Témoignage

Date: 53-0510 | La durée est de: 1 heure et 5 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être encore de retour ici ce soir. Je suis un peu enroué. Ça fait longtemps que je ne prêche plus. Et les trois ou quatre dernières soirées, j’ai prêché bien durement, cela m’a donc un peu irrité la gorge. Généralement, ce sont l’organisateur et les autres qui parlent dans mes services; je ne fais que prier pour les malades. Ainsi, prêcher, c’est du nouveau; vous pouviez le constater par la façon dont je m’y prenais, que c’était du nouveau pour moi. Mais j’aime le Seigneur de tout mon coeur. J’espère ce soir qu’Il viendra dans ce petit groupe de gens et qu’Il aura de grandes bénédictions pour vous tous. Croyez-vous qu’Il le fera? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Oui, Il le fera. Et maintenant, Il connaît chacun de vous. Devant moi, je ne vois exactement personne que je connaisse, sauf le frère et la soeur Glover, et leur fille assise là; ce sont les seuls dont je me rappelle le visage. Mais Dieu connaît chacun de vous. Il vous connaît depuis votre naissance. Toute la nourriture que vous avez jamais mangée, l’air que vous respirez, C’est Dieu qui vous a donné cela. Tout vient de Dieu.

2          J’allais parler d’un certain sujet ce soir, mais demain soir, le Seigneur voulant, j’aimerais reprendre une série de sujets sur la Genèse.

            Ainsi donc, je me suis proposé de donner un témoignage ce soir, puis commencer la ligne de prière. Nous avons donc confiance que Dieu bénira. J’ai été beaucoup en prière cet après-midi. Ainsi, je n’aimerais pas me défaire de cette onction pour les malades maintenant même. J’aimerais lire un passage des Ecritures. Il se trouve au chapitre 4 de Saint Jean, à partir du verset 46.

            Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.

            Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.

            Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.

            Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.

            L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure.

            Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus avait dite, ou lui avait dite, et il s’en alla.

            Comme déjà il descendait, son serviteur, venant à sa rencontre, lui apporta cette nouvelle: Ton enfant vit.

            Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.

            Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.

            Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.

3          Pouvons-nous incliner la tête juste un instant? Père, nous sommes heureux ce soir d’être assemblés dans Ta maison. Pendant que j’étais assis là derrière dans la pièce, j’entendais Ton serviteur parler de merveilleuses choses que Tu as faites. Nos coeurs sont plus que ravis de penser à la grâce que Tu nous as accordée, à nous Tes serviteurs inutiles, sachant que Tu nous as donné le privilège d’accepter la Vie Eternelle, d’être éternellement bénis dans le Pays qui est au-delà de celui dans lequel nous vivons maintenant. Et il est écrit: «Ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, ce que Dieu a en réserve pour ceux qui L’aiment.»

            Nous Te prions ce soir de bénir ces gens. Ton serviteur est un peu enroué, la gorge étant irritée... Nous Te prions maintenant de bénir, c’est peut-être dans le but d’en ajouter davantage dans le service de ce soir. Nous espérons que Tu béniras tout le monde ici, et qu’en partant d’ici ce soir, nous puissions dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs en ce jour-là, qui avaient marché avec Lui et avaient parlé avec Lui, pourtant ne L’avaient pas reconnu jusqu’à ce qu’Il eût accompli quelque chose qui a fait qu’ils reconnaissent cela. Ils ont dit: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsque nous L’écoutions?» Et qu’Il fasse quelque chose ce soir de telle manière que tout le monde reconnaîtra que Jésus-Christ, le Ressuscité, est ici en ce printemps, en ce temps de Noël, avec nous, vivant aujourd’hui: Il est ressuscité d’entre les morts, Il vit à jamais, Il vit et demeure parmi les hommes jusqu’à ce qu’Il se manifeste au jour de l’Enlèvement pour ramener Son Eglise à la Maison quand nous nous serons revêtus des corps immortels comme le Sien. Accorde ces bénédictions que nous demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            J’étais juste en train de penser un moment à cet homme en détresse. Peut-être qu’autrefois il a peut-être fréquenté un groupe qui n’avait pas tellement de considération pour Jésus. Mais il arriva un temps où il était dans le besoin, et il lui fallait venir. Aussi alla-t-il voir Jésus, parce que son fils gisait là à l’article de la mort. Il devait faire quelque chose.

            Jésus lui a dit: «Si vous ne voyez des signes, vous ne croyez pas.»

            Mais l’homme n’a pas répondu à Jésus. Il a dit: «Seigneur, viens, avant que mon fils meure.»

4          Or, l’homme... J’aimerais que vous remarquiez quelque chose, que vous gardiez ce point-ci à l’esprit. L’homme voulait que Jésus descende chez lui guérir son fils. Mais Jésus ne lui a pas accordé sa requête dans les termes qu’il l’avait formulée. Quelques fois, Il ne le fait pas pour nous tel quel. Vous pourriez dire: «Si je peux entrer dans la ligne de prière... Si Dieu peut faire pour moi une certaine chose...»

            Mais Jésus a dit: «Ton fils vit.» Et l’homme a cru à Sa Parole. Eh bien, et si cet homme n’avait pas cru à Sa Parole? Ça aurait été différent. Le fils serait mort. C’est pareil aujourd’hui, si vous ne croyez pas à Sa Parole, vous périrez. Voici Sa Parole: «Que celui qui veut vienne.» Mais si vous ne croyez pas à cela, vous périrez dans vos péchés. Si vous ne pouvez pas croire cela pour votre guérison, vous allez probablement mourir malade, périr dans votre maladie, dans le jeune âge. Mais si vous croyez la Parole qu’Il a prononcée, alors vous aurez tout ce que vous demandez, et ce qu’Il a promis.

5          Je m’adressais à vous ce matin, probablement au même groupe. Nous avons demandé aux gens d’assister aux réunions dans leurs propres églises ce soir. Je ne suis point venu pour retirer quelqu’un de son église, et je les attends de nouveau demain soir. Nous voulons que chacun soit à son poste de devoir, dans sa propre église. L’intention de frère Reed n’est pas de retirer quelqu’un de l’église de quelqu’un d’autre. Tout ce qu’il veut c’est que les pécheurs qui ne vont pas à l’église viennent à son église. Ceux qui sont déjà... ont déjà une église qu’ils considèrent comme un chez soi... Je connais frère Reed, je le connais depuis longtemps. Je sais l’état de son coeur face à Dieu. Je me suis assis à table en face de lui; j’ai travaillé avec lui côte à côte. J’ai su, quand l’onction de Dieu était là, j’ai su que j’avais un véritable ami en la personne de T. Richard Reed. Si ce n’était pas le cas, je l’aurais su. Et je l’apprécie.

6          Et ainsi, ce matin, je lui racontais l’événement qui était arrivé en Finlande. Une vision avait été donnée ici en Amérique. Combien étaient ici ce matin? Faites voir les mains. Vous vous en souvenez donc. La vision d’un petit garçon ressuscité d’entre les morts. Et c’est connu du gouvernement finlandais. J’ai un document légalisé du gouvernement finlandais, témoignant qu’un petit garçon était mort trente minutes avant, il avait été renversé, écrasé, il gisait sur la route dans un état horrible. Dieu, deux ans auparavant, avait montré en vision ce qui arriverait. Le petit garçon fut ressuscité des morts.

7          Il y a quelques jours, j’étais assis avec l’un des organisateurs, Baron Von Blomberg, un baron d’Allemagne, à Saint Petersburg, en Floride...?... Et il avait un petit garçon allemand qu’il avait fait franchir les frontières russes, sur le... près de la zone américaine, là où elle touche la zone russe. Il avait deux jeunes soeurs. Les soldats russes tombaient dessus, violaient ces filles par terre. Le père avait couru pour prendre parti pour elles. Ils ont tiré sur le père. Ils ont amené les jeunes filles et les jeunes garçons là dans le camp, ils les ont installés dans une mine de charbon. On amenait les jeunes filles à faire sortir du charbon la journée, elles se déshabillaient, dansaient devant ces soldats la nuit, nues. L’une d’elles avait perdu la tête, l’autre j’ai oublié ce qui s’était passé; elle est morte. Un jour, ce petit garçon s’est évadé. Il s’est en tout cas caché d’une certaine manière, dans une histoire, il s’est approché de la frontière, et il est furtivement sorti d’en dessous d’un chargement et il est entré dans la zone américaine. Ça faisait environ huit ou dix mois qu’il était venu. Et il parlait très bien anglais.

            Il a dit: «Frère Branham, la nouvelle de la résurrection de ce garçon finlandais a parcouru toute la Russie. Ils ont tous appris cela.»

8          L’autre petit garçon, comme j’avais arrêté cette histoire ce matin, la–la voiture a tamponné l’un d’eux, lui a roulé dessus, a écrasé son corps, il gisait là mort sur la route. Nous... qui était ressuscité des morts. Le petit garçon a été emmené à l’hôpital. Le lendemain soir, la petite fille portant des appareils orthopédiques et tout autour d’elle a été guérie... Les gens étaient très ravis de voir... Je ne pouvais même pas parler leur–leur langue. Et le Saint-Esprit s’élevait dans l’auditoire: «Telle personne assise, AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT, il se fait qu’elle a fait une certaine chose, elle a contracté une certaine maladie.» L’interprète devait le dire. C’était tout à fait vrai. Cela ne faillit jamais, pas une seule fois. Jamais cela n’a failli et ne faillira. Impossible. C’est Dieu.

9          Alors, je me rappelle que quand je rentrais à la maison ce soir-là, on a essayé de m’amener vers cet autre enfant qui n’était pas encore mort. Il en était à son troisième jour. On ne l’avait point lavé. La voiture l’avait cogné au menton, le cognant contre la paroi d’un arbre, écrasant sa petite tête, il eut une commotion cérébrale. Vous savez ce qui arrive là. Il était dans un état horrible. Et alors, la petite mère et le père étaient tellement déchirés qu’ils avaient dormi à la porte de l’hôtel; quand ils ont commencé, on a dû me tirer par-dessus leurs têtes. Les instructions de la campagne interdisent de faire des visites quand on est en pleine campagne, car si on va chez l’un, l’autre sera blessé. Par conséquent, on place tout le monde au même niveau, qu’eux tous viennent à la réunion.

10        Alors, le lendemain, cette petite femme, la pauvre petite créature, elle était là dehors. L’interprète, qui était une dame, a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, je souhaiterais que vous descendiez au moins dire un mot là-dessus, dire un mot à ces pauvres petits père et mère. Leur petit garçon n’est toujours pas revenu à lui; il est étendu là.»

            J’ai dit: «Faites-les venir.» On les a donc fait monter à l’étage. Nous sommes donc allés là; bien sûr, ils ont dû parler par un interprète. Et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas à beaucoup parler dans les réunions.

            En Afrique, nous avions quinze différents interprètes. Je disais une phrase comme: «Jésus-Christ est le Fils de Dieu», je pouvais rentrer m’asseoir, prendre un verre d’eau et me reposer avant que cela soit donc rendu par tous les interprètes. L’un pouvait dire un bruit... produire un bruit, ils pouvaient faire: «Blump, blump, blump, blump, blump, blump, blump.» Cela voulait dire: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu.» Un autre pouvait faire...?... C’était: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu.» Puis on passait à une autre tribu, puis à une autre tribu, puis à une autre tribu, jusqu’à ce que cela soit rendu par environ les quinze différentes tribus.

11        Je pouvais donc aller prendre un verre d’eau, et parler un petit moment à frère Baxter. C’était le moment de dire: «Et Il est venu sur terre sauver les pécheurs.» Puis je pouvais rentrer m’asseoir et parler encore. Vous voyez? Ainsi, il n’y avait pas beaucoup à dire là-dessus. Cela prend un long moment pour terminer cela. N’importe quel genre de message de quelques minutes, ce que j’apporterais ici en dix, quinze minutes, prendrait pratiquement une heure et demi pour le terminer.

            Ainsi, quand nous descendions, cette petite femme nous a rencontrés là, elle et son mari, alors elle est tombée par terre. Elle s’est mise à dire quelque chose dans son dialecte finlandais. Et madame Isaacson a dit: «Elle vous demande de venir rétablir son petit garçon.» Les médecins avaient déjà dit qu’il n’y avait physiquement aucun espoir pour lui, pas du tout.

12        J’ai donc dit: «Eh bien, je ne peux pas rétablir son petit garçon.»

            Et elle le lui a donc dit. Et elle a dit: «Eh bien, vous avez ressuscité l’autre petit garçon d’entre les morts, mais mon petit garçon n’est pas encore mort», a-t-elle dit.

            Cela fait trois fois que je vois les morts, déclarés morts par les médecins, être ressuscités.

            L’un d’eux a témoigné à cette chaire la première fois que j’étais ici premièrement, la deuxième fois ici, madame Hattie Waldrop. Vous rappelez-vous? A Phoenix, en Arizona. Elle est morte d’un cancer du coeur et du colon. Le suivant, c’était une dame, ou plutôt un homme de ma ville, du nom de Lij Perry, tué dans un accident, amené, étendu près du médecin, il mourut.

13        Hattie fut ressuscitée d’entre les morts, elle vit aujourd’hui. Elle travaillait à Pennsylvania Railroad. Et le suivant, c’était ce bébé là-bas. Cette dame-là, de Kennett, dans le Missouri. Je sais que beaucoup d’entre eux pensaient qu’elle était morte; il se peut qu’elle l’ait été. Le soir où la petite fille de couleur aveugle avait été guérie là-bas derrière le bâtiment. Vous rappelez-vous le...?... quand j’étais là la dernière fois. Eh bien, il se peut qu’elle ait été morte; je ne sais pas. Je pense qu’elle était dans le comma. Elle est allée témoigner, jusqu’en Californie au sujet de sa guérison: Le cancer. Peut-être qu’elle est assise ici ce soir, à ce que je sache. Et ainsi, mais je ne sais pas si elle était morte ou pas; je ne pourrais le dire.

14        Mais, de toute façon, je connais trois déclarations médicales qui établissaient qu’ils étaient morts. Puis, ce petit garçon, lui, bien sûr, il n’était pas encore mort. Mais il était inconscient, il n’avait pas encore repris conscience, c’était le troisième jour. Ils ont donc dit: «Descendez à l’hôpital.»

            «Eh bien, ai-je–je dit, c’est contre les consignes pour moi de quitter cet endroit ici et d’aller à l’hôpital. Je prie pour votre garçon.» J’ai dit: «A propos, êtes-vous tous chrétiens?»

            «Non.»

            «Eh bien, ai-je dit, écoutez. Si le petit gar-... Si vous voulez obtenir une faveur de ma part, cherchez d’abord ma faveur.» J’ai dit: «Si... Vous devriez devenir des chrétiens. Peut-être que Dieu aurait pitié de votre petit garçon et épargnerait sa vie. Mais si–si vous devenez chrétiens, vous pourriez trouver grâce aux yeux de Dieu, et même si Dieu reprend le petit garçon, il n’est qu’un petit garçon, il n’a que six ans, ai-je dit, il ira au Ciel; il n’y aura pas d’accidents là-bas.» Et j’ai dit: «Si vous mourez pécheurs, vous n’irez jamais au Ciel, et vous ne le reverrez plus. Mais si vous... s’il meurt et que Dieu le reprend, et que vous êtes chrétiens, vous irez là vivre avec lui un jour, là où il n’y a pas d’accidents. Mais, ai-je dit, si donc vous ne le devenez pas, alors, et–et si... Il peut épargner sa vie.» Alors, ils ont vu qu’ils ne pouvaient perdre en aucun cas. Ils voulaient donc devenir des chrétiens. Nous nous sommes agenouillés et nous avons prié. Ils ont donné leur coeur à Christ. Ils se sont relevés. Quand ils se sont relevés de là, alors la pauvre petite mère, elle avait environ vingt-deux ans, je pense, vingt-trois ans, elle a dit, elle est venue là, marmonnant quelque chose à mon intention, et l’interprète a dit: «Voici ce qu’elle dit. Elle a dit: ‘Maintenant, allez guérir mon garçon.’»

15        «Eh bien, ai-je dit, c’est vraiment très aimable de votre part, soeur, mais je ne pourrais guérir votre garçon.» J’ai dit: «Le Seigneur Jésus doit d’abord donner une vision de ce qui va se passer, alors je vous le dirai.»

            Elle a dit: «Allez-y, ayez une vision.»

            J’ai dit: «C’est aimable de votre part, mais je ne peux pas le faire. C’est Dieu qui doit donner cela, Lui-même.»

            Elle a dit: «Eh bien, vous avez eu une vision pour l’autre garçon.»

            Et j’ai dit: «Oui, c’est vrai. Mais je n’avais pas demandé cela. Je ne savais même pas que je viendrais alors ici. C’est Dieu qui a donné cela. C’était Sa volonté souveraine.» J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas faire cela.»

            Et elle a dit–elle a dit: «Eh bien, venez à l’hôpital.»

16        J’ai dit: «Non, je vais... Ce serait une violation des consignes. J’irai en chambre et je prierai; Dieu peut m’exaucer ici dedans, tout comme Il peut m’exaucer à l’hôpital.»

            Je suis donc entré, je me suis mis à... Elle a dit: «Eh bien, entrez en chambre, j’attendrai que vous ayez une vision.» C’était bien beau, mais...

            J’ai dit: «Il se peut qu’Il ne me donne même pas une vision. Il se peut qu’Il ne me dise même pas une chose. Je ne peux pas L’obliger. C’est simplement s’Il le veut.»

            Alors, madame Isaacson les a finalement convaincus d’aller à l’hôpital. Ainsi, ils... au lieu d’aller à l’hôpital, ils sont rentrés à la maison. Environ dix minutes après, le téléphone a sonné. Et vous devriez voir ces téléphones en Finlande. Cela a un long bâton comme ça; vous mettez cela derrière votre oreille, et vous tournez la manivelle comme ceci. Ils ont donc appelé et ont dit: «A-t-il déjà eu une vision?»

            «Non.»

            Environ dix minutes plus tard, elle a rappelé: «A-t-il déjà eu une vision?»

17        «Non.» Madame Isaacson a dit: «Il se peut qu’il n’en voie même pas une. Vous tous, allez simplement de l’avant, servez Dieu, remerciez-Le et croyez que votre petit garçon va se rétablir.»

            Eh bien, cela a continué ainsi jusqu’à l’heure d’aller à l’église, elle appelait environ toutes les quinze, vingt minutes, et elle demandait si j’avais eu une vision, ce qui allait se passer. Je disais: «Il peut... Dieu peut me dire qu’Il va le reprendre.» J’ai dit: «S’Il va le reprendre, eh bien, c’est tout ce que nous pouvons dire. Que Ta volonté soit faite.»

18        Alors, il a dit... Eh bien, nous sommes allés à l’église. Et c’était la soirée où la petite fille avait été guérie; j’en ai parlé ce matin. En route vers la maison, ce soir-là, nous sommes montés à l’étage. Madame Isaacson est allée dans sa chambre. Frère Jack Moore et frère Lindsay étaient ensemble dans une chambre. Frère Baxter et Howard, mon frère, étaient ensemble. Je restais seul dans une chambre à cause des visions. Ainsi, je venais d’entrer, et j’espère, si j’ai des amis canadiens ici, que vous n’aurez pas de ressentiment à mon égard.

            Au Canada, Howard m’avait donné des bonbons qu’ils avaient fabriqués là au Canada, et ils–ils ne contenaient pas beaucoup de sucre, ils avaient donc un goût horrible. Il m’a donc dit, quand on rentrait ce soir-là, il a dit: «Bill, te souviens-tu de ces bonbons canadiens?»

            Et j’ai dit: «Oui.»

19        Il a dit: «Tu devrais goûter celui-ci de la Finlande.» Deux petits bonbons carrés. Je les ai simplement pris dans ma main. J’avais cela dans ma Bible, et je suis entré dans ma chambre. Il y avait de très grosses tables en marbre. Ils sont vraiment à l’ancienne mode. Alors, j’ai déposé la Bible sur la table comme ceci, et je suis sorti. Il était environ minuit. C’était vraiment poussiéreux. Il ne faisait pas sombre, on était en avril, on était pratiquement à l’aube. Ils n’ont qu’un jour par année (Vous voyez?); six mois dans l’obscurité, six mois avec... du soleil...?... Et c’est le pays du soleil de minuit.

20        Des milliers de Lapons venaient de Laponie, conduisant des caribous, ils roulaient à bord d’un traîneau. Les caribous, la langue pendant droit entre les pattes, et ils roulaient derrière cela, comme cela. Ils se rassemblaient donc de partout. Il y en avait vingt-cinq mille dans le Messuhalli. Et ce soir-là, quand je suis entré dans la salle, vers trois heures, il y avait une ligne de trente, côte à côte, sur une longueur de six pâtés de maisons, pleine de gens, en plus de vingt-cinq mille qui remplissaient le Messuhalli. Ils aimaient le Seigneur. En deuxième position, les ressortissants de l’Arkansas. J’ai dit: «Ce matin, aimez le Seigneur, endurez tout pour servir le Seigneur.»

21        Alors, quand je me suis levé, j’ai déposé la Bible, je me suis avancé à la fenêtre, et on pouvait voir les gens traverser les parcs juste en train de parler et de parler de ce qui s’était passé. Et ils étaient tellement heureux et ils allaient de l’avant, se parlant l’un à l’autre. Et les femmes en très grosses bottes, de jeunes filles, et tout, elles portaient des jupes très larges et épaisses, elles devaient les porter hiver et été, tout pareil. Alors, ils passaient là, parlant et tout. Et peu après, j’ai levé les mains; j’ai dit: «Ô Grand Jéhovah Dieu, comme c’est merveilleux ! Tu es tellement bon, Seigneur, pour m’avoir montré la vision de la résurrection de ce petit garçon et avoir guéri ce soir cette petite fille.»

22        Le... Un peu avant cela, je n’ai point raconté cela ce matin-là, l’une des autorités municipales, là, un genre, on dirait, un agent de l’Etat, sa petite fille avait été estropiée pendant environ dix ans à cause de quelque chose, une fièvre lui avait fait recourber le dos. Elle marchait un peu comme ceci. Et là même à la réunion, Dieu l’a guérie. Elle est sortie en marchant parfaitement, normale. Et, oh! ça avait été une merveilleuse soirée là !

            Monsieur Manninen et... Combien reçoivent le journal La Voix de la Guérison et y ont vu la photo de ces choses? Ils ont rassemblé des béquilles et tout, à l’aide desquelles ces gens marchaient, en un tas si grand, et ils ne pouvaient pas les contenir comme ça après une soirée de service. Aussitôt qu’ils voyaient une chose être accomplie dans le domaine surnaturel, on n’avait pas à prier pour eux; tout ce qu’ils faisaient, c’était simplement se lever et sortir quand même. Ils croyaient de toute façon cela. On n’avait pas à... C’est comme ça dans d’autres nations, sauf en Amérique. Mais nous ne sommes pas ainsi de toute façon. C’est vraiment dommage, mais nous ne le sommes pas. Savez-vous quel est le problème? On nous a trop endoctrinés. Il nous faut aller demander au docteur Untel si c’est vrai. Il a dit: «Eh bien, c’est la théologie.»

            L’autre dit: «Eh bien, c’est de la télépathie mentale.»

            L’autre dit: «C’est un démon.»

            Docteur Untel dit: «C’est du non-sens.»

            Un autre docteur dit: «C’est du diable.»

23        Oh ! la la ! Il n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas croire ! Il n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas croire. Arrêtez de demander au docteur Untel; recevez ce que Jésus a dit. Cela règle la question. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            C’était pareil avec les pharisiens et les autres, ils devaient aller demander au sacrificateur si c’était en ordre de faire ceci ou cela. C’est la raison pour laquelle ils ont manqué de voir Jésus et de reconnaître Qui Il était. De même, ils manquent de voir le Saint-Esprit aujourd’hui, la même chose. Amis chrétiens, écoutez: Ils ont des églises, et nous avons tout, mais ils manquent de voir le Grain de vie là, le Saint-Esprit accomplissant des signes et des prodiges parmi Son peuple, ce qu’Il a promis de faire. Il a dit qu’Il serait avec nous, même en nous jusqu’à la fin du monde.

24        Pendant que je me tenais là en train de louer le Seigneur pour Sa bonté, je regardais par–par une grande fenêtre; c’était un peu poussiéreux. On pouvait encore lire un journal dans la rue. Et il était environ vingt-trois heures trente ou minuit. Tous les autres avaient regagné leurs chambres. Et je me tenais là, regardant par la fenêtre comme ceci, louant Dieu au travers de ces grandes montagnes parsemées de cèdres là-bas, avec les mains levées; je Le louais. J’ai senti Quelque Chose d’étrange. Cela m’a paru comme une certaine Lumière autour de là où je me tenais.

25        Je L’ai vu debout à mes côtés, et Il était là, les bras croisés, me regardant, et il y avait devant moi (Cela n’était pas là auparavant), un de ces longs pots, à peu près de cette hauteur. Et il y avait deux fleurs de Pâques, comme je les appelle. Je ne sais comment on les appelle. De petites fleurs qui poussent en forme de petite cloche. Elles sont jaunes et certaines d’entre elles sont blanches, elles poussent vers Pâques. Nous les appelons, je pense, on les appelle des jonquilles, c’est ça leur vrai nom, mais elles ne poussent même pas dans cette contrée. Mais c’était là dans ce pot. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce?» Et j’ai remarqué que l’une d’elles, descendant de ce gros et haut pot, s’étalait vers le nord, à plat, sur la table, couchée comme ceci, et l’autre était recourbée.

26        Alors, je L’ai regardé; Il se tenait là juste comme Il le fait d’habitude. C’était un Homme grand, aux cheveux sombres retombant sur les épaules, au teint olivâtre, pieds nus, revêtu d’une longue robe, Il avait les bras croisés, et Il pesait environ deux cent livres [90,7 kg]. Il est toujours juste sous cette Lumière-là. Alors, Il se tenait là. Il me regardait. Et j’ai dit...?... là, j’allais m’agenouiller; Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            Et j’ai dit: «Deux bonbons. Je les ai déposés sur l’autre... cette table-là.»

            Et Il a dit: «Mange-les.» Eh bien, j’ai tendu la main et j’ai pris ces bonbons, et j’en ai mis un dans ma bouche, j’ai commencé à le mâcher. J’avais l’intention de les manger cette nuit-là, et je ne l’avais simplement pas fait, je les avais donc déposés là et je m’étais avancé là pour louer le Seigneur. Alors, je me suis mis à mâcher ce bonbon, cela avait un bon goût, et je l’ai avalé. Alors, quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était étalée à plat vers le nord s’est mise à faire: «Swih-h-h-h.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Elle s’est directement relevée comme cela. Et je l’ai regardée. Je n’avais pas compris cela.

27        Je L’ai encore regardé. Il a dit: «Mange l’autre bonbon.» Et je l’ai mis dans la bouche et, oh ! c’était horrible. Et pourtant c’était le même genre de bonbon, comme ces petits blocs de chocolat. Et je l’ai mis dans la bouche. Cela avait le goût, et juste comme, je m’imagine, le goût de l’amidon. Juste... Je l’ai fait sortir comme cela, et j’ai constaté que cette autre fleur de Pâques était à moitié penchée, et elle a commencé à baisser, baisser, baisser, baisser. J’ai directement sorti cela. Il a dit: «Si tu ne manges pas cela, l’autre garçon va mourir aussi.» Je l’ai remis dans la bouche, je me suis mis à le mâcher très rapidement et je l’ai avalé vraiment vite. Et alors, cette autre qui était penchée vers le sud a fait: «Swih-h-h-h-h.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.]

28        Eh bien, c’est exactement dans ces directions que ces garçons étaient tombés quand ils ont été cognés par la voiture. L’un est tombé vers le nord, et l’autre vers le sud. Et ils étaient tous là debout. Et je L’ai regardé; j’ai dit: «Mon Seigneur, je ne comprends pas. Que signifie ceci?»

            Il a dit: «Va, appelle la femme et dis: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, ton fils vivra et ne mourra pas.’»

            Oh ! la la ! Il m’a quitté. Je me suis tenu là. J’étais engourdi partout, comme je l’étais ce matin, pendant que j’étais assis sur mon lit. Je me suis mis à me mordre les doigts et à me tâter les mains. Je me suis dit: «Oh ! Si seulement je peux me parler, je... que je peux arriver à parler.» Et je me suis dit... Mes lèvres étaient vraiment épaisses, et je–j’ai regardé ma Bible, et j’ai couru là vers le couloir, j’ai poussé un grand cri. Vous connaissez tous frère Moore et les autres; vous pouvez leur demander. J’ai lâché un grand cri; tout d’un coup, vous savez, les portes se sont ouvertes, les gens regardaient dehors.

29        J’ai dit: «Venez, Frère Moore, vous tous, ainsi que soeur Isaacson.» Eux tous sont sortis. J’ai dit: «Soeur Isaacson, allez téléphoner cette petite mère, et dites-lui: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, son fils vivra et ne mourra pas.’»

            Elle est donc allée à ce drôle de téléphone là où était l’ascenseur, ou l’élévateur, comme nous l’appelons ici. Eux l’appellent l’ascenseur, ce qui vous fait monter. Et elle a téléphoné à partir de ce petit téléphone. Elle a sonné la maison de cette mère, et ils avaient les nouvelles selon lesquelles le petit garçon se mourait.

            Ainsi, la mère avait laissé le baby-sitter avec son tout petit bébé, et elle était partie à l’hôpital. L’hôpital, c’est juste une maison là-haut, juste une maison ordinaire où on devait placer les malades. Elle a donc sonné l’hôpital, et elle l’a eue au téléphone; ils ont dit que le garçon se mourait. Elle l’a eue au téléphone, soeur Isaacson a dit: «Frère Branham vient d’avoir une vision, et il m’a dit de vous dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR...’» La petite mère criait. Elle a dit: «Ne craignez pas, le garçon ne va pas mourir.»

30        Et quand la petite mère a pu atteindre le lieu qu’elle pouvait atteindre, elle a dit: «Oh ! Je le sais bien. Nous nous tenions près de lui il y a quelques minutes, et il s’est levé du lit. Nous l’avons déjà lavé; il a pris–pris un verre d’eau; nous allons le ramener à la maison le matin.»

            Dieu avait déjà exaucé sa prière. Mes amis, je n’ai jamais touché le garçon, ni aucun d’eux, jamais je n’ai touché aucun d’eux. C’était Dieu qui, en exauçant leur prière, avait fait cela. Il m’a seulement montré et a dit: «Va dire ceci. Va dire cela.» Voyez-vous là? Ainsi, cela ne fait pas de moi un guérisseur divin. Je n’ai rien du tout à faire avec cela.

31        Si je dis à frère Reed là: «Allez dire à tel homme telle chose», ce sera moi qui envoie un message, et certains d’entre nous sont nés, amis, pour être prédicateurs, frère Reed, beaucoup d’autres. D’autres parmi nous sont nés pour être des musiciens. J’ai remarqué ce soir cette jeune dame qui battait sur ces instruments-là, le xylophone, qui jouait à l’orgue, au piano, eh bien, je ne connais rien à ce sujet-là. Eh bien, je ne saurais même pas si c’est en accord ou pas. Je ne pourrais le distinguer. Dieu ne m’a jamais envoyé jouer de la musique. Mais je suis né un voyant.

            Eh bien, eux jouent la musique pour la gloire de Dieu. C’est une façon de prêcher l’Evangile. L’homme prêche Cela par la Parole. Et ma façon à moi, c’est par la vision. Ne voulez-vous pas croire tous les témoins que Dieu vous a envoyés? Ne pouvez-vous pas reconnaître que Dieu est dans ces cantiques quand vous chantez, que quelque chose bénit votre âme? N’y a-t-il personne... le prédicateur prêche cela, qu’il vous confirme bien tout? N’est-ce pas vrai?

            Eh bien, Il a d’autres dons. Il y a d’abord les apôtres, puis les prophètes, les dons de la guérison, d’opérer des miracles, les docteurs, et ainsi de suite. Est-ce vrai? Tout cela pour le perfectionnement de l’Eglise. Est-ce vrai?

            Maintenant, ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Dieu fera s’accomplir cela. Croyez-vous cela? Inclinons la tête. Soeur Reed...

32        Je suis reconnaissant qu’il n’y ait personne qui soit venu ici dans un fauteuil roulant, sur une civière, ou sur un brancard, sans en sortir à ce que je sache. Il y a une dame assise là ce soir, qui semble avoir un membre fracturé, ou quelque chose comme cela. Le Saint-Esprit peut lui révéler ce qu’il en est. C’est Lui le Guérisseur de toutes nos maladies, de nos afflictions.

            Ô Seigneur, comme mon esprit remonte maintenant en arrière, à quelques années auparavant, à des centaines de milliers de gens. Eh bien, nous sommes maintenant juste à un jour plus près de la maison. On est sur le point de tourner la page pour ce jour-ci. Ce sera un autre jour de l’histoire, un jour que nous rencontrerons là-bas au Jugement un jour. Une partie de plus du service, la prière pour les malades, l’appel à l’autel...

33        Bénis Tes serviteurs partout ce soir, ces vaillants ministres de la foi qui se tiennent à l’estrade, proclamant l’Evangile sans peur. Bénis-les à travers le monde, Seigneur, à travers toutes les nations. Envoie Jésus Ton Fils. Ce vieux monde est trempé du sang des chrétiens, les autels sont baignés de larmes, criant: «Viens, Seigneur Jésus.» Un jour, Il viendra. Nous Le verrons.

            Et maintenant, Père, il m’incombe ce soir de prier pour les malades. Alors que ce petit groupe s’est rassemblé en ce temps de tempête, ils T’aiment, ils ont conduit sur des milliers de kilomètres, certains d’entre eux. Sans doute qu’il y en a assis ici qui sont très malades. D’autres sont assis ici, se posant des questions. Ô Dieu, que tout le monde rentre à la maison ce soir heureux, se réjouissant, et guéri. Que les pécheurs soient convertis, les rétrogrades, réclamés. Que ça soit une soirée glorieuse. Tire gloire du service.

34        Et maintenant, Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ramené notre Seigneur Jésus-Christ d’entre les morts, qui as envoyé Son Ange pour être un Esprit au service, diriger Ton serviteur dans cette vie, puisse-t-Il se tenir à mon côté ce soir ici et manifester Jésus-Christ à cet auditoire; car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... car j’étais faible, partout dans le monde. L’autre jour, j’ai reçu une lettre de l’Allemagne. La dame avait été estropiée et clouée dans un fauteuil roulant pendant des années suite à l’arthrite. Elle avait lu mon petit livre: Un Homme envoyé de Dieu, qui a été traduit en allemand, en finlandais, en suédois, en afrikaans, oh ! je ne sais pas.

            Elle a donc pris le petit mouchoir; elle a suivi les instructions et elle l’a attaché à son sous-vêtement, elle a placé sa main dessus. Elle a dit: «Maintenant, démon, sors d’ici.» Elle a sauté de son fauteuil et a marché seule à travers la maison.

35        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et l’enfant avait attrapé une insolation, je pense, en effet vers onze heures; il était dehors dans le champ de moisson avec son papa, il s’est mis à crier: «Ma tête !» On l’a renvoyé et il s’est couché sur les genoux de sa mère et il est mort à l’heure du dîner.

            Elie avait une petite chambre. Elle avait construit pour Elie une petite chambre à côté, où il pouvait passer la nuit: il avait là un lit, un tabouret, et une cruche d’eau. Elle l’a pris et l’a placé sur le lit du prophète. Un bon endroit où le placer, n’est-ce pas? C’est vrai.

            Son mari est venu. Il a dit: «Selle le mulet. Va de l’avant maintenant. Ne t’arrête pas.»

            Il a dit: «Ne va pas au mont Carmel, car ce n’est ni le sabbat ni la nouvelle lune. Le prophète ne sera pas à la montagne.» Il avait une caverne là-bas où il restait.

            Elle a dit: «Tout va bien.»

36        Il a dit: «Selle ce mulet et va de l’avant», s’adressant au serviteur, «et ne t’arrête pas à moins que je te l’ordonne.» J’aime ça. «Va de l’avant; ne t’arrête pas.» Une seule alternative pour elle.

            Alors, quand le prophète est sorti, il l’a vue venir, il a dit à Guéhazi, son serviteur, il a dit: «Voici venir cette Sunamite, a-t-il dit; elle est affligée dans son coeur. Je ne sais pas ce qui cloche chez elle.» Il a dit: «Dieu ne me l’a point révélé.»

            Voyez, Dieu ne dit pas tout à Ses prophètes. Il a dit: «Dieu l’a gardé secret pour moi.» Il a demandé: «Tout va-t-il bien pour toi? Tout va-t-il bien pour ton mari? Tout va-t-il bien pour ton enfant?»

37        Elle a dit: «Tout va bien. Tout va bien pour mon mari. Et tout va bien pour l’enfant.» J’aime ça. Son enfant était étendu là, un cadavre, mais: «Tout va bien.»

            Elle savait que c’était le prophète de Dieu, et elle savait que c’était l’homme de Dieu pour l’heure. Et elle savait que Dieu était dans le prophète. Elle le savait. Et si seulement elle pouvait atteindre ce prophète, elle découvrirait pourquoi Dieu a repris son enfant.

            J’aime ça. Je pense que Marthe avait fait la même chose quand elle avait rencontré Jésus.

            Alors, le prophète l’a regardée, et donc il... elle est tombée à ses pieds. Guéhazi l’a relevée de près de son maître, comme cela. Elle s’est alors mise à lui révéler ce qui clochait.

            Eh bien, observez, il a dit: «Guéhazi, prends mon bâton et va de l’avant. Ne salue personne. Ne parle à personne. Si quelqu’un te parle, ne lui réponds même pas. Et va poser ce bâton sur l’enfant.»

38        Eh bien, Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni. Mais maintenant, s’il pouvait amener cette femme à croire cela. Je pense que c’est de là que Paul a tiré le système de ses mouchoirs. Vous voyez? Il savait que Dieu était en lui. Et Elie savait que ce qu’il bénissait, ce sur quoi il plaçait ses mains était béni. C’est pourquoi nous avons l’ordre d’imposer les mains aux malades, ce que vous touchez est béni. C’est la raison pour laquelle on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul. C’est la raison pour laquelle l’ombre de Pierre passait sur le public, et ils reconnaissaient Cela.

            Allons un peu plus loin avec cette femme sunamite. J’aime ce cas-là. Regardez. Mais elle n’avait pas foi dans le–dans le–dans le bâton. Elle a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point.» Déterminée, j’aime ça. Pas vous? Elle a dit: «Je vais carrément m’accrocher à vous.»

39        Il s’est donc ceint les reins et il est parti. Il est arrivé à la maison, et tout le monde pleurait, criait et se comportait bizarrement. Le pauvre Elie ne savait que faire. Eh bien, observez. Il est entré dans la pièce où reposait l’enfant mort. Et Elie a parcouru le plancher, faisant des va-et-vient, des va-et-vient, il ne priait pas là, il parcourait ce plancher. Puis, il alla placer son corps sur le corps de cet enfant, ses lèvres contre les lèvres de l’enfant, son nez contre le nez de l’enfant, sa tête contre la tête de l’enfant. Et il s’est couché là.

40        Dieu en lui... La chair de l’enfant s’est réchauffée. Il s’est relevé, il a de nouveau parcouru le plancher de long en large, il est revenu, il s’est de nouveau couché sur l’enfant, ses lèvres contre les lèvres de l’enfant, son nez contre le nez de l’enfant, ses mains contre les mains de l’enfant, et l’enfant a éternué sept fois (J’aurais souhaité avoir le temps d’aborder là ce chiffre sept, mais nous n’en avons pas). Il éternua sept fois et revint à la vie.

            Dieu était dans ce prophète-là. Et cette femme savait que si jamais elle pouvait atteindre ce prophète dans... Dieu était dans Son prophète, et si jamais elle pouvait être en contact avec Son prophète, elle saurait ce qu’il en était de son enfant. Et son enfant lui a été ramené, de nouveau en vie; en effet, elle avait honoré Dieu dans Son serviteur. Est-ce vrai?

41        C’est pourquoi les gens étaient guéris, à partir des mouchoirs que Paul envoyait; ils savaient que Dieu était dans cet apôtre-là. Ils savaient qu’il n’était pas seulement un apôtre, il était un prophète. Et on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps et on les posait sur les malades, et les mauvais esprits sortaient d’eux, et ils étaient guéris. Est-ce vrai?

            Inclinons la tête. Seigneur Jésus, voici posés ici devant moi des mouchoirs. Peut-être un cher vieux papa aveugle est assis là dans une petite cabane quelque part derrière un champ de coton, derrière une petite vieille cuisinière ce soir, attendant que ce mouchoir revienne. Peut-être qu’une maman, là, se demande quand reviendra ce mouchoir, avec un petit enfant affligé couché sur le lit, alors qu’elle le baigne maintenant pour le coucher, attendant que ce mouchoir revienne. Ô Dieu, regarde ces scènes.

42        L’un des écrivains nous a appris que quand Israël est sorti de l’Egypte, suivant le commandement de Dieu, ils sont arrivés à la mer Rouge, il y avait les montagnes d’un côté, des déserts de l’autre, l’armée de Pharaon venait, et la mer Rouge les avait eus dans un piège. Il a dit: «Dieu baissa le regard au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et la mer eut peur et recula, et Israël traversa.»

            Ô Dieu, accorde ce soir, alors que je pose mes mains sur ces mouchoirs, quand ils toucheront ces malades, que Dieu baisse le regard au travers de cette Colonne de Feu, une fois de plus, avec des yeux courroucés, et que les maladies quittent les gens, et qu’ils traversent vers la Terre promise de la bonne santé et de la force. Accorde-le, Seigneur. Je bénis ces mouchoirs au Nom de Ton Fils Jésus pour ce but. Amen.

43        Très bien, Billy. A partir d’où? Cinquante à cent? Quel était ce...?... la première partie de cela? Un à cinquante? Appelons la seconde partie, la dernière partie de cela. Appelons cela. Appelons les cartes de prière T, c’est ce qu’ils ont distribué cet après-midi. Appelons de 85 à 100. D’habitude, nous prenons environ–environ quinze, c’est à peu près ce que nous pouvons faire monter à l’estrade. Et alors, nous prenons l’auditoire.

            Qui a T-85? Oh ! 85, 90, 95, c’est vrai. Pardonnez-moi. Très bien. 86, 87, 88, 89, 90, jusqu’à 100. Alignez-vous d’abord. Vous autres, regardez dans cette direction-ci, vers moi, juste une minute. Combien ici veulent être guéris ce soir? Levez la main et dites: «Je veux être guéri, Frère Branham.»

            Combien ici disent: «Je n’ai pas reçu la carte de prière, mais je veux de toute façon être guéri, Frère Branham»? Levez la main. Regardez cette masse compacte partout dans ces lignes, partout.

44        Mon ami chrétien, assurément, Dieu a assez témoigné devant vous pour vous faire savoir que je vous dis la vérité. Si vous regardez de ce côté-ci, que vous priiez, et que vous croyiez que cette histoire que je vous raconte est la vérité, que vous acceptiez simplement cela, que vous dites: «C’est la vérité» de tout... Par les mérites de la Bible, par la confirmation de la science, par ce que vous voyez vous-même.

            La Bible déclare: «C’est sur la déposition de deux ou trois témoins que chaque parole sera établie.» Est-ce vrai? Combien disent que c’est ce que déclare la Bible? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

45        La Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai?

            Il a dit qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Est-ce vrai? Il a dit: «Vous ferez aussi ce que Je fais.» Est-ce vrai? Cela confirme la Bible.

            Très bien. En voici la preuve scientifique, en ce jour-ci, la même Colonne de Feu. Vous avez droit, vous avez un droit légitime de demander à George J. Lacy. Vous avez un droit légitime d’examiner cela. Je vous le demande. C’est ici dans ce livre, les adresses, et tout. Tous ces témoignages, toutes ces choses, tout cela, c’est la vérité. Demandez-leur et voyez. Appelez-les. Si vous êtes un peu sceptique, je payerai votre appel.

            Très bien. En plus, le Saint-Esprit accomplit ici chaque soir les mêmes choses que Jésus avait faites quand Il était ici sur terre. Est-ce vrai? Il y a donc trois témoins. La Bible, la science et le Saint-Esprit qui est ici présent maintenant pour accomplir cela. Est-ce vrai?

46        Ce serait un péché pour vous que de douter. Naturellement, l’incrédulité, c’est le péché. C’est le seul péché qui existe. Voyez? Je ne pense pas que j’aborderai cela cette semaine, pendant que mon fils aligne les gens là-bas. Mais est-ce que certains huissiers voudraient l’aider? Ou faites... Avez-vous eu tous les quinze? Très bien? J’aimerais qu’on regarde les cartes, qu’ils voient donc, quelqu’un peut être sourd et il pourra ne pas se lever (Voyez?), quelqu’un qui n’est pas avec eux pour les désigner.

            Maintenant, j’aimerais que vous soyez en prière. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. Voici une chose qui est... qui me fait un peu réfléchir, mes amis. Pendant une minute, pensons comment ce... Est-ce le premier patient? Amenez-le donc ici.

            Ce qui–ce qui m’alarme, c’est que parmi les gens du Saint-Esprit, à qui on a enseigné à croire au surnaturel, et alors, quand vous voyez Dieu dans Sa puissance réelle, confirmée sans l’ombre d’un doute, il me semble que tout le monde devrait pratiquement s’envoler au Ciel.

47        Mais vous savez quoi? Des fois, nous restons assis: «Eh bien, c’était très bien. Oui, Seigneur. Nous apprécions cela, Père.» On rentre à la maison comme si c’était juste l’une des routines ordinaires du jour. Pourquoi? Frère, soeur, si c’était en Afrique, et que le Saint-Esprit agissait dans cet auditoire-là, appelait quelqu’un et lui disait ce qui clochait chez lui, là-bas, un péché dans sa vie ou quelque chose qu’ils auraient fait, frère, vous auriez entendu des cris pendant quatre heures; vous ne pourriez pas les calmer. Tout le monde tomberait à genoux et donnerait son coeur à Christ, sur place. Ce qui est... Non, non, il n’est pas difficile d’appeler les gens à Dieu là-bas, faites-leur voir simplement–simplement quelque chose de surnaturel; c’est tout ce qu’ils veulent savoir. Ils ont lu cela dans la Bible, et quand ils voient cela, ils croient alors cela. Mais aujourd’hui, nous nions tout cela, vous savez, c’est quelque chose d’autre. C’est la raison pour laquelle nous n’aboutissons nulle part. C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas de réveil en Amérique.

            J’ai entendu Billy Graham faire cette déclaration il y a quelques jours. Il a dit: «Je suis allé partout dans ce pays, partout, mais nous n’avons pas eu de réveil.»

48        Je me suis dit: «Oui, Billy, c’est vrai.» La prochaine fois que j’aurai l’occasion de lui parler, je vais lui dire pourquoi. C’est vrai. S’il avait fait ce que George Jefferies lui avait dit là-bas à Londres, en Angleterre: «Enseignez le baptême du Saint-Esprit et ne bougez pas.» Il se serait tenu là. C’est vrai.

            Quand il était aux côtés de Lewi Pethrus, et qu’il était assis juste à mes côtés, il a dit: «Je vais en Angleterre recevoir le baptême du Saint-Esprit moi-même.» Très bien. S’il avait entamé cela, avant que ces gens le refroidissent à mort là-bas ! Je regrette pour lui. Ce grand groupe de prédicateurs essaient de l’étouffer; je pense que ce jeune homme se tirerait bien d’affaires, mais il est lié. Il sait ce qu’est la vérité. Ainsi, Dieu... Priez pour ces jeunes gens. Priez pour tout le monde.

            Il y en a un parmi ces jeunes gens, Hyman Appleman; j’aimerais que vous vous rassuriez de prier pour lui; je dois le rencontrer dans quelques jours. Dieu m’a donné une vision à son sujet. Très bien, déjà.

49        Très bien, madame. Maintenant, ne voudriez-vous pas venir ici juste une minute, ma soeur? Eh bien, quand vous viendrez, je n’aimerais pas que vous veniez comme si vous alliez toucher un mât totémique ou quelque chose comme cela. Cela ne marchera pas. Non. Il n’y a rien ici. Je suis juste votre frère. Aux yeux de Dieu, je ne vaux pas plus que n’importe quoi d’autre, ou ce microphone... Eh bien, je vaux plus que ce microphone naturellement, parce que nous sommes des êtres humains, des fils et des filles de Dieu. Mais quand vous viendrez, j’aimerais que vous croyiez que vous entrez dans Sa Présence. Et j’aimerais que vous veniez avec un coeur vraiment respectueux et véridique, croyant de tout votre coeur que Dieu va faire quelque chose pour vous. Alors, demandez à Dieu et vous recevrez ce que vous avez demandé. Venez avec révérence. Venez comme Marthe était venue, quand elle s’est prosternée devant Jésus. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort, mais tout ce que vous demanderez à Dieu, Il l’accomplira.» Vous y êtes. C’est là que vous en êtes.

50        Maintenant, madame, comme vous êtes la première patiente ce soir, peut-être, représentons une saynète, vous et moi, et parlons quelques instants. Si je... si nous vivions là aux temps bibliques et, ensuite, en descendant dans la rue, que vous voyiez Jésus de Nazareth, portant ce costume-ci, cette chemise et cette cravate, vous vous approcheriez de Lui et vous diriez: «Seigneur, aie pitié de moi.»

            Eh bien, je ne sais pas ce qui cloche chez vous; peut-être qu’il n’y a rien qui cloche. S’il n’y a rien, soyez-en rassurée, Il vous en parlera. Voyez? Si vous êtes juste ici pour tromper, vous découvrirez ce qui se passe dans quelques minutes. Très bien.

51        Si donc vous êtes profondément sincère, et je crois que vous l’êtes, si vous vous approchiez de Lui, Il se mettrait à vous parler, comme je le fais. Il dirait: «Eh bien, femme», l’une ou l’autre chose, Il engagerait une petite conversation avec vous comme Il l’a fait avec la femme au puits. Ensuite, Il irait droit à votre problème et vous le révélerait. Il dirait: «Eh bien, vous–vous vivez dans le péché, ou vous–vous avez fait telle chose, ou vous avez une tumeur, ou vous avez la tuberculose,» ou–ou quoi que ça puisse être. Il vous révélerait ce qui clochait chez vous. Puis, Il dirait...

            Vous diriez: «Seigneur, veux-Tu m’aider?»

            Il dirait: «Je le peux, si tu crois.»

            Vous diriez: «Seigneur, je crois.»

            Il dirait: «Eh bien, qu’il te soit fait selon ta foi.»

            Est-ce vrai? C’est–c’est ce qu’Il faisait. C’est tout.

52        S’Il est donc le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il agira sur Ses serviteurs et fera la même chose. C’est le même Jésus. Venez un peu, s’il vous plaît. Juste un peu plus fort sur cela maintenant. C’est vrai.

            Il y a dans ce cantique quelque chose que l’Ange aime. J’ai regardé la femme trois ou quatre fois; il n’y a de réaction nulle part. Ainsi, Il n’est donc pas encore ici pour l’onction. Maintenant, parlons, vous et moi, une minute. Et alors, peut-être, Il nous parlera.

53        Est-ce que vous–est-ce que vous croyez que–que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Et croyez-vous que Dieu peut me faire connaître votre vie? Croyez-vous cela? Eh bien, vous savez que je ne la connais pas. En effet, je ne pense pas vous avoir déjà rencontrée de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais si Dieu peut me la faire connaître, et s’Il le fait, cela vous rendrait-il heureuse? Faire... Cela confirmerait-il donc... Si je vous ai dit... Maintenant, regardez ici. J’aimerais que l’auditoire comprenne ceci. Cette femme est une inconnue, je suis un inconnu, là, si seulement vous pouvez comprendre cela, le cas de cette seule femme ici devrait régler la question pour toute la soirée, si Dieu veut bien le faire. Il se peut qu’Il ne parle à personne. Je ne sais pas. Cela dépend de Lui. Mais si Lui et cette femme... Tournez de ce côté-ci, madame. Je ne sais rien sur vous, n’est-ce pas? Je lui suis un parfait inconnu. Et je vous suis un parfait inconnu, à vous tous là. Je ne sais rien sur vous. Mais si le Saint-Esprit révélait même une seule chose, cela devrait amener cet auditoire à dire: «Merci, Seigneur Jésus, je crois en Toi.»

54        Eh bien, ce... La personne n’a pas à être ici à l’estrade. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous là dans l’assistance, vous tous sans carte de prière là, regardez de ce côté-ci et croyez bien de tout votre coeur, mettez-vous à prier et à demander à Dieu de vous venir en aide, de vous donner la foi.

            L’Ange du Seigneur viendra même avant que nous commencions à l’estrade. Mes amis, je vous ai dit la vérité de la Bible. Je sais qu’il y a la foi dans l’auditoire. Il me faut simplement attendre voir Quelque Chose apparaître là... Nous sommes tous en famille. En effet, l’église n’est même pas remplie ce soir (Vous voyez?), nous restons bien assis ici dans l’attente.

55        Maintenant, j’aimerais que quelqu’un qui n’a pas de carte de prière prie, afin que vous voyiez qu’il ne vous faut pas avoir une carte de prière pour que le Seigneur vous parle.

            Qu’en pensez-vous, madame? Vous, croyez-vous? Eh bien, la dame à côté de vous est donc en train de prier, je vais lui parler. Vous priez, n’est-ce pas, madame, la petite dame en robe bleue là? Oui. Je cherchais à atteindre cette dame-là, mais je... Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous me croyez. Il n’y a en fait rien qui cloche chez vous, mais vous pensez à quelqu’un qui est loin d’ici. Est-ce la vérité? Levez la main. N’est-ce pas qu’il s’agit d’une femme qui a des complications, tout un tas, elle est nerveuse, bouleversée et brisée? N’est-ce pas vrai? Si c’est la vérité, levez la main. Une femme à peu près d’âge moyen... Très bien. Levez-vous. Si c’est la vérité, faites signe de la main vers les gens. Maintenant, rentrez chez vous et imposez cette même main sur la femme, et elle se rétablira.

56        Bon ! Croyez-vous? Eh bien, le Saint-Esprit est ici. Maintenant, regardez de ce côté-ci, madame. Croyez-vous que je suis Son prophète? Oui. Je sais maintenant ce qui cloche chez vous. Vous souffrez du cancer. C’est vrai, n’est-ce pas? Ce cancer est dangereux. Et il est sur le sein. Est-ce vrai? C’est sur le sein droit. Est-ce vrai? Très bien. Allez et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus...

            Ayez foi. Maintenant, l’Ange du Seigneur est devant vous. Ayez foi.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Croyez-vous que ce que j’ai dit au sujet de l’Ange est la vérité? Vous–vous pensiez aussi à quelqu’un. C’est votre fils. Et votre fils est un prédicateur. Est-ce vrai? Il est dans un hôpital, ou un sanatorium. N’est-ce pas vrai? Vous vous inquiétez à son sujet. Que Dieu vous bénisse.

            Notre Père céleste, nous Te prions de bénir ce garçon. Relève-le. Rétablis-le, Seigneur. Bénis cette chère vieille mère...?...

            Ayez foi en Dieu.

57        Très bien, madame, croyez-vous? Croyez-vous en Dieu? Croyez-vous que Christ était le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous–vous avez une tumeur. Est-ce vrai? Et cette tumeur se localise dans votre oreille, derrière votre oreille gauche, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Ça ne se fait pas voir d’ici, mais c’est juste derrière... Vous y êtes. Très bien. Maintenant, partez et soyez...?...

            Ayez foi. Ne doutez pas. Croyez.

58        Qu’en pensez-vous, vous assis là avec vos manches retroussées, monsieur? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Vous êtes assis là, en train de pleurer parce que vous êtes dans un état critique. Vous souffrez de l’hypertension. Est-ce vrai? Si vous n’êtes pas guéri, vous allez mourir d’une attaque d’apoplexie, très bientôt. Vous le savez, n’est-ce pas? Pourquoi ne vous levez-vous pas pour accepter donc votre guérison? Si Dieu est ici, et Il vous tire depuis l’assistance, pour dire... Eh bien, que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous.

            Très bien. Et vous êtes conscient d’être aussi près de la mort, n’est-ce pas? Vous êtes mal-en-point, autant que vous pouvez l’être avec votre maladie. Vous avez le diabète dans son pire état. Est-ce vrai? Rien ne peut vous aider, en dehors de Dieu. Voulez-vous accepter Dieu comme votre Sauveur et Guérisseur ce soir? Je veux dire votre Guérisseur plutôt; vous L’avez accepté suivant l’autre titre. Croyez-vous qu’Il sera votre Guérisseur maintenant? Alors, au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous être rétabli. Et partez...?...

            Ne doutez pas. Ayez foi. Maintenant, élevez votre foi, frère, redressez-vous et agissez comme si vous étiez parfaitement normal et bien portant. Alléluia !

59        Croyez-vous en Lui? Vous souffrez d’une hernie, n’est-ce pas, monsieur, assis là au bout de...?... Ne craignez pas, soeur, je vous ai vue en train de prier pour lui. Je ne vous connais pas; je ne vous ai jamais vue, mais c’est la vérité. C’est vrai. Ce petit gars assis juste derrière vous là a vraiment peur. Il ne sait pas; il est vraiment nerveux et bouleversé. Il souffre de la prostatite. Vous savez que c’est la vérité. Voulez-vous aussi accepter votre guérison? Très bien, monsieur, que le Seigneur vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

60        Venez, monsieur. Croyez-vous, monsieur? Je pense avoir trouvé un coeur véridique en vous. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Jamais de ma vie je ne vous ai vu ni entendu parler de vous. Mais ce n’est pas pour vous, c’est pour cet enfant. Est-ce vrai? Cet enfant a été opéré, une intervention chirurgicale pour une tumeur. Il en a une autre. Et cette tumeur est dans sa bouche, dans sa mâchoire. Est-ce vrai? N’est-ce pas que vous écrivez ou vous correspondez avec quelqu’un au sujet... Est–est-ce vrai? C’est vrai. Oui, monsieur... On vous a conseillé de venir ici pour savoir quoi au sujet de l’intervention chirurgicale de cet enfant. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, frère, mais l’Esprit de Dieu est ici.

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, bénis cet enfant et cet homme...?... Que l’intervention chirurgicale soit un succès, que l’enfant soit normal au Nom de Jésus-Christ...?...

            Ayez foi en Dieu. Chacun de vous devrait croire maintenant même. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

61        Ayez foi et venez, madame. Voulez-vous guérir de ce trouble d’estomac? Allez manger ce que vous voulez alors. Croyez-vous cela? Très bien. Allez faire cela alors.

            Quelque part juste à l’intérieur là, il y a une petite fille avec un... Je vois... je continue de voir deux petites filles debout devant moi ici quelque part, qui ont quelque chose qui cloche dans leur gorge, on dirait des amygdales ou quelque chose comme cela. C’est–c’est ici devant moi, mais je n’arrive pas à savoir où sont ces enfants. Elles doivent être avec quelqu’un. Les voilà. C’est vrai. Ce sont là les deux enfants. Partez, ne craignez pas, maman.

            Le Saint-Esprit est ici. Voulez-vous être guéris?...?... Jésus-Christ...?...

62        C’est ça. C’est ça une réunion de la pentecôte à l’ancienne mode. Levez-vous là, monsieur. Dieu vous guérit de cette affection de vésicule biliaire, vous assis là derrière. Voulez-vous guérir de cette affection de vésicule biliaire, vous, assis là derrière au bout de la rangée? Si c’est le cas, levez-vous et acceptez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit.

            Qu’en est-il? Combien ici veulent être guéris maintenant?

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