La Voie À Laquelle Dieu A Pourvue
1 Merci, Frère Reed. Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir, d’être au service du Seigneur pour faire... pour essayer d’accomplir Son oeuvre. Et nous prions que cela soit une bénédiction pour beaucoup parmi vous. C’est pour nous une bénédiction d’être ici avec vous et à Son service. Je pense donc... Je suis très conscient des caméras. [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E.] Très bien. Bien... J’étais.... Je me souviens, souvent dans les réunions des photos et autres... Bon–bon, que le Seigneur vous bénisse, frère.
2 Ainsi, je me souviens, c’est plutôt la chose la plus difficile pour moi: fixer le regard sur une; je reste aveugle une heure après avoir fixé le regard sur une. [Frère Branham rit et l’assemblée rit.»–N.D.E.] Ça a certainement été un privilège d’être ici. C’est comme un retour à la maison, certainement assez, de les voir tous alignés autour du mur. Les gens dehors, debout dehors sous la pluie et autres, on est on dirait là au... en Arkansas.
Et aussi, nous n’avions pas fait des annonces pour des réunions parce que nous étions, vous savez, pendant quelques jours là, nous pouvions enseigner et prêcher un peu, et–et mettre les choses en ordre. Nous espérons revenir encore bientôt auprès de vous, si le Seigneur tarde.
3 Je rentre maintenant chez moi, m’apprêter pour aller en Afrique, en Inde, en Palestine, en Allemagne, et à beaucoup d’autres endroits outre-mer. Notre Seigneur nous a donné la plus grande réunion en Afrique. Nous avons eu trente mille convertis en un jour, et trente mille en un jour. Et quand ils ont vu la gloire de Dieu descendre... Les missionnaires sont là, ils leur en avaient parlé. Alors, quand ils ont vu notre Seigneur venir faire exactement ce qu’on leur avait enseigné qu’Il ferait... J’ai demandé un appel à l’autel, et trente mille vrais païens sont venus à Christ en une fois. Et nous avons eu environ trois ou quatre réunions. Il y avait en tout cent mille, mais trente mille à un seul appel à l’autel.
Nous retournons donc droit au même endroit, là où le Seigneur m’a promis, par une vision... Beaucoup parmi vous aimeraient entendre une chose être annoncée, d’après la vision, et voir cela s’accomplir. Eh bien, écrivez ceci dans votre Bible, comme vous l’avez fait au sujet de petits garçons qui ont été ressuscités des morts en Finlande. Vous en souvenez-vous? Vous l’avez vu dans La Voix de la Guérison et autres, deux ans après que cela eut été prédit.
Nous allons tenir une réunion là-bas, qui sera trois fois plus grande que l’autre. Il y aura trois cent mille personnes dans cette réunion. Voyez si ce n’est pas vrai.
4 Et, oh ! comme notre Seigneur bénira cette fois-ci, plus qu’Il l’avait fait autrefois. Eh bien, écrivez cela sur quelque chose; mettez cela de côté et voyez si ce n’est pas vrai.
Cela se dirige quelque part, je ne sais pas. Il y a un petit enfant, âgé d’environ huit, dix mois, quelque chose comme cela; il a une petite tignasse blanche ici sur la tête. Je–je ne suis vraiment pas fort pour évaluer les âges. Il va mourir. Il y a quelque chose dans sa gorge, ou sa poitrine, qui va le tuer. On va le transporter sur un brancard, en toile de couleur verte, vers un wagon de l’entrepreneur des pompes funèbres pour être emmené. Je passerai à ce moment-là, et je reconnaîtrai la vision. Dieu redonnera la vie à cet enfant. Il rentrera encore à la maison, bien portant. Eh bien, voyez donc si ce n’est pas vrai.
Je m’attends à un petit garçon, aux cheveux roux. Sa mère aura une de ces choses que les femmes portent autour de leurs têtes, ce qui est... les foulards, vous savez. Et c’est une femme élancée et mince, le petit garçon a à peu près cette taille et il souffre de la polio, un cas très grave d’estropié. Il va être instantanément guéri. Lorsque je le verrai, je le reconnaîtrai; la vision. Eh bien, il... Et voyez... vous observerez, et vous verrez ces choses se passer.
5 Notre Seigneur est ici ce soir. Beaucoup sont debout, ils sont debout depuis un temps, sans doute. Et je suis désolé pour vous, d’avoir à rester debout comme cela. Un jour, il y a des frères là dans le champ qui... Eh bien, ils–ils étaient probablement plus riches que moi financièrement, alors ils ont acquis de très grandes tentes. Et beaucoup parmi eux ne s’en servent pas maintenant. Plusieurs m’ont donc appelé et m’ont dit que je pouvais avoir leur tente, au cas où je voudrais m’en souvenir. Certaines font asseoir jusqu’à quinze mille.
Je parlais à frère Reed; j’aimerais emporter cela hors de Jonesboro et la dresser pendant environ un mois quelque part là, et tenir une bonne réunion à l’ancienne mode. Nous demandons à toutes les églises partout de collaborer, peu importe qui elles sont, qu’elles collaborent. Eh bien, évidemment, nous savons qu’il y en aura beaucoup qui n’accepteront pas et beaucoup qui ne collaboreront pas. Mais il y en a d’autres qui ne croient pas dans la guérison divine. Elles n’ont jamais eu une touche de Dieu; elles ne peuvent pas croire. Elles ne peuvent simplement pas croire. Il n’y a rien là pour croire. Voyez? Il y a juste... S’il n’y a pas de vie, il n’y a simplement pas de vie. C’est–c’est juste cela. Ainsi vous, eh bien, vous ne voulez pas discuter avec les gens. La Bible dit de les laisser tranquilles. On en a eu tout au cours des âges, à commencer par Caïn. Ils sont là tout au long de l’âge, et maintenant, toute la vigne va monter en graine, et nous sommes... Assurément, ce sera le cas ces jours-ci, elle deviendra très très ecclésiastique, très orthodoxe aussi, dans la foi: mais simple, stricte, des incroyants, nés dans le monde dans ce but, et ils ne pourraient pas croire s’ils le devaient. C’est la Bible qui le dit. Et c’est la Parole de Dieu: nés dans le monde, dont la condamnation est écrite depuis longtemps. Il nous faut donc avoir cela. Mais là où est le corps, là s’assembleront les aigles. Là où Dieu agit, les gens viennent adorer Dieu. Ça a toujours été ainsi.
6 Eh bien, je suis très reconnaissant, j’adresse mes remerciements ce soir à frère et soeur Reed, à ceux qui travaillent dans cette église, à chaque membre, pour votre précieuse collaboration pendant ce temps. Nous sommes... petite équipe a été dispersée, certains se reposent à la maison. Monsieur Sharrit est à Phoenix, en Arizona. Monsieur Bosworth est à Durban, en Afrique du Sud, préparant une réunion. Baron Von Blomberg est en Inde apprêtant un dîner. Je dois prendre un dîner avec monsieur Nehru, le premier ministre de l’Inde. Et puis, de là, il ira chez le roi de Transjordanie pour un petit dîner. Et puis, de là, de chez les musulmans, nous irons en Israël; et de là, au Luxembourg, en Allemagne. Monsieur Baxter, l’orateur, est en Colombie-Britannique.
7 Ma prochaine réunion connue se tiendra à Connersville, dans l’Indiana. Nous aurons là la capacité de faire asseoir environ vingt mille. Et ainsi, à Connersville, dans l’Indiana. cette série de réunions est maintenant organisée, il y a quarante-trois églises du Plein Evangile dans ce district-là qui y collaborent, avec beaucoup, beaucoup de douzaines ou plus, droit jusqu’à Toledo, dans l’Ohio, et partout là. Nous commençons le trente et un de ce mois à Connersville, dans l’Indiana, par un grand effort pour le Saint-Esprit, la prédication de l’Evangile, la prière pour les malades, nous nous attendons à ce que beaucoup viennent là. Et nous vous invitons, si vous habitez là dans les parages, venez. Si vous avez...
8 Et si vous vous êtes converti au cours de ce réveil-ci, et que vous n’avez pas encore d’église que vous avez commencé à fréquenter, je vous demanderai de vous joindre à cette petite église. C’est un merveilleux petit endroit ici où venir servir le Seigneur. Si j’habitais ici dans les parages, je serais membre de cette église-ci. J’en suis membre, de toute façon, je suis un pasteur associé. Ainsi donc, je dois revenir de temps en temps pour voir comment l’église évolue. Et je regarde, vous savez, je reviendrai donc vous rendre visite, le Seigneur voulant, très bientôt.
Et alors... Et vous tous qui êtes dans les parages, dans ces autres villes, vous qui êtes membres de ces églises, allez à l’église chaque jour, chaque jour que vous le pouvez, chaque jour qu’il y a service, allez-y. Assistez à votre église; soyez très dévoué. Soutenez donc votre église. Soutenez votre pasteur, aidez-le avec tout ce que vous avez. Donnez-lui un soutien spirituel. Jeûnez et priez pour lui. Et ayez foi en lui, et Dieu continuera à conduire l’église jusqu’à ce glorieux jour dont nous attendons vivement l’arrivée. Peu importe que certains disent: «Eh bien, notre église ne croit pas...»
Eh bien, là, tant que vous croyez les principes fondamentaux et que vous êtes né de nouveau de l’Esprit de Dieu... Eh bien, vous croyez peut-être que Christ vient sur un cheval blanc, et d’autres croient qu’Il vient sur une nuée blanche. Mais cela ne L’arrêtera pas de venir. Il–Il va de toute façon venir. Ainsi donc–donc... croyez simplement en Lui (Vous voyez?), et Il sera là. Ainsi donc, j’apprécie tout. Frère Reed a dit qu’on avait prélevé une offrande d’amour pour moi, en fait je–je... Et je–je veux dire une offrande missionnaire ce soir, aussi. Maintenant, je...
9 Ce que je fais avec l’argent, la raison pour laquelle je n’ai pas une grande tente, ou je n’ai pas de bâtiment comme cela, je dépense chaque sou. Dieu qui est mon Juge solennel sait que tout ce que je n’utilise pas pour vivre, subvenir à mes besoins, je l’affecte aux missions à l’étranger, et je vais là-bas dans les pays des païens pour prêcher l’Evangile aux païens, pour leur apporter le même type de ministère que vous voyez ici même. Et alors, lorsque ce jour-là viendra, je vais... j’aimerais être considéré comme un administrateur qui a fait exactement ce que Dieu voulait que je fasse. Et puisque je sais que je le prends moi-même, et je vais là-bas et je fais... Eh bien, cela ne sera pas tout à fait... je ne recevrai pas de récompense. Ça sera vous qui m’avez envoyé, car je ne pouvais pas aller si vous ne m’aviez pas envoyé (C’est–c’est vrai), si vous n’aviez pas frayé une voie et que Dieu ne vous l’ait mis à coeur. Et je vais utiliser chaque centime de cela au mieux de ma connaissance pour répandre l’Evangile de Jésus-Christ.
10 Je prie qu’en ce jour-là, lorsque les couronnes seront données aux saints, alors que je me tiendrai là à l’écart et que je verrai le groupe de Jonesboro venir là, que je ferai du tapage, je crains, lorsque je Le verrai placer... je pense à ce que ce sera lorsque le dernier Souper de... sera présenté là dans la Gloire. Et nous tous qui avions vaincu, nous nous assoirons de part et d’autre de la table, l’un en face de l’autre. Je regarderai par-dessus la table et je verrai les vieux saints assis là, portant les traces des combats violents, les larmes de joie leur coulant sur les joues. Nous aurons simplement à étendre la main par-dessus la table et nous tenir la main.
Je dirai: «Ô frère, je suis très content de vous voir.» Pensez donc à cette longue table de souper. Alors, le Roi apparaîtra dans Ses beaux habits et Il essuiera toutes les larmes de nos yeux, et Il dira: «Ne pleurez plus; nous sommes tous ici maintenant. Tout est fini. La dernière réunion de prière est donc terminée: plus de jeûne, plus de prière. Nous sommes tous à la Maison. Maintenant, entrez dans les joies du Seigneur.» C’est ce que j’aimerais entendre. C’est pour cela que je travaille durement, jour et nuit, tout le temps que je le peux.
11 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et j’espère revenir auprès de vous. Le fil du loquet est suspendu hors de ma porte chez moi. En passant par là, faites un saut et dites: «Comment allez-vous, Frère Branham?» Il y a généralement une foule là; ainsi donc, frayez-vous simplement un chemin. Dites: «Je viens de l’Arkansas.»
12 J’aimerais lire les Ecritures pour une prédication d’environ dix minutes. Ensuite, nous allons essayer de former une ligne de prière. Et je ne sais comment nous allons nous y prendre, mais–mais nous allons essayer cela, le Seigneur voulant. Maintenant, veuillez allumer votre climatiseur pendant quelques instants, il fait bien chaud. Eh bien, allez de l’avant. C’est très bien.
J’aimerais lire les Ecritures dans Saint Jean chapitre 3. Et je prendrai cela rapidement afin que nous puissions commencer directement la ligne. Maintenant, le premier verset, à partir du verset 8 ou 9 du chapitre 3.
Nicodème lui dit: Comment cela peut-il se faire?
Jésus lui répondit: Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses !
En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage.
Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes?
Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel.
Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé,
13 Si je plaçais un... un peu ce que j’appellerais un texte, cette semaine, j’ai parlé sur: Qui était Jésus? Et quel genre de ministère avait-Il? Qu’est-ce que le monde pensait de Lui? Comment L’avaient-ils reçu? Et puis, comparer Son ministère avec Celui d’aujourd’hui, et voir s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Avec toutes les bases sur–sur Hébreux 13.12: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, ce soir, je vais parler de: La voie à laquelle Dieu a pourvu, comme sujet.
Nous avons toujours pensé comment, si nous cherchions Jésus, à ce que nous aurions eu à chercher. S’Il a promis qu’Il serait avec nous jusqu’à la fin du monde, alors certainement, même si notre foi défaillissait, néanmoins Il est ici. Si notre foi a défailli, Lui reste toutefois fidèle, Il ne peut pas se renier. Il est ici. Et si je...
14 Ce à quoi je pense, mes amis, ce–ce à quoi nous avons failli, c’est que notre foi manque de croire cela, nous Le recevons comme quelque chose de quelque part très loin, alors qu’Il est juste ici avec nous. Il est tout aussi réel dans cette salle ce soir que l’est cette lumière. L’obscurité ne peut pas entrer dans cette salle tant que cette lumière est ici. Peu importe combien il fait sombre dehors, il ne fera jamais trop sombre sans que cette lumière vainque les ténèbres. Est-ce vrai? Peu importe combien l’obscurité cherche à pénétrer par cette fenêtre, tant que cette lumière est là, la lumière est plus puissante que les ténèbres.
Et lorsque la foi entre, peu importe combien l’incrédulité est là, la lumière est plus forte que les ténèbres. Et je crois que Dieu est tout aussi réel dans cette salle ce soir que l’est cette lumière, que la lumière sur ma main, et tout aussi proche que la lumière sur mes mains.
15 Or, si nous Le voyons dans Son ministère terrestre... Il allait çà et là, Il ne prétendait pas être un grand personnage. Il ne prétendait pas être un guérisseur. J’entends trop de critiques que le diable a mises sur les gens qui prient pour les malades, les taxant de guérisseurs divins.» Eh bien, qu’un homme prêche la guérison divine, cela ne fait pas de lui un guérisseur divin. Si c’est le cas, l’homme qui prêche le salut est un sauveur divin. Pensez-vous qu’il serait correct d’appeler un prédicateur: «Voici mon sauveur divin qui passe»? Bon, certainement que vous n’aimeriez pas faire cela. Eh bien, c’est tout aussi scripturaire que de dire: «Voilà un guérisseur divin qui passe.» Qu’un homme prêche la guérison divine, cela ne fait pas de lui un guérisseur, pas plus que cela ne fait de l’autre un sauveur. Un ministre ne peut pas vous sauver. Il peut vous parler de la Parole et vous pointer Christ, et Christ ne peut pas vous sauver, Il l’a déjà fait. Il vous a sauvé il y a mille neuf cents ans. Vous n’avez qu’à accepter cela. Eh bien alors, Il... Un homme ne peut pas vous guérir, il ne peut que vous montrer Christ qui vous a guéri il y a mille neuf cents ans lorsqu’Il est mort.
16 Récemment, j’étais quelque part à Stewart Hamilton où il y avait quelques prédicateurs fondamentalistes très remarquables, qui n’aimeraient probablement pas que je cite leur nom ici devant cette assistance mixte. Et un de ces prédicateurs est venu vers moi, et il a dit: «Frère Branham, je vous apprécie en tant qu’homme.» Il a dit: «Mais votre doctrine de la guérison divine est toute fausse.»
J’ai dit: «Eh bien, alors, la Bible entière est fausse.»
Et il a dit: «Oh ! Vous ne pouvez pas... Prêchez-vous la guérison divine par la Bible, par l’expiation?»
J’ai dit: «Oui, oui.»
Il a dit: «Frère Branham», certainement, il savait que je n’avais pas d’instruction. Et il a dit: «Frère Branham, si je peux vous prouver par la Bible que vous êtes en erreur, allez-vous accepter cela?» J’ai dit: «Oui, frère. Certainement. Tout celui qui peut me montrer par les Ecritures que je suis en erreur, alors je vais–je vais accepter cela. Je n’aimerais pas être en erreur.» Et il a dit: «Très bien. Et vous prêchez que la guérison divine est par l’expiation?»J’ai dit: «Oui, oui.»Il a dit: «La prophétie d’Esaïe là, au sujet de...»J’ai dit: «Oui, oui.» Et je...Il a dit: «Frère Branham, si la guérison divine...» Maintenant, écoutez attentivement, tout le monde. Il a dit: «Si la guérison divine était dans l’expiation, il n’y aurait plus de douleur. Nul ne pouvait même ressentir la douleur si la guérison divine était dans l’expiation, parce que l’expiation couvrirait tellement cela qu’il n’y aurait même pas de douleur.» J’ai dit: «Frère, croyez-vous que le salut de l’âme est dans l’expiation?» Il a dit: «Oui.»J’ai dit: «Y a-t-il la tentation?»Et il a dit: «Faites-vous application de cela en rapport avec Esaïe?»J’ai dit: «Oui, oui.» Certainement, comme je n’ai pas d’instruction, je dois compter sur le Saint-Esprit pour Sa sagesse. Il a dit: «Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, cela vous sera donné à l’heure même.» J’ai fait le tour, j’ai parcouru trois fois le monde présentement, et jamais Il n’a failli jusque-là. Et Il ne faillira jamais.
17 Il a dit: «Eh bien, Rév. Branham, j’aimerais vous poser une question.» Il a dit: «Si je vous prouve par la Bible que la prophétie d’Esaïe a déjà été accomplie et est déjà passée, selon...» Il a dit: «Il a pris nos infirmités et autres, et Il a été brisé pour nos iniquités...»
Et j’ai dit: «Oui, oui.»
Il a dit: «Très bien. Matthieu 8 dit que le soir, on amena auprès de Jésus un grand nombre de gens afin qu’Il les guérisse, et Il les a guéris tous, afin que s’accomplisse ce que le prophète Esaïe avait dit: ‘Il a pris nos infirmités.’» J’ai dit... Il a dit: «Vous voyez, Frère Branham, cela prouvait que ça s’accomplissait là même, parce que la Bible dit que ça s’accomplirait.»
J’ai dit: «Frère, voulez-vous dire que vous croyez que–que la prophétie d’Esaïe: ‘Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, et ainsi de suite, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris’, que la guérison qui avait lieu là accomplissait cela?»
Il a dit: «C’est ce que déclare la Bible.»
J’ai dit: «Alors, l’expiation avait eu plus de puissance avant son accomplissement qu’après qu’elle a été réalisée, après qu’elle a produit des effets. En effet, c’était une année et six mois avant même la mort de Jésus. L’expiation n’avait pas encore été faite. Comment cela se pouvait-il donc?»
Et il a dit: «Alors...»
18 «Eh bien, ai-je dit, j’aimerais vous poser une question, frère.» Il s’est mis à utiliser de grands mots, et j’ai dit: «Eh bien, ne vous mettez pas à me parler en langue inconnue, parce que je ne peux pas comprendre cela.» Voyez? J’ai dit: «Parlez bien clairement, en un anglais de chaque jour, juste comme celui qui est utilisé ici dans la version King James.» Et j’ai dit: «Nous allons nous comprendre.»Et j’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Acceptez-vous que la guérison divine est dans la Parole? Dans la Parole?» Je voulais l’entendre dire ça. Voyez, que cela soit connu.
Il a dit: «Oui, c’est dans la Parole, mais l’expiation est de l’autre côté de la Parole.» Voyez? Et il a dit: «En effet, je...»
Dans Marc 11... Certains ont dit que Marc 16 n’est pas inspiré. Mais Marc 11.24 dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu.» Voyez? Tout ce que !
Il a dit: «Oui, c’est dans la Parole, mais ce n’est pas dans l’expiation.»
J’ai dit: «Vous voulez dire que Dieu a placé cela dans la Parole, sans l’avoir placé dans l’expiation?»
Il a dit: «L’expiation est de l’autre côté de la Parole; c’est là que vous commettez votre erreur, Frère Branham.»
19 Je lui ai donné une petite parabole. J’ai dit: «Frère, il y avait une fois un roi qui avait un grand royaume. Et dans ce royaume, il a établi des lois, et l’expiation et autres, du roi.» Et j’ai dit: «Il y eut un esclave qui avait commis un crime, et ce crime était passible de mort. Et ainsi, il a appelé l’esclave, on a énuméré le... et c’était la mort. Il n’y avait donc rien d’autre à faire pour l’esclave que de mourir. Il a donc dit: ‘Que puis-je faire avant de te tuer?’»
Et l’esclave a dit: «Donnez-moi un verre d’eau.» Ainsi donc, on lui a apporté un verre d’eau. Et le pauvre homme savait qu’il allait mourir, alors il tremblait, il ne pouvait pas tenir le verre dans sa main. Et il a dit: «Maintenant, attends une minute. Avant que tu... Avant que je t’ôte la vie, je vais... Tu bois cette eau avant que je t’ôte la vie. Et je ne t’ôterai pas la vie avant que tu boives ce verre d’eau.’ Et l’esclave a répandu l’eau par terre.»
20 J’ai dit: «Maintenant, que va-t-il faire? Si c’est un homme honorable, il doit tenir parole, peu importe ce que dit la loi, il doit tenir parole.»
«Eh bien, a-t-il dit, certainement, Frère Branham. Là, c’était une gaffe du roi.» J’ai dit: «Alors, Dieu–Il est si inconsistant qu’Il gaffe là en mettant cela dans Sa Parole et non dans l’expiation? Non, non, ne me dites pas ça. Non, Il ne peut pas faire cela. Non.»
Vous ne pouvez pas nier que cela est dans la Parole, et si c’est dans la Parole, l’expiation, c’est pour soutenir la Parole, car chaque Parole de Dieu est inspirée.
Il a dit: «Croyez-vous que Marc 16 est inspiré?»
J’ai dit: «Oui, oui. Chaque...»
«Du verset 9 jusqu’à la fin?»
21 J’ai dit: «Oui, oui. ‘Ils saisiront les serpents, s’ils boivent un breuvage mortel.’» J’ai dit: «Oui, oui, je crois que c’est inspiré. Je ne crois pas dans le fait de tenter, pas plus que quoi que soit d’autre, mais ai-je dit, je–je crois que c’est la Parole inspirée.»
Il y avait une fois une femme dont le fils était parti à l’institut supérieur. Et il avait beaucoup étudié, vous savez. Et alors qu’il était dans un grand institut supérieur pour étudier au sujet de Dieu et tout, sa pauvre vieille mère est tombée malade; et les médecins étaient sur le point de l’abandonner. Elle avait contracté la pneumonie et elle était mourante.
Ainsi, une vieille petite femme qui habitait en bas de la rue allait à une mission, une mission du Plein Evangile. Ainsi, elle remontait, et elle lui a parlé, disant: «Eh bien, madame, a-t-elle dit, croyez-vous... votre pasteur croit-il à la prière pour les malades?»
Elle a dit: «Non, je ne pense pas que nous croyons à la guérison divine là.»
22 Elle a dit: «Eh bien, notre église croit à la guérison divine. Permettez-moi d’amener votre... que mon pasteur vienne prier pour vous.»
Elle a dit: «Eh bien, très bien.» Et ainsi, le pasteur est venu, et il l’a ointe d’huile et a prié pour elle. Et la femme fut guérie. Ainsi, son–son fils est revenu du cimetière, du séminaire, un peu plus tard. Alors, lorsque... je–je confonds ces deux, ils sont si proches de toute façon. J’ai donc... Il est arrivé là.
23 Alors, la chose suivante, vous savez, il a dit: «Chère maman, je suis très content de te voir», et il l’a réjouie, et il a dit: «Eh bien, la question que je me posais, maman, a-t-il dit, tu–tu m’avais dit que tu étais très malade, et j’étais prêt à revenir. Puis, tout d’un coup, tu m’as écrit, m’informant que tu étais guérie.» Il a dit: «Je n’avais jamais compris cela.»
Il a dit: «Ô chéri, n’as-tu pas compris?»
Il a dit: «Non.»
Elle a dit: «Tu sais là où se trouve cette petite mission là?»
«Oui.»
Elle a dit: «Ce prédicateur du Plein Evangile est venu et a prié pour moi, il m’a oint d’huile et le Seigneur m’a guérie. Alléluia !»
«Eh bien, a-t-il dit, maman, en voilà ! Eh bien, a-t-il dit, certainement, ce sont des illettrés là-bas, a-t-il dit, ils ne comprennent pas.» Il a dit: «Nous avons appris au séminaire que Marc 16...»
24 C’est là qu’elle a dit, elle a dit: «Eh bien, il a prié pour moi et m’a ointe. La Bible dit: ‘Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.’» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et elle a dit: «J’ai cru cela.» Et elle a dit: «Dieu m’a guérie.» Eh bien, elle... il a dit: «Maman, a-t-il dit, Marc 16 à partir du verset 9 jusqu’à la fin n’est pas inspiré.»
Elle s’est tenue là un instant; elle a dit: «Eh bien, gloire au Seigneur. Gloire au Seigneur.»
Il a dit: «Maman, qu’y a-t-il?»
Elle a dit: «Je me disais donc: Si Dieu a pu me guérir avec une Parole non inspirée, que ferait-Il avec Celle qui est vraiment inspirée?»
Si la Parole non inspirée a pu guérir, que ferait Celle qui est réellement inspirée? Que fait Marc 11.24? Que feraient les autres, Jean 4, Jean 14.12, et autres? Voyez? Tout cela est inspiré.
25 Eh bien, Dieu a pourvu à une voie pour Son peuple. Il a... Il y a beaucoup de gens, beaucoup parmi nous, qui sortent de cette voie-là. Dieu a toujours une voie à laquelle Il a pourvu. Croyez-vous cela? Eh bien, Jésus a dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert (là où je viens de lire), il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé.
Eh bien, dans un instant, nous allons prier pour les malades. Dieu a toujours pourvu à une voie. Il a pourvu à une voie pour la nature. Il a pourvu à une voie pour tout.
26 Tenez, parfois, je gravis les montagnes, lorsque je cherche à m’éloigner en automne, pour une ou deux semaines de chasse. Et j’ai remarqué là l’une des choses les plus particulières, vers septembre. Là loin au nord du Canada, eh bien, il y a un... il y a de petits lacs là. Et il y a ces petits canards, que vous avez par ici dans ces rivières, ils volent là, ils vont là et ils se font un nid là sur le lac. Et ils pondent leurs oeufs dans les marais, et ils éclosent des canetons. Et puis, le petit oiseau, en automne, il grandit, cet énorme canard. Eh bien, il nage là sur l’étang, vous savez. Et la chose suivante, vous savez, au premier coup de vent frais qui passe là et le... et dès que la montagne est couronnée de neige, ce petit coup de vent frais descend là dans la cuvette. Il y a là un de ces canards, qui est un mâle. Il est le leader; il est né leader. Il va courir en plein milieu de cet étang, il élèvera ce petit bec en l’air et il fera: «Honk–honk, honk–honk.» Tout caneton sur l’étang viendra vers lui. Et il lèvera...Il est...
27 Eh bien, souvenez-vous, il n’a jamais quitté cet étang. Il est né et a grandi dans cet étang. Et tous ces canetons savent que c’est lui le leader, ils savent que Dieu l’a envoyé pour être un leader. Et ce petit canard va voler droit de là, sans boussole, ni rien d’autre, et il va aller droit vers l’Arkansas, vers vos rizières, comme ça. Est-ce vrai?
Qu’est-ce? Vous dites: «C’est l’instinct. Le canard a l’instinct.» Eh bien, si Dieu a doté le canard d’un moyen d’avoir assez de bon sens pour échapper au froid, qu’en est-il de l’homme conduit par le Saint-Esprit? Comment appelleriez-vous cela? Comment échapper à votre maladie, à vos afflictions, à vos troubles et aux coups de froid? Dieu conduit. Le Saint-Esprit conduit l’homme. Mais le problème est que le canard connaît son leader, mais nous, nous ne connaissons pas notre leader. Le Saint-Esprit nous parle de quelque chose, vous laissez le docteur Untel vous dire le contraire. C’est là le problème.
28 Parfois, vous regardez le journal, et vous sortez là, vous regardez les nouvelles, comme quoi: «Demain, vous savez, il fera beau temps, agréable.» Et regardez cette vieille laie ramasser les–les–les morceaux de bois et les épis de maïs sur le flanc nord de la colline, contourner vers le flanc sud de la colline et y faire son lit. Ne faites pas cas de ce journal. Cette laie connaît plus à ce sujet que le commentateur du journal. Oui, oui.
Vous allez à la chasse aux lapins, observez ces lapins, juste là sous des herbes, tapis là au fond. Attendez-vous au climat froid, peu importe ce qu’annonce le journal, Dieu leur a donné l’instinct. Il les a créés avec l’instinct.
29 Une fois, je labourais avec papa. Nous travaillions dans le champ, assez... Nous cultivions le maïs, c’était en juin, ou juillet, je pense; nous le mettions de côté. Et pendant que je tirais mes chevaux, une paire de vieilles cordes, de vieilles cordes... Avez-vous déjà labouré avec des rênes? Oh ! la la ! Ça met votre cou en pièces, sans chemise, assis là, le labour ancien. Tout d’un coup, mes chevaux se sont mis à s’ébrouer et ils continuaient à le faire. J’ai dit: «Papa, qu’y a-t-il? Regarde ces chevaux, comment ils agissent et les tiens aussi.»
Il a dit: «Fils, il y a une tempête qui approche.»
J’ai dit: «Une tempête? Eh bien, je ne vois pas de tempête.»
Il s’est arrêté. Je n’oublierai jamais le vieil homme. Il a dit: «Mais, fils, tu ne comprends pas.» Il a dit: «Dieu a doté le cheval d’un instinct. Il peut donc flairer cette tempête; c’est très loin.»
30 Et vous savez, nous n’avions pas cultivé deux ou trois rangées de plus qu’un grand nuage est apparu, nous avions dû nous dépêcher et aller à la grange. Dieu a doté d’un instinct (Voyez?), un instinct pour ressentir et se frayer une issue. Dieu a pourvu à une voie pour eux, comme ils peuvent flairer la tempête au loin et se mettre à l’abri. Voyez? Il a frayé une voie pour nous, mais nous refusons d’accepter cela.
Je me souviens, un jour, alors que je chassais dans les montagnes, oh ! comme il fait beau là-haut dans le Colorado. Je sais, nous allons chasser l’élan, ce n’est pas tuer les animaux, c’est plus pour rester seul. Je me souviens d’un jour là-haut, je me promenais, et une tempête a éclaté; c’était au début de l’automne, vers octobre. Et j’étais là loin, à soixante-dix miles [112, 63 km] de la civilisation, je campais là, et une forte pluie de tempête s’est abattue. Et je me suis réfugié derrière un arbre; et la pluie se dissipait. Les élans n’étaient pas encore descendus. Ils étaient là-haut sur la montagne. Et comme ils... Quand la pluie a commencé, je m’étais réfugié derrière un arbre, et il commençait à faire froid. Après la pluie, j’ai regardé, et les arbres aux feuilles persistantes gelaient là où la pluie était tombée. Et un arc-en-ciel est apparu, comme cela, dans la vallée. Oh ! la la ! Vous parlez de la profondeur qui appelle la profondeur ! Je m’étais beaucoup réjoui. Vous savez ce que je veux dire.
Et peu après, j’ai entendu un vieux loup gris hurler ici en haut et une compagne lui répondre là en bas. Oh ! la la ! Ma mère est une métisse. Donc, vous savez, je–je ne pouvais pas supporter très longtemps. Quelque chose s’est écrié.
31 Je me suis dit: «Ô Dieu ! Regarde là le grand oeil de Jéhovah, regardant de l’autre côté de la montagne, Son arc-en-ciel, là Son alliance. Il ne détruira plus la terre avec l’eau, mais la prochaine fois, ça sera par le feu.» Je peux voir Apocalypse 1, où Il est assis sur Son Trône, semblable à la pierre de Jaspe et de sardoine, le Premier et le Dernier, Celui qui était, Celui qui est, et Celui qui vient, avec l’arc-en-ciel au dessus de Sa tête, une alliance, faite avec Son propre sang pour Son peuple, par la grâce, Il les a sauvés. Oh ! Quelque chose s’est mis à crier.
J’ai entendu un bruit là-bas, beaucoup d’agitation et du bruit. Il y avait un drôle de ce que nous appelons pine jack, un drôle de petit écureuil d’environ cette longueur, il mange les pommes de pin, une petite créature qui fait des histoires. Oh ! la la ! Il est comme un hibou irlandais, faisant du bruit pour rien. Alors, je l’ai regardé. Il était perché sur une souche, gazouillant tout bonnement. Et je me suis dit: «Qu’est-ce qui lui fait faire des histoires? Peut-être qu’il a peur de moi.» Et il m’est arrivé de regarder là sous un vieil arbre abattu par le vent, là où les arbres étaient abattus par le vent depuis des années, il y avait un grand, un énorme aigle, qui sortait de là. Avez-vous déjà vu un grand aigle à la tête blanche? Oh ! C’est une espèce jolie. Et il sortait de là. Et ce drôle de petit écureuil criait sur lui.
32 Je l’ai vu donc sortir, je l’ai vu percher là. Je me suis dit: «Oh ! la la ! Regarde combien il est brave.» Il regardait ce petit écureuil. Il me regardait, ces très gros yeux gris brillaient. Je me suis dit: «Oh ! Qu’est-ce qui fait que... Qu’est-ce que cela veut dire? Pourquoi Dieu a-t-Il placé cet aigle devant moi?» Je crois que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, tout. Toutes choses... Vous êtes ici ce soir dans un but. Vous êtes ici parce que Dieu vous a conduit ici.
Et je me suis dit: «Seigneur, pourquoi m’as-Tu placé ici à crier?» Et j’ai été emballé. J’ai couru tout autour de cet arbre-là, criant à tue-tête et lançant les bras... Vous penseriez que j’étais un fanatique, bien assurément, si vous m’aviez alors vu. Il n’y avait personne là pour m’entendre, à part le Seigneur, mais je criais vers Lui. J’avais déposé mon fusil par terre et j’ai contourné à plusieurs reprises cet arbre, criant: «Alléluia ! Alléluia !», en contournant encore plusieurs fois cet arbre. Je pense que cet aigle a pensé que j’étais d’une espèce particulière. Il me regardait donc.
33 Et j’ai dit: «Dis donc, ami, as-tu peur de moi?» Il est simplement resté perché là et il me regardait. Je me suis dit: «Oh ! la la ! Je vois.» Ô Dieu, Tu veux que je contemple cet aigle parce qu’il est brave. C’est ce qu’il y a. Dieu n’a pas besoin de lâches. Dieu veut de braves hommes. Il ne veut pas que vous disiez ici au tabernacle que vous êtes guéri, et quand vous sortez là et que vous rencontrez un fanatique qui ne croit pas à la guérison divine... Oui, c’est un fanatique, c’est vrai. Il vous taxe d’en être un, mais c’est le contraire. Eh bien, et vous avez peur de lui parler de votre guérison. Vous avez peur de témoigner au travail de la grâce salvatrice de Jésus-Christ, d’avoir reçu le baptême du Saint-Esprit. Ah ! Dieu n’a pas besoin de gens comme cela. Non, non.
Je me disais: «Oh ! Qu’il est brave.» Je me disais: «Qu’est-ce qui le rend si brave?» Et je l’observais. Je me disais: «Peut-être qu’il a peur de moi.» Alors, j’ai saisi mon fusil comme cela. Et il a simplement battu ces grands yeux, il m’a regardé. Je me suis dit: «Il n’a pas peur de moi.»
34 Je me demandais: «Pourquoi n’as-tu pas peur de moi?» Eh bien, sais-tu que je peux te tirer dessus?» Et certainement, je ne pouvais pas faire cela, parce que je l’admirais. Je me suis dit: «Je peux te tirer dessus.» Il était perché là. J’ai vu ce qui le rendait si–si brave: Il utilisait ses grandes ailes et il faisait... je me suis dit: «Oh ! Je vois pourquoi tu es très–tu es très brave. Dieu t’a donné deux ailes pour voler. Dieu a pourvu pour toi aux ailes. Et tu peux te fier en elles. Tu sais ce qu’elles représentent. Et tu crois en elles. Et peu importe à quelle vitesse je peux chercher à prendre ce fusil, tu seras dans ces buissons et je ne pourrais même pas te voir. C’est la raison pour laquelle il... Tant que tu peux ressentir ces ailes-là, tout va bien pour toi.»
35 Je me suis dit: «Ô Dieu. C’est vrai. Tant que je peux sentir le Saint-Esprit là, je sais qu’il y a quelque chose. Que le diable dise ce qu’il veut. Quelque chose est là. Oui, oui. Quelque chose là...»
Et je l’ai observé pendant quelques minutes. Finalement, il en avait eu marre de ce drôle de petit écureuil de pin qui ne faisait que lui aboyer, et il a juste fait un grand bond, comme cela, et il a battu les ailes environ deux fois, il n’a pas couru ici, couru là, couru là, il a simplement battu les ailes deux fois, et il a déployé ses ailes. Il n’avait plus jamais battu les ailes. Et je l’observais. Il savait bien comment voguer sur ces courants d’air, et il est monté haut. Un coup de vent l’a encore frappé, et il est monté haut, haut. Je me tenais là, criant, avec les mains levées. Il avait quitté ce drôle de petit terre à terre «jacasserie, jacasserie.»
36 Je me suis dit: «C’est ça, Seigneur. Il n’est pas question de courir ici et là, sauter ici et là. Il s’agit juste de savoir disposer ses ailes face à la puissance de Dieu, et lorsque les vagues viennent, voguer dessus sans cesse, haut, haut, haut, haut, quitter cette jacasserie, jacasserie» terre à terre. Il dit: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas.» Christ est mort il y a mille neuf cents ans, Il est vivant ce soir...?... vivant avec Son peuple, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ici. La nature...
Si je sortais ce soir et que je regardais ces nuages là-bas... Vous verrez assis là dans le buisson... j’ai vu que là où je reste il y a un vieux rossignol perché là. Oh ! la la ! S’il ne chante pas cette sombre soirée. Et j’ai étudié le rossignol. La raison pour laquelle il chante, il regarde tout autour; il peut voir une étoile. Et tant qu’il peut voir une étoile, il va chanter à tue-tête. Pourquoi? Il sait que le soleil est en train de briller quelque part, en train de briller sur cette étoile. Ainsi, il chante. Ainsi, oh ! oh ! la la ! si je peux entendre un bon vieil amen à l’ancienne mode. Si je peux apprendre que quelque chose a lieu, je peux chanter à tue-tête, sachant que Jésus-Christ est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement, tant que la lumière brille. Si je regardais cette étoile, et que je disais: «Petite étoile, certainement, je pense que tu es jolie et brillante»...
37 Si elle pouvait me répondre, elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille, c’est le soleil qui brille sur moi qui me fait briller.» C’est...
Un médecin m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, ne pensez-vous pas que ces gens sont un peu nerveux et emportés par l’émotion?»
J’ai dit: «Non, non.» J’ai dit: «Je ne le pense pas.»
Il a dit: «Ils font simplement un peu de bruit et font des histoires.» J’ai dit: «Non, ce n’est pas ça. Il y a quelque chose, ce ne sont pas eux qui brillent. Il y a quelque chose qui brille sur eux. C’est ce qui fait cela.»Je me suis arrêté près d’une vieille marre, là dans les montagnes il n’y a pas longtemps, là où j’avais l’habitude de m’étendre pour boire. Et je me demandais ce qui réjouissait tant cette marre-là, elle ne faisait que bouillonner, sauter, bouillonner, sauter, bouillonner, sauter. Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui te rend si heureuse? Peut-être parce que les biches boivent de toi et c’est ce qui te rend heureuse?»Elle dirait: «Non !»Je disais: «Peut-être parce que les ours s’en abreuvent !»«Non, ce n’est pas ça qui me rend heureuse.»«Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner? Parce que chaque année, je passe par ici et je bois de ton eau.»
38 «Non.» S’il pouvait parler, il dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. Il y a derrière moi quelque chose qui me pousse et qui me fait bouillonner.» C’est pareil donc avec chaque homme né de nouveau. Il y a quelque chose dans l’homme qui a le baptême du Saint-Esprit, qui lui fait croire au surnaturel, qui lui fait croire en Dieu. Il est conduit par l’Esprit, ce n’est pas l’homme, il y a Quelque Chose en lui qui le pousse. Il ne peut pas le retenir. Et il ne peut simplement pas s’arrêter. Il y a là Quelque Chose qui se meut. Dieu pourvoit à une voie.
39 Dieu a pourvu à une arche pour le salut de la maison de Noé et de sa famille. Dieu a une fois fait préparer douze pierres par Elie, pour préserver les enfants d’Israël. Dieu a toujours frayé une voie. Quand ils étaient dans le désert, et la chose suivante, vous savez, le péché est entré. Eh bien, suivez ! En voici un pour un incroyant. Quand ils se sont mis à chercher querelle à Moïse, alors ils ont péché, Dieu a dit à Moïse d’élever un serpent d’airain. Si nous avions le temps de voir en détails ce que représentait ce serpent. L’airain, c’est le jugement divin; le serpent, c’est le péché déjà jugé, et autres. Tous les symboles, et quand ce serpent fut élevé, c’était pour des raisons multiples: une raison est que l’homme avait péché, et il était tombé malade. Et ils regardaient, ils demandaient pardon et ils regardaient le serpent d’airain. Et celui qui regardait et croyait était guéri.
40 Eh bien, Jésus a dit que comme Moïse éleva le serpent d’airain, dans le même but, la même raison, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé. Et si le type a permis que les gens soient guéris, à combien plus forte raison l’antitype le fera? Si le serpent d’airain, une ombre, a pu faire cela, que ferait la réalité? Oh ! la la ! Amen. Eh bien, nous voici partir. Je vais... Oh ! Je sens donc... Je me sens très religieux maintenant même. Je me sens vraiment religieux. Oui. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.
Dieu a pourvu à une voie pour vous ce soir, peu importe le nombre d’incroyants. Ils peuvent construire de grands abreuvoirs ecclésiastiques, et recueillir toutes les eaux d’ici, toutes les eaux de là. Mais la pluie tombe malgré tout pour «quiconque veut, qu’il vienne et boive.» C’est vrai. Car Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement...
41 Quand vous entendez quelqu’un dire: «Frère Branham, un guérisseur divin.» Vous savez que cet homme a besoin d’aller dans des cellules pour psychopathes, parce que ça ne marche pas ici. Quelque chose cloche. Car quiconque connaît un... pense qu’un homme est un guérisseur, c’est juste un... L’homme travaille sous l’inspiration du diable. Je peux prouver cela par la Bible. C’est exact. C’est tout à fait vrai. Ça a toujours été le diable qui met le point d’interrogation à la Parole de Dieu.
Regardez ici. Quand Jésus était sur terre, Il était Prophète. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Il a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père me le montre.»
Ils ont dit: «Viens ici guérir celui-ci. Viens ici guérir celui-ci, et nous Te croirons.» Le même vieux démon ecclésiastique est encore vivant, il continue à vivre dans des hommes, des incroyants. C’est exact.
42 Remarquez ici. Ils ont placé un chiffon autour de Son visage, et ils L’ont frappé sur la tête. Ils ont dit: «Eh bien, si Tu es Prophète, dis-nous qui T’a frappé. Nous croirons alors en Toi.» Jésus n’a point ouvert Sa bouche. Il ne faisait pas le clown pour les gens. Cependant, Il connaissait la femme au puits, où était son péché. Il savait où était Nathanaël lorsqu’il était sous le figuier, ce qui était arrivé. Il savait où était le poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche. Il connaissait les pensées des gens. Est-ce vrai? Mais quant à faire le clown pour quelqu’un, non, non, Il n’avait pas fait cela. Il ne faisait que ce que le Père Lui disait.
Puis, ils L’ont cloué à la croix. Et voici venir les saints, des érudits renommés de ce jour-là. Laissez cela pénétrer. Les érudits, les saints, les célèbres, irrépréhensibles, les docteurs, les gens de haute classe, ils sont venus et ont dit devant Lui, ils ont dit: «Maintenant, nous Te ferons la proposition suivante: ‘Descends de la croix et nous T’accepterons comme Messie.’»
Jésus a dit: «Père, pardonne-leur, ils ne savent même pas ce qu’ils font.» Là... Il pouvait bien descendre de là.
Je crois qu’un ange se tenait dans chaque buisson, disant: «Seigneur, montre simplement de Ton doigt, nous changerons cette scène ici.»
Ils ont dit: «Il a sauvé les autres, mais Il ne peut pas se sauver», le plus grand commentaire qui soit jamais fait sur Lui. S’Il s’était sauvé, Il n’aurait pas sauvé les autres. Il devait se livrer pour sauver les autres. Mais ils ne savaient guère cela: les conducteurs aveugles conduisant des aveugles (Voyez?), le même esprit.
43 Ecoutez, je vais vous le prouver, ça vient de Satan. Lorsque Satan a rencontré Jésus, il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, Tu peux donc accomplir les miracles. Tu es un Guérisseur divin, Tu es tout...?... Ordonne que ces pierres deviennent des pains et je croirai en Toi.» Est-ce vrai? Voyez-vous la paternité de cet esprit?
Il Le transporta sur le pinacle du temple, il a dit: «Maintenant, regarde. Il est écrit ici dans les Ecritures» (comme on nous montre Marc 16 aujourd’hui) «Il est écrit ici dans les Ecritures: ‘Il donnera des ordres à Ses anges à Ton sujet, et ils Te porteront sur les mains, de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre.’»
«Saute ici en bas, et alors, lorsque Tu atteindras le sol, relève-toi, comme cela.» Voyez, il lui a donné l’Ecriture.
Jésus s’est retourné vers lui, Il a dit: «Tu ne tenteras pas l’Eternel Ton Dieu.» C’est vrai. «Il est aussi écrit.» C’est vrai. Il a placé les Ecritures juste là devant lui.
Dieu a pourvu à une voie. Si le médecin... Certainement, il est de votre devoir d’aller chez le médecin. Il est de votre devoir de faire tout ce que vous pouvez pour vous-même. Mais, écoutez, frère. Quand vous arrivez au point où le médecin ne peut pas vous aider, vous avez le devoir d’en appeler à Dieu. C’est tout à fait vrai. Et vous croyez cela.
44 Et Dieu a pourvu à une voie, et cette voie à laquelle il a été pourvu ce soir, c’est quoi? Ce n’est pas votre frère Branham, frère Reed, ou un autre prédicateur, c’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui vous a guéri il y a mille neuf cents ans. Et nous montrons simplement cela. Frère Reed, en tant que prédicateur, montre cela par la Parole. Dieu a donné un don divin dans l’Eglise qui montre cela et qui dit: «C’est Jésus-Christ.» Croyez donc en Jésus-Christ, mes amis. Et Jésus-Christ a déjà... Ecoutez, c’est scripturaire, ça y est. Christ a guéri chaque malade dans cette salle maintenant même. C’est dans les Ecritures.
Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris, au passé. Tout ce que vous pouvez faire au monde, c’est regarder et croire. Regardez et vivez. Il n’est pas question d’indiquer l’Eglise pentecôtiste, ou l’Eglise baptiste, ou n’importe quelle autre église. Il s’agit d’indiquer Jésus-Christ. Regardez et vivez.
45 Regardez au Calvaire maintenant. Acceptez votre guérison par la foi. Si vous pouvez croire cela par la Parole, par le signe, par les prodiges, et tout ce que Dieu... La grâce souveraine de Dieu suit après Sa Parole, donne des signes, des prodiges et autres pour amener d’autres à croire en Lui. Oh ! J’ai confiance que vous le ferez. Que Dieu vous bénisse. Je suis désolé de vous avoir gardés debout si longtemps. Mais, que le Seigneur vous bénisse.
Dieu a pourvu à une voie si vous êtes prêt à y marcher. Etes-vous prêt? Etes-vous prêt de croire en Lui? S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il fera aujourd’hui les mêmes choses qu’Il avait faites hier, et Il les fera toujours. Est-ce vrai? Inclinons la tête, à l’intérieur et à l’extérieur, maintenant, s’il vous plaît.
46 Père céleste, nous sommes à la fin juste avant la fin d’une grande réunion, je dirais. Nous nous tenons devant Toi, entassés dans cette petite salle. «Où sera le corps, là s’assembleront les aigles», les gens aux coeurs affamés. Bénis-les, Seigneur. Ô Dieu, sois avec eux.
Bénis mon frère Reed, et soeur Reed. Et le jeune homme, ce petit gars, je Te prie de le bénir: Tu as donné une vision sur lui, cinq ans avant qu’il vienne ici sur terre, qu’il viendrait. Bénis l’église.
Il y a des mouchoirs placés ici, Père. Je Te prie de les bénir pour le but qu’ils visent. Que chaque malade sur qui on placera cela soit guéri.
Il est dit qu’on retirait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus. Ce n’était pas saint Paul; c’était Jésus qui était en lui. Et le Saint-Esprit est encore ici ce soir, le même qu’autrefois, accomplissant les mêmes... les mêmes critiqueurs dehors, les mêmes croyants à l’intérieur. Combien nous Te remercions.
47 Et maintenant, Seigneur, comme Ton serviteur est là ce soir, que Ton Esprit s’approche. La photo de l’Ange de Dieu est placée ici, la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert: Jésus-Christ, l’Ange de l’alliance, le même hier, avec Israël, le même aujourd’hui avec nous, et Il le sera éternellement. Bénis-nous maintenant ensemble. Mets Ton glorieux Evangile en action. Que l’Ange de Dieu vienne, et que Ton serviteur soit oint, car nous le demandons au Nom de Christ. Que beaucoup soient guéris et sauvés. Amen.
Maintenant, amis chrétiens, Billy me disait pendant que j’étais là derrière au bureau, en train de suivre la prédication et autres ce soir, qu’il avait distribué les cartes de prière chaque soir. Il a distribué la série X, W, Q, Y, et tout le reste, différentes cartes de prière. Les gens en ont ici. Nous avons appelé à partir de quelque part là. Nous en avons quelques-unes ici sur l’estrade, et aimeriez-vous attendre un peu, aimeriez-vous? Levez la main si vous n’avez pas très chaud, ou si vous n’êtes pas fatigués, juste attendre quelques minutes.
48 Prions. Maintenant, remarquez, si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il peut faire ce qu’Il a fait hier, aujourd’hui et éternellement. Vous croyez cela, n’est-ce pas?
Eh bien, Il connaîtrait votre coeur, mais Il ne pourrait pas vous guérir, parce que Dieu a déjà fait cela. N’est-ce pas vrai? Il a déjà fait cela. Très bien.
Maintenant, à partir d’où appellerions-nous la ligne de prière...?... là. Puissions-nous... Je ne sais pas juste combien... Si vous voulez qu’elle vienne à partir de là, peut-être prendre ce groupe... marcher, traverser... Ces pièces-là sont aussi bondées, n’est-ce pas? Mais peut-être s’ils pouvaient reculer un peu et qu’on commence la ligne de prière, jusqu’à ce qu’on forme la ligne de prière, alors ils pourront revenir. Pensez-vous que c’est faisable? Ou, que pensez-vous? Que dites-vous? Non, ici même. Peut-être, ce groupe, ici même, à la porte. Que dites-vous? [Un homme parle à Frère Branham.–N.D.E.]
49 Très bien. Peut-être que ce serait bien. Eh bien, alors les gens doivent avoir un lieu où descendre. Oh ! Nous pouvons les laisser retourner par la même voie et retourner. Dites donc, je me demande si certains parmi vous ici même voudraient venir se tenir ici derrière, afin que nous puissions former une ligne de prière. Je vous remercie beaucoup; c’est très gentil de votre part.
Maintenant, que ceux qui sont dans la pièce, un peu en retrait n’enfoncent pas la porte, s’il vous plaît, frère, soeur, afin que nous puissions gagner un peu d’espace pour la ligne de prière.
Maintenant, voyons, donnez-moi–donnez-moi certains de ces numéros, Paul, certaines de ces lettres. [Billy Paul dit: «V, W, X, Y, Z.»–N.D.E.] Oh ! la la ! Eh bien...