Expectative
1 Merci, Frère Reed. Bonsoir, mes amis. C’est toujours un privilège de se retrouver dans la maison du Seigneur, de servir Dieu, servir Son peuple, les nécessiteux, et... Je suis un peu désolé d’être en retard, mais mon fils est venu me chercher, cependant je... Un train nous a bloqués pendant pratiquement quinze minutes, juste ici en bas de la rue, et nous ne pouvions contourner par aucune autre voie, et ainsi, nous étions donc obligés de rester et attendre que cela soit terminé. Et aussi, frère Reed a dit: «Il savait ce que je voulais dire.» Je pense qu’il en a eu une expérience juste les quelques jours passés, avec la même chose.
Mais c’est toujours un privilège de se retrouver ici dans la maison de Dieu. Nous essayerons donc de ne pas prendre de votre temps, autant que possible. Et...
2 Hier soir, nous enseignions un peu sur le personnage, et quel genre de personne... Si vous attendiez le Seigneur Jésus, quel type de Personne attendriez-vous? A quoi ressemblerait-Il? Que serait Son Esprit? Et nous en avons montré le type au travers des Ecritures, pour voir exactement ce qu’Il était, ce qu’était Son ministère, comment cela agissait, et comment Lui agissait. Et puis, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il agira de même aujourd’hui. Et nous voyons que Cela agit, n’est-ce pas? Exactement le même Seigneur Jésus.
Il ne prétendait pas être Quelqu’Un d’important. Il disait qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Et quand le Père Lui montrait quelque chose, eh bien, Il le faisait. Même s’Il connaissait les pensées des gens, ce qu’ils pensaient, ce qu’ils faisaient, ce qui clochait chez eux, néanmoins, Il ne fait Ses miracles que quand Dieu le permet.
Et si vous remarquez bien, partout, c’était toujours ce que le Père Lui disait. Eh bien, il y a eu quelques personnes, deux aveugles, qui passaient une fois dans la rue. Ils cherchaient à L’amener à les guérir. Alors, Il a dit... Il est simplement passé, Il est entré dans la maison, on a fait entrer les aveugles dans la maison. Il s’est retourné vers eux, a touché leurs yeux et a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Votre foi ! Il n’avait pas eu de vision. En effet, Il a dit qu’Il ne faisait que ce qu’Il voyait faire au Père. Saint Jean 5.19 dit: «Ce que le Père Me montre, c’est ce que Je fais. Je ne fais que ce qu’Il Me montre.» Il a dit: «Mon Père agit, et Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.»
3 Eh bien, nous Le voyons passer à côté de la piscine de Béthesda, où tous ces estropiés et une foule de gens de toutes espèces étaient couchés. Il n’a point touché quelqu’un parmi eux, Il est directement passé à côté de chacun d’eux. Des aveugles, des estropiés, des boiteux attendaient. Il est allé vers un homme couché sur un grabat, Il lui a dit qu’Il savait qu’il était couché dans cet état depuis trente-huit ans, Il lui a dit de prendre son grabat et de rentrer chez vous.
Après, Il fut interrogé. Pouvez-vous vous L’imaginer dépasser tous ces estropiés, aller vers un seul homme, malade depuis trente-huit ans? Mais l’unique moyen pour Lui de faire cela, c’était parce que le Père ne Lui avait montré que ce seul-là, c’est tout ce qu’Il pouvait faire. Et puis, une fois, une femme toucha le bord de Son vêtement, Il se retourna et lui dit: «Ta foi t’a sauvée.» Ta foi.
4 Or, si notre Seigneur Jésus était ici ce soir dans un corps de chair, portant des vêtements que nous portons, Il ne ferait que ce que le Père Lui montrerait de faire. Dieu était en Lui, cela faisait de Lui Emmanuel. Et tout ce que Dieu disait ou Lui révélait, c’est ce qu’Il connaissait. Mais maintenant, quand on en arrivait aux gens, quand Il se mettait à parler aux gens, à leur parler un peu, Il connaissait leurs pensées, ce qu’ils pensaient et ce qu’était le problème. Premièrement, Il entrait en contact avec eux. Comme la femme au puits, Il a dit: «Apporte-Moi à boire», juste pour saisir son esprit.
Voyez, nous sommes des humains. Et nous sommes aussi surnaturels. Chaque personne ici représente un être surnaturel. Et dans votre corps, il y a un esprit. Et soit cet esprit est de Dieu, soit il n’est pas de Dieu. Et maintenant, c’est le côté avec lequel nous traitons. Et maintenant, les dons et les appels, évidemment, sont sans repentir. Dieu prédestine ces choses. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? C’est Dieu qui fait cela.
5 Eh bien, ce n’est pas quelque chose que vous pouvez faire. Par exemple, si je décidais d’avoir des yeux bruns, cela ne me ferait aucun bien, car Dieu m’en a donnés des bleus. Je dois simplement me contenter des yeux bleus. «Qui par ses soucis peut ajouter une coudée à sa taille?» Voyez? Personne. Mais si vous voulez en avoir un aperçu, avant que les foules n’affluent dans des réunions, alors, frère Reed parlera désormais... Et puis, ça y est. Eh bien, avez-vous déjà...
Il y a beaucoup de gens, pratiquement chaque personne normale, en général, qui ont des songes. Eh bien, or, Dieu peut traiter dans des songes. S’il y a un interprète, Il l’a déjà fait. Ce n’est pas trop précis, à moins qu’il y ait un interprète du songe. Mais nous avons appris que, scientifiquement, les songes, c’est–c’est votre subconscient.
6 Eh bien, observons. Regardez de ce côté-ci un instant. Eh bien, voici un homme dans sa première conscience normale. Ici, il y a son subconscient, à peu près à cette distance-ci de lui. Eh bien alors, quand cette conscience devient inactive, il va de ce côté-ci et il a un songe. Et souvent, il voit en songe des choses qu’il avait faites quand il était dans cette conscience-ci. Et quand cette conscience est inactive, ici, il se réveille, il se souvient de ce qu’il a vu en songe. Combien ont déjà eu des songes il y a des années et se souviennent toujours de ce qu’ils avaient vu en songe? Eh bien, beaucoup parmi vous. Assurément. Alors, il y a une partie de vous, quelque part, qui se souvient toujours ici dans la conscience naturelle. Voyez-vous cela?
Remarquez. Eh bien, il y a des gens qui n’ont pas du tout des songes. Eh bien, voyons, leur subconscient serait probablement, disons, derrière, au niveau de ce mur-là. Ils dorment très profondément. On ne peut pas les déranger, à peine ils peuvent... Une anesthésie ne leur ramènerait pas leur subconscient à eux. Ils n’y peuvent rien. Ils n’y peuvent rien au fait qu’ils n’ont pas des songes. Cet homme non plus n’y peut rien au fait qu’il a des songes.
Et si vous dites que vous avez eu un songe... Eh bien, je dirais: «Faites-moi un songe.» Eh bien, vous ne le pourriez pas même s’il vous le fallait. Moi non plus, je ne peux rien dire à moins que Dieu me le dise. Voyez? Tout cela, c’est pour la gloire de Dieu.
7 Eh bien, un voyant... Or, cet homme ici, il est né pour avoir des songes ce...?... cet homme-là est né... Dieu lui a donné une disposition telle qu’il n’a pas à avoir des songes. Eh bien, un voyant ou un prophète, son subconscient n’est pas non plus là derrière, il n’est pas non plus ici, c’est juste ici, les deux sont ensemble. Il ne dort pas. Il passe simplement de l’un à l’autre, pas à sa volonté, mais à la volonté de Dieu. C’est Dieu qui opère ce passage.
Par exemple, si ce... Quelqu’un peut être ici debout; je ne l’ai jamais vu, je ne l’ai jamais connu. Eh bien, s’il y a quelque chose qui doit être connu au sujet de cette personne-là, cela devrait venir du surnaturel. Cela doit s’opérer.
8 Eh bien, nous avons vu hier soir, en étudiant les Ecritures, que Jésus, quand Il était ici, eh bien, les gens ont vu qu’Il connaissait les secrets de leurs coeurs, Il leur révélait des choses. Et ils ont dit: «Eh bien, C’est un–un diseur de bonne aventure, Béelzébul, le chef des démons.» Mais, qui a déjà entendu qu’un diseur de bonne aventure, ou un homme de Dieu, sort prêcher l’Evangile, guérir les malades et faire des choses comme cela? «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Il était le Fils de Dieu. Et le diable contrefait chaque chose réelle que Dieu a faite. Il a... Dieu a un vrai chrétien, et voici un hypocrite qui agit exactement comme un vrai chrétien, seulement il ne l’est pas. Eh bien, cela ne revient pas à dire qu’il n’existe pas de vrai chrétien. Mais, voyez, le diable a une contrefaçon, sur toute la ligne.
Eh bien, maintenant, au lieu que quelqu’un sain d’esprit s’assoie et réfléchisse sur les Ecritures... Eh bien, l’unique preuve... Si vous voulez faire la différence entre le diseur de bonne aventure, ou celui qui est censé être... Récemment, beaucoup parmi vous ont lu l’article qui était écrit dans le Reader’s Digest tout récemment sur mes réunions, un numéro de novembre, sur le miracle de Donny Morton. Et je continuais à dire, et juste avant cet article sur cette madame Pepper.
9 Or, l’unique moyen de faire la distinction entre le vrai... Si je vous donnais un dollar et que je disais: «Est-ce un bon dollar?», si vous savez quelque chose sur l’argent, la première chose, vous le prendrez et le tâterez pour vous rendre compte de sa valeur. Un vrai dollar, ce n’est pas du papier. C’est de la soie. Ce n’est pas exactement... C’est en papier, mais ce n’est pas tout à fait du papier. Eh bien, vous devez veiller à sa valeur.
Eh bien, si vous voulez savoir si cela vient de Dieu ou pas, observez sa valeur, voyez ce que cela fait. Vous n’avez jamais vu aucun de ces gens possédés des démons là dehors prêcher donc l’Evangile, guérir les malades, prêcher la Seconde Venue et parler de Dieu. Tout ça porte sur de l’absurdité, de la niaiserie, ou sur quelque chose que vous avez perdu à un moment donné, ou–ou un mort, qui est décédé, ou quelque chose de ce genre: ça n’a pas de valeur.
Et puis, le vrai moyen, si vous voulez découvrir si c’est un vrai dollar ou pas, renvoyez-le à l’hôtel des monnaies. Prélevez son numéro de série, et si son numéro de série correspond au numéro de série de l’hôtel des monnaies, il y a un dollar déposé là pour prendre sa place.
10 Et ça a été toujours ainsi: Ramenez ces choses aux Ecritures. C’est ça l’hôtel des monnaies. Et si les Ecritures en ont parlé, Jésus-Christ a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez de plus grandes», ou davantage. Vous ne pouvez pas être plus grands, ça devrait être de plus grandes en quantité, pas en qualité. En effet, Il a arrêté le cours de la nature, il a interféré avec la nature, Il a ressuscité les morts, des choses qui sont juste... Rien ne peut... rien d’autre de plus grand ne peut être fait. Mais Il a dit: «Vous ferez davantage (ou de plus grandes), car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai? «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge.» Le même hier, aujourd’hui et éternellement.
11 Eh bien, il est donc étrange que Son Esprit soit mal compris par les ecclésiastiques du jour, comme cela l’a été en ce jour-là. Mais Il fait cela, malgré tout. En effet, Son Esprit est ici, et Sa Parole doit être accomplie. Dieu va accomplir Sa Parole. Oh ! Que c’est merveilleux !
Je souhaiterais lire un petit passage des Ecritures ici dans Luc, chapitre 2, verset 25:
Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,
Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:
Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut,
12 Inclinons la tête un instant. Notre Père céleste, nous Te remercions pour Ta Parole, et puisse Ta Parole devenir une réalité vivante ici ce soir. La Parole demeurant dans notre chair... Chaque Parole de Dieu est une Semence. Et chaque Semence semée correctement dans une bonne terre reproduira exactement ce qu’elle est censée reproduire. Le maïs reproduira du maïs, le blé reproduira du blé. Et chaque promesse divine de Dieu reproduira ce qui a été promis. Que la Semence tombe dans une bonne terre fertile, qu’Elle reproduise au centuple, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
13 Oh ! Comme le Seigneur est en train de planter Sa Parole ! C’est ce qui vient en tout premier lieu, la Parole éternelle de Dieu. Et voici ce que j’aimerais dire, pendant que vous êtes ici, cherchant Dieu pour votre salut et pour votre guérison: C’est que tout ce que Dieu peut faire pour vous, Il l’a déjà fait. Tout... Chaque péché est pardonné. Chaque maladie est guérie. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est regarder au Calvaire et accepter ce que Dieu a déjà fait pour vous. Ça y est. C’est déjà terminé. Jésus a dit au Calvaire: «C’est accompli.» Si donc je–j’ai été sauvé... Je peux dire: «J’ai été sauvé il y a vingt ans»? Non, j’ai été sauvé il y a mille neuf cents ans. J’ai simplement accepté cela il y a vingt ans. Dieu, là, quand Christ mourait, Il a payé la peine et pour le péché et pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Et le péché, c’est l’incrédulité. Laissez cela pénétrer profondément une minute.
14 Eh bien, c’est ça; saisissez-le. La maladie, je veux dire le péché, c’est l’incrédulité. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» En effet, vous volez, vous mentez, vous fumez, vous buvez, vous commettez adultère; ce n’est pas cela le péché. Ce sont les attributs du péché. Vous faites cela parce que vous ne croyez pas. Et vous êtes fidèle, honnête, juste, correct, saint et respectable, non pas parce que ce n’est pas le christianisme. Vous faites cela... Ce sont juste les fruits du christianisme, c’est parce que vous croyez; ce sont les attributs de votre foi en Jésus-Christ et votre naissance en tant que Son fils. Amen. Voyez? Un bon arbre ne peut pas produire des fruits pourris. Un arbre pourri peut produire... produire du bon fruit. «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»
Or, si le Saint-Esprit entre dans cette salle ce soir et confirme que Sa Parole est la Vérité, et que vous sortiez en En doutant, vous êtes un pécheur. Si Dieu vous dit ce que votre vie a été et ce qu’elle sera, et si vous savez que ce qui a été est la vérité et qu’on vous dise ce qui sera, si vous partez en En doutant, il vous arrivera des choses pires que ça. «Va, et ne pèche plus.»
15 Or, le péché, ça ne veut pas dire sortir, boire et faire encore des histoires. «Va, et ne doute plus.» Amen. Vous y êtes. Connaissez-vous le problème le plus compliqué que je trouve dans l’Eglise pentecôtiste aujourd’hui? Ils ne savent pas ce qu’ils sont côté position. Vous êtes fils et filles de Dieu. Et souvent, vous attendez qu’il arrive quelque chose de grand, mais vous l’avez déjà eu, le plus grand qui puisse vous être donné. Eh bien, nous sommes les fils de Dieu, non pas que nous le serons, nous le sommes maintenant. Et nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, maintenant même. Oh ! la la ! Quand une telle foi entre dans l’Eglise, le diable quitte l’Eglise. Car, maintenant, vous avez le...
16 Satan n’a pas des droits légaux, pas du tout, sur un chrétien. Chaque fois qu’un homme est sauvé, Dieu établit tout un grand tas de chèques comme cela, et met Son Nom en bas, disant: «Les voici. Remplis-les.» En avez-vous peur? Remplissez-les. «Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et cela vous sera accordé.» Marc 11.24. Voyez? Croyez simplement cela.
Et chaque Parole de Dieu est une Semence qui produira... C’est condi-... Elle reproduira ce qu’Elle est censée reproduire. Je vois beaucoup parmi vous par ici cultiver le coton, des pommes, des pêches, des fruits. Quand ce petit pommier n’est pas plus grand que ça, là même, chaque pomme qui sera jamais dans cet arbre est en lui en ce moment-là même. Des douzaines de boisseaux de pommes sont dans ce petit arbre-là, en ce moment-là même. Eh bien, vous direz: «Frère Branham, non.» Eh bien, d’où cela viendra-t-il, si ça n’y est pas? Ils sont dans l’arbre en ce moment-là même.
17 Eh bien, l’unique chose, c’est que ce petit arbre que vous piquez, que vous plantez, doit grandir, il doit puiser l’humidité dans la terre, il doit puiser plus que la portion qui lui est impartie. Vous devez lui donner beaucoup d’eau. Et quand vous l’arrosez, il ne fait que s’abreuver, s’abreuver, s’abreuver jusqu’à ce qu’il ne puisse guère s’abreuver davantage. Et il se met simplement à pousser. Et il pousse et porte des branches; il pousse et porte des feuilles; il pousse et porte des bourgeons; il pousse et porte des pommes. Les pommes étaient en lui dès le départ. Et il n’a donc qu’à s’abreuver.
Et chaque homme qui est né de nouveau en Jésus-Christ... Tout ce dont vous avez besoin, votre guérison... Satan vous affligera, assurément. Mais tout ce dont vous avez besoin durant tout le pèlerinage de votre vie se trouve en vous en ce moment-là même. Et nous sommes plantés en Jésus-Christ. Voyez-vous ce que je veux dire?
18 Quand vous êtes né de nouveau et que le baptême du Saint-Esprit est entré dans votre coeur, vous avez tout ce dont vous avez besoin pour le pèlerinage. Eh bien, tout ce qu’il vous faut faire, c’est vous mettre à vous abreuver, à vous abreuver, à pousser, à vous abreuver, et à pousser. Je crois qu’Il entend l’analyse que je fais de Jésus-Christ. Il est la Fontaine inépuisable de la Vie. Et chaque homme qui est planté en Lui peut s’abreuver, s’abreuver, et pousser, pousser, et porter chaque bénédiction rédemptrice que Dieu a promise; cela vous appartient, et c’est votre bien personnel. Et le diable n’a aucun lien du tout avec cela. Il n’a pas de droits légaux. Ces droits légaux ont été anéantis au Calvaire.
Oh ! la la ! Je peux Le voir quand Il mourut là au Calvaire et qu’Il descendit. Il descendit les marches de l’escalier, Il passa à côté de ces âmes qui étaient en prison, qui ne s’étaient pas repenties aux jours de Noé, Il frappa à la porte: «Vous auriez dû écouter le Message du prophète.»
19 Il descendit dans le séjour des morts, Il frappa à la porte, Satan ouvrit. Il a dit: «Oh ! Après tout, Tu es arrivé ici, n’est-ce pas?» Il a dit: «Je pensais T’avoir eu quand j’avais tué Abel. J’étais sûr de T’avoir eu quand j’avais mis Daniel dans la fosse aux lions; les enfants hébreux dans la fournaise ardente.» Christ était dans chacun d’eux. «Puis, a-t-il dit, quand j’ai décapité Jean, je pensais T’avoir alors eu. Puis, je pensais T’avoir eu au Calvaire, mais maintenant, Tu es ici.»
Je peux L’entendre dire: «Satan, Je suis le Fils de Dieu né d’une vierge. Mon Sang est encore en train de dégoutter de la croix, là. Je suis descendu pour prendre le contrôle. Tu as effrayé les gens, tu leur as fait peur, tu les as coincés et tout le reste, mais tu ne peux plus faire cela. Remets-Moi les clés de la mort et du séjour des morts.» Il les a arrachées de son flanc, les a accrochées à Son flanc à Lui, Il a gravi les marches de l’autre escalier, Il a frappé à la porte. Là, je peux entendre les bruits d’une réunion à l’intérieur. Et là, il y avait Abraham, Isaac, Jacob, Sara, Rebecca, Esaïe, Jérémie, tous les prophètes.
Je L’entends frapper à la porte et dire: «Qui est là?» Abraham ouvre la porte: Eh bien, voici la Postérité d’Abraham. Voici la Racine et le Rejeton de David. Voici la Pierre qu’Esaïe avait vue être détachée de la montagne sans le secours d’aucune main.
20 Il a dit: «Maintenant, vous croyez, le sang des boucs et de la génisse ne pouvait pas ôter le péché; il le couvrait seulement. Mais Mon Sang a opéré le divorce d’avec le péché et l’a ôté pour toujours. Nous retournons à la Maison maintenant. C’est l’aube à Jérusalem, et nous devons partir.»
Je peux entendre Abraham dire: «Seigneur, pouvons-nous effectuer une petite tournée quand nous passerons par Jérusalem? Eh bien, j’aimerais visiter la vieille ville.» Amen. Ce même bruit se fera entendre par ici, dans ce cimetière l’un de ces jours: «Pouvons-nous effectuer une tournée?»
Je peux L’entendre dire: «Je dois dire certaines choses à Mes disciples pendant environ quarante jours.» Assurément, visitez le pays. Et le matin de Pâques, quand Il est sorti de la tombe, selon Matthieu 27: «Plusieurs corps de saints qui dormaient dans la poussière de la terre ressuscitèrent de la tombe, sortirent et apparurent à plusieurs.»
21 Je peux voir Caïphe dire... Je peux voir Abraham et Sara, comme des jeunes gens, parcourir les rues, visitant la vieille ville, et le sacrificateur dit: «J’ai vu ces gens quelque part.» Et ils ont disparu juste comme Jésus qui traversait ce mur-là, le même genre de corps glorifié. Oui. Mais, frère, en ce dernier jour, après la Pentecôte, avant la Pentecôte, quand Il est monté en haut, quand Il est monté, dit la Bible: « Il est allé avec eux.» Il est monté et ils sont allés avec Lui.
Je peux Le voir dépasser la lune, les étoiles, Lui et les saints de l’Ancien Testament, entrer dans la Présence de Dieu. Quand ils sont arrivés là loin, quelque part à des millions de kilomètres au-delà de là où le télescope peut donc voir, là loin, près de la ville, je peux entendre les saints de l’Ancien Testament, en voyant cette ville, dire: «Elevez-vous, portes éternelles, élevez-vous, que le Roi de Gloire fasse Son entrée.»
Je peux entendre un choeur d’anges répondre là-bas, crier, dire: «Qui est ce Roi de Gloire?»
«L’Eternel des armées, puissant dans la bataille; élevez-vous, portes.»
22 Je peux voir les anges enfoncer le bouton, les grands portails s’ouvrent, et Jésus, ce Conquérant qui a fait captive la captivité et qui a fait des dons aux hommes, passer dans les rues de Jérusalem, avec les saints de l’Ancien Testament jusqu’au Trône de Dieu. Il a dit: «Les voici. Ils ont été fidèles. Les voici. Je suis descendu et Je les ai rachetés.»
Je peux L’entendre dire: «Monte ici et assieds-Toi sur ce Trône jusqu’à ce que Je fasse de chaque ennemi Ton marchepied. Je dois Te renvoyer un jour.» Alléluia !
Je le crois, frère. Il est l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Le voilà, le très Aimable. Les oeuvres qu’Il a faites ici, pendant qu’Il était sur terre, Il a remis tout pouvoir à Son Eglise, et l’Eglise manque de reconnaître cela.
23 J’ai dit: «J’ai découvert deux catégories de gens.» Ecoutez, c’est mon troisième tour du monde depuis que j’étais ici. Et je trouve deux catégories de gens. L’une d’elles, ce sont des fondamentalistes; l’autre, ce sont des pentecôtistes. Et les fondamentalistes connaissent leur place, côté position, mais ils n’ont pas assez de foi avec cela. Et les pentecôtistes ont beaucoup de foi, mais ils ne savent pas qui ils sont.
C’est juste comme un homme qui a beaucoup d’argent en banque et qui n’a pas... ne sait comment remplir un chèque, et l’autre homme peut remplir un chèque, mais il n’a pas d’argent en banque. Si jamais vous pouvez les mettre ensemble, c’est là que vous aurez la chose. Si seulement on se rendait compte de ce qu’on est. Vous êtes fils et filles de Dieu, héritiers du Royaume. Maintenant même, nous sommes des rois. Réclamez vos droits légaux. Ne laissez pas Satan vous inculquer quoi que ce soit. Vous êtes de Dieu. Et il n’a pas de droits pour retenir cela.
24 Tout le monde regarde toujours à ses symptômes. Le pasteur priera pour eux, ils s’en iront et diront: «Eh bien, mon état ne semble pas du tout s’être amélioré.» Eh bien, ce n’est pas ça la guérison. Les symptômes, c’est la pire des choses qui soit... C’est l’un des plus grands épouvantails que le diable a. Les symptômes n’ont rien à faire avec la chose, ce qui compte, c’est que Dieu l’a dit.
Oh ! la la ! Si jamais il y a eu quelqu’un qui ait eu un cas de symptômes, c’était Jonas. Il a dû avoir des symptômes. Rétrograde, les mains liées derrière lui, dans le ventre d’un grand poisson, à environ un mile [1600 m] de profondeur dans l’océan, sur une mer houleuse, les herbes maritimes enroulées autour de son cou. Vous parlez des symptômes ! Il regardait de ce côté, c’était le ventre du grand poisson. Il regardait de tel autre côté, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, il y avait le ventre du grand poisson. Mais il a dit: «Ce sont des vanités mensongères.» Exact. Il a dit: «Je ne regarderai plus ce ventre du grand poisson, mais je verrai encore Ton saint temple, Eternel.» Ça dépend de ce que vous regarderez. Si vous considérez vos symptômes, ils seront là. Si vous considérez la Parole de Dieu, les symptômes auront à disparaître.
Pourquoi Jonas avait-il fait cela? C’est parce qu’il savait que quand Salomon consacrait ce temple-là, il avait dit: «Eternel, si Tes enfants se retrouvent quelque part en difficulté, et qu’ils regardent ce saint lieu et prient, alors, Toi, exauce du haut des Cieux.»
25 Et il croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon. Et si Jonas, dans pareilles circonstances, a pu croire que Dieu avait exaucé la prière de Salomon, à combien plus forte raison le devons-nous, quand nous regardons encore une fois Ton saint temple, là où Jésus est assis à la droite de la Majesté divine au Ciel, avec un... saignant? Son propre corps comme un sacrifice. «Je verrai encore Ton saint temple, Seigneur.» Oui, oui. Dieu l’a gardé en vie trois jours et trois nuits, Il l’a amené là à Ninive, à sa destination.
Remarquez ! Que c’est merveilleux ! Les symptômes, c’est juste comme... Le matin, certaines parmi vous ici les femmes, et si l’agent de la poste, le matin, ou disons un agent de service express de la compagnie des chemins de fer s’avançait chez vous et disait: «Mademoiselle Dupond Durant?»
«Oui.»
«J’ai ici quelque chose qui vous a été envoyé.» Et vous regardez cela.
Et vous dites: «Qu’est-ce?» Et vous examinez cela, c’est un gros paquet. Et à l’intérieur, il y a un gros paquet de serpents à sonnette. «Eh bien, direz-vous, je n’en veux pas.»
«Mais c’est à vous; quelqu’un vous les a envoyés.»
«Eh bien, direz-vous, je n’en veux pas.»
26 «Mais voyons, mademoiselle Dupond Durant, votre nom y est mentionné. Quelqu’un vous les a envoyés; c’est à vous.» Et il fera tout son possible pour vous les faire accepter. Eh bien, dans un sens, c’est à vous; dans un autre sens, ce n’est pas à vous. Ce n’est pas à vous tant que vous n’en accusez pas réception. Mais si vous refusez d’en accuser réception, il sera obligé de les ramener à l’agent de service express; il doit le ramener à l’expéditeur.
N’accusez réception de rien que le diable vous a apporté. Refusez de recevoir cela. N’acceptez pas cela. Non, non. C’est le diable qui a placé cette affliction-là. Le diable a placé cette maladie là-bas; refusez simplement de voir cela. Dites simplement: «Non, non. Je ne signerai pas. Je ne témoignerai pour rien de ce que vous avez dit. Je témoignerai que c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Frère, il reprendra cela.
27 «Oh ! dites-vous, ouais, mais je sais. Mais cela est ici.» Oh ! Assurément, les serpents aussi sont là. Votre nom est collé là-dessus. Il peut vous avoir collé l’étiquette de «mort par un cancer», ou par n’importe quoi d’autre, mais refusez de voir cela. Absolument «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.»
Témoigner veut dire dire la même chose. Si je témoigne au tribunal, l’une ou l’autre chose, je dois dire que j’ai vu. Et témoigner veut dire dire la même chose que Dieu a dite. Et je dois dire ce qu’Il a dit. Il a dit: «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Et je crois cela. Amen. Alors, je vais vous le dire. Ecoutez ceci, enfants. La Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, à n’importe quel endroit, dans n’importe quelles conditions, n’importe quand.
Quand Jésus était ici, Il était Dieu. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même, mais Il ne s’est jamais servi de l’un de Ses dons. Quand Il a rencontré Satan, Il a ramené le Royaume de Dieu si bas que le chrétien le plus faible peut s’en servir. Quand Satan est venu vers Lui et a dit: «Si Tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres...»
Il a dit: «Il est écrit.» La Parole. Il L’a transporté, Il a cherché à blanchir la Parole pour Lui. Et Jésus a dit: «Il est aussi écrit.»
Il L’a transporté au sommet de la montagne, il a dit, il a dû contempler tous ces royaumes: «Je Te les donnerai si Tu m’adores.»
Il a dit: «Il est écrit.» Ça y est.
28 Et il est écrit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir.» Vainquez donc Satan avec la Parole de Dieu. Dites simplement: «Il est écrit. Dieu me l’a promis. Je vais à l’église et le pasteur m’a oint d’huile, il a prié pour moi, et on a prié pour moi. C’est exactement ce que Dieu a dit devoir arriver. Et il est écrit.» Continuez donc à refuser de recevoir cela. Dieu le fera s’accomplir.
Maintenant, à l’époque, un moment avant de lire ou de terminer ici, un petit service... Ensuite, nous allons avoir la prière. Considérez donc l’époque de Siméon, juste avant la Venue du Seigneur... c’était juste un jour comme celui-ci: de froideur, d’indifférence.
Nous parlons de l’Amérique qui a connu un grand réveil. Je ne sais pas où il est. Je n’en ai pas encore vu.
29 Un certain évangéliste bien connu parcourait le pays ici il n’y a pas longtemps, il a eu six semaines de réveil, et il prétendait avoir eu vingt mille convertis en six semaines de réveil. Environ deux autres mois après, il est revenu, et il ne pouvait pas en trouver vingt. Vous savez ce qu’est le problème? On leur demande simplement de se lever et d’accepter Christ comme leur Sauveur personnel, et ils laissent faire. Frère, vous devez naître de nouveau. Il faut qu’il vous arrive quelque chose de surnaturel. La théologie, c’est très bien; et la psychologie aussi; mais cela ne prendra pas la place de la puissance de Dieu.
Jésus a dit: «Dans les derniers jours, ils auront l’apparence de la piété, ils prêcheront le Sang et tout le reste, mais ils renieront ce qui en fait la force; éloigne-toi de ces hommes.» Nous vivons en ce jour-là.
Siméon, âgé d’environ quatre-vingts ans, jouissait d’une bonne réputation, certainement, il était un vieux sage et un homme célèbre. Il jouissait d’une bonne réputation parmi les gens. Et alors, il disait que le Saint-Esprit lui avait promis qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Une bonne raison d’en témoigner, n’est-ce pas? Il va donc çà et là et il se met à dire à tous ses frères qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ. Pouvez-vous vous imaginer, certains parmi eux ont dit: «Regardez ! Pauvre vieux Siméon. Cet homme est presque détraqué, sûrement assez, parce que ce vieil homme a perdu la tête. Eh bien, regardez, nous attendons Christ depuis quatre mille ans, et regardez dans quelle condition nous sommes maintenant. Pensez-vous que Christ pourrait venir maintenant?»
30 Mais il a dit: «Le Saint-Esprit me l’a dit.» Il le croyait donc. Et il n’en avait pas honte. Il est allé dire aux gens qu’il ne verrait pas la mort avant–avant d’avoir vu le Saint... avant d’avoir vu le Saint Enfant. Eh bien, les nouvelles ne se répandaient pas comme aujourd’hui. Il n’y avait pas de radio ni de presse. Alors, peu après, les mages ont vu une étoile apparaître dans le Ciel. Pas un observatoire n’avait vu cela. Les astrologues étaient là dehors à regarder des astres, et cet astre-là est passé juste par-dessus chacun d’eux et aucun d’eux n’a vu cela. Pourquoi? Ils ne s’attendaient pas à le voir. Mais ces hommes avaient entendu la prophétie de Balaam, qu’une étoile sortirait de Jacob, et ils l’attendaient. Alléluia ! Généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez. Si vous êtes venu critiquer la réunion, vous... le diable vous montrera quelque chose à critiquer. Si vous êtes venu pour être guéri, Dieu veillera à ce que vous receviez cela. Généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez. Oui. Vous direz: «Je m’attendais à ceci, je m’attendais à cela.» Ce à quoi vous vous attendez, Dieu veillera à ce que vous le receviez, et c’est généralement cela que vous recevez.
Ces mages s’attendaient à cette étoile-là, ils l’attendaient. Et quand ils l’ont vue apparaître, ils l’ont suivie, et elle est passée par-dessus tous les autres et ils ne l’ont jamais vue. Quelques bergers là, sur la colline, paissaient leurs brebis. Quand Jésus naquit, ils entrèrent dans la ville. Et les anges chantèrent; en effet, on chante à la naissance d’un roi. Les êtres angéliques sur les rampes du Ciel chantèrent que la gloire soit rendue à Dieu, paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
31 Puis, ils entrèrent dans la ville. A l’époque, il n’y avait pas beaucoup d’agitation, uniquement parmi les gens ordinaires qui s’attendaient à voir ce qui arriverait. Alors, voyons encore ce qui est alors arrivé. Prenons huit jours: Il était alors de coutume parmi les Juifs de faire une cérémonie où on devait amener l’enfant pour être circoncis, et la mère devait offrir un sacrifice pour sa purification. Un homme riche, pour un enfant riche, on pouvait offrir un agneau. L’offrande pour un paysan, c’étaient deux tourterelles. Présentons cela sous forme d’une saynète un petit instant.
On est lundi matin. Huit jours, il y avait probablement environ deux millions de Juifs à l’époque, en Palestine, je suppose donc qu’il y avait au moins cent cinquante, deux cents femmes chaque matin qui se tenaient là pour la circoncision de leurs enfants, et–et leur propre purification. Jetons un regard le long de cette longue file de femmes, ce matin, il y en a plusieurs centaines au temple.
J’ai regardé, là loin, il y avait certaines d’entre elles tenant un petit agneau, alors qu’elles s’avançaient à leur tour pour leur enfant. Leurs enfants étaient de rose et bleue et autres, alors qu’elles avançaient le long de la file, de tricotage de soie. Mais je vois se tenir là une petite femme (Cela vous rappelle l’Eglise du Saint-Esprit), juste une petite méprisée. Elle avait on dirait une mauvaise réputation. Une petite vierge se tenait là, de dix-sept ans à peu près, fiancée à un homme. Elle tenait un Enfant dans ses bras. Certains d’entre eux disaient, en la pointant du doigt: «Regardez cet Enfant-là. On ne L’a pas enveloppé de beaux tricotages, mais Il est emmailloté.» C’est ce qu’on retirait de derrière le joug d’un veau, quand on labourait. Il n’y avait rien dans l’étable pour L’envelopper, aussi avaient-ils simplement retiré cela et L’avaient enveloppé dedans.
32 Je m’imagine qu’elle tenait deux tourterelles, une offrande pour paysan. Eh bien, qu’est-ce qui était emmailloté? Le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs. Les autres gardaient leur distance. Ils ne voulaient pas s’approcher de là. Ils étaient trop bons. C’est pratiquement le sentiment qu’éprouvent les gens aujourd’hui.
Là loin dans une pièce réservée à la prière, était assis un vieux sacrificateur, du nom de Siméon. Le Saint-Esprit lui avait promis qu’il Le verrait. Je le vois en train de lire les rouleaux, Esaïe 9 et 6: «Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné.»
A ce moment-là, le Saint-Esprit a dit: «Lève-toi, Siméon.» Le Saint-Esprit a donné la promesse, le Saint-Esprit conduira. Siméon s’est levé et a dit: «Oui, Seigneur.»
33 Il a dit: «Mets-toi à marcher.» Le voici partir. Il ne sait pas où il va. C’est le Saint-Esprit qui le conduit. Croyez-vous dans la conduite du Saint-Esprit? Il a traversé le temple, il s’est faufilé parmi ces gens, il a atteint cette file de femmes, il a parcouru la file, sous la conduite du Saint-Esprit, il s’est arrêté devant cette petite femme méprisée, il a levé les yeux vers son visage, il a pris cet Enfant dans ses bras, emmailloté; les larmes lui coulant sur la barbe, il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Le Saint-Esprit l’avait conduit.
Remarquez. Là loin dans un coin, était assise Anne, une vieille prophétesse aveugle qui ne quittait ni le jour ni la nuit. Elle n’était pas à mesure de lire, mais elle restait au temple et priait. Elle attendait la consolation d’Israël. Nous avons appris qu’elle était aveugle.
34 Le Saint-Esprit a dit: «Anne, lève-toi.» Voici cette prophétesse aveugle se lever. La voici venir en se frayant son chemin dans la foule: aveugle, conduite par l’Esprit, avançant. Directement, elle va tout droit là où était Siméon, elle a levé les mains, elle a béni Dieu, conduite par le Saint-Esprit. Il n’y a pas deux Saint-Esprit. Il n’en y a qu’un Seul. Et la raison même pour laquelle vous êtes ici ce soir, vous qui êtes malades, c’est que le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon, le même Saint-Esprit qui avait conduit Anne, vous a conduits ici, car vous croyez qu’il y a une Fontaine ouverte quelque part pour la guérison. Elle est ici, Dieu se mouvant parmi Son peuple qui croit.
Je me rappelle quand Florence Nightingale, quand nous avons atterri à Londres, en Angleterre. J’étais à Houston quand j’avais reçu sa photo. Vous voyez cela dans le livre, là. Florence Nightingale, c’est son–son arrière-grand-mère qui est la fondatrice de la Croix Rouge. Elle m’avait envoyé plusieurs lettres et trois ou quatre billets d’avion pour que j’aille à Durban en Afrique du Sud. Elle n’était qu’un squelette. Elle souffrait d’un cancer sur le duodénal de l’estomac. Tous les meilleurs chirurgiens à travers les pays ne pouvaient pas la toucher. Cela s’était directement répandu, ça avait recouvert son estomac. Elle pleurait et implorait. Et j’ai confié cela au Seigneur et j’ai dit: «Seigneur, si seulement Tu la guéris, j’irai là-bas un jour.»
35 Et je suis allé en Angleterre; j’allais là. Le roi m’avait envoyé un télégramme pour y aller à cause de sa sclérose en plaques, après que monsieur Leymond de Fort Wayne avait été guéri. Je lui ai dit: «Je ne peux que prier et faire ce que le Saigneur me dira de faire.»
Monsieur Leymond était assis dans la réunion, il était resté cloué au lit de malade pendant dix ans. J’ai regardé dans l’assistance et je l’ai vu en vision, en train de marcher. J’ai dit–j’ai dit: «Monsieur, le Seigneur Jésus vous a guéri. Levez-vous !» Et un homme malade cloué au lit pendant dix ans a parcouru la salle. Il était un ami du secrétaire particulier du roi Georges. J’ai reçu son sceau, sa lettre et tout. Le deuxième jour, il a joué dix-huit trous au golf, après s’être retrouvé dans l’impossibilité de se lever le jour suivant cinq minutes à un moment. Grâce étonnante, oh ! quel doux son !
Regardez. J’ai entendu un appel là, à l’aéroport international. Et je suis entré là, et monsieur Baxter, l’un des organisateurs, y est entré, pendant que le reste d’entre nous continuaient. Et on disait: «L’avion de Florence Nightingale avait précédé de quelques minutes.» On disait: «Elle est là, mourante à bord de l’avion.» Eh bien, il y avait des milliers de gens assemblés là. Je ne pouvais même pas m’approcher de l’appareil. J’ai dit à ce ministre anglican, j’ai dit: «Amenez-la dans votre presbytère. Moi, je vais à Westminster Abbey. Et après cela, j’irai au Palais de Buckingham. Je chercherai à vous voir.» Et je n’ai pas eu l’occasion de la voir avant le lendemain matin.
36 Alors, ils sont venus me prendre, je suis entré dans sa chambre. Et, amis chrétiens, si jamais vous avez vu cette scène-là, une femme de pratiquement cinq pieds et dix pouces [1,55 m] de haut, étalée là. Quand je suis entré, elle ne pouvait pas bouger, elle était étendue comme cela. Son médecin était là avec deux infirmières, plusieurs ministres, les ministres anglicans. Elle disait quelque chose, de ses lèvres. Je ne pouvais pas l’entendre.
Elle voulait me serrer la main. Alors, l’infirmière a soulevé sa main et l’a déposée dans la mienne. Et juste en la touchant, ce n’étaient que des os.
Georgie Carter, à Milltown dans l’Indiana, était la jeune fille la plus mince que j’aie jamais vue; elle pesait trente livres [13,6 kg] quand elle avait été guérie. Elle est ma pianiste là maintenant, suite à une vision.
37 Je l’ai regardée. Quel sentiment, un être mortel comme l’un de nous ici ce soir, nous sommes, tout... Et pendant que je lui tenais la main... Elle essayait donc de dire quelque chose d’autre. L’infirmière s’est abaissée pour répéter ce qu’elle disait. Elle a dit: «J’aimerais que frère Branham voie mon corps.» Alors, on a enlevé le drap. Je suis dans une assistance mixte. Vous écoutez votre médecin, moi, je suis donc votre frère. Mais, comme une femme, au niveau des seins ici, c’était complètement rentré dans ses côtes. Et ici, son estomac était presque aussi plat. Le cancer l’avait tellement rongée que l’anneau de sa hanche, l’os, la peau ressortait par l’anneau de la hanche. Ses jambes étaient à peu près grosses comme ceci, elles ne pouvaient pas bouger. Les veines s’étaient aplaties. Elle a dit à l’infirmière de me dire, de lui demander de laisser... «Demande à Dieu de me laisser mourir.» Elle ne pouvait pas mourir.
38 Alors, j’ai regardé. Je reconnaissais que cette tête avait été carrée, elle était toute décharné, il ne restait que–que le crâne, des larmes lui sortaient des yeux. Je me suis demandé où il y avait assez d’humidité pour faire jaillir ces larmes. Je ne pouvais pas le lui demander.
L’infirmière a dit: «Révérend Branham, a-t-elle dit, c’est une personne respectable.» Elle a dit: «Elle a lu vos livres, et elle a dit, pendant qu’elle était en Afrique, que si elle pouvait même arriver là où vous êtes, Dieu la guérirait.»
Je me suis dit: «Oh ! Mon Dieu !» Et j’étais–étais là... parcourant juste l’Angleterre. J’ai dit: «Evidemment, je ne peux que prier pour elle, mais je ne peux pas demander à Dieu de la laisser mourir.» J’ai donc dit: «Voulez-vous, frères, le médecin et vous tous, voulez-vous vous agenouiller pour la prière?» Frère Baxter, frère Gordon Lindsay, et beaucoup d’autres que vous connaissez, se sont agenouillés dans la chambre. Et si quelqu’un parmi vous a été en Angleterre, en avril, vous savez, c’est horriblement brumeux là. C’était à l’étage, dans un bâtiment, le presbytère était en bas de ce... Eh bien, l’église était de ce côté-ci, l’une de ces grandes églises anglicanes. Alors, je me suis agenouillé près d’une fenêtre qui était à peu près à cette hauteur de moi. J’ai dit: «Notre Père qui es aux cieux...» A ce moment-là, quelque chose a traversé le buisson. C’était une petite tourterelle. Elle s’est perchée sur le rebord de cette fenêtre, regardant droit vers le bas comme cela, et s’est mise à faire des va-et-vient à la fenêtre en roucoulant: «Coucou, coucou, coucou, coucou.» J’ai continué à prier. Les autres ministres se sont arrêtés. Quand j’ai dit: «Amen», et que je me suis relevé, quelques minutes après, la petite colombe s’est envolée et est partie. Un ministre a dit: «Avez-vous remarqué cette colombe-là?»
39 J’allais dire: «J’ai vu la... ou remarqué la colombe.» Et quand j’allais dire cela, ma voix a changé et a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette femme vivra et ne mourra pas.» Et aujourd’hui, elle pèse cent cinquante-cinq livres [70,3 kg], elle est en parfaite santé. Pourquoi? Tout est possible à ceux qui croient. Elle avait tellement faim et soif, et elle avait foi que Dieu ne l’ait pas rejetée. Il ne vous rejettera pas non plus. Sa photo est dans le livre, son adresse, son témoignage et tout. C’est un cas parmi des milliers.
Soeur Reed, je me demande si vous pouvez jouer Reste avec moi, pendant un moment. Il est ici ce soir, ne le croyez-vous pas? Inclinons la tête un instant.
Ô Donateur de la Vie, le Grand Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour le pécheur, le Grand Jéhovah-Rapha, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour le malade, Jéhovah-Manassé, notre Joie, notre Boucle, notre Bouclier, approche-Toi dans la Personne de Jésus-Christ. Le Saint-Esprit baigne cette assistance. Nous nous approchons de quelque chose, la fin de l’âge. Nous sommes responsables de prêcher l’Evangile. C’est tout ce que nous pouvons faire. Ô Dieu, là... ce petit groupe de gens assemblés ici ce soir dans ce tabernacle pour écouter la Parole... «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole.»
40 Bénis Ton peuple ce soir, ils sont très gentils. Que tout péché quitte, c’est-à-dire l’incrédulité. Qu’il n’y ait rien que la foi pure, sainte, sans mélange, dans toute cette assistance. Que le Saint-Esprit proclame la guérison à chaque malade, la paix à chaque âme inquiète et agitée, au-dedans et au-dehors. Que Dieu tire gloire de la réunion, car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
Frère Reed vous a expliqué comment nous distribuons les cartes de prière; c’est notre.... C’est uniquement pour garder la ligne en ordre. Il y a dix de guéris dans l’assistance pendant qu’il y en a un de guéri à l’estrade. Je–je ne peux pas guérir. Dieu le sait, et vous aussi, vous le savez. Il n’y a rien dans l’homme qui puisse vous guérir. Un médecin ne prétend pas être un guérisseur. Il affirme seulement assister la nature. C’est Dieu, le Guérisseur. J’ai été interviewé à deux reprises par les frères Mayo. Ils ont dit: «Nous ne sommes pas des guérisseurs, Frère Branham.» Ils ont dit: «Nous ne faisons qu’assister la nature.»
41 Eh bien, Dieu les a placés ici. Ils font leur travail. C’est ce qu’ils sont censés faire. Mais ils peuvent remettre un os en place, arracher une dent, et que sais-je encore. Mais cela ne vous guérit pas. Cela ne fait que remettre l’os en place. C’est Dieu qui doit le faire pousser. Arrachez une dent, mais qui va guérir la cavité? Enlevez l’appendice, mais qui va guérir le tissu qui a été déchiré? C’est Dieu qui doit le faire. Le médicament ne forme pas le tissu; il ne fait qu’assainir le lieu pendant que Dieu opère la guérison.
Or, en tant que prédicateur, je suis seulement Son représentant afin de prier pour vous. Et par un don divin, et par l’onction du Saint-Esprit, vous avez vu Sa photo dans le livre ce soir... J’aurais voulu apporter beaucoup de ces photos. J’en ai. Je dois simplement acheter des livres, et je dois acheter des photos moi-même. Elles ne m’appartiennent pas. Je les distribue aux gens. Et si vous pouvez voir cette même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël, Il est ici maintenant. Il est l’Ange de l’alliance, qui était Jésus-Christ. Et Il est ici maintenant.
42 Eh bien, maintenant, Il connaît toutes choses. Je ne sais rien. Mais Il vous connaît; pas moi. Les seules personnes que je peux identifier dans cette salle ce soir, à ma connaissance, c’est frère et soeur Sheply assis ici; ce sont les seules dont je peux me souvenir. Je connais frère Glover et l’autre, assis là derrière; je me souviens d’eux. Eh bien, jusque-là, je peux vous avoir vus tous auparavant, mais je pense qu’il n’y a personne que je–je puisse reconnaître maintenant même pour l’instant. Mais Dieu connaît chacun de vous, et chaque bouchée de nourriture que vous avez jamais prise, c’est Lui qui vous a nourri. Chaque verre d’eau que vous avez jamais pris, chaque souffle que vous avez jamais respiré, cela est venu de Dieu.
43 Eh bien, il peut se tenir ici, et peut-être s’il y a dans votre vie un péché, ou quelque chose comme cela, qui a fait que vous soyez malade, Il peut révéler cela. Il vous faudra mettre cela en ordre. Mais la guérison, c’est absolument par votre foi individuelle en Christ. Eh bien, moi, juste en tant que prédicateur, je peux prêcher l’Evangile, vous croirez et vous serez sauvé, croyez de même pour la guérison divine, et soyez guéri.
L’unique moyen légitime pour nous de distribuer nos cartes de prière, c’est de les distribuer chaque jour, un nouveau tas chaque jour. Cela donne à tout le monde, peut-être qu’ils... Certains étaient ici; et si nous avons distribué toutes les cartes de prière hier et qu’on les avait appelées jusqu’à la fin? Eh bien, alors, les gens qui sont arrivés ce soir n’auraient pas pu avoir une carte de prière. Mais chaque jour, nous distribuons un nouveau tas, et nous appelons à partir d’un certain numéro, et parmi les cartes de prière, juste pour amener quelques-uns ici, pour que le Saint-Esprit commence à oindre, ensuite Il va dans l’assistance. Et alors, tous dans cette assistance, je défie votre foi, au Nom de Jésus-Christ.
44 Si vous croyez que je vous ai dit la vérité sur la Parole sans mélange de Dieu, regardez de ce côté-ci ce soir et dites: «Frère Branham, je crois que votre histoire est la vérité. Et j’ai confiance en Dieu que vous me dites la vérité.» En effet, cela l’est, mes amis, devant des milliers de gens, à travers le monde, cela doit être la vérité. Cela a été éprouvé dans chaque fournaise ardente que le diable a. Si je pouvais me tenir ici et vous raconter certaines choses, voir comment Dieu, à chaque coup, lui faisait remporter la victoire, car c’est Son Message. Et je vous prêche, ou je vous dis ce soir cette même chose que j’ai dite il y a sept ans quand j’étais ici, et ceci est Son troisième tour du monde: Quand je vous verrai aux portes de la Gloire, j’aurai ce même témoignage. Je ne change pas du tout, c’est le même. Seulement, il devient de plus en plus puissant tout le temps, et il le sera jusqu’à ce que le Seigneur vienne.
45 Eh bien, hier soir, nous avons appelé une partie de cartes. Appelons à partir de... environ les quinze dernières, de 85 à 100, disons, ce soir; je crois qu’on était arrivé là. Qui a la carte de prière 85? Levez la main. La carte de prière 85. Eh bien, peut-être... Avez-vous... De 50 à 100? La carte de prière 85, 86, 87, 88, 89, 90 jusqu’à 100. Nous ne pouvons prendre qu’environ 10 ou 15. Etait... Pouvez-vous prendre 15? Pouvez-vous avoir 15? Très bien. Faisons... Que de 85 à 100 viennent. Je pense que, hier soir, nous avons pris seulement 10. Essayons 15 ce soir, ainsi ils ne resteront pas trop debout, dans une ligne. Voyez? On a quelqu’un là... Eh bien, retournez-vous... Regardez votre voisin et voyez si sa –sa carte de prière porte ce numéro-là. Il peut être sourd et ne pas entendre. Voyez-vous? Et il–il ne saura pas que son numéro a été appelé. Regardez donc votre carte et voyez.
46 Maintenant, combien ici n’ont pas de carte de prière, ou aimeraient qu’on prie pour eux? Faites voir les mains, ici même. Levez la main. Levez simplement la main et dites: «Je n’ai pas de carte de prière. Et je–je n’ai pas été appelé, dans ce nombre, mais cependant, j’aimerais qu’on prie pour moi.» Levez la main. Dites simplement: «Je–j’aimerais que vous priiez pour moi.»
Maintenant, je vous défie là-dessus. Maintenant, que ceux que j’ai appelés se lèvent d’abord. Peut-être que je peux vous prendre dans quelques minutes, certains parmi vous qui avez des cartes de prière. Et je vois que ce père assis ici avec cet enfant a une carte de prière. Et maintenant, veuillez vous avancer dans cette direction et alignez-vous ici de ce côté-ci.
47 Maintenant, je vais demander à tout le monde d’être très respectueux, s’il vous plaît, pendant que nous prions pour les malades, vraiment très respectueux. Et maintenant, vous là dans l’assistance, pendant que ceux-ci s’alignent, regardez de ce côté-ci. Eh bien, si vous êtes respectueux et que vous croyez que je vous ai dit la vérité, et si le Dieu Tout-Puissant est ici pour confirmer Sa Parole, le Saint-Esprit va se mouvoir là dans l’assistance, et vous serez guéris là même où vous êtes assis. Croyez-vous cela? Combien croient cela? Levez la main. Combien ont été dans des réunions auparavant et ont vu ce qui était arrivé dans des réunions? Faites voir les mains. Eh bien, vous n’êtes–vous n’êtes donc pas étrangers, comme vous voyez ce que le Saint-Esprit fait. Maintenant, prions donc pendant que nous avons nos têtes inclinées.
48 Seigneur Jésus, nous nous approchons de ce moment où la ligne de prière doit s’avancer. Je me tiens ici, Seigneur, tout aussi impuissant que tout homme peut l’être. Sans Toi, nous ne pouvons rien faire. Mais avec Toi, nous pouvons tout faire. Je Te prie, ce soir, Père, d’aider Ton serviteur. Ô Dieu, sois près de moi, j’ai besoin de Toi maintenant. Je représente Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ.
Maintenant, je Te prie de T’approcher, Saint-Esprit. Que l’Ange de Dieu s’approche maintenant, que l’assistance soit tellement soumise qu’Il pourra se mouvoir dans l’assistance, et qu’il ne reste aucune personne faible parmi nous ce soir, à la fin du service. Ô Dieu, exauce la prière de Ton serviteur, alors que nous prions et nous le demandons de tout notre coeur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
49 Voici ce que je vais demander: que partout vous soyez vraiment respectueux pendant cette partie-ci du service. Maintenant, après qu’on aura tenu quelques soirées de service, ça semble nouveau pour moi ce–ce, parce que je–je n’ai pas... Notre équipe n’est pas ici. Nous avons toute une équipe d’hommes, frère Bosworth, frère Baxter, frère Sharrit, tout un groupe parmi nous, et nous travaillons ensemble. Et nous... Je vous ai tellement apprécié qu’il m’a juste failli faire un saut pour dire: «Salut.»
Frère Reed disait: «Si vous ne prêchez pas, descendez simplement passer quelques moment avec nous.» C’était... Cela m’a réjoui de savoir que j’ai toujours mes chers et gentils amis. Tom Merrideth, beaucoup parmi vous peuvent l’avoir suivi, il était ici dans la réunion. Il est passé par le tabernacle l’autre jour et a dit: «Frère Branham, vous avez toujours des milliers d’amis dans l’Arkansas.» Il a dit: «Beaucoup d’entre eux sont toujours guéris.»
J’ai été ici, dans cette petite ville appelée Pine... ou une petite ville là sur la route, ici à environ vingt miles [32 km], c’est là que cet homme... cette fillette a été guérie, cette fois-là, celle qui se mourait dans cet hôpital-là, vous savez, d’une espèce de... [Un homme dit: « Walnut Ridge.»–N.D.E.] Walnut Ridge, c’était ça. Walnut Ridge, c’est quelque part dans cette direction-là. Il tenait des réunions.
50 Et à propos, est-ce que cet homme est ici? Est-ce que la petite fille est ici? J’aimerais la revoir. Je ne sais pas comment il s’appelait [«Morgan.»] Morgan, monsieur Morgan. J’aimerais revoir la fillette pendant que nous sommes dans la contrée. Elle vient de quelque part ici, je pense, Walnut Ridge, n’est-ce pas vrai? Walnut Ridge, oui. [«Je le lui dirai demain.»] Merci, frère. Je m’imagine qu’elle est devenue une jeune dame maintenant.
Je me rappelle, je descendais... Ils ont appelé, disant qu’elle se mourait, j’étais dans la voiture de frère Johnson. J’ai vu une vision passer devant moi, et l’eau commençait à couler comme cela. J’ai vu la fillette descendre le long des eaux. Alors, Il a dit: «Maintenant, va lui dire: ‘Il y a des eaux claires qui coulent devant.’»
Le troisième jour, la fillette était à l’école. Alors qu’ils se tenaient là, lui pompant de l’oxygène, disant: «Il n’y a plus d’espoir.» Mais quand il n’y a plus d’espoir, Lui est alors notre Espoir. Maintenant, que tout le monde veuille être très respectueux et dans la prière... J’aimerais que vous vous réjouissiez, certainement, que vous vous réjouissiez.
51 Mais maintenant, juste... Vous avez juste soutenu avec votre foi ici. Voyez? Je n’aimerais pas que vous ayez des soupçons dans votre esprit; laissez simplement tout cela de côté maintenant et dites: «Maintenant, Seigneur, je vais m’asseoir et croire. J’aimerais que Tu me parles, ici, que Tu parles à mon coeur. Et aide-moi, car j’ai besoin d’assistance.»
Et maintenant, comme je prie pour les malades, que le Seigneur Jésus bénisse tout un chacun maintenant pendant que vous–pendant que vous restez assis là respectueusement, et essayez d’être tout aussi respectueux et calmes que possible. Après qu’on aura prié pour les patients, s’ils veulent se réjouir et remercier Dieu, c’est merveilleux. Allez simplement de l’avant. C’est bien. Cela vous détend. Et–et, mais... Maintenant, quand vous voyez le diagnostic... Vous voyez, il y a de l’opposition. Par exemple, il y a des gens ici derrière moi; ce sont des esprits. Il y a des gens ici, ce sont des esprits. Il y a des gens ici, ce sont des esprits. Il y a des gens ici, des esprits partout. Vous devez donc isoler.
Eh bien, je peux... Maintenant même, comme je sais que l’Ange du Seigneur s’approche, je peux sentir la traction de la foi commencer à s’exercer dans l’assistance. Voyez? Maintenant, vous pouvez donc vous imaginer que cela est tout autour de vous. Vous dites: «Frère Branham, c’est quoi ça?»
Eh bien, une fois Jésus a pris un homme, Il l’a fait sortir de la ville. Quand Il a ressuscité la fille de Jaïrus, Il a fait sortir tout le monde de la maison. Pierre, quand il a ressuscité Dorcas, il a fait sortir tout le monde de la maison. Il y a quelque chose dans le fait d’être seul avec un individu. C’est donc difficile.
52 Or, une vision comme ici, eh bien, l’homme... Tenez, l’homme qui s’avance maintenant, cet homme qui vient ici... Je–je n’ai jamais vu cet homme. Jamais je–jamais je ne l’ai vu; je ne le connais pas, je ne sais rien à son sujet. Il m’est inconnu. Au mieux de ma connaissance, je l’ai peut-être vu, mais ne... je ne reconnaîtrai pas cela. M’avez-vous vu dans une autre réunion quand j’étais ici? [Un homme dit: «A Corning.»–N.D.E.] Quel est... A Corning. Comment vous appelez-vous, monsieur? [«Grubbs.»] Grubbs. Monsieur Grubbs. Je suis content de faire votre connaissance, monsieur. Que le Seigneur vous bénisse.
Eh bien, il est–il est juste mon frère. Evidemment, je ne pourrais pas me rappeler les milliers de gens. Il a dit qu’il était dans la réunion de Corning, quand j’étais à Corning, dans l’Arkansas. Mais maintenant, l’unique moyen pour moi de jamais savoir quoi que ce soit sur cet homme, c’est que le Saint-Esprit doit venir révéler cela. Et alors, si le Saint-Esprit lui révèle ce qu’il y a, dans sa vie, ce qu’il a fait, il reconnaîtra que c’est la vérité. Cela ne faillira jamais. Et puis, s’Il lui dit ce qui arrivera, si le Saint-Esprit sait ce qu’il y a, et que lui reconnaît que c’est la vérité, il devra croire ce qui arrivera. Voyez? Vous n’avez aucun droit d’en douter. Je ne sais pas s’Il va le faire ou pas. C’est un peu difficile après avoir prêché, car cette onction vient sur vous juste là. En effet, en prêchant, vous prêchez sous une bénédiction. Et l’onction, c’est quelque chose qui vous calme. Il y a quelque chose qui sort de vous. Vous voyez? C’est une onction tout à fait différente. Voyez? Et maintenant, que tout le monde veuille bien être respectueux, j’aimerais parler à cet homme bien assez pour saisir son esprit. Après une et deux personnes, alors cela commencera, ainsi donc, soyez simplement respectueux. Soyez en prière partout où vous êtes assis. Gardez simplement votre siège et soyez très respectueux. Soyez respectueux. Soyez en prière.
53 J’aimerais juste lui parler comme le Maître avait parlé à la femme au puits. Eh bien, frère, avez-vous habité ici dans l’Arkansas, pratiquement toute votre vie, je suppose? Eh bien, c’est bien donc. Ça fait cinquante ans. C’est un grand Etat. Partout où je suis allé dans le monde, pratiquement, j’ai trouvé quelqu’un, on dirait, qui venait de l’Arkansas. Mais jamais...
Voici une chose que je dis: Les habitants... de l’Arkansas, je ne dis pas ceci parce que je me tiens devant ce microphone. L’Ange du Seigneur est ici à cette estrade. Mais je n’ai jamais trouvé...?... le monde, des gens plus gentils, plus fidèles et plus aimables que ceux qui viennent de l’Etat de l’Arkansas. En effet, une chose, ils ne sont pas les gens les plus riches du monde. Ils conservent encore les anciens traits des Américains: croire en Dieu et mener une bonne vie.
Quelqu’un m’a dit aujourd’hui qu’il y a... que ceci est un comté où on ne boit pas l’alcool. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] J’aimerais élever mes enfants en un tel endroit. C’est exact. Que Dieu les bénisse.
54 Maintenant, vous êtes sujet... Vous savez qu’il se passe quelque chose. Mais maintenant, Cela ne vous fera pas de mal. Voyez? Eh bien, c’est juste le Saint-Esprit qui s’approche d’ici. C’est un... Vous avez vu Sa photo il y a quelques instants, cette Colonne de Feu. Avez-vous déjà vu Cela? Il y a ici une dame qui a un livre. Apportez-moi ce livre jaune, s’il vous plaît, soeur là. J’aurais voulu apporter certaines de ces photos. Combien ici ont déjà... n’ont jamais vu Cela? Faites voir les mains, ceux qui n’ont jamais vu une photo de l’Ange. La voici. Ceci a été pris par l’Association américaine des photographes. Elle est accrochée au musée des arts religieux à New York City, l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié dans toute l’histoire du monde. Vous pouvez voir la Colonne de Feu.
Voici George J. Lacy, le responsable du département de FBI. C’est lui qui a signé que c’était un Etre surnaturel, là-bas, quand Cela a été photographié devant trente mille personnes. Et vous voyez cela, il est mentionné: «Cela ressemblait à un... jaune.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... en plein ici.
55 Que le Seigneur vous bénisse. Très bien. Soyez donc vraiment respectueuse maintenant, soeur. Et levez-vous juste... Je–je pourrais... Si je pouvais vous aider, je le ferais. Mais je–je ne peux pas le faire.
Vous vous posiez donc des questions au sujet de votre femme, n’est-ce pas, monsieur? Je n’étais pas en train de lire vos pensées, mais vous vous posiez des questions. Votre femme–votre femme souffre aussi de l’arthrite et du coeur. N’est-ce pas vrai?
Levez-vous, soeur, et acceptez donc votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Je vous ai vu chercher à l’aider à traverser la pièce, quand elle se lève le matin. N’est-ce pas vrai? Vous l’aidez le matin quand elle parcourt la pièce. N’est-ce pas ça? N’était-ce pas vrai? C’est la vérité. J’ai vu une vision apparaître là même, et je l’ai vu l’aider à traverser la pièce. Très bien. Rentrez chez vous maintenant, et soyez guéris vous deux. Que le Seigneur vous bénisse et vous rétablisse.
Soeur, croyez-vous de tout votre coeur? Eh bien, je–je suis votre frère. Et évidemment, je... Maman, s’il y avait quelque chose–s’il y avait quelque chose que je pouvais faire pour vous aider, je le ferais certainement. Mais je–je ne le peux pas. Non, je suis juste–je suis juste un serviteur de Dieu. Voyez? Tout ce que je sais faire, c’est prier pour vous. C’est–c’est tout ce que je sais.
56 Vous... vous avez–vous avez–vous avez de toute façon subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? A l’oeil. [Une dame dit: «Non.»–N.D.E.] Y a-t-il quelque chose à votre oeil là? [«Non, mon oeil est devenu aveugle il y a deux semaines.»] Oh ! Oui, oui, oui. C’est ça. C’était là. [«J’ai eu un cancer. Mais j’ai aussi connu un–un accident.»] Oui, oui. Il y a longtemps, cela a abimé cet oeil. Est-ce que cela vous dérange un peu? [«Ceci est juste arrivé le dernier... il y a deux semaines.»] Je veux dire, c’est cet accident-là, dont–dont je parle. Voyez? Cela est arrivé et a fait que votre oeil soit en mauvais état. Et croyez-vous que cette grosseur va quitter aussi votre épaule? [«Oui, je crois. Je–j’ai été guérie autrefois. Il y avait trois grosseurs là. J’avais un cancer d’estomac. Et...?... Vous avez dit: «Que tout celui qui a un cancer lève la main et loue le Seigneur.» J’ai levé la main, je ne pouvais pas garder cela...»] Assurément. Ecoutez ce témoignage. Pouvez-vous entendre cela? [«Et il a prié, il a terminé de prier. Quelque chose est descendu et s’est emparé de ma main, et la douleur a disparu. Et je n’ai plus jamais eu cela.»] Eh bien, le Seigneur... [«Et il y avait là trois nodosités. Et elles avaient formé une seule. Eh bien, cela ne m’a plus fait mal depuis. Evidemment, cela n’avait point disparu.»] Oui, madame. [«Mais j’ai connu un accident, mon–mon neveu...?... m’a conduite à l’hôpital. Mon mari était...?... à l’hôpital universitaire...?... Et il s’est endormi, et j’ai hurlé, cela allait cogner... nous brûlions un feu rouge...»] Oui, madame. [«Nous avons vu un véhicule. Et je me suis cognée au pare-brise et mon cou a simplement produit un bruit sec, comme cela, il a freiné très vite.»] Oui, madame. [«Et tout mon dos...?... déclassé. Eh bien...?...»]
Très bien. Maintenant, tenez ceci juste dans votre main, soeur, pendant que je prie maintenant. Inclinez la tête maintenant, tout le monde, pendant que j’offre la prière.
57 Notre Père céleste, cette pauvre femme ici debout, nerveuse et bouleversée, n’arrive pas à dormir la nuit, et elle a besoin de la prière. Elle vient ce soir, Seigneur, très nerveuse. Elle a une grosseur sur son flanc ici. Et je Te demande d’être miséricordieux envers elle et de la guérir. Accorde, Eternel Dieu, que Tes bénédictions reposent sur elle maintenant. Qu’elle s’en aille en paix et qu’elle soit rétablie, Père; qu’elle retourne et montre aux gens ici même, avant la fin de ces réunions, cette semaine, que Dieu l’a guérie. Exauce la prière de Ton serviteur, alors que je le demande au Nom de Jésus. Amen.
Que Dieu vous bénisse maintenant, maman. Allez et réjouissez-vous. Oui, madame. Que Dieu vous bénisse. Pauvre petite créature... Voyez? Très bien.
Bonsoir, soeur. On dirait que vous êtes très faible, juste croire... Oh ! J’aime cette mention: mère. Je pense qu’il y a cinq Evangiles: Matthieu, Marc, Luc, Jean, maman. C’est maman qui reçoit l’enfant en premier. Elle a la possibilité de l’élever, de le former. J’ai une vieille mère à la maison ce soir. Pour l’enfant, il n’y a guère rien de comparable à la mère. Prenez un petit enfant, probablement que ces mains-là ont essuyé des larmes quand il pleurait. Quand il avait mal, vous l’avez embrassé. Cela s’était arrêté. Mais, votre problème ce soir, juste un baiser d’un mortel ne pourra pas l’enlever. Il faut que ça vienne de Dieu. Vous avez une tumeur dans les reins. Est-ce vrai? [Une dame dit: «C’est ce que le médecin a dit. Je n’ai pas vu son radiodiagnostic.»–N.D.E.] Venez donc ici.
58 Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers elle. Je Te prie de la guérir. Puisse-t-elle quitter cette estrade, Seigneur, rétablie. Pauvre petite créature, toute courbée, brisée ici, que Tes bénédictions reposent sur elle, je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant, maman. Allez en vous réjouissant...?...
Je ne vous blâme pas, maman...?... Eh bien, vous pouvez trouver cela étrange, mais laissez simplement le Seigneur s’y prendre à Sa façon. Quand vous vous sentez bien, c’est à peine que vous pouvez vous empêcher d’exprimer vos sentiments. Que son coeur soit béni.
Vous avez aussi connu des ennuis, n’est-ce pas, madame, assise là en petite veste rouge, assise là même? Les médecins ne savent même pas ce qui cloche chez vous. L’un dit que quelque chose cloche dans vos poumons, l’autre dit que quelque chose cloche à l’estomac. N’est-ce pas vrai? Ils sont tous en erreur. Je ne lis pas vos pensées, mais vous étiez assise là, pensant à cela tout à l’heure, vous demandant ce qui arriverait...?... Pourquoi ne vous levez-vous pas tout simplement pour dire: «Seigneur Jésus, je T’accepte comme mon Guérisseur», et puis rentrer chez vous, oublier votre maladie et être rétablie?
59 Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette pauvre petite femme. Tes serviteurs les médecins ne peuvent pas découvrir cela. Mais nous savons que c’est Satan qui est là. Satan, tu t’es caché au médecin, mais tu ne peux pas te cacher à Dieu. Sors d’elle, au Nom de Jésus, je t’ordonne de la quitter. Amen.
Maintenant, jeune soeur, allez et témoignez pour la gloire de Dieu. Détachez simplement votre esprit de lui; continuez, et soyez rétablie. Que Dieu vous bénisse, madame.
Vous n’aviez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’aviez pas de carte de prière; vous n’alliez pas être appelée dans la ligne. Eh bien, c’est en ordre. Vous n’avez pas à en avoir. D’accord, monsieur.
60 Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablira? Ceci est... Ses oeuvres sont merveilleuses, n’est-ce pas? N’est-ce pas que votre maladie est au niveau de la poitrine? C’est une tuberculose qui a traîné, n’est-ce pas? Elle est causée par une accumulation de quelque chose, de la poussière, je dirais, la poussière du rocher. Est-ce vrai? Et aussi, le plus grand besoin que vous avez ce soir, c’est Jésus-Christ, n’est-ce pas vrai, comme votre Sauveur personnel? En effet, vous n’êtes pas chrétien. Allez-vous L’accepter maintenant comme votre Sauveur personnel? Levez la main pour dire: «J’accepte Jésus-Christ.»
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cet homme et guéris-le. Que chaque péché soit pardonné; qu’il parte d’ici ce soir, étant Ton serviteur le reste de ses jours. Que Dieu bénisse mon cher frère ce soir. Que Ta grâce prenne soin de lui maintenant, le guérisse, lui pardonne, l’envoie en paix au Nom de Jésus-Christ. Amen.
61 Que Dieu vous bénisse. Vous L’acceptez maintenant comme votre Sauveur. Vous êtes mon frère, maintenant. Allez, le même Saint-Esprit qui connaissait la femme au puits connaît vos ennuis. Allez directement de l’avant maintenant. Servez le Seigneur. Faites-vous baptiser. Invoquez le Nom du Seigneur, et vous serez rétabli et bien portant. Si Dieu sait ce que vous avez été, ce que vous êtes, Il sait ce que vous serez. Croyez-moi sur parole maintenant: Allez servir le Seigneur de tout votre coeur, tout cela quittera. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire à Dieu.» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.]
62 Bonsoir. Une petite dame très gentille, j’ai une fillette à la maison pratiquement de votre taille. J’aimerais que tu regardes de ce côté-ci, vers moi, juste un tout petit peu. Et j’aimerais te parler. Je pense que tu es une fillette gentille. Et j’aime ces petits colliers, ou comment les appelle-t-on? Comment appelle-t-on cela? [Quelqu’un dit: «Barrettes à cheveux.»–N.D.E.] Barrettes à cheveux, dans tes cheveux. Je pense que c’est joli. Et aimes-tu aller à l’école? Tu aimes aussi aller à l’école du dimanche, n’est-ce pas? Regarde ici. J’aimerais te poser une question. Si Jésus, le Fils de Dieu, se tenait ici ce soir et qu’Il te voyait ici debout, Il te parlerait. Il aimait les petits enfants, n’est-ce pas? Il leur avait imposé les mains et Il les avait bénis.
Eh bien, s’Il se tenait ici, Il te révélerait juste où était ton problème et ce qui clochait chez toi. Ensuite, il t’imposerait les mains et te bénirait, et tu t’en irais bien portante, n’est-ce pas? Eh bien, crois-tu qu’Il a envoyé frère Branham faire Son oeuvre? Pour donc amener ton petit coeur à croire cela et à savoir cela, que ta maladie est à ton flanc, n’est-ce pas? C’est dans ton flanc droit. N’est-ce pas vrai? C’est une petite tumeur graisseuse, à l’intérieur de ton–à l’intérieur de ton diaphragme, là à l’intérieur. Ils ne savent pas exactement ce que c’était. Ils ne peuvent pas dire ce que c’était, mais la maladie se trouve à ton flanc droit. N’est-ce pas vrai? Un médecin en manteau gris t’a examinée. Eh bien, crois-tu–tu cela maintenant? Et tu vas rentrer à la maison, rétablie. Crois-tu cela? Maintenant, viens ici.
63 Bien-Aimé Père céleste, je Te prie de bénir cette fillette. Qu’elle rentre à la maison rétablie. Je réprimande ce démon qui essaie de déranger cette enfant. Qu’il sorte d’elle ce soir. Qu’il aille et que l’enfant vive et Te serve. Et que ceci ne la dérange plus, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Amen.
Que Dieu te bénisse, chérie. Maintenant, mets-toi à remercier le Seigneur Jésus et juste... Tu vas te réta-... Amen.
Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»]
Bonsoir, soeur. Votre maladie est grave, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir de...?... [Une dame parle à frère Branham.–N.D.E.] Vous avez beaucoup...?... Demandons au Seigneur.
64 Seigneur Jésus, je Te prie de la bénir...?... profondément, mais Tu peux ôter toutes les maladies. Je Te prie de la guérir ce soir, qu’elle rentre à la maison bien portante au Nom de Jésus-Christ, que cela la quitte. Amen. Maintenant, partez en croyant, soeur. Laissez-moi apprendre de vos nouvelles d’ici peu.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu.»–N.D.E.]...?...
Venez. Est-ce ton papa? Ne pleurez pas, papa. Cette fillette a été guérie, et vous vous posiez des questions sur votre petit garçon, là, n’est-ce pas? Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas? Il a exaucé votre prière. Votre petit garçon souffrait de quelque chose au cou et à la tête, là...?... N’est-ce pas vrai? Imposez la main à l’enfant.
Seigneur Jésus, je réprimande ce démon qui a dérangé cet enfant. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il le quitte. Sors de lui. Que Dieu vous bénisse, papa. N’ayez pas peur. L’enfant se rétablit.
65 Regardez ici, monsieur. N’aimeriez-vous pas aller manger comme autrefois? Très bien. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Allez, prenez donc votre souper, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, et ce trouble d’estomac quittera.
Vous aimeriez faire la même chose, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Très bien. Allez donc prendre votre souper. Que le Seigneur vous bénisse. Allez et servez-Le de tout votre coeur.
Regardez, vous devenez nerveux...?... N’est-ce pas vrai? Toute cette nervosité a amené votre estomac dans cet état-là. Allez donc de l’avant, oubliez cela. Rentrez chez vous et...?... Que le Seigneur soit avec vous.
Très bien. Venez, monsieur. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Son prophète? Votre maladie est dans le dos, n’est-ce pas, monsieur? Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous a guéri. Que Dieu vous bénisse.
Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.]
66 L’aimez-vous de tout votre coeur? Maintenant, le Saint-Esprit est ici. Rien ne peut Lui être caché maintenant. L’Ange du Seigneur est près pour faire infiniment au-delà de toute mesure. Mettez-vous simplement à prier là dans l’assistance maintenant, et croyez en Lui de tout votre coeur. Voyez s’Il n’est pas Dieu. Voyez si les choses que j’ai demandées, ce que je vous ai dit, si ce n’est pas la vérité. N’importe où, à n’importe quel endroit, ayez foi en Dieu. Très bien, monsieur.
Aimeriez-vous vous rétablir? Seigneur Jésus, je Te prie de le bénir, et puisse-t-il partir d’ici ce soir, se réjouissant, normal, rétabli, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Satan, quitte cet homme, au Nom de Christ, je le demande. Amen.
Pouvez-vous m’entendre très bien? Vous êtes guéri. Rentrez chez vous maintenant et soyez bien portant. Que Dieu vous bénisse.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu.»–N.D.E.]
Vous aimeriez guérir de cette maladie du coeur, soeur? Mettez-vous simplement à vous réjouir et dites: «Merci, Seigneur, de m’avoir guérie.»
67 Imposez la main à cet enfant hydrocéphale, frère. Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cet enfant-là. Que la puissance de Dieu agisse sur cet enfant et le rétablisse, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.
L’enfant a grandi comme cela depuis un temps. Je vous observe depuis longtemps. J’observe aussi cette petite mère assise là, avec son enfant. Soeur, je ne peux pas guérir votre enfant, mais votre enfant est sourd. Est-ce vrai? Il est comme ça. Vous aussi, vous souffrez. Vous avez une tumeur dans votre... Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main comme ceci. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Je connais votre maladie. Je vois la maladie de cet homme-là, assis là même, aussi. Je ne peux pas guérir cela. Posez votre main sur l’oreille de l’enfant.
Dieu Tout-Puissant, je réprimande cet esprit de surdité sur l’enfant. Et je demande que cette tumeur sur la femme va... qu’elle soit bien portante, au Nom de Jésus-Christ, accorde-le. Ayez foi en Dieu.
Cette maladie gynécologique vous a quittée pendant que vous étiez assise là, soeur. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant, vous réjouir et être heureuse. Cela vous a quittée tout à l’heure.
Votre asthme, aimeriez-vous en guérir? Allez, en vous réjouissant. Dites: «Merci, Seigneur Jésus», et soyez bien portant.
68 Le Saint-Esprit est ici. Croyez-vous? Vous souffrez du cancer, n’est-ce pas, madame? Acceptez votre guérison de la part de Jésus-Christ, et rentrez chez vous bien portante...?...
Madame, vous souffrez des reins, n’est-ce pas? Parcourez l’estrade et soyez bien portante.
Croyez-vous? Vous assise là-bas avec votre jambe comme cela, c’est un caillot de sang, n’est-ce pas? Au début de cette semaine, vous ne pouviez même pas marcher. Vous commencez maintenant même à vous déplacer doucement. Est-ce vrai? Après le service, prenez votre histoire, et rentrez chez vous bien portante. Le caillot de sang s’est éparpillé, ça va quitter...?... au Nom du Seigneur Jésus.
Croyez-vous? Dieu confirme Sa Parole. Combien ici présent veulent être guéris maintenant même? Imposez-vous les mains les uns aux autres.
Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils Jésus, descends et jette un regard sur cette scène. Satan, sors des gens. Je t’adjure au Nom de Jésus-Christ...?...