La Résurrection De Lazare
1 Merci, Frère Bosworth. Bonsoir, mes amis. Nous sommes très heureux d’être ici cet après-midi pour vous parler au Nom de notre Aimable Jésus-Christ. Je suis très heureux de vous voir joyeux. Celle-ci a certainement été une journée radieuse pour moi. Bien que ce soit brumeux dehors, je commence cependant à apprendre davantage sur le ministère de notre Seigneur plus que jamais de toute ma vie.
2 Hier soir, je... C’était le soir du mardi passé. Frère Beeler et–et vous tous, si vous enregistrez, j’aimerais vous demander, à vous et à frère Wood, d’être sûrs de me garder les bandes de mardi soir et d’hier soir. J’aimerais avoir ces bandes.
C’était le soir du mardi passé, eh bien, je vous expliquais pourquoi j’expérimentais une certaine chose. Et hier soir, j’observais comment le Saint-Esprit se déplaçait, et–et dans ce coin-ci, quelque part là dans cette direction comme ceci, où était assis un groupe de muets. Et j’ai vu ces... Cela était suspendu au-dessus de ces muets. Il allait de l’un à l’autre, comme ça. Eh bien, je ne savais pas exactement comment–comment le leur faire savoir. Ainsi donc, j’observais, et Il est alors allé droit au fond de la salle, s’est tenu au-dessus d’une dame qui était là au fond. Puis, Il est revenu et est allé ici dans ce coin-ci, Il n’arrêtait simplement pas de se déplacer.
Et je me suis dit: «Oh! si seulement–seulement je peux obtenir cette seule chose, que les gens croient, cela se produira maintenant même, cela–cela se fera, juste... ce sera un apogée comme ce fut le cas à Vandalia, dans l’Illinois, en ce temps-là. Ainsi, simplement, je ...»
Et tout d’un coup, eh bien, j’ai commencé à voir Cela, juste comme des gouttes qui tombaient. J’ai dit: «Si seulement vous pouvez croire en Dieu et écouter maintenant, vous verrez quelque chose que vous n’avez jamais vu auparavant.»
3 Et alors, lorsque je... La chose suivante dont je me souviens, c’est que le–le jeune homme et les autres m’ont amené ailleurs, dehors. C’était donc vraiment–vraiment très glorieux. Je crois qu’on est sur le point de déboucher quelque part dans la réunion. Les gens commencent bien à apprendre, à saisir ce que cela représente.
En fait, comme on parle de Vandalia, il y a quelque temps, alors que je sortais de la voiture, une dame (qui est présentement quelque part ici dans la salle, sa fille et elle) m’a donné un témoignage de Vandalia. Elle disait qu’elle était... Et maintenant, si je comprends bien la chose... je l’espère bien. Elle me racontait cela il n’y a pas longtemps, disant qu’elle faisait... lorsque j’étais à Vandalia, elle faisait la vaisselle... Et elle avait une très grosse tumeur, comme un pamplemousse ou... et elle a dit qu’elle avait secoué les mains... le Seigneur lui avait dit: «Va à Vandalia pour ta guérison.»
Elle est allée vers son mari et celui-ci lui a dit: «Cela nous est bien impossible, chérie, a-t-il dit, je... seulement... Nous n’avons que dix dollars et quelques, je dois donc les utiliser pour autre chose.»
4 C’était donc le samedi, et elle était très déçue. Elle a alors continué, elle s’est mise–elle s’est mise à prier, disant: «Maintenant, Seigneur, c’est Toi qui m’as parlé; maintenant, parle-lui un peu sur quoi faire avec ces dix dollars.»
Et elle a dit que, peu après, le lendemain matin, a-t-elle dit, elle s’est levée, et il pleuvait. Son mari est venu et lui a demandé: «Tu disais que tu voulais aller à Vandalia?» Ils sont partis.
Et ils sont arrivés là, ils pouvaient... La pluie nous avait chassés de la tente, et on nous avait trouvé un auditorium. J’étais tellement fatigué que je pouvais à peine me tenir debout. Alors, elle a dit qu’elle n’arrivait pas à obtenir une carte de prière. C’est sur ça qu’elle comptait pour entrer dans la ligne de prière. J’ai dit: «Maintenant, vous tous, mettez-vous en ligne, et tout ce que je vais faire, c’est juste vous imposer les mains. Eh bien, si vous croyez que ce que vous avez vu se produire est la Vérité, imposez-vous simplement... je vous imposerai simplement les mains pendant que vous passerez. Et chacun de vous sera guéri si vous le croyez.»
Eh bien, mes amis, c’est sur ce que Dieu m’a dit que je fais reposer cela. Il a dit: «Si tu es sincère quand tu pries, si tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.» Voyez-vous?
Eh bien, alors, l’essentiel... J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas amener les gens à me croire, parce que je n’ai pas d’instruction; je suis un très piètre orateur et, oh! la la! sans personnalité. Je n’ai rien. (Voyez-vous?) Je ne sais que dire.» J’ai alors dit: «Comment pouvaient-ils... comment pouvaient...»
Il a dit: «De même que Moïse avait reçu deux signes comme confirmation, il te sera aussi donné deux signes. (Voyez-vous?) Et c’est ce qui amènera les gens à te croire.»
5 Et ainsi, en ce temps-là, tout ce que je pouvais dire, c’était juste ce qui clochait chez quelqu’un, en le prenant par la main, ou en lui tenant la main, ou en lui imposant la main comme cela. Et alors, je ne disais rien, je laissais Dieu le dire; quoi que ce fût, c’était toujours à cent pour cent vrai. Puis, Il a annoncé que l’autre signe se produirait.
Eh bien, dans tous les cas, la femme est passée. Et elle a dit: «Oh!» Je lui ai juste imposé la main. Elle a dit qu’elle voulait que je m’arrête pour prier pour elle, pour lui dire qu’elle avait une tumeur et toutes ces choses. Elle dit avoir vu les autres, et elle voulait bien que ça se passe ainsi. Mais elle dit qu’il n’y avait pas de choix, qu’elle devait accepter ce qui était arrivé; c’était tout. Alors, elle a dit que j’ai prié pour elle. Elle a dit qu’elle était rentrée chez elle, déçue.
Elle a dit, vous savez, qu’environ un mois plus tard, elle a commencé à se rendre compte qu’il n’y avait plus de douleur à l’endroit où se trouvait cette tumeur, à l’abdomen, ici, il n’y avait plus de douleur. Elle est allée se faire examiner; la tumeur avait disparu. Depuis lors, elle n’en avait plus. Il n’y avait plus de tumeur, une tumeur de la grosseur d’un pamplemousse.
6 Eh bien, vous voyez, la dame elle-même n’avait pas compris cela, voyez-vous. Mais Dieu le savait, voyez-vous. Elle est passée, vous voyez, Dieu avait déjà parlé, à ce bout-ci de la ligne, sur quoi faire. Pendant qu’elle faisait la vaisselle, ou je ne sais quoi, d’une façon ou d’une autre, elle avait les mains dans l’eau, je pense que c’est ce qu’elle a dit, elle a secoué la main. Et c’était donc Dieu qui parlait. Sa vie... Probablement que cette tumeur serait devenue maligne et elle en serait morte. Dieu ne voulait donc pas qu’elle meure; alors, Il l’avait simplement poussée à aller là.
Eh bien, lorsque Dieu a fait donc cela, eh bien, alors son mari... Il a dû aussi pousser son mari. Vous voyez, nous demandons des choses à Dieu et, parfois, nous ne Lui accordons pas le temps de nous répondre. C’est vrai, n’est-ce pas?
Eh bien, par exemple, les gens disent... Vous entendez des gens qui ne croient même pas à la guérison divine dire, s’agenouiller et dire: «Ô Seigneur, je Te prie de mettre fin aux guerres dans le monde.» Eh bien, oh! la la! Oh! la la! Pour la guérison divine, il vous faut changer la pensée d’une seule personne. Mais pour mettre fin à la guerre, il vous faut changer la pensée des millions de gens. Vous voyez? Ainsi, oh! la la! combien il serait difficile pour Dieu de faire cela! Il doit agir sur telle personne, sur telle autre, telle autre là-bas. Dans le cas de la guérison divine, Il doit seulement agir sur une seule personne, c’est vous. C’est tout. Voyez-vous? Donc, croire à la guérison divine, c’est plus facile que Lui demander de changer–de changer tout le programme international.
7 Dans tous les cas, cette femme, elle... Dieu avait parlé à son mari. Ils s’étaient donc rendus là, et c’était le plan de Dieu. Eh bien, je lui avais dit que si seulement elle croyait, quand elle est passée, l’un d’eux, il y aurait ju-... Dieu agirait de même. Et elle a dit que c’est ce que... Je me demande si cette femme est dans la salle. Elle prenait des photos là-bas, il n’y a pas longtemps, un film. Etes-vous là, madame? S’il vous plaît, levez simplement la main. Une–une femme qui ét-... Où? Oh! oui, oui, elle est assise juste ici. Que Dieu vous bénisse. C’est la femme qui venait de ... Levez-vous encore, que les gens vous voient. C’est depuis quand? Il y a environ sept ou huit ans, n’est-ce pas, soeur? Plus de tumeur, rien, tout est parti; tout est parfait. Disons: «Merci, Seigneur!» [L’assemblée dit: «Merci, Seigneur!»–N.D.E.] Certainement, Il est réel.
8 Eh bien, qu’est-ce qui fut à la base de cela? C’est la foi de la femme en Dieu. C’est vrai. C’est la foi de la femme en Dieu qui fit cela. En effet, Jésus l’avait déjà guérie depuis longtemps. Ne le croyez-vous pas? Lorsqu’Il mourut au Calvaire (Pensez donc à ce que Jésus a fait), lorsqu’Il mourut au Calvaire, Il guérit tout le monde. Est-ce vrai? Et lorsqu’Il mourut au Calvaire, Il sauva tout le monde. Il n’y a pas de pécheurs après cela. Aux yeux de Dieu, tout le monde était sauvé. Il est l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Eh bien, vous direz alors: «Qu’est-ce que je fais?» Alors, vous... Mais cela ne vous servira à rien si vous ne vous repentez et que vous n’acceptiez cela. Si donc vous acceptez cela, alors vous vous comporterez comme un chrétien. Si vous ne l’acceptez pas, vous êtes déjà jugé vous-même. Vous n’aurez pas à être jugé. Si vous allez au-delà de la miséricorde, c’est déjà le jugement. Dieu l’a bien dit: «Le jour où tu en mangeras, tu mourras.» Vous n’avez donc même pas de chance. Voyez-vous? Il vous faut soit l’accepter, soit comparaître devant Dieu.
9 Et vous–vous n’avez pas à être jugés, parce que vous êtes déjà jugés. Dieu a fait... Une fois, Il a dit: «Le jour où tu en mangeras, tu mourras.» C’est réglé. Et il n’y a que le Sang de Jésus-Christ entre vous et cela. Nous sommes donc heureux aujourd’hui d’être libres en Christ.
Pensez donc à ce qui est arrivé cette semaine. Des gens complètement aveugles ont recouvré la vue. Les sourds, toutes sortes de choses se passent, ce que notre Seigneur a fait. Ne devrions-nous pas croire de tout notre coeur? Je vous assure, je me sens comme si je suis... Frère Bosworth, je me sens une personne nouvelle pour entreprendre le ministère. J’aspire plutôt après le temps où je quitterai l’outre-mer pour me replonger dans certaines de ces réunions américaines.
10 Eh bien, hier soir, j’ai annoncé que cet après-midi je prêcherais ou je parlerais sur les missions. Mais comme mon temps s’est un peu écoulé, je ferais mieux de prendre juste un petit sujet et parler juste quelques instants, et puis, continuer carrément parce que nous avons un autre service qui va immédiatement suivre. Et j’espère que le service de ce soir sera le plus grand jamais tenu. C’est aussi ce que vous espérez, n’est-ce pas? J’espère que Dieu guérira chaque personne qui est dans–dans la Présence divine ce soir. Je crois qu’Il le fera. Je m’y attends.
Et alors, demain, nous partirons pour West Palm Beach, en Floride, afin de nous y retrouver pour la prochaine réunion.
Eh bien, il n’y en a pas beaucoup; je ne vois qu’un fauteuil roulant et une civière, je pense que c’est ce qui reste, à ce que je voie. Et à vous, cet après-midi, j’aimerais que vous regardiez et que vous viviez. J’aimerais que vous ayez la foi. Et pendant que je vous parlerai un petit instant sur la Parole de Dieu [Frère Branham tousse.–N.D.E.], pardonnez-moi, j’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur, que Dieu encourage votre foi.
11 Vous savez, parfois, je pense que... Je me demande comment le Seigneur nous trouve des fois, lorsqu’Il fait beaucoup de choses pour nous, et cependant, nous restons simplement comme si nous étions inconscients, n’est-ce pas? Ne sommes-nous pas tous coupables? Je le suis. Nous restons simplement là et nous disons: «Eh bien, Seigneur, je–je souhaite que Tu fasses quelque chose pour moi.»
Il ne peut rien faire de plus pour nous que ce qu’Il a déjà fait. Il nous a déjà guéris. Il nous a déjà sauvés. Il nous a déjà donné la joie. Il nous donne de Sa paix. Il est notre Cuirasse, notre Bouclier, notre... Tout ce que nous avons est en Lui, et Il a déjà payé le prix de la rédemption pour nous racheter, nous ramener comme fils et filles de Dieu. Il ne reste encore qu’une seule chose au monde à faire, c’est la mort physique. Nous devons tous mourir; en effet, c’est l’unique voie pour Dieu de nous ramener à la Maison. C’est la seule voie par laquelle nous pouvons voyager, la mort, pour retourner à la Maison. Tout est donc sous Ses pieds, tout, sauf la mort. Et la mort a déjà été...La peine de mort avait été ôtée, et maintenant, nous entrons droit dans Sa Présence; puis, un jour, nous retournerons, immortels, pour vivre mille ans sur terre avec Jésus-Christ. Amen. Je le crois. Je suis absolument un millénariste. Je crois en un Millénium. Je crois que tous ces prophètes hébreux, au cours des âges, ont parlé de l’âge d’or, du Millénium à venir, et je crois que nous l’aurons. Nous régnerons ici avec Lui pendant mille ans.
12 Eh bien, il y a le post-Millénium, le pré-Millénium, et pas de Millénium? Et si vous dites: «Je ne crois en rien du tout.» C’est très bien, nous sommes néanmoins frères. Nous sommes quand même des frères, mais seulement je crois qu’il y aura ce règne où Dieu...Je souhaiterais avoir le temps d’aborder cela. J’en ai parlé cet après-midi, comment Il se révèle et puis, se cache de nouveau. Comment Dieu L’a dévoilé avant le commencement du temps, comment Il–Il s’est manifesté, du grand Etre invisible au Logos; et puis, dans un Homme.
Et puis, comment (j’en parlais hier soir), comment Il se manifeste dans un homme, de la Colonne de Feu dans le Fils, dans un homme. Oh! comme c’est merveilleux! Ensuite, comment cet homme-là a été racheté de la mort, de la peine de mort, comment Il est descendu maintenant, poursuivant le processus de ramener cet homme par la justification, le baptême du Saint-Esprit, puis de nouveau dans le... De la vie mortelle à la Vie immortelle comme c’était au commencement; et puis, de nouveau dans la chair. Juste comme Dieu l’avait créé au commencement, pour manger, boire. Oh! c’est merveilleux! Voyez-vous?
13 L’homme, avant d’être un homme comme tel, était un homme-esprit. Dieu a créé le premier homme à Sa propre image. Combien disent que c’est vrai? Eh bien, quelle est l’image de Dieu? Il est Esprit, est-ce vrai? Dieu a donc créé un homme-esprit avant de créer un homme de chair. Puis, Il l’a doté de cinq sens pour contacter sa demeure terrestre. Il lui a peut-être donné des mains comme celles d’un singe, des pieds comme ceux d’un ours, je ne sais pas. Mais, de toute façon, ce n’était pas ça l’image de Dieu. Dieu est Esprit. Mais après, Dieu est descendu et s’est fait à l’image de l’homme pour racheter l’homme et le ramener à Lui, lorsqu’Il s’est fait chair et a habité parmi nous. Et nous passons directement de cette vie rachetée, de cette vie rachetée à la Vie immortelle dans le corps surnaturel, une fois de plus; puis, nous retournons de nouveau dans la chair, exactement comme Dieu; Il nous ramène directement dans le jardin d’Eden; tout à fait pareil.
14 Pouvez-vous vous imaginer combien c’était merveilleux ce matin-là quand Adam prit Ève par la main et parcourut le jardin? Oh! la la! Ces gros oiseaux volaient, tout était paix, pas de maladie, on ne devait jamais mourir. Elle n’avait jamais eu à utiliser cette espèce de ces manucures ici que vous appliquez au visage pour paraître jolies. Et elle–elle... C’est mauvais, je savais, je... Quelqu’un a ri. C’est... Comment appelez-vous cette affaire-là?
De toute façon, c’est–c’est du maquillage, vous savez, que vous appliquez au visage. De la manucure, ce que, c’est–c’est dans vos cheveux, de toute façon, n’est-ce pas? C’est ce que vous appliquez aux cheveux. De toute façon, c’est, d’une manière ou d’une autre... je ne sais pas, c’est–c’est quelque chose. Je le dis tout le temps de façon pire.
Je n’oublierai jamais le jour où ma femme m’avait une fois envoyé lui acheter une paire de chaussettes, ou de bas. Et elle voulait avoir ceux d’une certaine marque, avec beaucoup de griffes par derrière, vous savez, avec un peu de fantaisie. Et il y a deux marques différentes: l’une, Chiffon, et l’autre, Rayon. Je pense que la meilleure qualité, c’est Chiffon. Est-ce vrai, mesdames? Est-ce–est-ce Chiffon? Alors, je descendais la rue en criant: Chiffon, Chiffon, Chiffon, Chiffon. Quelqu’un disait: «Salut, Billy.»
15 Et je répondais: «Salut, salut.» Chiffon, Chiffon, Chiffon, Chiffon, Chiffon, Chiffon.
Je suis arrivé en ville; quelqu’un s’est mis à me parler de la pêche. J’ai oublié la marque. Alors, je suis allé voir une jeune fille que je fréquentais, et j’ai dit: «Bonjour, Thelma.»
Et elle a dit: «Bonjour, Bill.» Elle a demandé: «Que veux-tu?»
J’ai répondu: «Hope a besoin d’une paire des chaussettes.»
Elle a dit: «Eh bien, Hope ne porte pas des chaussettes.»
J’ai dit: «Bien sûr que oui.»
«Excuse-moi, a-t-elle dit, elle porte des bas.»
J’ai dit: «Eh bien, c’est ce que je veux.» Je me suis dit que j’avais déjà commis une... étalé mon ignorance. Alors, j’ai dit...
Elle a dit: «Elle veut quelle marque?»
J’ai répondu: «Quelle marque avez-vous?» Je voulais qu’elle le dise.
Elle a dit: «Eh bien, nous avons le–le Rayon.»
16 J’ai dit: «C’est ce que je veux.» Oh! je ne savais pas qu’il y en avait de deux sortes. J’ai dit: «C’est la marque que je veux; je veux celle qui a plusieurs griffes par derrière, celle-là.»
Elle me les a donc donnés, j’étais censé les acheter à soixante cents et je pense que ça m’a coûté vingt. J’ai dit: «Eh bien, donne-moi deux ou trois paires.» Vous voyez, je–j’étais...
Je suis donc rentré à la maison lui en parler, disant: «Tu vois, chérie, ai-je dit, je–je suis fils d’Abraham. Je suis un petit yiddish, tu sais, je sais bien faire des achats.» J’ai dit: «Vous les femmes, vous allez à Louisville faire le marché, vous cherchez partout toute la journée, vous revenez à la maison après avoir dépensé tout votre argent, et vous n’avez pas plus d’articles que ce que vous avez ici même à la maison. Moi, je descends juste en ville et j’achète trois paires de bas pour une paire de... au prix d’une seule paire.»
Elle m’a demandé: «As-tu acheté le Chiffon?»
17 J’ai dit: «Oui, madame.» Je ne savais donc pas qu’il y avait Chiffon et Rayon. Tout me semblait pareil. Peu après, elle s’est acheté une autre paire de bas. J’avais donc commis une erreur; alors, je m’étais dit que je ferais mieux de m’en éloigner, vous savez. Je... C’est comme cette histoire que vous appliquez sur le visage et dans les cheveux, et... C’est aux femmes d’en décider, n’est-ce pas?
Très bien, combien aiment le Seigneur? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Lisons une portion de Sa Parole ici maintenant et parlons-En un tout petit peu, juste sur une petite vieille... Maintenant, je ne suis pas, comme je l’ai dit à maintes reprises, et je vous l’assure, je ne suis pas un prédicateur. Je suis juste l’un de ces sassafras à l’ancienne mode, vous savez, là en pleine forêt, je crois dans la religion à l’ancienne mode d’en pleine forêt, au ciel bleu, qui tue le péché. Croyez-vous en cela? Alors, nous pouvons nous entendre.
18 Je crois que ça–ça ne blanchit pas, ça rend blanc. Ça vous purifie du péché, ça vous redresse, ça vous débarrasse de toute escroquerie, ça vous sort de–de la rue de l’escroquerie et vous place sur l’Avenue de la Gloire. Ne le croyez-vous pas? Assurément, les cloches de joie du Ciel retentissent bien, et vous marchez chaque jour en Esprit. Il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont... ceux qui ont adhéré à l’église? Il n’y a aucune condamnation pour ceux qui se sont donné une poignée de main? Il n’y a aucune condamnation pour ceux qui ont été baptisés? Non, non. «Il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus.» Comment y entre-t-on? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps. Est-ce vrai?
19 Saint Jean, chapitre 11. J’aimerais lire une portion des Ecritures, à partir du verset 18:
... Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,
Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.
Je sais, lui répondit Marthe, qu’Il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;
... quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ qui devait venir dans le monde... le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.
20 Inclinons la tête juste un instant. Maintenant, Père, je Te prie de bénir ces quelques Paroles cet après-midi, et de Leur donner la place qu’il faut dans chaque coeur, et de Leur donner la place qu’il faut sur mes lèvres, afin que nous puissions Te glorifier. Suscite la foi dans les gens alors qu’ils écoutent, car la foi vient de ce qu’on entend. Et qu’il n’y ait aucun malade, aucun estropié qui reste même pour la réunion de ce soir, qu’ils soient tous guéris cet après-midi. Accorde-le, Seigneur. Que tous les pécheurs soient sauvés, que tous les rétrogrades soient récupérés. Tire gloire du service. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, nous aimerions examiner ceci pendant quelques instants alors que vous priez pour moi. Et je tâcherai de veiller sur cette horloge pour–pour vous laisser partir bien avant de manière à revenir à la réunion ce soir. Et j’aimerais parler de–de la résurrection de Lazare de la tombe. Comment est-il ressuscité? Comment est-il sorti de la tombe?
21 Eh bien, nous aimerions premièrement présenter la toile de fond de l’événement pour découvrir... Et j’aimerais que vous–que vous priiez donc pour moi et que vous m’accordiez toute votre attention pendant juste quelques instants.
Je crois dans la résurrection. Je crois dans la résurrection dans un corps physique. Je crois dans le retour du corps physique de Jésus-Christ. Je crois que Son Eglise Le représente maintenant sur terre. Je crois que l’Eglise est lavée par le Sang de Jésus-Christ. Et l’Eglise est une Eglise remplie du Saint-Esprit, qui prêche la sainteté jusqu’à l’extrême. Ne le pensez-vous pas?
Je me souviens que dans la Bible, quand on offrait l’offrande pour le péché ou pour la purification de la lèpre, on prenait deux tourterelles... Dans la Bible, la lèpre est un type du péché. On prenait deux colombes, on en prenait une, on la décapitait, on la soulevait comme ceci et on aspergeait le sang... on répandait le sang sur la compagne vivante, on l’amenait à la fenêtre, on la lâchait, la colombe vivante, et est... quand elle battait ses petites ailes, eh bien, le sang de sa compagne morte tombait par terre et giclait sur la terre; il criait au Seigneur: «Saint, saint, saint est l’Eternel.»
22 Quel type parfait de l’Eglise! Comment Jésus-Christ, lorsque Dieu est descendu et s’est manifesté dans la chair, s’est revêtu de la forme de chair du péché, Il fut tué et crucifié au Calvaire, et le Sang du Compagnon mort fut placé sur l’Eglise, l’Epouse vivante, et Elle parcourt la terre, battant ses ailes, le Sang de Jésus-Christ criant: «Saint, saint, saint est l’Eternel Dieu Tout-Puissant», une purification parfaite de la lèpre.
La lèpre, il n’y a pas de remède contre la lèpre. On n’en a pas encore trouvé. C’est Dieu seul qui peut guérir la lèpre. On n’a même pas trouvé quelque chose contre cela, pour l’éradiquer. Et c’est un type du péché. Elle s’installe vraiment progressivement; elle opère sans douleur. Elle s’établit du coup, sans que vous le sachiez jusqu’à ce que vous en mouriez. De grosses verrues blanches apparaissent sur vous, elles couvrent tous les membres et autres qui se coupent et tombent. Elle vous ronge jusqu’au... elle vous ronge bien–bien, la lèpre. C’est Jésus seul qui pouvait guérir cette lèpre. Il est le seul aujourd’hui qui peut la guérir.
23 Mais, eh bien, Jésus, au début de Son ministère, était une Personne vraiment glorieuse. Il n’y en a jamais eu une sur la terre comme Lui, et il n’y en aura jamais une comme Lui. Il était–Il était le Fils unique du Dieu Tout-Puissant. Nous sommes des fils d’adoption, par Lui, mais Lui, Il est le Fils unique de Dieu.
Adam était le fils de Dieu. Croyez-vous cela? Il était le fils de Dieu créé. Mais Celui-ci est le Fils de Dieu engendré. Dieu engendra Son Fils.
C’est juste comme le sang. Le sang vient du sexe mâle. Nous le savons. La maman n’est qu’un incubateur de l’enfant. Et le sang de la maman n’a rien du tout à faire avec l’enfant. Bien qu’il soit né dans le sang de la mère, mais ce sang n’a rien à faire avec l’enfant. Il n’a aucune goutte de sang de la mère en lui; c’est le sang du père. Et la vie est dans le sang.
24 Tenez, beaucoup parmi vous ici, vous–vous êtes des fermiers, vous allez peut-être à la ferme vous occuper de la volaille et tout. Observez une poule. Une poule peut pondre un oeuf. Elle n’a nécessairement pas besoin d’être en contact avec le coq pour pondre l’oeuf. Et c’est–c’est tout de même un oeuf, comme tout autre. Mais il n’éclora jamais. Il sera simplement là et pourrira.
Vous pouvez placer cet oeuf là, mais s’il n’est fécondé, si la femelle n’a pas été avec l’oiseau mâle, l’oeuf va... l’oeuf n’éclora jamais, ce n’est pas un bon oeuf, car il ne contient pas de sang. Le sang vient du mâle. Eh bien, c’est... peu importe que la vieille poule couve cet oeuf jusqu’à devenir si faible qu’elle ne peut plus quitter sa couvée, eh bien, l’oeuf n’éclora jamais; il pourrira.
25 Je l’ai souvent dit, c’est tout comme l’église aujourd’hui. Et nous avons toute l’apparence de la sainteté, comme aller à l’église, payer la dîme, être un bon membre d’église et des choses semblables; mais, frère, on ne sera jamais capable d’arriver quelque part. On aura simplement un nid plein d’oeufs pourris jusqu’à ce qu’on entre en contact avec le Mâle, Jésus-Christ, et qu’on soit né de nouveau. C’est vrai.
La vieille église peut couver cela jusqu’à s’affaiblir et à ne pas pouvoir quitter (C’est vrai), et elle ne connaîtra rien d’autre que les choses de l’église. Mais je vous assure, frère, si un homme ne naît de nouveau, il n’y aura rien de bon, et il ne peut naître de nouveau avant que la Vie entre en lui. C’est vrai. Eh bien, voyez comment Dieu a programmé cela. Eh bien, c’est Dieu qui est la partie mâle de... qui a amené Jésus-Christ ici sur terre. Eh bien, Dieu est Esprit, ça ne pouvait donc pas être une affaire de sexe. Ça ne pouvait pas être un désir sexuel. En effet, si c’était le cas, alors Jésus n’est pas né d’une naissance virginale. Ainsi, Dieu est Esprit, Il a couvert de Son ombre Marie et a créé en elle la cellule de Sang qui a produit le Fils de Dieu. Et c’est par Son saint Sang que nous avons accès à la Vie.
Et notre sang issu du sexe est mis à l’écart, et nous avons le Sang de Jésus-Christ qui est là comme expiation, faisant expiation pour nos péchés. Quel beau tableau! Croyez-vous cela? Il vous le faut si vous êtes sauvé. Vous ne pouvez être sauvé et accepter autre chose. Il n’y a que Lui qui était le Fils de Dieu né d’une vierge. Le Dieu Tout-Puissant a simplement couvert de Son ombre la femme; elle ne connaissait rien d’un homme. Ainsi donc, Dieu l’avait simplement couverte de Son ombre et a créé en elle cette cellule.
26 Il n’y a pas longtemps, là-haut dans les montagnes, je pense que Dr Akerman, si je ne me trompe pas, est assis ici cet après-midi. Nous étions ensemble là dans les montagnes il n’y a pas longtemps. Et un incroyant tout fait est venu vers moi et a essayé de discuter avec moi; c’était lui le propriétaire du ranch, disant que la naissance virginale n’existait pas, que c’était simplement du non-sens, que c’était une vieille petite gaffe comme on en a toujours eue dans chaque âge. C’est Joseph qui était le père de cet Enfant-là. J’ai dit: «Non. C’est Dieu qui était le Père de cet Enfant-là.»
«Pareille chose n’existe pas, a-t-il dit, pareille chose n’existe pas.» Il a dit: «C’est contraire à toute recherche scientifique. Le maïs ne peut même pas être écimé sans avoir eu le pollen et le pistil dans le naturel. Et une femme ne peut avoir un enfant sans en fait avoir été en contact avec un homme.
27 J’ai dit: «Croyez-vous...» Et il a continué à me dire que le premier homme était une éponge, puis, il se transforma en un têtard, puis en une grenouille, ensuite en un têtard, ou quelque chose d’autre. Il l’a amené jusqu’au niveau d’un dragon qui dévorait le feu; et puis, finalement, jusqu’à un singe. Puis, il a placé un col et une cravate sur ce singe et l’a appelé un homme qui était... Hum! Un tel non-sens.
Et rappelez-vous, avez-vous déjà lu la théorie de Darwin là-dessus? Eh bien, c’est de la folie. Et vous qui êtes ici, de ce côté de la rivière, vous les laissez enseigner cela ici dans des écoles. Ça, c’est la faiblesse du christianisme. Lorsque vous... vous avez dit que ce vieux petit têtard a filé pendant mille ans sur son épaule, et il eut là une petite excroissance, et un membre est apparu. Puis, il a continué à filer de ce côté-là, il a filé sur l’autre côté pendant encore mille ans, et il y eut une autre excroissance et un autre membre est apparu.
C’est du non-sens. Oh! la la! Quelqu’un qui croit cela peut... Je n’ai pas eu assez de foi pour cela; je crois seulement ce que Dieu a dit. C’est tout. Je n’ai pas ce... pas beaucoup. Cela me demande beaucoup de foi. Je préférerais croire ce que Dieu a dit, qu’Il avait créé l’homme; c’est tout ce qu’Il en est.
Ainsi, de toute façon, cela... Alors, je lui ai demandé, j’ai dit: «Si vous croyez que Jésus avait une mère, ce qu’Il devait aussi avoir un père?»
Il a répondu: «Oui, oui.»
28 J’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question. D’où est venu le premier homme? Qui étaient son père et sa mère? Selon la science, il devait avoir un père et une mère. Qui étaient donc le père et la mère du premier homme? Que ce fût un singe, un têtard, une éponge, quoique ce fût, selon vos déclarations, il devait avoir un père et une mère.»
Il ne m’a jamais répondu jusqu’à ce jour. Il ne le peut pas. Oh! je vous dis, mes frères; certaines personnes ont entre les yeux un espace très réduit, si vous y placez le bout de crayon comme cela, cela les aveuglera. C’est la vérité. C’est la vérité. C’est... Oui, à... Ils sautent juste sur n’importe quoi et tirent des conclusions. Vous ne vous arrêtez pas pour chercher à considérer cela. Considérez la chose par rapport à Ceci: Ceci est l’unique Livre scientifique qui existe au monde. Ceci est l’unique Chose... Voici l’unique Livre qui vous révèle d’où vous venez, qui vous êtes, et où vous allez. C’est l’unique Livre qu’il y a, cette Bible. Et j’En crois chaque Parole, vraiment, je crois Cela tel que C’est écrit. Je suis disposé à accrocher mon âme à chaque phrase et dire que c’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Oui, oui.
29 Il n’y a pas longtemps, un petit ami était allé à l’école. Et il avait appris pas mal de choses qu’il n’aurait pas dû apprendre. Eh bien, je n’ai rien contre les écoles, l’instruction, les séminaires et autres. Mais lorsque Dieu appelle un prédicateur, la première chose, vous savez, on l’amène dans un séminaire, et–et on fait sortir de lui tout ce qu’il y a de Dieu; et puis, on lui injecte la théologie, et on l’envoie comme cela. Et il devient pire que lorsqu’il y est allé. Eh bien, c’est vrai.
Eh bien, écoutez, mes amis, je suis venu ici pour faire, pour parler de Dieu et de Son–Son oeuvre; et je–je ne sais rien sinon mettre la cognée droit à la racine de l’arbre advienne que pourra. C’est vrai.
Et, frère, c’est vrai. On fait sortir de lui ce que Dieu a placé. C’est... On lui inculque dans la tête... Il va là comme une grande vieille morgue, vous savez, froid, mort, à un endroit, les glaçons... le thermomètre spirituel indique environ 90° en dessous de zéro, et entrez là-dedans. Une–une morgue reçoit toujours un mort et on lui injecte quelque chose pour le garder mort. C’est comme cela que ça se passe; on va faire sortir tout ce qui a la vie pour lui injecter des trucs morts en lui. C’est vrai; pour le garder mort. C’est, oh! c’est pitoyable!
Et cette petite vieille femme est tombée malade, elle a attrapé la pneumonie. Elle a donc réclamé que son fils rentre à la maison; le docteur avait dit qu’elle allait mourir. Une autre pauvre petite femme qui avait le Saint-Esprit, conduite par l’Esprit, est allée lui parler, disant: «Tu sais, crois-tu à la guérison divine?»
Elle a dit: «Je n’en ai jamais entendu parler.»
30 Elle a dit: «La Bible dit qu’ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Eh bien, elle voulait donc en savoir plus. Elle est donc partie, et elle a dit: «Que mon pasteur vienne prier pour toi.»
Alors, un pasteur du Plein Evangile est allé prier pour la femme. Et quand il est allé prier pour elle, Dieu l’a guérie.
Quelques semaines plus tard, le jeune homme est revenu à la maison. Il a demandé: «Maman, a-t-il dit, tu sais quoi, ce qui me paraît étrange, a-t-il dit, c’est que je...eh bien–eh bien, comment t’es-tu si vite rétablie?»
31 Elle a dit: «Oh! chéri, j’ai à te raconter.» Elle a dit: «Cette femme qui passait par ici vendre du lait, a-t-elle dit, fréquente cette bande de saints exaltés par ici.» Elle a ajouté: «Sais-tu qu’ils croient à la guérison divine? Alors, ce pasteur est venu ici et m’a lu, a-t-elle dit, m’a lu la Bible, dans Marc 16: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.’ Et il a prié pour moi, il m’a oint d’huile, il m’a imposé les mains, et le Seigneur m’a guérie.»
Elle a dit: «Oh! gloire au Seigneur!»
Le jeune homme a dit: «Maman, c’est ridicule, a-t-il dit, tu ne devrais pas te mêler à cette bande de gens; eh bien, a-t-il dit, tu commences à agir comme eux.» Il a dit: «Ça–ça, c’est une honte.»
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, chéri, il a lu cela dans la Bible.»
«Eh bien, a-t-il dit, maman, au séminaire, nous avons appris que Marc 16, du verset 9 à la fin, n’est pas inspiré.»
Elle a dit: «Eh bien, alléluia!»
Il a dit: «Maman, qu’y a-t-il avec toi?» Il a demandé: «Qu’est-ce qui te prend?»
32 Elle a dit: «Eh bien, je pensais simplement au fait que si Dieu a pu me guérir avec une parole non inspirée, qu’aurait-Il fait avec Celle qui est inspirée?» Il a dit: «Combien, combien plus... (C’est vrai.) Si seulement il... Si une parole non inspirée a pu faire cela, que ferait Celle qui est réellement inspirée?»
C’est donc ça, mes amis; «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
Et quand Sa Vie a commencé dans le monde, nous voyons, pour examiner Sa Vie juste quelques instants, pour sonder Sa Vie... C’est depuis le jardin d’Eden que Dieu avait annoncé qu’Il L’enverrait. Ne le croyez-vous pas? Il a dit qu’Il mettrait inimitié entre la Semence de la femme et la semence du serpent, et c’est ce qu’Il a fait en Christ.
33 Alors, lorsque Jésus... Quand Dieu était sur le point de faire quelque chose ...
Avant de faire quelque chose, Dieu envoie toujours la miséricorde avant le jugement. Il avertit toujours. Et quand l’homme ne considère pas l’avertissement, tout ce qui reste, c’est le jugement. C’est vrai. «Si vous mourez dans vos péchés, vous ne pourrez pas venir là où Je suis.» Dieu envoie des prédicateurs et tout, et Il avertit, Il envoie Son Esprit et avertit les gens.
Or, avant d’envoyer Jésus, Dieu avait averti les gens pour préparer Sa Venue. Puis-je m’arrêter ici juste une minute pour dire ceci avec une profonde sincérité: Je crois que les choses que vous voyez se produire aujourd’hui dans le monde, c’est un avertissement: Jésus vient.
Là en Corée, les méthodistes, les baptistes et les autres ont un grand réveil; ils reçoivent le Saint-Esprit, parlent en langues, tiennent des services de guérison et tout le reste, en Corée. Attendez que la pression vienne, frère, elle vous poussera vers Dieu. Vous n’aurez pas à vous demander si vous êtes méthodiste ou baptiste; vous vous mettrez simplement à prier; Dieu s’occupera du reste. Mettez-vous simplement à... Priez simplement, approchez-vous de Dieu.
34 Un prédicateur qui vient d’en rentrer m’a dit, il a dit qu’il avait fréquenté ce groupe de gens. Il a demandé: «Eh bien, sont-ils tous pentecôtistes?»
On lui a répondu: «Il n’y a aucun pentecôtiste parmi eux.»
«Eh bien, regardez-les tous parler en langues et crier.»
Il a dit: «Ha! ha! C’est la pression qui les a simplement fait entrer là-dedans.» C’est tout. Ne vous en faites pas, Dieu le fera. Il l’exercera sur eux.
Nous pensons à: «Cette église-ci est nôtre, et cette église-là est nôtre.» Lorsque Salomon construisit le temple, les pierres étaient taillées dans le monde entier. Et lors de l’assemblage, une pierre était tournée comme ceci, et l’autre, comme cela, mais il n’y avait ni bruit de scie ni coup de marteau pendant quarante ans. Chaque pierre occupait exactement sa place, et le temple fut construit.
35 Il en sera de même à la Venue du Seigneur Jésus-Christ: ceux qui ont le coeur pur verront Dieu. Et la raison pour laquelle nous les constructeurs, nous n’arrivons nulle part, comme ceux de l’époque, c’est parce que nous avons rejeté la Pierre angulaire. Et c’est ça le problème aujourd’hui avec les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes, et tous: La Pierre angulaire, qui est Jésus-Christ, est rejetée. Nous avons toute notre théologie, la théologie et autres; nous parlons de ceci, de ce que notre église croit et de ce que notre église ne croit pas. Nous l’enseignons, nous inculquons cela et tout comme cela. Mais le baptême du Saint-Esprit et la puissance de Dieu pour affranchir les gens, ça, c’est rejeté. Et c’est cela la Pierre angulaire même qui bâtira l’Eglise qui ira à la Maison à la rencontre de Jésus. Alléluia! Je crois cela.
36 La Pierre angulaire est jetée dans un tas d’herbes. Ils ont construit leur église, et ils ont construit leur église; mais ils ont fini par découvrir un endroit inachevé, c’est là que convenait la pierre angulaire. Et aujourd’hui, là où toute la puissance, les signes et les prodiges ont été mis de côté, vous verrez que c’est là que le Saint-Esprit s’ajuste; car c’est Lui qui amène la puissance de Dieu dans l’Eglise. Amen.
Dieu avertit toujours. Juste avant la Venue de Jésus, Il a envoyé du Ciel un ange du nom de Gabriel. Eh bien, des anges mineurs viennent; oh! la la! oui, vous voyez les anges. Chaque personne a un ange gardien, selon les Ecritures. Jésus a dit: «Leurs anges voient continuellement la face de Mon Père qui est dans le Ciel.»
37 Il n’y a pas longtemps, un prédicateur me parlait, disant: «Frère Branham, voir les anges, ça n’existe pas. Ce ne sont pas les anges qui conduisent l’Eglise; c’est le Saint-Esprit.»
J’ai dit: «C’est vrai. Mais nous avons toujours des êtres angéliques, des esprits au service de Dieu, envoyés de la Présence de Dieu.»
Il a dit: «Eh bien, notre église ne croit pas cela.»
J’ai dit: «Je ne sais pas ce que croit votre église; je sais ce qu’enseigne la Bible.»
Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, peut-être que les anges ont existé là du temps de Daniel, jadis, mais pas depuis que le Saint-Esprit est venu; il n’y a pas d’anges.»
J’ai dit: «Croyez-vous que Philippe avait le Saint-Esprit?»
«Certainement.»
38 «Eh bien, qui est celui qui était venu lui dire de quitter ce très grand réveil qui était en cours pour aller au désert rencontrer l’Ethiopien? Etait-ce le Saint-Esprit? Non, non, c’était l’Ange du Seigneur qui alla vers lui.» Est-ce vrai? Philippe avait le Saint-Esprit. Combien croient que Pierre avait le Saint-Esprit? Vous tous. Eh bien, qui était-ce cette nuit-là, alors que Pierre était en prison et–et qu’on allait le décapiter le lendemain matin? Une réunion de prière se tenait chez les Jean-Marc. Qui était celui qui avait éclairé là-dedans, la Lumière de Feu qui était venue et s’était suspendue au-dessus de lui, l’avait touché, l’avait réveillé, avait fait tomber les chaînes, lui avait ouvert les portes et l’avait placé là dans la rue? C’était l’Ange du Seigneur. C’est exact. Pierre avait le Saint-Esprit.
Paul, ce grand saint, qui avait fait quatorze jours et quatorze nuits, sans lune, ni étoiles, sans aucun espoir d’être sauvé, descendit prier dans la galerie; il est sorti et a dit: «C’est pourquoi, prenez courage, car l’Ange de Dieu, dont je suis serviteur, m’est apparu hier la nuit; Il m’a dit: ‘Ne crains point, Paul.’» Est-ce vrai? L’Ange de Dieu.
39 Regardez sur l’île, là sur l’île de Patmos, tout le Livre de l’Apocalypse a été révélé par un Ange. «Moi, Jésus, J’ai envoyé Mon ange pour vous montrer les choses qui vont bientôt arriver.» Est-ce vrai? Tout le... Et Jean s’est mis à adorer l’ange. Mais un vrai ange ne se tiendra jamais là pour être adoré. Non, non. Il a dit: «Adore Dieu.»
C’est vrai. Oh! Il y a de faux anges, c’est vrai, tout comme il y a de faux esprits et ainsi de suite. Mais un vrai ange de Dieu vous pointera toujours Jésus-Christ. Oui, oui.
Paul a dit: «Si–si un ange du Ciel vient vous prêcher un autre Evangile que celui que vous avez déjà entendu, qu’il soit anathème.» Est-ce vrai? Veillez donc à ce que les anges enseignent. Si c’est conforme à l’Evangile, et que c’est de la pure doctrine, conforme à la Bible, alors croyez cela.
Ainsi, Dieu envoie toujours les êtres angéliques pour avertir le monde. Il... Je crois qu’il y a sur terre aujourd’hui des êtres angéliques qui avertissent le monde du jugement à venir. Je peux aborder ici un peu votre soucoupe volante pendant quelques minutes, et je ne voudrais pas prendre trop de temps. Mais de toute façon, avez-vous remarqué qu’avant la destruction de Sodome et de Gomorrhe, ce qui est un type parfait d’aujourd’hui, Dieu a envoyé des anges pour faire sortir Lot? Est-ce vrai?
40 Ecoutez, juste avant la venue du Juste, le Glorieux Fils de Dieu, Dieu avait envoyé un ange. Et cet ange est venu dans un foyer respecté. Si vous voulez que les anges visitent votre foyer, qu’il soit comme celui de Zacharie. Lui et Sara menaient une vie correcte devant l’Eternel, ils observaient toutes les ordonnances et tous les commandements de l’Eternel, ils vivaient en obéissant parfaitement à la Parole, suivant la Lumière qu’ils avaient. Et Zacharie, son office consistait à agiter de l’encens, brûler le parfum à l’autel pendant que les gens priaient. Et pendant qu’il agitait de l’encens, l’ange Gabriel s’est tenu à droite de l’autel, le grand Archange.
Or, les anges peuvent venir, mais lorsque vous entendez parler de la venue de Gabriel, soyez prêts, quelque chose d’important est en route. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus. Et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus. C’est vrai.
41 Remarquez, Gabriel est allé auprès de Zacharie et lui a dit... Ce dernier était avancé en âge, sa femme avait toujours prié pour avoir des enfants. Combien c’est différent d’aujourd’hui! C’est une honte pour notre pays, les gens sont en train de polluer le pays. Il n’y a rien qui cloche... Quelqu’un me demandait: «Frère Branham, pensez-vous que le communisme balayera l’Amérique et s’en emparera?»
Non, non. Je ne crois pas cela. Ce n’est pas le communisme qui nous fera du mal; c’est notre propre pourriture, en plein parmi nous, c’est ce qui nous fait du mal. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picote la pomme qui l’abîme, mais c’est le ver dans le trognon qui la fait pourrir. Et c’est la dépravation de nos propres moeurs parmi nous aujourd’hui: nos femmes qui fument la cigarette, boivent du whisky, les bars et autres sont pleins la nuit, les gens blasphèment et font des histoires; c’est ce qui nous tue. Ce sont ces églises par ici qui ont l’apparence de la piété, mais renient ce qui en fait la force; c’est ce qui nous tue. Amen. C’est exact.
42 Zacharie se tenait là... J’aimerais vous faire remarquer ceci. Il a dit: «Eh bien, après les jours de ce service-ci, rentre chez toi auprès de ta femme, elle concevra et enfantera un fils. Et tu lui donneras le nom de Jean.» Et considérez maintenant cet homme rude. Cela montre bien combien rudes les gens peuvent devenir. Il avait beaucoup d’exemples: Agar, Sara et les autres. Sara, à cent ans, a eu un enfant. Il a dit: «C’est impossible, ma femme est trop vieille.»
Il a dit: «Je suis Gabriel, je me tiens dans la Présence de Dieu. Mes paroles s’accompliront en leur temps. Mais toi, tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant.»
43 Oh! la la! Lorsque Dieu parle, tout le Ciel enregistre cela. Je vous assure, cela doit arriver. Peu importe combien ça paraît drôle et combien ça paraît déraisonnable, la chose arrivera de toute façon. En effet, Dieu a dit que ça arriverait. «Et Mes paroles s’accompliront en leur temps.» Après que les gens eurent constaté qu’il ne sortait pas, ils ont regardé et se sont demandé ce qui n’allait pas avec lui. Peu après, il est sorti, les gens ont vu qu’il était devenu muet. Il ne parlait pas, il–il leur a fait signe qu’il s’en allait. Il est rentré chez lui, et sa femme a conçu. Elle s’est cachée. Et puis, six mois plus tard... J’aimerais présenter ceci sous forme d’une petite scène.
Descendons à Nazareth, une mauvaise ville, pire qu’Evansville: mauvaise, vraiment, la pire des villes au monde. Et une petite vierge y habite. Peu importe à quel point une ville est mauvaise et comment les autres jeunes filles se comportent, et comment les autres hommes se comportent, vous pouvez être un chrétien n’importe où.
44 Remarquez, je la vois descendre aux sources des vierges. Dieu voulant, j’aimerais passer là les quelques prochains mois. Et puis, avec un–un grand récipient de type oriental sur la tête, la voilà aller puiser de l’eau; c’est le jour de la lessive. C’est le pire jour que j’aie jamais connu à la maison. Je continue même... Nous avons une machine à laver électrique; néanmoins, je déteste voir arriver le jour de la lessive à la maison. Et puis, maman faisait cela, là dans le Kentucky, nous avions une vieille chaudière, ou plutôt une vieille bouilloire placée dans la cour arrière. Combien se souviennent de ces vieilles bouilloires? Observez les campagnards. Eh bien, je vais maintenant enlever ma cravate; je me sens chez moi.
Observez, frère, oui, oui, une vieille bouilloire. Et je coupais du bois, je prenais cette bouilloire, la plaçais dessus et–et je faisais bouillir les habits. Et, oh! la la! cette vieille lessive à la maison, vous savez, on prenait ce vieux savon et tout, on nettoyait à la brosse sur une planche à laver, c’était un jour où les gens transpiraient.
45 Eh bien, je m’en souviens; après, on allait prendre la bouilloire en automne pour y préparer les confitures. Vous rappelez-vous cela? Je préparais des confitures. Et je me rappelle une fois, alors que je coupais un vieux caroubier, de vieux barreaux de clôture et autres, cherchant à faire bouillir suffisamment cette histoire; pour moi, cela semblait être assez chaud pour être mis en boîte. Ces petites vieilles tomates jaunes, vous savez, les tomates en forme de calebasse. Je... Saviez-vous que cela irait donc très bien aujourd’hui avec un biscuit chaud, un bon beurre blanc de campagne? Cela irait bien, n’est-ce pas? Oh! la la! Il me faudrait le dire, c’est–c’est un véritable aliment.
Et je me souviens que maman pouvait en prendre une très grosse bouilloire pleine pour les préparer. Et je coupais du bois et le mettais dessous. Je disais: «Maintenant, maman, ça a chauffé.»
Et elle disait: «Chéri, tu... Ça doit davantage chauffer.»
Et je disais: «Pourquoi cela doit-il davantage chauffer?»
46 Elle disait: «Ça doit chauffer jusqu’à éclater.» Que ça fasse pomp, pomp, pomp, comme ça. Je disais... disais: «Ça se ramollit.» Hein. Elle disait: «Continue simplement à mettre du bois. Ça va bientôt se ramollir suffisamment.» Elle disait: «Cela fusionne tout le jus et autres, et ça mélange tout le sucre avec le jus et les apprête pour la mise en conserve.»
Je me disais: «C’est presque pareil avec une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Continuez simplement à mettre du bois de l’ancien Evangile, frère, et laissez chauffer suffisamment cela jusqu’à avoir une réunion de témoignage, pop, poof, pop, poof, pop, comme cela. Cela expulse tout ce qui est du démon et fait que le Saint-Esprit mastique dans les gens comme cela, ça adoucit. Alors, vous avez un réveil à l’ancienne mode. Continuez simplement à mettre du bois, soufflez-y de toutes vos forces, éventez cela. Dieu s’occupera du reste. Cela ramollira la confiture et vous pouvez alors la mettre en boîte.» Oui, oui.
47 Je peux me souvenir de l’ange qui parlait à Gabriel, ou plutôt de Gabriel qui parlait au sacrificateur. Ce dernier est rentré chez lui et, environ six mois plus tard, voici venir Marie avec cette bouilloire sur la tête, ou plutôt la cruche d’eau, juste sur la route a brillé une grande Lumière, Elle a brillé depuis le ciel. Le grand Archange Gabriel est apparu, marchant dans cette Lumière-là; il a dit: «Je te salue Marie, tu es bénie entre les femmes.»
Eh bien, la salutation a un peu effrayé la petite vierge qui a reculé d’un bond, elle ne savait pas ce que c’était. Le grand Archange se tenait là devant elle: Il lui a tout dit sur la femme de Zacharie, Elisabeth, sa cousine. Jean et Jésus étaient des demi... étaient des cousins au second degré ou plutôt des cousins au premier... au second degré. Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Alors, l’ange lui a parlé de cela, disant: «Tu auras un Enfant sans avoir connu un homme.»
Elle a dit: «Comment cela se fera-t-il?»
Il a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre.» Et il a ajouté: «Le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»
48 Eh bien, j’aimerais vous faire remarquer la différence. Eh bien, frère, attachez votre antichoc, écoutez ceci. Là, c’est un prédicateur qui avait toutes sortes d’exemples du passé à prendre en considération qui n’a pas cru cela, qu’il allait vivre avec sa femme et que celle-ci allait enfanter un fils dans sa vieillesse, mais cette petite fille a dû croire quelque chose qui n’était jamais arrivé. Jamais un enfant n’était né par une naissance virginale. Et au lieu de poser des questions, elle a simplement pris l’ange au Mot et s’est mise à se réjouir.
Je vous assure, ce dont Evansville a besoin aujourd’hui, tout comme le reste du monde, c’est davantage de Marie qui peuvent prendre Dieu au Mot et se mettre à se réjouir Là-dessus. Eh bien, elle n’a pas attendu de ressentir la vie; elle n’a pas attendu d’être sûre et certaine. Elle a simplement pris Dieu au Mot. N’attendez pas pour dire: «Eh bien, lorsque ma main sera dans un état un peu meilleur, alors je croirai cela. Lorsque je pourrai bouger un peu plus mon pied...» Croyez cela maintenant et mettez-vous à vous réjouir. Alléluia! Prenez Dieu au Mot; cela accomplira exactement ce qu’Il a dit. Amen. Frère, je me sens comme un saint exalté maintenant même. Ecoutez, vous allez me taxer de cela de toute façon, alors, vous ferez tout aussi mieux de vous y mettre.
49 Oh! lorsque les gens prendront Dieu au Mot... Dieu a dit qu’Il vous guérirait. Croyez-le. Dieu a dit qu’Il vous donnerait le Saint-Esprit. Croyez-le. Dieu a dit qu’Il vous donnerait la Vie Eternelle. Croyez-le. Dieu a toujours Ses anges. Il a toujours Son homme. Il a toujours Son ministère. Il a tout, comme toujours. Et Il a quelqu’un qui croira Sa Parole.
Je peux voir la petite Marie aller çà et là, et dire: «Je vais avoir un Enfant sans connaître un homme. Je vais de toute façon L’avoir.»
«Oh! Marie.»Je peux voir le docteur dire: «Tsk, tsk, tsk, tsk, Marie, dis donc, sais-tu que tu–tu–tu vas commencer du fanatisme? Eh bien, on va te classer parmi les saints exaltés qui sont là si tu te mets à témoigner d’une telle affaire. Le même...»
«Eh bien, docteur, ça ne change rien, qu’on m’y classe donc ou pas, je vais de toute façon L’avoir, parce que Dieu l’a dit.» Amen. C’est réglé. Comme c’est Dieu qui l’a dit, ce–c’est le fil à plomb.
Très bien. Je peux la voir maintenant aller à la campagne. Oh! la la! Elle va rencontrer sa cousine; elle a eu de ses nouvelles. Vous savez, elle voulait savoir comment ça allait là. Elle est donc allée là loin à la campagne rencontrer Marie, ou plutôt Elisabeth. Et Elisabeth s’était donc cachée pendant six mois. Et l’enfant n’avait pas encore de vie. Alors, quand elle a vu Marie venir... Oh! Je peux voir Marie courir; elle était très heureuse, car elle allait avoir un Enfant, il n’y avait ni signe ni rien, mais elle croyait cela de toute façon.
50 Elle est donc allée rencontrer Elisabeth. Et Elisabeth est sortie à sa rencontre, vous savez, et elle l’a entourée de ses bras, je me le représente, elle s’est mise à l’étreindre, à l’embrasser, en disant: «Oh! Marie, je suis très contente de te voir, chérie», et elles se sont embrassées.
C’est ce que faisaient les femmes. Les hommes avaient l’habitude d’avoir une bonne communion. Mais cela a disparu quelque part. C’est vrai. Nous n’avons plus d’amour les uns envers les autres, nous n’avons plus d’affection les uns envers les autres. Eh bien, l’unique moyen pour vous de savoir que votre voisin est mort, c’est de le lire dans un journal; il n’y en a pas d’autres. C’est vrai. Personne n’éprouve de l’affection pour l’autre. Eh bien, là dans le Kentucky, lorsque quelqu’un était malade, nous avions l’habitude d’aller l’aider à éplucher le maïs, couper du bois et tout. On n’en sait plus rien. Personne n’en sait rien. L’amour fraternel semble disparaître. C’est vraiment dommage.
51 Je peux voir Marie et Elisabeth s’embrasser. Je vais raconter ceci concernant mon épouse. Je ne l’ai pas encore repérée; elle est assise quelque part là. Il n’y a pas longtemps, elle allait en ville, nous nous promenions dans la rue, et une certaine jeune fille lui a dit: «Salut, soeur Branham.»
Et je–je ne l’ai point entendue dire quoi que ce soit. J’ai dit: «Cette jeune fille-là s’est adressée à toi.»
Elle a dit: «Je lui ai répondu.»
J’ai dit: «Eh bien, je ne t’ai pas entendue parler.»
Elle a dit: «Eh bien, j’ai souri.»
52 Un petit sourire creux...Vous savez quoi? J’aime une bonne poignée de main, à l’ancienne mode, avec pompe, comme ça, à la méthodiste, frère, avec coeur.
Paul Rader disait qu’une fois sa femme et lui avaient eu une petite prise de bec, une dispute, ou quelque chose d’autre. Il a dit qu’il était assis à table en train de lire le journal, qu’il embrassait toujours sa femme pour lui dire au revoir en franchissant la porte pour sortir. Et il a dit qu’il s’était levé ce matin-là, s’était dirigé vers la porte, et il a dit que sa femme s’était tenue à la porte, la tête baissée; il a dit qu’elle avait les lèvres glissées, il l’avait embrassée. Il a dit qu’elle se levait toujours quand il franchissait la porte pour sortir, alors, lui fermait la porte, se retournait pour lui dire au revoir. Il a dit que ce matin-là, il s’était retourné pour lui dire au revoir.
Elle a répondu: «Au revoir.»
«Il a fait quelques pas dans la rue et s’est mis à y penser.» Il a dit: «Tu sais quoi? Et si quelque chose m’arrivait aujourd’hui? Et, tu sais, le Seigneur ne veut pas que j’aie de tels sentiments.» Il a dit: «Peut-être que j’étais en erreur.»
53 Il s’est mis à y penser juste comme... Oh! Cela l’a tellement dérangé qu’il est rentré chez lui, il a franchi le portail, et s’est précipité vers la porte. Quand il a ouvert la porte, sa femme était derrière la porte, pleurant. Alors, il a juste... Il n’a jamais dit un mot, il l’a simplement regardée, l’a retournée, l’a soulevée en la serrant, l’a embrassée, et a dit: «Au revoir.»
Elle a répondu: «Au revoir.»
Il s’est dirigé vers la porte, l’a refermée en disant: «Au revoir.»
Elle a répondu: «Au revoir.»
Il a dit: «La seule différence, c’était que, cette dernière fois, le coeur y était.» C’est ça.
Frère, c’est ce que je pense concernant la religion. Le coeur doit y être; il doit y avoir quelque chose là-dedans, quelque chose de positif, quelque chose de réel, quelque chose qui vous fera savoir et sentir que Dieu est proche, que cet homme est notre ami, qu’il est notre frère, c’est–c’est de l’amitié.
54 Je peux voir Marie et Elisabeth là-bas, vous savez, se tapant bien des bons moments de réjouissance. Je peux entendre Marie dire: «Oh! Elisabeth, je suis très contente. Te voici une femme avancée en âge et tu vas avoir un enfant.»
«Et oui.» Je peux entendre Elisabeth dire: «C’est vrai. Mais tu sais, Marie, je suis un peu inquiète. Je me suis cachée ça fait maintenant six mois, car, tu sais, l’enfant n’a pas encore de vie.» Eh bien, c’est anormal. J’aimerais vous faire remarquer donc la première chose que... au sujet de Jésus. C’est anormal. Environ deux ou trois mois, il y a la vie.
Elle a dit: «Mais c’est déjà le sixième mois et il n’y a pas encore de vie.» Eh bien, elle s’inquiétait à ce sujet. Et alors, Marie a dit: «Tu sais, Gabriel m’a rencontrée, et Il–Il m’a couvert de Son ombre et a dit que j’allais avoir un Enfant sans connaître un homme.» Et elle a ajouté: «Il m’a dit que je Lui donnerai le Nom de Jésus.»
55 Et aussitôt qu’il a dit... qu’elle a dit: «Jésus», le petit Jean a reçu la vie, il s’est mis à tressaillir de joie dans le sein d’Elisabeth. Frères, la toute première fois que le Nom de Jésus-Christ a été prononcé par les lèvres d’un mortel, ce Nom a donné la vie à un enfant mort. Que devrait-Il faire à une Eglise née de nouveau, née de la puissance de Dieu, si la première fois que ce Nom a été prononcé a donné la vie à un enfant? Et cet enfant n’a pas seulement reçu la vie, mais il a reçu la Vie Eternelle, il a reçu le baptême du Saint-Esprit dans le sein de sa mère. Alléluia! Oh! je me sens religieux!
Ecoutez, frère, je vous assure, lorsqu’il a prononcé ce Nom, lorsque cette maman a prononcé ce Nom, Jésus, Elisabeth a reçu le Saint-Esprit à l’instant même. Elle a dit: «Comment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi?» Elle a dit: «Aussitôt que ta salutation a frappé mes oreilles, l’enfant a tressailli de joie dans mon sein.» Alléluia!
56 Je vous assure, frère, si c’est ce que ce Nom a fait à un enfant mort, que fera-t-Il à un homme ou à une femme malades nés de nouveau de l’Esprit de Dieu? Il donnera aussi la Vie. Il ôtera chaque fois la mort et apportera la Vie. Ce glorieux et merveilleux Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ, oh! comme Il était merveilleux!
Oh! je souhaiterais avoir le temps, mais notre temps s’écoule vite. Dépêchons-nous. Venons-en au fait ici juste une minute. Lorsque ce drôle de petit enfant, Jean, est né, il n’est pas allé au cimetière, ou plutôt au séminaire, c’est le même endroit, c’est la même chose. J’ai toujours déploré un prédicateur issu du séminaire autant qu’un poulet issu de la couveuse. Il ne fait que gazouiller, gazouiller, gazouiller, et il n’a pas de mère auprès de qui aller. Il a été éclos de façon mécanique.
57 C’est ça le problème de beaucoup de ces amis aujourd’hui, vous ne connaissez rien au sujet de Dieu et ne... vous reniez la puissance de la guérison et la puissance de Dieu, c’est parce que vous n’avez pas un véritable père auprès de qui aller. Vous avez un séminaire qui vous soutient. Je préférerais plutôt que le Saint-Esprit me soutienne à chaque instant même si le monde entier est contre moi. Lorsque Dieu confirmera Sa Parole par des signes et des prodiges qui L’accompagneront, cela montrera d’où vous venez. Amen. Amen.
«Amen» signifie «ainsi soit-il.» Que personne n’ait peur. Je n’ai pas encore fait du mal à quelqu’un avec ça. Je bave beaucoup ici, mais je me régale de beaucoup de nouveaux raisins de Canaan; c’est ce qui me fait baver, vous savez. Ainsi, je... c’est comme un cheval qui broute du trèfle.
Mais, écoutez, frère, je sais où je me tiens. Je ne suis pas excité. Je sais bien où je suis... où je me tiens. Je ne blesse donc pas les gens, tenez-vous simplement là, ouvrez vos coeurs et plongez-y. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre.
58 Lorsque j’étais jeune, nous allions souvent nager. Et, généralement, j’avais moins d’habits que tous les autres, je n’avais qu’une salopette avec une ficelle et un clou servant de bouton. Avez-vous déjà porté ça, vous tous les jeunes gens de la campagne? Nous nous mettions tous à courir et, vous savez, c’est à peine qu’on savait qui serait le dernier à entrer dans l’eau. J’étais toujours le premier, parce que je n’avais pas à me déchausser. Je n’avais pas de chaussures à enlever. Tout ce que j’avais à faire, c’était tirer un clou. Les habits s’envolaient en l’air et j’étais dans l’eau. Alors, ils regardaient pour voir ce que je... ce que... comment était l’eau. Si l’eau était froide, je levais un doigt, c’est que c’était froid. Si je levais deux doigts, c’est que c’était bon, entrez-y. Les habits s’éparpillaient alors partout. Tout le monde se jetait dans l’eau.
Et, frère, je vous le dis donc à vous qui n’avez jamais été dans une piscine, j’ai mes deux doigts levés; c’est vrai. Plongez-y, vous verrez. Vous verrez que c’est merveilleux. Les gens se baignent dans l’Esprit de Dieu, le Saint-Esprit, la puissance qui sanctifie, purifie et guérit. Oh! c’est merveilleux! Amen.
59 Remarquez, oh! je peux me souvenir de Jean, lorsqu’il est né. Quel genre d’enfant il a dû être! Il n’est pas allé au séminaire, mais il est allé dans le bois, en plein air, et il est resté avec Dieu. Au lieu d’étudier la généalogie, il est allé sur ses genoux, et il a appris la genoulogie. Il savait de quoi il parlait. Il est sorti du désert, frère, avec un... pas en smoking, avec le col tourné vers l’arrière, mangeant du poulet grillé trois fois par jour. Non, non. Ce jeune homme est apparu revêtu d’une large peau de brebis comme ça. Mais il prêchait la repentance.
Alléluia! Et il a prêché un message qui a secoué toutes les contrées tout autour du Jourdain.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui à Evansville et partout ailleurs, c’est des prédicateurs baptistes qui prêcheront comme cela, qui ne feront pas de compromis avec le péché (C’est vrai), qui prêcheront l’Evangile.
60 Le vieux Hérode passait là avec la femme de son frère Philippe. J’entends quelqu’un dire: «Ne prêche pas sur le mariage et le divorce.»
Jean pointa son doigt droit au visage d’Hérode et lui dit: «Il ne t’est pas permis de la prendre.» Alléluia!
Comment un homme qui avait le baptême du Saint-Esprit pouvait faire autre chose que condamner le péché, quand cela est apparu devant lui? Fiou. Je me sens bien. Ecoutez, frère, laissez-moi...
«Oh! direz-vous, je suis fou. Si je... Laissez-moi tranquille si je le suis; je passe de bons moments. J’ai perdu l’esprit du monde pour trouver Christ. Oui, oui. C’est toujours de la folie aux yeux du monde, mais cela ne change rien; combien stupide ça paraît aux yeux du monde, je m’en réjouis. Je vais vous dire une chose: je passe un moment de loin meilleur à me réjouir, jouissant de bonne santé, étant prospère et tout avec ce genre d’Esprit, que celui que je passais quand j’avais le genre d’esprit qu’a le monde. Amen.
61 Très bien. Considérez le petit Jean. Je peux le voir debout là, prêchant simplement. Oh! la la! comme il mettait la cognée à la racine de l’arbre. Tout arbre qui ne portait pas du bon fruit était coupé et jeté au feu. Fiou! Quel prédicateur baptiste! Frère, c’était un baptiste ayant le Saint-Esprit. Oui, oui, il prêchait vraiment la Chose. Et il n’avait pas reçu Cela quand il a cru. Il L’a reçu par la grâce imméritée. C’est tout à fait vrai. C’est ainsi que toute autre personne Le reçoit. Ce n’est pas lorsque vous croyez, mais «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Le don de Dieu, c’est la Vie Eternelle. Le baptême du Saint-Esprit descend et opère des signes et des prodiges. Amen.
Oh! combien je L’aime! Oh! comme Dieu a toujours tenu Sa Parole! Dieu tiendra toujours Sa Parole, pas à quatre-vingt-dix-neuf pour cent, mais à cent pour cent. Dieu tiendra Sa Parole.
62 Je me souviens d’Israël, quand il était là dans le voyage, à la sortie de l’Egypte, il allait dans la Terre promise. Dieu avait promis de prendre soin d’eux. Il est tenu de faire exactement ce qu’Il a promis. Je pense que lorsqu’ils ont traversé cette mer-là, sans rien à manger, sans endroit–sans endroit où aller, ils sont simplement sortis sur la seule base de la Parole que Dieu avait prononcée par Son prophète, disant qu’Il prendrait soin d’eux. Et ils se tenaient là de l’autre côté, les chefs de corvées, complètement morts, gisant dans la mer. Quel glorieux moment!
Il n’y a pas longtemps, je prêchais sur Les deux Arbres de l’Eden, et je disais que c’était une bande de saints exaltés. Et quelqu’un m’a repris, disant: «Voulez-vous me dire que le grand prophète Moïse était un saint exalté?»
J’ai dit: «Bien sûr que oui. Il était certainement un saint exalté.»
«Eh bien, Frère Branham, c’est ridicule.»
63 J’ai dit: «J’aimerais vous dire quelque chose. Après qu’il eut traversé la mer Rouge, qu’il eut vu toutes ces choses bizarres qui l’avaient contraint, qui faisaient faire à ces gens ce qu’ils ne voulaient pas faire, les poussaient dans de sales habitudes bizarres, des spectacles et tout le reste, un tas d’histoires, ça vous fait faire des choses que vous ne voulez pas faire... Au fin fond de votre coeur, vous savez que ce n’est pas correct de le faire. Vous sortez faire des histoires, vous en devenez juste un esclave. Et quand Moïse les a vus tous noyés dans la mer Rouge, il a levé les mains et s’est mis à chanter en Esprit. Alors, Miriam, sa soeur, la prophétesse, a pris un tambourin, s’est mise à danser et à courir le long de la rivière, dansant en Esprit, et toutes les filles d’Israël l’ont suivie. (Amen.) Si ce n’était pas là une réunion de saints exaltés, ce que je n’en ai jamais vu une.» Amen. Amen.
64 Cela me rappelle ce que j’avais dit ici il n’y a pas longtemps, ici, alors que j’étais de passage. J’aime aller chasser, parce que j’aime simplement me retrouver seul dans les bois. Un soir, je suis passé par un endroit, là dans la Colombie-Britannique, il y a de cela environ deux ans. Je chassais, et là, je m’étais perdu. Et cet endroit bizarre était à 1100 miles [1.770 km] de la grand-route. On était monté sur un groupe de chevaux, et je chassais l’ours grizzly. Donc, je m’étais égaré là quelque part, et je ne savais quel chemin prendre. J’ai donc pensé: «Eh bien, Seigneur, aide-moi à retourner, C’est Toi–Toi qui es avec moi.»
Je chevauchais là et il faisait sombre. Je suis arrivé à un endroit où il y avait des arbres abattus par le vent, ou plutôt brûlés par le feu; c’était un grand tas d’arbres très hauts. Et–et la lune brillait. Et si jamais vous parlez d’un lieu hanté, vous devriez aller à l’un de ces endroits. Hum! C’est pire qu’un séminaire.
65 Alors, on arrive là, vous savez, il y avait tous ces très grands vieux arbres hantés, on dirait, et alors, tout d’un coup, vous savez, un vent violent a soufflé, un vent impétueux venant des cieux; et quand il a atteint ces vieux arbres, cela les a rendus plus hantés que jamais. Ils ont commencé à faire: «Hum, ohhh.» Je me suis dit: «Oh! la la!» Oh! j’ai dit: «Eh bien, que sais-tu? Regarde ces grands vieux arbres, pourquoi ils ne... Eh bien, ils se tiennent simplement là, droits et raides, tu sais, immobiles.» Et quand le vent soufflait, ils faisaient... [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.]
Alors, je me suis souvenu de Joël, là où il est dit: «Ce qu’a laissé le gazam, le hasil l’a dévoré; ce qu’a laissé le hasil, la sauterelle l’a dévoré», ainsi de suite. Et il m’est arrivé de penser à la prophétie de Joël. C’est vrai. Ce que l’un a laissé, l’autre l’a dévoré. Mais je me disais que c’était un très mauvais tableau, jusqu’à ce que j’ai pensé au chapitre 3 de Joël, là, Dieu dit: «Je restaurerai, dit l’Eternel.»
66 Je pensais: «Seigneur, où est-ce que cette partie apparaîtra?» Il m’est arrivé de regarder vers le bas, et ce vent est descendu encore là. J’ai arrêté mon cheval, j’agissais vraiment comme un saint exalté, je criais de toutes mes forces là-même allant simplement de l’avant, les mains en l’air, glorifiant Dieu. Alors, il m’est arrivé de regarder le cheval, tout, avec ses oreilles; il me regardait, se demandant: «Quoi diantre se passe avec lui?» Et je ne faisais que courir tout autour de l’arbre, criant et louant simplement le Seigneur; je passais de bons moments, parce que j’avais vu quelque chose.
Je regardais ces immenses vieux arbres debout là, je me suis dit: «Oui, c’est juste comme ces vieilles et grandes églises imposantes qui sont là, et chaque fois Dieu envoie un vent impétueux comme au jour de la Pentecôte, elles... Tout ce qu’elles pouvaient faire, c’était se tenir là comme une vieille grosse pierre tombale, faisant: «Hmm, les jours des miracles sont passés. Hmm, la guérison divine n’existe pas. Hmm, c’est le saint exalté. Hmm, n’ayez rien à faire avec cela. Hmm», ne faisant que gémir, gémir, gémir. C’est tout.
67 Je me suis dit: «Eh bien, ô Dieu, pourquoi as-Tu tout de même envoyé ce vent?» Alors, j’ai entendu cela revenir. Et il m’est arrivé de regarder, il y avait un tas de sous-bois qui poussaient, un tas de petits arbres bizarres. Lorsque ce vent a frappé ces arbres, eux étaient pleins de Vie et flexibles. Ils s’inclinaient et se réjouissaient. J’ai dit: «Une réunion de saints exaltés se tient là; la voilà, là même en bas maintenant. ‘Je restaurerai, dit l’Eternel.’» Oui, oui.
Ils... Personne ne peut dire qu’elles ne sont pas des églises; là, personne ne peut dire... Mais, frère, il n’y a point de vie en elles. Ce que les méthodistes ont laissé, les baptistes l’ont dévoré; et ce que les baptistes ont laissé, les presbytériens l’ont dévoré; ce que les presbytériens ont laissé, les luthériens l’ont dévoré. Frère, ils ont détruit cela, l’un a ôté la guérison, l’autre a ôté le parler en langues; l’autre a ôté toutes ces autres choses, jusqu’à ce qu’on n’a qu’une vieille histoire guindée qui ne croit rien de ce que dit la Bible. Alléluia! C’est vrai.
68 Frère, Dieu a dit: «Je restaurerai.» Alléluia. Juste en bas pousse un groupe de saints exaltés qui étaient verts et flexibles au possible. On disait: «Eh bien, vous n’avez pas d’instruction.» Je suis tout aussi vert que la gourde, mais je peux certainement réagir au vent. Amen. Lorsque Dieu envoie le vent, j’aime gambader avec. Qu’on dise que vous êtes fou, ça m’est égal, je suis assez vert pour gambader au vent. Lorsque l’Esprit souffle, adonnez-vous simplement–simplement à Cela. Dites... Le Seigneur a dit: «J’envoie un réveil, la puissance du Saint-Esprit.»
«Je le crois, Seigneur, je le crois.» Je me réjouis simplement.
«Je suis l’Eternel qui te guérit.»
«Je le crois, Seigneur, je le crois.» Amen. Fiou. Je souhaiterais avoir le double de ma taille. Peut-être que je me sentirais deux fois mieux. Frère, si c’était le cas, je ne sais pas comment je retiendrais cela.
69 Oh! Certainement, oui, oui. Dieu tient Sa Parole. Il a tenu Sa Parole pour Moïse. Il La tient toujours. Et je pense à cette nuit-là lorsqu’ils sont entrés là, ils n’avaient pas de pains. Le peu de pains qu’ils transportaient sur la tête, dans cet abreuvoir, était complètement épuisé le jour suivant.
La journée entière, ils n’avaient rien à manger. Lorsqu’ils sont allés dormir, ils n’avaient pas à s’inquiéter. Il n’y avait rien à manger, il n’y avait pas de champs de maïs où entrer. Il n’y avait pas d’endroit où semer le maïs, il n’y avait qu’un grand et vieux désert, même pas un brin d’herbe. «Comment aurons-nous quelque chose à manger?»
Ce n’est pas votre affaire; c’est l’affaire de Dieu. Il a dit: «Je prendrai soin de vous. Je suis l’Eternel. Je suis Jéhovah-Jiré, le Seigneur a pourvu à un sacrifice. Je frayerai une voie là où il n’y en a pas. Je suis le Chemin.»
Très bien. Le lendemain matin, lorsqu’ils sont sortis, il y avait du pain partout sur terre: La manne. Est-ce vrai? Ils ont ramassé cela et se sont mis à manger. «Hm! ont-ils dit, ça a le goût du miel.» En avez-vous déjà goûté? Eh bien, c’était le début du pèlerinage de la première Eglise dans le naturel.
70 Maintenant, considérez le début du pèlerinage de la deuxième Eglise dans le spirituel. Le jour de la Pentecôte, ils sortirent de leurs églises, de partout. Tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, apparurent sur chacun d’eux. Observez...?... Oh! la la! Tout d’un coup, vous savez, la puissance de Dieu vint sur eux, ils oublièrent qu’ils étaient méthodistes, baptistes, que sais-je encore, ils sortirent dans les rues, se mirent à crier et à tituber; Marie était du nombre. Et tout le reste ne faisait que crier et danser sous la puissance de Dieu, agissant comme une bande d’ivrognes. La Bible dit que c’est ce qu’ils ont fait.
Et ces vieux et grands pharisiens empesés se tenaient là, en disant: «Ces gens sont pleins de vin doux.»
Pierre s’est levé au milieu d’eux et a dit: «Hommes Israélites, et vous tous qui séjournez en Judée, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles! Ces gens ne sont pourtant pas ivres comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour, c’est ici ce qui.»
71 Si ceci n’est pas ce qui, je vais garder ceci jusqu’à ce que ce qui vienne. Amen. Oui, oui. Il a dit: «C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël. Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair: vos fils et vos filles prophétiseront, sur Mes servantes et Mes serviteurs, Je répandrai Mon Esprit, Je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel, en bas sur la terre», et ainsi de suite.
Quand ils s’y sont pris comme cela, la Manne ne faisait que se déverser sur ce vieil apôtre. Oui, oui. Ils ont demandé: «Que pouvons-nous faire?»
Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
Qu’était-ce? Cette manne originale qui tombait jadis, chaque fois qu’on essayait d’en garder une quantité, était contaminée d’asticots. C’est ça le problème avec beaucoup de nos églises pentecôtistes aujourd’hui, elles sont devenues stagnantes, bourrées d’asticots, elles osent dire: «Eh bien, le Seigneur m’a donné le Saint-Esprit il y a dix ans.» Qu’en est-il d’aujourd’hui? C’est vrai.
72 Frère, nous ne pouvons pas allumer un feu deux fois au même endroit; avançons. Dieu a autre chose pour nous. Ne le croyez-vous pas? Il a dit à Aaron, Il a dit: «Sors là et ramasse deux omers pleins de manne, beaucoup d’omers, et amène cela dans le lieu très saint, nous la conserverons là; et, dorénavant, tout homme dans le sacerdoce, qui commence le sacerdoce, peut entrer prendre une bouchée de la véritable manne originelle tombée ce jour-là, le premier jour.»
Oh! quel type c’était de la Pentecôte... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] vient de Dieu. Maintenant, ils veulent le baptême du Saint-Esprit, les murs sont tombés, et vous n’avez pas seulement une poignée ou une bouchée, vous pouvez avoir un coeur plein de la véritable Manne qui était tombée le jour de la Pentecôte, le baptême du Saint-Esprit: pas un semblant, mais le... Quelque Chose d’original, Quelque Chose de véritable avec les mêmes signes, les mêmes prodiges et tout, qui était tombé le jour de la Pentecôte. Nous Le recevons encore lorsque Dieu nous baptise du Saint-Esprit.
73 Jusqu’à quand cela devait-il durer? Cette manne tombait jusqu’au moment où ils sont entrés dans la Terre promise. Et le Saint-Esprit est ici depuis le jour de la Pentecôte, et Il restera avec nous jusqu’au jour où nous entrerons dans la Terre promise. Amen. C’est ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui. Oui, oui. Pas de beaucoup de membres, nous avons tous eu un million de plus en ’44, et tous ces différents slogans, nous faisons entrer les gens, leur serrons la main, les introduisons dans le baptistère, les baptisons et les faisons sortir. Ils vont dehors, fument la cigarette, vont aux spectacles et aux danses. Eh bien, le cochon retourne à son bourbier et le chien à ce qu’il a vomi. C’est vrai. C’est assez fort; ce n’est pas du lait écrémé.
Mais laissez-moi vous dire quelque chose, frère: Ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil à l’ancien temps, à la saint Paul, et le Saint-Esprit de la Bible; c’est ce dont nous avons besoin.
74 Cela me rappelle, il n’y a pas longtemps, j’étais dans une petite vieille... Eh bien, ça fait longtemps. Beaucoup de gens passaient, je me suis dit: «Eh bien...» J’avais vu une vieille tortue d’eau douce, et cette bête était l’une des plus drôles. Il a fait... à mon frère et à moi, elle faisait de ces grandes enjambées comme cela. Lorsque je me suis approché d’elle, elle s’est retirée et j’ai fait: «Schu», elle a reculé en traînant les pattes. Cela me rappelle beaucoup de ces gens qui ne peuvent pas accepter cela. On se met à lui prêcher l’Evangile, et il dira: «Je ne rentrerai plus jamais à cet endroit-là, non, non. Non, je ne peux pas le faire.» Il ira de l’avant et s’enfermera.
J’ai dit: «Je vais la faire marcher.» Je suis allé prendre un morceau de bois et je voulais la taper à mort. Elle ne voulait pas sortir. Vous ne pouvez pas la taper là à l’intérieur.
J’ai dit: «Je vais m’occuper d’elle.» Je l’ai prise par la carapace comme ceci, je l’ai amenée dans un petit cours d’eau et je l’y ai plongée. Il y eut juste quelques bulles qui sont montées; c’était tout. Elle est simplement restée dans la carapace.
75 Frère, vous pouvez le baptiser comme ceci, comme cela, vers l’avant, vers l’arrière, deux fois, trois fois, tout ce que vous voulez, il descendra juste un pécheur sec et se relèvera un pécheur mouillé. Pas de changement, il y a tout autour quelques bulles qui se formeront et s’éclateront, mais il n’est pas changé, non.
Savez-vous ce que j’ai fait? J’ai pris un morceau de papier, un tas de bois, j’ai allumé un feu et je l’ai déposée dessus. Frère, elle a alors marché. Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui, ce dont j’ai besoin aujourd’hui, ce dont l’Eglise a besoin, ce n’est pas de discuter sur le baptême, de discuter sur telle église ou telle autre, ce dont nous avons besoin, c’est de l’effusion du Saint-Esprit et du feu; les gens marcheront lorsque Dieu déversera le Saint-Esprit sur eux, ils sortiront et se mettront en action; ne vous en faites pas. Amen. C’est vrai.
Oh! la la! Je vois Jésus revenir. Oh! la la! Notre temps s’épuise carrément. Je ne sais pas, peut-être que je suis bien verbeux. Mais, observez, frère, lorsque je peux Le voir ici en ce moment de notre texte, Il avait été obligé de quitter la maison parce que Son ministère était devenu très grand. Mais lorsqu’Il a quitté la maison, la maladie est entrée.
76 Permettez-moi de vous dire quelque chose ici aujourd’hui, chrétiens: Lorsque Jésus quitte votre maison, il y aura la maladie, ne vous en faites pas. Des ennuis sont en route lorsque vous chassez Jésus. Lorsque vous placez un jeu de cartes là au lieu d’un lieu secret de prière–prière, vous placez une table pour les cartes, ça y est, des ennuis sont en route. C’est vrai. Lorsque vous prenez certains de ces vieux magazines de récits d’amour, vous les mettez là à la place de la Bible, des ennuis sont en route. Ne vous en faites pas. Oui, oui. Lorsque vous cessez d’aller à l’église et que vous explosez parce que le prédicateur vous a dit que ce n’est pas digne pour une dame de porter des shorts, vous êtes en route; ne vous en faites pas, des ennuis sont en route. Continuez simplement, et vous verrez.
77 Dans ce cas-ci, Jésus n’avait pas été chassé, mais à cause de Son ministère, Il était parti plus loin parce que le Père Lui avait dit en vision de partir. Des ennuis ont commencé: Lazare est tombé malade. Les historiens nous racontent que–que Lazare eut des complications pulmonaires. Les médecins ne pouvaient rien pour lui. Alors, on a envoyé chercher Jésus pour qu’Il vienne prier pour lui. Pensez-vous qu’Il était venu? Non, non, Il a poursuivi Son chemin.
Eh bien, on a de nouveau envoyé chercher. Il n’est pas venu; Il a poursuivi Son chemin. Eh bien, si c’était vous, frère, vous auriez quitté les méthodistes pour rejoindre les baptistes, vous auriez amené votre lettre là-bas. «Je ne perdrai plus mon temps avec ce vieux pasteur.» Vous seriez parti de chez les pentecôtistes vers les nazaréens. «Je–je ne vais plus perdre mon temps avec ces vieux.» C’est pour cette raison que Dieu ne peut rien faire pour vous. C’est vrai.
78 Vous trimbalez votre lettre de lieu en lieu, au point qu’elle est tout usée. Pourquoi ne faites-vous pas inscrire une fois votre nom dans le registre du Ciel, frère? Il y restera, voyez-vous. C’est vrai. Vous n’aurez pas à trimbaler votre lettre pour dire: «J’entre ici avec une lettre de confession de foi.» La confession de foi; le diable lui-même croit et tremble. Ce n’est pas un signe que vous êtes né de nouveau. Ce n’est pas un signe que vous êtes un chrétien. Tant que vous n’êtes pas rempli de l’Esprit de Dieu, vous êtes toujours dans les ténèbres. C’est vrai.
Remarquez, Il était là. La confession de foi; il a trimbalé la lettre de lieu en lieu. Frère, si ce n’est pas là une disgrâce, c’est que je ne sais rien. Vous avez besoin que votre nom soit inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. Alors, Dieu prendra soin du reste. Ne le croyez-vous pas? Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un de ces grands réveils à l’ancienne mode.
79 Quelque chose me vient à l’esprit à ce sujet, c’est la tortue, cela me vient à l’esprit. Une fois, oh! j’ai attrapé une tortue avec l’hameçon; je lui ai coupé la tête. C’était un lutjanidé. Je ne voulais pas retirer l’hameçon, je l’ai simplement jetée sur la rive. Mon jeune frère est venu là, au bord de l’étang, et m’a demandé: «Qu’as-tu attrapé Bill, il y a quelque temps?»
Et j’ai répondu: «Une tortue.»
Il a dit: «Qu’en as-tu fait?»
J’ai dit: «Je l’ai tuée.» J’ai dit: «Je vais l’apporter aux noirs, là-bas, qui font la soupe à la tortue, on va prendre...» C’était une énorme bête là. C’était...
Il a demandé: «Est-elle morte?»
J’ai dit: «Certainement.»
Il a dit: «Eh bien, elle n’a pas de tête.»
J’ai dit: «Non, sa tête est là derrière.»
80 Il est allé là où se trouvait la tortue, Il avait un bâton qu’il a placé là. Et une vieille tortue, vous savez, mord après que sa tête a été coupée; elle avait la tête relevée comme ceci, et mon jeune frère a fait descendre ce bâton, et elle a... [Frère Branham frappe les mains.–N.D.E.] mordu. Il a dit: «Dis donc.» Mon jeune frère a dit: «Je pensais que tu l’avais tuée.»
J’ai dit: «Je l’ai décapitée.» J’ai dit: «Je pense qu’elle est morte.»
Il a encore enfoncé ce bâton, elle y a de nouveau... [Frère Branham frappe les mains.–N.D.E.] mordu. Il a dit: «Elle est bien morte, mais elle ne le sait pas, n’est-ce pas?»
C’est ça le problème avec beaucoup de gens aujourd’hui. Ils sont morts, mais ne le savent pas. Frère, Jésus-Christ vous rendra la vie. C’est vrai. Oh! combien c’est glorieux!
81 Je Le vois entrer maintenant dans la ville, triomphant, Il s’était absenté. Maintenant, Il est sur Son chemin de retour. Et voici la petite Marthe. Lazare avait déjà été enterré. Il était mort ça faisait quatre jours, il pourrissait déjà, ou était infecté, je ne sais comment vous voulez appeler cela. Mes enfants comprendraient mieux cela si je disais «pourri», c’est donc ce qu’il en était. Son corps était pourri, on l’a donc simplement amené, enseveli et couvert, et ils sont rentrés. Quatre jours plus tard, il n’y avait plus d’espoir, c’était l’heure la plus sombre que cette petite famille ait jamais vécue. Alors, tout d’un coup, vous savez, ils ont appris que Jésus venait.
C’est Son genre, n’est-ce pas? A l’heure la plus sombre, alors Jésus vient. En a-t-il été ainsi pour vous? Quand j’étais étendu là à l’hôpital, à Louisville, dans le Kentucky, à l’hôpital juif, le médecin m’avait dit qu’il me restait trois minutes à vivre; alors Jésus vint.
La petite Georgie Carter, ici à Milltown, était alitée neuf ans et huit mois. Son église enseignait que les jours des miracles étaient passés. Dieu a donné une vision, disant: «Va là-bas.» A l’heure la plus sombre pour vous... Elle était mourante. Elle pesait 37 livres [17 kg]. Alors Jésus vint. Oui, c’est toujours ainsi. A l’heure la plus sombre, alors, Jésus vient. Je l’ai constaté dans ma propre famille, lorsque les choses allaient très mal et que je ne savais quelle voie prendre; c’est alors que Jésus vient.
82 Jésus entra dans la ville. Eh bien, on dirait que Marthe avait le droit de Lui faire des reproches, Le réprimander, disant: «Tiens, pourquoi n’étais-Tu pas venu auprès de mon frère?» Si elle l’avait fait, le miracle n’aurait jamais eu lieu. Observez sur l’estrade ceux qui s’avancent avec révérence; observez ce qu’ils reçoivent. Cela dépend de votre approche vers quelque chose. Cela dépendait de l’approche qu’elle avait.
Eh bien, on dirait qu’elle en avait le droit. C’est ce que nous disons aujourd’hui, nous peuple américain: «Eh bien, ce pasteur-là, je n’aurai rien à...»
Je peux les entendre tous se moquer d’elle, disant: «Holà, où en est ce Prédicateur saint exalté qui faisait tout ça là, la guérison divine? Hmm, hmm, lorsque Son ami est mort, Il s’est absenté. Vous y êtes. Où est ce Gars pour qui vous êtes tous sortis de l’église, que vous preniez pour un grand Prédicateur? Et lorsque la véritable épreuve est survenue, Il s’est absenté.»
83 Mais vous savez, Marthe avait lu la Parole. Elle avait une fois lu là qu’à la femme Sunamite, Dieu avait donné un enfant, et c’est Elie qui le lui avait annoncé. Et cet enfant était mort. Elle ne comprenait pas pourquoi cet enfant était mort, et elle était partie voir Elie. J’aime ça. Elle a dit: «Selle ce mulet, va de l’avant, ne t’arrête pas, à moins que je ne te le demande.» Elle a dit qu’elle allait au mont Carmel voir le prophète. Elle savait que ce prophète représentait Dieu. Elle ne savait pas pourquoi l’enfant avait été repris. Elle était stérile, et Elie lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant; elle l’a eu. Et le petit enfant était âgé de dix ou douze ans; et il était environ 11 h quand il a attrapé une insolation, je pense, et s’est mis à crier, disant: «Ma tête.» Le père l’a renvoyé du champ. La maman l’a donc placé sur ses genoux et, vers midi, il est mort. Elle l’a fait monter et l’a déposé sur le lit d’Elie.
84 Dites donc, frère, cette femme connaissait quelque chose, n’est-ce pas? C’est un bon endroit où déposer l’enfant, dans la chambre du prophète, sur le lit du pasteur. Elle l’a déposé là sur le lit; elle a fait seller le mulet et est partie. Or, Dieu ne révèle pas toujours tout à Ses serviteurs.
Je peux voir Elie, il a vu venir la femme, il a dit: «Voici venir cette Sunamite.» Il a dit: «Elle est affligée, mais Dieu me l’a caché, je ne connais pas son problème.» J’aime ça, observez. Il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien?»
Elle est donc arrivée chez le prophète, elle a dit: «Tout va bien.»
J’aime ça. «Tout va bien.» L’enfant, un cadavre; son mari, comme un fou, marchant dans une pièce; son propre coeur à elle, brisé, mais: «Tout va bien, tout va bien.» Elle est arrivée auprès du représentant de Dieu, comme vous le faites avec votre pasteur. Elle a couru jusque là; elle est tombée à ses pieds, et elle a révélé les secrets, disant que l’enfant était mort. Le prophète a dit à Guéhazi, son serviteur: «Ceins tes reins, prends mon bâton et va le mettre sur l’enfant.»
85 Eh bien, je pense que c’est de là que Paul a tiré le fait d’appliquer les mouchoirs sur les gens. Voyez-vous? En effet, Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni. Il savait que la puissance de Dieu était dans son corps. Il savait qu’il était l’un des sarments de l’Arbre de Dieu. Et il savait que Dieu ne pouvait opérer que par lui, car il était Son représentant. Et ce que lui touchait, Dieu le bénissait. Il a dit: «Prends mon bâton, va le mettre sur l’enfant.»
Eh bien, la foi de la femme n’était pas dans le bâton. Elle a dit: «L’Eternel Dieu est vivant, et ton âme est vivante, je ne te quitterai point jusqu’à ce que j’apprenne quelque chose.»
J’aime ça, déterminée à rester là avec lui. Très bien. Il s’est ceint les reins et il est parti là. Guéhazi est parti. J’aimerais vous faire remarquer quelque chose, à vous les pasteurs aussi. Il a dit: «Si quelqu’un te parle, ne lui parle pas. Ne dis rien, mais va accomplir cette commission.»
86 Je pense que si nous les prédicateurs, nous faisons cela davantage, obéir à la commission de Dieu, cesser d’écouter ce que les gens disent, nous serons de loin mieux et nous ferons plus. Et il a dit: «Ne parle à personne.» Elie l’avait donc suivi.
Guéhazi est parti et a mis ce bâton... Certainement, cela ne pouvait pas marcher, certainement. La foi de la femme n’était pas dans le bâton; sa foi était dans le prophète. Et lorsque le prophète est arrivé là, remarquez, il n’est point entré pour se mettre à agoniser avec Dieu. Il est entré, il a fait les cent pas dans la pièce, des va-et-vient, les cent pas dans la pièce. «Seigneur...» Il ne savait que faire. Il a continué...
Il savait que Dieu était en lui. Aussi a-t-il étendu son corps sur cet enfant mort, il a placé ses lèvres contre celles de l’enfant; son nez contre celui de l’enfant, il s’est simplement étendu là un petit instant. Il a palpé l’enfant; il était chaud. Il a fait des va-et-vient, il a prié, il a encore fait des va-et-vient, il est allé, s’est encore étendu sur l’enfant, celui-ci a éternué sept fois et il est revenu à la vie. Est-ce vrai?
87 Maintenant, remarquez, Marthe avait sans doute lu cette histoire. Et elle savait que si Dieu a été dans Elie, Il serait certainement dans Son Fils. Son frère à elle était mort, mais elle voulait voir Jésus. Elle est allée là; elle n’est pas allée Le réprimander, elle est allée L’adorer. Elle est donc sortie en courant; elle s’est prosternée à Ses pieds et elle a dit... Maintenant, observez comment elle s’approche de Dieu. Elle s’est prosternée à Ses pieds pour adorer, pas pour Le réprimander de n’être pas venu faire ce qu’elle voulait. Elle s’est approchée correctement. Elle s’est approchée dans une attitude mentale correcte. C’est ainsi qu’il vous faut venir. C’est ainsi qu’il faut vous approcher de Lui, dans une attitude mentale correcte.
Elle s’est prosternée à Ses pieds et elle a dit: «Seigneur.» C’est ce qu’Il était, elle Lui a donné Son vrai titre, c’est ce qu’Il affirmait être. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.»
Oh! Observez, elle est au bon endroit, devant la Personne qu’il faut. Le chagrin, le coeur, ses pauvres yeux maculés, c’était une belle jeune fille, je pense. Et, oh! ses yeux étaient maculés, le pourvoyeur de nourriture était mort; son frère à elle était mort, enterré, mort depuis quatre jours; les vers du corps s’y étaient déjà installés. Elle a dit: «Si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même (J’aime ça.), maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera. Maintenant même. Seigneur, il est mort, mort depuis quatre jours; eh bien, il pue. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» C’est vrai.
88 Frère, je peux bien voir ces roues dentées s’assembler comme cela. Voyez-vous? Quelque chose doit arriver. Elle est auprès de l’Homme qu’il faut, affichant une attitude correcte, une approche correcte... tout va bien. Ne pouvez-vous pas aussi agir de même maintenant?
Elle a dit: «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu...» Peut-être que Dieu... le médecin vous a dit que vous n’allez pas vivre, vous avez un cancer. Qu’est-ce que ça change? «Maintenant même, Seigneur...» Il vous écoute encore; Il est assis à la droite de Dieu (Ne le croyez-vous pas?), intercédant. «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»
«Oh! a-t-elle dit, oui, Seigneur. Je sais qu’il ressuscitera au dernier jour, car il était un bon garçon; il ressuscitera au dernier jour.» Ils croyaient à la résurrection générale (Voyez-vous?), ces Juifs.
89 Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Oh! j’aime ça. «Je suis la Résurrection et la Vie, celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.»
Frère, Il n’avait pas de beauté pour attirer les regards, mais Il avait en Lui les Paroles de Dieu qui étaient la Vérité. Il a dit–Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur, j’en crois chaque Parole. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
90 Il y avait là le Représentant de Dieu; ici, une femme au coeur brisé, là de l’autre côté, un homme étendu mort. Cette femme au coeur brisé s’avance avec une foi parfaite, reconnaissant ce don de Dieu ici, le Fils de Dieu, le plus grand don qui ait jamais été donné au monde; elle Lui donne Son vrai titre, elle Lui donne l’adoration convenable, disant: «Je crois que Tu es le Fils de Dieu, et tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Quelque chose doit se passer. Elle a dit: «Oui, Seigneur, je le crois. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
Il a dit: «Où l’avez-vous mis?»
Le voilà partir. Maintenant, à ce sujet, il y a quelque temps, il y a longtemps, j’ai rencontré une femme qui ne croyait pas que Jésus-Christ était Dieu. Vous savez, c’est ce qu’on enseigne communément aujourd’hui dans des églises. Vous le savez tous, n’est-ce pas? Ils croient que Jésus-Christ était juste un prophète ou un homme bon. S’Il n’était pas Dieu, Il n’était rien. S’Il n’était pas Dieu, Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu. S’Il était juste un prophète, Son Sang n’est pas plus que le mien. Il était Dieu. Il était plus qu’un homme; Il était Dieu.
91 Ceci... Je dis... Je n’ai pas... Eh bien, écoutez, vous les membres de cette église qui êtes ici, je ne plaisante pas, et je ne vous lance pas ceci, mais c’est la science chrétienne. Et elle a dit: «Si je vous prouve qu’Il ne l’était pas, qu’Il était juste un homme ordinaire, l’accepterez-vous?»
J’ai dit: «Oui, si vous pouvez le prouver par la Bible.»
Elle a dit: «Je vais vous prouver par la Bible qu’Il était juste un homme.»
J’ai dit: «Il était un Homme, oui, mais Il était le Fils de Dieu.»
Elle a dit: «Eh bien, Il était juste un homme ordinaire.»
J’ai dit: «Il était–Il était–Il était plus qu’un homme; Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il n’était pas Dieu, Frère Branham.» Elle a dit: «Je vais le prouver par la Bible.»
J’ai dit: «Où en trouverez-vous les preuves?»
92 Elle s’est référée à Jean 11. Elle a dit: «Jésus, en allant à la tombe de Lazare, a pleuré.» Et elle a dit: «Cela prouve qu’Il n’était pas Dieu, parce qu’Il a pu pleurer.»
J’ai dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Cet argument est plus léger que le bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Ça ne tient pas.» J’ai dit: «Voulez-vous me dire que c’est pour cette raison que vous croyez qu’Il n’était pas–qu’Il n’était pas Dieu, parce qu’Il avait pleuré?»
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Lorsqu’Il allait à la tombe, Il allait en pleurant, c’est vrai. Mais il était Dieu-Homme, Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Et j’ai dit: «Il était un Homme lorsqu’Il pleurait, mais lorsqu’Il s’est tenu là, avec Son tout petit visage, comme cela, avec un homme qui gisait là depuis quatre jours, Il a redressé Son petit corps et a dit: ‘Lazare, sors.’ Frère, c’était plus qu’un homme, c’était Dieu parlant par ces lèvres d’un Mortel.»
Un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur terre et a de nouveau vécu. Son mort... son corps avait effectué un voyage de quatre jours quelque part. Je ne sais où il était, vous non plus, nous n’allons donc pas discuter là-dessus. Mais de toute façon, il était mort depuis quatre jours, et lorsque Jésus a dit: «Lazare, sors!» Un homme mort depuis quatre jours, avec les vers grouillant dans son corps, s’est levé et a de nouveau vécu. Frère, ça, c’était plus qu’un homme.
93 C’est vrai qu’Il était un Homme alors qu’Il descendait de la montagne ce soir-là; Il avait très faim, Il a cherché partout dans l’arbre. Il n’arrivait pas à trouver quelque chose à manger, alors Il a maudit l’arbre. C’était un Homme lorsqu’Il avait faim. Mais lorsqu’Il prit ces cinq petits pains et deux petits, trois petits morceaux de poisson et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu en Lui. Exact. Oui, oui.
Il était un Homme alors qu’Il était couché là dans cette barque ce soir-là, que celle-ci flottait et que dix mille démons de la mer étaient décidés à Le noyer. Cette vieille petite barque tanguait sur l’eau comme un bouchon de liège et le diable dit: «Cette fois-ci, je L’ai eu. Il s’endort. Il est si fatigué, pour avoir guéri les malades, qu’Il ne peut pas bouger.»
C’était un Homme pendant qu’Il dormait là, endormi; c’est vrai. Mais lorsqu’Il a mis son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», c’était plus qu’un homme; c’était Dieu parlant par Son Fils. Alléluia!
94 C’était un Homme lorsqu’Il implorait la miséricorde là au Calvaire, alors qu’Il mourait, mais lorsqu’Il est ressuscité le matin de Pâques, qu’Il a brisé les sons de la mort et du séjour des morts. C’était plus qu’un homme; c’était Dieu dans Son Fils.
«Crois-tu cela?» Je crois que ce même Jésus d’hier est le même aujourd’hui, et Il le sera éternellement.
«Crois-tu cela?» Je crois que la femme qui ne pouvait pas entrer dans la ligne de prière et qui a touché le bord de Son vêtement avait été complètement guérie. «Crois-tu cela?»
Je crois que c’est Jésus-Christ qui fait voir l’aveugle, fait entendre le sourd, qui fait parler le muet. Toi, «crois-tu cela?» Je crois que c’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement, qui donne le Saint-Esprit à ces gens, qui les amène à crier, à pousser des cris et à agir comme ça. Toi, «crois-tu cela?» Je crois que le Saint-Esprit est ici même, maintenant. «Crois-tu cela?» Je crois qu’Il est prêt à guérir tout le monde dans la salle. «Crois-tu cela?» Je crois qu’Il est prêt à remplir chaque personne du baptême. «Crois-tu cela?» Alléluia!
95 Je crois qu’Il est ici maintenant même, ne le croyez-vous pas? «Crois-tu cela?» Levons-nous et rendons-Lui gloire maintenant même. Je crois que vous recevrez le baptême du Saint-Esprit. «Crois-tu cela?»
Notre Père céleste, qu’il en soit de même ce soir, comme Tu l’as fait hier soir. Que la puissance du Saint-Esprit descende dans cette salle. Ô Dieu, ôte les doutes, les peurs, et donne le baptême du Saint-Esprit maintenant même. Accorde-le. Je crois qu’Il est ici pour remplir chacun de vous. «Crois-tu cela?» Je crois que vous allez accepter votre guérison, vous pouvez sortir du fauteuil roulant. «Crois-tu cela?» Je crois que vous allez accepter votre guérison, que vous quitterez ce brancard. «Crois-tu cela?» Je crois qu’Il est ici pour vous l’accorder, pour guérir ce cancer. «Crois-tu cela?»
E-1 Thank you, Brother Bosworth. Good evening, friends. We're very happy to be here this afternoon to speak to you in the Name of our lovely Jesus Christ. So happy to see you looking bright. This has certainly been one bright day for me. Although gloomy outside, but I'm beginning to learn more about the ministry of our Lord than I've ever knowed in all my life.
E-2 Last night I... It was last Tuesday night, Brother Beeler and--and you all, if you're taking recordings, I'd like to ask you and Brother Wood to be sure to keep last Tuesday night and last night for me. I want those recordings.
It was last Tuesday night, well, I've explained to you why I tried something. And last night I was watching the Holy Spirit as It moved around, and--and in this corner, somewhere over in this way, is a group of mutes setting. And I seen those--that hanging over those mutes. It would just go from one to another, like that. Well, I didn't know just exactly how to--to get it to them. And then I watched, and It went right back towards the back of the building then, over some lady was standing back in there. And It come back and went over in this corner here, just kept moving around. And I thought, "Oh, if I could just--just get that one thing for the people to believe, right now it'll happen, that--that'll be it, just... It'd be a climax like Vandalia, Illinois, was that time. So I just..."
And all of a sudden, why, I begin to see It, just look like drops a falling. I said, "If you'll just believe God, and listen now, you'll see something you've never seen before."
E-3 And then when I... The next thing I remember, the--the boy and them had me out somewhere else. So it was just--just so glorious. I believe that it's just coming to a place where we're just fixing to get somewhere in the meeting. The people are just begin to learn, catch on to what it means.
By the way, of speaking of Vandalia, as I got out of the car a few moments ago, there was a lady (which is in the building here somewhere now, she and her daughter) was giving me a testimony of Vandalia. She said she was... And now, if I get it right. I hope I do. She just told me a few moments ago, said, "She was," when I was in Vandalia, "she was washing her dishes..." And she had a great big tumor, size of a grapefruit or, and said, "she shook her hands, the Lord said, 'Go up to Vandalia to be healed.'"
She went to her husband and he said, "We just can't do it, honey," said, "I only... We only got ten dollars, and so, I just got to have it for something else."
E-4 So that was on a Saturday, and she was so let down. So then she went ahead and went about, and commenced praying, said, "Now Lord, You done talked to me, now You talk to him awhile, so what to do with this ten dollars."
And said, "After while, next morning," said, "she come up, and it was raining. Her husband come, said, 'Did you say you wanted to go to Vandalia?'" Away they went.
And they got over there, they could... It rained us out in the tent, and they had us in an auditorium. And I was so completely gone, till I couldn't hardly stand up. So she said, "She couldn't get a prayer card." And that's what she was relying on, getting up in the prayer line. I said, "Well, all of you line up, and all I'm going to do is just lay hands on you. Now, if you believe that what you seen happen, this is the truth, just lay your... I just lay my hands on you as you pass by. And each one of you be healed if you believe it."
Now, where I base that, friend, is on what He told me. He said, "If you'll be sincere when you pray, get the people to believe you, nothing will stand before the prayer." See?
Well now, the main thing, I said, "Well, I can't make them believe me, 'cause I have no education, very poor speaker, and oh my, no personality. I haven't got nothing. (See?) I'm just as blank." So I said, "How would they... how would..."
He said, "As Moses was given two signs of a vindication, so will you be given. (See?) And by this the people will believe you."
E-5 And so, at that time, the only thing I could tell was just what was wrong with a person, taking them by the hand, or holding their hand, or laying my hand on them like that. And then I just wouldn't say nothing, just let Him say it; whatever it was, is always a hundred percent right. Then He said this other would take place.
Well anyhow, the woman, she come by. And, "Oh," she said, "I just put my hand on her." She said, "She wanted me to stop and prayer with her. Tell her she had a tumor and all these things." Said, "She'd seen others, and she just wanted it done that way." But said, "It wasn't no choice; she just had to accept what come; that was all." So said, "Prayed for her." Said, "She went home with a let-down feeling."
Said, "You know, it was just about a month later, that she begin to notice that that wasn't sore anymore, where that tumor was at in the abdomen here, wasn't sore." She goes to get examined; the tumor was gone. She hasn't had it since. The tumor's been gone, a tumor the size of a grapefruit.
E-6 Now, see, the lady herself, she didn't get it. See? But God knew it. See? She passed by. See, God was already speaking on this end of the line down here, on what to do. When she was washing her dishes, or whatever, some way she had her hands in water I believe she said. She shook her hand. And now, that was God speaking. Her life, probably that tumor would've become malignant and she'd died. So God didn't want her to die, so He just moved on her to go up there.
Well, then when He did that, well, then her husband... He had to move on her husband too. See, we ask God for things for--and sometimes we don't give Him time to answer us. Isn't that right?
Why, for instance, people say... You hear people don't even believe in Divine healing say, get down and say, "Oh, Lord, I pray that You'll end the wars over the world."
Well, my, my. For Divine healing you only got to change one mind. And for ending the war, look at the millions of minds you'd have to change. You see? So my, how hard it would be for God to do that. He has to work on this person, this person, this person, out there. In Divine healing, He just only has to work on one person; that's you. That's all. See? So it's easy to believe Divine healing, then ask Him to change--change the whole international program.
E-7 Anyhow, the woman, she... God told her husband. So they come up there, and that was God's program. Now, I told her, "If she'd just believe, when she come by, any of them, it would be ju... God would do just the same." And said it, that's what... I wonder if that woman's in the building? She was taking a picture out there a few minutes ago, a movie picture. Are you in here, lady? If you would, just raise up your hand. A--a lady that wa... Where? Oh, yes, yes, setting right out here. God bless you. That was the lady from... Stand up again so the people can see you. How long? That's been about seven or eight years ago, hasn't it, sister? No tumor, nothing, it's all gone; everything's perfect. Let's say, "Thank the Lord." [Congregation says, "Thank the Lord."--Ed.] Sure, He's real.
E-8 Now, what did that? The woman's faith in God. That's right. The woman's faith in God is what did it. 'Cause Jesus already had her healed all along. Don't you believe that? When He died at Calvary, just think what Jesus did. When He died at Calvary, healed everybody. Is that right? And when He died at Calvary, He saved everybody. There's no sinners after that. In the sight of God everybody was saved. He's the Lamb of God to take away the sin of the world. Well, you say then, "What do I do?" Then you... But it won't do you no good till you repent and accept it. Then if you accept it, then you go in as a Christian. If you don't accept it, you've already judged yourself. You don't have to be judged. If you go beyond mercy, it's already judgment. God done said, "The day you eat thereof, that day you die." So you haven't even got a chance. See? You've either got to accept it or go before God.
E-9 And you--you don't have to be judged, 'cause you're already judged. God done... He said, One time, "The day you eat thereof, that day you die." That settles it. And only the Blood of Jesus Christ stands between you and that. So we're happy today to be free in Christ.
Just think what's happened this week. People that was totally blind got their sight. Deaf, all kinds of things, is taken place, what our Lord has did. Oughtn't we to believe with all of our heart? I tell you, I feel like I'm... Brother Bosworth, I feel like I'm a new person to get started out in the ministry. I just kinda longing for the time to get back from overseas again to pitch back into some of these American meetings.
E-10 Now, I give out last night, I was going to preach, or talk on missions for this afternoon. But being that my time got away a little bit, I better just take a little subject and speak just a few minutes, and then go right on; because we got another service coming up right away. And I hope tonight is the greatest meeting that we've ever had yet. Don't you hope so? I trust there won't be one thing, but what God will heal every person in--in Divine Presence tonight. I believe He will. I'm looking for this.
And then tomorrow, we leave for West Palm Beach, Florida, to be there in the next meeting.
Now, there's not too many; I see only one wheelchair and a cot, I believe is what's left, as far as I can see. And to you this afternoon, I want you to look and live. I want you to have faith. And while I speak to you just a little bit on the Word of God, [Brother Branham coughs.--Ed.] pardon me, I want you to believe with all your heart that God will stimulate your faith.
E-11 You know, sometimes I think that... Wonder how the Lord feels about us sometime, when He does so many things for us, and yet we just set like we were in a subconsciously, don't we? Aren't we all guilty? I am. We just set and say, "Well, Lord, I--I wish You'd do something for me."
He can't do nothing no more for us than what He's already done. He's already healed us. He's already saved us. He's already give us joy. He give us His peace. He's our shield, our buckler, our... Everything that we have is in Him, and He's done paid the price of redemption to redeem us back as sons and daughters of God. There's only one thing in the world that--that is yet left undone, that is physical death. We've all got to die, because that was the only way God has of bringing us up home. That's the only avenue we can travel is through death to get home. So everything is under His feet, everything, except death. And death has done been... The penalty of death done been taken off and now we just go right into His Presence, and someday return back and be made immortal and live on this earth a thousand years with Jesus Christ. Amen. I believe that. I'm strictly a millennialist, I believe in the millennium. I believe all these Hebrew prophets, and through the ages spoke on the golden age the millennium coming, and I believe we're going to have it. We'll reign here with Him a thousand years.
E-12 Now, there's postmillennium, premillennium, no millennium. And if you say, "I don't believe in any at all." That's all right, we're still brothers. We're brothers just the same, but I just kinda believe there's going to be that reign, that God... I wished I had time to get into it. I talk on it this afternoon, how that He unfolded, and then folds right back again. How that God unfolded Him before the beginning of time, how He--He unfolded Himself out of great something, that you see nothing, brought it into the Logos, and then into man.
And then how, last night I was talking, how He unfolds Hisself down through man, out of the Pillar of Fire, into the Son, out into man. How wonderful. Then how that man was brought from death, the penalty of death, how he come down: now, coming on his road back through justification, through the baptism of the Holy Spirit, then back into the... From this mortal back into the immortal like He was in the beginning, and then back in the flesh again. Just like God brought Him in the beginning, to eat, drink. Oh, wonderful. See?
E-13 Man before he was this man, he was a spirit man. God made the first man in His Own image. How many says that's right? Well, what kind of a image has God got? He's a Spirit, is that right? So He made a Spirit man 'fore He made a flesh man.
Then He put man in five senses to contact his earthly home. He might've give him hands like a monkey, and foot like a bear, I don't know. But anyhow, that wasn't the image of God. God's a Spirit. But then God came down and was made in the image of man to redeem man back to Himself when He was made flesh and dwelled among us. And we go right out of this redeemed life, from this redeemed life into that immortal life again in the supernatural body, then back into flesh again, just like God, bring us right back to the garden of Eden again, just the same thing.
E-14 Could you imagine how beautiful that was that morning when Adam took Eve by the arm, went walking down through the garden? Oh, my. Those big birds a flying, and peace, and no sickness, never to die. She'd never have to use any of this here manicure you put on your face to make her look pretty. And she--she... That's wrong, I knowed, I... Somebody laughed. That is... what is it you call that stuff? Anyhow, it's--it's paint, you know, that you put on your face. Manicure, what, that's--that's in your hair though, ain't it? That's what you put in your hair. Anyhow, it's some way, I don't know, it's--it's something. I'm making it worse all the time.
Never will forget when my wife sent me to get a pair of socks one time, or stockings. And she was supposed to get them kind that's got the full style in the back of them, you know, it's got that little funny thing. And there's two different kind: one is called chiffon and the other is rayon. I believe the chiffon's the best. Is that right, ladies? Is--is that Chiffon? And I was going down the street hollering, "Chiffon, chiffon, chiffon, chiffon." Somebody, "Hello, Billy."
E-15 And I said, "Hello, hello. Chiffon, chiffon, chiffon, chiffon, chiffon, chiffon."
I got down; somebody got talking to me about fishing. I forgot it. So I went down to a girl I used to go with, and I said, "Hi, Thelma."
And she said, "Hi, Billy." Said, "What do you want?"
I said, "Hope wants a pair of socks."
Said, "Now, Hope don't wear socks."
I said, "She sure does."
"I beg your pardon," said, "she wears stockings."
I said, "Well, that's what I want." I thought, "I already made a... showed my ignorance," so I said...
She said, "What kind does she want?"
I said, "What kind you got?" I wanted her to say it.
She said, "Well, we have the--the rayon."
E-16 I said, "That's what I want." Oh, I didn't know there was two different kinds. I said, "That's the kind I want; I want it the full style in the back, that thing."
Then she got them for me, and I was supposed to pay sixty cents for them, and I think it cost me twenty. I said, "Well, give me two or three pair of them." See, I--I was...
So I went back up home to tell her, I said, "You see, honey," I said, "I--I'm Abraham's son. I'm little yiddish, you know, I just know how to get things." I said, "You women go to Louisville and look all around for bargains all day long, come back home, spend all your money, and don't have no more bargain you got right here at home. I just go downtown and get three pair of stockings for a pair of--price of one."
She said, "Did you get chiffon?"
E-17 I said, "Yes, ma'am." So I didn't know there was chiffon and rayon. All sound the same to me. After while she bought another pair of stockings. So I made a mistake, so I just thought I'd better leave away from that, you know. I... It's like this here stuff you put on your face and in your hair, and... That's for the women to discuss, isn't it?
All right, how many loves the Lord, say, "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] Let's read some of His Word here now and talk in His Word just a little bit, just on a little old... Now, I'm not, as I've said lots of times, and tell you, I'm not a preacher. I'm just one of these old fashioned sassafras, you know, backwoods, believe in an old fashion backwoods, sky-blue, sin-killing religion. You believe in that? Then we can get along.
E-18 I believe that it--it don't whitewash it washes white. Makes you clean from sin, straightens you up, takes all the crooks out of you, and put you off of--out of crooked street over on Glory Avenue. Don't you believe it that? Sure, the joy bells of heaven just ring, and you just walking every day in the Spirit. There's no condemnation to them which are... has joined church? No condemnation to them which has shook hands? No condemnation to them which has been baptized? Huh-uh. "No condemnation to them which are in Christ Jesus."
How do you get into it? By one Spirit we're all baptized into one body. Is that right?
E-19 Saint John the 11th chapter. I want to read some Scripture, 18th verse:
... Bethany was nigh unto Jerusalem, about fifteen furlongs off:
And many of the Jews came to Martha and Mary, to comfort them concerning their brother.
... Martha, as soon as she had heard that Jesus was coming, went and met Him: but Mary sat still in the house.
Then said Martha unto Jesus, Lord, if thou had been here, my brother not died.
But I know, that even now, whatever You ask God, God will give it thee.
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again.
Martha said unto Him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last day.
Jesus said unto her, I am the resurrection, and... life: he that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live:
... whosoever liveth and believeth in me shall never die. Believest thou this?
She said..., Yea, Lord: I believe that thou art the Christ, that was to come into the world--the Son of God, which is to come into the world.
E-20 Let's bow our heads just a moment. Now, Father, these few words, I pray that You'll bless them this afternoon, and give them the right place in every heart. And give them the right place in my lips, that we might glorify Thee and give faith to the people by hearing, for faith cometh by hearing. And may there not be any sick or crippled left in even for a meeting tonight, may they all be healed this afternoon. Grant it, Lord. May all the sinners be saved, the backsliders reclaimed. Get glory out of the service. We ask in Jesus' Name. Amen.
Now, we like to look at this for a few moments while you pray with me. And I'll try to watch that clock and--and let you out in plenty of time to get back for the services tonight. And I want to talk on--on Lazarus being raised out of the grave. In what manner was he raised? How did he come up from the grave?
E-21 Now, first we want to get the background of it and find out... And I want you to--to pray with me now, and give me your undivided attention just for a few moments.
I believe in the resurrection. I believe in a bodily physical resurrection. I believe in the physical bodily return of Jesus Christ. I believe that His Church is His representative on the earth now. I believe that the Church is washed with the Blood of Jesus Christ. And the Church is a Holy Ghost filled Church, preaches holiness to the very extremes. Don't you think so?
I think of in the Bible when there was a sin offering, they taken two turtledoves, or a cleansing for leprosy... Leprosy in the Bible was a type of sin. They used to take two doves, and one of them, they took and pulled its head off, and turned it up like this and bled the blood... let the blood come on the other live mate, take it to the window and turn the dove loose, the live one, and is--as it fluttered its little wings, why, the blood fell down to the ground off of its dead mate, and that blood hitting and splattering on the ground from the dead mate, cried to the Lord, "Holy, holy, holy, unto the Lord."
E-22 How perfect that is of the Church. How that Jesus Christ, when God came down and was manifested in flesh, took upon Himself the form of sinful flesh, was killed and crucified at Calvary, and the Blood of the dead mate is put upon the Church, the living Bride, and She goes across with her wings a flapping and the Blood of Jesus Christ crying, "Holy, holy, holy, is the Lord God Almighty," a perfect cleansing for leprosy.
Leprosy, there was no cure for leprosy. They haven't found it yet. Only God can cure leprosy. They haven't found even nothing for it, to help it. But it's a type of sin. It sets in so gradual; it's painless. Just moves right in; you don't know it until you're dying. Big white warts come out all over you, limbs drop off and everything, eat you right into the... Just--just eats you up, leprosy. Jesus was the only One Who could heal this leprosy. He's the only One today Who can heal this leprosy.
E-23 But now, in the beginning of Jesus' ministry, He's such a great Person, there never was no one ever on the earth like Him, and there never will be anyone like Him. He was--He was the only begotten Son of Almighty God. We are sons by adoption, through Him. But He is God's only begotten Son.
Adam was God's son. Do you believe that? He was God's creative son. But this is His begotten Son. God begotten His Son.
It's just like the blood. The bloodstream comes from the male sex; we know that. The mother is just the incubator for the child. And the mother's blood has nothing to do with the child at all. Although it's born in the blood of the mother, but it has nothing to do with it. It hasn't got one drop of the mother's blood in it; it's the blood of the father. And the life lays in the blood.
E-24 Here, many of you people round here, you--you're farmers, perhaps you go out on the farm to get your poultry and stuff. Look at a hen. A hen can lay the egg. And she don't necessarily be with the male to lay the egg. And it's a--it's a egg just the same, everything just like. But it'll never hatch. It'll just lay right there, and it'll rot. You can set that egg, but if it isn't fertile, if she hasn't been with the male bird, it'll--it'll never hatch, it's no good. For it hasn't got the blood in it. The blood come from the male. Well, that's... No matter, if the old hen can set there on that egg until she got so poor she couldn't get off the nest. Well, the egg won't hatch; it'll rot.
E-25 I've often made this expression, that's just about like the church today. And every form of godliness we have, go to church, pay your tithes, good church member and everything like that, but brother, they'll never be able to get anywhere, you'll just have a nest full of rotten eggs until they get in contact with the Mate, Jesus Christ, and be borned again. That's right.
The old church can hover it, till she gets so poor she can't off (That's right.), and don't know nothing else but churchism. But I tell you brother, until a man's borned again, it won't do any good, and he can't be born again until Life comes into him. That's right.
Now, looky how God planned that. Now, God is the male part of--that brought Jesus Christ here. Now, God's a Spirit, so there couldn't be any sex. There couldn't be any sexual desire. Because if it was, then Jesus wasn't born a virgin birth. So God is a Spirit, and He overshadowed this Mary and created in her the Blood cell that brought forth the Son of God. And it's through His holy Blood that we have access to life. And our sexual blood is dismissed, and we have the Blood of Jesus Christ that stands for an atonement, making an atonement for our sins. How beautiful the picture. You believe that? You have to be if you're saved. You can't accept nothing else and be saved. Only He was the virgin born Son of God. God Almighty just overshadowed the woman; she knowed nothing about a man. And so He just overshadowed her and created in her, this cell.
E-26 Not long ago up in the mountains, I think Dr. Akerman, if I'm not mistaken is setting here this afternoon. We was together up in the mountains not long ago. And a perfect infidel come to me and tried to argue with me, as a rancher up there, that there was no such a thing as that virgin birth, it was all nonsense, that there was just a little old slip-up like they always have in every age. Joseph was the father of that baby. I said, "Nope. God was the Father of that baby".
"There is no such a thing." he said, "There is no such a thing." Said, "It's all against scientific research. Corn won't even poll without natural male and female. And woman couldn't have a baby without actually being with the male."
E-27 I said, "Do you believe..." And he just got through telling me that the first man was a sponge, then he become a polliwog, then he become a frog, and then he become a tadpole, or something or another. He brought it on down to a fire eating dragon, and then finally a monkey, and then put a collar and tie on him and called him a man that was... Um, such nonsense.
And remember, did you ever read the ethics of Darwin on that. Why, it's crazy. And you people over here, this side of the river let them teach it over here in the schools. That's a weakness of Christianity. When you sch... Said that little old polliwog scooted around for a thousands of years on his shoulder, and he wore a little wart there and a arm come out. Then he quit scooting on that side, he scooted on the other side another thousand years and wore another wart, and another arm come out. Nonsense. Oh, my. Anybody could believe that could... I ain't got that much faith; I just believe what God said. That's all. I haven't got that--that much. That takes too much faith for me. I'd just rather believe what God said, that He created man; that's all there was to it.
So anyhow, that... And then I asked him, I said, "Then you believe that Jesus had a mother, but He had to have a father too."
He said, "Yes, sir."
E-28 I said, "I want ask you something then. Where did the first man come from? And who was his father and mother? According to science, he had to have a both father and mother. And who was the first man's father and mother? Let him be monkey, tadpole, sponge, whatever he might be, according to your statements, he had to have a father and mother."
He's never answered me to this day. He can't either. Oh, I'm telling you, folks; some people so narrow between the eyes, you lay a lead pencil like that, it'd blind them. That's the truth. That... It's the truth. Yes, at... They just jump at anything just for a conclusions. You don't stop and try to weigh it out. Weigh it against this: this is the only scientific Book there is in the world. This is the only thing... Here's the only Book that tells you where you come from, who you are, and where you're going. That's the only Book there is in existence, is that Bible. And I believe every word of It, just, I believe it just like it's just written there. I just ready to hang my soul on any phase and say it's THUS SAITH THE LORD. Yes, sir.
E-29 Some little fellow not long ago had went away to a school. And he'd learned a whole lot he ought not to learn. Now, I ain't got nothing against schools, and education, and seminaries, and so forth. But you take God call a preacher, and the first thing you know, they take him out to a seminary and--and they pump all out of him there is of God out of him, and then pump some of the theology in him, and send him off like that. And he's worse then he was when he went there. Now, that's true.
Now, look friends, I come up here to do, to talk about God and His--His work, and I--I don't know nothing but just hit the axe right to the root of the tree and let the chips fall wherever they want to. That's right.
And brother, that's true. They pump out of him what God put in him. That's... It puts in mind, going round like a big old morgue, you know, out there, cold, dead, place, the icicles, the spiritual thermometer about ninety below zero, and go in to it. A--a morgue, always takes a man that's dead and pumps something into him to make him stay dead. That's just about the way it is; they pump all that's in there could be life out, and throw the dead stuff in him. That's right; keep him dead. That's, oh, it's such a pity.
And this little old woman got sick, she got pneumonia. So she called for her son to come home; the doctor said she was going to die. Some little old Holy Ghost woman was led by the Spirit, went up and told her, said, "You know, you believe in Divine healing?"
Said, "Never heard about it."
E-30 Said, "The Bible said they'd lay hands on the sick and they shall recover." Why, she wanted to know all about it then. So they went, and said, "Let my pastor come up and pray for you."
So the Full Gospel pastor went up and prayed for the woman. And when he went up and prayed for her, God healed her.
A few weeks after that, the boy come home, said, "Mother," said, "you know what, the strange thing to me," said, "I, why--why, how'd you get well so quick?"
E-31 She said, "Oh, honey, I got something to tell you." She said, "That woman that used to come by here sell milk," said, "she goes to that little bunch of holy-rollers down there." Said, "You know they believe in Divine healing? And he come up here and read out of me," said, "to me out of the Bible in Mark 16 that, 'These signs will follow them that believe; they'd lay hands on the sick and they'd recover.' And he prayed for me, anointed me with oil, laid hands on me, and the Lord healed me." Said, "Oh, praise the Lord."
He said, "Mother, ridiculous," said, "you shouldn't get mixed up with that bunch of people, well," said, "you begin to act like them." Said, "That--that's a shame."
Said, "Why," she said, "honey, he read it out of the Bible."
"Well," said, "mother, we've learned in the seminary that Mark 16 from 9th verse on is not inspired."
She said, "Well, hallelujah."
Said, "Mother, what's the matter with you?" Said, "What are you doing?"
E-32 She said, "Well, I was just thinking, if He could heal me with uninspired Word, what would He do with that was inspired?" Said, "How, how much more... (That's right.) If he just... If the uninspired Word could do it, what would the one's really inspired do?"
So that's right friends, "Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever."
And introducing His Life to the world, we find out to go back to His Life just a few moments, and interview His Life. God spoke from the garden of Eden that He would send Him. Don't you believe that? He said that He'd put enmity between the woman's seed and the serpent's seed, and He did that in Christ.
E-33 Then when Jesus... About the time that God was going to do something... Before God does anything He always sends mercy before judgment. He always sends warning. And when man won't heed the warning, there's only one thing left, that's judgment. That's right. "If you die in your sins, where I am you cannot come." God sends preachers and everything and gives warning, sends His Spirit and warns the people.
Now, before He sent Jesus, He sent a warning to the people to make ready His coming. And may I stop here just a minute to say this with a deepest of sincerity: I believe the things that you're seeing taking place today across the world, is a warning: Jesus is coming.
Down in Korea, the Methodists and Baptists, and them down there are having such a revival, they're receiving the Holy Ghost and speaking with tongues, and having healing services, and everything else, in Korea. Let the pressure come on brother, it'll push you to God. You don't have to wonder whether you're a Methodist or Baptist; just start praying; God will take care the rest of it. You just start tak... Just pray, get close to God.
E-34 A minister just returned, said to me, said he went into this bunch of people, he said, "Well, are all those Pentecostal people?"
Said, "There ain't a Pentecostal in the bunch of them."
"Well, look at them all speaking with tongues and shouting."
He said, "Ha-ha. The pressure just pushed them into it." That's all. Don't worry God will do it. He will push it into them.
We thinking about, "This church is ours, and that church is ours." When Solomon built the temple, it was cut out from all over the world. And when it come together, one block turned this way, and one turned that way, but there wasn't the buzz of a saw or sound of a hammer for forty years. Every block just went right to its place, and the temple was built.
E-35 And that's the way it's going to be in the coming of the Lord Jesus Christ, the pure in heart shall see God. But the reason we builders are not getting anywhere, the same way they did back there, the Chief Cornerstone was rejected. And that's what's the matter today with the Methodists, Baptists, Pentecostals, and all: the Chief Cornerstone, which is Jesus Christ, is rejected. We have all of our theology--theology and things; we speak of this, and what our church believes, and what our church don't believe. We teach it in, pump it in, everything like that. But the baptism of the Holy Ghost and the power of God to let freedom in amongst the people, is rejected. And that's the very cornerstone that'll build the church that'll go home to meet Jesus. Hallelujah. I believe it.
E-36 The cornerstone is kicked out in a bunch of weeds. They built their church, and they built their church; but come to find out, the place where they'd left undone, that cornerstone fit right into it. And today where all the power, signs and wonders is been left undone, you find out the Holy Ghost fits right in there; for He is the One Who brings the power of God into the Church. Amen.
God always sends His warnings. Just before the coming of Jesus, He sent an Angel down out of heaven by the name of Gabriel. Now, minor angels comes, my, yes, you see angels. Every one has a guardian angel according to the Scripture. Jesus said, "Their angels always beholds my Father's face which is in heaven."
E-37 Here some time ago, a minister told me, said, "Brother Branham, there is no such a thing as seeing angels. Angels don't lead the Church; the Holy Ghost leads the Church."
I said, "That's right. But we still have angelic beings as ministering spirits send from the Presence of God."
He said, "Well, our church don't believe in that."
I said, "I don't know what your church believes; I know what the Bible teaches."
He said, "Well, Brother Branham, angels might have been back in Daniel's time and back there, but not since the Holy Ghost is come, no angels."
I said, "Do you believe that Philip had the Holy Ghost?"
"Certainly."
E-38 "Well, who was it come to him and told him to leave that great big revival they was having and go out into the desert to meet that Ethiopian? Was it the Holy Spirit? No, sir, the Angel of the Lord come to him." Is that right? Philip had the Holy Ghost. How many believes Peter had the Holy Ghost? You all do. Well, who was it that night when he was in jail, they was going to cut his head off the next morning. They was having a prayer meeting down at John Mark's house. Who was it shined in there, fire Light come and hung over him and touched him and raised up, dropped the shackles off of him, opened up the doors and set him out on the street? The Angel of the Lord. That's exactly. He had the Holy Ghost.
Who was Paul, that great saint, fourteen days and nights, no moon, stars, all hopes they'd ever be saved was gone. And he went down in the gallery to pray, and he come out said, "Wherefore be of a good courage, for the Angel of God, whose servant I am, stood by me last night, saying, 'Fear not Paul.'" Is that right? The Angel of God.
E-39 Look the isle, over on the Isle of Patmos, the whole Book of Revelations was revealed by an Angel. "I, Jesus has sent My Angel to show you things that'll shortly come to pass." Is that right? The whole... And John started to worship the Angel. But a true Angel will never stand to be worshipped. No, sir. He say, "Worship God." That's true. Oh, there's false angels, true, just like there's false spirits and so forth. But a true Angel of God will always point you to Jesus Christ. Yes, sir.
Paul said, "If--if an Angel from heaven will come preach any other Gospel, then that which you've already heard, let Him be accursed." Is that right? So watch what the Angel teaches. If it's bringing along in the Gospel and sound in doctrine and everything according to the Bible, then believe it.
So God always sends angelic beings to warn the world. He... I believe that there's angelic beings in the earth today, are warning the world of judgment to come. I could go a little bit on your flying saucer here just for a few minutes, but I won't take that much time. But anyhow, did you notice, before the destruction of Sodom and Gomorrah, which is a perfect thing of today, God sent Angels down there to call Lot out? Is that true?
E-40 Look, just before the coming of the righteous One, the great Son of God, God sent an Angel down. And that Angel come to a home that was a respected home. If you want Angels to visit your home, be like Zacharias' home. Him and Sarah was living upright before the Lord, keeping all the statutes and all the commandments of the Lord, living in perfect obedience to the Word in the light that they had. And Zacharias, his office was to wave incense, burning incense at the altar while the people were praying. And while he was waving this incense, standing on the right hand side of the altar stood Gabriel, the great Archangel.
Now, Angels can come, but when you hear of Gabriel coming, be ready, something major's on the road. Gabriel announced the first coming of Jesus. And Gabriel will announce the second coming of Jesus. That's right.
E-41 Notice, Gabriel come to Zacharias and told him... He was old, his wife had always prayed for children. What a difference today it is. It's a shame the way our nation is, the people is polluting the nation. There's nothing wrong... Someone said, "Brother Branham, do you think the communist will ever sweep over America and take America?"
No, sir. I don't believe it. It isn't communist that's going to hurt us; it's our own rottenness right among us is what's a hurting us. It ain't the robin that pecks on the apple that hurts the apple; it's the worm at the core that rots the apple. And our own demoralization that we got among us now, our women smoking cigarettes and drinking whiskey, and the barrooms and things filled at night, and cussing and carrying on, that's what is killing us. These churches around here having a form of godliness, denying the power thereof, that's what's killing us. Amen. That's exactly right.
E-42 Here was Zacharias standing there... I want you to notice. He said, "Now, after the days of this ministration here, you go home to your wife, and she's going to conceive and bear a son. And you'll call his name John." And look at that callous man now. That just goes to show about how callous people can get. He had plenty of examples, Hagar, and Sarah, and them. Sarah being a hundred years old and received a child. He said, "These things can't be; my wife's too old."
He said, "I am Gabriel, that stands in the Presence of God. My words will be fulfilled in their seasons. But you'll be dumb till the day the baby's born."
E-43 Oh, my. When God speaks, all Heaven records it. I tell you; it's got to happen. No matter how funny it seems, and how unreasonable it seems, it's going to happen anyhow. 'Cause God said it was. "And My Words will be fulfilled in their season."
After the people seen that he didn't come out, they looked and wondered what was the matter with him. After while he come out, they seen he was a mute. He couldn't speak, he--he beckoned to the people to go away. Went home, and his wife conceived. She hid herself. And then about six months later... I like to give this a little drama.
Let's go down in Nazareth, a wicked town, way worse than Evansville: wicked, really, the worse town in the world. And here's a little virgin living there. No matter how wicked the city is, and how other girls do, and how other men do, you can be a Christian anywhere.
E-44 Notice, I see her going down to the virgin springs. God willing, I want to pass through there next few months. And then with a--a big Oriental type water jug setting on her head, here she comes packing the water up; it's wash day. That's the worse day that I ever knowed of around the house. I still even... We got a electric washer; I still hate to see wash day come around at home. And then mom used to, down in Kentucky, we had an old boiler, or an old kettle set out in the back yard. How many remembers them old kettles? Look at the country folks. Well, I'll take off my tie now; I feel like I'm at home.
Look, brother, yes, sir, old kettle. And I used to have cut wood and pack that kettle and put under there and--and boil them clothes. And oh, my, that old home made lye, you know, and get that old soap and everything, scrub on a washboard, it was a sweaty day.
E-45 Now, I remember then, they come around and get a kettle in the fall of the year to cook preserves in them. You remember that? I used to have to cook the preserves. And I remember one time chopping an old locust post, old fence rails and things, trying to get that stuff to boil enough. It looked to me like it was hot enough to can. These little old yellow tomatoes, you know, gourd tomatoes. I... Did you know, they'd go right good now between hot biscuit, and some good fashion white country butter. Wouldn't that go good? My, I should say, that's--that's real eating.
And I remember mom would get a great big kettle of them and cook them. And I'd chop wood and put under there. I'd say, "Now, mama, them things are hot."
And she said, "Honey, you... they got to get hotter."
And I'd say, "Why do they have to get any hotter?"
E-46 She said, "They have to get so hot until they go to popping." Go pomp, pomp, pomp, like that. I said... Said, "Then they're getting sweet." Huh. Said, "Just keep pouring the wood on. They'll get sweet enough after while." Said, "That mixes all the juices and everything together, and that runs all the sugar with the juices, and that gets them ready for canning."
I thought, "That's about right with an old time Holy Ghost meeting too. Just keep throwing the old Gospel wood on there, brother, and let her get hot enough till you have a testimony meeting, pop, poof, pop, poof, pop, like that. Runs all the Devil out and gets the Holy Ghost munching around with the people like that, sweetened up. Then you have an old fashion revival on. Just keep laying the wood on it, blowing it just as hard as you can, fanning it. God will take care of the rest of it. It'll sweeten up the preserves and you can can them down then." Yes, sir.
E-47 I can think of the Angel speaking to Gabriel, or Gabriel speaking to the priest. He went up home, and about six months later, here comes Mary with this kettle on her head, or pot of water, and right in the face of the road shined a big Light, shining down from heaven. Walking into this Light, came the great Archangel Gabriel, said, "Hail, Mary, blessed art thou among women."
Why, the salute kinda frightened the little virgin, she jumped back, she didn't know what it was. There stood the great Archangel, standing in her presence: told her all about Zacharias' wife, Elisabeth, which was her cousin. John and Jesus were half--were second cousins, or first, second cousins. Mary and Elisabeth were first cousins. And told her about that, and said, "You're going to have a Child, knowing no man."
She said, "How will it be?"
Said, "The Holy Ghost is going to overshadow you." And said, "That holy Thing will be born in you will be called the Son of God."
E-48 Now, I want you to notice the difference. Now, brother, get on your shock proof vest, listen to this. There a preacher that had all kind of examples to look to back there, disbelieved it, on something that he was going to live with his wife and she was produced a child in her old age, but this little woman had to believe something that had never happened. Never was a baby borned a virgin birth. And instead of questioning, she just took the Angel at His word and begin to rejoice.
I tell you what Evansville needs today, is like the rest of the world, is some more Marys who can take God at His Word and start rejoicing over It. Now, she didn't wait till she felt life; she didn't wait till she was positive. She just took God at His Word. Don't wait and say, "Now, when my hand gets a little better, and I'll believe it. When I can move my foot a little more..." Believe it now and start rejoicing. Hallelujah. Take God at His Word; It'll produce just exactly what He said. Amen. Brother, I feel like a holy-roller right now. Look, you're going to call me that anyhow, so you just might as well get started at it.
E-49 Oh, when people will take God at His Word... God said He'd heal you. Believe it. God said He'd give you the Holy Ghost. Believe it. God said He'd give you Eternal Life. Believe it. God's still got His Angels; He's still got His man. He's still got His ministry. He's got everything, just as He always had. And He's got somebody's going to believe His Word.
I can see little Mary going around saying, "I'm going to have a baby, knowing no man. I'm going to have it anyhow."
"Oh, Mary."
I can see the doctor saying, "Tsk, tsk, tsk, tsk, Mary, say, do you know you--you--you'll start a fanaticism. Why, they'll class you with them holy-rollers down there if you start testifying such stuff as that. The very..."
"Well, doctor, it don't make any difference whether I am now or not; I'm going to have it anyhow, 'cause God said so." Amen. That settles it. When God says so, that--that's the plumb line.
All right, I can notice her now, here she goes up into the country. Oh, my. She's going up to meet her cousin; she'd heard about her. You know, she wanted to find out how this was up there. So way up in the country she went to meet Mary, or Elisabeth. And Elisabeth had hid herself now for six months. And the baby had had no life yet. So when she seen Mary coming... Oh, I can see Mary just running, so happy, because she's going to the baby, no signs or nothing, but she believed it anyhow.
E-50 So she goes out to meet Elisabeth. And Elisabeth come out to meet her, you know, and throwed her arms around her, I imagine, and begin to hug her, and kiss her, saying, "Oh, Mary, I'm so glad to see you, darling," and them hugging one another.
Women used to do that. Men used to have a great fellowship. But that died out somewhere. That's right. We don't have love for one another no more, don't have no feeling for one another no more. Why, the only way you know you're neighbor's dead, when you read it in the paper any more. That's right. Nobody don't have any feeling for one another. Well, down in Kentucky, we used to go, and help shuck the corn out, and cut the wood, and everything, when somebody was sick. You don't know nothing about that no more. Nobody knows anything about it. Brotherly love just seems to be ceasing. It's too bad.
E-51 And I can see Mary and Elisabeth hugging one another. Here I'll tell this on my wife. I ain't spotted her yet; she's setting around here somewhere. She going downtown here not long ago, and we was riding along the street, and there was some girl said, "Hello, Sister Branham."
And I--I never heard her say anything. I said, "That girl spoke to you."
She said, "I spoke to her."
I said, "Well, I didn't hear you."
She said, "Well, I smiled."
E-52 A little silly grin... You know what? I like a good old fashioned, Methodist, pump handle shake like that, brother, got some feeling in it.
Paul Rader said one time, him and his wife was having a little spat, fussing, or something another. Said, "He setting at his table reading the paper, he'd always kiss her good-bye when he went out the door." And said, "He got up that morning, go out the door," and said, "she was standing at the door with her head down," said, "she puckered up her lips and he kissed her." Said, "She was always stand when he got out the gate, then he'd close the gate, turn around and say, 'Good-bye.'" Said, "He turned that morning, say, 'Good-bye.'"
She said, "Good-bye."
"Went on down the street, and he got thinking about it." Said, "You know what? What if something would happen to me today? And you know the Lord don't want me to feel that way about that." Said, "Maybe I was in the wrong."
E-53 He got thinking about it just as... Oh, he got so bothered about it till back up home he went, through the gate, rushed through the door; when he throwed the door open, she was standing behind the door crying. So he just re... Never said a word, just looked at her, pulled her around, throwed her up against him, and kissed her, said, "Good-bye."
She said, "Good-bye."
He went out the gate, pulled the gate together, said, "Good-bye."
She said, "Good-bye."
He said, "The only difference was, the last time had a feeling in it." And that's right.
Brother, that's what I think about religion. It's got to have a feeling in it; it's got to have something there, something positive, something real. Makes us know and feel that God is near, and this man's our friend, he's our brother, this is--this is friendship.
E-54 I can see Mary and Elisabeth out there, you know, just a having a great time rejoicing. I can hear Mary say, "Oh, Elisabeth, I'm so happy. You're an old woman here and you're going to have a baby."
"Yes." I can hear her say, "That's true. But you know, Mary, I'm just a little upset. I've hid myself now for six months, for you know, there's no life yet to the baby."
Now, that's subnormal. I want you to watch, the first thing that--about Jesus now. That's subnormal. About two or three months, life.
She said, "But this is six months and no life yet." Why, she was worried about it.
And then she said, "You know, Gabriel met me, and He--He overshadowed me and said that I was going to have a Child, knowing no man." And she said, "He told me I was to call His Name Jesus."
E-55 And just as soon as he said--she said, "Jesus," little John come to life, begin leap in her wombs for joy. Brethren, the first time that the Name of Jesus Christ was ever spoke by mortal lips, brought life to a dead baby. What ought it to do to a born again Church, that's borned of the power of God. If the first time it was ever spoke brought life to a baby, and that baby doesn't only receive life, it the Eternal Life, it received the baptism of the Holy Ghost in the mother's womb. Hallelujah. Oh, I feel religious.
Look, brother, I tell you, when he spoke that Name, that mother spoke that Name, Jesus, and Elisabeth got the Holy Ghost at the same time, she said, "When did the mother of my Lord come to me?" Said, "As soon as your salutation come into my ears, my baby leaped in my womb for joy." Hallelujah.
E-56 I tell you brother, if it'll do that to a dead baby, what will it do to a sick man or woman that's borned again of the Spirit of God? It'll give life too. It'll take death away every time and bring life. That great wonderful Name of the Son of God, Jesus Christ, how wonderful He was.
Oh, I wish we had time, but our time's getting away quick. Let's hurry. Let's go down here now just a minute. When this little old baby, John was born. He didn't go out to the cemetery, or seminary, all the same place, all the same thing. I've always felt a seminary preacher like I did about an incubator chicken. It just chirp, chirp, chirp, and it ain't got no mammy to go to. It was mechanically turned out.
E-57 That's what's the matter with a lot of these fellows today, you don't know nothing about God and don't--denying the power of healing and the power of God, is because you ain't got no real father to go to. You got a seminary to back you up. I'd rather have the Holy Ghost at any time to back me up, and the whole world be against me. When God will confirm His Word with signs and wonders following, it shows where you come from. Amen. Amen.
"Amen" means "so be it." Nobody get scared, I've never hurt nobody yet. I slobber a whole lot up here, but I've been eating a lot of new grapes out of Canaan; that makes me slobber, you know. So I--like a horse eating clover.
But look, brother, I know where I'm at. I'm not excited. I know right where I'm--where I'm at. So I don't hurt people, just stand, open up your hearts and get into it. That's the way to do it.
E-58 When I was a little boy we used to go swimming. And I usually had less clothes then any of them, just had one old pair of overalls with a fodder twine around and a nail for a button. Did you ever have that, all you country boys? We'd all start running, and you know, barely make it, who'd be the last in. I was always the first one, 'cause I didn't have to pull off no shoes. Didn't have any to pull off. Only thing I had to do was pull a nail. Them clothes just hung in the air and I was in the water. Then they looked on to see what me... what... how the water was. If the water was cold, I'd hold up one finger, it was cold. If I held up two fingers, it was good, come on in. Then clothes go to scattering everywhere. Everybody'd be in the pool.
And brother, I'm telling you now, to you guys that has never been in the pool, I've got two fingers up; it's just right. Jump into it and find out. You'll find out it's just wonderful. The Spirit of God bathing through the people, Holy Ghost, sanctifying power, cleansing, healing. Oh, it's marvelous. Amen.
E-59 Notice, oh, I can just think of John when he was born. What kind of baby ought that to be? He didn't go to no seminary, but he went back out in the woods, out there, and stayed with God. Instead of studying genealogy, he went out on his knees and got some kneeology. He knowed what he was talking about. He came out of the wilderness, brother, with a--not with a tuxedo suit on, his collar turned around the back, eating fried chicken three times a day. No, sir, that boy come out with a big old piece of sheepskin draped around him like this. But he preached repentance. Hallelujah. And he preached such a message it stirred all the regions around about Jordan.
What we need in Evansville and everywhere else today, is some Baptist preachers that'll preach like that, not compromise with sin (That's right.), that'll preach the Gospel.
E-60 Old Herod come out there with Philip, his brother's wife, I hear somebody say, "Don't you preach on marriage and divorce?"
He stuck his finger right in his face and said, "It's not lawful for you to have her." Hallelujah.
How could a man that had the baptism of the Holy Ghost in him, do anything else but condemn sin when it was before him? Whew. I feel good. Look, brother, let me... "Oh," you say "I'm crazy." If I... Let me alone if I'm crazy; I'm having a good time. I lost my mind of the world to find Christ. Yes, sir. It always is silly to the world. But that don't make any difference how silly it looks to the world; I'm enjoying it. I'll tell you one thing: I'm having a lot more good time enjoying myself and having a good health, and prosperity, and everything with this kind of a mind then I had when I had the kind of mind the world's got. Amen.
E-61 All right, look at little old John. I can see him standing out there, just a preaching away. My, how he was laying that axe to the root of the tree. Every tree that didn't bring forth good fruit was hewed down and cast into the fire. Whew, what a Baptist preacher. Brother, that was one Baptist had the Holy Ghost. Yes, sir, he really preached it. And he didn't get It when he believed. He got It by unmerited grace. That's exactly right. That's the way everybody else gets it. Not when you believe, but, "Have you received the Holy Ghost since you believed?" The gift of God is Eternal Life. The Baptism of the Holy Ghost comes down and brings signs and wonders. Amen.
Oh, how I love Him. How God's always kept His Word. God will keep His Word every time, not ninety-nine times out of a hundred, but a hundred out of a hundred. God will keep His Word.
E-62 I thought when Israel journeyed, there when they come out of Egypt, went over into the promised land, God promised to take care of them. He's under obligation to do just exactly what He promised. I think when they crossed the river there with nothing to eat, no place--no place to go, just come out on bare Word that God spoke through His prophet, and said He'd take care of them. And there they was standing on the other side, the taskmasters all dead, laying in the sea, what a glorious time.
Here some time ago I was preaching on: "The Two Trees Out Of Eden," and I said that was a bunch of holy-rollers. And somebody called my hand. Said, "Do you mean to tell me that the great prophet Moses was a holy-roller?"
I said, "He sure was. He sure was a holy-roller."
"Why, Brother Branham, ridiculous."
E-63 I said, "I want to tell you something. After he passed through the Red Sea and seen all them old things that drove him and made them people do what they didn't want to do, drove them around like old dirty habits and show going and everything else, and going on, is making you do what you don't want to do. Right down in your hearts you know it's wrong to do it. You run out and do things, you're just a slave to it. And when he seen all them drown in the Red Sea, Moses threw up his hands, and begin to sing in the Spirit. And Miriam, his sister, the prophetess, picked up a tambourine, begin to dancing and running down the river, a dancing in the Spirit and all the daughter of Israel followed her. (Amen.) If that ain't a holy-roller meeting, I never seen one." Amen. Amen.
E-64 Remind me of what I said here not long ago about, up here I was passing through. I like to go hunting, 'cause I just like to get in the woods and be alone. I passed through a place one night up in British Columbia, about two years ago. I was hunting and I got lost out there. And this was old place was eleven hundred miles from the hard top road. So was on a bunch of horses, and I was chasing a grizzly bear. And I got lost out there somewhere, and I didn't know which way to go. So I thought, "Well, Lord, You help me back, You--You're the One's with me."
I was riding along, got dark. I got down to an old blow over where there was an old burn over, rather, where it'd been a big bunch of trees standing way up high. And--and the moon was shining. And if you ever talk about a spooky looking place, you ought to get in one of those. Um, it's worse than a seminary.
E-65 So you get in there, you know, all these great big old spooky looking trees, and then the first thing you know, here come a big wind coming down. A rushing wind come out of the heavens, and when it hit them old trees, it made it more spookier than ever. They begin to go, "Umm, ohhh." I thought, "Oh, my." Oh, I said, "Well, what do you know? Look at those big old trees, why don't they... Why, they just stand there just as straight and starchy, you know, couldn't move. And the wind a blowing, they go, [Brother Branham illustrates--Ed.]"
And I thought of over in Joel, he said, "What the palmerworm left, the caterpillar eaten; what the caterpillar left, the locust eaten," so forth. And I happened to think of Joel's prophecy. That's right. What one left, the other one eaten. But I thought it was a very bad picture, until I thought over in the 3rd chapter of Joel, God said, "I will restore, saith the Lord."
E-66 I thought, "Lord, where does this part come in?" I happened to look down, and that wind come down through there again. I stopped my horse, just acting like a holy-roller, shouting as hard as I could right there, just a going on, my hands up in the air glorifying God. And I happened to look, the horse all, with his ears looking down at me wondering what in the world was going on with him? And I was just running around and around the tree just shouting and praising the Lord, having a good time, 'cause I seen something.
I seen them great big old trees standing, I thought, "Yeah, that's just like these great big old towering churches standing here, and every time God sends a rushing mighty wind like He did on the day of Pentecost, they... only thing they could do is stand there like a big old tombstone, go, "Umm, days of miracles is past. Umm, there's no such a thing as Divine healing. Umm, that's holy-roller. Umm, don't have no do with that. Umm," just a moan, moan, moan." That's all.
E-67 I thought, "Well, God, why'd You send the wind for anyhow?" Then I heard it come again. And I happened to look, coming up was a bunch of undergrowth, a little old bunch of trees. When that wind hit them trees, they were alive and flexible. They were just a dipping and a rejoicing. I said, "There's a holy-roller meeting; there it is, right down there now. 'I will restore, saith the Lord.'" Yes, sir.
They... Nobody can't say they're not churches; there nobody can't say... But, brother, the life's eat out of them. What the Methodists left, the Baptists eat; and what the Baptists left, the Presbyterians eaten; what the Presbyterians left, the Lutherans eaten. Brother, they got it down, one taken out healing; one taken out speaking in tongues; the other one taken out all these other things, till they haven't got nothing but a big old starchy thing that don't believe a thing the Bible says. Hallelujah. That's right.
E-68 Brother, God said, "I will restore." Hallelujah. Right down in there come up a bunch of holy-rollers that was just as green and flexible as they could be. Said, "Well, you haven't got no education." I'm as green as a gourd, but I can sure give to the wind. Amen. When God sends the wind, I like frolic with it. Let them say you're crazy, I don't care, just green enough to frolic with the wind. When the Spirit blows, just--just give with It. Say... Lord said, "I'm sending a revival, Holy Ghost power."
"I believe it, Lord, I believe it." Just rejoice
"I'm the Lord that healeth thee."
"I believe it, Lord, I believe it." Amen. Whew. Wished I was twice my size. Maybe I could feel twice as good. Brother, if I did, I don't know how I'd hold it.
E-69 Oh, sure, yes, sir. God keeps His Word. He kept it with Moses. Always keeps It. And I think of that night when they went in there, didn't have no bread. The little bread they had on top of their head in this trough, it was all gone the next morning. All that day had nothing to eat. When they went in and laid down, it not their business to worry. Wasn't nothing to eat, no corn fields to get into. No place to grow any corn, there was nothing but a big old desert, not even a sprig of grass. "How we going to get anything to eat?"
That's not your question; that's God's question. He said, "I will take care of you. I'm the Lord. I'm Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice. I'll make a way when there is no way. I am the way."
All right. Next morning when they went out, there laid bread laying all over the ground: Manna. That right? They picked it up and begin to eat it. "Um," said, "tastes like honey." Did you ever taste any of it? Now, that was the beginning of the journey of the first church of the natural.
E-70 Now, look at the beginning of the journey of the second Church in the spiritual. When the day of Pentecost was fully come, they come out of their the churches everywhere, and suddenly there came a sound from heaven like a rushing mighty wind, filled all the house where they were setting. Cloven tongues appeared to them like fire. Looky...?... My, the first thing you know, the power of God got onto them, they forgot about being Methodists, and Baptists, and whatevermore, and out into the streets they went screaming and staggering: Mary with them, all the rest of them just shouting and dancing under the power of God acting like a bunch of drunks. The Bible said they did.
And them big old starchy self Pharisees stood around, said, "These men are full of new wine."
Peter stood up in the midst, said, "Ye men of Israel, and you that dwell in Judaea, let this be known to you, and hearken my words: but these are not drunk like you suppose, seeing it's the third hour of day, but this is that."
E-71 If this ain't that, I'm going to keep this till that comes. Amen. Yes, sir. Said, "This is that that is spoken of by the prophet Joel. It'll come to pass in the last days, saith God, I'll pour out My Spirit upon all flesh: your sons and daughters shall prophesy, upon my handmaids and maidservant I will pour My Spirit; I'll show signs in the heaven above and the earth below;" and so forth.
When they got down like that, the manna was just a pouring down on that old apostle. Yes, sir. They said, "What can we do?"
He said, "Repent, everyone of you, be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, you shall receive the gift of the Holy Ghost. For this promise is unto you, and to your children, and them far off, even as many as the Lord our God shall call."
What was it? That original manna fell back there. Every time they tried to keep some of it over, it got wiggletails in it. That's what's the matter with a lot of our Pentecostal churches today, got stagnated, wiggletails in them, trying to say, "Well, the Lord give me the Holy Ghost ten years ago." What about today? That's right.
E-72 Brother, we can't build a fire in the same place twice; let's move up. God has got something else for us. Don't you believe it? He told Aaron, said, "Go out there and get two big omer's full of it, several omers, and take it in behind the holiest of holies, we will keep it there, and every man in the priesthood that enters the priesthood from hereafter, can come in and have a mouthful of the real first manna that fell on the day, the first day."
Oh, how typical that was of Pentecost [Blank.spot.on.tape--Ed.] comes of God. Now, they want the baptism of the Holy Ghost, the walls fall down, and you not only have a handful, or a mouthful, you can have a heart full of the genuine manna that fell on the day of Pentecost, the baptism of the Holy Ghost: not something that looks like it, but the--some of the original, some of the real with the same signs, same wonders and everything, that fell with in on the day of Pentecost. We get it again when God gives us the baptism of the Holy Ghost.
E-73 How long was it to stay? That manna fell until they entered the promised land. And the Holy Ghost is here from the day of Pentecost, and will stay with us until the day we enter the promised land. Amen. That's what the Church needs today. Yes, sir. Not so much membership, we all got a million more for forty-four, and all these different slogans. Bring the people in, and shake their hands, and put them into the baptistery and baptize them, take them back out and they walk outside smoke cigarettes, go to shows, dances. Why, the hog goes to his swallow and a dog to its vomit. That's right. That's pretty strong; that's not skim milk.
But let me tell you something brother, that's what the church needs today, is a good old time Saint Paul's revival, and the Bible Holy Ghost is what we need.
E-74 Reminds me here not long ago, I was in a little old... Well, it's been some time ago. Lot of these people are going along, I thought, "Well..." I seen an old terrapin, and that old fellow was one of the funniest looking fellows. He'd make... To my brother and I, he was making them big old hang-legged walks like that. I said, when I got to him he went, "Schu," scuff right back up. That's just puts me in the mind of a lot of people that can't take it. Go to preaching the Gospel and say, "I'll never go back to that place again, huh-uh, huh-uh. No, I can't do it." Go ahead, close in.
I said, "I'll make him walk." And I went and got me a switch and I liked to beat him to death; he wouldn't come out. You can't beat them into it.
I said, "I'll fix him." I picked him up top of the shell like this, took him down at the creek and socked him down in the water. Just a few bubbles come up; that was all. He stayed right in the shell.
E-75 Brother, you can baptize them this a way, that way, face forwards, backwards, two times, three times, anything you want to, he just go down a dry sinner, and come up a wet one. No difference, a few bubbles will start and puff blow around about it, but he ain't changed, no.
You know what I did? I got me a piece of paper and a bunch of wood and made me fire and set him on it. Brother, he walked then. If anything you need today, what I need today, what the church needs, is not some arguing about baptism, not some arguing about this church or that, what we need is a pouring out of the Holy Ghost and fire, they'll walk when God pours the Holy Ghost upon them, they'll get out and start moving, don't you worry. Amen. That's right.
Oh, my, I can see Jesus coming back. My, our time just goes. I don't know, maybe I'm just long-winded. But look, brother, when I can see Him, here in the time of our text, He just had to leave the home because His ministry was so great. But when He left the home, sickness come in.
E-76 Let me tell you something here today, Christians: When Jesus leaves your home, sickness will be there, don't you worry. Trouble's on it's road when you drive Jesus away. When you put a deck of cards in there, instead of a prayer--a prayer closet, put a card table, all right, trouble's on its road. That's right. When you take some of these old love story magazines and put it in the place of the Bible, trouble's on its road. Don't you worry about that. Yes, sir. When you quit going to church and blow up because the preacher told you it wasn't lady like to wear shorts, you're on your road; don't worry, trouble is on its road. Just keep on, you'll find out.
E-77 This case, they hadn't drove Him away, but His ministry, He went away because the Father give Him a vision to go. Trouble come in. Lazarus got sick. We're told by historians that--that Lazarus had something wrong with his lungs. Doctors could do him no good. And they sent for Jesus to come pray for him. You think He come? Huh-uh, He went right on.
Well, they sent again. He didn't come; He went right on. Well, if that'd been you, brother, you'd have went from the Methodist to the Baptist, took your letter over there. "I won't fool with that old pastor any more." You'd went from the Pentecost to the Nazarene. "I--I ain't going to fool with them old people no more." That's the reason God can't do nothing for you. That's right.
E-78 You're packing your letter from place to place, till it's wore out. Why don't you put your name in heaven once, brother? It'll stay there. See? That's right. You won't have to pack your letter around. Say, "I come in by letter of profession of faith." Profession of faith, the Devil believes hisself and trembles. That's no sign you're born again. That's no sign you're a Christian. Until you're filled with God's Spirit, you're still in darkness. That's right.
Notice, here He was. Profession of faith, packed the letter from place to place, brother, if that ain't a disgrace, I never told it. You need your name written in the Lamb's Book of Life. Then God will take care of it. Don't you believe that? That's what we need today, is one of those old time revivals.
E-79 I remember something about it, a turtle just happened to come in my mind. One time, oh, I caught a turtle on a line; I cut his head off. He's was old snapper. I didn't want to take the hook out and just throwed it back on the bank. My little brother come along, side of the pond; he said, "What'd you catch awhile ago Billy?"
And I said, "A turtle."
Said, "What you do with him?"
I said, "I killed him." I said, "I'm going to take some to the colored folks down there to used to make turtle soup, going to take..." He was a great big fellow there.
He said, "Is he dead?"
I said, "Sure."
He said, "Well, he ain't got no head."
I said, "No, his head's laying back there."
E-80 He walked over to where it was at; he got a stick, and he put that stick down there. And an old turtle snap after he's done had his head off, you know. So he had his head up like that, and he set that stick down, he went [Brother Branham claps.--Ed.] snap. Said, "Say." My little brother, said, "I thought you killed him."
I said, "I separated his head from his body." I said, "I suppose he's dead."
He stuck that stick down again, he went [Brother Branham claps.--Ed.] snapped at it again. He said, "He's just dead and don't know it, isn't he?"
That's just what's the matter with a whole lot of people today. They're dead and don't know it. Brother, Jesus Christ will make you alive. That's right. Oh, how glorious.
E-81 I see Him as He comes into the city now, triumph, went away, He's on His road back now. And here's little Martha. They'd buried Lazarus. He'd been dead four days, rotten already, or contamination, ever what you want to call it. My kids would know it better if I said rotten, so that's what it was. His body was rotten, so they just took it back, put him in a grave and covered him up, went on back. Four day is gone; all hopes was gone, the darkest hour that the little family ever seen. Then the first thing you know, they heard Jesus was coming.
Isn't that just like Him? When the darkest hour comes, then Jesus comes along. Was it that way for you? It was when I was laying yonder in the hospital, the doctor told me I had three more minutes to live, in Louisville, Kentucky, in the Jewish hospital. Then Jesus come along.
Little Georgie Carter, here at Milltown, nine years and eight months, laying on a bed. Her church taught days of miracles is past. God gave a vision, said, "Go down there." When it's your darkest hour, she was dying. Weighed thirty-seven pounds. Then Jesus come along. Yes, it's always that way; the darkest of hour, then Jesus comes along. I've seen in my own family when things get so dark I didn't know which way to go, then Jesus comes along.
E-82 Jesus come in town. Now, it seemed like that Martha had a right to upbraid Him, scold Him, say, "Here, what didn't You come to my brother?" If she'd have done it, the miracle would've never taken place. Watch on the platform those who come reverently, watch what they get. It's the way you approach anything. It's the way she approached.
Now, she had a right, look like. The way us American people say today, "Well, that pastor, I wouldn't have nothing to..."
I can hear them all making fun of her, saying, "Hey, where's that holy-roller preacher at was doing all that there Divine healing? Uh-huh, when his buddy died, away he went. There you are, where is that guy that you all come out of your church for, thought he was such a preacher? And when the real trial come, away He went."
E-83 But you know, Martha had read the Word. She read over there one time where the Shunammite woman, that God had give her a baby and Elijah told her. And the baby died. She didn't understand why that baby died, but she went to see Elijah. I like that. She said, "Saddle this mule, go forward, and don't you stop 'less I bid you."
Said she was going to Mount Carmel to find the prophet. She knowed that that prophet was God's representative. She didn't know why the baby was taken. She was barren, and Elijah told her she was going to have a baby; she did. And the little baby got ten or twelve years old, about eleven o'clock in the day it had a sunstroke, I guess, it begin to cry, "My head." The father sent it out of the field. So the mother, it laid on her lap and it died about noon time. She took it up and laid it on Elijah's bed.
E-84 Say brother, that woman knowed something, didn't she? Good place to lay it, in the prophet's chamber, on the pastor's bed. She laid him up there on the bed; she saddled this mule and took off. Now, God don't always reveal everything to His servants.
I can see Elijah, saw her coming, and he said, "Here comes that Shunammite," said, "she's got sorrow in her heart, but God's hid from me; I don't know what's wrong with her." I like this, watch. He said, "Is all well with thee? Is all well with thy husband? Is all well with the baby?"
She'd got to where the prophet was then, she said, "All is well."
I like that. Everything's all right. The baby a corpse, her husband like a maniac, walking the floor, her own heart breaking, but, "All's well, all is well." She got to God's representative. Like you should to your pastor. She run up there; she fell down at his feet, and she revealed the secrets, that the baby was dead. He said, "Gehazi," to his servant, "gird up thy loins and take my staff and go lay it on the baby."
E-85 Now, I think that's where Paul got laying handkerchiefs on the people. See? Because Elijah knowed that everything he touched was blessed. He knowed that in his body was the power of God. He knowed he was one of the branches off of God's tree. And he knowed God could only operate through him, for he was His representative. And what he touched, He blessed. He said, "Take my staff and go lay it on the baby."
Now, the woman's faith wasn't in the staff. She said, "As the Lord God lives, and your soul never dies, I'm not going to leave you till I know something."
I like that: determined to stay right with it. All right, he girded up his own loins, and here he went. Gehazi went ahead. I want you to notice something, pastors too. He said, "If anybody talks to you, don't talk to them. Don't say a thing, but go take this commission."
E-86 I think if we preachers would do that a whole lot more, go on God's commission, quit listening to what people is saying, we'd be a lot better off, get more done. And he said, "Don't you talk to anyone." So Elijah followed him.
Gehazi went in and laid this staff... Sure, it wouldn't work, certainly. The woman's faith wasn't in that; it was in the prophet. And when the prophet got there, notice, he never went in, begin to agonize with God. He walked in, walked up-and-down the floor, back and forth, pacing up-and-down the floor. "Lord..." He didn't know what to do. He went...
He knowed God was in him. So he laid his body over that dead baby, put his lips against its lips, his nose against its nose, and just laid there a little while. He felt the baby; it was warm. Walked back and forth, prayed, walked back and forth again, went laid his body upon the baby again, and it sneezed seven times and come to life. Is that right?
E-87 Now, look, Martha had read that story, no doubt. And she knew if God was in Elijah, surely He would be in His Son. Her brother was dead, but she wanted to see Jesus. Here she goes; she didn't come out to scold Him, she come out to worship Him. And she come running out; she fell down at His feet, and said... Now, watch how she approaches God. She fell down at His feet to worship, not to scold Him 'cause He didn't come do what she wanted to do. She come right. She come in the right mental attitude. That's the way you got to come. You've got to come to Him that way in the right mental attitude.
Fell down at His feet and said, "Lord," that's what He was, give Him His right title, what He claimed to be. Said, "Lord, if Thou would have been here, my brother would not have died."
Oh, watch, she's at the right place, before the right Person. Sorrow, heart, her poor eyes was streaked, beautiful girl, I guess. And oh, her eyes were streaked, the bread winner was gone, her brother was dead; he was buried, been dead four days, already skin worms in his body. Said, "If Thou would've been here, my brother would not have died. But even now (I like that.), even now, whatever You ask God, God will do it. Even now, Lord, he's dead, been dead four days, why, he's stinking. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." That's right.
E-88 Brother, I can just see them cogs coming together like that. See? Something's got to happen. She's at the right Man, the right attitude, the right approach; everything's moving right. Can't you get that way just now too?
Said, "Even now, Lord, whatever You ask God..." Maybe God--the doctor told you you wasn't going to live, you got a cancer. What difference does that make? "Even now, Lord..." He's still hears you; He's sitting at the right hand of God. Don't you believe that, making intercessions? "Even now, Lord, whatever You ask God, God will do it."
He said, "Thy brother shall rise again."
"Oh," she said, "yes, Lord. I know he will raise in the last days, for he was a good boy; he will raise in the last days." They believe in the general resurrection (You see?), them Jews.
E-89 He said, "I am the Resurrection and Life." Oh, I like that. "I am the Resurrection and Life: he that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live: and whosoever liveth and believeth Me shall never die."
Brother, He wasn't very much to look at, but He had the Words of God in Him that meant truth. Said--said, "I am the Resurrection and Life: he that believeth in Me, though he were dead, ye shall he live: Whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yes, Lord: I believe every word of it. I believe that You're the Son of God that was to come into the world."
E-90 There's God's representative; here's a broken-hearted woman; there's a dead man laying over there. This broken-hearted woman with perfect faith, is coming, recognizing this gift of God here, the Son of God, greatest gift ever give to the world; giving Him His right title, giving Him His right worship, saying, "I believe that You're the Son of God, and whatever You ask God, God will give it to You." Something's got to happen. Said, "Yes, Lord, I believe it. I believe that You're the Son of God that was to come into the world."
He said, "Where have you buried him?"
Here He goes. Now, on this, some time ago, long time ago, I met a woman who doesn't believe that Jesus Christ was Divine. You know, that's a common teaching today in the churches? Do you all know that? They believe Jesus was just a prophet or a good man. If He wasn't God, He wasn't nothing. If He wasn't God, He was the biggest deceiver the world's ever had. If He was just a prophet, His Blood was no more then my blood. He was God. He was more than a man; He was Divine.
E-91 This... I tell... I ain't... Now, listen, you people here that belongs to this church, I'm not making fun, and I'm not pushing this off at you, but it's Christian Science. And she said, "If I prove to you that He wasn't--He was just a ordinary man, would you accept it?"
I said, "Yes, if you can prove it by the Bible."
Said, "I'll prove it by the Bible that He was just a man."
I said, "He was a man, yes, but He the Son of God."
She said, "Well, He was just an ordinary man at that."
I said, "He was--He was--He was more than a man; He was Divine."
Said, "He wasn't Divine, Brother Branham." Said, "I'll prove it by the Bible."
I said, "Where will you prove it?"
E-92 She referred to Saint John 11. She said, "Going to the grave of Lazarus, He wept." And said, "That proves that He wasn't Divine, because He could weep."
I said, "My, my." I said, "That argument is thinner than the broth made out of a shadow of a chicken that's starved to death." I said, "That thing wouldn't hold nothing." I said, "Do you mean to tell me that that's the reason you believe He wasn't--that He wasn't Divine, because He wept?"
Said, "Yes."
I said, "When He went down to the grave, He went weeping, that's true. But He was a God-man, God was in Christ reconciling the world to Himself." And I said, "He was a man when He was weeping, but when He stood there in the little bitty figure that He was, and a man that had been laying there four days, He stretched His little body and said, 'Lazarus, come forth.' Brother, that was more than a man, that was God speaking out of them mortal lips." A man that had been dead four days stood on earth and lived again. His dead... His body was four day's journey somewhere. I don't know where he was, and neither do you, so we won't argue about that. But anyhow, he'd been dead four days, and when He said, "Lazarus, come forth!" A man that was dead four days and skin worms crawling through his body, stood on his feet and lived again. Brother, that was more than a man, it was."
E-93 It was true He was a man when He come off the mountain that night; He was so hungry, He looked all around the tree. He couldn't find nothing to eat and He cursed the tree. He was a man when He was hungry. But when He taken those five biscuits and two little, three little pieces of fishes and fed five thousand, that was more than a man. That was God in Him. Truly. Yes, sir.
He was a man when He was laying out there on that ship that night. It floated around. Ten thousand devils of the sea swore they would drown Him. That little old ship bobbing up-and-down like a bottle stopper, the Devil says, "I got Him now. He's asleep laying there. He's so tired from healing the sick till He can't move."
He was a man when he was laying there asleep; that's true. But when He put His foot on the brail of the boat, looked up and said, "Peace, be still." That was more than a man; that was God speaking out of His Son. Hallelujah.
E-94 He was a man when He cried yonder at Calvary for mercy, when He was dying, but when He rose up on Easter morning, He broke the sounds of death and hell. That was more than a man; that was God in His Son. Believest thou this?
I believe that that same Jesus that was yesterday is today and will be forever. Believest thou this? I believe a woman who couldn't get in the prayer line, touched the hem of His garment and was made every whit whole. Believest thou this?
I believe it's Jesus Christ that makes the blind to see, the deaf to hear, the dumb to speak. You, believest thou this? I believe it's Jesus Christ the same yesterday, today, and forever, that gives these people the Holy Ghost and makes them scream and shout and carry on the way it is. You, believe thou this? I believe the Holy Ghost is right here now. Believest thou this? I believe He's ready to heal everybody in the building. Believest thou this? I believe He's ready to fill every person with the baptism. Believest thou this? Hallelujah.
E-95 I believe He's here right now, don't you believe that? Believest thou this? Let's stand to our feet and give Him praise right now. I believe you'll receive the baptism of the Holy Ghost. Believest thou this?
Our heavenly Father, as You did last night, so be it tonight. May the power of the Holy Ghost fall over this building. God, take away doubts, fears, and give the baptism of the Holy Ghost just now. Grant it.
I believe He's here to fill every one of you. Believest thou this? I believe you'll accept your healing, you can get out of the wheelchair. Believest thou this? I believe you'll accept your healing, you'd get off the cot. Believest thou this? I believe He's here to give you that, heal that cancer. Believest thou this?