Expectative

Date: 51-0507 | La durée est de: | La traduction: Shp
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1          [Frère Hall introduit frère Branham.–N.D.E.]...?... Bonsoir, mes amis. C’était juste à temps, n’est-ce pas ? J’ai dû passer précipitamment par-dessus l’autre... pour me lever, car un... Le frère donnait des témoignages sur tout ce qui est arrivé. Et–et frère Hall voulait bien amener les rayons X pour me montrer qu’il était guéri, et beaucoup parlaient de grandes choses. Et aujourd’hui, il lisait des lettres que... Oh ! la la ! Cela a simplement ému mon coeur. Le courrier est très abondant, il me faudra une semaine pour le terminer. Je suis donc content d’entendre ces merveilleux témoignages.

2          Une dame me parlait dans une lettre aujourd’hui de... Elle était... le cancer à une étape très avancée et que je l’ai vue en vision, et j’étais dans ma chambre d’hôtel. Je suis venu et j’en ai parlé, disant qui était la dame et quelle était sa condition. Elle a été guérie, elle est normale et bien portante maintenant. Elle est dans l’assistance. Oh ! Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Et beaucoup d’autres grandes choses que notre Seigneur a accomplies, et je suis très content. Et aussi, beaucoup me rencontrent et disent diverses choses qui arrivent. Je crois vraiment que cela n’arrêtera jamais, Cela continuera à se produire, et...

            Combien ont été guéris dans les réunions ? Faites-nous voir les... ceux qui ont été guéris par la guérison divine ? Faites-nous voir les mains dans la réunion. Oh ! la la ! Regardez simplement. Certains d’entre eux étaient estropiés, d’autres aveugles, sourds, muets, et dans des fauteuils, complètement estropiés, paralysés. Oh ! Comme notre Seigneur a oeuvré avec nous de façon merveilleuse et glorieuse, et combien nous en sommes heureux et reconnaissants ce soir.

3          Je venais de parler à mon frère Shakarian. Eh bien, vous tous, vous connaissez frère Demos. Il est quelque part ici. Je pense qu’il est assis ici à droite. Combien connaissent Demos Shakarian ? Faites-le-nous voir. Oh ! Assurément. Voudriez-vous vous lever, Frère Demos ? Il y a quelque chose... Levez-vous simplement, s’il vous plaît. Oh ! Je... Frère Demos Shakarian...?... Pratiquement vous tous, vous le connaissez ici. Il vient de Downey par ici. Un très bon frère par qui nous avons eu beaucoup d’amis.

            Personne ne connaît cet homme, évidemment. C’est le sénateur Upshaw. Il–il... Je lui parlais là derrière et j’ai... je pensais simplement... je pouvais... Ce soir, on dirait que Dieu m’a mis à coeur ce soir de venir, et peut-être juste avant d’aller en Afrique... J’aimerais tenir ma réunion d’au revoir, peut-être dans ma propre ville, à Jeffersonville.

4          Si je peux attraper cette salle, là, juste là où le... cette commission m’a été donnée. Et j’aimerais tenir ma réunion d’au revoir là-bas. Si je le peux, j’aimerais adresser une invitation à tout le monde. Tous mes amis... Chez moi, j’aimerais rassembler un grand groupe entre nous et aller directement à la petite cabane où Il m’avait rencontré et où Il m’avait alors parlé. Et juste nous réunir là sur cette colline par milliers et offrir des louanges au Dieu Tout-Puissant, là même, pour ce qu’Il a fait avant de nous plonger dans des champs missionnaires sombres, en Rhodésie, en Inde, et jusque là, puis revenir par Jérusalem. Je serais très heureux...

            Je ne sais pas s’ils–s’ils... si je pourrais avoir cela en ce moment-là ou pas. Cela offre des sièges à plusieurs milliers de personnes et je serais heureux de le faire. Si c’est le cas, je passerai des annonces dans des journaux et tout. Si vous êtes en vacances en ce moment-là, je souhaiterais pouvoir dire que je payerais votre déplacement vers là, mais j’aurai à prélever une offrande et à faire de mon mieux. Si je prélève une offrande... Je n’en ai jamais prélevé une de ma vie. Il me serait pratiquement plus facile de faire l’auto-stop alors si vous prenez mon offrande.

5          Je vous ai raconté qu’une fois j’allais prélever ma première offrande. M’avez-vous déjà entendu parler de la première fois que j’allais prélever l’offrande ? Je ne pouvais pas le faire. J’avais dit à ma femme... Nous connaissions l’une de ces situations où on n’arrive pas à nouer les deux bouts, vous savez. Et j’ai dit : « Je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit : « Je vais m’asseoir juste là devant pour t’observer.» Ainsi donc, nous connaissions bien un moment difficile. Nous étions pratiquement obligés de le faire.

            Je me suis dit : « Eh bien, je n’arrive simplement pas à m’en tirer. Je dois donc le faire.» Je n’avais jamais prélevé une offrande dans mon église, alors je... Non pas parce qu’ils ne m’en donneraient pas, en effet, ils le voudraient, mais seulement j’ai... j’étais assez fort pour travailler. Alors... je... Maintenant même...

6          Eh bien, ce n’est pas pour paraître–pour paraître humble, ou ce n’est pas pour faire parade, mais du fond de mon coeur, je souhaiterais avoir un endroit où travailler pendant ces réunions (C’est vrai), de sorte que je n’aie même pas à prélever une offrande ou quoi que ce soit. C’est la vérité. Je redoute vraiment l’idée d’avoir à prélever une offrande. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai souvent vu qu’il y a trois choses qui font obstacle à un ministre. Trois choses principales : L’une d’elles, c’est l’argent ; l’autre, ce sont des femmes. L’autre, c’est la popularité. C’est tout à fait exact.

            Quand un homme en arrive au point où il doit simplement pousser des cris, crier, faire des histoires, penser trop à l’argent, il oublie Dieu ; ça en est fini de lui. C’est tout ce qu’il y a là. C’est vrai.

7          Nous devons couvrir nos dépenses et autres, et la chose suivante, quand... J’ai la plus grande considération pour les femmes, des femmes chrétiennes. Je pense qu’une bonne femme est une... C’est l’un des meilleurs cadeaux que Dieu ait pu donner à un homme en dehors du salut. Je crois cela. Une bonne femme, mais... je ferais mieux de me tenir tranquille là même.

            J’ai épousé une petite jeune fille grasse là, que j’aime de tout mon coeur. Je n’ai jamais vu une femme qui prendrait sa place. Je sais donc que tant que je reste un chrétien ; ce sont les sentiments que j’éprouverai. C’est exact.

8          Et la chose suivante, c’est–c’est la popularité. Quand... Parfois, Dieu peut donner à un homme juste un tout petit... quelques amis ou quelque chose comme cela, et–et il... Nous tous, nous aimons des amis. Eh bien, ne me comprenez pas mal. J’aime vraiment des amis. Mais quand on en arrive à penser... Peut-être que vous avez eu une petite assemblée de gens ou quelque chose un peu au-dessus de la moyenne, on commence à penser : « Regardez qui je suis.» Frère, vous êtes sur une pente vers la dérive juste à moment-là. C’est vrai. C’est...

            Cela devrait être ainsi. Dieu sait ce qui est le meilleur. Ce–c’est vrai. Et il vous faut surveiller cela. Assurément que Satan lancera cela là, terriblement fleuri. Mais si seulement nous restons sous le Sang, et que vous priez que j’y reste, maintenant, rappelez-vous, je suis... Je peux faillir, mais si vous continuez à prier pour moi et que Dieu continue à m’aimer, j’y parviendrai. Et je crois que si on a prié pour moi et que j’essaie de mon mieux, Dieu continuera à m’aimer alors. Ainsi, je suis... C’est ainsi que je prie pour chacun.

9          Et c’est la raison pour laquelle, dans mes réunions, je consacre généralement une soirée pour les ministres afin qu’ils prient pour les malades. La dernière fois que j’étais ici, vous ne savez pas, vous les frères ministres, les belles lettres que j’ai reçues chez moi. A chaque réunion, j’essaie toujours de faire passer les ministres, le pasteur local devant les gens, de les faire venir pour prier pour les malades. Je–je ne suis pas la seule personne à prier pour les malades. Non, non. Tout chrétien qui croit dans la guérison divine est ordonné à prier pour les malades.

10        Remarquez, un soir, je vous demanderai de vous lever et de vous imposer les mains les uns aux autres, et si quelqu’un est guéri, alors il dira : « Eh bien, soeur Unetelle m’avait imposé les mains.» Voyez ? Ou : « Frère Untel m’avait imposé les mains.»

            Souvent, un chrétien impose les mains à un pécheur. Il dit : « Un chrétien m’a imposé les mains et j’ai été guéri.» Voyez ? Après tout, c’est le Seigneur Jésus qui opère la guérison. Voyez ? Il ne s’agit pas de celui qui prie ; il s’agit de Celui qui opère la guérison et de celui qui croit. C’est l’essentiel. C’est votre foi qui vous guérit (Voyez ?), pas la mienne, la vôtre. Ainsi donc, là... J’aimerais avoir une soirée et laisser tous mes frères prédicateurs s’avancer, se tenir debout et laisser les gens passer et prier pour eux. Et quand l’onction du Saint-Esprit descend, laissez alors les gens passer par la ligne, et les prédicateurs leur imposent les mains, et–et... Oh ! la la ! Cela fait passer le ministère devant les gens.

11        Et vous n’avez pas à attendre que quelqu’un tienne une campagne de guérison dans la ville pour être guéri, car votre pasteur, ou votre voisin qui est chrétien, ou n’importe qui, a le droit de prier pour vous.

            La Bible dit : « Confessez vos fautes les uns aux autres, et priez les uns pour les autres afin que vous soyez guéris. S’il y a des malades parmi vous, faites venir les anciens.» Eh bien, nous les appelons dans notre groupe, nous les appelons les diacres. Vous voyez ? Les... « Faites venir les anciens de l’église, qu’ils les oignent d’huile.» Ce n’est pas appeler l’ancien, mais les anciens, au pluriel, deux ou trois. Là où deux ou trois sont assemblés, s’accordent et prient (Voyez ?), c’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Et après tout, nous sommes ici pour glorifier notre Seigneur Jésus-Christ, Sa miséricorde et Sa bonté envers nous. Et nous sommes reconnaissants envers Lui.

12        Eh bien, on commence le 4 juin, notre bien-aimé Seigneur voulant, nous allons commencer ici à cet Institut biblique au... Vous connaissez le lieu qu’il a indiqué hier soir. Je ne peux pas parler espagnol, ainsi le... [Quelqu’un dit : « Costa Mesa.»–N.D.E.] Oui, monsieur. Ça sera là, là même qu’il a indiqué tout à l’heure : Costa Mesa ? Est-ce correct ? Je m’améliore, Bobby. Ainsi donc, je... C’est là que se tiendra la prochaine réunion, ça sera à Costa Mesa. Et... J’ai mal prononcé cela cette fois-ci, là, n’est-ce pas ? [Quelqu’un dit : « A peu près correct.»–N.D.E.] Juste à peu près correct ? Il a dit que c’est tout aussi près de sa prononciation ; ainsi, j’évolue très bien.

            Ce sera donc la prochaine réunion après Oregon, on ira à–à Grant’s Pass avec notre frère Hall, là où les gens sont allés construire un grand tabernacle et nous étions allés là pour une réunion pratiquement, et je pense, pratiquement, on avait payé pour le lieu, n’est-ce pas, Frère Hall ? On avait payé beaucoup pour cela pour une réunion. Voyez ? Et ainsi donc, avec le... Nous reviendrons cette fois-ci. J’aurais souhaité que vous tous, vous ayez ces grands tabernacles partout, pratiquement partout. On en a un ici à Los Angeles, et–et on devrait les avoir partout à travers le pays, de sorte que quand nous n’arrivons pas à avoir ces amphithéâtres, il y aurait de grands tabernacles ouverts (Voyez ?), comme cela.

13        Le monde, avec ses orchestres de jazz et des choses, a des amphithéâtres très occupés. Mais je suis reconnaissant pour des endroits tels que Calvary tabernacle et divers endroits comme cela. Nous pouvons–nous pouvons y entrer et tenir une réunion. Merci. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci beaucoup.

            Ainsi donc, cette fois-ci, c’est sous une tente. Et nous étions là aujourd’hui, inspectant le lieu, et c’est un très bon endroit. Nous–nous espérons tenir une bonne réunion là-bas. Dites à vos voisins qui sont dans cette partie du pays de venir. Maintenant, que le Seigneur bénisse chacun de vous.

14        Je pense que cette réunion a–a déjà produit un grand résultat. Et–et le fait que nous sommes tous sous tension parce qu’il y a beaucoup de réunions en cours dans la ville, et nous... Je n’ai pas entendu parler de... de frère Freeman, mais je sais qu’il tient une bonne réunion. Nous prions tous pour lui, qu’il ait une bonne réunion. Nous avons eu un tout petit contretemps, pas lui et moi, mais il y a eu un mal entendu, d’une façon ou d’une autre, ou dans l’organisation de réunions ensemble. Ils n’ont pas compris non plus. Mais cela peut avoir été la volonté de Dieu pour nous de faire ceci (Voyez-vous ?), que nous–que nous puissions veiller à ce que nous soyons des frères, et à Angelus Temple et à divers endroits où des réunions sont en cours.

15        Et j’apprends que frère King ou Cain [Quelqu’un dans l’assistance dit : « Paul Cain»–N.D.E.], frère Paul Cain doit venir commencer, je pense, jeudi soir. Est-ce... [Quelqu’un répond : « Il commence jeudi soir.»–N.D.E.] Jeudi soir dans ce tabernacle même ici. Et nous prions que Dieu accorde à frère Paul Cain une très merveilleuse réunion ici avec des centaines d’âmes sauvées et plusieurs guérisons, qu’Il les remplisse de Son Esprit et de Sa bonté, qu’ils se préparent pour la Venue du Seigneur.

            Je suis heureux que frère Kopp ici ouvre largement ses portes pour que nous tous, nous entrions ici dans ce–ce temple. Et le conseil des diacres et je ne sais qui, qui s’en occupe, les organisateurs... J’aimerais dire autre chose pour nos huissiers et les autres qu’on a ici. Ce sont des merveilleux hommes. Je suis très content d’eux.

16        Maintenant, je souhaiterais lire quelques paroles. Je ne suis pas sûr si j’ai lu ceci depuis que je suis ici ou pas. Et si c’est le cas, eh bien, je n’ai pas l’intention de revenir sur les choses, mais je suis ici dans...?... très longtemps ici que... Ceci est le moment le plus long, je pense, que j’aie jamais passé à un endroit depuis que je suis dans le ministère, c’est ici même à Los Angeles. Et ceci est mon deuxième voyage en quelques mois, quelques... Et–et puis, partout, on passe des soirées, de trois à cinq soirées, et nous sommes en déplacement pour ailleurs.

            Maintenant, dans l’Evangile selon Saint Luc, chapitre 2... Je vais surveiller l’horloge et faire de mon mieux. Je parle beaucoup. Ma mère disait que j’avais parlé avant de marcher. Vous connaissez ce vieux dicton : « Ta langue, c’est ta ruine.» C’est exact. Peut-être que c’est vrai, mais je parle pour le Seigneur maintenant.

17        Ainsi donc, au chapitre 2 de Saint Luc, à partir du verset 25, juste lire quelques versets, et ensuite faire quelques commentaires, et puis former notre ligne de prière...

            Demain soir, après la ligne principale, il y aura... quelques-unes des lignes seront terminées, je vais avoir une soirée avec des ministres. Je veux que tous les pasteurs qui collaborent occupent leur place ici et se tiennent ici à l’estrade avec moi, pendant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Rassembler les gens, et–et laisser tous les pasteurs être ici et avec eux prier pour eux après le service, et que vous voyiez tous de grands signes et de grands prodiges s’accomplir. Puis, mercredi soir, ça sera la dernière soirée.

            Maintenant, dans... Voici ce que nous lisons dans la Parole de Dieu.

            Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

            Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

            Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu et dit : « Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole. Car mes yeux ont vu ton salut,

18        Nous inclinons la tête un petit instant. Notre Bien-aimé Sauveur, ce soir, nous sommes contents de ce privilège de nous assembler ici dans la maison de Dieu, en compagnie de ce peuple pour T’adorer, comme David de jadis l’a dit, il voulait adorer l’Eternel dans l’assemblée des justes. Et nous sommes très reconnaissants ce soir de ce que l’Esprit de Dieu réjouit toujours nos coeurs pour Le louer dans l’assemblée des justes. Et maintenant, Père, accorde ce soir que dans chaque coeur il y ait une crèche ou de l’espace où Jésus de Nazareth pourrait entrer avec la plénitude de la foi divine, afin qu’Il puisse se tenir dans chaque coeur ce soir, et qu’Il prenne l’initiative et qu’Il ôte tous les doutes, de jeter tout ce qui n’est pas de Lui, Seigneur, toute l’incrédulité et toutes les pensées sceptiques, et qu’Il domine simplement le coeur et, oh ! que nos yeux voient alors.

            Quelle soirée ce pourrait être, Père, où tous les chrétiens sont d’un commun accord pendant que nous sommes assemblés ici, où le Saint-Esprit est descendu plusieurs fois. Sauve, remplis les croyants, guéris les malades et les affligés, et qu’il y ait constamment des réunions en cours. Quelle place et quel temps maintenant même pour Lui de venir ce soir, juste à la veille de la clôture de cette série de réunions, Seigneur, et de diriger chaque coeur vers Lui, avec la pleine assurance qu’Il est ici, au temps présent, pour délivrer de n’importe quoi chaque personne qui est dans la salle ! Et chaque bénédiction de la rédemption, c’est pour eux par la foi, en croyant maintenant même.

19        Ô Dieu, pendant ces quelques prochaines minutes, cache-nous simplement. Que les rideaux soient tirés sur les soucis et les préoccupations de cette vie, dans notre mémoire et nos coeurs. Et puissions-nous juste voir Jésus et Lui seul. Et nous savons que si nous pouvons nous représenter un tableau de l’amour de Dieu, c’est dix millions de fois plus que les mers de cette terre, endiguées dans un canal de quelques centimètres de diamètres, qui irait à des milliards de kilomètres au-delà des étoiles. Et de se représenter la pression qu’il y aurait là au bout de ce canal ! Comment cette eau avec tous ces milliards de tonnes de pression cherchant à s’échapper, et cependant l’amour de Dieu sonde nos coeurs ce soir, une grande puissance de la force, telle qu’Il aimerait trouver une petite fissure par où couler pour entrer dans nos vies, nous donner cette grande puissance et cette onction qui dépasse même l’entendement humain. Accorde-le, Seigneur, ce soir ; que les portes du ciel s’ouvrent et que le Saint-Esprit prenne pleinement contrôle. Que nos âmes soient débordées de ce flot au point que nous oublierons tout, que nous sommes estropiés ou malades, et que nous nous lèverons simplement sur nos pieds en glorifiant Dieu, en Le prenant au Mot pour Sa promesse, en réclamant Ses bénédictions de la rédemption. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

20        Je pense maintenant même à ce vieux sacrificateur, avancé en âge, au sujet duquel nous venons de lire, du nom de Siméon. C’était un homme qui attendait la consolation d’Israël.

            Il arrive des fois où l’église tombe très bas, mais Dieu n’a jamais manqué de témoin depuis le commencement du monde. Il a toujours eu quelqu’un sur qui Il peut mettre Son doigt et dire : « Celui-ci est Mon serviteur. Je peux l’envoyer n’importe où que Je veux qu’il aille, et il ira.» Nous en sommes heureux, n’est-ce pas ? Le ministère de Dieu...

21        Et c’était un jour très sombre, à cette époque. Des centaines de gens, des milliers d’entre eux s’étaient détournés des traditions, s’étaient détournés de la foi, avaient rétrogradé, étaient devenus tièdes. Mais il y avait un petit reste qui attendait la consolation d’Israël. C’étaient Jean-Baptiste, Siméon, Anne, la prophétesse au temple, et beaucoup d’autres qui attendaient constamment dans la foi que Dieu accomplisse Sa promesse. Ils attendaient. Ils croyaient. Peu importe combien de temps la promesse avait pris, ils croyaient que la Semence de la femme viendrait et briserait la tête du serpent comme Dieu l’avait promis.

22        Eh bien, l’attente du Messie avait duré quatre mille ans. Et dans chaque génération, on attendait la Venue du Messie, et cela n’a pas laissé Siméon perplexe. Il était un vieil homme, dans la quatre-vingtaine, mais il croyait toujours qu’il verrait le Messie. Et il portait une longue barbe blanche, je peux m’imaginer, avec des cheveux blancs. Et c’était un–un grand homme parmi son peuple. Il jouissait d’un grand prestige. Mais il avait un témoignage à côté de ça. C’est ce que j’aime. A côté de toute son érudition et toute sa popularité, il était d’un coeur humble devant Dieu, un coeur réceptif avec lequel Dieu pouvait traiter. Et il avait un témoignage qu’il verrait le Christ du Seigneur avant de mourir. Pensez-y.

23        De grands hommes : David, Salomon, Elie, Elisée, Esaïe, Jérémie, une chaîne de prophètes et d’hommes justes qui ont attendu la Venue du Messie pendant quatre mille ans : de grands hommes. Mais cependant cet homme, même âgé de quatre-vingts ans approximativement... C’était un homme avancé en âge, les théologiens croient qu’il était dans la quatre-vingtaine. Un vieil homme et pourtant il allait çà et là et disait : « Je ne mourrai point avant de voir le Christ du Seigneur.» « Eh bien, disait-on, Siméon, pourquoi as-tu de telles pensées ?»

            « Parce que le Saint-Esprit me l’a révélé. Et je ne mourrai point avant de voir le Christ du Seigneur. Et je crois que ce qu’Il dit est la vérité.» Amen. Oh ! la la ! Cela va nous faire nous sentir religieux tout de suite, n’est-ce pas ?

24        Vous savez, je me sens de temps en temps religieux. Je peux crier. Oui, oui. Vous pourrez... C’est... Je sais que le salut ne repose pas tellement sur les cris, mais ça va de pair. C’est vrai. Et pourtant, quelqu’un a dit : « Vous êtes un baptiste horriblement bruyant.» Eh bien, je suis donc un pentecôtiste baptiste, vous savez. J’ai donc le Saint-Esprit. Donc, je–je–je... Quand le Saint-Esprit entre, c’est Lui qui fait toutes ces choses. Je L’aide simplement. Amen. J’exprime simplement ce qu’Il sent en moi : la réjouissance.

25        Eh bien, je pense à Siméon, le Saint-Esprit lui révélant cela, qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ. Même s’il était fort avancé en âge, mais... Il jouissait d’un grand prestige. Eh bien, et s’il disait : « Oh ! Attendez une minute, peut-être que c’est juste quelque chose qui se dit là. Eh bien, donc, je–je–je... Peut-être que je suis juste–je suis juste un peu travaillé par l’émotion. Je ferais mieux de ne pas dire cela là où les gens peuvent m’entendre, car je jouis d’un grand prestige. Je suis membre d’une grande église, vous savez, je ferais mieux de faire attention.»

            Mais il croyait en Dieu. Et il croyait que ce que le Saint-Esprit avait dit, c’était la vérité. Et il attendait de voir Jésus être... ou le Christ avant de mourir, car le Saint-Esprit le lui avait révélé.

26        Que des fois Dieu travaille avec les gens ayant dépassé l’âge... C’est quand on ne s’attend à rien... Et l’unique moyen pour vous d’être dans l’expectative, c’est d’avoir une sorte de révélation ou de promesse.

            Si je vous disais que j’irais à Downey, en Californie, par ici, dans cette ville de la Californie sur la... je... C’est là que ça se trouve, Costa Mesa. Si je vous disais que je venais à Costa Mesa... Si je pouvais épeler cela, je l’écrirais, mais avec mon instruction de l’école primaire, je ne peux pas le prononcer.

            De toute façon, si je vous disais que, le 4 juin, je vais commencer là-bas, vous croiriez que j’y serais, n’est-ce pas ? Si je dis que je–je vous rencontrerai là-bas, eh bien, si tout est possible, je le ferai. En effet, un homme de parole sera sincère et tiendra sa promesse ; un chrétien, n’en parlons même pas.

            Or, il peut arriver quelque chose qui ne me le permettra pas, mais à ce que je sache, le Seigneur voulant, j’y serai. Eh bien, vous croirez cela. Et les gens croiront cela, alors ils s’apprêteront à ériger une grande tente là-bas et l’arrangeront. Eh bien, c’est parce que nous avons promis d’être là. J’ai promis de revenir ici. Et quand je serai ici, je trouverai d’autres réunions en cours. Oh ! la la ! Je me suis dit : « Je ferais mieux de retourner», mais j’avais promis que je viendrais. Alors, je–je dois rester ici. J’avais promis cela. Ainsi donc, Dieu nous a récompensés pour avoir tenu notre promesse.

27        Bon, Siméon croyait parce que le Saint-Esprit le lui avait promis. Il attendait cela. Si vous êtes dans l’expectative de cela, c’est que vous avez une base pour cela, vous croyez que Dieu a promis cela, alors vous avez le droit d’attendre cela. Est-ce vrai ? Quand Dieu le promet...

            Eh bien, moi, je peux ne pas tenir ma promesse, car je suis un homme. Et votre ami peut ne pas tenir sa promesse à lui, ou sa promesse à elle, mais Dieu ne manquera pas de tenir Sa promesse. Il ne le peut pas, car Il est Dieu. Pouvez-vous vous représenter combien pures et sans mélange sont Ses promesses ? Combien elles sont infinies ?

            Eh bien, si je descendais à une source où mon grand-père s’était abreuvé, une source claire, et que cette eau ait été examinée et trouvée pure à cent pour cent... Mon père s’y est abreuvé, c’était cent pour cent pure. Et tout au long de la vie, je m’y suis abreuvé, c’était cent pour cent pure ; eh bien, j’aurais assez foi pour retourner et croire que si je prends une gorgée d’eau, ça sera en ordre. Ne le feriez-vous pas ?

            Au cours des générations, au cours de plusieurs générations, il a été établi que c’est cent pour cent pur. Pourquoi ? En effet, le ruisseau qui fait jaillir cela, là d’où ça vient, son fond ici en bas, son lit, fait jaillir de l’eau pure. Or, si cela est, après test, à cent pour cent purs, à combien plus forte raison la promesse de Dieu sera, tout test fait, trouvée cent pour cent pure. En effet, la base de cela, la Parole de Dieu vient de Dieu, lequel est infini, pur et saint, et Il ne peut pas mentir, car Il est Dieu. Vous y êtes. Eh bien, quand Dieu promet quelque chose et dit : « C’est en ordre», amen.

28        Je pensais, en parlant au sénateur cet après-midi, quand je l’ai rencontré, à toutes ces années qu’il a passées sur ces béquilles estropié, et au nombre de fois qu’on a prié pour lui. Mais il se tenait là, il avait vu ce que le Saint-Esprit avait dit à tout le monde pendant qu’Il révélait les coeurs et les secrets des coeurs. Il avait vu cela quand Il parlait aux gens, peu importe ce qui n’allait pas chez eux, qu’ils étaient guéris, ils se levaient et agissaient sur base de cela et ils étaient guéris.

            Il s’est alors dit : « Oh ! Si seulement il peut me parler.» Et le Saint-Esprit est descendu là, Il lui a parlé de son état et de tout à ce sujet, Il a dit qu’il était guéri. Il s’est levé. Il a cru cela. Peu importe les si, depuis combien de temps il était estropié ou tout ce qu’il en était, Dieu avait fait la promesse, et c’était à lui de croire cela. Amen.

            Dieu a promis : « Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» Il est ici. S’ils s’accordent sur quelque chose et le demandent, ils le recevront. Tout ce que vous désirez en priant, croyez que vous le recevez, vous le verrez s’accomplir. Cela vous sera accordé. Eh bien, c’est merveilleux, n’est-ce pas ? C’est la promesse, la promesse de Dieu. Nous croyons cela. Je crois que c’est vrai.

29        Il n’y a pas longtemps j’étais là où le... cet Ange, un Etre surnaturel, était descendu et j’avais dit ceci : « Qui suis-je ?» Roi, monarque, riche, pauvre et tous, des milliers viendront... « Comment puis-je croire cela ?» Mais je sais qu’Il m’a dit la vérité chaque fois qu’Il m’a parlé. Et je savais que cela devait être la vérité. Je suis allé disant que c’était vrai, et Il l’a accompli. Et je ne L’avais jamais vu, et Il ne dira jamais autre chose que la vérité. En effet, Il ne le peut pas ; cela vient de Dieu.

30        Daniel, quand on lui a dit qu’on allait le jeter dans la fosse aux lions, il s’attendait à ce que Dieu y soit. Il croyait que comme il avait mené une vie correcte devant Dieu, il avait un droit. Et chaque jour, il tirait les rideaux, s’il y en avait à l’époque, qui donnaient sur le temple, il regardait vers ce saint temple et priait. En effet, il croyait qu’il y avait un holocauste sur l’autel à cette heure-là au temple, et il croyait que Dieu exaucerait sa prière, car il y avait un substitut innocent qui était mort à sa place pour faire l’expiation. Et quand il est descendu dans la fosse aux lions, il n’a pas eu peur des lions parce qu’il s’attendait à ce que Dieu le délivre. Amen.

            Jonas, voilà un homme qui a eu beaucoup de symptômes. Les gens pensent que... Quand je regarde... On a prié pour eux, ils disent : « Eh bien, ça ne va pas mieux avec ma main.» Cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas guéri. Quand on prie pour vous, vous êtes guéri. Et franchement, vous êtes guéri avant qu’on prie pour vous. Car Jésus est mort au Calvaire pour vous guérir et Il a payé le prix.

31        Si vous aviez une montre dans un magasin de prêt sur gages, quelqu’un y allait payer la facture du prêt sur gages, ou de je ne sais quoi que vous aviez donné en gage là, et cet homme recevrait un reçu, il la renverrait en disant que tout a été payé, vous avez le droit d’y aller, sans payer encore pour la montre, aller montrer le reçu et récupérer votre montre. Est-ce vrai ? Ou je ne sais quoi que vous aviez donné en gage...Alors, écoutez. Le diable nous avait mis dans un magasin de prêt sur gages, là dans le passé, à cause du péché d’Adam. Mais Jésus est descendu, Il a payé le prix du gage, Il a écrit cela dans la Parole. J’en ai le droit. Amen. « Satan, retire-toi.» J’en ai le droit.

32        Le frère Mayo m’a dit : « Vous ne pouvez pas vous rétablir.»

            J’ai dit : « J’en ai le droit.» Amen. Mon...

            Il a dit : « Eh bien, vous avez hérité cela de votre père.»

            J’ai dit : « Mais mon Père céleste m’a racheté.» Amen. Je suis sorti du magasin de prêt sur gages maintenant. Amen. Alors, retire-toi donc, Satan.

            Il a dit : « Je vais simplement te couvrir de symptômes.»

            Et j’ai dit : « Tiens-toi là, écoute-moi témoigner. J’aimerais que tu m’écoutes.»

            Il a dit : « Je vais te rendre malade.»

            J’ai dit : « Je vais témoigner cela beaucoup plus encore. J’en ferai encore plus de témoignage. Si tu veux m’entendre louer Dieu, tiens-toi là un petit moment, tu m’entendras.»

            J’ai simplement continué à louer Dieu et à tellement chauffer cela pour lui qu’il a dû fuir. Je l’ai juste entendu [Frère Branham fait un bruit en tapant les mains ensemble.–N.D.E.] Il a filé à toutes jambes, dans la rue, à toute vitesse. Absolument. Pourquoi ? L’Evangile de Jésus-Christ, par la puissance du Saint-Esprit, le consumait. Amen. Il le devait. La Parole de Dieu est vraie. Nous avons droit à ces bénédictions de la rédemption. Attendons-les. Croyons-les. Dieu fera qu’elles s’accomplissent, ne croyez-vous pas cela ?

33        Je n’exerce pas tellement le discernement pendant ces soirées-ci. Je me détendais simplement pour me réjouir du Saint-Esprit avec vous tous pendant que je suis ici cette fois-ci.

            Et nous avons droit à tout ce que Dieu a promis. Réclamez-le simplement, recevez-le ; croyez-le ; allez de l’avant. Vous avez n’importe quel symptôme, oubliez cela. Les symptômes ne représentent rien. C’est vrai. Croyez simplement cela.

34        Il n’y a pas longtemps, à Houston, un jeune garçon est passé ; je pense vous avoir raconté cela, peut-être la dernière fois que j’étais ici. Beaucoup de choses qui se sont produites... Il y avait un vieil homme... Je vais alors raconter celle-ci. Il y avait un vieil homme du nom de John Rhyn, et cet homme était aveugle. Il avait assisté à la réunion ici et à Fort Wayne. Alors, il est entré dans la réunion. Il y avait plusieurs milliers de gens assemblés ce soir-là, environ deux soirées après que le piano eut joué le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus, quand l’Ange de Dieu était descendu dans un tourbillon, un Halo avait tourbillonné dans la salle où j’étais, et je pensais que le concierge m’avait braqué la lumière. Et ici... Alors que je tenais le petit garçon dans mes bras, je l’ai laissé tomber et, eh bien, la jeune fille, la jeune fille nazaréenne, était en train de jouer du piano, elle s’est levée d’un bond, elle s’est mise à courir en criant. Elle avait vu ce petit garçon quitter l’estrade en marchant normalement. Eh bien, elle s’est levée d’un bond. Elle jouait le Grand Médecin, et cela a continué à jouer

            Le Grand Médecin est ici maintenant,

            Le Compatissant Jésus ;

            Il réconforte le coeur languissant,

            Pas un autre nom que Jésus,

            Il était là, jouant.

35        Environ une soirée ou deux après cela, ce vieil homme est passé dans la ligne. J’ai prié pour lui, on avait une ligne qui passait aussi vite que possible. Il était conduit par deux hommes. Il était aveugle. Et il a dit : « Est–est–est-ce révérend Branham ?»

            J’ai dit : « Oui, monsieur.»

            Et il a dit : « Eh bien, guérissez-moi», a-t-il dit.

            J’ai dit : « Je ne le peux pas.»

            Il a dit : « Eh bien, pourquoi ne le pouvez-vous pas ?»

            J’ai dit : « Jésus l’a déjà fait.» Et j’ai dit : « Je ne peux pas faire ce qu’Il a déjà fait.»

            Il a dit : « Eh bien, pouvez...» Il a dit : « Voulez-vous prier pour moi ?»

            J’ai dit : « Oui, monsieur.» Et j’ai prié. J’ai dit : « Me croyez-vous ?»

            Il a dit : « Oui, monsieur.»

            J’ai dit : « Allez de l’avant. Vous allez recouvrer la vue.»

            Il a dit : « Eh bien, juste une minute.» Il m’a tenu par le veston. Il a dit : « Juste un instant.» Eh bien, il a dit : « Vais-je recouvrer la vue ?»

            J’ai dit : « Oui, monsieur. Vous allez recouvrer la vue, vous allez vous rétablir.»

36        Et il a dit : « Bon...» Il a effectué une petite distance, et il est revenu. Il a dit : « Dites donc, vous m’avez dit que j’allais recouvrer la vue.»

            J’ai dit : « C’est vrai.»

            Il a dit : « Vous avez dit que j’étais guéri.»

            J’ai dit : « Oui.»

            Il a dit : « Eh bien, vous m’avez dit que j’étais guéri, et je ne vois pas.»

            J’ai dit : « Cela n’a rien à faire avec le fait pour vous de voir.» J’ai dit : « Je vous ai dit...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] L’homme, soit dit en passant, était catholique de confession. Et j’ai dit : « Regardez, monsieur. Vous m’avez dit que vous me croyiez.»

            Il a dit : « Eh bien, ces autres en parlent ici, ils ont été guéris et ils sont bien portants.»

            J’ai dit : « Vous aussi, monsieur. Prenez... Accordez à l’Ange du Seigneur une possibilité de...»

            Et il a dit : « Que dois-je faire ?»

            J’ai dit–j’ai dit : « Croyez-vous ce que j’ai dit ?»

            Il a dit : « Oui, monsieur.»

            J’ai dit : « Eh bien, j’aimerais que vous agissiez en conséquence.» Voyez ? J’ai dit : « Descendez d’ici en témoignant, disant : ‘Que le Seigneur soit loué. Il m’a guéri.’»

            Il a dit : « D’accord.» On l’a reconduit et il criait : « Que le Seigneur soit loué pour m’avoir guéri.»

37        La nuit suivante, le vieil homme a interrompu la réunion à quatre ou cinq reprises. Il était assis au balcon. Il disait : « Silence, tout le monde, une minute.» Il se levait et criait : « Que le Seigneur soit loué pour m’avoir guéri», et il s’assoyait. Et je parlais, vous savez, quand il disait : « Juste une minute, Frère Branham.» Il criait : « Que le Seigneur soit loué pour m’avoir guéri.» Et les huissiers sont allés là, et j’ai secoué la tête pour dire : « Laissez-le tranquille.» Voyez ? Il passait un bon moment avec cela.

38        Eh bien, par la suite, il est allé dans la rue, c’était un vendeur des journaux, et il disait : « Que le Seigneur soit loué pour m’avoir guéri.» Il criait : « Edition spéciale, que le Seigneur soit loué pour m’avoir guéri.» Et les gens se moquaient de lui, le raillaient. Ils pensaient : « Le vieil homme est devenu fou (Voyez-vous ?), et il est devenu fou avec la religion.» Voyez ? Ils ont donc pensé qu’il était prêt pour l’institution psychiatrique.

            Il a donc continué comme cela pendant plusieurs jours, je pense, deux ou trois semaines. Et un jour, un petit, vendeur des journaux, qui était près de lui, l’a conduit à un salon de coiffure pour qu’il se fasse coiffer. Et le coiffeur, un petit orgueilleux, essayait toujours... avait plus de bon sens que de la jugeote pour savoir en prendre soin. Alors, il aiguisait son rasoir et il avait rasé à peu près la moitié du visage de monsieur Rhyn. Il a dit : « Dites donc, papa, j’ai appris lorsque... que vous êtes allé voir ce guérisseur divin il n’y a pas longtemps.»

            Il a dit : « Ouais, j’étais parti le voir.»

            Il a dit : « J’apprends que vous avez été guéri.»

            Il a dit : « Ouais, que le Seigneur soit loué. Il m’a guéri.» Et ses yeux s’ouvrirent pendant qu’il était dans le fauteuil. Il regarda tout autour ; il dit : « Je suis guéri maintenant.» Il sortit d’un bond de ce fauteuil, la serviette au cou, il sortit par la porte, et le coiffeur était derrière lui avec le rasoir, dans la rue. Or, il ne voyait pas parfaitement. Il voyait des objets et tout, il criait à tue-tête. Et cet homme-là, John Rhyn est à Dowagiac, dans le Michigan, à ce que je sache, ce soir, prêchant la guérison divine par la foi. C’est vrai. Qu’était-ce ? Il s’est attendu à ce que Dieu le guérisse.

39        Jonas, rétrograde... (Maintenant, vous savez que je ne suis pas un baptiste. Très bien.) Il est entré dans le ventre du grand poisson, il avait manqué son appel, il est allé... Dieu a fait qu’il ait les mains et les pieds liés, on l’a jeté dans la mer, probablement à trois ou quatre miles [4,8 ou 6,4 km] de profondeur là loin de Ninive. Regardez-le maintenant, sur une mer houleuse, les mains liées derrière lui, rétrograde, jeté dans la mer ; englouti par un grand poisson. Oui. Croyez-vous cela ? Je crois qu’un grand poisson avait englouti Jonas, comme le déclare la Bible.

40        Une fois, une fillette ... Je pense que c’est frère Rediger qui l’a dit, l’ami de Paul Rader, et je pense que c’était à Fort Wayne Tabernacle. Une fillette avait été sauvée, elle passait dans la rue. Elle tenait sa Bible sur son coeur, chantant simplement, vous savez, ses cheveux attachés par l’arrière, son petit visage brillant. Elle chantait ce bon cantique. Alors, il y avait un vieil incroyant qui se tenait à côté de la rue. Il l’a regardée et a dit : « Qu’est-ce qui te rend si heureuse, soeur ?»

            Elle a dit : « Le Seigneur m’a sauvée. Oh ! a-t-elle dit, je suis heureuse.» Elle a demandé : « Etes-vous sauvé ?»

            Il a dit : « Oh ! non. Ça n’existe pas.»

            Elle a dit : « C’est tout ce que vous savez à ce sujet.»

            Il a dit : « Eh bien...» Il a dit : « Crois-tu ce Livre que tu tiens en main ?»

            Elle a dit : « Oui, monsieur. J’En crois chaque brin», une petite fille toute enflammée du Saint-Esprit, vous savez.

            Il a dit : « Je suppose que tu crois cette histoire du grand poisson et de Jonas.»

            Elle a dit : « Oh ! Oui, monsieur.» Elle a dit : « Je crois cela. Assurément, c’est la vérité.»

            Il a dit : « Comment vas-tu prouver cela autrement... autrement que par la foi ?»

            Elle a dit : « Eh bien, quand j’arriverai au Ciel, je poserai la question à frère Jonas.»

            Il a dit : « Peut-être que Jonas ne sera pas là ?»

            Elle a dit : « Alors, vous la lui poserez.» C’est vrai. « Vous la lui poserez.» Vous savez où il serait alors. Très bien. Je crois que c’est la vérité. Amen. Oui, monsieur. Si la Bible dit que Jonas a été englouti par le grand poisson, je crois cela, car c’est la Parole de Dieu. Amen. Très bien.

41        Et il est donc là, rétrograde, sur une mer houleuse, les mains liées derrière lui, dans le ventre d’un grand poisson. Et chaque fois qu’un poisson mange, il descend au fond de la mer et ou le... un poisson rouge, quand vous le nourrissez, il descend, déploie ses petites nageoires et se repose au fond de l’eau, de l’aquarium. Il avait trouvé sa proie, il s’était nourri et il était descendu se reposer.

            Probablement que le grand poisson, après avoir rempli le ventre de ce prédicateur rétrograde, il est descendu au fond de la mer, il a déployé ses ailes comme cela, ou ses nageoires, il allait se reposer un instant. Tenez, ce Jonas était là au fond, avec les algues tout autour de son cou. Oh ! Vous parlez de symptômes, il avait droit d’en avoir. Qu’il regarde dans cette direction, il y avait le ventre du grand poisson. Qu’il regarde dans telle autre direction, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, il y avait le ventre du grand poisson. Oh ! la la ! Vous n’êtes même pas dans un état aussi mauvais ce soir, où que vous soyez. Qu’il regarde tout autour, n’importe où, le ventre du grand poisson, il avait beaucoup de symptômes, n’est-ce pas ? Plus que vous n’en avez... Mais vous savez ce qu’il a dit : « Ce sont des vanités mensongères.»

            Il a dit : « Seigneur, je verrai encore une fois Ton saint temple. Maintenant, je ne vais pas regarder les symptômes. Je ne vais pas considérer à quelle profondeur je suis sous mer. Je ne vais pas considérer mon état de rétrograde. Je ne vais pas regarder ces algues autour de mon cou. Je ne vais pas regarder le ventre du grand poisson, mais je vais regarder, au-delà de ça, Ton saint temple. Amen. Vous y êtes.

42        Eh bien, il savait que si jamais il pouvait regarder, au-delà de ces symptômes, à trois miles [4,8 km] de l’eau, au-delà du ventre du grand poisson, le temple et faire parvenir une prière à Dieu, quelque chose allait se faire. Amen.

            Je peux le voir s’agenouiller et dire : « Seigneur, je regrette d’avoir rétrogradé. Je suivrai la bonne voie si seulement Tu me laisses sortir d’ici.» Et vous savez quoi ? Eh bien, il avait foi. Quand Salomon a consacré ce temple du Seigneur, il avait offert une prière, disant que si les enfants de Dieu se retrouvaient en difficulté quelque part, et qu’ils regardaient vers ce temple-là et priaient, alors, que Dieu exauce du haut de cieux. Jonas croyait que s’il pouvait regarder vers ce temple, il avait la promesse de Dieu qu’il s’attendait à ce que le grand poisson le vomisse. Dieu a donné à ce drôle de grand poisson une telle nausée qu’il l’a dégueulé sur le rivage. C’est... Eh bien, je... Excusez-moi ; je ne voulais pas dire cela. Il l’a vomi sur le rivage. [L’assemblée rit.–N.D.E.] Je n’avais pas l’intention de dire cela, amis. Honnêtement, je ne le voulais pas. De toute façon, je suis un garçon de campagne, mais je suis aussi mal à l’aise quand je dégueule que vous l’êtes lorsque vous vomissez. Ainsi...

            Très bien. Il l’a mis sur le rivage. Est-ce vrai ? Haw ! Cela lui a donné la nausée. Si vous entrez dans une église qui ne croit pas dans la guérison divine, dans le fait de réclamer ses droits en Christ, vous aurez la même expérience. C’est vrai. La communion non pas avec les ténèbres.

43        Remarquez, il a regardé vers le saint temple de Dieu, et si Jonas dans le ventre du grand poisson a pu regarder vers un temple terrestre, où Salomon avait prié, à combien plus forte raison devrions-nous regarder vers le temple céleste ce soir, où Jésus est assis à la droite de Dieu, agitant Son habit ensanglanté, intercédant pour votre cancer, votre cécité et je ne sais quoi ça peut être. Alléluia ! Oh ! Un cas pimpant neuf de l’ancienne religion du Saint-Esprit (Oui), cela vous fait sortir de la chose. Il s’est attendu à ce que ses prières soient exaucées.

            Ce drôle de grand poisson a foncé droit vers Ninive, à toute allure. Dieu avait mis une tente à oxygène à l’intérieur et Il l’a gardé en vie. Très bien. Il l’a mis quelque part ; je ne sais où Dieu a placé la tente là, mais il avait de l’oxygène qui l’avait gardé en vie. Très bien.

44        C’est comme Dieu avait dit à Elie : « Monte et assieds-toi là au torrent de Kérith. J’ai ordonné aux corbeaux de te nourrir.» Oh ! la la ! On disait que cet homme était fou, vous savez, pour avoir fait une telle prédiction, que le Saint-Esprit lui avait parlé et qu’Il avait dit qu’il ne pleuvrait pas sinon à sa parole. Avez-vous déjà entendu pareille chose ? Dieu le lui avait dit. Il avait cru en Dieu. Il est allé directement au torrent de Kérith et il s’est assis. Chaque matin, des corbeaux venaient là, lui apportant de la nourriture. Il est resté assis là, ils la lui remettaient, il mangeait...?... Dieu, il s’agenouillait, et il buvait de l’eau et il a continué. Lors du dîner, des corbeaux revenaient, lui apportant davantage. Vous direz : « Où est-ce que ces corbeaux trouvaient cela ?» Je ne sais pas. Ils trouvaient des sandwiches quelque part. Ils avaient de la viande et du pain. Je ne sais où ils trouvaient cela, mais ils apportaient cela. Elie a accepté cela, il a mangé cela et il a vécu.

45        Un médecin m’a dit une fois, il a dit : « Frère Branham, vous ne croyez pas que ces gens qui poussaient des cris et faisaient des histoires semblables, ne croyez-vous pas que c’est juste de l’émotion ?»

            J’ai dit : « Non, monsieur.» J’ai dit : « C’est le Saint-Esprit.»

            Il a dit : « D’où vient cela ?»

            J’ai dit : « Je ne sais pas.»

            Il apporte cela. Je l’accepte. Je vis de cela. Je ne sais pas d’où cela vient. Dieu a ordonné que cela vienne. Je crois cela.» Alléluia !

            Oui. Il a dit que c’était ça. Je crois cela. Oh ! Je me sens vraiment religieux maintenant même. Hmm. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]

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