Les Expériences

Date: 52-0726 | La durée est de: 1 heure et 20 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... Tous les chrétiens nés de nouveau sont Ses représentants. Nous ne sommes plus de ce monde, mais nous sommes passés de la mort à la Vie, et nous sommes héritiers de Dieu, avec Christ, assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. N’est-ce pas merveilleux? Pensez-y, comme c’est merveilleux!

            Il est écrit: «...Ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, des choses que Dieu a en réserve pour ceux qui L’aiment.» Et maintenant, je crois dans–dans la guérison de Jésus-Christ, je crois que Jésus-Christ guérit les malades. Croyez-vous cela? Il guérit–guérit les malades.

            Je viens de suivre un programme, ce n’est pas pour critiquer quelqu’un. Mais sur ma route, en venant ici cet après-midi, je suivais un docteur en théologie, l’un des plus brillants orateurs de l’Amérique, il parlait de la souffrance. Et il se peut que je sois dans l’erreur. Si je le suis, que Dieu me pardonne. Mais comment un personnage brillant comme lui peut-il s’embrouiller à ce point dans les Ecritures, après avoir enseigné pendant des années et des années dans de grandes écoles et des séminaires? Et il a dit: «La maladie est de Dieu, et que...» a-t-il dit, nous devrions accepter le rhumatisme, l’arthrite. Si Dieu nous les donne, nous devons simplement en témoigner et lancer de la poussière au visage du diable, et dire: ‘Je peux supporter et endurer cela, car Dieu a placé cela sur nous pour Sa gloire.’»

2          Hein! Je ne comprends pas cela. Je ne dis pas... Et je ne crois pas que ça soit raisonnable. Je ne crois pas que c’est... Ça, ce n’est pas l’Evangile de mon Seigneur Jésus-Christ. Et Dieu n’est pas l’Auteur de la maladie. Vous ne pouvez pas attribuer cela à mon Père. Il est venu pour nous guérir. C’est le diable qui nous rend malades. Absolument. Si c’était le cas, alors qu’en est-il de cette dame qui avait l’arthrite et qui était allée auprès de Jésus sur le–ce jour-là, le jour de sabbat, et Jésus lui a imposé les mains et l’a guérie? Et les gens ont dit: «C’était le sabbat», et ils ont trouvé à redire contre Lui. Il a dit: «Lequel d’entre vous, s’il a un animal, ne le détachera pas le jour du sabbat pour qu’il aille s’abreuver?» Il a dit: «Et à combien plus forte raison cette fille d’Israël qui a été liée par le diable pendant toutes ces années? (Pas par Dieu, par le diable.) devrait être délivrée le jour du sabbat?»

3          Et je vous le dis, si ce même homme, maintenant même, s’il tombait malade, très malade, et il irait chez un médecin; et si le médecin lui disait qu’il a l’appendicite, il irait en toute hâte à l’hôpital pour se faire opérer. Eh bien, alors si l’appendicite est une bénédiction, pourquoi aller faire enlever cela? Vous retranchez la bénédiction! Voyez-vous? Alors, si c’est vrai et que la science médicale dit quelque chose au sujet de la guérison  divine, qu’en est-il de cela? Si c’est la vérité, chaque hôpital au monde, chaque médecin, ce sont des antichrists qui travaillent contre Dieu. Eh bien, c’est une honte d’avoir un médecin. C’est une honte d’aller à l’hôpital. C’est une honte d’être guéri. Vous devriez continuer à être malade et mourir. Recevez ces maladies et mourez vite, ou restez là et souffrez avec, ou que sais-je encore. Oh! la la! je ne peux pas–je ne peux pas comprendre cela. Peut-être–peut-être–peut-être que c’est moi [qui suis dans l’erreur.]. Mais si c’est le cas, je–je ne crois pas que ce soit le cas, c’est tout. Je crois qu’il y a quelque–quelque chose de faux quelque part.

            Mais comment un brillant docteur peut-il prêcher un message, et laisser cela simplement là juste sur la ligne, et en arriver carrément là? C’est tout ce que Satan désire, c’est juste assez pour amener... Voyez-vous?

4          Le plus grand mensonge qu’il y a eu au monde renferme une bonne part de vérité. Lorsque Satan est venu vers Ève, il a dit, il lui a dit toute la vérité. Il a dit: «Eh bien, tes yeux s’ouvriront. Tu distingueras le bien du mal. Tu auras la connaissance comme Dieu. Tu n’en a pas maintenant, mais tu vas... c’est la vérité.» Et tout, sur toute la ligne, et ensuite il a dit: «Certainement, tu ne mourras pas.» Mais c’était un mensonge, parce que Dieu avait dit: «Vous allez mourir.»

            Et ensuite lorsque Jésus vint sur terre, ces maladies qu’Il avait guéries, alors Il travaillait contre son Père céleste. Et ensuite Il a donné la commission à Ses disciples et les a envoyés guérir les malades, ressusciter les morts, et purifier les lépreux. A ce moment-là, Il travaillait alors contre la volonté du Père. Et ensuite, les dernières Paroles qu’Il a prononcées étaient: «Imposez les mains aux malades, et ils seront guéris.», c’était donc contraire à la volonté du Père.

5          Alors, si Lui, si nous sommes guéris par Ses meurtrissures, Lui, alors le Père n’a rien à faire dans l’expiation. Fiou! Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre. Mais cependant, ce sont–ce sont des gens intelligents. Que Dieu m’aide alors à être un fou. Voyez-vous?

            J’ai entendu un homme qui descendait la rue un jour, il portait un écriteau sur le devant, avec la mention: «Je suis fou de Christ.» Et sur le dos il était dit: «De qui êtes-vous fou?» La Bible... C’est ce que Paul a dit, vous savez, dans le–dans les Ecritures. Il était un fou à cause de Christ.

            Oui, je crois que la Parole de Dieu enseigne la guérison du corps et de l’âme. Non seulement cela, mais Dieu confirme Sa Parole par des miracles et des prodiges qui L’accompagnent. J’admets que Dieu permet parfois à Satan de nous châtier; ça c’est vrai. Mais lorsque ce châtiment est passé, vous revenez à Dieu, Dieu votre Père vous guérira. Et c’est vrai.

6          Et j’admets qu’il y a une maladie qui conduit à la mort. Et c’est pourquoi les dons prophétiques sont dans l’Eglise pour faire connaître ces choses. Mais de dire que notre Père, qu’un homme qui avait le rhumatisme, l’arthrite, puisse dire: «Oui, Seigneur. Je suis heureux d’avoir cela. Je suis heureux que Tu m’aies donné cela. J’accepte cela. J’aime cela. Je me glorifie dans la tribulation.» L’écharde dans la chair de Paul, mais ce n’était rien de plus qu’une maladie. Si ce n’était pas la guérison, il allait se rétablir, il a dit: «Un ange du diable pour me souffleter. Que signifie le mot «souffleter»? «Coup après coup». Voyez-vous? Et puis, Il l’a guéri; il s’est rétabli. Il–Il–Il l’a de nouveau guéri. Il est tombé malade. Et Il l’a guéri. Il est tombé malade, coup après coup. Il a dit: «Un ange de Satan», ce n’était pas une infirmité, telle qu’il voulait le dire, telle qu’il l’avait dit là, mais c’est la manière dont les gens essaient d’interpréter cela. Je laisserai un après-midi frère Baxter ou certains de ces docteurs vous expliquer cette écharde dans la chair.

7          Mais de toute façon, combien les gens brillants, voyez comment ils s’embrouillent avec cela. Et un pauvre malade assis là, en train de souffrir, pensera qu’il est en train de faire la volonté de Dieu, alors que la bénédiction est juste là à portée de sa main pour le guérir.

            J’aimerais lire quelques passages des Ecritures dans quelques instants. Tout d’abord, j’aimerais témoigner d’une expérience. Et ensuite, si c’est en ordre, frère Baxter m’a dit, il a dit: «Témoignez un tout petit peu ce soir ou quelque chose du genre.» Et si je désire le faire, c’est parce qu’il voulait que je–que je le fasse ainsi, parce qu’il était un  peu fatigué, et il voulait se reposer.

            J’aimerais relater une expérience, ensuite je vais lire le passage des Ecritures à la fin.

            Un jour, lorsque la chose la plus remarquable, celle que je pense être l’une des choses les plus remarquables qui soient jamais arrivées, c’était l’un de ces ministres fondamentalistes qui s’en était pris à moi et qui avait dit que j’étais un hypocrite, un démon et un imposteur et qu’on devait me chasser de la ville. Et il avait payé lui-même environ cinquante dollars de sa propre poche, pour mettre cela à la une d’un journal. Il a dit que j’étais en train de m’imposer comme étant un homme de Dieu, et que je ne valais rien, et que je devais être chassé de la ville. Et que c’est lui qui se chargerait de le faire.» C’était juste un jeune homme qui revenait du cimetière, et... Oui. De toute façon, c’est pareil, c’est un endroit mort, c’est exact. Ils apprennent la lecture, l’écriture, l’arithmétique, et certains d’entre eux n’en savent pas plus sur Dieu qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien. Eh bien, c’est la vérité; eh bien, ils sont en ordre s’ils sortent de là, et qu’ils sont sauvés par Dieu. Mais vous n’êtes pas obligé d’aller là-bas pour être sauvé.

            Paul disait que tout ce qu’Il avait connu, Il–Il a dû... Tout ce qu’il avait appris, il a dû oublier cela pour apprendre Jésus-Christ. Et c’est vrai.

8          Et je ne cherche pas à soutenir mon ignorance. Je dis simplement ce que dit la Bible. Pierre et Jacques passaient par la porte appelée la Belle, et là était couché un homme qui était infirme dès le sein de sa mère. Il a dit: «Je n’ai ni or ni argent, mais ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche!» Et Pierre a tenu cet homme, l’a fait lever et l’a tenu là jusqu’à ce que les os de ses chevilles se sont fortifiés. Il est entré dans le temple, sautant et glorifiant Dieu. Et la Bible dit: «C’était des hommes du peuple sans instruction.» Est-ce vrai? Nous avons appris que Pierre n’aurait même pas pu reconnaître son propre nom, s’il était écrit devant lui. Il n’aurait pas su ce que c’était. Mais il connaissait Jésus.

            Et je... C’est ce que je–j’aimerais que mes enfants connaissent. C’est ce que j’aimerais que les gens connaissent. Je pense que l’instruction, c’est merveilleux, aussi longtemps que vous n’êtes pas un intellectuel insensé (Voyez-vous? Oui.), vous n’avez pas assez de jugeote pour savoir comment gérer votre instruction. L’instruction, c’est très bien; c’est une très bonne chose, et nous en avons besoin. Dieu le sait. Mais nous avons plus besoin du salut que de l’instruction.

9          Si vous avez été avec moi en Afrique il y a quelques semaines, il y a quelques mois, il y  a des hommes assis ici maintenant, qui viennent droit de l’Afrique et qui savent que c’est la vérité. Lorsque je suis entré dans cette réunion là-bas et que j’ai vu ces Hottentots qui revenaient de là, ces gens illettrés, à qui ces missionnaires qui étaient allés là avaient essayé d’apprendre la lecture, l’écriture, l’arithmétique, cela a fait d’eux deux fois plus des enfants de l’enfer qu’ils ne l’étaient lorsqu’ils avaient commencé. Et tous ces païens qui sont entrés, et qui étaient censés être des chrétiens, portaient une idole aspergée de la boue, et complètement recouverte de sang, et ils étaient censés être des chrétiens.

            Le père de cet homme portait cela autrefois, vous savez, et étant poursuivi par un lion, alors il posa cela à terre, et récita une prière, puis alluma un petit feu, alors le lion s’enfuit. Evidemment, c’est le feu qui avait fait fuir le lion. Voyez-vous? Et alors, si cela ne marche pas, alors, il se retourne, et si... son... si le Dieu dont parle le missionnaire ne répond pas, alors il va essayer celui-là. Il porte d’abord ce dieu-là pour sa sécurité. Ça, ce n’est pas le christianisme. Mais lorsqu’ils ont vu la puissance de Dieu guérir un homme qui était né infirme, et faire qu’il se tienne debout, ils ont brisé leurs idoles par terre, et ils ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur.

            Et les journaux ont écrit des articles disant qu’il y avait là de grands camions chargés des montres, des anneaux, et des armes à feu qu’ils avaient volés, qu’ils avaient sorti de leurs–là de leurs huttes et tout. Ils avaient ramené cela avec une véritable conversion.

            Je vous assure, Jésus-Christ envoie dans ce dernier âge un Message qui secoue les choses. «Ce n’est ni par la force ni par la puissance, mais c’est par Mon Esprit, dit l’Eternel.» C’est vrai. Très bien. Et je me suis tenu devant certains de ces docteurs en philosophie, qui avaient leurs doctorats en théologie, il y a quelques jours. Lorsque docteur Devis et beaucoup d’entre eux m’ont dit, ils ont dit: «Billy, rentre chez toi, tu as fait un cauchemar...»

10        J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Si vous en avez fini avec moi, si vous ne voulez plus de moi, ça ne dérange pas. Voici ma lettre de créance.» J’ai dit: «Je vais suivre Dieu, je vais Le laisser seul me conduire; je ne suis pas obligé de suivre l’Eglise baptiste.»

            Il a dit: «Je–je ne–ce n’est pas ce que je voulais dire, Frère Branham. Je–je–je pense que j’ai blessé tes sentiments.»

            J’ai dit: «Vous n’avez pas blessé mes sentiments du tout, mais lorsque vous me dites que c’était un cauchemar, alors que je me tenais là et j’ai parlé à un Ange face à face...»

            Il a dit: «Tu veux dire que tu vas faire le tour du monde, avec une instruction de l’école primaire, et gagner des milliers d’âmes à Christ?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit. Et c’est ce que je crois.» C’est juste.

            «Comment le feras-tu?»

            J’ai dit: «Pas plus que je ne sais comment Paul pouvait dire là sur le navire cette nuit-là, qu’il allait comparaître devant César. Mais il a dit: ‘Voici, un Ange de Dieu m’est apparu hier soir’, et Il a dit: «Ne crains point Saul, Paul, tu vas devoir comparaître devant César. Et Dieu m’a donné tous ceux qui naviguent avec moi.» Et il a dit: «Par conséquent, frères, ayez bon courage, car je crois en Dieu, il en sera exactement comme cela m’a été montré. Et je–je crois en Lui.» Et c’est vrai.

11        Et c’est ce qu’il nous faut ce soir, mon frère, ma soeur. Voilà le problème que nous avons, nous les Américains, nous nous assoyons tout simplement et nous nous posons des questions. Docteur Untel a dit telle chose. Savez-vous ce que cela me rappelle? Une grande morgue de l’entrepreneur des pompes funèbres, où on dépose un tas de cadavres, auxquels on injecte un certain fluide, pour les garder... pour s’assurer qu’ils ne reviendront plus à la vie. C’est... C’est le docteur Untel qui a dit: «C’était de la télépathie.» Celui-ci a dit: «C’est de la psychologie.» Celui-là a dit: «C’est telle chose.»

            Je suis tellement fatigué de la philosophie humaine. Je désire voir la véritable puissance de Dieu se manifester et agir parmi Son peuple, là où Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, en train de se confirmer. Et c’est ce dont le monde a faim aujourd’hui.

            Lorsque je me suis tenu là à côté d’eux, j’ai dit: «Messieurs.»

            Ils ont dit: «Frère Branham, vous revenez à peine d’un voyage missionnaire.» Ils ont dit: «C’était très inquiétant lorsque nous avons lu dans les journaux que vous aviez eu trente mille convertis.»

12        J’ai dit: «Messieurs, pendant ces cinquante dernières années, vous avez envoyé des missionnaires là en Afrique, j’en ai rencontré beaucoup parmi eux qui sont là depuis longtemps. Certaines de ces jeunes filles et des jeunes gens là disaient qu’ils étaient des missionnaires.» Et je leur ai demandé: «D’où venez-vous?» Ils m’ont dit de quelle université ils étaient sortis. J’ai dit: «Combien d’âmes avez-vous gagnées à Christ?» ‘Aucune jusque-là.’ Ils roulaient là à bord d’une belle voiture, ils logeaient dans les meilleurs hôtels, et j’ai dit: ‘Aucune jusque-là?’ ‘Aucune.’ Au moment où les natifs faisaient la danse guerrière, après qu’ils étaient sortis des mines et tout, ils distribuaient quelques tracts.»

            Qu’est-ce qu’un natif connaît d’un tract? Il a besoin... Paul avait appris Jésus-Christ depuis longtemps, et il savait toujours qu’il faut la puissance pour convertir les païens. C’est juste. Et ils se promenaient là, tenant en main ces petits pamphlets. Et aussitôt qu’ils tournaient le dos, les natifs jetaient cela comme cela.

13        Et j’ai dit: «Vous avez envoyé des missionnaires là pendant cinquante ans; vous avez dépensé des millions de dollars.» Et j’ai dit: «Ce que vous traitez de fanatisme a gagné plus de gens à Christ en cinq minutes que tous les missionnaires que vous avez envoyés en cinquante ans.» Alléluia! Notre Dieu vit et règne. Il est un Dieu de puissance. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le Dieu qui ferma les cieux aux jours d’Elie. Il est le Dieu qui calma les eaux sur une puissante mer cette nuit-là. Il est Celui qui réveilla Son Fils d’entre les morts, après que Celui-ci eut passé trois jours dans la tombe. Il est omnipotent. Il vit et règne à jamais. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il sera toujours Dieu. Il aura toujours quelqu’un qui croira en Lui de cette manière aussi. Dieu n’est jamais resté sans un témoignage.

14        Et de voir certaines de ces gens qui ont plus d’instruction qu’ils ne savent qu’en faire, et qui sortent d’un séminaire, avec une espèce de doctorat en théologie, et une licence–un diplôme de licence, et ainsi de suite, et tout comme cela. Quelle pitié! Cela ne représente pas plus que ça [Frère Branham claque ses doigts.–N.D.E.] aux yeux de Dieu. Connaissez-vous Christ dans la puissance de Sa résurrection? Voilà la chose essentielle.

            Voyez-vous, il trouve une explication convaincante à ceci et une explication convaincante à cela. Et certaines de leurs explications collent bien, et ils disent que c’est juste. Et de voir comment cela est fermé et maquillé, et ensuite lorsqu’on arrive à la vérité fondamentale, ils renient cela. Cela me fait bouillonner, parce que je sais que Christ est mort dans ce but. Et c’est à l’usage que l’on reconnaît la qualité d’une chose. C’est juste. La voici. Cela se confirme soi-même. Il y a des millions, des milliers et des milliers de gens qui ont assisté à mes réunions, et qui peuvent produire des témoignages des médecins, et ainsi de suite, qu’ils seraient déjà dans la tombe, beaucoup d’entre eux sont inscrits sur le registre des décès, ils étaient supposés être morts du cancer depuis des années. Je peux montrer cela ce soir, pour attester qu’ils sont vivants, en bonne santé et forts. Et on ne retrouve aucune trace de cela. C’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a promis ces choses, et nous vivons en ces jours pour voir cela.

15        Ce soir-là, à Houston, lorsque ce jeune homme a mis cela dans le journal, le jour suivant, frère Bosworth, un des vieux soldats de Zion ici... Il m’a appelé. Aujourd’hui il se prépare à retourner en Afrique, il a environ soixante-dix ans et quelques, environ soixante-quinze ans, son coeur brûle de retourner en Afrique. Il désire y rentrer. Il a dit: «Oh! Frère Branham, les Américains sont aimables, a-t-il dit, mais ils ne veulent pas de Dieu. Eh bien, pourquoi leur prêcher cela maintes et maintes fois, et ils sont complètement embrouillés de toute façon, et ils ne savent plus quoi croire, alors que ces gens-là n’ont pas entendu Cela une seule fois. Je vais le leur apporter.» Et c’est aussi le désir de mon coeur, mes amis.

            Et à vous les chrétiens, qui êtes venus ce soir, ceux qui habitent ici dans la ville, la puissance de Jésus-Christ est en train de se mouvoir, il y a des sièges vides ici dans l’auditoire. «Ce qui arriva aux jours de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Voyez? Les voilà; ils sont indifférents. On leur a tellement injecté de fluide d’embaumement qu’ils n’arrivent... Eh bien, c’est à cela qu’ils ont été prédestinés. Cela vous a offusqués, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Je peux prouver cela par la Bible. Ces hommes sont prédestinés à être perdus.

16        Jude, vers le chap-... 4–le verset 4 de Jude, dit: «Les hommes d’autrefois, ordonnés d’avance à la condamnation, ont changé la grâce de notre Seigneur en dissolution.» C’est correct. Ils ont été ordonnés d’avance à cette condamnation, Dieu les a ordonnés d’avance à cela; c’est comme Pharaon, Judas Iscariot, et bon nombre d’entre eux. Ne foulez pas au pied la propriété de Dieu. Si Dieu frappe à la porte de votre coeur, soyez la personne la plus reconnaissante dans cette salle ce soir, de savoir que Dieu vous a accordé le privilège d’entrer dans Son Royaume, et qu’Il a frappé à la porte de votre coeur, et qu’Il vous a cherché. Vous auriez pu être l’une de ces personnes qui sont là dehors, qui sont hors du Royaume ce soir. Et là cet homme avec toute son érudition, frère Bosworth est venu et a dit: «Regardez, Frère Branham, ce qui est écrit dans le journal.» J’ai dit... Il a dit: «Ce type vous a défié. Il a fait tout...»

            J’ai dit: «Cela ne veut rien dire, Frère Bosworth.»

            Eh bien, le jour suivant, voici de nouveau le journal, encore un grand article. Il était dit que cela montrerait de quoi j’étais fait, que j’avais peur d’affronter la vérité, et d’affronter les réalités de la Bible de Dieu. Car il en est ainsi avec cette bande des saints exaltés.»

17        Ecoutez. J’ai parcouru les sept mers, et je n’ai jamais vu un saint exalté. Je n’en ai jamais vu un seul. J’ai vu des gens hurler et crier. J’en ai vu même qui allaient en désordre, qui allaient à l’excès, voire à l’extrême. Et cela éloigne les gens. Mais je préférerais plutôt avoir un petit incendie de forêt plutôt que de ne pas avoir de feu du tout. Oui. C’est juste. Mais le voici. Mais un saint exalté, je n’en ai jamais vu un seul. Je n’ai jamais entendu parler d’une église qui serait appelée «sainte exaltée», des gens qui se reconnaissaient comme étant  des saints exaltés. Je n’en ai encore jamais vu. Mais cet homme avait écrit cela dans le journal, le grand Houston Chronicle, vous savez, pour jouer au malin.

            Eh bien, frère Bosworth est venu le jour suivant; il a dit: «Frère Branham, faites-lui la réplique là-dessus.»

            J’ai dit: «Frère Bosworth, Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer avec les gens. Il m’a envoyé pour prier pour les gens, pas–pas...»

18        Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, je comprends cela.» Mais il a dit: «Ecoutez, a-t-il dit, les gens ici vont penser que nous ne sommes qu’une bande de gens qui ne savent pas de quoi ils parlent devant le public. Et des milliers et des milliers de ces gens se sont rassemblés là à cet endroit-là.» Il a dit: «Ils sont supposés savoir ce qu’est la vérité.» Et il a dit... Frère Bosworth a grandi ici à Zion, sous le ministère du docteur Dowie, et–et ainsi de suite. Et il–il croyait cela. Et je crois qu’il est aujourd’hui l’un des plus grands enseignants de la guérison divine. Et il a dit: «Frère Branham, cela–cela ne devrait tout simplement pas se faire, a-t-il dit, devant le public.»

            J’ai dit: «Frère Bosworth, l’onction du Saint-Esprit est sur moi. Je n’ai pas le temps de me disputer. La Bible dit: ‘Laissez-les tranquilles. Si ces gens, un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans la fosse?» J’ai dit: «Laissez-les tranquilles. Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer. Il m’a envoyé prier.»

            Et alors, il–il a dit: «Voulez-vous m’accorder le privilège de le faire?» Oh! j’ai apprécié cela. Cela me rappelle Caleb d’autrefois: «Laisse-moi m’emparer de cette ville.»

19        Et je me suis dit: «Cet homme, qui vient à peine de sortir d’un séminaire, là avec tous ses diplômes et tout, et ce vieillard, de soixante-dix ans et quelques, qui se tient là, et veut défier ce jeune homme dans un débat; ou plutôt, c’est ce jeune homme qui l’a défié; mais Lui voulait prendre l’Epée pour l’affronter afin de relever le défi.»J’ai dit: «Non, Frère Bosworth, je ne vous accorderai pas le privilège de le faire.» J’ai dit: «Parce que cela provoquerait tout simplement une dispute, et vous n’obtiendrez rien en vous disputant. Vous êtes comme la chouette de l’Irlandais, c’est simplement trop de bruit et de dispute pour rien.» J’ai dit: «Vous n’arriverez nulle part, et vous ne trouverez aucune  chouette du tout.» Et j’ai dit: «Le...»

            Il a dit: «Eh bien, si vous voulez juste m’accorder ce privilège, frère Branham, je vous promets que je ne vais pas me disputer.» Il a dit: «Je ne ferai aucune réplique; je serai un gentleman chrétien.» Et je l’ai regardé. Ses petits yeux se sont mis à briller, et juste... il désirait vraiment se lancer dans ce débat. Et j’ai dit: «Eh bien», j’ai jeté un coup d’oeil vers ma femme, et... et c’est à ce moment-là que je... Il m’avait poussé dans un défi pour aller au Sud–à Durban, en Afrique du Sud prier pour Florence Nightingale qui se mourait du cancer, la petite fille de la défunte Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix-Rouge en Angleterre.

            Et  j’ai dit: «Frère Bosworth, Accordez-moi juste un petit moment pour prier.»

20        Il est sorti; quelques minutes après, il est revenu. Il a dit: «Qu’en dites-vous?» Il a dit: «Les journalistes attendent.» Bien sûr, ils me gardent loin des gens. Ce n’est pas que je n’aime pas être en contact avec les gens, j’aime être en contact avec les gens. J’aime les gens. Mais les gens...

            Parfois mes amis disent: «Frère Branham, voulez-vous venir ici à la réunion, voulez-vous avoir cette petite visite de courtoisie?» J’aimerais bien le faire. Je le veux bien. Mais écoutez, Dieu m’a dit dès le départ, de choisir si je veux être un serviteur de Dieu, ou un serviteur de l’homme, je dois me tenir loin du public, et être en contact avec Dieu, pour que je puisse servir Dieu. Je sers les hommes, en servant Dieu. Et j’aime aller à différents endroits, et voir les gens pour leur parler et tout, mais le Saint-Esprit ne me permettra pas de le faire.

21        Maintenant, je ne dis pas que tous les prédicateurs doivent être ainsi. Je suis né pour être un naziréen, bien sûr, et c’est donc un peu différent. Et ainsi, il y a bien des choses que je fais dans ma vie, que je ne demanderais pas à d’autres personnes de faire. Je ne dirais pas qu’ils doivent faire cela pour être des chrétiens, parce que c’était un... complètement différent.

            Et beaucoup parmi vous comprennent cela, n’est-ce pas? Voyez? C’est juste... C’est juste pour moi– ou c’est pour moi, les choses que je dois faire, et tout, la manière dont je dois vivre, et les choses que je dois faire. Il s’agit d’une naissance naziréenne. Et ainsi nous–nous ne... Ce n’est pas... Vous ne pouvez pas enseigner à tout le monde d’être comme cela. Voyez? Mais je dis cela pour ce qui me concerne, personnellement.

            Et alors finalement, lorsqu’il est revenu, j’ai dit: «Très bien, frère Bosworth.» Ils n’ont pas permis aux reporters d’entrer là où j’étais. J’ai dit: «Si vous voulez le faire et que vous me promettiez que vous n’allez pas vous disputer...» Eh bien, beaucoup d’amis de Bosworth sont assis ici, et vous le connaissez très bien. Et alors, je...

            Et il a dit: «Je vous promets, Frère Branham, que je ne me disputerai pas du tout.»

            J’ai dit: «Ça va. C’est bien. Allez-y.»

            Alors, il a directement dévalé les marches, comme un petit garçon qui tient son premier jouet. Il a couru là et il a parlé aux reporters, et il leur a dit: «Ecoutez, frère Branham ne–ne fera pas cela. Mais, a-t-il dit, je vais le faire, moi.» Il a dit: «Je vais relever ce défi.»

            Et ainsi donc, évidemment, le Houston Chronicle, vous savez comment sont ces journaux, ils avaient écrit de grands titres le jour suivant: «Ça va barder dans le monde ecclésiastique», vous savez, ou quelque chose de ce genre. Je pense que c’est ce qu’ils étaient censés faire, alors cela a été publié partout.

22        Mais ce qui m’a fait réfléchir à ce moment-là, mes amis, et de savoir que le–l’Eglise de Dieu née de nouveau est prête, écoutez. Quelle est la chose la plus glorieuse aujourd’hui? Est-ce les disputes, le problème que le–que les gens nés de nouveau ont entre eux, je veux dire ceux qui sont réellement nés de nouveau?

            Certains ont dit: «Eh bien, j’étais–j’avais fait ceci de cette manière. Je–je fais ceci de cette manière. Je–je... Le Seigneur veut que je fasse ceci.» C’est très bien, aussi longtemps que vous vous reconnaissez comme frères et soeurs, laissez tomber le reste. Et ensuite, ce n’est pas la manière dont vous récitez votre prière, ou ce que vous faites, cela n’a rien à faire avec la chose. C’est votre coeur vis-à-vis de Dieu, c’est ce qui fait cela.

23        Et alors, ce jour-là, ce journal-là, bien sûr, Le Houston Chronicle paraît sur la presse associée, et cela a été publié partout. Et ce qui m’a fait du bien, c’était que ce jour-là, de l’est, de l’ouest, du nord, du sud, des trains spéciaux, des avions ont parcouru le pays, amenant les gens à la rescousse.

            Qu’était-ce? Les gens, il y avait... C’étaient des trinitaires, des unitaires, des Jésus seul ou les gens des Assemblées de Dieu ou tous les autres, les gens de la pluie des derniers jours, ou tout ce qu’ils voulaient être. Des nazaréens, des pèlerins de la sainteté, quelle que soit la dénomination, cela leur importait peu. Les–les principes de Jésus-Christ étaient en jeu, et ils s’étaient rassemblés à tel point que des milliers de gens ont rempli ce grand terrain de course, ce grand endroit, ou le–le stade Sam Houston, à tel point qu’ils remplissaient le terrain là où le grand spectacle de rodéo se produit et tout par là, les galeries et partout. Ils ont dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] c’est bien. Très bien.

24        Eh bien, et dans cette grande ruée qu’il y avait là, ce soir-là, ces gens sont entrés venant de partout, ils s’étaient alignés et avaient rempli l’endroit en question. J’ai dit: «Je n’irai pas là-bas.» Je ne voulais pas y aller, parce que je ne voulais pas entendre un débat. Vous n’arriverez nulle part lorsque vous faites des débats. Vous pouvez tout aussi bien laisser cela tranquille. Alors je–j’ai dit: «Je ne vais pas y aller.» Eh bien, très bien, c’était OK.

            Et pendant tout ce temps, on apprêtait les services. Je ne pouvais tout simplement pas rester chez moi. C’est tout. Je devais simplement aller. Et j’ai dit à ma femme; j’ai dit: «Je me rends là-bas.» Et elle est assise ici dans la salle ce soir, elle et la petite fille.

            Et alors, nous sommes descendus ensemble, et nous avons pris le... et mon frère Howard m’a accompagné, il était ici avec moi la dernière fois que j’étais à Zion. Et alors, il a dit: «Maintenant, Bill, tu dois te tenir tranquille.»

            Et j’ai dit: «Bien, assurément.»

25        Alors nous sommes montés au balcon numéro 30–au siège numéro 30 là-haut, là très haut. Je me suis assis là-haut. Personne ne me connaissait. J’avais relevé mon manteau comme ceci. Et nous sommes montés là-haut, et nous nous sommes installés.

            Eh bien, je suivais ça, on apprêtait tous les modérateurs et tout. Et je pense que c’était Cy Ramsar qui chantait, qui conduisait les chants. Donc, juste à la fin (Cy était arrivé là, et–et il connaissait monsieur Richey, et tant d’autres. Ils lui ont donc demandé de conduire les chants.), alors, juste à la fin, il a dit: «Maintenant, l’événement de la soirée, la discussion va bientôt commencer; mais, a-t-il dit, j’ai lu un article dans vos journaux ici l’autre jour.» Il a dit: «J’ai lu là-dedans que William Branham devrait être chassé de la ville.» Il a continué, disant: «Vous les habitants de Houston, vous qui vous dites des chrétiens, vous devriez consacrer plus de votre temps à essayer de chasser de cette ville les contrebandiers d’alcool plutôt que des personnes pieuses comme lui, Houston se porterait mieux.»

26        Et je vous dis, une clameur est montée, de tous côtés, des milliers de gens qui étaient là. Je–j’ai alors compris que quelque chose s’était produit. Je–je me suis simplement tenu tranquille. Alors, ce monsieur... Le–le prédicateur baptiste, il ne voulait pas... Il ne permettait pas... il ne voulait pas monter le premier. Il voulait être la dernière personne à monter afin qu’il puisse balayer les arguments de monsieur Bosworth. Alors ils ont dit: «Très bien.» Alors, ils ont finalement connu un petit problème. Alors, monsieur Bosworth s’est levé, ce valeureux vieux soldat de la croix s’est tenu là droit et robuste au possible. Il s’est tenu là et a dit: «Nous ne sommes pas ici ce soir pour faire des histoires ou pour faire des débats.» Il a dit: «Nous sommes ici ce soir pour discuter, ou pour venir plaider ensemble, a-t-il dit, sur les Paroles de Dieu.» Il a dit: «J’ai six cents différentes déclarations concernant Jésus-Christ aujourd’hui, et Son attitude envers les malades. Son–Son attitude–attitude envers les malades est toujours la même aujourd’hui qu’elle était au jour où Il a marché sur le rivage de la Galilée. Je les ai écrites ici sur un bout de papier. Et si monsieur Best peut prendre n’importe lequel de ces passages et réfuter cela par les Ecritures, je vais descendre de l’estrade et abandonner le débat.» Fiou! Quelle déclaration! Monsieur Best a dit: «Allez-y, je m’en occuperai lorsque je monterai là.»

27        Il a dit: «Monsieur Best, j’aimerais vous poser une question. Si vous me répondez par oui ou non, quelle que soit la manière dont vous me répondrez, à ce moment-là la discussion sera terminée.» Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Je me suis affaissé. Je me suis dit: «Oh! la la! Ça y est.» Je n’y avais jamais pensé de ma vie.

            Mais ce vieux Caleb qui se tenait là, oint... Voyez-vous? C’était différent de l’expérience qu’avait cet homme qui était assis là, sorti de la lecture, de l’écriture, de l’arithmétique. Il n’avait jamais pensé à ces choses.

            Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquent-ils à Jésus, oui ou non?» Il a dit: «Répondez-moi par oui ou non, et je vais m’asseoir.» Celui-ci a dit: «Allez-y, je m’en occuperai.» Il a dit: «Je vous pose une question, monsieur.» Le modérateur lui avait accordé la parole. Il a dit: «Je vous pose une question, montez ici à l’estrade, dites oui ou non, et je vais m’asseoir.» Certainement, il ne pouvait pas dire oui ou non. Il ne pouvait pas le dire. Il était lié juste là, avant même qu’il ait commencé. «Eh bien, a-t-il dit, monsieur Best, je suis très surpris.» Il a dit: «C’est l’un des plus faibles arguments que j’ai là-dessus, et vous n’arrivez pas à y répondre, qu’allez-vous faire des autres?» Voilà. Il a dit: «Ça, c’est mon plus faible argument. Je n’ai fait que commencer avec cela.»

28        Mais s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas...S’il–s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu. Il est Jéhovah... s’Il n’est pas... les Noms rédempteurs de Jéhovah, s’ils ne s’appliquent pas à Jésus et ne sont pas accomplis en Lui, alors, Il n’est pas l’Agneau auquel Dieu avait pourvu, et vous demeurez dans vos péchés, et Lui était un imposteur.

            Et s’Il est Jéhovah-Jiré, Il est aussi Jéhovah-Rapha, parce que vous ne pouvez pas séparer ces noms expiatoires, ou ces–ces Noms rédempteurs; en effet, que tout cela est compris dans la rédemption. Et s’il est Jéhovah-Jiré, alors Il est Jéhovah-Rapha, et «Rapha» c’est la même chose que «Jiré»; Il est donc le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela régla la question. Oh! la la!

            Il a dit: «Qu’allez-vous dire, monsieur Best?»

            Il a dit: «Je–je–je vais... Je–je–je–je vais...»

            Il a dit: «Venez ici et dites cela...?...»

29        Lorsqu’il est monté sur l’estrade, il s’est mis à taper du pied sans cesse; il s’est levé, et a giflé le prédicateur. Alors, lorsqu’il est descendu de là, il est remonté, et lorsque son temps pour monter sur l’estrade est arrivé, il a prêché un bon sermon campbellite. J’ai grandi dans une Eglise baptiste. Je sais ce que c’est la doctrine baptiste. Je suis censé le savoir. Très bien.

            Et il n’avait absolument pas prêché... divine. Les baptistes croient dans la guérison divine, et dans le fait de prier pour les malades. C’est l’exacte vérité. Mais il... Il a prêché en reniant même la puissance de Christ, et il a dit que même Lazare était de nouveau mort. Il a dit: «La guérison divine s’applique à 1 Corinthiens 15, lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité.»

            Pourquoi aurons-nous donc besoin de la guérison divine, alors que nous serons immortels? Voyez? Telle était donc la situation. Juste au moment où il a dit cela, et tout le monde s’est mis à se moquer de lui. Il a dit: «Ce n’est qu’une bande des saints exaltés idiots comme vous qui êtes les seuls à croire des choses pareilles.» Il a dit: «Un vrai baptiste ne peut pas croire quelque chose de pareil.» Frère Bosworth a dit: «Un instant, frère.»

30        Il a dit: «J’aimerais demander à cette assemblée ce soir, combien parmi vous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Seulement vous qui êtes des baptistes et qui avez fait longtemps dans l’Eglise baptiste, c’est à vous seuls que je demande de vous tenir debout, pendant que nous sommes... maintenant. Et trois cents personnes  se sont tenues debout. Il a dit: «Qu’en dites-vous, monsieur Best?» Il a dit: «Oh! c’est de la foutaise, ces gens peuvent témoigner de n’importe quoi; cela ne rend pas la chose vraie.»Il a dit: «Vous n’arrivez pas à prouver cela par les Ecritures, et voici la preuve.» Voyez-vous? Et ainsi donc, monsieur Richey s’est levé d’un bond. Il est juste comme une petite mouche, de toute façon, vous savez. [Frère Branham fait claquer ses doigts une fois.–N.D.E.] Il a dit: «Puis-je dire un mot?» Et finalement, le modérateur lui a accordé la parole. Il a dit: «Qu’a fait la Conférence des Baptistes du Sud, et vous les hommes qui êtes assis là, sur cette première rangée, a-t-il dit, est-ce que la Conférence des Baptistes du Sud... c’est ça leur attitude envers Jésus-Christ, le Guérisseur? Est-ce vous qui avez envoyé cet homme par ici?»Suivez bien. Il y avait des milliers de baptistes qui étaient assis là. Personne n’a bougé. [Frère Branham fait claquer les doigts une fois.] Richard leur a encore posé la question.

31        Il était aussi un garçon  de Zion, vous savez. Son père était le maire de cette ville. Voyez-vous? C’est lui qui était resté à l’extérieur, et qui avait dit: «Mort, tiens-toi tranquille, jusqu’à ce que je prêche ce sermon.» Et la mort l’a écouté  jusqu’à ce qu’il a fini de prêcher son sermon, et il est tombé dans les bras de son fils et il est mort: monsieur Richey, effectivement.

            Il a dit: «J’aimerais poser cette question.» Et alors le–le président,  ou l’un de ces baptistes, a dit: «Il est venu de son propre chef. Ça n’engage que lui seul. Ce n’est pas la Conférence Baptiste qui l’a envoyé, mais il est venu de son propre chef.»

            Il a dit: «C’est tout ce que je voulais savoir.» Il s’est assis.

32        Ensuite monsieur Best a dit, monsieur Best s’est levé et a dit: «Que ce saint exalté, que ce guérisseur divin approche. Qu’il accomplisse un miracle. Que je le voie. Que je voie ici un de ses patients qu’il hypnotise, qu’on l’examine d’ici un an. Que je voie cela. Que je voie cela. Amenez-le. Que je le voie accomplir un miracle.»

            Monsieur Bosworth a dit: «Il est ici ce soir, vous êtes le bienvenu à n’importe quel moment.» Voyez-vous? Il a dit: «De toute façon, frère Branham ne prétend pas être un guérisseur divin, a-t-il dit, jamais.» Il a dit: «Je crois que sa littérature est publiée dans plusieurs différentes langues. Il a parlé directement, ou indirectement à des millions de gens.» Il a dit: «Pas une seule fois il a déjà dit qu’il est un guérisseur divin. Il dit toujours que c’est Christ qui est le Guérisseur.» Et il a ajouté: «Si le fait de prêcher la guérison divine fait de frère Branham un guérisseur divin, alors le fait de prêcher le salut fait de vous un sauveur divin.» Cela l’a fait asseoir. Voyez? Il a dit: «Aimerez-vous être appelé sauveur divin?»

            «Absolument pas.»

            Il a dit: «Frère Branham non plus n’aimerait pas être un guérisseur divin.» Il a dit: «Il prêche seulement la guérison divine par la croix. Et vous n’avez pas été capable de dire qu’il ne prêche pas cela par la croix au moyen des Ecritures.» Cela lui a cloué le bec.

33        Il a dit: «Ce défi est aussi lancé à n’importe qui sur la même base pour venir prouver, qu’il contredit la Bible, que Jésus-Christ, Son attitude à l’égard des malades aujourd’hui n’est pas la même qu’autrefois?» S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même Homme. C’est exact.

            Et ensuite, Il a dit: «Mais vous n’arrivez pas à soutenir cela. Et pour lui, le fait de prêcher la guérison divine par Jésus-Christ ne fait pas de lui un guérisseur divin. Il indique simplement Christ aux gens. Et le fait de prêcher le salut par Jésus-Christ ne fait pas de vous un sauveur divin. Et si cela fait de lui un guérisseur, cela fait de vous un sauveur.»

            Ainsi donc il a dit: «Qu’il se présente. Qu’il se présente. J’aimerais le voir. Qu’il vienne accomplir un miracle.» Il s’est mis à taper du pied, faisant des va-et-vient.

            Frère Bosworth a dit: «Eh bien, je sais que frère Branham est dans la salle. S’il veut bien venir congédier l’assistance, ce sera bien. Mais il est sous l’onction, et je... dire de venir et d’accomplir un miracle, c’est quelque chose de différent.» Et–et il a dit: «Frère Branham, je sais là où vous êtes assis.» Et chacun s’est mis à regarder dans tous les sens. Il a dit: «Je sais là où vous êtes assis, si vous voulez bien avancer et congédier cette assistance par un mot de prière, c’est en ordre. Mais vous n’êtes pas obligé de le faire.»

34        Et mon frère Howard a posé sa main sur mon épaule, et deux ou trois huissiers se tenaient à côté de moi, il a dit: «Reste tranquille. Reste tranquille.»

            J’ai dit: «Pas de problème.» Et je me suis tenu là juste une minute. Quelque Chose a fait: «Whooooosh.» Je savais que je ne pouvais plus rester tranquille à ce moment-là; j’ai senti Quelque Chose se mouvoir. Ma femme m’a tenu par la main et elle a dit: «Chéri?»

            J’ai dit: «Chérie, un instant. C’est l’Ange du Seigneur.»

            Howard a dit: «Bill, ne descends pas là-bas.» Et les gens regardaient en haut là où je me trouvais, et ils se sont mis à crier et à pleurer. Il a dit: «Ne descends pas.»

            J’ai dit: «Howard, mets-toi de côté, fiston. L’Ange du Seigneur me dit de descendre là.»

35        Les huissiers se sont mis à joindre leurs mains comme cela, et ils ont formé une ligne qui descendait là, sur le côté, je suis monté à l’estrade. Je savais qu’Il était là. J’ai dit: «Je ne prétends pas être un guérisseur divin.» Et j’ai dit: «Ne vous en prenez pas à monsieur Best.»

            Cependant, il avait loué les services de quelques photographes pour venir là. Ecoutez ceci. Il avait loué les services d’un photographe professionnel, des studios Douglas. Ecrivez-leur, si vous voulez connaître cela. Ils sont affiliés à l’Association Américaine des Photographes. Et il avait loué les services  de monsieur Kipperman des studios Douglas de Houston, au Texas, au numéro 10, sur la rue Rusk. C’est écrit là dans mon livre. Ecrivez-lui et demandez-lui le témoignage. Et monsieur Ayers, qui était venu avec lui, était un catholique romain qui me critiquait, et il avait déclaré dans le journal du jour précédent que j’étais un hypnotiseur. Et Kipperman était un Juif orthodoxe qui niait même Jésus. Et monsieur Best l’avait envoyé chercher là et lui avait dit: «Venez pendre six, venez me prendre des photos sur papier brillant, de 6 à 10, pendant que je vais tenir ce vieil homme par là, et je vais le tailler en pièces, et je vais l’écorcher et lui appliquer du sel sur la peau, et je vais attacher cela sur ma porte comme un mémorial de la guérison divine.» Cela montre là où se trouve l’esprit chrétien, et de prendre un frère... Voyez-vous? Très bien, cela–vous y êtes (Voyez-vous?), il était tout gonflé ici au-dessus; et il n’y avait rien ici en bas. Voyez?

36        Et ainsi, alors il est venu là et ils ont pris les six photos pendant qu’il était en train de prêcher. Il a posé pour être photographié comme ceci, il a posé comme cela, vous savez. Et ils ont pris six poses.

            Et ainsi donc, dès que je me suis mis à descendre pour passer à l’estrade, ils ont dit: «Ne prenez plus des photos, c’est fini pour les photographes, et ainsi de suite, qu’on ne prenne plus des photos.» Ils ont dit: «Plus de photos...» En effet, lorsque les gens prennent ces photos dans les réunions, et qu’ils les vendent, ce n’est pas correct (Voyez-vous?), de faire du commerce sur quelque chose qui appartient à Dieu. Et ainsi, c’est la pire des choses à faire. Alors, nous avons simplement arrêté toutes les photos. Et on n’a donc plus permis que l’on prenne des photos.

37        Alors, j’ai dit: «Que personne ne s’en prenne à monsieur Best.» J’ai dit: «Je pense qu’il était sincère, jusqu’à ce qu’il a regardé cette rangée des civières et des lits de camp et tout gisant là, avec des gens qui sont couchés ici, ayant le cancer et des maladies cardiaques, et qui vont mourir dans quelques jours, si Dieu ne les aide pas. Et les médecins les ont abandonnés. Ils ont fait de leur mieux pour eux. Ils n’en peuvent plus. Et maintenant vous dites qu’il... Je crois qu’il était sincère à tel point qu’il disait qu’il avait pitié de ces gens.» Il ne peut pas avoir pitié de ces gens, et leur priver, essayer de leur enlever l’unique espoir qu’ils ont de vivre. Comment pouvez-vous avoir pitié d’eux? C’est comme arracher la nourriture à un homme qui meurt de faim. J’ai dit: «Et voilà leurs camarades qui sont assis là derrière, qui étaient dans cet état il y a à peine quelques jours, avec des déclarations des médecins attestant qu’ils sont guéris. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... parce qu’ils sont complètement embrouillés dans leur expérience religieuse.» Voyez-vous? J’ai dit: «Je ne...?... crois que c’était sincère.»

            Mais de toute façon, il est monté à grands pas sur l’estrade, il a dit: «Frère Branham?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «En tant qu’homme, je vous admire. En tant que prédicateur, je n’ai pas beaucoup de considération pour vous.»

            J’ai dit: «C’est réciproque.» Oui, oui. Il est descendu de l’estrade. C’était tout.

38        Alors, j’ai dit: «Très bien. Bon, Il est...» J’ai dit: «Ecoutez, je ne prétends pas être un guérisseur divin.» Et j’ai dit: «Je me souviens de mon Seigneur, lorsqu’on Lui avait dit: ‘Descends de cette croix et accomplis un miracle. Descends, fais-moi voir un miracle.’» J’ai dit: «Ce même démon, lorsque Jésus était sur la croix et qu’ils ont placé un chiffon sur Son visage... Je crois qu’Il était le Prophète, le Roi des prophètes.» Ne le croyez-vous pas? Il connaissait la femme au puits. Elle avait eu cinq maris. Il  savait où était Nathanaël lorsqu’il était sous le figuier, ou plutôt sous l’olivier, oh! le figuier, je crois que c’était le figuier; pendant qu’il se trouvait là. Il savait où  se trouvait le poisson qui avait la pièce de monnaie dans la bouche. Ils ont mis un chiffon sur Son visage et L’ont frappé à la tête avec un bâton, et ils ont dit: «Maintenant, si Tu es Prophète, prophétise, dis-nous qui T’a frappé.» Il n’a même pas ouvert Sa bouche ou dit un seul mot.»

39        «Et ensuite, lorsqu’on L’a mis sur la croix, ils ont dit: ‘S’Il est le Fils de Dieu, qu’Il descende de la croix et qu’Il nous montre cela. Prouve-le-nous maintenant. Descends de la croix, et nous Te croirons.’» J’ai dit: «Ce même vieil esprit, les prédicateurs qui l’avaient là en ce temps-là sont morts. Mais cet esprit vit encore dans d’autres prédicateurs, tout au long des âges.»

            «Il a guéri celui-ci. Oui, nous voulons Le voir guérir celui-là.» Lorsqu’Il était ici et qu’Il est passé près de la piscine de Béthesda, il y avait là une multitude de gens infirmes: des estropiés, des boiteux, des aveugles, des gens aux membres atrophiés, qui étaient couchés là comme cela, et Il est carrément passé à côté, Il s’en est allé et Il a pris un homme qui avait le diabète sucré, ou une sorte d’infirmité, l’a guéri, et Il a laissé la multitude des gens qui étaient couchés là.

            Les Juifs ont connu la même chose. Il est dit: «Ils L’ont interrogé à ce sujet.»

            Voici ce qu’Il a dit (Saint Jean 5.19): «En vérité, en vérité, Je vous le dis, Je ne peux rien faire, à moins que le Père Me le montre. Car le Père aime le Fils, Il Lui montre ce qu’Il fait. Il montre tout ce qu’Il fait. Il vous montrera des choses plus glorieuses (plus glorieuses que la guérison de ce diabétique, ou de ce tuberculeux, ou de n’importe quelle maladie), afin que vous soyez dans l’étonnement. Mais Je ne peux rien faire, à moins que Je voie premièrement une vision, ce que le Père a fait.»

            Est-ce l’Ecriture? C’est juste.

40        Eh bien, ils ont dit: «Eh bien, qu’en est-il de ces boiteux, de ces infirmes, de ces aveugles, de ces gens aux membres tordus, atrophiés qui attendent là?» Le Père ne Lui avait rien montré du tout à leur sujet, Il a carrément continué Son chemin. Ce que le Père Lui montrait de faire, c’est ce qu’Il faisait. Mais conformément à Ses Paroles, Lui qui était le Fils de Dieu, Il ne faisait rien avant que le Père le Lui montre premièrement. Est-ce vrai? C’est Sa propre Parole. Allez discuter de cela avec Lui. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est la même chose. C’est juste. Ce que le Père montre, c’est ce qu’Il fait. Très bien.

            Maintenant, remarquez ceci. Ensuite j’ai dit: «Mais je ne peux–je ne peux guérir personne.» Mais j’ai dit: «Voici ce que je dis. Lorsque je suis venu au monde dans l’Etat du Kentucky, selon les déclarations de ma propre mère, et cela a été confirmé durant toute ma vie, ai-je dit, une Lumière était entrée dans la pièce de cette vieille petite hutte-là, là où ça se trouvait, il n’y avait pas de plancher là-dedans, ça n’avait même pas une fenêtre, il y avait juste un petit truc en guise de fenêtre là, comme une petite porte, et ils ont poussé cela pour l’ouvrir, vers cinq heures du matin, et cette Lumière est entrée en tourbillonnant alors que le jour se levait.»

41        J’ai dit: «Depuis ce temps-là, Elle m’a toujours accompagné. C’est un Ange de Dieu. Il m’a rencontré en personne il y a quelques années. Tout au long de ma vie, Il m’a dit des choses qui sont arrivées, et je les ai racontées telles qu’Il me l’a dit. Et je défie quiconque n’importe où, d’aller dans la ville où j’ai grandi, ou partout ailleurs, de vérifier si une déclaration a été faite au Nom du Seigneur, sans que la chose n’arrive exactement telle que cela a été annoncé.» Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’était pas moi, mais c’était Lui.» Et j’ai dit: «N’importe qui ici, n’importe quel chrétien sait que Dieu n’aura rien à faire avec une erreur. Dieu est la Vérité.» Est-ce vrai? Et j’ai dit: «Il ne bénira pas une erreur. ...?... Et avant ce moment.» J’ai dit: «Cela ne marchera jamais. Dieu ne bénira pas une erreur. Mais si je témoigne de la Vérité, alors Dieu témoignera de moi. Si je fais une déclaration, et que c’est Dieu qui m’a dit de le faire, à ce moment-là Dieu soutiendra cela. Le croyez-vous? S’Il ne soutient pas cela, alors ce n’est pas Lui qui avait fait cette déclaration. Mais s’Il a fait la déclaration, Dieu se tiendra derrière ce qu’Il a promis.» Alléluia!

            Oh! vous ne savez pas comment cela–comment je me sens avec ça. Ne pensez pas que j’ai perdu le nord. Je sais où je me tiens. Ecoutez. Oui, mais lorsque je sais où–ce dont je parle... Et tout homme ou toute femme née de nouveau ici sait de quoi il parle.

42        Maintenant, si vous pouvez vous arroger la foi, je ne sais pas. Mais, ce que Dieu dit, c’est la Vérité. Et j’ai dit: «Si je dis la Vérité, Dieu rendra témoignage à la Vérité. Car Dieu est obligé de rendre témoignage à la Vérité, mais Il n’aura rien à faire avec l’erreur. Alors, si j’ai dit la Vérité, Dieu rendra témoignage à la Vérité.» Et juste à ce moment-là, Il est arrivé là, faisant: «Whoosh», Il est directement descendu juste là où je me trouvais.

            Cela avait excité ce photographe. Il a couru, celui qui avait pris la photo de cet homme. Et il a tiré la photo, il m’a photographié pendant que je me tenais là. J’ai dit: «Dieu en témoignera. Je n’en dirai pas davantage.» Je suis descendu de l’estrade.

            Alors, ce soir-là il est rentré chez lui, en rentrant chez eux ils en ont discuté. Il a dit: «Qu’en pensez-vous?» Le catholique a dit au... je voulais dire le Juif a dit au catholique...

            Il a dit: «Eh bien, nous avons appris dans notre église que cela peut arriver, mais il faudrait que ça soit un catholique, rien qu’un catholique. Voyez? Cela devrait venir par l’église. S’il existe une bénédiction, cela doit venir par l’église.»

            Il a dit: «Oh! je...» Kipperman a dit: «Je n’en sais rien, j’aimerais simplement être sincère avec vous.»

            Ayers a dit: «Eh bien, c’est peut-être à tort que j’ai critiqué cet homme.» Il a donc continué comme cela.

            Kipperman a dit: «Eh bien, je vais à l’étage dormir.»

43        Ayers a dit: «Je vais mettre celles-ci dans le studio, et les plonger dans l’acide, parce que Best veut les avoir demain. Je pense qu’il voudrait, peut-être mettre l’une d’elles dans le journal, une de ces photos.»

            Alors, il a plongé les six négatifs dans l’acide. Il se tenait là, fumant une cigarette, attendant le–le développement de ces pellicules, alors que cela se développait dans l’acide. Il fumait une cigarette. Quelque temps après, il a jeté la cigarette à terre; il pensait à la réunion et à ce qui s’était passé. Alors, il est entré dans la pièce, il a retiré les six négatifs. Il a regardé l’une d’elles, c’était totalement vide; la deuxième, c’était vide, la troisième, la quatrième, la cinquième, la sixième, c’était complètement vide. Chacune des pellicules de monsieur Best était vide.

            Et lorsqu’il a retiré la pellicule de la photo qu’il avait tirée de moi, il y avait là l’Ange de Dieu, la Colonne de Feu, dans la photo.

44        Il a porté la main sur son coeur; il est tombé sur sa face. Il a appelé Ted en criant. Ils ont dévalé les marches. Il était environ vingt-deux heures trente. Et à vingt-trois heures, la photo en question était en route à bord d’un avion pour Washington DC, pour être placée sous copyright. Elle est retournée, et alors elle a été envoyée au chef George J. Lacy, celui que tout le monde connaît comme le chef du département des empreintes digitales et autres du FBI. Et il s’est fait qu’il se trouvait en Californie, se dirigeant vers Houston, ils avaient amené ça à l’immeuble Shell, pour examiner cela pendant deux jours. A la fin, il a dit: «Approchez, entrez dans la pièce», et il voulait leur faire savoir ce que c’était.

45        Alors, ils ont pris leur appareil photo; ils ont examiné l’appareil photo. Ils ont pris le négatif. Ils l’ont fait passer aux rayons ultraviolets, et sous toutes sortes de lumières. Et ils sont allés à l’auditorium. Ils ont examiné le film de toutes les manières. Alors cet après-midi-là, alors que tout le monde était rassemblé là dans le petit immeuble Shell, pour arriver à savoir ce qui s’était passé, ou plutôt dans l’immeuble de la Compagnie pétrolière Shell, cet immeuble-là...

            Il a dit: «Qui s’appelle Révérend Branham?» C’était un gars qui avait l’air un peu rude. Mais il s’était beaucoup adouci.

            J’ai dit: «C’est moi, monsieur.»

            Il a dit: «Levez-vous.» Je me suis levé.

            Il a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, vous allez mourir un jour comme tous les mortels.»

            J’ai dit: «Je le sais, monsieur. Mais grâces soient rendues à Dieu qui me donne la victoire par Jésus-Christ.»

46        Et il a dit: «Monsieur, a-t-il dit, j’ai entendu parler de vos réunions. Et je disais que ces choses-là, c’était de la psychologie.» Et il a dit: «J’ai vu des tableaux où des saints étaient peints avec ces lumières qu’ils avaient autour d’eux et autour du Sauveur.» Il a dit: «Ma mère était une chrétienne. Elle m’avait appris à être un chrétien.» Il a dit: «Mais j’ai toujours dit que cela...?... ce tableau-là, c’était de la psychologie. Bien sûr, c’était un artiste qui avait peint cela.»

            Mais il a dit: «Révérend Branham, je crois maintenant que c’était la vérité.» Il a dit: «L’oeil mécanique de cet appareil photo ne captera pas de la psychologie. C’était une image absolument authentique. C’est le seul Etre dans toute l’histoire du monde aujourd’hui. Cet homme peut s’avérer un hypocrite, il voulait dire cet incrédule qui avait dit: ‘Il n’existe pas d’Etre surnaturel; que cela ne pouvait pas être prouvé scientifiquement, mais a-t-il dit, ce temps-là est passé. Voici la chose.»

47        Les gens criaient et pleuraient et tout. Il a dit: «Venez recevoir le négatif.» Il a pris le négatif, il a dit: «Révérend Branham, nous avons examiné cela de toutes les manières.» Il a dit: «Absolument, j’aimerais bien apposer ma signature sur n’importe quel document pour attester que la Lumière a frappé le négatif.» Il a dit: «La psychologie ne produit pas de lumière.» Alléluia!

            Les larmes ont commencé à couler sur mes joues, j’ai regardé autour de moi, Elle était là. Dieu avait confirmé une personne ayant une instruction d’école primaire. Les choses que les gens traitaient de fanatisme, Dieu avait confirmé la Vérité au monde scientifique, une fois pour toutes. Il a dit: «La Voici.»

            Il a dit: «Vous ne vivrez jamais assez longtemps pour voir la valeur de cette photo.» Il a dit: «Vous mourrez avant ce temps-là, sans doute.» Il a dit: «Tenez, je vous la remets.»

48        J’ai dit: «Monsieur, ce n’est pas à moi.» J’ai dit: «Ça appartient à l’Association des Photographes Américains.» Monsieur Kipperman s’est avancé. Il a dit: «J’aimerais demander le document de ceci, avec mon avocat qui est assis ici, que vous m’accordiez la permission de vendre cette photo.»

            J’ai dit... Il a dit, et alors il a dit: «Monsieur Branham, vous rendez-vous compte que cette photo vaut cent mille dollars?»

            J’ai dit: «Monsieur, écoutez. A vous tous, une fois pour toutes, si mon Seigneur Jésus a eu assez de considération pour moi pour descendre à mes côtés, dans ce dur combat entre le bien et le mal, et se tenir à mes côtés pour la première fois dans toute l’histoire du monde et se faire photographier, en se tenant à mes côtés, je L’aime trop pour commercialiser cela. C’est vrai.» Et j’ai dit: «Je n’aurai rien à faire avec cela.»

            Il a dit: «Eh bien, il faudrait qu’il y ait un certain document.»

            J’ai dit: «Monsieur Kipperman et le studio Douglas ont le droit de vendre Cela. Je ne signerai rien. Mais s’ils vont vendre Cela à un prix tel que les pauvres gens seront à mesure de s’en procurer...»

            Et ils ont promis de le faire. Et cela a été mis à la portée de tout le monde. Ils en ont reçu le droit d’auteur, et vous pouvez envoyer une demande et en recevoir une copie.»

49        Et j’ai dit: «Il y a une autre chose que Monsieur Lacy avait dite, qui a attiré mon attention.» Il a dit: «Ce qu’on pourrait dire de plus, c’est que cette photo ne peut pas être vendue à moins qu’il y ait une déclaration qui suive cela; en effet, on a fait en sorte que la photo ne suscite pas des critiques et que l’on dise: «Eh bien, ces sont des futilités. Et tout ça ce sont des oui-dire, ou quelque chose du genre. Vous pouvez carrément en avoir une photocopie là-bas, si vous voulez. Vous pouvez voir monsieur Lacy, et chercher à savoir qui il est. Tout celui qui se connaît en photographie, ou au sujet des empreintes digitales, connaît qui est George J. Lacy. C’est le meilleur spécialiste qu’on ait aux Etats-Unis en cette matière, et je pense que c’est le meilleur au monde. Et voici qu’après deux jours de recherche, et à l’aide de produits chimiques et tout, il a dit: «C’est absolument la photo d’un Etre surnaturel qui s’est tenu là à vos côtés.»

50        Alors, que pouvais-je dire? Toute personne qui connaît l’Ancien Testament, sait que c’était une Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Est-ce vrai? Et tous lecteurs de la Bible savent que c’était l’Ange de l’Alliance. Croyez-vous cela? Alors, si c’était cet Ange de l’Alliance, c’était Jésus-Christ. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est toujours le Seigneur Jésus.

            «Je suis venu de Dieu, Je retourne à Dieu.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la consommation du siècle.»

            «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            C’était lorsque monsieur Bosworth m’avait donné le négatif, ou plutôt la photo de Florence Nightingale, qui était couchée là, mourante. Il a dit: «Si seulement je...»

51        Combien ont déjà vu cette photo-là dans le livre? Vous la voyez dans La Voix de la guérison. Oh! je n’oublierai jamais ceci. Combien c’était merveilleux lorsque je suis allé prier pour elle! Lorsqu’elle est entrée là, je l’ai regardée, et cette main froide... Dieu était descendu là, et une petite colombe a traversé les buissons et est venue se poser sur le rebord de la fenêtre, elle roucoulait en faisant des va-et-vient pendant que je priais. Lorsque je me suis levé, les ministres se sont levés, et ils ont dit  «Avez-vous entendu... Avez-vous vu–remarqué cette colombe?» La colombe s’est envolée lorsque je me suis levé. Ils ont dit: «Avez-vous remarqué cette colombe?» J’étais sur le point de dire que je...

            Cette femme n’arrivait même pas à bouger; elle était couchée là. Et j’ai dit: «Je me disais que vous... J’ai vu la colombe en question», ou quelque chose.

52        Et à peine avais-je commencé à en parler que Quelque Chose est descendu. Je crois que c’était la même Colonne de Feu. Ma voix a changé. Je n’arrivais plus à  retenir mes mots, et j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette femme vivra et ne mourra pas.» Aujourd’hui elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg] et elle est en parfaite santé. Elle avait un cancer d’estomac au duodénum.

            Et elle est là en train de se promener dans les rues. C’est ce qui m’a amené à aller en Afrique du Sud. C’est pourquoi j’étais parti; en effet, j’avais dit à Dieu que s’Il la guérissait, j’irais là. Lorsque j’étais ici à Houston, au Texas, j’ai vu... je savais que j’allais venir ici, cependant, je ne le savais pas. Mais, elle est venue à bord d’un avion. Monsieur Baxter ici présent, mon manager, lorsque je suis arrivé à Londres, en Angleterre, eh bien, il avait entendu quelqu’un m’appeler aux haut-parleurs. Et ils sont allés là pour savoir de quoi il s’agissait. Et ils ont dit: «Mademoiselle Florence Nightingale se trouvait là, et ils estimaient qu’ils n’arriveraient même pas à la faire sortir de l’avion, parce qu’elle se mourrait juste à l’instant.» Je leur ai dit de l’amener là-bas, parce que nous allions nous rendre au Palais de Buckingham, à l’Abbaye de Westminster, et à certains endroits, et que je la rencontrerais lorsque j’allais revenir. Et c’est là que Dieu a guéri cette femme.

53        Qu’est-ce que cela veut dire? Qu’est-ce que cela signifie pour moi ce soir, devant tous ces critiqueurs? Combien ont lu le livre là, lorsque ce fou a foncé vers l’estrade là-bas? Vous–vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. Il a dit: «Toi espèce de faux jeton, je vais briser chaque os de ton maigre corps, ce soir, tu te fais passer pour un homme de Dieu.» C’était un véritable fou qui s’était évadé d’un asile d’aliénés, c’était un homme d’environ deux cent quatre-vingts, livres [127 kg], musclé, qui se tenait là. Monsieur Baxter se tenait derrière moi, au moment où des centaines de prédicateurs avaient reculé. Deux petits policiers que je venais de conduire à Christ, là dans une pièce avant de venir, ont couru pour l’attraper, comme cela.

            J’ai dit: «Un instant, monsieur. Ceci n’est pas une affaire de chair et de sang.» Il bombait le torse. Il a joint ses pieds.

            Il a dit: «Toi, espèce d’hypocrite. Toi, espèce de faux jeton.»

54        J’étais en train de prêcher, je me suis tourné vers lui, dans cette direction. Tous les prédicateurs avaient reculé. Il avançait vers moi. Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps frêle ce soir.» Je pesais cent dix-huit  livres [53.5 kg]. Il a dit: «Je vais te montrer ce que tu vaux en tant qu’homme de Dieu, toi serpent.» Il s’est avancé. Je n’ai pas dit un seul mot. Je me suis simplement retourné. J’ai dû lever les yeux vers lui comme cela. Il s’est avancé, et il était presqu’à cette distance-là. Et quand il s’est approché, je me suis dit: «Dieu bien-aimé, le seul espoir que j’ai est en Toi.»

            Il était capable d’exécuter ses menaces. Il s’est avancé là juste à ce moment-là. Lorsqu’il s’est avancé là, j’allais dire: «Monsieur...» Ça, je n’aimerais pas le dire.

            Et alors, Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu tomberas à mes pieds.»

55        Il a dit: «Toi espèce d’hypocrite, je vais te montrer aux pieds de qui je tomberai.» Il a dit: «Je te briserai le cou, toi serpent.» Et il a fait... [Frère Branham produit le bruit de quelqu’un qui crache.–N.D.E.] Il m’a craché en plein visage comme cela. Je suis simplement resté tranquille, m’attendant à l’Esprit de Dieu. Mille six cents personnes, à part ceux qui étaient à l’extérieur, se tenaient là, retenant leur souffle. Vous ferez mieux de savoir de quoi vous parlez.

            Il s’est rué vers moi, il a retourné sa salive dans sa bouche... Il a dit: «Je vais te montrer aux pieds de qui je vais tomber», il a reculé comme cela.

            J’ai dit: «Satan, au Nom de Jésus-Christ, sors de lui!» Voyez-vous? Il se tenait là avec son défi comme Goliath, faisant ses fanfaronnades. L’Esprit de Dieu avait déclaré ce qui arriverait. Maintenant, nous verrons qui a raison. Il... je... Tout semblait être contre moi. Ses désirs, et tout, il était capable d’exécuter ses menaces.

            Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps. Je vais t’assommer là au milieu de cette assistance.» Il en était capable, physiquement parlant.

            Mais le Saint-Esprit a dit: «Tu tomberas à mes pieds.» Il s’est rué là. Et lorsque l’Esprit...

            J’ai dit: «Satan, sors de cet homme au Nom de Jésus-Christ!» Il s’est retenu de lancer son gros poing.

56        Monsieur Baxter que voici est un témoin, à part...?... il était en divagation et la police l’avait arrêté et tout par là. Vous avez lu cela dans La Voix de la guérison, n’est-ce pas? Comment il était recherché, et tout, et cela a été confirmé, à cent pour cent, ça a été publié là, et tout le reste. Nous ne sommes pas des menteurs. Nous témoignons de Jésus-Christ.

            Vous êtes le bienvenu pour prendre le livre et le lire, et n’importe quel autre témoignage que je fais. Oui, monsieur. Je suis tenu devant Dieu d’être un homme d’honneur, de dire la vérité, en tant que prophète de Dieu.

57        Et lorsqu’il s’est élancé vers moi, il a ramené ses mains en arrière. Alors, il a fait: «Oh! ah–ah–ah–ah!» Ses yeux sortaient de leurs orbites. Sa bouche était ouverte comme cela. Il s’est affaissé et est tombé sur mes pieds, de sorte que je n’arrivais même pas à bouger. Je l’ai regardé.

            Ces policiers ont dit: «Cet homme est-il mort?»

            J’ai dit: «Non, monsieur.»

            Ils ont dit: «Est-ce qu’il va retrouver ses esprits?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Il adore cet esprit. Il pense qu’il est normal. S’il veut bien abandonner cela, cela le quittera maintenant. Mais il adore cela; cela reviendra tout simplement sur lui.» J’ai dit: «Voulez-vous l’enlever de mes pieds?» Et ils l’ont enlevé de mes pieds. Et je suis retourné à l’estrade et je me remis à prêcher.

            J’ai dit: «Notre Père céleste a toute la puissance dans le Ciel et sur la terre.»

58        Et un homme qui était couché sur un lit de camp a dit: «Oui, Il a toute la puissance. Il m’a guéri.» Et il s’est levé. Il y avait là un homme qui avait des béquilles. Il a jeté ses béquilles par terre, il a dit: «Il m’a guéri aussi.» Et il s’en est allé. Un homme s’est levé d’un fauteuil roulant, et il a dit: «Moi aussi.»  Là la puissance de Dieu s’est répandue dans la salle, et cela a cloué le bec à Satan. Alléluia! traitez-moi de fanatique si vous voulez. Je suis un fanatique de Christ. De qui êtes-vous fanatique? Je sais de quoi je parle. Si je meurs cette nuit... Je ne mourrais jamais; j’ai en moi la Vie Eternelle. Et chaque chrétien né de nouveau aussi. Si je rentre à la Maison rencontrer le Seigneur, ce soir, mon témoignage est toujours confirmé comme étant la vérité. Et chaque fois que Satan s’est levé, Dieu l’a désarçonné. Alors, par conséquent, sans aucune crainte, sachant que mon Seigneur Jésus est ici, je n’hésite pas de vous dire la vérité de la Parole de Dieu en cette heure.

59        Oh! Zion, voici le jour de ta visitation. Vous ferez mieux de recevoir cela au Nom du Seigneur; il se peut que vous soyez en train de recevoir votre dernière invitation. Je ne dis pas que c’est le cas. Mais je sais que c’est par une promesse que je suis venu ici. Lorsque j’ai quitté là-bas, un de vos critiqueurs de cette ville s’est levé contre moi, pensant que je revenais ici pour m’emparer de l’église de quelqu’un... Je ne vais m’emparer de l’église de personne. J’ai été envoyé prêcher l’Evangile dans tous les coins du monde. Je suis seulement venu ici pour vous bénir et vous aider dans mes prières, du mieux que je peux. Je suis venu. Lorsque je quittais cette ville, j’avais dit: «Je reviendrai.» J’ai accompli ma commission. Me voici.

            Et l’autre jour, pendant que j’étais ici, le Saint-Esprit m’a dit... J’allais... Savez-vous où j’allais? A Minneapolis, dans un auditorium qui peut accueillir environ dix, douze mille personnes, il y a un groupe de gens qui ont collaboré. Et juste ici sur la côte, à Baltimore, il y avait un auditorium qui pouvait accueillir environ cinq cents ministres, des baptistes, des méthodistes, et tous avaient souscrit pour collaborer dans la série de réunions, dans un auditorium qui peut accueillir dix mille personnes, c’est sans frais. Aucun rond à payer, on n’a même pas eu besoin de prélever une seule offrande durant toute la série de réunions, nous avons laissé le reste aller de soi.

            Mais le Saint-Esprit a dit: «Passe par Zion.» Me voici. Ô Dieu, aie pitié.

60        Notre Père céleste, ô Dieu, je ne sais quoi dire. Je–j’essaie de tout mon coeur. Que les gens se réveillent ce soir, Seigneur. Ô Dieu, agis encore à Zion. Accorde-le, Seigneur.  Déclenche un grand réveil, d’une manière ou d’une autre, Seigneur. Nous voyons comment ces tueurs de brebis assoiffés de sang sont passés par cette ville, ils ont ravi aux gens leurs bénédictions. Ô Dieu Tout-Puissant, aie pitié et envoie de nouveau ceux que Tu as établis, Seigneur. Accorde-le.

            Envoie Tes bontés et guéris les malades et les nécessiteux, et bénis les gens, Seigneur. Car je crois que l’heure est arrivée à la fin. L’obscurité s’installe sur la terre. Ô Dieu, apprête Ton Eglise rapidement. Viens, Seigneur Jésus. Reçois-nous. Accorde Tes bénédictions ce soir pour la suite du service. Que Ton Cher Fils, Jésus-Christ, sous la forme du Saint-Esprit descende sur Ton pauvre serviteur indigne qui a témoigné de tout son coeur. Je ne peux pas les convaincre à croire cela, Seigneur. Tout ce que je peux, c’est leur dire la vérité. Et Tu es derrière chaque témoignage pour attester que c’est vrai.

61        Qu’ils se réveillent ce soir, Seigneur. Que les nations soient secouées encore une fois, que ça ne soit pas une de ces réunions qui durent trop longtemps, Seigneur. Mais, que ça soit une réunion à l’ancienne mode où Dieu sauve, qui fermera les débits de Whisky, qui amènera les femmes à mettre leurs vêtements, qui amènera les hommes à se conduire comme des gentlemen, qui déclenchera la gloire de Dieu dans l’Eglise. Accorde-le, Seigneur. Encore une fois, que Tes bontés se manifestent. Exauce la prière de Ton serviteur; je prie d’un coeur sincère. Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus, Ton Bien-Aimé et Fils unique. Je demande cela pour Sa gloire, afin que ces Paroles s’accomplissent, pour montrer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

62        Si vous ne recevez pas mes paroles, écoutez les Siennes, qui se trouvent au chapitre 16 de Saint Jean, à partir du verset 30. J’aimerais lire deux passages des Ecritures. Jésus avait toujours parlé d’une manière telle que les gens n’arrivaient pas à Le comprendre. Les gens disaient: «Que veut-Il dire? Je ne sais pas. Il parlait en paraboles.» Mais en ce temps-là, Il a parlé ouvertement.

            Alors les disciples ont dit: «Maintenant nous savons que Tu sais toutes choses, et Tu n’as pas besoin que personne ne T’interroge; c’est pourquoi nous croyons que Tu es sorti de Dieu.»

            Il a dit: «Tu n’as rien fait sans que le Père Te l’ait montré. Et ce que Tu as dit était exactement la vérité.» Est-ce là votre interprétation de l’Ecriture?

63        «Tu as dit que Tu es venu au Nom de Ton Père, et le Père... Tu n’as rien fait de Toi-même, sinon ce que le Père T’a montré... Lorsque Tu es allé à... Un jour là-bas, on t’a envoyé chercher pour prier pour ton frère Lazare, Tu as simplement continué Ton chemin. Tu savais ce que le Père allait faire. Ensuite, Tu t’es arrêté et Tu nous as dit qu’il était mort après tant de jours, bien sûr, c’est Dieu qui avait fixé le temps où Lazare allait mourir. Il a dit: ‘Mais Je vais le réveiller.’»

            «Lorsque Tu t’es tenu là à la tombe, nous avons compris que Tu t’es adressé au Père, et Tu as dit que Tu le savais. Mais Tu as simplement prié à cause de ceux qui se tenaient là à côté, afin qu’ils comprennent. Et Tu as appelé un homme mort à sortir de la tombe. Nous Te voyons faire ces choses. Et tout ce que Tu as prédit, tout ce que Tu as dit aux gens, ce qu’étaient leurs problèmes, ce qu’ils avaient comme problèmes. Tu connaissais leurs pensées, et chaque chose était la vérité. Et c’est pourqoui nous croyons que Tu es sorti de Dieu. C’est pourqoui...»

64        Maintenant, Hébreux 13.8 dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai?

            Dans Actes 2.22, Pierre parlait au jour de la Pentecôte:

            Hommes Israélites, écoutez ces paroles! Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’Il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes;

            Jésus...  Dieu avait confirmé Jésus par des signes, des prodiges et des miracles. Ce n’est pas Jésus qui faisait cela; c’est le Père qui Lui montrait d’abord quoi faire. Est-ce vrai? Maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est la même chose.

            Maintenant, Seigneur, je Te recommande ce service. J’ai parlé un tout petit peu; la salle est très chaude ce soir. Cette petite foule s’est assemblée ici dans ce gymnase de cette école secondaire. Père, que le Saint-Esprit, que cette même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël, descende, qu’elle s’installe dans ce lieu saint, cette chaire. Que les Anges de Dieu prennent leur position et leur place, d’après leur positionnement parmi les gens, qu’Ils parlent à leur coeur, qu’Ils les amènent à croire. Ôte toute incrédulité. Que cela disparaisse de cette salle ce soir, afin que ce soit une merveilleuse réunion.

            Puisse-t-il s’accomplir des oeuvres infiniment au-delà de toute mesure. J’ai rendu témoignage de Toi, mon Seigneur. Maintenant je Te demande de rendre témoignage à Ton serviteur, afin que Ta gloire se répande dans toute cette contrée tout autour de Zion, juste avant la venue du Juste, car nous le demandons en Son Nom. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Que le premier patient vienne.

65        Jéhovah-Jiré, Rapha, Manassé, le Grand Jéhovah Dieu sait ce soir qu’au mieux de ma connaissance, je n’ai jamais vu cet homme de ma vie. Je ne connais rien à Son sujet. Je ne l’ai jamais vu. M’avez-vous déjà vu, monsieur? Non, il ne m’a jamais vu. Nous sommes parfaitement des inconnus l’un pour l’autre. Quel est le problème de cet homme? Dieu le sait.

            Eh bien, Dieu peut, s’Il veut, me le révéler, et si cela peut se faire, et si vous croyez que je suis au moins un homme honnête, chacun de vous ici devrait dire: «Cela règle la question pour moi.»

66        Vous souvenez-vous du moment où j’étais à Zion la dernière fois? Combien étaient à la réunion l’autrefois? Le seul moyen que j’avais de connaître les choses, c’est que je prenais la personne par la main, et je me tenais là, je tenais cette main-là. Et cette main, je la tenais, jusqu’à ce que Quelque Chose parlait à travers moi et disait de quelle maladie il s’agissait. Et je vous ai témoigné que Dieu m’avait dit, l’Ange du Seigneur, que si je suis sincère, [il arriverait que] je connaîtrais les secrets même des coeurs des gens. Vous souvenez-vous que j’avais dit que cela arriverait? Combien se souviennent m’avoir entendu témoigner de cela? Levez la main. Voyez? Maintenant, la première fois que cela s’était produit, j’étais avec frère Baxter au Queen Gardens, à Regina, dans le Saskatchewan. Je me suis avancé sur l’estrade. Il m’a donné de l’eau à boire.

67        Et j’ai gardé la femme debout là, j’ai vu une vision de ce qu’elle faisait. Et ça a commencé là. Dieu avait manifesté Sa Parole. Il m’exauce. Je le crois. Je ne peux pas dire qu’Il me l’a dit, mais quelque chose est en train de se mouvoir en moi, disant: «Il y a quelque chose de plus glorieux, c’est sur le point de se déclencher dans mon ministère.» Souvenez-vous, Il m’a dit d’être respectueux, d’être obéissant, d’être humble, et Dieu vous ajoutera le reste.» Maintenant, j’essaie de mon mieux de l’être.

            Maintenant, Moïse, lorsque Moïse avait dit qu’il n’était pas un homme éloquent... Son langage était... Il n’avait pas un langage facile. Il bégayait, et ainsi de suite, et il ne pouvait pas aller, et ainsi de suite. Mais Dieu a essayé de le persuader à aller de toute façon, mais il ne voulait pas écouter. Mais alors, lorsque Dieu a envoyé Moïse, Il lui a parlé, mais il a dit, il a dit: «Les gens ne me croiront pas.»

68        Il a dit: «Mets ta main dans ton sein.» Il avait la lèpre, Dieu a guéri sa main de la lèpre. Ensuite il a pris un bâton et a accompli un miracle, à l’aide de ce bâton, en transformant cela en un serpent, et puis, c’est redevenu un bâton. Dieu a dit: «Fais ceci devant les enfants d’Israël et ils te croiront.» Est-ce vrai?

            Eh bien, Il m’a dit que ce signe serait donné en premier. «Et s’ils ne croient pas cela, il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur, et à cela ils vont croire.» C’est le même Dieu. Et Dieu sait que je ne sais donc rien à ce sujet. La même Colonne de Feu qui parla à Moïse a de nouveau parlé dans ce dernier jour. Et ce n’était pas Moïse qui accomplissait quoi que ce soit; c’était l’Ange qui allait devant Moïse, qui accomplissait cela. Est-ce vrai? Certainement, nous, nous pouvons comprendre. Or, Moïse, voici une chose que je ne fais pas comme il faut. Je reconnais cela avec cette Bible devant moi. Je n’agis pas bien en faisant monter cette personne ici et en lui parlant, jusqu’à ce que je dois moi-même entrer dans une vision qui m’affaiblit. Ce que je devrais faire, eh bien, peut-être je devrais les appeler depuis l’assistance, ou quelque chose d’autre comme cela, et les faire monter ici et leur parler, former une ligne de prière, et prier pour tous les autres à mesure qu’ils vont passer. Ce serait mieux. Mais on en est arrivé à un point où si vous ne vous tenez pas là pour parler à la personne, la vision ne vient pas, ils ne vont même pas penser que vous êtes oint. J’ai mis cela sur mon compte, c’est une confession devant Dieu.

69        Mais si cet homme ici, étant donné que je ne connais rien à son sujet, et–et il sait que je ne connais rien à son sujet, et que je ne l’ai jamais vu de ma vie, si Dieu se manifeste, et de la même façon qu’Il l’a fait devant  Nathanaël, cela devrait régler la question pour tout cet auditoire. Est-ce vrai? Je vous considère, monsieur, comme un homme honnête. Et je ne vous ai jamais vu, je n’ai aucun lien avec vous, je ne sais rien à votre sujet. Est-ce vrai? Je n’ai aucun autre moyen de le savoir. Très bien. Mais, il se tient là.

            Maintenant, restons donc en prière, pendant que je lui parle. Restez silencieux. Vous pouvez regarder dans cette direction. Eh bien, j’aimerais vous demander une chose ce soir. Hier soir, lorsque j’ai commencé à prier et que je vous ai demandé d’incliner la tête, certains n’ont pas voulu le faire. Et cela rend la situation difficile pour le patient. Voyez-vous? Cela... Vous–vous devez le faire. Le seul moyen pour que je puisse faire quelque chose pour vous aider, c’est une entière coopération. Et sachez-le bien. Lorsque ces maladies étranges sortent des gens, souvenez-vous, vous n’êtes pas immunisés contre elles. Et ces esprits sont totalement impuissants aussi longtemps qu’ils ne sont pas dans un corps. Et soyez-en assurés, je ne suis pas responsable. Si vous n’inclinez pas la tête pendant que je vous le demande, et si vous n’obéissez pas, je n’aimerais même pas rester dans la réunion, car c’est dangereux. Laissez-moi vous le dire: Il y a des gens qui se retrouvent dans des asiles d’aliénés aujourd’hui, qui étaient assis là dans la réunion aussi normaux que possible, et qui sont sortis de la réunion dans cet état-là à cause de la désobéissance. Il y en a beaucoup qui sont dans la tombe.

70        Maintenant, regardez par ici, faites tout ce que vous voulez, mais... et lorsque je vous le dis, où que vous soyez, si vous êtes là dans ...?... Si vous êtes malades, tout ce qu’Il vous dit de faire, allez le faire sans tarder. Faites juste ce que Cela vous dit de faire.

            Si je devais rester plus longtemps à Zion, je vous dirai des choses qui se sont produites, mais nous devons nous dépêcher. Croyez. La seule chose que je vous demande de faire, c’est de croire que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Allez-y, monsieur, approchez. Maintenant, je crois que vous comprenez, mes amis, que ceci n’est pas un–un spectacle ou quelque chose du genre. Vous êtes monté ici, je crois, en toute sincérité. Si ce n’est pas le cas, Dieu me révèlera certainement ce qui vous concerne dans quelques minutes, et vous saurez si vous êtes–que vous–vous n’auriez jamais dû venir. Mais si vous êtes sincère, si vous êtes ici pour la guérison, ou pour que quelque chose arrive. Et je suis ici dans une profonde sincérité afin de vous aider en priant pour vous. C’est tout ce que je peux faire, frère. C’est tout ce que je peux faire. Pourquoi vous ai-je appelé «monsieur», il  y a quelques minutes, et ensuite «frère»? Parce que j’ai perçu votre esprit; vous êtes un chrétien. C’est juste. Très bien.

            Maintenant, Il est déjà ici. Et vous êtes conscients que quelque chose est en train de se passer. Et je vous parle juste un petit instant. J’étais en train de prêcher (Voyez?), et c’est–c’est une onction différente; il faut sortir de là (Voyez-vous?) et entrer dans un autre domaine.

            Et je–j’aimerais être certain de ce dont je parle (Voyez-vous?), jusqu’à ce qu’une vision apparaisse, et alors je peux dire ce qui ne va pas.

71        Mais maintenant, écoutez, alors que je vous parle, comme Jésus a parlé à la femme au puits... maintenant, comme quelque chose clochait chez cette femme, Jésus lui a parlé un peu, et Il est allé droit au but et lui a dit son problème. Est-ce vrai? Il ne la connaissait pas, Lui était un Juif,  et elle une Samaritaine, Il s’est simplement tenu là au puits, et elle s’est avancée. Ainsi, après lui avoir parlé pendant quelques instants, alors, Il a pu lui dire ce qu’était son problème.

72        Maintenant, si je suis un chrétien, si l’Esprit de Dieu est en moi, c’est-à-dire, l’Esprit de Christ, alors Ça m’amènera à me comporter comme Lui, cela fera que chaque chrétien soit semblable à Lui. Ensuite sur–au-dessus de cela, s’Il a donné un don spirituel ou si Sa Présence est là, alors Il sera exactement comme Il l’a été en ce temps-là. Il peut agir directement. Voyez? Sur la terre Il n’a pas des lèvres, sinon les miennes, les nôtres. Il n’a pas d’autres mains, sinon les nôtres, nos yeux. Il parle à travers nous, et regarde à travers nous, et Il voit à travers nous. Est-ce vrai? C’est vrai. Vous êtes...?... alors. Nos lèvres sont Ses lèvres pour prêcher l’Evangile et que sais-je encore.

            Monsieur, vous êtes–vous souffrez d’une maladie de sang. Je–je crois que c’est le diabète. Est-ce vrai? Maintenant, croyez-vous? De tout votre coeur? [Le frère répond: «De tout mon coeur.»–N.D.E.]

73        Maintenant, voilà la maladie de cet homme. C’est ce qui n’allait pas en lui. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Mais c’est là sa maladie. Maintenant, si je peux lui parler un petit peu, alors le Saint-Esprit pourrait révéler autre chose, Il peut, oh! lui dire, peut-être, quelque chose qu’il avait fait lorsqu’il était un petit garçon, ou peut-être un certain obstacle, ou quelque chose, quelque chose qui pourrait–qui fait obstacle dans sa vie. Je–je ne sais pas. Peut-être... Est-ce que vous croyez réellement vous tous?

            Maintenant, j’aimerais, étant donné qu’il est la première personne, prenons ce cas au sérieux. J’aimerais simplement vous parler, monsieur. Eh bien, j’aimerais simplement que vous me répondiez. Oh! je ne lis pas votre pensée, monsieur. J’aimerais que vous pensiez à moi pendant que je me tiens ici, dites-vous simplement que vous êtes dans la Présence du Seigneur, ou de Son Etre ici. Ne pensez pas... parce que les gens pouvaient penser que c’est la lecture de la pensée. Laissez-moi... Nous avons établi cela, l’autre soir, que Jésus connaissait leurs pensées. Mais et... je–je n’aimerais pas cela du tout. J’aimerais voir une vision, pas la chose à laquelle les gens pensent. Voyez-vous? Je–j’aimerais savoir si Dieu peut montrer quelque chose à votre sujet, quelque chose dans votre vie. Croyez-vous que je suis en mesure de le faire, étant donné que je suis Son prophète? Vous le croyez. Eh bien, que le Seigneur accorde cela.

74        Vous avez quelque chose à faire avec un bateau, ou plutôt des bateaux, ou quelque chose du genre. Pas vrai? Et n’êtes-vous pas un genre de... N’êtes-vous pas un ministre? Vous êtes un prédicateur, c’est ça. Et vous êtes en train de... Je vous vois en train de prêcher, ou de parler à des pêcheurs, ou quelque chose d’autre, ou plutôt des bateaux, ou quelque chose du genre. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous que je suis Son prophète? Très bien, rentrez chez vous et portez-vous bien, mon  frère, au Nom de Jésus-Christ...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

75        Je crois, sans l’ombre d’un doute, que les gens qui sont dans cette réunion reconnaîtront forcément qu’il y a un Etre surnaturel qui se tient ici, qui prêche à travers moi. Et vous pouvez accepter que c’est Dieu, ou tout ce que vous voulez. Cela déterminera votre guérison. Si c’est le cas, et Dieu a déclaré que je dis la vérité. Et un homme pourrait venir ici et dire qu’il est... Dieu vous a dit ceci ou cela. Je n’ai pas le droit de dire qu’Il ne l’a pas fait. Ecoutez, lorsque Dieu descend et parle nettement, tout ce qu’Il dit est la vérité.

            Croyez-vous que cet homme a dit est la vérité? C’est la vérité. Pouvez-vous me croire maintenant? Croyez que Jésus-Christ, notre Sauveur, est assis à la droite du Père. Sa Présence est ici ce soir. Tout comme on me fait passer à la télévision maintenant, et qu’on me voit là en Californie, mais je suis ici. Sa Présence invisible est ici. C’est Lui qui, par la Puissance du Saint-Esprit, est en train d’agir dans cette salle. Et maintenant, Il est prêt à apporter la puissance de la guérison aux gens pour leur guérison.

76        Voulez-vous me croire comme étant Son prophète? J’étais sur le point d’appeler encore dix personnes. Mon manager a déjà signalé que ça suffit. S’il n’y a pas d’autres maladies, je–je vous assure que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir. Tout autour de moi tout devient comme de l’émeraude; en effet, je me tiens ici, c’est tout ce que je sais, et que je tiens ce microphone.

            Je t’aime, Zion. Et Dieu sait que je désire faire quelque chose pour toi. Et je vous ai témoigné, et mon Dieu a attesté que j’ai dit la vérité. Recevez-Le ce soir (je vous prie?) comme votre Guérisseur, pendant que nous inclinons la tête.

77        Notre Père qui es aux Cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Que Ton Règne vienne. Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent; Sauveur de l’âme, Guérisseur du corps, Créateur des cieux et de la terre, envoie Tes bénédictions sur ces gens. Comment pouvons-nous encore douter? Pendant combien de temps allez-vous rester exposé au danger?

            Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui par Sa grâce infinie, nous a envoyé Son Saint-Esprit dans ces derniers jours. Nous de pauvres gens des nations, des étrangers, nous qui portions des idoles muettes, nous qui étions des sauvages, il y a deux mille ans, nous les Anglo-Saxons, sans aucune espérance, sans Dieu dans ce monde, et aujourd’hui nous avons été changés en des fils et filles de Dieu, et Dieu a envoyé Son Esprit en nous, qui crie: «Abba, Père.»

78        Ô Dieu, à travers mon pays, l’Amérique, malheur à elle! si les oeuvres qui ont été accomplies en Amérique durant ces cinq dernières minutes avaient été faites dans Sodome et dans Gomorrhe, celles-ci subsisteraient jusqu’à ce jour. Si cette nation Te recevait, ô Dieu, comme ces pauvres païens africains noirs là, en Afrique, t’avaient reçu, la guerre de la Corée serait réglée et la paix serait de nouveau restaurée sur la terre. Mais s’ils n’acceptent pas la miséricorde, nous devons accepter le jugement. Que Dieu soit miséricordieux ce soir envers ces gens qui sont ici dans cette assistance. Cette pauvre petite ville de Zion négligée, où jadis les cloches retentissaient là dans les rues, d’après ce qu’on a appris, là lorsque j’étais un bébé, et que ma mère me berçait dans ses bras. Tu savais que ce soir serait la soirée où les cloches retentiraient dans l’église, les femmes cesseraient leur travail, les hommes s’arrêteraient dans les rues et se couvriraient la tête. Et on offrirait la prière au Dieu Tout-Puissant.

79        De penser maintenant que des filles à moitié vêtues se promènent sur la rue... Le péché est partout. Le...?... appelé des noms saints. Des pécheurs, impies, séduits et sur une terre dédiée à Dieu, Seigneur, ces choses vont-elles durer? Toi seul Tu le sais. Mais cependant, je crois qu’il y a encore à Zion des noms qui sont écrits dans le livre de Vie de l’Agneau.

            Viens, Seigneur Jésus, ce soir, alors que Ton Esprit se meut au-dessus de cette assistance. Exauce chacun d’eux, Seigneur, ceux qui sont rassemblés dans cet endroit ici et dans d’autres coins de ce pays: à Waukegan, Chicago, et dans les autres villes. Seigneur, que la miséricorde se répande dans cette salle juste en ce moment. Que la pluie du Saint-Esprit, comme c’était arrivé dans la fournaise ardente, avec les enfants hébreux qui avait chassé au loin toute incrédulité, tout doute, et que le Dieu Tout-Puissant rompe le charme de l’incrédulité et que cela libère chaque croyant ce soir. Et puisse le Saint-Esprit baptiser maintenant beaucoup de gens dans cette assistance ce soir, et les faire entrer dans le Royaume de Dieu, et que là-bas, ils puissent sauter de ces fauteuils...?... béquilles, que leurs yeux s’ouvrent, leurs oreilles se débuchent, que les malades qui passeront ici, et...?... soient guéris. Ô Dieu, accorde-le. Exauce ma prière, ô Dieu. Exauce cela au Nom de Jésus.

            Et, Satan, quitte, toi esprit impie, de doute et d’incrédulité, je t’adjure par Jésus le Fils de Dieu qui est ici, quitte chaque personne! sors d’eux!

E-1 ... All borned again Christians are His representatives. We are no longer of this world, but we have passed from death unto Life, and are heirs of God, with Christ, setting together in heavenly places in Christ Jesus. Isn't that wonderful? Just think, how marvelous.
And it's written that, "Eye has not seen, ear has not heard, or entered the heart of man, what God has for them in store, that love Him. And now, I believe in--in the healing of Jesus Christ, that Jesus Christ heals the sick. You believe that? He makes the sick well--well.
I was just listening to a program, not to criticize anybody. But on the road here this afternoon, I was listening to a Doctor of Divinity, one of the most brilliant speakers in America, speaking on suffering. And maybe I'm wrong. If I am, God forgive me. But how can a brilliant mind like that be twisted up so in the Scripture, after being a teacher for years and years in great schools and seminaries. And he said, "Sickness was of God. That..." Said, "That we should welcome rheumatism, arthritis. If God gives it to us, just testify and spit dust in the Devil's face, and say, 'I can stand and bear it, for God put it upon us for His glory.'"

E-2 Whew. I can't see that. And I don't say... And I don't believe that's intelligent. I don't believe that's... That's not the Gospel of my Lord Jesus Christ. And God is not the author of sickness. You can't pin that on my Father. He come to heal us. The Devil is the one who makes us sick. Absolutely.
If that be so, then how about that lady with arthritis that came to Jesus upon the--there at that day, on the Sabbath day, and Jesus put His hands on her and healed her. And they said, "It was on the Sabbath," and found fault with Him.
He said, "Which one of you, having an animal that won't loose him on the Sabbath to go get a drink?" Said, "How much more this daughter of Israel who's been bound by the Devil these years? (not by God, by the Devil) Oughtn't she to be loosed on the Sabbath day?"

E-3 And I say, if that same man, right now, if he'd get sick, and sick, would go to a doctor. The doctor told him he had appendices, he'd take off the hospital to have it cut out. Well, then if appendicitis is a blessing, why go have it cut out? You're cutting the blessing away. See? Then if that be true, medical science saying something about Divine healing, what about that? If that is the truth, every hospital in the world, and every doctor are antichrist working against God. Why, it's a shame to have a doctor. It's a shame to go to the hospital. It's a shame to be healed. You should go ahead and die. Get these diseases and die right quick, or set and suffer with them, or something. Oh, my. I can't--I can't understand it. Maybe--maybe--maybe it's me. But if it is, I--I don't believe it is; that's just all. I believe it's some--something else wrong somewhere.
But how a teacher, brilliant, can preach a message, and just lay it right to the line, and come right down to there. It's just all Satan wants, just enough to get... See?

E-4 The biggest lie in the world has got a lot of truth in it. When Satan come to Eve, he said, he told her everything the truth. He said, "Now, you're eyes will be opened. You'll know right from wrong. You'll know just like God. You don't know it now, but you will... it's the truth." And everything, right on down, and then he said, "Surely, you'll not die." But that was a lie, 'cause God said you would die.
And then when Jesus came on earth with them diseases that He healed, then He was working against His heavenly Father. And then He commissioned His disciples and sent them out to heal the sick and to raise the dead, and cleanse the lepers. Then He was working against the will of the Father. And then, the last words that he said was, "Lay hands on the sick and they shall recover," contrary to the will of the Father.

E-5 Then if He, by His stripes we were healed, He, then the Father had nothing to do with the atonement. Whew. I don't know how you're going to do that. But yet, that's--that's smart people. God help me then to be foolish. See?
I heard of a man coming down the street one day, he had a sign on the front of him, said, "I am a fool for Christ." And on the back it said, "Whose fool are you?" The Bible... Paul said that, you know, in the--in the Scriptures. He was a fool for Christ.
Yes, I believe the Word of God teaches healing for the body and soul. Not only that, but God confirms the Word with signs and wonders following. I will admit that God permits Satan sometimes to chastise us; that's true. But when that chastisement is through, you come back to God, God your Father will heal you. And that's right.

E-6 And I will admit there is a sickness unto death. And that's why prophetic gifts are in the church to know these things. But to say that our Father, that a man had rheumatism, arthritis, say, "Yes, Lord. I'm just glad to have it. Glad You give it to me. I embrace it. I love it. I glory in tribulation." Paul's thorn in the flesh, that was no more disease than nothing else. If it wasn't healing, he got well, and he said, "The messenger of the devil that buffet me." What does the word "buffet" mean? "Blow after blow." See? Then He healed him; he got well. He--He--He healed him again. He got sick. And He healed him. He got sick, blow after blow. He said, "A messenger of Satan," not an infirmity, as he meant, as he said there, but as people try to interpret. I will let Brother Baxter take that thorn in the flesh for you some afternoon, or some of these teachers.

E-7 But anyhow, how brilliant people, see how they get scattered out. And some poor sufferer, setting out, setting suffering, and thinking that he's doing God's will, when the blessing is laying right at his hand to heal him.
I want to read some Scripture in a few moments. First, I want to give an experience. And then, if it's all right, Brother Baxter told me, said, "Testify just a little tonight or something," if I desire to, because he was wanting me to--to do so, on account he was a little tired, and he wanted a rest.
I want to tell an experience, then I will read the Scripture right at last.
One day, when the most notable thing, that I guess one of the most notable ever happened, was one of those fundamental ministers who charged me and said that I was a hypocrite and a devil, and an impostor, and should be run out of the city. And paid himself, about fifty dollars out of his own pocket, for a front ad page in the paper to that. Said, "I was imposing myself as a man of God. And I was nothing in the world, to me, and I should be run out of the city. And he should be the guy that should do it." Just a young fellow back from the cemetery, and... Yeah. And all the same, a dead place, just exactly. Reading, writing, arithmetic, and some of them know no more about God than an Hottentot knows about an Egyptian knight. And now, that's the truth. Now, they're all right, if they come out of there, God-saved. But you don't have to go there to be saved.
Paul said, all he ever knew, he for--he had to... All he ever learned, he had to forget about it to learn Jesus Christ. And that's right.

E-8 And I'm not trying to support my ignorance. I'm just telling what the Bible said. Peter and James passed through the gate called Beautiful, there laid a man crippled from his mother's womb. He said, "Silver and gold have I none, but such as I have, I will give thee. In the Name of Jesus Christ, rise up and walk." And Peter grabbed that man and raised him up on his feet, and held him there till his ankle bones received strength. He went into the temple, leaping and praising God. And the Bible said that, "They were ignorant and unlearned men." Is that right? We're taught that Peter wouldn't even know his own name if it was signed before him. He wouldn't know what it was. But he knowed Jesus Christ.
And I... That's what I--I want my children to know. That's what I want the people to know. I think education is wonderful, as long as you don't get to be an educated fool (See? Yeah.), not gumption enough to know how to take care of your education. Education is all right, very fine thing, and we need it. God knows that. But we need salvation worse than we do education.

E-9 If you'd have been with me in Africa a few weeks ago, a few months ago, and there's men setting right here now, that's from right in Africa, and knows that it's the truth. When I walked into that meeting there, and seen those Hottentots coming back from up there, those illiterate people, that missionaries had walked in there and tried to teach them reading, writing, and arithmetic, and it makes him a twofold child more of hell, than he was when he started. And all the heathen men that come in, supposed to be Christians, packing a little idol sprinkled in mud, and blood all over it, supposed to be a Christian.
His daddy packed that, you know, and lion got after him, so he set it down, said a prayer, and built a little fire, and the lion went away. Sure, fire run the lion away. See? And then if that don't work, then he turns around, and if... his... if the God the missionaries speaks of doesn't work, then he will try that one. He carries that one for safety first. That's not Christianity. But when they seen the power of God make a man who had been born crippled, stand whole again, they broke them idols on the ground, and accepted Jesus Christ as their Saviour.
And the papers were packing articles there where carloads after carloads of watches, and rings, and firearms, that they sold, and had out there in their--in their huts and things. They bring it back in true conversion.
I tell you, Jesus Christ is sending forth a message in this last age that's shaking things. "Not by power, not by might, but by My Spirit, saith the Lord." That is true. All right.
And I stood before some of those Doctors of Philosophy and with their D.D.'s, here a few days ago. When Doctor Davis and many of them said to me, said, "Billy, go on home, you had nightmare..."

E-10 I said, "I don't appreciate that." I said, "If you are through, if you don't want me, all right, here's my credentials." I said, "I will follow God, led alone; I don't have to follow the Baptist church."
He said, "I--I don't--I don't mean it that way, Brother Branham. I--I--I guess I hurt your feeling."
I said, "You never hurt my feeling, but when you tell me that that was a nightmare, when I stood and talked to an Angel face to face..."
He said, "You mean you'll be going around the world, with a seventh-grade education, and winning thousands to Christ?"
I said, "That's what He said. And that's what I believe." That's right.
"How you going to do it?"
I said, "No more than I know how Paul could tell out there on the ship that night, that he was going to have to come before Caesar. But he said, 'Lo, an Angel of God appeared to me last night,' and said, 'Fear not Saul, Paul, you're going to have come before Caesar. And God has give me all those that sail with me.' And he said, 'Wherefore brethren, be of a good courage, for I believe God. It'll be just like it was showed me.' And I--I believe Him." And it's true.

E-11 And that's what we need tonight, my brother, sister. That's the trouble with we Americans; we set and wonder. Doctor So-and-so said so-and-so. You know what it puts me in mind of? A big undertaker's morgue, where a bunch of dead people go in, they pump some fluid into them, to keep them... be sure they don't get alive no more. That's... Just Doctor So-and-so said, "It was mental telepathy." This one said, "It's psychology." This one says, "It's that and that."
I'm so sick and tired of human philosophy. I want to see the real power of God demonstrate and moving among His people, where that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever, proving Himself. And that's what the world is a hungering for.
When I stood there by them, I said, "Gentlemen."
They said, "Brother Branham, you just returned from a missionary trip." Said, "It was very alarming when we read in the papers where you had thirty thousand converts."

E-12 I said, "Gentlemen, for the past fifty years, you've been sending missionaries down in Africa. I met many of them have been there for a long time. Some of them little old girls down there, said they were missionaries, and boys." And I said, 'Where you from?' They told me what college they were from. I said, 'How many souls you won to Christ?' 'Not none yet.' Riding around in a nice car, live in the best hotels, and I said. 'None yet?' 'No.' When the natives have a war dance, after they come up out of the mines and things, they passed out a few tracts."
What does a native know about a tract? He wants... Paul learned a long time ago, and Jesus Christ always knowed that it takes power to convert the heathen. That's right. And they walking around there, and all them little old pamphlets in their hands. And as soon as their back's turned, throw it away like that.

E-13 And I said, "You sent missionaries in there for fifty years; you spent millions of dollars." And I said, "What you call fanaticism won more people to Christ in five minutes time than all the missionaries you sent in for fifty years." Hallelujah. Our God lives and reigns. He's a God of power. He's the same yesterday, today, and forever. He's the God that closed the heavens in the days of Elijah. He's the God that stilled the waters on the mighty sea that night. He's the One that woke up His Son from the dead, after being in the grave for three days. He's omnipotent. He lives and reigns forever. And He's the same yesterday, today, and forever. He will always be God. He will always have somebody who'll believe Him in that way too. God has never been without a testimony.

E-14 And to see some of those people who has got more education than they know what to do with, and come out of some seminary, and with some kind of a D.D., and a Bachelor's--Bachelor degree, and so forth, and back like that. How mercy. That don't mean no more to God [Brother Branham snaps his fingers--Ed.] than that. Do you know Christ in the Power of His resurrection? That's the main thing?
You see, they explain this away and explain that away. And some of it they hit very nice, and say this right. And how it's folded over and whitewashed around, then come down to fundamental truth, and deny it. That gets in my blood, because I know that Christ died for this purpose. And the proof of the pudding is the eating of it. That's right. Here it is. It proves itself. There's millions, thousands times thousand, that's been in my meeting, and can produce doctors' testimony, and so forth, that would've been in the grave, and a lot of them are laying out on dead list, that's supposed to be been dead years ago with cancer. I can produce it tonight, that they're living and healthy and strong. And not a sign of it anywhere. That's Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. He promised those things, and we're living in the days to see them.

E-15 The night down in Houston, when this young fellow put that in the paper, the next day, Brother Bosworth, one of the old soldiers here from Zion; he called me today. He's fixing to go back to Africa, seventy something years old, about seventy-five years old, his heart burning to go back to Africa. He wants to go back. He said, "Oh, Brother Branham," said, "Americans are lovely, but them people wouldn't want God. Why preach it over and over and over, and they're all mixed up anyhow, and don't know what to believe, when them people down there hasn't heard It one time? Go take It to them." And that's my heart too, friends.
And to you Christian people, coming in tonight, people setting around the town, the power of Jesus Christ moving around, empty seats setting here in the auditorium. "As it was in the days of Noah, so will it be in the coming of the Son of man." See? There they are; they're unconcerned. They've had so much of embalming fluid injected into them till they can't... Well, they were predestinated to be that way. That choked you, didn't it? But that's the truth. I can prove it by the Bible. That men are predestinated to be lost.

E-16 Jude, about the 4th chap--4th verse of Jude, said, "Men of old, foreordained to this condemnation, that turned the grace of our Lord into lasciviousness." Correctly. Foreordained of old to this condemnation, God foreordained it to them; like Pharaoh, Judas Iscariot, and many of them. Don't tramp on God's property. If God's give you a tug at your heart's door, be the most thankful person there is in this building tonight, to know that God's give you the privilege to come into His Kingdom, and knocked at your heart's door, and sought you out. You might be one of them out there, that's on the outside of the Kingdom tonight.
And there this man with all of his scholarships, Brother Bosworth, come, said, "Looky here, Brother Branham, what's in the paper." I said... Said, "This guy has challenged you. He's done every..."
I said, "That doesn't mean a thing, Brother Bosworth."
Well, the next day, here it come again, another big one. I said, "It showed what I was made out of, that I was afraid to face the truth, and face facts in God's Bible. For that's the way with this bunch of holy-rollers."

E-17 Listen. I've traveled the seven seas, and I've never seen a holy-roller yet. I've never seen one. I've seen people scream and shout. I've seen them get disorderly even in their way of doing, going to excess, to the other side. And that steers people away. But I'd rather have a little wild fire than no fire at all. Yes. That's right. But there he is. But a holy-roller, I've never seen one. Never heard of a church that was called, recognized themselves as holy-rollers. I never seen one yet. But this fellow had to put that in the paper, you know, to make it act smart, the big "Houston Chronicle."
Now, Brother Bosworth come the next day; he said, "Brother Branham, take him up on that."
I said, "Brother Bosworth, God never sent me to fuss with people. He sent me to pray for people, not--not..."

E-18 And he said, "Well, Brother Branham," he said, "I realize that," but he said, "look." He said, "The people here will think that we're just a bunch of--of people who don't know what we're talking about, before the public. And those thousands and thousands have gathered there in that place." Said, "They ought to know what is the truth." And said... Brother Bosworth was raised up here in Zion, under Doctor Dowie, and--and so forth. And he--he believed it. And I believe he's one of the greatest teachers today on Divine healing. And he said, "Brother Branham, that--that just oughtn't to be," he said, "before the public."
I said, "Brother Bosworth, the anointing of the Holy Spirit is on me. I have no time to fuss. The Bible said, 'Let them alone. If they, the blind lead the blind, won't they fall in the ditch?" I said, "Let them alone. He never sent me to fuss. He sent me to pray."
And so he--he said, "Will you give me the privilege of doing it?" Oh, I appreciated that. Put me in mind of Caleb of old, "Let me go take that city."

E-19 And I thought, "That man, just out of a seminary, there with all of his degrees and things, and this old man, seventy-something years old, standing there, wanting to challenge that young man to a debate; or the young man challenging him, and him wanting to take up the Sword against him."
I said, "No, Brother Bosworth, I will not give you privilege to doing it." I said, "Because it would just cause a fuss, and you never get nothing by fussing. You're just like the Irishman's owl, all fuss and feathers." I said, "You don't get nowhere, and no owl to it." And I said, "The..."
He said, "Well, if you will just give me the privilege, Brother Branham, I will promise you that I won't fuss." He said, "I won't say one word back; I will be a Christian gentleman." And I looked at him. His poor little eyes sparkling, and just--he just wanted to get into it so bad. And I said, "Well, I looked around to my wife, and--and that's when I... He'd brought me in the challenge to come to south--Durban, South Africa and pray for Florence Nightingale who was dying with cancer, the granddaughter of the late Florence Nightingale, the founder of the Red Cross in England.
And I said, "Brother Bosworth, give me just a little bit of time to pray."

E-20 He went out; he come back again in a few minutes. Said, "What about it?" Said, "The reporters are waiting." 'Course, they keep me away from people. Not as I don't want to be with people, I want to be with people. I love people. But people...
My friends sometimes say, "Brother Branham, will you come over here at the meeting, will you have this little social visit?" I want to do that. I want to. But listen, God let me know in the beginning, if I'm going to be a servant of God, or of man, I've got to keep myself away from the public, and be in touch with God, so that I can serve God. I serve men, serving God. And I love to go to places, and see people and talk to them and things, but the Holy Spirit will not permit me to do it.

E-21 Now, I don't say all ministers have to be that. I was born under Nazarite birth, of course, and so it's just a little different. And so, many things that I do in my life, I wouldn't ask other people to do. I wouldn't say they had to do that to be Christian, because it was a different... altogether.
And many of you understand that, don't you? See? It's just... That's just for me on-- or me privately, things that I have to do, and things, the way I have to live, and the things that I have to do. It's a Nazarite birth. And so we--we don't... it's not... You can't teach that all people have to be that way. See? But I mean for myself.
And then finally, when he come back in, I said, "All right, Brother Bosworth." They wouldn't let the reporters up steps where I was at. I said, "If you want to do it, and will promise me that you won't argue..." Now, many of Bosworth's friends are setting here and you know him well. And so I...
And he said, "I promise you, Brother Branham, that I won't argue a bit."
I said, "All right. That's fine. Go ahead."
So right down the steps he went like a little child with his first toy. He run down there and told the reporters, said, "Look, Brother Branham, won't--won't do it." But said, "Let me do it." Said, "I will take that up."
And so then, of course, the "Houston Chronicle," you know how the newspaper is, great big headlines the next day. "Ecclesiastical fur will fly," you know, something another. I guess that's what they're supposed to do, so here it come everywhere.

E-22 But what made me think then, friends, and know that the--the born again Church of God is ready, listen. What's the great thing today? Is the fuss, the issue that the--the born again people have between them, I mean the real born again.
Some of them said, "Well, I was... I was done this this way. I--I do this this way. I--I... The Lord wants me to do this." That's all right, as long as you recognize one another as brothers and sisters, let the rest of it go. And then, not in how you say your prayer, or whatever you do, that has nothing to do with it. It's your heart with God, is what makes it.

E-23 And then that day, that paper, course, "The Houston Chronicle" is on the Associated Press, and it went out everywhere. And what made me feel good, was that day, from east, west, north, south, special trains, and planes moaned their way across the plains, bringing in people to the rescue.
What was it? They, there was... They were Trinities, and Oneness, Jesus Only, or Assemblies, or whatever, Latter Day Rains, or whatever they wanted to be; that Nazarene, Pilgrim Holiness, whatever it was, that didn't matter to them. The--the principle of Jesus Christ was at stake, and they come together 'till thousands swarmed that big stampede ground, big place, or the--the Sam Houston Coliseum, until they packed in the ground where the big rodeo shows and things packed through there, the galleries and everywhere. They said... [Blank.spot.on.tape--Ed.] That's fine. All right.

E-24 Now, and in that great rush there that night, the people come in from everywhere, and lined and packed the place out. I said, "I wouldn't go down." I didn't want to go down, because I didn't like to hear a debate. You never get nowhere by debating. You just might as well leave it alone. So I--I said, "I won't go down." Well, all right, that was okay.
And along towards the time the services was getting ready. I just couldn't stay home. That's all. I just had to go. And I told my wife; I said, "I'm going down." And she's setting here in the building tonight, her and the little girl.
And so, we went down together, and taken the... And my brother went with me, Howard, he was here with me the last time I was in Zion. And so he said, "Now, Bill, you're going to keep quiet."
And I said, "Well, sure."

E-25 And so we went up in balcony thirty, way up in seat thirty up there, way up high. I set down up there. No one knew me. I had my coat up like this. And we went up and set down.
Well, I listened to this, all getting ready the moderators and everything. And Cy Ramsar, I think, was singing, leading the singing. So right at the last Cy just dropped in down there, and--and he knew Mr. Richey, and many of them. So they had him leading singing. And so right at the last when he said, "Now, the main event of the evening, the discussion is fixing to take place. But," said, "I read a little article in your papers here the other day." Said, "I read in there where William Branham ought to be run out of the city." Said, "You people of Houston, that--that call yourself Christians, would put more time trying to run bootleggers out of the city, instead of godly people like that, Houston would be better off."

E-26 And I say, there was a scream went up, around, thousands of people there. I--I knew then that something had happened. Just--just set still. So this Mr... The--the Baptist minister, he wouldn't... He would not permit; he wouldn't come up first. He wanted to be last so he could rub off on Mr. Bosworth. So they said, "All right." They was having just a little trouble then, at the last.
So Mr. Bosworth got up, gallant old soldier of the cross stood just as straight and sturdy. He stood there and he said, "We are not here tonight to fuss or to debate." He said, "We are here, tonight to discuss, or to come and reason together," he said, "upon the Words of God." He said, "I have six hundred different statements concerning Jesus Christ today, and His attitude towards the sick. His--His attitude--attitude towards the sick is just the same today as it was the day He walked the shores of Galilee. I have them written out here on paper. And if Mr. Best can take any one of those and disprove it by the Scripture, I will walk off the platform and give him the debate." Whew. What a statement.
Mr. Best said, "Go ahead, I will take care of that when I get up there."

E-27 He said, "Mr. Best, I will ask you one question. If you'll answer me yes, or no, whichever way you'll answer me, then the discussion will be over." He said, "Was the redemptive Names of the Jehovah applied to Jesus, yes or no?"
I slumped down. I thought, "Oh, my. There it is." I never thought of that in my life. But that old Caleb standing there, anointed... See? It was different from that seminary experience setting back there, of reading, writing, arithmetic. He'd never thought of those things.
He said, "Is the redemptive Names of Jehovah applied to Jesus, yes or no?" He said, "Answer me, yes or no, and I will set down."
He said, "Go ahead, I will take care of that."
Said, "I'm asking you, sir." The moderator give him leave. Said, "I ask you, walk to this platform, and say yes or no, and I will set down."
Sure, he couldn't say yes or no. He couldn't. He was tied right there, before he even got started. "Why," he said, "Mr. Best, I'm very surprised." Said, "And one of the weakest arguments I have on it, and you can't answer that, what are you going to do with the rest of them?" There you are. Said, "That's my weakest one. I just started off with that."

E-28 But if he said, "No," then he wasn't... If he--if he said, "No," then He wasn't Jehovah-jireh, the God's provided Sacrifice. He's Jehovah... If He isn't... The redemptive Names of Jehovah, if they are not applied and fulfilled in Jesus, then He is not God's provided Lamb, and you're in your sins, and He was an impostor.
And if He is Jehovah-jireh, He's also Jehovah-rapha, because you can't separate them atoning name, or them--them redemptive Names, because it all goes in redemption. And if He is Jehovah-jireh, then He's Jehovah-rapha. And "rapha" is just the same as "jireh," so He is the Healer, the same yesterday, today, and forever. That settled it. Oh, my.
He said, "What are you going to say, Mr. Best?"
He said, "I--I--I will... I--I--I--I will..."
He said, "Come here and say it...?..."

E-29 And when he come to the place, he kept stomping; he raised up and smacked the preacher. So then when he got down there, and he got back up again, and when he come time for him to come to the platform, he preached a good Campbellite sermon. I was cradled in the Baptist church. I know what Baptist doctrine is. I should. All right.
And he absolutely did not preach Divine... The Baptist believe in Divine healing, praying for the sick. That's exactly right. But they... He preached and even denied the powers of Christ, and said that even that Lazarus died again. He said, "Divine healing was applied on First Corinthians 15, when this mortal put on immortality."
What in the world are we going to need Divine healing for then, when we're immortal? See? So there it was. And right in the time he said that, and everybody begin to laugh at him. He said, "There's nothing but a bunch of you nitwit holy-rollers is the only one believe in such things as that." Said, "There is no true Baptist would ever believe in anything like that."
Brother Bosworth said, "Just a moment, brother."

E-30 He said, "I want to ask this congregation tonight, how many of you... [Blank.spot.on.tape--Ed.] Only you that's Baptist and got good standing with the Baptist church, you are the ones that I want to stand to your feet, while we're... now. And three hundred stood up.
Said, "What about that, Mr. Best?"
He said, "Oh, nonsense, the people can testify of anything; that still doesn't make it right."
He said, "You can't prove it by the Scriptures, and here is the evidence." See?
And so then, Mr. Richey jumped up. He's just like a little fly, anyhow, you know. [Brother Branham snaps his finger one time--Ed.] Said, "I'd like to ask a word." And so the moderator finally give it. Said, "Which did the Southern Baptist Conference, and you men setting along there, on that first bleacher row," said, "did the Southern Baptist conference, is this their attitude towards Jesus Christ, the Healer? Did you all send this man here?"
Watch out. There was thousands of Baptist setting there. Nobody made a move. [Brother Branham snaps his finger one time--Ed.] Richard called their hand again.

E-31 He was a Zion boy, too, you know. His father was the mayor here of the city. See? The one that stayed out, and said, "Death, stand still, till I preach this sermon." And death listened to him till he preached his sermon out, and fell back in his boy's arms and died: Mr. Richey, yes, sir.
He said, "I want to ask that." And so the--the chairman, or the one of the Baptist men, said, "He come on his own. That's his. Not the Baptist Conference, didn't send him, but he come himself."
He said, "That's all I wanted to know." Sit down.

E-32 Then Best said, Mr. Best raised up and said, "Let that holy-roller, let that Divine healer come forth. Let him perform. Let me see him. Let me see one of his patients that he hypnotizes here, examined a year from today. Let me see it. Let me see it. Bring him forth. Let me see him perform."
Mr. Bosworth said, "He's here nightly, you're welcome to come anytime." See? He said, "Anyhow, Brother Branham doesn't claim to be a Divine healer." Said, "Never." Said, "I guess his literature is published in many different languages. He's spoke directly, indirectly to millions of people." And said, "Not one time did he ever say, 'A Divine healer.' He always says that Christ is the Healer." And said, "If Brother Branham, preaching Divine healing, makes him a Divine healer, then preaching salvation makes you a Divine Saviour." That set him down. See?
Said, "Would you want to be called a Divine Saviour?"
"Absolutely not."
He said, "Neither does Brother Branham want to be a Divine healer." Said, "He only preaches Divine healing through the cross. And you were unable to say that he doesn't preach it through the cross by the Scriptures." That shut him up.

E-33 He said, "Or any other man here is challenged on the same grounds to come and prove, that they stand against the Bible, that Jesus Christ, that His attitude towards the sick today, isn't the same as it was then." If He's the same yesterday, today, and forever, He has got to be the same Man. That's exactly.
And then, he said, "But you can't support it. And him preaching Divine healing by Jesus Christ doesn't make him a Divine healer. He only points them to Christ. And preaching salvation by Jesus Christ, doesn't make you a Divine Saviour. But if it makes him a Healer, it makes you a Saviour."
So then he said, "Let him come forth. Let him come forth. I want to see him. Come forth and perform." He started stomping back and forth."
Brother Bosworth said, "Now, I know Brother Branham is in the building. If he wants to come and dismiss the audience, all right. But he's under anointing, and I... say to come forth and perform, that's something different." And--and he said, "Brother Branham, I know where you're setting." And everybody begin to look around. He said, "I know where you're setting, and if you want to come forth and dismiss this audience in a word of prayer, all right. But you're under no obligation."

E-34 And my brother Howard, he put his hand on my shoulder, and two or three ushers standing by me, said, "Set still. Set still."
I said, "All right." And I stood there just a minute. Something went "Whoosh." I knowed it wasn't setting still no more then; felt Something moving. My wife took hold of my hand, she said, "Honey?"
I said, "Sweetheart, just a moment. It's the Angel of the Lord."
Howard said, "Bill, you're not going down there." And the people looked up at me and begin screaming and crying. He said, "You're not going down."
I said, "Howard, just aside, son. The Angel of the Lord tells me to go down there."

E-35 Ushers begin to throw their hands together like that, and made a line coming down, along the side. I walked up to the platform. I knew He was here. I said, "I do not claim to be a Divine healer." And I said, "Don't think hard of Mr. Best."
Although, he had hired some photographers to come over there. Listen to this. He hired a commercial photographer, the Douglas Studio's. Write to them, if you want to find out. Connected with the American Photographer Association. And he had hired Mr. Kipperman of the Douglas Studio's in Houston, Texas, number ten something, Rusk Street. It's in my book there. Write and ask him the testimony. And Mr. Ayers that come with him, was a Roman Catholic who criticized me, and said I was a hypnotizer, in the paper the day before. And Kipperman was an Orthodox Jew who even denied Jesus. And Mr. Best had sent over there and told him to--to "Come take a half-dozen, six by ten glossies of me, while I take that old man over there and take him apart, and skin him and rub salt in his hide, and tack it on my door as a memorial to Divine healing." That shows where Christian spirit lays and take a brother... See? All right, that, there you are (You see?), all puffed up here; nothing down here. See?

E-36 And so, then he come over there. And they took the six glossies while he was doing the preaching. He'd pose for them like this, and he posed for them like that, you know. And they took the six glossies.
And so then, when I started down to the platform, they said, "No more pictures, that's up to all the photographers, and so forth, taking pictures." Said, "No more pictures..." 'Cause they take those pictures in the meetings, and they sell them, and it's not right (See?), commercial on anything that belongs to God. And so, that's the wrong thing to do. So we just stopped all pictures. So they wouldn't let no pictures be taken.

E-37 So, I said, "Do not anyone think hard of Mr. Best." I said, "I did think he was sincere, till he looked down to this row of stretchers and cots and things, laying here, of these people laying here with cancer, and heart trouble, that's going to be dead in a few days, if God doesn't help them. And the doctors has give them up. They've done their very best for him. There's nothing they can do. And now you say, he... I believe he was sincere till he said that he felt sorry for those people." He can't feel sorry for those people, and robbing them of trying to black out the only hope they have of living. How can you feel sorry for them? Like taking food away from a starving man." I said, "And there sets their comrades setting back there, who was in their condition just a few days ago, and with doctors' statements that they're healed. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... because they're all mixed up in their religious experience." See? I said, "I don't...?... believe that was sincere."
But anyhow, he come running up the platform, he said, "Branham?"
Said, "Yes, sir?"
He said, "As a man, I admire you. As a preacher, I don't think much of you."
I said, "That's mutually felt." Uh-huh. Walked on off the platform. That was all.

E-38 So I said, "All right. now. He's..." I said, "Look, I do not claim to be a Divine healer." And I said, "I was reminded of my Lord, when he said, 'Come down, and perform. Come down, let me see.'" I said, "That same Devil, when He was on the cross, and they put a rag around His face... I believe He was a Prophet, the King of prophets." Don't you believe it? He knew the woman at the well. She had five husbands. He knew where Nathanael was when he was under the fig tree, or the olive tree, oh, fig tree, I believe it was; when he was there. He knew where the fish was had the coin in its mouth. They put a rag around His face and hit Him on the head with a reed, and said, "Now, if You're a prophet, prophesy, tell us who hit You." He didn't even open His mouth or say a word.

E-39 "And then, when they put Him on the cross, said, "If He be the Son of God, come down and let us see. Prove it to us now. Come off the cross, and we'll believe you." I said, "That same old spirit, them preachers that had it back there is dead, but the spirit lives on in other preachers, right on down through the age."
"Healed this one. Yeah, let Him see heal this one." When He was here and He passed by the pool of Bethesda; there laid that crippled multitude, of the lame, halt, blind, withered, laying there like that, and Him walking right by, and He walked over and took and man that had sugar diabetes, or some kind of an infirmity, and healed him, and left the multitude laying there.
The Jews had the same thing. They said, "They questioned Him about it."
Here is what He said, Saint John 5:19. "Verily, verily, I say unto you, I can do nothing except the Father shows Me. For the Father loves the Son, and He shows Him what He does. Show Him all things that He doeth. And He will show you greater things (than the healing of this diabetic, or tubercular, or whatever it was), that you may marvel. But I can do nothing, except first I see a vision, what the Father has done."
Is that Scripture? That's right.

E-40 Now, they said, "Well, what about all those lame, halt, blind, twisted, withered waiting there?" The Father never showed Him nothing about it, and He went right on. What the Father showed Him to do, He did. But according to His Words, Who was the Son of God, He could do nothing until first the Father showed Him. Is that right? That's His own Word. You argue that out with Him. And He's the same yesterday, today, and forever. It's the same way. That's right. What the Father shows, that He does. All right.
Now, notice this. Then I said, "But I can't--can't heal no one." But I said, "This I do say. When I was a baby born up in the state of Kentucky, according to my own dear mother, and which has been vindicated through my life," I said, "there was a Light came in the room of that little old huddle there, where it was at, no floor in it, didn't even have a window, they just had a little old thing for a window there, like a little door, and they pushed it open about five o'clock in the morning, and this Light circled in just as it was breaking day."

E-41 I said, "Since that time, It's been with me. It's an Angel of God. He met me in person a few years ago. Down through my life, He told me things that's happened, and I have told them just as He told me. And I challenge anybody at any place, to go to the city where I was raised, or anywhere else, that a statement has ever been made in the Name of the Lord, but what come just exactly the way it said it would." And I said, "Now, not me, but it was Him." And I said, "Anyone here, any Christian knows, that God will not have nothing to do with error. God is truth." Is that right? And I said, "He would not bless an error. And had done been gone, found out, before this time." I said, "It would never do. God will not bless an error. But if I testify of the truth, then God will testify of me. If I make a statement, and God has told me to do so, then God will back it up. Do you believe that? If He doesn't back it up, then He never made it. But if He made the statement, God will stand behind what He promised." Hallelujah.
Oooh, you don't know how that makes--how that makes me feel. Don't think I'm just off my sense of balance. I know where I am. Look. Yes, but when I know where, what I'm talking about. And every borned again man in here, woman, knows what they're talking about.

E-42 Now, whether you can appropriate the faith, I do not know. But, what God says, is the Truth. And I said, "If I tell the Truth, God will testify of the Truth. For God is under obligation to testify the Truth, but He will not have nothing to do with error. So if I told the Truth, God will testify the Truth." And about that time, here He come, "Whoosh," came right down over where I was.
Excited, Mr. Bosworth. He run forth, the one that got the glossy of the man. And he snapped the picture, snapped a picture of me standing there. I said, "God will testify. I shall say no more." I walked off the platform.
So that night he went home, on the road home they discussed about it. Said, "What do you think about that?" The Catholic said to the... I mean the Jew said to the Catholic.
He said, "Well, we're taught in our church, that it can be, but it would have to be a Catholic, nothing but a Catholic. See, it would have to come through the church. If there's any blessings, it comes through the church."
Said, "Oh, I..." Kipperman said, "I don't know nothing about it, just to be honest with you."
Ayers said, "Well, I might have criticized the man wrong." So he went on down.
Kipperman said, "Well, I'm going upstairs and go to bed."

E-43 Ayers said, "I will put these in the studio, and run them through the acid, 'cause Best wants them tomorrow. I think he wants, maybe, use one in the paper, them glossies."
So he put the six negatives in the acid. He was standing there smoking a cigarette, waiting for the--the developing of it, as it went into the process of acid developing. He was smoking a cigarette. After while he threw the cigarette down; he was thinking about the meeting and what taken place. So he walked in, he pulled out the six negatives. He looked at one of them, perfectly blank, second, blank, third, fourth, fifth, sixth, perfectly blank. Every one of Mr. Best was blank.
And when he pulled out the one that he taken of me, there was the Angel of God, the Pillar of Fire, in the picture.

E-44 He grabbed his heart; he fell forward. He screamed for Ted. They run down stairs. That was about ten-thirty. And at eleven o'clock, it was on it's road on an airplane to Washington, D.C., to be copyrighted. Returned back, and when it did, it was turned over to the head, George J. Lacy, anybody knows he's head of the FBI, in fingerprint and so forth. And he happened to be in California, just down to Houston, they taken it into the Shell building under examination for two days. On the end of that time, he said, "Come forth, and stand in the room, and they would let them know what it was."

E-45 So they taken their camera; they look at the camera. They taken the negative. They put it under a violet ray, and all kinds of light. They went down to the auditorium. They examined the film in every way. So then that afternoon when everybody was gathered together there, in the little Shell building, to can find out what would take the place, or Shell Oil Company, the building there...
He said, "Whose name is Rev. Branham?" Kind of a tough-looking fellow. But he had softened up a whole lot.
I said, "Mine, sir."
He said, "Stand up." I stood up.
He said, "Mr. Branham," said, "you'll have to pass out of this life someday like all mortals."
I said, "I'm aware of that, sir. But thanks be to God Who gives me the victory through Jesus Christ."

E-46 And he said, "Sir," he said, "I've heard of your meetings. And I said those things were psychology." And said, "I seen the pictures where the saints, and them lights they had around the Saviour there." He said, "My mother was a Christian woman. She taught me to be a Christian." He said, "But I always said that that...?... painting was psychology. Of course, some artist picked it up."
But he said, "Rev. Branham, I believe it was the truth now." He said, "That mechanical eye of that camera won't take psychology. It was absolutely a genuine picture. The only one the world's history today, and can be proven to be a hypocrite," he meant the unbeliever, that said, "there was no such a thing as a supernatural Being. Could not be scientifically proved," but said, "that day is passed. Here it is."

E-47 People been screaming and crying and everything. He said, "Come forward to receive the negative." Picked up the negative. He said, "Rev. Branham, there's one thing I want to tell." Said, "Absolutely, I'm willing to sign my name to any document that the Light stuck the negative." And he said, "Psychology don't give light." Hallelujah.
Tears rolling down my cheeks, I looked around. There it was. God had vindicated a seventh-grade education. The things that they said was fanaticism, God had vindicated Truth to the scientific world, once for all. Said, "There it is."
He said, "You'll never live to see the value of this picture." Said, "You'll go before that time, no doubt." He said, "Here I submit it to you."

E-48 I said, "Sir, it's not mine." I said, "It belongs there to the American Photographer Association." Said, "They're willing to come forward." Said, "I'd like to ask...?... My lawyer sitting here, you'd give me permission to sell the picture."
I said... He said, and so he said, "Mr. Branham, you realize that picture is worth a hundred thousand?"
I said, "Sir, listen. To all of you, once for all, if my Lord Jesus thought enough of me to come down by my side, in that hard struggle against right and wrong, and stand by my side for the first time in all the world's history to have His picture taken, standing by me; I love Him too much to commercialize it. That's right." And I said, "I will not have one thing to do with it."
He said, "Well, it should be some kind of a document."
I said, "Mr. Kipperman and the Douglas Studio has a right to sell it. I won't sign nothing. But if they will sell it in a price where poor people can get a hold of it..." And they promised they would do that. And it would turn loose. They had the copyright on it, and you can send and get a copy of it."

E-49 And I said, "One more thing, Mr. Lacy called my attention." He said, "One more thing ought to be said. That this picture could not be sold, unless there be a statement go out, because it was given to the picture that there shouldn't be any critics go out and say, 'Well, it's nonsense. All that's just hear talk,' or something like that. You can have a photostatic copy of it right yonder, if you wish. You can see Mr. Lacy, and find out who he is. Anybody that knows anything about photography, or fingerprints, knows who George J. Lacy is. There he is the best there is in the United States, and I think he's the best in the world.
And there he is, after two days of research, and chemicals and everything else, said, "It's absolutely the picture of a supernatural Being standing there beside of you."

E-50 Then what I say? Anyone who knows the Old Testament, knows that it was a Pillar of Fire that led the children of Israel. Is that right? And all Bible readers know that that was the Angel of the Covenant. Do you believe that? Then if that was that Angel of the covenant, it was Jesus Christ. He's the same yesterday, today, forever. He's still the Lord Jesus.
"I came from God, and I go to God," He said. "A little while and the world seeth Me no more, yet you'll see Me. I will be with you, even in you, to the end of the age." "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
That's when Brother Bosworth give me the negative, or the picture of Florence Nightingale, laying yonder dying. Said, "If I only..."

E-51 How many seen that picture back there in the book? You see it in "The Voice of Healing." How I will never forget this. How wonderful when I went to pray for her. When she went in there, I looked at her, and that cold hand. How God moved down there, and a little dove flew through the bushes and sit on the window, cooed back and forth while I was praying. When I raised up, the ministers raised up and said, "Did you hear... Did you see--look at that dove?" The dove flew away when I raised up. Said, "Did you notice that dove?" I got ready to say I...
The woman couldn't even move; she was laying there. And I said, "I thought you... I seen the dove," or something."

E-52 As I started to say that, Something came down. I believe it was the same Pillar of Fire. My voice changed. I couldn't hold my words, and said, "THUS SAITH THE LORD, this woman will live and not die." Today she weighs a hundred and fifty-five pounds in perfect health. With a cancer on the duodenum of the stomach. And there she is walking the streets. That's what sent me to South Africa. That's why I went, 'cause I told God if He would let her get well. When I was here in Houston, Texas, I seen, knowed I was coming there, yet I do not know. But she come in on a plane. Mr. Baxter here, my manager, when I was going in at London, England, why, he heard somebody page me. And they went over there to find out what it was about. And they said, "Miss Florence Nightingale was out there, and they didn't think they'd even get her out of the plane, 'cause she was dying right then." I told them to take her down there, 'cause we was going down to Buckingham Palace in Westminster Abbey, and a few places, and I would meet her when I come back. And there's when God healed the woman.

E-53 What does that mean? What does that mean to me tonight, in the face of criticism? How many has read the book out there, when that maniac run to the platform out yonder? You--you better know what you're speaking about. He said, "You snake in the grass, I will break every bone in your mealy body, tonight, you posing yourself to be a man of God." A raw maniac out of the institution, had broke out...?... sound men standing there and muscles. Mr. Baxter standing behind me, when hundreds of preachers shrank back. Two little police that I just led to Christ, over in a room before coming, they run out to grab him, like that.
I said, "Just a moment, sir. This is not a flesh and blood affair." He swelled hisself out. He set his feet together.
He said, "You hypocrite. You snake in the grass."

E-54 I was speaking, I turned around to him, this a way. All the ministers had backed up. He come walking towards me. Said, "I will break every bone in your frail body tonight." I weighed an hundred and eighteen pounds. Said, "I will show you how much man of God you are, you serpent." He come walking forward. I never said a word. I just turned around, had to look up to him like that. He walked up, and was about there. As he got close, I thought, "Dear God, the only hope I have is in You." He was well able to do his threats. He walked there just then.
When he stepped out there, I started to say, "Sir, I wouldn't say that."
And when I did, He said, "THUS SAITH THE LORD, 'cause you've challenged the Spirit of God, tonight you'll fall over my feet."

E-55 He said, "You hypocrite, I will show you whose feet I will fall over." Said, "I will break your neck, you serpent." And went... [Brother Branham makes a noise of spitting--Ed.] Spit in my face like that. I just stood still, waiting for the Spirit of God. Sixty-six hundred people, besides what was on the outside, was standing breathless. You better know what you're speaking about.
He run forward, gulped at me...?... he said, "I will show you whose feet I will fall over." He drew back like that.
I said, "Satan, in the Name of Jesus Christ, come out of him." See? There he stood with his challenge like Goliath, that he made his boast. The Spirit of God had said what would happen. Now we'll see who's right. He... I... Everything seemed against me. His desires, and all, he could carry it out.
He said, "I will break every bone in your body. I will knock you plumb out in the middle of that audience." He could do it, physically speaking.
But the Holy Spirit said, "You'll fall over my feet." There he rushed forward. And when the Spirit...
I said, "Satan, come out of the man in the Name of Jesus Christ." His big fist drew back.

E-56 Mr. Baxter here, is a witness, besides...?... caught running down through the police courts and everything up there. You seen "The Voice of Healing," didn't you? How they hunted him down, and everything, and it proved out, a hundred percent, it was there, and all the rest of them. We're not liars. We're testifying of Jesus Christ.
You're welcome to take the book and run them down, and any other testimony that I say. Yes, sir. I'm under obligation to God to be a man of honor, the truth, as a prophet of God.

E-57 And when he come running to me, he threw his hands back. When he did, he went, "Oh-uh-uh-uh-uh." His eyes, all the way back, and pushed out. His mouth open like that. He shrunk and fell across my feet, till I couldn't even move. I looked at him.
Them police said, "Is that man dead?"
I said, "No, sir."
Said, "Is he going to be all right?"
I said, "No, sir. He worships that spirit. He thinks he's right. If he's willing to give it up, it would leave him now. But he worships it; he will take it right back." I said, "Would you move him off my feet?" And they got him off my feet. And I walked back to the platform and started speaking.
I said, "Our heavenly Father has all powers in heaven and earth."

E-58 And a man laying on a cot said, "Yes, He has. He healed me." And up he got. There laid a man standing there with crutches. He threw his crutches across the floor, said, "He healed me, too." And away he went. Up come a man out of a wheelchair, said, "Me, also."
There the power of God moved through that building, and shut the mouth of Satan. Hallelujah. Call me a fanatic if you want to. I'm a fanatic for Christ. Whose fanatic are you? I know what I speak of. If I die this night... I will never die; I have Eternal Life in me. And every born again Christian does too. If I go home to meet the Lord, tonight, my testimony is still proven true. And every time that Satan has rose up, God has set them down. So therefore, without fear, knowing my Lord Jesus is here, I do not hesitate to tell you the truth of God's Word in this hour.

E-59 Zion, this is the day of visitation for you. You better receive it in the Name of the Lord; you may be receiving your last. I do not say that you are. But I know, by promise I come here. When I left over there, and one of your critics of the city here, rose up against me, thinking that I was coming back here to take over somebody's church... I take over nobody's church. I was sent to preach the Gospel into all parts of the world. I only come here to bless you and to help you in my prayers, as I can. I come. When I left this city, I said, "I will return." I fulfilled my commission. I am here.
And the other day, when I was here, the Holy Spirit said to me... I was going... You know where I was going? To Minneapolis, to an auditorium that seats around ten, twelve thousand, bunch was cooperating. And right down the coast here, Baltimore, there was an auditorium setting there with five hundred ministers, Baptist, Methodist and all signed up to cooperate in the meeting, in an auditorium that seats ten thousand, free. Not a penny, didn't even had to take up about one offering the whole meeting, let the rest of it go.
But the Holy Spirit said, "Go by the way of Zion." I'm here. Oh, God, have mercy.

E-60 Our heavenly Father, God, I don't know what to say. I--I try with all my heart. May people awake tonight, Lord. O God, again move in Zion. Grant it, Lord. Start a great revival, somehow, Lord. We see how these blood-thirsty sheep killers have come through this city, robbing people of their blessings. O God Almighty, have mercy and send again that which Thou has established, Lord. Grant it.
Send Your mercies and heal the sick and the needy, and bless the people, Lord. For I believe that the hours are closing in. Darkness is settling over the earth. God, get Your Church ready quickly. Come, Lord Jesus. Receive us.
Bless tonight in the further part of the service. May Your dear Son, Jesus Christ, in the form of the Holy Spirit come upon Your poor unworthy humble servant who testified with all my heart. I can't make them believe it, Lord. I can only tell the truth. And You're right behind every testimony to say that it's true.

E-61 Let them wake tonight, Lord. May the nations be shook once more, not one of these protractive meetings, Lord. But, an old fashion God-saved meeting, that'll close whiskey stores, that'll make women put on clothes, that'll make men act like gentlemen, that'll start the glory of God in the Church. Grant it, Lord. Once more, may Your mercies be showed. Hear the prayer of Your servant; with a sincere heart I pray. Grant it, Lord. Through Jesus' Name I ask that, Thy only begotten and beloved Son. I ask it for His glory, that these Words might fulfilled, that He's the same yesterday, today, and forever. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-62 If you won't receive mine, listen to His, found in the 16th chapter of Saint John and beginning with the 30th verse. I want to read two portions. Jesus had always talked in such a way, till the people couldn't understand Him. They said, "What does He mean? I don't know. He talked in parables." But this time He spoke plainly.
Then said the disciples: Now are we sure that thou knowest all things, and needest not that any man should ask thee: by this we believe that thou comest forth from God.
He said, "You've done nothing but what the Father showed You. And what You said was, has been exactly the truth." Is that your interpretation of that Scripture?

E-63 "You said, You come in the Father, and the Father... You did nothing in Yourself, what the Father showed You... When You go over to... One day over yonder and they sent You to come pray for Your brother Lazarus, You just kept going on. You knew what the Father was going to do. Then You stopped and told us, that he was dead after so much time, of course, and God allotted the time that Lazarus would be dead. He said, 'But I go wake him.'"
"When You stood at the grave, we understood that you spoke to the Father, and said, You knew about it. But You just prayed for them that stood by, that they might understand. And You called a dead man from the grave. We see You do things. And whatever You predicted, whatever You told the people, what their troubles was, what was wrong with them. You perceived their thoughts; every bit of it was the truth. And by this, we believe that Thou comest from God. By this...'

E-64 Now, Hebrews 13:8 said Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. Is that true?
In Acts 2:22, Peter speaking on the day of Pentecost:
Ye men of Israel, hear these words; Jesus of Nazareth, approved of God among you by signs, by miracles and wonders and signs, which God did by him in the midst of you, as ye yourself also know:
Jesus... God approved Jesus by signs, and wonders, and miracles. Jesus did not do them; the Father showed Him what to do first. Is that right? Now, if He's the same yesterday, today, and forever, it's the same way.
Now, Lord, committing this service to You. I've spake quite a bit; the room is very warm tonight. This little crowd is gathered over here in this high school gymnasium room. Father, may the Holy Spirit come near, may that same Pillar of Fire that led the children of Israel, move down, settle around the holy place, this pulpit. May Your Angels of God take their position and places, positionally out among the people, speaking to their hearts, getting them to believe. Take away all unbelief. May it go from this building tonight, that It might be a great marvelous meeting.
May the exceedingly abundantly be done. I have testified of Thee, my Lord. Now I ask Thee to testify of Thy servant, that Your glory might be spread abroad through all the regions around Zion, just before the coming of the just One, for we ask it in His Name. Amen.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]
First patient come on.

E-65 Jehovah-jireh, -rapha, -manasseh, great Jehovah God knows tonight that I, as far as I know, never seen this man in my life. I know nothing about him. I never seen him. Did you ever see me, sir? No, he never seen me. We're perfect strangers. What's the matter with the man? God does know.
Now, God can, if He will, reveal that to me. And if that can be done, and if you people believe that I am at least a truthful man, each one of you out here ought to say, "That settles it for me."

E-66 You remember when I was in Zion the other time? How many was at the meeting the other time? The only way I had of knowing, I took the person by the hand, and stand there, and I hold that hand. And that hand, I would hold it, until Something spoke through me, and it said the disease what it was. And I testified to you, that God told me, the Angel of the Lord, that if I would be sincere, it would come to pass, that I would know the very thoughts of their heart. You remember me saying it would come to pass? How many remembers me testifying of that? Raise your hand. See? Now, the first time it happened, was with Brother Baxter, at Queen Gardens, Regina, Saskatchewan. I walked to the platform. He give me a drink of water.

E-67 And I said to the woman there, and I seen a vision of what she was doing. And there it started. God had manifested His Word. Hear me. I believe this. I can't say He just told me, but something is moving in me, saying that, "There's something more greater, just laying before us in my ministry." Remember, He told me to be reverent, be obedient, be humble, and God will add to you." Now, I'm trying my best to be.
Now, Moses, when Moses said that he wasn't an eloquent man. His speech was... couldn't talk very well. He stammered, and so forth, and he couldn't go, and so forth. But God tried to get him to go anyhow, but he wouldn't listen. But then, when God sent Moses, He told him, said, he said, "The people won't believe me."

E-68 He said, "Put your hands in your bosom." He had leprosy, and He healed his hand of leprosy. Then he took a stick and performed a miracle, with a stick, by turning it to a serpent, back to a stick. He said, "You do this before the children of Israel and they will believe you." Is that right?
Now, He told me, that this sign would be given first. "And if they wouldn't believe that, that you'd know the very thoughts of their heart, and by that they would believe." That's the same God. And God knows that I know nothing about it then. The same Pillar of Fire that spoke to Moses, has spoke again in this last day. And it was not Moses that done any thing; it was the Angel that went before Moses, that did it. Is that right? Surely, people, we can understand. Now, Moses, here's one thing that I do do wrong. I'm admitting it with this Bible before me. I'm doing wrong by bringing this person up here and speaking to them, till I have to break myself into a vision that weakens me down. What I ought to do, well, maybe I ought to have them call one person out of the audience, or something another like that, and bring them up here and talk to them. And line up a prayer line, and pray for all the rest of them as they went by. That would be better. Whew. But it's got to a place, where, if you don't stand and talk to the person, the vision doesn't come, they don't even think you're anointed. I brought that upon myself, a confession before God.

E-69 But if this man here, me knowing nothing about him, and--and the man knows I know nothing about him, never seen him in my life. If God will manifest Himself, and the same way that He done to Nathanael, that ought to settle it for this whole entire audience. Is that right? I take you, sir, for a truthful man. And I never seen you, no connection with you, know nothing about you. Is that right? No way else for me to know. All right. But there he stands.
Now, let us be in prayer now, while I talk to him. Be silently. You can look this way. Now, I want to ask you something tonight. Last night, when I was started to pray, and asked you to bow your head, some wouldn't do it. And that makes it hard on the patient. You see? That... You--you must. The only way I can do anything to help you, is full cooperation. And let you know this. That when them strange diseases goes out of the people, remember, you're not immune from them. And they're perfectly helpless until they're embodied. And be it assured to you that I'm not responsible. If you do not bow your head when I ask you, and will not obey, I would not even stay in the meeting, for it's a dangerous thing. For let me tell you: There's people in the institutions today, that set in the meeting as normal people, and went out in that condition because of disobedience. There's many that's in the grave.

E-70 Now, you look this way, do anything you want to, but just... And when I tell you, wherever you are, if you're in there...?... If you're sick, whatever He tells you to do, go do it right then. You do just what It tells you to do.
If I had longer to stay in Zion, I'd tell you some of the things that's happened, but we must hurry. Believe. The only thing I ask you to do is believe that Jesus Christ the same yesterday, today, and forever.
All right, sir, come here. Now, I trust that you understand, friends, that this is not a--a stage show or something. You're up here, I believe, in sincerity. If you're not, God will sure tell me about you in a few minutes, and you'll know whether you're up--that you--you should've never come. But if you are in sincerity, you're here to get well, or something to happen. And I'm here in deep sincerity to try to help you by praying for you. That's all I can do, brother. That's all I can do. Why did I call you, sir, a few minutes ago, and brother then? Because I witnessed your spirit; you are a Christian. That's right. All right.
Now, He's already here. And you're aware of that, that there's something going on. And I just talk to you just a moment. I've been preaching (You see?) and it's--it's a different anointing; it has to move back from that (You see?) back into another realm. And I--I want to be sure of what I speak (You see?), until a vision goes to breaking in, and then I can tell what was wrong.

E-71 But now, look, as I'm speaking to you, like Jesus did to the woman at the well... Now, if there's something wrong with that woman, and Jesus talked to her a little bit, and He went right straight and told her what was wrong with her. Is that right? Not knowing her, He was a Jew, and she a Samaritan, He just stood up there at the well, and she come by. So after talking to her a little bit, then He could tell her what was wrong.

E-72 Now, if I be a Christian man, if the Spirit of God is in me, that is, the Spirit of Christ, then It'll make me conduct like Him, make me a Christian like Him. Then on--on top of that, if He has given a spiritual gift, or His Presence near, then He will be just like He was then. He could go right straight. See, He has no lips on earth but mine, ours, no hands, but ours, our eyes. He speaks through us, and looks through us, and sees through us. And is that right? That's right. You're...?... then. Our lips are His lips to preach the Gospel and whatmore.
Sir, you're--you're suffering with a blood condition. I--I believe it's diabetes. Is that right? Now, do you believe it? With all your heart? [Brother answers, "With all my heart."--Ed.]

E-73 Now, there is the man's trouble. That's what's wrong. I never seen him in my life, but that's his trouble. Now, if I could talk to him just a little bit, then the Holy Spirit might reveal something else, might, oh, tell him, maybe, something when he was a little boy he did, or maybe some hindrance, or something, something that would--stands in his life. I--I don't know. Perhaps... Do you all really believe?
Now, I want, being that this is the first man, let's take these cases serious. I just want to talk to you, sir. Now, I just want you to answer me. Oh, I'm not reading your mind, sir. I want you to be thinking about me standing here, just thinking that you're in the Presence of the Lord, some and or His Being here. Don't think... 'cause the people might think it as reading mind. Let me... We settled that, the other night, that Jesus knowed their thoughts. But and I--I don't want that at all. I want to see a vision, not what they're thinking about. See? I--I want to know if God would show me something about you, something in your life. Do you believe that I'm able to do it by being His prophet? You do. Well, may the Lord grant it.

E-74 You have something to do around a boat, or boats, or something. Isn't that right? And aren't you some kind of a... Aren't you a minister? You are a preacher, that is. And you are around... I see you around preaching, or talking to fishermen, or something another, or boats, or something. Is that right? If it's right, raise up your hand. Do you believe me to be His prophet? All right, go home and be well, my brother, in the Name of Jesus Christ...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-75 I believe, beyond a shadow of doubt, the people of this meeting will have to recognize that there is a supernatural Being that's standing here, that's ministering through me. And you can accept it as God, or whatever want to accept it. That will determine your healing. If that be so, and God has said that I have told the truth. A man who'd come here and saying he is a... God told you this, that, or the other. I have no right to say that He did not. Look, when God comes down and speaks definitely, everything that He says is the truth.
Can you believe that man, that he told the truth? It's truth. Can you believe me now? That Jesus Christ our Saviour, is setting at the right hand of the Father. His Presence is here this evening. Just as they put a television on me now, and see me in California; and I'm here. His invisible Presence is near. He's the One, through the power of the Holy Spirit, that's moving in this building. And He's ready now to make His healing power to the people well.

E-76 Do you believe me as His prophet? I am going to call about two more. My manager has done said it's enough. If there's no more conditions, I--I tell you the Spirit is moving on. Everything is becoming more like a emerald color, around me, 'cause I'm standing here, that's all I know, holding to this microphone.
I love you, Zion. And God knows that I want to do something for you. And I have testified to you, and my God has testified that I've told the Truth. Receive Him tonight (will you?) as your healer, while we bow our heads.

E-77 Our Father, Who art in heaven, hallowed be Thy Name. Thy Kingdom come. Thine will be done in earth, as it is in heaven. Almighty God, Author of Life, and Giver of every good gift; Saviour of the soul, Healer of the body, Creator of heavens and earth, send Thy blessings upon this people. How can we doubt longer? How long will you stand in jeopardy?
Blessed be the God and Father of our Lord Jesus Christ, Who by His infinite grace, has sent His Holy Spirit to us in this last days. We poor, alienated Gentiles, carried away with dumb idols, two thousand years ago were wild savages, we Anglo-Saxon people, without hope, without God in the world, and today has been made sons and daughters of God, and God has sent His Spirit into us, crying, "Abba, Father."

E-78 O God, through my nation, America. Woe unto her. If the works had been done in Sodom and Gomorrah, that's did in America in these last five minutes, it'd remain to this day. If this nation would receive You, O God, as those poor dark heathen Africans did down there in Africa, the Korean War could be settled and peace could strike the earth again. But if they will not accept mercy, we have to accept judgment. God be merciful tonight, to this people here in this audience. This poor, little, neglected, Zion, where once the bells tolled yonder in their street, I'm told, back yonder when I was babe, and rocked in my mother's arms, You knew that this night would be when the bell was tolled on the church, the women ceased their work, the men stopped on the street, and covered their heads. Prayer was made to Almighty God.

E-79 The thinking now that down through the street goes half-dressed girls. Sin on every hand, the...?... called by holy names. Sinners, ungodly, beguiled and ground dedicated to God, how long, Lord, will these things last? Only doest Thou know. But yet, I believe, there is names yet in Zion, that's wrote on the Lamb's Book of Life.
Come, Lord Jesus, tonight, as Your Spirit moving over this audience. Hear each one of them, Lord, these that's gathered in from here and other parts of this country: Waukegan, and Chicago, and around about the cities. May, Lord, mercy spread over the building just now. May the rain of the Holy Spirit, as it was in the fiery furnace, with the Hebrew children fan away every unbelief, every doubt, and may God Almighty break through the spell of unbelief that...?... in this auditorium tonight. And may the Holy Ghost now baptize many in this audience tonight, into the kingdom of God, and out yonder they might leap out of these chairs...?... crutches, their eyes comes open, ears open, the sick will pass here, and...?... might be healed. God, grant it. Hear my prayer, God. Hear it in Jesus' Name.
And, Satan, you leave, you ungodly, doubting, and unbelieving spirit, I adjure thee, by Jesus the Son of God Who's here, leave every one of the people. Come out of them.

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