La Foi Dans Le Fils De Dieu

Date: 52-0715 | La durée est de: 1 heure et 24 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1          Bonsoir, mes amis. Je suis très heureux d’être ici ce soir pour présenter notre Seigneur Jésus-Christ et Son amour à l’humanité déchue, aux malades et aux affligés, aux nécessiteux, aux pauvres, aux proscrits, et aux désespérés, Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Il est aimable, n’est-ce pas? Nous L’aimons. Et Il est ici ce soir pour se révéler à nous tous. Il nous aime. Avant que nous L’aimions, Il nous a aimés.

            C’est comme je l’ai dit: «Aucun homme ne cherche Dieu. C’est Dieu qui cherche l’homme.» L’homme, de par sa nature, est un rebelle envers Dieu. Il ne... Il est contre Dieu. Mais Dieu aime l’homme. Depuis la chute au jardin d’Eden, Dieu appelle toujours Son enfant. Et Il l’appelle par le tonnerre, par l’éclair, par le coucher du soleil, par la prédication de l’Evangile, par des signes et prodiges, par des prophètes, par des miracles, par des visions; c’est Dieu qui s’adresse à Son peuple.

            J’aimerais vous parler un de ces jours sur la façon de voir Dieu, avant que je parte d’ici: les quatre moyens, quelques moyens, quatre ou cinq moyens par lesquels nous pouvons amener Dieu juste dans cette salle; je peux vous le prouver, Il est juste ici maintenant dans cette salle. J’aurais souhaité avoir le temps ce soir.

2          Maintenant, c’est à moi de prêcher; c’est frère Baxter et les autres qui prêchent; moi, je prie pour les malades. Et je crois que Dieu se révélera à vous ce soir de façon vraiment merveilleuse. Maintenant, il nous reste à peine quelques soirées de cette série de réunions, cette campagne. Si le Bienveillant Seigneur le veut, lundi, nous partons pour Zion, dans l’Illinois. Et juste à partir de là, je–je me fie en quelque sorte aux impressions, la manière dont Il semble me conduire. J’avais une série de réunions que je vais tenir. Je sais où se tiendra cette réunion. Cette réunion se tiendra dans–dans... l’une en Afrique du Sud, l’autre se tiendra en Inde. Et ce sera une merveilleuse série de réunions. Ça sera là où Dieu va se révéler à trois cents mille personnes.

            Et ici, j’essaie de faire de mon mieux pour faire tout ce que je peux, pendant que je suis en mesure de travailler pour notre Seigneur. Et à ma connaissance, j’investis tout mon temps, et toute mon énergie pour apporter l’Evangile de Jésus-Christ aux gens de la manière que je suis... de la seule manière que je connais, par la prédication de l’Evangile et par le don divin qui m’a été donné, non pas pour guérir les gens, mais en tant que–que voyant. C’est dans ce but que je suis né, pour voir des visions. Je n’utilise donc cela que pour la gloire de Dieu.

            Si je fais quelque chose de mal, ce n’est pas intentionnel. Que Dieu soit miséricordieux envers moi, car j’essaie de faire tout ce que je peux pour aider Son peuple. Je L’aime. Je sais que c’est la seule chose que je fais vraiment. J’aime le Seigneur de tout mon coeur. Je... Il y a simplement quelque chose en moi qui fait partie de ma vie. Je ne sais pas ce que–ce que le futur détient, mais je sais qui tient le futur, c’est l’essentiel. Je–je sais que c’est Lui qui tient tout le futur, et peu importe ce que sera mon futur, c’est entre Ses mains. Alors, chaque jour j’aimerais vivre, non pas pour moi-même. Si je vis pour moi-même, je mène une vie égoïste. J’aimerais vivre pour les autres, et consacrer ce que j’ai comme force, non pas pour moi-même, ni pour mon propre plaisir, mais pour le bien des autres, et cela bâtira le Royaume de Dieu.

3          Maintenant, certains de mes enseignements théologiques, mes points de vue sur la Bible, peuvent être erronés. Je ne pourrais pas le dire. Je ne suis pas un étudiant, loin de là. Je suis vraiment un illettré, et je ne suis pas instruit, j’ai juste reçu  une instruction d’école primaire; ce n’est pas que je l’ai souhaité, mais je n’ai pas pu avoir d’instruction. Nous avons grandi dans une famille pauvre, composée de dix enfants, avec un père maladif qui est mort encore jeune. Le fardeau reposait sur moi, l’aîné de la famille. Je faisais de mon mieux, pour montrer cela à ma mère.

            Mais maintenant, pour le Royaume de Dieu, si j’ai pu faire cela pour mes frères et soeurs dans la chair, que pourrais-je faire pour mes frères et soeurs qui sont dans l’Esprit qui vit éternellement? Le mieux que je sache faire. Et certains parmi vous pourraient ne pas être d’accord avec moi dans mes enseignements sur différents points. Mais je ne le dis aucunement pour susciter une dispute et ainsi de suite, je–je le dis simplement pour être honnête envers–envers mes convictions, pour déclarer mes points de vue là-dessus si je suis dans l’erreur, alors pardonnez-moi, et priez pour moi afin que je–je sois dans le vrai.

            Mais il y a cette seule chose, et c’est fondamental, j’en suis sûr: il s’est passé quelque chose dans mon coeur un jour. Je suis devenu une nouvelle créature. Et depuis lors, je–je suis amoureux de Lui, je suis tellement amoureux de Lui que tout le reste est devenu secondaire. Et c’est pareil pour tout le reste lorsque vous êtes amoureux de Jésus.

4          Oh! je... peut-être, je ne dirais pas que j’ai une raison (de le faire), mais peut-être, il se pourrait qu’il y ait une autre fille dans le monde que j’aurais pu épouser. Mais, vous savez, je–j’ai trouvé l’unique dame que j’aime réellement. Et je–je lui avais demandé si elle avait autant d’amour pour moi. Elle avait dit: «Oui.» Alors, nous nous sommes mariés.

            Et je lui ai dit: «Maintenant, écoute: je te donne tout mon amour.» Peu importe ce que sont les autres femmes, c’est cette femme qui a mon amour. Lorsque je... peut-être qu’en descendant la rue je vois venir une fille plus attrayante que ma femme, ou... Et elle dit: «Oh! Billy, je t’aime vraiment de tout mon coeur.»

            Maintenant, tout d’abord (Voyez-vous?), si elle a de l’amour pour moi, cela doit sûrement être faux, parce que mon premier devoir, c’est en rapport avec ce que j’ai promis à ma femme, c’est elle d’abord. Je dois d’abord penser à elle. C’est elle qui compte d’abord pour moi. Je lui avais promis que je lui vouerais tout mon amour. Et par conséquent, mon premier devoir, c’est envers ma femme. Je dirais: «Maintenant, écoute, soeur. Tu vois, tu t’es simplement entichée, ou quelque chose comme cela, parce que tu–tu–tu n’es pas amoureuse.» Voyez-vous? «Et moi, je ne suis pas amoureux de toi. En effet, j’aime une seule femme; c’est la mère de mes enfants.» Voyez-vous? C’est là mon premier devoir.

5          Eh bien, j’aime mes frères; j’aime mes soeurs. Et je les vois; eh bien, mon premier devoir cependant, c’est envers mon premier amour pour Jésus-Christ. Et j’ai été enseveli avec Lui dans le baptême. Est-ce juste? Alors, c’est donc le premier devoir. Ensuite...?... Je dois rester fidèle à cela, peu importe combien j’aime le–ce frère-ci, ou frère Bosworth, frère Baxter, ou frère Cox, ou l’un de ces frères-ci. Peu importe combien je les aime, que mon premier engagement soit pour Christ. Je dois Lui accorder la première place. Et ensuite, eux viennent en deuxième position. Très bien.

            Ce n’est pas pour comparer ce genre d’amour à–à la convoitise ou la passion dont je parlais, concernant cette femme, mais c’est juste pour vous donner une–une parabole. Vous comprenez? Et je pense que c’est ce que nous faisons tous, plus ou moins, nous essayons d’exprimer nos sentiments envers notre Seigneur. Peu importe...

            Maintenant, si quelqu’un vient, l’un de vos grands amis, et dit: «Eh bien, écoute, Jean, je–je–je pense que tu te trompes au sujet de la guérison divine. Je–je pense que tu te trompes.» Et cependant, Dieu a touché votre corps, et vous savez que la guérison divine est vraie.

            Maintenant, votre premier devoir, c’est de prendre position pour Christ. Si on dit: «Eh bien, écoute. Je crois que tu es simplement... eh bien, tu–tu t’imagines simplement que tu es né de nouveau. Ça, ça n’existe pas. Un homme ne peut pas naître de nouveau.» Alors, votre premier devoir, c’est de prendre position pour Christ.

            Dites: «Oui, je suis né de nouveau. Je suis sûr que je le suis.»

            Tout récemment, j’ai été invité dans le–le cabinet d’un médecin célèbre. Il m’a dit; il a dit, oh! il était tellement inquiet ce matin-là, et il était troublé, et il était dans tous ses états, vous savez, et il a dit: «Ecoutez un peu.» Il a dit: «Vous avez passé les deux tiers de votre vie à essayer d’avoir de l’instruction, et un tiers à vivre de cela, et vous devez vivre pour quelqu’un d’autre.»

            Et, oh! la la! il était terrible.

            Il a dit: «N’est-ce pas horrible?»

            Et j’ai dit: «Oui, c’est ça.» Il s’est donc tenu là pendant quelques instants. J’ai vu qu’il était pressé et tout. Je devais lui parler.

            Il a dit: «Ce dont j’aimerais vous parler, c’est que j’ai appris que vous êtes un missionnaire.»

            J’ai dit: «Un missionnaire évangélique, oui, monsieur.» J’ai dit: «Je reviens de l’Afrique.»

            Il a dit: «Ecoutez, autrefois, j’avais aussi fait des études pour devenir un prédicateur, pendant quatre ans.» Et il a dit: «Je–j’ai fini par découvrir que cela ne valait rien.»

            «Oui, monsieur.»

6          Il a dit: «Lorsque je me suis mis à étudier, a-t-il dit, j’ai étudié le livre de Mahomet. J’ai étudié Bouddha. J’ai étudié tout ceci et le–le Confucius, le philosophe, et ainsi de suite.» Et il a dit: «Tous ces bouddhistes, ils sont tous nés d’une naissance virginale.»

            Il a dit: «Les mahométans, tous–eux tous d’un bout à l’autre, tout du long doivent être nés virginalement, et tout.» Il a dit: «La chose tout entière, j’étais tout à fait embrouillé», et il a dit: «J’ai simplement rejeté la chose, a-t-il dit, il n’y a rien là-dedans. Et je suis un parfait agnostique.»

            Je ne me sentais pas très bien à ce moment-là. Je voulais revenir lui parler encore. Je me suis dit: «Seigneur, je suis... Mon esprit n’est pas suffisamment fort maintenant pour affronter ce type. Mais permets que je me glisse quelque part pour me dégourdir un tout petit peu. Je reviendrai.»

            Alors, je suis sorti, j’ai prié. Au bout d’un moment je l’ai de nouveau rencontré. Il a dit: «Eh bien, bonsoir, Révérend Branham.»

            J’ai dit: «Bonsoir.» Il était un peu plus gentil envers moi à ce moment-là.

            J’ai dit... Il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, que pensez-vous de ces tribus qui sont là en Afrique? Que pensez-vous d’elles?» Il a dit: «Pensez-vous qu’elles font de grands progrès, qu’elles progressent?»

            J’ai dit: «Oui.»

            «Et qu’en est-il de ces grands malabars?»

            J’ai dit: «Ce sont des Zoulous.»

            «Oh! Oui, c’est ça. C’est ce qu’il en est. J’ai étudié bien des choses à leur sujet.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai prié...?... J’ai dit: «Maintenant, Seigneur, si je le revois, permets qu’il me parle de la religion.» Ne faites jamais vous-même pression sur quelqu’un. Voyez-vous? Laissez-le vous le demander. S’il est intéressé, il vous demandera. Alors, j’ai dit: «Maintenant, voyons ce qu’il va dire.» Eh bien, nous avons un petit peu continué la conversation.

            Et aussitôt, vous savez, eh bien, il a dit; il a dit: «Eh bien, pensez-vous qu’ils font plus de progrès?»

            J’ai dit: «Oui, je crois que les Zoulous font un peu plus de progrès.» J’ai dit: «Ils font...»

            Il a dit: «Ce sont des malabars.»

            «Oui.» Et nous avons causé. Et juste là dans son cabinet, il est sorti de son cabinet pour me parler, ou plutôt de son cabinet principal, là où beaucoup de gens étaient çà et là pour suivre la conversation. Et il a dit, je me suis dit: «Eh bien, Seigneur, j’attends maintenant que Tu me donnes ce signal de départ là pour–pour parler religion.»

            Il a dit: «Eh bien, je vous assure, a-t-il dit, je veux dire que l’homme le plus intelligent qui ait jamais été en vie était le Mahatma Gandhi.»

            J’ai dit: «Bien, ai-je dit, chacun a son opinion.» Mais j’ai dit: «Je–je–je... Mahatma Gandhi était un homme très bien.» J’ai dit: «J’avais l’occasion de rencontrer son–son fils là à Durban, si je l’avais voulu.»

7          Il a dit: «Dites donc, j’aimerais que vous alliez par ici chez Stewart chercher un–un livre intitulé The Life of Mahatma Gandhi’s son [La Vie du fils de Mahatma Gandhi–N.D.T.]» Il a dit: «J’aimerais que vous vous procuriez The Talk to the stars.» Et vous dites...?... par là, que je vous ai envoyé là.» Il a dit: «Dites donc, Révérend, je vous apprécie.» Il a dit: «Si jamais vous allez outre-mer, a-t-il dit, vous savez, si vous ne pouvez pas recevoir ces piqûres contre la fièvre jaune ici ou ailleurs, a-t-il dit, ...?... c’est le seul médecin qui est là au–au poste–au–là où? A Fort Knox.» Il a dit: «Je vais vous faire une piqûre de fièvre jaune ou quoi que ce soit, je vais vous l’obtenir gratuitement aussi, Révérend.»

            J’ai dit: «Merci...?... Il devait dire quelque chose au sujet de la religion. Alors, nous avons continué la conversation pendant un instant. Et ainsi, peu de temps après, il a dit: «Dites, a-t-il dit, je vous assure, ces mahométans sont des gens intelligents, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «oui, oui.»

            «Ces musulmans...»

            J’ai dit: «Oui, monsieur, ils le sont.» Voyez-vous? Des gens intelligents.

            Il a dit: «Ils ont beaucoup étudié, voyez-vous?»

            Et j’ai dit: «Effectivement. C’est juste; ils ont beaucoup lu.»

            «Vous n’avez pas  très bien réussi à gagner ces genres de personnes à votre religion, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «Oh! si.» Il a dit, j’ai dit: «Nous avons fait environ trente mille convertis en un seul jour.»

            Il a jeté sa cigarette; il a dit: «Quoi?»

            J’ai dit: «Si, si.»

            Il a dit: «Est-ce la vérité?»

            J’ai dit: «Bien sûr que oui.»

            Il m’a tapoté dans le dos; il a dit: «Mon fils, tu dois être un génie.» C’était là l’occasion pour moi.

            J’ai dit: «Non, non. Je suis un abruti qui n’a fait que l’école primaire. Mais c’est mon Seigneur qui est le Génie, le Seigneur Jésus-Christ.»

            Il a baissé la tête. Il a dit: «Vous voulez dire que vous avez fait trente mille convertis en un seul jour?»

            J’ai dit: «Effectivement.» J’ai dit: «Si vous doutez de cela, vous pouvez appeler Sidney Smith, le maire de Durban, pour voir si c’est ça.» J’ai dit: «Il y en avait plus que cela, mais nous parlons simplement de trente mille.»

            Il a dit: «Etaient-ce des musulmans et des mahométans? Sont-ils...?...»

            J’ai dit: «Oui, oui. Ils se tenaient là avec leurs tabliers et tout, et ils ont essuyé les taches rouges d’entre les yeux, pour se mettre en ordre avec Dieu. Lorsqu’ils ont vu la puissance du Dieu Tout-Puissant opérer, ils ont dit: ‘Ça me suffit.’ Ils ont cru.»

8          «Bien, ai-je dit, docteur, excusez-moi de vous parler comme ceci, car vous êtes un homme intelligent. Mais, ai-je dit, vous savez, lorsque les arbres... dans le jardin d’Eden il y en avait deux: l’un était l’arbre de la connaissance, et l’autre c’est l’Arbre de la Vie. Et l’homme quitta cet Arbre pour... contourna cet arbre-ci.» Et j’ai dit: «Lorsqu’il a pris la première bouchée de cet arbre, quoi que ce fût... (J’ai mon opinion là-dessus.) Alors, quoi que ce fût, lorsqu’il a pris sa première bouchée, il s’est séparé de son Créateur. Et depuis ce temps, il mange de cet arbre-là. Et chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre, il se détruit.» J’ai dit: «Dieu ne détruit rien. C’est l’homme qui se détruit lui-même par la connaissance.»

            Et j’ai dit: «Comme l’a dit Paul à Agrippa, il y a longtemps: ‘Je pense que ton grand savoir te fait déraisonner’», j’ai dit: «Vous avez lu trop de livres.» J’ai dit: «Docteur, vous essayez de prendre ces vieilles philosophies et autres comme cela, pour dire qu’ils sont nés virginalement et ainsi de suite, pour comparer cela avec la Vérité.» J’ai dit: «L’une c’est l’indifférence, et l’autre est le sublime.» J’ai dit: «Je sais que les gens se moquent de la chose, exactement comme tout le reste, et ils disent qu’ils sont nés virginalement, mais rien de cela ne peut être confirmé.» Et j’ai dit: «J’ai visité le pays en question ainsi que les tombes, les tombes de presque tous ces fondateurs.» J’ai dit: «Mais, dites-moi où Jésus vit aujourd’hui. Où a-t-Il été enseveli? Montrez-moi Ses os.»

            Il a dit: «Eh bien, quelle histoire était...? Eh bien, on raconte qu’on avait volé Son corps.»

            J’ai dit: «Non, Il était ressuscité.»

            Il a dit: «Comment pouvez-vous prouver cela?»

            J’ai dit: «Il vit dans mon coeur.» Voyez-vous? J’ai dit: «En voilà la preuve.» J’ai dit: «Il demeure dans mon coeur.» J’ai dit: «Je pourrais ne pas être intelligent, Docteur. J’aimerais vous parler; vous êtes un homme intelligent. Mais, ai-je dit, écoutez un peu. Savez-vous ce qui ne va pas en vous les gens?» J’ai dit: «Vous mangez de cet arbre de la connaissance.»

            Il a dit: «Révérend Branham, écoutez, a-t-il dit, vous avez dit, un homme a pris une bouchée de la poudre à canon, et cela a tué son ami?»

            J’ai dit: «Oui, ai-je dit, puis, c’est l’automobile.»

            «Oui.»

            «Et ensuite, c’est maintenant la bombe atomique.»

            Il a dit: «Révérend Branham, si nous n’avions pas d’automobile, ni de poudre à canon, ni de bombes atomiques, a-t-il dit, l’homme continuerait à mourir.»

            J’ai dit: «Un instant, Docteur. Il ne mourait pas, jusqu’au moment où il a quitté cet Arbre. Il avait la Vie tant qu’il n’avait pas quitté cet Arbre. Et le fait de quitter cet Arbre-là a amené la mort.» Voyez-vous? J’ai dit: «Ce n’est pas–ce n’est pas qu’ils soient... c’est simplement les conséquences d’avoir quitté l’Arbre de la Vie. Mais aussi longtemps qu’il restait avec cet Arbre de la Vie, il vivait éternellement. Mais lorsqu’il a quitté l’Arbre de la Vie et qu’il a rejeté cet Arbre pour manger de cet arbre-ci, il a désobéi à Dieu, c’est à ce moment-là que le doute vient sur la Parole de Dieu, puis quant à moi, la mort s’installe. Et lorsque le doute vient dans votre coeur vis-à-vis de la Parole de Dieu, la mort s’installe.»

9          J’ai dit: «Voici l’Arbre de la foi.» J’ai dit: «Un homme a la connaissance au moyen de ses cinq sens.» J’ai dit: «Il en a fait un grand travail.» Mais j’ai dit: «Vous savez ce que vous avez comme problème, vous les gars, malgré toute votre instruction.» J’ai dit: «Je ne cherche donc pas à soutenir mon ignorance», ai-je dit, nous utilisons des béquilles pour ceci, mais ai-je dit, vous les gars, vous montez sur cet arbre ici aussi loin que va la connaissance, et vous allez chercher la solution avec votre tête, puis lorsque vous montez si haut, que vous ne pouvez pas aller plus loin, et vous allez par ici et vous courez dans ce sens et vous courez dans l’autre, alors vous dites...?... tout ça.» J’ai dit: «Lorsque vous arrivez aussi haut que possible dans la connaissance, eh bien, cet arbre-là convient, ai-je dit, aussi longtemps que vous arrivez aussi haut que possible là-dessus, à partir de ce moment-là, croyez.» J’ai dit: «C’est–c’est ce que vous devez faire. Lorsque vous n’arrivez plus à comprendre la chose, alors croyez. C’est le moment de croire, lorsque vous n’arrivez plus à comprendre cela. C’est à ce moment-là que cela vient par la foi.» Voyez-vous?

10        Comment un homme atteint du cancer peut-il vivre alors que le médecin déclare qu’il va mourir? Tout, tout indiquait qu’il va mourir, mais le voici juste ici ce soir en vie, il est en vie depuis longtemps. Certains d’entre eux sont passés de l’autre côté, à ce que je sache, alors que ces gens, il y a sept ans, on leur donnait à peine des heures à vivre, et voilà que ce sont des gens forts et en bonne santé. Comment cela se fait-il? Je ne sais pas. C’est par la foi. Voici cet Arbre ici. Voyez-vous?

            C’est comme un garçon qui essaie de nager. Il dira: «Je sais nager.», aussi longtemps que ses pieds se posent sur le fond; mais lorsqu’il s’éloigne, et atteint les eaux profondes, oh! la la! il se met à gargouiller et à crier au secours.» C’est le moment de nager, lorsque vos pieds ne touchent plus le fond. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Eh bien, c’est la même chose que ceci, mon cher ami. Aussi longtemps que vous comprenez la chose, et vous vous demandez comment, aussi longtemps que vous dites: «Eh bien, maintenant, écoutez, ça doit être comme ceci. Maintenant, on doit le faire comme ça. Eh bien, je...» Si vous n’arrivez pas à comprendre cela, alors, croyez tout simplement, aussi longtemps que c’est la Parole de Dieu. Est-ce juste? Comment cela va-t-il se faire? Je l’ignore. Je ne peux pas vous le dire, mais cela va se faire. Dieu l’a dit.

11        Jésus, les gens ont vu qu’Il... Il connaissait les pensées des gens. Il savait à quoi ils pensaient. Il voyait des visions et leur disait qu’Il ne pouvait rien faire à moins que le Père Lui montre. Et ce qu’Il disait que le Père faisait, que le Père avait fait, était chaque fois vrai. N’est-ce pas ça? Alors, les gens se demandaient: «Comment s’y prend-Il? Maintenant, peut-être que c’est de la télépathie.»

            Alors, Il disait aux gens les choses qui étaient sur leur coeur et auxquelles ils ne pensaient pas. Ils ne–n’y pensaient même pas. Ce n’était pas de la télépathie. Toute personne qui a un gramme de bon sens et qui dirait cela sait que c’est de la télépathie. Vous prenez un chiffre que j’ai à l’esprit, et moi, je pense à ce chiffre, et vous vous tenez là, devinant cela. C’est tout, quel chiffre ai-je à l’esprit. La télépathie ne révèle pas le péché. Celui qui sait quelque chose à ce sujet, qui a déjà étudié cela, sait que c’est faux. La psychologie est tout à fait une oeuvre de l’imagination, c’est du hasard. Mais l’Esprit du Dieu Tout-Puissant est parfait.

12        Alors, tenez-vous ici et dites maintenant: «Quelqu’un dans la salle souffre d’un–souffre d’un ulcère à l’estomac.» Bien sûr, quelqu’un, quelque part dans cette salle, souffre d’un ulcère à l’estomac. Mais qui est cette personne-là? C’est la chose suivante. Est-ce juste? Qui est la personne en question? Et puis, que Dieu dise qui est la personne en question, voilà alors qui est différent. Alors, dites leur ce qu’ils ont fait et qui a fait qu’ils viennent. Peut-être, que ça se trouve là à l’intérieur... Peut-être que c’est à cause de l’incrédulité. Peut-être que c’est à cause de ceci. Et puis, le patient se lève et dit: «C’est la pure vérité.» C’est alors différent. Voyez-vous? C’est à ce moment-là que vous quittez cet arbre de la connaissance, en essayant de comprendre. Vous êtes ici sur cet Arbre à ce moment-là, en croyant. Voyez-vous? C’est par la foi. Comment? Je l’ignore. Ne me le demandez pas; je ne peux pas expliquer cela. Et personne d’autre ne peut expliquer cela. On ne peut pas expliquer la Parole de Dieu (Est-ce juste?), ni Ses voies. On ne peut tout simplement pas La comprendre, il n’est pas nécessaire de chercher à La comprendre. Croyez-La tout simplement, c’est tout. Et voyez les résultats, voyez ce que Dieu fait.

13        Maintenant, voici venir un homme ici, peut-être qu’il est malade. Il se tient ici avec une... Le médecin dit qu’il va mourir. Il est envahi par la tuberculose. Le voici qui s’approche du pasteur, il dit: «Pasteur, je–je suis... le médecin me dit que je vais mourir. Je–je suis–je prie, priez avec moi, pasteur.»

            Le pasteur dit: «Très bien.» Maintenant, le pasteur, si ce n’est pas quelqu’un qui a un don, et ainsi de suite, avec le discernement, ou autres, il ferait mieux d’oindre cet homme d’huile, parce que c’est ce qui se tient entre lui et la maladie (Voyez-vous?), sinon il pourrait lui-même attraper cela.

            Maintenant, il considère l’ordre que Jacques a donné là, disant que les anciens de l’église l’oignent d’huile et qu’ils prient pour lui. C’est exactement ce que doit faire l’église (Voyez?), oindre d’huile. Cette huile représente le Saint-Esprit qui se place entre le pasteur et la maladie. Très bien.

            Il l’oint d’huile, ce qui représente le Saint-Esprit, en le confiant simplement au Saint-Esprit. Ensuite il prie pour cette personne. Maintenant, cette personne, au bout d’un moment commence à se sentir autrement, la chair repousse, il retourne chez son médecin. «Tiens, dira celui-ci, dites donc, votre santé s’améliore. C’est merveilleux! Qu’est-il arrivé?»

            «Je ne peux pas vous l’expliquer.»

14        Tout récemment il y avait à l’hôpital, à Jeffersonville, un–un jeune homme qui était mourant. Ce jeune homme... On m’avait appelé, notre ami qui est médecin à Jeffersonville m’avait envoyé vers lui. Il a dit: «Allez le voir, ce jeune homme va mourir.» Eh bien, il était un... Il avait attrapé une maladie vénérienne. Et sa mère était morte, et alors il est simplement devenu dévergondé; et il y avait une fillette, cette jeune soeur avait aussi emprunté une mauvaise voie, et le jeune homme, il a commencé à conduire un taxi, et après quelque temps, ce jeune homme a eu des ennuis. Un  garçon épatant, je l’avais connu; il était simplement mal parti. Et je suis allé le voir.

            Je l’ai regardé, et je... il a dit: «Billy, a-t-il dit, je vous assure, a-t-il dit, je–j’ai honte que tu viennes ici.» Il a dit: «Le médecin m’a dit que je dois me réconcilier avec Dieu.»

            J’ai dit: «Delbert, es-tu un chrétien?»

            Il a dit: «Non, je ne le suis pas.»

            J’ai dit: «Parlons-en d’abord, Delbert.» J’ai dit: «N’as-tu pas honte? Ta mère était une chrétienne, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Oui, oui, elle l’était.» Et il a dit: «Frère Branham, je–je ne sais pas, seulement, je–je suis simplement sorti.» Il a dit «La première cigarette que j’ai fumée, quelques garçons m’avaient parlé, a-t-il dit, c’est juste pour être élégant, et ensuite les filles ont commencé à me taquiner, et je me suis mis à fumer.» Il a dit: «Je n’avais pas l’intention de devenir comme cela.» Et il a dit: «Je me suis mis à boire, mais je n’en avais pas l’intention; c’était juste un petit verre amical, un verre de bière.»

15        Voilà comment ça se passe. Fuyez l’apparence du mal. Gardez cette première chose devant vous, lorsque cela va mal, dites: «Non!» C’est ce que vous devez dire: «Non!» Cela règle la question. N’ayez pas un bréchet, ayez une colonne vertébrale comme cela, résistez. Voyez-vous? Lorsque vous savez que vous êtes dans le bon, si vous croyez en Dieu et que vous êtes né de nouveau, c’est ce que vous ferez. C’est juste. Il n’y a pas de doute là-dessus. Si vous êtes né de nouveau, cela prendra soin de soi-même. Alors, maintenant... si le...

            Et ce jeune homme était mal parti;  il avait contracté la syphilis. Le médecin lui avait administré tout ce qu’il connaissait. On lui administrait le Salvarsan 606, tout ce qui pouvait être fait. Et s’il y a un médecin dans la salle, il sait de quoi il s’agit. Le mercure pénètre même dans les os et ainsi de suite.

16        Ils ont dit: «Ce jeune homme n’a aucune chance de vivre.» Dieu...?... toujours pour accomplir une oeuvre. Très bien.

            Bon. Alors, je lui ai parlé pendant quelques instants, et j’ai dit: «Fiston, aimerais-tu devenir un chrétien?»

            Il a dit: «Je veux bien, Frère Branham.» Il a dit: «Je–je crains que Dieu ne veuille me recevoir: je suis si chargé de péchés.»

            J’ai dit: «Oh! si, Il te recevra. Oh! Bien sûr que oui. Il te recevra.»

            Il a dit: «Pensez-vous qu’Il m’accepterait, moi, avec cette maladie que j’ai? Qu’est-ce que j’ai?»

            J’ai dit: «Ce n’est pas ton corps que tu vas Lui présenter; c’est ton âme, mon garçon.» Voyez-vous?

            Et il a dit: «Eh bien, je–je viens. Je viens.» Et je lui ai lu Jean 14. Et je me suis agenouillé et j’ai prié. Pendant que je priais, le jeune homme a levé les mains, il a sangloté et il a crié, disant: «Ô Dieu bien-aimé», juste pendant que je priais. Il a dit: «Aie pitié de mon âme. Je T’en prie, ne me laisse pas mourir comme un pécheur. Seigneur, je crois de tout mon coeur que la Parole est vraie. Et je viens, je viens pour T’accepter comme mon Sauveur.» Ce jeune homme a eu une merveilleuse conversion.

            Je me suis levé, je l’ai tapoté sur la tête et je l’ai béni. J’ai dit: «Maintenant, Delbert, parlons de la guérison divine.»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, je... ça va, c’est très bien maintenant, que je me rétablisse ou pas maintenant, a-t-il dit, tout va bien maintenant.» Il a dit: «Il s’est passé quelque chose ici à l’intérieur maintenant; maintenant je n’ai pas peur de mourir.»

17        J’ai dit: «Eh bien, c’est ça l’essentiel, Delbert.» J’ai dit: «Maintenant, c’est ça la véritable chose. Maintenant, parlons du Seigneur, qui peut s’abaisser suffisamment pour prendre ton âme impie, Il s’abaissera autant pour prendre ton corps malade, juste là sur le lit d’adultère, te tirera carrément d’ici pour faire de toi un gentleman et te guérir.»

            Il a dit: «Pensez-vous qu’Il le fera, Billy?» Il a dit: «S’Il le fait, je Le servirai le reste de mes jours. Ce que j’ai, que je me rétablisse, ou pas, je Le servirai le reste de mes jours.» Il ne parlait pas trop de la guérison.

            Je me suis agenouillé et j’ai prié pour lui pour qu’il se rétablisse, je lui ai imposé les mains, puis je me suis levé. J’ai appelé le médecin, et l’infirmière m’a appelé, et elle m’a dit d’appeler le médecin, le médecin voulait me voir, celui qui m’avait envoyé là-bas, j’avais prié avec lui, parce que...?... J’ai dit: «Doc, j’aimerais que vous alliez... je suis–je suis vraiment conduit, il vous faudrait lui donner une autre piqûre.»

18        J’ai dit: «Eh bien...»

            Il a dit: «Je lui en ai déjà donné plus que...» Il a dit: «Ça–ça n’aura pas d’effet.» Et il a dit: «J’ai essayé cela.»

            J’ai dit: «En tant que–en tant qu’ami, en tant que ton copain, veux-tu–veux-tu me faire une faveur?»

            Il a dit: «Bien sûr, Billy, laquelle?»

            J’ai dit: «Va lui donner une autre piqûre. Veux-tu bien le faire?»

            Il a dit: «Oui, sur base de... et le...»

            J’ai dit: «Cela ne lui fera pas de mal?»

            «Non, cela ne lui fera pas de mal.»

            J’ai dit: «Va la lui donner.»

            Il est allé là et a donné à ce jeune homme une piqûre, et celle-là fit effet. Quel était le problème? Que s’était-il passé? Pourquoi les autres piqûres n’avaient-elles pas d’effet? La prière avait changé les circonstances. Le jeune homme s’est rétabli, et il est en bonne santé aujourd’hui. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est la prière qui change les circonstances. Redressez vos têtes. Regardez vers Jésus-Christ. Souvenez-vous, Il est le Chef et le Consommateur de votre foi. Ayez foi en Lui; ne doutez pas. Croyez que tout ce qu’Il a dit est la vérité. Et Dieu vous guérira, à la fois votre âme et votre corps.

19        Il y a eu, concernant mes réunions, une chose sur laquelle j’ai été négligeant, une chose au sujet de laquelle je suis en train de prier. Je n’ai pas encore révélé cela aux gens; je n’ai pas dit cela depuis deux ou trois jours: j’ai été impressionné l’autre jour en venant sur la route. Quelque chose n’arrêtait pas de faire pression sur moi. Je pense que je me rends presque un homme mystique par–aux yeux des gens, à cause de la puissance de la révélation de Dieu à travers le don. Et je crois que si je pouvais réellement m’arrêter un peu pour prier pour davantage de gens; c’est la prière qui change les circonstances.

            J’ai remarqué qu’il y a beaucoup d’imitations charnelles. Les gens s’en vont dire: «Eh bien, j’ai ceci, j’ai cela. Et, gloire à Dieu, voici la chose.» Les gens disent: «Ça se trouve dans votre doigt.», et voyez quelqu’un d’autre avoir cela à son doigt. Et là, à ce moment-là les gens viennent et voient ces choses; ils confondent le tout, et ils disent: «Ça y est. C’est là l’église de la sainteté pour vous; voilà les gens du plein Evangile. Voyez-vous?»

20        Le diable ne juge pas par de bonnes choses; il juge par de mauvaises choses. Il met tout cela sur le compte de la Parole. Et il fera de même avec les chrétiens. Il dira: «Regardez-moi ça. Regardez ce gars-là, il est censé être un chrétien, et le voilà là qui vit avec la femme d’un autre homme, il prend des liqueurs, il fait ces choses-là. Eh bien, je suis aussi bon que lui.»

            Bien sûr, vous êtes meilleur que lui. Mais, frère, ce gars-là n’a rien à faire avec l’homme qui mène réellement–réellement une vie chrétienne authentique et qui aime Christ. S’il aime Christ, il ne fera pas ces choses. Car il est né de l’Esprit de Dieu, et la semence de Dieu demeure en lui, et il n’aura plus aucun désir de faire cela.

            La Bible dit: «Celui qui rend ce culte, étant une fois purifié, n’a plus aucune conscience, ou plutôt aucun désir de péché.»

            Et si vous avez toujours ce désir, vous n’avez pas encore été purifié. Ça c’est certain. Voyez-vous? Si vous avez toujours dans votre coeur le désir de sortir, de convoiter et de pécher, souvenez-vous tout simplement, mon ami, il vous faut revenir à Dieu, revenir à l’autel. Car il a été planté en nous la semence incorruptible de Dieu. Un grain de blé ordinaire, dit-on, ne périra pas si cela est planté dans la bonne sorte de terre. Qu’en est-il de la semence incorruptible de Dieu? Elle doit produire exactement ce que cela déclare qu’elle produira.

21        Et, écoutez, un grain de blé ne produira jamais un grateron. Non, non. Si un grateron est dans le champ, pendant la période de sécheresse, ce grateron est aussi tout heureux de recevoir la pluie qui tombe pour le blé, et si c’est la pluie, la même pluie... Mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Voyez-vous? Vous saurez si c’est le grateron ou le grain de blé. Voyez-vous? Et si vous êtes toujours charnel dans votre coeur, et ainsi de suite, c’est l’incrédulité. L’incrédulité, c’est tout ce qu’il en est.

            Vous m’avez entendu dire, les gens sans doute me le disaient: «Va et ne pèche plus.» Qu’est-ce que je veux dire: «Va et ne pèche plus?» Ce n’est pas que je veux dire: «Va et ne fais plus ceci.»  Le péché, c’est l’incrédulité. Peu importe de quoi il s’agit, ce que vous avez fait, vous–vous ne...

22        Tout récemment, je prêchais un soir dans une église méthodiste, et je me disais que le Seigneur m’avait vraiment bien enflammé. Et alors que je prêchais tout simplement sans relâche, j’ai dit: «On ne va pas en enfer parce qu’on s’enivre. On ne va pas en enfer parce qu’on commet un adultère. On ne va pas en enfer parce qu’on fume la cigarette, et des choses comme cela.»

            Une vieille petite mère méthodiste qui se tenait là ne pouvait en supporter davantage, vous savez. Elle était assise là. Et elle s’est levée d’un bond (C’était une très belle église), et elle a dit: «Révérend Branham, je proteste. Pourquoi alors va-t-on en enfer?»

            J’ai dit: «Parce qu’on ne croit pas.» C’est juste.

            La Bible dit: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.»

            Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement; mais il est déjà passé de la mort à la Vie.»

23        Vous ne pouvez pas croire que Jésus-Christ est le Fils de Dieu et mener la même vie que vous meniez autrefois. C’est juste. Cela rend la chose très dure. Ce n’est pas du tout du lait écrémé, mais c’est bon pour vous. Vous ne pouvez pas croire de tout votre coeur qu’Il est le Fils de Dieu, et L’accepter comme votre Sauveur personnel, pour mener la vie que vous meniez autrefois dans le péché. En effet, Il a dit: «Vous êtes passé de la mort à la Vie, et–et vous ne viendrez point en jugement; mais vous êtes passé de la mort à la Vie.» Saint Jean 5.24. Croyez-vous que c’est la vérité? C’est ce qu’a dit Jésus.

            Ainsi donc, vous voyez, la seule chose qui vous condamne, c’est votre incrédulité. Et si nous ne pouvons pas avoir suffisamment de foi pour croire en Dieu pour les petites choses que nous voyons se produire ici, et que nous essayons de tout confondre et de dire: «C’est de la psychologie, c’est de la télépathie, ou quelque chose comme cela.»; comment donc allez-vous partir dans la résurrection? Imaginez-vous cela. Alors que votre corps ne sera probablement qu’une cuillérée de cendre, mais Dieu le ressuscitera.

            «Celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a la Vie Eternelle; et Je le ressusciterai aux derniers jours.» C’est ce qu’a dit Jésus dans Saint Jean 6. «Celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a la Vie Eternelle, (au présent, maintenant); et Je le ressusciterai au dernier jour.» Croyez-vous cela?

24        Maintenant, lorsque vous prenez la communion: «Et celui qui mange et boit sans discerner le Corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre dorment.»: sont morts. Est-ce juste? C’est un... Et maintenant, écoutez ce que les gens... Il n’est pas étonnant qu’Esaïe ait dit: «...les tables sont pleines de vomissements.» Il a dit: précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu là; retenez ce qui est bon. C’est par des hommes aux lèvres balbutiantes et au langage barbare que Je parlerai à ce peuple. Et voici le reste dont j’avais dit qu’ils verraient ceci.»

            La Parole est devenue précepte sur précepte, règle sur règle; un peu ici, un peu là. Voyez-vous, toutes ces choses, et pourtant les hommes regardent, ils murmurent, ils se posent des questions, en secouant la tête; Il a dit que c’est ce qu’ils feraient. «Oh! je n’arrive pas à comprendre la chose en question, je vais simplement laisser cela...» Vous n’êtes pas censé comprendre cela. Vous êtes censé croire cela. Amen. Eh bien, il y a tellement... Me voilà partir.

            J’aimerais lire une portion de Sa Parole. Les paroles que je prononce ne valent pas grand-chose. Mais j’aimerais lire Sa Parole. J’aimerais que vous fassiez attention à ce que la foi avait produit à Jérusalem, lorsque les gens ont cru, lorsqu’ils ont vu le signe de Dieu. Je veux dire, lorsqu’ils ont vu ce qui a été accompli. Une femme et un homme s’étaient amenés, ils avaient été faire quelque chose et ils sont venus se disant qu’ils pouvaient s’en tirer devant l’Eglise. Ils ont menti à ce sujet. Ils ont dit: «Nous avons vendu notre terrain à tel prix.» Mais là se trouvait un homme qui était un prophète.

            Il a dit: «Pourquoi le diable a-t-il mis dans ton coeur de mentir au Saint-Esprit?» Le coup était tel que l’homme en est mort. Voici venir sa femme, Saphira...?... Ananias et Saphira. Alors, quand ils sont rentrés, il lui a aussi dit: «Ceux qui ont emporté ton mari...»

25        Je vous assure, lorsque les gens ont vu ce discernement, cet Esprit opérer et désigner la personne en question, et dire de qui il s’agissait, les critiqueurs se sont tus. Mais aujourd’hui, ce sont des effrontés. Oh! la la! Ecoutez ceci. J’aurais souhaité avoir le temps de lire tout cela. Actes 5, à partir du verset 12. Je crois que nous allons commencer un peu plus loin. Commençons toutefois au verset 12, parce que je n’ai pas le temps de lire cela. Mon temps s’épuise.

            ... par les mains des apôtres...

            Juste après la mort d’Ananias et de Saphira, lorsque Pierre les a désignés du doigt et qu’il leur a dit ce qu’ils avaient fait... la condamnation même de la chose, le fait de savoir qu’ils avaient mal agi, cela leur a causé un tel choc qu’ils sont morts là même. Pensez-y un peu. C’était le Saint-Esprit qui parlait, Il a dit: «Vous avez menti, et vous avez fait telle chose.» Et ils se sont effondrés. Croyez-vous que c’est le même Saint-Esprit? Il a été défié bien des fois.

26        Avez-vous déjà lu mon petit livre qui est là derrière, intitulé Un homme envoyé de Dieu? Combien ont lu cela? Merci. Avez-vous entendu parler de ce fou-là? Combien ont reçu ce numéro là de La Voix de la guérison? Vous avez vu l’autre jour, comment ce–cet avocat de grand renom se disait que tous ces gens étaient embrouillés, et qu’ils avaient menti, il a même recouru à la loi et des choses comme cela. Et ils ont tous téléphoné pour dire que c’était vrai à cent pour cent. Et vous voyez ce qu’il a dit à ce sujet, l’analyse du chemin critique. Très bien.

            Que serait-il arrivé s’il était venu jusqu’à l’estrade? Que se serait-il passé ici à Harlington, au Texas, tout récemment lorsqu’une certaine chose s’est produite? Lorsque certains gars sont allés là et ont écrit un article dans le journal, ou plutôt un petit journal, et ils ont fait circuler cela là-bas, et ils ont dit que je n’étais que Simon le magicien, et que j’ensorcelais les gens. Et les agents du FBI étaient là, ce soir-là, pour me démasquer sur l’estrade.

27        Beaucoup d’entre vous... y a-t-il quelqu’un qui se trouvait à Harlington, à la réunion de Harlington? Si vous êtes ici, levez la main, vous qui êtes ici en provenance de Harlington, au Texas, et qui étiez là dans la vallée.

            Eh bien, j’ai l’article sur cette affaire dans mon petit album de coupures de journaux. Ils ont fait circuler de très grandes choses, et ils ont dit qu’il y aurait toutes ces différentes choses. Ils ont dit: «Tout cela n’est que de la télépathie. Il est Simon le magicien.» Lorsque je me suis avancé sur l’estrade ce soir-là, et qu’ils ont dit... «Ce qu’il y a, c’est–c’est–c’est qu’il joue un tour.» Et tout comme cela. Ils ont dit: «C’était un grand spectacle», et tout cela. Ils ont dit: «Les agents du FBI...»

28        Je me suis avancé sur l’estrade; monsieur Baxter se tenait là. Le gardien de l’immeuble était sorti demander à ces petits enfants mexicains de se tenir tous loin des voitures. Il se tenait là en train de pleurer. Il a dit: «Révérend Branham, c’est une honte.» Il a dit: «Mon bébé a été guéri au cours de cette série de réunions. Et voyez-moi une–une telle pourriture damnable.» Il a dit: «La loi devrait arrêter ce gars pour avoir fait cela.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas grave. Il existe une loi supérieure à celle de cette terre, qui s’en occupera. ‘Car, en vérité, Je vous le dis, celui qui dira un mot contre le Saint-Esprit, cela ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» J’ai dit: «Il est mentalement dérangé.» Je...

            Et une petite dame venait d’être guérie d’une maladie: elle a accouru, elle a dit: «Révérend Branham, a-t-elle dit, je suis sûre que ce n’était pas de la télépathie ce soir-là, lorsque vous...»

            J’ai dit: ««Eh bien, écoutez, soeur.»

            Elle a dit: «Je vais quitter la salle, au cas où le FBI vous arrêterait sur l’estrade, a-t-elle dit. Je ne sais pas ce que je ferais, frère Branham.»

            J’ai dit: «Ne vous en faites pas, soeur.» J’ai dit: «J’ai déjà eu des agents du FBI au cours de deux ou trois réunions; et chaque fois, ils se sont convertis.» J’ai dit: «J’aimerais certainement les avoir encore.»

29        Et frère Bosworth se souvient qu’un soir, au cours de ma série de réunions, lorsque le FBI est venu à Seattle, dans le Washington. Il est sorti le lendemain et s’est agenouillé dans un stand de tir. Il a dit: «Frère Branham, écoutez, comment puis-je recevoir le genre de Saint-Esprit que vous avez?» Voyez-vous? Je l’ai entouré de mes bras et je l’ai conduit à Christ. Ça fait une année maintenant depuis qu’il a pris sa retraite, et il m’accompagne. Voyez-vous? C’est ça. J’aime voir venir les gens qui sont vraiment sincères.»

            Ainsi, lorsque je suis monté sur l’estrade ce soir-là, j’ai dit: «Ecoutez.» J’ai dit: «J’ai une petite coupure de journal. J’ai dit: «Mon Frère Howard, ai-je dit, sortez de la salle. Et Monsieur Baxter, quittez la salle.» J’ai dit: «Les gens  ont dit que ceci était de la télépathie.» J’ai dit: «Ils étaient assis au fond de la salle, cela fait environ deux heures, comme monsieur Baxter que voici, le sait, avant qu’il sorte.» J’ai dit: «Un jour, pendant que j’étais ici au Texas, un petit journal est sorti plus tard, et cela comportait un sale article disant que j’étais là, et tout un tas de choses. Ils ont dit que j’avais reçu beaucoup d’argent à une réunion et qu’il avait fallu deux hommes forts pour faire sortir l’offrande de cette salle.»

30        Frère, soeur, une fois on m’avait offert un million cinq cent mille dollars, et j’ai refusé d’inscrire mon nom sur le chèque, et je leur ai dit de le reprendre. C’est ça. On m’a offert un chèque de vingt-cinq mille dollars sur l’estrade au Texas, où un propriétaire d’une société de pétrole là au Texas était venu et a dit que sa mère avait été guérie, et avait quitté le fauteuil roulant. Il est simplement venu  jusque-là, par avion. J’ai dit: «Monsieur», et j’ai déchiré le chèque sous ses yeux. C’est juste. Je suis un homme pauvre.

            Quelqu’un m’a fait une offre, tout récemment, il a dit: «Frère Branham, nous allons vous acheter une belle Cadillac que vous allez conduire.»

            J’ai dit  «Une Cadillac!» J’ai dit: «Moi, je vais traverser l’Arkansas, et certains de ces pauvres habitants de l’Arkansas sont là en train de récolter du coton, de vieilles petites mères, avec leurs mains toutes couvertes de graterons et tout, ou plutôt des épines de ce coton, pendant qu’elles le récoltent, et qu’elles traînent un sac, à demi-mortes des maladies gynécologiques et des choses comme cela, mangeant du lard gras avec du pain de maïs au petit déjeuner, et elles viennent mettre une offrande d’un dollar à ma réunion, et moi je roulerais à bord d’une Cadillac? Non, non. Pas du tout.» J’ai dit: «Non, pas du tout, je ne ferai jamais cela...?...» [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci.

31        J’aimerais être comme les gens qui viennent me demander de prier pour eux. Ça, oui. Si j’en avais le moyen, c’est sûr que je ne les laisserais même pas mettre des pièces de cinq cents et de dix cents pour payer la location de la salle. Et j’ai dit: «Non, je... si je recevais ce que je méritais, je marcherais à pieds. Est-ce que je ne me sentirais pas bizarre à ce moment-là, que les gens disent: ‘Voilà frère Branham qui passe.’ Une grosse Cadillac descendrait la rue alors que ces pauvres gars ne pourraient même pas se procurer une bicyclette? Et puis, moi, je serais à bord d’une Cadillac. Ce n’est pas correct. Non, non. Je ne pourrais donc pas supporter cela.

            Et cet homme avait fait une grave déclaration disant que je faisais des paris et tout. Je... C’était faux, mais Dieu s’est occupé de lui.

32        Et un jour, je me souviens d’un de mes amis, monsieur Reed, qui vient de... il se peut qu’il soit dans cette réunion ce soir. C’est possible que beaucoup parmi vous connaissent monsieur Reed. Il avait eu une attaque d’apoplexie, et ses mains pendaient comme cela, et le médecin disait qu’il allait mourir avant le matin. Ils m’ont appelé de loin en Floride, lorsque j’étais chez vous, et j’ai prié pour lui au téléphone. Dieu a épargné sa vie. Et il avait été... Et un soir, il sortait de... un jour là au... Quelle est cette petite ville où il y a ces grandes cavernes, là au Nouveau Mexique? Carlsbad. Nous sortions, Billy et moi, nous descendions la rue, et voilà venir monsieur Reed avec son chauffeur, un homme de couleur. Et madame Reed essayait de l’aider, et il était... Et il m’a vu venir là, et il a gardé sa bouche ouverte en pleurant, il essayait d’essuyer les larmes de ses yeux.

            Il a dit: «Frère Branham, hier soir vous avez appelé du numéro 25 jusqu’à 35, et le mien c’était le 36.» Il a dit: «Oh! si seulement je pouvais entrer dans la ligne!»

            Et j’ai dit, j’ai dit: «Eh bien, Frère Reed, cela ne vous aurait pas guéri, frère.»

            Il a dit: «Non, Frère Branham, mais j’aimerais savoir ce que j’ai fait. Si j’ai fait quelque chose, Dieu sait que j’en suis navré.» Il a dit: «Pourquoi dois-je alors marcher comme ceci tout au long de ma vie?» Il a dit: «Je suis heureux d’être en vie, mais... tenant comme cela.» Le jeune homme et sa femme essayaient de le retenir comme cela.

            Et j’ai dit: «Eh bien, monsieur Reed, je n’ai aucun moyen.» J’ai dit: «Ce soir, j’appelle simplement un certain nombre parmi ces cartes.» J’ai dit: «Si cela avait été l’intention de Dieu...»

33        Il a dit: «Eh bien, ça va.» Il a dit: «Frère Branham, je vais attendre jusqu’à ce que Dieu vous donne... qu’Il me montre si jamais je vais guérir ou pas, ou ce que je peux faire.» Le pauvre type... Pendant que je me tenais là, j’ai regardé, et venant de lui, j’ai vu un palmier qui se trouvait là. Je l’ai vu portant un complet brun, une chemise blanche et une cravate brune, il se tenait parfaitement droit, levant les mains et les bras, marchant comme ceci.

            J’ai dit: «Frère Reed, AINSI DIT LE SEIGNEUR, je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, je ne sais où ce sera, ce n’est pas ici, parce qu’ici il n’y a pas de palmiers. Mais vous vous tiendrez quelque part, près d’un palmier, en complet brun, avec une cravate brune et une chemise blanche. Vous serez un homme bien portant. Est-ce cette année, l’année prochaine, ou dans dix ans? Je ne sais pas, mais c’est AINSI DIT L’ESPRIT.»

34        Alors, je suis allé outre-mer en Finlande et ailleurs, je suis revenu, puis je suis allé, et ce soir-là, juste avant que j’aille à la réunion, frère Baxter, qui m’écoute en ce moment même, ici quelque part, était–était avec moi; je me trouvais dans la pièce depuis trois jours, jeûnant et priant. Est-ce que je vous prends trop de temps? [L’assemblée dit: «Non.»–N.D.E.] J’espère que non. Voyez-vous? Je–je jeûnais et priais, et je ne voulais pas sortir pour manger. Et frère Baxter est venu et a dit: «Vous devez manger ce soir.»

            Alors, il m’a emmené à la cafétéria. Et juste au moment où nous entrions dans la cafétéria, il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, nous sommes pratiquement pris au piège ici.» Il a dit: «Il y a certains de nos amis là-bas.» Et ils sont probablement aussi assis à côté maintenant. Et c’était eux qui avaient offert ce chapeau l’autre jour, les Willbank. Ce sont de très bons amis. Il a dit: «Ils vont sûrement chercher à vous parler.»

            Eh bien, ce n’est pas que je n’aime pas parler aux gens, mais lorsque cela commence, vous vous mettez simplement à révéler des choses. Alors, lorsque nous sommes sortis, frère et soeur Willbank m’ont effectivement rendu visite l’autre jour chez moi. Et ils se tenaient là, agités à cause de...?... Il a dit: «Frère Branham, j’aimerais vous serrer la main.»

35        Et frère Baxter a dit: «Eh bien, écoutez.» Il a dit: «Ne lui parlez pas.»

            Et ils–ils ont dit: «Nous comprenons.» Ils sont très aimables. Il m’a simplement serré la main. Je suis sorti sur la rue. Et je me suis mis à descendre la rue, le Saint-Esprit a dit: «Retourne et va avec eux dans la voiture.»

            Je me suis dit que c’était juste l’impression que j’avais, et que je devais continuer. J’ai dit: «Frère Baxter, c’est une belle soirée.»

            Et il a dit: «Oui.»

            J’ai senti Quelque Chose m’arrêter. C’est comme si je ne pouvais plus avancer, je devenais... je n’arrivais plus à avancer. Je me suis aussitôt arrêté. Il a dit: «Qu’est-ce qu’il y a?»

            J’ai dit: «Frère Baxter, je dois retourner et entrer dans la voiture avec les Willbank.»

            Il a dit: «Frère Branham, vous ne pouvez pas...»

            J’ai dit: «C’est l’Esprit du Seigneur.»

            Il a dit: «Ça va alors.»

            Ainsi, nous nous sommes retournés et nous sommes rentrés prendre place à bord de la voiture. J’ai dit: «Voulez-vous m’amener à l’hôtel, Frère WiIlbank?»

            Il a dit: «Oui.»

36        Nous sommes allés à l’hôtel. Et lorsque nous sommes arrivés à l’hôtel–à l’hôtel, nous nous sommes mis à monter les marches, frère Baxter est entré. Je suis entré. Et Quelque Chose a dit: «Retourne parler à Willbank.» Je suis retourné; j’ai dit: «Mes amis, j’espère qu’il n’y a pas de problème dans votre famille. Il y a ici Quelque Chose qui n’arrête pas de me dire de... à ce sujet.» J’ai dit: «De ne pas–de–de–de ne pas faire ceci, vous voyez. De ne pas entrer, et ainsi de suite.»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, bon, il n’y a rien qui cloche chez nous, ou rien du tout.»

            J’ai dit: «Il y a quelque chose d’étrange.» Et frère Baxter était déjà parti; il y avait une–une allée par là avec des fleurs; c’était juste à l’hôtel, et frère Baxter se tenait là malgré ceci, tripotant les fleurs.

            Il a dit: «Entrez, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Dans un instant.» Et j’ai dit: «Je ne sais pas; il se passe quelque chose quelque part.» Et je suis resté là pendant environ trois ou quatre minutes.

37        Et j’avais l’impression que Quelque Chose avait dit: «Entre.» J’ai commencé à marcher pour entrer, et juste au moment où ils s’éloignaient, ils ont commencé à s’éloigner, je regardais descendre la rue, et s’arrêter juste là à côté d’un palmier, la famille Reed qui sortait. Il était là en complet brun, avec une cravate brune. Je regardais cela. Je l’ai regardé. Je n’ai rien dit du tout...?... les deux bras en l’air et il criait: «Gloire à Dieu!» Et le voici qui descendait la rue. Les gens pensaient que l’Armée du Salut se trouvait là. Et lui montait et descendait ces marches, ils allaient tous à la réunion.

            J’ai dit: «Maintenant, allez à la réunion et assoyez-vous. Voyez-vous? Ne dites rien; asseyez-vous tout simplement là à la réunion. Il y a une bande de gens là-bas, ce soir.» J’ai dit: «Ce n’est rien d’autre que ces mêmes vieux esprits qui ont vécu là autrefois dans Ananias et dans ces sacrificateurs et qui avaient renié que le Seigneur Jésus est le même aujourd’hui, vivant dans des hommes. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit, il continue simplement et attrape une autre personne. Et ainsi, donc, lorsque... ils ont continué comme cela.

            La Bible dit: «Leur condamnation a été écrite bien avant.» Savez-vous que la Bible dit cela? «Ils ont changé la grâce de notre Seigneur en dissolution.» C’est juste. Les Juifs... Et ensuite, remarquez ceci. Puis, ils sont arrivés là, ils étaient simplement nés pour être des incroyants.

38        Et voilà qu’ils étaient assis là. Et je me suis levé, et j’ai dit: «J’ai appris ici, conformément à ceci, que le FBI va me démasquer ce soir.» J’ai dit: «Très bien. Très bien. Vous les agents du FBI, où que vous soyez maintenant, ai-je dit, mon manager est parti, et ainsi de suite. Je vous invite à monter sur l’estrade et à me démasquer. Si j’ai fait quelque chose d’illégal, quelque chose de contraire à la Bible, quelque chose d’illégal envers les lois de la nation, ai-je dit, tout ce que vous voulez. Montez me démasquer; dites-moi là où j’ai failli.» En effet, je savais qu’il n’y avait aucun agent du FBI. Alors, je me suis simplement tenu un petit peu là, j’ai attendu un petit peu.

            J’ai dit: «Non, ça semble étrange que le FBI ne vienne pas.» J’ai dit: «L’estrade est là, montez, ai-je dit, si j’ai fait quelque chose de mal pour être démasqué, et...?... qu’ils montent me le dire. Voici où se trouve la chose. Je suis tout simplement disposé à supporter la Parole du Seigneur, et à être démasqué par Elle. Voyez-vous?» J’ai dit: «N’importe quoi que j’ai fait.»

39        Juste à ce moment-là, j’ai constaté un mouvement de ce côté-ci, et j’ai vu un objet noir traverser l’assistance et aller se suspendre juste ici sur l’estrade, au-dessus d’un homme qui était en complet gris, et sur un autre en bleu. C’étaient des prédicateurs.

            J’ai dit: «Non, ce n’est pas le FBI.» J’ai dit: «Ils avaient dit qu’ils allaient me démasquer ce soir, ces gars qui ont  fait cela n’ont pas assez de courage, ils se sont désistés.» J’ai dit: «Voilà ils sont assis juste là-haut.» J’ai dit: «Cet homme-ci en complet gris et celui-là en bleu.» Il s’est abaissé comme cela. J’ai dit: «Oh! la la! je pensais que vous alliez me démasquer.» J’ai dit: «Très bien. Vous n’êtes pas des agents du FBI; vous êtes des prédicateurs rétrogrades. C’est exactement ce que vous êtes.» Demandez à tout celui que vous voulez, demandez à mon manager. J’ai dit: «Vous êtes des prédicateurs rétrogrades, et je vous défie au Nom du Seigneur Jésus, vous qui avez écrit ceci, disant que j’étais  Simon le magicien. Si je suis Simon le magicien, et vous, des hommes saints, alors, venez sur l’estrade, et que Dieu me frappe de mort. Et puis, si je suis un homme de Dieu, et si vous avez tort, lorsque vous viendrez sur l’estrade, que Dieu vous frappe de mort. Venez maintenant.» Oui.

            Ils sont restés assis là pendant un instant, et alors, j’ai dit: «Voyez-vous ce qui arrive?» J’ai regardé et ils sortaient très vite de la salle, aussi vite que possible. J’ai dit: «Eh bien, nous allons attendre quelques minutes, jouez tout simplement: Crois seulement, ou quelque chose de ce genre, pour voir s’ils vont revenir.» Personne ne s’est montré, et personne depuis lors.

40        J’ai dit: «Voyez-vous ce que c’est? Lorsqu’on en arrive à une confrontation pour leur...?... Ce n’est rien d’autre que le diable; c’est exactement ce qu’il en est. Exactement.» L’oeuvre de Dieu continue malgré tout; «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Que serait-il arrivé lorsque ce fou s’était rué vers l’estrade ce soir-là? Tenez, aujourd’hui, j’ai appris ici par un ministre, lorsque je tenais la main des gens... Je sais que nous en avons eu des imitations; c’est ça. Mais un ministre a dit, cet homme qui leur prend la main, et ainsi de suite comme cela, un ministre qui va coopérer dans  ma prochaine réunion. Il se tenait là à l’estrade, il a dit: «Ce type est un spirite. C’est tout.» Il a dit: «Il est... il ne vaut rien.» Il a dit: «Il n’est qu’un spirite.» Il a dit: «C’est un démon. Il–il lit les pensées.» Il a dit: «Il n’y a rien du tout dedans, dans sa main gauche.» Lorsque cela est arrivé la première fois, c’était avant que l’autre ne commence. Il a dit: «Ça ne vaut rien.» Et pendant que je prêchais, sa main s’est paralysée, du poignet jusqu’en bas. Et aujourd’hui, il a de grosses taches semblables à la lèpre; ce n’est pas la lèpre, mais ce sont des taches semblables à la lèpre, partout sur sa main, sur cette même main, la mienne qu’il avait critiquée.

41        Je vous assure, frère, la Bible dit: «Il vaudrait mieux qu’on suspendît à votre cou une meule de moulin et qu’on vous jetât au fond de la mer.» C’est ça. Faites donc attention! Sachez bien de quoi vous parlez. Voyez-vous? Faites attention! Et le nom de cet homme avait été écrit dans le journal pour collaborer volontairement à cette prochaine série de réunions. Voyez-vous? Si vous ne comprenez pas, restez simplement tranquilles. Ne dites rien à ce sujet. Je n’aurais même pas voulu me retrouver là où se trouvait. Si je ne croyais pas cela, je n’aimerais même pas me trouver là où se trouve la chose. Je me tiendrais éloigné. Pourquoi ai-je dit cela? Pensez-vous que je me tiendrais ici à l’estrade sans être sûr de ces choses? Certainement que j’en suis sûr.

            J’aimerais de nouveau lire une Ecriture, le verset 12:

            Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres. Ils se tenaient tous ensemble au portique de Salomon,

            Et aucun des autres n’osait se joindre à eux; mais le peuple les louait hautement.

            Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s’augmentait de plus en plus;

            En sorte qu’on apportait les malades dans les rues et qu’on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrît quelqu’un d’eux.

            Oh! la la! après avoir interpellé dans son assistance deux personnes dont la vie n’était pas en ordre devant Dieu, l’ombre de cet homme est passée, et alors? Ceci ce n’est pas ma Parole. Je ne répondrai pas de ceci. Le Saint-Esprit inspiré de Dieu a écrit ces saintes Ecritures. Croyez-vous cela? Et je donnerais volontiers ma vie pour montrer que ceci est la Vérité. Ecoutez.

            La multitude accourait aussi des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs; et tous étaient guéris.

42        Croyez-vous cela? Ecoutez. Un homme rempli de l’Esprit, né de la pentecôte, un homme de Dieu rempli du Saint-Esprit, appelé à sortir, et séparé, s’est tenu là sous l’inspiration, ne sachant rien de ce qu’avaient fait Ananias et Saphira; mais lorsqu’il est arrivé, ils sont entrés dans la salle, le Saint-Esprit a révélé ce qui s’était passé. Et Dieu leur a fait payer leur iniquité. Et les gens croyaient en Jésus, le Christ ressuscité, pas en Pierre, le Christ ressuscité qui avait promis: «Je serai avec vous, même en vous.» Et même l’ombre de cet homme qui passait dans la rue, sans prier pour personne, il descendait la rue, et tous les malades, les affligés, les infirmes, les boiteux, et ceux qui avaient des esprits impurs étaient guéris. Cet homme qui avait vécu avec–dans l’adultère, dans l’impureté, et tout comme cela... Ce sont des esprits impurs qui amènent les gens à faire des choses impures. Tous...

            Alors, si Jésus est le même ce soir, si le fait de coucher à l’ombre de Pierre produit de tels résultats, qu’en est-il d’ici même, car c’est la même manifestation de Jésus-Christ ici parmi nous? Il ne s’agit pas de l’ombre de Pierre; il s’agit de la foi dans le Fils de Dieu. Amen. Croyez-vous cela?

43        Prions. Père céleste, ô Dieu, aie pitié. Je regarde ces gens, Père, et je pense à cette Amérique, mon beau pays; je l’aime, Seigneur. Oh! quel merveilleux pays! Nous avons encore la Bible ouverte. Nous avons des hommes de Dieu qui, sans crainte, se tiennent là, proclamant la Parole.  Ô Dieu, notre nation a commencé à manger de l’autre arbre, tout à fait par l’instruction. Nos séminaires et tout, les gens doivent en sortir dotés d’un grand savoir, sinon on ne les recevra pas. Il vous faut être membre de leur propre organisation. Ils doivent être bien formés et bien enseignés. Oh! quel obstacle! Comment un homme appelé de Dieu gagnerait-il des milliers d’âmes pendant qu’il est à l’école, là-bas, qui ôte de lui ce que Dieu a placé en lui. Quel dommage! Ô Seigneur, que puis-je faire à ce sujet? Je suis un petit homme insignifiant, illettré, méritant que toute la colère de Dieu se déverse sur moi, sans instruction, né dans une famille impie, élevé par un parent qui était un contrebandier d’alcool... comment, ô Dieu, comment as-Tu pu me sauver? C’est un mystère pour moi.

44        Et que vaut ma voix? La seule chose que je peux faire c’est donner ma voix au mieux de ma connaissance, et implorer miséricorde. Je suis vraiment reconnaissant que Tu m’aies sauvé, Seigneur. Ce soir, Tu m’as sauvé et Tu m’as guéri. Tu m’as fait grâce et Tu m’as envoyé parler aux autres de l’amour de Ton Fils Jésus. Et, Seigneur, de tout mon coeur, dans toute la nation et partout dans le monde, j’ai essayé de décrire cet amour. Et cela a produit de grandes campagnes et de grandes réunions qui balaient le monde ce soir. Combien nous T’en remercions. Et puis, penser que des hommes corrompus d’entendement...

            Mais Tu as dit: «De même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, de même ces hommes s’opposent à la vérité. Ne parvenant jamais–jamais à la connaissance de la vérité.»

            Maintenant, Seigneur, je Te prie ce soir de nous accorder que Ta Sainte Présence soit de nouveau avec nous. Juste quelques soirées de plus, alors que nous terminons ici. Ces gens très aimables sont assis ici dans cet auditorium. Seigneur, combien je Te remercie pour ces hommes et ces femmes nés de nouveau, qui sont assis dans cette salle, des chrétiens célèbres, des fils et des filles de Dieu; des gens qui, si je devais avoir le privilège de–de gagner une place pour arriver au Ciel, je vivrais avec eux dans les âges éternels. Et les voici ce soir, offrant une partie de leur subsistance pour voir les réunions se poursuivre, ils sont assis là sur ces vieux sièges surchauffés, s’éventant à l’aide des éventails, et aussi fidèles que possible, ils viennent chaque soir.

45        Que tout le monde dise ce qu’il veut, et les taxe de tout ce qu’il veut, ils croient toujours, et continuent carrément à venir, rien ne les fait partir. Ô Dieu, bénis-les, je T’en supplie, Père. Qu’ils reçoivent Tes plus riches bénédictions.

            Et je me tiens là comme Moïse d’autrefois, se tenant à la brèche pour le peuple; ô Dieu, bénis ce peuple. Bénis les pasteurs, et les églises, chaque église qui–qui coopère. Et même celles qui ne coopèrent pas, qui sont indifférentes, ô Dieu, je prie pour cette seule chose: qu’ils aient ce merveilleux, cet heureux et glorieux privilège que les chrétiens ont, et qu’ils marchent dans la Lumière. Accorde-le, Seigneur.

            Nous ne le faisons pas pour nous singulariser, Seigneur. Mais si je devrais me taire, alors, juste de penser que des milliers seraient morts. Ô Dieu, et maintenant, certains d’entre eux gagnent des milliers d’âmes pour Toi, et des dizaines de milliers, des centaines de milliers d’âmes sont gagnées, juste à cause de grands ministères de guérison qui offrent ce privilège aux gens.

46        Ô Dieu miséricordieux, alors agis sur nous ce soir de manière miraculeuse, de manière remarquable, et manifeste Ton amour envers nous. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... tel qu’Il me dit de parler. Je ne fais que ce qu’Il me dit de faire. Que tous ceux qui comprennent cela disent simplement: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»] Très bien. J’aimerais que vous vous en souveniez. Croyez cela de tout votre coeur. Et que Dieu se manifeste à vous.

47        Maintenant, pour bien faire, chaque soir j’ai essayé avec respect d’être tout aussi prévenant envers cette assemblée. C’est très dur. Je pourrais me tenir là, et peut-être que je vais–je vais vous révéler ceci. Lorsque vous me voyez m’adresser à différentes personnes, j’observe cette Lumière. Lorsque je suis sous l’onction, je La vois. Je ne La vois pas maintenant. Lorsque l’onction vient, c’est alors que je La vois. Et je surveille Cela, c’est donc pour cette raison que je ne permets pas des appareils photo à flash, c’est parce que tôt ou tard je La vois se déplacer. Pendant que je La surveille, si l’appareil photo émet un flash, cela me déroute, et cela détourne mon attention (Voyez-vous?). Je rate quelque chose. C’est pour cela que je dis: «Ne prenez pas de photo pendant que je–pendant que je prie et pendant que l’onction est là.» Ce n’est que la souveraineté de Dieu. C’est juste.

            Et je viens et j’essaie d’être sincère avec chacun de vous, j’essaie d’être juste, pour... simplement ce que je pense être la meilleure chose pour vous. Je– je distribue beaucoup de cartes de prière, chaque jour. Et j’appelle donc à partir d’un certain numéro, sans savoir où, Dieu au Ciel le sait, ma Bible est sur mon coeur, je ne sais rien du tout par où commencer dans cette ligne de prière ce soir, avec une centaine de cartes que mon fils a distribuées, je ne sais pas laquelle appeler. Et Dieu, qui est mon Juge, sait cela. Je ne sais pas par où appeler. Ce que... nous disons tout simplement...

            Billy ne sait pas, lorsqu’il distribue... il vous remet une carte; vous remplissez cela. On les prend ici même et les donnent aux ministres, avec votre nom et votre adresse écrits dessus et ainsi de suite; on vérifie cela avec vous, afin qu’on puisse avoir votre témoignage et dévoiler cela en public.

            D’abord votre témoignage doit être authentique, cela doit porter votre nom, sinon ce n’est pas valable. Voyez? Et ainsi donc, lorsque vous donnez votre témoignage, là c’est vous. Ce n’est pas ce que moi, j’ai dit; c’est ce que vous avez dit. Nous aimerions que votre médecin le dise. Ensuite, nous avons la déclaration du médecin. Après, nous mettrons cela dans un livre afin que l’on puisse vérifier cela.

48        Maintenant, il y a cent cartes... Quelle série as-tu distribuée, Paul? Série P. La carte de prière, sur... Vous verrez le nom, elle porte votre nom et votre adresse, et ainsi de suite, au recto, et au verso il y a une lettre et un numéro: P, de 1 à 100.

49        Maintenant, le Dieu Tout–Tout-Puissant connaît toutes choses. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... duquel je vous appelle, et juste là où Il me met à l’esprit, c’est alors à ce moment-là que j’appellerai.

            Il me disait aujourd’hui que les gens avaient lu cela. «Je n’ai pas besoin de ces cartes de prière.» La carte de prière, c’est juste pour vous aider à monter sur cette estrade. Cette carte de prière n’a rien à voir avec votre guérison. Eh bien, il y a plus de gens qui sont guéris là-bas (qui ne savent rien de la carte de prière, et qui n’ont jamais reçu de carte de prière), qu’il y en a ayant des cartes de prière. Savez-vous cela? Suivez le Saint-Esprit le soir lorsqu’Il se met à se mouvoir, touchant ces gens qui n’ont même pas de cartes de prière. Voilà la différence.

            Je crois que je vais faire autre chose immédiatement. Combien de gens ici n’ont pas de cartes de prière? Faites voir votre main. Levez la main, partout, ceux qui n’ont pas de cartes de prière.

50        Très bien, cette rangée, la deuxième rangée juste là, j’ai vu une masse presque compacte de vous là-bas qui n’avez pas de cartes de prière. Très bien. Vous qui n’avez pas de cartes de prière, en commençant par là au bout, venez par ici. Oui. Vous là-bas qui n’avez pas de cartes de prière, et ensuite c’est vous. Les autres, que tout le monde reste tranquille maintenant. Vous le suivant, le suivant, le suivant, le suivant, venez le long de cette rangée-là, vous qui êtes malades et qui n’avez pas de cartes de prière, tenez-vous debout par là. Très bien.

51        Maintenant, que ce groupe-là vienne, juste comme cela, ceux qui n’ont pas de cartes de prière. Frère Baxter, descendez là et veillez à ce qu’aucun d’entre eux ne vienne, juste comme cela, jusqu’à ce que je les appelle. Billy, descends par ici et aligne-les. Ceux qui n’ont pas... vous qui n’avez pas de cartes de prière. Vous qui avez des cartes de prière, tenez-vous tranquilles juste une minute.

52        Combien parmi vous qui êtes ici ont des cartes de prière? Faites voir votre main. Il semble qu’il n’y en a pas, personne aux balcons, personne là derrière, et personne par ici. Très bien.

            Je crois, si le Seigneur le veut... Etiez-vous dans cette ligne, madame? Vous–vous n’avez pas de carte de prière? Huh–huh? Vous n’avez pas de carte de prière? Très bien. Maintenant, tenez-vous simplement–simplement tranquille pendant un instant. Maintenant, je vais prendre ceux qui ont des cartes de prière, dans un instant, si le Seigneur le veut; mais vous, gardez vos cartes de prière, pendant un instant. Voyez? Afin que vous puissiez voir, il ne s’agit pas de votre carte de prière, cela n’a rien à faire avec la chose. Très bien.

            As-tu une carte de prière, chérie? Très bien. Garde simplement ta carte de prière; je t’appellerai dans un–dans un instant, si je peux. Oui. OK, chérie. J’appelle ceux qui n’ont pas de cartes de prière. Voyez-vous? Très bien.

53        Maintenant, nous en avons quelques-uns juste là maintenant. Bon, Frère Baxter, maintenant, tenez-vous là au bout, juste par ici. Et dès que j’appelle, la ligne suivante commencera à avancer là-bas; vous qui n’avez pas de cartes de prière, gardez vos mains levées. Maintenant, attendez, maintenant, juste un instant, juste une minute, ne vous levez pas.  Juste une minute. Ceux qui n’ont pas de cartes de prière; parcourez toute la salle, partout, ceux qui n’ont pas de cartes de prière. Voyons si je peux en avoir une masse compacte quelque part. Oui. Très bien.

            Très bien, maintenant patientez, restez juste là. Quand je vais appeler, je pourrai peut-être appeler une rangée là derrière, j’ai vu un groupe de gens là, et ensuite, à peu près la troisième ou la quatrième rangée derrière, il y avait un groupe de gens qui n’avaient pas de cartes de prière; et il y a un groupe de gens assis juste par ici, à cette deuxième rangée ici, qui n’ont pas de cartes de prière. Très bien.

            Maintenant, soyez simplement–simplement révérencieux. Ceux qui n’ont pas de cartes de prière maintenant. Bon, que tout le monde soit révérencieux. Bon, inclinons la tête partout.

54        Père céleste, je n’aimerais pas décevoir ces gens qui ont des cartes de prière, qui sont venus ici avec révérence, comme nous le leur avons demandé, et qui sont assis ici, car–car dans cette réunion, car ils... Et cet après-midi, dans cette salle surchauffée pour... et recevoir des cartes de prière. Mais Bien-Aimé Père céleste, que ces gens comprennent qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des cartes de prière pour guérir les malades, il faut la foi dans Ton Fils Jésus-Christ pour guérir les malades. Et nous voulons qu’ils le sachent, Seigneur. Et je Te prie maintenant d’honorer et de tenir compte de l’effort qui a été fourni ce soir. Ô Dieu, accorde-le, je T’en prie. Juste au moment où Tu as changé ma pensée, en me tenant juste ici sur cette estrade, en ce moment même, c’est pourquoi Tu fais ceci, je ne le sais pas, je l’ignore. La seule chose que je sais, c’est que Tu m’as dit juste en ce moment, lorsque l’Ange du Seigneur est venu ici et a dit: «N’appelle pas ces cartes de prière.» Et j’obéis à ce que Tu as dit de faire. Je suis tout simplement... Je ne sais pas ce que Tu fais. Peut-être que quelqu’un va monter ici, qui est réellement à l’article de la mort, et que ceci sera sa dernière soirée.

            Seigneur, je Te prie, si c’est le cas, d’avoir pitié de lui et de le guérir. Accorde-le, Seigneur, tout ce que Tu vois. Tu fais toutes choses bien. Exauce la prière de Ton serviteur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

55        Très bien. J’aimerais (Si quelqu’un veut bien m’apporter un peu d’eau, s’il vous plaît, je parle depuis un certain temps.)...

            Maintenant, j’aimerais que tout le monde soit révérencieux. Et j’aimerais que vous qui êtes là-haut au balcon, vous qui n’avez pas de cartes de prière, vous qui n’avez pas de cartes de prière, lorsque je vous appellerai, si Dieu parle, j’aimerais que vous qui n’avez pas de cartes de prière, où que vous soyez, je dois parler à celui vers qui le Saint-Esprit me conduit. J’observerai la Lumière, et Elle sera suspendue au-dessus de la personne. Voyez-vous? Mais on dirait qu’au balcon, particulièrement, et juste par ici, il n’y a pas de cartes, et c’est comme s’il n’y a pas de cartes de prière tout du long, là-bas dans cette partie-là, et juste là au fond, il y a en quelque sorte... là tout au fond. N’est-ce pas vous tous qui avez gardé la main levée, et vous n’avez pas de cartes de prière, là derrière? Très bien. C’est bon. Très bien. Que tout le monde soit révérencieux maintenant, croyez tout simplement–tout simplement de tout votre coeur. Dieu accomplira cela.

56        Maintenant, madame, est-ce que vous venez en croyant? Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous accordera la guérison? Très bien, avancez. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur que je suis serviteur de Dieu? Le croyez-vous? Très bien. Maintenant, vous n’avez même pas une carte de prière pour montrer que... Et vous êtes simplement entrée ce soir, et vous vous êtes assise, probablement que vous êtes entrée dans la réunion, eh bien, vous étiez juste assise là, un peu surprise que je vous aie appelée. Eh bien, je suis–je suis simplement votre frère. Je dis «frère», parce que vous êtes une chrétienne. Vous êtes une croyante. J’ai su cela parce que votre esprit est le bienvenu, car vous êtes une chrétienne, une croyante.

            Et vous comprenez que vous et moi, nous devrons nous tenir au Trône de jugement de Christ. C’est juste. Et je m’adresse à vous juste comme notre Maître s’adressait à la femme au puits. Croyez-vous que c’est Jésus-Christ qui a parlé à la femme au puits, et qui a dit: «Apporte-moi à boire...» Il voulait engager une conversation avec elle. Et qu’essayait-il de faire? Si je vous le disais, vous pourriez ne pas le comprendre tout de suite. Mais Il essayait de capter son esprit (Vous voyez, voyez?), pour voir de quoi il s’agissait. Il a compris sa pensée, vous voyez, ce qui se passait. Il savait à quoi les gens pensaient. Voyez? Il essayait...

57        Maintenant, aujourd’hui les gens Le traiteraient de liseur de pensées, n’est-ce pas? Le diable a une contrefaçon de la chose, là-bas. Le diable a une contrefaçon de chaque chose authentique que Dieu possède. Cela montre que  du fait que le diable a quelque chose par là, une contrefaçon de la chose, cela montre qu’il existe une chose  authentique de laquelle cette contrefaçon a été tirée. Est-ce juste? Bien, tout le monde sait que cette chose est fausse. Ça c’est le diable. Mais un chrétien peut faire la distinction entre le diable et Dieu. S’il ne le peut pas, il a vraiment besoin d’une expérience avec Dieu, n’est-ce pas? C’est juste.

            Maintenant, la raison pour laquelle je vous parle, c’est pour capter votre–votre esprit, pour voir ce qui est–pour voir ce qui se passe à l’intérieur. Et je ne dis que ce que je vois. Mais si je suis en mesure de savoir ce qui ne va pas en vous, alors, vous allez croire que je suis son prophète, n’est-ce pas?

            Je vois que vous avez été secoué dernièrement. Quelque chose est arrivé et vous a donné une très forte secousse. Pas vrai? Vous avez deux ou trois choses qui ne vont pas en vous. Ce que vous craignez, c’est quand même le cancer, n’est-ce pas ça? Est-ce là ce qui ne va pas en vous? Et vous avez... Et vous êtes aussi anémique. Vous souffrez de l’anémie et d’une maladie gynécologique. Ça fait longtemps que vous êtes aussi nerveuse, mais votre souci principal, c’est que vous avez peur que le cancer vous ôte la vie. En effet, cela va vous ôter la vie, si Dieu ne vous fait pas grâce. Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main à l’intention des gens.

58        Maintenant, à vous imposteur, qui avez dit que c’est de la télépathie, que je lis cela sur une carte de prière, n’avez-vous pas honte de vous? Que Dieu ait pitié de votre âme pécheresse. Dieu s’occupera de vous pour cela. Très bien, approchez, soeur, pour votre guérison.

            Dieu Tout-Puissant, ait pitié de cette précieuse dame. Elle se tient ici, Seigneur, elle comprend qu’elle est à la fin de son voyage. Et je Te prie, Bien-Aimé Père céleste, de la guérir et de la rétablir. Accorde-le, Bien-Aimé Seigneur, pendant que Ton Esprit est ici en ce moment pour lui révéler son état, et là où elle était, et ce que le... ils–ce qu’on lui a dit lorsqu’on l’a examinée et ainsi de suite. Tu es ici, Seigneur, pour la rétablir. Je la bénis, maintenant, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, que Tu la guérisses et la rétablisses.

            Toi cancer qui la déranges, Satan, au Nom de Jésus-Christ, en tant que serviteur de Dieu, je dis: «Sois maudit. Ce n’est pas de moi que tu as peur, mais c’est de Lui. Alors, j’ai eu égard à Son Nom, étant un chrétien, et ayant été ordonné pour cette oeuvre, sors de cette femme, au Nom de Jésus-Christ!»

            Maintenant, ma soeur, rentrez chez vous et oubliez tout au sujet de votre cancer; oubliez tous les autres problèmes. Vous allez vous rétablir. Me croyez-vous? Très bien. Partez maintenant en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu.» Et soyez heureuse.

59        [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.] Ma voix est devenue un peu rauque à force de trop parler. Eh bien, que tout le monde soit révérencieux. Très bien, amenez-le immédiatement. Croyez-vous, monsieur? Je vous suis inconnu. Je crois que je ne vous connais pas. Il est possible que je vous aie vu quelque part. Si tel est le cas, je ne me souviens pas de vous. Vous m’avez vu. D’où venez-vous? Juste ici? De, oh! de la Floride. C’est là que vous m’avez vu? Oh! à Miami, il y a longtemps, lorsque j’étais là. Oui, monsieur. Eh bien, pour ce qui est donc de vous connaître, cependant, je ne vous connais pas. Vous m’avez simplement vu.

60        Maintenant, si je suis prophète de Dieu, et vous savez qu’il m’est tout à fait impossible de savoir ce qui ne va pas en vous, si je suis prophète de Dieu, alors Dieu peut me révéler votre problème. Est-ce juste? Et dans ce cas, si je–si je le peux par la puissance de Dieu, vous croirez alors de tout votre coeur, que Dieu m’a envoyé, est-ce juste?

            Monsieur, vous souffrez d’un mal de la gorge. N’est-ce pas ça? Oui, oui. Maintenant, je n’ai aucun moyen du tout de le savoir, mais, je vous vois vous tenir la gorge comme cela, et [Frère Branham produit le bruit d’un raclement de gorge.–N.D.E.] vous avez cela à votre gorge. Très bien. Venez ici maintenant, et vous pouvez être guéri.

61        Bien-Aimé Père céleste, sur base de la confession de cet homme, reconnaissant qu’il est chrétien, et le voyant prier pour cette maladie, Seigneur, je le bénis maintenant et j’ordonne que cette maladie de la gorge le quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Partez maintenant et portez-vous bien.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Amen. Très bien.

62        Si je suis prophète de Dieu, je saurai ce qui ne va pas en vous (est-ce juste?) tout comme Jésus le savait au sujet de la femme au puits. Très bien. Si je vous dis exactement ce qui ne va pas en vous maintenant même, allez-vous croire que je suis Son prophète? Vous souffrez d’une maladie du coeur. Est-ce juste? Vous avez souffert d’une maladie du coeur. Maintenant, rentrez chez vous et portez-vous bien au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [«Gloire au Seigneur!»] Que tout le monde soit révérencieux.

            Maintenant, l’Esprit de Dieu est en train d’agir dans l’assistance. La foi commence à agir. Ecoutez-moi, considérez ceci.

63        Vous m’êtes inconnu. Je ne vous connais pas. Il se fait tout simplement que vous êtes entré et vous vous êtes assis, et vous avez été appelé ici sur l’estrade. Je ne vous connais pas, je ne sais rien à votre sujet; je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes de parfaits inconnus l’un pour l’autre. Mais Dieu peut me révéler, et vous–vous pourrez... Je ne peux pas vous guérir, mais vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant. Vous le savez. Vous ne pouvez pas la cacher. Et vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas? Je regarde une vision. Je vois que vous essayez de vous déplacer un matin, en sortant du lit. Vous souffrez de l’arthrite. Est-ce juste? Vous êtes guéri. Que Dieu vous bénisse au Nom de Jésus-Christ; partez et portez-vous bien. Très bien.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [«Gloire à Dieu!»] Croyez-vous de tout votre coeur?

            Voulez-vous Le servir? Le voulez-vous? Très bien, poursuivez votre chemin et portez-vous bien au Nom de Jésus-Christ. C’est ça l’attitude; c’est ça l’attitude qu’il faut avoir pour être guéri. Très bien.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [«Gloire au Seigneur!»]

64        Approchez. Oh! oui. Je vous reconnais, mon frère. J’aimerais vous serrer la main. Oui. Vous venez de Louisville. Oui, je me souviens de vous. Vous êtes venu ici afin que l’on prie pour vous. J’ai oublié ce qu’était votre maladie, mais vous avez été récemment guéri d’un cancer, et il y a une espèce de... Vous êtes venu chez moi me parler, et vous aviez une sorte de gonflement sur le côté, ou quelque chose comme cela. Et vous avez dit que vous viendriez ici à la réunion, et... Etes-vous arrivé aujourd’hui? Oh! vous étiez ici la semaine passée. Cet homme était en train de mourir d’un cancer il y a quelques mois. Le voici guéri. Quelque chose s’est installé, il travaille pour le compte d’une compagnie de chemin de fer, et il a un certain gonflement sur le côté, n’est-ce pas cela... la rate. Et il a dit: «Frère Branham, j’aimerais venir lorsque vous êtes sous l’onction. Je–je–j’aimerais bien le faire.»

            Alors, je connais bien cet homme. Je le connais, j’aimerais que vous le sachiez. Je–je connais cet homme. Et de cette manière, j’aimerais prier pour lui pendant que l’onction est là, je sais ce qui ne va pas en lui, parce qu’il était venu chez moi, et ce qui est arrivé. Mais j’aimerais prier pour lui pendant que l’onction est là. Je ne vous ai pas vu dans la ligne, monsieur. Etiez-vous dans cette ligne que j’ai appelée? Je ne le savais pas. Approchez, et prions.

            Maintenant, Père céleste, voici mon frère qui se tient ici et qui fait beaucoup de choses merveilleuses. Et je le vois assis dans le petit tabernacle, là-bas, lorsque je suis sorti, il a dit: «Frère Branham, lorsque vous tiendrez une réunion, j’aimerais m’approcher pendant que l’onction sera là.» Et maintenant, Père céleste, souffle maintenant même, alors qu’il voit Ton Esprit se mouvoir et qu’il sait qu’il ne s’agit pas de son frère Branham ici présent. C’est Toi qui Te tiens là. Et je le bénis, Père, pour sa vaillante foi, et je maudis cette maladie qui est sur son côté. Au Nom de Jésus-Christ, que cela le quitte, et puisse-t-il vivre longtemps et heureux, se réjouir et être heureux, et qu’il accomplisse l’oeuvre de Dieu pour le reste de ses jours, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Et que Dieu vous bénisse, frère. Rentrez chez vous maintenant et portez-vous bien.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [«Gloire à Dieu!»] Que tout le monde soit respectueux, s’il vous plaît.

65        Très bien. Approchez. Que pensez-vous? Croyez-vous en moi? Je vois que vous êtes très nerveuse. Très bien. Eh bien, c’est parfaitement en ordre. C’est normal que vous soyez nerveuse, vous tenant là en un moment comme celui-ci, mais vous m’êtes inconnue. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne sais rien à votre sujet. Dites, j’aimerais d’abord vous dire quelque chose. Vous n’êtes pas de ce pays. Vous venez de quelque part outre-mer. Je vois des eaux ondulantes, pendant votre traversée. Vous venez soit–vous venez soit du sud du Mexique, soit de l’Amérique du Sud. Je vois l’Amérique du Sud. Est-ce juste? C’est juste. Et vous souffrez du cancer. Est-ce juste? Approchez.

66        Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils Jésus, je bénis cette femme et je maudis le cancer, je la renvoie chez elle pour être bien portante. Satan, quitte cette femme; sors d’elle, au Nom de Jésus-Christ! Descendez de l’estrade en vous réjouissant, retournez en Amérique du Sud et portez-vous bien au Nom du Seigneur Jésus.

            Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur, pendant que vous venez? Croyez-vous en Dieu? Levons simplement les mains et offrons un mot de louange.

67        Notre Père céleste, nous Te louons. Tu es ici; rien ne peut Te faire obstacle. Tu sais toutes choses. Seigneur Jésus, Tu connais la fin dès le commencement. Tu sais toutes choses. Je Te prie de bénir, Seigneur, ce soir, chacune de ces personnes et de les rétablir. Exauce la prière de Ton serviteur, alors que je Te loue et Te remercie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Très bien. Que tout le monde soit révérencieux.

            Bon, où est votre carte de prière? Tenez-la un instant. Voyez-vous? Une minute. Où est votre carte de prière? Levez les mains. Je veux dire les cartes de prière. Vous voyez, il ne s’agit pas de votre carte de prière; c’est simplement–seulement pour chercher que quelqu’un s’aligne ici. J’espère que vous comprenez.

68        Bon. Mettez-vous à prier, vous qui êtes dans l’assistance, et croyez en Dieu. Je sais où je me tiens maintenant. Je sais où je me tiens. Je sais que Dieu est avec moi. Je sais qu’Il est ici. Et je ne crains rien parce qu’Il est ici. Il m’a dit: «Je me tiendrai à tes côtés, rien ne tiendra devant toi tous les jours de ta vie.» Je crois en Dieu et je sais où je me tiens.

            Cette anémie vous a quittée, alors vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être guérie. Voyez-vous?

            Voyez-vous cette dame de couleur qui lève la main juste là, à l’instant même là-bas, celle qui porte ce vêtement blanc, elle souffre de l’estomac, elle se tient juste là, à environ quatre rangées, environ trois ou quatre rangées, elle porte une blouse blanche là, elle souffre de l’estomac. Oui, oui. Vous ne–vous n’avez pas de carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière? Très bien. Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas? Très bien. Je vous ai vue là-haut, vous tenant, et essayant de vomir et de rejeter votre nourriture; c’est la dyspepsie. Est-ce juste? Est-ce juste? Levez la main, agitez-la comme ceci. Très bien. Vous pouvez rentrer chez vous et manger maintenant votre nourriture. Vous êtes guérie au Nom de Jésus-Christ, rentrez chez vous.

69        Je vois un ministre qui prêche sur une estrade. Je le vois se faire examiner. Il est assis juste là au bout, portant un complet brun. N’êtes-vous pas un ministre de l’Evangile? Est-ce juste? Très bien. Vous souffrez d’une certaine maladie à l’estomac, ou plutôt au colon, au colon, une maladie intestinale. N’est-ce pas ça? Vous avez des amibes dans les intestins. Très bien. Désirez-vous être guéri? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Bien sûr, vous croyez. Très bien. Rentrez chez vous et portez-vous bien maintenant, Révérend, au  Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Croyez en Dieu. Ayez foi en Dieu.

            Cette dame assise juste là, portant un chapeau blanc...?... en train de s’éventer avec son éventail dans tous les sens comme ceci, vous souffrez du diabète, mais qui... Il y en a deux aussi, elle peut aussi être guérie, si vous voulez vous tenir debout. Vous qui regardiez de côté par là, levez-vous. Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main, sans votre carte. Très bien. Rentrez chez vous maintenant et portez-vous bien au Nom du Seigneur Jésus.

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous en Lui?

70        Vous étiez aussi anémique. Est-ce juste? Vous qui êtes debout juste là derrière cette dame-là, est-ce juste? Très bien. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant. Vous n’avez pas besoin de carte.

            Cette dame de couleur, là, elle souffre d’une maladie gynécologique, là. Elle a–elle non plus n’a pas de carte de prière. Vous voulez être guérie? Si vous le voulez, c’est très bien. Vous pouvez recevoir cela. Si vous voulez bien vous tenir debout et croire. Très bien. Acceptez cela. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et portez-vous bien. Très bien.

            Croyez-vous en Dieu?

71        J’ai vu Quelque Chose d’autre briller ici au coin, il y a un instant. Je crois que Cela se trouve au-dessus de cette dame au... assise ici juste à côté d’un homme qui est au bout... Non, ce n’est pas elle. C’est cette dame, là au coin. Quelque chose ne va pas dans... une maladie de la vessie, il y a un écoulement de la vessie. Est-ce vrai, madame? Si c’est le cas, levez-vous, et tenez-vous là... Est-ce juste? Est-ce vrai? Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus.

            Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Qu’en est-il de vous qui êtes par ici? Croyez-vous en Dieu? Où sont donc ces gens qui n’avaient pas de cartes de prière mais qui croient? Très bien. Alléluia!

            Je vois assis là un homme qui a un problème à la colonne vertébrale, il est assis juste là, portant une chemise de couleur. N’est-ce pas juste? C’est ça. Vous voulez être bien portant? Dites, n’est-ce pas là votre femme qui est assise là à côté de vous? Elle souffre de la même maladie, n’est-ce pas? Très bien. Vous pouvez tous les deux rentrer chez vous et être bien portants. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous de tout votre coeur?

72        Pourquoi avez-vous tapé les mains, monsieur, là en chemise verte avec cravate? Oui. Vous êtes tourmenté aussi, n’est-ce pas? Oui, oui. Ecoutez. Il y a une chose dont vous avez besoin par-dessus tout, c’est le salut. N’est-ce pas ça? Il vous faut accepter Jésus comme votre Sauveur. Est-ce juste? L’acceptez-vous?

            Tenez-vous debout, si vous voulez accepter Jésus-Christ comme votre Sauveur. Maintenant, voulez-vous que je vous dise de quoi vous souffrez? L’hypertension. Cela va vous quitter maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous, étant sauvé et guéri. Que Dieu vous bénisse.

            La dame qui est assise là à côté de lui, elle est un peu anémique, celle qui est assise là à côté de lui, et qui est dans... elle peut aussi être guérie, si elle le désire. Et tenez-vous debout, la dame...?... celle qui est assise juste là. C’est ça. Vous pouvez rentrer chez vous et être guérie de cette maladie, si vous le désirez.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [«Gloire à Dieu!»–N.D.E.] Aie pitié. Que Dieu ait pitié...?...

73        La dame qui est assise juste là, la petite dame là-bas, qui souffre de l’arthrite peut aussi être guérie. Oui, oui. Si vous le désirez, vous pouvez vous lever et être rétablie.

74        Cet homme-là qui souffre du coeur, qui se tient à côté de sa femme, il y a là quelque chose qui ne va pas dans sa–qui ne va pas dans sa bouche; elle a une espèce de maladie de la bouche. Et c’est juste. Et vous êtes tous les deux des pécheurs, acceptez Christ, rentrez chez vous et recevez... Soyez rétablis, au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!

            Tout celui qui renie la puissance de Jésus-Christ ressuscité, honte à vous! Notre Seigneur Jésus est ici. Il est ici sur l’estrade en ce moment. Son Esprit est ici pour guérir tout celui qui désire être guéri. Je défie chaque homme ou chaque femme ici qui voudrait L’accepter comme son Sauveur, comme son Guérisseur, mais qui désire être guéri. Croyez-vous cela? Croyez-vous qu’Il exauce ma prière?

            Un instant! J’aimerais prier. Inclinez la tête, tout le monde.

75        Ô Seigneur, aie pitié de l’incrédule, du pécheur qui est en dehors de Dieu, en dehors de Christ. Ô Père, approche maintenant, s’il Te plaît, souffle sur ces coeurs sincères ici. Ils sont dans le besoin. Voici un tas de mouchoirs, de lettres, placés devant moi. Ô Dieu, je vois là-bas dans une vieille petite cabane une vieille petite mère debout qui attend avec le petit papa assis là dans un coin, un papa qui souffre de l’arthrite. Ô Eternel Dieu, cette mère qui attend le retour de cette lettre pour ce petit bébé qui est là-bas. Eternel Dieu, il est écrit dans la Parole que lorsque la mer Rouge a barré la route à Israël, Dieu a baissé les yeux à travers la Colonne de Feu, et la mer a eu peur et a reculé, et les enfants d’Israël ont traversé.

            Et, ô Dieu, lorsque ce symbole sera envoyé, ces mouchoirs, lorsqu’ils arriveront à ces gens qu’ils sont censés atteindre, par le signe de la foi et en commémoration de Ton grand serviteur Paul, qui est parmi les immortels ce soir, que ces maladies, ces gens... que Satan ait peur et qu’il recule; que les gens puissent entrer dans la Terre promise de la bonne santé et de la force. Accorde-le, Seigneur.

76        Pendant que des hommes et des femmes sont assis ici dans cette salle, ils sont assis ici en train de prier. Seigneur Dieu, c’est entre la vie et la mort pour eux. Beaucoup parmi eux sont liés par Satan. Ô Père, je prie de tout mon coeur. Tu as dit: «La prière fervente du juste...»

            Seigneur, nous savons que personne n’est juste, pas un seul. Mais, ô Dieu, au Nom du Juste, Jésus-Christ, je prie de tout mon coeur, de toute ma force, que Tu guérisses chaque personne malade et affligée ici ce soir. Qu’il n’y ait pas une seule personne faible. Que chacun reçoive la guérison maintenant même. Que le glorieux Esprit de Dieu puisse se mouvoir au dessus de cette salle, comme une grande Colonne se déployant comme les ailes d’un Ange qui se déplace par-dessus cette salle, qui descend dans l’âme de chaque croyant. Guéris-les tous.

            Sors, Satan, au Nom de Jésus-Christ! Quitte chacun d’eux! Sors de ces gens!

E-1 Good evening, friends. Very happy to be here tonight to represent our Lord Jesus Christ and His love to fallen humanity, to the sick and afflicted, the needy, the poor, and outcast, distressed. "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
He's lovely, isn't He? We love Him. And He's here tonight to make Hisself known to all of us. He loves us. Before we loved Him, He loved us.
As I've said, "No man seeks after God. God seeks after man." Man in his nature is a rebellion against God. He doesn't... He's against God. But God loves the man. Since the fall in the garden of Eden, God has still been calling for His child. And He calls to him through the thunder, through the lightning, through the setting of the sun, through the preaching of the Gospel, through signs and wonders, through prophets, through miracles, through visions, God speaking to His people.
I'd like to speak to you one of these days, on how to see God, before I leave here: the four ways, some ways, four or five ways we can bring God right in this audience, I can prove to you, He's setting right here in this audience now. Wished I had time tonight.

E-2 Now, it's my lot to do the preaching; Brother Baxter and them does the preaching; I pray for the sick. And I trust that God will make Hisself known to you tonight in a great marvelous way. Now, we just have a few nights left in this meeting, this campaign. The good Lord willing, Monday, we leave for Zion, Illinois. And just from there, I--I'm just kind of going on impressions, the way that He seems to be leading me. I had one meeting that I'm going to. I know where that meeting is. That meeting is in--in one of them in South Africa, the other one is in India. And that's going to be a real meeting. That's going to be where God makes Hisself known to three hundred thousand people.
And in here, I'm trying to do my best to do all that I can, while I'm able to work for our Lord. And put every bit of the time, and all the energy that I know how, to bring the Gospel of Jesus Christ in the way that I'm... only way that I know how to the people, by preaching the Gospel and by a Divine gift that was given to me, not to heal people, but as a--a seer. To this end I was born, to see visions. I use that then, just for God's glory.
If I do things wrong, I don't aim to. God be merciful to me, for I try to do all that I know how to help His people. I love Him. I know that's one thing that I really do. I love the Lord with all my heart. I... There's just something within me that's part of my life. I don't know what--what the future holds, but I know He holds the future, that's the main thing. I--I know that He holds all the future, and whatever mine shall be; it's in His hands. So each day I want to live, not for myself. If I live for myself, I live a selfish life. I want to live for others, and give what strength I have, not to myself, and to my own pleasure, but for the benefit of others, that'll build the Kingdom of God.

E-3 Now, some of my theological teaching, views on the Bible, it might be wrong. I can't say. I'm not a student by a long ways. I'm very illiterate, uneducated, grammar school education; that's not to my desire, but I couldn't have it. We was raised in a poor family of ten children, sickly father that died when he was just a young man. The burden was on me, the oldest one in the family. I done my best, and present that to my mother.
But now, to the Kingdom of God, if I could do that for my brothers and sisters in the flesh, what could I do with my brothers and sisters that's in the Spirit that lives forever? The best that I know how. And some of you may be in teaching that you might not agree with me on different points, but I don't say it for no reasons for contention and so forth, I--I say it just for to be honest to--to convictions to state my views of it. And if I'm wrong, then you forgive me and pray for me, that I will--I will get right.
But this one thing, which is fundamentally, I do know; something happened to my heart one day. I become a new creature. And ever since then, I--I've been in love with Him, so in love with Him, that everything else has been secondarily. And everything else is just like, when you get in love with Jesus.

E-4 Oh, I... Perhaps, I don't say I have it's cause, but maybe, there might've been one more girl in the world that I could've married. But you know, I--I found the one lady that I really love. And I--I asked her if she thought that much of me. She said "Yes." So we got married.
And I told her, "Now, look, all my love I give to you." No matter what other women are, that woman has my love. When I... Perhaps, I go down the street, and here comes a more attractive girl than my wife, or... And she says, "Oh, Billy, I really love you with all my heart."
Now, the first place (See?), if she has a love for me, it's bound to be false, 'cause my first duty is to what I pledged to my wife, that's her first. I've got to think of her first. She's my first. I told her I'd give her all my love. And then my first duty is to my wife. I'd say, "Now, look, sister. See, you're just infatuated, or something, because you're--you're--you're not in love." See? "And I'm not in love with you. Because I love one woman; that's the mother of my children." See? That's my first duty.

E-5 Now, I love my brethren; I love my sisters. And I see them, now, but my first duty is to my first love of Jesus Christ. And I was buried with Him in baptism. Is that right? Then that's my first duty. Then...?... I've got to stand true to that, no matter how much I love the--this brother, or Brother Bosworth, Brother Baxter, or Brother Cox, or any of these brothers here. No matter how much I love them, let my first pledge be to Christ. I must take Him first. And then, they're second. All right.
Not comparing that kind of love now to--to the lust or passionate love that I was speaking of concerning the woman, but just giving you a--a parable. You understand? And I think that's what we all do, more or less, we try to express our feelings, towards our Lord. No matter...
Now, if someone comes up, that's a good friend of yours, and says, "Now, look, John, I--I--I think that your wrong about Divine healing. I--I think that you're wrong." And yet, God has touched your body, and you know Divine healing is right.
Now, your first duty is to stand up for Christ. If they say, "Now, look. I believe you're just simply, well, you--you just imagine you're born again. There is no such a thing as that. A man can't be born again. Then your first duty is to stand for Christ.
Say, "Yes, I am. I know I am."
Recently, I was called into a--a famous doctor's office. He said to me; he said, oh, he was very much perplexed that morning, and upset, and all stewing, you know and he said, "Listen here." Said, "You spent two-thirds of your life trying to get an education, and one-third to live it out, and you have to live that for somebody else." And oh, my. His was awful.
He said, "Isn't it awful?"
And I said, "Yes, it is." So he stood there a little while. I seen he was in a hurry and everything. I was to talk to him.
Said, "What I want to talk you about; I hear that you're a missionary."
I said, "Evangelistic missionary, yes, sir." I said, "I've just returned from Africa."
He said, "Look, I studied to be a preacher, too, one time: four years." And said, "I--I come to find out there was nothing to it."
"Yes, sir."

E-6 He said, "When I got to studying," said, "I studied the book of Mohammed. I studied Buddha. I studied all this and the--the Confucius, the philosopher, and so forth." And said, "All those Buddha's, they have every one have on virgin births." Said, "Mohammed's, all--all them down through the line have to have virgin births, and everything." Said, "The whole thing, I got all muddled up," and said, "I just throwed the thing away," and said, "there's nothing to it. And I'm a perfect agnostic."
I wasn't feeling very good then. I wanted to come back and see him again. I thought, "Lord, I'm... My wits are not sharp enough now for that guy. But You let me slip out somewhere and sharpen up a little bit. I will come back."
So I went out, prayed. After while I met him again. He said, "Well, how do you do, Reverend Branham?"
I said, "How do you do." He was a little Congressmen then.
I said... He said, "Say," he said, "what do you think about those tribes down in Africa? What do you think of them?" Said, "Don't you think they're very progressive, getting progressive."
I said, "Yes."
"And what is that great big burly type?"
I said, "That's the Zulu."
"Oh, yes, that's right. That's what it is. I've studied a lot about them."
I said, "Yes, sir." And I prayed...?... I said, "Now, Lord, if I meet him again, You let him name religion to me." Don't never push yourself on anybody. See? Let them ask you. If they're interested, they'll ask you. So I said, "Now, let me--let me see what he says." Well, we went on for a little bit.
And the first thing you know, why, he said; he said, "Well, don't you think they're more progressive?"
I said, "Yes, I believe the Zulus are a little more progressive." I said, "They're..."
He said, "They're big burly fellows."
"Yes." And we talked. An right there in his office, he stepped outside of his office to talk me, or out in his main office, where many people setting around to listen at the conversation. And he said, I thought, "Now, Lord, now I'm just waiting for You to give me that 'go' sign, there to--to talk about religion."
He said, "Well, I tell you," he said, "I will tell think the smartest man that ever lived was Mahatma Gandhi."
"Well," I said, "every fellow to his opinion." but I said, "I--I--I... Mahatma Gandhi was all right." I said, "I have a chance to meet his--his son there at Durban, if I wished."

E-7 He said, "Say, I want you to go over here to Stewart's and get a--a book on: The Life of Mahatma Gandhi's son's." Said, "I want you to get: "The Talk to the Stars." And you tell...?... over there, that I sent you there." He said, "Say, Reverend, I like you." He said, "If you ever go overseas," said, "you know, when you can't these yellow fever shots, around here anywhere," said, "...?... He's the main doctor out there at the--at the post--at the--out at the what? Fort Knox." He said, "I will get you yellow fever or anything, just get it for you free, too, Reverend."
I said, "Thank you...?... He has to say something about religion. So went on a little while. And so after while he said, "Say," he said, "I will tell you; them Mohammedans are smart people, aren't they?"
Said, "Yes, sir."
"Them Moslems..."
I said, "Yes, sir, they are." See? Smart people.
He said, "They've read a whole lot. You see?"
And I said, "Yes, sir. That's right; they've read whole lot."
"You didn't have much success getting those kind of people to your religion, did you?"
I said, "Oh, yes." He said, I said, "We had around thirty thousand converts in a day."
He threw down his cigarette; he said, "What?"
I said, "Yes, sir."
He said, "Is that a fact?"
I said, "Yes, sir."
He patted me on the back; he said, "Boy. You must be a genius." There was my chance.
I said, "No, sir. I'm a seventh grade dummy, but my Lord is the Genius, the Lord Jesus Christ."
He dropped his head down. He said, "You mean thirty thousand converts in a day?"
I said, "Yes, sir." I said, "If you question it, you might call Sidney Smith, the mayor of Durban, and find out if that's right." I said, "There was more than that, but we just said, thirty thousand."
He said, "Was they Moslem's and Mohammedans? Are they...?..."
I said, "Yes, sir. They stood there with their aprons and things and wiped the red spots off from between their eyes, getting right with God. When they seen the power of Almighty God, moving, they said, 'That's enough for me.' They believed."

E-8 "Well," I said, "Doctor, you excuse me for talking to you like this, for you're a smart man." But I said, "You know, when the trees, in the garden of Eden there were two of them, and one of them was the tree of knowledge, and the other One is the Tree of Life. And man left this Tree to bypass of this tree," and I said, "when he took his first bite off the tree, let it be whatever it was... (I got my idea of that.) So whatever it was, when he tooken his first bite, he separated himself from his Maker. And ever since then, he's been biting off that tree. And every time he bites off that tree, he destroys himself." I said, "God destroys nothing. Man destroys himself by knowledge."
And I said, "As Paul said to Agrippa, long ago, 'I think too much studying maketh thee mad.'" I said, "You read too many books." I said, "Doctor, you're trying to take them old ancient philosophies and things like that, and saying they're virgin birth and so forth, and comparing that with truth." I said, "One is indifference, and the other one is sublime." I said, "I know they have a mockery of it, just like everything and say they're of virgin birth, but there's not one bit of it can be proved." And I said, "I visited the country and the graves, where there was every one of them died." I said, "But tell me where Jesus lives today. Where is He buried at? Show me His bones."
He said, "Well, what story was...? Well, they said they stole Him away."
I said, "No, He rose again."
Said, "How can you prove it?" I said, "He lives within my heart." See? I said, "That proves that." I said, "He stays within my heart." I said, "I might not be smart, Doctor. I'm wanting to talk to you; you're a smart man." But I said, "Looky here. You know what's the matter with you fellows?" I said, "You're on this tree of knowledge."
He said, "Reverend Branham, look." He said, "You said, a man bit off gun powder, that destroyed his friend?"
"Yeah." I said, "then a automobile."
"Yes."
"And then, now, atomic bomb."
He said, "Reverend Branham, if we had no automobiles, no gun powder, no atomic bombs," said, "man would still die."
I said, "Just a minute, Doctor. He wouldn't have died, until he left this Tree. He had Life until he left His Tree. And leaving that Tree brought death." See? I said, "Not--not they're... That's just the results of leaving the Tree. But as long as he stayed with this Tree of Life he lived forever. But when he left the Tree and refused this Tree, and eat off of this tree, disobeying God, then when the question mark come across God's Word, then to me, death come in. And when the question mark comes across your heart to God's Word, death sets in."

E-9 I said, "This is the Tree of Faith." I said, "A man has knowledge which is by five senses." I said, "He's done a great job of it." But I said, "you know what's the matter with you fellows, with all your education." I said, "I'm not trying to support my ignorance now"; said, "we use crutches of this," but I said, "you fellows climb up this tree here as far as knowledge will go, and you'll reason out with your own minds, then when you get so high, you can't get no farther, and you run out this way and you run out that way, then you say...?... it all." I said, "When you get as high as you can on knowledge, now that tree is all right," I said, "as long as you get as high as you can on that, from then on, believe." I said, "That's--that's what you have to do. After you can't figure it out any longer, then believe. That's the time to believe when you can't figure it out. That's when it just comes by faith." See?

E-10 How could a person with a cancer live, when the doctor says he's going to die? All, everything says they're going to die, but here they are right here tonight living, been living for a long time. Some of them across the country, that I know of, when the person, seven years ago, they were given just hours to live, and they're big healthy strong people. How is it? I don't know. It's by faith. This is the Tree here. See?
It's like a boy that's trying to swim. He says, "I can swim," as long as his feet is on the ground, but when he steps off in the step off, oh, my, he begins to gurgle and holler for help." That's the time to swim, when you haven't got your feet on the ground. See what I mean?
Well, the same thing is this, my dear friend. As long as you can figure it out, and wonder how, as long as you can say, "Well, now looky here, it must be this way. Now, they must be doing it this a way. Well, I..." If you can't figure it out, then just believe, as long as it's God's Word. Is that right? How is it going to be? I don't know. I can't tell you, but it's going to be. God said so.

E-11 Jesus, they seen that He... He knew the peoples thoughts. He knew what they were thinking of. He saw visions and told them that He couldn't do nothing till the Father showed Him. And what He said that the Father would do, that the Father had done, that every time was right. Isn't that right? So they figured, "How is He doing it? Now, perhaps, it's mental telepathy."
Then He told the people the things that was in their heart that they wasn't thinking about. They wasn't--wasn't even thinking about it. That's not mental telepathy. Anybody has got an ounce of sense, that ever said it, that knows mental telepathy. You take a number in my mind, and me thinking about the number, and you standing out there guessing about it. That's all, what number I got in my mind. Mental telepathy doesn't reveal sin. Anybody that knows anything about it, that ever studied it, knows that that's wrong. Psychology is a perfect guess work, shot in the dark. But Almighty God's Spirit is perfect.

E-12 And then stand here and say now, "Somebody in the building has a--has a ulcer in their stomach." Sure, one in this building has got an ulcer in their stomach somewhere. But who is that person? That's the next thing. Is that right? Who is the person? Then let God say who the person is, then that's different. Then tell them what they've done to cause that to come in there. Maybe, it's in there... Maybe it's because of unbelief. Maybe it's because this. And then the patient stands and say, "That's the honest truth." That's different then. See? That's when you're off of this tree of knowledge trying to figure out. You're over here on this Tree then, believing. See? It's by faith. How? I don't know. Don't ask me; I can't explain it. And there's nobody else can explain it. God's Word is passed--is passed finding out (Is that right?), His ways. You just can't find it out, there's no need of trying to figure it. You just believe it, that's all. And you see the results, you see what God does.

E-13 Now, here comes a man up here, maybe, that's sick. He's standing here with a... The doctor says he's going to die. He's filled with TB. Here he comes up to the pastor, he says, "Pastor, I--I'm... The doctor tells me I'm going to die. I--I'm--I pray, you pray with me, pastor."
The pastor says, "All right." Now, the pastor, if he's not a gifted man, or so forth with understanding he'd better anoint the man with oil, because that's what stands between him and the sickness (See?), or he could take it hisself.
Now, he takes the order that James give there, the elders of the church, and let them anoint him in oil and pray over them. That's exactly the church (See?) to anoint with oil. That oil represents the Holy Spirit stand between the pastor and the sickness. All right.
He anoints them with oil, representing the Holy Spirit, just giving over to the Holy Spirit. Then he prays for the person. Now the person after while begins to feel different, flesh takes on, goes back to his doctor. "Why," he says, "say, you're getting well. That's wonderful. What happened?"
"I can't tell you."

E-14 Here not long ago there was a--a young fellow in the hospital in Jeffersonville, was dying. The boy, they called me up, our doctor friend in Jeffersonville, sent me out to him. Said, "Go out and see him, the boy is going to die." Now, he was a... He had a venereal disease. And his mother died, and he just run wild there, and there was little girl, little sister had also taken a wrong road, and the little boys, the started driving taxi cab, and after while the kid got in trouble. A dandy boy, I knew him; he just got on the wrong foot. And I went out to see him.
I looked at him, and I... He said, "Billy," said, "I tell you," said, "I--I'm ashamed for you to come here." Said, "Doctor has told me to make my peace with God."
I said, "Delbert, are you a Christian?"
He said, "No, I'm not."
I said, "Let's talk about that first, Delbert." I said, "Aren't you ashamed? Your mother was a Christian, wasn't she?"
Said, "Yes, sir, she was." And he said, "Brother Branham, I--I don't know, I just... I just got out." Said, "The first cigarette I smoked, and some of the boys told me," said, "just to be smart, and then the girls begin to tease me, and I started smoking." Said, "I didn't mean to become that way." And said, "I started drinking, and I didn't mean to, just a sociable drink, a glass of beer."

E-15 That's the way it is. Shun the appearance of evil. Have this first thing in front of you: when it's evil, say, "No." Need to say that, "No." That settles it. Don't have a wishbone, have a backbone like that; stand out. See? When you know you're right, if you believe in God, if you're born again, you will do it. That's right. There's no question about that. If you're born again, it'll take care of itself. Then, now... If the...
And the boy got on the wrong foot; he had syphilitic. Doctor give him everything that he knew of. They were giving him Salvarsan, 606; everything that could take place. And if there's doctor in the building, knows what that is. Mercury even goes into the bones and so forth.

E-16 Said, "There's not a chance for the boy to live." God...?... still and do some work. All right.
Now. So I talked to him a little while, and I said, "Son, would you become a Christian?"
He said, "I want to, Brother Branham." He said, "I--I'm afraid God won't receive me: I've been so sinful."
I said, "Oh, yes, He will. Oh, yes, sir. He will receive you."
He said, "You think He would take me, and me with this disease like this? What have I got?"
I said, "It's not your body you're presenting to Him; it's your soul, my boy." See?
And he said, "Well, I--I come. I come." And I read to him John 14. And I knelt down and prayed. While I was praying, the boy raised up his hands and sobbed and cried, said, "Dear God," right out while I was praying. Said, "Have mercy on my soul. Please don't let me die a sinner. Lord, with all my heart, I believe the Word is right. And I'm coming, I'm coming to accept You as my Saviour." The boy had a wonderful conversion.
I got up and patted him on the head, and blessed him. I said, "Now, Delbert, let's talk about Divine healing."
He said, "Well, Brother Branham," said, "I... It's all right now, whether I would get well or not, now." He said, "Everything's all right now." Said, "Something happened in here now; I'm not afraid to die now."

E-17 I said, "Well, that's the main thing, Delbert." I said, "Now, that's the real thing. Now, let's speak of the Lord, Who could stoop low enough to get your sinful soul, He will stoop just as low to take your diseased body, right down in the bed of adultery, pull you right out of here and make a gentlemen out of you, and heal you."
He said, "You think He would, Billy?" He said, "If He will, I will serve Him the rest of my days. What I have, whether I get well, or not, I will serve Him the rest of my days." He wasn't talking too much on healing.
I knelt down and prayed for him for him to get well, laid hands on him, went on up. I called up the doctor, and the nurse called me, and told me to get a hold of the doctor, the doctor wanted to see me, that sent me out there, had prayer with him, 'cause...?... I said, "Doc, I want you to go out... I'm--I'm definitely led, you should give him another shot."

E-18 I said, "Well..."
He said, "I done give him more than... He said, "It--it isn't going to take." And said, "I've tried it."
I said, "As a--as a friend, as your buddy, will you--will you do one favor for me?"
He said, "Sure, Bill, what is it?"
I said, "Go, give him another shot. Will you do it?"
He said, "Yes, upon the strength and the..."
I said, "It won't hurt him?"
"No, it won't hurt him."
I said, "Go, give it to him."
He went there and give the boy a shot, that one took. What was the matter? What taken place? Why wouldn't the others take? Prayer changed things. The boy is well and sound today. See what I mean? It's prayer that changes things. Get your head set level. Look towards Jesus Christ. Remember, He's the Author and Finisher of your faith. Have faith in Him; don't doubt. Believe that everything that He said is the truth. And God will heal you, both soul and body.

E-19 There's been one thing that's been my meeting that I've slacked on, one thing that I'm praying about. I have not revealed it to the people yet; I didn't say it for two or three days; I was impressed the other day, coming up on the road. Something keeps pressing to me. I think I almost make myself a mystic by--to the people, by the power of a revelation of God through the gift. And I believe, if I could actually just let up a little and pray for more people, it's prayer that changes things.
I've noticed so many carnal impersonations. Go out and saying, "Well, I've got this, and I've got that. And glory to God, it's here." Just say, "It's in your finger," and watch somebody else get it in their finger. And there, then they come out and see these things; they muddle the whole thing together, and say, "There you are. That's the holiness church for you; that's the Full Gospel people. You see?"

E-20 The Devil won't judge by the good things; he will judge by the worst things. He throws it all over on the Word. The same thing he will do by Christians. He will say, "Look at there. Look at that guy, supposed to be a Christian, out there living with this other man's wife, drinking liquor, doing these things there. Well, I'm as good as he is."
Sure, you're better than he is. But brother, that guy has nothing to do with the man who's really--really living a real Christian life and loves Christ. If he loves Christ, he won't do those things. For he's born of the Spirit of God, and the seed of God reminds in him and he will have no desire to do that.
The Bible said, "The worshipper once purged has no more conscience, or no more desire of sin."
And if you still have the desire, you have haven't been purged yet. That's just one thing sure. See? If you still have a desire in your heart to go out and lust and sin, just remember, my friend, you need to come back to God, back to the altar. For we are sowed with the incorruptible seed of God. An ordinary, say, grain of wheat won't perish if it's in the right kind of a ground. How about the seed of God which is incorruptible? It's got to produce just exactly what it says it will.

E-21 And listen, a grain of wheat will not produce a cocklebur. No, sir. A cocklebur will be in the field, and when the drought is on, the cocklebur is just as happy to receive the rain that falls for the wheat, and if it's the rain, the same rain... But by their fruits you'll know them. See? You'll know whether it's cocklebur or wheat. See? And if you still that carnal in your heart, and so forth, unbelief. Unbelief is all it is.
You heard me say, the people, no doubt, have been telling me, "Go and sin no more." What do I mean, "Go and sin no more?" I don't mean, "go and don't do this." Sin is unbelief. No matter what it is, what you've done, you--you don't...

E-22 Here not long ago, I was preaching in a Methodist church, one night, and I thought the Lord was firing me up good. And I was just a preaching away, and I said, "You don't go to hell because you get drunk. You don't go to hell because you commit adultery. You don't go to hell because you smoke cigarettes, things like that."
Some little old Methodist mother had just as much as she could stand, you know. She was setting there. And jumps up to her feet (a great nice church) and said, "Reverend Branham, I resent that. What do you go to hell for?"
I said, "Because you believe not." That's right.
The Bible said, "He that believeth not is condemned already."
Jesus said, "He that heareth My Words, and believeth on Him that sent Me has Everlasting Life and shall not come into condemnation, but's already passed from death to Life."

E-23 You can't believe that Jesus Christ is the Son of God, and live the same life that you once lived. That's right. That makes it pretty strong. That's not skim milk by a long ways, but it's good for you. You can't believe with all your heart, that He is the Son of God, and accept Him as your personal Saviour, and live the life you once lived in sin. Because He said, "You passed from death to Life, and will not coming into condemnation: but you passed from death to Life." Saint John 5:24. Do you believe that's the truth? Jesus Christ said so.
So then, you see, the only thing that condemns you is your unbelief. And if we can't have faith enough to believe God for little things that we see taking place, here, and try to muddle it all up, and say, "It's psychology. It's mental telepathy, or something like that." How in the world are you going in the resurrection? Figure that out. When your body will probably be not over a spoonful of ashes. But God will raise it up.
"He that eateth My flesh and drinketh My Blood has Everlasting Life, and I will raise him up at the last days." Jesus said that in Saint John 6. "He that eats My flesh and drinks My Blood hath Everlasting Life (present tense)..." [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-24 ... woman that come up, and a man, who went out and done something and come and thought they could get by with it before the church. They lied about it. They said, "We sold our ground for so-and-so." But there was a man standing there who was a prophet.
He said, "Why has the Devil put in your heart to lie to the Holy Ghost?" Such a shock killed the man. Here come his wife in, Sapphira...?... Ananias and Sapphira. So when they come in, he also told her, "The feet that packed your husband out..."

E-25 I tell you, when they seen that discerning, that Spirit moving and pointing the person, and telling who it was, the critics hushed. But today, they're brazen. My. Listen to this. Wished I had time to read it all: Acts 5, beginning with the 12th verse. I believe we'll just begin a little farther up. Let's begin about the 12th though, 'cause I haven't time to read it, my time's getting away.
And by the hands of the apostles...
Right after the death of Ananias and Sapphira, when Peter pointed them out and told them what they had done... The very condemnation of the thing, to know that they were wrong, shocked them till they died right there. Just think of that. The Holy Spirit speaking, said, "You've lied, and you've done a certain thing." And down they dropped. You believe it's the same Holy Spirit? Been challenged so many times.

E-26 Did you ever read my little book back there, called "The Man Sent From God"? How many read it? Thank you. Hear of the maniac? How many take that "Voice of Healing"? You seen the other day, how that--that great renowned lawyer thought all that was muddled up, and they had lied, he even went to the law and things like that. And everyone of them rung out a hundred percent true. And you see what he said about it, the CPA. All right.
What would've been if he would walked to the platform? What would've happened here in Harlington, Texas, here not long ago when a certain thing taken place? When some fellows come down there and wrote out an article in the paper, or a little paper and passed it on there, and said that, "I was nothing but Simon the sorcerer, and I was bewitching people. And the FBI agents was there that night to expose me on the platform."

E-27 Many of you, was anybody at Harlington, at the Harlington meeting? If you are, raise your hand, around here from Harlington, Texas, was down in the valley. Well, I've got the article of it in my little scrap book. Passed great big things out, and said there was going to be all these different things. Said, "All it is is mental telepathy. He's Simon the sorcerer." When I walked to the platform that night, and said... "What it is it's--it's a--it's a trick that he plays." And all like that. Said, "It was big stage show," and all that. Said, "The FBI agents..."

E-28 I come to the platform; Mr. Baxter was standing there. The custodian of the building had went out and had them little Mexican children to take them all off the cars. He was standing there weeping. He said "Reverend Branham, it's a shame." He said, "My baby was healed in this meeting. And look such a--a damnable rot like that." Said, "The law ought to pick that guy up for doing that."
I said, "That's all right. There's a higher law then the earth here will take care of that. 'For verily I say unto you, whosoever shall speak a word against the Holy Ghost, it'll not be forgive him in this world, nor the world to come.'" I said, "He's just mentally upset." I...
And a little lady had just been healed of a condition; she run, she said, "Reverend Branham," she said, "I know it wasn't mental telepathy that night when you..."
I said, "Now, look, sis."
Said, "I'm going to leave the building, if the FBI is going to arrest you on the platform." Said, "I don't know what I'd do, Brother Branham."
I said, "Don't you worry about that, sis." I said, "I've had the FBI in meetings two or three times, and every time they got converted." I said, "I'd sure like to have them again."

E-29 And Brother Bosworth remembers one night in my meeting when the FBI come at Seattle, Washington. Went out the next day and knelt down in a shooting galley. He said, "Brother Branham, look, how can I receive the type of Holy Spirit that you got?" See? I put my arms around him and led him to Christ. A year from now he retires, and he's going with me. See? That's right. I like to see people come in who's really sincere.
So when I got up on the platform that night, I said, "Look." I said, "I have a little piece of paper." I said, "My brother Howard," I said, "you go on out of the building. And Mr. Baxter, you leave the building." I said, "It's been said this was mental telepathy." I said, "Setting in the back of the building, just about two hours ago, as Mr. Baxter here, knows before he leaves." I said, "One day, while I was down here in Texas, and a little newspaper went busted later on, carried a dirty article, and said that I was up there, and a whole lot. Said, I received so much money in a meeting that it taken two big men to pack the offering out of the building."

E-30 Brother, sister, I had a million five hundred thousand dollars give to me at one time, and refused to put my name on it, and told them to take it back. That's right. I had twenty-five thousand dollars give to me in one check at the platform in Texas, where a man from the Texas oil owner there that come said, his mother was healed out of wheelchair. They just flew in there. I said, "Sir," and I tore the check up before him. That's right. I'm a poor man.
Someone offered me, here not long ago, said, "Brother Branham, we'll buy you a nice Cadillac to ride."
I said, "A Cadillac." I said, "Me go down through Arkansas and some of them poor little old Arkansas'ers down there picking cotton, little old mothers with their hands stuck up with cockleburs and things, or burrs off of that cotton, picking, pulling a sack, half dead with female trouble and things like that, eating fat bacon and corn-bread for breakfast, come put a dollar in my meeting, and me ride in a Cadillac? No, sir. No, indeedy." I said, "No, indeedy, I will never do that...?..." [Congregation claps their hands--Ed.] Thank you.

E-31 I want to be like the people that comes to me to be prayed for. Yes, sir. If I could afford it, I sure wouldn't even have them to even put in nickels and dimes to pay for the auditorium. And I said, "No, I... If I got what I deserved, I'd be walking. Wouldn't I feel funny now, say, "There goes Brother Branham." A big Cadillac going down the road and them poor little fellows couldn't even afford a bicycle. And then me going in a Cadillac. That's not right. No, sir. So I just wouldn't stand for it.
And this man made a great remark that I put money and everything. I just... It was wrong, but God dealt with him.

E-32 And one day, I remember a friend of mine, Mr. Reed from over in, he may be in this meeting tonight. Many of you might know Mr. Reed. He had a stroke, and his hands was hanging like that, and the doctor said he'd die for morning. They called me way down Florida, when I was at your place, and I prayed for him on the phone. God saved his life. And he was been... And one night, he was coming out of... one day there at the... What was that little place where they got them big caves there in New Mexico? Carlsbad. And we was coming out, Billy and I were going down the street, and here comes Mr. Reed and his colored driver. And Mrs. Reed trying to help him and he was... And he seen me come there, and he held his mouth opening crying, and he was trying to wipe the tears away from his eyes.
Said, "Brother Branham, last night you called from twenty-five to thirty-five, and mine was thirty-six." He said, "Oh, if I could only got to the line."
And I said, I said, "Well, Brother Reed, that wouldn't have healed you, brother."
He said, "No, Brother Branham, but I want to know what I've done. If I've done anything, God knows that I'm sorry of it." He said, "Why should I have to go like this through life now." Said, "I'm glad to be living, but... holding like that. The boy trying to hold him, and his wife like that.
And I said, "Well, Mr. Reed, I have no way." I said, "Just tonight, I just call a number of those cards." I said, "If God would've intended it..."

E-33 He said, "Well, all right." He said, "Brother Branham, I will keep on till God give you, He shows me if I'm ever going to be well, or not, or what I can do." Poor old fellow... Standing there I looked, coming up from him, I seen a palm tree standing out there. I seen him with a brown suit on, a white shirt and a brown tie, standing perfectly straight, lifting up his hands and arms, walking like this.
I said, "Brother Reed, THUS SAITH THE LORD, I don't know when; I don't know how; I don't know where it'll be; it isn't here, 'cause there isn't no palm trees here. But you'll be standing somewhere by the side of a palm tree with a brown suit on and a brown tie, and a white shirt. You are going to be a well man, whether it's this year, next year, or ten years from now, I don't know, but THUS SAITH THE SPIRIT."

E-34 So that, I went on over seas to Finland, and so forth, and come back, and went down, and that night just before I went to the meeting, Brother Baxter, which is listening right now, here somewhere. And he was--he was with me, and I'd been in the room for three days, just fasting and praying. Am I taking too much of your time? [Congregation says, "No."--Ed.] I hope not. See? I--I had been fasting and praying and wouldn't go out to eat. And Brother Baxter come said, "You got to eat tonight." So he took me down to the cafeteria. And just as we got in the cafeteria, he said, "Say," he said, "we're kind of trapped in here." Said, "There's some of our friends in there," and they're probably sitting close now too. They was the ones that give that hat the other day, the Willbanks. Those are very fine friends. Said, "They'll sure want to talk to you."
Well, it's not as I don't want to talk to people, but when that's on, you just simply goes to revealing things. So when we started out, Brother and Sister Willbank, sure enough, they visited me the other day down home. And they were standing there, excited over...?... Said, "Brother Branham, I want to shake your hand."

E-35 And Brother Baxter said, "Now, look." Said, "Don't talk to him."
And they--they said, "We understand." They're very lovely. He just shook my hand. I started on down the street. And I started walking down the street; the Holy Spirit said, "Turn around and go in the car with them."
I thought, "I was just impressed, I'd go on." I said, "Brother Baxter, it's a nice night."
And he said, "Yes."
I felt Something stop me. Looked like I couldn't move my legs anymore, just getting, couldn't move my legs no more. I stopped real soon. He said, "What's the matter?"
I said, "Brother Baxter, I must go back and get in the car with Willbanks."
He said, "Brother Branham, you can't..."
I said, "It's the Spirit of the Lord."
He said, "All right, then."
So we turned and went back, and got into the car. I said, "Will you take me around to the hotel, Brother Willbank?"

E-36 He said, "Yes."
We went around to the hotel. And when we got out at the hotel, at the hotel, we started up, Brother Baxter went walking on in. I started in. And Something said, "Go back and talk to Willbank." I went back; I said, "Friends, I hope there's nothing wrong with your family. There's Something here, that just keeps telling me to--about this." I said, "Not to--to--to, not to do this, you see. And not to go in, and so forth."
He said, "Well," he said, "now, there's nothing wrong with us, or not."
Said, "There's something strange." And Brother Baxter had done went over, there was a--a lane over there with some flowers in it, right almost at the hotel, and Brother Baxter was standing over there with this messing around the flowers.
Said, "Come on in, Brother Branham?"
I said, "In a little bit." And I said, "I don't know; there's something happening somewhere." And I stayed there about three or four minutes.

E-37 And looked like Something said, "Go on in." I started to walk on in, and just as they pulled away, started to pull away, I looked coming down the street, and stopped right up there by the side of a palm tree, was the Reed family getting out. There he had a brown suit on, a brown tie. I looked at that. I looked at him. I never said a word...?... both arms in the air and hollered, "Glory to God," and here he come down the street. They thought they had the Salvation Army out there. And up and down them steps he went, all at the meeting.
I said, "Now, go on over to the meeting and sit down. See? Just don't say nothing; just sit there at the meeting. There's a bunch over there, tonight," I said, "it's nothing in the world but them same old spirits that lived on Ananias and those priests back there that denied the Lord Jesus is the same thing, today, living in men. The Devil takes his man, but never his spirit, he just... moves on gets another one. And so, then when, went on down, like that.
The Bible said, "There were foreordained to that condemnation." You know the Bible says that? "Turned the grace of our Lord into lasciviousness." That's right. Jews... And then notice this. Then they come down there, just born for unbelievers.

E-38 There they were sitting there. And I got up, and I said, "I have been told here according to this, that the FBI is going to expose me tonight." I said, "All right. All right. FBI, wherever you are now," I said, "my manager is gone, and so forth. I invite you to come on up to the platform and expose me. If there's anything that I've done that's illegal, anything contrary to the Bible, anything illegal to the laws of the nation," I said, "anything you want. Come up and expose me; tell me where I'm wrong." Which I knew there was no FBI. So I just stood there a little bit, waited a little while.
I said, "No, it looks strange that the FBI don't come." I said, "You've got the platform. Come on." I said, "If I've done anything wrong to be exposed, and...?... Let them come up and tell me. Here's where it's at. I'm just willing to stand the... by the Word of the Lord, and to be exposed by It. See?" I said, "Anything I've done."

E-39 Just then, I noticed moving over on this side, I seen a black object, and it moved across the audience, and went over, hung right up here on the platform over a man dressed in a gray suit, and one in a blue. They were preachers.
I said, "No, it ain't no FBI." I said, "They said they were going to expose me tonight, the guys that done it hasn't got nerve enough; they've backed out." I said, "There they set right up there." I said, "That man in the gray suit and that one in the blue." He got down like that. I said, "Whoops, I thought you was going to expose me." I said, "All right. You're not FBI agents; you're backslidden preachers. That's exactly what you are." You ask anybody you wish to, ask my manager. I said, "You're backslidden preachers, and I challenge you in the Name of the Lord Jesus, you wrote this down and said I was Simon the sorcerer. If I am Simon the sorcerer, and you're holy men, then you come to the platform, and God strike me dead. Then, if I am a man of God, and you're wrong, when you come to the platform, God strike you dead. Come on down now." Yeah.
They set there a little bit, the first thing you know, I said, "You see what's happening?" I looked and they was going out of the building real fast, as hard as they could. I said, "Well, we'll wait a few minutes; just play: "Only Believe," or something, see if they come." Nobody never did show up, never have since.

E-40 I said, "You see what it is? When it comes to a showdown to their...?... it's nothing in the world but the Devil; that's exactly what it is. Exactly." God's work moves on just the same: "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
What would have happened when that maniac run to the platform that night? Here, today, I was told here by a minister, when I used to take the people by the hand. I know we had some impersonations of that; that's right. But a minister said, that man getting them by the hand, and so forth like that, a minister that's going to cooperate in my next meeting. He was standing up at the platform, said, "That guy is a spiritualist. That's all." Said, "He's--nothing to him." Said, "He's nothing in the world but a spiritualist." Said, "He's a Devil. He's a--he's a mind reader." Said, "There's nothing at all about it, about his left hand." When that was first come, that was before this other had happened. Said, "There's to it." And while in preaching, his hand went paralyzed from his wrist down. And today, he has got big spots like leprosy; it's not leprosy, but it's spotted like leprosy, all over his hand, on that same hand, that he criticized mine of.

E-41 I tell you, brother, the Bible said, "It is far better that a millstone was hanged at your neck and you drown in the depths of the sea." That's right. So be careful. Know what you're talking about. See? Be careful. And that man has got his name on the paper to cooperate in this next meeting, willingly. See? If you don't understand, just be still. Just don't say nothing about it. I wouldn't even be around where it was at. If I didn't believe in it, I just wouldn't be around where it was at. I'd stay away from it.
Why did I say that? You think I can stand here at the platform and not know things? Certainly I do.
I want to read some Scripture again, the 12th verse:
And by the hands of the apostles many signs and wonders were wrought among the people; and they were all with one accord in Solomon's porch.
And the rest durst no man join himself to them: but the people magnified them.
And believers were more added to the Lord, multiplied both men and women.
Insomuch that they brought forth the sick into the street, and laid them on beds and couches, that at least the shadow of Peter passing by might overshadow them.
Oh, my. After calling two people in his audience, that wasn't living right with God, the shadow of that man passed over and what? This is not my Word. I'm not responsible for This. God's inspired Holy Spirit wrote this Holy Writ. Do you believe it? And I'd willingly offer my life that this is the truth. Look.
There came also a multitude out of the city around about unto Jerusalem, bringing sick folks, them that were vexed with unclean spirits: and they were healed every one of them.

E-42 You believe it? Look. A man, a Spirit filled, Pentecostal born, Holy Ghost man of God, called out, separated, stood under inspiration, knowing nothing about what Ananias and Sapphira had done, but when he came, they came into the building, the Holy Spirit revealed what had happened. And God rewarded them of their iniquity. And they believed Jesus the resurrected Christ, not Peter; the resurrected Christ, that promised, "I will be with you, even in you." And even the shadow of that man, passing the street, he never prayed for nobody. Walked down the street, and every one of them was healed, sick, afflicted, impotent, lame, unclean spirit. That man who lived with--in adultery, and uncleanliness, and everything like that. Unclean spirits makes them do unclean things. Every one of them...
Then if Jesus is the same tonight, if laying in the shadow of Peter would do such, what about right here, when Jesus Christ is the same manifestation here among us? Don't take the shadow of Peter; it takes faith in the Son of God. Amen. You believe it?

E-43 Let's pray. Heavenly Father, O God, have mercy. I look at the people, Father, and I think of here in America, my lovely home. I love it, Lord. Oh, what a great country. We still got the open Bible. We got men of God who stands fearlessly proclaiming the Word. God, how our nation has started eating off the other tree, altogether by education. Our seminaries and everything, they have to be brought out with fine scholarships or they won't receive them. You have to belong to their own organization. They have to be well-trained and taught. Oh, what a hindrance. How a called man of God could be winning thousands of souls while he's in school, yonder, taking out of him what God put in him. What a pity. Lord, what can I do about it? I'm just a little insignificant, illiterate, worthy of all God's wrath to be poured upon me, uneducated, born in a sinful family, raised by a bootlegged parent... How God, how did You ever save me? It's a mystery to me.

E-44 And what's my voice? The only thing I can do is give my voice the best that I know how, and call for mercy. So thankful that You saved me, Lord. Tonight, You saved me and healed me. You give me mercy and sent me to tell others about the love of Your Son Jesus. And Lord, with all my heart, and around the nation and around the world, I've tried to describe it. And out of there has went forth great campaigns and meetings, which are sweeping the world tonight. How we thank Thee for them. And then to think, a men of corrupt mind...
But You said, "As Jannes and Jambres stood Moses, so do these resist the truth. Never--never able to come to the knowledge of the truth."
Now, Lord, I pray tonight, that You'll grant Your holy Presence with us again. Just a few more nights in closing here. These lovely people set in this auditorium here. Lord, how I thank You for these borned again men and women, that's setting in this building, renown Christians, sons and daughters of God, who if I shall have the--the privilege to gain the place to come to heaven, I will live with them through ceaseless ages. And here they are tonight, giving a portion of their living, to see the meeting going on, setting up here in these old hot seats, fanning with fans, just as loyal as they can be, coming every night.

E-45 Let everybody say what they want to, call what they want to, they still believe, and come right on, nothing's chasing them. God, bless them; please do, Father. May they receive the richest of Thy blessings.
And I stand as Moses of old, standing in the breach for the people, God bless this people. Bless the pastors, and churches, every church that's--that's cooperating. And even those who are not cooperating, indifferent, God, I don't pray for nothing else, but they might be this marvelous, happy, glorious privilege that Christians have and walk in the Light. Grant it, Lord.
We're not doing it to be different, Lord. But if I should hold my peace, then just think of the thousands would have died. O God, and now, some of them are winning thousands of souls for You, and tens of thousands, and hundreds of thousands of souls are being won, just because of the great healing ministries producing the privilege to the people.

E-46 Oh, merciful God, then move upon us tonight in a miraculous way, an outstanding way, and manifest Thy love to us. For was ask it in Jesus' Name. Amen.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... as He tells me to speak. I only do just what He tells me to do. All that understand that, just say, "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] All right. I want you to remember that. Believe that with all your heart. And God manifest Hisself to you.

E-47 Now, to make well, each night I have tried reverently, to be just as considerate with the audience. It's very hard. I'd stand there and maybe, I will let--I will let you know this. When you see me speak to different people, I watch that Light. When I get under the anointing, I see It. I don't see It now. When the anointing comes, I do see It. And I watch It, now that's the reason I don't let flash cameras, is because sometime I see It move; I'm watching It, if the camera flashes, it throws me off, and gets me off (See?); I miss something. That's the reason I said, "Don't flash the camera while I'm--while I'm praying and while the anointing is on." It's nothing in the world but the sovereignty of God. That's right.
And I come down and try to be honest with every one of you, to try to be just, to just what I think is the best thing for you. I--I give out so many prayer cards, each day. And I call from a certain number then, not knowing where. God in heaven knows, and my Bible over my heart, I don't know a bit more where to call from in that line tonight, of a hundred cards, that my boy give out, I don't know a one to call. And God, Who is my Judge knows that. I don't know where to call. What, for we just say...
Billy, don't know, when he's giving... He gives you a card; you fill it out. They pick it up down here and give to the ministers, your name and address on it and so forth; they check up with you, so they can get your testimony and put it out in public.
First your testimony has to be bonafide, has to have your name on it, or it's not right. See? And so therefore, when you give the testimony, that's you. It ain't what I said; it's what you said. We'd like for your doctor to say it. Then we got the doctors statement. Then we put in book so that they can check back.

E-48 Now, there's a hundred cards... What did you give out, Paul? P. Prayer card, on... You'll see on the name, it's got your name and address, and so forth, on the front, and on the back it's has got a letter and a number: P, 1 to a 100.

E-49 Now, Al--Almighty God knows all things. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... I call you from, and just wherever He puts upon my mind, then I will call.
He was telling me today, that people read off that. I don't need them prayer cards. That prayer card is just to get you up to this platform. That prayer card has nothing to do with your healing. Why, there's more people healed out there, that don't even know about a prayer card, never has had a prayer card, than there is with prayer cards. Did you know that? Listen at It, at night when the Holy Spirit begins to move out, touching over those people who don't even have prayer cards. It's the different.
I believe I will do something else right now. How many people here has not got a prayer card? Let's see your hand. Raise up your hand everywhere, that hasn't got prayer cards.

E-50 All right, this line, that second line right there, I seen nearly a solid mass of you there, that hasn't got prayer cards. All right. You that hasn't got prayer cards, beginning over there at the end, come over this way. Yeah. You without a prayer card there, and then you next. The rest, everybody set still now. You next, next, next, next, coming along the row there, that's sick and hasn't got a prayer card, get up along there. All right.

E-51 Now, let that group come, right like that, without prayer cards. Brother Baxter, you go down there and see than none of the rest of them comes, just like that, till I call for them. Billy, you get down here and line your line up. That's without, you without prayer cards. You with prayer cards, hold your peace just a minute.

E-52 How many of you that in here that has prayer cards, let's see your hand. Seems like there's not, the balconies are blank, and way back in the back are blank and some right in here are blank. All right.
I believe, if the good Lord willing, was you in that line, lady? You--you don't have a prayer card? Uh-huh. You don't have a prayer card? All right. Now, just--just hold your peace just a moment. Now, I will get to the prayer cards, after a bit, if the Lord willing; but you hold your prayer card, just a little bit. See? So that you'll see, it's not your prayer card, has nothing to do with it. All right.
You got a prayer card, honey? All right. You just hold your prayer card, I will call for you in a--in a little bit, if I can. Yeah. Okay, honey. I'm calling for those who do not have prayer cards. See? All right.

E-53 Now, we got a few in there now. Now, Brother Baxter, now you stand at the end of that, right down here. And just as I call, the next line starts in there, without prayer cards, hold your hands up. Now, wait, now just a minute, just a minute, don't stand up. Just a minute. Without prayer cards, run over the building anywhere, without prayer cards. Let's see if I can get a solid mass of them somewhere. Yeah. All right.
All right now, you hold, you stay right there. When I call, I will call maybe a line behind there, I seen group there, and then, about third or fourth line back, there was a group that didn't have prayer cards; and there's a group sitting right along here, on this second line, here, that don't have prayer cards. All right.
Now, just--just be reverent. Without your prayer cards now. Now, everybody be reverent. Now, let's bow our heads everywhere.

E-54 Heavenly Father, I don't want to disappoint these people with the prayer cards, who's come here reverently, as we've ask them to, and set here, that--that in this meeting, that they... And this afternoon in this hot building to--and receive prayer cards. But dear heavenly Father, that the people might understand that it doesn't take prayer cards to heal the sick, it takes faith in Your Son, Jesus Christ to heal the sick. And we want them to know that, Lord. And I pray now, that You'll honor and respect this effort tonight. God grant it, will You please. Just as You changed my mind, standing right here at this platform, just now. Why You're doing this, I do not know. The only thing I know: You just spoke to me just now, when the Angel of the Lord come here and said, "Don't call them prayer cards." And I'm obeying what You said do. I'm only following... I don't know what You're doing. Maybe there's somebody coming up here, that's really in a dying condition, and this is going to be their last night.
Lord, I pray that if it is, that You'll have mercy upon them and will heal them. Grant it, Lord, whatever You see. Thou doest all things well. Hear the prayer of Your servant in Jesus Christ's Name. Amen.

E-55 All right. I would if somebody would get me a little bit of water, if you will, I've been speaking quite a little bit.
Now, I want everybody to be reverent. And I want you in the balcony, up there, you that haven't any prayer cards. And you that haven't any prayer cards, when I call you, if God speaks, I want you that hasn't the prayer cards, wherever, I have to speak where the Holy Spirit leads. I will watch the Light and It'll hang over the person. See? But it looks like the balconies especially, and right along in here, there's no prayer cards, and seems like there's no prayer cards right along, down through that section there, and right back in there is kind of, way back in there. Wasn't it you all that hold up hands, you ain't got no prayer cards, back there? All right. That's fine. All right. Every one reverent now, just--just believe with all your heart. God will bring it to pass.

E-56 Now, lady, have you come believing? You believe with all your heart that God's going to grant your healing? All right, come up. Now, do you believe with all your heart, that I be God's servant? You do? All right. Now, you don't even have a prayer card that... And you just come in here tonight and set down, probably come into the meeting, and well, you were just sitting there, kind of surprised calling you. Well, I'm--I'm just your brother. I said brother, because you're a Christian. You're a believer. I knew that by the welcome of your spirit, that you are a Christian, a believer.
And you realize, that you and I both are going to have to stand at the judgment seat of Christ. That's right. And I'm just talking to you like our Master did at the woman at the well. Do you believe that Jesus Christ Who talked to the woman at the well, and said, "Bring Me a drink..." He wanted to carry a conversation with her. And what was He trying to do? If I'd tell you, you might not understand just now. But He was trying to catch her spirit (You see, see?), to see what it was. He perceived her thoughts, you see, what was moving. He knowed what they were thinking about. See? He was trying...

E-57 Now, today, they'd call Him a mind reader, wouldn't they? The Devil has a bogus of it, out yonder. The Devil has a bogus of everything that God's got real. That goes to show because the Devil's got something out there, a bogus of it, shows that there's a real one it's made off of. Is that right? Well, anybody knows that stuff is wrong. That's the Devil. But a Christian can detect between the Devil and God. If he isn't he really needs an experience with God, doesn't he? That's right.
Now, what I'm talking to you for, is the catch your--your spirit, to see what's--to see what it moves in. And I can only say what I see. But if I be able to know what is wrong with you, then you'll believe me to be His prophet, won't you?
I see you've been shook up lately. Something has happened that's really gave you a real heard shaking. Isn't that right? You got two or three things wrong with you. What's your feared about is the cancer, though. Isn't that right? Is that what was wrong with you? And you have... And you are anemia too. You have anemia and a female trouble. You've been nervous for a long time, also, but your main object is your cancer that you're afraid is going to take your life. Which it is going to take your life, if God doesn't give you mercy. Is that right? If it is raise your hand to the people.

E-58 Now, to you imposer, that said that, "It was mental telepathy, me, reading that off of a prayer card." Aren't you ashamed of yourself? God be merciful to your sinful soul. God will deal with you for that. All right, come near sister for your healing.
Almighty God, have mercy upon this dear woman. She's standing here, Lord, she realizes that she's near the end of the journey. And I pray, dear heavenly Father, that You'll heal her and make her well. Grant it, dear Lord, while Your Spirit is near here, revealing to her, her conditions, and where she was there, and what the--they--what they told her in her examinations and so forth. Thou art here, Lord, to make her well. And I bless her, now, in the Name of Jesus the Son of God, that You heal her and make her well.
Cancer, you who are bothering her, Satan, in the Name of Jesus Christ, as a servant of God, I say, "Cursed be you. You're not afraid of me, but you are of Him. So I have the rights to His Name, being a Christian, and ordained for this work, come out of the woman, in the Name of Jesus Christ."
Now, my sister, go on home and forget all about your cancerous condition; forget all that other. You're going to be well. You believe me? All right. Go on rejoicing now, and saying, "Thank God." And be merry.

E-59 [Brother Branham clears his throat--Ed.] A little raspy from speaking too much. Now, everyone be reverent. All right, you bring him right now. Do you believe, sir? I'm a stranger to you. I believe, I don't know you. I might've seen you somewhere. If I do, I don't remember you. You've seen me. Where are you from? Right here? From, oh, from Florida. That's where you saw me? Oh, at Miami, long time ago, when I was there. Yes, sir. Well, then to know you though, I don't know you. You just seen me.

E-60 Now, if I be God's prophet, and you know there's no way at all for me to know anything wrong with you, if I be God's prophet, then God can reveal to me your trouble. Is that right? And then, if I--if I can by God's power, then you will believe with all your heart, that God sent me. Is that right?
Sir, you have a throat trouble. Isn't that right? Uh-huh. Now, there's not a way in the world for me to know that, but, see you holding your throat like that, and [Brother Branham makes a sound of clearing his throat--Ed.] getting that in your throat of that. All right. Come here now, and you can be healed.

E-61 Dear heavenly Father, upon this man's confession, knowing him a Christian, and to see him praying over these conditions, Lord, I now bless him and say for this throat trouble to leave in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you, brother. Go now and be well.
Let's say thanks be to God. [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.] Amen. All right.

E-62 If I be God's prophet, I will know what's wrong with you, is that right? as Jesus knew at the woman at the well? All right. If I tell you exactly what's wrong with you right now, will you believe me to be His prophet? You have heart trouble. Is that right? You had heart trouble. Now, go home and be well in the Name of the Lord Jesus.
Let's say, praise the Lord. ["Praise the Lord."] Everyone be reverent.
Now, the Spirit of God is moving in the audience. Faith is begin moving. Hear me. Take this.

E-63 You are a stranger to me. I do not know you. You just happened to come in and sit down, and called up here at the platform. I don't know you, nothing about you; never seen you in my life. We're perfect strangers. But God can reveal to me, and you--you can... I couldn't heal you, but you couldn't hide your life now. You know that. You can't hide it. And you realize that something's going on, don't you? I'm watching a vision. I'm seeing you try to move of a morning, when you get out of bed. You got arthritis. Is that right? You're healed. God bless you in the Name of Jesus Christ; go and be made well. All right.
Let's say praise be to God. ["Praise be to God."] You believe with all your heart?
You want to serve Him? You do? All right, go on the road and be made well in the Name of Jesus Christ. That's the way; that's the way to be, to be healed. All right.
Say, praise the Lord. ["Praise the Lord."]

E-64 Come. Oh, yes. I do recognize you, my brother. I want to shake your hand. Yeah. You're from Louisville. Yes, I remember you. You've come here to be prayed for. I forget what was wrong with you, but you was just recently healed of a cancer, and there's some kind of a... You was over to my house talking me, and there's some kind of swelling in your side, or something like that. And you said, you was going to come here at the meeting, and... Did you just get in today? Oh, you was here last week. This man was dying here a few months ago with cancer. Here he is healed. Something set in, he works for a railroad company and there's some kind of a swelling in his side, isn't that... Spleen. And he said, "Brother Branham, I want to come when it's under the anointing. I--I--I want to do it."
So I do know this man. I know him; I want you to know. I--I know the man. And by that way, I want to pray for him while the anointing is on, I know what's wrong with him by him coming to my house, and what has happened. But I want to pray for him while the anointing's on. I never noticed you in that line, sir. Was you in that line that I called? I didn't know that. Come here and let's pray.
Now, heavenly Father, here is my brother standing here who has just done so many lovely things. And I see him sit in the little tabernacle, down there, and when I'd go out, he say, "Brother Branham, when you have a meeting, when the anointing is on, I want to come near." And now, heavenly Father, breathe, just now, as he sees Your Spirit moving and know that this is not his Brother Branham here now. It's You standing near. And I bless him, Father, for his gallant faith, and curse this disease of his side. In the Name of Jesus Christ may it leave him, and may he live a long happy life, and rejoice and be made happy, and do God's work the rest of his days, through Jesus Christ's Name, I ask it. Amen. And God bless you brother. Go home now and be well.
Let's say, praise be to God. ["Praise be to God."] Everyone reverent if you will.

E-65 All right. Come near. What do you think? Do you believe me? I see you're awfully nervous. All right. Well, that's perfectly all right. You got a right to be nervous, standing there for this kind of a time, but you're a stranger to me. I don't know you. I never seen you in my life, don't know nothing about you. Say, I will tell you something first. You're not from this country. You're from across the sea somewhere. I see water wading, as you come across. You're from either--you're from either down in lower Mexico, or South America. I see South America. Is that right? That is right. And you suffer with cancer. Is that right? Come here.

E-66 Almighty God in the Name of Your Son Jesus, I bless this woman and curse the cancer. Send her home to be well. Satan, leave the woman; come out of her in the Name of Jesus Christ. Go off the platform rejoicing, return back to South America and get well in the Name of the Lord Jesus.
Come, lady. Do you believe with all your heart, as you come?
You believe God? Let us just raise our hands offer a word of praise.

E-67 Our heavenly Father, we praise Thee. Thou art here; nothing can stand before You. You know all things. Lord Jesus, You know the beginning from the end. You know all things. I pray that You'll bless, Lord, tonight, every one of these people and make them well. Hear the prayer of Thy servant as I offer praise and thanksgiving to You in Jesus Christ's Name. Amen.
All right. Everyone reverent.
Now, where's your prayer card? Hold it just a moment. See? Just a minute. Where's your prayer card? Raise your hands. I mean the prayer cards. You see, it don't take your prayer card; that's only merely to try to get somebody lined up here. I hope you understand.

E-68 Now. Go to praying in the audience, believing God. I know where I am now. I know where I stand. I know that God is with me. I know that He's here. And I don't fear nothing because He's here. He told me, "I will stand with you, and no thing shall stand before you all the days of your life." I believe God and I know where I stand.
That anemia condition has done left you, so you can go ahead home now and be healed. See?
See that colored lady raise her hand right there, just now, up there with that white looking thing on, got that stomach trouble, standing right up there, about four rows up, about three or four in, with a white blouse on there, with a stomach trouble. Yes, sir. You don't--you don't have a prayer card? You don't have a prayer card? All right. You got stomach trouble, haven't you? All right. I seen you up above there, holding yourself, and trying to vomit out, spit up your food, dyspepsia. Is that right? Is that right? Raise your hand; wave it like this. All right. You can go home and eat your food now. You're healed in the Name of Jesus Christ, go home.

E-69 I see a minister preaching at a platform. I see him examined. There he sets right there at the end with a brown suit on. Aren't you a minister of the Gospel? Is that right? All right. You're suffering with some kind of a stomach, or a colon, colon, bowel trouble. Isn't that right? Got an ameba in the bowel. All right. You want to be healed? You believe me as God's prophet? You believe Jesus Christ the Son of God? Of course, you do. All right. Go home and get well now, Reverend, in the Name of the Lord Jesus Christ.
Believe God. Have faith in God.
That lady sitting right there with the white hat on...?... fanning with her fan, back and forth this way, you got diabetes, but who... There's two also, she can be healed, too, if you want to stand on your feet. You that looked sideways there, rise up. Is that right? If it is raise your hand, without your card. All right. Go home now and get well in the Name of the Lord Jesus.
Have faith in God. You believe Him?

E-70 You was anemia too. Is that right? Standing right back behind that lady, is that right? All right. You can go home and get well. You don't need no card.
That colored lady there, she has got that there female trouble. She has--she hasn't got no prayer card either. You want to be healed, if you do, all right. You may receive it. If you want to stand up and believe. All right. Accept it. God bless you. Go home and get well. All right.
You believe God?

E-71 I seen something else flash here in the corner, just a minute. I believe it's over this lady in the... sitting here with a man that's in here... No it isn't. It's the lady there on the corner. There's something wrong with... a bladder trouble, leaking in the bladder. Is that right, lady? If it is stand up to your feet, and stand there... Is that right? Is that true?
All right, you can go home and get well in the Name of the Lord Jesus.
You believe Him with all your heart? What about you people over here? You believe God? Where's them people that didn't have their prayer cards now, that believe? All right. Hallelujah.
I see a man setting out there with spinal trouble, sitting right there with the colored shirt on. Isn't that right? That's right. You want to get well? Say, isn't that your wife sitting next to you there? She has the same thing doesn't she? All right, you can both go home and get well. God bless you.
You believe with all your heart?

E-72 Why was you clapping your hands, sir, there with the green shirt on and the tie. Yes. You're bothered too, aren't you? Uh-huh. Listen. There's one thing you need above everything, that's salvation. Isn't that right? You need to accept Jesus as your Saviour? Is that right? Do you do it?
Stand to your feet, if you'll accept Jesus Christ as your Saviour. Now, you want me to tell you what you're suffering with? A high blood pressure. It's going to leave you now. You can go home, saved and healed. God bless you.
The lady sitting next to him there, that's a little anemia, sitting there next to him, that's in... can be healed too, if she wants to. And stand up...?... yeah, that set right there. That's right. You can go home and get well from that condition, if you wish to be.
Let's say praise be to God. ["Praise be to God."] Have mercy. God have mercy...?...

E-73 Lady sitting right up yonder...?... lady with the arthritis there can be healed too. Yes, sir. If you want to, you can rise up and be made well.

E-74 The man there that's got the heart trouble, standing by the side of his wife, something wrong there with her... wrong with her mouth, she has got some kind of a mouth disease. And that's right. And both sinners, accept Christ, go home, and get... be made well, in the Name of the Lord Jesus. Hallelujah.
Anyone that would deny the power of the resurrected Jesus Christ, shame on you. Our Lord Jesus is here. He stands here at the platform now. His Spirit is here to heal anybody that wants to be healed. I challenge any man or woman in here that will accept Him as their Saviour, as your Healer, but what will be healed. You believe it? You believe He hears my prayer?
Just a minute. I want to pray. Bow your heads everybody.

E-75 O Lord, be merciful to the unbeliever, the sinner outside of God, outside of Christ. O Father, come near now, please breathe upon these honest hearts here. They're needy. Here's a bunch of handkerchiefs, letters, laying before me. God, I see standing out yonder in a little old cabin waiting, a little old mother and dad sitting back in a corner, dad with arthritis. O Eternal God, that mother waiting for this letter to return for that little baby standing yonder. Eternal God, it was written in the Word that when the Red Sea got in the road of Israel, God looked down through the Pillar of Fire, and the sea got scared and moved back; and the children of Israel passed over.
And God, when this token is sent, these handkerchiefs, and when they reach the people that they're supposed to reach, by the token of faith and commemoration of Thy great servant Paul, who's among the immortals, tonight. May them diseases, people... May Satan get scared and move back; may they move over into the promised land of good health and strength. Grant it, Lord.

E-76 While sitting here in this building, men and women are sitting here praying. Lord God, it's between death and life for them. Many of them are bound by Satan. O Father, I pray with all my heart. You said, "The effectual fervent prayer of a righteous man...
Lord, we realize that there's none righteous, no not one. But O God, in the Name of the righteous One, Jesus Christ, I pray with all my heart, all my strength, that You will heal every sick and afflicted person here tonight. May there not be a feeble one. May every one receive healing just now. May the great Spirit of God move over this building, like a great pillar, waving down like the wings of an Angel, Who moves down over this building, and gets down in the soul of every believer. Heal them all.
Come out, Satan, in the Name of Jesus Christ. Leave every one of them. Come out of the people.

Up