Sur Ta Parole
1 Que Dieu vous bénisse, Frère...?... Merci. Bonsoir, mes amis. Je suis très heureux d’être ici ce soir au service de notre Seigneur Jésus-Christ, et ma prière est que Ses glorieuses bénédictions reposent sur chacun de vous sans exception.
Et nous sommes bien sûr heureux d’entendre de bons témoignages sur les gens qui ont été guéris. Cela me rappelle le soir où le Saint-Esprit s’était tenu ici au-dessus d’une femme qui était couchée sur une civière, immobilisée par l’arthrite ; le Saint-Esprit lui a dit de se lever et de rentrer chez elle. Et je viens d’apprendre qu’elle fait son ménage et qu’elle travaille çà et là à la...?... Voyez-vous, si seulement vous écoutez et faites ce qu’Il vous dit, vous vous en tirerez toujours bien. Vous–vous n’êtes jamais dans l’erreur lorsque vous servez le Seigneur Jésus.
J’aimerais lire une portion de Sa Parole maintenant. Cela se trouve dans le Livre de Saint Luc, au–au chapitre 5.
Comme Jésus se trouvait auprès du–du lac de Génésareth, et que–que la foule se pressait autour de lui pour entendre la parole de Dieu, il vit au bord du lac deux barques, d’où les pêcheurs étaient descendus pour laver leurs filets.
Il monta dans l’une... barques, qui était à Simon, et il le pria de s’éloigner un peu de terre. Puis il s’assit, et de la barque il enseignait la foule.
Lorsqu’il eut cessé de parler, il dit à Simon: Avance en pleine eau, et jetez... pour pêcher.
Simon lui répondit: Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je jetterai le filet.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole pendant que nous Lui parlons maintenant dans la prière, si vous voulez.
2 Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Tes compassions et Ta bonté que Tu nous as accordées pendant que nous reconnaissons être indignes de toutes ces bénédictions, mais par grâce, nous les avons reçues au moyen de la foi en Jésus-Christ, Ton bien-aimé Fils.
Et nous sommes très heureux ce soir de savoir que nous qui étions autrefois loin de Toi, maintenant nous avons été rapprochés par l’effusion du Sang du Juste, de l’Innocent à cause des coupables, et nous, en tant que des pécheurs coupables et indignes, nous avons été réconciliés avec Dieu, en sorte que nous sommes Ses fils et Ses filles par la grâce de Jésus-Christ. Et ensuite, étant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham, nous sommes héritiers selon la promesse si nous marchons sur les traces du fidèle Abraham.
Combien nous Te remercions pour la Vie de Jésus-Christ! Du fait qu’Il est venu et a pris notre place, comme–comme un pécheur, sans connaître de péché, cependant Il a été fait péché pour nous. Et Il est mort au Calvaire, en acceptant la peine de mort, en la prenant sur Lui, Son âme est descendue en enfer ; mais il n’était pas possible qu’Il en soit le Détenteur, alors Dieu L’a ressuscité le troisième jour.
3 Maintenant, Il est assis à la droite de Dieu le Père, intercédant pour nous. Et nous venons ce soir en Son Nom, sur base de Sa Parole qui dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.»
Maintenant, nous croyons que nous recevrons ce que nous demandons, à cause de notre confiance en Jésus-Christ qui a prononcé ces Paroles. Et maintenant, bénis-nous ensemble. Guéris les malades, sauve les perdus, et ramène les rétrogrades dans le Royaume de Dieu, Seigneur.
Accorde-le, Seigneur, et que le Saint-Esprit maintenant nous enferme dans Sa Présence et dans Sa gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
Nous sommes toujours plus qu’heureux de parler avec les gens pendant un moment. Je ne suis certainement pas un–un orateur. Mais j’aime bien parler des bénédictions de notre précieux Seigneur Jésus-Christ pour montrer combien Il a été bon.
4 A propos du passage de l’Ecriture de ce soir... Et juste avant cela, je viens de me rappeler que nous avons encore deux soirées avec vous tous ici. Je dois me dépêcher pour aller à Chicago, et puis Dieu seul sait où aller ensuite, peut-être outre-mer. Vous allez tous prier pour nous, j’en suis certain.
Et maintenant, nous vous aimons d’un éternel amour chrétien, l’amour le plus chaleureux de la communion chrétienne. C’est de cet amour que je vous aime. Je me souviendrai toujours de la manière dont vous, le fidèle petit groupe, vous vous êtes attaché à nous et de ces soirées par ici à–à West Palm Beach.
Hier soir, j’étais... Eh bien, je ne sais pas si vous appelleriez cela prêcher. Je parlais du Seigneur, et je pense que c’est... J’étais presque... Cela me rend nerveux après un si long moment... un certain état de blocage qui... Ensuite, des fois je... On me laisse continuer de parler ou de prêcher pendant un moment, et cela me détend donc un peu. Mais des visions sans arrêt, eh bien, cela affaiblit.
5 Je suis certain que les croyants chrétiens pourraient ne pas comprendre cela, moi non plus ; mais nous savons tout simplement que c’est la vérité. C’est ce que Dieu dit, et nous comprenons que cela fait sortir quelque chose de vous. C’est comme le–le Daniel, un prophète dans la Bible, il a eu une seule vision. Il a dit qu’il est resté troublé pendant plusieurs jours. En d’autres termes, une vision vous introduit dans deux mondes à la fois. Vous êtes présentement dans ce monde-ci, alors que vous êtes dans un autre monde ; et vous parlez là-bas sachant que votre voix est entendue ici. Mettez-vous-y une fois et voyez simplement ce que cela vous fera. Alors, beaucoup de ces... Ensuite, quelques temps après, vous en arrivez à un point où vous ne savez plus si vous êtes dans ce monde-ci ou si vous êtes dans celui-là. Seulement vous... Et juste–c’est un peu ce qu’il en est de moi. Voici environ six semaines que je suis continuellement en déplacement. Aussi longtemps que j’ai tenu des réunions comme ceci depuis longtemps. Je suis venu ici parce que je vous aime, vous, mes frères. Ce n’est pas que je suis venu parce que j’avais un grand nombre de sponsors. Je n’en avais pas. Je ne me suis pas soucié d’avoir un grand nombre de sponsors. La seule chose que j’ai l’intention de faire, c’est venir ici, et faire ce que je peux pour la gloire de Dieu, afin que Dieu vous aide, mes frères. Et je sais qu’Il l’a fait, et je sais que peut-être au travers de l’enseignement de l’Evangile et de l’opération du Saint-Esprit, des choses ont été accomplies qui pourraient se manifester pendant des années et des années à venir. Nous ne savons pas ce qui arrivera. Dieu seul le sait.
6 Mais cela fait toujours une grande joie de se retrouver parmi les enfants de Dieu. Et je crois que juste dans cette ville, et juste au milieu de cette assistance ce soir, les enfants de Dieu élus sont assis ici, et j’ai le privilège d’être avec eux. Vous savez, cela me fait tellement du bien de savoir que je suis en compagnie des fils et des filles de Dieu.
Et maintenant, pour ce qui est du texte pendant quelques instants, je ne vais vous garder qu’un peu de temps. Le passage de l’Ecriture concerne Jésus. Il est dit que les gens se pressaient autour de Lui pour entendre la Parole de Dieu.
Oh! la la! cela montre qu’ils avaient faim, n’est-ce pas? Vous ne pourrez amener les gens à s’intéresser à la nourriture que s’ils ont faim. Et c’est lorsqu’ils ont faim, qu’ils peuvent alors parler vraiment de nourriture.
7 Et c’est ce qu’il en est, si les gens ne... Si vous ne vous intéressez pas à Dieu, vous ne pourrez pas parler de Dieu aux gens ; mais lorsque les gens ont faim et soif de la justice, Dieu a dit: «Ils seront rassasiés.» Mais, il faut d’abord qu’il y ait une faim et une soif. Vous devez réellement désirer la chose.
C’est tout comme la guérison ; si une personne vient et qu’elle s’appuie... Eh bien, le médecin dit: «Je pourrais peut-être vous tirer d’affaire en quelques semaines.» Cela... Eh bien, elle–elle ne va pas tellement compter sur Dieu à ce moment-là. Mais lorsque le médecin dit: «C’est la fin. On a fait tout ce qu’on a pu,» c’est alors qu’on commence réellement à chercher à prier, et à se mettre en ordre avec Dieu. Vous vous mettez à démolir les–les suspicions et tout autre genre d’autels, et vous allez commencer à vous mettre en ordre avec Dieu. Et ainsi, dans cette dernière étape, c’est de cette façon qu’on voit généralement les miracles s’accomplir, lorsque les gens sont dans le désespoir.
Maintenant, je–j’espère que personne n’est obligé d’être dans cet état de désespoir, ici. J’espère que cela n’existe pas dans–dans cette contrée. J’espère que cela n’existe pas au milieu de ces gens-ci, et j’en suis très très heureux.
8 Et si je ne me trompe pas, n’est-ce pas cette dame-ci qui était restée assise si longtemps dans le fauteuil roulant? Je suis heureux de vous voir hors de cela ce soir. Si Dieu guérit cette autre dame qui est assise dans un fauteuil roulant, cela fera que tous ceux qui sont dans des fauteuils roulants ou dans des civières, ou autres viennent au milieu de nous, voyez? Et il n’y a pas eu une seule personne, à ce que je sache, dont on ne m’a point parlé, à moins que les enregistrements montrent qu’elle est déjà passée à l’estrade. Les gens se mettent simplement là et prient. Et en le faisant, Dieu révèle simplement le problème et Il le leur dit ; ils se lèvent et s’en vont. Ce–c’est juste... Voyez, ce n’est pas... Je ne peux guérir personne. C’est Dieu qui a déjà fait cela. Si les gens prient, alors Dieu révélera exactement ce qu’ils doivent faire. N’est-ce pas merveilleux? Je L’aime vraiment pour cela.
Au lieu de prendre ce texte, j’aimerais vous donner juste un petit point maintenant, parce que je suis faible ce soir, très faible. C’est... Je ne suis pas faible physiquement, je ne suis pas du tout faible de cette manière-là, mais il s’agit–il s’agit d’un autre genre de faiblesse, dont je ne peux parler. Je ne sais pas de quoi il s’agit. C’est comme si vous êtes fatigué, et vous n’arrivez pas à bien réfléchir. Mais je ne sais pas de quel genre de faiblesse il s’agit, mais c’est sûr que cela–cela vous attrape.
Alors, j’aimerais simplement vous parler de quelque chose concernant ma propre... Parlons... J’aimerais vous parler de ma vie privée juste pendant quelques minutes. Je me souviens de quelque chose concernant les réunions.
9 Il y a simplement... Il y a bien des choses qui arrivent, et vous le savez, vous tous. Il y a des choses que seuls Dieu et moi connaissons, et c’est ce qu’il y a dans votre vie. C’est ce qu’il y a dans la vie de chacun. C’est juste Dieu et vous seuls qui connaissez cela.
Et bien des fois, j’ai entendu des gens dire: «Frère Branham, comment voyez-vous des visions? Comment?»
Eh bien, aussitôt j’ai répondu: «Et vous, pourquoi avez-vous des yeux bleus? Pourquoi avez-vous des yeux bruns? Pourquoi avez-vous une oreille sur le côté de votre tête?» Eh bien, voyons donc, c’est simplement la même question.
«C’est Dieu qui a placé cela là.», dites-vous. Eh bien, c’est la même chose. Voyez-vous? C’est exactement comme ça. C’est juste... Vous ne pouvez rien y mettre par vous-même. Dieu, lorsqu’Il... nous venons sur cette terre, ces qualités sont en vous pour diverses choses.
C’est comme par exemple, cette musicienne-ci. J’aimerais que ma fillette soit–fasse la même chose que ce que cette dame fait ici en jouant de la musique. Eh bien, si la chose est en elle, elle le fera. Si cela n’est pas en elle, ça ne servira à rien de lui donner des leçons, parce qu’elle n’y arrivera jamais.
10 Tenez, il y a quelque temps, j’avais acheté à mon petit bébé un de ces petits pianos, pour Noël. Oh! je pense que cela a coûté un dollar et vingt-cinq cents ou quelque chose comme cela. Cela a à peu près cette dimension, et j’étais... Avec mon doigt, j’essayais d’en tirer une mélodie, vous savez. Cela avait de petites touches, et je retenais ma main. Et j’appuyais constamment sur quelque chose, et ma femme, qui peut-être connaissait deux ou trois accords, essayait donc de me montrer comment jouer ces accords ou quelque chose de ce genre. J’étais là essayant d’en tirer une note, puis un petit garçon s’est approché, oh! un pauvre petit gars en haillons. Il a dit... Il lui manquait les dents de devant, et son visage avait besoin d’un nettoyage, et son petit pantalon était en lambeaux et sale, et il m’a regardé.
Il a dit: «Qu’essayez-vous de faire, monsieur?»
11 J’ai dit: «Eh bien, fiston, c’est ce que je–je me demande.» J’ai dit: «Je–j’essayais de–de–d’appuyer sur cette touche-ci pour produire cet accord-ci.»
Et il a dit: «Je vais vous voir faire cela.» Eh bien, j’ai essayé cela.
Et il a dit: «Puis-je essayer cela?»
J’ai dit: «Mais oui, certainement.» Il a déposé ce petit piano par terre et il a joué une très belle mélodie comme vous n’en avez jamais entendu. Il savait vraiment jouer. Puis il m’a regardé, et il a fait un genre de gros sourire et il s’est avancé là, et il y avait là un de ces petits xylophones, vous savez, d’à peu près cette longueur, c’était dans une vieille petite quincaillerie où on vendait de petits jouets bon marché pour les enfants. Alors...
Et il a pris là ces petits instruments et il a joué Calme nuit, c’était beau comme je n’en avais jamais entendu sur un instrument. C’est juste. Et j’ai dit: «Eh bien, fiston, as-tu appris une leçon de musique?» Il ne savait même pas ce que c’était.
12 Alors, il a pris là derrière un morceau de tuyau à gaz que monsieur Rusher avait découpé, et il a joué la Bannière Etoilée [Hymne national des Etats-Unis–N.D.T] comme cela au moyen de ce tuyau à gaz. Eh bien, là... J’ai dit à monsieur Rusher qui était de foi catholique, j’ai dit... Nous étions des camarades de classe. J’ai dit: «Al, tu vois de quoi je parle? Ce garçon n’a pas besoin de leçon de musique. C’est inné. (Voyez? C’est juste.) Il n’en a pas besoin. C’est simplement un don.»
Et maintenant vous entendez ces chanteurs passer sur les antennes, ces gars qui sont comme les autres. Je n’aime pas citer des noms en public, mais des hommes qui sont devenus des millionnaires en une semaine ou deux juste pour avoir chanté à ces émissions. L’Amérique est pleine de toutes sortes de balivernes et toutes sortes d’émissions, et tout, à tel point que même les autres nations se moquent de nous pour notre non-sens.
13 Et ainsi, il s’agit simplement de quelqu’un qui débite des plaisanteries ou qui chante une chanson. Eh bien, sans aucun doute ces gars, ou ces femmes sont de bons chanteurs, et ils ont un don. Mais vous savez quoi? Dieu leur fera répondre pour ce qu’ils ont fait de ce talent. C’est juste. Ils feraient mieux d’utiliser cela pour le Royaume de Dieu. C’est vrai. Alors... Tout ce que nous avons, utilisons cela pour l’amour du Royaume de Dieu. Chaque talent que nous possédons, mettons cela au service du Royaume de Dieu. Maintenant, je pensais à une chose particulière qui est arrivée autrefois lors d’une réunion. Frère Bosworth arrivait. Y a-t-il ici ce soir quelqu’un qui était... je ne pense pas, quelqu’un de l’Indiana qui se trouvait à la réunion de Fort Wayne? Je ne pense pas, ou y a-t-il quelqu’un des environs qui est venu jusqu’ici, et cela n’était pas annoncé dans le pays. On était donc... De toute façon, on passait de bons moments, et les gens étaient vraiment entassés et serrés et tout lors de cette glorieuse, merveilleuse guérison.
14 Combien ici sont membres des–des Assemblées de Dieu? Faites voir vos mains. Vous avez lu cela dans votre journal, un article qui parlait là d’une petite fille. Et combien ont déjà lu ceci: Nous le peuple? Cette revue qui est... C’est une revue internationale, et cela a été publié dans Nous le peuple.
Une petite fille aveugle était montée à l’estrade, et j’ai tenu tout simplement cette petite dans mes bras jusqu’à ce que Dieu lui a redonné la vue, et elle... Cela a paru dans le journal des Assemblées de Dieu. Et cela a paru dans Nous le peuple. Et–et cela a paru dans beaucoup de magazines.
Nous sommes rentrés à la maison ce soir-là, et une dame du nom de madame Morgan... Maintenant elle habite au 411 de l’avenue Hendricks, ou plutôt de l’avenue Canoga, à Jeffersonville, dans l’Indiana. C’est une diplômée de vingt et un ans, une des infirmières des Mayo. Elle pesait quarante sept livres [21 kg] à cause du cancer lorsqu’elle était arrivée à la réunion, elle était vraiment rongée. Et elle avait subi quatre-vingt...?... une radiothérapie profonde, je ne me rappelle pas tout cela, et le cancer a simplement progressé. Elle était inconsciente, et cela fait huit ans que Jésus-Christ l’a complètement guérie, et elle est maintenant une infirmière. Sa...
Ils se sont simplement installés là-bas, ils s’étaient acheté une maison, ils se sont installés là, à Jeffersonville. Ils l’ont amenée à Louisville, et elle est inscrite sur le registre de décès. Allez à Louisville, si vous êtes un médecin ici, ou quoi que ce soit, consultez la liste des gens atteints de cancer de Louisville, vous verrez madame William P. Morgan sur la liste de décès depuis huit ans.
15 Venez dans l’Indiana et nous allons vous présenter à elle. C’est une femme morte, qui est morte depuis huit ans ; elle pèse cent soixante-cinq livres [74,8 kg] et elle est en parfaite santé. Il n’y a pas un... Elle n’a même jamais contracté de gros rhume depuis lors. Et elle était avec nous à–à Fort Wayne. Et ainsi le Seigneur l’a–l’a bénie, et elle voulait simplement s’avancer pour mettre les gens à l’aise pendant que nous tenions la dernière réunion et tout.
Elle est maintenant une infirmière. Elle est simplement née infirmière, et elle sait vraiment comment s’y prendre avec les patients et ainsi de suite. Et–et vous pouvez vous imaginer combien son téléphone sonne tout le temps. Elle vient donc à la réunion juste pour garder les pauvres malades à l’aise dans leurs lits et ainsi de suite.
Eh bien, il y a là un homme, monsieur Leinman qui était un ami du–du secrétaire particulier du roi [d’Angleterre] et il souffrait de la sclérose en plaques. Et cet homme ressemblait vraiment à son mari. Et elle était tellement–elle désirait vraiment faire quelque chose pour lui. Et elle n’arrêtait pas de me dire lorsque nous sommes allés à l’hôtel...
Quel était le nom de cet hôtel où nous avions logé? Hôtel Indiana–Indiana.
16 Et alors nous–nous devions tout simplement faire le... Quelqu’un là, à la porte va–devait vous faire entrer. Il y avait tellement–très grand nombre de gens qui s’étaient rassemblés. De toute façon, j’ai dit à madame Morgan... Bien sûr, je ne pouvais pas–je pouvais demander à l’un d’eux de lui donner une carte de prière, mais je ne pouvais l’appeler à venir sur l’estrade que si son numéro était appelé. Ça c’est souverain, et ça dépend de Dieu. J’ai dit: «C’est tout ce que je peux faire.» J’ai dit: «Dites-lui de prier tout simplement.»
C’était vers... pratiquement la dernière soirée, alors qu’il avait été lié pendant dix ans, et le magazine avait reproduit sa photo, à l’endroit où il était étendu sur le lit avec sa machine à écrire, et tout. Il était un homme d’affaires. Et juste à côté de lui il y avait un homme qui était tellement invalide à cause de l’arthrite qu’il ne pouvait même pas bouger ses mains, comme cela.
17 Et ainsi, au même moment lorsque je... Ils avaient essayé de transporter cet homme, ils étaient censés l’emmener le jour suivant pour le poser sur l’estrade, et les gens qui passaient à côté marchaient sur sa chemise blanche et ainsi de suite. On l’avait ramené et on l’avait installé sur une chaise.
J’étais juste en train de parler... Un petit enfant aux pieds bots est venu. Vous souvenez-vous de celui qui avait les petits pieds ressortis comme cela? J’ai vu en vision ce qui avait occasionné... ce qui s’était passé.
J’ai pris le petit enfant à part, et j’ai demandé aux parents de me faire la confidence, ce qu’ils faisaient pour ce qui est du contrôle de naissance, et des choses qui n’étaient pas correctes. Ainsi je–je leur ai parlé en privé. Et alors ils... je leur ai demandé s’ils pouvaient faire une certaine chose, et ils ont dit qu’ils la feraient. J’ai dit: «Maintenant, ôtez cet appareil orthopédique de votre enfant.»
18 Et ils se sont assis là et ils ont défait ces boucles de l’enfant, et ses petits pieds étaient aussi normaux que possible, il est aussitôt descendu puis il est parti. Alors ensuite–ensuite dans le... pendant ce temps où ce–ce monsieur Leinman... en regardant là, j’ai vu une vision surgir au-dessus de lui. Je l’ai vu sortir comme cela. Et tout d’abord je... C’était sur monsieur Leinman, mais l’Ange du Seigneur... Cela ne ressemblait pas à monsieur Leinman. Et cet homme-ci était un fermier, on dirait qu’il était sur un tracteur ou quelque chose comme ça, et ensuite, j’ai de nouveau regardé. Alors j’ai vu au même moment monsieur Leinman.
Puis, je leur ai dit à tous les deux que Jésus-Christ les avait guéris, et monsieur Leinman a bondi sur ses pieds, et il s’est tenu debout là. Ça faisait dix ans qu’il ne s’était pas tenu debout, il avait été entièrement paralysé à cause de la thrombo-sclérose, et il a bondi sur ses pieds et s’est mis à courir dans l’allée en criant à tue-tête.
Et voici cet homme qui était couché là souffrant de l’arthrite, qui n’arrêtait pas de pleurer, et j’ai de nouveau baissé les yeux, et ce qu’il désirait que je fasse, il désirait me toucher. Alors je suis simplement descendu de l’estrade ; il a simplement touché ma veste. Eh bien, vous savez qu’une veste ou un homme, ce n’est rien, mais il s’agissait de sa foi. C’est ce que... Et il l’a fait, et Dieu l’a guéri.
19 Et j’ai reçu d’eux une lettre, environ un mois après, disant que monsieur Leinman était sorti et qu’il conduisait sa voiture sur la route. Et il s’est fait qu’en regardant dans les champs, il a vu cet homme en train de labourer. Et monsieur Leinman a sauté hors de sa voiture et il s’est dirigé vers lui, et l’autre a sauté de son tracteur, et s’est dirigé vers monsieur Leinman, et ils se sont empoignés et ils criaient, et ils hurlaient là au milieu du champ.
Vous pouvez vous imaginer ce que les voisins ont pensé, l’un prenant l’autre dans ses bras et l’autre prenant l’autre dans ses bras. L’un avait été paralysé pendant des années à cause de l’arthrite, et l’autre était couché souffrant–souffrant d’une sclérose en plaques à la colonne vertébrale, et voilà qu’ils étaient guéris.
Le lendemain, je me souviens qu’ils avaient découvert à quel hôtel je logeais, et là où il se tenait une grande réunion. Eh bien, on doit pratiquement garder cela secret, vous savez, parce que je dois avoir le temps de prier et ainsi de suite. Et le petit groom est arrivé, et il a dit: «Dites, frère, a-t-il dit, vous ne saurez même pas franchir la porte aujourd’hui.»
Et j’ai dit: «Que se passe-t-il?»
Il a dit: «Je pense qu’il n’y a pas moins de trente-cinq ou quarante personnes debout là, qui vous attendent dans le hall.» Eh bien, il a dit: «Je vais donc vous dire ce que je vais faire, a-t-il dit, accordez-moi un petit moment, je pourrais peut-être vous trouver un moyen de sortir pour que vous alliez prendre votre petit déjeuner.»
20 Et j’ai dit: «Très bien.» Alors madame Morgan... elle était–elle était dans la pièce voisine, et elle est entrée. Et–et ainsi, mon frère est arrivé et il m’a pratiquement fort engueulé ce matin-là.
Il a dit: «Je n’arrive pas à te comprendre, Bill.»
Et j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a?»
Il a dit: «Il y a ici des hommes qui valent des centaines de milliers de dollars, qui sont ici debout cherchant à te voir, et toi, tu as pris ce vieux clochard hier...?... celui qui portait un vieux costume délavé, et il a dormi avec toi cette nuit.»
J’ai dit: «Bien sûr. C’est en ordre. Ces hommes pouvaient se procurer une chambre, mais lui non. Tu vois? Voilà l’idée que j’ai eue.» J’ai dit: «Il–il–il ne pouvait pas se procurer une chambre.» J’ai dit: «Cet homme-là peut se débrouiller, mais pas celui-ci, tu vois?»
Alors, j’ai dit: «Est-ce que maman et madame Morgan sont montées?»
21 Il a dit: «Oui.» Et alors, le petit groom est venu me chercher, et nous sommes descendus. Nous avons pris l’ascenseur, nous sommes descendus au sous-sol, nous sommes montés sur la cendre de charbon et ainsi de suite, puis nous sommes sortis par une petite trappe par là. Je suis sorti dans une allée, et alors nous avons commencé à descendre une rue. Et c’était au moment où cet homme du Canada... Je pense que vous avez quelques Canadiens ici, celui qui est propriétaire de ce grand bâtiment là-bas.
Je vais vous dire son nom dans un instant. Ce n’est pas le Hudson Bay. C’est un... Je ne me souviens plus du nom de cet endroit-là à présent. Cela vient de m’échapper et... Eh bien, c’est étrange, mais je... C’étaient deux frères, et ils étaient propriétaires d’un certain... quelque chose comme la chaîne de magasins Sears and Roebuck qui sont répandus partout au Canada. Et je n’arrive tout simplement pas à me rappeler le nom de ces magasins à présent.
De toute façon, la veille au matin, il était assis dans un petit restaurant, là où je mangeais, et en gentleman, il n’avait–il n’avait rien dit, mais lorsque je suis sorti, le petit déjeuner avait déjà été payé. Je l’ai rencontré et il souffrait de la gastrite. Le Seigneur l’a guéri. Quelque temps après une énorme Cadillac bleue s’est arrêtée devant le bâtiment, et c’était lui. Il était de nouveau en visite aux Etats-Unis, et il est passé me voir et a dit: «Je voulais dire, Frère Branham, que je peux manger tout ce que je veux.» Il a dit: «Je suis normal, tout à fait guéri.»
22 Et alors, nous allions au même petit endroit. Je–je crois qu’on appelait cela, si je ne me trompe pas, on appelait cela Yankee Doodle ou quelque chose comme cela. C’était un petit restaurant où nous mangions, et nous remontions la rue. Et pendant que nous nous dirigions vers cet endroit-là, Quelque Chose m’a arrêté et a dit: «Tourne à gauche.»
Eh bien, cela ne concerne que ma propre vie privée. Voyez? Il a dit: «Tourne à gauche.»
Et j’ai dit: «Prenons cette direction.»
Et–et madame Morgan a dit: «Monsieur Branham, c’est là le petit endroit où nous allons.»
J’ai dit: «Quelque Chose me dit de tourner par ici.» Et j’avais remonté mon pardessus comme ceci, et nous avons tourné par là, et je portais ma fillette dans mes bras, et elle et moi, ainsi que ma femme, et nous...
Et elle a dit: «Eh bien, où allons-nous?»
J’ai dit: «Je ne sais pas. Continuons simplement de marcher.» J’ai dit: «Le Saint-Esprit m’a dit de venir par ici.» Croyez-vous que les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu? Ils sont certainement de la même manière. Et ainsi nous... J’ai continué à avancer. Puis je me suis arrêté, il y avait un petit endroit appelé la cafétéria Miller’s. Je pense que c’est une chaîne de restaurants. Il y en a à travers le pays. Et je me trouvais juste à cet endroit-là.
23 J’ai dit: «Eh bien, entrons-y. Peut-être que le Seigneur désire que j’y entre.» Lorsque je suis entré et me suis assis à une table, et que je me suis procuré un toast avec de la gelée, et que je me suis assis, ma femme avait quelque chose pour le bébé et ainsi de suite, et nous nous sommes assis. Et juste au moment où je me suis assis, j’ai entendu quelqu’un dire: «Gloire au Seigneur!»
Madame Morgan a dit: «Hum! hum! eh bien, on vous a eu, n’est-ce pas?»
Et je–j’ai dit: «Je ne sais pas. Il s’agit de quelque chose. Le Seigneur m’a dit de venir ici.» Et juste quelques minutes après, elle s’est tenue debout, elle s’est avancée là, et elle a dit... La dame, elle a dit: «Frère Branham, je–je sais que je ne devrais pas faire ceci, mais, a-t-elle dit, vous croyez dans la conduite de l’Esprit, n’est-ce pas?»
Et j’ai dit: «Oui, madame.» Et il se pourrait que cette femme soit assise ici même ce soir. Voyez-vous?
Elle a dit: «Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit?»
J’ai dit: «Oui, madame.»
24 Elle a dit: «Nous venons du Texas.» Et elle a dit: «Nous avons suivi chacune de vos réunions durant les quatre ou cinq derniers mois.» Et elle a dit: «Pour cette réunion, a-t-elle dit, j’ai dû vendre ma vache pour me procurer de l’argent afin de venir.» Elle a dit: «Nous ne sommes jamais parvenus à obtenir une carte de prière pour entrer dans la ligne de prière.» Et elle a dit: «Nous n’avons plus d’argent. Et demain soir, c’est la dernière soirée de la série de réunions, et, a-t-elle dit, j’ai prié toute cette nuit.» Elle a dit: «Voici mon pauvre frère qui est assis. Le médecin a dit quelque chose au sujet de son coeur...?.. le diaphragme ou quelque chose comme cela qui...» Elle a dit: «Il n’en a plus pour longtemps.» Et elle a dit: «J’ai eu un songe.» Et elle a dit: «J’ai rêvé que je pouvais venir à la cafétéria Miller’s et me trouver ici à neuf heures.»
C’était justement l’heure qu’il faisait. Et vous savez ce qui est arrivé, n’est-ce pas?
Alors je ne voulais plus prendre mon petit déjeuner. Je me suis levé après que l’enfant avait pris son repas, et je suis sorti. Et ainsi, juste au moment où je franchissais la porte, il y avait là une–une petite dame en noir. Beaucoup parmi vous la connaissent. Frère Bosworth est un de ses bons amis à elle. Son mari dirige une grande société des spaghettis à Chicago. Elle s’appelle Dommico. Et vous la connaissez tous. Elle avait assisté à cette dernière série de réunions, et il y a ici certains frères qui viennent de cette série de réunions. Elle vient pratiquement à chaque réunion que je tiens. Et ils ont une grande société des spaghettis.
25 Alors juste au moment où j’ai franchi la porte, elle est délibérément tombée dans la rue et s’est mise à crier, et elle a dit: «Frère Branham, je ne sais quoi dire.»
Elle a dit: «Je sais, a-t-elle dit, que mes moyens me permettent de subir une opération, mais, a-t-elle dit, j’ai été chez les frères Mayo, et ils croient que je suis condamné.» Elle était dans un état très avancé d’un cancer malin. Et elle a dit: «Ils ne m’accordent que peu de temps à vivre.»
Avec cette grosse tumeur cancéreuse ressortie comme cela, elle a dit: «Je–je n’en ai plus pour longtemps, Frère Branham. Il faut que quelque chose soit fait.» Elle a dit: «J’étouffe tout simplement.» Elle a dit: «Vous savez quoi?» Elle a dit: «Cette nuit j’ai rêvé que je devais venir me tenir devant cette cafétéria ce matin, et être ici à neuf heures dix.» Ça y est. Donc, elle... Eh bien, c’est exactement ainsi que Dieu conduit.
26 Nous sommes allés jusqu’au coin de la rue, et alors que j’allais jusqu’au coin... Eh bien, ça c’est ma vie privée ; je ne raconte pas cela aux gens. Cela ne fait aucun bien. Voyez-vous? C’est juste afin que les gens vous voient, et qu’ils disent, voyez-vous, qu’ils croient. Et ainsi, ils sont donc allés jusqu’au coin. Et la femme a dit: «Eh bien, comment allons-nous revenir par ce–ce... par-dessus ce tas de cendre de charbon pour entrer?»
Et j’ai dit: «Eh bien, moi, je peux rentrer par là. Vous tous, passez devant, et dites à ce jeune homme d’ouvrir cette porte-là, et moi, j’entrerai par là.» En effet, on ne peut pas du tout sortir. Vous devrez obtenir toute une ligne de prière, sur toute la rue. Alors, à ce moment-là, je... ensuite la nuit vient, et vous êtes tellement épuisé, et vous ne pouvez même pas participer à la réunion. Et ainsi, j’ai donc traversé la rue et Quelque Chose m’a dit: «Arrête-toi ici.»
27 Et j’ai dit: «Maintenant, vous tous continuez. Continuez tout simplement.» Et ils sont allés vers un drugstore, et ils y sont entrés pour se procurer un petit livre de coloriage pour l’enfant, parce qu’il devait rester à la maison pendant la journée, ou plutôt en chambre. Et je me suis dit: «Eh bien, Seigneur, pourquoi veux-Tu que je m’arrête ici?»
Je suis resté là un instant, et il ne s’est rien passé, puis je me suis retourné et je suis allé derrière, et j’ai vu des gens qui me regardaient. Et je suis venu ici à cette petite maison qui indiquait qu’on y vendait des articles de pêche. Et j’aime tellement faire la pêche, je me suis alors dit que je viendrais ici pour jeter un coup d’oeil à ces articles de pêche et là personne ne me regarderait comme cela.
J’ai dit: «Père céleste, que veux-Tu que je fasse?» Je me suis tenu là quelques instants. Et maintenant, il se peut que vous traitiez cela de fanatisme. Je ne sais pas ce que vous allez en faire. C’est–c’est entre vous et Dieu, mais j’ai entendu la chose aussi clairement que vous entendez ma voix, dire: «Va jusqu’au coin.»
28 Je suis allé jusqu’au coin, et je me suis tenu là. C’est tout ce que je savais. Je me suis tenu là au coin. Eh bien, il y avait un grand flic dans la rue. Il sifflait afin de permettre aux piétons de traverser et ainsi de suite. Je me suis tenu là environ dix, quinze minutes. Les gens venaient et s’en allaient comme cela, ils passaient à côté. Alors je me suis dit: «Eh bien, je ne sais pas pourquoi je me tiens ici, mais je me tiens tout simplement ici.»
Je me suis donc tenu là pendant un instant, tout le monde passait à côté en causant et ainsi de suite. Et moi, je me tenais au coin. Et je me suis avancé jusqu’au bord de la rue, et je me suis tenu là un instant. Et quelque temps après, il a sifflé et un groupe a traversé.
29 A ce moment-là, une petite dame a traversé, elle portait une petite robe à carreaux, avec un petit bonnet canadien, posé sur le côté de la tête. Elle avait son sac à main au bras. Et elle avait la tête inclinée. Elle avançait simplement comme cela. Elle a traversé, et Quelque Chose m’a dit: «Approche-toi d’elle.» Eh bien, je me suis avancé vers elle au point qu’elle m’a presque frôlé, alors qu’elle passait à côté.
Eh bien, je me suis dit: «Je ne comprends pas.»
Il a dit: «Approche.» Elle a fait une distance d’environ, oh! deux fois la distance d’ici jusqu’à frère Bosworth, puis elle s’est retournée et a regardé derrière.
Elle a dit: «Frère Branham!» J’ai dit: «Bonjour, soeur.»
Et elle s’est mise à pleurer. Et elle est revenue en courant, et elle m’a saisi le bras. Et j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a, soeur?»
Elle a dit: «Excusez-moi,» et elle tenait mon bras comme cela. Elle a dit: «J’ai vraiment l’impression que je suis au bout du souffle.»
Et j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a?»
Elle a dit: «Frère Branham, avez-vous juste un minute?»
Et j’ai dit: «Oh! oui.»
30 Et elle a dit: «Eh bien, je ne–je n’ai qu’une allocation de cent cinquante dollars par an en Amérique.» Elle a dit: «J’ai tout dépensé,» et elle a dit: «J’ai dormi dans le hall d’un hôtel cette nuit. J’avais cinq cents pour une tasse de café ce matin. Et je suis sortie ici faire de l’auto-stop, pour retourner au Canada.» C’était une jeune dame d’environ trente, trente-cinq ans, elle a dit: «J’allais faire de l’auto-stop pour retourner là au Canada.» Et elle a dit: «J’allais tout au fond de la rue là-bas, et Quelque Chose m’a dit: ‘Tourne par ici.’ Mais, a-t-elle dit, c’était au-delà de l’autoroute, et je ne pouvais pas aller plus loin. Cela a dit: ‘Tourne par ici.’» Et elle a dit: «J’ai simplement continué de venir jusqu’à ce qu’il m’est arrivé de me retourner et de vous voir.»
J’ai dit: «De quoi souffrez-vous?»
31 Elle a dit: «Il s’agit de mon bras.» Elle a dit: «Regardez ici.» et elle l’a étendu, juste à l’endroit où elle se tenait, juste là dans la rue, elle s’est mise à crier et à pleurer.
Et ce très grand flic s’est mis à siffler, il a dit: «Je vous connais, Frère Branham.» Et ensuite, j’ai tenu une ligne de prière au bord de la rue à ce moment-là. Voilà.
Voyez? Cela... C’était là au bord de la rue. Alors nous... C’est vraiment merveilleux de voir comment Il conduit et accomplit les choses.
Un jour, ici en Arkansas, lorsque j’étais à mes débuts, eh bien, j’étais au... Je ne me rappelle plus le nom de cet endroit-là en ce moment. Je n’arrive pas... Jonesboro. Et ainsi, on tenait une réunion et il y avait un... Le journal avait dit que vingt-huit mille personnes avaient assisté à la réunion, et que les gens étaient venus de partout et qu’ils avaient parqué sur des kilomètres.
32 Et ainsi, nous avons quitté ce soir-là... C’est là où des choses merveilleuses s’étaient produites. Et ainsi, nous sommes allés à une autre ville là. Oh! El Dorado. Et ainsi j’étais à El Dorado. Non, ce n’était pas El Dorado non plus. C’était... Je n’arrive pas à me rappeler... C’est là que Wichita River passe. Je vais peut-être me rappeler cela dans quelques instants.
Si vous comprenez de quoi je parle maintenant, la–l’onction de Cela est simplement en train d’agir par-ci par-là. J’ai vu déjà deux personnes être guéries, depuis que je me tiens juste ici à l’estrade. C’est juste.
Ainsi donc au cours de–au cours de la réunion, lorsque je suis arrivé là, nous... On m’amenait dans une petite église, une espèce de petite église où j’allais prêcher ce matin-là. Et il pleuvait à verse, et lorsque je suis sorti, il y avait deux policiers, un devant moi et un autre derrière moi, ils m’amenaient à la voiture. La foule de gens... Ils avaient bloqué là toutes les rues et tout. Et j’ai entendu quelqu’un crier: «Pitié! pitié! pitié!»
33 Eh bien, je me suis dit: «D’où cela vient-il?» J’ai regardé par là et se tenant là, très loin en arrière d’un côté, se tenait un vieil homme de couleur. Il était... Oh! je pense qu’il approchait les soixante ou soixante-dix ans, avec des cheveux très blancs, et sa femme se tenait là. Il tenait son bonnet en main.
Eh bien, dans l’Arkansas on pratique la politique raciste selon laquelle les–les Blancs et les hommes de couleur ne peuvent pas rester ensemble, être ensemble. Alors cet homme-là implorait, disant: «Pitié! Pitié!»
Je me suis arrêté, et Quelque Chose m’a dit: «Va là où il se trouve.»
Bien, je–j’ai dit: «Un instant, monsieur. Je dois aller...»
Il a dit: «Ecoutez, Révérend Branham, a dit le flic, je n’aimerais pas m’ingérer dans ce que vous faites.» Il a dit: «Mais vous ne pouvez pas quitter ces Blancs pour aller vers cet homme de couleur.»
J’ai dit: «Mais le Saint-Esprit me dit d’y aller.» Voyez? J’ai dit: «Je dois aller vers lui.» Et alors je me suis mis en marche. Il y avait deux ministres là, et ils se sont mis à se frayer un chemin. Et alors, je n’ai jamais oublié cela.
34 Lorsque le vieil homme est arrivé là, il tenait son bonnet en main comme ceci, et il disait: «Pitié! pitié!»Et j’ai entendu sa femme dire: «Le pasteur vient vers toi, chéri.» Et elle se tenait là. Elle pleurait aussi. Alors, lorsque je suis arrivé tout près, ce groupe de gens ont tendu leurs mains comme ceci, et ils ont formé un petit cercle, afin que les gens ne se précipitent pas à l’intérieur.
Alors je me suis dirigé là où se trouvait ce vieil homme, il a dit: «Est-ce–est-ce–est-ce–est-ce–est-ce vous Pasteur Branham?» Il s’est mis à me palper partout au visage et il a dit...
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Oh! a-t-il dit, vous êtes probablement plus jeune que je ne le pensais.»
Et je–j’ai dit: «Comment?»
35 Il a dit: «Pasteur Branham, a-t-il dit, ma–ma vieille maman avait une ligion comme la vôtre.» Ligion, a-t-il dit, c’était très sudiste, vous savez. Il a dit: «Ma maman était honnête.» Il a dit: «Elle ne m’a jamais menti de toute sa vie.» Et elle a dit... Il a dit: «Je suis aveugle maintenant, et ça fait plusieurs années que je touche une pension d’aveugle.» Et il a dit: «Je vivais à environ deux cents miles [321,8 km] d’ici, et hier soir après être allé au lit, a-t-il dit, je me suis réveillé.» Et il a dit: «Evidemment je n’arrive pas à distinguer le jour de la nuit depuis toutes ces années.»
Il a dit: «Mais il m’a semblé voir ma vieille maman debout près de mon lit, et elle a dit: ‘Chéri, va à Camden.’» C’est là que c’était, Camden. Elle a dit: «Va à Camden et demande quelqu’un du nom de Branham, qu’il prie pour toi, et tu recouvriras la vue.»
Il a dit: «Pasteur Branham, je me suis levé, je me suis habillé et le bus est arrivé ici il y a quelques instants, et on m’a dit que vous êtes par ici, je me suis tenu ici jusqu’à ce que vous êtes sorti.»
Maintenant, vous ne savez pas comment vous vous sentez... J’ai posé les mains sur son pauvre vieux visage noir et flétri. J’ai dit: «Père céleste, je ne connais pas la raison pour laquelle Tu as fait ceci, mais je Te demande de–de le guérir.»
Et j’ai gardé ma main sur ses yeux. Et j’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, oncle.» Puis j’ai commencé à me retourner.
Il a dit: «Merci, Seigneur. Merci.»
Sa femme a dit: «Chéri, tu vois?»
Il a dit: «Bien sûr, je vois.»
Elle a dit–elle a dit: «Tu ne veux pas dire que tu vois?»
Il a dit: «Si, si. Cette voiture rouge, ne vois-tu pas qu’elle est garée là avec tous ces gens?»
Eh bien, elle s’est mise à crier, et oh! la la! alors il y a eu là une bousculade. De voir simplement comment Dieu conduit.
36 Encore une petite chose qui me vient à l’esprit à présent. Je revenais de Dallas, au Texas. Je crois que j’étais avec frère Bosworth. Je suis pratiquement... Non, je ne... Non, je n’y étais pas. Frère Kidson était à cette réunion. J’étais parti, je rentrais chez moi, et une grande tempête a éclaté et elle a obligé l’avion à atterrir à Memphis.
Et alors on nous avait logés là dans un hôtel, ce grand hôtel bien connu. Mes moyens ne m’auraient jamais permis de faire un séjour dans un tel hôtel, mais c’est la liaison aérienne qui m’y avait mis pour une nuit. On ne pouvait pas décoller. La tempête était très violente. L’Hôtel Peabody...
Et ainsi, on nous a dit qu’on nous appellerait le lendemain matin et qu’on nous enverrait une limousine nous emmener. J’étais donc en chambre, et un petit monsieur est entré là avec moi, et il est monté avec moi ; un petit homme de la marine marchande revenait d’outre-mer.
Nous avions eu alors une assez petite communion ensemble là. Puis il est allé dans sa chambre. Je me suis donc levé le lendemain matin. J’avais quelques lettres, et je suis sorti, et je suis descendu pour aller poster ces lettres. Et j’ai alors constaté que j’avais environ une heure avant qu’on vienne me chercher. C’était à huit heures trente ou quelque chose comme cela que l’avion allait décoller. C’était un beau matin de printemps, en mars ou quelque chose comme cela, en avril.
37 Et ainsi, j’étais en route, je partais poster ces lettres. J’avais un tas de lettres en poche. J’avais écrit quelques-unes cette nuit-là, ou plutôt quelques cartes de réponse que je devais adresser aux gens. Et pendant que je me mettais à descendre la rue, Quelque Chose m’a arrêté. Cela a dit: «Tiens-toi ici une minute.»
Je me suis tenu là juste une minute et rien n’est arrivé. Je suis allé là du côté d’un grand immeuble, et je me suis tenu là un moment, là où on avait suspendu des vêtements et tout, à la vitrine, je me suis tenu là. J’ai dit: «Père céleste, qu’aimerais-Tu que je fasse?»
J’ai continué à me tenir là, à me tenir là. Au bout d’un moment, j’ai entendu Quelque Chose dire: «Marche.»
Et je suis parti de là, et j’ai continué à marcher [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... conduit par l’Esprit de Dieu, la plupart d’entre vous tous, bien sûr, vous qui êtes des chrétiens, évidemment.
38 Ainsi donc, Il... J’ai continué à marcher, marcher, marcher, marcher. Et j’ai continué tout simplement à avancer. Et je suis carrément sorti de la ville. Et j’étais très loin là, vers la rivière, là où se trouvait ce tas de petites maisons des gens de couleur. Et je... Eh bien, l’heure du décollage de l’avion était déjà passée, mais il me semblait que j’avais toujours envie de marcher.
J’avançais là en chantant ce petit cantique que vous, les pentecôtistes, chantez là-bas.
Ils étaient rassemblés
dans la chambre haute,
Et ils priaient en Son Nom,
Et ils ont tous reçu le
Saint-Esprit,
Et la puissance pour le
service vint...
Vous souvenez-vous de ce petit cantique?
39 Et j’essayais de garder cela à l’esprit, avançant là en chantant cela. Et [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... traverser un–un portail par là. Et une femme de couleur très typique, était appuyée au portail comme ceci, et elle avait noué une chemise d’homme autour de sa tête, comme une vieille chemise de travail nouée autour de sa tête. Il y avait là une petite hutte badigeonnée à la chaux, avec comme des vignes tout autour...
C’était un beau matin, et j’avançais comme cela. Et elle était simplement en train de m’observer pendant que je descendais la rue. Et je passais comme cela. Elle... J’ai vu qu’elle pleurait. Elle avait de très grosses joues, vous savez, et les larmes coulaient, et elle souriait.
Elle a dit: «Bonjour, pasteur.»
40 Oh! j’avais vraiment assez chanté en me retrouvant très loin là-bas, je chantais pour moi-même de toute façon. Alors... et elle a dit... J’ai dit: «Comment savez-vous que j’étais pasteur?»
Elle a dit: «Je savais que vous étiez pasteur.»
J’ai dit: «Eh bien, comment... [Espace vide sur la bande]
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, je savais que vous alliez venir.» Elle a dit: «Je savais que vous alliez porter un complet clair avec un chapeau clair.»
Et j’ai dit: «Comment le savez-vous?»
Elle a dit: «Avez-vous déjà lu dans la Bible l’histoire de la Sunamite qui était stérile et–et qui n’avait pas d’enfants, et le prophète l’avait bénie, et elle avait eu des enfants... un enfant, et cet enfant est mort?»
J’ai dit: «Oui, madame. Je connais cette histoire.» [Espace vide sur la bande] Alors j’ai dit–j’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce que cela–qu’est-ce que cela a à avoir maintenant?»
41 Elle a dit: «Eh bien, j’étais ce genre de femme.» Elle a dit: «Et j’avais promis au Seigneur que s’Il me donnait un enfant, je l’élèverais pour Lui, et le Seigneur m’a donné un beau garçon.» Elle a dit: «Et j’ai élevé ce garçon au mieux de ma connaissance, jusqu’à ce qu’il s’est mis à avoir de mauvaises fréquentations.» Et elle a dit: «Il a eu de mauvaises fréquentations, et il a attrapé une maladie horrible.» Et elle a dit: «Il a rétrogradé vis-à-vis de Dieu.» Et elle a dit: «Il est couché ici à l’intérieur, mourant.» Et elle a dit: «Lorsque le médecin est venu, son... [Espace vide sur la bande] son sang avait déjà... C’était une maladie vénérienne (une maladie honteuse, la syphilis), et elle avait fait des cavités dans son coeur. Alors, il a dit: ‘Il n’y a aucun espoir du tout de guérison.’»Et elle a dit: «Et j’ai prié et prié.» Et elle a dit: «Je... le méde- ... Ça fait maintenant deux jours qu’il est inconscient.» Et elle a dit: «Le médecin a déjà dit que ça ne vaut plus la peine qu’il revienne, parce qu’il n’y a plus rien à faire.» Et elle a dit: «Et j’ai prié, et j’ai prié, et j’ai dit: ‘Seigneur, ne laisse pas mon bébé mourir comme cela. Qu’il soit sauvé avant qu’il meure.’»
42 Et elle a dit: «Je–j’ai prié.» Et elle a dit: «J’étais à genoux toute cette nuit.» Et elle a dit: «Vers trois heures ce matin, j’ai fait un songe, et, a-t-elle dit, le Seigneur m’a dit de venir me tenir ici à ce portail, et qu’Il enverrait le pasteur portant un complet clair et un chapeau clair.» Elle a dit: «Je vous ai reconnu.»
Dieu agit aux deux bouts de la ligne, vous savez. Pouvez-vous vous imaginer Dieu arrêter cet avion pour cette femme de couleur qui était très loin là-bas? Cela montre la souveraineté et l’amour. Dieu ne fait acception de personne, certainement pas. Et cette pauvre femme de couleur connaissait Dieu.
Et je–je l’ai tapotée dans le dos. Et son dos était humide. Elle s’était tenue là dehors dans la rosée, ce matin-là. Elle se tenait là. Elle a dit: «Non, m’sieur. Je n’ai pas quitté cet endroit. Je me tenais juste ici. Dieu m’a dit que vous alliez venir.»
J’ai dit: «Madame, je m’appelle Branham.»
Elle a dit: «Branham? a-t-elle dit, enchantée de faire votre connaissance.»
J’ai dit: «Avez-vous déjà entendu parler de moi?»
Elle a dit: «Non, non, je ne crois pas.»
J’ai dit: «Je prie pour les malades.»
Elle a dit: «Oui, monsieur.» Et elle a dit: «Ne voulez-vous pas entrer?»
43 Et, mes amis, j’ai été dans des palais des rois, plusieurs d’entre eux. Mais ce matin-là, malgré un vieux soc de charrue suspendu là par un bout de chaîne pour faire contrepoids afin de ramener les battants du portail ensemble, je suis entré là dans cette vieille petite maison blanchie à la chaux. J’ai franchi la porte, il y avait là un vieux petit lit de fer. Le plancher fait de peuplier jaune délavé était tout aussi blanc que possible, et une enseigne au-dessus de la porte disait: «Que Dieu bénisse notre maison.»
J’aurais aimé voir cela plutôt que toutes les photos des femmes nues que vous pourriez avoir, et tout du monde, avoir tous les beaux tapis de luxe, et que sais-je encore. Je me sentais le bienvenu dans cette petite maison ce matin-là.
Je suis entré là dans cette maison, et cette pauvre vieille tante Jemima, elle dit, elle a dit: «Venez–entrez.» Et je suis entré, et elle a dit: «Eh bien, le voici.»
Et il tenait une–les couvertures en main comme ceci. Et il faisait: «Umm, umm, umm.» C’était un monsieur très fort, un jeune homme, qui paraissait avoir dix-neuf, ou vingt ans, un beau garçon. Et j’ai posé ma main sur ses pieds. C’était tout aussi froid que possible, tout aussi froid. J’ai compris que la mort était suspendue sur ce jeune homme. C’est tout ce qu’il devait en être.
Et il... J’ai dit: «Ne reconnaît-il rien?»
Elle a dit: «Non, non.» Elle a dit...
J’ai dit: «Eh bien, pourquoi fait-il comme ça?»
44 Elle a dit: «Eh bien, il dit qu’il est là dans un grand océan sombre en train de ramer çà et là, et qu’il ne voit aucune lumière.» Et elle a dit: «Pasteur, je n’arrive tout simplement pas à supporter de voir mon bébé mourir comme cela.» Et elle a dit: «Le Seigneur désire que vous priiez pour lui, et alors Il va sauver son âme avant qu’il meure.» Elle a dit: «Je sens vraiment qu’Il va le faire.»
Et j’ai dit: «Eh bien, assurément, tantine, nous le croyons.» J’ai dit: «Prions, tantine.»
Et elle a dit... Elle s’est penchée et elle l’a embrassé à la tête. Elle a dit: «Que Dieu bénisse le bébé de maman.»
Je me suis dit: «Le bébé de maman! Cela montre l’amour maternel. Peu importe la vie immorale et de débauché qu’il avait menée, son âge, combien... quoi que ce soit, l’amour maternel se répand carrément sur tout cela.» Je me suis dit: «Si l’amour maternel fait cela, à plus forte raison l’amour de Dieu?»
«Oui, une mère peut oublier son enfant qui souffre, mais Je ne vous oublierai jamais. Car vos noms sont inscrits sur les paumes de Mes mains.» Est-ce juste?
Je me suis dit... Ensuite, elle l’a embrassé et elle s’est agenouillée. Eh bien, je lui ai demandé. J’ai dit: «Voulez-vous conduire la prière, tantine?»
45 Et elle a dit: «Oui, m’sieur.» Et elle a levé les mains. Et la prière... J’ai simplement pleuré comme un bébé, tenant le pied, le pauvre petit pied de ce pauvre petit lit qui se trouvait là, un pauvre vieux petit lit de fer portant une affiche. Je me suis cramponné à ce lit et j’ai pleuré pendant que cette vieille sainte déversait son coeur devant Dieu. Je n’avais jamais entendu rien de tel de ma vie.
Elle a dit: «Seigneur, j’ai fait de mon mieux. Tu sais que je lavais sur la planche à lessiver, des habits, pour les Blancs.» Elle a dit: «Et j’ai essayé de l’amener à l’église, mais il a suivi de mauvaises fréquentations. Maintenant, Précieux Seigneur, Tu le ramènes à la maison, ne le laisse pas mourir pécheur, Seigneur. Accorde-moi une consolation dans mon coeur, comme quoi mon bébé est sauvé et que Tu l’as ramené.»
Elle a dit: «Ton pasteur est ici maintenant, a-t-elle dit. Seigneur, je–je Te prie d’accorder cela.» Comme cela, et lorsqu’elle a dit: «Amen» en essuyant ses pauvres joues noires, pour tendre la main et embrasser encore ce garçon, frère, quelque chose a envahi mon coeur. Oh! la la! elle l’a serré dans ses bras comme cela, et elle l’a tapoté et a dit: «Bébé de maman, est-ce que tu entends maman?»
Il continuait de faire: «Umm, umm, il fait tellement sombre, umm, umm.»
46 Elle a dit: «Il pense qu’il est en train de ramer à bord d’une barque, a-t-elle dit, et il est parti quelque part.» Elle a dit: «Oh! pasteur, a-t-elle dit, priez que Dieu ne le laisse pas mourir comme ça.»
Et j’ai dit: «Très bien, tantine. Prions.» Et j’ai posé la main sur ses pieds froids, et j’ai levé les yeux vers notre Père céleste.
J’ai dit: «Père céleste, c’est depuis une heure que l’avion a dû partir, mais Tu as dit: ‘Marche.’ Je ne sais pas pourquoi je suis ici, mais c’est Toi qui m’as dirigé ici. Je ne sais pas ce qui va arriver, mais Tu m’as dirigé ici. Ceci est l’endroit en question.»
Et j’ai dit: «Je Te prie d’avoir pitié de ce cher garçon. Ne le laisse même pas mourir, Seigneur, épargne si possible sa vie ; sinon, épargne son âme.» J’ai dit: «Je Te prie de lui pardonner. Et je Te demande de le laisser vivre, afin qu’il vive pour être un bon garçon et pour Te servir.» J’ai simplement continué de prier comme cela et directement...
Il continuait de faire: «Umm.» Il a dit: «Maman! maman!»
47 Elle s’est levée, elle a dit: «Qu’est-ce que mon chéri (ou mon chouchou ou quelque chose comme cela)–qu’est-ce que le bébé de maman désire?»
Il a dit: «Il fait clair ici dedans.» Oh! la la! «Il fait clair ici dedans.» En l’espace de dix minutes, il était assis sur le bord du lit en train de nous parler.
Environ six mois plus tard, je voyageais par train, en allant quelque part, je crois que c’était à Phoenix. J’étais de passage et, vous savez, lorsque vous arrivez à Memphis avec le chemin de fer qui traverse... Il y a là un petit restaurant. Je suis sorti du–du train. J’avais dormi à Louisville, et je quittais ce matin-là. J’allais chercher quelque chose à manger, et je passais par là. Un petit porteur a couru et a dit: «Salut, Pasteur Branham!» Il a dit: «Enchanté?»
J’ai dit: «Bonjour. Qui êtes-vous?»
Il a dit: «Vous ne vous souvenez pas de moi, n’est-ce pas?»
J’ai dit: «Non.»
48 Il a dit: «Vous souvenez-vous une fois, lorsque l’avion-là avait connu des problèmes, a-t-il dit, et qu’il vous avait amené ici?» Il a dit: «Je suis ce jeune homme là.» Il a dit: «J’ai...?... ce que vous appelez, a-t-il dit, non seulement je suis guéri, mais je suis maintenant un chrétien.» Il a dit: «Je sers le Seigneur.»
Oh! la la! et vous savez quoi? L’avion avait une heure et quelques de retard. J’étais arrivé là juste à temps pour prendre place à bord de l’avion et partir. Oh! frère, vous ne comprendrez jamais ce que c’est, lorsque vous vous humiliez et que vous vous abandonnez vraiment à Dieu. N’utilisez pas votre propre pensée. N’utilisez pas votre propre raisonnement. Abandonnez-Lui simplement vos voies et avancez tel qu’Il conduit. Peu importe où...
S’Il va par ici, c’est en ordre. Quelque fois cela conduit à travers des eaux profondes, mais vous savez, le cantique dit: Certains par les eaux, D’autres par les flots, D’autres par de dures épreuves, Mais tous par le Sang.
Les voies de Dieu conduisent droit en haute mer, dans le désert, et sur les collines, à travers le désert du péché, et ainsi de suite. Mais Dieu vous en fera sortir, si vous Le suivez tout simplement et ne cherchez pas à utiliser vos propres pensées. Faites simplement ce que Dieu dit de faire, et tout ira bien pour vous. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
49 Pierre a dit: «Seigneur, nous avons pêché à la seine durant toute la nuit, et nous n’avons attrapé aucun poisson, mais, a-t-il dit, sur Ta Parole, je jetterai le filet.»
Eh bien, c’étaient des pêcheurs. Ils connaissaient la saison de pêche. Ils savaient comment les vents soufflaient. Et, pensez-y, ils avaient pêché toute la nuit et sans avoir attrapé aucun poisson. Et Dieu leur a dit: «Jetez le filet.» dans la même eau–la même eau où ils avaient pêché toute la nuit: «Maintenant, jetez le filet et apprêtez-vous pour le poisson que vous allez pêcher.»
Eh bien, je dirais: «Il n’y a pas moy-... il n’y a pas de poisson ici. Nous avons pêché à la seine dans tout le lac. Nous sommes certains qu’il n’y a pas de poisson ici.»
Il a dit: «Jetez le filet.»
Et voici le–voici le secret. Pierre a dit: «Eh bien, je sais qu’il n’y a pas de poisson ici, Seigneur, mais, sur Ta Parole, je jetterai le filet.» Voyez-vous?
50 Vous ne savez pas comment vous vous lèverez de ce fauteuil roulant pour sortir de là ce soir. Voyez-vous? Vous ne savez pas comment vous allez faire ceci, et comment ces autres maladies seront guéries, «mais, sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter le filet.»
«Sur Ta Parole, Seigneur, je vais me lever d’ici. Je ne sais pas comment je vais m’y prendre, mais, sur Ta Parole, Seigneur.» C’est ça. Prenez Dieu au mot, et la Parole parlée de Dieu doit–va se matérialiser et produire exactement ce qu’Elle déclare qu’Elle va produire.
Ecoutez. La bonne attitude mentale à l’égard de n’importe quelle promesse divine de Dieu amènera celle-ci à s’accomplir. Peu m’importe ce que c’est. Si–si vous plantez, si vous voulez avoir du maïs, plantez du maïs, arrosez le maïs, laissez le maïs tranquille. Cela produira du maïs. Est-ce juste? Le blé produira du blé.
La promesse du salut produira un chrétien. La promesse du Saint-Esprit vous apportera le Saint-Esprit. La promesse de la guérison divine vous rétablira. Chaque promesse divine de Dieu... Et la Bible dit que la Parole de Dieu est une Semence. Est-ce juste?
51 Jésus a dit qu’un semeur a semé. Et si vous acceptez simplement Cela dans votre coeur sans creuser Cela chaque jour pour voir comment Cela évolue. Faites-La simplement pénétrer dans votre coeur et mettez-La bien en place. C’est tout. Avancez carrément. Dieu s’occupera du reste. Il est redevable vis-à-vis de Sa Parole.
Savez-vous que chaque chose que vous voyez ce soir est la Parole de Dieu matérialisée? Savez-vous que votre corps est la Parole de Dieu matérialisée? Savez-vous que ces haricots-là sont la Parole de Dieu matérialisée? Savez-vous que ce béton est la Parole parlée de Dieu matérialisée? Savez-vous que cette terre entière c’est ce que Dieu a exprimé en disant: «Que cela soit.»? Il a cru Sa propre Parole et une terre est venue à l’existence. Si ce n’était pas le cas, d’où cela est-il venu?
Eh bien, vous direz: «Elle est sortie du soleil.» Eh bien, qui a appelé le soleil à l’existence? Voyez-vous? Tout est la Parole de Dieu. Le monde a été formé par la Parole de Dieu. C’est ce que dit la Bible. Dieu a simplement prononcé cela, Il croyait Sa propre Parole, et c’est ce qu’il en était.
52 Eh bien, Dieu nous a adressé Sa Parole. Croyons en Lui tout simplement et observons ce qui arrive. Maintenant, lorsqu’Il dit quelque chose... Au départ ceci c’est Sa Parole qui est sortie en premier, et toute autre parole contraire à Ceci n’est pas la Parole de Dieu. Cela doit provenir de cette Bible.
Eh bien, ceci c’est Sa Parole qu’Il a adressée aux nations. Or, après cela Il établit dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des dons de guérison, et d’autres moyens. Et si un prophète, ou un voyant, prononce une quelconque parole et que celle-ci ne s’accorde pas avec cette Bible ici, qu’elle soit donnée de cette manière, ou d’une manière contraire à la Parole, ce n’est pas correct. Mais voici d’abord la Parole de Dieu. Et ce que Dieu déclare en deuxième lieu, c’est en deuxième lieu Sa Parole adressée à un individu.
53 Une fois, il y avait deux–quelques femmes à la réunion. L’une souffrait d’un mal d’estomac. Et lorsque... Sur l’estrade, le Seigneur... Je ne sais pas si elle était à l’estrade, ou si elle était quelque part dans l’auditoire. De toute façon la Parole a déclaré: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Elle lui a dit d’aller manger tout ce qu’elle désirait. Observez cela lorsqu’Il parle. Ce n’est pas moi, mais AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Et alors, cette femme est rentrée chez elle pour essayer de manger, et lorsqu’elle a mangé, elle a failli mourir. Elle en est tombée très malade. Cela a continué pendant plusieurs jours. Et un matin, une sensation de fraîcheur l’a parcourue, des semaines plus tard. Et elle s’est mise à manger. Tout allait bien.
Elle a couru dans la rue pour raconter à sa voisine qui avait une grosse excroissance à la gorge. Et le Seigneur lui avait parlé et avait dit qu’«elle allait se rétablir, AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et elle a dit... Alors lorsqu’elle est allée la voir, elle a trouvé sa voisine en train de crier à tue-tête. La grosseur avait simplement disparu de sa gorge.
54 Alors, que s’était-il passé? Voici ce qu’il en était. L’Ange du Seigneur qui avait prononcé la Parole était venu dans ce voisinage pour confirmer Sa Parole. Voyez-vous, voyez-vous?
Parfois les gens n’arrivent pas à se mettre sous l’impulsion du moment. Daniel avait prié. L’Ange a dit que cela avait fait vingt et un jours, je crois, avant (Est-ce juste?)–avant qu’Il arrive jusqu’à lui. Maintenant, nous devons nous souvenir que c’est Dieu, mais lorsque Dieu a dit quelque chose, c’est la Vérité. Cramponnez-vous à cela. Cela doit arriver. Si vous vous relâchez, alors l’incrédulité prendra le dessus. Mais tenez-vous-en à la Parole de Dieu.
Inclinons la tête. Tendre Père, Toi qui as ressuscité Jésus, Ton Fils, des morts, nous Te remercions pour Tes compassions et Ta bonté. Nous Te prions d’être avec nous, et de nous aider ce soir. Nous aimons témoigner, parce que Tu as dit: «Ils ont vaincu à cause du Sang de l’Agneau et de leur témoignage.» Et je Te remercie pour le Sang de l’Agneau et pour le témoignage.
55 Et maintenant, je témoigne à ces gens ce soir que Tu es ressuscité des morts, et que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et je Te prie de manifester Ta puissance et Ton amour ce soir dans cette salle, parmi ces gens, afin qu’ils sachent que Tu es ressuscité des morts.
Et nous Te remercions pour la guérison de cette femme qui était dans le fauteuil roulant, de celle qui était sur la civière, de celle qui souffrait du coeur, de celle qui souffrait du cancer, et de tous ces autres cas, Seigneur. Nous sommes très reconnaissants pour ces choses, et pour le grand nombre de choses que Tu as accomplies.
En vérité, Seigneur, ils n’ont pas d’excuse maintenant. Et je Te prie de manifester Ton amour et Ton Esprit à ce peuple ici ce soir, car ils T’aiment. Ils se sont rassemblés ici, en étant assis ici, jusque tard pendant de longues heures, avec des désirs, et en prière. Je crois que Tu feras qu’ils se réjouissent dans leurs coeurs.
Et lorsqu’ils s’en iront ce soir, puissent-ils dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, après la résurrection de Christ. Ils avaient dit: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous?» Ils n’ont reconnu l’Homme qui leur parlait que juste au dernier moment. C’était le Christ.
Et puisse-t-Il nous parler de la même manière ce soir, dans Sa puissance et dans Sa résurrection. En effet, lorsqu’Il était ici sur terre, les oeuvres qu’Il avait faites, lorsqu’Il s’en allait, Il a dit: «Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi, et vous en ferez de plus grandes, car Je M’en vais au Père.» Et nous prions qu’Il vienne sur scène ce soir et qu’Il manifeste Son amour et Sa présence à ce peuple, car nous le demandons au Nom de Christ, le Fils de Dieu. Amen.
56 Billy était en retard, alors il a dû envoyer quelqu’un me chercher ce soir. Et maintenant, quelles–quelles cartes de prière avez-vous distribuées? Comment? Série A. Très bien. Jusqu’à cent? Très bien. Il–il est rentré un peu en retard. Il devait aller prendre son souper ou quelque chose de ce genre, je pense, et il est rentré un peu en retard, et il a dû distribuer les cartes de prière en retard, et quelqu’un est venu, et je n’ai pas eu l’occasion de lui demander quelles cartes de prière il avait distribuées. Il a dit: «A.» Cartes de prière A.
Eh bien, prenons la dernière partie de ces cartes de prière. Prenons les quinze dernières. Nous dirons 85. Qui a le A-85? Là? 86, qui a le 86, 86? A-86. Retournez la carte de prière et vous verrez un A, avec un numéro. Votre nom et adresse se trouvent sur une face. A-86. 87. Qui a le 86? Je ne crois pas que nous ayons cela. Ça pourrait être quelqu’un... 86? Très bien. 87, 88, 89, 90 jusqu’à 100. Qu’ils s’alignent juste par ici, s’il vous plaît.
Et maintenant, pendant qu’ils viennent, je me demande s’il y a quelqu’un ici, qui n’a pas de carte de prière, mais qui cependant croit que le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, va le guérir. Croyez-vous cela? Vous avez alors la foi. Vous avez la foi et croyez de tout votre coeur, et Dieu vous accordera Sa miséricorde et Ses bénédictions.
57 A, carte de prière A. Quel était le numéro en question? A combien? Qu’est-ce que j’ai appelé–j’ai commencé à appeler ce soir? 85, 85, 85, de 86 jusqu’à 100. Et vous autres, si vous voulez simplement regarder par ici... J’aimerais que vous croyiez. J’aimerais que vous ayez la foi. Ne doutez pas, croyez seulement. Maintenant, chantons cela. Combien ont connu Paul Rader? Faites voir vos mains. C’est Paul Rader, le grand évangéliste, qui a écrit ce cantique.
Lorsqu’il se mourait là en Californie, j’ai appris son histoire. Les gens disaient qu’au moment où il quittait la terre, il a dit: «Où est Luc?» Et on a fait entrer Luc. Il a tenu Luc, son frère, par la main et il a dit: «Nous avons enduré beaucoup de dures batailles ensemble, Luc.»
Il a dit: «Oui.»
58 «Mais, a-t-il dit, penses-y. D’ici cinq minutes, je vais me tenir dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Et il a incliné la tête et a rendu l’âme, et il s’en est allé pour être avec Dieu. N’est-ce pas ainsi qu’il faut mourir?
La vie de grands hommes
nous rappelle tous,
Que nous pouvons rendre nos
vies sublimes,
Et en partant, laisser
derrière nous
Des empreintes de pas sur le
sable du temps.
Des empreintes de pas que
peut-être un autre,
En naviguant sur l’océan
solennel de la vie,
Pour qu’un frère désespéré et
naufragé,
En voyant cela, reprenne
courage.
Est-ce juste? Oh! la la! j’aime vraiment ce Psaume de la vie.
59 On essaie de découvrir combien qui... S’il arrive que les gens qui sont sourds ou qui ne peuvent pas se lever... Est-ce que la petite dame là dans le fauteuil roulant, c’est le seul cas que nous avons ce soir... Avez-vous une carte, soeur? Vous n’avez pas de carte. Très bien. Continuez simplement à regarder par ici et à croire. Dieu vous guérira, et vous pourrez rentrer chez vous et être bien portante. Ayez simplement la foi. Il n’est pas nécessaire que vous ayez une carte de prière. Vos avez juste besoin de la foi. C’est–c’est tout. Croyez simplement, et Dieu vous rétablira. Puis, servez-Le toute votre vie. Je suis Son serviteur. Voyez? Je–je suis Son serviteur, et je–je ne fais que ce qu’Il me dit de faire. Et je veux que vous m’accordiez toute votre attention. Je veux que vous priiez, je veux que vous ayez la foi. Croyez de tout votre coeur, et Dieu vous manifestera Son amour et tout, si seulement vous croyez.
Maintenant, je ne peux pas amener Dieu à faire quoi que ce soit, personne ne le peut. La seule chose que nous pouvons faire, c’est de–c’est de demander à Dieu d’avoir pitié de nous. N’est-ce pas ça? Très bien.
60 Combien... En manquent-ils? Le numéro 88. La carte de prière A-88, et quel était l’autre numéro, fiston? 100. La carte de prière A-88... Que chacun regarde là à son voisin. Il pourrait avoir le... Il pourrait avoir la carte en question. La carte de prière A-88, est-ce que... Regardez à–regardez à celui qui est assis à côté de vous. Voyez, il se peut qu’il soit sourd et qu’il n’entende pas ce numéro être appelé: 88. Cela ne se trouve-t-il pas dans la salle? Très bien. La carte de prière 100, A-100, est-ce que cela se trouve dans la salle? La carte de prière 100. Très bien. Peut-être qu’ils... Je les ai appelés... Très bien. Le Seigneur connaît toutes, Il fait tout, et très bien.
Maintenant, s’il vous plaît, chère soeur, j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi ce soir. Dans un bruit de fond sonore, j’aimerais que vous puissiez jouer Le Grand Médecin est ici maintenant.
61 Ces deux dernières soirées, j’ai parlé et le Saint-Esprit me saisissait et j’étais simplement... Puis quelqu’un me touchait ici à l’épaule, les ministres, ou plutôt mon fils pour me dire que c’était le moment de quitter la salle. J’étais tout simplement... Et ce soir, j’ai voulu m’assurer de témoigner en quelque sorte, pour y aller doucement lorsque j’appellerais la ligne de prière. Je n’ai pas appelé de ligne de prière pendant les quelques dernières soirées. Très bien.
Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et puisse-t-Il ajouter Sa force et être loué pour chacun de vous maintenant, pendant que vous priez et croyez de tout votre coeur. Je–je suis certain que vous allez croire de tout votre coeur, n’est-ce pas? Très bien, madame.
62 Maintenant, si quelqu’un le sait (Voyez?), n’importe qui ici sait que je... Si donc il y a un étranger et que c’est sa première soirée, je ne dis pas que je suis un guérisseur divin, mon ami. Je suis un ministre de l’Evangile. Voyez-vous? Je suis votre frère, juste comme n’importe quel autre ministre, toutefois, je ne suis pas suffisamment doué pour peut-être avoir un doctorat ou quelque chose comme cela. Je–je n’ai pas eu d’instruction, mais je suis né dans le monde, comme l’a dit l’Ange du Seigneur, pour prier pour les malades. C’est un don divin, et cela vient par la puissance de la résurrection de Christ.
Maintenant, combien savent que lorsque Jésus était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur? Combien le savent? Qui, disait-Il, accomplissait la guérison? Dieu, Son Père. Très bien. Et Il a dit qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même. Est-ce juste? Mais Il a dit qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Est-ce juste?
Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Le Fils le fait pareillement.» Est-ce juste? Bien, alors un jour le Père... Il s’adressait à une femme au puits un jour, et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»
63 Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume.» Vous connaissez la conversation de Saint Jean 4. Et alors, après avoir contacté son esprit, Il a découvert son problème, et c’était... Elle ne menait pas une bonne vie, et Il lui a dit où se situait son problème.
Et elle a couru dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.» Bien sur, elle était simplement emballée. Voyez-vous? Eh bien, Il ne lui avait dit qu’une seule chose, et elle a dit: «Ne serait-ce point le Christ même?»
Elle Lui a parlé, disant: «Je vois que Tu es Prophète.» Et ainsi, si donc Jésus est ressuscité des morts, et vit parmi Son peuple, Il fait la même chose. Est-ce juste?
Maintenant, lorsque Philippe est venu vers Lui, il s’est converti et il est allé trouver un ami du nom de Nathanaël. Il a dit: «Viens voir qui j’ai trouvé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph, Celui dont Moïse a dit qu’Il viendrait, le grand Prophète.»
Et vous savez ce que ce religieux a dit? Il a dit: «Pourrait-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
64 Il a dit: «Viens, et vois.» Jésus tenait peut-être une ligne de prière, ou Il faisait quelque chose, et de toute façon, lorsque–lorsque Nathanaël est arrivé là où Il était, Jésus l’a bien regardé et a dit: «Eh bien, voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes, c’est comme si je disais: «Voici un homme honnête, un chrétien.»
Eh bien, cela l’a étonné. Il a dit: «Comment as-Tu su que j’étais un Israélite, et que je disais la vérité?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Et qu’a-t-il dit? Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Est-ce juste?
Il a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois ; tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»
65 Eh bien, Jésus saisissait les pensées des gens. Il savait ce qu’ils pensaient. Il faisait exactement ce que le Père Lui disait. Maintenant, si Jésus est ressuscité des morts, Il a promis après qu’Il était ressuscité des morts, que les oeuvres qu’Il avait faites, Il a dit: «Vous les ferez aussi.» Est-ce vrai? Et «Je serai avec vous, même (quoi?) en vous, jusqu’à (quand?) la fin du monde.» Cela fait de Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, c’est simple, mes amis.
Qu’est-ce? Vous cherchez quelque chose qui se trouve très loin là-bas... de la superstition, alors que l’Admirable Jésus-Christ est juste à côté de vous. C’est juste. Il est assis juste... Il est tout aussi réel que la lumière qui est sur mes mains à l’instant. Il est aussi palpable dans la salle, tout aussi réel. Il est juste ici, exactement le même que...
Maintenant, cette salle est pleine d’électricité, mais il n’y a que cette ampoule qui est faite pour s’allumer. Eh bien, tout comme Dieu qui a certains instruments au moyen desquels Il opère: par la prédication, par la prophétie, par les déclarations prophétiques, par les dons de guérison, et ainsi de suite. Le mien, c’est une parole de prophétie. Et maintenant, j’aimerais que vous... C’est ce que... ainsi que je travaille pour notre Seigneur.
66 Maintenant, cette femme-ci, Dieu dans le Ciel le sait, je ne l’ai jamais vue à ce que je sache. Sommes-nous des inconnus, madame? Nous–nous ne nous connaissons pas. Nous sommes des inconnus. Nous sommes tout à fait des inconnus (Très bien.), probablement que nous sommes nés à des kilomètres de distance, et voici que nous nous tenons ici. La seule chose dont je suis certain est que quelque part, quelqu’un lui a remis une carte de prière, et que son numéro a été appelé, et la voici sur l’estrade. C’est tout ce que je sais à son sujet. Mais Dieu la connaît ; ne le croyez-vous pas? Il... Chaque bouchée de nourriture qu’elle a déjà prise, c’est Dieu qui la lui a donnée. Il me connaît, et Il la connaît.
Eh bien, Dieu connaît tout ce qu’elle a déjà fait. Ainsi donc, si Dieu, par Son Saint-Esprit, pouvait se tenir ici pour lui dire quelque chose concernant sa vie, eh bien, ou comme Il l’avait fait à la femme au puits, ou quelque chose de ce genre ; Il a dit à Philippe qu’il était un chrétien, d’où il venait et ce qu’il avait fait avant qu’il vienne à la réunion. Eh bien, si Jésus-Christ se reproduit de la même manière dans cette salle ce soir, combien diront: «Que Dieu soit béni. Jésus est ressuscité des morts.»? Faites voir vos mains. Nous bénirons le Seigneur, et Jésus est ressuscité des morts.
67 Maintenant, j’ai confiance et je Lui prie [Espace vide sur la bande–N.D.E.] d’accorder cela, car Dieu au Ciel sait que je ne sais rien faire, si ce n’est que de compter simplement–simplement sur Lui. C’est tout ce que je sais. Il me l’a dit. Et Cela est venu à moi lorsque j’étais un bébé. Et Cela m’accompagne depuis lors, et c’est ce qu’Il m’a dit, et je suis ici par Sa commission, ce n’est pas par mon propre désir, mais c’est Sa commission, et puisse-t-Il ajouter Ses bénédictions. Très bien.
Le Grand
Médecin est ici maintenant,
Le Compatissant Jésus,
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant, je vous prie d’avoir foi en Dieu. Eh bien, croyez-vous que Dieu a accompli ce que j’ai dit qu’Il a fait, qu’Il a ressuscité Son Fils des morts, et que l’onction de Son Esprit est ici à présent? Le croyez-vous? Vous croyez.
68 Je pourrais vous dire quelque chose maintenant, que vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une région du nord où il fait froid, et vous venez ici chercher du travail, pour aller travailler, et vous travaillez ici, et votre problème c’est que quelque chose se déclenche en vous–dans votre corps. C’est une espèce de déclenchement.
Vous déclarez être... Vous souffrez de l’hypertension. C’est un... je le vois avec un truc autour de votre bras ; cela donne un... Vous souffrez de l’hypertension, et vous êtes profondément préoccupée par quelqu’un d’autre. C’est un... Je crois qu’il s’agit–il s’agit–il s’agit de deux hommes. L’un d’eux est un frère. Et le garçon est mentalement dérangé. Et l’autre a... C’est un–c’est un alcoolique. Et ils habitent à Chicago, là où il y a un lac près de... Venez juste un...
Dieu Tout-Puissant, aie pitié, que Ton Esprit... Je Te prie de bénir, Dieu bien-aimé, alors que je bénis cette femme. Je Te prie de la guérir, et que ses bien-aimés puissent se rétablir. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ, en réprimandant le diable. Amen.
69 Maintenant, regardez, madame. Regardez par ici. En venant, vous souffriez des maux de tête. C’est parti maintenant. Voyez-vous? Et continuez votre route. Voyez-vous? Maintenant, vous savez que c’est la vérité. Vous êtes guérie et...
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par Jésus-Christ, notre Seigneur!»
Maintenant, soyez respectueux. Tout ce que je veux que vous fassiez, c’est d’avoir la foi. Maintenant, madame, j’aimerais que vous regardiez par ici un instant. Eh bien, je... Non. Je désire simplement vous parler pendant un instant, parce que vous êtes–vous êtes ma soeur en Christ. Vous êtes une chrétienne, et, oh! je... Votre–votre problème se situe dans le dos. Vous–vous... je vois que vous avez eu une lésion. C’est une lésion à la colonne vertébrale. Et cela fait que vous êtes une–en quelque sorte faible et nerveuse. N’est-ce pas ça la vérité? Et c’est arrivé depuis un certain temps. Vous paraissez beaucoup plus jeune que vous... Cela fait plusieurs années que cette chose est arrivée, et...
70 Un instant. Cela m’a quitté. Etait-ce la vérité? C’est–c’est la vérité. Eh bien, alors vous reconnaissez que quelque chose est ici, de–de–de savoir quelque chose qui s’est passé dans votre vie, ou de vous dire ce que sont vos problèmes. Est-ce juste? Eh bien, alors si Dieu sait ce que vous avez été, ne saura-t-Il pas aussi ce que vous serez? Et si cette partie est la vérité, que dirait-Il s’Il disait quelque chose d’autre, cela serait la vérité, n’est-ce pas?
Je vois autre chose. Il y a... Un instant. Il s’agit–il s’agit–il s’agit d’une femme qui vous ressemble. Oh! c’est votre soeur. Vous avez une soeur, et elle souffre de–d’une sorte de nervosité. Et elle a la dyspepsie ou quelque chose de ce genre à l’estomac. Elle vomit sa nourriture. C’est–c’est l’acide à l’estomac. Est-ce que cela–est-ce que cela... N’est-ce pas ça... Approchez, mère.
71 Notre Père qui es aux Cieux! Que Ton Nom soit sanctifié ; que Ton Règne vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Et, Tout-Puissant Jéhovah, au Nom de Ton Fils, Jésus, envoie Tes bénédictions sur cette femme-ci, que je bénis en Ton Nom. Et puisse-t-elle partir d’ici ce soir en bonne santé, et que toutes ses requêtes lui soient accordées au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez maintenant. Que la paix de Dieu soit sur vous.
Qu’en pensez-vous, madame, là-bas en robe pourpre? Vous êtes très nerveuse, n’est-ce pas? Vous souffrez de la nervosité. Croyez-vous que Dieu vous... Oui, n’est-ce pas ça? Très bien. Il vous a donc guérie, et la petite dame qui est assise juste derrière, vous souffrez exactement de la même maladie, toutes les deux. Vous êtes toutes les deux guéries au même moment que cette femme qui a été guérie là-bas. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez maintenant rentrer chez vous, et être en bonne santé. Que les bénédictions de Dieu soient avec vous.
72 Croyez-vous qu’Il vous a guérie de cette arthrite, vous qui êtes assise là? Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous a guérie? Oui. Le croyez-vous? Croyez-vous qu’Il l’a fait? Très bien, je veux que vous acceptiez cela maintenant même, et disiez: «Seigneur, je crois de tout mon coeur que Dieu va me rétablir.» Vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Acceptez cela de tout votre coeur, et vous pourrez avoir ce que vous avez demandé. Votre foi vous sauve, madame.
Bonsoir. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Je vous suis inconnu. Vous êtes... nous ne nous connaissons pas. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache ; mais Dieu nous connaît tous les deux. N’est-ce pas ça?
73 Ayez la foi, frère. Ouais. Croyez-vous en Lui? Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. Et cet homme... Il s’agit d’un homme. Il boit. Je le vois se tenir devant un bar, et vous êtes à genoux en train de prier. C’est un alcoolique. C’est un frère. N’est-ce pas juste? Effectivement. C’est votre frère. Dites, n’avez-vous pas quelque chose à faire avec un... N’êtes-vous pas un prédicateur ou quelque chose en rapport avec le ministère ou...? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Approchez.
Dieu Tout-Puissant, aie pitié et accorde la requête de notre soeur que voici, au Nom de Jésus-Christ, je demande cela. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur.
Ayez la foi. Croyez-vous? Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.E.] Voyez-vous? Cela brise votre tension.
74 Maintenant, maintenant même, chaque personne ici devrait croire. Il n’y a pas de problème, mais... Vous devez–vous devez croire de tout votre coeur maintenant même.
Pensez-vous que Dieu a guéri votre bras là, madame, vous qui vous êtes enroulée de cette écharpe? Croyez-vous que Dieu vous rétablit? Vous le croyez. Il l’a fait à peine même, alors vous allez maintenant guérir de ce mal que vous avez au bras, vous en avez terriblement souffert. Il vous a guérie juste là à l’instant. Que Dieu vous bénisse.
Oh! comme c’est merveilleux! Comme Dieu désire bénir les gens, et se révéler à eux!
Bonsoir, monsieur. Approchez. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez.
75 Très bien, monsieur. Regardez par ici vers moi. Croyez-vous de tout votre coeur? Je pense que nous ne nous connaissons pas. A ma connaissance, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Vous–vous êtes simplement un homme qui est monté ici à l’estrade, mais Dieu vous connaît, et toute la nourriture que vous avez déjà mangée, c’est Dieu qui vous l’a donnée. Mais croyez-vous qu’Il est ici maintenant, que vous vous tenez dans Sa Présence, non pas de votre frère, mais dans Sa Présence?
Vous le devez. Vous êtes ministre, et vous êtes membre d’une certaine organisation des saints... C’est l’Eglise de Dieu. Est-ce juste? Et ne venez-vous pas du sud de cette ville? Vous venez de la côte. Vous venez de... Je dirais Miami. Vous avez mal à la langue. C’est un ulcère. Est-ce juste? Vous allez vous rétablir, alors ne vous inquiétez pas. Rentrez chez vous, et que Dieu vous bénisse, et qu’Il vous rétablisse complètement au Nom de Jésus-Christ.
Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur, et vous aurez ce que vous avez demandé.
76 Croyez-vous, madame? Je sais que vous croyez, mais croyez de tout votre coeur. Vous étiez... Ecoutez, voici quelque chose que vous ignorez. Vous êtes au courant que vous avez l’arthrite. Vous savez que vous en souffrez depuis un certain temps, mais écoutez: tout récemment vous avez commencé à sentir des faiblesses, n’est-ce pas? Vous devenez un peu faible l’après-midi. Je vous vois couchée, obligée de vous asseoir sur une chaise. Vous devenez faible. Vous ne dormez pas bien la nuit, voyez-vous, la nuit. Il s’agit de la tuberculose. Voyez-vous? Vous ignorez que vous l’avez, mais il s’agit bien de cela. Alors approchez un instant.
77 Dieu Tout-Puissant, voici Satan qui ôte la vie à cette femme. Je réprimande ce démon au Nom de Jésus-Christ. Sors d’elle! Très bien, regardez ici, madame. Maintenant, vous allez très bien. Dieu vous a guérie. Votre arthrite a disparu. Maintenant, la raison pour laquelle je vous en ai parlé, c’est que j’ai vu comment vous vous comportiez, et j’ai compris que vous n’en étiez pas consciente ; mais s’il y a un médecin ici maintenant, il sait lui-même que lorsque vous êtes... lorsque... c’est là le symptôme même de la tuberculose, la faiblesse, la transpiration, et ainsi de suite. Mais maintenant vous êtes guérie. Vous en êtes consciente. Descendez de l’estrade, en vous réjouissant et soyez heureuse, dites: «Merci, Seigneur.» Approchez, monsieur. Voyez? Elle se tenait là dans Sa Présence. Elle n’avait pas compris ce qui était arrivé jusqu’à ce qu’elle est descendue de l’estrade. C’est à ce moment-là qu’elle a compris qu’elle était guérie. C’est... Voyez-vous? Juste ici. Quiconque a déjà été ici, juste tel que cela se passe en ce moment même, combien... Tous ceux qui parmi vous qui sont déjà montés ici, vous savez que c’est–que c’est quelque chose dont vous êtes certains que vous êtes en Présence de Quelque Chose, lorsque vous vous tenez ici. Combien savent cela, ceux qui sont déjà montés ici aussi, et vous savez que c’est vrai? Voyez-vous, voyez-vous? C’est juste. Vous ne pourrez pas tenir.
78 Eh bien, je ne suis pas en train de lire vos pensées. J’aurais souhaité que vous ôtiez cela–ôtiez cela de votre esprit. Posez votre main sur mon épaule, monsieur. Tout le monde sait ce que c’est que la télépathie. Je... Maintenant, si Dieu me révèle ici pendant que je regarde dans cette direction, ce qui cloche en vous, allez-vous accepter votre guérison? Oui. Eh bien, ma sincère prière est que le Seigneur accorde cela, mon frère. Je ne vous ai plus regardé, si ce n’est pour vous appeler ici, lorsque vous étiez debout, ou assis, ou quelque chose là, et Dieu sait que c’est la vérité.
Mais je vous vois quitter une table. Vous avez mal à l’estomac. Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main. Très bien maintenant. Allez manger tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse. Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur.
Approchez, soeur.
79 Maintenant, ayez la foi. Croyez et ne doutez pas. Si vous êtes... Jésus a dit... Voulez-vous guérir de cette hypertension? Si vous croyez, Dieu ôtera cela de vous. Il le fera. Votre tension va baisser, si vous le croyez. Ce n’est que par la foi que vous pouvez être guérie.
Je sais que vous essayez de croire, soeur. Je vous observe depuis longtemps ici. Si seulement vous ôtiez cela de votre esprit, que votre cas est trop difficile ; mais il n’y a rien qui soit trop difficile pour Dieu. Vous êtes anémique, n’est-ce pas? Croyez-vous que nous montons au Calvaire à présent, dans la Présence de Dieu, pour recevoir une transfusion sanguine? Que Dieu vous bénisse. Partez, et que Jésus-Christ restaure votre sang.
Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur. Vous aurez ce que vous avez demandé.
80 Bonsoir. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que vous pouvez guérir de cette tumeur sans même subir une opération? Le croyez-vous? Vous le pouvez. Que Dieu vous bénisse. Partez, et portez-vous bien au Nom de Jésus-Christ.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]
Autre chose... Quelqu’un... Très bien. Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur. Croyez-vous que l’arthrite vous a quitté pendant que vous étiez assis là? Descendez de l’estrade en vous réjouissant, en disant: «Merci, Seigneur Jésus.» C’est juste. N’ayez–n’ayez comme autre témoignage que ça.
81 Très bien. Approchez. Croyez-vous, madame? Vous devez croire, car la maladie du coeur est difficile à guérir. Mais vous allez en guérir. Poursuivez votre chemin. Que Dieu vous bénisse au Nom de Jésus-Christ. Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, vous pensiez que vous souffriez du coeur, mais ce n’était pas le cas. Vous souffrez de la gastrite, une gastrite qui produit de l’acide dans votre estomac pour provoquer des gaz, et lorsque vous vous couchez, votre coeur va mal. N’est-ce pas ça? Vous allez vous rétablir. Poursuivez votre chemin, et réjouissez-vous, et soyez heureuse. [La soeur s’adresse à Frère Branham.] C’est de cela que j’essayais de vous parler juste là. Voyez-vous, vous devez vous en débarrasser. Faites exactement ce qu’Il vous dit de faire. Poursuivez votre chemin et remerciez Dieu, mangez tout ce que vous voulez, et continuez de glorifier Dieu. Voyez-vous? C’est ce qui a provoqué tout cela, madame. C’est votre nervosité qui a entraîné cela sur vous. Voyez-vous? Cela a produit cet ulcère de l’estomac, c’est ce qui fait régurgiter et fait remonter votre nourriture comme cela. Voyez-vous? C’est...
82 Maintenant, croyez-vous que vous allez vous rétablir? Voyez-vous? Eh bien, je ne peux pas vous guérir. Je sais seulement ce qu’Il me dit. Vous savez que c’est la vérité. Très bien. Maintenant, réjouissez-vous. Maintenant, si vous avez déjà été guérie une fois, vous savez alors comment recevoir votre guérison. Partez, et réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur.» Soyez guérie.
Approchez, madame. Eh bien, croyez-vous cela maintenant? Très bien. Je–je prie... Je crois que le coeur ne vous dérangera plus. Vous pouvez rentrer et être guérie. Que Dieu vous bénisse au Nom du Seigneur Jésus.
Croyez-vous que cette sinusite vous a quittée, là, madame, vous qui êtes assise juste là derrière? Le croyez-vous? Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela.
83 Juste un... Il s’est passé quelque chose. Eh bien, un instant. Que le Seigneur soit béni et qu’Il soit loué! Je crois que nous sommes dans Sa Présence. Je sais que nous sommes dans Sa Présence, et je suis certain qu’Il est ici maintenant pour–pour vous guérir tous, vous rétablir. Croyez-vous cela?
J’ai vu une voiture avancer rapidement. Elle venait d’une région du nord: quelqu’un qui avait un message disant qu’une personne était en train de mourir. Il s’agit d’un homme qui venait, car sa femme...?... Le voilà. Votre femme... Vous venez d’arriver. Vous venez du Nord, vous avez traversé la rivière Ohio dans une voiture. Votre femme a le cancer. Est-ce juste? Approchez une minute. Avez-vous un mouchoir? C’était là la deuxième chose que vous avez, ce que vous alliez faire. Par la foi vous–vous avez obtenu ceci, que je bénisse cela, pour que vous ameniez cela à votre femme. Est-ce juste? Au Nom de Jésus-Christ, je condamne ce cancer! Jésus-Christ est mort afin que ce cancer s’en aille. Et en Son Nom, je condamne le cancer, et je l’envoie loin de cette femme au Nom de Jésus-Christ. Rentrez chez vous, et posez cela sur votre épouse, et ensuite écrivez-moi son témoignage. Que Dieu vous bénisse.
84 Cette maladie de rein vous a quittée pendant que vous vous teniez là, madame. Vous pouvez descendre de l’estrade en vous réjouissant. Etes-vous prête à être guérie? Chacun de vous peut être guéri. Croyez-vous?
Tenons-nous tous debout un moment. Inclinons la tête un moment.
Dieu miséricordieux, nous Te prions d’être tout près maintenant et de bénir. Etant donné que Tu as dit dans Ta Parole, nous devons prêcher l’Evangile ici aussi. Et les gens ici ont commencé à croire. Et, ô Père, je Te prie maintenant de Te souvenir de cette assistance ce soir. Il y en a ici qui sont sans aucun doute très malades. Et je Te prie de guérir chacun d’eux. Et je ne sais rien de plus à faire que de prononcer Ta Parole pour ce peuple. Et Tu as été tellement bienveillant envers nous en confirmant la Parole par des miracles qui ont accompagné le croyant.
85 Maintenant, ces gens se tiennent là, ô Père. Ils croient que–que Tu vas les guérir. Et la force me quitte. Je–je sais que beaucoup parmi eux sont en train d’être guéris maintenant même. Et je prie, Père, pendant que je me tiens ici, que Ton Esprit puisse agir dans chaque personne d’une manière tellement divine que chaque symptôme de leurs maladies quittera leur corps, et qu’ils soient guéris.
Que le boiteux marche, que l’aveugle voie, que le sourd entende, peu importe la maladie ici, Père. Nous croyons qu’ils sont maintenant en train d’être guéris. Et je condamne chaque maladie qui se trouve dans cette salle. Au Nom de Jésus-Christ, j’ordonne à chaque–chaque esprit impur qui ose envoyer ces gens dans une tombe prématurée, de les quitter et de sortir d’eux, par Jésus le Fils de Dieu!
Pendant que nous avons la tête inclinée, purifie...
86 Le Dieu Tout-Puissant est devant nous et quelqu’un par ici est en train d’être guéri. Dieu est en train d’agir. Je vois un homme qui se tient ici derrière être guéri des hémorroïdes. C’est un ministre de l’Evangile, qui prêche la Parole du Dieu vivant. La dame... Oh! Cela est en train d’agir partout dans la salle. Continuez simplement de prier. J’arrive à peine à voir où vous êtes maintenant. Continuez simplement de prier. Gardez votre pensée sur Dieu. Vous êtes en train d’être guéris.
Vous, madame, qui souffrez de cette hypertension et qui vous tenez juste au bout de la rangée là-bas, Dieu vous guérit. Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. C’est juste.
Vous ici, monsieur, qui souffrez de prostatite, et qui vous tenez juste derrière, à l’autre bout de la rangée, et qui vous réveillez la nuit, pour courir... Vous êtes guéri. C’est juste, mon frère. Dieu vous guérit.
Chacun de vous...
87 Vous qui êtes ici dans le fauteuil roulant, madame, ayez... Croyez en Dieu de tout votre coeur. Si seulement vous êtes–si seulement vous surmontez ce petit doute maintenant même, vous serez guérie.
Vous tous maintenant, désirez-Le ardemment. Croyez en Lui de tout votre coeur. Recevez votre guérison. Croyez-moi. Si Dieu est venu parmi vous et que vous partiez en doutant, quelque chose de pire que ce que vous avez va vous arriver. Puissiez-vous partir en ayant la foi, et que Dieu vous guérisse tous. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur.