Crois-Tu Cela?
1 ...?... Merci. Oh! la la! Il n’aurait pas dû dire cela. Eh bien, à vous chers étrangers, il ne faisait que... il cherchait à m’encourager un peu plus pour me tenir ici; c’était tout. Je ne prétends même pas être un prédicateur. Je–j’aime bien être là où sont des prédicateurs et je... le mien, c’est de prier pour les malades.
Et je suis content d’être ici cet après-midi pour–pour voir cette assistance, sentir l’Esprit du Seigneur ici et me réjouir de ces bénédictions depuis hier soir. J’ai vu dans le service d’hier soir ces estropiés et ceux qui étaient assis dans ces fauteuils roulants, comment ils se sont levés, ils sont sortis de ces fauteuils roulants. Et je... Maintenant, ils ne sont pas ici; je ne vois personne d’entre eux cet–cet après-midi, je ne vois personne de ceux qui étaient là, à ce que je sache réellement. Mais je constate une chose: ceux avec qui on avait traité plus longtemps étaient les premiers à se lever (Avez-vous constaté cela?), les tout premiers à se lever. Et il y a quelque chose à ce sujet que je ne comprends pas. Et depuis hier soir, je priais, me demandant ce que ce... Pourquoi? Pourquoi cela? Priez donc avec moi que Dieu fasse connaître cela.
2 Eh bien, je vous remercie tous beaucoup pour l’offrande missionnaire de cet après-midi. Si notre Seigneur tarde et qu’Il me le permet, j’aimerais aller en Afrique, et puis, nous reviendrons pour–pour aller en Inde. Et de là, à Jérusalem pour... lors de cette prochaine tournée missionnaire. Et mon coeur saigne pour tous ces pays. Soeur Hall disait, elle disait: «Rien de cela pour moi, partout là-bas.» Elle a dit: «Je ne pense pas que je...»
J’ai dit: «Humainement parlant, je–je ne le désire pas, mais il y a là quelque chose qui me pousse à aller (Voyez?), cela me pousse simplement–simplement à aller.» Et avec l’amour pour ceux qui ont besoin de Christ, j’aimerais partir.
3 J’ai reçu un–un livre venant de l’Afrique il n’y a pas longtemps, et c’est un homme de couleur, un vieux, il disait: «Homme blanc, homme blanc, où était ton père?» Il disait: «Voici, je suis devenu vieux, et d’un esprit engourdi, et c’est maintenant même que j’ai appris au sujet de Jésus. Si je L’avais connu plus tôt, j’aurais pu L’apporter à mes tribus.»
Et je me suis dit: «Eh bien, je n’aurai pas à répondre pour la génération de mon père, mais j’aurai à répondre pour la mienne, pour ce que je fais.» Et avec les difficultés que j’ai pour travailler, et tout, j’aimerais faire tout mon possible pour notre Seigneur, tout mon possible.
4 Au mieux de ma connaissance sur la vie humaine, j’ai seulement... je remercie Dieu pour la santé et tout, sachant qu’autrefois j’étais aveugle et–et... ou si aveugle qu’on devait me conduire... Et maintenant, je vois cinq sur cinq.
Et aussi, une fois, je–j’étais très malade: Je ne pouvais rien manger et je souffrais de troubles d’estomac très aigus. Et je suis en bonne santé et heureux. Je peux manger tout. Il n’y a qu’une seule chose qui me dérange, à ce que je sache. Et il n’y a personne de parfait parmi nous; nous le savons. Et cette chose-là, ce sont les réunions, lorsqu’on tire ça en longueur, cela exerce sur moi une telle tension mentale, nerveuse; en effet, vous êtes tout le temps en alerte. Voyez, dans mes réunions, des centaines sont assises, parfois, dans de grandes réunions où beaucoup de milliers sont rassemblés, parmi eux, des critiqueurs qui voudraient... juste cherchent de leur mieux à trouver une chose, de quoi parler. Je suis conscient de cela lorsque cela se dirige contre moi. Alors, le Saint-Esprit descend pour permettre de faire savoir ce qui cloche chez les gens... Et je sais qu’Il connaît toutes choses. Et cela... Quelques minutes sous–sous cela (Oh! la la!), cela vous fatigue plus que travailler avec le marteau de forgeron sur un tas de rocher pendant deux jours d’affilée sans même le déposer, sans se reposer.
5 Vous savez, d’après la science moderne, la prédication, les ministres qui prêchent juste à une assistance dépensent plus d’énergie en prêchant vingt minutes que celui qui exécute un travail physique de huit heures. C’est ça qui abat. Eh bien, multipliez cela par environ cent et vous aurez une certaine idée de ce que cela représente. Et c’est ce pour quoi je désire que vous tous, chers chrétiens, vous priiez pour moi, que Dieu, d’une façon ou d’une autre... Je ne sais pas. Une fois, je me demandais comment Il pouvait... comment Il se fatiguait, Lui le Fils de Dieu, mais je sais maintenant ce que c’est. C’est un... Ce n’est pas une–ce n’est pas une tension physique. C’est plus ou moins, je dirais, une tension mentale, nerveuse et mentale. Voyez, cela–cela s’exerce sur vous et vous êtes majeur, vous venez à la réunion... Pas cet après-midi, mais la nuit...
6 Il y en a qui sont assis là, peut-être... peut-être, une personne pauvre est assise là souffrant du cancer, assise là. Juste une parole fera l’affaire.
Un prédicateur est venu il y a quelques instants, il était assis là, un homme avancé en âge, il avait une grosseur sur les lèvres. Il m’a dit qu’il prêche, je pense, depuis presque quarante ans, et... un prédicateur pentecôtiste, depuis quarante ans. Et il a dit que je lui avais révélé ses maladies dans une ligne quelque part, et Dieu avait ôté la chose de sa bouche. Et le voilà assis. Voyez-vous? Et un... Et j’ai pensé: «Cet homme prêchait l’Evangile avant ma naissance.»
7 Et, tenez, il est venu ici... Eh bien, juste une parole ici, le membre du Congrès, monsieur Upshaw, du Congrès des Etats-Unis, est assis ici. Infirme pendant soixante-six ans. Et je me tenais ici sous l’inspiration, j’ai vu en vision lorsqu’on a amené l’homme: d’où il était, ce qu’il a fait, et ce qui est arrivé. Et le voici aujourd’hui, marchant comme le reste d’entre nous. Voyez? Lui qui est resté accablé pendant des années...
Et hier soir, j’ai vu cette femme étendue là, liée par l’arthrite. On m’a dit, quand on l’a amenée, qu’il a fallu trois hommes pour la faire entrer là; elle était... comment elle était, et comment cela... Elle est là... Après avoir traité un peu avec elle, je suis descendu là, je lui ai imposé les mains et elle s’est relevée.
8 Voici une femme dans le fauteuil roulant: les pieds qui pendaient, et quel état! Et je–je lui ai parlé. Et pendant que je lui parlais, le Saint-Esprit a commencé à lui faire des révélations. Et je–et j’ai dit: «Eh bien, dans peu de temps, lorsque je monterai à l’estrade, eh bien, si je baisse le regard vers vous, j’aimerais que vous obéissiez à ce que je vous dis.»
Et quand je suis remonté à l’estrade, elle s’est levée et est sortie du fauteuil roulant. Elle était là...?...
Oh! Eh bien, maintenant, ces choses, c’est ce qui fait qu’un... Saviez-vous que presque tous les poètes et–et tous les prophètes, et autres, sont considérés comme des névrosés? Saviez-vous cela? Vous–vous ne croyez pas cela, mais je vais... Je vous le prouverai.
9 Il y a quelque part un pays que l’être humain... Et un chrétien sur dix mille n’en sait rien, si ce n’est par la foi en croyant. Mais il y a un lieu où un être humain, pendant qu’il est encore ici, peut être élevé jusqu’en ce lieu-là. Maintenant, ce n’est pas un moment de réjouissance comme quand vous êtes ravi dans la joie. J’ai vu beaucoup de joie, sans assez de foi solide pour guérir un mal de dent. Vous voyez? Ça, c’est la joie du Seigneur, pas la puissance du Seigneur. Voyez? Je–j’ai besoin de plus de joie du Seigneur. C’est ce que je désire. Et c’est ce qu’il vous faut.
Mais, il n’y a pas longtemps, Stephen Foster... Mon petit garçon qui est assis là derrière dans la salle, c’est... c’était son poète favori. Beaucoup parmi vous connaissent Stephen Foster, vous le connaissez: Il était... il a donné à l’Amérique certaines de ses meilleures chansons populaires qu’elle ait jamais eues. Or, il était considéré comme un névrosé. Et il avait... Lorsqu’il a composé The Old Kentucky Home... My Old Kentucky Home... C’est non loin de–de là où j’habite maintenant, et c’est à environ soixante-dix miles [112,6 km] de là où je suis né. Et il y a deux, environ deux étés que j’étais parti visiter The Old Kentucky Home pour ma première fois.
Et je me suis assis sur–sur le banc, ou au bureau où il a composé cette chanson. (Et elle est de renommée mondiale.) Et je regardais sa photo et là où le séraphin, l’ange était censé l’avoir touché pour lui donner l’inspiration d’écrire cela. Le guide et autres avaient déjà quitté la pièce. Je me suis assis là, et j’ai pensé: «Monsieur Foster, vous paraissez être un homme très intelligent.» Je me suis dit: «Pourquoi? Qu’est-ce qui vous a poussé à faire ce que vous avez fait?»
Eh bien, il a pu composer une chanson qu’il avait à l’esprit. Mais après qu’il eut fini de composer la chanson, il est descendu, il n’était plus sous inspiration, il s’est enivré: il a continué à s’enivrer. Et finalement, il en est arrivé à appeler un serviteur, il lui a demandé de lui acheter une lame de rasoir et il s’est suicidé, il s’est coupé la gorge: Stephen Foster.
10 Il n’y a pas longtemps, je me tenais à côté de la tombe de William Cowper. C’est lui le compositeur de:
Il y a une fontaine remplie de sang,
Tiré de veines d’Emmanuel.
Et les pécheurs plongent dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
A Londres, en Angleterre... Et je me suis tenu là à côté de sa tombe, et j’ai posé la main sur la pierre tombale, et je me suis dit: «Que Dieu accorde du repos à ta vaillante âme.» Je pensais: «Monsieur Cowper, pourquoi avez-vous été considéré comme un névrosé?» Vous savez, après qu’il a composé ce cantique, Il y a une fontaine remplie de sang, tiré de veine d’Emmanuel, cette inspiration l’a quitté et il a eu... il s’est dirigé vers–vers un taxi et il a cherché à trouver une rivière pour se suicider, se noyer dans la rivière. William Cowper. C’est ça son histoire, là même juste là à côté de sa tombe.
Puis, je me suis souvenu du prophète Jonas, comment il allait à Ninive, un navire l’a amené à Tarsis. L’inspiration de Dieu est venue sur lui, il est allé et a donné sa prophétie devant Ninive, où Dieu l’avait envoyé. Ils ont même couvert de sacs le bétail sur les collines. Dieu a épargné cette grande ville. Et une telle inspiration... Alors, il est monté, il s’est assis sous un ricin, ou un arbre, et il a prié Dieu de lui ôter la vie. Est-ce vrai?
11 Et je me suis souvenu d’Elie qui était parti là et s’est assis à côté du torrent de Kérith, et il était nourri par des corbeaux. Il avait fermé les cieux afin qu’il ne pleuve point. Puis il a ouvert les cieux et a fait descendre de l’eau, il a fait sortir le feu du ciel le même jour. Et puis, quand l’inspiration l’a quitté (sous la menace d’une femme), il a fui dans le désert et a prié Dieu de le laisser mourir. Est-ce vrai? Eh bien, je peux continuer et continuer, mais qu’est-ce, mes amis? Les hommes qui sont–sont amenés sous une formidable inspiration d’un autre pays... Vous sortez de ce monde, quelque part ailleurs, loin en haut. Et alors, quand vous êtes–quand vous êtes là-haut, tout va bien. Ou, quand vous êtes en bas, tout va bien. Mais quand vous vous retrouvez là entre les deux... Eh bien, tant que l’inspiration était sur eux, ils allaient bien. Mais une fois que l’inspiration quitte, c’est ce qui fait mal.
12 Eh bien, tenez, il n’y a pas longtemps, on était dans des réunions et on a constaté que beaucoup de gens désiraient... Et je restais pour le discernement, beaucoup, et une réunion juste après une autre, sans avoir interv-... juste–juste constamment... Et pendant huit mois, je n’arrivais pas à me lever ou à m’asseoir. Je suis resté juste entre les deux là. Vous connaissez le moment, quand on me transportait d’urgence partout. Même la clinique Mayo a dit: «Il n’y a aucune chance pour lui ici sur terre.» C’est vrai. Voyez? Maintenant, quand c’est... Vous êtes en haut ou en bas. Quand vous êtes en bas, eh bien, tout va bien pour vous, on dirait, quand vous êtes là haut... Mais se retrouver là entre les deux, c’est ce qui fait mal.
Et maintenant, qu’est-ce que tout ceci veut dire? Tout ceci veut dire, mon ami, qu’il y a un pays au-delà de la rivière quelque part, là loin, quelque part, c’est là que nous allons, c’est là au Ciel. Nous ne comprenons donc pas ces choses, seulement c’est mal compris, et nous essayons de tout notre mieux en vue de l’amélioration des êtres humains par Jésus-Christ, pendant que nous avons le temps de travailler.
13 Et j’ai besoin de vos prières pour moi afin que je reste fort. Depuis le temps de cela, je suis en bonne santé plus que jamais de toute ma vie, plus en bonne santé. Je n’ai jamais pesé plus de cent trente-cinq livres [61,23 kg] de ma vie. Et maintenant, je pèse cent cinquante-cinq [70,30 kg]. Voyez? Et c’est parce que je–j’ai choisi Christ. Je Lui ai promis que je n’allais plus jamais ruiner comme cela, que j’allais... j’aimerais... Quand je serai fatigué et tout, j’aimerais quitter. Peu m’importait ce qui se passait dans les réunions, je me retirais à l’écart, au désert pour me reposer un peu (Voyez?) et puis retourner quelque part ailleurs.
Mais, sous la conduite et autre, là où on a ces itinéraires tracés, et vous avez... Ils obtiennent des auditoriums, certainement cela continue à vous pousser comme cela d’aller, pour garder cela à ce niveau-là. Ainsi, que Dieu vous bénisse.
14 J’aimerais dire un mot au sujet de... Quelqu’un nous l’a demandé, de bien vouloir parler du moment où notre–notre bébé est né. Madame Copp vient de me dire qu’elle vient de recevoir une lettre de ma chère petite femme à la maison. S’il y a quelqu’un dans la famille Branham qui mérite des éloges, c’est la–la... ma femme, madame Branham; c’est une aimable petite femme. J’aurais bien voulu l’amener avec moi, mais je ne le peux pas, l’enfant étant trop petite. Je suis allé la chercher pour l’amener ici. J’aimerais que vous fassiez connaissance avec elle. Un jour, à mon retour, j’espère être à mesure de l’amener. Seulement, elle est... (Merci. Merci. J’apprécie ça.) Et elle a trente ans, elle a pratiquement des cheveux grisonnants. Et il y a cinq ans, ses cheveux étaient noirs au possible. Mais rester au téléphone où parfois soixante appels de loin affluent par heure, jour et nuit, et à la porte où il y a ceci, cela, et (Oh! la la!), ça ne prendra pas beaucoup de temps avant que les choses changent.
Mais, ami, je dis ceci avec elle: nous regrettons seulement de n’avoir pas mille vies à vivre pour Celui qui a donné Sa Vie pour nous. C’est vrai. Le public, parfois... Vous avez votre cas personnel à traiter, mais quand ce cas, sous l’angle spirituel, vous avez le... littéralement des millions qui exercent une pression sur vous. Voyez là? Et là... C’est plus que ce que les gens pensent.
15 J’avais très sincèrement prié, un jour pendant que je lisais ma Bible, après mon retour d’outre-mer. Ma première femme était morte voilà plusieurs années. Nous avions vécu trois ans ensemble. Il nous était né deux petits enfants en famille. L’un d’eux est resté: il est là au fond de la salle maintenant, notre petit garçon. La petite fille est morte avec la mère.
Je suis resté célibataire pendant plusieurs années. Elle m’avait supplié à sa mort de ne jamais rester célibataire, mais de me trouver une bonne fille chrétienne qui prendrait soin des enfants, ne sachant pas que la petite enfant serait enterrée dans ses bras; mais elle est morte immédiatement après son... quelques heures après. Elle était en parfaite santé, au moment de son départ... J’ai vécu célibataire pendant plusieurs années. Puis, mon petit garçon est entré à l’école, je–je me suis remarié.
16 Et nous avons vécu ensemble pendant quatre ans et Dieu nous a donné encore un autre petit morceau de sucre... Ma petite fille, la petite Sharon qui m’avait été retirée, Il m’a donné une–une petite Rebecca. Et je l’aime de tout mon coeur, et je sens que c’est Dieu qui l’a envoyée. Elle est vraiment une image vivante de l’autre petite fille. Et puis, c’est comme si elle n’allait plus avoir des enfants. Quatre ans sont passés. Et quand je suis revenu d’outre-mer, j’étais en train de lire à Cleveland, dans l’Ohio, ou pas à Cleveland, mais je pense que c’était à Minneapolis, j’ai pris l’Ancien Testament, un sujet à lire. Et j’étais en train de lire sur Joseph. Et ce que Joseph avait fait, c’était exceptionnel pour moi, parmi tous les patriarches. Et je me suis agenouillé et j’ai demandé à notre Seigneur de bien vouloir nous donner un autre enfant si possible, qu’Il nous donne un petit garçon. Et je lui donnerai le nom de Joseph, s’Il me donnait un autre petit garçon.
Immédiatement, après cela, environ un mois, j’ai su que ma femme attendait famille. Et j’attendais impatiemment la venue d’un petit garçon: Joseph. Et quand il est né, ou à la naissance, j’ai dit ici au tabernacle... Vous aviez tous envoyé beaucoup de jolis cadeaux et des choses dont nous nous souviendrons toujours dans le coeur. Et je suis sûr que le Père céleste a tout enregistré là. Et je prie qu’Il vous bénisse.
17 Je voulais rentrer à la maison, aller rencontrer l’enfant, voir ce qui arriverait. Je voulais qu’il me remplace. Je voulais que quelqu’un me remplace, que je sache que le manteau serait sur mes enfants, si c’est possible. Et ça a toujours été une petite place là, si je pouvais juste presser... Je vois des choses en partie, mais je... C’est comme si je vis en étant juste dans un petit affluent d’un grand lac juste là. Et je me suis toujours dit, si je pouvais seulement aller au-delà d’un niveau, oh! la la! ... Et peut-être que je... mon passé est plein de péchés, comme je l’ai expliqué, que ma famille avant moi, ils étaient tous des pécheurs. Et j’ai grandi dans un foyer de pécheurs. Et alors, j’essayais de m’abstenir moi-même du péché à ce moment-là, autant que je savais le faire. Je pensais que peut-être Dieu permettrait à mes enfants de jouir de la bénédiction, de la pleine bénédiction. Et peut-être que mon petit garçon serait un prophète, à part entière, envoyé de Dieu. Je prie pour ça.
Quand je suis allé voir le petit enfant, comme il y avait là une infirmière de Mayo qui avait été guérie du cancer quelques années auparavant, elle avait été abandonnée à la mort, elle était notre infirmière... Quand on a amené le–l’enfant et... ou je suis allé le voir, au lieu que l’Esprit descende sur l’enfant, Il est redescendu de ce côté ici. Et je–je crois que c’est juste devant moi. Je... ce que j’ai demandé pour... je crois que Dieu a ça juste pour l’avenir. Je crois que je vivrai jusqu’à voir cela. Et c’est pourquoi je prie.
18 Mon petit garçon qui est avec nous maintenant (il aura bientôt seize ans), il était... il semblait être un bon garçon. Il a attiré mon attention. Et c’était un très aimable petit garçon. Mais je lui parlais de se faire baptiser et de faire une confession pour Christ en public. Il a mené une bonne vie et tout, le petit garçon. Mais environ une semaine après cela, je suis entré dans la maison, et il est venu sans que je lui demande quoi que ce soit, il a dit: «Papa, je veux devenir un chrétien. Je veux servir le Seigneur.» Mon Joseph était juste avec moi quand... et je ne le savais pas. Le petit enfant que je pensais être Joseph, c’était une petite fille, et je lui ai donné le nom de Sara. Je suis reconnaissant pour elle. Je l’aime de tout mon coeur.
J’ai un garçon et une fille. Quelque soit son genre, ça va. Mais je voulais tellement un–un–un garçon. Tant que je... Il peut devenir un ministre de l’Evangile. Et je crois que Dieu est en train d’appeler mon petit garçon là derrière, il va devenir un ministre de l’Evangile. Je... Merci. Merci. Voyant donc la sagesse de Dieu, eh bien, je comprends plus. Si vous demandez à Dieu, Dieu vous accordera le désir de votre coeur. Je ne crois pas que même si le petit enfant naissait qu’il atteindra l’âge de devenir un ministre, Jésus sera ici avant ce temps-là, je crois. Et Dieu a simplement placé cela sur mon petit garçon là derrière, et que... et nous vous remercions pour votre bonté et que Dieu vous bénisse.
19 Dernièrement... Eh bien, j’ai pris environ quinze minutes, ou vingt, là, en expliquant ces choses; ainsi, je vais donc essayer de sortir vraiment vite là, dans la prochaine heure. Comme je vous l’ai dit auparavant, et beaucoup parmi vous donc... quant à être un prédicateur, je ne le suis pas. Donc–donc, je... Oh! Je ne sais pas... Autrefois, je pensais que... Quand je venais d’être ordonné dans l’Eglise baptiste, oh! je portais la Bible dans la rue, et on m’appelait: «Révérend.» Oh! la la! J’étais un grand monsieur. Quand j’en suis arrivé à faire la connaissance de véritables prédicateurs là, je–j’ai plutôt conclu que je ne l’étais pas.
Vous savez, je vous ai parlé la fois passée de monter un cheval; vous rappelez-vous? Je crois que j’étais ici vers... Je pensais être un cow-boy une fois, lorsque je plaçais les graterons sous notre vieux cheval fatigué, je le montais et il pouvait... sur la selle, vous savez, et il ne faisait que brailler à quelques reprises. Et je pensais être un véritable cavalier. Mon père l’était, mais j’étais... je n’étais pas mon... je n’étais pas lui.
Ainsi donc, je suis allé une fois en Arizona, et je les ai vus vraiment chevaucher lors de l’un de ces rodéos. Et je suis allé pour devenir aussi un cavalier comme mon papa, mais quand je les ai vus chevaucher ces hors-la-loi, je–j’ai reconnu que je n’étais de loin pas un cow-boy. Ainsi... Je pensais être un prédicateur quand je venais d’être ordonné, mais quand je suis arrivé là où les prédicateurs prêchaient vraiment, j’ai arrêté de dire que j’étais quelque chose comme un prédicateur, parce que c’était un autre cas, peut-être «les graterons sous la selle.» Ainsi... Mais ce que je connais bien à ce sujet, j’aimerais le dire à quelqu’un d’autre. C’est vrai.
20 Parfois, dans des réunions comme celle-ci, juste avoir...?... me détendre et parler donc, oh! je prends un petit passage quelque part dans la Bible et je parle un petit peu là-dessus. Et j’allais demander à frère Kopp il y a quelques instants, ce sur quoi j’avais parlé la dernière fois que j’étais ici. Et je pense qu’il a dit que c’était un... c’était «Quatre moyens pour voir Dieu: Dieu dans Sa création, dans Son Fils et ainsi de suite comme cela.»
Et maintenant donc, cet après-midi, j’aimerais lire une Ecriture. Et probablement, certains d’entre vous étaient ici; j’ai lu ceci avant. J’allais parler sur: Venez voir un Homme. La femme au puits, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a tout dit.» Ce sera un peu long, je vais donc aborder la résurrection de Lazare ici, le Seigneur voulant, au chapitre 11, dans l’Evangile de saint Jean. Si vous suivez maintenant attentivement pendant que nous lisons et que nous commençons directement le service. Et priez pour moi, allez-vous le faire? Vous tous? Et ce soir, venez en croyant qu’il y aura une grande effusion, ce soir. J’aimerais voir un temps, dans cette réunion, où il ne restera plus un fauteuil roulant, ni une personne aveugle, ni qui que ce soit qui ne soit pas guéri, cela... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
21 Des réunions qui se tiennent partout dans la ville: Frère Freeman, et–et les autres frères et les soeurs qui tiennent... Et je prie que de cette réunion... Un frère de couleur est venu, il a dit: «Frère Branham, priez que Dieu m’envoie dans la moisson.» Un autre prédicateur est venu: «Priez que Dieu m’envoie...» Allez-y, frères, que Dieu vous bénisse. Allez simplement de l’avant. Ils sont simplement partout. Allez à toute vitesse. Il y a beaucoup, beaucoup de gens dans le besoin.
Et maintenant, hier soir, il y a eu trois ou quatre fauteuils roulants qui étaient donc vides. Et nous prions que Dieu guérisse chacun d’eux et qu’Il les rétablisse.
22 Le chapitre 11 de Saint Jean, suivez donc attentivement, à partir du verset 18 du chapitre 11 de Saint Jean. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend vient de la Parole. Est-ce vrai? Lisez la Parole. Eh bien, vous pouvez noter cela si vous aimeriez vous référer à cette Ecriture. Et je vais essayer de mon mieux, en veillant sur l’horloge, de sortir dans quarante, quarante-cinq, ou cinquante minutes, ou quelque part là si c’est possible. Maintenant, le verset 18, nous–nous commençons la lecture.
Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,
Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas... Dieu, Dieu te l’accordera. (J’aime ça, pas vous? «Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.»)
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera. (Quand ce genre de foi se manifeste, quelque chose doit se passer)
Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;
Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui... venir dans le monde.
23 Inclinons la tête juste un instant. Notre Père céleste, beaucoup d’années se sont écoulées depuis que ces Paroles ont été premièrement écrites, depuis que cette scène a eu lieu là dans un petit cimetière solitaire, là où deux soeurs bien-aimées, le coeur brisé, étaient en train de pleurer. Mais là, au-delà des larmes, il y avait une expression dans leur coeur, de croire que le Prophète de Dieu était sur terre, le Fils de Dieu, et Il était capable de leur donner le désir de leur coeur.
Et nous, cet après-midi, après plusieurs années, et ces choses sont écrites pour que nous puissions comprendre, nous croyions aussi que Dieu ne refusera aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité devant Lui. Il nous accordera le désir de notre coeur. Et Tu connais le désir de mon coeur cet après-midi. Tu connais le désir de chaque coeur dans cette salle cet après-midi.
Et Père, pendant que nous sommes ici dans cette campagne de guérison, si on devrait l’appeler ainsi, nous prions, ô Dieu, qu’en cette heure, pendant que je vais parler de la foi, je prie que la foi se meuve sur cette assistance et qu’il y ait une si grande réaction à cela que les boiteux sortiront du coup de leurs fauteuils et marcheront, que les aveugles jetteront leurs cannes, se lèveront et recouvreront leur vue; que les cancers disparaîtront; et que le péché quittera les pécheurs; que les rétrogrades se précipiteront à l’autel. Accorde-le, Seigneur. Et qu’il y ait donc une glorieuse heure jamais vue auparavant. Accorde-le, Père, car nous demandons ceci pour Ta gloire, au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus-Christ. Amen.
24 Le décor de notre scène, pour ce petit texte, s’il me fallait l’intituler, ce serait: Crois cela... Crois-tu cela?, pour cet après-midi.
Eh bien, donc, je... Voudriez-vous m’accorder toute votre attention juste pour quelques instants et prier pour moi?
Eh bien, du vivant de notre Maître, on en était arrivé à ce qu’Il fût devenu très populaire. Au départ, quand Il était ici, de par Ses premières déclarations, Il n’était pas très populaire. Mais lorsqu’on a commencé à voir les résultats visibles de Son ministère, ils étaient alors disposés à admettre qu’il y avait quelque chose à Son sujet, spécialement, les gens ordinaires L’écoutaient avec plaisir. Ils L’écoutent toujours avec plaisir.
25 Je n’ai jamais désiré être un riche. J’ai... je–je pense que Salomon, je pense, avait adressé à Dieu une prière du niveau le plus élevé que j’aie jamais entendu. Il a prié que Dieu ne fasse pas de lui un homme si riche qu’il oublierait Dieu, et néanmoins, qu’Il ne fasse pas de lui un homme si pauvre qu’il aurait à voler. Ainsi, juste les commodités de la vie, c’est ce que nous désirons. Est-ce vrai? Et c’est presque là que sont la plupart d’entre nous, je pense, très heureux et reconnaissants d’avoir cela.
Jésus habitait parmi les gens pauvres et humbles. Si vous Le remarquez quand Il a lancé l’appel, dans Son ministère, jamais Il–Il–jamais Il n’a appelé les–les riches. Il–Il a appelé les pauvres. Quand Il naquit, eh bien, jamais ils... les anges ne sont jamais allés chanter au temple, vers... chez Caïphe, le souverain sacrificateur et autres, et leur dire: «Ce soir, Il est né dans la ville de David, Christ le Sauveur.» Mais, là, les Anges sont descendus et ont salué, ou plutôt ont visité les bergers et les paysans, des gens pauvres.
26 Quand Il a appelé Ses disciples, Il n’est jamais allé chercher le sacrificateur instruit, dans les séminaires. Il est allé au bord de la rivière et Il a pris des pêcheurs, des paysans, des gens pauvres qui n’avaient rien. Afin que le–le monde puisse dire: «Eh bien, oui, ils sont devenus de grands hommes parce qu’ils ont une bonne formation. Ils avaient ceci...» Eux n’avaient pas du tout de formation, et Il les a simplement ramassés comme des joyaux dans la poussière de la terre et a rendu leurs noms immortels parmi les hommes aujourd’hui: Pierre, Jacques, Jean et autres, des pêcheurs, du genre humbles paysans.
Et je suis très content de ce que Dieu traite toujours avec des hommes pauvres et des hommes du peuple, en effet, nous n’avons pas beaucoup de biens de ce monde. Nous ne désirons pas les biens de ce monde. S’il y a quelque chose que nous devrions... que nous ne devrions pas désirer, c’est avoir beaucoup de ces choses. Avoir juste assez pour vivre, c’est tout.
27 Si j’avais peut-être accepté l’argent qui m’a été offert, je serais un homme riche indépendant. Mais aujourd’hui, à ce que je sache, j’ai cette vieille camionnette Chevrolet délabrée, là, vieille d’environ six ans, et une Pontiac, vieille d’environ trois ans, à bord de laquelle j’amène ma femme lorsque je la prends. Et les habits que nous portons et ce que nous avons à la maison, c’est tout ce que nous avons (C’est vrai.), tout ce que nous avons. Mais je préfère vivre comme cela et avoir la faveur de Dieu, plutôt que d’avoir la meilleure maison d’une vedette de cinéma là, située sur la colline de Hollywood. C’est vrai. C’est vrai. Je préférerais sentir dans mon coeur la Présence de Christ que je sens maintenant plutôt que de posséder les richesses de ce monde. C’est vrai. Je L’aime et Il est merveilleux.
28 Et Il est venu dans ce monde comme mon Modèle. Et Il est venu comme votre Modèle pour être... pour se contenter juste de ce que nous possédons.
Alors quand Il naquit dans le monde, Il eut un–un début difficile. Quand Il est né, Il est né dans une mangeoire, dans une grange. Pouvez-vous vous imaginer une naissance de ce genre? Il n’y a pas de naissance plus basse, je ne la connais pas, que de naître dans une mangeoire. Et avant même qu’Il ne vienne ici, on Lui avait collé le qualificatif d’un enfant illégitime, qu’Il était absolument un–un enfant illégitime; que Joseph était Son père et qu’Il allait naître hors du lien sacré du mariage, et qu’Il n’était rien d’autre que le fils de Joseph.
Eh bien, cela... Et vous savez, cette vieille malédiction subsiste jusqu’aujourd’hui. C’est ce que croient beaucoup de gens.
29 Eh bien, tenez, il n’y a pas longtemps, j’étais là sur les montagnes où je me retire un peu pour me reposer et chasser. J’étais là haut, et il y avait un–un homme, un cow-boy qui chevauchait à mes côtés, le propriétaire d’un ranch. Alors, j’ai fait connaissance, et il a dit... J’étais en train de chasser, et il a dit: «Eh bien, montez sur mon cheval ici, et chevauchons ensemble.»
Il a dit: «D’où venez-vous?»
Et j’ai dit: «De l’Indiana.» Il y a de cela quelques années.
Et il a dit: «Que faites-vous dans la vie?»
J’ai dit: «Je suis garde-chasse.»
Il a dit: «Eh bien, ils ne sont pas les bienvenus ici dans cette contrée.»
J’ai dit: «Eh bien, je suis ici... je...» Et il a dit... J’ai dit: «C’est ce que je fais comme... pour vivre, mais, ai-je dit, autre chose, je suis un prédicateur.»
Il m’a regardé et il a dit: «Un quoi?»
Et j’ai dit: «Un prédicateur.»
Il a dit: «Vous avez l’air trop intelligent pour cela.»
Et j’ai dit... J’ai dit: «Eh bien,...» J’ai dit: «Je vous assure...» J’ai dit: «Je–je–je pense que c’est un signe d’intelligence.»
Et alors, il a dit: «Oh!» a-t-il dit, vous ne croyez pas à cette histoire, n’est-ce pas?»
J’ai dit: «Si, si. Je crois cela de tout mon coeur.»
Il a dit: «Croyez-vous réellement qu’Il était... la naissance virginale, comme c’était dit?»
J’ai dit: «Oui, oui, je le crois vraiment.»
30 Eh bien, nous avons continué à en discuter longtemps, et il–il a dit: «Eh bien, cela ne peut pas être vrai, prédicateur.» Il a dit: «C’est contraire à toute... scientifique; c’est contraire... toute la science.» Il a dit: «Ça ne peut pas être vrai.» Il a dit: «Les arbres doivent être... ont le pollen, de l’un vers l’autre.» Il a dit: «Il doit en fait avoir un–un père littéral et une mère littérale avant d’avoir la naissance d’un enfant.»
Et j’ai dit: «Croyez-vous qu’il existe un Dieu?»
Il a dit: «Certainement pas.»
Et j’ai dit: «Oh!»
Il a dit: «C’est une histoire de père Noël.»
Et j’ai dit: «Oh! C’est ce que vous pensez, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Oui, oui.»
Et j’ai dit: «Eh bien, chaque homme...» J’ai dit: «C’est une bonne chose qu’on soit ici en Amérique: nous avons tous nos propres conceptions.» Mais, j’ai dit: «Pour moi, Il est plus que la vie.»
Et il–il m’a directement répondu, furieux, vous savez. Il a dit: «Vous savez donc, au fin fond de votre coeur, que c’est juste parce que vous le lisez dans la Bible.»
J’ai dit: «Non, non. Ça, c’est une raison. Mais une autre raison, la raison pour laquelle je sais qu’Il l’est, c’est qu’Il vit dans mon coeur.» J’ai dit: «Je sais qu’Il l’est.»
Il a dit: «Pouvez–pouvez-vous–pouvez-vous prouver qu’Il vit?»
J’ai dit: «Oui, oui.» J’ai dit: «Examinez ma vie et voyez ce que j’étais, et ce que je suis maintenant», et j’ai dit: «Cela prouve que quelque chose est arrivé.»
Il a dit: «Eh bien, c’est contraire...»
J’ai dit... J’ai dit: «Vous acceptez bien que cette femme... que Lui avait une mère terrestre, comme le dit la Bible?»
J’ai dit: «Oh! Oui. Il avait une mère terrestre.»
«Mais c’est donc impossible, pour un enfant de naître avec un père céleste, un Esprit, sans avoir un homme naturel.»
J’ai dit: «Oui, c’est vrai.»
J’ai dit: «Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Si c’est... S’Il... Si vous acceptez qu’Il avait une mère, et qu’Il ne pouvait pas avoir un–un Etre surnaturel comme Père, alors comment le premier homme est-il apparu ici sans père ni mère? Comment a-t-il donc... que ça soit un singe, un têtard, je ne sais comment vous voulez appeler cela, comment est-il apparu ici? Il a dû avoir un papa et une maman quelque part. N’est-ce pas vrai? Il a dû avoir...»
Il a continué, Il a avancé un peu plus loin, chevauchant. Et peu après, j’ai dit: «Pouvez-vous me répondre: D’où est venu le premier homme?»
31 Il a marché–il a effectué une petite distance, à cheval, et peu après, il a rabattu son grand chapeau sur ses yeux. Je ne savais pas ce qu’il faisait. J’ai regardé. Il a regardé de côté et il était en train de regarder vers les cimes de montagnes couvertes de neige. Nous étions là haut en train de chasser; des larmes lui coulaient sur les joues. Il m’a regardé droit en face, et il a dit: «Je lève ma tête vers les collines, d’où me vient le secours? Le secours me vient de l’Eternel.» Il est retourné sur son cheval, il m’a entouré de ses bras et il a dit: «Prédicateur, j’ai du respect pour vous.» Amen. Il a dit: «Beaucoup de prédicateurs sont venus ici, et m’ont dit...» Il a dit: «Je voulais trouver un homme qui croyait réellement que c’était vrai.»
J’ai dit: «Je crois cela de tout mon coeur.»
Nous sommes allés là chasser et nous avons dormi sur la neige. Et pendant la nuit, à la fin de la journée, nous avons été aux différents endroits, nous revenions... et il... Souvent, j’y vais en juin, parfois (Je n’irai pas cette année-ci.) donner du sel au bétail. Lors de rassemblements, on répand le sel et autre, je chevauche avec eux. Alors, lorsque nous faisons tous le tour la journée, alors la nuit, il tire son sac de camp juste à côté de moi. Et pendant que tout le monde dormait, il a étendu le bras, il a saisi ma main et il a dit: «Pasteur, a-t-il dit, n’est-Il pas merveilleux?» Amen. Oh! Alléluia! Oui, oui, frère. Il est toujours le Seigneur Jésus...
32 Vous connaissez, le printemps ici en Californie, maintenant. Je suis étonné ce matin d’entendre ces oiseaux, ces colombes là dehors, comment ils s’accouplent et arrangent leurs nids. Je pense que cet oiseau peut pondre tout un nid d’oeufs. Et peu importe combien elle peut couver ses oeufs et essayer de les garder au chaud, si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, ils n’écloront jamais; ils resteront là même et pourriront dans le nid. N’est-ce pas vrai? Et mes amis, c’est... Nous savons que le germe de vie vient du sexe mâle. Vous êtes la chair de votre mère, mais le sang vient de votre père: la vie vient du sexe mâle. Une poule peut pondre un oeuf, ou un oiseau, et il n’éclora pas. Je pense que c’est pratiquement ce que j’ai souvent dit, c’est ça le problème avec nos églises aujourd’hui: comme un–un vieux nid plein d’oeufs pourris qui n’ont jamais été en contact avec Jésus-Christ. Et c’est la raison pour laquelle ils ne font que lire, écrire, et faire l’arithmétique, et ne connaissent rien au sujet de Jésus-Christ. On ferait tout aussi mieux de vider le nid et reprendre. Ne le pensez-vous pas? Il est temps d’avoir une Eglise du Saint-Esprit à l’ancienne mode: quelqu’un qui a été en contact avec Dieu; qui a une expérience de la nouvelle naissance, au point qu’il peut prendre position pour ce qu’il sait être vrai. C’est vrai.
33 Ils ont dit, il y a quelque temps, certains d’entre eux ont dit quelque chose au sujet de Pierre le jour de la Pentecôte. Eh bien, écoutez. J’assiste à ces réunions du Saint-Esprit, ça fait maintenant cinq ans. Et Pierre a dit le jour de la Pentecôte, c’est ici ce qui.» Et si c’est ici n’est pas ce qui, je garderai c’est ici jusqu’à ce que ce qui vienne. Je vais vous l’assurer. Vous pouvez critiquer cela, dire ce que vous voulez, mais je crois que c’est le véritable baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode, juste exactement comme c’était le jour de la Pentecôte. Amen.
34 Oh! la la! Je peux voir notre Maître lorsqu’Il est arrivé avec cette noirceur derrière Lui et on disait qu’Il était un Enfant illégitime. Mais Dieu a envoyé un avertissement avant la Venue, toujours. Il a envoyé un homme du nom de–de Jean-Baptiste. Il était un grand précurseur de Jésus. Dieu envoie toujours un précurseur avant un grand événement. Chaque fois que vous voyez les anges venir sur la terre... Par exemple, peut-être l’Ange qui traite avec l’humble serviteur de Dieu ici. C’est un mineur, sans doute, l’Ange de la guérison, ou quelque chose comme cela. Ou l’Esprit d’un grand quelque chose qui–qui est ici, l’un des attributs de Dieu. Je ne sais pas Qui Il est.
Mais, quand vous entendez dire que Gabriel est venu sur la terre, alors, quelque chose est sur le point d’arriver. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus, et Il annoncera la Seconde Venue de Jésus. Gabriel, le grand Archange qui se tient dans la Présence de Sa Majesté... Comme c’est merveilleux!
35 Eh bien, je peux penser quand Zacharie... Dieu se mettant en ordre, apprêtant Son église... Zacharie, le grand souverain sacrificateur... ou plutôt le grand sacrificateur, il devait offrir le parfum. Il avait un foyer qui était consacré à Dieu.
Que Dieu nous accorde davantage de foyers comme cela. Oui, oui. Ils croyaient en Dieu et ils s’attendaient à Dieu. Et Elisabeth, sa femme, était stérile. Elle avait de loin dépassé l’âge donc, et elle était stérile. Et là... ils avaient prié pendant des années pour que Dieu leur donne des enfants, mais apparemment, Il n’avait pas accompli cela.
Parfois, Dieu s’abstient jusqu’au dernier moment, juste pour voir ce que vous ferez à ce sujet. Oh! la la! Je me sens plutôt religieux maintenant même. Je–je me sens vraiment religieux, quand je pense à Sa bonté, comment plusieurs fois Il retient cela jusqu’au dernier moment pour voir ce que vous ferez à ce sujet.
36 Là à Babylone, si je peux vous amener à faire un saut en arrière pendant une minute... Penser là-bas, comment les enfants hébreux, Il les a laissés entrer droit dans la fournaise ardente avant qu’Il manifeste donc une main. Est-ce vrai? Schadrac, Méschac et Abed-Nego, ils étaient là. Ils avaient résolu dans leurs coeurs de ne pas s’incliner devant la statue du roi. Et Il les a laissés en venir au dernier moment.
Observons cela juste un moment. C’est un peu en dehors de la leçon, mais écoutez: Dieu attendant le dernier moment. Sans doute, frère, ça fait longtemps que vous êtes dans ce fauteuil, mais peut-être que Dieu attend le dernier moment pour voir ce que vous ferez à ce sujet. Peut-être que vous aussi, vous assise là, soeur, peut-être qu’on attend le dernier moment. Peut-être que c’est ça.
37 Je peux voir Schadrac, Méschac et Abed-Nego dire: «Tu peux nous brûler. Tu peux faire ce que tu veux, mais nous nous en tiendrons ferme à ce qui est vrai.»
Et vous aujourd’hui, vous pouvez vous moquer de moi, me taxer de saint exalté, de tout ce que vous voulez, mais je tiendrai la main immuable de Dieu. S’Il a pu sortir quelqu’un du fauteuil roulant, s’Il peut rétablir le membre du congrès des Etats-Unis, de l’état d’estropié qui avait duré soixante-six ans à celui d’un homme bien portant, parfait, Il peut faire de même pour moi. Bien que cela tarde, cependant Cela parlera. La vision parlera; absolument. «Afin qu’on la lise couramment.»
38 Remarquez, alors quand on en arrive à cette heure critique, je peux voir le roi Nebucadnetsar (qui représente le monde) dire: «Eh bien, très bien, nous allons faire sortir d’eux cette religion en les brûlant.» Vous savez, il peut ne pas être appelé Nebucadnetsar aujourd’hui, mais il est toujours sur terre, son influence, la moquerie, «faire sortir cela en brûlant», la moquerie... Et il a dit: «Nous allons simplement les débarrasser de cette religion. Nous allons chauffer la fournaise sept fois plus qu’elle ne l’a jamais été.»
Je peux voir Schadrac, Méschac et Abed-Nego dans une réunion de prière, ils savaient que Dieu était capable. Les voilà effectuer la marche de la mort. Le jour suivant, le roi s’assit et dit: «Eh bien, nous allons voir ce qui va arriver. Quand nous placerons la chaleur sur eux, ils vont donc renier cela comme les autres.» Ne pensez-vous pas que le diable a à mettre la chaleur sur vous quand vous proclamez votre guérison, ou votre salut, ou le baptême du Saint-Esprit? Il placera la chaleur sur vous. Oui, il le fera.
39 Alors, lorsqu’ils sont arrivés à cette heure critique, montant la passerelle, pour ainsi dire, pour tomber dans cette fournaise qui était chauffée sept fois plus qu’elle ne l’avait jamais été... Remarquez, j’entends Schadrac dire: «Méschac, es-tu sûr d’avoir prié jusqu’à l’exaucement?»
Oh! la la! Tu ferais mieux d’en être sûr.
Il a dit: «Oui, j’ai prié jusqu’à l’exaucement.» Il l’a donc saisi par la main. Les voilà monter, monter jusqu’à la dernière marche.
Les gens ont commencé à s’évanouir suite à cette chaleur qui émanait de là, une chaleur intense de la fonderie. Ou on les a poussés là-dedans, ou plutôt dans cette fournaise, avec ces lances... C’est comme si Dieu avait abandonné et avait tourné le dos à Son peuple: Pas de réponse à la prière, ni rien. Ils s’évanouissaient, tombaient malades, titubaient en montant, ils sont entrés dans la fournaise tout en restant fermes sur leur conviction: «Dieu peut nous délivrer de cette fournaise ardente, sinon...», allant droit de l’avant et la chaleur dessus. Amen.
40 C’était le cas avec le membre du Congrès. Vous avez dit: «Ne lâchez pas prise.» Très bien, restez juste là. «Dieu peut nous délivrer de cette fournaise ardente.» Encore quelques marches, je peux voir Schadrac regarder Abed-Nego, pour voir la dernière fois avant qu’ils entrent dans la fournaise. Cela avait l’air bien sombre, n’est-ce pas, le tableau que je suis en train de peindre?
Tournons maintenant notre caméra. Amen. Chaque fois qu’il se passe quelque chose ici bas, il se passe quelque chose là-haut au même moment. Amen. Nous ne regardons que du côté terrestre. Mais regardons là-haut. Oh! la la! Je peux Le voir assis là, dans Sa Majesté. Oh! la la! Ses habits royaux, sacerdotaux pendaient autour de Lui; Il était assis là. Je peux voir un grand ange s’avancer. Croyez-vous que Dieu a des anges au Ciel? Ils sont sous Ses ordres. Est-ce vrai?
41 Je peux voir l’un d’eux s’avancer; il s’appelle Absinthe. Il est l’ange qui a le pouvoir sur toutes les eaux. Je peux le voir arriver en vitesse, venir rapidement à côté du Trône et dire: «Maître, as-Tu regardé en bas, là en bas? Eh bien, on est sur le point de consumer les trois croyants fidèles.»
Je peux entendre le Maître dire: «Oui, Absinthe, j’ai veillé sur eux toute la nuit.» Frère, Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Je sais qu’Il voit tout ce qui se passe ici même maintenant. Il sait. Même pas un passereau ne peut tomber dans les rues.
J’entends Absinthe dire: «Jadis, lors de la destruction antédiluvienne, Tu m’avais donné l’autorité et j’avais ouvert toutes les fontaines.» Vous savez, Absinthe dans... avait là le contrôle des eaux. Il a dit: «J’avais tout détruit par l’eau. Permets-moi de descendre ce matin et je vais effacer Babylone de la face de la terre avec l’eau.» Je crois qu’il pouvait le faire.
Tu dis: «Eh bien, je te dis... Tu peux...»
«Je ne peux pas te permettre de partir.»
42 Voici venir un autre ange. Qui est-il? Voyons, peut-être que c’est Micaël. Représentons-nous que c’est Micaël, le grand Ange qui se tient dans la Présence de Dieu. Je peux le voir dégainer Son épée et dire: «Maître, regarde là en bas. Un pas de plus et la mort est juste devant eux! Les as-tu considérés?»
«Oui.»
«Permets-moi de descendre là; nous verrons qui est le patron quand nous arriverons là en bas.» Je crois qu’il pouvait le faire, n’est-ce pas?
Je peux L’entendre dire: «Micaël, tu M’as obéi depuis le jour où Je t’ai créé, mais Je ne peux pas te laisser partir parce que J’y vais Moi-même. Ça, c’est un travail pour l’homme.» Oh! la la! Je peux Le voir se lever de Son Trône, Ses robes pendant autour de Lui, marchant là et Il dit...Là loin au nord, je peux voir un grand cumulo-nimbus blanc; je peux L’entendre dire: «Viens ici.» Amen. Tout au ciel Lui obéit, mais l’homme pense connaître plus que Dieu (Vous voyez?), il ne peut donc pas lui obéir.
43 Je peux Le voir dire: «Viens ici, vent de l’est, du nord, du sud, et de l’ouest. Passez en dessous de ce cumulo-nimbus; Je vais vous monter comme des chevaux ce matin.» Il a pris ce grand cumulo-nimbus, Il est monté dessus comme sur un char, Il a tendu la main, Il a saisi l’éclair en zigzag dans les cieux et Il l’a fait briller dans le ciel. Le roi Nebucadnetsar pouvait entendre cela en bas sur la terre. Et vers ce moment-là, Il est passé à côté de la mer de la Vie et a arraché un rameau. Dès qu’ils ont effectué leur dernier pas pour entrer dans la fournaise ardente, il y en avait Un là semblable au Fils de Dieu, qui se tenait là en train d’éventer toutes les brises comme cela, en leur parlant de leur futur. Je vous assure, Il est Dieu aujourd’hui. Il connaît toutes choses.
44 Il a les anges sous Son pouvoir. Comme Il savait que Son Fils allait venir sur la terre, Il a dit: «Maintenant, écoutez: il y a un homme de bien là sur terre, du nom de Zacharie. J’aimerais que tu descendes, que tu te tiennes à ses côtés et que tu lui parles.» Et je peux voir Zacharie entrer maintenant. Il est là au–au temple et il est en train de faire des mouvements devant l’autel, il est en train d’offrir le parfum. Les gens dans l’assemblée priaient. Et quand il s’est retourné, Gabriel se tenait là (Oh! la la!), debout à ses côtés, il a dit: «Ne crains point, Zacharie.» Alléluia. C’est la Parole: «Ne crains point.»
Ayez foi en Dieu, tenez ferme à cela, Dieu le fera. Eh bien, je ne suis pas excité, je me sens simplement un peu bien. Voyez? Remarquez, je fais un peu trop de bruit, mais je ne veux rien dire avec ça. Si vous éprouviez le même sentiment que moi, peut-être que vous feriez aussi du bruit.
Ecoutez. Très bien. Je peux prouver que tout ce qui n’a pas d’émotion est mort. Si donc votre religion n’a pas d’émotion, enterrez-la quelque part et recevez celle qui a la vie en elle. Amen. C’est vrai.
45 Maintenant, remarquez. Je peux l’entendre dire maintenant: «...?... Quand tu rentreras chez toi après ces jours, ton... ce service ici, tu rentreras chez toi, et ta femme enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jean.» Maintenant, remarquez, cet homme qui avait lu la Bible plusieurs fois, et qui avait prié et tout pour que Dieu lui donne des enfants... «Comment est-ce possible?»
Et il a dit: «Parce que tu n’as pas cru à ma parole... Je suis Gabriel. Mes paroles s’accompliront en leur temps.» Alléluia! Oh! Quand Il prononce cela... Quand Il envoie du Ciel un ange ordonné, cela doit s’accomplir. Amen.
Il a dit: «Je suis Gabriel. Et parce que tu n’as pas cru à ma parole, tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant. Ma parole s’accomplira de toute façon.» Amen.
Très bien. Et quand il est sorti, il a fait signe aux gens, il est rentré chez lui après les jours du sacerdoce et sa femme a conçu. Maintenant, écoutez, il aurait dû croire cela: Il y a eu Sara, Anne et beaucoup d’exemples dans la Bible qui prouvaient que cela était arrivé avant, mais il n’a pas cru cela pour son cas personnel.
46 Maintenant, à vous qui êtes ici sur des fauteuils roulants, si ces gens ici hier soir sont sortis des fauteuils roulants; si cet homme est sorti du lit d’estropiés, et autres, après toutes ces années, il en est de même pour vous. Amen.
Très bien. Remarquez, il était là. Il est rentré chez lui. Et quelques jours après, sa femme a conçu. Et quand elle était vers son sixième mois, quelque chose comme cela, alors Dieu a renvoyé Gabriel. Amen. Le voici venir. Je vois une pauvre petite fille qui habitait là à Nazareth, juste le... issue d’une pauvre petite famille modeste, et son nom était Marie. Elle avait environ dix-huit ans. Elle était fiancée à un homme qui était marié avant, qui avait des enfants.
Et le voici venir. Elle est en train de marcher. Peut-être que c’est un jour de lessive. Elle transportait de l’eau sur la tête peut-être. C’est la coutume orientale de transporter de l’eau du puits. Et tout d’un coup, une grande Lumière éclatante a brillé devant elle. Et là, dans cette Lumière éclatante se tenait Gabriel, l’ange de Dieu. Il a dit: «Je te salue, Marie. Tu es bénie parmi les femmes. Tu as trouvé grâce devant Dieu. Et tu donneras naissance à un enfant, sans connaître d’homme. Et Il sera appelé le Fils de Dieu.»
47 Ecoutez, le sacrificateur avait douté de la parole de Gabriel. Mais Marie... Et il avait quelque chose sur base duquel croire, que cela était arrivé avant ce temps-là. Mais Marie n’avait rien. Jamais un enfant n’était né sans être... eh bien, comme homme et femme. Mais elle allait avoir un Enfant par le Saint-Esprit. Et plutôt que de douter de lui, elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Alléluia! Oh! C’est ce dont nous avons besoin, c’est davantage de Marie. Prendre Dieu au Mot.
Elle n’avait pas attendu de sentir la vie; elle s’est aussitôt mise alors à témoigner qu’elle aurait un Enfant. Alléluia! Aussitôt que la Parole de Dieu entre dans votre coeur, levez-vous, donnez un témoignage, et... «Alléluia!» C’est ça. Quand Dieu prend le Saint-Esprit, vous apporte cette Parole et La vivifie pour vous, Elle devient une réalité que votre foi... Levez-vous et proclamez cela. Vous n’avez pas à sentir quelque chose, à voir quelque chose, ou rien; vous devez croire quelque chose. Amen. Je ne dis pas amen à moi-même, mais cela veut dire: «Ainsi soit-il.»
48 Très bien. Observez ceci. Le voilà. Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Elle L’a pris au Mot et elle a commencé à se réjouir. Elle a dû témoigner à ce sujet. Et aussitôt qu’une véritable et authentique foi chrétienne s’ancre dans le coeur d’une personne, qu’elle soit clouée dans un fauteuil roulant, aveugle, quoi que ce soit, elle va témoigner de cela. C’est vrai: «Je suis guéri.»
«Comment savez-vous que vous êtes guéri?»
«Jésus l’a dit et je le crois.» Vous y êtes. Oui.
Oh! J’aimerais jeter cela au visage du diable. Quand Il s’est tenu là chez Mayo... Les Mayo, ce groupe de médecins autour de moi, ils ont dit: «Révérend Branham, ça en est fini de toi.»
Jésus a dit: «Je te guérirai.» Alléluia! Je L’ai pris au Mot. Oui. Le diable me hait; je sais qu’il me hait. Mais Christ m’aime, parce qu’Il m’a racheté. Très bien. Oui, j’aime le lui repousser chaque fois que j’en ai l’occasion. Il a dit: «Vous ne vous sentez pas mieux qu’auparavant.» Lorsque je suis sorti, je suis sorti de là, j’ai dit: «Mon vieux, si tu veux m’entendre louer Dieu, reste là. Tu m’entendras.» Oui, oui. Je veux Le louer jusqu’à ce que la mort me libère. Oui, oui. Que cela soit petit, grand, où que ce soit, Il est digne de toute louange et de toute gloire.
49 Oh! la la! Il était là. Il L’a pris au Mot. Elle a commencé à en parler aux gens. Elle a entendu... L’ange lui avait parlé de sa cousine. Marie et Elisabeth étaient des cousines. Et elle est donc sortie de... allée en Judée chez sa cousine Elisabeth, pour lui annoncer la grande nouvelle et apprécier la visite de l’ange chez Zacharie. Elle a dit: «Elle est maintenant à son sixième mois, celle qui était appelée stérile.»
Je peux donc voir Marie longer le chemin, remplie simplement de joie (Il n’y avait nulle part de signe de vie, rien du tout.). Elle avait la promesse. C’est tout ce dont elle avait besoin. Gloire. Elle a dit: «Oh!...» J’aurais bien voulu que vous voyiez cela. La promesse, c’est tout ce dont vous avez besoin.
50 Quand j’ai parlé à un évêque baptiste, un surveillant, le surveillant général de la conférence, il a dit: «Révérend Branham, n’avez-vous pas honte de faire de telle déclaration?»
J’ai dit: «Non, non.»
«Vous pensez que vous...»
J’ai dit: «Je peux, car Christ l’a promis.» Alléluia. Elle est mienne. Je crois cela. Christ est mort afin que je puisse avoir ce privilège. Et aujourd’hui, je me tiens toujours là-dessus. Alléluia! Oui, oui. Elle est mienne, car Il me l’a donnée. Il est mort et Il a envoyé le Saint-Esprit pour me persuader de prendre cela. Et elle est mienne et elle est vôtre. Chaque bénédiction rédemptrice de la Bible vous appartient. Alléluia!
51 Très bien. Je la vois donc monter là, et Elisabeth, sa cousine, la voit venir. Elle est très heureuse. Et voici sortir Elisabeth à sa rencontre. Oh! la la! Elle l’entoure de ses bras, l’étreint et dit: «Oh! Je suis très heureuse...» et ainsi de suite, comme cela.
A leur époque, ils avaient l’amour les uns envers les autres. Nous avons perdu cela aujourd’hui. C’est vrai. Il n’y a plus d’amour parmi les gens, ou à peine, à moins que ce soit les saints de Dieu. Eh bien, autrefois là dans la ferme, là, si nous étions à court d’argent, nous pouvions aller chez le voisin emprunter cinquante dollars, peut-être, jusqu’à ce que nous moissonnions... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Alléluia.
52 La Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il était un Homme. Quand Il est descendu de la montagne ce soir-là, affamé, Il cherchait quelque chose à manger dans un figuier. Il était un Homme quand Il avait faim. Mais quand Il a pris cinq petits pains et qu’Il a nourri cinq mille personnes, Il était Dieu. Alléluia! C’est vrai.
Il était un Homme quand Il était étendu sur la poupe de la barque cette nuit-là, très fatigué, après avoir guéri les malades, la vertu était sortie de Lui, par conséquent, Il dormait si profondément que les vagues ne L’avaient pas réveillé. La mer houleuse, dix mille démons juraient de Le noyer cette nuit-là. Il était un Homme quand cette vieille barque ressemblait à un bouchon de liège sur la mer. Il était un Homme quand Il était étendu là, endormi. Mais quand Il s’est réveillé, qu’Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a dit: «Silence, tais-toi», Il était plus qu’un homme quand Il a calmé les mers houleuses et qu’Il a dispersé les vagues. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était le Divin Fils de Dieu. Alléluia! Il était un Homme quand Il implorait la miséricorde à la croix. C’est vrai. Il est mort comme un homme, implorant la miséricorde, la croix, mais quand Il est ressuscita le matin de Pâques, Il a prouvé qu’Il était Dieu. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
53 Chaque poète qui ait jamais abouti à quelque chose, tout homme qui ait abouti à quelque chose, a cru en Lui, a eu foi en Lui comme étant Dieu. Quelqu’un a dit: Vivant, Il m’aima, mourant, Il me sauva;Enseveli, Il emporta mes péchés au loin; Ressuscitant, Il me justifia, gratuitement pour toujours; Un jour, Il viendra. Oh! quel jour glorieux!
Que pensez-vous de Lui, Eddie Perronet? Alors qu’il était là en prison, on se moquait de lui, il a écrit avec un stylo, quand le Saint-Esprit l’a touché. Il a dit:
Acclamez tous la puissance du Nom de Jésus!
Que les anges se prosternent;
Apportez le diadème royal,
Et couronnez-Le Seigneur de tous.
Aveugle Fanny Crosby, que pensez-vous de Lui? Elle a dit:
Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri,
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.
Toi la Fontaine de mon réconfort,
Plus que vie pour moi,
Qui d’autre sur terre ai-je à part Toi?
Ou qui au Ciel ai-je à part Toi?
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]
54 Alléluia! La Bible déclare: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Crois-tu cela? Il est Dieu. Crois-tu cela? Il est le Fils de Dieu. Crois-tu cela? Il est ici maintenant. Crois-tu cela? C’est Lui qui a ressuscité Lazare de la tombe. Il est le même Grand Dieu Jéhovah. Levons-nous et acceptons-Le.
Oh! Dieu Tout-Puissant, envoie Tes miséricordes, Seigneur. Nous croyons en Toi de tout notre coeur. Ô Maître de la Vie, déverse maintenant sur cette assemblée le pardon de nos péchés. Guéris tous les malades et les affligés. Tire gloire de ce service, Père. Accorde-le, Seigneur.
Il est ici maintenant pour sauver. Crois-tu cela? C’est Lui qui se meut maintenant sur votre coeur. Crois-tu cela? Il m’a envoyé ici prier pour vous. Crois-tu cela? Un Ange m’a rencontré il n’y a pas longtemps, Il a dit que si j’étais sincère en priant, rien ne résisterait à la prière. Crois-tu cela?
Croyez-vous cela? Acceptez-Le maintenant même comme votre Guérisseur. Levez-vous et soyez guéris. Que chaque personne dans Ta divine Présence... Alléluia...?...
E-1 ...?... Thank you. My, he shouldn't have said that. Now, to you dear strangers, he was just making--trying to make me feel a little more encouraged to stand up here; that was all. I don't even claim to be a preacher. I--I just like to get around where there is preachers and I... Mine is praying for the sick.
And I'm happy to be here this afternoon to--to see this audience, and to feel the Spirit of the Lord here, and to enjoying those blessings since last evening. I was noticing in the last evening service, those cripples and setting in those wheelchairs, how that they got up, walked out of those wheelchairs. And I... Now, they're not here; I don't see a one of them this--this afternoon, not a one that was there as I see, knowingly. But I notice one thing: just the ones that was dealt with the longest was the first one'd got up (Did you notice that?), the very first ones that got up. And there's something about it that I don't understand. And since last night I been praying to wonder what that...Why? Why would that? So you pray with me that God will make it known.
E-2 Now, I thank you all so much for the missionary offering for this afternoon. If our Lord tarries and permits me, I want to go over to Africa, and then we come back to--to India, and from there to Jerusalem to--in this next missionary tour. And my heart is bleeding for all those countries. Sister Hall was saying; she said, "None of that for me, over way in there," said, "I don't think I..."
I said, "Fleshly speaking, I--I don't desire it, but there's something back there that's making me go (See?), just--just making me go." And with the love for those who need Christ, I want to go.
E-3 I got a--a book from Africa not long ago and it's the colored man, old, he said, "White man, white man, where was your father?" He said, "Here, I'm old, and dull at mind, and I've just now learned of Jesus. If I would've knowed Him earlier, I could took Him to my tribes."
And I thought, "Well, I won't have to answer for my father's generation, but I will have to answer for mine, for what I do." And under the difficults that I have to labor under, and so forth, I want to do all that I can for our Lord, all that I can.
E-4 As far as I know of in human life, I only have...Thanking God as far as health and everything, knowing that I was once a blind man and--and--or so blind they had to lead me around... And my eyes sight's twenty-twenty now.
And so I--I was once real sick: I couldn't eat nothing and stomach trouble so bad. And I'm healthy and happy, can eat anything. There's only one thing that bothers me, as I know of. And there's none of us perfect; we know that. And that is, the meetings, when they carry a little long, it puts such a mental, nervous strain on me, because you're just on the point at any moment. See, in my meetings there's setting hundreds, sometimes in big meetings where is many thousands gather, of critics that would--just trying their best to find one thing to talk about. And I'm conscious of that when that's coming against me. Then the Holy Spirit moving down to be able to know what's wrong with the people... And I know that He knows all things. And that... Under a few minutes under that (Oh, my.), it'll take more off of you than you could hit with a sledge hammer and--and rock pile for two days straight without even laying down, resting.
E-5 You know, according to modern science that speaking, ministers, who just speaking to an audience of people, takes more strength for them in twenty minutes of speaking than eight hours in physical labor. That's what a--a tear down. Now, multiply that by about one hundred and you get some conception of what it is. And so that's the thing that I desire all you dear Christian people to pray for me that God will somehow... I don't know. I once wondered how He could--how He got tired, and being the Son of God, but I know now what it is. It's a... It isn't a--it isn't a physical stain. It's a more or less, I'd say, a mental strain: nerve and mental. See, it--it moves over you and you're just at the age, coming in the meeting... Not this afternoon, but at night time...
E-6 There's sets one out there, maybe out... Maybe here sits a poor person with a cancer, setting there. Just one word will do the work.
Here come a minister up, a few moments ago, setting over here; an aged man had had a growth on his lips. He told me he'd been preaching, I believe, nearly forty years, and--a Pentecostal preacher for forty years. And said I told him all about his conditions in a line somewhere, and God taken that thing off his mouth. And there he sets. You see? And a... and I thought, "That man was preaching the Gospel 'fore I was borned."
E-7 And here, come up here... Now just one word here, the Congressman, Mr. Upshaw from the Congress of the United States, setting here. Invalid for sixty-six years and me standing here under inspiration and seen a vision when the man had just been brought in: of where he was, and what he done, and what happened. And here he is today, walking around like the rest of us. See? That set under things for years...
And last evening, I watched that woman laying there that was bound with arthritis. I was told when they brought her in, taken three men to bring her in there, she was--how she was, and how that...There she's...After dealing with her a little while, going down there and laying hands on her, she got up.
E-8 Here set a woman in a wheelchair: her feet hanging down and such a condition there. And I--I talked to her. And while speaking to her, the Holy Spirit begin to reveal to her. And--and I said, "Now, in a few moments when I go to the platform, now if I look down at you, I want you to obey what I tell you. And when I got to the platform, up she got out of the wheelchair. There she was...?...
Oh, well, now, those things is what makes a... Did you know that most all poets and--and prophets, and so forth, are considered neurotics? Did you know that? You--you don't believe that, but I'm going to... I'll prove it to you.
E-9 There's a land somewhere that the human person... And one out of every ten thousand Christians knows no more about but just by faith to believe about it. But there's a place that a human being, while yet in here, can be lifted up into that spot. Now, it is not a rejoicing time like you just lifted up in joy. I seen much joy, not enough real solid faith to cure a toothache. You see? That's the joy of the Lord, not the power of the Lord. See? I--I want more joy of the Lord. That's what I desire. And that's what you have need of.
But, not long ago, Stephen Foster... My little son's setting in the back of the building, it's--was his favorite poet. Many of you know Stephen Foster, know of him: He was--gave America some of its best folksongs it ever had. Now he was considered a neurotic. And he'd...When he wrote, "The Old Kentucky Home"... "My Old Kentucky Home..." that's just a little ways from--from where I live now and just about seventy miles from where I was born. And two--'bout two summers ago I visited "The Old Kentucky Home" for my first time.
And I was setting at--at the bench or the desk where he wrote that song. (And it's world famous.) And I was looking at his picture and where the seraphim, the angel was supposed to have touched him to give him inspiration to write it. The guide and so forth had done left out of the room. I was setting there, and I thought, "Mr. Foster, you look like a very intelligent looking man." I thought, "Why? What made you do what you did?"
Now, he would write a song and he had it in his mind. But after he'd get through writing a song, coming down out of that inspiration, he'd get drunk: go out on a drunk. And finally, he got to such a place till he called a servant, ordered a razor, and committed suicide, cut his throat: Stephen Foster.
E-10 Not long ago, I stood by the side of William Cowper's grave. He wrote,
There is a fountain filled with blood,
Drawn from Emmanuel's veins.
And sinners plunge beneath the flood
Lose all their guilty stains.
In London, England... And I stood there by his grave, and I laid my hand over on the tombstone, and I thought, "God rest your gallant soul." I thought, "Mr. Cowper, why were you considered a neurotic?" You know, after he wrote that song, "There is a fountain filled with blood, Drawn from Emmanuel's vein," he came out of that inspiration and got--went down to the--to a cab--tried to find the river to commit suicide, to drown himself in the river. William Cowper; that's his history right there by his grave.
Then I remembered the prophet Jonah, how that he was going down to Ninevah, take him a ship to Tarshish. And the inspiration of God fell upon him, and he went down and gave his prophecy before Ninevah where God sent him. And they even put sackcloth on the cattle on the hills. And God spared that great city. And such inspiration... Then went up and set down under a gourd, or a tree, and prayed for God to take his life. Is that right?
E-11 And I thought of Elijah, who went out there and set by the brook Cherith, and was fed by the ravens. And he closed the heavens that it wouldn't rain. Then he opened up the heavens and brought down water, brought fire out of heaven the same day, and then when the inspiration left him (by the threat of a woman), run out into the wilderness and prayed for God to let him die. Is that right? Now, I could go on and on, but what is it, friends? Men who are--are brought under such tremendous inspiration of another land... You go out of this world, somewhere else, way up. And then when you're--when you're up there it's all right. Or when you're down, it's all right. But when you come in between there... Now, as long as the inspiration was on them, they were all right. But when the inspiration leaves, that what hurts.
E-12 Now here, not long ago, standing in meetings and finding so many people desiring... And I just stayed for discernment, so much, and one meeting right after the other, not having no interv--just--just constantly... And for eight months I couldn't get up or down. I stayed right in between there. You know the time it was, when they rushed me everywhere. Even to the Mayo's clinic said, "There's not a earthly chance for him." That's right. See? Now, when it's...You're up or down. When you get down, why you're seem to be all right, when you're up... But in between there, that's what hurts.
And now, what does this all say? It all says this, friend: that there's a land beyond the river somewhere, way yonder, somewhere, that we're going to. It's heavenly there. So we do not understand those things, but misunderstood, but we try to do the best that we can for the imbetterment of human beings by Jesus Christ, while we have time to work.
E-13 And I desire your prayers for me that I will maintain the strength. Since the time of that, I have been healthier than I ever was in all my life, more healthier. I never weighed over a hundred and thirty-five pounds in my life. And I weigh a hundred and fifty-five now. See? And because that I--I took Christ. I promised Him that I'd never abuse myself anymore like that, that I would... I'd... When I got tired and so forth, I'd leave. I didn't care what the meeting was doing, I'd come apart into the wilderness and rest awhile (See?) and then go out again somewhere.
But under management and so forth, where they've got these itineraries made up, and you have they get the auditoriums, it just certainly keeps you pushing like that to go, to keep it up. So God bless you.
E-14 One word I want to say about... Someone asked us about if I would speak the time that our--our baby was born. Mrs. Copp just told me she'd just received a letter from my dear little wife at home. If there's anybody at the Branham family that deserves credit it's the--the--my wife, Mrs. Branham; she's a lovely little character. I wished I could've brought her with me, but I can't because the baby was too young. I went for her to bring her here. I want you to meet her. Sometime on my return I hope to be able to bring her. She's only... (Thank you. Thank you. I appreciate that.) And she's thirty years old and almost white-gray. And five years ago, her hair was as black as it could be. But you set at the phone where sometimes sixty long distant calls an hour, day and night, and at the door where this, that, and (Oh, my.), it won't take it long till things will change.
But, friend, I say this with her: we're only sorry that we haven't got a thousand lives to give for Him Who gave His life for us. That's right. The public, sometime... You have your individual case to deal with, but when this case, in the spirit line, you've got the--literally millions pulling to you. See there? And there... It's more than what people think it is.
E-15 I had prayed so earnestly, reading in my Bible one day, after I come back from overseas. My first wife died many years ago. We lived together three years. Two little children was born in our family. One of them remains: is at the back of the building now, our little boy. The little girl died with the mother.
I was single for several years: her begging me at her death, "never to live single, but to get some good Christian girl who would take care of the children," not knowing that the baby'd be buried in her arms; but it died immediately after her--few hours. Which was perfectly healthy at the time of her going... I lived single for several years. Then my little boy entered school, I--I got married again.
E-16 And we lived together four years and God gave back a--the little--little lump of sugar... My little girl, little Sharon that was taken from me, He gave me a--a little Rebecca. And I love her with all my heart and I feel that God sent her. She's a very living image of the other little girl. And then, seemed like she was going to have no more children. Four more years have passed. And when I come back from overseas, I was reading in Cleveland, Ohio, or not Cleveland, but I believe it was Minneapolis, taking the Old Testament, a subject to read. And I was reading of Joseph. And he just outstands to me, Joseph does, of all the patriarchs. And I got down on my knees, and I asked our Lord if He would give us another child: possible, give us a little boy. And I would name him Joseph, if He would give me another little boy.
Immediately, after that, about a month or so, I knew my wife was to be mother. I looked forward for the coming of a little boy: Joseph. And when he was born, or to be born, I said, here at the tabernacle...You all sent so many nice presents and things which will always be remembered in our hearts. And I'm sure the heavenly Father has a record of everything up there. And I pray that He'll bless you.
E-17 And I wanted to go home to go to meet the child, to see what would happen. I wanted him to take my place. I wanted someone to take my place, that I would know that the mantle would be on my children, if it could. And it's always been a little place out there, if I could just press over... I see things in part, but I... It just seems like I'm just living a little tributary to a great lake just beyond. And I always thought if I could just get past that one place, oh, my... And maybe I... My background's being so sinful, as I explained, that my people were all sinners before me, and I was raised in a sinful home. And then, trying to keep myself from sin at that time, as much as I knew how, I thought maybe God would let my children come into the blessing, the full blessing. And maybe my little boy would fully be a prophet sent from God; I pray to that.
When I went to meet the little baby, as a nurse from Mayo's had been healed of a cancer a few years ago, given up to die, she was our nurse. When the--the baby was brought and--or come to meet it, instead of the Spirit falling to the baby, it fell back this a way again. And I--I believe it's just ahead of me. I-- what I've ask for is, I believe that God has it just ahead. I believe I'll live to see it. And that's what I pray for.
E-18 My little boy which is with us now, soon be sixteen years old, he was... He seemed to be a good boy. He minded me, and was very lovely little fellow. But I talked to him about being baptized and making his public confession of Christ. He lived good and everything, the little fellow. But about a week after that, I walked into the house, and he come without me asking him anything, said, "Daddy, I want to be a Christian; I want to serve the Lord." My Joseph was right with me when--and I didn't know it. The little baby that I thought would be Joseph is a little girl and I called her "Sarah." I'm thankful for her. I love her with all my heart.
I had a boy and a girl; either which way it went would be all right. But I so wanted a--a--a boy. As far as so I--he could be a minister of the Gospel. And I believe that God is calling my little boy back there, going be minister of the Gospel. I... Thank you. Thank you. Seeing the wisdom of God, now, I more understand. If you ask God, God will give you the desire of your heart. I don't believe if the little baby would've been born to have come up to the age to be a minister, Jesus will be here before that time, I believe. And God just throwed it over on my little boy back there and that--and we thank you for your kindness and God bless you.
E-19 Last time...Now, I've taken about fifteen minutes, or twenty, there, in explaining those things, so I'll try to get out real quick now, in the next hour. As I've told you before, and many of you people now... As a preacher, I am not. I--I just... Oh, I don't know... I used to think that... When I was first ordained in the Baptist Church, oh, I'd carry the Bible down the street, and they call me, "Reverend." My, I was a big fellow. When I got to meet some real right down preachers, I--I kinda decided I wasn't.
You know I told you about riding the horse, you remember the last time? I believe I was here about... I thought I was a cowboy at one time, when I'd put cockleburrs under our old tired horse and get up on him and he would--on the saddle, you know, and he'd just bawl a few times. And I thought I was a real rider. My father was, but I was--wasn't my--wasn't he.
So then, I went to Arizona one time and I seen them really ride in one of those rodeos. And I went out to be a rider too like my dad, but when I seen them riding them outlaws, I--I knew I wasn't no cowboy by a long ways. So... I thought I was a preacher when I first ordained, but when I got around where some preachers could really preach, I quit saying I was anything about a preacher, because it was another case of maybe "the cockleburrs under the saddle." So... But what I do know of it, I like to tell it to someone else. That's right.
E-20 Sometimes, in the meeting this way, just to have...?... relax myself and speak to then, oh, I take a little old text somewhere in the Bible and speak on it a little bit. And I was going, ask Brother Copp awhile ago, what was that I spoke on the last time I was here. And I think he said it was a--it was, "Four Ways of Seeing God: God in His creation, and in His Son, and so forth like that."
And so now, this afternoon, I want to--to read some Scripture. And probably some of you has been here; I've read this before. I was going to speak on, "Come and See a Man." The woman at the well, she said, "Come, see a Man that told me all things." Kinda lengthy, so I'm going over to the resurrection of Lazarus here, if the Lord willing, at the eleventh chapter of St. John, in the Gospel. If you'll listen closely now while we read, and go right straight into the service. And you pray for me, will you? all of you? And tonight, come out believing there's going to be a great outpouring tonight. I want to see the time in this meeting that there will not be one wheelchair, or blind person, or anything left that isn't healed, that... [Blank.spot.on.tape.--Ed.]
E-21 Meetings that's going on around the city: Brother Freeman, and--and the other brethren and sisters whose holding... And I pray, out of this meeting... Some colored Brother came, said, "Brother Branham, pray that God will send me into the harvest." Another minister come, "Pray that God will send me..." Go, brethren, God bless you. Just go right on out. They're just everywhere. Dash out. There's a many, many peoples in need.
And now last night, there's been three or four wheelchairs been made empty now. And we pray that God will heal everyone of them and make them well.
E-22 Eleventh chapter of St. John, listen closely now, beginning about the eighteenth verse of the eleventh chapter of St. John. Faith cometh by hearing, and hearing of the Word. Is that right? Read the Word. Now, you can mark it if you'd like to refer back to this Scripture. And I'll try my best, watching the clock, to be out within forty minutes or forty-five, fifty minutes, somewhere along there if possible. Now, the eighteenth verse, we--we begin reading.
Now Bethany was nigh unto Jerusalem, about fifteen furlongs off:
And many of the Jews came to Martha and Mary, to comfort them concerning their brother.
When Martha, as soon as she had heard that Jesus was coming, went and met him: but Mary set still in the house.
Then said Martha unto Jesus, Lord, if thou hadst been here, my brother had not died.
But I know, that even now, whatsoever thou wilt ask... God, God will give it thee. (I like that, don't you? "Even now, whatever You ask God, God will do it. No matter what's happened, what You ask God now, God will do it.")
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again. (When that kind of faith comes, something has to happen.)
Martha saith unto him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last day.
Jesus said unto her, I am the resurrection, and the life, he that believeth in me, though he were dead, yet shall he live.
And whosoever liveth and believeth in me shall never die. Believest thou this?
She said unto him, Yea, Lord: I believe that thou art the Christ, the Son of God, which... come into the world.
E-23 Let's bow our heads just a moment. Our heavenly Father, many years has passed since these words were first written, since this scene took place down there in a lonely little graveyard, where two broken hearted sisters and loved ones weeping. But way down beyond the tears, there was an expression in their heart to believe that God's Prophet stood on the earth, the Son of God, and was able to deliver to them the desire of their heart.
And we, this afternoon, after many years, and these things are written that we might understand, we too believe that God will withhold no good thing from them that walk upright before Him. He'll give us the desire of our heart. And You know my desire this afternoon. You know the desire on every heart in this building this afternoon.
And Father, while we're here in this healing campaign, if it should be called such, we pray, God, that in this hour while I'm to speak on faith, I pray that faith will move over this audience and there'll be such a great response to it, that the cripples will just get right up out of their chairs and walk out; the blinds will throw down their canes and raise up and receive their sight; cancers will vanish; and sin will fly from the sinners; backsliders will rush to the altar. Grant it, Lord. And may there be such a great hour now, like we've never seen before. Grant it, Father, because we ask this for Your glory, in the Name of Your beloved Child Jesus Christ. Amen.
E-24 Our setting of the scene for this little text, if I would say it'd would be, "Believe This... Believest Thou This?" for this afternoon.
Now, I just...Will you give me your undivided attention just for a few moments, and pray for me?
Now, during the time of our Master's life, this had come to the place to where He had become very popular. When He was first here, in His first claims, He was not very popular. But when they begin to see the physical results of His ministry, then they were willing to--to admit that there was something about Him, especially the common people, they heard Him gladly. They still hear Him gladly.
E-25 I've never desired to be rich. I've... I--I believe Solomon, I believe, had the most level prayer to God that I ever heard. He prayed that God wouldn't make him so rich that he would forget God, and yet, not to make him so poor that he would have to steal. So just the comforts of life is what we desire. Is that right? And that's about where the most of us stand, I guess, and very fortunate and thankful to have that.
Jesus dwelt amongst the poor and the humble. If you'll notice Him in calling His ministry, He--He never--He never called the--the rich; He--He called the poor. When He was born, why, they never--the angels never went down and sang in the temple, about--to Caiphasis and the high priest and those, and told them about, "There's born tonight, in the city of David, Christ the Saviour." But there, the angels came down and give this salutation, or the visitation, rather, to the shepherds and peasants, the poor people.
E-26 When He called His disciples, He never went and got the educated priest out of the seminaries. He went down on the river and got fishermen, peasants, poor people that they would have nothing. That the--the world could say, "Why, yes, they become great men because they had a great background. They had this...." They had no backgrounds at all, and He just picked them up like jewels out of the dirt and made their names immortal among men today: Peter, James, John, and so forth, fishermen of lowly peasant-type people.
And I'm so glad that God still deals with poor people and common people, for we don't have much of this world's goods. We don't desire this world's goods. If there's anything that we ought to--not to desire is too much of these things: just enough to live by, that's all.
E-27 If I'd probably taken the money that had been offered me, I'd be an independent rich man. But today, as far as I know, I own this old backslidden Chevrolet truck, out here, about six years old, and a Pontiac about three years old, that I take my wife along in when I take her. And the clothes that we have on and what we have at home, that's all we own (That's right.), everything that we have. But I'd rather live like that and have favor with God, than have the best movie star home there is setting on Hollywood hill over here. That's right. That's right. I'd rather feel in my heart the Presence of Christ that I feel now, than to have the riches of this world. That's right. I love Him and He's Wonderful.
E-28 And He came to this world as my example. And He came as your example to be--to just be content with such as we have.
And when He was borned in the world, He had a--a hard start. When He was born, He was borned in a manger in a barn. Could you imagine a birth of that type? No lower birth could be, I don't expect, than to be born in a manger. And before He even got here, it was tacked onto Him of being a illegitimate child, that He was absolutely a--an illegitimate child; that Joseph was his father and he was going to be born out of holy wedlock, and that was not nothing but just Joseph's boy.
Now, that... And you know, that old curse hasn't left today. Many people actually believe that.
E-29 Why, here not long ago, I was up in the mountains where I go for a little retreat to rest and hunt. And I was up there, and there's a--a man, a cowboy riding along with me, the rancher. And I'd met him, and he said... I was hunting, and he said, "Well, get on my horse here, ride along."
He said, "Where you from?"
And I said, "Indiana." That's been a few years ago.
And he said, "What do you do for a living?"
I said, "I'm a game warden."
He said, "Well, they're not welcome in this country."
I said, "Well, I'm here... I..." And he said... I said, "That's what I do as--to make a living," but I said, "otherwise, I'm a preacher."
He looked and said, "A what?"
And I said, "A preacher."
Said, "You look too intelligent for that."
And I said... I said, "Well,..." I said, "I tell you..." I said, "I--I--I think that's a mark of intelligence."
And so he said..."Oh," he said, "you don't believe that story, do you?"
I said, "Yes, sir. I believe it with all of my heart."
He said, "Do you really believe that He was--the virgin birth, as it was said?"
I said, "Yes, sir, I really believe it."
E-30 Well, we went arguing along about it for a long time, and he--he said, "Why, that couldn't be so, preacher." He said, "That's against all scientific... It's against... All science." says, "it can't be so." Said, "Trees has to be--have pollen, one to another." Said, "They have to actual be a--a literally a father and mother before a baby could be born."
And I said, "Do you believe that there's a God?"
He said, "Certainly not."
And I said, "Oh..."
He said, "That's a Santa Claus story."
And I said, "Oh, you think so, do you?"
And he said, "Yes, sir."
And I said, "Well, every man..." I said, "Good thing this is America: we all have our own ideas," but I said, "for me He's more than life."
And he--he just got right back at me, fiery, you know. He said, "You know now, right down to the bottom of your heart, that's just because you read it in the Bible."
I said, "No, sir. That's one reason. But the next reason, the reason I know He is: He lives in my heart." I said, "I know that He is."
He said, "Could--could you--could you prove that He lives?"
I said, "Yes, sir." I said, "Go back over my life and see what I was, and what I am now," and I said, "There proves that something has happened."
He said, "Well, it's against..."
Said... I said, "You will admit that that woman, that He had an earthly mother, as the Bible said?"
Said, "Oh, yes. He had a earthly mother."
"But it's impossible now, for a child to be born with a heavenly father, a Spirit, without being a natural man."
Said, "Yes, that's right."
I said, "Well, I want to ask you something. If that's... If He... If you'll admit He had a mother, and He couldn't have a--a supernatural being for a father, then how did the first man get here without father or mother? How'd he ever get... Let him be monkey, tadpole, whatever you want to call him, how did he get here? He had to have a pappy and mammy from somewhere. Isn't that right? He had to have..."
He walked on--went on a little farther, riding along. And after while, I said, "Can you answer me where the first man come from?"
E-31 He walked--rode on a little piece, and after while he pulled his big hat down over his eyes. I didn't know what he was doing. I looked. He looked sideways and was looking towards them snow peaked mountains. We were up there hunting; the tears was dropping off his cheeks. He looked right at me, and said, "I lift up my head unto the hills, from whence cometh my help? My help cometh from the Lord." He rode back there with his horse and put his arms around me, said, "Preacher, I got respects for you." Amen. He said, "There's been a lot of preachers up here that come and tell me..." Said, "I wanted to find one man that really believed it was so."
I said, "I believe it with all my heart."
We go up there hunting and we sleep out on the snow. And at night time, after the day is over, we've been different places, coming in... And he... I usually go up in June, sometime (I won't this year.) and salting the cattle. When the rounds--they're putting out the salt and things, I ride right with them. Then when we all round through the daytime, then at night he pulls his camp bag right up next to me. And everybody gets asleep, and he reached over and got my hand; he said, "Parson," said, "Isn't He wonderful?" Amen. Oh, hallelujah. Yes, sir, brother. He's still the Lord Jesus...
E-32 You know, springtime here in California now. I'm amazed of a morning to hear those birds and doves out there, how they're mating and fixing their nests. And I just think that bird could lay a whole nest full of eggs. And no matter how much she would hover them eggs and try to keep them warm, if she hasn't been with the male bird, they'll never hatch; they'll lay right there and rot in the nest. Isn't that right? And friends, that's... We know that the germ of life comes from the male sex. You're your mother's flesh, but your father's blood: life comes from the male sex. A hen can lay an egg, or a bird, and it won't hatch.
I think that's just about what that I said, a lot of times, the matter with our churches today: like a--an old nest full of rotten eggs that ain't never been with Jesus Christ. And that's the reason they just got it reading, writing, and 'rithmetic, don't know nothing about Jesus Christ. Might as well dump the nest out and start over again. Don't you think so? Time to get an old fashioned Holy Ghost church: somebody that's been in contact with God; got a borned again experience, till they can stand for what they know that's right. That's right.
E-33 Said, awhile ago, some of them said something about Peter on the day of Pentecost. Well, listen. I've been along these Holy Ghost meetings now for some five years. And Peter said on the day of Pentecost, "This is that." And if this ain't that, I'm going to keep this till that comes. I'll tell you that. You can criticize it, say what you want to, but I believe it's the real old fashion baptism of the Holy Ghost just exactly like it was on the day of Pentecost. Amen.
E-34 Oh my, I can see our Master when He come with that blackness behind Him and saying: that He was an illegitimate child. But God sent a warning always before the coming. He sent a man by the name of--of John the Baptist. He was a great forerunner of Jesus. God always sends a forerunning before some great event. Whenever you see angels will come to the earth... For instance, maybe the Angel that deals with God's humble servant here. That's a minor, no doubt, Angel of healing, or something. Or the Spirit of some great something that's--that's here, one of God's attributes. I do not know Who He is.
But when you hear of Gabriel coming to the earth, something's going to happen then. Gabriel announced the first coming of Jesus, and He will announce the second coming of Jesus. Gabriel, the great Archangel Who stands in the Presence of His Majesty... How marvelous.
E-35 Now, I could think of when Zacharias... God setting Hisself in order, getting His church ready... Zacharias, the great high priest--or great priest, rather, he was to burn incense. He had a home that was consecrated to God.
God give us some more homes like that. Yes, sir. They believe God and waited on God. And Elizabeth, his wife, was barren. She was way past the age now, and she was barren. And down--had pray for years for God to give them children, but seemingly, He had not done it.
Sometimes God holds off to the very last moment, just to see what you will do about it. Oh, my. I feel kindly religious right now. I--I really do, when I think of His goodness, how that many times that He holds it right off to the last moment to see what you'll do about it.
E-36 Down in Babylon, if I can you jump back for a minute...Thinking down there, that how that the Hebrew children, He let them get right up to step off into the fiery furnace before He ever showed a hand. Is that right? Shadrach, Meshach, and Abednego, there they was. They had purposed in their heart that they wouldn't bow down to the king's image. And He let them come right up to the last moment.
Let's just look at that just for a moment. It's a little off the lesson, but let's look: God waiting to the last moment. No doubt, brother, you've been in that chair a long time, but God may be waiting till the last moment, see what you're going to do about it. Maybe you setting there too, sister, it may be just waiting till the last moment. Maybe this is it.
E-37 I can see Shadrach, Meshach, and Abednego say, "You can burn us. You can do what you want to, but we're going to hold fast to that what's right.
And you today, you can make fun of me, call me holy roller, whatever you want to, but I'll hold to God's unchanging hand. If He could bring one from a wheelchair, if He can bring the Congressman of the United States, from a cripple from sixty-six years, to a perfect, well man, He can do me the same way. Though it linger, yet will it speak. The vision will speak; it has to. "He that readeth, let him run."
E-38 Notice, then when it come down to that great hour, I can see king Nebuchadnezzar (representing the world) saying, "Well, all right, we'll just burn some of that religion out of them." You know, that he may not be called Nebuchadnezzar today, but he's still in the earth, his influence, the laugh, "Burn it out." Mockery... And said, "We'll just take some of that religion out of them. We'll heat the furnace seven times hotter than it ever was het."
And I can see Shadrach, Meshach, and Abednego in a prayer meeting, knowing God was able. There they go on the death march. The next day the king sets up and says, "Now we'll see what takes place. When we put the heat on them, they'll deny it then, like the rest of them." And don't you think the devil ain't here to put the heat on you when you claim your healing, or salvation, or the baptism of the Holy Ghost? He'll throw the heat to you. Yes, he will.
E-39 Then when they got at that great hour, walking up the gangplank, as it was, to drop off into this furnace, seven times hotter than it ever was het... Notice, I hear Shadrach say, "Meshach, you're sure you prayed through?" Oh, my. You better know it.
He say, "Yes, I prayed through." Take a hold of hands then. Here they go walking on up, up to the very next to the last step.
Men begin to get fainty from that hot heat coming out of there, the intense heat of the foundry. Or push them on up into there, or this furnace, rather, with these spears... Looks like God has just forsaken and turned His back upon His people, no answer to prayer, no nothing. Fainty, sickly, staggering right on up, going into the furnace standing firm on their conviction: "God is able to deliver us from this fiery furnace, but nevertheless..." Going right on, and the heat's on. Amen.
E-40 That's the way it was, Congressman. You said, "Don't give up." All right, stay right there. "God is able to deliver us from this fiery furnace." Just a few more steps, I can see Shadrach look at--at Abednego, to see the last time before they step into the furnace. Looks like pretty dark, doesn't it, the picture I'm painting?
Let's turn our camera now. Amen. All the time there's something going on down here, there's something going on up there at the same time. Amen. We only look to the earthly side. But let's look up there. My, I can see Him setting there in His majesty (Oh, my.), His kingly, priestly garments hanging around Him, setting there. I can see a great Angel coming up. You believe God's got angels in heaven? They're at His command. Is that right?
E-41 I can see one of them come up; he's called Wormwood. He's the angel over all the waters. I can see him rustle up, quick up beside of the throne and say, "Master, have You looked down, down there? Why, they're fixing to burn up three faithful believers."
I can hear the Master say, "Yes, Wormwood, I've watched them all night long." Brother, His eye is on the sparrow, and I know He watches me. I know He sees everything that's going on right here now. He knows. Not even a sparrow could fall in the streets.
I hear Wormwood say, "Back in the antediluvian destruction, You give me the authority and I broke up all the fountains." You know Wormwood in--up there has control of the waters. He said, "I've washed the whole thing off. Let me go down this morning and I'll wash Babylon off the face of the earth." I believe he could've done it.
You say, "Well, I tell you... You can..."
"I can't let you go."
E-42 Here comes another angel. Who's he? Let's see, maybe He's Michael. Let's think He's Michael, the great Angel that stands in the Presence of God. I can see him draw His sword and say, "Master, look down there. One more step and death's right before them! Have You considered them?"
"Yes."
"Let me go down there; we'll see who's boss when we get down there." I believe He could've done it, don't you?
I can hear Him say, "Michael, you have obeyed Me since the day that I created you, but I can't let you go because I'm going Myself. This is a Man-sized job." My, my. I can see Him rise up from His seat; His robes drop 'round Him; walk out there and say... Way back over there in the north, I can see a great big white thunderhead; I can hear Him say, "Come here." Amen. Everything in the heaven obeys Him, but man thinks he knows more than He does (You see?), so he can't obey Him.
E-43 I can see Him say, "Come here, East wind, North, South, and West. Get under this thunderhead; I'm going to drive you like horses this morning." He'd takes that big thunderhead, step out on it like a chariot, reach up and get ahold of a zigzag lightnings out of the skies and crack it across the sky. King Nebuchadnezzar could hear it down on the earth down there. And about that time He passed by the sea of life and picked off a palm. When they made their last step into the fiery furnace there was One like the Son of God, standing there fanning away the--all the breezes like that; talking over the future for them. I tell you; He's God today. He knows all things.
E-44 He has angels in charge. When He knew His Son was coming to the earth, He said, "Now look, there's a good man down there by the name of Zacharias. I want you to go down and stand by him, and I want you to speak to him." And I can see Zacharias go in now. He's down at--at the temple, and he's making his wave here before the altar, burning incense. The people in the congregation was praying. And as he turned, there stood Gabriel (Oh, my.) standing by his side, said, "Zacharias, fear not!" Hallelujah. That's the Word: "Fear not."
You got faith in God, stand pat, God will do it. Now, I'm not excited, I just feel a little good. See? Notice, I get a little noisy, but I don't mean nothing by it. If you felt like I did, you'd be noisy too maybe.
Look. All right. I can prove anything without emotion is dead. So your religion hasn't got any emotion about it, bury it somewhere and get one that's got some life in it. Amen. That's right.
E-45 Now, notice. I can hear him say now, "...?... when you go home after the days, your--this administration here, you're going home, and your wife is going to bring a child, and you'll call his name John. Now notice, that man who had read the Bible over and over, prayed and so forth for God to give him children... "How could these things be?"
And he said, "Because you have doubted my word... I'm Gabriel. My words will be fulfilled in their season." Hallelujah. Oh, when He speaks it...When He sends an ordained angel out of heaven, it has to come to pass. Amen.
Said, "I'm Gabriel. And because you've doubted my word, you'll be dumb till the day the baby's born. My word'll be fulfilled anyhow." Amen.
All right. And when he come out and beckoned to the people, he went home after the days of the ministration, and his wife conceived. Now look, he ought to have believed it: there was Sarah and Hannah and many examples in the Bible that showed it had been before, but he doubted it in his individual case.
E-46 Now, to you people here in a wheelchair, if those people here last night walked from a wheelchair; if this man from a crippled bed, and so forth for all those years, it's so in your case. Amen.
All right. Notice, there he was. He went home. And after the days his wife conceived. And at the point she was about six months, along something like that, then God sent Gabriel back again. Amen. Here he come. I see a little old girl living down there in Nazareth, just the--out of a poor humble family (And her name was Mary.), about eighteen years old, engaged to a man that had been married before, had some children.
And here they come along. She's walking. Maybe it's wash day. She's got the water on her head. Maybe it's Oriental type packing water from the well. And all at once a big bright light flashed before her. And there in the bright light stood Gabriel, the Angel of God. Said, "Hail, Mary. Blessed art thou among women. You've found favor with God. And you're going to have a child, knowing no man. And He'll be called the Son of God."
E-47 Look, the priest doubted Gabriel's word. But Mary... And he had something to believe that'd happened before that time; but Mary didn't have nothing: never a baby had been born without being, well, like man and wife. But she was going to have a baby by the Holy Spirit. And instead of doubting him, she said, "Behold, the handsmaid of the Lord. Be it unto me according to Thy Word." Hallelujah. Oh, that's what we need is some more Marys. Take God at His Word.
She didn't wait till she felt life; she started right then testifying she was going to have a baby. Hallelujah. As soon as God's Word sinks in your heart, get up and give a testimony, and... "Hallelujah." That's it. When God takes the Holy Spirit and brings that Word to you and makes It alive to you, a reality that your faith, stand up and claim it. You don't have to feel nothing, see nothing, or nothing; you have to believe something. Amen. I'm not amening myself, but it means "so be it."
E-48 All right. Watch this. There He is. She said, "Behold, the handsmaid of the Lord. Be it unto me according to Thy word." She took Him at his Word and begin to rejoice. She had to testify about it. And as soon as real genuine Christian faith anchors in a person's heart, let them be bound in a wheelchair, blind, whatever it is, they'll tell it. That's right: "I'm healed."
"How do you know you are?"
"Jesus said so and I believe it." There you are. Yes.
Oh, I like to throw that in the devil's face. When he stood there at Mayo's... The Mayo's, them group of doctors around me said, "Reverend Branham, you're finished."
Jesus said, "I'll heal you." Hallelujah. I took Him at His Word. Yes. He hates me; I know he does. But Christ loves me, 'cause He redeemed me. All right. Yes, I like to push it back at him every time I get a chance. He said, "You don't feel any better than you ever felt. When I come out come out of there, I said, "Old boy, if you want to hear me praise God, stick around. You'll hear me." Yes, sir. I mean to praise Him till death shall set me free. Yes, sir. Let it be little, big, wherever it is, He's worthy of all praise and glory.
E-49 Oh, my. There He was. Took Him at His Word. She started telling people about it. She heard... The angel told her about her cousin. Mary and Elizabeth were cousins. And so she went up out of--to Judaean to her cousin Elizabeth, to tell her the great news and to appreciate the angel's visit to Zacharias. She said, "Now, it's six months with one who was called barren."
So I can see Mary going along the road, just full of happiness (No sign of life nowhere, nothing at all.). She had the promise. That's all she needed. Glory. Said, "Oh..." I wish you could see it. The promise is all you need.
E-50 When I spoke to a Baptist bishop, overseer, general overseer of the conference, he said, "Reverend Branham, aren't you ashamed to make such statements as that?"
I said, "No, sir."
"You think that you..."
I said, "I can, for Christ promised it." Hallelujah. It's mine, I believe in it. Christ died that I could have that privilege. And today I stand still on it. Hallelujah. Yes, sir. Mine because He gave it to me. He died and He sent the Holy Ghost to persuade me to take it. And it's mine and it's yours. Every redemptive blessing of the Bible belongs to you. Hallelujah.
E-51 All right. I see her go up there now, and Elizabeth, her cousin sees her coming. She's so happy along. And here comes Elizabeth out to meet her. Oh, my. She puts her arms around her, and hugs her, and says, "Oh, I'm so happy..." and so forth, like that.
They had love for one another in them days. We lost that now. That's right. There's no more love among people hardly, 'less it's the saints of God. Why, used to be down on the farm, down there, if we run out of money, we could go over to the neighbor and borrow fifty dollars, maybe, till we harvest... [Blank.spot.on.tape--Ed.] Hallelujah.
E-52 The Bible said, "Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. He was a man. When He come down off the mountain that night, hungry, and He was looking for some to eat around a fig tree. He was a man when He was hungry. But when He took five biscuits and fed five thousand, He was God. Hallelujah. That's right.
He was a man when He was laying there on the back of that boat that night, so tired from healing the sick and the virtue going out of Him, till He was so sleepy till the waves didn't wake Him up. The sea, angry, ten thousands devils swore they would drown Him that night. He was a man when that little old boat, like a bottle stopper jumped about on the sea. He was a man when He was laying there asleep. But when He rose, put His foot on the brail of the boat, said, "Peace, be still." He was more than a man when He stopped the roaring seas and parted the waves. God was in Christ, reconciling the world to Himself. He was the Divine Son of God. Hallelujah. He was a man when He cried for mercy at the cross. That's right. He died like a man, crying for mercy, the cross, but when He rose on Easter morning, He proved He was God. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-53 Every poet that's ever mounted to anything, any man that ever mounted to a hill of beans, believed in Him, had faith in Him as being Divine. One said,
Living He loved me, Dying He saved me;
Buried, He carried my sins far away;
Rising, He justified, freely, forever;
Someday He's coming, O glorious day.
What do you think about Him, Eddie Perronett? When he was there in prison they were making fun of him, he wrote with a pen when the Holy Ghost touched him. He said,
All hail the power of Jesus' name!
Let angels prostrate fall;
Bring forth the royal diadem,
And crown Him Lord of all.
Blind Fanny Crosby, what do you think about Him? She said,
Pass me not, O gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on others, Thou art calling,
Do not pass me by.
Thou, the stream of all my comfort,
More than life to me,
Whom have I on earth beside Thee?
Or Whom in heaven but Thee?"
[Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-54 Hallelujah. The Bible said, Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. [Blank.spot.on.tape--Ed.] Believest thou this? He's Divine. Believest thou this? He's the Son of God. Believest thou this? He's here now. Believest thou this? He's the One that's made Lazarus come from the grave. He's the same great Jehovah God. Let's stand and accept Him.
O, Almighty God, send Your mercies, Lord. We believe You with all of our heart. O Master of life, pour upon this congregation now forgiveness us of sin. Heal all the sick and the afflicted. Get glory out of this service, Father. Grant it, Lord.
He's here now to save. Believest thou this? This is Him now that's moving on your heart. Believest thou this? He sent me here to pray for you. Believest thou this? An Angel met me not long ago, said if I'd be sincere when I prayed, nothing should stand before the prayer. Believest thou this? Do you believe it? Accept Him right now as your Healer. Stand up on your feet and be made well.
Every person that's in Your Divine presence... Hallelujah...?...