Seigneur, Montre-Nous Le Père, Et Cela Nous Suffit

Date: 53-0907A | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Crois...
            Tout est possible,
            Seigneur, je crois.

            Inclinons la tête juste un instant. Notre Père céleste, que cela ne soit pas juste les paroles de nos lèvres, mais que cela provienne du fond de notre coeur: «Seigneur, je crois»; et que le Saint-Esprit nous donne aujourd’hui un nouveau baptême. Que notre–que notre–notre ardeur et ce que nous avons de mieux à donner à Dieu soient apportés aujourd’hui.

            Nous voyons cette grande nation qui est la nôtre se démanteler. Le péché s’infiltre partout, mais malgré tout ceci, comme notre frère l’a enseigné l’autre soir dans le sermon qu’il a tiré de Ta Parole, au même moment, l’Eglise aussi est en train de s’épanouir.

            Maintenant, ô Dieu, nous sommes heureux de nous trouver de ce côté-là. Aide-nous donc aujourd’hui. Bénis la congrégation. Bénis ce peuple partout. Et, ô Dieu, nous pensons aux nombreux accidents et tout, qui se produisent sur les autoroutes, beaucoup de gens sont tués et tout, ô Dieu, sois miséricordieux.

            Je Te prie d’arrêter la main de la mort qui, aujourd’hui, est suspendue sur beaucoup de gens, et surtout sur Ton peuple qui est partout, Seigneur; et pour les pécheurs, que quelque chose se produise, qui fera qu’ils se réconcilient avec Dieu. Accorde-le, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

2          [Espace vide sur la bande–N.D.E] Bonsoir, les amis. Je suis très heureux d’être ici ce soir et pour... ou plutôt cet après-midi. Vous savez, là-bas au Kentucky, c’est le soir. Et je n’arrive jamais à m’habituer à prendre le dîner à l’heure du souper. Je–je–j’ai l’impression d’avoir perdu un repas quelque part. On a toujours le déjeuner, le dîner et le souper, et on cherche à me convaincre que mon dîner maintenant c’est à 18 heures. Alors, je voudrais savoir quand est-ce qu’on va prendre le souper.

3          Quelqu’un a dit: «Oh! Frère Branham, c’est... Vous ne les prenez pas comme il faut, c’est tout.»

            J’ai dit: «Oh! si. C’est ce que nous faisons aussi. Le Seigneur... n’est-ce pas que le Seigneur a pris Son souper ? On a appelé cela ‘souper.’» Est-ce exact ? C’est juste.

            Oh! c’est très bien. Merci. Frère Boze vient de me dire qu’on vient de prélever une–une–une offrande missionnaire cet après-midi. Eh bien, j’apprécie certainement cela. S’il y a une chose pour laquelle vous ne pouvez pas être dans l’erreur, c’est quand vous donnez aux missionnaires pour l’oeuvre missionnaire. Et j’apprécie certainement cela du fond de mon coeur.

            Est-ce que monsieur Joe Carroll, ou Joseph Carroll de Sydney, en Australie, est dans l’auditoire cet après-midi ? Je l’ai vu hier soir, et s’il veut bien, s’il veut bien lever les mains là où il se trouve, Joe Carroll de Sydney, en Australie. Etes-vous là, Frère Carroll ? Levez-vous. Je voudrais que vous voyiez le manager, monsieur Baxter, à l’instant même dans l’aile gauche. S’il–s’il est là.

4          Je ne sais pas. Il était à la réunion hier soir. C’est vraiment un ami personnel à moi. Je suppose qu’il est peut-être absent de la réunion de l’après-midi.

            Maintenant, revenons-en à la–la–l’offrande missionnaire. Nous apprécions beaucoup cela. Nous sommes certains que lorsque vous faites l’oeuvre missionnaire, vous faites exactement ce que le Seigneur a dit. Est-ce exact ? En effet, Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création», et ce sont là les ordres généraux de Jésus-Christ, et nous sommes donc certains que c’est correct. Nous ne pouvons pas être en erreur quand nous prél-... faisons l’oeuvre missionnaire.

5          Et maintenant, pour ce qui est de nous-mêmes... C’est ce que je ferais avec tout mon... tout l’argent que je reçois en dehors de ce qu’il me faut pour manger, et parfois peut-être je vois un petit quelque chose qui doit être fait, une pauvre femme qui n’a pas de charbon ou autre chose. Je–je ne retire pas cela de l’offrande missionnaire. Je prends cela de ma propre poche, car c’est l’argent de Dieu, l’offrande missionnaire est l’argent de Dieu, ainsi que ces autres choses. Et je pense que les dîmes et des choses semblables, nous devrions être très stricts dans l’usage que nous en faisons, car c’est–c’est l’argent de Dieu.

            Et dès que nous avons constitué suffisamment d’argent pour aller outre-mer, alors nous partons. Autrefois, quand on avait beaucoup d’argent, eh bien, nous allions dans une–dans une ville, nous prélevions des offrandes peut-être pendant deux soirées. En deux soirées, nous avions assez d’argent pour couvrir toutes les dépenses, peut-être pour sept, huit soirées; alors nous ne prélevions plus d’autres offrandes, nous laissions donc simplement tomber cela. Et puis, peut-être pendant la dernière soirée nous prélevions une–une offrande d’amour, et ensuite, s’il arrivait qu’il nous restait un surplus, nous le remettions aux différentes organisations telles que les organisations de charité et tout comme cela.

6          Nous ne quittions pas la ville jusqu’à ce qu’on nous traitait de saints exaltés ou de guérisseurs divins. Et une fois, je l’ai donnée à une certaine organisation, une somme d’argent, je leur ai simplement remis cela, des centaines et des centaines de dollars qui avaient été prélevées lors d’une grande réunion où j’avais été; et voilà qu’un représentant descendait la rue au volant d’une Cadillac, portant une grosse barque garnie d’un diamant, probablement d’une valeur de peut-être mille dollars ou plus, fumant un très gros cigare comme cela. Et il recevait environ cinq cents dollars par semaine pour la distribution de cet argent. Ce n’est pas correct. Non, non.

            Ces gens... Et je me suis dit: «Ô Dieu...» Alors j’ai... Vous... C’est bien étrange que nous–nous, les chrétiens, nous ne soyons pas organisés comme nous le devrions. Je veux dire dans le cadre de la fraternité.

7          L’autre soir je suis entré dans un restaurant ici dans votre ville, et j’ai reçu la pire engueulade que j’aie jamais reçue de ma vie, parce que les gens de cette église allaient manger dans ce restaurant. C’est exact. Oui, oui. Le gars a dit: «Nous ne voulons pas d’eux ici.»

            J’ai dit: «Eh bien, monsieur. Je...»

            Il a dit: «De quel–quel groupe êtes-vous, de toute façon ?»

            Et j’ai dit: «Eh bien, nous sommes des chrétiens.»

            Il a dit: «Vous ne m’avez même pas prévenu que vous veniez. Comment aurais-je pu savoir que vous alliez venir ici ?» Il a dit: «En principe, vous auriez dû avoir une sorte d’organisation pour cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, nous ne sillonnons pas la ville pour dire aux restaurants ce qu’ils doivent faire.» J’ai dit: «Les gens viennent simplement, monsieur, et ils–ils–ils veulent manger.»

            Il a dit: «Bien», ça ne l’intéressait pas du tout qu’ils viennent là.

            J’ai dit: «Eh bien, bien sûr, ai-je–ai-je dit, je... Vous devez avoir une grande clientèle.»

8          Eh bien, c’est bien dommage. Eh bien, nous devons tout simplement supporter... Notre jour vient. C’est exact. Notre jour... Ceci–ceci c’est le jour de l’homme. Le jour du Seigneur va venir. C’est exact. C’est lorsque...

            Une fois, je me tenais pour voir le feu président Roosevelt, quand il est venu dans une de nos petites villes, à New Albany, dans l’Indiana. Je travaillais là-bas sur les lignes à haute tension en tant que technicien de ligne.

            Je suis descendu, et je me suis dit... Eh bien, on nous avait dit que nous pouvions aller l’écouter. Il allait simplement faire une petite halte en passant par la ville. Et oh! tout le monde était rassemblé en plein air! Eh bien, quand nous les ouvriers nous sommes arrivés là, eh bien, j’ai dû monter sur le toit d’un hangar là tout au fond, ne fût-ce que pour voir l’homme sortir.

9          Je me suis dit: «Eh bien, c’est–c’est en ordre (Voyez-vous ?), comme tout était merveilleux.» Je me suis dit: «Tu sais quoi ? Seules les autorités de la ville et autres étaient là tout près de l’arrière du train, d’où ils voyaient le président, et lui parlaient.» Je me suis dit: «Mais tu sais, quand Jésus viendra, je serai l’une des autorités qui se tiendront...» Amen. Alors je me suis dit: «Ce sera merveilleux, quand nous verrons Jésus.»

            Et tout récemment, monsieur Baxter, ici c’est un–c’est strictement un–un... Il est parti maintenant, je pense, alors je vais parler de lui. C’est un vrai... Il a cette dignité britannique, vous savez. Et quand donc le roi, vous savez, le feu roi, celui pour qui j’ai prié et qui était guéri d’une sclérose en plaques, ou plutôt d’une thrombo-sclérose, et quand il était au Canada, et qu’il descendait quand... Frère Baxter est un Canadien, vous savez; et le roi descendait la rue dans le défilé. Il était... et sa reine était là, vous savez, vêtue de sa magnifique robe, et ce–ce frère Baxter se tenait là. Et pendant qu’il se tenait au garde-à-vous, au passage du roi comme cela, j’ai remarqué que les larmes coulaient tout simplement sur ses joues comme cela aussi abondamment que possible. Pourquoi ? Son roi passait.

10        Je me suis dit: «Oh! alléluia. Un jour, notre Roi passera aussi.» Vous parlez d’un grand moment! Nous en aurons un en ce temps-là. Oui, oui. Je désire être juste à Ses côtés, pas vous ? Et, souvenez-vous, c’est Son épouse qui se tient à Ses côtés. C’est ça.

            Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, et je vous remercie mille fois pour la–toute votre gentillesse. Le petit... Bon, je n’aurai pas le temps de m’exprimer, car beaucoup parmi vous ont envoyé de petits cadeaux et... à nous et des choses à mon fils par frère Baxter et frère Boze. Et de petites boîtes de biscuits et ainsi de suite, et il y a un petit panier de pêches et même des tomates. Et je mange autant que je le peux, et je passe vraiment un merveilleux... Et vous savez quoi ? Du fond de mon coeur, je me sens si bien. J’apprécie vraiment cela. Certainement, je me sens si bien.

11        Et une fillette a envoyé le... Une fillette qui était aveugle et qui venait de recouvrer la vue ici au tabernacle, elle a fait un... ça doit être un–un petit tableau à peu près comme ça, qu’elle m’a offert. Eh bien, tant que je pourrais en prendre soin, je l’aurai. C’est exact.

            Et je n’oublie jamais ces choses, et des fois quand je suis très fatigué, je descends dans mon cabinet de travail, un endroit qui est au sous sol, car d’habitude notre maison est pleine de gens, à tout moment ils viennent et repartent, vous savez. Alors, je descends là pour un petit moment, et parfois je deviens très mélancolique.

            Je m’assieds et je regarde. Oui, je me souviens de cette pauvre vieille Suédoise qui m’a offert telle chose. Je me souviens de cette Norvégienne qui m’a offert telle chose. Voyez-vous ? Je me souviens de telle fillette, et de tel petit garçon, et de telle femme qui avait ce bébé qui fut guéri. Oh! la la! alors... Oh! la la! alors je suis prêt à retourner et à me mettre à prier de nouveau pour les malades. Vous... Je crois que nous reprenons courage, ne le pensez-vous pas ? Et juste de petites choses comme celles-là...

12        Là en Afrique, un gars portait dans sa main un vieux petit bâton long à peu près comme ça. Il–il me l’a offert. Je l’ai. Je l’ai gardé, je l’ai ramené à la maison. Un petit bâton, une sorte de petite massue ou on appelle ça autrement, et il portait ça dans sa main, mais c’était...

            Et là au Japon, une petite paire de souliers à peu près comme ça, une petite... Je pourrais à peine y introduire mon orteil, un tout petit objet, mais... Et des couteaux et des choses comme cela que quelqu’un m’a offerts, vous savez.

            Oh! c’est–c’est un trésor pour mon coeur, parce que cela représente le–le coeur de quelqu’un d’autre, vous savez. Et souvent, quand nous prenons des photos dans les réunions, quand je retourne et que je suis seul dans les montagnes, eh bien, alors je–je retourne là-haut et je prie. Et quand je suis là haut, j’amène parfois ces photos avec moi, je prie pour les différentes personnes qui étaient dans les réunions.

13        Ainsi toutes ces choses, Dieu a tout simplement des enfants partout dans le monde, et savez-vous ce qui dérange dans tout cela ? Quand j’arrive, je dis... Oh! je regarde tel homme; je vois qu’il est très régulier à l’église, et je fais connaissance avec l’homme. Et puis, bien vite, je dois dire: «Eh bien, au revoir. Je–j’espère vous revoir», et alors, quand nous nous apprêtons à partir, cela paraît simplement...

            Maintenant, je dois... je suis resté ici assez longtemps, au point qu’on dirait que je suis habitué à–à ces gens qui sont ici à Chicago; et maintenant, au moment de vous quitter, eh bien, on dirait que je quitte de nouveau ma maison. Mais un de ces jours–un de ces jours, nous allons nous rencontrer là où nous ne nous séparerons plus jamais. C’est exact. Nous allons nous rencontrer là où nous ne dirons jamais au revoir et où nous ne nous séparerons plus jamais.

14        Je me souviens de la dernière fois que je me suis tenu aux côtés de la mère de mon jeune garçon qui est là derrière, les Anges l’ont emmenée. Je... La dernière fois que je l’ai embrassée, j’ai dit... Elle a dit: «Bill, je me tiendrai du côté est de la porte.»

            J’ai dit: «Quand Abraham, et Isaac, et Jacob, et tous les autres viendront, ai-je dit, mets-toi simplement à crier mon nom, je te retrouverai.» J’ai dit: «Je rassemblerai les enfants et nous entrerons là.»

            Eh bien, j’ai pris de tels rendez-vous avec des gens partout dans le monde. Je–je désire mener une vie correcte, de telle sorte que quand–que quand ce jour viendra... Eh bien, je sais qu’il y a une chambre très sombre devant moi là-bas, comme pour tous les autres. Chaque fois que votre coeur bat, vous vous rapprochez d’un battement de cette chambre-là. Elle s’appelle la mort et chacun de nous se dirige là.

15        Mais, j’aimerais dire comme saint Paul d’autrefois: «Je veux Le connaître dans la puissance de Sa résurrection, de sorte que lorsqu’Il appellera de–lorsqu’Il appellera mon nom, je sois appelé du milieu des morts pour vivre avec Lui éternellement et avec tout Son peuple.»

            Maintenant, je ne savais pas que j’allais prêcher cet après-midi. Frère Baxter venait de m’appeler tout à l’heure, et il a dit: «Frère Branham, nous–nous aimerions que vous veniez et que vous parliez un petit peu cet après-midi.»

            J’ai dit: «Oh! la la! n’en ont-ils pas eu assez l’autre jour ?»

            Maintenant, je pensais à quelque chose ici, dont je voulais parler, concernant Moïse autrefois... Mais je... Combien se souviennent de la fois où Dieu a dit à Moïse: «Qu’as-tu dans ta main ?» Voyez-vous ? Il a dit: «C’est un bâton», et Dieu a utilisé Moïse.

            Mais je crois maintenant, tandis que je me tiens là et regarde cette foule, le Saint-Esprit semble me conduire ici vers un autre passage à l’instant même, et nous allons tout simplement lire une petite portion dans Jean. Et vous, priez pour moi, et je désire simplement vous parler un petit moment.

16        Je sais que pendant que vous êtes assis ici (et c’est votre période de vacances), vous sacrifiez votre temps que vous pouviez passer ailleurs pour venir à l’église, cela montre où se trouve votre coeur. C’est exact. Cela montre ce que vous... ce que vous êtes. Inclinons donc la tête pour un mot de prière.

            Père céleste, nous remettons maintenant toutes choses entre Tes mains. Cet aimable groupe de gens est assis ici cet après-midi, nous voici. Il est–il est composé des Blancs, des hommes de couleur, des Jaunes, des Bruns, de toutes les nationalités, des Irlandais, des Juifs, des Mexicains, des Anglo-Saxons, de tout. Nous sommes tous rassemblés ici, réunis, tous remplis de l’Esprit, attendant la consolation de l’Eglise, la Seconde Venue de Jésus-Christ.

17        Elle pourrait avoir lieu aujourd’hui. Quelle heure glorieuse quand elle s’accomplira! Et, ô Père, je–je prie pour que nos coeurs soient touchés en y pensant. Car Tu as dit que lorsque les signes que nous voyons apparaître maintenant se produiraient, que «levons nos têtes, notre rédemption approche.» Et je Te prie tout simplement, ô Dieu, de bénir–bénir l’église, frère Boze, sa–l’église de Philadelphie qui parraine ces réunions ici.

            Ô Dieu, nous Te prions d’accorder aux gens infiniment au-delà de toute mesure. Et bénis ce tabernacle, Seigneur, ce grand endroit-ci, où beaucoup de Tes serviteurs qui sont là sous Ton autel aujourd’hui avec Toi, ont prêché à cette même chaire, ces grands et merveilleux évangélistes, Billy Sunday, Paul Rader, et beaucoup d’autres qui ont déjà traversé le Jourdain.

            Ô Père, nous Te prions d’envoyer la puissance qui était sur eux, qui donnait la conviction au pécheur, envoie-Le cet après-midi, le même Saint-Esprit vit et règne toujours et veille sur l’oeuvre. «Moi, l’Eternel, Je l’ai planté. Je l’arroserai jour et nuit de peur que quelqu’un ne le ravisse de Ma main.»

18        Accorde-le, Père. Bénis le pasteur qui est ici. Bénis tous les anciens, les–les diacres et tous les autres; bénis-les tous ensemble. Et les laïcs, bénis-les. Pardonne-nous nos péchés et bénis chaque église qui est représentée, chaque organisation et chaque corps. Car nous ne sommes pas divisés; nous sommes tous un en Christ.

            Maintenant, aide Ton humble serviteur cet après-midi, Seigneur, je ne sais pas ce qu’il faut dire, mais je crois que Tu pourvoiras à ces choses. Je me remets entre Tes mains avec cette église afin que Tu circoncises mes lèvres, pour que je dise la chose juste, et pour que les coeurs des gens reçoivent cela, et que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et la donne à chaque coeur selon nos besoins respectifs. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Jean, chapitre 14, c’est un passage bien connu que les gens lisent partout. Beaucoup de gens, c’est leur chapitre favori. Je pense que si je demandais pour combien de gens c’est leur chapitre favori, il y aurait beaucoup, beaucoup de mains qui se lèveraient dans la salle. C’est le cas pour combien d’entre vous ? J’ai vu certains d’entre vous lever la main, le chapitre 14 de Jean. Voyez-vous ? C’est un de leurs chapitres favoris de la Bible. C’est un chapitre très réconfortant.

19        Bon, je souhaite lire les sept ou les huit premiers versets de ce chapitre, et ensuite, le Seigneur voulant, nous allons parler là-dessus pendant un petit moment.

            Et maintenant, je désire faire une annonce: Ce soir, c’est la soirée de clôture. Eh bien, ce soir il y aura une grande expectative. Il est probable que vous voyiez plus d’oeuvres du Seigneur s’accomplir ce soir qu’à toutes les autres soirées. C’est toujours comme ça dans les réunions, parce que les gens... S’ils vont croire, ils doivent le faire à l’instant même. C’est tout. Ils doivent le faire maintenant même ou pas du tout, et c’est d’habitude à ce moment-là que vous voyez la réunion la plus glorieuse, à la dernière soirée.

            Maintenant, nous lisons ces versets dans Jean 14:

            Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.

            Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.

            Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.

            Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin.

            Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin ?

            Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.

            Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu.

            Philippe lui dit: «Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.

            Et puisse le seigneur ajouter Ses bénédictions à ces paroles.

20        J’aimerais me servir de ce dernier verset comme texte. Combien ici croient que Dieu existe ? Voyons. Combien ici aimeraient voir Dieu ? J’aime vraiment... Eh bien, si je peux vous Le montrer, cela vous fera-t-il de la joie ? Cela vous ferait-il... ? Très bien. Maintenant, que Dieu m’aide à le faire.

            Maintenant, j’avais un désavantage. Beaucoup de gens m’ont posé des questions sur la photo de l’Ange du Seigneur. Combien ici ne l’ont jamais vue ? Faites voir vos mains, ceux qui n’ont jamais vu la photo qui a été prise ? Il y a ici un groupe de gens parmi vous qui n’ont jamais vu ça. Nous l’avons, mais je n’ai simplement pas pensé l’apporter cette fois-ci.

            Maintenant, elle fut prise par la science dans–dans le... La photo ne m’appartient pas. C’est une–c’est la propriété de l’Association Américaine des Photographes, et nous étions très reconnaissant que le Seigneur ait voulu venir se faire prendre en photo avec nous.

21        C’était au cours d’une réunion et d’une discussion à... Un ministre baptiste déclarait que la guérison divine n’existait pas, que les jours de miracles étaient passés; et il était venu pour–pour débattre du sujet, et vous connaissez l’histoire de ce qui s’est passé. Et l’Ange est venu.

            J’ai dit: «Moi, je ne peux pas être un guérisseur, monsieur, pas plus que vous ne pouvez être un sauveur, mais ai-je dit, Dieu ne rend jamais témoignage à un mensonge. Il rend témoignage à la vérité. Et si moi je rends témoignage à la Vérité, Dieu va me rendre témoignage.»

            J’avais à peine dit cela que Quelque Chose a fait: «Whououhhh», et Il est venu, Il est descendu directement. Et voilà que C’était juste au-dessus de moi comme ceci, et l’Ange du Seigneur se tenait là, devant trente mille personnes qui regardaient la scène. On En a pris la photo, et l’Association a pris la photo, ils ont dit: «Ça ne peut pas être de la psychologie.»

22        Et ils sont allés et ont examiné cela. Ils l’ont mise dans la–l’acide et l’ont testée. L’homme qui a testé la photo a eu une crise cardiaque, et on a amené la photo à George J. Lacy, le responsable du F.B.I. Il l’a examinée pendant quatre jours, et il a déclaré que c’était un Etre surnaturel qui avait frappé l’objectif. Voyez-vous ? Juste au moment...

            Ne vous en faites jamais. Si c’est Dieu qui vous envoie, allez simplement de l’avant. Voyez-vous ? Dieu prendra soin de tout le reste. N’est-ce pas merveilleux ? «Cherchez–cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa justice. Tout le reste sera ajouté par-dessus.» Vous n’avez pas à vous inquiéter du tout. Dieu possède toute chose.

            Maintenant, tandis que nous parlons de Jean 14, nous voulons regarder Dieu et voir si nous pouvons voir Dieu. Maintenant, c’est une vieille question qu’on s’est posée au fil des âges: «Si seulement je pouvais voir Dieu!» Eh bien, nous allons Le regarder cet après-midi et Le voir, dans environ... Nous aurons peut-être le temps pour parler à peu près de trois ou quatre manières de voir Dieu. Ensuite nous allons voir si nous pouvons voir Dieu venir ici dans cette salle. Voyez-vous ? Très bien.

23        Prenons Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, et ensuite amenons-Le dans Son peuple, et voyons s’Il n’est pas aussi ici dans Son peuple. Maintenant, la première chose à laquelle nous voulons penser, c’est le fait que–que tout le monde a toujours eu le grand désir de voir Dieu. Une fois Job a voulu Le voir. Il a dit: «Oh! si seulement je savais (en d’autres termes) où Il habitait. Je pourrais aller frapper à Sa porte, et Il me ferait entrer.»

            Et ensuite, Dieu s’est adressé à Job et lui a dit: «Ceins tes reins», car Il allait lui parler, et Dieu est descendu dans un tourbillon, et Il a parlé à Job. Et je–j’aime cette partie-là. Il a dit: «Où étais-tu quand je fondais la terre ?»

24        Oh! la la! Job commençait à penser qu’il était un grand homme. Et, vous savez, la–la meilleure façon de monter, c’est–c’est de descendre. Est-ce juste ? Et on entend toujours ses gens qui, vous savez, se vantent et tout au sujet de «notre grande église».

            Et souvenez-vous de ceci, frère; regardez dans le champ de blé. Un épi qui pèse, un épi qui est plein reste toujours incliné. Est-ce exact ? Un épi de blé qui est plein reste incliné. Celui qui est dressé et qui se balance de tout côté, ce n’est qu’une balle, il n’y a rien dedans. Ainsi nous–nous... C’est ce que Job a commencé à penser. Il était un grand personnage, et Dieu a dit: «Eh bien, où étais-tu quand je fondais la terre ? Où est–où en sont fixées les extrémités ? Toi, introduis-Moi .» Et il a ceint ses reins, et Dieu est descendu dans un tourbillon et lui a parlé.

            Mais le coeur de Job avait soif de voir Dieu. Oh! combien il désirait Le voir. Et tout être désire ardemment Le voir.

25        Il n’y a pas longtemps, un merveilleux prédicateur presbytérien me parlait, sur la côte ouest. Il a dit: «Révérend Branham, a-t-il dit, des cultes comme ce que vous-même...»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Vous venez ici avec cette guérison divine et des choses semblables.» Il a dit: «Autrefois, nous étions l’église la plus puissante de toute la côte ouest», et il a dit: «Le... Savez-vous ce qui a brisé nos églises ?»

            J’ai dit: «Non.»

            Il a dit: «Ce qui a brisé nos églises, c’est la Science Chrétienne.» Il a dit: «Ils sont venus...»

            J’ai dit: «C’est très exact.» J’ai dit: «Les gens, tout homme est un être surnaturel. Il a faim et soif de quelque chose, et si vous ne lui donnez pas la chose qu’il faut pour manger, s’il a faim, il mangera à la poubelle.» C’est exact.

            Si vous presbytériens, vous aviez prêché le plein Evangile et aviez dit la Vérité aux gens, il n’y aurait pas eu de Science Chrétienne, ni aucun de ces autres cultes. Quand l’église laisse tomber les barrières, c’est ce qui cause ces choses. Il nous faut...

            Je ne dis rien contre la Science Chrétienne. Je ne dis rien contre l’église de personne. Je dis que ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est que le bon Evangile à l’ancienne mode soit présenté, que le plein Evangile soit entièrement présenté aux gens (C’est exact), pas sous les auspices de cette église-ci ou de cette église-là, que l’Evangile soit simplement prêché dans toute sa simplicité. Et Jésus a dit: «Quand J’aurai été élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi.»

26        Maintenant, on parle de ce grand patriarche, Job, qui voulait voir Dieu, et–et je pense à lui, à ce grand homme qu’il était. C’était un grand homme, et tous les princes de l’Orient, quand Job entrait dans la ville, s’inclinaient devant lui, comme cela.

            Et alors, un jour Satan a dit: «Je vais Te montrer que je peux l’amener à Te maudire en face», et il a fait tout sauf cela. Job a maudit le jour de sa naissance. Il a dit: «Que les étoiles ne brillent point la nuit, ni le soleil pendant le jour, et...», mais il n’a pas maudit Dieu.

            Alors, je le vois couvert d’ulcères tandis qu’il était assis sur le tas de cendres. Oh! je... Une fois, j’ai prêché là-dessus pendant environ–environ trois semaines. Et plusieurs lettres me parvinrent, qui disaient: «Dites donc, Frère Branham, quand est-ce que vous allez relever Job du tas de cendres ?»

27        Je le gardais sur le tas de cendres, parce que c’était–c’était l’heure de sa décision. C’était juste le moment, le moment crucial. Et quand je... Il était assis là, grattant ses ulcères, et quel spectacle lamentable! Il avait perdu ses enfants, il avait perdu sa santé. Il avait perdu ses–ses biens, ses chameaux, ses... Tout ce qu’il avait était parti, et le voilà assis là, tout misérable, se grattant les ulcères avec un tesson, ou quelque chose comme ça, avec lequel il se grattait les ulcères.

            Et son épouse s’est même en quelque sorte retournée contre lui. Elle est venue à la porte et elle a dit: «Job, eh bien, pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs ?» En d’autres termes, elle a dit: «Tu as l’air si misérable!»

28        J’aime ceci. Job a dit: «Tu parles comme une femme insensée.» Or, il n’a pas dit qu’elle était insensée, mais qu’elle parlait comme une femme insensée. Voyez-vous ? Il a dit: «Tu parles comme une femme insensée. L’Eternel a donné, et l’Eternel a ôté. Que le Nom de l’Eternel soit béni!» Oh! c’est ainsi que j’aime voir cela. «Que le Nom de l’Eternel soit béni!»

            Il avait vu Dieu. Dieu est descendu dans un tourbillon et lui a parlé. Voyez-vous ? Et il savait que Dieu existait. Et j’aime aussi cette partie-ci, oh! la la! quand ensuite–ensuite vint de l’Orient ce petit prince d’Elihu. Si nous avions le temps d’analyser ce nom, «Eli la a Yahweh», et ainsi de suite, qui est le représentant de Dieu, qui signifie Jésus-Christ. Il vint auprès de Job, et le corrigea pour ce qu’il avait dit.

            Il a dit: «Ne méprise donc pas ma jeunesse.» Et il a dit: «Tu–tu accuses Dieu de quelque chose qui n’est pas correct.» Ainsi donc, il s’est mis à ramener Job sur le droit chemin, et il–il n’a pas accusé Job comme les membres de l’église de celui-ci.

29        Maintenant, il y eut un groupe de membres de l’église qui vinrent le voir, et ils sont restés assis, le dos tourné à Job pendant sept jours. Quelle consolation! Ils l’accusaient d’être un pécheur en secret, mais Job savait qu’il n’avait pas péché. Vous savez ce qu’il y a dans vote coeur. Tout le monde le sait.

            Et pendant qu’il était assis là, le dos tourné–leur dos tourné comme cela, Job était dans la misère, cependant ce petit homme n’a pas cherché à l’accuser. Il ne l’a pas accusé d’être un–un pécheur en secret, mais il a dit...

            Il a essayé de lui parler de Quelqu’Un qui allait venir, qui allait se tenir à la brèche, et qui ferait le pont. J’ai souvent pensé à Job 14, là où Dieu lui a parlé concernant les–les fleurs et tout. Comment les... Job avait observé une chose. Il a dit: «Il y a de l’espoir pour un arbre quand il meurt. Il revivra.»

30        Avez-vous déjà remarqué ? C’est là que... Ma première Bible, c’était la nature; et Dieu demeure effectivement dans Son univers, dans Sa nature. Considérez, vous femmes, les fleurs que vous avez maintenant ici dans les environs dans le jardin. Au bout d’un moment, environ un mois après, et le gel va frapper les petites fleurs. Oh! certaines sont jeunes, en plein épanouissement, et d’autres sont vieilles, et il y en a de toutes sortes, mais quand le gel les frappe, elles meurent. La fleur penche sa petite tête, et les pétales en tombent; les feuilles en tombent; la petite semence s’en détache. Alors, il y a un cortège funèbre. Les cieux pleurent tout simplement et font tomber les pluies d’automne. Ce sont simplement des larmes qui tombent des cieux et qui ensevelissent la petite semence.

            Alors vient l’hiver froid, il gèle le sol peut-être jusqu’à quatre ou cinq pouces de profondeur [10,2 ou 12,7 cm], et ensuite la petite tige s’en va, le bulbe s’en va, la feuille s’en va, le pétale s’en va, et la petite semence, la petite semence noire là à l’intérieur est enflée, et elle éclate, et la pulpe s’en échappe.

31        A ce moment-là, tout est parti. La pulpe, la semence, et tout le reste est parti, mais ce n’est pas la fin de la fleur. Tout aussi sûr que le soleil chaud commencera à briller, bien que la pulpe soit partie ainsi que tout le reste, il y a un petit germe de vie qui repose là, qu’aucun homme n’a jamais découvert et ne découvrira. Cette fleur va revivre. Et si Dieu a frayé une voie pour qu’une fleur revive, à combien plus forte raison Il a frayé une voie pour que l’homme revive! En effet, l’homme a été créé à l’image de Dieu.

            Oh! je pense que c’est merveilleux d’observer Dieu dans Son univers, comment Il agit, Il agit dans la nature et tout. La... Il n’y a pas longtemps j’étais assis et je parlais à un vieux prédicateur méthodiste, nous prenions de la crème glacée ensemble; et l’Heure de l’agriculture passait à la radio, et je...

32        On disait: «Eh bien, le petit Club 4-H ici a mis au point une machine qui peut produire un maïs si parfait que vous ne sauriez le différencier du–du grain de maïs qui vient du champ.» On disait: «Vous pouvez plonger la main dans un sac et prendre une poignée du maïs qui vient du–du champ, et une poignée du maïs fabriqué par cette machine et les mélanger, il serait totalement impossible de les distinguer de nouveau. Amenez-les au laboratoire, ouvrez-les, et probablement que la peau pourrait avoir la même épaisseur. La quantité d’humidité, de potasse, de calcium et tout, est identique dans chaque grain. La farine obtenue de l’un des deux sacs donnera du pain et des cornflakes aussi bons que ceux obtenus avec l’autre sac. La seule façon pour vous de pouvoir les distinguer, c’est de les enterrer. Tous les deux pourriront, mais celui que l’homme a fabriqué disparaîtra. Celui que Dieu a créé possède un germe de vie à l’intérieur, et il revivra.»

            J’ai dit: «Prenez ma main, prédicateur. Je vais vous embarrasser.» Car il y a un temps où l’homme... Vous pourriez prendre deux hommes. Tous les deux ont la même apparence, tous les deux se comportent comme des chrétiens, mais l’un d’eux a le germe de vie qui est le Saint-Esprit. Il ressuscitera à la résurrection. L’autre restera là. C’est exact. Amen.

33        Regardez et voyez comment Dieu a représenté cela partout. Tout le... Là en Inde, ils adorent différentes choses et disent que lorsqu’on meurt, on devient des anges et on s’envole. Dieu ne m’a jamais créé un ange, et je ne serai jamais un ange, vous non plus. Il m’a créé un homme, et je serai toujours un homme. Je ressusciterai un homme, très exactement. Mais nous savons que Dieu est à l’oeuvre, et nous pouvons voir le modèle parfait dans–dans l’univers, quand Il commence à faire paraître des choses comme cela.

            Et Job a regardé cela et a vu que ces choses ressuscitaient, mais il a dit: «L’homme se couche. Il rend l’âme, il dépérit. Oui, où est-il ? Ses fils viennent le pleurer, et il ne s’en aperçoit pas.» Il a dit: «Oh! si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts et me garder dans le lieu secret jusqu’à ce que Ta colère fût passée.»

34        Et quand Elihu a commencé à le redresser, il a commencé à voir Quelqu’Un qui allait venir. Elihu a dit quelque chose comme ceci: «Eh bien, Job...» Je vais le dire comme ceci pour que les enfants puissent comprendre: «Eh bien, Job, tu observes cette fleur et cet arbre. Cette fleur ou cet arbre n’a jamais péché, mais l’homme a péché. Tu vois ? L’arbre... et les grains et tout reviennent continuellement, mais l’homme a péché, et cela a coupé sa relation avec Dieu. Maintenant, il n’y a pas de résurrection pour lui. Mais... (Oh! j’aime ça.) Mais, il y a un Homme qui va venir, un Juste qui se tiendra à la brèche, qui mettra la main sur un homme pécheur et sur un Dieu saint, et qui fera le pont, et il y aura la résurrection.» Alors, Job, étant un prophète, est entré dans le genre de canal qu’il fallait, dans le sillon qu’il fallait, et il a eu une vision du Seigneur. Et il s’est tenu sur ses pieds et il a donné une prophétie; et les éclairs ont commencé à briller et les tonnerres à rugir. Il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant.» Oui, monsieur. «Mon Rédempteur est vivant, et dans les derniers jours, Il se tiendra sur la terre. Quand les vers auront détruit ce corps, cependant dans ma chair, je verrai Dieu; je Le verrai, Il me sera favorable. Mes yeux Le verront et pas ceux d’un autre.»

35        Tout comme le grain de maïs a pourri, a disparu et est ressuscité, de même je ressusciterai. Maintenant, suivez attentivement. Je... «Mon Rédempteur est vivant.» Une continuité, pas juste vivre, juste mourir ou qu’il doit... «Mon Rédempteur est vivant, et dans les derniers jours Il se tiendra sur la terre. (en d’autres termes, à la fin des deux derniers mille ans,), Il se tiendra sur la terre et quand les vers auront détruit ce corps, toutefois, je verrai Dieu dans ma chair.»

            Job observait Dieu dans Son univers. Il n’y a pas un homme qui puisse regarder un grand et beau lys callas juste en face de lui et dire: «Dieu n’existe pas.», sans être mentalement dérangé. Car Dieu vit dans les fleurs. Ne croyez-vous pas cela ?

            Dites-moi comment cette petite semence entre dans le sol. Le même soleil brille, et il y en a deux qui sont exactement pareilles et l’une est blanche, et une autre est–est rouge, et une autre est bleue, et ainsi de suite. Et comment Dieu fait cela, et la rose trémière et ces différentes sortes de fleurs, comment Il a créé ces choses...

36        Il est Dieu, et nous pouvons voir cela se mouvoir, voir comment Il se meut dans Son grand univers. Dites-moi comment cette terre peut se tenir ici et tourner vin-... à un peu plus de vingt-cinq mille miles [40.234 km] à l’heure. Elle a une circonférence de vingt-cinq mille miles, et elle tourne toutes les vingt-quatre heures; elle décrit un cercle complet. Et vous pouvez calculer le temps que ça lui prend par les étoiles et tout, elle ne quitte jamais sa position du tout. Elle reste parfaitement en place, et pourtant elle est suspendue dans le vide.

            Je me suis tenu sur ce mont Wilson, ou plutôt le mont Palomar, là-bas, où on a construit un observatoire, j’ai pu regarder à travers ce télescope, et j’ai vu à cent vingt millions d’années-lumière. Il y a ces lunes, ces étoiles, ces terres, et des lunes et des étoiles, et notre Père céleste a simplement soufflé dans la paume de Sa main comme ceci et Il a dit: «Que ceci soit», et cela fut.

37        Oh! je vous assure, quand on se met à parler de Dieu et qu’on essaie de L’enfermer dans l’idée de quelqu’un, Dieu est tellement... C’est comme le petit cantique chrétien que nous avions l’habitude de chanter quand j’étais pasteur:

            Jésus est si haut que vous ne pouvez Le surmonter,
            Si bas que vous ne pouvez passer en dessous de Lui,
            Si large que vous ne pouvez Le contourner.
            Ainsi ouvre simplement ton coeur et laisse-Le entrer.

            Alors que vous ne pouvez pas Le surmonter, passer en dessous de Lui, Le contourner, pourtant votre coeur peut Le contenir, quelle merveilleuse pensée! Combien Il est merveilleux!

            Mais Dieu est dans Son univers; Il gouverne les choses, Il se meut, et Ses mouvements et consorts, tout Lui obéit, tout. Il peut dire à l’étoile de faire telle chose, et elle le fera. Tout ce à quoi Il parle... Il n’y a qu’un seul être qui ne veut pas Lui obéir, c’est l’homme. L’homme en sait plus que Lui, alors vous voyez qu’il... Il a ses propres idées, et alors, il ne veut pas écouter Dieu. Mais si seulement un homme ouvre ses yeux et regarde autour de lui, il verra Dieu partout.

38        Il n’y a pas longtemps, je me souviens que j’étais... Quand j’étais un petit garçon, j’étais... La première Bible que j’ai lue, c’était–c’était en contemplant la nature. Je pouvais voir comment Dieu agissait, et pourquoi... comment Il a fait les choses, et j’ai su qu’il existait un Dieu. J’observais...

            Un jour, mon père et moi labourions pour planter le maïs; et je... une tempête s’est levée, et je me souviens que papa a dit... Le... Eh bien... Nous ne voyions pas encore la tempête, mais les chevaux ont commencé à s’ébrouer et tout. J’ai dit: «Papa, qu’y a-t-il ?»

            Il a dit: «Fiston, une tempête arrive.»

            J’ai dit: «Une tempête arrive ?» Le ciel était clair au possible.

            Il a dit: «Tu sais, fiston, il y a quelque chose d’étrange là-dedans.» Il a dit: «Mais les chevaux ont un instinct par lequel ils peuvent percevoir avec exactitude où... si une tempête arrive.»

            Il a dit: «Le Dieu Tout-Puissant les a dotés d’un moyen qui leur permet de se mettre à l’abri.»

39        «Eh bien, me suis-je dit, eh bien, c’est merveilleux.» Et puis, ce n’était pas... Nous n’avons même pas fait deux tours en labourant que les éclairs se sont mis à briller, et la tempête venait. Eh bien, si Dieu a donné à un cheval assez de connaissance pour se mettre à l’abri, combien plus devrait-Il en donner à une Eglise qui est née de nouveau ? Ne le pensez-vous pas ? Dieu a doté ce cheval d’un instinct... Il n’y a pas longtemps, je plantais des haricots blancs, et combien savent ce que c’est qu’une marmotte ? C’est une... Vous l’appelez woodchuck, je pense. C’est une... Là dans le Sud nous l’appelons groundhog, c’est un tout petit animal. Et aussitôt que je plantais ces haricots, ce petit gars les dévorait. Et je ne pouvais pas avancer. Et j’allais là, et je trouvais ces petites traces partout sur le sol, là où il les avait déterrés un à un, puis il était parti. Il vivait dans une–une vieille petite doline par là. Je ne voulais pas abattre le petit ami, alors je me suis dit que j’allais tout simplement m’amuser avec lui.

40        Je me suis donc planté une autre rangée d’haricots blancs, je me suis dit: «Je vais te régler ton compte, mon gars.» Et je me suis procuré un sac et j’ai plant-... et j’ai peint dessus un très gros dessin vilain, et j’ai essayé de lui donner un aspect affreux. Et frère, je suis loin d’être un artiste, je vous assure.

            Un soir, j’essayais d’enseigner avec un croquis, et j’ai dessiné un chien, et personne ne savait ce que c’était, et j’ai dû écrire au-dessus de cela: «C’est un chien.» C’est ainsi que les gens ont pu le reconnaître.

            Vous pouvez donc vous imaginer à quoi ressemblait ce dessin-là: d’énormes oreilles et tout. Et je–je me suis dit... Eh bien, j’ai mis quelques haricots blancs dans un sac, et je l’ai attaché à un bâton, et le vent soufflait. Je me suis dit: «Mon gars, quand il verra cela, il s’enfuira.» Je me suis donc trouvé une place non loin de là, dans les buissons, et j’observais ce petit gars avec ma longue-vue, vous savez.

41        Alors... Bien vite, eh bien, il... Ce sont des jumelles et je...Grâce–grâce à ces jumelles il était tout près de moi. Ainsi donc, j’ai vu le petit gars. Il est sorti de cette doline, vous savez, et il a regardé tout autour. Et n’ayant vu personne, il s’est mis en route.

            Il est arrivé près de ce sac et il s’est arrêté. Il a regardé ce sac, il a tourné sa petite tête de côté et il s’est dressé. Il s’est dit: «Quelle vilaine image!» Il s’est approché un peu plus et il a regardé cela, et ensuite, il a de nouveau reculé. Et alors, aussitôt, le vent a soufflé. Oh! la la! il s’est retourné, il a regardé de nouveau, et il a regardé encore. Il s’est encore approché de cela. Il a regardé, il s’est dit: «Il y a des haricots blancs derrière ce sac, tu sais.» Et alors, il s’est dit: «Eh bien, dites donc...» Il s’est approché de ce sac, et il y a donné une claque avec sa patte, et cela a fait du bruit, il a fait un bond en arrière. Il y a encore donné une claque; cela a fait du bruit. Il a carrément contourné cela, et il s’est mis tout simplement à manger ces haricots blancs comme...

42        Eh bien, maintenant, nous devrions avoir autant de bon sens qu’une marmotte. Ne le pensez-vous pas ? Absolument. Je vais vous dire quelque chose. Quand vous voyez de vieux épouvantails se tenir là, souvenez-vous, c’est la cloche qui invite au dîner. Juste derrière la chose, il y a quelque chose de bon. Amen. Quand les gens disent: «Ce sont des saints exaltés et ils sont ceci, et cela.» Ne prêtez aucune... Nous avons tout un tas de fanatiques, mais, frère, juste là derrière, il y a le véritable noyau de Dieu. Amen. Juste là, il y a la véritable puissance du Saint-Esprit, la résurrection de Jésus-Christ... Absolument.

            Ainsi, le diable met beaucoup d’épouvantails sur le chemin, mais n’y faites simplement pas attention. Une fois j’ai remarqué quelque chose. J’étais sur la route et il y avait un... J’ai vu un groupe de corbeaux ou de merles, ils ne faisaient que piailler et tout; je me suis dit: «Qu’y a-t-il ?»

43        Un homme habitait là, et il aimait beaucoup les oiseaux. Il avait un–un carré de fraises sauvages, et il ne permettait à personne d’y toucher. Il laissait simplement... Il gardait cela là pour les oiseaux. Une année il est allé en Floride, et il n’est pas retourné à temps, et un homme voulait cueillir ces fraises. Et alors, il a placé un grand épouvantail dans le champ comme cela.

            Eh bien, tous ces oiseaux avaient pris l’habitude de venir là chaque année, ils sont venus et ils ont trouvé ce–ce carré, et ce grand épouvantail était là. Et certains oiseaux étaient perchés loin dans les arbres, d’autres étaient perchés sur les fils télégraphiques, d’autres sur des poteaux, et ils ne faisaient que piailler et faire du bruit à cause de cela.

44        Eh bien, je me suis dit: «N’est-ce pas un spectacle étonnant ?» Mais, à ma grande surprise, juste au milieu du carré, perchés juste sur le bras de cet épouvantail, deux énormes corbeaux étaient en train de s’en remplir le jabot avec une passion effrénée.

            Je me suis dit: «Eh bien, n’est-ce pas là quelque chose ?» J’ai dit: «C’est très exactement... Eh bien, je pourrais prêcher un sermon là-dessus.» J’ai dit: «C’est exact. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Maître, a préparé toutes les bonnes choses (C’est exact) pour Son Eglise.» Croyez-vous cela ?

            Et certains d’entre eux se tenaient à distance: «Je vous le dis donc; je ne crois pas dans de telles histoires. Regardez ce qu’ils ont fait. Non, non. Non, non.»

            D’autres sont descendus sur le fil télégraphique: «Eh bien, je peux croire cela, mais mon église ne me le permettra pas.»

            Et ceux qui étaient perchés de ce côté-ci sur le poteau disaient: «Eh bien, je vous le dis, je crois que les jours des miracles sont passés, mais il y avait l’une ou l’autre chose là-dedans que je crois.»

45        Mais, frère, il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont dans le carré. Je vous assure. Ils étaient perchés juste là sur ce bras, mangeant avec une passion effrénée. Ils savaient que ce n’était qu’un épouvantail. Et c’est ce que je pense de la religion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Oh! frère, peu m’importe le nombre de fanatiques qu’il y a à gauche ou à droite. Je me tiens juste sur le chemin du Calvaire, me nourrissant tout simplement des puissances de Dieu, à mesure qu’Il m’en envoie, et je me réjouis et passe un bon moment. Amen.

            Maintenant, je commence à me sentir religieux. Maintenant, oh! comme c’est merveilleux: Dieu oeuvrant dans Son univers!

            J’aime la chasse. Eh bien, il y a quelque temps... Je vais parfois là-haut dans les bois du Nord, ce n’est pas tellement pour abattre les animaux, mais je vais là-haut pour me reposer. Et j’ai remarqué que là-haut sur ces lacs, dans les marécages là-bas au Canada... Frère Boze, vous connaissez l’endroit dont je parle. Il y a toujours une colonie de canards là-bas, et ils s’envolent à l’approche de l’hiver, et–et–et parmi–parmi... ils vont là-haut en été, au début du printemps, dans tous ces marécages qu’il y a là-bas, et–et les lacs, ils y font leur nid. Ils pondent leurs oeufs et leurs petits éclosent. Eh bien, c’est fantastique, la façon dont Dieu prend soin de Ses animaux. Ne le pensez-vous pas ? Et Dieu a donné aux animaux un moyen pour faire les choses.

46        Maintenant, si vous L’observez, Il est dans Sa nature, dans Son univers. Maintenant, observez cela. Ces petits cannetons, que vous avez là-haut, et que... J’y vais parfois tôt. La neige n’est pas encore tombée sur les collines, mais le premier matin, quand vous vous réveillez, il y a de la neige là-bas au sommet de la montagne, à la fin du mois de septembre, au début du mois d’octobre, le vent froid commence à balayer ces vallées.

            Vous entendrez quelque chose commencer, c’est un petit canard mâle là-bas. Il est–il n’a jamais quitté cet endroit, il n’a jamais de sa vie quitté ce lac. Il est né juste là au printemps, c’est un tout petit gars. Il va s’élancer droit au milieu de la mare, comme cela, ou de ce lac, il va dresser son petit bec en l’air et faire: «Coin-coin, coin-coin, coin-coin, coin-coin.»

            Chaque canard sur le lac va directement auprès de lui. C’est exact. Pourquoi ? Ils savent que ce canard est un leader. Il n’a jamais quitté le lac, mais ils savent que c’est un leader. Oh! la la! il va se mettre à faire: «Coin-coin, coin-coin.» Les canards vont venir là. Voilà venir un groupe. Et là ils font: «Coin-coin, coin-coin.» Et les voilà qui viennent de ce côté, qui viennent de l’autre, et c’est extraordinaire de les voir.

47        Et ils se mettront à barboter un petit peu là-bas au milieu de ce lac, par ce vent froid. Ils vont débattre de ce sujet, je pense, concernant ce vent froid qui descend, et ils vont directement s’envoler depuis ce lac, pour se diriger tout droit vers la Louisiane, alors que ce canard n’a jamais quitté ce lac. Pourquoi ? Il a un instinct que Dieu lui a donné. Dieu... le... Tous les autres canards savent que c’est leur leader, et ils ont pleinement confiance. Qu’il aille dans ce sens, ils suivent. Qu’il aille dans l’autre sens, ils suivent. Et où qu’il aille, ils...

            Mais d’une façon ou d’une autre, il va se poser en Louisiane, dans les champs de riz, échappant complètement à l’hiver. Eh bien, si–si un canard a assez de bon sens pour échapper aux vagues du froid, qu’en est-il d’une Eglise qui est née de nouveau ?

            Le seul problème, c’est que nous ne connaissons pas notre leader. Alléluia! Frère, Dieu a donné le Saint-Esprit à l’Eglise, pas l’organisation. Il a donné le Saint-Esprit pour qu’Il conduise l’Eglise, et à la place de cela, nous, nous avons adopté des organisations. Alléluia! Le Saint-Esprit désire venir pour bénir les gens et les conduire aux rivières profondes, et aux verts pâturages et tout, mais l’organisation ne veut pas les laisser y aller: elle les en empêche.

48        Ô Dieu, ma prière est que Tu brises les chaînes et que Tu fasses sortir Ton Eglise. Absolument. Dieu est à l’oeuvre... Observez-Le dans Sa nature et observez... Cela concorde exactement–exactement avec–avec la–avec l’Eglise et avec le naturel, et avec le spirituel, c’est tout aussi parfait–partout.

            Ce petit canard quitte là, frère, et il va tout droit jusqu’en Louisiane. Observez la nature de quelque manière que vous voulez, vous verrez Dieu s’y mouvoir.

            Prenons par exemple un cochon. Vous pouvez lire dans le journal: «Demain, il fera beau temps.» Et observez cette vieille laie prendre la paille du flanc nord de la colline, et l’amener de l’autre côté, sur le flanc sud, pour faire son gîte. Vous... Ce journal ne connaît rien. Il fera froid. Elle est plus avisée au sujet du temps que tous les–les météorologues du pays. Pourquoi ? Elle a un instinct que Dieu lui a donné pour qu’elle se prépare à cela. Mais, en fait, cette laie croit dans son instinct, mais nous, nous ne croyons pas dans Celui qui nous conduit. Ils... Dieu leur a donné un instinct. A nous, il nous a donné le Saint-Esprit.

            Qu’arriverait-il si ce petit canard disait: «Eh bien, maintenant, un instant. Je vais voir ce que Joe par ici dit à ce sujet.» Il n’atteindrait jamais la Louisiane. Certainement pas. Il doit suivre le chemin qu’il se sent conduit de suivre. Et l’homme ne peut pas conduire l’homme. C’est le Saint-Esprit qui conduit l’homme. C’est le Saint-Esprit qui est... Et c’est une fraternité. Et si c’est le véritable Saint-Esprit qui vous conduit, vous saurez que c’est une fraternité. Amen.

49        Oh! la la! j’aurais souhaité avoir environ trois fois la taille que j’ai, quand je commence à me sentir comme ceci. Peut-être que je pourrais être... me sentir trois fois mieux que maintenant. Vous savez, ces petits après-midi m’offrent des moments de libération. J’étais simplement... Vous savez, quand vous êtes... Ce sont les visions qui me tuent pratiquement. Elles m’affaiblissent beaucoup, mais quand je m’avance ici, je peux me tenir ici, oh! pendant une semaine comme ceci. C’est bien. Ça entre et ça sort. Je m’incline vers la source, et je garde la bouche ouverte, et je laisse cela couler, passant un bon moment.

            Maintenant, Dieu oeuvre dans Son univers. Croyez-vous cela ? Il y a quelque temps, je chassais l’élan dans les montagnes. C’était tout au début de l’automne, et la neige n’était pas encore tombée au sommet des montagnes. Et alors j’étais... je... Quand la neige vient, alors les élans descendent, mais vous devez monter tout en haut à la limite des arbres pour parvenir–parvenir là où sont les élans.

50        Et alors j’étais là-haut un jour, en train de marcher. J’étais à environ, oh! je pense, à trente cinq, quarante miles [56 km, 64 km] de tout ranch ou de quoi que ce soit, là tout en haut au sommet des montagnes Rocheuses. Et je pense que j’étais à deux cents miles [321 km] de toute ville. Et je marchais là avec mon fusil, vous savez.

            Et la neige vient, et puis aussitôt, il se met à pleuvoir; et ensuite, le temps devient chaud, le soleil apparaît, le temps change. Et j’étais... J’étais là-haut depuis environ deux jours, et je savais que le troupeau d’élans était là, je marchais tout simplement là et je dormais la nuit dans la nature.

            Et un jour, une pluie est survenue et je me suis mis derrière un arbre comme ceci, et la pluie soufflait fort, et elle tombait à verse là. Et puis, après que la pluie a plutôt cessé, eh bien–eh bien, elle a commencé à–à s’arrêter. Et il faisait froid là-haut, à cette altitude sur la montagne. Il se fit que j’ai regardé, et les arbres à feuilles persistantes étaient gelés, et il y avait comme de grands glaçons qui pendaient partout des–des arbres à feuilles persistantes. Ils s’étaient formés quand le vent froid soufflait et que l’eau tombait. Cela a formé de la–la glace sur les–les arbres à feuilles persistantes.

51        Et j’ai regardé, et le soleil était en train de se coucher à l’ouest, et il se laissait entrevoir à travers cette crevasse des montagnes comme cela. Je me suis dit: «Ô Grand Jéhovah. Son oeil est sur le passereau. Il se tient dans les Cieux et Ses yeux regardent. Il voit chaque mouvement. Aucun passereau ne peut tomber à terre sans que...» Vous voyez Dieu dans le coucher de Son soleil. Ne le voyez-vous pas comme cela ? Pensez-vous à Lui au coucher du soleil ou au lever du soleil ?

            Ensuite, il est arrivé que je regarde, et le soleil qui brillait sur cette eau et tout a formé un arc-en-ciel là à travers le–le–le canyon. Et j’ai regardé cet arc-en-ciel, et j’ai dit: «Oh! gloire à Dieu.» J’aime vraiment contempler Dieu dans Sa nature. Pas vous ? Et j’ai dit: «Regardez ça! Tu as donné à Noé le signe de l’arc-en-ciel. Avant ce temps-là, l’eau n’était jamais venue comme cela, de sorte que les eaux, les éléments ne pouvaient pas former ces couleurs, et alors Tu lui as donné le signe de l’arc-en-ciel comme quoi Tu ne détruirais plus jamais le monde par l’eau.» Et j’ai dit...

52        Alors, j’ai pu me souvenir que lorsque Jean sur l’île de Pathmos s’est retourné, il a vu ce–il a vu Jésus qui se tenait là, ayant l’aspect de l’arc-en-ciel, de Sa pierre de Jaspe et de Sardoine, Il était le Ruben et le Benjamin, le Premier, le Dernier. Celui qui est, Celui qui est–qui sera, la Racine et la Postérité de David, l’Etoile du matin, et au-dessus de Lui il y avait un arc-en-ciel avec ces sept chandeliers d’or, ce qui signifie qu’il avait une alliance pour les sept derniers âges de l’église.

           

            Et alors la profondeur a commencé à appeler la profondeur. Oh! tout au fond de mon coeur je pouvais... J’ai dit: «Ô Dieu, me voici ici tout en haut et je suis supposé être en train de chasser.» Et je devins très joyeux, et j’ai posé mon fusil, et je me suis mis à tourner sans arrêt autour de l’arbre, criant aussi fort que je le pouvais. Si quelqu’un était arrivé là, il m’aurait mis dans un asile de fous. Oh! je passais un moment glorieux.

53        J’allais prendre mon fusil et continuais, et il m’est arrivé de penser: «Ô Grand Jéhovah qui a créé toutes ces choses...» Et à peu près à ce moment-là, j’ai entendu le troupeau d’élans, qui s’étaient dispersés pendant la tempête, commencer à beugler pour s’appeler les uns les autres. Alors, au sommet de la colline, un vieux loup gris s’est mis à hurler, sa compagne répondait dans la vallée.

            Ma mère est une demi-Indienne, et c’est suffisant pour faire que la profondeur se mette à appeler la profondeur. J’ai commencé à crier à tue-tête, j’ai déposé mon fusil, et je me suis remis à tourner sans cesse autour de l’arbre. Cela m’était égal si quelqu’un m’entendait. Je criais et je louais Dieu. Alléluia.

54        Les gens peuvent dire: «Il est fou», s’ils le veulent. Pour moi, ça ne change rien. J’ai les yeux fixés sur le Calvaire. Amen. Je Lui manifestais mon amour. Je L’adore. Je Le voyais là. J’ai dit: «Ô Dieu, Te voilà dans le coucher du soleil. Te voici dans l’arc-en-ciel. Te voilà dans le loup. Te voici ici dans l’élan. Te voici... Oh! Tu te trouves là, Seigneur, et Te voici dans mon coeur.» Je disais: «Gloire à Dieu.» Et je me suis remis à tourner sans arrêt autour de l’arbre. Oh! je passais vraiment un bon moment, donnant tout simplement des coups de pieds dans les buissons et tout le reste.

            Je me suis arrêté et j’ai dit: «Oh! alléluia, Seigneur. Je T’aime. Je T’aime. Pourquoi devrais-je quitter un endroit comme celui-ci ? C’est si merveilleux!»

55        J’ai entendu quelque chose se déplacer en faisant: «Cha, cha, cha, cher». C’était un vieux petit écureuil des pins. On les appelle les petits messieurs de montagnes, vous savez, il est à peu près comme ça, c’est un petit écureuil roux. C’est la créature la plus bruyante, et il ne vaut rien. Cela me rappelle tout simplement un bon nombre de ces gens qui font beaucoup de bruits, et qui ne valent rien.

            Il me regardait comme cela et faisait: «Tcha, tcha, tcha, tchat», comme s’il allait vraiment me mettre en pièces. J’ai dit: «Oh! la la! la la! tu fais tout simplement beaucoup de bruit et c’est tout.»

            Et je pensais qu’il aboyait après moi, mais j’ai fini par me rendre compte que, pendant que la tempête s’amenait, un très grand aigle avait été forcé à descendre au sol, et il se retrouvait là en bas sous ces arbres qui avaient été renversés par le vent. Et je l’ai vu sortir, et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, regarde ça, Seigneur. Pourquoi as-tu mis cela sous mes yeux, juste au moment où j’étais en train de crier et de passer un bon moment ici ?» Je me suis dit: «Qu’est-ce que–qu’est-ce que cet aigle fait ici ? Eh bien, qu’est-ce...»

56        Partout où vous pouvez regarder, vous verrez Dieu. Vous pouvez tout simplement Le voir partout. Et je–je me suis dit: «Eh bien, qu’y a-t-il de divin dans cet aigle, car c’est un charognard. Et, oh! c’est un méchant gars.» Et je me suis dit: «Eh bien, que–que pourrait-il y avoir de divin dans cette créature ?» Et aussitôt il est sorti, et d’un bond il a sauté sur une branche comme cela, et il a regardé ce petit écureuil qui se tenait là comme s’il allait le mettre en pièces.

            Il m’a de nouveau regardé, et je me suis dit: «Eh bien, maintenant ça c’est une position. Eh bien, Seigneur, où te trouves-Tu dans cette–cette scène ?» Partout où vous regardez, vous pouvez voir Dieu, et je me suis dit: «Il y a là un petit écureuil des pins qui fait fuir des bois tout le gibier, et il ne vaut rien. Et voici perché là ce petit–un grand aigle, ici qui, si vous abattez un cerf et le laissez là, il le dévorera en une nuit, s’il le pouvait, et ce que... Il est méchant au possible.» Je me suis dit: «Où pourrais-Tu te trouver dans cette scène ?» J’ai dit: «Pourtant Tu es partout. Maintenant, par quoi puis-je voir pourquoi Dieu a mis cette scène devant moi ?»

57        Et j’ai regardé de nouveau, et j’ai fini par remarquer que cet aigle était courageux. Il n’avait pas peur. Peu importe ce que je faisais ou quoi que ce soit, il était courageux, et je me dis: «Voilà, ô Dieu. Tu n’as pas besoin de lâches.» Dieu a besoin des hommes et des femmes qui ont une colonne vertébrale plutôt qu’un bréchet. Quand Dieu dit une chose, nous croyons cela. C’est tout. Ça règle la question. Si Dieu l’a dit, cela est ipso facto vrai. Est-ce exact ? Cela fait que la chose est vraie. Très bien.

            Et j’ai dit: «Te voilà, Seigneur. Tu as besoin de quelqu’un qui sait réellement de quoi il parle, et qui est prêt à défendre ce qui est vrai.»

            Bien des gens disent: «J’accepte ma guérison. Je crois que Jésus guérit.» C’est bien. Et à la première petite crampe que vous avez, vous êtes prêt à laisser tomber. Oh! la la! Et vous partez et vous dites: «Je crois au baptême du Saint-Esprit», et vous criez et vous dansez dans l’église, et quand vous vous trouvez en face d’un critiqueur là sur la rue, vous gardez un silence de mort. C’est exact.

            Oh! frère, ne restez pas silencieux. Criez. Amen. S’il faut qu’on vous décapite, soyez comme Jean-Baptiste. C’est exact. Prenez position pour ce qui est vrai.

58        Et je regardais là ce vieil aigle, et je me suis dit: «Qu’est-ce qui te rend si courageux ?» J’ai dit: «Sais-tu que je peux t’abattre si je le voulais ?» Et lui, avec ces énormes yeux gris fixés sur moi, n’avait pas peur de moi. Et je me suis dit: «Je suis sûr que tu n’as pas peur de cet écureuil.» Et alors je me suis dit... Eh bien, j’ai dit... J’ai pris mon fusil. J’ai dit: «Je peux t’abattre.» Je l’ai observé. Il a fait un bond, il m’a regardé de nouveau, mais je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui le rend si courageux ? Comment expliquer que ce gars soit si courageux ? Je ne comprends pas ça.» Mais j’ai fini par remarquer... Voici ce qui le rendait si courageux. Je l’ai vu bouger ses ailes comme ceci, il remuait ses ailes pour sentir si elles étaient en forme. J’ai dit: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur.» Amen.

            Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit: «Frère Branham, n’avez-vous pas peur de faire une erreur, de dire quelque chose de faux à quelqu’un sur cette estrade ?» Oh! non, pas aussi longtemps que je peux sentir qu’Il est avec moi. C’est exact. Aussi longtemps qu’Il est là, tout est en ordre. C’est–c’est en ordre. Aussi longtemps qu’Il est là, la barque est sous contrôle.

            Et je l’observais remuer ses ailes; je me suis dit: «Eh bien, dis donc!» Il–il regardait sans cesse en haut, il observait la distance qui séparait cette forêt de la lisière des arbres. Il savait que s’il arrivait dans cette forêt, je ne le verrais plus dans la lunette de ce fusil. C’est pourquoi il était tout simplement posé là à me regarder, passant un bon moment.

59        Il m’a regardé, et ensuite il a regardé cet écureuil. Il m’a regardé comme cela, et j’ai dit–j’ai dit: «Eh bien, c’est vraiment étonnant!» Et au bout d’un moment, il en a eu marre des jacassements de ce petit écureuil des pins. Alors, il a fait un très grand bond comme cela, il a battu les ailes environ deux fois et il était déjà dans cette forêt. Il n’a plus battu des ailes une seule fois. Il a simplement disposé ses ailes et il savait comment se laisser emporter par le vent qui descendait.

            Mon gars, il est tout simplement monté. Chaque fois... Il n’a pas battu des ailes à plusieurs reprises pour essayer de monter. Il a tout simplement disposé ses ailes comme il faut, et il s’est carrément laissé emporter par l’une de ces vagues, et il a continué sans s’arrêter jusqu’à ce que je ne pouvais plus voir même un petit point. Il a complètement disparu, laissant ces jacasseries terrestres incessantes que...

60        Je me suis dit: «Alléluia!» J’ai déposé mon fusil. Et je me suis remis à tourner continuellement autour de l’arbre. Je me suis dit: «C’est ça, Seigneur, c’est ça. Apprends-moi comment disposer mes ailes dans la puissance de Dieu, et chaque fois que les vagues du Saint-Esprit viendront, que je puisse être emporté par Lui (Alléluia!) jusqu’à ce que je sois complètement hors de portée de ces gens qui sont ici, faisant toutes ces jacasseries: ‘Les jours des miracles sont passés. C’est une bande de saints exaltés. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit s’en est allé il y a longtemps.’»

            Oh! la la! laissez-vous être emporté par le Saint-Esprit. Alléluia! gloire. Chacun de vous les aigles, vous avez deux ailes puissantes pour vous envoler avec, si vous le voulez. Amen. Vous avez tout simplement peur d’utiliser vos ailes. Cela leur donne de l’exercice quand vous devez les utiliser de temps en temps pour vous élever.

61        Un jour j’observais leur nid. J’étais sur la montagne et j’observais. J’ai vu une vieille mère aigle pousser un cri. Elle a quitté le nid avec toute une ribambelle d’aiglons. Ils ont planté leurs petits becs dans les ailes de leur mère comme cela, et elle a quitté le vieux nid; et quand ils sont descendus des ailes, c’était la première fois que ces petits se retrouvaient sur le gazon. Oh! c’était si agréable. Et oh! ils passaient un bon moment. La vieille mère est retournée directement en haut, et elle s’est posée sur le pic du plus gros rocher qu’il y avait.

            Je me tenais là avec mes jumelles. Je faisais paître le bétail, c’est ce que je faisais là-haut dans le Colorado. Et j’observais ces aiglons, vous savez, pour voir ce que cette vieille mère aigle faisait. Et elle s’était posée là-haut, vous savez, ses yeux observant, pour voir si un coyote approchait.

62        Je me suis dit: «Comme c’est typique; voici Dieu dans Sa nature. Ces aiglons n’avaient jamais quitté ce nid nauséabond (Excusez-moi), ce vieux nid, comme vous le savez, ils vomissent dans leur nid et y font tout le reste, et ils y apportent de la viande qui pourrit là dans ce nid et tout, et il y a des ronces et des épines, et avec leurs petites pattes, ils marchent là-dessus. Et alors, la vieille mère aigle vient et elle les prend (parce que ce sont ses petits), et elle les amène en bas dans les pâturages où le gazon est si doux sous leurs pattes.

            Je me suis dit: «C’est ce que Dieu fait quand nous sommes ici dans les débit de boisson, et çà et là dans les rues, vivant dans le péché, et dans la–la vomissure du diable, où il y a la puanteur du whisky, du tabac et tout le reste; et alors un jour notre Seigneur Jésus a étendu Ses ailes au Calvaire, Il nous a amenés là dans les verts pâturages ombragés. Gloire! Et après avoir fait cela, Il a fait comme la vieille mère aigle. Il est monté là et a gravi les remparts de la gloire, Il s’est assis là-haut et Il veille sur Son Eglise. Amen.

63        Qu’un coyote approche s’il le veut. Cette vieille maman aigle sera aussitôt sur son dos; et il va vite regagner les bois. Et je vous assure; notre Seigneur Jésus-Christ se tient là dans la puissance de Sa majesté et de Sa gloire, veillant sur Son Eglise pour confirmer Sa Parole, partout où Il peut trouver un croyant qui veut agir sur base de Sa Parole et La croire.

            Ces aiglons ne se souciaient de rien. Vous les verriez tout simplement redresser leurs petites têtes et regarder là-haut. Ils voyaient maman. C’était tout ce dont ils avaient besoin. Alléluia!

            Certainement, Dieu est dans Sa nature. Le croyez-vous ? Il est dans Son univers. Aussi longtemps que je peux sentir la puissance du Saint-Esprit descendre, je sais que Dieu est toujours posté sur les remparts de la gloire, veillant sur Sa Parole pour L’accomplir (Croyez-vous cela ?), et pour La confirmer.

64        Il était là. Et j’ai remarqué ensuite qu’après un moment une tempête du nord se levait. Un petit courant d’air venait dans cette direction. Elle pouvait humer l’odeur de ce vent, elle savait qu’il y avait de la pluie dans l’air. Et elle a poussé un très grand cri et elle est descendue directement là au milieu de ce pâturage. Elle a déployé ses ailes comme cela. Tous ces aiglons sont venus de partout aussi vite qu’ils le pouvaient, ils ont sauté, de leurs pattes ils ont saisi les plumes, ils y ont accroché leurs becs comme cela.

            Elle a élevé ses grandes ailes. Alléluia. Oh! Elle est montée à travers ce–ce vent, filant dans ce canyon à ce moment-là à soixante miles [96 km] à l’heure. Elle est allée droit jusque dans la fente du rocher, à l’abri.

65        Un de ces glorieux jours, quand ces aiglons, rassurés par la puissance de Dieu (Alléluia), et se nourrissant des choses excellentes que Dieu a merveilleusement... Et l’un de ces jours Jésus poussera un cri du haut des Cieux, en descendant. Quand le danger et les bombes atomiques seront sur le point de tomber sur Chicago, Il déploiera comme cela ces grandes ailes d’amour, nous percerons l’orage et nous irons (Alléluia) jusqu’à la Maison du Père où il y a plusieurs demeures qui sont préparées, qui sont prêtes pour les rachetés. Alléluia!

            Frère, je me sens en ce moment même comme un saint exalté. Oui, monsieur. Vraiment. Amen. Dieu oeuvre dans Son univers. Il oeuvre dans Sa nature.

66        Il n’y a pas longtemps, je tenais une réunion... Eh bien, juste avant que je n’entre dans ces campagnes de guérison. J’étais un prédicateur baptiste. Vous le savez tous. Très bien. J’étais à l’Eglise baptiste de Milltown. Frère Ryan, nous y avons été ensemble à plusieurs reprises. Je restais là-bas chez frère–le vieux frère Wright. Et chaque soir nous... Je montais et je rentrais...

            Un rossignol avait l’habitude de se percher là. Ce petit compagnon chantait toute la nuit. Vous savez ce que c’est qu’un rossignol ? Et, oh! ils chantaient vraiment sans cesse. Il y en a tout plein dans les champs, là où nous–où nous habitons maintenant. J’ouvre la fenêtre vers deux heures du matin, et je les écoute tout simplement chanter.

67        Et je me suis dit: «Qu’est-ce qui fait qu’il...» Et un soir nuageux, j’ai remarqué qu’il cessait de chanter pendant un petit moment. Ensuite, il se remettait à chanter. Alors, je me suis mis à étudier la nature de ces oiseaux, et j’ai fini par comprendre; et voici ce qu’ils font. Ils se perchent dans les buissons. Ils regardent tout autour, et dès qu’ils aperçoivent une étoile, ils se mettent à chanter de toutes leurs forces, parce qu’ils savent ce que... que le soleil brille quelque part. Aussi sûr que cette étoile brille, le soleil brille sur cette étoile, le soleil brille quelque part, ainsi un nouveau jour va paraître.

            Et je me suis dit: «Ô Dieu, lorsque les vagues des ténèbres roulent, et que parfois le réveil en arrive au point où tout le monde veut être formaliste et impie, permets-moi d’entendre de temps en temps un bon ‘amen, gloire à Dieu’ à l’ancienne mode.»

            J’ai dit: «Gloire à Dieu! Le soleil brille quelque part. Il brille quelque part.»

68        Si je pouvais sortir ce soir et regarder là la grande étoile du matin, l’étoile du soir qui est suspendue là, je dirais: «Qu’est-ce qui te fait briller, étoile ?»

            Elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille.»

            Je dirais: «Eh bien, qu’est-ce qui te rend si belle ?»

            - Ce n’est pas moi qui suis belle.

            - Eh bien, pourquoi brilles-tu ?

            - Ce n’est pas moi qui brille.

            - Eh bien, qu’est-ce qui brille ?

            - C’est le soleil qui brille sur moi, c’est ce qui me fait briller.

            Je parlais à un médecin il n’y a pas longtemps. Il a dit: «Révérend Branham, ces gens du Saint-Esprit dont vous parlez, ce n’est que de l’excitation. Ce n’est que de l’émotion.»

            Frère, savez-vous ce que je crois que c’est ? Je crois que ce ne sont pas eux qui brillent. C’est la puissance de Dieu qui brille sur eux, qui les fait briller. Alléluia! Quand Dieu fait briller Sa puissance, et la guérison divine, les bénédictions, ainsi que les gloires, vous ne pouvez pas vous tenir tranquille. Jésus a dit: «S’ils se taisent, immédiatement les pierres crieront.» Oh! alléluia! c’est exact. Alléluia.

69        Je me suis étendu près d’une vieille source où j’avais l’habitude de boire, je m’étendais là, et je buvais simplement, buvais, et buvais. J’ai remarqué que c’était la source la plus joyeuse que j’eusse jamais vue. Elle ne faisait que bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner et bouillonner tout le temps. C’est comme un brave chrétien à l’ancienne mode, il est toujours en train de bouillonner, que les choses marchent ou pas, il ne fait que bouillonner malgré tout.

70        Dieu est aussi à l’oeuvre dans Sa nature dans le sol. Croyez-vous cela ? Si je devais m’asseoir et parler à cette source, je dirais: «Qu’est-ce qui te fait bouillonner ? Qu’est-ce qui te rend si joyeuse ?»

            Elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne.»

            Je dirais: «Eh bien, peut-être que tu bouillonnes juste parce que–parce que je bois de ton eau.»

            «Non.»

            «Tu bouillonnes parce que les cerfs ou les ours boivent de ton eau ?»

            «Non.»

            Je dirais: «Qu’est-ce qui te fait bouillonner ?»

            Elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose en moi, qui me pousse, qui me fait bouillonner.» Et il en est de même de chaque homme né de nouveau de l’Esprit de Dieu. Il y a quelque chose en vous qui vous pousse et qui vous fait bouillonner. Alléluia. Oh! gloire. C’est exact. Cela vous fait bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner, faisant jaillir une joie éternelle.

71        A la femme au puits Il a dit: «Il y a en Moi des Eaux de Vie (Alléluia); Je te donnerai de ces Eaux de Vie, qui bouillonnent jusque dans la Vie Eternelle.» Tout un geyser, frère, quand il éclate, il crache sans arrêt. Fiou! Ôtez simplement le capuchon et laissez-le couler. Amen.

            Dieu est dans Son univers. Croyez-vous cela ? Certainement. Dieu est dans Son univers. Il y avait un petit garçon qui habitait notre ville, et alors, il fréquentait une école du dimanche très formaliste, et... près de la rivière Ohio. Et comme beaucoup d’entre vous qui êtes assis ici, les bateliers, vous savez la joie que ça fait d’être sur l’eau, et puis la... Un jour ce petit fut tout enthousiasmé, et il dit: «Maman, si Dieu est une Personne si merveilleuse, peut-on Le voir ?»

72        «Oh! dit-elle, fiston, je ne sais pas. Demande à ta monitrice de l’école du dimanche.» Alors il est allé demander à sa... du dimanche. Il a dit: «Maîtresse, Dieu peut-Il... peut-on voir Dieu ?»

            Elle a dit: «Eh bien, je–je ne sais pas. Pose la question au pasteur.»

            Il est allé voir le pasteur, et lui a demandé: «Pasteur, peut-on voir Dieu ?»

            Il a dit: «Non, fiston. Personne ne peut voir Dieu. Absolument pas. Nous croyons simplement qu’Il existe, mais personne ne peut Le voir.»

            Le pauvre petit a dit: «Eh bien, si–s’Il est si réel comme le dit la Bible, pourquoi ne peut-on pas Le voir ?»

            Il a dit: «Eh bien, on ne peut tout simplement pas Le voir, fiston. On ne peut pas Le–Le voir.»

73        Bon, alors, il est allé à la pêche avec un vieux pêcheur sur la rivière, un vieil homme à la barbe grise comme ceci, avec une longue chevelure, un vieil homme qui était là sur la rivière. Et alors, un jour il se trouvait près des îles dites Six Miles Island, et une tempête s’est levée.

            En rentrant... Le vieux pêcheur était un chrétien réputé. Il descendait en ramant comme ceci, vous savez, et les rames fendaient l’eau, vous savez, comme une musique pour tout batelier, et il ramait comme ceci. Et après que la pluie fut passée, eh bien, toutes les feuilles étaient nettoyées, et tout était si propre et il y avait une odeur de fraîcheur. Et il a regardé, et le soleil est apparu, et il y avait un arc-en-ciel dans le ciel.

74        Le vieil homme regardait l’arc-en-ciel. Il ramait et fendait l’eau, il ramait et fendait l’eau en observant cet arc-en-ciel. Le petit garçon assis sur la poupe de la barque a commencé à remarquer les larmes qui coulaient sur sa barbe grise. Il regardait cet arc-en-ciel et ramait. Le petit continuait à regarder le vieil homme. Il s’avança rapidement là et tomba sur ses genoux, et dit: «Monsieur, je vais vous poser une question à laquelle ma monitrice n’a pas su répondre, ma mère n’a pas su répondre, mon pasteur n’a pas su répondre.» Il a dit: «Est-ce que... Peut-on voir Dieu ?»

            Eh bien, le coeur du vieil homme était si plein, vous savez, il a ramené les rames sur ses genoux et a levé les mains comme ceci, et il a poussé un grand cri. Il a entouré de ses bras le petit garçon, et l’a attiré sur sa poitrine, il a dit: «Que Dieu bénisse ton petit coeur, fiston. Ne Le vois-tu pas là-bas ?» Il a dit: «Eh bien, tout ce que j’ai vu depuis trente-cinq ans, c’est Dieu.»

            Eh bien, il y avait tant de Dieu ici à l’intérieur que Dieu pouvait se voir là-bas. Il se reflétait. Est-ce exact ? Quand vous avez Dieu ici à l’intérieur, le jour où vous serez sauvé et que vous serez rempli du Saint-Esprit, les oiseaux chanteront différemment. Tout l’univers aura un aspect différent. Tous les arbres battront tout simplement les mains et tout.

75        Oh! la la! ce vieil ennemi que vous n’aimiez pas du tout deviendra la personne la plus merveilleuse. Vous vous avancerez et vous direz: «Salut, là. Comment ça va ?» Et ce voisin à qui vous ne vouliez pas parler, ces vieux démonte-pneus que vous aviez volés, et tout le reste, vous les restituerez et vous direz: «Vous savez, je regrette d’avoir fait cela. Voulez-vous me pardonner pour cela ?»

            C’est ce que cela vous fait. Vous verrez Dieu dans Son univers aussi sûr que deux et deux font quatre, si vous vous mettez à Le chercher partout. Croyez-vous que c’est vrai ?

            Il y a quelque temps un vieil infidèle vivait dans le pays, oh! je pense qu’il y a cinquante ans de cela; et il convertissait les gens du christianisme à l’infidélisme. Et quand sa mère mourait, la seule chose qu’il a pu dire c’était: «Maman, souris et supporte!»

            Oh! quelle consolation à donner à sa mère à l’heure de sa mort! Alors il est allé en Angleterre, et il a fait un tas de convertis là-bas. Aucun prédicateur n’osait l’affronter. Non, non. Parce qu’il était intelligent et astucieux. Il les mettait tout simplement en pièces comme ceci, parce que la plupart de prédicateurs... Il se tenait carrément...

76        Un ami à moi se tenait là, et l’homme a même ébranlé tout son fondement quand il se tenait là avec une bouteille d’acide sulfurique, juste là à Memphis, dans le Tennessee, il avait cette bouteille d’acide sulfurique. Il a dit: «Vous tous ici qui êtes supposés être chrétiens, Marc 16 dit: ‘S’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera pas de mal.’» Il a dit: «C’est ce que déclare Marc.» Il a dit: «Eh bien, si c’est la Parole inspirée de Dieu, buvez cet acide sulfurique–sulfurique.»

            Et certains ont dit... Eh bien, ils ont dit: «Eh bien, tu–tu ne tenteras pas l’Eternel ton Dieu!»

            Et il a dit: «Oh! alors moi non plus je ne Le tenterai pas en Lui demandant quoi que ce soit!» Il a dit: «Peut-être qu’on ne peut pas Le déranger», et il se moquait d’eux comme cela.

77        Et il se passa quelque chose, je vais devoir raconter aussi ceci, pendant qu’on y est, si je le peux. Il y avait un garçon de campagne de grande taille assis là, les cheveux lui tombaient jusqu’au cou, il portait une salopette. Il s’est tout simplement avancé, et il avait des dents ressorties ici devant, vous savez, et les cheveux lui tombaient dans le visage. Il s’est carrément avancé vers l’estrade, il a simplement plongé la main dans la poche de sa salopette, et il en a fait sortir une grosse pomme, qu’il s’est mis à peler avec un couteau.

            L’infidèle a dit: «Eh bien, a-t-il dit, abruti, que veux-tu ?»

            Il a dit: «Je désire simplement vous poser une question.» Et il a continué tout simplement à peler sa pomme.

            Il a dit: «Eh bien, dis-moi ce que tu veux, sinon je vais demander qu’on te boute hors d’ici.»

78        Il a dit: «Une minute. Accordez-moi du temps.» Il a donc pelé la pomme et a enlevé le trognon, il l’a apprêtée, il l’a mise dans sa bouche, et il s’est mis à la mâcher comme ceci. Il a dit: «J’aimerais vous poser une question.»

            Il a dit: «Quelle question ?»

            Il a dit: «Cette pomme est-elle sucrée ou aigre ?»

            L’homme a dit: «Comment le saurais-je, je ne la mange pas!»

            Il a dit: «C’est ce que je pensais.» Il s’est retourné et il est allé regagner son siège. Comment saurez-vous que Dieu n’est pas réel si vous ne L’avez pas goûté, si vous ne L’avez pas senti ? Alléluia! Comment saurez-vous si la guérison divine n’est pas réelle si vous ne l’avez pas éprouvée une fois ? Comment saurez-vous si le Saint-Esprit est réel ou pas alors que vous courez çà et là avec votre veston ecclésiastique, essayant par des explications d’annuler tout ce qu’il y a de divin dans la Bible, en adoptant tout un tas de théologie ? Comment saurez-vous quelque chose au sujet de Dieu, si vous n’avez même jamais goûté pour savoir s’Il dit la vérité ou pas ?

79        Soyez sincère. Soyez humble devant Lui. C’est exact. Et le docteur Davis se tenait là, un vieil évêque méthodiste se tenait là avec ce jeune prédicateur. Le jeune Roy Davis se tenait là avec cet évêque. Cet infidèle a dit: «Quiconque d’entre vous», et certains ministres disaient: «Marc 16, à partir du verset 9, n’est pas inspiré. Ce n’est pas inspiré, vous ne pouvez donc pas vous appuyer là-dessus.»

            Il a dit: «Eh bien, dans ce cas, là-bas je dirai: ‘Venez à Moi vous tous qui êtes chargés et fatigués’, ce qui est dit dans Matthieu 11.27, je dirai: ‘Alors, ça ce n’est pas inspiré.’»

            Alors, il l’a eu sur un point. Et Roy a dit... Le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir sur lui, il a dit: «Restez debout là.» Alors il a dit, le vieil évêque, il a dit: «Si cet infidèle lance encore une seule fois ce défi, si je meurs en accomplissant mon devoir, j’irai au Ciel croyant à la Parole de Dieu.»

            Alors il a dit: «Maintenant, écoute, fiston. Assieds-toi et laisse-le simplement... Il se fait simplement éclater la cervelle. Laisse-le.»

80        C’était donc le Saint-Esprit qui était à l’oeuvre. Alors, il a encore lancé ce défi, il a lâché un grand «Ha-ha!» et il a soulevé sa montre. «S’il existe un Dieu, je mourrai dans une minute.» Il a attendu une minute et il a dit: «Ne vous ai-je pas dit que Dieu n’existe pas ? Ah, ah, ah!», comme cela, il a ri comme cela.

81        Alors Roy, quand l’homme a lancé ce défi et a dit: «Pourquoi il n’y a personne parmi vous là-bas qui croit que Dieu est vraiment réel, a-t-il dit, et qui essaie ce test de l’acide sulfurique ?»

            Maintenant, maintenant, je ne dis pas aux gens de faire cela. Ne le faites pas à moins que le Saint-Esprit soit avec vous. Voyez-vous ? Eh bien, je ne crois pas dans le fait de saisir des serpents, ni... Je crois que si je baptisais les gens là dans l’eau et qu’un serpent s’accrochait à mon corps, je le jetterais sur le rivage et je continuerais à baptiser, comme Paul l’a fait ou quelqu’un comme cela. Ou si quelqu’un me donnait du poison à mon insu, je ferais confiance à Dieu pour ma guérison. C’est vrai. Mais je ne crois pas dans le fait d’amener des histoires et de dire: «Venez ici, et je vais vous montrer que je peux le faire.» Je pense que ce n’est pas correct. C’est exact.

            Mais frère Davis s’est avancé vers l’estrade. Nous en avons une déclaration publique notariée. Il s’est avancé là. Il a dit: «Chrétiens», environ deux ou trois mille personnes étaient assises là, il a dit: «J’ai vingt-cinq ans.» Il a dit: «Je suis un ministre de l’Evangile», et il a dit: «Je–je sais que mon Dieu est capable de me délivrer de cela», mais il a dit: «Néanmoins, qu’Il le fasse ou pas, je ne laisserai jamais cet infidèle se tenir là avec ça dans sa main à défier la Parole de Dieu.» Il a dit: «Je vous rencontrerai dans la Gloire.»

82        Il a arraché cela de sa main...?... Et d’un seul trait il a bu cela jusqu’à la dernière goutte, il s’est tenu là et il a prêché l’Evangile, et environ mille cinq cent personnes qui étaient assises là dans la réunion ont reçu le baptême du Saint-Esprit. Alléluia. Oui, oui.

            Non, après qu’il était rentré, ce même infidèle a voulu prendre un repos, et il est allé là à l’ouest, dans le Colorado. Et il avait un camp là-bas et il marchait là un jour sur le sentier, et il s’est mis à marcher.

            Et il se sentait plutôt mal, sa santé se détériorait et il arriva qu’il lève les yeux là, et le vent soufflait contre ces énormes rochers suspendus là dans les montagnes.

            Il s’est dit: «Je me demande si j’ai tort.» Il s’est agenouillé; il a dit: «Où que Tu sois, qui es-Tu ?» Il a dit: «Regarde ces rochers suspendus là. Ai-je tort ? Est-ce l’eau qui les a lessivés comme cela, ou est-ce Dieu qui les a placés là comme cela ?»

            Qu’était-ce ? Dieu parlait à travers Son univers. S’ils se taisent, les prédicateurs, immédiatement les pierres crieront. Cet infidèle est tombé à genoux là, et il a donné son coeur à Dieu, parce que les pierres criaient. Dieu lui parlait à travers la mère nature. Alléluia!

            Dieu est dans Son univers. Croyez-vous cela ? Oh! la la! je pourrais m’attarder là-dessus encore pendant une heure. Arrêtons-nous simplement une minute. Dieu dans Son univers. Je vais carrément me dépêcher avec ces autres points.

83        Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole ? Chaque semence de Dieu, chaque Parole de Dieu est une Semence. Croyez-vous cela ? Eh bien, c’est juste comme une–une semence que vous avez plantée. Si c’est du blé, c’est le blé qui sortira. Et chaque Parole de Dieu est...

            Chaque promesse divine de Dieu s’accomplira parfaitement si vous la plantez dans la bonne sorte de terre et que vous la laissiez pousser. Croyez-vous cela ? Placez-la là; dites: «Seigneur, par Ses meurtrissures, j’ai été guéri. Je suis guéri. Je l’accepte, Seigneur, et je ne dirai jamais rien d’autre.»

            Je vous assure, frère, avec ça le diable reçoit de la poudre aux yeux juste là, car c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, je m’en tiendrai à cela quitte à en mourir. Je m’en tiendrai à cela. Ce sont mes convictions. C’est ma position. C’est là que... Sur Christ le Roc solide je me tiens. Tout autre terrain n’est que sable mouvant. Tenez-vous-en à cela. Oui, certainement. Cela produira exactement ce que cela dit.

84        C’est juste comme un petit... Ici... Beaucoup d’entre vous partout ici ont beaucoup de... J’ai remarqué ici les vergers où vous cultivez beaucoup de pommes. Prenez un petit pommier quand il a à peu près cette taille, quand ce n’est qu’une toute petite pousse. Savez-vous que chaque boisseau de pommes, chaque pomme, chaque fleur, chaque feuille que portera cet arbre est en lui juste à ce moment-là ? Savez-vous cela ?

            Vous savez, vous pourriez cueillir deux cents boisseaux de pommes sur cet arbre, et chacune d’elles est dans ce petit arbre quand il a cette taille-là. Si ce n’est pas le cas, d’où cela vient-il ? Dites-moi qui les a mises dessus. C’est dans l’arbre dès le départ. Et c’est ainsi...

85        Ce que vous devez faire avec l’arbre, vous prenez l’arbre et vous le plantez dans le sol, et ensuite vous devez l’arroser; et alors que vous l’arrosez, il ne fait que boire, boire, boire. Il doit boire au-delà de sa mesure. Et plus il boit plus il grandit. Il fait pousser des branches. Ensuite il fait pousser des feuilles. Ensuite il fait sortir des fleurs. Ensuite il porte des pommes. Est-ce exact ?

            Et c’est comme cela qu’est un chrétien. Nous sommes plantés ensemble en Jésus-Christ, qui est la Fontaine inépuisable de la Vie. Nous sommes plantés en Christ, et nous ne faisons que boire, boire, boire et nous croissons; et tout ce dont nous avons besoin pour notre voyage terrestre: la guérison divine, la puissance de Dieu, et toutes ces autres choses se trouvent dans chaque individu ici qui a reçu le baptême du Saint-Esprit, car vous êtes planté en Christ. Alléluia! Le baptême du Saint-Esprit, oui, monsieur. Et tout ce dont vous avez besoin pour ce voyage de la vie, même l’Enlèvement est donc juste en vous.

86        Ne rejetez pas cela. C’est la vérité. L’Enlèvement est en nous maintenant. Je vais vous le prouver par l’Evangile. «Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés; et ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.» Alléluia. Alors, aujourd’hui au Ciel nous sommes glorifiés maintenant même dans la Présence de Dieu. Je ne fais que croître jusqu’à atteindre cela. Amen. Gloire. Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela ? Très bien.

            On doit se dépêcher maintenant. Il y a beaucoup de choses que nous pourrions dire là, mais Dieu est dans Sa Parole. Chaque Parole de Dieu est une semence. Saisissez-vous cela ? Et vous devez tout simplement vous accrocher à cela.

            Maintenant, beaucoup de gens regardent aux symptômes qu’ils ont. Ils disent: «Oh! Frère Branham, ma main ne va pas mieux. J’ai toujours cette douleur.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Cela dépend de l’attitude mentale que vous avez vis-à-vis de Dieu et de Sa promesse.

87        Vous savez, s’il y a quelqu’un qui a eu un cas de symptômes, c’était bien Jonas. Il a vraiment eu des symptômes. Savez-vous cela ? Dieu lui a dit d’aller à Ninive, mais il est allé à Tarsis, il a pris le chemin le plus facile. C’est ce que font bon nombre de chrétiens aujourd’hui, ils essaient de prendre le chemin facile. Il a dit: «Va à Ninive et–et crie contre la ville.» Au lieu de faire cela, il est allé à Tarsis. Alors, il a rétrogradé. Une tempête s’est levée sur l’océan, et on lui a lié les mains et les pieds, et on l’a jeté par-dessus bord. Une grande baleine l’a avalé. Et tout le monde sait qu’après avoir mangé, une baleine ou n’importe quel autre poisson va droit au fond du... Donnez à manger à votre poisson rouge, et observez ce qu’il fait, il va directement au fond, et il repose ses petites nageoires sur le fond. Il rôde dans l’eau jusqu’à ce qu’il ait trouvé sa nourriture, ensuite il descend se reposer. Voyez-vous ?

88        Eh bien, maintenant écoutez ceci. Voyons. C’était un océan orageux, et un prédicateur rétrograde qui avait les mains liées derrière lui, les pieds liés derrière lui, s’y trouvait jeté pendant la tempête. Un... Une baleine l’a avalé et est allée au fond de la mer pour se reposer. Et voilà ce prédicateur là au fond, dans une condition rétrograde...

            Personne ici aujourd’hui dans cette salle n’est en aussi mauvaise posture, et il était là en bas, un rétrograde, les mains liées derrière lui, à plusieurs kilomètres de profondeur dans l’océan, dans le ventre d’une baleine, avec des algues enroulées autour de son cou, baignant dans la vomissure jusqu’aux genoux. Et qu’il se retourne de ce côté-ci, c’était le ventre de la baleine; qu’il se retourne de ce côté-là, c’était le ventre de la baleine. Où qu’il se retourne, c’était le ventre de la baleine. Vous parlez d’un cas de symptômes, il en avait un. C’est vrai. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Ses mains étaient liées derrière lui. Il était rétrograde et dans le ventre d’une baleine, tout au fond de la mer; de tout côté le ventre de la baleine, le ventre de la baleine.

89        Eh bien, frère, il n’y a personne ici qui est dans une telle situation aujourd’hui. Mais qu’a-t-il dit ? Il a regardé le ventre de cette baleine ainsi que tous ces symptômes, et il a dit: «Ce sont des vanités mensongères.» Oui, oui. Il a dit: «Je regarderai une fois de plus à Ton saint temple, ô Eternel.» Alléluia. Oh! frère. «Je regarderai une fois de plus non pas au ventre de cette baleine, non pas à mon état rétrograde, non pas à mes mains qui sont liées derrière moi, non pas à l’endroit où je me trouve, non pas à cette mer orageuse. Je regarderai à Ton saint temple, ô Eternel.»

            Quand Salomon a fait la dédicace de ce temple et que la Colonne de Feu est entrée, qu’Elle est allée se placer derrière la–la chose et s’y est établie, écoutez ce que Salomon a dit, il a dit: «Ô Eternel, si Ton peuple est en détresse quelque part et qu’il regarde en direction de ce lieu saint, et qu’il prie, alors exauce des cieux et délivre Ton peuple.»

            Et Jonas croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon; alors, il ne regardait pas aux symptômes qu’il avait. Il ne regardait pas au ventre de la baleine. Il ne considérait pas son état rétrograde. Il a considéré la promesse de Dieu, la prière de Salomon.

90        Et si Jonas, dans de telles circonstances, avec ce genre de symptômes a pu regarder à un temple terrestre, où un homme terrestre avait prié, combien plus devrait faire un chrétien alors que Jésus-Christ est mort pour vous, Lui qui a pris Son propre Sang et est assis à la droite de Dieu aujourd’hui, faisant intercession sur base de tout ce que vous confessez qu’Il a fait!

            «Oh! la la! arrière de moi, symptômes! Vous êtes des vanités mensongères. Je ne vous croirai plus. Jésus-Christ m’a guéri quand Il est mort au Calvaire. Alléluia. Tu me dis que je dois continuer à fumer, à boire le whisky. Tu es un menteur. Je refuse de voir cela. Je regarde à Ton Saint Temple, ô Seigneur, où Jésus, le Fils de Dieu, se tient à la droite du Père, faisant intercession pour moi.» Fiou! Oh! la la!

            Maintenant, je suis vraiment un saint exalté. Frère, laissez-moi vous dire quelque chose. J’ai navigué sur toutes les mers, et je n’ai encore jamais vu un saint exalté. C’est un nom que le diable a collé à l’Eglise. Mais s’Il voulait que je le fasse, je me roulerais certainement, aussi longtemps que la chose est sainte. Oui, oui.

91        Dieu est dans Sa Parole, le croyez-vous ? Dieu est dans Son univers, Dieu est dans Sa Parole. Maintenant, très rapidement, prenons Dieu dans Son Fils. Croyez-vous que Dieu était dans Son Fils ? Certainement. Il était plus qu’un homme. Je vous ai enseigné cela hier. Il était plus qu’un homme. Il était Dieu. Dieu n’est pas comme... C’est une chose qui n’a pas été nettoyée lors de la–lors de la réforme. Voyez-vous ? Il n’y a pas... Beaucoup de gens disent que... Les Juifs essaient de nous dire... Il y a des Juifs assis ici. C’est la plus grosse–plus grosse pierre d’achoppement que les Juifs aient jamais eue, parce que nous n’expliquons pas clairement la chose aux Juifs. Ils pensent que nous croyons qu’il y a absolument trois dieux distincts. C’est un mensonge. Il n’y a qu’un seul Dieu, et absolument un seul Dieu. Il y a trois dispensations, trois manifestations, mais c’est chaque fois le même Dieu.

92        C’est comme une règle de trois pieds [36 pouces, soit 91,44 cm]. Vous avez douze pouces ici. Vous avez vingt-quatre pouces ici. Vous avez trente-six pouces ici, mais c’est la même règle. Dieu le Père se révélait, se dévoilait, essayant de se rapprocher de l’homme.

            Dieu le Père fut rendu manifeste dans une Colonne de Feu qui était suspendue au-dessus de la montagne. Même Moïse eut peur de la secousse. Est-ce exact ? Si quelqu’un, même une bête, s’approchait de la montagne, il devait être percé avec une flèche. Est-ce exact ?

            Alors le même Dieu fut rendu manifeste dans la chair et habita parmi nous dans un corps né d’une vierge, afin d’ôter le péché. Croyez-vous cela ? C’était Dieu le Fils. Croyez-vous cela ? C’est le même Dieu. «Moi et Mon Père nous sommes un. Mon Père demeure en Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père.» C’est Jésus qui parlait au sujet de Son Père, le même Dieu qui était révélé ici dans un corps de chair, qui était suspendu dans une Colonne de Feu.

93        La Colonne de Feu parlait à Moïse dans le buisson ardent. Il a dit: «Dis à toutes ces générations que JE SUIS CELUI QUI SUIS», et Jésus se leva le jour de la fête et dit: «JE SUIS le JE SUIS.» Certainement. Le même Dieu, juste douze pouces, passant de douze à vingt-quatre pouces, étant dévoilé.

            Maintenant, ensuite la fois suivante où Il s’est révélé... D’abord, dans la Colonne de Feu, ensuite dans le corps né d’une vierge, Son Fils, et maintenant Il se fraie une voie pour accéder à l’humanité, et maintenant Il se révèle dans l’homme pécheur qui a été régénéré, et Il vit dans toute l’Eglise.

94        «En ce jour-là vous saurez que Je suis dans le Père, et que le Père est en Moi, et Moi en vous, et vous en Moi.» Oh! la la! Voyez-vous ? Dieu dans Son peuple (Alléluia), changeant de forme. Certainement. Dieu est en plein parmi Son peuple. Il s’est dévoilé partant de l’Etre surnaturel pour descendre dans un corps né d’une vierge afin d’ôter le péché.

            Il est venu de Dieu, Il est retourné à Dieu. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous (Je, c’est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.»

            Vous voyez comment Dieu trace Son saint chemin. Il ne pouvait pas descendre carrément et entrer d’un bond dans le péché. Dieu devait nettoyer ce chemin. Et pour le faire, Il était une Colonne de Feu; ensuite en tant que Fils né d’une vierge, qui a ôté le péché des corps humains, et ensuite après cela Dieu Lui-même a pu demeurer carrément parmi Son peuple. Voyez-vous ce que je veux dire ? Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Croyez-vous cela ?

95        Quand Il était sur terre, Il a dit qu’Il était Dieu. Il ressemblait à Dieu. Il parlait comme Dieu. Il prêchait comme Dieu. Alléluia. Il guérissait comme Dieu. Il est ressuscité comme Dieu. Il est monté au Ciel comme Dieu. Alléluia. Et Il était Dieu. Alléluia. Il était Dieu dans la chair. Dieu était dans Son Fils, se manifestant à Son peuple.

            Oh! combien de fois nous pourrions... Combien nous pourrions entrer dans cela pour voir ce que c’était. Voyez-vous ? Mais, je crois que vous comprenez ce que je veux dire. Voyez-vous ? C’est Dieu qui se dévoile. Il a quitté la nature, Il est descendu dans la chair, dans Son Fils.

            Dieu est venu dans la chair, Jésus-Christ, le Logos, qui était sorti au commencement. Autrefois, au commencement personne ne pouvait voir Dieu. Alors le Logos est sorti. Alors Dieu s’est manifesté dans un homme. L’homme a péché, alors Dieu est descendu et s’est révélé dans la chair, Il a ôté le péché, Il est retourné, et Il est revenu pour vivre dans le peuple, et pour leur parler comme Il parlait à Adam et Ève. Alléluia.

96        Bon, mes parents et mes deux... avant moi étaient catholiques. Mais, frère, Il ne reste plus rien du catholicisme en moi, tel que cette trinité d’êtres. C’est exact. Oui, monsieur. Ils croyaient dans la filiation éternelle, ou qu’il existe en fait trois personnalités: Dieu le Père, un vieil homme avec une longue barbe blanche; Dieu le Fils, un homme d’âge moyen; et le Saint-Esprit qui était comme une mascotte. Il n’existe rien de tel. Il n’y a qu’un seul Dieu. Et je ne suis pas d’accord avec l’organisation pentecôtiste qui parle de l’unité comme de l’unicité de doigt. C’est faux. C’est absolument faux.

            Ô Dieu... Jésus ne pouvait pas avoir été Son propre Père, et si Dieu est un homme, alors Jésus est né par un désir sexuel, et non pas par une naissance virginale. Ça règle toute la question. Voyez-vous ? S’Il est un comme votre doigt, alors quelle est la conséquence ? Alors Il était Son propre Père. Comment aurait-Il pu l’être ? C’est faux. Il avait un Père, Jésus avait un Père.

97        Vous ne pouvez tout simplement pas voir la manifestation de Dieu qui se dévoile comme un Père plein d’amour, descendant directement du Ciel et se dévoilant, descendant pour vivre parmi les être humains ici sur terre. Voilà. Dieu était dans Son Fils, et maintenant, je vous ai aussi montré que Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela ? Alors quand Dieu, ce même Dieu qui a vécu autrefois là-bas au temps où le... Moïse a vu la Colonne de Feu, est-ce exact ? Combien croient que c’était l’Ange de l’alliance ? Dites amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Eh bien, l’Ange de l’alliance, c’était Jésus-Christ.

            Moïse regarda les richesses de Christ comme des trésors plus grands que ceux de l’Egypte, et il abandonna l’Egypte pour suivre Jésus-Christ. Il a suivi dans le désert Christ qui était le Logos. Très bien.

98        Maintenant, puis Le voici qui descend, ensuite c’est la filiation. Puis le Saint-Esprit. C’est la raison pour laquelle Matthieu a dit: «Baptisez-les au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.» Certainement. C’est le même Dieu oeuvrant juste au travers de ces trois dispensations: Père, Fils et Saint-Esprit, pas trois individus différents, mais un seul Etre dans trois différentes manifestations. Alléluia! Gloire!

            Frère, je vous assure que cela envoie chaque jour des coups de poings dans les côtes du diable, et ça le fait hurler comme un cochon. C’est exact. Parce que c’est la puissance de Dieu qui est révélée dans ces derniers jours.

            Quelqu’un a dit l’autre jour, il a dit: «Frère Branham, vous ne pouvez pas expliquer la trinité.» Il a dit: «Allez tout simplement vous trouver un asile d’aliénés et entrez-y.» J’ai dit: «Non, monsieur. Je ne peux pas l’expliquer, mais le Dieu du Ciel qui demeure ici connaît toutes choses, et Il nous le révèle selon que nous avons besoin de le savoir.» Amen.

99        Je le crois de tout mon coeur. Je sais qu’il en est ainsi. Cela concorde parfaitement avec les Ecritures et rend la chose claire. Dieu est dans Son Fils. Dieu est dans Son peuple. Et puis, considérez ce qu’Il a fait là-bas autrefois. Considérez ce qu’Il a fait dans les jours de Sa dispensation de Fils. Maintenant, considérez ce qu’Il fait ici dans la dispensation du Saint-Esprit, comment Il est ressuscité et qu’Il est parmi les gens. Il manifeste les mêmes signes et prodiges, Il ressuscite les morts. Est-ce exact ? Il ressuscite les morts, ceux qui sont morts physiquement, Il les ramène à la vie...

            Lisez ce petit livre-là et tirez vos conclusions. J’en ai vu trois dans mon propre humble ministère. Les médecins les avaient étendus morts, ils étaient partis, ils étaient morts, et Dieu a montré la chose par une vision, et ils sont carrément revenus à la vie, et ils sont vivants aujourd’hui. Ecrivez-leur pour vous informer et voyez si c’est exact. Il se manifeste...

100      Jésus-Christ n’a ressuscité que trois personnes dans tout Son ministère, pour montrer que le témoignage de trois personnes doit être établi. Est-ce exact ? Toute affaire se réglera sur la déposition de deux ou de trois témoins. Donc, Dieu est vivant dans Son peuple aujourd’hui, parce que là autrefois, quand Jésus est entré à Jérusalem, il y avait une grande joie et les gens ont commencé à crier: «Hosanna, hosanna, à Celui qui vient au Nom du Seigneur!» Et les prêtres, et les pharisiens, ils ont tous dit: «Dis-leur de se taire. Ils nous énervent.»

            Il n’y a pas longtemps je prêchais, et il y avait une petite femme qui criait et hurlait de toutes ses forces, et il y avait un homme, un enseignant de l’école du dimanche dans une Eglise baptiste de–de Jeffersonville, qui a dit: «Billy, j’appréciais votre réunion jusqu’au moment où cette femme s’est mise à crier et à brailler.» Il a dit: «Comment pouvez-vous donc prêcher pendant que les gens crient comme cela ?»

            J’ai dit: «Je ne peux pas prêcher à moins que les gens crient comme cela.» Je ne sais pas où je me trouve. Je ne sais pas comment les gens reçoivent la chose.

101      Autrefois j’avais un chien avec lequel je chassais, il s’appelait Fritz. Il attrapait n’importe quoi, il forçait n’importe quoi à monter sur l’arbre, à l’exception des mouffettes. Il... Il ne les attrapait pas. Il les forçait à se réfugier dans un tas de broussailles, et alors il allait... aboyait continuellement autour du tas de broussailles. Et la seule chose que je devais faire pour l’amener à entrer dedans et attraper cette mouffette, c’était juste de soulever ce tas de broussailles, et de lui donner une tape et de dire: «Attaque-le, mon gars! Attaque-le, mon gars!» Il allait et il attrapait la mouffette.

            Eh bien, frère, chaque fois que j’entends un amen, ça veut dire: «Attaque-le, mon gars!» Et la plus grosse mouffette que je connaisse, c’est le diable. Contraignons-le maintenant même à se réfugier dans un buisson, et allons l’attraper. Alléluia. C’est exact. Oui, effectivement. «Attaque-le, mon garçon.»

            «Oh! a-t-il dit, Frère Branham, quand cette femme a commencé à crier, a-t-il dit, un frisson m’a parcouru le dos.»

            J’ai dit: «Mon frère, si vous avez assez de chance pour aller au Ciel, vous gèlerez à mort, parce qu’il y a des cris et des hurlements devant le Trône de Dieu jour et nuit, on crie: ‘Saint, Saint, Saint est l’Eternel.’»

102      Dieu est Esprit et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité. Alléluia! Donc Dieu, le Père, dans Son univers, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Sa Parole, et maintenant Dieu est dans Son peuple. Alléluia. Cette Vie immortelle et vivifiante qui vous a tiré de ce débit de boisson, qui vous a tiré des rues mal famées. Cette Chose qui vous a tirée de là et qui a fait de vous une dame, cette Chose qui vous a fait cesser de fumer, de boire et de faire des histoires dans votre vie, c’est Dieu dans Son peuple. Cette Chose qui fait que, lorsque le Saint-Esprit prend la Parole et La répand sur le peuple, comme cela, avec Sa puissance, qui fait que votre coeur saisisse cela, qu’est-ce ? C’est Dieu dans Son peuple.

103      «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Alléluia.

            Vous direz: «Vous êtes excité.» Non, je ne le suis pas. Je sais où je suis. Je ne suis pas excité. Eh bien, frère, si je suis excité, que je reste excité. J’aimerais demeurer ainsi jusqu’à ma mort. Alléluia. Je bénéficie plus de la vie en demeurant dans cet état. Eh bien, pourquoi ? Dieu est dans Son peuple, se manifestant dans la chair des êtres mortels qui sont nés de nouveau. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous que Dieu est dans Son univers ? Le voyez-vous dans la lumière du soleil ? Le voyez-vous dans l’arbre ? Dans la fleur ? Dans Sa Parole ? Dans Son Fils ? Dans Son peuple ?

            Alors, voici Dieu juste ici (Amen), qui connaît les pensées des hommes, qui discerne les pensées, qui guérit les malades, qui fait voir les aveugles, qui fait entendre les sourds, qui fait marcher les boiteux. La seule chose qui limite Dieu, c’est notre foi. Alléluia. Oh! la la! Je...

            Ô Dieu, arrête tout simplement le flot. Je passe vraiment un moment merveilleux ici, passant un moment glorieux. On dirait simplement qu’il n’y a pas de fin à cela, et les aiguilles de cette horloge continuent simplement à tourner.

            Je L’aime, je L’aime,
            Parce qu’Il m’aima le premier,
            Et acquit mon salut
            Sur le bois du Calvaire.

104      Maintenant, donnez-nous-en l’accord, frère. J’ai pris cela un peu trop haut. Préparons-nous à chanter maintenant. Fermez vos yeux. Levez vos mains maintenant. Approchez, Frère Baxter ? ... ici. Que quelqu’un m’aide. Très bien. Très bien.

            Je L’aime, je L’aime,
            Parce qu’Il m’aima le premier,
            Et acquit mon salut
            Sur le bois du Calvaire. (Alléluia.)

            Inclinons la tête pour un mot de prière. L’aimez-vous vraiment cet après-midi ? Que ferions-nous sans Jésus ?

105      Un jour, des Grecs vinrent et Lui dirent: «Seigneur, nous voudrions voir Jésus.» Eh bien, aujourd’hui vous Le voyez. Si vous sortez là-bas, vous Le verrez dans ce buisson. Vous Le verrez dans ces fleurs le long de la route, là-bas. Il va vous parler. Quand ce petit oiseau est perché là-haut et qu’il dresse sa tête en l’air, et se met à chanter, cet après-midi, tandis que le soleil se couche, il est heureux.

            Il n’y a pas longtemps j’étais assis sur le porche. Il y avait de vieilles grues du Canada qui volaient, et rentraient à leur nid. Mon épouse et moi étions assis là. J’étais très fatigué. Je revenais d’une réunion. J’ai commencé à pleurer. Une dame est montée sur le porche et m’a remis...?... il était écrit... Le tableau d’un navire sur la mer au coucher du soleil. On y lisait ce poème:

            Au coucher du soleil et quand apparaît l’étoile du soir,
            Et j’entends clairement qu’on m’appelle,
            Et qu’il n’y ait pas de plainte à la barre,
            Quand je m’en vais en mer...?...

106      Ô Dieu, mon coeur s’est mis à battre rapidement. De petits rouges-gorges ont volé dans un arbre. Dieu les avait nourris pendant toute la journée, ils rentraient alors chez eux. La nuit tombait. Et les grues du Canada allaient pour retrouver leurs bien-aimés au bord de la rivière et pour y rester toute la nuit.

            Et j’ai dit: «Chérie.» Elle a passé son bras autour de moi. Elle a dit: «Bill, tu es si fatigué. Tu donnes l’air de quelqu’un qui est sur le point de s’évanouir.»

            J’ai dit: «Mais un jour, le soleil se couchera pour moi. Le soleil de ma vie se couchera. J’apporterai mon dernier sermon un de ces jours. Alors quand le soleil commencera à se coucher, je sais qu’Il a un endroit pour moi.» Je–j’aimerais être auprès de Lui là-bas, avec vous tous, avec le reste d’entre vous. Chantons doucement maintenant.

            Je L’aime, je...

107      Y a-t-il un pécheur dans la salle qui voudrait lever la main, ou qui voudrait bien se lever, s’approcher ici et dire: «Je veux accepter Jésus comme mon Sauveur» ?

            ... m’aima le premier,
            Et acquit mon salut
            Sur le bois du Calvaire.

            Pendant que nous avons la tête inclinée, fredonnons cela. [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Pensez-y, chrétiens. Pensez-y, homme et femme pécheurs. L’Ange du Seigneur est ici maintenant. Prenez votre décision cet après-midi pour Christ, je vous prie. Si vous n’avez pas le Saint-Esprit, ne sortez pas sans L’avoir reçu. Ne... Si vous croyez que je suis Son serviteur, ne partez pas. Restez carrément ici, s’il faut passer toute une semaine. Recevez le Saint-Esprit maintenant même. Un jour, nous allons nous rassembler et le soleil va commencer à se coucher. Pendant que vous avez la tête inclinée, que vos coeurs aussi sont inclinés, je vais demander à frère Boze de nous conduire dans la prière maintenant même pendant que vous avez la tête inclinée. Très bien, Frère Boze...

E-1 ... believe
All things are possible,
Lord, I believe.
Shall we bow our heads just a moment. Our heavenly Father, may that not only be from our lips, but may it be from the depths of our heart. "Lord, I believe," and may today the Holy Spirit give us another baptism. May our--may our--our earnestness and the best that we have to give to God be brought forward today.
We see this great nation of ours a breaking to pieces. Sin is creeping in on every hand, but all in the midst of all of this, as our brother taught the other night in the message out of Thy Word, that also the Church is blooming out at the same time.
Now, God, we're happy to be on that side. Help us today now. Bless the congregation of people. Bless this people everywhere. And God, on the highways we think of so many accidents and things going on, many being killed and things, God be merciful.
I pray that You'll stay the hand of death on many people today, especially Thy people everywhere, Lord, and may sinners, something happen that'll bring them to reconciliation with God. Grant it, for we ask it in Jesus' Name. Amen.

E-2 [Blank.spot.on.tape--Ed.] Good evening, friends. Very happy to be here this evening and to--or this afternoon, rather. Down in Kentucky this is evening, you know, and I can't never get used to having dinner at supper time. I--I--I feel like I've lost a meal somewhere. It's always it's breakfast, and dinner, and supper, and they try to tell me my dinner now is over at six o'clock. Now, when we going to eat supper, is what I want to know?

E-3 Some of them said, "Oh, Brother Branham, that's... you just don't have it right."
I said, "Oh, yes. We do too. The Lord... wasn't the Lord, He taken His supper. It was called 'supper.'" Was that right? That's right.
Oh, that's very nice. Thank you. Brother Boze just told me that they lifted a--a--taken a missionary offering this afternoon. Well, I certainly appreciate that. There's one thing that you can't go wrong in, is giving to missionaries for missionary. And I certainly appreciate that from the depths of my heart.
Is Mr. Joe Carroll, or Joseph Carroll of Sydney, Australia, is he in the audience this afternoon? I seen him last night, and if would, if he would just raise up his hands somewhere, Joe Carroll of Sydney, Australia. Are you here, Brother Carroll? Stand up. I want you to meet the manager, Mr. Baxter, over in the left wing just now. If he--if he's here.

E-4 I don't know. He was in the meeting last night. He's a very personal friend of mine. I suppose maybe he's not in the afternoon meeting.
Now, back to the--the--the missionary offering. We are greatly appreciative of that. We know that when you're doing missionary work, you're doing exactly what the Lord said. Is that right? For He said, "Go ye into all the world, and preach the Gospel to every creature," and that's the general orders of Jesus Christ, and we know then that that's right. We can't go wrong when we're tak--doing missionary work.

E-5 And now, to ourselves... That's what I'd do with all my... all the money that I get a hold of outside of what I have to eat and maybe some time I see little something that must be done, some poor woman without coal or something. I--I don't take that out of missionary. I take that out of my own, 'cause that's God's money, missionary is, and them things. I think that tithings, and such as that, we should be very strict of what we do with that, 'cause that's--that's God's money.
And as soon as we get enough together to go overseas, then away we go. Used to be back when they was lots of money, well, we would go in a--in a city, we'd take offerings maybe for two nights. Be there maybe seven or eight nights, two nights we had enough to pay all the expense, so we didn't take any more offerings, and so we just let it go. And then maybe on the last night we'd have a--a love offering, and then if we happened to have some surplus left over, we would give it to different organizations such as charities and things like that.

E-6 We wouldn't get out of the town till they'd be calling us "holy-rollers" and "Divine healers." And I give it to a certain organization a group of money one time, just turned it over to them, hundreds and hundreds of dollars that was taken up in a great meeting I was in, and here there was a representative coming down the street driving a Cadillac car a diamond stud ring on, probably cost maybe a thousand dollars or more, smoking a great, big cigar like that getting about five hundred dollars a week for distributing the money. That's not right. No, sir.
These people... And I thought, "God..." Then I'd... You... It's just strange we--we Christian people are not organized like we ought to be. I mean in a brotherhood.

E-7 I walked into a restaurant here in your city the other night and got the worst bawling out I ever got in my life, because the people of this church was coming eating in that restaurant. That's right. Yes, sir. Guy said, "We don't want them in here."
I said, "Well, sir. I..."
He said, "What--what kind of a group are you, anyhow?"
And I said, "Well, we're Christians."
He said, "You never even told me nothing about you coming. How do I know you were coming around here?" Said, "Looked like you ought to have some system to that."
I said, "Well, we're not going around over town telling restaurants what to do." I said, "The people just come in, sir, and they--they--they want to eat."
He said, "Well," he didn't care for them coming in there at all.
I said, "Well, of course, I--I said, "I... Must have plenty of business."

E-8 Well, it's just too bad. Well, we just have to put up with... Our day's coming. That's right. Our day... This--this is the day of man. The day of the Lord will come. That's right. That's when...
I stood one time to watch the late President Roosevelt when he came into a little city of ours, in New Albany, Indiana. I was working out there on high lines as a lineman.
I came down, and I thought... Well, they told us we could go down and hear him. He was going to make just a little whistle stop like when he came through the city. And oh, how everybody gathered out. Well, time us workmen got there, well, I had to get on top of a shed way back up here to even see the man walk out.

E-9 I thought, "Well, that's--that's all right (You see?) as everything was fine." I thought, "You know what? Just the officials of the town and so forth was up there close to the back of the train where they could see the President and talk to him." I thought, "But you know when Jesus comes, I'll be one of the officials that will be setting..." Amen. So I thought, "That'll be wonderful, when we see Jesus."
And recently Mr. Baxter, here he's a--he's a strictly a--a... He's gone now, I suppose, so I'll talk about him. He's a real... Got that British dignity, you know. And so when the king, you know, the late king, the one I prayed for that was healed with multiple sclerosis, thrombo-sclerosis, rather. And when he was in Canada coming down that when... Brother Baxter's a Canadian, you know; and coming down the street the king in the parade. He was... and his queen there you know and her beautiful dress on, how that--that Brother Baxter stood there. And when he was standing at attention when the king was passing like that, and noticing the tears just running off his cheeks like that just as fast as they could. Why? His king was passing.

E-10 I thought, "Oh, hallelujah. Someday our King's going to pass by too." You talk about a time, we're going to have it then. Yes, sir. I want to be right along by His side, don't you? And you remember, it's His Bride with Him. That's what it is.
Well, the Lord bless you, and thanks to you a million times for the--all the kindness. The little... Now, I wouldn't have time just to speak out, 'cause many of you sent little gifts and... to us and things by my boy, and by Brother Baxter, and Brother Boze. And little boxes of cookies, and so forth, and a little basket of peaches and even some tomatoes. I just eat as much as I could and just having a wonderful... And you know what? In the depths of my heart I just makes me feel so good. I just appreciate that. It certainly does.

E-11 And a little girl sent the... A little girl that was blind had just got sight in her eye here at the tabernacle, and she made a--must have been a--a little picture about like that and gave it to me. Well, as long as I can take care of it, I'll have it. That's right.
And I always remember those things and going sometimes when I get real tired, I go down in my den room, a place down in the basement, 'cause we usually have the house full of people, all the time just coming and going, you know. So I get down there for a little while, and I get real melancholy sometime.
I set and I look. Yes, I remember that poor old Swede that give me that. I remember that Norwegian that gave me that. You see? Remember that little girl, and that little boy, and this woman that had that baby that was healed. Oh, my. Then... Oh, my. I'm ready to go back up and start praying for the sick again then. You just... I believe we take new courage, don't you think so? And just little things like that...

E-12 Way in Africa, a little old stick, a guy was packing in his hand about like that long. He--He gave it to me. I got it. I kept it and brought over home. A little stick, a kind of little knobkilly or something other they call it, and he packed it in his hand, but it was...
And down in Japan, a little pair of shoes about like that, a little... I couldn't get my toe in them, hardly, little bitty thing, but... And just knives and just things like that that some one give you, you know.
Oh, it's--it's a treasure to my heart, because it represents the--the heart of somebody else, you know. And many times when we take pictures in the meeting, when I go back up into the mountains alone by myself, well, then I--I go back up there and pray. And when I'm up there I take sometimes these pictures with me, pray for the different ones in the meetings.

E-13 So all these things, God's just got children all over the world, and you know the--the bad part of this is all about? When I come in, I say... Oh, I look at this fellow; I see he's been coming a lot to the church, and I meet this man here. Then first thing you know, I have to say, "Well, good-bye. I--I hope to see you again," and then when we start to leave, it just look like...
Now, I just got--stayed here long enough, till it looks like I just got used to--to these people here in Chicago; and now, if I'd have to leave, why, it looks like leaving home again. But one of these days--one of these days, we're going to meet where we'll never part again. That's right. We're going to meet where we'll never say good-bye and never part again.

E-14 I remember the last time on my little boy back there on his mother, when I was standing by her side, the Angels of God taken her away. I... The last time that I kissed her, I said... She said, "Bill, I'll be standing at the east side of the gate."
I said, "When Abraham and Isaac and Jacob and all of them is coming," I said, "just start screaming my name. I'll find you." I said, "I'll get the children together and we'll get there."
Well, I made appointments like that across the world with people. I--I want to live right, that when that when that day comes, why, I know there's a great dark chamber setting yonder in front of me like there is in everyone else. Every time your heart beats, you're one beat closer to that chamber. It's called death and every one of us is headed that way.

E-15 But I want to say as Saint Paul of old, "I want to know Him in the power of His resurrection, that when He calls from--when He calls my name, I want to be called out from among the dead to live with Him forever and with all of His people."
Now, I didn't know I was going to speak this afternoon. Brother Baxter just called me, awhile ago, and said, "Brother Branham, we--we want you to come over and speak awhile this afternoon."
I said, "Oh, my. Didn't they get enough of that the other day?"
Now, I was thinking of something here that I was going to speak of back in Moses of... But I would... How many thinks that back where in Moses where God said to him, "What's that in your hand?" See? He said, "It's a stick," and God used him.
But I believe now, setting and looking at this crowd, the Holy Spirit seems to me to turn over here to another place just now, and we'll just read just a little bit out of Saint John. And you pray for me, and I want to just talk you a short time.

E-16 I know you're setting here, and it's your vacation time, and you sacrificing your times of being out somewhere else to come in church, that shows where your heart is. That's right. That shows what you... what you are. So let's bow our heads for a word of prayer.
Heavenly Father, now, we commit all things to You. This lovely group of people setting in here this afternoon, we're here. They are--they're white, colored, yellow, brown, all different nationalities of Irish, Jew, Mexican, and Anglo-Saxon, everything. We're all here together, grouped together, all filled with the Spirit waiting for the consolation of the Church, the second coming of Jesus Christ.

E-17 It might happen today. What a glorious hour for it to take place. And, Father, I--I pray that our hearts will be moved as we think of that. For You said when the signs that we see appearing now, "to lift up our heads our redemption is drawing night," and I just pray, God, that You'll bless--bless the church, Brother Boze, his--the Philadelphian church that's sponsoring the meeting here.
God, we pray that You'll give them the exceedingly abundantly. And bless this tabernacle, Lord, this great place here where many of Your servants that's under Your altar today there with You; has preached in this same pulpit that wonderful great evangelist, Billy Sunday, and Paul Rader, and many of the others who'll done crossed over the Jordan.
Father, we pray that You'll send the power that was upon them, that brought conviction to the sinner, send Him this afternoon. The same Holy Spirit still lives and reigns, watching over the work. "I, the Lord, have planted it. I'll water it day and night lest some should pluck it from My hand."

E-18 Grant it, Father. Bless the pastor here. Bless all the elders, the--the deacons and whatever; bless them together. And the laity, bless them. Forgive us of our sins and bless every church that's represented, every organization and body. For we're not divided; we're all one in Christ.
Now, help Your humble servant this afternoon, Lord, not knowing what to say, but believing that You will supply those things, I commit myself to You with this church that You circumcise my lips, to speak the right thing, and the hearts of the people to receive it, and may the Holy Spirit take the Word of God and give it to each heart as we have need. For we ask it in Jesus Christ's Name. Amen.
In the 14th chapter of Saint John which is a very familiar place that people read everywhere. Many people, that's their favorite chapter. I guess if I'd ask this afternoon how many that's your favorite chapter, they'd be many, many hands go up in the building. Just how many is it? I seen some of you raise your hands, 14th chapter of Saint John. See? It's one of their favorite chapters of the Bible. It's a very consoling chapter.

E-19 Now, wish to read first seven or eight verses of it, and then the Lord willing, we'll speak just a little while on it.
And now, I want to announce: tonight is the closing night. Now, there'll be great anticipation tonight. You'll probably see more of the works of the Lord did tonight than any other night. It's always that way in the meeting, 'cause people... If they're going to believe, they got to do right now. That's all. It's got to be right now or not at all, and that's when you usually see the greatest meeting is on the last night.
Now, we read from Saint John 14 these verses:
Let not your hearts be troubled: ye believe in God, believe also in me.
In my Father's house are many mansions: if it was not so, I would have told you. I go and prepare a place for you.
And if I go and prepare a place, I will come again, to receive you unto myself; that where I am, there ye may be also.
And where I go ye know, and the way ye know.
Thomas saith unto him, Lord, we know not where thou goest; and how can we know the way?
Jesus said unto him, I am the way, truth and the life: no man cometh to the Father, but by me.
If ye had known me, you should have known my Father also: and from henceforth you know him, and have seen him.
Philip saith unto him, Lord, show us the Father, and it sufficeth us.
And may the Lord add His blessings to those Words.

E-20 I want to take that last verse for a text. How many in here believes that God is? Let's see. How many in here would like to see God? I just like to... Well, if I can show Him to you, would it make you happy? Would it make you...? All right. Now, God help me to do it.
Now, I was disadvantage. Many people has asked me about the picture of the Angel of the Lord. How many in here never has seen it? Let's see your hands, never has seen the picture that was taken? There's a group of you here that never has seen it. We have it, but I just didn't think of bringing them this time.
Now, it was scientifically taken in--in the... It's not my picture. It's a--it's belongs to the American Photographer Association, and we were very thankful that the Lord would come and have His picture taken with us.

E-21 It was at a meeting and a discussion down... A Baptist minister said there was no such a thing as Divine healing; the days of miracles was passed and come over to--to debate the thing and you know the story how it went. And the Angel came.
I said, "I cannot be a healer, sir, no more than you can be a saviour," but I said, "God never testifies of a lie. He testifies of truth. And if I testify of truth, God will testify of me."
I no more than said that, and something went "Whooo" and here He come, right coming down. And here It was right above me like this, the Angel of the Lord standing there, thirty thousand people looking at it. They shot the picture of It, and the association took the picture, they said, "It can't be psychology."

E-22 And went and looked at it. Put it in the--the acid and tested it. The man had a heart attack that tested the picture they took it to George J. Lacy, the head of the FBI. He examined it for four days and declared it to be a supernatural Being that struck the lens. See. Right at the time...
Don't ever worry. If God sends you, you just go ahead. See? God will take care of all the rest of it. Isn't that wonderful? "Seek--seek ye first the Kingdom of God and His righteousness. All other things will be added." Just don't have to worry. God has everything.
Now, in speaking on Saint John 14, we want to look at God and see if we can see God. Now, that's been the aged-old question for years: "If I could only see God."
Now, we're going to look at Him this afternoon and see Him, in about... We'll have time maybe for about three or four ways to look at God. Then see if we can see God come here right in the building. See? All right.

E-23 Let's take God in His universe, God in His Word, God in His Son and then bring God down in His people, and see if He isn't here in His people too.
Now, the first thing we want to think of is how that--that everybody has always longed to see God. Job wanted to see Him one time. He said, "Oh, that if I only knew (in other words) where He lived at. I could go knock on His door, and He'd let me in."
And then God told Job; He said "Gird up your loins," for He was going to speak to Him, and God came down in a whirlwind, and He spoke to Job. And I--I like that part there. He said, "Where was you when I laid the foundations of the world?"

E-24 My, Job begin to think he was a great guy. And you know the--the best way to up is--is go down. Is that right? And you hear people that's always, you know, self bragging and so forth about "our big church."
And you remember, brother. Look in the wheat field. A heavy head, a full head always bows. Is that right? A full head of wheat bows. It's that stands up that shakes around, and it's just a blister, hasn't got nothing in it. So we--we...
Job begin to think that way. He was some great person, and God said, "Now, where was you when I laid the foundations of the world? Where is--where the ends fastened to? Declare unto Me." And he girded up his loins, and God come down and talked to him in a whirlwind.
But Job's heart was hungry to see God. Oh, how he longed to see Him. And every being longs to see Him.

E-25 Not long ago there was a fine Presbyterian preacher was speaking to me on the west coast. He said, "Reverend Branham," he said, "cults like yourself..."
Said, "Yes, sir."
He said, "Coming through with this here Divine healing and stuff like that." Said, "We once was a strongest church up and down the west coast," and said, "the... You know what broke up our churches?"
I said, "No."
He said, "What broke up our churches was this: was Christian Science." Said, "They come..."
I said, "Just exactly." I said, "The people, every man is a supernatural being. He's hungering and thirsting for something, and if you won't give him the right thing to eat, if he's hungry he will eat from a garbage can." That's right.
If you Presbyterians would've preached the full Gospel and told them the truth, there wouldn't have been no Christian Science, or none of the rest the cults. If the church just lets down, that's what does these things. We need...
I ain't saying nothing against Christian Science. I ain't saying nothing against nobody's church. I'm saying what we need today is a good old fashion Gospel laid out, the whole full Gospel laid out to the people (That's exactly.), under no auspices of this church or that church, just the Gospel preached in its plain simplicity. and Jesus said, "If I be lifted up, I'll draw all men unto Me."

E-26 Now, this speaking of this great patriarch, Job, how he wanted to see God, and--and I think of him, a great man that he was. He was a great man, and all the princes of the east when he would go into the city, they would bow before him, like that.
And then Satan said one day, "I'm going to show You that I can make him curse You to Your face," and how that he did everything but that. He cursed the day he was born. He said, "May the stars not shine at night, nor the sun in the daytime, and--but he didn't curse God.
So I see him broke in boils setting out on the ash heap. Oh, I just... I preached on that one time for about--about three weeks. And there was about several letters come in said, "Say, Brother Branham, when are you going to get Job off the ash heap?"

E-27 I keeping him on that ash heap, because it was--it was the hour of his decision. That was just the time, the crucial moment. And when I... Setting out there, scraping his boils and what a miserable sight, lost his children, lost his health. He lost his--his property, his camels, his... Everything he had was gone, and there he was setting there and poverty-stricken, scraping the boils with a piece of crock or something, he was scraping his boils with.
And his wife even turned kinda against him. She come to the door, and said "Job, why, why don't you curse God and die." Said in other words, "You look so miserable."

E-28 I like this. Job said, "Thou speakest a foolish woman." Now, he never said she was foolish, but she spoke like one. See? Said, "Thou speakest like a foolish woman. The Lord gave, and the Lord taken away. Blessed be the Name of the Lord." Oh, that's the way I like to see it. "Blessed be the Name of the Lord."
He had seen God. God came down in a whirlwind and talked to him. You see? And he knew God was. And I like this part too. My. When then--then down from the east came this little prince Elihu. If we had time to get that name out, "Eli la a Yahweh," so forth which is God representative meaning Jesus Christ. He came to Job and corrected him for what he'd said.
He said, "Don't despise my youth now." But he said, "You're--you're accusing God of something that's not right." So then he begin to get Job straightened out, and he--he didn't accuse Job like his church members.

E-29 Now, he had a bunch of church members come, and set with their backs turned to him for seven days. What a conciliation, accusing him of being a secret sinner, but Job knowed he hadn't sinned. You know what's in your heart. Everybody does.
And while he was setting there with his back turned, their back turned like that, Job in his misery, but this little fellow didn't try to accuse him. He didn't accuse him of being a--a secret sinner, but he said...
He tried to tell him about someone Who was coming that would stand in the breach and would bridge the way. I often thought of Job 14 there, that how that God speaking to him concerning the--the flowers and everything. How the... Job watched. He said, "There's hope in a tree if it dies. It'll live again."

E-30 Did you ever notice? That's where... My first Bible was in nature, and God does dwell in His universe, in His nature. You take, you women, around here your flowers in a yard now. After while in about another month, the frost will hit the little fellows. Oh, some of them will be young, just coming up, and some old, and different ways, but when the frost hits it, it's gone. It bows its little head, and the petals drop off of it; the leaves drop of it; the little seed goes out of it. Then they have a funeral procession. The skies just cry down the fall rains. It's just tears drop out of the skies and buries the little seed.
Along comes the cold winter, freezes maybe four or five inches deep, and then the little old stalk's gone, the bulb's gone, the leaf's gone, the petal's gone, and the little old seed, little black seed in there is swolled up and bursted and pulp run out.

E-31 Now, everything's gone. Bulb, seed, everything else is gone, but that's not the end of the flower. Just as sure as that warm sun begins to shine down, although the pulp's gone and everything else, there's a little germ of life laying there that no man has ever found and never will. That flower will live again. And if God made a way for a flower to live again, how much more has He made a way for a man to live again. 'Cause he's made in God's image.
Oh, I think it's wonderful to watch God in His universe, how He moves, moves among nature and so forth. The...
Setting not long ago, talking to an old Methodist preacher, we was having some ice cream together; and the Agricultural Hour come on, and I...

E-32 They said, "Why, the little 4-H club here has perfected a machine that can turn out corn so perfect that you can't tell it from the--the grain of corn that's growed in the field." Said, "You can reach in a sack and get a handful that's growed out of the--out of the field, and one out of this machine, and mix them up, there's no way at all to tell them apart again. Take them down to the laboratory, cut them open, and probably the skin would look that thick. The same amount of moisture, potash and calcium and everything is in every grain just the same. It'll make just as good a corn bread, make just as good a corn flakes out of either sack. The only way you could tell a difference is bury them. Both of them will rot, but the one that man made is finished. The one that God made has a germ of life in it, and it lives again."
I said, "Hold my hand, preacher. I'm going to embarrass you." For there is a time when man... You can take two men. Both of them look alike, both of them act like Christians, but one of them's got a germ of life which is the Holy Ghost. He will rise in the resurrection. The other one will lay there. That's right. Amen.

E-33 Look and you see how God patterns it all around. The whole... Over in India and different things, they worship and say when we die, we become angels and fly away. God never did make me an angel, and I never will be an angel, and neither will you. He made me a man, and I'll always be a man. I'll resurrect a man, just exactly. But we know that God works, and we can see the perfect pattern in--in the universe as He begins to raise things up like that.
And Job, looking at that and seen that those things raised again, but he said, "Man layeth down. He giveth up the ghost. He wasteth away. Yea, where is he? His sons come to mourn, and he perceive it not." Said, "Oh, if Thou would hide me in the grave and Thou would keep in the secret place till Thy wrath be passed."

E-34 And when Elihu begin to get him straightened out, he begin to see that there was coming One. Elihu said, like this, "Now, Job." I put it so the children would understand. "Now, Job, you're watching that flower and that tree. That flower or tree never did sin, but man sinned. See? The tree just... And grain and stuff just perpetually comes, but man sinned, and that cut off his relationship between him and God. There's no resurrection for him now. But... Oh, I love it. But there is coming One, a just One Who'll stand in the breach, put a hand on a sinful man and a holy God, and bridge the way, and there will come the resurrection.
Then Job being a prophet, he got in the right kind of a channel, the right groove, and he seen the vision of the Lord. And he stood upon his feet, and he gave a prophecy; and the lightnings begin to flash and the thunders roar. He said, "I know my Redeemer liveth." Yes, sir. "My Redeemer liveth and at the last days He will stand up on the earth. Though the skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God, Whom I shall see for myself. Mine eyes shall behold and not another."

E-35 Just as a grain of corn rotted and went away and raised up again, so will I. Now, watch. I... "My redeemer liveth." Continuation, not just live, just will die or that he's to... "My Redeemer liveth, and at the last days He will stand upon the earth (at the end of the last two thousand years, in other words), He will stand upon the earth and though the skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God."
Job was watching God in His universe. There's no man can look right in the face of a big beautiful calla lily and 'less he's bothered mentally and say, "There is no God." For God lives in flowers. Don't you believe that?
Tell me how that that little seed goes in the ground. The same sun shines, and here's two of them just exactly alike and one of them is white, and one of them is--is red, and the other one is blue, and something like that. How God has done that and hollyhock and different flowers how He has made those things...

E-36 He is God, and we can see it moving, how He moves in His great universe. Tell me how this world can set up here and turn twen--a little better than twenty-five thousand miles an hour. It's twenty-five thousand miles around, and it turns every twenty-fourth hours; it makes a complete circle. And you can time him up by the stars, and everything, it never moves out of its place at all. It just stays there perfectly, yet hanging in the air.
Stood on that Mount Wilson, or Palomar out there and make a observatory, could look in that glass, and see a hundred and twenty million years of light space. How that moons, and stars, and worlds, and moons, and stars, and our heavenly Father just blowed them off of the palm of His hand like that, and said, "Let there be," and it was.

E-37 Oh, I tell you; when you go to talking about God, and try to bottle Him down to somebody's idea, He's so... As the little Christian song we used to sing when I was a pastor:
Jesus is so high you can't get over Him,
So deep you can't get under Him.
So wide you can't get around Him,
So just open up your heart and let Him in.
When you can't get over Him, and under Him, and around Him and yet your heart will hold him, what a wonderful thought. How wonderful He is.
But God in His universe, how He governs the things, how He moves, and his motions, and things, and everything obeys Him, everything. He can say to the star do this, and it'll do it. Everything He speaks to... Only one thing that won't obey Him and that's man. Man knows more about it than He does, so see he just--he's got his own ideas, and so he won't listen to God. But if a man just opened his eyes and look around you can see God everywhere.

E-38 I remember not long ago, being... When I was a little boy, I was... The first Bible I ever read was--was looking at nature. I could see how God moved, and why--how He done things, and I knew there was a God. I watched...
One day my daddy and I were plowing corn, and I... A storm come up, and I remember dad said... The... Well... We didn't see the storm yet, but the horses begin to snort and go on. I said, "Dad, what's the matter?"
He said, "Son, there's a storm coming."
I said, "A storm coming?" It was just as bright as it could be.
He said, "You know, son, there's something strange about it." He said, "But horses has an instinct that they can tell just exactly where... If there's storms coming." Said, "Almighty God has made a way for them that they can get to safety."

E-39 "Well," I thought, "well, that's marvelous." And then it wasn't... We didn't plow two more rounds hardly until the lightning was flashing, and the storm coming up. Well, if God gave a horse knowledge enough how to get to safety, how much more He ought to give a Church that's borned again. Don't you think so? How God empowered that horse with instinct...
Here not long ago I was planting some butter beans, and how many knows what a groundhog is? It's a... You call it a woodchuck, I guess. It's a... Down South we call him a groundhog, a little bitty fellow. And just as fast as I'd plant them butter beans that little fellow eat them up. And I couldn't get nowhere. And I'd go out there, and there his little old tracks going right down, where he'd dug them every one up and went down. He lived in a--a little old sink hole out there. I didn't want to shoot the little old fellow, so I thought I'd just have some fun out of him.

E-40 So I planted me another row of butter beans, and I thought, "I'll fix you, young man." And I got me a sack and plant... and painted a great, big, ugly picture on it, and I tried to make it ugly. And brother, I'm a long ways from being an artist, I tell you that.
I was trying to teach one night on a chart, and I drawed a picture of a dog, and nobody knowed what it was, and I had to write on top of it "This is a dog." So they could tell.
So you can imagine what this picture looked like: great, big ears and everything. And I--I said... Now, I put some butter beans right in a sack and tied it on a stick and the winds was blowing. And I thought, "Boy, when he sees that, he will run." So I got me a ringside seat up there in the bushes, and I was watching this little fellow through my glasses, you know.

E-41 So... And the first thing you know, why he... That's binoculars and I... He was right close to me with--with them binoculars. So then I seen the little fellow. He come out of this sink hole, you know, and he looked all around. He didn't see nobody, and right down the road.
He come to this sack, and he stopped. He looked at that sack, turned his little head sideways and raised up. He thought, "That ugly looking picture." And he walked up a little closer and looked at it, and then backed off again. So then the first thing you know, the wind blew. Oh, my. He turned and looked back, and he looked again. He walked up to it again. He looked, thought "There's butter beans behind that sack, you know." And so he thought, "Well, say..." He walked up to that sack, and he smacked it with his paw, and it rattled; he jumped back. He smacked it again; it rattled. Went right on around behind it and started eating butter beans just as...

E-42 Well now, we ought to have as much sense as a groundhog. Don't you think so? Absolutely. Let me tell you. When you see old scarecrows standing out, remember it's a dinner bell. Right in behind the thing lays something good. Amen. When people say, "They're holy-rollers and they're this, that, or the other." Don't pay no... We have got a bunch of fanatics, but brother, right behind there lays a real kernel of God. Amen. Right there the real power of the Holy Ghost, the resurrection of Jesus Christ... Yes, sir.
So the Devil puts a lot of old scarecrows out, but just don't pay any attention to it. I was remarking one time. I was going down a road, and there's a... I seen a bunch of crows or blackbirds, and they were just a squawking and going on; I thought, "What's the matter?"

E-43 There was a man lived down there, and he really loved birds. He had a--a wild strawberry patch, and wouldn't let nobody bother it. He just let... kept that there for the birds. He went to Florida one year, and he didn't get back in time, and some fellow wanted to pick them berries. So he put a big old scarecrow out in the field like that.
Well, all these birds making it their habit of coming there every year, they come and found these--this patch, and there was this big scarecrow in it. And some of them birds was setting way up in the trees, some setting on the telegraph wires, some set on the poles, and they was just a squawking and carrying on about this.

E-44 Well, I thought, "Isn't that amazing look at that?" But to my amazement right out in the middle of the patch, setting right on the arm of that scarecrow, set two great, big crows just a eating their belly full just as hard as they could.
I thought, "Well, isn't that something?" I said, "That's just exactly... Well, I could preach a sermon on that." I said, "That's right. Jesus Christ, the Son of God, the good Man, has prepared all good things (that's right) for His Church." You believe that?
And some of them stand way back off, "I tell you now; I don't believe in no such thing as that. Look what they did. Uh-huh. Uh-huh."
Others come down on the telegraph wire, "Well, I could believe it, but my church wouldn't let me."
And the one setting on the side here on the post saying, "Well, I tell you; I believe the days of miracles is past, but there was something or other to it, I believe."

E-45 But brother, there's no condemnation to them that's in the patch. I tell you that. They were setting right out there on that arm just a eating as hard as they could go. They knowed it wasn't nothing but a scarecrow. And that's the way I think about old fashion Holy Ghost religion. Why, brother, I don't care how many fanatics there is on right or left hand. I stay right on Calvary's road, just a eating the powers of God, as He sends them out to me, and rejoicing, having a big time. Amen.
Now, I begin to feel religious. Now, oh, how marvelous: God working in His universe.
I love to hunt. And now sometime ago... I go up here in the North woods sometime, not so much to shoot the animal, but to go up there to rest. And I notice that up there on them lakes, the marshes up in Canada there... Brother Boze, you know where I'm talking about. There's always a bunch of ducks up there, and they fly from the wintertime, and--and--and of the--of the--go up there in the summer, early spring, and all them marshes along there, and--and lakes, they make their nest. They lay their eggs and they hatch out their little ones.
Now, it's amazing thing about how God takes care of His animals. Don't you believe that? And God give animals ways to do things.

E-46 Now, if you'll watch Him, He's in His nature, in His universe. Now, look it. These little old ducks you get up there and be... I go sometimes early. The snow hasn't hit the top of the hills yet, but just the first morning that you wake up, and there's a snow on top of the mountain yonder, that cold wind lasts of September, the first of October comes sweeping down through them valleys.
You'll hear something go, a little old drake there. He's--He never left. He's never was off that lake in his life. He was borned right there that spring, little bitty fellow. He will run right out in the middle of that pond, like that, or that lake, he will stick that little old honker up in the air and go, "Honk, honk. Honk, honk."
Every duck on the lake will come right to him. That's right. Why? They know that that duck is a leader. He's never been off the lake, but they know he's a leader. Oh, my. He will go to honking, "Honk, honk." Ducks will come here. Here come a bunch of them. There they say, "Honk, honk." Here they come this away, coming this a way, and it's amazing to watch them.

E-47 And they'll have a little puddle out there in the middle of this lake and that cold wind. They'll discuss the subject, I guess, about the cold wind coming down, and they'll raise right up off of that lake, and go just as straight to Louisiana as they can go. And he's never been off that lake. Why? He's got a God-given instinct. God... the...
All the rest of the ducks knows that that is their leader and they have perfect confidence. If he goes this a way, they go that way. If he goes this a way, they go that way. And wherever he goes they...
But some how or other he lands up in Louisiana, in the rice fields, escaping all the winter. Well, if--if a duck's got sense enough to escape the cold wave, what about a Church that's borned again.
The only thing of it is; we don't know our leader. Hallelujah. Brother, God give the Holy Ghost to the Church, not organization. He give the Holy Ghost to lead the Church, and we've adopted organizations for it. Hallelujah. The Holy Ghost wants to come and bless the people and lead them into deep rivers, and the green pastures and things, but the organization won't let them do it: holds them back.

E-48 O God, break down the shackles and bring out Your Church is my prayer. Yes, sir. God working... Watch Him in His nature and watch... Just--just coincides with--with the--with the Church and with the natural and with the spiritual, it's just perfect--everywhere.
That little old duck get out of there, brother, and right on straight to Louisiana he'd goes. Watch nature in anyway you want to. You see God moving in.
Take for instance a hog. You read in the newspaper, say, "Tomorrow it's going to be pretty weather." And watch that old sow take the shucks off the north side of the hill, and bring it around on the south side, and make her bed. You... That newspaper don't know nothing. It's going to be cold. She knows more about the weather than all the--the meteorologists in the country does. Why? She's got a God-given instinct to make ready for it. But the thing about it is, she believes her instinct, but we don't believe our Leading. They... God gave them instinct. He gave us the Holy Ghost.
What if that little duck would say, "Well, now, wait. I'll see what Joe says about it over here." He'd never get to Louisiana. Certainly not. He's got to go the way he's led. And the man can't lead man. The Holy Ghost leads man. The Holy Spirit is what... And it's a brotherhood. And if the real Holy Ghost is leading you, you'll know it's a brotherhood. Amen.

E-49 Oh, my. I wished I was about three times my size when I get to feeling like this. Maybe I could be--feel three times as good as what I do now. You know these little afternoons gives me a vent. I've just been... You know, when you're... The visions is what kill me off nearly. Just makes me so weak, but when I get out here, I could stand here, oh, for a week like this. This is fine. This is taking in, and that's giving out. I just get down to the spout and hold my mouth open and just let it run, having a good time.
Now, God works in His universe. You believe that? Here some time ago, I was hunting elk up in the mountains. It was real early in the fall, and the snow hadn't hit the top of the mountains yet. And then I was... I... When the snows come, then the elk run down but you have to go high, way up around the timber lines to get--get into the elk.

E-50 And there I was up there walking one day. I was about, oh, I guess thirty-five, forty miles from any ranch or any thing, way up in the top of the Rocky Mountains. And I guess I was two hundred miles from any kind of a city. And I was walking along there with my rifle, you know.
And it'll come a snow, and then the first thing you know then it'll rain, and then it'll turn warm, the sun come out, and changing weathers. And I was... Been up there about two days, and I knowed the elk herd was in there, so I was just walking along through there, sleeping out at night.
And one day come a rain and I got in behind the tree like this, and the rain just a blowed, and poured down through there. And then after the rain kinda let up, why--why, it commenced to--to breaking off. And it was cold up there that high on the mountain. And I happened to look and the evergreens had froze, them big ice icicles like hanging all over the--the evergreen. It was froze up where the wind's cold and the water's a falling. It froze the--the ice into the--to the evergreen.

E-51 And I looked and the sun was setting over in the west peeping through that crevice of the mountains like that. I thought, "O great Jehovah. His eye is on the sparrow. How that He stands in the heavens and His eyes look out. He sees every move. Not a sparrow could touch the ground without..." You see God in His sunset. Can't you see Him that way? Think of Him in a sunset or sunrise?
Then I happened to look, and where the sun was shining against this water and stuff, made a rainbow across the--the--the canyon there. And I looked at that rainbow, and I said, "Oh, glory to God." I just love to look at God in His nature. Don't you? And I said, "Looky there. You gave Noah the rainbow sign. Before that time, water had never come this a way so the waters, the elements couldn't make that colors, and now You gave him the rainbow sign that You would never destroy the world no more by water." And I said...

E-52 Then I happened to think again that when John on the Isle of Patmos turned around and seen this--seen Jesus setting there to look upon as a rainbow, His sardis and jasper stone, which was the Reuben and Benjamin, the first, the last. He which is, and which is--shall come, Root and Offspring of David, the Morning Star, and over Him was a rainbow with these seven golden candlesticks, meaning that He had a covenant for the seven last church ages.
And then the deep begin to call to the deep. Oh, down in my heart I could... I said, "God, here I am way up here supposed to be hunting." And I got real happy, and I set down my gun, and around and around the tree I went, just a shouting as hard as I could. Somebody come up there they'd have put me in a institution for insanity. Oh, I was having a glorious time.

E-53 I started to pick up my gun, and go on, and I happened to think, "O great Jehovah Who made all these things..." And about that time I heard the elk herd that'd been scattered in the storm, begin a bugling one to the other. Then way up on top of the hill, an old gray wolf got to howling, the mate answering down in the bottom.
My mother's a half Indian and just enough about it to make the deep go to calling to the deep. I started screaming top of my voice, set my gun down, and around and around and around the tree I went again. I didn't care who was listening at me. I was shouting and praising God. Hallelujah.

E-54 They can say, "crazy," if they wanted to. Don't make me no difference. I got my eyes on Calvary. Amen. I loved Him. I worship Him. I seen Him out there. I said, "God, there You are in the sunset. Here You are in the rainbow. There You are in the wolf. Here You are over here in the elk. Here... Oh, where are You, Lord, and here You are in my heart." I said, "Glory to God." Around and around and around and around the tree I went again. Oh, I was just having a big time, just a kicking up the brush and everything else.
I stopped, and I said, "O Hallelujah, Lord. I love You. I love You. Why would I ever have to leave a place like this? So wonderful."

E-55 I heard something making a move going, "Cha--cha--cha--cher." A little old pine squirrel, we call them little mountain jacks, you know, about like that, little old red squirrel. Noisiest thing there is, and nothing to them. Just puts me in the mind of a lot of these guys that makes a lot of noise, and nothing to it.
He's looking at me like that going, "Cha--cha--cha--chatter." just like he was going to tear me to pieces. "Oh, my, my. You just got a lot of noise and that's all there is."
And I thought he was barking at me, but I happened to find out, down in the storm coming through, a great big eagle had been forced down, and he was down under this blow-down here. And I seen him coming out, and I thought, "Well now here, Lord. Why'd You place that before me for, right when I'm shouting and having a great time here?" I thought, "What's--what's this eagle doing here? Well what..."

E-56 If you look anywhere you can see God. You can just see Him anywhere. And I--I thought, "Now, what's godly about that eagle 'cause he's a scavenger. And oh, he's a bad guy. And I thought, "Well, what--what godly would be about that thing?" And the first thing you know he moved out, jumped up on the limb, like that, and looked over at that little old squirrel setting there just like he was going to tear him to pieces.
He looked back over to me, and I thought, "Well, now this is a position. Now, Lord, where are You at in that--that scene?" Everywhere you look you can see God, and I thought, "There's a little old pine squirrel that runs all the game out of the woods, and he's no good. And here sets the little old--a big old eagle here, who if you'd kill a deer and leave him lay there, the eagle would eat him up overnight if he could and what... He's just as mean as he can be." I thought, "Where could You be in this scene?" I said, "You're everywhere though. Now, where could I see why God put that scene before me?"

E-57 And I looked again, and I happened to notice, that eagle had bravery. It wasn't scared, no matter what I'd do or what anything, it was brave, and I thought, "That's it God. You don't want cowards." God wants men and women who's got a backbone, instead of a wishbone. When God says anything, we believe it. That's all. That settles it. If God said so that makes it true. Is that right? That makes it true. All right.
And I said, "There You are, Lord. You want somebody that'll really know what they're talking about and is ready to stand for what's truth."
A lot of people say, "I accept my healing. I believe Jesus heals." All right. And the first little cramp hits you, you're ready to give up. Oh, my. And you go and say, "I believe in the baptism of the Holy Ghost" and shout and dance in the church, and when you come to meet some critic out there on the street, you're as silent as a church mouse. That's right.
Oh, brother, don't hold your peace. Scream out. Amen. If it takes your head, be like John the Baptist. That's right. Stand for what's truth.

E-58 And there I looked to that old eagle, and I thought, "What makes you so brave?" I said, "Do you know I could shoot you if I wanted to?" And he, that great big gray looking eyes looked over at me. He wasn't scared of me. And I thought, "I'm sure you're not scared of that squirrel." And then I thought... Well, I said... I grabbed my rifle. I said, "I could shoot you." I noticed him. He jumped, looked at me again, but I thought, "Well, what makes him so brave? How is that fellow so brave? I don't understand that." But I happened to notice... Here's what was making him brave. I seen him moving his wings like this, feeling his wings to see if his wings was in good condition. I said, "Thank You, Lord. Thank You, Lord." Amen.
Someone said not long ago, "Brother Branham, aren't you afraid on that platform, that you'll make a mistake and tell somebody the wrong thing?"
Oh, no, not as long as I can feel Him with me. That's right. As long as He's there everything's okay. That's--that's all right. As long as He's there, the boat's in control.
And I watching him moving his wings; I thought, "Well, say." He--he'd look up all the time, looking to see how far that timberline was up there and that timber. He knew if he ever got in that timber, I'd never see him under the sights of that rifle. So he was just setting there looking at me, just having a big time.

E-59 He looked at me, and then he'd look over at that squirrel. He looked at me like that, and I said--I said, "Well, if this isn't amazing." And after while he got tired of that little "chu-nu-nu-ner" pine squirrel. So he just give one big bounce like that, flopped his wings about twice, and he was plumb through that timber. He never flopped his wings one more time. He just set his wings, and he knowed how to ride them air waves that was coming down.
Boy, he just went up. Every time... He didn't flop, flop, flop, trying to get up. He just set his wings right and rode right on one of those waves and went on, on, on, on, till I couldn't even see a spot of him no more. He went plumb out of sight, leaving this little old earthbound chatter, chatter, chatter, chatter that...

E-60 I thought, "Hallelujah." I dropped my rifle. Around, around and around the tree I went again. I thought, "That's it, Lord. That's it. Let me know how to set my wings in the power of God, and every time the Holy Ghost rides in, let me ride up with It (Hallelujah.) till I go plumb out of the way of these people, setting here, 'Chatter-chatter-chatter. Days of miracles is passed. That's a bunch of holy-rollers. Ain't no such a thing as that. Holy Ghost went a long time ago.'"
Oh, my. Ride away on It. Hallelujah. Glory. Every one of you eagles has got two big wings to fly away with if you want to. Amen. Just afraid to use your wings. That gives them exercise when you have to use them once in a while to lift up.

E-61 I was watching a nest of them one day. I was setting upon a mountain watching. I seen an old mother eagle let out a scream. She come out of the nest with a whole bunch of little eagles. They put their little beaks right down into the wings of the mother like that, and she come down out of the old nest; and when they jumped off the wings, it was first time the little fellows had ever been on grass. Oh, it was so nice, and oh, they was having a big time. The old mother went right straight back up and set on top of the biggest rock there was.
I was setting there with my glasses. I was herding cattle, is was what I was doing up there in Colorado. And I was watching them, you know, see what this old mother eagle was doing. And she was setting up there with them eyes, you know, watching to see if a coyote would come up.

E-62 I thought, "How typical it is; here God in His nature. Them little old eagles had never been out of that old pukey (excuse me,) that old nest, like that you know, where they'd vomit in their nest, and everything else, and bring in old meat and it rots in the nest and everything, and on old briars and stickers, their poor little feet walking on that. And then the old mother eagle comes and gets them ('cause they're her children), takes them down into the pastures where the grass is soft on their feet.
I thought, "That's the way God does when we're out here in old bootleg joints, and up-and-down the streets, living in sin, and the--the vomit of the Devil, and the stink of whiskey and tobacco and everything else; and then our Lord Jesus one day stretched out the wings of Calvary, brought us down into the shady green pastures. Glory. Then when He did that, He did like the old mother eagle. He flew up yonder to the ramparts of glory, setting up there watching over His Church. Amen.

E-63 Let a coyote come up if he want to. That old mammy eagle be on his back right now; he'd be hitting for timber. And I tell you; our Lord Jesus Christ sets in the power of His Majesty and glory, watching over His Church to confirm His Word, wherever He can find a believer that'll act upon His Word and believe It.
Them little eagles didn't care about nothing. You'd just see them raise up their little head and look up there. They seen mammy. That's all that was necessary. Hallelujah.
Sure, God's His nature. Do you believe it? He's in His universe. As long as I can feel the power of the Holy Spirit moving down, I know God's still setting at the ramparts of glory, watching His Word to perform It (Do you believe that?), and confirm it.

E-64 There he was. I happened to notice then after awhile they come a Northerner. A little strip of wind come this a way. She could smell that wind, knowed they was rain in the air. And she let out a great big scream and down through there she went right down into the middle of this pasture. She threw out her wings like that. Every one of them little old eagles come in from everywhere just as hard as they could, jumped, grabbed their feet a hold of the feathers, tucked their mouth a hold like that.
She raised those big wings. Hallelujah. Oh, on up through that--that wind, sweeping down that canyon at sixty miles an hour by that time. She went right straight on into the cleft of that rock to safety.

E-65 One of these glorious days while these little eagles, carefree in the power of God (Hallelujah.) feeding upon the good things of God marvelously... And one of these days Jesus shall let a scream from the skies, coming down. When danger and atomic bombs are about to drop around Chicago, He will spread out those great loving wings like that, and away through the storms we'll go (Hallelujah) into my Father's house where there is many mansions prepared, ready for the redeemed. Hallelujah.
Brother, I feel like a holy-roller right now. Yes, sir. I really do. Amen. How God works in His universe. How He works in His nature.

E-66 Not long ago I was holding a meeting... Well, just before I come out in these healing campaigns. I was a Baptist preacher. All of you know that. All right. I was in the Milltown Baptist Church. Brother Ryan, we've been down there many times together. I was staying up there at Brother--old Brother Wright's. And every night we'd... I'd go up and I'd come in...
There was an old nightingale used to set there. That fellow would sing all night long. You know what a nightingale is? And oh, they'd just sing, sing, sing, sing. Our field up there where we--where we live now is just full of them. I just raise the window along two o'clock in the morning, and just listen at them fellows sing.

E-67 And I thought, "What makes him..." And I noticed on a cloudy night he'd quite singing for a little bit. Then he would sing again. So I went to studying the nature of those birds, and come to find out, here's what they do. They set in the bush. They're looking around, and just as soon as they can see a star they start singing just as hard as they can, for they know what--the sun is shining somewhere. The sun is shining on that star as sure as that star's a shining, the sun's a shining somewhere, so it's going to be daylight again.
And I think, "O God, let me sometimes when the pillows of darkness are rolling over, sometimes when the revival seems that they're all want to be formal and ungodly, but once in a while I hear a good old fashion, "Amen. Glory to God."
I say, "Glory to God. The sun is shining somewhere. It's a beaming down somewhere."

E-68 If I could go out tonight and look over there at the big morning star, the evening star hanging out, I'd say, "What makes you shine, star?"
He'd say, "Brother Branham, it ain't me shining."
I'd say, "Well, what makes you so pretty?"
"It isn't me pretty."
"Well, what are you shining about?"
"It's not me shining."
"Well, what's shining?"
"It's the sun shining on me. That's what's making me shine."
Not long ago I was talking to a doctor. He said, "Reverend Branham, those Holy Ghost people you're talking about that's only excitement. It's only worked up."
Brother, you know what I believe it is? I believe it ain't them shining. It's the power of God shining on them, making them shine. Hallelujah. When God shines His power, and Divine healing and blessings, and glories, you can't hold your peace. Jesus said, "If they hold their peace, the rocks will immediately cry out." Oh, hallelujah! That's right. Hallelujah.

E-69 I laid down by an old spring where I used to drink, laid down there and just drink, and drink, and drink. I noticed that was the happiest spring I ever seen. It was always bubble, bubble, bubble, bubble, bubble, bubble. That's like a good old fashion Christian, always bubbling over whether things going right or not, just going just the same, bubbling over.

E-70 God works in His nature in the grounds too. Do you believe that? If I'd sit down and talk to that spring, I say, "What makes you bubble? What makes you so happy?"
He'd say, "Brother Branham, it ain't me bubbling."
I'd say, "Well, maybe that you bubble just because that--that I drink from you."
"No."
"You bubble because deers drink or bears drink?"
"No."
I say, "What makes you bubble?"
He say, "Brother Branham, it ain't me bubbling. It's something behind me, pushing me, making me bubble." And that's the way every man that's borned again of the Spirit of God. There's something behind you pushing you and making you bubble. Hallelujah. Oh, glory. That's right. It makes you bubble, bubble, bubble, bubble, bubble, bubble, everlasting joy springing up.

E-71 He said to the woman at the well, "In Me is living waters (Hallelujah); I'll give you living waters, bubbling up into Everlasting Life." A whole geyser brother, when she bursts open she just keeps spewing. Whew. Just take the cap off and let her run. Amen.
God is in His universe. You believe that? Sure, He is. God is in His universe.
We had a little boy lived down our place, and then, and he went to a very formal Sunday school and--down by the Ohio River. And as many of you fellows setting here, boatmen, knows what joy it is to be on water and then the... This little fellow got all enthused one day and he said, "Mother, i--if God is such a great Person. Can anybody see Him?"

E-72 "Why," she said, "Sonny, I don't know. Ask your Sunday school teacher."
So he went and asked his Sunday... said, "Teacher, can God--anybody see God?"
She said, "Well, I--I don't know. You ask the pastor."
So went to the pastor and he said, "Pastor, can anybody see God?"
He said, "No, son. No one can see God. Of course not. We just believe there is, and no one can see Him."
Poor little fellow said, "Well, if--if He's so real as the Bible says He is, why can't somebody see Him?"
Said, "Well, you just can't see Him, son. He's--He's not to be seen."

E-73 So well, he went fishing with an old fisherman down on the river, an old fellow had white beard like this and long hair, an old fellow down on the river. So one day he was up around Six Mile Island and it come a storm.
Coming back down the old fisherman was a very renowned Christian. Just coming down pulling the boat oars like this, you know, and the oars clipping the water, you know, as the music to any boatman, and he was pulling like this. And after the rain had went away, well, all the leaves was washed off, and everything was so clean and fresh smelling. And he looked and the sun come out, and there was a rainbow across the sky.

E-74 The old fellow was looking at the rainbow. He'd pulled his oars and clipped, pulled the oars and clipped. He was watching that rainbow. The little boy setting in the stern of the boat begin to notice tears running off of his white beard. He was looking at that rainbow and pulling. The little fellow kept looking at the old man. He run up there and fell down at his lap and said, "Sir, I'm going to ask you a question that my teacher couldn't answer, my mother couldn't answer, my pastor couldn't answer," said, "do you... Can anybody see God?"
Well, the old fellow's heart so full, you know, he pulled the oars into his lap and threw his hands up like this, and let out a big scream, put his arms around the little boy, and pulled him up in his bosom, said, "God bless your heart, sonny. Don't you see Him yonder?" Said, "Well, all I've seen for thirty-five years has been God."
Why, there's so much God on the inside here, God could see Hisself out yonder. He was reflecting. Is that right? When you get God in here, the day that you get saved and be filled with the Holy Spirit, the birds will sing different. All the whole universe will look different. All the trees will just clap their hands and everything.

E-75 My, and that old enemy that you used to not like at all, they'll be the most beautiful person. You'll walk up and say, "Howdy do there. How are you getting along?" And that neighbor you wouldn't speak to, them old tire tools you stole, and that, everything else, you'd take it all back and say, "You know I'm so sorry I did that. Will you forgive me for it?"
That's what it does to you. You'll see God in His universe as certain as anything if you'll go to looking around for Him. Do you believe that's true?
Some time ago there was an infidel across the country, oh, I guess fifty years ago; and he was converting people from Christianity to infidelism. And when his mother was dying the only thing that he could say, "Maw, grin and bear it."
Oh, what a consolation to give a mother in her death hours. So he went over to England, and he had a lot of converts there. No preacher would attack him. No, sir. 'Cause he was smart and shrewd. He'd just cut them down like this, 'cause most of the preachers... He stood right...

E-76 And a friend of mine who stood and even shook his whole foundation when he stood there with a bottle of sulfuric acid and right down in Memphis, Tennessee, and had that bottle of sulfuric acid. He said, "Any of you people here that's supposed to be Christians, Mark 16 said, 'They shall drink deadly things and it will not harm them.'" Said, "That's what Mark said." Said, "Now, if that's the inspired Word of God, drink this sulfuric--sulfuric acid."
And some of them said... Why they said, "Why, you--you shall not tempt the Lord thy God."
And he said, "Oh, so I shall not tempt Him to ask Him anything, either." Said, "Maybe He can't be disturbed," and making fun of them like that.

E-77 And one thing happened, I'll have to tell this too, while right at it if I can. There was a big old country boy setting back there with hair hanging down his neck, overall jacket on. He just come walking up, and teeth out here in front, you know, and hair hanging down in his face. He walked right up towards the platform, reached down his overall pocket, and pulled out a big apple, and began to peel it with a knife.
The infidel said, "Well," said, "Sap, what do you want?"
Said, "I just want to ask you something." He just kept on peeling on his apple.
He said, "Well, tell me what you want, or I'll have you throwed out of here."

E-78 Said, "Just a minute. Give me my time." So he peeled the apple and cored it, got it ready, put it in his mouth, begin chewing on it like that. Said, "I want to ask you a question."
Said, "What is it?"
Said, "Is this apple sweet or sour?"
Said, "How do I know I'm not eating it?"
Said, "That's what I thought." Turned around and walked back to his seat. How do you know that God ain't real until you've tasted Him, felt Him? Hallelujah. How do you know Divine healing's not right unless you've put it to a test one time? How do you know the Holy Ghost is not right, you run around with your ecclesiastical jacket on trying to explain all the Divine part of the Bible out, and taking a bunch of theology. How do you know about God, if you've never even tasted to see that He's right or not?

E-79 Be sincere. Be humble before Him. That's right. And Dr. Davis standing there, an old Methodist bishop was setting there with this young preacher. A young, Roy Davis he was setting there with this bishop. That infidel said, "Any of you guys," and some of them, the ministers was saying, 'Mark 16 from the 9th verse on is not inspired. It isn't inspired, so you can't depend on it.'"
He said, "Well then, I'll say over there, 'Come unto me all ye that labor and heavy laden,' Matthew 11:27 said," I'll say, 'That's not inspired then.'"
So he had him on a spot. And Roy said... The Holy Ghost begin to move on him, say, "Stand up there." So he said, the old bishop, he said, "If that infidel makes that challenge one more time, if I die in my shoes, I'll go to heaven believing God's Word."
So he said, "Now, listen, son. Set down and let him just... He's just popping his own brain. Let him alone."

E-80 So it was the Holy Spirit moving. So when he made that challenge again, he let out a big "Ha-ha" and held his watch up. "If there's a God, I'll die in a minute." Waited for a minute and said, "Didn't I tell you wasn't no such a thing? Ha, ha, ha," like that, laughed out like that.

E-81 So Roy when he made that challenge said, "Why not some of you guys out there believe that God's so real," said, "try this sulfuric acid test."
Now, now, I'm not telling people to do that. Don't you do it unless the Holy Ghost is with you. See? Now, I don't believe in taking up serpents, or... I believe if I was baptizing out in the water, and a serpent grabbed me, I'd throw him out on the bank and go ahead and baptize like Paul did or something like that. Or somebody slip poison to me, I'd trust God for my healing. That's right. But I don't believe in bringing things, say, "Come here and I'll show you I can do it." I think that's wrong. That's right.
But Brother Davis walked up to the platform. We got a notary public's statement on this. He walked up there. He said, "Christian people," about two or three thousand setting there, he said, "I'm twenty-five years old." He said, "I'm a minister of the Gospel," and he said, "I--I know that my God is able to deliver me from that," but said, "nevertheless, if He does or does not, I'll never let that infidel stand there with that in his hand and challenge God's Word." He said, "I'll meet you in glory."

E-82 Grabbed it out of his hand...?... and drank ever drop of it right down, stood there and preached the Gospel, and about fifteen hundred people received the baptism of the Holy Ghost setting in the meeting. Hallelujah. Yes, sir.
No, that same infidel after coming back, he wanted to take a rest, and he went out here in the west in Colorado. And he had a camp out there and he was walking down along the path there one day, and he begin walking along.
He kinda felt kind of bad, his health was breaking on him and he happened to look up there, and the wind was blowing them great big rocks hanging in the mountains. He said, "Wonder if I've been wrong." He got down; he said, "O ever where you are, Who you are." Said, "Look at those rocks hanging there. Have I been wrong? Has the water washed them away like that, or did God place them there like that?"
What was it? God speaking in His universe. If they hold their peace, the preachers, the rocks will immediately cry out. There that infidel fell on his knees and gave his heart to God, because the rocks was a crying out. How that God speaking out of mother nature to him. Hallelujah.
God is in His universe. Do you believe? Oh, my, I could stay on that another hour. Let's just stop a minute. God in His universe. I'll hurry with these others right quick.

E-83 God in His Word, you believe God is in His Word? Every seed of God, every Word of God is a Seed. You believe that? Now, it's just like a--a seed you planted. If it's wheat, it'll come up wheat. and every Word of God is...
Every Divine promise of God will come to pass exactly if you'll put it in the right kind of a ground and let it grow. Do you believe that? Place it there; say, "Lord, by His stripes I was healed. I am healed. I accept it, Lord, and I'll never say nothing else."
I tell you, brother, that spits the dust in the devil's face right there, for it's THUS SAITH THE LORD, I'll stay right there live or die. I'll stay right there. That's my convictions. That's my stand. There's where... On Christ the solid Rock I'll stand. All other grounds is sinking sands. Stay right with it. Yes, indeed. It'll produce just what it said.

E-84 Just like a little... Here... A lot of you people around up in here have a lot... I noticed out here, fruit orchards where you raise a lot of apples. You take a little apple tree when it's just about that big, just a little bitty sprout. Did you know every bushel of apples, every apple, every blossom, every leaf that'll ever be on that tree is on it right then? Do you know that?
You know you might gather two hundred bushel of apples off of that tree, and every one of them, is in that little tree when it's that big. If it isn't, where does it come from? Tell me who puts them on there. It's in the tree when it begins. And that's just the way...

E-85 What you have to do with the tree, you take the tree and you plant it in the ground, and then you have to water it; and as you water it, it doesn't do nothing but drink, drink, drink. It has to drink more that its portion. And more it drinks the bigger it swells up. It just pushes out limbs. Then it pushes out leaves. Then it pushes out blossoms. Then it pushes out apples. Is that right?
And that's the way a Christian is. We are planted together in Christ Jesus, Who is the inexhaustible Fountain of Life. We're planted in Christ, and we just drink, and drink, and drink, and push out; and everything we have need of for the earthly journey: Divine healing, the power of God, and all these other things is in every individual in here that's received the baptism of the Holy Ghost, for you're planted in Christ. Hallelujah. The Holy Ghost baptism, yes, sir, and everything you have need of for this life's journey, even the rapture is right in you then.

E-86 Don't resent that? That's the truth. The rapture is in us now. I will prove it by the Gospel. "Those who He called He justified, and those who He justified, He hath glorified." Hallelujah. Then in heaven today we're a glorified in the Presence of God right now. I'm just pushing out to it. Amen. Glory. God's in His Word. You believe it? All right.
Got to hurry now. Many things we could say there, but God is in His Word. Every Word of God is a Seed. You get it? And you just have to hold on to it.
Now, many people look at their symptoms. They say, "Oh, Brother Branham, my hand is no better. I still have this pain." That don't have nothing to do with it. It's what mental attitude you got towards God and His promise.

E-87 You know, a fellow that had a case of symptoms was Jonah. He really had symptoms. Did you know that? God told him to go down to Nineveh, and he went down to Tarsus, took a easier road. That's the way with a lot of Christians today, trying to take the easy road.
He said, "You go down to Nineveh and--and cry out." Instead of that he went to Tarsus. Then he was backslid. There come a storm on the ocean, and they'd bound his hands and his feet, and throwed him out of the ship. A big whale swallowed him. And anybody knows that after a whale eats, or any other fish, he goes right to the bottom of the... Feed your goldfish and watch what they do, go right straight to the bottom, and rest their little swimmers on the bottom. They prowl through the water till they find their food; then they go down and rest. See?

E-88 Well, now look here. Let's see. It was a stormy ocean, and a backslidden preacher, and he's got his hands tied behind him, his feet tied behind him, throwed out in a storm. A swi... A whale swallows him and goes down to the bottom of the sea to rest. And there this preacher down there, backslid in that condition...
There's nobody in the building that bad today, and there he was down there backslid, hands tied behind him, several miles deep in the ocean in the belly of a whale, seaweeds wrapped around his neck, vomit knee deep. And he begin to look this way, it was whale's belly, look that way, it was whale's belly. Everywhere he looked it was whale's belly. Talk about a case of symptoms, he had it. That's right. Everywhere he looked it was whale's belly. His hands was tied behind him. He was backslid in the belly of a whale, plumb in the bottom of the sea; whale's belly, whale's belly.

E-89 Why, brother, there's nobody here like that today. But what did he say? He looked at that whale's belly, all them symptoms and he said, "They are lying vanities." Yes, sir. He said, "Once more will I look to Your holy temple, O Lord." Hallelujah. Oh, brother. "Once more will I look, not at these whale's belly, not on backslidden condition, not my hands tied behind me, not where I'm at, not at the stormy sea. I'll look to Your holy temple, Lord."
When Solomon dedicated that temple and the Pillar of Fire come in and went behind the--the thing and settled down, look what Solomon said. He said, "Lord, if Your people be in trouble anywhere and look towards this holy place, and pray, then hear from heaven and deliver Your people."
And Jonah believed God heard Solomon's prayer, so he wasn't looking at his symptoms. He wasn't looking at a whale's belly. He wasn't looking at his backslidden condition. He was looking to God's promise, Solomon's prayer.

E-90 And if Jonah, under those conditions, with that kind of symptoms, could look to an earthly temple, where an earthly man prayed, how much more ought a Christian to do when Jesus Christ died for you, taking His Own Blood and setting at the right hand of the God today making intercessions on anything you confess He's done.
"My, get away symptoms. You're a lying vanities. I won't believe you anymore. Jesus Christ healed me when He died at Calvary. Hallelujah. You tell me I have to keep smoking cigarettes, drinking whiskey. You're a liar. I refuse to see it. I look to Your holy temple, Lord, where Jesus, the Son of God, stands at the right hand of the Father making intercessions for me." Whew. Oh, my.
I'm really a holy-roller now. Brother, let me tell you something. I've sailed the seven seas, and I've never seen a holy-roller yet. That's a name the devil tacked on the Church. But if He wanted me to do it, I'd sure do some rolling, and as long as it was holy. Yes, sir.

E-91 God in His Word, you believe it? God in His universe, God in His Word. Now, right quick let's get God in His Son. You believe God was in His Son? He was. He was more than a man. I taught you that yesterday. He was more than a man. He was God. God is not like... That's one thing wasn't purged in the--in the reformation. See? There's not... There's a lot people say the... The Jews try to tell us... There's some Jews setting here. That's the biggest--biggest stumbling block the Jews ever had, because we don't make it clear to the Jew. They think that we believe there is three absolutely individual gods. That's a lie. There's only one God, absolutely one God. There's three dispensations, the three manifestations, but the same God every time.

E-92 It's like a three foot rule. You got twelve inches here. You got twenty-four inches here. You got thirty-six inches here, but it's the same rule. God, the Father, was revealing Himself, unfolding Himself, trying to get to man.
God, the Father, was made manifest in a Pillar of Fire that hung on the mountain. Even Moses dread the quake. Is that right? If any, even a beast come near the mountain had to be thrust through with a dart. Is that right?
Then the same God was manifested in flesh and dwelt among us in a virgin born body in order of take away sin. Do you believe that? That was God the Son. You believe that? It's the same God. "My Father and I are One. My Father dwelleth in Me. It's not Me that doeth the works; it's My Father." That was Jesus talking about His Father, the same God revealed down here in a body of flesh Who hung in a Pillar of Fire.

E-93 The Pillar of Fire was talking to Moses in the burning bush. He said, "Tell them all generations that I AM THAT I AM," and Jesus stood at the feast and said, "I AM the I AM." Sure. The same God, just twelve inches being from twelve to twenty-four inches being unfolded.
Now, then the next time He revealed Hisself... First, in the Pillar of Fire, then in the virgin born body, His Son, and now He's working His way down to mankind, and now He's revealing Himself in sinful man that's been regenerated again, living in the entire Church.

E-94 "At that day you'll know that I am in the Father and the Father in Me, and I in you, and you in Me." Oh, my. You see? God in His people (Hallelujah.), moving out. Sure. God is right with the people. He unfolded Hisself from the supernatural Being down into a virgin born body to take away sin.
When He come from God, went back to God. "A little while and the world seeth Me no more. Yet you shall see Me, for I'll be with you ('I' is a personal pronoun.) I will be with you, even in you to the end of the world."
See how God bringing His holy path. He couldn't come right down and jump into sin. God had to purge that path. In order to do it, He was a Pillar of Fire. Then as a virgin born Son that taken away the sin out of human bodies, and then after that God Himself could dwell right among His people. See what I mean? God was in Christ reconciling the world to Himself. You believe that?

E-95 When He was on earth He said He was God. He looked like God. He talked like God. He preached like God. Hallelujah. He healed like God. He rose like God. He ascended like God. Hallelujah. And He was God. Hallelujah. He was God in the flesh. God was in His Son manifesting Himself to His people.
Oh, how many times we could, how much we could go to that and see what it was. See? But I believe you understand what I mean. See? It's God unfolding Himself. He came out of nature, coming down into the flesh in His Son.
God come in the flesh, Jesus Christ, the Logos, that went out in the beginning. How back in the beginning no one could see God. Then the Logos came out. Then God manifested Hisself down in man. Man sinned then God come down and revealed Hisself in flesh, taken away sin, returned back, come back again to live in people, and talk to them like He did to Adam and Eve. Hallelujah.

E-96 Now, my parents and my both--before me were Catholic. But brother, you see there's not much Catholic left in me as the triune beings. That's right. Yes, sir. They believed in the Eternal Sonship, or there's three actual individual being: God the Father, an old man with long white beard; God, the Son, a middle age man; and the Holy Ghost was a mascot boy like. There's no such things. There's only one God. And I different agree with the organization of Pentecost that calls the Oneness like your finger is one. That's wrong. Absolutely, it's wrong.
God... Jesus couldn't have been His Own Father, and if God is a Man, then Jesus was born sexual desire and not virgin birth. That settles the whole thing. You see? If He's one like your finger's one, then what? Then He was His Own daddy. How could He have been? That's wrong. He had a Father, Jesus did.

E-97 You just can't see the manifestation of God unfolding Himself a loving Father, coming right down from the heavens unfolding Hisself, coming down to live among human beings here on earth. There you are. God was in His Son, and now I've unfolded to you also, God is in His people. Do you believe that? Then when God, that same God that lived back yonder in the days when the... Moses seen the Pillar of Fire, was that right? How many believes that was the Angel of the Covenant, say, "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] Well, the Angel of the Covenant was Jesus Christ.
Moses esteemed the riches of Christ greater treasures than that of Egypt, and he forsook Egypt following Jesus Christ. He followed Christ through the wilderness which was the Logos. All right.

E-98 Now, then here comes down, the next is the Sonship. Then the Holy Spirit. That's the reason that Matthew said, "Baptize them in the Name of the Father, in the Son, and of the Holy Ghost." Sure. It's the same God moving right down through these three dispensations: Father, Son, and Holy Spirit, not three different individual beings, but one being in three different manifestations. Hallelujah. Glory.
Brother, I tell you that would punch the Devil in the ribs every day, and make him squeal like a pig. That's right. Because it's a power of God being revealed in these last days.
Somebody said the other day, said, "Brother Branham, you can't explain the trinity." Said, "Just go down and get yourself an insane institution and crawl in it."
I said, "No, sir. I cannot explain it, but the heavenly God Who dwells here knows all things, and would reveal it to us as we have need to know." Amen.

E-99 I believe it with all my heart. I know it's so. It dovetails right in with the Scripture and makes it plain. God is in His Son. God is in His people.
Then look what He done back yonder. Look what He done in the days of His Sonship. Now, look what He's doing here in the Holy Ghost dispensation, how He has raised up and among the people. He's showing the same signs and wonders, quickening the dead. Is that right? Raising the dead, that physically died, raising them back to life again...
Read the little book there and get your statements. I seen three of it in my own humble ministry. The doctors have laid them out dead, and gone, passed on, and by a vision God would show it, and here they'd come right back around and living today. Write and ask them and see if that's right. Manifest Hisself...

E-100 Jesus Christ only raised three in His entire life, to show that a witness of three is to be established. Is that right? In the mouth of two or three witnesses, let every word be established.
Then God is living in His people today, because back there when Jesus came into Jerusalem, there was a great joy and the people begin to holler, "Hosanna, Hosanna, to Him that cometh in the Name of the Lord."
And the old priests, and Pharisees, and all said, "Make them hold their peace. They make me nervous."
I was preaching here not long ago, and there's a little woman just screaming and shouting top of her voice, and there was a man that's a Sunday school teacher in a Baptist church in--in Jeffersonville, said, "Billy, I was enjoying your service till that woman got to screaming and crying." He said, "How in the world can you preach when people are hollering like that?"
I said, "I can't preach 'less they do holler like that." I don't know where I'm standing. Don't know how they're receiving it.

E-101 I used to have an old dog, I used to hunt with, called him Fritz. He would take anything, tree anything in the world but a skunk. He just... He wouldn't go into him. He'd tree him in a brush pile, and then he'd go--keep going around the brush pile barking. And the only thing I had to do to get him to go in and get that skunk was just to raise up the brush pile and pat him say, "Sic him, boy. Sic him, boy." He'd go in and get the skunk.
Now, brother, every time I hear a "amen" it's "Sic him, boy." And the biggest skunk I know of is the Devil. Let's get him up a bush right now, and go get him. Hallelujah. That's right. Yes, indeed. "Sic him, boy."
"Oh," he said, "Brother Branham, when that woman begin to cry," said, "it made chills run up and down my back."
I said, "My brother, if you'd ever be fortunate enough to get to heaven, you'd freeze to death, because there's shouting and screaming before the throne of God day and night, hollering, 'Holy, holy, holy unto the Lord.'"

E-102 God is a Spirit and they that worship Him must worship Him in Spirit and in Truth. Hallelujah.
Then God, the Father, in His universe, God in His Son, God in His Word, and now God's in His people. Hallelujah. That quickening immortal Life that pulled you out of that bootleg joint, pulls you off of skid row. That Thing that stuck you and made a lady out of you, that Thing that's kept you from smoking, and drinking, and carrying, through your life. That's God in His people. That Thing that when the Holy Ghost takes the Word of God, and sprays It over the people, like that, with His power, that heart of yours grabs it. What is it? It's God in His people.

E-103 "Man shall not live by bread alone, but by every word that proceedeth out of the mouth of God." Hallelujah.
You say, "You're excited." No, I'm not. I know where I am. I'm not excited. Well, brother, if I'm excited, let me stay excited. I want to stay this way till I die. Hallelujah. I get more out of life staying this a way.
Well, why? God is in His people, manifesting Himself in the flesh of mortal beings who's borned again. Do you believe it? [Congregation says, "Amen."--Ed.] You believe God is in His universe? You see Him in the sunlight? see Him in the tree? In the flower? in His Word? in His Son? in His people?
Then here's God right here (Amen.), knowing the thoughts of men, discerning the thoughts, healing the sick, making the blind to see, the deaf to hear, the lame to walk. Only thing that is limiting God is our faith. Hallelujah. Oh, my. I...
God, just turn the spout off. I'm having an awful time up here, just a having a glorious time. I just look like there is no end to it, and that clock's just rolling right on around.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

E-104 Now, give us a chord on it, brother. I got it out a little high. Let's get ready to sing now. Close your eyes. Lift up your hands now. Come here, Brother Baxter...?... here. Somebody help me. All right. All right.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree. (Hallelujah.)
Let's bow our heads in a word of prayer. Do you really love Him this afternoon? What would we do without Jesus?

E-105 Some Greeks come one day and said, "Sir, we would see Jesus." Now, you see Him today. You walk out the door yonder you'd see Him in that bush. You see Him in them flowers down along the street yonder. He will be talking to you. When that little bird sets up there, and throws his head up in the air, and goes to singing, this afternoon, as the sun setting, he's happy.
Not long ago I was setting on the porch. Some old sand cranes was flying down, going into their roost. Wife, and I, were setting there. I was so tired. I'd come from a meeting. I started crying. There was a lady walked up on the porch and give me...?... sign said... Picture of a ship out on the sea and the sun was setting. It had a poem,
Sunset and evening star,
And one clear call for me,
And may there be no mourning at the bar,
When I put out to sea...?...

E-106 O God, my heart started beating fast. Some little robins flew up in a tree. God had fed them all day long; they were coming home then. It was getting night. And the sand cranes, they was going down to gather with their loved ones on the river bank, and stay all night.
And I said, "Honey." She put her arm around me. She said, "Bill, you're so tired. Look like you could just faint."
I said, "But someday the sun will be setting on my brow. My life's sun will be sinking low. I'll preach my last sermon some of these days. Then when the sun goes to setting, I know He's got a place for me." I--I want to gather with Him over yonder with all you, the rest of you. Softly now, let's sing.
I love Him, I...

E-107 Is there a sinner in the building, who'll raise up your hand, or stand up, and walk up here and say, "I want to accept Jesus as my Saviour."
... first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
While we have out heads bowed, let's hum that. [Brother Branham starts to hum--Ed.] Think of it, Christians. Think of it, sinner man and woman. The Angel of the Lord is here now. Make your decision this afternoon for Christ, will you? If you haven't the Holy Ghost, don't go out without it. Don't... If you believe me to be His servant. Don't go. Stay right here if it takes a week. Get the Holy Ghost right now.
Someday we're going to gather and the sun's going to be setting. While you got your heads bowed, your hearts bowed too, I'm going to ask Brother Boze to lead us in prayer just now while you have your heads bowed. All right, Brother Boze...

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