Montre-Nous Le Père Et Cela Nous Suffit
1 Bonsoir. Je suis très heureux, comme d’habitude, d’être ici. Cela me réjouit toujours de venir et–et servir les malades et les nécessiteux. Dieu sait que le monde est vraiment dans le besoin.
Eh bien, ce soir, alors que nous prêcherons, frère Gordon me disait l’autre jour, il disait... Je me suis un peu rafraîchi et, ce soir, je parle un peu ?
Prochain... Demain après-midi, ça sera La–l’Histoire de ma vie. Et j’espère, si vous le voulez, si vous venez demain, si possible, j’ai programmé cela pour l’après-midi, afin que cela ne dérange les réunions de personne, des réunions évangéliques. Si vous pouvez venir l’après-midi, ce sera très, très bien.
Et puis, demain soir, j’espère que le Seigneur nous accordera un service de guérison extraordinaire, demain soir. Ce sera...
2 La semaine prochaine, on m’a demandé de continuer un peu, ce que je vais tâcher de faire de mon mieux. C’est très rare pour nous de prolonger donc de trois à cinq soirées de réunion là. Et cette fois-ci, j’essaie de rester un peu longtemps, car c’est très difficile de prendre le–prendre le... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Que Dieu bénisse tout le monde. Et j’aime vraiment les petits enfants. Elle est passée par là. Que Dieu bénisse son petit coeur.
Oui, chérie. Elle a mal aux yeux, n’est-ce pas, mère ? Elle est aussi extrêmement nerveuse, n’est-ce pas ? N’est-ce pas vrai ? Vous souffrez du dos ; n’est-ce pas vrai ? Oui, madame. Eh bien, alors, croyez ce que je vous dis ; allez-vous le faire ? Rentrez chez vous en témoignant que vous êtes guérie, et aussi au sujet de votre fille, et tout ira bien pour vous, si vous le croyez. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Maintenant, la douce petite créature est passée en agitant sa petite main. Eh bien, j’aime vraiment les petits enfants de tout...
Eh bien, ne... Ne doutez de rien, soeur. Eh bien, c’est... Vous savez que je vous suis un parfait inconnu, et je ne vous connais pas, je ne sais rien à votre sujet. Mais croyez-moi si ce que je vous ai dit est la vérité, et Dieu... Allez de l’avant et témoignez simplement, dites que vous êtes guérie, et tout sera terminé. Votre enfant se rétablira, et tout ira bien.
3 Maintenant, j’aimerais que vous vous rappeliez que demain soir... Que tout le monde tâche d’être là demain soir pour le service de guérison. Et la semaine prochaine, notre...
La raison pour laquelle nous avons renvoyé à plus tard beaucoup de cartes, c’est pour essayer d’avoir un endroit où... Nos réunions sont généralement pleines de beaucoup–beaucoup de milliers de gens. Mais il n’y a pas eu trop de gens dans les réunions.
Et je pense que si seulement nous prenons la semaine prochaine, nous n’aurons pas de cartes de prière, nous prierons simplement pour tout le monde, nous les laisserons passer et nous prierons pour eux. Et–et je crois qu’on en a suffisamment parlé et qu’on a vu des choses qui se sont produites dans d’autres réunions, au point que je–j’essaie de trouver un moyen... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Quelque chose que Dieu peut donner à chacun de... vous savez, guérir tout le monde. C’est ce que j’aimerais voir.
4 On me disait qu’il y avait ici quelqu’un pendant beaucoup, beaucoup de temps dans d’autres réunions, qui n’a jamais pu entrer dans la ligne de prière. C’est ce dont je cherche à m’acquitter. Atteindre tout aussi vite que possible un niveau où nous pourrons prier pour tout le monde.
Les signes et les prodiges sont glorieux. Et je crois quand même, j’ai essayé cela à Kuopio et à divers endroits. Et c’était bien magnifique. Mais en Amérique, je n’ai pas encore vu ce temps arriver. J’ai cherché à trouver la volonté de Dieu, découvrir ce que Dieu veut que je fasse. Et puis, je désire toujours marcher dans Sa volonté parfaite autant que possible. Tout ce que je–je sais qui peut être fait pour–pour aider.
5 Eh bien, tout le monde, soyez respectueux, croyez de tout votre coeur. Et maintenant, j’aimerais remercier certains des bien-aimés qui... Une certaine dame, je... Elle peut ne pas être ici même. Il y a quelques jours, elle m’a acheté des habits. (Mon petit garçon parle ici.) Cette femme, une dame un peu pauvre, c’était en ordre. J’ai–j’ai regardé ces habits, et je–je les ai appréciés, au point que je–je ne savais que faire. Tout le monde me donne n’importe quoi, j’apprécie cela simplement des millions de fois plus que si c’est moi-même qui avais acheté.
J’étais... j’aimerais simplement remercier cette dame-là, si elle est ici quelque part, et que Dieu la bénisse et lui accorde le désir de son coeur. Et j’apprécie...
Quelqu’un m’a envoyé hier un paquet de mouchoirs et d’autres choses. Et j’apprécie cela. Dieu sait que je ne porterai pas ces habits à de mauvais endroits. Je les porterai pour prêcher l’Evangile, tout ce que je peux. Et je ferai tout ce que je sais faire pour les autres. Et j’apprécie cela...?...
Maintenant, tout ce que je peux dire, c’est: « Que Dieu vous récompense, soeur, frère, qui que vous soyez, qui m’avez donné ces choses. » Oui, oui.
6 Et j’allais bien annoncer cela hier soir. Je me disais: « Eh bien, j’ai ce... » Peut-être qu’elle était là, et j’ai oublié cela. Et j’apprécie cela. Quelqu’un... Et s’il y a quelque chose, si quelqu’un donne... N’éprouvez-vous pas ce genre de sentiment à ce sujet ? Si c’est quelque chose que quelqu’un vous donne...
Et j’ai une–une glorieuse personne. J’aime le plein air, les fusils, les couteaux, la chasse, vous savez. C’est là que j’ai trouvé Dieu, encore petit garçon, en errant dans le bois. Et j’ai toujours aimé chasser.
Et quelqu’un... Parfois, un homme me donne un canon d’un vieux fusil calibre 22, à peu près de cette longueur. Et je prenais une planche et j’en faisais une monture. Eh bien, je ne vendrais cela pour rien. Ça, ça coûterait dix cents, probablement, peut-être cinquante cents. Et je plaçais un chien dessus et je le fixais. Mais pour moi, ça vaux mille dollars. Je me souviens du vieux frère qui a donné cela. Et je... juste tout, peu importe ce que c’est, que quelqu’un donne, n’importe qui, c’est... j’apprécie beaucoup cela.
Eh bien, cela... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Nous allons directement jusqu’au bout, je pense, jusque vers jeudi ou vendredi. N’est-ce pas vrai, frère...?... Ça sera la série de réunions la plus longue, je pense, que j’aie jamais tenue de ma vie, depuis tout le temps. Ainsi donc... ici dans cette ville. Je n’ai certainement pas vu d’endroit où j’aurais vu plus de collaboration spirituelle parmi les gens. Et une bonne foi, c’est ce que j’ai trouvé ici même dans cette ville. Que Dieu bénisse chacun de vous. Vous seriez surpris. Je me tiens ici même maintenant, vous pouvez voir des choses arriver l’une après l’autre dans la réunion (C’est vrai), ce qui arrive. Si seulement je pouvais amener les gens à croire cela de tout leur coeur, de toute leur âme et de tout leur esprit, s’ils faisaient cela, ce serait merveilleux que Dieu puisse...
Eh bien, souvent, vous pouvez voir ce qui se passe. Mais quant à dire que la personne est guérie, je ne pourrais pas le dire. Eh bien, je ne pourrais pas le dire avant que Dieu me montre. Je peux seulement dire ce que... tout. Juste comme la petite dame ici, lui dire ce que c’est, l’homme... Si j’avais eu...
7 Je crois que c’est le nouveau petit garçon ici. Je ne pense pas. C’est la première fois... sa première fois d’être ici, n’est-ce pas ? Avez-vous été ici auparavant ? La troisième soirée. Je ne l’avais pas remarqué auparavant...
Eh bien, juste un... Etes-vous des croyants, les parents ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Eh bien, si seulement vous me croyez, je pourrais vous parler de l’enfant. Maintenant, sa guérison, je... à moins que Dieu me le dise.
Oui, je vois l’enfant. Il a l’air d’un handicapé moteur, mais ce n’est pas ça. Cet enfant a eu des lésions à la naissance. N’est-ce pas vrai ? Est-ce ce qui est à la base de cela ? C’est vrai...?... Maintenant, il y a une espèce de relation entre nous maintenant. Vous savez, vous deux, vous vous sentez très étranges maintenant, n’est-ce pas ? Voyez ? Vous êtes entrés en contact avec cet Esprit-là. Eh bien, soyez simplement très respectueux et croyez de tout votre coeur, vous pouvez bien avoir exactement ce que vous demandez. Si vous pouvez croire... Mais la première chose, c’est croire. Vous, je pense, j’ai dit que j’avais eu une vision de...
8 Voilà une petite dame, assise là même en robe blanche, une jeune fille ; vous essayez de votre mieux pour que je vous dise quelque chose, n’est-ce pas, soeur ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Et quand je suis monté à l’estrade il y a quelques instants, vous vous êtes mise à prier, l’une ou l’autre chose comme cela, n’est-ce pas ? En effet, je me suis retourné, j’ai remarqué que vous étiez en train de prier, ou quelque chose comme cela. Vous vouliez que je vous dise ce qui–ce qui cloche et ce que... N’est-ce pas vrai ?
Permettez-moi de vous raconter une petite histoire. Vous n’êtes qu’une jeune femme. Nous le savons, à vous voir. Mais une fois, il y avait une femme dans la Bible, un cas comme le vôtre, et elle avait promis au Seigneur ce qu’elle ferait si le Seigneur la bénissait simplement. Est-ce vrai ? Elle s’est rendue au temple prier à ce sujet un jour (Est-ce vrai ?), cette femme. Et le sacrificateur l’a mal comprise. Elle priait avec une telle sincérité pour que Dieu ôte son opprobre qu’elle a été mal comprise. Est-ce vrai ? Et le temple... le sacrificateur du temple est sorti et a dit: « Que le Seigneur t’accorde ton désir. » Neuf mois plus tard, elle obtint son désir (N’est-ce pas vrai ?), un bébé.
Que Dieu vous bénisse, soeur. Et que Dieu vous accorde l’enfant que vous désirez là même. Ne vous inquiétez pas, mère. Je crois qu’elle embrassera un enfant bientôt. Eh bien, ayez simplement foi et croyez de tout votre coeur.
9 Les gens au bout de la rangée ici, regardez dans cette direction et croyez de tout votre coeur.
Voici une dame costaude, assise ici, je viens juste d’entrer maintenant en contact par l’Esprit de Dieu. Soeur, si je vous dis ce qui cloche chez vous... Je sais... Oui, je vois maintenant. Voici ce que c’est. Vous respirez péniblement. N’est-ce pas vrai ? Une respiration difficile, vous n’arrivez pas à respirer comme il faut. Si vous faites ce que je vous dis de faire et que vous croyiez que je suis le prophète de Dieu...?... Vous savez que vous êtes une inconnue. Il n’y a aucun moyen au monde pour moi de le savoir, si ce n’est par Dieu. Croyez-vous cela ? Irez-vous témoigner que vous êtes guérie et raconterez-vous aux gens que vous êtes guérie ? Dieu l’accordera.
Il y a un homme assis juste à côté de vous aussi en chemise blanche. Il souffre aussi. N’est-ce pas vrai, monsieur ? Maintenant, je ne sais pas. Votre maladie, c’est au bras. Non, non, ce n’est pas ça. Vous souffrez de prostatite ; ça, c’est une chose. Et vous souffrez aussi dans vos... Non, vous faites une pleurésie. C’est cela. N’est-ce pas vrai, monsieur ? C’est dans vos flancs, tout au long, comme cela...?... C’est vrai. Croirez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Vous savez que vous m’êtes inconnu. Très bien. Allez et oubliez avoir jamais fait une pleurésie. Témoignez de votre guérison, vous aurez ce que vous avez demandé.
10 Ô Dieu, sois miséricordieux. Nerveuse, mal à l’oeil, n’est-ce pas, soeur, avec votre fillette ? Ayez foi. Elle en guérira et elle sera bien portante. Amen.
Croyez-vous aussi, soeur, pour cette complication, ce cancer ? Même tout le reste agit sur vous, n’est-ce pas vrai ? Oui, oui. Très bien. Cette dame assise ici, au col blanc, vous avez des complications. Vous avez... Vous avez aussi souffert du cancer, n’est-ce pas ? Très bien. Jésus vous guérit maintenant. Vous en êtes guérie. Vous pouvez rentrer chez vous et être libre autant que vous le voulez.
Ne redoutez pas le mal des yeux de la fillette là, soeur. Et votre maladie de nerfs aussi, cela vous quittera et vous serez bien portante. Que Dieu vous bénisse, soeur, et qu’Il soit miséricordieux. Ayez simplement foi. Croyez simplement.
Ici de ce côté, tout le monde, regardez et croyez. Ayez foi.
Très bien, monsieur, vous assis là en manches courtes, souffrant des yeux et de l’oreille ; n’est-ce pas vrai ? Me croyez-vous ? D’accord. Témoignez que vous êtes guéri, et Dieu vous rétablira, Il vous guérit maintenant même si seulement vous croyez cela.
Oh! Bien-aimé frère, bien-aimée soeur, n’importe où, Dieu est ici. Il ne peut que faire connaître...
11 Prions maintenant même. Notre Père céleste, le malheur atteint souvent Ton peuple, mais il est dit: « L’Eternel les délivre de tout cela. » Oh! Le temps ne permettrait pas que Tu parcoures cette assistance, parlant à l’un après l’autre.
Seigneur, les gens savent assurément que Ton serviteur, ici debout, n’a aucun moyen sur terre de savoir qu’il y a un contact spirituel entre ces gens et Ton serviteur. J’essaie de leur dire que c’est Ton don divin qui a été envoyé de la Gloire pour manifester Ta Présence. De même que Tu avais dit à Nathanaël: « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu », Tu avais révélé à la femme ses péchés, Tu leur avais dit où trouver les ânes, Tu savais où se trouvait le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche, Tu connais toutes choses, et Tu nous les révèles alors que nous Te servons. Nous savons que Tu as dit: « Vous ferez les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes parce que Je m’en vais au Père. » Et Ton Esprit est ici ce soir en train de se manifester.
12 Père, aide-moi alors que j’apporte la Parole. Que la Parole sorte maintenant avec puissance et produise des résultats qui amèneront cette assistance, tout le monde, les boiteux à marcher, les aveugles à voir, les sourds à entendre, les muets à parler. Qu’ils partent d’ici en se réjouissant, heureux, en criant, en Te glorifiant. Et que demain soit un nouveau jour, l’aube où l’aveugle verra, où le sourd entendra, où l’estropié marchera, où les cancers auront disparu, où la lassitude de la chair... et la foi entrera, où Jésus règnera et dominera, où tout doute disparaîtra. Accorde-le, Père.
Bénis Ton peuple. Nous nous sommes rassemblés ici, à la fin de la semaine, pour Te servir et glorifier Ton Nom avec des louanges et des actions de grâce. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
13 Eh bien, tout le monde maintenant. J’aimerais que vous écoutiez très attentivement pendant que je parle quelques instants. Ne doutez pas, ayez simplement foi pour croire que...
J’aimerais lire dans Saint Jean, chapitre 14, vous qui avez vos Bibles. J’aimerais parler juste quelques instants. Et je crois que Dieu va nous accorder une percée ce soir. Je crois que cela est sur l’assistance.
Vous vous sentez mieux maintenant, n’est-ce pas, frère et soeur ? La petite dame, là même, devant. Mais ayez simplement foi donc. Croyez simplement de tout votre coeur. Très bien.
Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.
Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
... lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi afin que là où je suis, vous y soyez aussi.
Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin.
Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ?
Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi Mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez et vous l’avez vu.
Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
14 J’aimerais utiliser cela juste comme un petit sujet pendant quelques instants. Ensuite, nous aimerions revenir encore dans le service de guérison, vous parler simplement de la Parole: Montre-nous le Père et cela nous suffit. En d’autres termes: Cela nous satisfera si tu nous montres le Père.
Maintenant, j’aimerais... Combien aimeraient en fait voir Dieu, ceux qui aimeraient ici, qui aimeraient voir Dieu ? Très bien. « Montre-nous le Père, et cela nous satisfera. »
Eh bien, cela... J’aimerais vous parler aussi vite que possible de certains moyens pour voir Dieu, et comment Le voir. Et si... Dieu, si je le peux, par les Ecritures, par les prodiges et des signes, vous prouver qui est Dieu, et où Il est, me croirez-vous ? Me croirez-vous ? Très bien. « Montre-nous le Père et cela nous satisfera. »
15 Je vais aborder environ quatre moyens pour voir Dieu. Ensuite, nous en arriverons à cela, à la dernière partie de cela, un moyen par lequel vous serez... vous devez voir Dieu. Je vais vous Le montrer, si je le peux, avec l’aide de l’Esprit, ce soir, par ces quatre différents moyens.
Maintenant, d’abord, nous aimerions parler de Dieu dans Son univers, puis Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, enfin Dieu ici dans Son peuple. J’aimerais vous montrer Dieu dans Son univers, vous montrer Dieu dans Sa Parole, vous montrer Dieu dans Son Fils, enfin voir Dieu ici dans Son peuple. Cela devrait donc satisfaire chacun de nous, assurément.
16 Inclinons la tête. Eternel Dieu, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, alors que nous avons maintenant ouvert la Parole et que nous L’avons lue, les Paroles qui étaient sorties de Ton Bien-aimé Fils Jésus, nous savons qu’Elles sont éter–éternellement vraies et qu’Elles sont infinies. Il n’y a rien de plus vrai que la Parole de Dieu. Et nous L’aimons. La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole.
Et maintenant, Père, que le peuple soit établi maintenant, qu’il soit établi sur la Parole, le Fondement solide, de telle sorte que, si Satan devrait venir auprès d’eux de n’importe quelle manière, ils puissent fuir vers la Parole. « Il est écrit. »
Maintenant, Père, aide-nous ce soir et ouvre-nous la Parole, ouvre notre entendement. Circoncis les lèvres de Ton serviteur qui parle, circoncis les coeurs du peuple de sorte que la Parole puisse y tomber, qu’Elle puisse tomber dans une terre riche et fertile et qu’Elle produise au centuple. Qu’il n’y ait personne de faible parmi nous après ce soir. Que cela soit terminé ce soir, tout celui qui a foi, Père. Accorde-le.
Et maintenant, que le Saint-Esprit prenne les choses de Dieu et les apporte directement aux gens, car nous le demandons au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen.
17 Ça, c’est le cri des personnes avancées en âge: « Si seulement je pouvais trouver Dieu. » Les... Dans tous les âges, les gens naissent pour adorer. Vous adorerez quelque chose. Ce sera peut-être votre enfant, votre voiture, votre maison, votre travail, peut-être même votre église. Cela ne marchera pas. Ce n’est pas l’église que nous adorons ; c’est Dieu.
Les hommes de caverne, les Indiens, les Indiens d’Amérique, nous avons trouvé qu’ils adoraient le soleil. Et ils croyaient qu’il y avait un terrain pour une chasse heureuse. Quand quelqu’un mourait, ils mettaient du maïs et tout, son arc et la flèche, on le congédiait dans la mer quelque part dans sa barque, pensant qu’il trouverait un terrain où il ferait une chasse heureuse, là où il y aura du gibier pour peut-être survivre.
Il y a dans le coeur humain quelque chose qui réclame une adoration, quelque part. Aucun homme sur terre ne manque d’adorer. Il adore quelque chose.
18 Jésus a dit à la femme au puits: « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas. Nous savons... le salut vient des Juifs. »
Eh bien, l’adoration, ce n’est pas tout ce que nous désirons. Il y a une façon à laquelle il a été pourvu pour adorer. Saviez-vous cela ? Voyez ? Il y a une façon pour adorer, et une façon, une bonne façon d’adorer et une mauvaise façon d’adorer. Je ne suis pas en train de chercher à vous dire quelle est la façon d’adorer, mais je vous assure, il y a une façon dont il vous faut vous approcher de Dieu. Et si vous ne suivez pas la voie à laquelle il a été pourvu, vous ne pourrez certainement pas trouver Dieu.
Il y a une voie pour moi de rentrer chez moi, ce n’est pas en traversant les champs, un raccourci ; c’est en suivant la grande route. C’est ce qui a été fait ; cela a été pourvu pour moi.
Dieu n’a pas de raccourcis. Nous suivons tous la même voie. C’est vrai. Pas de raccourcis vers la Gloire. Vous devez suivre la voie.
19 Regardez au début quand Caïn et Abel ont été chassés du jardin, leurs parents, et tous deux ont vu qu’ils étaient des êtres mortels, ils ont su qu’ils devaient mourir... Regardez. Caïn et Abel, tous deux voulaient adorer Dieu. Et Caïn, il a dressé un autel à Dieu.
Maintenant, si un autel, c’est tout ce que Dieu exige, c’est que Caïn était justifié. Et Caïn a offert un sacrifice sur l’autel. Est-ce vrai ? Eh bien, si un sacrifice et un autel, c’est tout ce que Dieu veut, c’est que Caïn était justifié. Donc, Caïn a aussi dressé un autel, alors il a adoré ; il a placé le sacrifice dessus, il s’est agenouillé et il a adoré Dieu. Mais Dieu n’a pas pris plaisir, car il n’avait pas une bonne approche.
Voyez, il avait bâti une église, un autel ; il a placé un sacrifice sur l’autel, il a apporté les fruits de la terre, c’était probablement le... plus beau. Vous devez observer cela, vous devez faire attention à cela, amis. N’oubliez jamais ceci.
20 Frère Gordon me disait que je pouvais avoir ce petit privilège ce soir, pour ainsi dire, de parler aux gens pendant quelques instants, juste avant de déployer le dernier effort pour clôturer les réunions.
Remarquez, cela me rafraîchit de parler de la Parole. Cela m’aide. Cela me garde... Parfois, quand je suis sous cette onction-là, Cela descend sur moi. Et alors, je reste là pendant longtemps, je deviens si faible que je peux à peine me tenir debout. Mais la prédication ne me dérange jamais. J’aime parler de la Parole.
Remarquez. Alors... La raison pour laquelle j’appelais ces gens il y a quelques instants, différentes personnes, j’en vois une autre venir maintenant même et qui a été guérie tout à l’heure, mais la raison pour laquelle je faisais cela, c’est afin que vous sachiez que Son Esprit est ici maintenant. Il est dans la salle maintenant. Vous voyez ?
21 Mais maintenant, revenons à Caïn et Abel. Quand Caïn adorait, il avait dressé un autel, il a immolé un sacrifice ; il adorait Dieu. Mais ce n’était pas assez. Et c’était beau sans doute, les fleurs et tout, qui poussent dans le champ, et il avait décoré son autel.
Eh bien, aussitôt–aussitôt que la Pâques approche, des millions de dollars sont dépensés à travers les nations pour des fleurs de Pâques qu’on va déposer sur l’autel. Eh bien, cela importe peu à Dieu, une fleur de Pâques sur l’autel. C’est vous qu’Il veut sur l’autel. C’est vous qui devez être à l’autel, ce n’est pas votre fleur, ni votre argent ; Il vous veut, vous. L’autel a été bâti pour que vous, vous sacrifiiez votre propre volonté à Sa volonté. Voyez ?
Eh bien, alors... Mais si un autel, un sacrifice, l’adoration, c’est tout ce que Dieu exige, alors il vous faudra dire que Caïn était justifié. Et observez cette beauté-là.
Eh bien, c’est juste parmi notre... Beaucoup de nos églises du Plein Evangile tombent droit dans cela. Voyez ? Ils veulent bâtir une église un peu meilleure, investir quelques milliers de dollars dans un grand orgue. Cela ne fait pas venir Dieu. Ça peut faire venir les gens. Mais c’est le sacrifice de soi qui fait venir Dieu... à la volonté de Dieu. Voyez ?
22 Et, rappelez-vous, la première chose, dans la Gloire, qui avait donc été la cause du premier péché, c’est que Satan voulait des choses un peu meilleures que ce que Micaël avait. Il est allé se bâtir un royaume un–un peu meilleur, magni-... plus magnifique. Vous voyez ? C’est la beauté. Et cela est venu tout droit dans son fils Caïn, cela continue. Et il a décoré son autel: magnifique.
Mais voici venir Abel, traînant un drôle de petit agneau derrière lui. Je ne vois rien de très beau là. A leur époque, il n’y avait pas de cordes, je pense, aussi se servaient-ils de plantes rampantes ; peut-être qu’il a noué cela au cou, car c’était–c’était Christ. C’est de Lui qu’il s’agissait. En effet, Il avait été conduit comme un a–un Agneau à l’abattoir.
On lui a mis une corde au cou. Il vient là, conduisant son petit agneau qui bêlait, regimbait. Il l’a étendu sur une pierre. Peut-être qu’il n’y avait pas de couteau tranchant à l’époque. Probablement qu’il a pris une drôle de pierre tranchante, il a maintenu sa petite tête et il s’est mis à taper sur sa petite gorge ; c’est ce qu’Abel a fait. Vous voyez ? Et le sang s’est mis à gicler de ses petites artères du cou.
Avez-vous déjà entendu un agneau mourant ? C’est la chose la plus pathétique que vous ayez jamais entendue, c’est d’entendre un agneau mourir. Oh! Comme il saigne et bêle!
23 Du haut des cieux, Dieu regarda en bas et dit: « C’est ce qu’il faut. » Le sang parle ; de quoi parlait-il ? Des années plus tard, l’Agneau de Dieu allait être conduit. Le Sang... Vous êtes le sang de votre père et de votre mère. Mais par la nouvelle naissance, vous êtes devenu le Sang de Dieu, le Sang de Christ nous purifiant.
Et Il était là, l’Agneau de Dieu, suspendu là au Calvaire, saignant, bêlant, Ses cheveux ensanglantés ruisselaient de Sa tête sur les épaules, le Sang giclant partout. Je crois, comme Billy Sunday disait à son époque, il disait: « Il y avait des anges perchés dans chaque buisson. Ils disaient: ‘Tourne simplement Ta main, pointe vers nous, et nous détruirons cette foule.’ »
Certains d’entre eux disaient: « Il s’est sauvé... Il a sauvé les autres et Il ne peut pas se sauver », critiquant. C’était le plus grand compliment qu’on Lui ait jamais fait. Il ne pouvait pas se sauver Lui-même et sauver les autres, aussi s’est-Il livré pour sauver les autres.
Voilà la voie. Les résultats produits étaient là, car le Saint-Esprit passant par le Sang, la Vie met aujourd’hui l’homme en contact avec Dieu.
24 Tout le monde a voulu trouver Dieu au cours des âges. Job d’autrefois disait: « Oh! Si seulement je savais où Il habitait. » Dans sa détresse, assis là sur un tas de cendres en train de se gratter les ulcères... Dans ce cas-ci, Dieu traitait avec un saint... Il était assis là, se grattant les ulcères. Certains de ses amis de l’église étaient venus chez lui, ils s’étaient assis en lui tournant le dos, cela ne l’a pas beaucoup consolé. Mais Job voulait savoir: « Oh! Si seulement je connaissais Sa demeure. » En d’autres termes: « Si je pouvais frapper à Sa porte, Il sortirait pour me parler. » C’est ce qu’il voulait faire.
Mais remarquez, chaque fois qu’un homme a faim et soif de Dieu, Dieu s’approche toujours de cet homme. Voyez ? Livrez, abandonnez votre volonté à Dieu.
Alors, quand les membres de son église sont venus et qu’ils n’arrivaient pas à le consoler, ils l’ont accusé d’être un pécheur en secret, ils ont dit qu’il avait péché devant Dieu... Job savait qu’il n’avait pas péché, et il savait qu’il était en ordre. Mais alors, Dieu a envoyé un jeune homme du Nom d’Elihu, qui est descendu à la rencontre de Job, encore un type parfait de Christ. Il n’a pas accusé Job d’être un pécheur en secret. Il a essayé de lui parler de Quelqu’Un qui viendrait se tenir à la brèche dans les derniers jours, qui placerait Ses mains, l’une sur un pécheur et l’autre sur un Dieu Saint, pour faire le pont.
25 Comme Job était un prophète, il a saisi la vision. Il s’est levé. Les éclairs se mirent à jaillir, les tonnerres à gronder. Le prophète était entré en contact avec son Père, Dieu. Il s’est retourné et a dit: « Je sais que mon Rédempteur est vivant. Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand bien même les vers qui sont dans mon corps auront détruit celui-ci, mais je verrai Dieu dans la chair. Je Le verrai moi-même. Mes yeux Le verront, pas ceux d’un autre. » Son âme réclamait Dieu, Dieu dans Son univers...
26 Récemment, je contemplais (J’aime les oiseaux), je contemplais des aigles il n’y a pas longtemps, alors j’étais dans une tournée de pêche ; une vieille mère aigle était perchée là au sommet d’une montagne. Elle a déployé ses ailes, et les aiglons se sont agrippés à ses ailes et elle est descendue dans la vallée. C’était leur première fois de sortir donc du vieux nid.
A propos là, voyez-vous Dieu là ? Oui, un pécheur. Maintenant, ceci est le genre de... Avez-vous donc... ? Les choses du monde, c’est comme un nid d’aigle: C’est plein de brindilles, de piquants, de vomissure. Les aigles régurgitent et vomissent leur nourriture, ça pue. Un pécheur qui vit dans le nid du monde, dans les vomissures du monde, dans les bars, errant çà et là, ne sachant rien au sujet de quoi que ce soit d’autre en dehors de ce vieux nid du monde...
Ensuite, je l’ai vue prendre ses petits, et ils s’étaient agrippés à ses ailes; de la montagne, elle est descendue dans la vallée, elle a déployé ses grandes ailes et les aiglons ont lâché prise. Ils se sont mis à courir çà et là, leurs petites pattes touchant pour la première fois la terre molle, sur l’herbe. Ils se nourrissent de la verdure. « Il me conduit près des eaux paisibles. » Oh! la la! Comme c’est glorieux et magnifique!
27 Puis, observez attentivement, quand il était... ils ont fait cela, ensuite les aiglons... La vieille mère aigle, ayant vu cela, ce qu’était... Elle est retournée droit au sommet des montagnes une fois de plus, elle s’est posée sur le rocher, et s’est mise à regarder en bas, surveillant ces aiglons.
Je me suis mis à méditer: « Oh! la la! Cela n’a-t-il pas l’air... »
Une fillette est malade. Un des anciens, voudriez-vous vite aller prier pour la fillette ? Elle est tombée dans son fauteuil.
Et puis... Eh bien, suivez attentivement ; faites attention à cette voie. La fillette est tombée malade et l’un d’eux va prier pour elle. Je pense qu’elle a une carte en main, pour être probablement dans la ligne dans quelques instants. Très bien.
28 Suivez attentivement maintenant. Mais la vieille mère aigle se perchait là, elle s’est mise à surveiller. Je me suis dit: « Oh! Comme c’est glorieux que Jésus soit venu nous faire sortir des choses du monde, nous introduire dans cette glorieuse liberté ici. » Ces aiglons insouciants couraient, se nourrissant de la verdure et autre, juste comme une glorieuse réunion du Saint-Esprit du bon vieux temps, quand les saints de Dieu étaient sortis des choses du monde et qu’ils étaient à genoux sur un tapis vert de bénédictions de Dieu, sans souci. Notre Sauveur a gravi les remparts de la Gloire, Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Il connaît toutes choses. Tout le temps, Il sait ce qui cloche chez vous.
Là, elle surveillait. Je l’observais. Je la regardais avec des jumelles. Je l’ai vue tourner cette grosse tête de côté et regarder. Je me suis dit: « Qu’y a-t-il ? » Elle était là. Elle surveillait ses aiglons.
Voilà encore Dieu dans Sa création, Dieu dans Son univers. Je me suis dit: « Qu’arriverait-il si un coyote fonçait vers ces aiglons ? Qu’arriverait-il ? » Eh bien, cette vieille mère le suivrait là en un instant.
29 Peu après, je l’ai vue relever la tête, elle a levé les yeux, et elle a lâché un cri. Tout d’un coup, elle s’est précipitée de cette montagne-là jusque dans la vallée. Et quand elle a atterri, elle a déployé ces très grandes ailes majestueuses, et elle a lâché un cri. Et alors, tous ces aiglons ont arrêté de manger, ont couru de toute leur force vers leur mère et, à l’aide de leurs becs, se sont accrochés à ses ailes, comme cela, avec leurs becs, enfonçant leurs petites pattes dans ses ailes.
Je me suis demandé ce qui se passait. Je n’arrivais pas encore à voir cela. Mais un ouragan venait de l’autre côté de la montagne, elle avait pu flairer cela dans l’air et elle avait su que cela venait. Elle veillait sur sa couvée.
Et alors, avant qu’elle puisse décoller, la tempête commençait déjà à se déchaîner dans la cuvette. Et alors, elle a percé cette tempête-là qui soufflait à soixante miles [72 km] à l’heure. Ces aiglons s’accrochaient aux ailes de la mère. Et elle est allée directement dans le creux du rocher.
Je me suis dit: « Ô Dieu, l’une de ces heures, un cri retentira du ciel ; la trompette de Dieu sonnera, et chaque chrétien volera sur les ailes de cette vieille croix rugueuse, traversant les tempêtes de la vie pour entrer dans le creux du Rocher, Jésus-Christ. »
Oh! la la! Dieu dans Sa nature, observez-Le dans Son univers. Juste en un instant, comment Il peut nous prendre. Peu importe combien l’épreuve est dure, accrochez-vous fermement à Ses ailes, et Il vous emportera. Observez Dieu dans ces oiseaux, comment Il prend soin. Observez-Le dans le coucher du soleil.
30 Il n’y a pas longtemps, un infidèle parcourait le pays, changeant en incroyants les gens censés être des chrétiens. Il était tellement instruit que les prédicateurs avaient peur de l’attaquer. Et puis, il est allé en Europe. Sur son chemin de retour, il fut déprimé. Il alla à l’ouest pour se reposer.
Et un jour, alors qu’il sortait de son camp, oh! il était enflé. Il s’est mis à regarder. Là en bas, il vint un vent qui murmurait dans les pins, il se mit à regarder en haut. Il regarda ces pierres suspendues à la montagne. Il dit: « Ô pierres, qui vous a placées dans les montagnes ? Suis-je en erreur sur la chronologie de ce monde ? » Tout d’un coup, Dieu s’est mis à parler. La Bible déclare: « S’ils se taisent, ces pierres crieront. » Dieu dans Son univers, parlant à partir de Son rocher.
Eh bien, cet incroyant s’est agenouillé à côté d’un arbre, il a dit: « Ô Dieu, aie pitié de mon âme. »
Vous y êtes. Les pasteurs avaient peur de l’attaquer. Dieu a pu laisser les pierres parler fort. Dieu est dans Son univers, parlant à Son peuple.
31 J’ai contemplé le coucher du soleil. Je me tenais là, pleurant comme un enfant ; je ne pouvais pas m’en empêcher. C’était glorieux de voir Dieu dans Son coucher du soleil et dans Son lever du soleil.
Dieu est dans Ses animaux. Sortez d’ici et regardez le journal cet hiver. Les journaux diront: « Il fera beau temps demain. » Tous les commentateurs des nouvelles diront qu’il fera beau temps. Observez cette vieille truie arracher de la paille sur le versant nord de la colline, contourner avec cela vers le versant sud et faire son lit. Ne croyez pas ce que dit le journal. Absolument pas. Il fera frais tout aussi sûr que deux fois deux font quatre. Si vous allez à la chasse et que vous trouvez un lapin en dessous d’une rangée en jachère, attendez-vous à la neige et au temps froid. Assurément. Dieu les a dotés d’un instinct.
32 Il n’y a pas longtemps... Je vais dans des montagnes pour chasser. Et là, il y a un ... Souvent, ces canards descendent en Louisiane, ils montent dans le nord construire leurs nids là-haut, dans la vase du Canada et des environs. Ils pondent les oeufs et les font éclore. Et quand ils font éclore leurs oeufs, dans ce troupeau de canards il y a un petit canard qui est né chef, un petit canard.
A la toute première brise froide qui parcourt les montagnes, ce drôle de petit canard va foncer au milieu de l’étang. Il n’a jamais quitté cet étang de toute sa vie. Il y était né. Il va foncer droit là, dressera son petit bec en l’air et cacardera à quatre ou cinq reprises. Chaque canard sur l’étang accourra vers lui. « Qu’y a-t-il ? » Dieu a doté les canards d’un instinct. C’est vrai. Ils savent que ce drôle de petit canard est né chef. Quelque chose va arriver. Il y a un vent froid qui souffle.
Le problème est que, lorsque le vent froid souffle, l’homme ne veut pas écouter son Conducteur, qui est Dieu.
33 Ce drôle de petit canard, eux tous vont se rassembler tout autour de lui. Il s’envolera, quittant cette eau-là. Il n’en était jamais sorti de sa vie, et il va se diriger droit en Louisiane, autant que possible, vers les rizières, pour échapper à tout ce froid, car Dieu l’a pourvu d’un moyen de détection. Il n’a jamais quitté ce lieu-là. Il n’a pas de boussole. Il ne se confie pas à une boussole ; il se confie dans l’instinct dont Dieu l’a doté.
Si un... Il nous fallait avoir « le sens » qu’a un canard de toute façon. Si Dieu a pu doter un canard d’assez d’instinct pour échapper au froid et se mettre en sûreté, à combien plus forte raison devrait-Il donner à Son Eglise le baptême du Saint-Esprit pour se confier à Dieu. Dieu dans Sa nature, Dieu a pourvu à un instinct pour le canard. Dieu a pourvu au Saint-Esprit pour vous. Il est votre Conducteur. Il est ici maintenant ce soir pour vous sauver, pour vous guérir. Dieu dans Sa nature, dans Son univers...
34 Un jour, mon père et moi étions en train de labourer, et les chevaux se sont mis à hennir. J’ai dit: « Qu’y a-t-il avec eux, papa ? »
Il a répondu: « Fiston, une tempête approche. »
J’ai dit: « Oh! la la! Papa, tu ne vois pas combien c’est clair ? »
Il a dit: « Dieu a doté ces chevaux d’un instinct. Ils peuvent flairer des tempêtes à des kilomètres de distance. »
Et nous n’avions pas fait deux tours de plus qu’il nous a fallu nous dépêcher vers la grange. Les chevaux avaient vu cela, avaient reconnu cela. Ils pouvaient détecter cela par un instinct avant qu’il y ait un signe de n’importe quoi par lequel on pouvait voir avec un autre sens. Oh!... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] le Saint-Esprit.
Oh! Eglise de Dieu, vous qui prétendez baiser les bénédictions du bord de la coupe de bénédictions, comment pouvez-vous douter de Dieu, qui est Tout-Puissant et Omniprésent, qui se tient maintenant pour bénir et guérir chaque personne dans cette salle ? Pourquoi ?
Comment pouvez-vous douter de Lui ? Quand les hommes... Au cours des âges, les seules personnes qui aient jamais abouti à quelque chose, ce sont celles qui ont osé prendre position pour Dieu. Beaucoup de choses, comment Dieu pourvoit...
35 Oh! Les ours, c’est ma chasse favorite. La vieille mère ourse, elle... En automne, quand c’est la saison des amours, elles montent dans les montagnes. Là, elle mange les cônes de ciguë, elle ne mange jamais autre chose. Son estomac est tout rétréci jusqu’à devenir aussi gros que mon poing. En été, il contiendra cinq galons [22,7 litres]. Et il se rétrécit. Elle se tient là en retrait. Les petits naissent vers février. Elle ne se lève jamais. Peut-être qu’elle a deux ou quatre oursons. Elle ne sait rien à ce sujet jusque vers mai quand elle se lèvera, et ses petits ont alors assez grandi. Elle ne mange pas du tout, et ces petits ours la tètent.
Qu’est-ce ? La voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est vrai. Dieu fraie une voie.
36 Il n’y a pas longtemps, il y avait un petit prédicateur, un petit ministre dans une ville voisine. Il pensait peut-être qu’il connaissait plus au sujet de–de la chose. Il y a un petit garçon qui fréquentait son église ; il avait demandé à sa maman: « Si un... »
Attendez. Ça va. Je pense qu’on va faire sortir la jeune fille, peut-être qu’elle vient d’être bénie ou quelque chose comme cela, prend cela... Allez-vous à la tente de la prière ? D’accord.
Ça va. Donc, remarquez. C’est en ordre. Très bien. Nous constatons, ce petit garçon est allé auprès de son pasteur et il a dit: « Pas... » Ou, il a premièrement posé la question à sa maman.
C’est une bonne façon. Dieu vous a guéri. Allez et donnez-Lui donc votre coeur. N’est-ce pas vrai ? C’est un bon procédé.
37 Maintenant, remarquez. Le pasteur... Premièrement, le petit garçon a posé la question à son pasteur, disait: « Pasteur, je vous ai entendu beaucoup parler de Dieu ; peut-on voir Dieu ? »
Eh bien, le pasteur a dit: « Non, chéri. » Il a dit: « Personne ne peut voir Dieu et vivre. »
Eh bien, c’était juste un petit garçon. Et il a demandé à sa maman, et sa maman ne savait pas. Il a demandé à sa monitrice de l’école du dimanche ; elle ne savait pas. Elle a dit: « Personne ne peut voir Dieu. » Il était très déçu.
Il restait souvent au bord de la rivière, près de l’île de Six Miles, là. Il y avait là-bas un vieux pêcheur qui avait une longue barbe blanche. Il s’était accroché à ce vieil homme.
38 Un jour, ils étaient là à la rivière, et une tempête a éclaté. Et après la tempête, ils descendaient la rivière. Chaque batelier ici sait avec quel rythme on rame la barque, et on sent les vagues effleurer les rames, vous savez. Alors, le vieil homme regardait tout autour, le soleil était apparu. Il y avait un arc-en-ciel. Les feuilles étaient toutes nettoyées et jolies. Le vieil homme continuait à tirer sa barque ; les larmes se mirent à lui couler sur les joues. Il tira un peu plus loin et regarda encore derrière.
Le petit garçon assis à la poupe était devenu très enthousiasmé au point qu’il courut au milieu de la barque et dit: « Monsieur, je vais te poser une question à laquelle ma mère n’a pas pu répondre, ni mon père, ni mon pasteur, ni ma monitrice de l’école de dimanche. Personne n’a pu me répondre. » Il a dit: « Je crois que Dieu existe. » Et il a dit: « Puis-je jamais Le voir ? »
C’était trop pour ce vieux pêcheur. Il ramena simplement ses rames, il lui mit les mains sur le visage et il pleura comme un enfant. Il entoura de ses mains le petit garçon, puis il dit: « Que Dieu bénisse ton coeur, chéri. Tout ce que j’ai vu pendant les trente-cinq dernières années, c’était Dieu. »
39 Eh bien, assurément. Il y avait tellement de Dieu à l’intérieur qu’il pouvait Le voir à l’extérieur. Si vous voulez voir Dieu dans Son univers, recevez-Le à l’intérieur. Voyez comment les oiseaux chanteront différemment dans les arbres. Même votre ennemi paraîtra différent une fois que Dieu entre à l’intérieur. Il est dans Son univers. Il est en vous, regardant dehors, vous montrant le côté splendide de Son univers. (Nous allons nous dépêcher, rapidement.)
Dieu dans Son univers ; croyez-vous qu’Il y est ? L’avez-vous déjà vu dans un coucher du soleil ? L’avez-vous déjà vu dans un lever du soleil ? L’avez-vous déjà vu dans de belles montagnes ? Oh! la la! Parfois, je vais là et je contemple en bas la scène, et je crie à tue-tête. Je ne peux pas m’en empêcher. Il y a une profondeur qui appelle une profondeur là-bas. Dieu dans Son univers... Combien nous pourrons nous tenir ici des heures et des heures et parler de Lui, comment Dieu parle à partir de Son univers.
40 Eh bien, prenons vite le second, afin de pouvoir aborder cela: Dieu dans Sa Parole. Combien croient que Dieu est dans Son univers ? Très bien. Vous pouvez Le voir dans Son univers. Voyons s’Il est dans Sa Parole.
Il a dit: « Ma Parole est Vie. » Réellement, la Vie... Eh bien, l’unique chose, la Parole... La lettre tue, l’Esprit vivifie.
Ce que j’espère maintenant de tout mon coeur, c’est que Dieu vivifie (vivifier veut dire donner la vie.), vivifie maintenant pour vous la Parole par Son Esprit.
Jésus a dit: « Un semeur alla semer des semences. Et pendant qu’il dormait, un autre semeur vint et sema de l’ivraie. » Et Il alla de l’avant, racontant la parabole. Les disciples n’arrivaient pas à Le comprendre. Jésus la leur a expliquée, disant: « Le Semeur, c’est le Fils de l’homme. Le champ, c’est le monde. Et la Semence est la Parole de Dieu. » Amen. Remarquez: « La Semence est la Parole de Dieu. » Si c’est... Tout ce que la Parole de Dieu dit, c’est une Semence.
41 Maintenant, pour cultiver, la première chose, c’est apprêter la terre. Est-ce vrai ? On en retire toutes les mauvaises herbes, les ronces, les plantes rampantes. C’est l’incrédulité et le doute. Ôtez cela de votre coeur. Apprêtez-vous. Ensuite, le champ est défriché.
Je ne suis pas tellement d’accord avec cette repentance aux yeux secs. J’aime voir un homme qui s’agenouille devant Dieu et qui dit: « Je regrette, Père. Reçois-moi. » Brisé, la terre est prête pour la Parole...
Remarquez. Alors, n’importe quelle promesse de Dieu est une semence. Et cette Semence dans une bonne terre produira selon son espèce. Le maïs produira le maïs. L’orge produira l’orge. Le blé produira le blé. Et n’importe quelle promesse de Dieu produira les résultats, si elle est placée sous terre et que c’est arrosé par la foi, la prière, la confiance, Dieu fera s’accomplir cela. Je le dis par expérience.
42 Je pense donc que les meilleurs médecins des Etats-Unis ont dit, il y a deux ans: « Révérend Branham, vous n’avez pas de chance. » Oh! Cela amène mon coeur à chanter Grâce étonnante! Oh! quel doux son, qui sauva un vil comme moi. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
J’étais assis là à la clinique Mayo. Ils ont dit: « Ça en est fini de toi, mon gars. Tu ne t’en sortiras jamais. »
J’ai répliqué par cette vieille Parole: « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. » J’ai dit: « Père, place cela dans mon coeur. J’arroserai cela avec la foi jour et nuit ; ce soir, je me tiens en parfaite santé. »
Autrefois, j’étais aveugle, on me conduisait en me tenant les bras. Je ne voyais rien, si ce n’est que des objets devant moi en train de bouger ; seulement le jour était sombre. Et ce soir, le test de mes yeux donne vingt sur vingt. Pourquoi ? J’avais pris Dieu au Mot. S’il n’y a personne avec un don pour chasser l’esprit, la Parole le fera, la foi dans la Parole de Dieu.
43 Jésus avait en Lui toutes les bonnes qualités de Dieu. Croyez-vous cela ? Il avait puissances sur puissances. Mais aux prises avec Satan, Jésus ne se servit jamais de Sa puissance. Il a donné un exemple pour le plus faible des chrétiens. Quand Il affronta Satan, Il dit: « Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Le chrétien le plus faible peut prendre cette position, s’en tenir à cela. Assurément. Dieu est dans Sa Parole.
Chaque fois qu’Il affrontait l’ennemi, Il disait: « Il est écrit. » Je crois qu’Il avait la puissance de faire cela. Mais Il a affronté Satan sur la même base avec la même Parole que vous pouvez utiliser pour l’affronter, tout le monde: « Il est écrit. »
Croyez-vous cela ? Eh bien, il est écrit: « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu. » Observez l’ordre de la Parole. « Croyez maintenant (au présent) que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. » Cela vous sera donné plus tard, mais maintenant, croyez cela. Avant d’avoir une récolte, vous devez planter la semence. Arrosez cela. Croyez cela. Ne la déterrez pas chaque matin pour voir si c’est... Chaque fois que vous déterrez cela, vous retardez cela davantage. Cela ne croîtra jamais si vous continuez à la déterrer.
44 Lorsque vous réglez cela dans votre coeur, que Dieu vous a guérie, soeur ; vous, petit garçon ; vous, frère ; n’importe qui parmi vous, vous réglez cela dans votre coeur et vous croyez. Prenez Dieu au Mot et mettez-vous à témoigner à ce sujet. Et arrosez cela de beaucoup d’eau ; rendez cela fertile. Observez ce qui se passe. La Parole de Dieu se reproduira exactement selon ce qu’Elle dit.
Si ce n’est pas la Parole inspirée de Dieu, je ne me tiendrai pas ici. Je ne croirai pas en cela. Mais je sais que C’est la Vérité. « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. » « Moi, l’Eternel, J’ai planté cela, Je l’arroserai jour et nuit de peur que quelqu’un ne l’arrache de Ma main. »
Vous y êtes: Dieu dans Sa Parole. Quand Dieu dit n’importe quoi, c’est ce qu’Il veut dire. C’est ce que Dieu dit. Alors, il y aura beaucoup de choses et des choses semblables, et il y en a eu. Dieu dit: « Que la Lumière soit. » La lumière sortit de quelque part, venant du Créateur. Dieu dit: « Qu’il y ait ceci », et cela fut. « Qu’il y ait cela », et cela fut. Ce que Dieu dit, ce sont des semences. Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela ?
45 Il a dit: « Restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en Haut. Je vais vous envoyer ce que le Père a promis. » Oui. C’était la Parole de Dieu.
Christ était la Parole. Oh! Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu ; et la Parole a été faite chair, Elle a habité parmi nous.
Vous dites: « Eh bien, Dieu a prononcé les commandements, et Dieu a dit ceci. » Tout ce que Christ a dit était la Parole de Dieu: Le Père dans le Fils parlant au travers de Lui. « Restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en Haut. » Oh! la la! Dieu est dans Sa Parole, rendu manifeste.
46 Il a dit à un homme: « Va, lave-toi au réservoir de Siloé (envoyé). Et cet homme se lava au réservoir, par obéissance à la Parole, il s’en retourna pur. » Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela ? Dieu est dans Son univers. Dieu est dans Sa Parole. Dieu confirmera Sa Parole.
Et là-haut, le jour de la Pentecôte, alors qu’ils étaient tous assemblés en un seul endroit, peureux, lâches, assis derrière les murs, emmurés dans une petite chambre, mais ils avaient reçu l’ordre de ne pas quitter Jérusalem jusqu’à ce qu’ils soient revêtus de la puissance d’en Haut. Ils étaient là, cent vingt, assemblés dans la chambre haute, les portes bien fermées, les rideaux tirés, s’il y en avait.
Puis, tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Il remplit toute la maison où ils étaient assis. Ils sortirent dans les rues. Ils ne se sont pas souciés de leur prestige humain. Il y avait tous les aristocrates venant de partout dans le pays, qui étaient assemblés là le jour de la Pentecôte. Ils allèrent dans les rues en titubant, en balançant leurs bras, agissant comme une bande de fous. Dites que c’est faux, et vous niez la Bible. La Bible dit qu’ils étaient ivres.
47 Ecoutez, femmes, vous qui pensez que du fait d’inscrire votre nom dans l’église, c’est en ordre. La vierge Marie était avec eux, agissant comme une femme ivre. Et si Dieu n’a pas permis que la mère de Dieu entre au Ciel sans avoir reçu le Saint-Esprit, comment allez-vous y entrer avec quelque chose de moins que Cela ? Est-ce vrai ? Vous prendrez le chemin avec les quelques méprisés qui suivent le Seigneur.
Ils ont dit: « Eh bien, ces hommes sont pleins de vin doux. »
Là, les femmes et eux tous... Avez-vous déjà vu un homme ivre ? Tout va bien pour lui, il titube, il se cogne contre des objets. « Tout va très bien. » Voyez ? Ivre. Ils ont dit: « Nous ne sommes pas ivres du vin fort, qui mord comme un basilic, qui pique comme un serpent, mais nous sommes ivres de l’Esprit », ivres. Tellement ivres de l’amour de Dieu que vous pouvez oublier tout le passé et ne savoir que ce que Dieu fait maintenant. Vivre pour aujourd’hui. Dieu dans Sa Parole... Oui, oui.
48 Remarquez donc, alors qu’ils étaient tous affectés comme cela et agissaient comme cela, eux tous ; ils se tenaient là à rire et à se moquer d’eux. Les critiqueurs ne sont jamais tous morts là à l’époque. Peut-être qu’ils l’ont été, mais leur esprit continue à vivre.
Remarquez ceci, alors Pierre, un drôle de petit homme qui ne connaissait pas son ABC (il ne pouvait pas signer de son propre nom. La Bible déclare que c’était un homme du peuple sans instruction), il s’est tenu sur une tribune improvisée, ou sur une souche, ou quelque chose comme cela, et il a dit: « Vous hommes de Judée, et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles! Ces gens ne sont pas ivres comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour ; mais c’est ici ce qui... » Il est retourné à la Parole. « C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël: ‘Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair.’ »
Frère, Pierre a dit: « C’est ici ce qui. » Si ici n’est pas ce qui, je vais garder ici jusqu’à ce que ce qui vienne de toute façon. Oui, oui. Car je crois que c’est ici ce qui a été annoncé: Dieu dans Sa Parole parlant au peuple. Dieu a dit qu’Il le ferait. Dieu le fera. Prenez Dieu au Mot, et voyez.
49 Alors, pour confirmer la Parole, Il envoie Ses prophètes ; Il envoie Ses signes ; Il envoie Ses prodiges. Mais malgré tout cela, Dieu descendra dans l’assistance et révélera les secrets mêmes du coeur de l’homme, Il lui dira quoi faire après que la Parole l’a dit premièrement, ce qui est le fondement, ensuite le prophète vient révéler les secrets de son coeur et lui dit quoi faire, et puis, vous voulez me dire que vous avez peur ? Eh bien, oh! la la! Je dis maintenant que Dieu a doublement confirmé cela. C’est vrai. Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole...
Maintenant, rapidement, prenons Dieu dans Son Fils. Croyez-vous que Dieu était en Christ ? Je le crois de tout mon coeur. La Bible déclare que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était Emmanuel. En d’autres termes, Il était l’empreinte de la Personne de Jéhovah ici sur terre, Jéhovah voilé dans la chair, vivant ici sur terre, le Fils unique du Père, dans Son sein.
50 Remarquez, Dieu devenant chair de pouvoir endurer la peine du péché, car c’est Lui qui avait prononcé la sentence contre le péché. Il était le...?... Quelqu’un avait prononcé cette peine contre le péché. Et Il ne pouvait prendre personne d’autre que Lui-même.
Cela ne serait pas juste pour moi de dire: « Ma femme prendra votre place, mon jeune garçon, mon frère, ou n’importe qui d’autre. » Si je suis juste et souverain, je prendrai votre place.
Et Dieu devait descendre dans Son Fils, Jésus-Christ, pour souffrir. C’est vrai. Et le Sang de Dieu a été répandu de Son corps. Oui, oui. Dieu était dans Son Fils. Il a mangé comme un homme. C’est vrai. Il a parlé comme un homme (C’est vrai) quand Il parlait aux gens.
Mais je vous assure, quand les gens étaient venus Le prendre une fois, les soldats, ils sont rentrés et ils ont dit: « Jamais homme n’a parlé comme cet Homme. »
Il était un Homme, mais c’était Dieu qui parlait en Lui. Quand Il se tenait, comme je l’ai dit l’autre jour, à côté de la tombe de Lazare, les larmes Lui roulant sur les joues, Il était un Homme. Mais quand Il a dit: « Lazare, sors », et qu’un homme mort depuis quatre jours est revenu à la vie, c’était Dieu qui parlait dans Son Fils. Oui, oui.
51 Il était un Dieu-Homme. Je crois qu’Il était le–le Fils infini de Dieu, né de la vierge Marie. C’est vrai. Tout ce que la Bible déclare qu’Il était, je crois qu’Il L’était. Quand Il était sur terre, Il ressemblait à Dieu ; Il parlait comme Dieu ; Il–Il prêchait comme Dieu ; Il est ressuscité comme Dieu ; Il est monté en haut comme Dieu. Lui, Dieu était en Lui, Dieu manifesté ici dans un corps de chair sur terre sous une forme, Son Fils, Jésus-Christ.
Remarquez. Dieu était dans Son Fils. Il était toujours... Dieu traitait là tout au début. Quand Il était avec les enfants d’Israël, alors qu’ils traversaient le désert, il y avait un rocher qui cheminait là, les suivant, un rocher spirituel. Et Dieu dit à Moïse: « Frappe le rocher, il fera jaillir de l’eau. »
Qu’était-ce ? Il l’a frappé avec la verge qui était dans sa main. Cette verge n’était pas la verge de Moïse ; c’était la verge de Dieu, le jugement. Il a frappé le rocher et le rocher a fait jaillir de l’eau.
52 Et une fois quand ils ont eu besoin d’eau, ils sont allés au rocher. Quand ils ont eu besoin de quelque chose à manger, ils sont allés là et il y avait un essaim d’abeilles dans une ruche là. Il y avait un creux dans le rocher. Dieu se tenait dans le creux. Les abeilles avaient leur nid dans le creux. Pour tout ce dont ils avaient besoin, ils allaient au rocher. Et la Bible enseigne clairement que Christ était le Rocher qui était dans le désert.
Si vous avez soif ce soir, allez au Rocher. Si vous avez besoin de miel, de la douceur, allez au Rocher. Si vous avez besoin de la vie, allez au Rocher. Si vous voulez croire que Dieu était dans Son Fils, allez au Rocher. Il était dans le Rocher. Parlez au Rocher, et Il fera jaillir Ses eaux. Vous y êtes, Dieu dans Son Fils.
53 Un jour, il y avait là des gens qui croyaient dans la Parole de Dieu à Babylone. Voyons cela juste quelques instants. Et, oh! je peux voir une grande chose se produire. Un décret avait été pris que quiconque irait là-bas et se mettrait à adorer un autre Dieu, ou ne se prosternerait pas à ce que le gouvernement avait dit, devrait être jeté dans une fournaise ardente. Il y avait là trois jeunes gens, quatre, trois principalement: Schadrac, Méschac et Abed-Nego. Ils décidèrent de ne pas se prosterner devant n’importe quelle statue, qu’ils serviraient le vrai Dieu. Ils croyaient Sa Parole. Très bien.
Remarquez. On a découvert que ces jeunes gens ne s’étaient pas prosternés. Alors, on a chauffé la fournaise, sur ordre du roi, sept fois plus que jamais elle ne l’avait jamais été. On a dit: « Nous ferons sortir votre religion de vous à force de brûler. »
Vous ne pouvez pas faire sortir le Saint-Esprit d’un homme à force de brûler. Eh bien, Il est Lui-même un feu. Vous ne pouvez pas Le brûler. On a pris frère Jean le révélateur, on l’a fait bouillir dans une cuve d’huile pendant vingt-quatre heures. On pensait qu’il était un sorcier.
54 Un homme est venu ici au temple, l’autre jour, ou à cet endroit, il a dit: « Hé!... » Le frère allait lui remettre une carte là-bas, il riait. Quelques prédicateurs m’en ont parlé. Il a dit: « Cela... » Il a dit: « Je suis venu pour qu’on me dise ma bonne aventure. »
Oh! la la! On pensait que Jean avait ensorcelé l’huile. Ce n’était pas Jean qui avait ensorcelé l’huile ; c’était le Saint-Esprit qui l’avait lié. L’huile ne pouvait pas le brûler.
Ces enfants hébreux croyaient la Parole de Dieu. Ils ont dit: « Dieu est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente. Mais, de toute façon, nous ne nous prosternerons pas devant votre statue. »
Oh! Si seulement nous pouvions avoir d’autres Schadrac dans cette salle! J’ai dit: « Je ne vois pas de différence en vous. Allez là et quelqu’un a prié pour vous. Je ne vois pas de différence. »
« Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais je ne vais pas me prosterner devant votre incrédulité. Je prends Dieu au Mot. » C’est vrai. Dieu est dans Sa Parole.
55 Observons cette scène alors que nous avons commencé cela juste un instant. Que Dieu nous vienne en aide pendant une minute maintenant pour voir Dieu, comment Il récompensera. Nous nous éloignons de notre sujet juste pendant une seconde.
Je peux voir un matin apparaître. Présentons cela sous forme d’une saynète un moment. Je peux voir la fournaise. Les cieux ont l’aspect noir et rouge. La fournaise brûlait. Je peux voir le roi Nebucadnetsar assis sur son trône. Il a dit: « Nous allons simplement consumer cette bande de saints exaltés là et arrêter toutes ces histoires. » Il a reculé là: « Nous en avons marre de tout cela par ici, de tout ce tas de choses qui se passent ici après tout. »
Très bien. Je peux le voir s’apprêter donc à chauffer la fournaise, faire sortir Schadrac, Méschac et Abed-Nego, les mains liées derrière eux. Trois hommes avec des lances se mettent à les faire monter, ils montèrent là au sommet de la coupole pour les précipiter.
Oh! la la! Ne pensez-vous pas que, lorsque vous recevez Christ comme votre Sauveur, comme votre Guérisseur, le diable ne va pas faire pression sur vous ? Il le fera assurément. Oui, oui. Observez-le simplement.
56 Remarquez. J’ai averti chacun de vous de ce qui arriverait dans soixante-douze heures. La Bible déclare: « Quand un esprit impur sort d’un homme, il va dans des lieux arides, ensuite il revient (Est-ce vrai ?) avec sept autres démons pires que lui. » Faites attention. Laissez le Maître de la maison se tenir là avec la foi pour le combattre et lui résister, lui dire qu’il ne peut pas venir. Refusez de voir cela ; refusez de recevoir cela, ou n’importe quoi d’autre. Accrochez-vous-y.
Remarquez. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... était...?... Ils entamèrent la marche de la mort en montant vers là. Ils allaient consumer ces croyants loyaux en Dieu, ceux qui croient la Parole de Dieu. Ils montèrent vers le... pour être consumés.
Ils montent. Vous le savez. Je peux entendre Schadrac demander à Méschac: « Es-tu–es-tu sûr que nous avons prié jusqu’au bout ? »
Je peux l’entendre répondre: « Oui, j’ai la victoire. Avançons. » Amen. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Ils ont marché tout droit juste un peu plus loin, continuant à avancer, à avancer. Ils étaient pratiquement arrivés là, ils commencèrent à se sentir un peu mal. Je peux l’entendre dire: « Ça va ; êtes-vous prêts maintenant ? »
« Oui, nous sommes prêts. »
57 Ces hommes les poussèrent, renvoyant leurs têtes en arrière, allant directement là. Juste un pas de plus alors, et ils étaient partis dans la fournaise ardente pour être consumés.
Eh bien, les hommes qui se tenaient juste derrière eux moururent de la chaleur intense. La longue lance (probablement la moitié de ce poteau-là ou plus) derrière eux, ils moururent. Cela montre que Dieu était juste avec eux sur la marche. Il sera avec vous à partir de ce soir dès que vous Le recevez. Tenez-vous simplement sur Sa Parole et croyez qu’Il est dans Sa Parole et dans Son Fils.
Ils avancent là, continuant à marcher, allant droit jusqu’au bout. Observez, un pas de plus et ils y entraient.
58 Notre tableau parait plutôt sombre maintenant même pour des croyants, n’est-ce pas ? Tournons simplement notre caméra et nos jumelles, regardons en haut. Vous savez, chaque fois que quelque chose se passe ici sur la terre, il se passe quelque chose au Ciel. Je peux Le voir. Regardons-Le un moment. Je peux Le voir assis sur Son Trône (Oh! la la!), enveloppé dans Ses robes sacerdotales. Je peux entendre venir de Sa droite un bruit. Qu’est-ce ? Disons que cela, c’est Gabriel, le grand Archange, Il accourt à côté de Lui, dégaine son épée et dit: « Maître, as-Tu regardé sur la terre, à Babylone ? Trois fidèles croyants arrivent à leur bout. Les as-Tu observés ? Je T’ai obéi depuis que Tu m’as créé. Permets-moi de descendre ; je changerai la scène en quelques instants. »
Je crois qu’il le pouvait, n’est-ce pas ? Je crois qu’il le pouvait.
59 Cette grosse épée dégainée, et David L’a vu avec cela... Josué L’a vu quand il traversait la rivière. Il a dit: « Je suis le Commandant en chef de l’Armée de l’Eternel. J’ai vu cela être dégainé. »
Il a dit: « Seigneur, permets-moi de descendre, Maître. »
Je peux L’entendre dire: « Gabriel, tu es un bon ange. Depuis le jour que Je t’ai créé, tu M’as obéi. Mais Je ne peux simplement pas te permettre d’aller. » Je peux voir Gabriel rengainer son épée dans le fourreau, prendre... se mettre au garde-à-vous à Ses côtés. Oh! la la!
Tout au Ciel Lui obéissait. C’est vrai. Tout sauf les coeurs des hommes, ils ne veulent pas Lui obéir. Ils ne veulent pas Lui obéir.
60 Regardez, de sa gauche est venu un autre ange. Regardez-Le. Dieu a des esprits à Son service: des anges. Je crois en Celui qui est ici même maintenant, Il n’est pas loin.
Et Il s’est tenu... Quel est son nom ? Absinthe: des eaux amères. Je peux l’entendre dire: « Ô Maître, as-Tu regardé sur terre, à Babylone ? Permets-moi de descendre là ce matin. Tu m’as donné les clés de la destruction antédiluvienne. J’ai déversé le déluge sur la terre. »
Tu sais de... Absinthe a cela, le contrôle de toutes les eaux de la terre ; c’est ce que déclare la Bible. Et il dit là: « Je descendrai effacer par des eaux Babylone de la surface de la terre. » Je crois qu’il aurait pu le faire, pas vous ? Oui, oui. « Oh! a-t-il dit, Maître, regarde sur terre. »
Je peux l’entendre dire: « Absinthe, tu as été un bon ange. Tu M’as obéi et tu as brisé les sources des profondeurs et autres, tu as détruit le monde du temps de Noé. Mais Je ne peux simplement pas te permettre d’aller. » Je peux voir Absinthe regagner sa place et se tenir au garde-à-vous.
61 « As-Tu considéré cela ? », a dit un autre ange.
Il a dit: « Oui, J’ai observé cela toute la nuit. »
Oh! Frère, s’Il a été préoccupé au sujet de trois personnes, Il est aussi préoccupé au sujet de trois mille qui sont ici ce soir. Son oeil est sur le passereau. Il sait maintenant ce dont vous avez besoin. Il sait pourquoi vous êtes venu à cette réunion ce soir.
Je peux L’entendre dire: « Je ne peux pas vous laisser aller, vous, parce que J’y vais Moi-même. » Oh! la la! Je peux Le voir se lever.
Vous pensez que je suis fou, n’est-ce pas ? Vous allez me taxer de saint exalté de toute façon, vous feriez alors tout aussi mieux de le faire.
Remarquez. Je L’aime. Ma vie est entièrement pour Lui. Je ne vois que Lui.
Je peux Le voir se lever de Son Trône et sortir de là, Ses vêtements tombant tout autour de Lui. Et là au fond, dans le pays du nord, je vois un grand cumulo-nimbus. Je peux L’entendre dire: « Viens ici. » Oh! la la! Je peux L’entendre dire: « Vent d’est, d’ouest, du nord et du sud, venez ici. » Tout fait cas de Lui. C’est vrai. Je peux L’entendre dire: « Allez là et passez en dessous de ce cumulo-nimbus, et faites rouler cela ici. Voici venir les vents d’est, du nord, du sud et d’ouest, passer sous ce grand cumulo-nimbus. Et les voici venir, tourbillonner à côté du Trône. Je peux Le voir monter dessus. Oh! la la! Il dit: « Vents, Je vais vous conduire comme Mes chevaux ce matin, Je descends à Babylone. »
62 Je peux Le voir tendre la main et se saisir d’un éclair zigzag avec Ses mains, passer à côté de l’Arbre de la Vie et prendre une branche. Ils venaient d’effectuer leurs derniers pas, ayant confiance dans la Parole de Dieu. Et au moment où ils entraient, Quelqu’Un semblable au Fils de l’homme se tenait à côté d’eux (Alléluia! Oui, oui!), tenant une palme, en train d’éventer même au milieu des brises chaudes, en train de leur parler.
Quand le roi Nebucadnetsar ouvrit les portes, il dit: « Combien de gens avez-vous jetés là-dedans ? »
On lui répondit: « Trois. »
Il dit: « Il y en a quatre. Et l’Un ressemble au Fils de Dieu. »
Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ses puissances ne peuvent pas faillir. Il ne peut pas faillir. Dieu est dans Son Fils. Oui. Croyez-vous cela ? Dieu est dans Son peuple. Dieu est ici ce soir.
63 Dieu s’est manifesté dans Son peuple le jour de la Pentecôte. Quand ce pauvre pêcheur s’est tenu là et a apporté ce sermon au point que cela a fait écrouler les stalactites de l’enfer dans les yeux du diable, trois mille personnes entrèrent dans le Royaume de Dieu.
Le lendemain, il a prêché encore, il y a eu la guérison d’un estropié qui se tenait à la porte. Il l’a guéri, et cinq mille âmes entrèrent dans le Royaume de Dieu. Dieu dans Son peuple... Oui, oui.
Je peux voir le petit Etienne là debout, un pauvre petit homme debout devant environ un million de personnes, devant cette grande cour du sanhédrin ce matin-là. Et la Bible dit que Son visage brillait comme celui d’un ange. Dieu était dans Son peuple. Il a dit: « Ô vous, au cou raide, incirconcis de coeur et d’oreille, pourquoi résistez-vous au Saint-Esprit ? Vous faites ce que vos pères ont fait. »
Et ils grincèrent les dents contre lui. Et quand ils le lapidaient à mort, lui avec sa petite tête dans le sein de Dieu, Il a dit: « Je vois Jésus debout à la droite de Dieu. »... Dieu l’a bercé jusqu’à ce qu’il dorme dans Son sein, comme une maman berce un enfant. Dieu est dans Son peuple.
64 Je peux voir ce pauvre pêcheur sans instruction d’école primaire, ou qui ne pouvait même pas signer de son propre nom, un homme du peuple sans instruction avec tellement de Dieu en Lui que les passants dans des rues voulaient que son ombre leur passe dessus. Tout le monde était guéri. Pourquoi ? Dieu dans Son peuple. Alléluia!
...?... Il a dit à son arrivée à la croix, quand on allait le tuer, il a dit: « Je n’ai qu’un seul regret: je n’ai pas eu cinq vies à donner pour la gloire de Dieu. » Dieu dans Son peuple... Oui, oui.
Quand on allait le tuer, l’apôtre Pierre a dit: « Mettez-moi les pieds en haut et la tête en bas. Je ne suis pas digne de mourir comme mon Seigneur. » Oh! la la!
La croix d’André, comment il... On l’a tué ; comment on les a brûlés sur le bûcher. On les a donnés en pâture aux lions. On les a sciés. On les a jetés en prison. On disait qu’ils étaient fous. On fermait des portes. On les chassait des villes. Et Dieu habite dans Son peuple. Un...
65 Le 6 avril 1909, alors que le soleil commençait à apparaître un peu au-dessus d’une petite colline de Kentucky, une pauvre petite mère de quatorze ans était assise là, sur un drôle de petit lit grossier, il n’y avait pas de pavement, juste la terre. Tous les objets, une petite table, un vieux petit matelas en paille posé là pour s’y étendre, avec un petit oreiller en cosse pour elle afin qu’elle y repose sa tête...
Mon papa était en salopette, debout au pied du lit... Mais Dieu a permis que je vienne sur la terre. Alors que l’Etoile du matin se levait au-dessus des montagnes, entrant en tournoyant par la fenêtre, un Etre surnaturel en tournoyant dans la chambre pendant que les gens de la montagne qui se tenaient là se sont mis à crier. Oh! la la! [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Des années plus tard, me tenant dans une petite pièce par une nuit froide. Priant de tout mon coeur, voici venir cet Etre surnaturel, Son auguste Personne éclaira la pièce comme si le soleil du matin brillait. Il me parla, en un cri: « Viens, n’aie pas peur. Je suis avec toi. (Alléluia!) Tu dois amener un Message de la guérison divine au peuple du monde. »
Il est ici, accomplissant des miracles, dénonçant des maladies, guérissant les estropiés, les aveugles, les sourds, les muets ; agissant parmi Son peuple. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela ? Oh! Alléluia! Il est ici maintenant. Il est dans Son peuple.
66 Dieu a envoyé des prédicateurs partout afin de prier pour les malades, guérir les malades. Je crois maintenant même... Croyez-vous que Dieu est dans Son univers ? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole ? Croyez-vous que Dieu est dans Son Fils ? Croyez-vous que Dieu est ici dans Son peuple, manifestant des signes et des prodiges ? Alors, acceptez-Le.
« Montre-nous le Père, et cela nous satisfait. » Il est ici. Il guérit les malades, Il fait marcher les boiteux, Il fait voir les aveugles. Les cancers, les sourds, les muets, les estropiés. Il est ici pour accomplir des miracles maintenant même. Croyez-vous cela ? Acceptez-Le sur ces bases-là. Permettez-moi de vous montrer que Dieu est ici. J’aimerais que six ou huit prédicateurs qui ont le Saint-Esprit, qui croient dans la guérison divine, viennent ici une minute.
67 Retenez-vous toujours: « Montre-nous le Père » ? Très bien, venez ici. Frère Markham, j’aimerais que vous vous teniez juste là au bout de cette rangée-là. Et vous avec lui, frère, juste au bout de cette rangée-là, là même avec lui. Venez ici, vous deux frères, tenez-vous ici même au bout de cette rangée-ci. Voyez si Dieu est dans Son peuple ou pas. Venez juste ici, frère. Vous deux frères, tenez-vous ici au bout de cette rangée-ci. Et vous deux autres frères, allez à l’autre bout de cette autre rangée là-bas.
Tenez-vous ici, regardez dans cette autre direction, frère. Vous deux, juste ici, à ce bout-ci, regardez dans cette direction là-bas. Venez au bout des rangées, juste au bout des rangées. Tenez-vous juste au bout des rangées. Vous deux frères là, allez directement là où se trouve cette dame, juste là.
N’ayez pas peur au sujet de votre enfant, soeur.
Très bien. Allez à l’autre bout là, frère, juste là, à l’autre bout, en allant vers là. Tenez-vous là au bout de la rangée.
68 Croyez-vous que Dieu est dans Son peuple ? Croyez-vous que Dieu me dira la vérité ? Vous ai-je dit la vérité en tant que témoin ? Voici ce que l’Ange de Dieu a dit: « Si tu amènes les gens à te croire et que tu es sincère, rien ne résistera à ta prière. »
Maintenant, Regardez. Il y avait deux ou trois personnes paralysées assises dans des fauteuils ici la semaine passée ; elles avaient marché. Un aveugle a dit que son fils l’avait conduit dans la salle l’autre soir, et le Saint-Esprit l’a appelé. Il a recouvré la vue et il est sorti de la salle. Cancer après cancer, surdité, toutes sortes de maladies sont guéries ici. Est-ce vrai ? Dieu est ici. Péché après péché a été dénoncé, maladie après maladie. Il n’y a rien qui vient donc devant le don sans qu’Il ait dénoncé cela ouvertement, disant ce que c’était. Est-ce vrai ? Donc, Dieu est dans Son peuple. Alors, croyez que je vous dis la vérité.
69 Combien dans cette salle aimeraient être guéris maintenant même par Dieu ? Je vous le dis, Dieu est dans Ses prédicateurs. Dieu est en vous. Dieu est ici maintenant. Dieu vous aime. Croyez-vous cela ?
Dieu m’a aimé. Dieu m’a aimé quand j’étais un petit garçon. Il m’a toujours aimé. Il m’a aimé jadis alors que j’allais à l’école, pieds nus, sans rien sur moi, en petite salopette, avec un petit seau plein de miel, avec du pain de maïs et du miel à manger. Dieu m’aimait. Il m’aimait alors. Il m’aimait quand je suis...?... juste. Dieu m’aime maintenant. Son serviteur fatigué se tient ici. Il m’aimera dans l’éternité. Il nous aimera quand les océans ont... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...
La Parole de Dieu sera la même quand il n’y aura plus de lune, d’étoiles, de terre, ni rien d’autre. La Parole de Dieu demeurera éternellement. Est-ce la vérité ? Dieu est ici dans Son peuple ce soir pour accomplir cela.
Chaque homme et chaque femme qui veulent être guéris par la guérison divine, qui ont foi en Dieu, qu’ils s’avancent au milieu des allées. Tenez vos cartes de prière, ou tout ce que vous avez... Avancez au milieu de ces allées. Tenez-vous là même. Maintenant, Ne venez pas plus loin, juste là au bout de vos allées. Tenez-vous là, tout le monde. Croyez-moi de tout votre coeur. Je peux vous prouver que Dieu est ici pour guérir chaque malade dans cette salle.
Grâce étonnante!
Oh! quel doux son!
Qui sauva un vil comme moi!
Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.
70 L’Ange de Dieu est ici. Oh! la la! Amis, si seulement vous pouviez voir et sentir cette glorieuse onction de Dieu en train de se mouvoir! Ecoutez. Chacun de vous prédicateurs, alors que ces foules commencent à venir, je vais me mettre à prier. J’aimerais que vous leur imposiez les mains pendant que je le fais aussi.
J’aimerais que vous fassiez ceci: Lorsque vous passez par ceci, chacun de vous qui êtes dans la ligne (Ces prédicateurs sont oints de Dieu pour prier pour les malades), j’aimerais que vous croyiez. J’aimerais que vous rejetiez toute incrédulité, que vous la fouliez sous vos pieds, que vous sortiez de cette salle en glorifiant Dieu, car Dieu est ici ce soir pour guérir chaque personne dans la salle. Croyez-vous cela ? Dites amen.
Très bien, prédicateurs, où que vous soyez, alors que cette assistance commence, imposez-leur les mains. Je vous envoie faire cela ainsi au Nom du Seigneur Jésus.
Que Dieu accorde à chaque personne ici présente, maintenant même, la guérison de son corps. Pendant que vous, vous venez, les frères prient maintenant, là dans la ligne.
Allez-y, frères. Commencez votre prière. Vous, commencez à venir, là dans la ligne.
71 Pendant que nous avons nos têtes inclinées, chaque chrétien dans la salle, partout, chaque chrétien, inclinez la tête, partout. Et quand la petite ligne de prière commencera, passez dans cette ligne-ci. Je vais me tenir ici et demander à Dieu de guérir chacun de vous. Accorde-le, ô Dieu, maintenant que nous prions. Inclinez la tête.
Notre Père céleste, nous sommes assemblés ici au Nom de Ton Fils, Jésus. Ô Eternel Dieu, Auteur de la Vie, les gens passent dans ces lignes, les hommes et les femmes. Ô Père, Tes serviteurs se tiennent là, des croyants, imposant les mains aux malades au Nom de Ton Fils, sachant que Dieu est dans Son univers, Dieu est dans Sa Parole, Dieu est dans Son Fils, Dieu est dans Son peuple. Dieu est ici maintenant, exprimant ouvertement Ses glorieuses manifestations, de Sa vérité, et rendant tout réel. Ô Eternel Dieu, envoie Tes bénédictions sur ce groupe de gens maintenant même, bénis-les, et donne à chacun d’eux une parfaite guérison de son corps.
Satan, toi puissance démoniaque de l’enfer qui as lié ces chrétiens, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, sors d’eux. Lâche-les et laisse-les aller...?...