knowed. When you're led of the Spirit, God wants you to just do what He says do. He's the One on the other end of the line doing the work.
E-42 I just stood there a little bit. And I thought, "Oh, what is going to happen?"
And a big Irish cop out there blew the whistle again; the pedestrians crossed. And coming behind was a little woman with a checkered dress on, a checkered tam, looked like a Canadian. She was packing a pocketbook on her arm. She had her head down. She went walking along like this, and she...
The Holy Spirit said, "Stand over here."
And she passed that close to me, just went right on by. I thought, "Why is that?" She went a little farther. I thought, "Well, that's strange. And He told me to stand here by her. Wonder why. Maybe she just caught the blessing as went by like that."
E-43 In a few moments she turned around, and said, "Oh," she said, "Brother Branham..." And she come back. She said, "I don't... I'm beside myself."
I said, "I don't think so, sister. What's the matter?"
She said, "I'm from Canada. I'm only allowed a hundred and fifty dollars a year to come over here." She said, "I--I spent all my money." And she said, "I--I--I was in the hotel lobby, and I had five cents for coffee this morning." She said, "And I was on my road back to hitchhike back to Canada." Said, "I couldn't get in the lines, and I was praying." And said, "Something just turned me around and made me come up two or three blocks and walk across this a way." Oh, my. There He is.
I seen her holding her hand. I said, "Is it your arm, sister?"
She said, "Yes, I fell on a rock. I was riding a dog when I was a little girl, and I fell on a rock and hurt this arm like this." And while she was talking, here come her arm coming out like that. She begin screaming the top of her voice.
And that big cop said, "I know who you are, Brother Branham."
You talk about a prayer line, we had it all up-and-down the street there for awhile, the people standing, moving. Oh, how marvelous.
E-44 Here not long ago, I was coming from Dallas, Texas, in spring, and I thought... I was flying back, and I was grounded at Memphis, right where my... Had to be one night on the fifth at Memphis, Tennessee. I was grounded there, and they put me up there in that, I believe, the Peabody Hotel, it's called. It's a very nice place. Myself, I couldn't afford to go in it, but the--the airlines sent me up there. And I remember that morning, they called me, said, "Now, the plane will leave at eight o'clock, Reverend Branham." Said, "They'll be by to pick you up."
I said, "Yes, sir." And I got my letters ready and was going down to mail the letters. Now, listen closely, I'm going to close in a minute. And I thought, "Oh, my, I'll go down and mail these letters." And I got out and started down the street, put--trying to find the Post Office. And I was walking down the street singing that little Pentecostal song, let's see:
Telling now, both far and wide,
His power is yet the same,
I'm so glad that I can say I'm one of them.
Brother Ryan, you remember, when you used to sing it. And saying, "We..." And going singing that little song. And after while, I felt something going, "Whooo..." [Brother Branham illustrates.--Ed.] got close. I stepped back up behind a great big column there, and I said, "Heavenly Father, what would You have Your servant do?" It kept going, "Whooo..." [Brother Branham illustrates.--Ed.] I was real still a minute, and I heard a deep voice say, "Turn, go back."
E-45 Well, I turned and went walking back down the street. I walked. And I walked on past the hotel, on down through south Memphis, just walking on and on. The sun was way high then. The sun was up, and it was a beautiful spring morning. The fragrance of the flowers in the--in the air, had perfumed the air.
I thought, "How beautiful." Was going walking along there. I thought, "Lord, I don't know. You said, 'Walk.' Here I am. I'm walking." I just kept on walking, walking, walking. Walked out pretty near the other side of Memphis. And I remember going down a little hill towards where a little creek of a thing ran through this way, a little tributary there at the river of some kind. I just went walking down through there. There's was a little old whitewashed hut down there; a lot of colored people lived down in that way. I was walking down through there, singing--humming to myself, "Only believe, only believe."
Satan said, "You're going to miss your plane."
I said, "I'll walk. All things are possible." Don't let him tell you a lie. He's a liar. When God is a leading, you go do what God said do. Yes, sir. He tells you you're healed; believe it, and just start walking on. And I just kept on like that, singing, "Only Believe...?..."
E-46 I was noticing, leaning across a gate like this, there was a typical old Aunt Jemima, great big heavy set colored woman with a man's shirt tied around her head. She was leaning out across there. I kinda quit singing, humming, when I was far as that wall from her. I just went walking on by.
And when I got there, she kinda looked at me and laughed, and those big white teeth showed, and her tears streaked face like that. She said, "Good morning, parson." I turned. Now, "parson" means "minister or reverend" down in the south. Said, "Good morning, parson."
I looked around. I said, "Good morning, auntie." I said, "Say, how'd you know I was a parson?" She smiled and wiped her eyes. I thought, "Here it is. Something's going on." I could feel the Spirit. I'd walked far enough then. My, when I think about it, my heart leaps.
E-47 I turned around; I said, "How'd you know I was a parson?"
She said, "Parson, did you ever read in the Bible about that Shunammite woman that had that baby by promise?"
I said, "Yes, auntie. I've read that a many a time. I preached on it not long ago."
She said, "I's is that kind of woman, too. And I told the Lord if He give me a child, I'd raise it for Him." Said, "Parson, the Lord give me a boy, and I raised him till he was in his teens." Said, "He took a road that's wrong, got out with some bad company." Said, "He's laying here dying now. He caught a bad disease, and the doctors can't do nothing for him." Said, "They give him all kinds of shots," but said, "he's a backslider." And said, "He laying in here dying." Said, "He'd been unconscious since day before yesterday." And said, "He don't know nothing. He thinks he's out in a big deep sea somewhere, cold." And said, "Parson, it just breaks my heart to see my boy die like that." And said, "I--I want him saved." And said, "I prayed all night. And I said, 'Lord, You give me that baby, but--but where's the Elijah?'" She said, "Now, Lord, will You help me. Don't let my baby die like this." And said, "And the Lord told me this morning..." And said, "I kinda fell asleep there in my chair; and I dreamed that I was to come out here and stand in this gate and I'd see a man coming dressed like you is." Oh, my. You know how that makes you feel?
E-48 I said, "Auntie, my name is Branham. Did you ever hear of me before?"
She said, "No, sir, I never heard of you."
Oh, my. I said, "Auntie, I pray for the sick."
She said, "Do you?"
I said--I said, "Can I come in to see your boy?"
She said, "Sure, parson." And when she raised that little old gate back with a chain on it and a plow point for a weight, for a weight behind it... I've went into kings palaces, and I went into big fine homes, but I never was more welcome than I was when I walked in that little gate that morning, under that trestle. She walked just as happy. She knew something had to happen; God was on both ends of the line.
E-49 So I walked into the room. First thing upon there was a little old sign, "God bless our home," little old chunk stove, that we call it in the south, setting there, and a little poster bed. Here was a great big stout looking boy, about a hundred and eighty pounds, around seventeen, eighteen years old, laying there with a blanket in his hand, going, "Mummm, Mummm," like that. He said, "It's so cold, mama. Mummm."
She patted him. She said, "Mama's baby."
I thought right then of motherly love. No matter what he'd done, how much disgrace; it was mother's still baby. She kissed him on his forehead.
And I thought, "If the love of a mother can go like that, what will the love of God do? When He said, 'A mother may forget her suckling babe, but I'll never forget you.'" I think, "Amazing Grace, how sweet the sound, that saved a wretch like me."
E-50 Then while she was over her boy there, I said, "Auntie, let's pray." She never said nothing about his healing, she wanted him to be saved. And so before he went she wanted to have a witness that he was saved. And that old saint got down on there floor. I couldn't pray. Hear her pray, oh, my, she opened up that heart, and the tears rolling down her cheeks, she said, "Lord, if You'll just let him tell me that him going to be with--with Jesus," said, "I'll be happy," and like that. And I just knelt there and held my head down and cried like a baby.
In a few moments, she raised up, she said, "Thank You, Lord." And she went over, she said, "Mommy's baby." Patted it like that. And I felt his feet, just as cold as they could be, death was on the boy. And he said...
I said, "Does he...?"
He said, "He don't know..."
I said, I spoke to the boy, I said, "How you feeling now, young man?"
He just kept going, "Hmm."
She said, "He don't know where he's at parson; he ain't been conscious for two days now."
And I said, "Let's pray again, sister."
E-51 And we knelt on the floor, I said, "Heavenly Father, somehow or another last night a storm came up, and You grounded the plane." Don't you believe all things work together for the good. I said, "On my road home to the meeting," I said, "You grounded the plane. And this morning when the sun was shining, I know the hours is passed, the time now for it to leave. But somehow You led me down this way; I don't understand. But I'm putting my hands on this boy in the Name of Jesus Christ, Your Son, and asking for his life to be spared."
And now more the prayer been made, I heard him going, "Um," said, "Oh, Mama."
She raised up, said, "What do mama's baby want?"
Said, "Mama, it's getting light in the room, getting light in the room."
She begin crying; I raised up my hands, begin to offer praise. Up off the bed come that big healthy boy, restored to his normal condition.
E-52 A few months after that, I was passing through on a train, and I stopped in to get something to eat; I heard somebody holler, "Parson Branham." He was pulling one of these little old carts around like that, down there at the station working. He run grabbed a hold of my hand, said, "You remember me?"
And I said, "No, I don't."
He said, "I was the boy you come to that morning, that the Lord led you down there, when mammy was praying." Says, "Parson Branham, I's perfectly whole now, and I's a Christian now."
Christian, oh, brother, and you know what? That plane never left, something happened to it, it was about a hour late, and I got on the plane and got home in time anyhow.
Let me tell you something, "Jesus Christ the same yesterday, today and forever." His power's omnipotent, He--He can't fail; He's the same God that was in Memphis, Tennessee, that night, Fort Wayne, Indiana, is here tonight. Do you believe that? He's the same, He can't fail.
E-53 Our heavenly Father, we thank Thee tonight for Thy power, how we could testify hour after hour of Your blessings and what all that You've done for us. I'm thinking of that time down there in Memphis, and thinking of over here at Fort Wayne, and the different places throughout the nation.
O God, now You're here; it may be peculiar to some people, but Lord, it's not to we who believe You to be the same yesterday, today, and forever. We believe that You're here tonight, and You're here in Your power. And as Simeon of old was expecting the promise of the Holy Spirit to let him see the Christ before he died... O God, the same Holy Spirit's here, and we're asking Him tonight, in the Name of the Master Jesus Christ, the Son of God, to let us see His great power. Not as we need to see it, for we pray that You'll do it, Lord, to strengthen the faith of others, that these next three meetings that's to be in this auditorium, may be the setting forth of an old fashion revival that'll cause churches to be filled with Your glory.
E-54 Grant Lord, these ministers, Thy servants, setting just behind me tonight in prayer, O God, may each one of them be filled with the power. And may their churches be multiplied and double times double, Lord, of people getting saved. And may there be old fashion healing powers flowing through their churches, great signs and wonders. And may something happen that'll cause the city to talk for a long time. Grant it, dear God.
Now, speaking tonight, in this warm building, I pray that You'll hide Your servant behind the cross, and may the Angel of God come near. Move like You did last night, O Angel of God. Come down upon this building, and I believe if You'll give us a another chance after last night, showing Your power, if You'll give us that chance tonight, I believe, heavenly Father, if You'll send Him to manifest Hisself again, that the sick and every one in here will receive Him in one heart and one accord. And there'll be healings, Lord, that'll be talked about for months and years to come. Grant it, Lord. These kind blessings and favors we ask in Jesus Christ's Name. Amen.
E-55 Thank you, sir...?... here. I know it's very hard (worry about), hot like this; we can't help that. I wish now, in this lovely song, "Abide With Me." In the hour of my death, when life is taking me away, or my, the Angels of God, I hope, are packing me to glory, I believe that's already settled. When they take me away I hope I hear that song being played like that, "Abide With Me." When the death is struggling in my throat, and the cold vapors floating against my soul, when I start down through that long valley they call the shadow of death, I want to see the morning star come out, light up the way for the valley of the shadow of death. And when I get to the Jordan, I expect to see two glossy wings of the Holy Ghost reach across there, and bear our weary souls to a better land. Till that time, may we live faithful to Him, Who is faithful to His Word. In the Name of the Lord Jesus. All have faith in God; all believe in God. No one doubt God, but only believe.
E-56 All right, I don't know what to do. I'm asking my minister brothers, just stay here where you're at. I want you to help me tonight. Will you do it? These men are ordained of God; they publicly come out here before the city, like this, to show theirself, that they believe in Divine healing in Jesus Christ. And they're just as much ordained to pray for the sick as anybody else there is in the world to pray for the sick. Your pastor has the same right to pray. Even the lay members have a right to pray. Is that right? "Confess your fault one to another, and pray one for the other." Everyone has a right that believes in Divine healing to pray for the sick. The only thing, it's just your faith to mount up.
I don't know what the Holy Spirit... I've asked Him to bless us. I believe He will do it. Are you going to believe with me, now? You going to expect Him to do it? Then every one be reverent, and let's call a little prayer line and get started. We'll call a few and, up somewhere in the line, and then we'll... Then I want some of, other people... We just don't know what the Lord's going to do for us tonight.
E-57 I tell you, coming over here tonight, I just said, "Lord, I commit it to You. And when I got here, all these pastors was up on the platform; Brother Baxter said, "Brother Branham, there's not a way in the world for them man to stand anywhere." Said, "Every person can be stood in is stood, and they've turned away since early in the afternoon, or the evening." And said, "There's nowhere..."
And just then the Holy Spirit revealed something to me. I said, "Leave them brothers right where they are." It's not as I don't want my brothers here, but here--they're believers; you're believers, and some of them are needing healing too. And that's right. And when it's coming cross ways, this way, it mixes me up. You see what I mean? It's mixing me up. And when I'm turn sideways, if I turn the patient this way, there's no neat way of turning the patient to get out... Did you ever turn a radio on about three or four stations trying to come in at the same time? That's the same thing, when I feel the moving.
E-58 Those are demon powers, not demon of your soul, demon of your body. Brother Baxter's explained all that to you. And when they come against that, I just... They fear, and if you notice, one here will be healed of something, and then a kindred spirit of sympathy out there, will be scared and take out of the person. Have you seen that take place? Sure, they know when they're whipped. You can't fool them.
Someone... The other night I was at a place where they said they had a healing meeting, and some man was standing there stomping and kicking the platform hard, and saying, "Devil, come out of it, devil..."
Now, he don't care how much you cut up (See?); that ain't going to bother him. You can't scare him. There's only one thing will move him; that's true Divine faith in Christ. That'll take him right now; he's afraid of that. That's right. When you really got the Blood of Christ behind you, backing your faith up, moving up like that, he will move away. He recognizes it. All right, now everyone be reverent.
E-59 Where's Billy? All right. Did you give--give--what prayer cards did you give? Z, how far? 51 to a 100. Let's--let's take just about ten. Let's take 90 to a 100. Get 90 to a 100, in Z-90 to a 100, line up here according to your cards, right away.
Now, how many in here hasn't got prayer cards? Let's see your hands. Oh, that's good, the front line here; that's the way. I'm glad you're here. Now, you set this way.
How many down in the audience, down here, have you got prayer cards? Very few, just now and then. All right. Now, somebody look at prayer cards and see if they've--if they've got that 100 to... What was it I... What'd I'd call, Brother Baxter? Oh, 90, 90 to a 100, yeah, 90 to a 100. See, if somebody's deaf, they wouldn't be able to hear. And look at the--the one next to you and see if they've got their cards lined right.
I'm just a little late, but I'm going to try just... You pray for me, 'cause I'm... Pray for me, brethren, it's hard...?... keeps me, coming right back out in--in the...
E-60 Yes, sir. Excuse me, audience, for speaking tonight like I have; I've took up lot of your time, but I just love you so much I had to have a few words to say to you before leaving, on the Gospel. It's kinda hard when you're speaking like that, and then go right back into anointing of this other, it's--it's a different feeling and everything. It isn't like speaking or something, but I pray that God will bless each one of you now and give you... How many's going to believe with all your heart now? That's right. How many of you, just keep your hand up and saying it, like this, "Brother Branham, I'm holding on to God to answer your prayer tonight." Are you doing that? All right. You do that, that's solid almost, I'd say, one hundred percent. Something's got to happen.
Brother, sister, I've said this, and I'm going to say this before the anointing comes down on me deep, don't pay no attention the way I'm acting up here, 'cause that's--that's just the... You're not in this world at that time. I know where I'm at, but I don't know what I'm saying or doing most of the time.
E-61 Listen, the Angel of God told me, "If you get the people to believe you, and then be sincere when you pray, there's nothing will stand before your prayer."
And I said, "Sir, they won't believe me; I'm uneducated."
Said, "You'll be given two signs." And He told me what the signs is; you understand. He said, "When this is done, they'll--they'll believe then."
And then after those signs is done, which is infallible, is it the truth? It is the truth. All right. Then you've accepted it. Now, upon that basis, anything can happen. Hear me; anything can happen. Don't you pay any attention to any senses; don't you pay any attention to any--any doubts or--or any mechanical things; you listen to the Holy Spirit tonight. And if you'll do that, and do just as I tell you to do, you'll see the glory of God. Now, I'm saying that to you down here too. And I'm saying to every one of you: Believe and be in prayer, and accept Jesus Christ as your Healer. And say to God, that you're go--that you believe that you're going to be healed. God's going to make you well tonight, and you shall receive what you've asked for. All right. Everything ready. All right, bring--bring the man.
E-62 How do you do, sir? [Blank.spot.on.tape--Ed.] I just try to get that around so that the people, that--that out there in the audience will be able to hear. You'll check that for me times, Brother Baxter.
Now, my brethren, I want you all back here with one accord, to believe. Now, you don't have to keep your head down 'less I ask. But I--I want you to believe me; I'm here representing the same Gospel that you preached all these years. And you brethren, some of you here is aged men to me, and you, back when I was a little boy, you were preaching this Gospel and contending for it. And now, I'm just merely running the road that you've paved; that's all. If there's any credit, if Jesus would come tonight, I'd be happy to step back and let you all go in. For I believe you would do it before me, 'cause I'm just running over the road that you all have paved.
Now, you pray for me. And as--as the people are here. I'm trying to... This is the first time I've ever done this, about first or second time, as I remember, of trying to have the Spirit of discernment while there's coming... You understand me, you brethren? It's from both sides (You see?) like that. All right, now believe with all your heart, here. All right.
E-63 All right, you come, brother. All right, yes, sir, that's all right, just so I can talk to you just a little bit. And now, I suppose we're... As far as I know, we're strangers in life. I don't... I... Oh, you was at the Fort Wayne meetings, yes, but didn't get in the--the row. I'm just going to talk to you just a little bit, because that--that's just to contact (You see?) your spirit.
Now, that was a wonderful meeting, wasn't it? It was marvelous. That's where the only time that I know of, that the--that the, I believe the, that paper called "We The People," that famous book, it, that meeting went it the night that a little blind girl was healed at the platform. The Assemblies of God people, it was in your paper, and--and so forth, when the--a little blind girl came up. And then the papers wrote around there that she could not see after she was prayed for; and her father went down to the--the place, and brought the child, and proved it, and everything, when I took the little girl aside, and the blind spirit was cast away from her.
Was anybody there that night when it happened? Yeah, there's hands; there's somebody waving back in there. That's right, everywhere. It was a marvelous time. Little girl was... Had a stomach trouble and lots wrong with her, and it appeared... How many Assembly of God people that takes that, what is their paper's name now? "Evangel." How many read that article in the "Evangel?" Let's see your... The Pentecostal people takes the "Pentecostal Evangel"... Yeah, there's several hands around that read the article. And that was in "We The People," international book this year.
E-64 Now, on that... If you will, stand back this way just a little bit, back... If... No... In that--in that meeting, signs and wonders were done, wasn't it? And I believe in that meeting I testified about being, going overseas, and that be a boy be raised from the dead somewhere, you know, I spoke of that. You remember that. That was about right on the year before it happened. But it--it happened, and God always brings things to pass just the way He said it.
Sir, while I'm standing here, I see you slip back; you're a minister of the Gospel. Isn't that right? Aren't you a minister? And you're suffering with a nervous breakdown, isn't that right? Isn't that right? Well, come here and be healed, brother.
Almighty God, Author of Life and Giver of every good gift, Satan, this demon come roaring out there; he knowed that challenge of faith was on him. In the Name of Jesus Christ, come out of this man, leave him alone. God bless you, my brother. You put a great strain on your nerves, and your age too. You see, it's just the time. Men goes through that the same as woman. You're going to be a well man. Go off the platform; preach the Gospel, and go on, be well.
E-65 Let's say, "Praise the Lord." The minister will be well. Ever who's around Fort Wayne there, watch him. There's nothing wrong with him; Satan just grabbed him; that was all a scare. Many people say, "Well, you get next to yourself." How can you when something's there to scare you? And look here, reverend, you that just was healed, looky here, let you know what I'm talking about: There's at least sixty percent of these people setting right in here tonight, suffering with the same thing. They're suffering with a nervous condition. How many will be honest, that you're nervous, raise your hands. How's that. About sixty percent, is that right? All right, that shows that I'm... That God reveals to me what I'm talking about. Is that right? When that demon went off of you, they shook all through there like that. Made me blind for a few minutes.
I believe every one of you right now, while that minister's healed that's bothered with nervousness, could be healed right now. Satan knows he's lost this battle. Sure, he does. He knows he's a lose... My, sure, aren't you agreeing right now; people are healed. That's true.
E-66 That can't last long brethren; that's marvelous. All right, bring your client, or--or patient. Yeah, that's right. It--get just a little behind me if you will, to kinda right along there. All right.
Oh, my, people, please believe me as His servant. Something took place right then. Be reverent.
How do you do, sir? I believe this is our first meeting time in life; I don't believe I ever seen you before. I've never seen you. And I... Is this your first time to see me? You had photographs; I see. Yes, sir. And you like to do that, do you photograph? You, or you do photograph? Not with camera, you don't do any photographing. You love the Lord with all your heart? I believe that. Uh, huh. Say, sir, you're suffering with some kind of a weakness, that you get real weak and blind, don't you? I see you sometime just kind of go down. Is that right? And are... No, you're not a photographer; you're a musician. Is that right? That is right. And say, you have--don't you have a, some kind of a gall bladder trouble, or some... Isn't that right? Come here and be healed, brother.
Almighty God, Author of Life and Giver of every good gift, send Thy blessings upon this man who I bless in Thy Name. In the Name of Jesus Christ, come out of the man, thou demon of affliction. All right, sir, my brother, go and be well, in the Name of the Lord Jesus.
Let's say, "Praise the Lord."
E-67 Oh, what a night. Friends, God is my Judge: I'm becoming so weak I can hardly stand on this platform. That's true, there's something taking place in the audience. All right, every one just as reverent as you can; be reverent.
What do you think, sister, setting down there? Do you believe with all your heart? If you do, have faith, and God will let you be able to get up from there and walk.
You over there, you put your arm around the lady. Don't let it shock you, but you believe also, do you? You believe she'd get well? Well, tell her to have faith. Don't weep, mother, have faith. You want to be well? You want to accept your healing? All right, you're suffering with a cancer, aren't you? Won't you stand up on your feet and be well in the Name of the Lord Jesus.
Let's say, "Praise the Lord."
She comes up out of her chair to accept it. Let's say, "Bless the Lord." Yes. Praise God.
E-68 How many of you people don't have prayer cards, let's see your hands around? That row, look like none of you have prayer cards. What about you, lady, setting there? Do you believe? With all your heart? You believe God sent me as your--as--as His servant? You believe that I'm His prophet standing here? You accept it. All right, will you... If I'll tell you something, will you believe it? Jesus Christ healed you of that tumor just then. Stand up on your feet and be made well. All right, go home and pass it now. In the Name of the Lord Jesus.
You setting next to her there (Uh-huh.), you believe with all your heart? You believe, accept this is God's prophet, this... You do? You'd like to get over that hay fever, wouldn't you? Is that right? All right, stand up and be over it. In the Name of the Lord Jesus accept your healing. Amen.
E-69 What about the lady setting next to her? What do you think about it, sister? You believe with all your heart? Let's see if I could see you. You believe me as God's prophet? You do. All right. You got poor circulation that's caused you to come to a paralyzed condition. Stand up on your feet and receive your healing. In the Name of the Lord Jesus. Somebody help her. There she's up. Oh, her arm come straight.
Let's say, "Praise the Lord." That's the way it's done. In the Name of the Lord Jesus. Hallelujah. That's the way, sister. You're going to be a well woman.
What about the man setting next to her? Do you have a prayer card, sir? Are you believe? Look this a way, are you sick? Yes. I see you are. Say, look this a way, young man. Have you been a soldier? You have. You have some kind of a jungle fever or something like, some kind of a disease like that you caught overseas. Is that right? Stand up on your feet and be made well, in the Name of the Lord Jesus. Amen.
E-70 Who's next there without a prayer card? What about you, lady? You haven't a prayer card? You believe with all your heart? You're anemia, aren't you? All right, go home and be well. In the Name of the Lord Jesus.
The man setting next to you, there's nothing wrong with him but he's eyes. Stand up, brother. Be healed. Take your glasses in the Name of Jesus Christ. There he is healed.
What about the lady next? You have a prayer card? No? Let's see, you believe Jesus? All right, go home and eat what you want to; you've had stomach trouble; you're healed. Stand up on your feet.
Let's say, "Praise the Lord." (Give me just a minute.)
E-71 All right, bring the patient. Everyone reverent. Have faith in God. Don't doubt nothing. Believe the Lord Jesus and you'll be made whole. You believe this?
How do you do, sir? What do you think of this feeling that's coming over you now, do you believe that comes from God? You do. You should; you're a minister. Is that right? You've been out of the service for quite awhile on account of arthritis. You've been praying and trying to get back, haven't you? But your shou--put your cane on your shoulder, and go off the platform, and preach the Gospel in the Name of Jesus Christ.
Let's say, "Praise the Lord." He's healed.
What about you, sister? Got stomach trouble; You believe with all your heart, on the stretcher? Stand up and be healed. Take your stretcher away. In the Name of Jesus Christ. Move the stretcher.
All right ministers, walk out here. Let's see. Walk down through that audience laying your hands on those people, out down through the platform. How many wants to be healed?
You there with anemia, stand up; Jesus Christ makes you whole. Amen.
Get the stretchers out. What about it, setting there in the wheelchair? Have faith now. Believe.
What about the boy with big...?... water-head? Lay your hands over on its head. Believe with all your heart. There it is. Hallelujah.
Ministers, get down through the audience...?... yourself, raise your hands, the whole place...