La Résurrection
1 Merci, Frère Vayle. Bonsoir, mes amis. Plutôt bon après-midi. J’ai rarement le... Les services ont toujours lieu le soir, c’est pourquoi j’ai l’habitude de dire ça.
Nous sommes très heureux d’être ici cet après-midi dans cette arène. Chaque fois que je regarde là et que je vois ces choses, ces rings, je pense tout simplement au grand nombre de... la différence que cela fait, lorsque je sortais pour y boxer moi-même avec les autres et maintenant que je suis là à combattre le diable, lui donnant tout simplement des coups avec tout ce qu’il y a en moi.
Et, vous savez, il y a un procédé que j’ai découvert en pratiquant la boxe, quelque chose que j’ai appris, c’est la technique de–de défense. Vous devez avoir un moyen de défense. Et c’est donc une bonne chose. Et le meilleur moyen de défense que nous avons, c’est le Sang de Jésus-Christ, n’est-ce pas? Dites tout simplement: «C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR: Satan, il est écrit ici.» Ça–ça suffit.
Savez-vous que la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, n’importe quand, la nuit comme le jour, en tout lieu, la Parole écrite? Et Jésus a vaincu Satan par la Parole écrite, ce qui montre que c’est possible. Cela met la chose à la portée du–du bébé chrétien. Peu importe combien cela est petit, insignifiant, et que sais-je encore, vous pouvez dire: «Il est écrit.»
2 Quand Satan est allé vers Jésus, notre Seigneur, il Lui a dit: «Si (c’est là le point d’interrogation)–si Tu es Fils de Dieu, fais que ces pierres deviennent des pains ici. Tu peux le faire, si Tu es le Fils de Dieu.»
Et alors, Il a dit: «Il est écrit.» Il n’a pas du tout utilisé Sa puissance; Il a dit: «Il est écrit.» Cela était écrit deux fois dans la Bible, je crois, dans... là dans l’Ancien Testament, dans les Psaumes. A savoir–à savoir: «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»
Ensuite, il L’a encore pris et il a dit: «Si Tu tombes ici ou plutôt si Tu te jettes du haut de ce temple, eh bien...» Il connaissait... Eh bien, s’Il avait fait cela sans que Dieu ne Lui ait dit de le faire, cela–cela L’aurait tué, n’est-ce pas? Certainement. Il était juste un homme. Il devait donc faire ce que Dieu Lui disait de faire.
Eh bien, si Dieu Lui avait dit de monter là-haut et de sauter du haut du temple selon ce que... Comment Jésus travaillait-Il avec le Père? Par quoi? Les visions. C’est ce qu’Il a dit: «Je ne fais rien à moins que Mon Père me le montre.» Donc le Père ne le Lui avait pas montré, et Il s’est bien gardé de se jeter du haut du temple, n’est-ce pas? C’est juste. Ainsi Il ne l’a donc pas fait.
3 Et après, il L’a amené sur le haut du temple, et puis de là, il L’a amené sur une montagne. Et voici ce qui nous rend stupéfaits, nous. Et il Lui a montré tous les royaumes du monde qu’il y avait à un certain moment. Pensez-y un peu. En d’autres termes, il a simplement ouvert, et Il a vu tous les royaumes du monde: les Etats-Unis, la Russie, la Grande Bretagne, tous. Il a dit: «Ils m’appartiennent», Satan l’a dit. Jésus savait qu’ils lui appartenaient. Il a dit: «Je Te les donnerai si Tu te prosternes et m’adores.» Voyez-vous?
Mais Jésus savait qu’Il allait de toute façon hériter de cela dans le Millénium. Que représentent quelques années d’attente? Voyez-vous? Oh! Il savait que cela allait de toute façon Lui appartenir. Alors Il a dit: «Il est écrit: ‘Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu Le serviras Lui seul.’»
Alors Satan en a eu assez quand Jésus ne cessait de déverser la Parole sur lui, de déverser tout simplement la Parole sur lui. Cela régla la question. Mais y avez-vous donc déjà pensé, que ces nations appartiennent à Satan? (Que dites-vous de ça, docteur?)
Ils sont... La Bible déclare qu’ils sont sous le contrôle de Satan. C’est pour cette raison que nous avons des guerres. Mais dans l’Apocalypse, il est dit: «Vous... Cieux et terre, réjouissez-vous, car les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur et de Son Christ.» Est-ce juste?
4 Eh bien, Jésus savait qu’à ce moment-là Il prendrait le contrôle. Et Il gouvernerait et régnerait pendant mille ans. Alors il n’y aura plus de guerre, de toutes les–les–les–les épées on forgera des socs (Est-ce juste?) et des serpes. Et nous n’aurons plus de guerre. Ne sera-ce pas merveilleux?
Et à la résurrection, toutes les personnes redeviendront jeunes, hommes et femmes. N’est-ce pas merveilleux? Voyez-vous? Alors que vous êtes vieux, la plupart d’entre nous, nous avons dépassé la fleur de l’âge... A votre naissance, c’est ce que Dieu avait voulu. Et si rien n’interrompt votre vie, vous allez atteindre la pleine stature d’un homme ou d’une femme, tout ce qu’Il voulait que vous soyez, s’il n’y a pas une quelconque interruption. C’est Satan qui l’interrompt. Et puis quand...
Avez-vous déjà pensé à la couleur de vos cheveux lorsque vous étiez une jeune fille d’environ vingt ans, que vous, vous étiez un jeune homme? Vous rendez-vous compte que vos cheveux auront la même couleur à la résurrection? C’est juste.
Pensez-y; quand un–quand un grain de maïs jaune est mis en terre, ce n’est pas un grain bleu qui pousse à sa place, n’est-ce pas? Non. Voyez-vous, le christianisme tout entier est basé sur la résurrection. La même chose qui est mise en terre, c’est la même chose qui pousse. Voyez-vous?
5 Et maintenant, lorsque vous aviez environ seize ans et... ou plutôt vingt ans... C’est alors que vous étiez en pleine forme, je pense, quand vous aviez environ vingt, vingt et un ans, et je pense que c’est alors que les cellules sont en pleine forme. Vous souvenez-vous du premier matin lorsque vous étiez en train de vous peigner et que vous êtes tombé sur quelque chose de gris ici sur le côté? Vous êtes allé et vous avez dit: «Regarde, maman.»
Oui, j’avais peut-être vingt-cinq ans. Et vous avez remarqué, maman, que ces beau yeux de colombe comme cela... des rides commencent à se former sous ces yeux, c’est étrange, à vingt-cinq ans. Au bout d’un moment ces rides commencent à se multiplier de plus en plus. Ces cheveux commencent à devenir plus gris. Et ensuite, cette chair commence à s’engraisser, l’eau s’y accumule. Vous commencez alors à régresser. La mort s’est installée. Elle va vous vaincre. C’est juste. Dieu lui a dit de le faire. C’est la seule voie par laquelle Il peut vous retirer d’ici. Est-ce juste?
6 Vous–vous vivez donc jusqu’à ce moment-là, et ensuite c’est la mort. Vous régressez jusqu’au jour où elle va finalement vous vaincre, et vos cellules se détériorent, et vous retournez à la poussière de la terre. Mais Dieu ne perd rien. Il sait avec exactitude où Il les avait gardées au départ. Si ce n’était pas le cas, comment les avez-vous reçues? Personne ne les a collées sur vous et ne vous a fait grandir. Vous vous êtes développé et vous avez poussé, et vous vous êtes développé jusqu’à ce qu’elles ont atteint la taille normale. Est-ce juste? C’est ainsi que tout ce que la mort peut vous faire, c’est de vous retirer de cette vie-ci.
Et une fois, un écrivain a dit: «La seule chose que la mort peut faire à un croyant, la mort que Dieu a attelée à un boghei, c’est de ramener le croyant dans la Présence de son Créateur (C’est là une belle conception. Est-ce juste?), elle le ramène tout droit jusqu’auprès de Dieu.» Et puis c’est–c’est tout ce qu’elle peut faire.
7 Alors à la résurrection... Voyez-vous, tout ce que la mort peut faire, c’est vous ôter de cette vie-ci. Alors c’est terminé. Et alors, à la résurrection, il y a... la mort ne joue aucun rôle du tout. Exactement ce que vous étiez donc lorsque vous étiez dans votre meilleure forme, tel que Dieu vous avait photographié, tel vous serez à la résurrection.
Si j’en avais l’occasion, ou que je restais ici un peu plus longtemps, je pourrais prendre la Bible de Dieu pour prouver que c’est la vérité. Exactement, sans–sans l’ombre d’un doute, très exactement ce qu’Il a fait à–à... autrefois dans l’Ancien Testament, et tout, et prouver cela par la Parole de Dieu que vous serez exactement tel que vous étiez quand vous étiez jeune, et que vous resterez jeune pour toujours.
Nous aurons des tailles différentes. Différentes... Maintenant, vous direz: «Oh! Vous... Je crois que nous allons tous nous ressembler.»
Eh bien, Dieu n’est pas ce genre de personne. Considérez Sa création. Il a des palmiers par ici, et Il a des chênes là dans ma contrée, et Il a des pins là-bas dans les montagnes. Il a de petites montagnes, de grandes montagnes, de petits arbres, de grands arbres. Il a des déserts, et–et des jungles, des déserts et des montagnes, des plaines et des mers.
8 Dieu est un Dieu de variété. Il a des fleurs blanches, des fleurs bleues, des fleurs roses, des fleurs rouges. Est-ce juste? Il est un Dieu de variété. Voyez ce qu’Il a créé, voyez ce qu’Il a créé en premier. Alors vous pourrez comprendre ce qu’Il est.
Lorsque nous ressusciterons, nous serons roux, noirs, blonds, très exactement tels que nous le sommes ici; mais à la résurrection, ce sera la perfection. Dites donc, cela devrait nous amener, nous toutes les personnes âgées, à nous mettre à crier, n’est-ce pas? Certainement, parce que c’est la vérité. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Oui, monsieur. Et cela ne faillira pas.
9 Ainsi donc si vous êtes ancré en Christ, et si nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former une seule Eglise... Vous pensez que vous allez me laisser m’en tirer avec ça? Ha! ha! ha! ha! Nous avons tous, non pas adhéré, mais nous avons été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps, le corps des croyants (Voyez-vous?), tous baptisés, nous n’avons pas adhéré, nous avons été baptisés dedans. Comment avons-nous été baptisés? Dans une seule eau? Non. Un seul lac? Non. Dans un seul Esprit, nous avons tous été baptisés pour former un seul corps, pour devenir membres de ce corps. Oh! la la! je me sens bien quand j’y pense. Ainsi, qu’est-ce qui peut vous faire du mal?
Et puis, quand nous entrons dans ce corps, nous sommes scellés, pas d’un réveil à un autre, mais jusqu’au jour de notre Rédemption: Ephésiens 4.30: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par Lequel vous avez été scellé jusqu’à votre Rédemption.»
Eh bien, si vous avez des hauts et des bas, si vous rétrogradez et avez des hauts et des bas, tantôt dedans tantôt dehors, comme ceci cela, ne connaissant pas votre position, vous n’êtes pas encore scellé. Voyez-vous? Lorsqu’un wagon passe ici sur la voie ferrée, tout d’abord on le charge et on y met des choses. Eh bien, ensuite, il doit subir un contrôle avant qu’il puisse être scellé. Le contrôleur vient là, si tout sera balloté sur le trajet, il va vous obliger à tout décharger pour refaire le chargement. C’est ce que l’on fait quand on passe d’un réveil à un autre (C’est juste): on fait le nettoyage, et on recommence; on revient tout simplement et on prend un nouveau départ.
Mais une fois que vous êtes vraiment chargé comme il faut, et que le Saint-Esprit de Dieu a la priorité et que vous êtes devenu un enfant de Dieu, alors la porte est fermée; on appose un sceau sur cette porte, et cette porte ne peut être ouverte qu’à destination. Est-ce juste? L’oeuvre doit avoir une destination. Ainsi donc, nous sommes scellés du Saint-Esprit jusqu’au jour de notre Rédemption. Amen.
10 Oh! la la! Alors, de quoi–de quoi devons-nous nous soucier? Pourquoi marchez-vous avec un visage abattu, comme si vous mangiez de l’avoine, ou que vous racliez le fond de la baratte? Oh! la la! Souriez. Nous sommes heureux. Nous sommes des chrétiens, et Dieu nous a prédestinés à cela et Il a offert Christ pour nous. Et personne ne pourrait venir à Lui maintenant...
Vous direz: «Eh bien, que Dieu soit béni! Je vous assure, je–je dois chercher Dieu.» Non, jamais. Ce n’est pas du tout vous qui avez cherché Dieu. L’homme n’a jamais cherché Dieu. Ça n’existe pas, un homme qui cherche Dieu. Savez-vous cela? C’est Dieu qui cherche l’homme. C’est juste. Aucun...?... Vous direz: «Est-ce que c’est selon les Ecritures?» Absolument.
Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Toute votre nature est tout à fait opposée à Dieu. Et il faut d’abord que le Saint-Esprit place ce désir là à l’intérieur pour que vous puissiez soupirer après Dieu. Est-ce juste?
Et puis, quand... «Tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle.» Vous y êtes! «Et ensuite, Je les ressusciterai au dernier jour.»
11 Ainsi donc, que nous vivions, que nous mourrions, que le monde subsiste ou pas, que les gens pensent ceci ou cela, nous ne devrions avoir qu’un seul choix: c’est adorer Dieu, et être heureux au possible. Croyez en Lui pour chaque chose qu’Il a dite. Car ni la vie, ni la mort, ni rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Christ. Et nous serons là-bas avec Lui dans Sa Présence pour toujours. Vous direz: «Frère Branham, ça a vraiment l’air d’être du calvinisme.»
Eh bien, je crois dans la doctrine calviniste aussi longtemps que le calvinisme demeure dans la Bible. Voyez-vous? Si cela s’écarte de la Bible, je n’y crois pas. Je crois ceci: je crois que tout croyant croit avec moi que l’Eglise possède la sécurité éternelle. Dieu a promis et dit qu’elle–qu’elle serait là irrépréhensible, sans tache, ni ride. Est-ce juste? Dieu l’a déjà dit, afin que cela...
Eh bien, si vous êtes dans l’Eglise, vous êtes en sécurité avec l’Eglise. Est-ce juste? Cela ne veut dire ni l’Eglise méthodiste, ni l’Eglise baptiste, ni l’Eglise pentecôtiste. Cela veut dire l’Eglise née de nouveau du Saint-Esprit, celle dans laquelle nous naissons. Donc vous êtes en sécurité quand vous êtes dans l’Eglise.
12 Ce bâtiment a été construit ici comme abri contre les intempéries. Et aussi longtemps que je suis ici, les intempéries ne vont pas me déranger. Voyez-vous? Ici, la pluie ne va pas tomber sur moi, parce qu’il y a un toit au-dessus de moi. Restez dans l’Eglise; vous êtes sous la protection de Jésus-Christ. Est-ce juste?
Maintenant, je... parle juste un moment jusqu’à ce que les gens s’installent en quelque sorte. Et j’aurais certainement souhaité ne pas avoir fait des arrangements pour une série de réunions ailleurs. Je crois toujours que Miami et ses hameaux peuvent être secoués pour Dieu. Mais ce qu’il faudra c’est un mois... C’est un petit nombre de fidèles assis ici cet après-midi avec une grande faim pour le faire, ou plutôt de voir cela, au point que vous ne pouvez ni dormir ni manger... Quand le travail de l’âme s’empare d’une personne, Sion va enfanter des enfants; ça c’est certain. Et quand vous en arrivez à ce point-là, alors vous... vous allez arriver quelque part.
Et je crois que cette petite réunion ne mourra jamais, qu’elle continuera à vivre encore et encore. Eh bien, des semences ont été plantées. Or, Paul a dit: «L’un plante; l’autre arrose; c’est Dieu qui fait croître.» Et ma prière est que Dieu déverse l’eau, et que le Saint-Esprit fasse croître.
13 Maintenant, cet après-midi je dois parler ou prêcher, ou tout ce que vous... Comme je l’ai dit auparavant, je ne suis pas fameux comme prédicateur; je suis ce qu’on appelle un pneu de rechange. Voyez-vous? Et quand donc je prêche par-ci par-là, je...
Bon, bon, la raison pour laquelle je le dis, je le dis à cause du respect de... Eh bien, quand je dis que j’aime mon Seigneur, bien entendu je L’aime, certainement. Et je L’aime autant que... Je ne... Si acquérir l’instruction vous fait aimer davantage le Seigneur, mon frère, je commencerai l’université maintenant même. Je–je ne... Cependant, Dieu n’exige pas l’instruction pour qu’on puisse L’aimer. Il–Il exige tout simplement un coeur humble pour croire en Lui. C’est juste.
Et bien des fois, je dis ceci avec... Maintenant, je ne cherche pas à me servir de ceci comme support pour soutenir mon ignorance, mais l’instruction est le plus grand obstacle que l’Evangile de Jésus-Christ ait jamais connu. C’est juste. Le–le plus grand obstacle que l’Evangile de Jésus-Christ ait jamais connu, c’est l’instruction. C’est juste. La théologie a brisé... a pris la place du Saint-Esprit. C’est vrai.
14 Et maintenant, je me souviens quand j’étais petit garçon... J’ai toujours aimé les chevaux, et je suis venu ici avec le petit copain le plus gentil. C’est le fils de frère Vayle qui s’appelle Gray, je crois que c’est ça son nom. Et si ce n’est pas un petit garçon chic... Je–je... Il a dit: «Pour moi, Frère Branham, a-t-il dit, ces palmiers sont pour les gens qui vivent ici.» Il était un Canadien. Il–il désirait retourner dans la contrée enneigée.
Ainsi, il aime les chevaux, et j’ai dit: «Je t’assure, tu ne seras jamais en erreur aussi longtemps que tu aimeras la nature, car Dieu est dans la nature.»
Et ainsi nous étions en train de parler, et je pensais à l’époque où j’étais un petit garçon, c’est ce que j’aimais. J’aimais... Mon père était un–était un cavalier, et c’était un bon cavalier. Et il sortait, et c’était un bon tireur. Oh! la la! Quel bon tireur il était avec un revolver! Il prenait ces énormes billes en pierre, et il les faisait rouler comme cela, et il avait deux fusils, et avec un il tirait, et il projetait la bille en l’air, et avec l’autre fusil il faisait exploser la bille avant qu’elle ne touche le sol. Moi, j’étais incapable d’atteindre comme cela une baignoire qui est là immobile. Mais je–je–j’aime ce plein air. Et un cavalier... Je l’ai vu chevaucher, au point qu’en toute honnêteté, je–je–j’avais une peur bleue, il montait des chevaux sauvages.
15 Mais lorsque je n’étais qu’un petit garçon... Il a rencontré ma mère. Ma mère vient–vient de Paris, dans le Texas. Mon père venait du Kentucky. Et alors, mon père était là-bas en train d’apprivoiser des chevaux, lors d’un rodéo, quand il a rencontré ma mère. Et alors il... Ils se sont mariés, et maman n’avait que quinze ans quand je suis né. Ainsi cela... Ce n’était qu’une enfant, et papa avait dix-huit ans.
Mais je voulais être comme mon papa. J’aimais beaucoup mon papa. Il n’avait pas... il n’est devenu chrétien que peu de temps avant sa mort. Je l’ai conduit à Christ. Mais c’était un Irlandais jusqu’au bout des ongles, et un grand buveur. Et peu importe ce qu’il a fait, peu m’importe ce qu’il a fait, de toute façon c’est mon papa. Voyez-vous?
Ecoutez, jeunes gens, lorsque vous en arrivez à un point où vous devez traiter votre chère maman et votre cher papa... peu importe ce qu’ils ont fait, lorsque vous en arrivez à un point où ils ne sont plus maman et papa, juste le vieil homme et la vieille femme, c’est alors que vous tombez dans la condition la plus rétrograde que vous n’ayez jamais connue. Vous ne saurez jamais ce que cette mère, ce père représente pour vous, jusqu’au moment où vous entendrez le grincement de ce cercueil qu’on emporte dehors. Vous comprendrez alors qu’il ne s’agit pas du vieil homme. Vous comprendrez que les cheveux blancs qui sont sur sa tête, vous y êtes pour quelque chose.
16 Et je sais que mon vieux papa travaillait pour soixante-quinze cents par jour, au point que maman prenait les ciseaux pour détacher de son dos la chemise qui était collée à son dos à la suite du coup de soleil. Soixante-quinze cents par jour pour me faire vivre quand j’étais trop jeune pour comprendre de quoi il s’agissait, à l’âge de quatre ou cinq ans. Oui, il est encore mon papa. Il y a probablement de la neige sur sa tombe aujourd’hui dans l’Indiana, mais de toute façon il est mon papa. Absolument. Et je l’aimais.
Je me souviens que je désirais être comme lui. Je me souviens une fois quand il avait une petite ferme où nous travaillions. J’avais un vieux cheval de labour. Et papa me laissait utiliser ce cheval, parce qu’il était doux et très âgé. Et je labourais avec, et ensuite on l’amenait là où se trouvait le vieil abreuvoir. Et en guise d’abreuvoir on avait taillé un vieux tronc d’arbre. Combien ont déjà vu une de ces petites choses? Dites, pourquoi ai-je porté une cravate ici cet après-midi? Nous sommes simplement entre nous campagnards, n’est-ce pas? Le fait de vivre à Palm Beach n’a pas encore ôté de nous la campagne, n’est-ce pas? Non, monsieur. Un vieil abreuvoir où les abeilles venaient, vous savez, et elles bourdonnaient tout autour; on arrachait le poil de leur crinière, ou de la queue d’un cheval, et on le mettait là pour faire un serpent en crin de cheval. Avez-vous déjà vu une de ces cellules bouger en quelque sorte? Nous faisions cela.
17 Et alors, je... Quand je rentrais, je revenais un peu tôt et j’abreuvais d’abord mon cheval. Pauvre papa, il continuait jusqu’à la tombée de la nuit, et il devait traire la vieille vache. Et c’est mon frère qui le faisait, moi je n’arrivais pas à faire la traite, je n’y suis jamais parvenu.
Ainsi donc, je venais là, j’abreuvais le cheval, et il me fallait exécuter d’autres tâches autour de la maison. Et j’allais là, et mes frères grimpaient tous de ce côté-ci de la clôture, et papa était au fond en train de travailler encore. Je prenais le vieux cheval, je regardais tout autour, pour voir si maman ou personne d’entre eux ne regardait, vous savez. Je prenais la selle de papa, je la jetais par-dessus, et je me procurais une poignée de graterons et je les lançais comme cela sous la selle, et ensuite je tirais très fort la sangle et je montais dessus. Y a-t-il ici quelqu’un qui a déjà monté un cheval avec des graterons sous la selle? Vous savez ce que... Le pauvre vieux cheval... Oh! j’ai encore honte d’avoir fait cela.
La pauvre vieille bête était tellement fatiguée et âgée, trop malade pour soulever ses pattes du sol, avec ces graterons qui lui faisaient mal, vous savez. Il se tenait tout simplement là et il hennissait, vous savez, comme cela, en secouant ses pattes comme cela. Il ne pouvait pas donner une ruade. Il était trop âgé, trop raide. Il hennissait tout simplement et continuait comme ça. Et j’agitais ce chapeau, et je me balançais de part et d’autre. Et j’étais un vrai cowboy, je vous assure. Oui, oui. Tous mes frères qui étaient assis là tapaient simplement les mains, vous savez. Oh! nous... J’étais un vrai cavalier. Eh bien, ce n’était pas différent de quelqu’un qui serait assis là sur une chaise pendant que l’autre le fait balancer. Voyez-vous?
18 Et ainsi, quand j’ai atteint environ dix-huit ans, je–j’étais certain qu’on avait vraiment besoin de moi à l’ouest pour dresser les chevaux. J’étais convaincu qu’on ne pouvait tout simplement pas avancer sans moi; alors je me suis éclipsé de la maison et je suis allé à l’ouest. Je me suis retrouvé en Arizona juste à la saison du rodéo. Je me suis procuré un Levis, et je suis allé, et je me disais: «Eh bien, je vais rentrer à la maison sur la selle d’argent, et je vais certainement me faire beaucoup d’argent.»
Je suis donc monté sur le bord du corral, vous savez, et ces gens sont sortis, et on a lâché le cheval là. Et un certain cavalier allait monter ce cheval. Et, frère, ils avaient son... Quand il est sorti de la glissière, on l’a mis dans l’enclos des taureaux quand il est sorti. Je... Ce cheval a rué environ deux fois et il a roulé des épaules, et la selle a volé d’un côté, et le cavalier de l’autre. Les ramasseurs ont récupéré le cheval et l’ambulance a récupéré le cavalier; le sang sortait de ses oreilles et de son nez; il était étendu là tout en pièces sur le–le sol.
Je me suis dit: «Oh! oh! ça ne ressemble pas au vieux cheval de labour que je montais. Je ne sais pas si je vais gagner une selle d’argent ou pas.»
19 Ainsi donc, l’animateur est passé, et il a dit: «Je donnerai cent dollars à tout homme qui montera ce cheval ici pendant deux minutes.» Et il a parcouru directement tout le groupe de cowboys qui étaient alignés le long de la clôture du corral, tout défigurés, vous savez, de vrais bouviers. Et voici que moi j’étais assis là avec les pieds ployés, essayant d’avoir l’air d’un cowboy, portant ce chapeau enfoncé jusqu’aux oreilles. Et cet homme s’est avancé tout droit vers moi, il m’a regardé en face, et il a dit: «Es-tu un cavalier?»
Ah! j’ai dit: «Non, non.» J’avais aussitôt changé d’avis, disant que je n’étais pas un cavalier. Ça, ce n’était pas mon vieux cheval de labour, et je savais que je ne pouvais pas tenir sur cet animal-là. C’est la raison pour laquelle je dis aujourd’hui que je ne suis pas un prédicateur. Voyez-vous?
20 Quand je venais d’être ordonné au début dans une église baptiste, et que j’avais ma licence de prédicateur local, j’avais ma Bible sous le bras, chaque fois que je rencontrais quelqu’un qui disait: «Dites donc, êtes-vous prédicateur?»
–Assurément. Oui, monsieur.
Un jour, j’étais à Saint Louis, dans le Missouri, et il y avait là un homme du nom de Robert Daugherty, un prédicateur pentecôtiste. Et cet homme, je l’ai entendu dans une réunion sous tente, et je devais apporter mon assistance dans cette réunion. Et cet homme prêchait jusqu’à avoir le visage tellement rouge qu’il perdait le souffle, et il ployait ses genoux jusqu’à ce qu’ils se touchaient. Je ne pense pas... Puis il reprenait son souffle; on pouvait l’entendre à environ trois pâtés de maisons; il se relevait, toujours en prêchant.
Quelqu’un a dit: «Etes-vous un prédicateur?»
J’ai dit: «Non, monsieur.» Avec ma vieille manière lente des baptistes, je ne réfléchis pas aussi vite. Ainsi, je... C’est pourquoi je suis plutôt prudent quant à dire que je suis un prédicateur (Voyez-vous?), surtout quand le docteur Vayle et la plupart de ces hommes sont assis là, eux qui sont de vrais prédicateurs. Mais chaque fois que je–chaque fois que je fais ceci, j’aime parler du Seigneur. C’est ce que nous faisons tous, n’est-ce pas?
21 Ainsi maintenant, lisons une portion de Sa Parole et demandons-Lui de nous aider, et je désire maintenant que vous... Je crois que la foule s’est installée et qu’elle s’est réunie à l’intérieur. Et j’espère ne pas trop longtemps vous parler. Et j’aimerais lire un passage des Ecritures, car je sais que Ses Paroles ne failliront jamais. Et je suis un grand croyant de la Parole, pas vous? Si, si. Ceci c’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je crois cela. J’attache mon âme à chaque portion de cela, je dis que c’est la vérité.
Maintenant, maintenant, vous auriez pu laisser cela tranquille encore une minute...?... Très bien–très bien. Dans Saint Jean, chapitre 11, je–je désire lire... (Oh! en toute sincérité, ce n’est pas ce que je voulais dire, mais merci de toute façon.)
22 Dans Saint Jean, chapitre 11, à partir du verset 18, je désire lire quelques Ecritures ici. Je désire parler de La Résurrection. Dites donc, quel texte prendre, dans un groupe de gens qui... Eh bien, peut-être que nous avons besoin d’une résurrection. Ne le pensez-vous pas?
Une fois, un vieux ministre est allé prêcher la repentance un soir. Le soir suivant il est revenu et il a prêché la repentance. Il a prêché cela toute une semaine, et il a commencé la seconde semaine avec la repentance. Quelques-uns des anciens l’ont croisé à la porte et ils ont dit: «Ne pouvez-vous prêcher rien d’autre en dehors de la repentance?»
Il a dit: «Oh! si. Qu’ils se repentent tous et ensuite je changerai.» C’est donc ça. Nous sommes... Aussitôt que tout le monde se serait repenti, eh bien, ce serait alors bien pour commencer autre chose. Ainsi, c’est une bonne idée.
Maintenant, le chapitre 11, au verset 18:
Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades–stades environ,
Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.
Mais lorsque Marthe apprit... Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. (J’aime cela, pas vous?)
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.
Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.
Mais Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;
Et quiconque vit et croit [Espace non enregistré sur la bande–N.D.E.] ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.
23 Bon, mettons de côté nos soucis un instant maintenant, pendant les quelques prochaines minutes, et parlons-Lui. Inclinons d’abord la tête.
Père, nous Te remercions aujourd’hui pour le coeur heureux, joyeux, chose qui est rendue possible uniquement par Jésus-Christ. Comment pourrions-nous ne pas être heureux, sachant ce que nous savons? Nous Te sommes très reconnaissants de Te soucier de nous, pour nous amener dans cette glorieuse communion fraternelle, et aussi dans cette grande relation avec Toi: la communion fraternelle par Christ, la relation avec Dieu, par le Fils de Dieu. Nous Te remercions.
Et maintenant, nous prions pour que tous les soucis de cette vie soient ôtés de nous maintenant même. Ce que nous ferons demain ou le lendemain n’a pas d’importance. Cela pourrait ne même pas venir, mais maintenant, nous voulons parler de Ta Parole. Et je Te prie, ô Dieu, alors que je ne sais pas ce qu’il faut dire, de circoncire les lèvres de Ton serviteur, et de circoncire les coeurs de ceux qui écoutent. Et que le Saint-Esprit prenne ces choses qui viennent de Dieu et qu’Il les place dans le coeur du croyant et de l’incroyant. Et qu’Il l’arrose ainsi des bénédictions de Sa puissance de telle sorte qu’il produise des fruits pour le Maître.
Ecoute-nous, Seigneur, et qu’il ne reste aucune personne malade dans cette salle cet après-midi. Qu’il ne reste aucun pécheur dans la salle. Que les pécheurs soient sauvés et les malades guéris. Et que les saints soient remplis de puissance et de gloire, exaltant Jésus-Christ, le Fils de Dieu, au Nom duquel nous demandons ces bénédictions. Amen.
24 Maintenant, pour... Nous voulons centrer notre pensée sur le grand principe du ministère de Jésus et ce qu’Il était. Et maintenant, dans notre texte du moment, c’était juste au commencement de l’épanouissement de Son ministère.
Maintenant, si vous remarquez bien, la première année de Son ministère, Il était oh! Il était populaire. Et la deuxième année de Son ministère les gens ont commencé à trouver à redire. Juste un peu plus tard, ils L’ont crucifié. C’est ce qu’il en est d’un réveil, il croît et fleurit. Et puis, aussitôt que les guirlandes sont heurtées, elles commencent à tomber. Et Jésus, au moment de ce passage, était juste au début de Son ministère.
Et les gens venaient de partout pour Le voir. Et Il demeurait avec quelques amis: Marthe, Marie, qui étaient deux soeurs, ainsi que leur frère du nom de Lazare. Et j’ai lu que Marthe et Marie, pour gagner leur pain quotidien, confectionnaient de petites tapisseries et d’autres ouvrages pour le temple... des travaux d’aiguille. Et Lazare suivait la formation de scribes, ceux qui écrivaient les lettres de la loi. Il fallait un–un homme vraiment consacré pour faire cela. On n’acceptait personne d’autre qu’un écrivain, un scribe.
25 Et Jésus était–était parti, et Il était arrivé à Béthanie pour–pour vivre avec eux. Et c’est juste là à Béthanie que Son ministère avait atteint son apogée.
Et maintenant, reculons un petit peu pour découvrir le ministère de Jésus. Avant de faire quoi que ce soit, Dieu le déclare et Il avertit toujours les gens. Croyez-vous cela? Et je dis ceci avec une sainte révérence: je crois que les miracles et les prodiges que vous voyez s’accomplir aujourd’hui, amis chrétiens, c’est une confirmation parfaite de la venue imminente du jugement. Amen. Le jugement doit frapper le monde; en effet, quand les gens ne veulent pas recevoir la miséricorde, il ne reste que le jugement. La miséricorde a toujours précédé le jugement. C’est ce qui est arrivé lors de la destruction du monde antédiluvien. C’est ce qui est arrivé avec Jean-Baptiste, et c’est pareil maintenant, la miséricorde précède. Et quand vous rejetez la miséricorde, il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement.
26 Par exemple vous direz: «Dieu se tiendra-t-Il là pour me juger au jour du Jugement?»
Non–non, par votre attitude envers Lui maintenant, vous vous jugez vous-même. Dieu a déjà prononcé la chose, en disant: «Le jour où tu en mangeras, tu mourras.» Cela règle tout simplement la question. C’est... Il doit s’en tenir à cela; Il ne doit plus prononcer d’autre jugement. Votre attitude envers la chose détermine la récompense. Ce que vous pensez de Son moyen pour échapper, si vous refusez de marcher dans Sa voie, alors vous vous jugez déjà lorsque vous Le jugez.
27 Maintenant, avant que Dieu envoie un message sur la terre, Il envoie parfois des Anges comme message... messagers sur terre pour apporter Son message. Croyez-vous cela? Dieu a des Anges.
Eh bien, il y a quelque temps quelqu’un m’a pris à partie là-dessus, il a dit: «Frère Branham»; c’est un frère très fondamentaliste, il a dit: «Il n’y a qu’une seule erreur que je trouve dans votre Message que vous apportez aux gens.»
Et j’ai dit: «Qu’est-ce, mon frère? Si ce n’est pas conforme à l’Ecriture, alors je vais m’en débarrasser et me repentir.»
Il a dit: «Eh bien, vous parlez toujours d’un Ange, et vous avez dit que l’Ange vous a rencontré et qu’Il vous a dit telle chose.» Il a dit: «Frère Branham, ne savez-vous pas que Dieu n’utilise pas des Anges pour diriger Son Eglise?» Il a dit: «C’est le Saint-Esprit qui dirige Son Eglise.»
J’ai dit: «C’est vrai, mais Dieu a aussi des Anges, des Esprits à Son service, que Dieu envoie.»
Et il a dit: «Oh! Frère Branham, ça c’était la doctrine de l’Ancien Testament.» Il a dit: «Vous confondez le Nouveau Testament avec l’Ancien Testament.»
J’ai dit: «L’un est tout simplement l’ombre de l’autre.» Et j’ai dit: «Il vous faut l’Ancien Testament. Ce n’est qu’une ombre du Nouveau. Et l’Ancien Testament, et les deux, ensemble, confirment l’attitude de Dieu vis-à-vis des gens.»
28 Paul a dit dans Hébreux, chapitre 12: «Puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout péché, tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement.»
Eh bien, il a dit: «Eh bien, Daniel avait un Ange et tout.» Mais il a dit: «Le Nouveau Testament ne soutient pas que des êtres angéliques soient allés vers des individus après la descente du Saint-Esprit.»
Et j’ai dit: «Oh! frère, je crois le contraire.» J’ai dit: «Je crois que le Saint-Esprit est ici. Il est Celui qui nous remplit. Et notre vie ne nous appartient pas, mais c’est la Vie du Saint-Esprit en nous qui fait de nous des chrétiens.» Je crois cela, que chaque fibre du corps d’un chrétien est sous le contrôle du Saint-Esprit. Je crois que c’est le cas de vos yeux. Quand vous regardez, vous ne pouvez pas vous empêcher de voir le mal, mais si vous convoitez, vous avez déjà commis adultère. Vous détournez la tête. C’est le Saint-Esprit qui vous fait faire cela. Est-ce juste? Il vous est possible d’être tenté. La tentation, ce n’est pas le péché. Obéir à la tentation, c’est le péché. Voyez-vous? Vous pouvez être tenté. Christ fut tenté comme nous le sommes, mais Il n’a jamais péché. C’est pourquoi le Saint-Esprit, c’est Dieu qui nous aide à soutenir la vérité de Dieu, et nous sommes des lettres écrites et lues de tous les hommes.
29 Eh bien, il a dit: «Eh bien, qu’en est-il des–des anges dans le Nouveau Testament?»
J’ai dit: «Eh bien, considérez la... Marie, la vierge, un ange l’a visitée.»
Il a dit: «Oh! mais ça, c’était avant que le Saint-Esprit ne vienne.»
J’ai dit: «Alors j’aimerais vous poser cette question: Croyez-vous que Philippe avait le baptême du Saint-Esprit?» Nous le croyons tous, n’est-ce pas? «Eh bien, quand Philippe était là-bas à Samarie et qu’il tenait un grand réveil, ce n’est pas le Saint-Esprit qui est venu l’appeler pour qu’il aille dans le désert de Gaza; c’est l’Ange du Seigneur (Est-ce juste?), l’Ange du Seigneur.»
30 Eh bien, nous croyons tous que Pierre avait le Saint-Esprit, n’est-ce pas? Il était le porte-parole principal à la Pentecôte, lors de l’inauguration de l’Eglise, et nous savons qu’il avait le Saint-Esprit. Mais pendant qu’il était en prison, et qu’on allait le décapiter le jour suivant, et les frères tenaient une réunion de prière chez Jean-Marc, qui s’est rendu là à la prison et l’a libéré? Le Saint-Esprit? L’Ange du Seigneur. Et Il était sous la forme d’une Lumière. Est-ce exact? Il est entré par la fenêtre, Il l’a réveillé, Il lui a ôté les chaînes, et Il l’a fait passer à côté des gardes, Il a ouvert les portes. Et pendant tout ce temps Pierre pensait qu’il rêvait, jusqu’à ce qu’il est arrivé à l’extérieur. Oh! je vous assure; quand on est transporté sous l’effet de la puissance de Dieu, c’est vraiment quelque chose! Vous perdez vos sens et tout quand vous êtes emporté par la puissance de Dieu.
31 Eh bien, c’était l’Ange du Seigneur. Le grand saint Paul avait certainement le Saint-Esprit. Et il a enseigné le Saint-Esprit. Et il a dit dans Galates 1.8: «Quand un ange du Ciel enseignerait une autre chose, qu’il soit anathème!»
Et quand Paul était là en mer, et que pendant quatorze jours et quatorze nuits il n’y avait ni lune ni étoiles, il est descendu à la coquerie pour prier, puis il est remonté en agitant les mains. Je peux le voir crier et dire: «Ayez bon courage.» Oh! la la! Qu’était-il arrivé à ce petit monsieur? Oh! il a dit: «L’Ange de Dieu, dont je suis le serviteur, m’est apparu hier soir, disant: ‘Ne crains point, Paul. Il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.’» Il a dit: «C’est pourquoi, messieurs, ayez bon courage, car j’ai confiance en Dieu qu’il en sera exactement tel qu’il m’a été dit; l’Ange de Dieu dont je suis le serviteur.» Eh bien, c’était un Ange de Dieu. Le Livre entier de l’Apocalypse fut écrit par un Ange, et Dieu a effectivement des Anges.
32 Eh bien, avant que Dieu n’envoie Jésus sur la terre, Il a envoyé un Ange. Et un Ange est allé dans une famille, chez Zacharie et Elisabeth. C’étaient des croyants de grand renom, des chrétiens pour ainsi dire. Et c’est dans ce genre de foyer là que l’Ange de Dieu peut aller.
Et savez-vous pour quelle raison, je pense, aujourd’hui nous n’avons plus de visitation des Anges? Nous qui nous disons des chrétiens, nous jouons aux cartes la moitié de la nuit, nous lisons de vieux magazines d’histoires vécues, nous avons de la bière au frigo. Et c’est pour cette raison que les Anges ne nous visitent pas. On ne peut pas mélanger l’eau et l’huile.
Maintenant, frère, je suis tout simplement un prédicateur né de nouveau du Saint-Esprit, du fond des bois, sassafras, à l’ancienne mode. Et je crois dans le pain de maïs à l’ancienne mode, avec la choucroute, les pommes de terre et les haricots. Ce n’est pas de la crème glacée, mais cela vous tiendra bien au corps et vous permettra de vaincre.
Eh bien, je crois dans le salut du Saint-Esprit à l’ancienne mode, qui purifie le coeur de l’homme, et c’est tout ce que je sais dire à ce sujet. Ainsi... Je mets... Et demandons tout simplement à Dieu de déverser cela sur nous, qu’en dites-vous donc? Qu’Il se tienne là sous–sous la forme d’une pluie de puissance à l’ancienne mode de Dieu.
Eh bien, ces Anges venaient dans ces familles, si elles avaient une bonne réputation.
33 Et Il est allé... Un jour, Zacharie qui était sacrificateur offrait un sacrifice (et sa classe avait pour tâche d’offrir le parfum), et pendant qu’il offrait le parfum, l’Ange de Dieu, Gabriel, est venu, et il s’est tenu à sa droite et lui a parlé, et il a dit–il a dit: «Zacharie...» Il lui a dit qu’après son retour chez lui, après ses jours de service au temple, il allait être avec sa femme, et que celle-ci aurait un enfant. Et c’était une femme âgée. Vous voyez comment toujours Dieu... Il prend ce qui est vraiment ridicule pour faire ce qu’Il veut faire. Qui s’imaginerait qu’Il prendrait un montagnard ou quelqu’un de ce genre, qui connaissait à peine son abc, ou quelque chose comme ça, pour en faire un prédicateur?
Quand Il a pris Pierre, Jacques et Jean, la Bible dit qu’ils étaient des hommes du peuple sans instruction. Il n’a pas cherché des érudits. Il est allé prendre un vieux pêcheur là-bas qui avait sur lui un vieux tablier couvert de graisse de poissons, et qui ne connaissait pas son abc, Il en a fait un saint de Dieu, et Il lui a donné les clés du Royaume. Amen. Très bien. C’est comme ça que Dieu agit. Et Il est descendu vers ceux qui étaient vraiment ridicules.
34 Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a dit... Eh bien, que Dieu vous bénisse, mes chers amis catholiques qui êtes ici. Voyez-vous? Il a dit: «Frère Branham, si ce don devait être donné, le pape de Rome devrait en savoir quelque chose.» Il le saurait autant que Caïphe savait que c’était Christ qui était né.
Dieu ne traite pas comme cela avec le cercle des gros bonnets. Il vient vers les pauvres et les humbles, et Il prend ce qui n’est pas pour accomplir ce... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] la même folie de la prédication pour condamner les puissants et les sages. C’est ce que Dieu fait. Il prend toujours la chose la plus basse pour l’élever.
Si ces apôtres avaient pu dire: «Nous sommes instruits; nous sommes intelligents; nous avons toute sorte de diplômes.» Ils auraient eu de quoi se glorifier, mais ils étaient des hommes du peuple sans instruction. Et Dieu a pris ce qui n’est pas, et Il a fait ce qui est. Alléluia! Oh! j’aime cela. Quand je pense... Alors c’est tout le monde qui a une chance.
35 Vous direz: «Eh bien, une minute, prédicateur. Paul était un homme instruit.» C’est tout à fait exact, mais il a dit qu’il a dû oublier tout ce qu’il connaissait pour apprendre Christ aussi, et qu’il devait mourir chaque jour à cela. Absolument.
Eh bien, c’est vrai. Et c’est là que notre monde est... que nos églises faillissent aujourd’hui. Nous cherchons à avoir à notre chaire... Vous qui élisez vos pasteurs, vous cherchez à obtenir le plus intelligent, le plus moderne, et le plus fraîchement sorti du séminaire, que vous pouvez trouver; et des fois c’est la pire chose que vous puissiez avoir. C’est juste. Ce que–ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un homme qui a une expérience avec Dieu, quelqu’un qui mettra la cognée à la racine de l’arbre quelles que soient les conséquences et qui prêchera l’Evangile sans mélange, même si l’église le rejette.
36 Il n’y a pas longtemps un homme m’a dit: «Prédicateur, si je prêche ça, a-t-il dit, je devrais prêcher aux quatre murs.»
J’ai dit: «Je préférerais prêcher aux blocs de béton la vérité de Dieu (C’est juste), et avoir la faveur de Dieu, même si je dois manger des biscuits secs et boire de l’eau plate, et être... prêcher la vérité, que d’avoir trois fois par jour du poulet grillé, et avoir un col retourné, et soutenir quelque chose que je sais être un mensonge.» Amen. Amen. C’est cela être libre. C’est juste. L’Esprit de Dieu...
Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un bon réveil à l’ancienne mode, à la saint Paul, et le retour une fois de plus du Saint-Esprit de la Bible dans l’Eglise comme la Lumière de Dieu.
37 Ce sacrificateur se tenait là pour offrir son sacrifice, ou pendant que le peuple en prière attendait, et, oh! un homme juste, un homme pieux... Et là à sa droite est apparu ce puissant Gabriel, l’Archange.
Dieu envoie toujours des anges mineurs, mais c’est Gabriel qui annonça la Première Venue de Christ, et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Christ. C’est juste. Cet Archange de Dieu annoncera la Seconde Venue de Christ.
Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez, c’est merveilleux ici. Et l’Ange lui a dit que lorsqu’il rentrerait chez lui, il serait avec sa femme, et qu’elle aurait un enfant. Maintenant remarquez, cet érudit, qui avait tant d’exemples auxquels se référer, a dit: «Comment ces choses peuvent-elles se faire? Mon épouse est âgée», cela faisait peut-être dix, quinze ans qu’elle avait dépassé la ménopause.
Mais voyez dans quelle situation était Sara. Cela faisait quarante ans qu’elle avait dépassé la ménopause. Considérez Anne. Il avait tant d’exemples qu’il aurait dû lire dans les Ecritures pour savoir que c’était la vérité. Et il avait lu cela bien des fois, mais il n’a pas appliqué cela pour dire que le même Dieu d’autrefois était le même Dieu en son temps. Et c’est là le problème aujourd’hui, nous pensons que les jours des miracles sont passés. Nous ne voyons pas qu’Il est le même Dieu qui était, qui est maintenant, et qui sera toujours.
38 Combien les Juifs ont facilement condamné Jésus quand ils ont vu... Oh! ils avaient traversé la mer Rouge (leurs pères) à secs. Avec tous ces prodiges et ces miracles, et cependant ils ne croyaient toujours pas que c’était leur Dieu qui faisait la même chose. C’est ce qu’il en est aujourd’hui.
L’église échoue quand nous... La théologie et d’autres choses de ce genre, avec l’instruction ont pris la place du banc des pénitents à l’ancienne mode. Nous avions un banc des pénitents. Vous l’avez descendu au sous-sol. Nous ne l’utilisons plus. C’est la vérité. Et nous... Tout le feu que nous avions sur l’autel, nous l’avons mis dans le fourneau. Ce qu’il nous faut aujourd’hui...
Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, je crains que vous ayez un peu de fanatisme, un petit feu incontrôlé.» Je préférerais avoir un petit feu incontrôlé que pas de feu du tout. Certainement. Je peux supporter un peu de fanatisme avant de pouvoir supporter quelque chose qui est très glacé, raide, empesé et impie. Comment Dieu peut-Il entrer à un tel endroit? Vous allez quelque part et le thermomètre spirituel indique cent au-dessous de zéro. Que quelqu’un dise: «Amen!» Et tout le monde tend le cou, et se retourne pour voir qui a dit cela. Le prédicateur dira: «Vous m’interrompez.»
39 Autrefois, une vieille petite femme vivait dans le Kentucky; son fils est allé là dans l’Indiana et a adhéré à une belle et grande église. Ce n’était pas l’église dont j’étais membre. C’était une Eglise méthodiste, et moi, j’étais baptiste. Et il est allé à l’Eglise méthodiste. Et ils ont commencé... C’était une grande église empesée. Elle venait d’une vieille petite Eglise méthodiste tout en feu.
Ce matin-là, elle est allée là à l’église que son fils et les autres fréquentaient. Et elle est entrée. Oh! le–l’homme qui était à la porte ne voulait même pas la laisser entrer. Elle portait une vieille petite robe en calicot, ou en vichy, ou peu importe comment vous appelez cela, comme ceci autour du cou, avec de vieilles petites chaussures à lacets, et de longues manches comme cela. Et elle est venue marchant, trébuchant comme une petite maman, vous savez, devrait le faire, en entrant dans l’église; et le concierge s’est retourné vers elle comme cela, comme pour dire: «Qui êtes-vous?» Et cela a embarrassé son fils. Ha! ha! frère, si vous avez une maman comme cela, vous devriez remercier Dieu pour quelqu’un... Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est davantage de mères à l’ancienne mode comme cela.
40 Elle était tellement heureuse d’arriver à l’église, qu’elle devint... étant assise dans l’église. Le prédicateur a dit quelque chose au sujet du Sang de Jésus-Christ. Elle a dit: «Amen.» Et tout le monde a tendu le cou comme une grue pour regarder tout autour et voir qui c’était. Et le prédicateur a perdu son sujet. Il a fait: «Hum, hum, hum, hum!» Il ne savait pas ce qui s’était passé. Eh bien, ensuite, elle s’est assise là juste... Elle ne savait pas qu’elle n’était pas dans son milieu. Elle était assise là...
Regardez. Ecoutez. Frère, il se pourrait que son nom ne soit pas dans le bottin mondain, comme ce grand bottin mondain que les gens ont, mais je... Son nom était écrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. Et je préférerais que mon nom soit écrit là-dedans plutôt que dans tous les bottins mondains de ce monde. A mon avis, c’est cela le bottin des notabilités. C’est le bottin des notabilités de Dieu. Je suis heureux que mon nom s’y trouve.
Vous connaissez ce fameux livre que les gens ont, le bottin mondain où figurent les quatre cents millionnaires et ainsi de suite, tous les dignitaires du monde. Que ce monde ait les siens. Notre nom est écrit au Ciel dans le Livre de Vie de l’Agneau, et c’est cela le bottin des notabilités de Dieu. Cela pourrait être stupide pour le monde, mais leurs noms sont écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau.
Elle était assise là, les bras croisés, tout aussi étincelante qu’elle le pouvait. Et après un moment, le prédicateur a dit quelque chose d’autre qu’elle pensait que c’était...?... Elle a dit: «Amen.» Et tout le monde... Et vous savez quoi? L’huissier est venu, et il l’a fait sortir de l’église. Elle interrompait le pasteur, il n’arrivait pas à prêcher son sermon. Vous parlez de déchoir de la grâce. Oh! la la! cela montre la différence. Oui.
41 Maintenant, Sara, une petite femme, qui au-delà de quatre-vingts ans, a eu l’enfant. Eh bien, pourquoi Anne ne pouvait-elle pas... Il en fut de même d’Anne. Eh bien, qu’en était-il d’Elisabeth? Mais Jean a dit, non pas Jean, excusez-moi; Zacharie a dit: «Oh! elle ne pourrait pas en avoir. Elle est trop âgée.»
Ecoutez. Voici la souveraineté de Dieu. L’Ange a dit: «Je suis Gabriel et je me tiens dans la Présence de Dieu. Et mes paroles s’accompliront en leur temps. Et parce que tu as douté de ma parole, tu seras muet jusqu’au jour où l’enfant naîtra.» Alléluia!
Lorsque Dieu dit quelque chose, qu’Il en donne la commission et envoie cela sur la terre, l’enfer tout entier pourrait se déchaîner, mais cela ne changera jamais la Parole de Dieu. Elle s’accomplira de toute façon. Dieu L’a déjà prononcée. Cela confirme la chose. Fiou! Oh! Voilà qui est réglé, pour moi. Lorsque c’est Dieu qui l’a dit, je le crois, pas vous? C’est ça. Très bien.
42 On voit ensuite... Eh bien, ensuite il est devenu muet, et il s’est dirigé vers le peuple et il a fait des signes. Ils ont pensé qu’il avait eu une vision. Il est rentré chez lui vivre avec sa petite femme, et certainement, elle a conçu. Et elle s’est cachée pendant six mois.
Six mois plus tard, ce même Ange est descendu à Nazareth, une vieille petite ville méchante où une jeune fille qui avait un... peut-être un lundi fatiguant à cause de la lessive qu’elle devait faire. Elle allait là; elle était fiancée à un homme, un veuf qui avait quatre enfants; elle portait cette cruche d’eau sur la tête, elle marchait dans la rue. Et tout à coup, une grande Lumière a brillé devant elle, c’était comme si une grande Lumière se tenait là. Et au milieu de cette Lumière se tenait le grand Archange Gabriel. Et il a dit: «Je te salue, Marie.» En d’autres termes: «Arrête-toi.»
Cela a effrayé la petite vierge. Cela vous effraierait. Pensez un peu à une telle salutation.
«Je te salue, Marie. Tu es bénie parmi toutes les femmes, car tu as trouvé grâce devant Dieu.» Oh! la la! «Tu as trouvé grâce devant Dieu.» Il lui a dit ce qui allait arriver, qu’elle allait avoir un Enfant et donner naissance à cet Enfant sans connaître un homme.
Et elle a dit: «Comment cela se fera-t-il?»
Il a dit: «Le Saint-Esprit va te couvrir de Son ombre», c’est Gabriel qui parlait. «Le Saint-Esprit va te couvrir de Son ombre, et tu vas devenir enceinte. Et dans ton sein va se former une cellule de Sang, et elle va se développer jusqu’à devenir le Fils de Dieu. Et tu Lui donneras le nom de Jésus.»
43 Et maintenant, considérez la différence entre Marie, cette jeune fille, et ce vieux prédicateur endurci. Considérez simplement la différence. Le prédicateur a dit... Il avait tant d’exemples d’autrefois où des femmes avaient en fait eu des enfants de façon naturelle, il avait tant d’exemples, où ces femmes avaient dépassé l’âge d’avoir des enfants; mais cette jeune fille a dû croire à quelque chose qui n’était jamais arrivé auparavant. Elle devait croire dans une naissance virginale. Et elle n’a pas douté. Elle n’a pas dit: «Attends, laisse-moi voir ce que ceci dit ou ce que cela dit.» Elle a simplement pris Dieu au Mot. Elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Et l’Ange l’a quittée, après lui avoir parlé d’Elisabeth et tout.
44 Maintenant, voici ce que j’aime chez Marie. Elle n’a pas attendu de sentir la vie en rapport avec cela. Elle n’a pas attendu que quelque chose s’arrête. Elle n’a pas attendu de signe naturel et évident de tout cela. Elle a simplement pris Dieu au Mot, et elle s’est mise à témoigner et à glorifier Dieu, disant qu’elle allait avoir l’enfant, avant qu’elle n’ait eu de résultats visibles de ce que l’Ange lui avait dit. Elle croyait que c’était la Parole de Dieu, et que Dieu le ferait, parce que Dieu l’avait déclaré. Et elle a pris Dieu au Mot.
Et si nous pouvions en arriver en un point où les hommes et les femmes aujourd’hui seraient humbles à ce point-là, qu’ils prendraient tout simplement Dieu au Mot! N’attendez pas de voir si je peux bouger ce pied ou pas, ou ce bras ou pas, ou si ce cancer semble parti, ou si ce trouble cardiaque s’est un peu calmé. Prenez Dieu au Mot; adoptez vis-à-vis de la chose une attitude mentale heureuse, et commencez à vous réjouir, en disant: «Ô Dieu, Tu l’as dit, et cela doit s’accomplir...?...» Oui, oui. Elle n’a pas attendu qu’elle soit certaine. Pas du tout.
45 Et puis, elle avait entendu parler d’autre chose. Elle avait entendu dire qu’une... que sa cousine allait avoir un–un enfant. Oh! Elle est aussitôt allée jusqu’en Judée pour l’amener à se réjouir. Beaucoup de gens sont sauvés, et... ils disent qu’ils sont sauvés, et ils restent assis et disent: «Je n’en parle même pas à quelqu’un.» Oh! Vous n’êtes pas correctement sauvé. Il se pourrait que vous ayez une sorte de petit dérangement mental par ici. Mais, frère, quand vous êtes vraiment sauvé à l’ancienne mode, frère, et que Dieu entre dans votre coeur et fait de vous une nouvelle créature, vous ne pouvez pas rester tranquille. Vous ne le pouvez tout simplement pas. Le monde entier doit le savoir. Vous devez en parler aux gens.
46 Pouvez-vous imaginer Philippe, là-bas, Etienne, un homme rempli du Saint-Esprit, dit la Bible, comment pouviez-vous l’arrêter? Oh! il était comme une maison en feu pendant la sécheresse par un jour de grand vent. Eh bien, vous ne pouviez pas l’éteindre si vous deviez le faire. Les gens... Le seul moyen par lequel ils pouvaient l’arrêter, c’était de le tuer. Il était rempli du Saint-Esprit. Il n’était pas un prédicateur; il n’était pas... Il n’était qu’un diacre, mais il était là dans la rue, témoignant et glorifiant Dieu. On n’arrivait pas à l’arrêter. Le Saint-Esprit l’avait tellement saisi qu’il–il était... il ne s’appartenait plus. Il regardait seulement au travers des yeux de Dieu. Il ne voyait que ce que Dieu voyait. Il n’agissait que sur base de ce que Dieu disait.
Ô Dieu, si seulement on peut avoir un réveil comme cela, vous verrez le tout être ravagé, et l’Amérique connaîtra un véritable retour à Dieu, si on peut avoir des gens qui n’ont pas leurs propres pensées, qui ne prennent pas leurs théologies, mais des gens qui ne prennent que ce que Dieu a dit et vivent par cela. Croyez-vous que c’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui?
47 Elle s’en va dans les collines de la Judée pour témoigner, pour parler de Lui. Je peux voir Elisabeth quand elle baisse les yeux et la voit venir; elle était tendre; elle aimait sa cousine. Alors elle a écr-... elle a couru à sa rencontre.
Or, Elisabeth s’était–s’était cachée pendant six mois. Alors, quand elle a vu cette jeune fille venir, elle est sortie en courant. Elle était tellement heureuse, elle l’a entourée de ses bras et elle l’a étreinte, elle l’a appelée par son–son nom, elles ont commencé à se réjouir. Et elle a dit: «Je suis vraiment heureuse de savoir que tu es enceinte.»
Elle a dit: «Oui.»
Elle a dit: «Eh bien, je suis–je suis très heureuse, mais j’ai un peu peur, parce que cela fait six mois que je suis enceinte, il n’y a pas encore de vie», c’est tout à fait anormal. Voyez-vous ce que Dieu fait? C’est toujours ridicule. C’était tout à fait anormal, le petit bébé Jean avait six mois mais était sans vie.
Et alors, elle a dit... Et Marie a dit: «Eh bien, j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer. Le Saint-Esprit m’est apparu aussi, et Il m’a dit que je vais avoir un enfant sans connaître un homme, et que je L’appellerai du Nom de Jésus.»
Et aussitôt que ce Nom, Jésus, a été prononcé par des lèvres humaines pour la première fois, le petit Jean a reçu le baptême du Saint-Esprit et il s’est mis à tressaillir de joie dans le sein de sa mère. C’est juste. Et si le... Si le Nom de Jésus-Christ, prononcé par un être humain a pu ramener à la vie un bébé mort, que devrait-Il faire à une église née de nouveau de l’Esprit de Dieu? Cela devrait lier chaque démon, guérir chaque personne malade. Amen. C’est juste. Qu’est-ce que cela devrait-Il faire à un peuple qui déclare être né de nouveau?
48 Le petit Jean dans le sein de sa mère, après six mois de développement de cellules, n’avait pas de vie. La Bible dit que lorsque Jean-Baptiste naquit, il était rempli du Saint-Esprit depuis le sein de sa mère. Amen. Oh! J’aime ça: il naquit étant rempli du Saint-Esprit depuis le sein de sa mère. Et il s’est mis à tressaillir et à bondir de joie.
Vous savez, quand le Saint-Esprit vient sur vous, quelque chose doit être libéré. Quand un bébé naît et que ce bébé... Quelqu’un a dit: «Eh bien, je suis né de nouveau.» Vous en avez l’air. Très bien.
49 Eh bien, quand un bébé naît, et que ce bébé est un mort-né, connaissez-vous le problème de ce bébé? Ce bébé est mort à la naissance. Et c’est cela le problème de beaucoup d’enfants mort-nés qu’on a aujourd’hui dans ces églises formalistes. Vous êtes mort à la naissance. Vous avez été conçu, mais vous n’avez pas reçu la vie. Ce qu’il faut faire d’un tel bébé, c’est de le prendre par les talons, et de lui donner une petite stimulation du protoplasme au postérieur. Je vous assure, il reviendra aussitôt à la vie.
Et s’il y a une chose dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, c’est d’une bonne fessée de l’Evangile à l’ancienne mode, du Saint-Esprit, une fessée de la main de Dieu qui déverse Sa puissance. Cela ramènera l’Eglise à la vie. Amen. Ça pourrait sembler cru, mais c’est la vérité. Oui, oui. Donnez-lui une petite fessée, et il va lâcher un hurlement en pleurant.
Oh! la la! je peux voir Marthe, plutôt Marie, quand elle était là-bas, et Elisabeth est allée à sa rencontre pour la saisir et l’étreindre. Quel moment merveilleux!
50 Vous savez, aujourd’hui nous avons un peu perdu ce genre de sentiment les uns envers les autres. N’est-ce pas ça? Je n’oublie jamais Miami. Cette femme est ici, je ne veux pas blesser vos sentiments. Il y a une dame qui nous a permis d’avoir un très grand endroit là-bas; elle était censée être... Qui est-elle? Une duchesse? Le du-... duc, la duchesse, ou une sorte de femme de ce genre. Et je tenais une série de réunions, et on tenait cela dans un petit endroit. Ils ont dit... Frère Huckstra a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, la–la duchesse désire vous voir.»
J’ai dit: «La qui?»
Il a dit: «La duchesse.»
Et j’ai dit: «Qui c’est?»
Il a dit: «Oh! c’est la femme la plus importante d’ici.»
J’ai dit: «Oh! est-elle née de nouveau?»
Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas.»
Et j’ai dit: «Eh bien, en quoi est-elle plus importante que ces autres personnes qui sont ici?»
Il a dit: «Eh bien, parlez-lui tout simplement alors que vous allez derrière le hall.»
J’ai dit: «D’accord.»
51 Et quand je suis arrivé là derrière, là se tenait une énorme femme ayant sur elle assez d’habits pour remplir une boîte d’aspirine. Et cette femme, elle avait... Et elle portait suffisamment de bijoux (Eh bien, cela... Je ne plaisante pas. Je relate les faits, car je suis à la chaire.), de quoi nourrir des enfants pauvres, et me payer deux voyages missionnaires en Afrique. Et elle avait à la main une paire de lunettes montées sur un bâton qu’elle tenait comme cela.
Eh bien, vous savez, cette femme ne pouvait pas voir à cette distance-là au travers de ces lunettes qu’elle tenait comme cela. Elle avait plein de bijoux aux mains. Et elle a tendu la main [Espace vide sur la bande–N.D.E.] et a dit: «Je suis très ravie de faire votre connaissance.» Et elle a soulevé la main comme ceci.
J’ai saisi cette énorme main...?... J’ai dit: «Baissez-la ici afin que je vous reconnaisse quand je vous reverrai.»
52 Ce qu’il nous faut aujourd’hui, frère... Il y a des gens qui font exagérément de l’épate, comme on dit, selon l’expression de la rue. Qu’est-ce que vous êtes de toute façon, sinon six pieds [1,82 m] de poussière? Que Dieu ait pitié de vous! Peu m’importe la manière dont vous vous habillez, la manière dont vous vous comportez, le genre de maison que vous habitez, le genre de voiture dans laquelle vous roulez, si vous n’êtes pas né de la puissance et de l’Esprit de Jésus-Christ ressuscité, vous êtes perdu, et vous irez en enfer aussi sûr qu’un martinet ira à son nid. Amen. C’est la vérité. Oh! la la!
Il y a quelque temps, ma femme et moi allions en ville. Il y avait une jeune dame dans la rue; elle a dit... Les gens s’éloignent tout simplement de l’amour. Et c’est la chose principale que vous devez avoir. Nous descendions la rue, et j’étais au volant... ma femme. Une dame a dit: «Bonjour, Frère et Soeur Branham.»
J’ai dit: «Bonjour.» Et je lui ai parlé comme cela, je l’ai saluée en inclinant la tête, et j’ai dit: «Bonjour.» Nous descendions la rue, et j’ai dit: «Lui as-tu parlé?»
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Je dois être devenu dur d’oreilles.» J’ai dit: «Je ne t’ai pas entendue du tout.»
Elle a dit: «Oh! je–j’ai souri.»
Eh bien, j’ai dit: «Un petit sourire ridicule à la place de la parole pour...?...» Je n’aime pas cela.
53 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... c’est un bon réveil à l’ancienne mode du Saint-Esprit, et que les hommes se remettent à croire la Parole de Dieu, et cela fera que Dieu prenne soin de nous comme Il l’a fait autrefois, Il prendra soin de nous aujourd’hui. Croyez-vous cela? Dieu prendra soin de nous. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un autre remplissage, un autre remplissage comme celui des disciples. Trois jours...
Certains d’entre vous essaient de faire une expérience, ou de s’y fier, une expérience que les gens ont faite il y a dix ans. C’est très bien, mais qu’en est-il d’aujourd’hui? Il vous en faut une aujourd’hui; aujourd’hui c’est le jour, certainement, un remplissage. Environ trois ou quatre jours après que les disciples ont reçu le Saint-Esprit, ils sont retournés et étant d’un même accord, ils se sont mis à prier de nouveau d’un même accord, au point que le Saint-Esprit a secoué le bâtiment où ils se trouvaient. Amen. C’est ce qu’il nous faut.
54 Oh! la la! Eloignez-vous de toute cette dignité qu’on a ici. Je peux vous prouver que la dignité, le diable est le père de tout cela. Au commencement il voulait avoir quelque chose de plus–de plus éclatant et tout, que ce que Micaël possédait. Il est allé et il s’est établi un royaume, et c’est ce qui aurait souillé les Cieux, s’il était resté là-bas, et Dieu l’a chassé. Et depuis lors, il donne de la dignité à l’église. C’est la vérité. Dieu n’habite pas dans les dignités; Il habite dans des coeurs simples et sincères. Alléluia.
Frère, je commence à remarquer, il n’y a pas longtemps, je prêchais à une vieille petite église baptiste où j’étais le pasteur, je le suis encore, l’église baptiste de Milltown. Et je rentrais chez moi le soir; j’ai regardé et il–il y avait un–un rossignol qui se posait là dans un vieux petit cèdre. J’étais resté avec quelques personnes, là-bas, à environ vingt miles [32 km]. Je partais en voiture chaque soir rien que pour rester seul. Et j’allais dans les bois et parfois je priais...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
55 Vous êtes-vous déjà levé le matin, et avez-vous déjà entendu tous les rouges-gorges crier, tous les petits oiseaux, dès que le jour se lève? Nous faisons la bombe toute la nuit, et nous n’arrivons pas à nous lever avant treize heures le dimanche, même pour aller à l’église. Ils se posent là, et ils dressent leurs petites têtes en l’air et chantent, chantent et chantent. Vous n’avez jamais appris que l’un d’eux souffre de l’hypertension. Vous n’en avez jamais vu sur une béquille, n’est-ce pas? Dieu s’occupe d’eux. C’est juste. Ils se fient tout simplement à cela, et ils abandonnent entièrement à Dieu, et ils vont de l’avant.
Eh bien, j’ai étudié les rossignols. Et j’ai constaté que certains soirs, lorsque les nuages d’orage venaient, ils restaient calmes. Et puis, tout à coup, ils se déchainaient de nouveau et chantaient tout simplement à tue-tête. Je me suis dit: «Je me demande ce qui fait cela.»
Eh bien, la science nous dit, ou plutôt la... qu’ils lèvent les yeux vers les cieux, et quand ils ne voient aucune étoile ni aucune lumière, ils deviennent tristes, alors ils ne chantent pas. Mais quand son oeil fixe une étoile, il sait que le soleil brille quelque part. Il sait alors que dans peu de temps le jour va se lever, c’est ainsi qu’il chante tout simplement à tue-tête.
Et je me suis dit: «Ô Dieu. C’est juste.» Lorsque je me retrouve parmi des gens qui ont la chose, et qu’on pousse un petit amen de temps en temps, cela me fait savoir que la puissance du Saint-Esprit se trouve toujours quelque part. C’est juste.
56 Si je pouvais sortir aujourd’hui, si je sortais ce soir, levais les yeux et voyais cette très grande étoile brillante, je dirais: «Etoile, qu’est-ce qui te fait briller comme cela? Tu es si belle. Qu’est-ce qui te fait briller et qui te fait refléter la lumière ici sur la terre?» Si elle pouvait parler, elle ne dirait pas... Elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille. C’est le soleil qui brille sur moi. C’est ce qui me fait briller.» Et c’est ce qui fait que les gens...
Un docteur m’a dit, non pas... il y a quelque temps, il a dit que ces gens qui criaient et qui louaient Dieu, et qui essayaient de se comporter comme s’ils étaient très heureux, montraient qu’ils étaient excités. Eh bien, frère, nous ferions mieux d’être excités, ne le pensez-vous pas? Etre excités.
Et j’ai dit: «Eh bien, non, ce n’est pas ça. Ce n’est pas cela. Ce ne sont pas eux. C’est parce que l’Esprit de Dieu brille sur eux.»
57 Il y a quelque temps je buvais l’eau d’une vieille fontaine où je passais toujours boire. Et elle bouillonnait sans cesse et constamment. Je me suis dit: «Qu’est-ce qui te rend si heureuse pour que tu bouillonnes comme cela?» Je me suis dit: «C’est peut-être parce que les cerfs boivent de ton eau.» Non. «Parce que–que les ours boivent de ton eau.» Non. «C’est peut-être parce que moi, je bois de ton eau.» Non.
Si elle pouvait parler, elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi qui me pousse et me fait bouillonner.» Et c’est le cas pour tout croyant qui est né de l’Esprit de Dieu. Il y a Quelque Chose derrière lui qui le pousse, qui fait bouillonner en vous des fontaines d’eau, qui bouillonnent jusque dans la Vie Eternelle. C’est ce dont toute l’Eglise a besoin aujourd’hui, un bon bouillonnement récent à l’ancienne mode. Mais oui.
58 Quand j’étais petit, je pensais au bouillonnement [sous le feu]. Maman avait l’habitude de... Je devais couper des bouts de bois et tout à mettre sous la vieille bouilloire pour le bain, dans la cour de derrière, dans la cour réservée au bois. Je ne pense pas que vous ayez déjà fait cela, la vieille grosse bouilloire à trois pieds dans la cour réservée au bois, vous savez. Et maman mettait ses habits là-dedans avec du savon qu’elle fabriquait elle-même. Et je devais aller là et couper le bois pour entretenir le feu en dessous de cela. Oh! la la! je me disais: «Qu’est-ce qui... tant de ce feu? Comment... Pourquoi cette chose consume-t-elle tant de bois?»
Elle disait: «Il faut que ça soit chaud pour qu’on puisse obtenir des résultats.» Et c’est pareil avec l’église; ça doit être très chaud, sinon on ne peut pas obtenir des résultats. Vous devez obtenir quelque chose.
Elle prenait une autre vieille bouilloire qu’elle avait là au moment de–au moment de la mise en boîte. Et elle mettait en boîte ces petites tomates jaunes pour en faire des confitures. Mettez cela entre de petits gâteaux épicés par une matinée froide, cela ira bien aussitôt.
59 Et ainsi, elle mettait cela là-dedans, et je remarquais qu’elle y déversait du sucre. Et moi, je coupais le bois et j’entassais tout autour de cette chose. Et je... Oh! c’était vraiment chaud. La vapeur s’échappait de là. Je disais: «Maman, n’est-ce pas suffisamment chaud?»
Elle disait: «Non, coupe encore du bois.»
Je disais: «Eh bien, regarde cette vapeur.»
Elle disait: «Il faut que ça se mette à bouillonner, à crépiter. Et quand ça devient vraiment, vraiment chaud, ça fait pop, pop, pop, pop, comme cela, et cela devient de la confiture en cuisant.» Elle disait: «C’est ce qui mélange le sucre et rend la confiture sucrée.» Et elle disait: «Et cela n’est prêt pour la mise en boîte que lorsque cela commence à crépiter.»
Je me suis dit: «C’est juste. Quand une réunion à l’ancienne mode... Ce que nous devons faire, c’est de déverser le bois de l’Evangile jusqu’à ce que la chose devienne suffisamment chaude au point de témoigner en crépitant sans cesse, en bouillonnant sans cesse et en retournant comme cela. Elle est alors prête pour la mise en boîte, elle est scellée pour entrer dans le Royaume de Dieu.» Amen.
Vous pensez que je suis fou, n’est-ce pas? Eh bien, si je le suis, j’en suis heureux. Laissez-moi simplement tranquille. Voyez-vous, je–je me sens bien maintenant. Je–je me sens mieux ainsi que je ne l’étais dans l’autre état. Voyez-vous? Eh bien, je ne suis pas excité. Je sais exactement où je suis. Voyez-vous?
60 Bon, oh! de bonnes réunions à l’ancienne mode... Il y a quelque temps j’étais à Gary, dans l’Indiana. Je tenais des réunions tout près de là. Et on m’avait amené à ces grandes aciéries. Et l’homme me faisait visiter les lieux. Il a dit: «Prédicateur, j’aimerais vous faire visiter mon... les lieux.»
J’ai dit: «D’accord.» Il y avait un tas de bancs, comme ces sièges qui sont là. Et chaque homme travaillait sur un tour et tout. Et au bout d’un moment, une petite sirène a retenti. Et quand la petite sirène a retenti, eh bien–eh bien, tout le monde s’est mis à enlever son tablier, et c’était une sirène qui sonnait à cinq minutes de la fin. Et ils balayaient tous les copeaux vers le milieu de la salle. Et–et aussitôt, il y eut donc un autre coup de sirène. Tout le monde est sorti.
61 Il se tenait là, et nous les regardions tous sortir. Il parlait. J’ai dit: «Combien d’hommes employez-vous?», et ainsi de suite.
Il a dit: «Je vais vous montrer, Révérend Branham, comment nous nettoyons cela.»
J’ai dit: «D’accord, monsieur.» Il s’est avancé là, et il a appuyé sur un bouton. Et j’ai entendu quelque chose tout au fond faire: «Rrrrrrrrrr.» J’ai dit: «Qu’est-ce?»
Il a dit: «Observez tout simplement et voyez.» Et aussitôt, voilà venir un énorme aimant qui passait par-dessus, il est tombé comme ceci, venant de très haut, il est descendu sur une glissière, il a pris de la vitesse en descendant. Il est descendu tout droit et a parcouru ce plancher, et tous ces copeaux, pratiquement tous, sautaient directement et se collaient à cet aimant, ils ont été carrément emportés, ils sont montés là. Et ils ont désactivé l’aimantation de l’engin, et tout est retombé là dans un énorme cubilot, pour être fondu de nouveau.
Huh! j’ai dit: «Gloire au Seigneur!»
Il a dit: «Qu’est-ce qui vous prend?»
Et j’ai dit: «Oh! oh! rien.» J’ai dit: «Je réfléchissais tout simplement.»
Il a dit: «Sans doute.»
Et j’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Pourquoi tous ces copaux n’ont-ils pas été attirés?»
Et il a dit: «Eh bien, vous voyez, Révérend Branham, a-t-il dit, certains d’entre eux, cet aimant ne peut pas les attirer.» Il a dit: «Cela ne peut pas être attiré par l’aimant, parce que ce dernier n’a pas d’effet sur cela. C’est de l’aluminium. Ces copaux en aluminium ne sont pas attirés par cet aimant.»
J’ai dit: «Alléluia!»
Il a dit: «Qu’est-ce qui vous prend?»
J’ai dit: «Quel est le problème de ces... Des morceaux de fer sont restés là. Pourquoi ne sont-ils pas montés?»
Il a dit: «Révérend Branham, ils sont rivés au sol.»
J’ai dit: «Gloire à Dieu!»
Il a dit: «Qu’est-ce qui vous prend?»
J’ai dit: «Je réfléchissais. Là-bas dans les Cieux, il y a un Grand Aimant appelé le Fils de Dieu. Ici en bas il y a des gens qui sont en train d’être aimantés.» Oh! il se peut que vous soyez un copeau ou un membre d’église, mais, frère, à moins que vous soyez aimanté au moyen de la puissance de la résurrection et que vous ne vous soumettiez à Sa puissance par le Fils de Dieu...
62 Un de ces jours Dieu appuiera sur le bouton, et certains de ceux qui sont enchaînés par des convoitises et des plaisirs du monde seront laissés ici, et les membres d’église froids et formalistes resteront là. Mais ceux qui sont nés de nouveau, ceux qui sont en Christ, Dieu les amènera avec Lui à la résurrection, et ils entreront là-bas dans le grand pot de moulage. Et ces vieux corps frêles y seront moulés et transformés à Sa propre et glorieuse image.
Eh bien, cela ne ferait-il pas crier un homme? Oh! cela devrait vous mettre en pièces. C’est juste. Je pensais que c’était glorieux. Comme les gens se sont éloignés de Dieu!
63 J’ai vu ces... pour en revenir à notre texte, comment ces jeunes filles, ces femmes, se tenaient là et parlaient. Et alors le... Elle est restée là quelques jours, et quel genre d’homme cet homme allait être, Jean-Baptiste? Quand Il est né... Vous savez, il n’a jamais fréquenté un quelconque cimetière ou plutôt un séminaire. Et... Excusez-moi. Il n’est jamais allé là-bas, mais Dieu l’a emmené dans le désert. Quel séminaire! Le meilleur que Dieu ait jamais eu.
Il est allé là au séminaire pour éviter qu’il reçoive une quelconque théologie, mais c’était afin qu’il reçoive la genoulogie, là où Dieu pouvait traiter avec lui là-bas. Et là, cet homme est resté là depuis l’âge d’environ huit ans, jusqu’à trente ans.
En ces jours-là parut Jean-Baptiste, qui prêchait dans le désert de Judée, disant: «Repentez-vous, car le Royaume des Cieux est proche.» Car Jean est celui qui avait été annoncé par Esaïe le prophète: la voix de celui qui crie dans le désert. Il était là.
Frère, il n’était pas en smoking. Il n’était pas en... il n’avait pas de col retourné. Mais il avait une vieille peau de mouton autour de lui, et il prêchait la repentance, et il prêchait Christ. Malgré sa simplicité, il avait secoué toutes les contrées environnantes. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, nous les églises baptistes et vous tous, c’est un autre Jean-Baptiste.
64 Il a prêché la repentance. Il a prêché Jésus-Christ. Malgré la simplicité de la prédication, elle avait attiré toutes les régions. La puissance de Dieu est la plus grande attraction que le monde ait jamais connue. Il est venu là en prêchant, comme c’était merveilleux et extraordinaire! Quel véritable–quel véritable homme de Dieu rendu manifeste! Et il prêchait. Ensuite Christ est venu sur la scène.
Alors il a dit: «Je dois diminuer, et Lui doit croître.» Jean (j’aime ça), Il n’a jamais prétendu être quoi que ce soit. Il a dit: «Je–je–je ne suis pas Lui.»
Mais Jésus a dit: «Si, c’est lui.» Il a dit: «Aucun homme né d’une femme n’a jamais été aussi grand que cet homme-là.» C’est juste. Il a dit: «Néanmoins le plus petit du Royaume des cieux est plus grand que Jean. Mais aucun homme né d’une femme n’a jamais été aussi grand que lui.» Pourquoi? Tous les autres prophètes ont parlé de Lui, mais Jean L’a présenté au monde. «Celui-ci est... Voici l’Agneau de Dieu.» Il L’a présenté au monde. Il était le plus grand parmi les prophètes; Jean l’était.
65 Et remarquez. J’aimerais que vous saisissiez ceci maintenant. Au fur et à mesure qu’ils avançaient... Eh bien, le ministère de Jésus a commencé à prendre de l’ampleur. Et Il a quitté la maison, la maison de Lazare. Et quand il est parti, le chagrin est entré. Et permettez-moi de vous dire ceci, chrétiens, quand Jésus quitte votre maison, faites attention. Le chagrin n’est pas loin. Le chagrin n’est pas loin, quand Jésus quitte votre maison. Attendez-vous à des ennuis, tout aussi certain qu’Il s’en va. Si vous Le chassez par votre vie de péché, votre vie de négligence et d’insouciance, le chagrin est en route vers votre maison. N’est-ce pas vrai?
Maintenant, remarquez. Mais dans ce cas-ci, Il n’avait pas été chassé. Il s’en était allé parce que Dieu Lui avait donné une vision où Il Lui avait dit de partir, et d’attendre trois jours. Il a dit qu’Il ne faisait rien à moins que le Seigneur le Lui ait montré dans une vision. «Ce que Je vois faire au Père, c’est ce que Je fais. Je ne fais rien en dehors de cela.»
Il savait donc que cela faisait trois jours qu’ils étaient partis. Et bien vite on a envoyé... Lazare tomba malade, alors on envoya chercher Jésus pour qu’Il vienne le guérir. Et Il a tout simplement ignoré cela et Il a continué. Frère, je vous assure, si jamais vous envoyiez chercher votre pasteur pour qu’il vienne prier pour vous quand vous êtes malade et qu’il ne venait pas, vous quitteriez certainement l’Eglise baptiste ou méthodiste, pour aller vous joindre aux presbytériens. Ou bien, vous les pentecôtistes vous iriez chez les baptistes, ou ailleurs. Oui, oui. Non, vous ne pourriez pas tolérer cela.
66 Alors, on L’a encore envoyé chercher. Et Il a tout simplement ignoré cela, et Il a continué Son chemin, car Il savait que la volonté de Dieu devait être accomplie. Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. N’est-ce pas ça? Gardez votre coeur en ordre avec Dieu, et tout le reste ira bien.
Bon, Il a continué un peu plus loin. Et bien vite, Lazare est tombé malade. Il devint de plus en plus malade. Les médecins sont venus. Ils ne pouvaient rien faire pour lui. On nous enseigne peut-être des mythes, je ne dirais pas que c’est correct d’après l’histoire; il mourut d’une hémorragie aux poumons. Très bien. Quand il est mort, on l’a de toute façon emporté et on l’a enterré. On a embaumé son corps, on l’a placé dans la tombe. Alors pour l’enterrer, comme c’est souvent le cas aujourd’hui en Orient, on creuse une fosse, et on place simplement une pierre à l’entrée de l’endroit où on a enterré le mort.
67 On l’a donc mis dans la tombe, tandis que Jésus continuait Son chemin... Le premier jour passa. Oh! la la! combien cette petite famille était triste! Ensuite le second jour passa, c’était pire; puis le troisième jour, et voire le quatrième jour. Tout espoir était perdu. Imaginez cette pauvre petite famille triste. La mort avait frappé la maison. C’était le moment le plus triste qu’ils n’avaient jamais connu. La mort était dans la maison. L’Homme était là-bas en train de prêcher et de guérir les malades, Il les avait abandonnés au moment où leur frère était mort... se mourait. Mais ils avaient foi dans cet Homme. Ils croyaient qu’Il était un Homme de Dieu. Ils avaient abandonné l’église, car tout homme qui croyait en Jésus devait quitter la synagogue. Il était un saint exalté. Voyez-vous?
Et ainsi, ils–ils avaient dû quitter la synagogue. Et dès qu’ils ont cru à ceci, on les a carrément mis dehors. Et pourtant ils étaient certains dans leur coeur qu’Il était le Fils de Dieu. Mais leur théologie les avait liés, de sorte qu’ils ne pouvaient pas accepter cela. Ils avaient leurs propres credos et leurs propres credos des apôtres. Avez-vous déjà entendu parler d’une telle absurdité?
68 Aujourd’hui on a le credo des apôtres. Je conteste cela sur base de la Bible. Le credo des apôtres n’existe pas. S’il y a un quelconque credo des apôtres dans la Bible, ça se trouve dans Actes où Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés. Vous recevrez le don du Saint-Esprit, car la promesse est pour vous, et pour les enfants de vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
Ça a plus l’air d’un credo des apôtres. «Eh bien, je crois dans une sainte Eglise catholique romaine. Je crois dans la communion des saints.» Tout celui qui croit dans la communion des saints est un spirite. C’est l’exacte vérité. Les saints sont morts; ils sont dans la Présence de Dieu. Il n’y a que Jésus-Christ qui est Médiateur entre Dieu et l’homme. Amen. C’est juste. Oh! combien vous vous embrouillez totalement vous-même! Oh! la la! C’est une honte...
69 Voyez-vous, je ne veux pas vous blâmer, vous; c’est à la chaire que cela a commencé. Il n’est pas étonnant que c’est cela la damnation du pays, quand Satan entre dans la chaire. C’est la vérité. Ne pas prêcher la Parole de Dieu sans mélange, et la Parole de Dieu produira très exactement ce qu’Elle a dit qu’Elle produirait. Mais on veut tout expliquer. «C’est révolu. C’est pour un autre jour.»
Pourriez-vous vous imaginer quelqu’un debout à l’estrade, qui déclare que le baptême du Saint-Esprit, la guérison divine, c’est pour un autre jour? C’est comme essayer de présenter un homme en train de geler à mort et peindre un feu pour lui, et dire: «Voilà un bon feu!» C’est cela. Vous ne pouvez pas vous réchauffer à une peinture d’un feu.
Ça, c’était le feu à une époque, mais qu’en est-il du feu aujourd’hui? Le Saint-Esprit avait manifesté la puissance à la Pentecôte pendant le premier âge, le deuxième âge et ainsi de suite. Qu’en est-il de cet âge-ci? Il est le même Saint-Esprit aujourd’hui. La même puissance, les mêmes signes, les mêmes prodiges, les mêmes miracles, s’Il peut trouver le même genre de foi parmi les gens. Dieu ne change pas.
70 Alors, quel moment... quelle heure sombre! L’église les avait rejetés, parce qu’ils avaient cru en Jésus. Et apparemment, Il les avait abandonnés. Oh! la la! c’était une heure sombre. Mais juste à l’heure la plus sombre, alors Jésus vint. C’est d’habitude ce qu’Il fait, c’est juste à l’heure la plus sombre que Jésus vient.
Peut-être que c’est votre heure la plus sombre, soeur, mais Jésus vient. Peut-être que c’est votre heure la plus sombre. Cette semaine, il y a eu des femmes assises là dans des fauteuils roulants; elles ont marché.
Il y en avait dans des civières; il y en avait qui étaient liés depuis des années et tout, partout à travers le monde, ils sont debout et marchent. Peut-être qu’il s’agit de votre problème de coeur, le pire ennemi, et la pire maladie que vous avez. Peut-être que vous ne pouvez pas vivre quelques jours de plus, mais Jésus va venir. Juste à l’heure la plus sombre, Il vient.
71 Or, quand Il vient, les choses commencent à changer. La petite Marthe avait été un peu lente et dans toutes les choses de la terre, mais je... concernant la nourriture et le dressage de la table. Mais, vous savez, je l’aime plutôt maintenant. Elle, dès qu’elle a appris que Jésus venait, là voilà partir pour Le voir.
Eh bien, je la vois passer. Et quelqu’un dit: «He! j’ai appris que ce Saint Exalté... Ha! ha! Il n’était pas là quand Lazare est mort, n’est-ce pas? Alors, nous–nous Le voyons revenir discrètement en ville maintenant, après que le service funèbre est terminé.» Elle les a carrément passés.
Maintenant, je crois que Marie avait quelques Ecritures à l’esprit. Et voici ce que je pense qu’elle avait. Dans la Bible, lorsque la Sunamite... lorsqu’Elie est passé, elle fut bénie et elle a reçu un bébé. Et la Sunamite, quand elle a vu que le bébé était mort, elle a dit: «Selle maintenant une mule, et pars, et ne t’arrête pas à moins que je te l’ordonne. Nous allons auprès du prophète.»
Et elle savait que c’était le représentant de Dieu. Et si elle a pu se présenter devant le prophète, c’est parce qu’elle savait que Dieu était dans Son prophète. Et si seulement elle pouvait seulement parvenir auprès de ce prophète, elle pourrait découvrir pour quelle raison son enfant était mort. Elle en était certaine.
72 Alors, son mari a dit: «Oh! Ce n’est ni nouvelle lune ni sabbat, et il ne peut pas être là-haut, au sommet du mont Carmel.»
Elle a dit: «Tout va bien.» Et elle est partie.
Et quand ils sont arrivés... Dieu n’avait rien dit au prophète à ce sujet. Le prophète a parlé à Guéhazi, il a dit: «Voilà venir cette Sunamite.» Il a dit: «Eh bien, elle a le coeur affligé, et Dieu me l’a caché. J’ignore son problème.» Alors il a crié: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? L’enfant se porte-t-il bien?»
Eh bien, voici là où j’apprécie cette femme. Elle a dit: «Tout va bien.» Cela règle la question. L’enfant était un cadavre, son mari criait comme un fou, courant dans tous les sens, son coeur à elle bondissait au-dedans d’elle, mais elle a dit: «Tout va bien.» J’aime cela. Qu’était-ce? Elle est–elle est allée à la base de l’endroit où elle était certaine que Dieu allait lui révéler la raison de cela. Elle a accouru vers le prophète et est tombée à ses pieds et a ouvert son coeur.
Elle l’a saisi par les pieds, bien entendu Guéhazi l’a relevée en la secouant, il s’est en quelque sorte occupé d’elle, personne n’avait fait de telles choses. Alors Elie a dit: «Eh bien, Guéhazi, prends mon bâton. Ne parle à personne en chemin, mais je vais te donner une commission. Va poser ce bâton sur l’enfant.»
73 Et alors la femme... Et cela aurait très bien marché si la femme croyait cela. Je pense que c’est de là que Paul a eu l’idée de linges. Guéhazi... Elie savait que ce qu’il touchait était béni. Alors, cela–cela n’a pas marché pour elle, parce qu’elle n’y croyait pas. Bien sûr que non. Elle savait que Dieu était dans le prophète. Elle ne savait rien au sujet du bâton. Alors elle a dit: «Ton âme est vivante, je ne te quitterai pas.» Elle s’est accrochée carrément à lui. Eh bien, il n’y avait rien à faire, il a mis son manteau et il est parti avec elle.
Et ils se sont rendus là-bas, ils sont arrivés à la maison, et je peux simplement m’imaginer voir tout le monde dans la cour en train de pleurer et de se lamenter, et ce petit garçon de dix, douze ans était étendu sur le lit. Et j’aimerais que vous remarquiez qu’elle l’avait amené dans la chambre du prophète, c’était un bon endroit où le mettre, et l’avait étendu sur son lit.
Alors le vieil Elie s’est avancé là au milieu de toute cette confusion et de tout ce bruit qu’il y avait là. Il est entré là, il a fait les cent pas, il s’est étendu sur le petit enfant mort. Celui-ci a éternué à sept reprises, et il est revenu à la vie; et il a relevé l’enfant.
74 Eh bien, sans doute que Marie, ou plutôt Marthe avait lu cette histoire, et elle savait que si Dieu était dans Son prophète, Il était certainement dans Son Fils. Elle savait donc que si elle pouvait parvenir auprès du Fils de Dieu, elle saurait pour quelle raison cet enfant, ou plutôt son frère avait été pris. Elle est donc allée vers Lui.
Maintenant, quand elle... Elle avait en principe le droit de Le réprimander, de Le reprendre, et de dire: «Pourquoi as-Tu fait une telle chose? Pourquoi n’es-Tu pas venu quand nous T’avons appelé?» Mais quand elle est arrivée auprès de Lui, elle est tombée à Ses pieds, et elle a dit: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Voyez-vous? Elle ne L’a pas réprimandé en disant: «Pourquoi n’es-Tu pas venu et ceci, cela ou...» Si elle l’avait fait, le miracle ne se serait jamais produit.
75 C’est votre attitude envers... La façon dont vous vous approchez d’une oeuvre divine de Dieu détermine ce que vous en tirerez. Si vous venez en disant: «Eh bien, je... Gloire à Dieu!» Vous vous tenez là en mâchant votre chewing-gum, et vous dites ceci: «Je vais simplement aller là pour voir ce que font ces saints exaltés. Je n’ai rien vu.» Certainement. «Je–je ne les ai pas vus...?... juste une bande de maniaques, on dirait...» Si vous venez pour critiquer, le diable vous donnera quelque chose à critiquer. Si vous venez pour voir ce qui est bien, Dieu vous montrera quelque chose de bien. Cela dépend de ce que vous cherchez.
Ainsi, ils sont arrivés. Eh bien, je–je peux donc la voir. Elle s’est approchée de Lui, elle s’est agenouillée, et elle a dit: «Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» J’aime cela. «Ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu va Te l’accorder.»
76 Alors elle a dit: «Bien qu’il soit mort, Seigneur, qu’il soit mort depuis quatre jours, qu’il est mort, il a pourri; son corps s’est–s’est décomposé; les vers sont en train de grouiller dans son corps; les bestioles sont en train de le ronger, là dans la terre; je sais qu’il a péri; ainsi il n’y a plus d’espoir, cependant même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Oh! j’aime cela. «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Si vous qui êtes malades et affligés dans cette salle aujourd’hui, si vous détournez votre esprit des symptômes et le tournez vers ce que Dieu a dit, la chose se produira maintenant même. «Même maintenant, Seigneur.»
Je pense à Jonas. Si jamais dans le monde quelqu’un a vraiment eu des symptômes, c’était bien Jonas. Ne le pensez-vous pas? Ce gars était en route pour Ninive. Dieu lui a dit d’aller à Ninive, et il a rétrogradé et il est allé à Tarsis pour prendre–prendre un chemin plus facile.
77 Et là en route... Tout prédicateur rétrograde va provoquer des ennuis. C’est ce qui ne va pas dans le monde aujourd’hui. Ainsi, ils... Bien vite, un problème a surgi. Et Jonas a dit: «Eh bien, si vous me liez les mains et les pieds, et me jetez dans l’océan, tout rentrera dans l’ordre.» Ils l’ont donc pris, et ils l’ont jeté dans l’océan. Et alors, aussitôt un gros poisson est passé et l’a avalé. L’autre jour je racontais cela à quelqu’un.
Il a dit: «Prédicateur, croyez-vous vraiment que–que ce poisson... Oh! a-t-il dit, je peux prouver qu’une orange ne peut pas passer dans la gorge d’une baleine.» Il a dit: «Oh! C’est impossible.»
J’ai dit: «Mais c’est un poisson spécial que Dieu avait préparé. Voyez-vous? En voici une bonne. Celui-ci pouvait facilement avaler un homme sans aucun problème.»
78 Cela me rappelle une fillette, en rapport avec cette histoire, qui venait au tabernacle. Oh! elle était... elle fut sauvée là-bas et fut remplie du Saint-Esprit. Son petit visage brillait simplement. Elle remontait la rue, et un vieil homme du nom de Dorsey là-bas qui vivait à Utica, un incroyant jusqu’à la moelle, se tenait là en train de faire le sarclage, d’ôter les mauvaises herbes le dimanche, vous savez, en train de faire la propreté de son carré de tomates. Cette fillette remontait la route en chantant:
Jésus m’aime,
Je le sais.
Et elle chantait tout simplement en criant à tue-tête.
Monsieur Dorsey a dit: «Hé, que fais-tu?»
Elle a dit: «Bonjour, Monsieur Dorsey.» Elle a dit: «Gloire au Seigneur. Je viens de recevoir le Saint-Esprit.»
Il a dit: «C’est absurde!» Il a dit: «Tu as été là-bas? Billy Branham va te rendre folle.»
Elle a dit: «Eh bien, je me sens vraiment bien.»
Il a dit: «Qu’est-ce que tu as là sous le bras?»
Elle a dit: «C’est ma Bible.»
Il a dit: «Crois-tu cette histoire qui est là au sujet d’un poisson, de la baleine, ou de la–la baleine qui a avalé Jonas?»
Elle a dit: «Bien sûr que oui.»
Il a dit: «Crois-tu que–que la baleine a avalé Jonas?»
Elle a dit: «Eh bien, si la Bible disait que Jonas avait avalé la baleine, je croirais cela.» Voyez-vous? Peu importe ce que c’était.
79 Elle a dit... Il a dit: «C’est absurde!» Il a dit: «Comment vas-tu prouver autrement que par la foi que cette baleine a avalé Jonas?»
– Oh! a-t-elle dit, quand j’arriverai au Ciel, je poserai la question à Jonas.
C’est exact.
– Eh bien, a-t-il dit, alors et si par hasard Jonas ne s’y trouve pas?
Elle a dit: «Alors, c’est vous qui lui poserez la question.» Il serait en enfer, exactement. Elle a dit: «C’est vous qui devrez lui poser la question.»
C’est une bonne–c’est une bonne question. C’est une bonne chose. Elle a dit: «Si Jonas n’est pas au Ciel, alors vous, posez-lui la question.» En effet, il se retrouvera avec lui là-bas. Oh! c’est juste, frère.
Et ce Jonas, Dieu l’a jeté–l’a fait jeter hors du navire, et cette baleine l’a avalé. Je crois cela. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
80 Vous vivez ici au bord de la mer ou bien... Prenez votre poisson rouge, quand ce poisson mange, il rôde dans l’eau jusqu’à ce qu’il trouve sa proie. Alors, une fois qu’il a avalé sa proie, il descend au fond de la–la mer, il déploie ses nageoires et se repose. Si l’eau est trop profonde, et qu’il est au large dans l’océan, il restera bien entendu au-dessus. Mais quand il descend au fond, quand il a pris une proie, il descend au fond...
Eh bien, cette baleine avait avalé Jonas. Dans quel pétrin se trouvait cette baleine! Tout son énorme estomac était bourré du prédicateur rétrograde. C’est trop pour l’estomac de n’importe quelle créature. Et il se trouvait donc là au fond de la mer. Et là, rétrograde, ce prédicateur avait les mains liées dans le dos. Vous parlez des symptômes, il en avait vraiment!
81 Ecoutez. Tout d’abord il était rétrograde. Ensuite il était sur une mer houleuse. Ses mains étaient liées dans le dos; il était dans le ventre d’une baleine, et la baleine se trouvait au fond de la mer. Quand il regardait de ce côté, c’était le ventre de la baleine. Quand il regardait de ce côté-là, c’était le ventre de la baleine. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Vous parlez des symptômes, c’était de loin pire que pour n’importe qui parmi vous tous qui êtes ici cet après-midi. Je veux dire qu’il avait vraiment des symptômes.
Mais qu’a-t-il dit? Il s’est retourné là dans cette vomissure, il s’est mis à genoux avec des algues autour du cou; il a regardé dans le ventre de la baleine. Il a dit: «Je refuse de voir le ventre de cette baleine. Ce sont des vanités mensongères.» Il a dit: «Je regarderai encore une fois vers Ton saint temple, ô Seigneur.» Alléluia!
Quoi donc? Pourquoi? Quand Salomon avait fait la dédicace du temple, la Colonne de Feu était entrée et s’y était établie. Salomon avait prié. Il avait dit: «Si à quelque moment que ce soit Ton peuple a des ennuis et qu’il regarde vers ce saint lieu, alors exauce du haut des Cieux.»
Et Jonas croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon. Et cette vieille baleine eut tellement mal à l’estomac qu’elle vomit le prédicateur juste à Ninive où il devait se retrouver. Est-ce exact?
82 Bien, si Jonas dans ces circonstances... Amen. Tenez. Comprenez-vous cela? Si Jonas dans ces circonstances, étant rétrograde, avec les mains liées dans le dos, étant dans le ventre de la baleine, sur une mer houleuse, au fond de l’océan, s’il a pu refuser de voir le ventre de la baleine et croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon, à combien plus forte raison vous et moi aujourd’hui devrions-nous écouter Christ Jésus aujourd’hui, qui est mort, qui a pris Son vêtement ensanglanté et est assis à la droite de Dieu, faisant intercession sur base de nos confessions! Ce que nous disons qu’Il a fait, Il est... Dieu est là pour le confirmer.
A combien plus forte raison devrions-nous rejeter les symptômes que nous avons? C’est absurde. «Je ne regarderai pas à ma main infirme. Je ne regarderai pas à ma... au sujet de mon oreille sourde. Je regarderai vers Ton saint Temple, Seigneur, où Jésus se tient à la droite de Dieu, faisant intercession sur base de ce que je confesse comme étant vrai.» Amen. Dites donc, je me sens religieux maintenant même. Je vous assure, c’est la vérité.
83 Ecoutez, juste un petit instant. Je dois me dépêcher, il se fait tard. Très bien. Remarquez ceci. Je peux voir alors... Marthe sort à la rencontre de Jésus. Elle tombe à terre et dit: «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Maintenant, écoutez. Il y avait une femme qui avait un désir dans son coeur. Elle était allée vers Son représentant exactement tel que Dieu le lui avait dit, et, à l’époque, Son représentant était Son Fils; aujourd’hui c’est le Saint-Esprit. Très bien.
84 Maintenant, le Saint-Esprit rendra témoignage de la Parole. S’Il ne rend pas témoignage de la Parole, alors ce n’est pas au Saint-Esprit que vous parlez, car le Saint-Esprit se nourrit de la Parole de Dieu. «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»
Maintenant, voici donc une femme au coeur brisé, toute troublée, mais cependant dans son âme elle était tranquille. Elle est allée directement là où elle savait qu’elle pourrait obtenir des résultats. Elle a dit: «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»
Elle a dit: «Oui, Seigneur, je le sais. C’était un bon garçon. Il ressuscitera dans les derniers jours à la résurrection générale. Je sais qu’il–qu’il ressuscitera. C’était un bon garçon.» Les Juifs croyaient dans la résurrection générale. Elle a dit: «Il ressuscitera dans les derniers jours.»
Maintenant, regardez Jésus, Il a redressé Son petit corps. Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, quand bien même il serait mort, il vivra. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Il a dit: «Crois-tu cela?» Oh! la la!
85 Voilà la question; voici la femme au bon endroit. Les roues de l’engrenage s’emboîtent carrément. Elle se tient près du Représentant de Dieu. Elle a un désir dans le coeur, et elle a l’Homme qu’il faut, l’endroit qu’il faut, l’attitude qu’il faut, et voici ce qu’elle confesse: «Tu es très exactement ce que Tu as dit être. Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. Et je crois que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera, parce que Tu es Son Représentant.» Frère, quelque chose doit se produire. Quelque chose doit se produire.
Elle a dit: «Je crois très exactement ce que Tu confesses être. Je crois que c’est exactement ce que Tu es. Je crois que Tu es très exactement ce que Tu as dit être.»
Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Et elle demanda, dit à la résurrection...
Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand bien même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Et–et Il a dit: «Alors que...» ou plutôt: «Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois cela de tout mon coeur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»
Elle a dit: «Viens voir.»
La Bible dit: «Jésus pleura.»
86 Je ne cherche pas à vous réprimander, mais il y a quelque temps une femme de la Science chrétienne m’a parlé, disant: «Frère Branham, a-t-elle dit, vos messages sont très bien, mais, a-t-elle dit, vous mettez trop l’accent sur Jésus-Christ. Vous Le vantez trop.»
J’ai dit: «Comment est-ce possible? Je voudrais savoir comment je pourrais trop Le vanter.»
Elle a dit: «Eh bien, écoutez.» Elle a dit: «Vous essayez de faire de Lui Dieu, et tout comme cela, alors qu’Il n’était qu’un Homme de bien, Il était un Docteur.»
J’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il ne pouvait pas être Dieu.»
J’ai dit: «S’Il n’était pas Dieu, Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais eu.» C’est juste. J’ai dit: «Soit Il était Dieu, soit Il n’était rien.»
87 Elle a dit: «Eh bien, Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Si je vous le prouvais par la Bible, allez-vous l’accepter?»
J’ai dit: «Si la Bible dit qu’Il n’était pas Dieu, alors je le croirai.»
Elle a dit: «Je peux le prouver.»
J’ai dit: «D’accord.» Elle s’est référée à cette Ecriture.
Elle a dit: «Quand Jésus alla à la tombe de Lazare, la Bible dit: ‘Il pleura.’»
Et j’ai dit: «Voulez-vous me dire que–que d’après vous, c’est pour cette raison qu’Il n’était pas Dieu?»
Elle a dit: «Eh bien, Il a certainement pleuré. Il était un Homme.»
J’ai dit: «Il était un Homme, oui. Mais Il était aussi Dieu. Il était un Dieu Homme.»
88 Et elle a dit: «Oh! Il ne pouvait pas L’être.»
J’ai dit: «Il L’était.» J’ai dit: «Ecoutez. Il était un Homme quand Il pleurait, se rendant à la tombe; quand Il se tenait là, essuyant ces larmes qui coulaient de Ses yeux bleus. Il a regardé, Il a renvoyé Sa tête en arrière, Il a regardé là, et là gisait cet homme mort dans la tombe, son âme était quelque part à quatre jours de voyage, son corps s’était décomposé: le nez s’était affaissé; les mains avaient noirci, et la vermine le rongeait. Il se tenait là, Il a redressé Son petit corps (en effet, la Bible dit que Son aspect n’avait rien pour nous plaire), Il a redressé Son petit corps. Il n’était pas un Homme de très grande taille, mesurant sept pieds [2,1 m]; mais Il s’est redressé, et Il a dit: ‘Lazare, sors!’ Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie.» J’ai dit: «C’était plus qu’un homme.» C’était Dieu qui parlait au travers de Son Fils. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Croyez-vous cela?
89 Bien sûr que oui. C’était un... Une fois Il descendait de la montagne, et Il avait faim, Il avait été à Jérusalem, les gens L’avaient embêté et tout. Il descendait, cherchant quelque chose à manger. Il s’est approché d’un arbre. Il n’y avait point de fruit sur cet arbre. Et Il n’a rien trouvé. Il avait faim comme un Homme, et Il n’a rien trouvé à manger.
Mais juste après cela Il a pris cinq petits poissons, et deux morceaux de pains, ou quelque chose comme cela, et Il en a nourri cinq mille personnes. C’était un Homme quand Il avait faim et qu’Il cherchait quelque chose à manger sur l’arbre, mais c’était Dieu quand Il a pris ces poissons et ces petits pains, et qu’Il les a brisés, et qu’Il en a nourri cinq mille personnes. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Absolument.
90 Cette nuit-là, dans cette barque, Il était un Homme, alors que la barque rebondissait çà et là sur la mer comme un petit bouchon, lorsque dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer, pendant qu’Il était là endormi. Il était tellement faible, la vertu était sortie de Lui. Et Il était très fatigué pour avoir guéri des gens et après les événements de ce jour-là, si bien que peut-être les démons avaient dit: «Nous L’avons eu ici endormi, maintenant, nous allons Le noyer.» Pendant qu’Il était couché là derrière, et le bruit de vagues ne Le dérangeait même pas, Il était un Homme pendant qu’Il était couché, endormi dans cette barque. Mais quand Il s’est avancé là, après qu’ils L’ont réveillé, Il a posé Son pied sur la cargue de la barque et a dit: «Silence! tais-toi!» Et le vent et les vagues Lui ont obéi. C’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait au travers des lèvres d’un mortel, Son Fils. Alléluia!
Et ce que Christ était alors, aujourd’hui côté position nous avons la même puissance. Cela nous est accordé en Jésus-Christ. Où est donc la foi de l’Eglise? «Crois-tu cela?»
91 Il était un Homme au Calvaire, quand Il implorait la paix, ou plutôt la miséricorde de Dieu. Il a crié: «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il était un Homme quand Il criait. Mais... Et quand Il est mort, Il était un Homme. Mais quand Il est ressuscité le matin de Pâques, Il a brisé le sceau de la mort et du séjour des morts. Frère, Il s’est avancé, Il a posé Son pied sur la gorge du diable, et Il s’est emparé des clés de la mort et du séjour des morts, Il est sorti puissamment de la tombe, Il est sorti. Il a prouvé qu’Il était Dieu. Absolument.
Quand Il était sur terre, Il ressemblait à Dieu, Il agissait comme Dieu, Il prêchait comme Dieu, Il guérissait comme Dieu; Il était Dieu, Dieu dans la chair. Absolument. Eh bien, je crois que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela?
92 Je crois qu’une fois une femme avait dépensé tout son argent chez le médecin. Aucun d’eux n’avait pu la guérir. Mais au fond de son coeur elle se disait: «Si seulement je peux entrer en contact avec cet Homme, je serai guérie.»
Un matin (il vous sera fait selon votre désir) une petite barque était poussée dans les roseaux, et là, cette petite femme est descendue et a touché le bord de Son vêtement, et elle fut guérie de son tourment. Crois-tu ceci?
Je crois–je crois qu’un vieux mendiant aveugle se tenait dans la rue, essayant de demander l’aumône. Et Jésus passait; Il lui a parlé et Il lui a redonné la vue. Je crois que, ce même Jésus qui était autrefois, est là aujourd’hui. Crois-tu cela?
93 Je crois que ce même Jésus-Christ ressuscité se manifeste ici chaque soir dans Sa puissance par des miracles et des prodiges. Je crois ce grand bruit qui se fait entendre maintenant dans le monde entier et qu’on appelle hérésie... On dit: «Les gens ont perdu la tête.»
Ce groupe de gens qui a complètement abandonné le monde, qui a brûlé tous les ponts derrière lui, et qui sert Dieu, qui croit dans les signes, les prodiges et les miracles, la grande église formaliste déclare qu’ils sont fous. Je crois que c’est Jésus-Christ réincarné dans la chair, dans l’église humaine ici sur terre qui accomplit des signes et des prodiges. Crois-tu cela?
Je crois que le jour de la Pentecôte Pierre a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Crois-tu cela?
94 Je crois qu’Il est le même Dieu qui était là autrefois. Le même Saint-Esprit, qui est tombé le jour de la Pentecôte, est le même Saint-Esprit que nous sentons ici même maintenant. Crois-tu cela?
Je crois que par la même puissance Paul a prêché l’Evangile pendant toute la nuit, quand un homme tomba et se tua, et Paul étendit son corps sur le corps de cet homme, et ce dernier revint à la vie. Je crois que cette même puissance du Saint-Esprit est ici même pour captiver un groupe de gens, et faire qu’ils restent assis pendant des heures et des heures dans un vieux bâtiment surchauffé pour écouter le glorieux Evangile de Christ. Crois-tu cela?
95 Je crois qu’Il est Celui qui redonne la vue aux aveugles, qui fait entendre les sourds, qui fait parler les muets, et qui fait marcher les boiteux. Je crois qu’Il est ici même maintenant, le même Dieu qu’Il était à l’époque, la même puissance qu’Il avait alors. Je crois que les mêmes signes et les mêmes prodiges qui se sont produits à l’époque s’accomplissent maintenant. Crois-tu cela?
Je crois que si chaque personne présente ici même disait maintenant: «Ô Jésus, je T’accepte maintenant comme mon Guérisseur», je crois que ces femmes-ci se lèveraient de ces fauteuils roulants et quitteraient cette salle en marchant. Crois-tu cela?
Je crois que chaque homme qui a un cornet acoustique à l’oreille, ainsi que chaque femme, le retirera et sera rétabli; si seulement vous L’acceptez dans cette même puissance de Sa résurrection, qui confirme Ses mêmes signes. Vous ne pouvez pas rester à moitié mort, et croire une espèce de doctrine froide, et ensuite vous attendre à recevoir quelque chose de la part de Dieu. Vous devez croire qu’Il existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Je crois qu’Il est ici pour accomplir tout ce qu’Il a promis de faire. Crois-tu cela?
96 Combien de pécheurs y a-t-il ici aujourd’hui? Je crois que Dieu va vous donner le baptême du Saint-Esprit maintenant même. Crois-tu cela?
Je crois que Dieu va sauver chaque pécheur, remplir chaque saint, et nous apprêter pour l’Enlèvement. Crois-tu cela? Je crois qu’Il le fera, et je crois que chacun de vous le croit. Maintenant, je veux que vous soyez attentif. Je veux que vous croyiez cela de tout votre coeur.
Lorsque Jésus est retourné, Il a ramené là cet homme mort à la vie. Son âme était déjà partie, elle est retournée, elle a vécu de nouveau dans la chair. Et beaucoup de gens sont allés rendre visite à Lazare après sa résurrection d’entre les morts. Je crois que ce n’est qu’une ombre. Je suis si heureux qu’aujourd’hui je ne sais que faire, de savoir que je suis devenu Son ami intime.
Vous êtes devenu Son ami intime. Nous avons des liens avec Lui. Nous sommes maintenant même en train de communier avec Lui. Et nos noms sont écrits dans le même Livre d’où Il avait appelé le nom de Lazare. Je crois qu’il y aura une résurrection un de ces jours, où Dieu ramènera avec Christ tous les autres morts en Christ. Croyez-vous cela? Alors, frère, pourquoi ne pouvons-nous pas avoir une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode ici à Palm Beach? C’est la question que je me pose. Crois-tu cela?
97 Je crois que chacun de vous, en cet instant même, après avoir vu ce que vous avez vu, entendu ce que vous avez entendu, vu Sa puissance et Ses manifestations, je crois que chacun de vous peut retourner dans son église et commencer lui-même une réunion de prière. Crois-tu cela?
Je crois que vous pouvez transformer tout cet endroit-ci, et faire disparaître le whisky de cette ville au point que le contrebandier devrait se préparer pendant une heure pour être assez hydraté pour cracher. Je crois que c’est la vérité. J’ai appris à propos de la police et tout le reste, qu’ils font la contrebande de whisky et des choses qu’ils amènent ici à bord des voitures de la police. Le problème est qu’on a laissé tomber les barrières, et leurs églises sont devenues formalistes et qu’elles...?... tout le reste, souillent le pays, et les membres d’églises boivent, fument, font le jeu d’argent et vivent comme le reste du monde. C’est ce qui a amené le communisme en Russie. Crois-tu cela? J’ai été là-bas. Je sais de quoi je parle.
98 Lorsqu’ils ont vu Dieu accomplir des miracles, ces communistes, les larmes coulant sur les joues, ont dit: «Nous allons accepter un Dieu comme cela. Nous croyons cela. Bien sûr que oui.» Mais parce que l’église s’est éloignée, qu’elle est devenue formaliste, indifférente, impie, qu’elle s’est éloignée, qu’elle en renie la puissance, qu’elle a une forme de piété... La Bible dit que les gens auraient une forme de piété, mais qu’ils renieraient ce qui en fait la force. Je crois que nous vivons en ce temps-là. Est-ce juste? Crois-tu cela? Les gens seraient... auraient une forme de piété, mais ils renieraient ce qui en fait la force.
Maintenant, pendant que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir ici, de se mouvoir au-dessus de cette assistance, je crois maintenant même que tout celui qui a besoin de Christ, Dieu va le lui accorder maintenant même. Je sais que mon heure est passée. Le Saint-Esprit ne cesse de me retenir, de me dire: «Continue.»
99 Combien ont besoin de Dieu? Levez la main? J’aimerais savoir s’il y a ici un homme ou une femme qui est juste... pur... Maintenant, écoutez. Je ne suis pas de ces prédicateurs là qui croient dans ceci, qui vont çà et là, essayant de chouchouter et de dorloter les gens pour les faire entrer dans le Royaume de Dieu. Vous produisez un enfant illégitime. Vous ne pouvez pas venir sous le feu de l’Evangile...
Frère, Pierre, Jacques et Jean, et les autres ne mâchaient pas les mots. Ils prêchaient cela carrément là et disaient: «Race d’hypocrites et ainsi de suite.» Jean a dit: «Qui vous a appris à fuir la colère à venir?»
Et frère, les gens venaient et étaient baptisés par foules. Il doit venir un temps où vous devez cesser de dorloter les gens. Vous ne devez pas en faire des poules mouillées. C’est cela le problème aujourd’hui. Les prédicateurs manipulent l’Evangile avec–avec des gants ecclésiastiques. C’est cela le problème aujourd’hui. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est l’Evangile pur et net qui vous dit que vous êtes un pécheur, que vous allez en enfer. Si vous n’avez pas le Saint-Esprit, vous ne faites pas partie du Royaume de Dieu. C’est juste. Vous ne pouvez pas croire le surnaturel puisque vous n’êtes pas né de nouveau. Et lorsque vous naissez de nouveau, vous croyez forcément au surnaturel, parce que vous-même vous êtes surnaturel.
100 Y a-t-il ici quelqu’un qui est un pécheur et qui veut être suffisamment homme ou femme pour dire: «Prédicateur, j’ai assisté aux réunions cette semaine. J’ai regardé et j’ai vu. Je suis convaincu que je suis un pécheur, et je désire que vous priiez pour moi.» Avez-vous suffisamment de grâce pour lever la main? Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, vous, vous.
Je désire que vous, prédicateurs, vous regardiez. Vous ne devez pas dorloter les gens. Dites-leur la vérité. C’est ce qui tiendra bon au jour du jugement. Que Dieu vous bénisse. Et Dieu vous sauvera si vous êtes sincère à ce sujet.
Quelqu’un par ici qui dit: «Je suis un pécheur, pré-... prédicateur. Priez pour moi. Je veux être sauvé»? Levez simplement la main, dites: «Je veux être sauvé.» Voulez-vous lever la main? Très bien. De ce côté-ci? Quelque part dans les environs? Très bien.
101 Combien ici n’ont pas le baptême du Saint-Esprit? Dites: «Frère Branham, priez pour moi. Je désire le baptême du Saint-Esprit. Je suis un membre d’église. C’est plutôt vrai. Et j’ai accepté Jésus comme mon Sauveur, mais je sais que je n’ai pas reçu le Saint-Esprit.»
Maintenant, vous dites: «Eh bien, je crois que j’ai le Saint-Esprit.» Ce n’est pas ça. Vous êtes conscients quand vous recevez le Saint-Esprit. Vous ne recevez pas le Saint-Esprit au moyen d’une excitation psychique. Le Saint-Esprit est un don de Dieu.
102 Et vous, mes chers amis baptistes, on vous a enseigné que vous avez reçu le Saint-Esprit lorsque vous avez cru. C’est une erreur sur les Ecritures. Dans Actes 19, Paul prêchait à un groupe de baptistes. «Des baptistes?» C’étaient des baptistes. Ils venaient de Jean-Baptiste.
Quand il a traversé les hautes provinces d’Ephèse, il a trouvé certains disciples. Et il leur a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Ils étaient des disciples et des adeptes.
Et, écoutez, les amis, non seulement cela, mais ils criaient, ils louaient Dieu et ils tenaient de grandes réunions pleines de joie. Laissez-moi vous le dire. C’est là que le monde trébuche maintenant même. Ecoutez. Ils tenaient une grande réunion. Apollos avait été là, un homme de loi qui s’était converti et qui était devenu un prédicateur baptiste. Et il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»
Ils ont dit: «Nous ne savions même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»
Il a dit: «De quel baptême avez-vous été baptisé?»
Ils ont dit: «Du baptême de Jean.»
Il a dit: «Jean ne baptisait que du baptême de repentance, en disant que vous devriez croire à ceux qui devaient venir et... à Celui qui devait venir.» Et lorsqu’ils ont entendu cela, ils furent baptisés au Nom de Jésus-Christ. Paul leur a imposé les mains. Le Saint-Esprit est venu sur eux. Ils ont parlé en langues et ont glorifié Dieu. Est-ce juste? C’est ce que disent les Ecritures.
103 Je ne suis re-... ne suis responsable que de dire ce que Dieu dit. Eh bien, on ne reçoit pas le Saint-Esprit dès qu’on croit. On reçoit le Saint-Esprit après avoir cru. On Le reçoit après avoir cru. Et Il est un don de Dieu. Ni la foi, ni rien d’autre ne vous Le donnera. On ne peut pas s’imaginer qu’on L’a; on ne peut pas L’accepter simplement par la foi. C’est absolument une oeuvre de Dieu qui descend dans le coeur et qui révèle la Présence de Jésus-Christ.
Et lorsque vous recevez le Saint-Esprit, vous croyez alors dans toutes sortes de miracles et de signes. Et non seulement vous croyez cela, mais vous les pratiquez. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé. Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui quoi ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents, ils prendront des breuvages mortels; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» C’est cela le signe du croyant. Crois-tu cela? C’est ce que dit la Bible, ce sont les dernières Paroles de Jésus au moment où Il quittait la terre.
104 Maintenant, si ces signes ne vous accompagnent pas, alors vous vous imaginez tout simplement que vous êtes un croyant. En effet, Jésus a dit: «Voici les miracles qui peut-être accompagneront? Voici les miracles qui accompagneront», les dernières paroles qu’Il a adressées à l’Eglise. Puisse Dieu vous venir en aide, alors que nous inclinons la tête juste un instant.
Seigneur Jésus, c’est de façon sèche, sans ménagement, à l’ancienne mode, sans érudition, sans marquage à l’oreille, sans être attaché à une corde, c’est répandu d’une manière simple, néanmoins le Saint-Esprit a pris ces paroles, et il les a enfouies dans les coeurs des gens qui sont ici. Il y a des hommes et des femmes qui se tiennent ici dans cette salle, qui savent qu’ils sont des pécheurs, et veulent être sauvés. Ils m’ont demandé de prier pour eux, car ils sont présents à la réunion, et ils ont vu les miracles et les prodiges, les choses glorieuses qui se sont produites. Et nous savons qu’ils croient.
105 Et je Te prie, Père bien-aimé, de... maintenant même, qu’ils T’acceptent dans leur humble coeur comme leur Sauveur et qu’ils soient sauvés. Il y en a de ceux-là ici, Seigneur, qui sont membres d’églises. Et Tu sais que dans notre coeur, nous ne cherchons pas à leur dire de quitter leur église. Nous essayons seulement de les amener à une sincérité si profonde que Tu répandras la–l’huile de Galaad, le baume, et les remplira tellement de Ton Esprit qu’ils seront salés au point que les autres membres d’églises voudront être comme eux, si pleins de puissance. Quand ils tomberont malades, qu’ils les invitent à venir prier pour eux.
Ô Dieu, accorde-le. Et quand il y aura des disputes dans l’église, qu’ils restent à la maison, priant, et cherchant Dieu jusqu’à ce que tout soit aplani, couvrant la chose de la prière, avec dans leur coeur la soif de voir l’Eglise de Dieu aller de l’avant. Ô Dieu, accorde ces bénédictions à ces gens. Nous savons que bientôt nous devrons quitter cette vie. Nous devrons rendre compte pour nos vies. Et je Te prie d’être miséricordieux envers ceux-ci.
106 Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande si ceux qui sont des pécheurs et qui veulent bien accepter Christ... Maintenant, que chaque tête soit inclinée, et chaque oeil fermé. A l’exception du Saint-Esprit et de moi-même. Je me demande si vous voudriez bien vous tenir debout, dire: «Frère Branham, j’ai été ici durant cette semaine et j’ai vu des miracles et des prodiges être opérés au moyen de la prière: des guérisons et des miracles. J’ai assisté aux réunions. J’ai vu ces grandes choses arriver partout ici. Les sourds entendent, les aveugles voient; les muets parlent. Je–je veux–je veux maintenant accepter Christ comme mon Sauveur.»
Voudriez-vous vous tenir debout, vous tenir simplement debout où que vous soyez? Dites simplement: «J’aimerais faire... Maintenant même, dire dans mon coeur, et Dieu connaît mon coeur...» Maintenant, après que vous–vous avez cru qu’Il est là... Maintenant: «Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec l’homme.» Voyez-vous?
Maintenant, si vous croyez qu’Il est là... Eh bien, ce sera deux fois plus difficile qu’Il revienne. Maintenant, voulez-vous vous tenir debout, dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham. Je me tiens maintenant debout. Je veux accepter Christ maintenant même comme mon Sauveur. Je veux tourner le dos au péché, et dès aujourd’hui je vais essayer de servir Dieu.» Les pécheurs qui ne connaissent pas Christ, voulez-vous bien vous tenir debout?
107 Maintenant, ceux qui ont le... Merci. Ceux qui ont le Saint-Esprit... qui désirent le Saint-Esprit, voulez-vous vous tenir debout? Dites: «Je veux accepter le Saint-Esprit.» Merci, merci. C’est bien. Partout, aussi bien les pécheurs que ceux qui cherchent le Saint-Esprit... Très bien. Je crois que Dieu va vous L’accorder. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui cherche le baptême du Saint-Esprit, et qui veut que l’on se souvienne de lui dans la prière? Que Dieu te bénisse, jeune homme. Un pécheur? C’est juste. Vous êtes un pécheur? C’est juste. Que Dieu vous bénisse. Restez debout, s’il vous plaît, juste un instant.
Maintenant, Seigneur, ne laisse aucun d’eux périr, je Te prie. Tu les vois, Tu les connais. Et je Te prie de ne pas laisser l’un d’eux périr, mais cet après-midi puissent-ils faire la connaissance de Jésus, qui appela Lazare hors de la tombe. Accorde-le, Seigneur, maintenant même. Que le Saint-Esprit qui est ici et qui est Tout-Puissant pour faire cette oeuvre, je Te prie de Le laisser oindre ces gens maintenant même d’une grande foi qui produira des résultats au fond de leurs coeurs. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.
108 Maintenant, pendant que vous êtes debout... Maintenant, que ceux qui sont malades se tiennent debout et disent: «Frère Branham, j’ai besoin de la prière pour mon corps.» Maintenant, veuillez vous tenir debout, vous qui avez besoin de la prière pour votre maladie. Que Dieu vous bénisse. Quel moment merveilleux! Quelle heure! Restez debout juste un moment.
Frères, je veux que vous regardiez cet auditoire, Frère Vayle, Frère Bosworth, Jimmy. Je veux que vous regardiez pour moi cet auditoire. Je veux que vous vous avanciez ici avec moi. Tendez les mains sur cette assistance. (Placez votre main...) Les ministres qui sont ici, je veux que vous tendiez les mains sur cette assistance. Les ministres remplis du Saint-Esprit, partout, tendez les mains sur l’assistance, partout.
109 Maintenant, je crois avoir dit la vérité, sinon c’est une erreur. J’ai la Bible ici pour soutenir cela, qui me montre que j’ai dit la vérité. Le Saint-Esprit est ici. Je crois que, si chacun de vous est sincère dans son coeur maintenant, vous obtiendrez exactement ce que vous demandez.
Maintenant, quand Josué a traversé le fleuve Jourdain, ils ont fait le tour de Jéricho, et ensuite ils ont poussé un cri, les murailles de Jéricho se sont écroulées, et ils sont entrés et se sont emparés de la ville. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Cet après-midi, tous ceux qui veulent... Vous avez besoin de la guérison? Entrons dans la ville et emparons-nous-en. Si vous avez besoin de la guérison, elle vous appartient. Dieu vous l’a promise. Et elle vous appartient. Et si vous avez besoin du salut, il vous appartient. Mais entrons tout simplement et emparons-nous-en.
110 Maintenant, chacun à sa propre façon, la tête inclinée, chaque personne ici à sa propre façon, prions maintenant. Et priez pendant que je prie. Priez Dieu à votre propre façon.
Maintenant, Père céleste, le Saint-Esprit est ici à présent pour accorder à chacun de ces gens le profond désir de son coeur. Beaucoup de ceux qui sont ici recherchent le salut. Ils ont levé la main et se sont tenus là, pour montrer qu’ils désiraient avoir le salut de leur âme. Je Te prie, ô Dieu, de remplir chacun d’eux de Ton Saint-Esprit, du pardon du péché, et du baptême du Saint-Esprit.
Et je prie aussi, Seigneur, pour tous ces malades, qui se tiennent debout maintenant, sachant qu’ils sont désespérément dans le besoin, et qu’il leur faut la délivrance maintenant. Et nous croyons que Tu es ici. Tu avais prédestiné ce jour; Tu nous avais prédestinés à être ici. Et durant ces huit ou dix derniers jours, des signes, des prodiges et des miracles se sont produits.
111 Et maintenant, Seigneur, que chaque personne ici oublie tous ses différends, et T’accepte maintenant, maintenant même. Qu’ils disent: «Peu m’importe ce que dit le monde; peu m’importe s’ils me traitent de saint exalté, s’ils me traitent de fanatique religieux, je viens maintenant à Jésus-Christ dans Sa puissance de résurrection. Et par la foi je réclame maintenant même ma guérison, mon salut. Et, Seigneur, je vais Te louer comme ils le firent à la Pentecôte. Je vais me tenir là et Te louer, et Te bénir jusqu’à ce que Tu me donnes ce que je demande. Je Te confie maintenant cela, Seigneur.»
Et au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que le Saint-Esprit repousse chaque puissance démoniaque, et que chaque personne soit remplie de la Présence de Dieu, au Nom de Jésus-Christ.
E-1 Thank you, Brother Vayle. Good evening, friends. Good afternoon, rather. I seldom have the... The service, it's always evening, so I get used to saying that.
We are very happy to be here in the arena this afternoon. Every time I look across there and see those things, them rings, I just think of how many--what a difference when I used to go out and box in them myself, and now, I'm out fighting the devil, just giving it to him with all I got.
And you know, there was one way that I found out in boxing, something I learned, was the technique of--of defense. You got to have a defense. And so that's a good thing. And the best defense that we have is the Blood of Jesus Christ, isn't it? Just say, "It's THUS SAITH THE LORD. Satan, here it's written." That--that does it.
Do you know the Word of God will defeat Satan, anywhere, anytime, night or day, any place, the written Word? And Jesus defeated Satan by the written Word, showing that it could be done. That brings it to the--the baby Christian. No matter how small, how little, whatevermore, you can say, "It is written."
E-2 When Satan come to Jesus, our Lord, and he said to Him, "If (That's the question mark.)--if Thou be the Son of God make these stones bread here. You can do it if You're the Son of God."
And now, He said that, "It is written." He never used His power, He said, "It's written." It was written twice in the Bible, I believe, in--over in the Old Testament and in the Psalms. And that--that, "Man shall not live by bread alone, by every word proceedeth out of the mouth of God."
Then again taken Him and said, "If You'll fall down here or jump off this temple, why..." He knowed... Why, if He'd have done that without God telling Him to do it, it'd--it'd killed Him wouldn't it? Sure He would. He was just a man. So He had to do what God told Him do.
Now, if God told Him to get up there and jump off the temple by what... How did Jesus work with the Father? By what? Visions. That's what He said, "I do nothing except the Father shows Me." So the Father hadn't showed Him, and He knowed better than to jump off of it, didn't He? That's right. So then He didn't do it.
E-3 And then he took Him upon the pinnacle of the temple, and then he taken him from there upon a mountain. And here's what shocks we people. And He showed Him all the kingdoms of the world in a moment of time. Just think of that. In other words, He just opened up, and He saw all the kingdoms of the world: United States, Russia, Great Britain, all of them. He said, "These are mine," Satan did. Jesus knowed they was his. He said, "And I'll give them to You if You'll fall down and worship me." See?
But Jesus knew in the millennium He was going to fall heir to them anyhow. What's just a few years to wait? See? Why, He knew it was going to be His anyhow. So He said, "It's written: 'Thou shall worship the Lord thy God and Him only shalt thou serve.'"
So Satan got enough of that when He just kept pouring the Word onto him, just pouring the Word to him. That settled it. But did you ever think now, that these nations are Satan's? (What about that, doctor?)
They're... The Bible says that they're controlled by Satan. That's the reason we have wars. But over in Revelation said, "Ye... Rejoice ye heavens and earth, for the kingdoms of this world have become the kingdoms of our Lord and of His Christ." Is that right?
E-4 Now, that's when Jesus knew He was going to take over. And He ruled and reigned a thousand years. Won't have any war then, all the--the--the--the swords will be beat into plowshares (Is that right?) and into pruning hooks. And we will have no more war. Won't that be wonderful?
And all the old people, in the resurrection will turn back to young men and women again. Isn't that marvelous? See? When you're old, most of us we're passed that bloom of life... When you're born, God intended that. And if nothing interrupts your life, you'll become to a full statue of man or woman, whatever He intended you to be, if there's not some interruption. Satan does interrupt Him. And then when...
Did you ever think that the color of hair that you got when you was a young woman of about twenty and you was a young man, do you realize that that'll be the same color of hair in the resurrection? That's right.
Just think; if a--if a yellow grain of corn goes in the ground, a blue grain don't come up in its place, does it? No. See, the whole Christian principle is based on resurrection. The same one goes down; the same one comes up. See?
E-5 And now, when you was about sixteen and, or twenty... You was around about your best, I guess, it was about twenty, twenty-one, and I think the cells reach their best. You remember when the first morning you was combing and you happened to run into a gray something here in the side? You went and said, "Look, mother."
Yes, I was about twenty-five maybe. And you happened to notice mother, those beautiful dove eyes like that... Wrinkles is beginning to come under them, strange, about twenty-five. After while them wrinkles begin to get more and more. That hair begins to get grayer. And then that flesh begins to fatten out, water comes in. You begin moving back then. Death has set in. It's going to conquer you. That's right. God said for it to. That's the only avenue He can take you out of here. Is that right?
E-6 Then you're--you're living up till that time, and then you're dying. You're going back until the day that it'll finally conquer you, and your cells deteriorate, go back into the dust of the earth. But God don't lose nothing. He knows right wherever He had them in the first place. If He didn't, how did they ever come on you? Nobody didn't paste it on you and makes you bigger. You just pushed out and drove, and pushed out till they come to the regular size. Is that right? Then all that death can do for you is take you out of this life.
And some writer said one time said, "The only thing death could do to a believer, that God harnessed it to a buggy, and it pulls the believer in the Presence of his Maker (That's a good idea. Is that right?), just pulls him right up to God. And then that's--that's all it can do.
E-7 Then in the resurrection... See, all death can do is take you out of this life. Then it's finished. And in the resurrection then there's--death has no part at all. Then just what you was when you were your best what God had you, that's what you'll be in the resurrection.
If I had a chance, or was going to be here a little longer, I can take God's Bible and prove that's the truth. Exactly without a--without a shadow of doubt, just exactly what He done to--to, back in the Old Testament, and the things, and prove it by the Word of God that you'll be just like you are when you were young, and you'll be young forever.
We will vary in size. Different... Now, you say, "Oh, you... I believe we will all look just alike."
Well, God's not that type of a person. Look at His creation. He's got palm trees down here, and He's got oak trees up in my country, and He's got pine trees over in the mountains. He's got little mountains, big mountains, little trees, big trees. He's got deserts, and--and jungles, and deserts, and mountains, and plains, and seas.
E-8 God's a God of variety. He has white flowers, blue flowers, pink flowers, red flowers. Is that right? He's a God of variety. Look what He made, look what He made in the first place. Then you can see what He is.
When we resurrect, we'll be redheaded, blackheaded, and blondes, and just exactly like we was here, but in a resurrection of perfection. Say, that ought to make all of us old folks start shouting, oughtn't it? It sure ought to, 'cause that's the truth. That's THUS SAITH THE LORD. Yes, sir. And it will not fail.
E-9 So then if you are anchored in Christ, and by one Spirit we're all baptized into one church... You think you're going to let me get by with that? Ha-ha-ha-ha. By one Spirit we're all, not joined in, but we're baptized into one body, body of believers (See?), all baptized, not joined in, baptized in. How we be baptized? By one water? No. One lake? No. By one Spirit we're all baptized into one body, and become members of that body. Oh, my. If that don't make me feel good to think of that. So, what can harm you?
And then in that body when we come in, we are sealed, not from one revival to another, but until the day of our redemption: Ephesians 4:30, "Grieve not the Holy Spirit of God, whereby you're sealed until your redemption."
Now, if you're having just ups-and-downs, backsliding up-and-down and in-and-out, and this, that way, and you don't know where your standing, you haven't sealed yet. See? When a boxcar out here on the track that's passing by here, the first thing you know they start packing it and putting things in it. Well, then, it has to be inspected before it can be sealed. The inspector comes around; if everything's going to shake loose on the track, he will make you tear it out and put it over again. That's what we do from one revival to another (That's right.): clean her out, start over again, just come on back and start again.
But when once you've really got packed in, and God's Spirit has the right-of-way and you become a child of God, then the door is closed; a seal's put on that door, and that door cannot be opened until its destination. Is that right? The work's destined to be. So therefore, we are sealed by the Holy Ghost until the day of our redemption. Amen.
E-10 My, so what--what we got to worry about? Why are you walking along with a long face, like you eat oats, or the bottom of a churn. Why, my, smile. We're happy. We're Christians, and God has ordained us so and has given Christ for us. And no man could come to Him now...
You say, "Well, bless God; I tell you; I--I got to seeking God." No, you never. You never did seek God. Man never did seek God. There's no such a thing as man seeking God. Did you know that? God seeks man. That's right. No...?... You said, "Is that Scriptural?" Yes, sir.
Jesus said, "No man can come to Me except My Father draws him first." Your whole nature is altogether against God. And it has to take the Holy Spirit to first put that desire in there for you to linger after God. Is that right?
And then when... "All that comes to Me, I'll give them Everlasting Life." There you are. "And then, I'll raise him up at the last day."
E-11 So now, whether we live, whether we die, whether the world stands, or whether it doesn't, whether the people thinks this or that, there's only one alternative that we should have: That's worship God, and be just as happy as we can be. Believe Him for everything He said. 'Cause and life, or death, or nothing can separate us from the love of God that's in Christ. And there we'll be with Him in His Presence forever. Say, "Brother Branham, that sounds very Calvinistic."
Well, I believe in Calvinist doctrine, as long as Calvinist stays in the Bible. See? If it gets out of the Bible I don't believe it. I believe this; I believe every believer believes it with me, that the church has eternal security. God has promised and said He'd--He'd be there without a blemish, spot, or wrinkle. Is that right? God's done said so, so that...
Now, if you're in the church, you're secured with the church. Is that right? That don't mean Methodist, or Baptist now, or Pentecostal. That means Holy Spirit borned again Church, that one we're born into. Then you're secured while you're in the Church.
E-12 This building has been built here for security of weather. And as long as I'm in here the weather ain't going to bother me. See? It ain't going to rain on me here, 'cause there's a roof over me. You stay in the church; you got the protection of Jesus Christ. Is that right?
Now, I just... speaking just a moment till the people kinda got settled down. And I sure wished that I hadn't have made arrangements for another meeting somewhere. I still believe that Miami and its hold can be turned up-side-down for God. But what it's going to take is a month... It's faithful few that's sitting here this afternoon with such a hunger to do that, or see that, until you can't sleep or eat... When the travail of soul comes upon the person, Zion will bring forth children; that's for sure. But when you get that kind of a place, then you--were going to get somewhere.
And I trust that this little meeting will never die, that it'll live on, and on, and on. Now, there's been seeds planted. Now, Paul said "One plants; another waters; God takes the increase." And I pray that God will pour out the water, and the Holy Spirit will take the increase.
E-13 Now, this afternoon I'm suppose to speak, or preach, or whatever you... As I've said before I'm not a preacher much; I'm what they call a spare tire. See? And then when I just preach around I...
Now, now, reason I say that, I say that because of the respect of... Now, saying is loving my Lord; 'course I love Him, sure I do. And I love Him just as good as... I don't... If getting an education makes you love the Lord more, brother, I'd start to college right now. I--I just don't... But God don't require an education for His love. He--He requires a simple heart just to believe Him. That's right.
And many times, I say this with... Now, I'm not trying to use this for crutches to support my ignorance, but education has been the greatest hindrance the Gospel of Jesus Christ has ever had. That's right. The--the greatest hindrance that the Gospel of Jesus Christ has ever had has been education. That's right. The theology has broke--has taken the place of the Holy Spirit. That's true.
E-14 And now, I remember when I was a little boy... I've always liked horses, and I come over with the finest little chap here. It's Brother Vayle's boy called him Gray, I believe his name is. And if he isn't a swell little lad... I--I... He said, "To me, Brother Branham," he said, "these palm trees are for people that live here." He was a Canadian. He--he wanted to get back to the snow country.
So, he likes horses, and I said, "I tell you; you won't go wrong as long as you love nature, 'cause God's in nature."
And so we were talking, and I was thinking when I was a little lad that's what I liked. I liked... My father was a--was a rider, and he was a good rider. He used to go out, and he was a shot. Oh, my, what a shot with a revolver. He'd take these great big stone marbles, and roll them out like that, and have two guns, and shoot one, and would knock the marble in the air, and burst the marble with the other gun before it hit the ground. I couldn't hit a wash tub like that, it laying still. But I--I--I like that outdoors. And a rider... I seen him ride, till honest I--I--I'd be scared to death, riding bucking horses.
E-15 But when I was just a little lad... He met my mother. My mother is--is from Paris, Texas. My father was from Kentucky. And so, my dad was there breaking horses when he, in a rodeo, when he met mother. And so he... They were married, and mama was only fifteen years old when I was borned. So that... She was just a kid, and pop was eighteen.
But I used to want to be like my daddy. I just loved my daddy. He didn't--wasn't a Christian until a little bit before he died. I led him to Christ. But he was Irish through and through, and a real drinker. And no matter what he did, I don't care what he did; he's my daddy anyhow. See?
And listen, young folks, and whenever it gets to a place that you have to call your dear mother and daddy, no matter what they done, when it comes to a place that they're not mother and daddy just the old man and old woman, that's when you've taken one of the greatest backsliding states that's you've ever took. You'll never know what that mother means to you, and a father, until you hear that squeaking of the casket as it's going out the door. You realize it's not the old man then. You realize them gray hairs in his head; you help put them there.
E-16 And I know my old daddy worked for seventy-five cents a day until mother would take the scissors and cut his shirt loose in the back where his shirt was sunburned to his back. Seventy-five cents a day to make a living for me when I was too young to know hardly what it was about, four or five years old. Huh, he's my daddy yet. The snow probably lays over his grave today in Indiana, but he's my daddy anyhow. Yes, sir. And I loved him.
I remember I used to want to be like him. I remember one time when he used have a little old farm we worked on. I had an old plow horse. And dad let me use that one, because he's gentle and so old. And I'd plow with it, and then we'd go down to where the old watering trough was, had an old log cut out and the water trough. How many ever seen one of them little things? Say, why did I wear a tie over here this afternoon for? We're just country folks, aren't we? 'Cause we live in Palm Beach that hasn't taken the country out of us yet has it? Yes, sir. An old watering trough where the bees would go down there you know and hum around, get the hair out of their mane, or a tail of a horse and put it in there and make a horse hair snake. Did you ever see one of them cells move like? We used to do that.
E-17 And then, I... When I'd get in, I'd come in a little early and water my horse first. Poor daddy, he'd go plumb till dark, and had to milk the old cow. And my brother did, I couldn't milk, never could.
So then, I'd come around there, and I'd water the horse, and I had to do some more chores around the house. And I'd get out there, and my brothers would all climb up along on this side of the fence, and pop would be back at the back of the place still working. I'd get the old horse, and look around, and see that mama or none of them was watching, you know. I'd get dad's saddle, and throw it over, and get me a handful of cockleburs, and pitch them up under the saddle like that, and then pull the gird up real tight, and climb up on him. Anybody here that ever rode with a cocklebur under the saddle, you know what... Poor old horse... Oh, I'm ashamed of myself yet of that.
The poor old fellow so tired and old, too sick to get his feet off the ground, and them cockleburs a pinching him, you know. He'd just stand there and bawl, you know, like that, jerk his feet up and down like that. He couldn't buck. He was too old, stiff. He'd just bawled and go on like that. And I'd jerk off this hat and sway from one side to the other. And I was a real cowboy. I'm telling you. Yes, sir. My brothers all sitting there, just clap their hands you know. Oh, we... I was a real rider. Well, it's no more than sitting on a chair there and somebody rocking you. You see?
E-18 So, when I got to be about eighteen years old, I--I was sure they needed me awful bad out west to break their horses. I knew they just couldn't hardly get along without me, so I slipped off from home and went out west. I landed in Arizona just about the time of was rodeo time, got me a pair of Levis, and went out there, and I thought, "Now I'm going to go home in the silver saddle, and I'm sure going to make a lot of money."
So I climbed up on the side of the corral, you know, and they went forth, and they turned the horse loose there. They was going to have a rider to ride this horse. And brother, they had his... When he come out of the chute, put him in the bulls pen when he come out. I... That horse made about two bucks and a sunfish, and the saddle went one way, a rider went the other. The pickups got the horse, and the ambulance got the rider, blood pouring out of his ears and nose, laying out there all crumbled up on the--the ground.
I thought, "Oh, oh. That don't look like that old plow horse I rode. I don't know whether I'm going to have a silver saddle or not."
E-19 So then, caller went by, and he said, "I'll give any man here a hundred dollars that'll ride this horse two minutes." And he went right down along all them bunch of cowboys lined up along the corral fence, all disfigured, you know, real cattlemen. Here I was sitting there and my feet spread out trying to look like a cowboy, with that hat on and my ears pulled down. And that fellow walked right straight up to me, and looked in my face, and said, "Are you a rider?"
Ha, I said, "No, sir." I done changed my mind right quick, that I wasn't a rider. That wasn't my old plow horse, and I knowed I couldn't stay on that thing. That's the reason I say today I'm not a preacher. See?
E-20 When I was first ordained at a Baptist church, and had local exhorter license, I had my Bible under my arm, and every time I'd meet anybody'd say, "Say, are you a preacher?"
"Sure. Yes, sir."
One day I was over at St. Louis, Missouri, and there was fellow named Robert Daugherty, a Pentecostal preacher. And that man, I heard him in a tent meeting, and I was supposed to help in this meeting. And that man preached till he go so red in the face, he'd lose his breath, and go plumb to his knees, buckle. I don't think... And he'd catch his breath; you could heard him about three blocks away; he'd come back up and he was still preaching.
Somebody said, "Are you a preacher?"
I said, "No, sir." My old slow Baptist ways don't think of it that fast. So I... That's the reason I'm kinda careful about saying I'm a preacher (You see?), especially when Doctor Vayle and many of these men, who are sitting around who are real preachers. But whenever I--whenever I do this, I like to talk about the Lord. We all do that, don't we?
E-21 So now, let's read some of His Word and ask Him to help us, and I want you now... I believe the crowds about settled down and gathered in. And I won't speak to you too long I trust. And I want to read some Scripture, where I know that His Words will never fail. And I'm a great believer in the Word, are you? Yes, sir. This is THUS SAITH THE LORD. I believe it. Hang my soul on any phase of It there, say It's right.
Now, now, you could've let that alone just for a minute longer...?... All right--all right. In the 11th chapter of Saint John I--I want to read... (Oh, I didn't really mean that so sincerely, but thank you anyhow.)
E-22 In the 11th chapter of Saint John beginning at the 18th verse I want to read a few Scriptures here. I want to speak on the resurrection. Say, what a text to take, amongst a bunch of people that... Well, maybe we need a resurrection. Don't you think so?
An old minister one time he went and preached repentance one night. The next night he come back and preached repentance. He preached it a full week, and he started the second week on repentance. Some of the elders met him at the door and said, "Can't you preach nothing else but repentance?"
He said, "Oh, yes. Let them all repent and then I will change." So that's right. We're... As soon as everybody repented, why, then it was all right to start something else. So, that's a good idea.
Now, in the 11th chapter and the 18th verse:
Now Bethany was nigh unto Jerusalem, about fifteen furlongs--furlongs off:
And many of the Jews came to Martha and Mary, to comfort them concerning their brother.
But Martha, as soon as she heard... Jesus was coming, went and met him: but Mary sat still in the house.
Then said Martha unto Jesus, Lord, if thou would've been here, my brother would not die.
But I know, that even now, whatsoever thou will ask... God, God will give it to thee. (I like that, don't you?)
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again.
Martha said unto him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last day.
But Jesus said unto her, I am the resurrection, and the life: he that believeth in me, though he were dead, yet shall he live:
And whosoever liveth and believeth [Blank.spot.on.tape--Ed.] shall never die. Believest thou this?
She saith unto him, Yea, Lord: I believe that thou art the Christ, the Son of God, which should come into the world."
E-23 Now, let's lay aside our cares just a moment now, next few minutes, and let's speak to Him. Let's bow our heads first.
Father, we thank Thee today for a happy, joyful heart that's made possible only by Jesus Christ. How can we be anything else but happy and know what we know? We're so grateful to You to be mindful of us, and to bring us into this great fellowship, and also relationship with Thee: fellowship through Christ, relationship to God, by the Son of God. We thank You.
And now, we pray that all of our cares of this life may be brushed aside right now. What we're going to do tomorrow or the next day matters not. It may not even come, but now, we're going to speak on Your Word. And I pray, God, as not knowing what to say, that You will circumcise the lips of Your servant, and will circumcise the heart of the hearer. And may the Holy Spirit take these things which are of God and place them into the heart of the believer and of the unbeliever. And may He so water it with the blessings of power, until it'll bring forth fruit for the Master.
Hear us, Lord, and may there not be any people sick left in this building this afternoon. May there not be one sinner left in the building. May the sinners be saved and the sick healed. And may the saints be full of power and glory, magnifying Jesus Christ the Son of God, Whom we ask in His Name for these blessings. Amen.
E-24 Now, for... We want to take our thought on the great principle of Jesus' ministry and what He was. And now, in our text where we're at at this time, was just at the beginning of the budding of His ministry.
Now, if you'll notice the first year of His ministry He was, oh, He was all of it. And the second year of His ministry, they beginning to find fault. Just a little later they crucified Him. That's the way with a revival, it'll grow up and blossom. And then as soon as the tinsel gets knocked off, begins to settle down. And Jesus, in this time speaking, was just in the beginning of His ministry.
And how that the people were coming from everywhere to see Him. And He was staying with some friends: Martha, Mary, which was two sisters and their brother's name was Lazarus. And I have read that where Martha and Mary for their daily bread, they made little tapestries and things for the temple--needlework. And Lazarus was training to be a scribe, that would write the letters of the law. It'd taken a--a real consecrated man to do that. They wouldn't receive nothing else, but a writer, a scribe.
E-25 And Jesus had--had left and come up to Bethany to--to live with them. And His ministry was in its best right there in Bethany.
And now, let's take back a little piece to find out about the ministry of Jesus. God always declares and warns people before He does anything. Do you believe that? And I say this with holy reverence, that I believe that the signs and wonders that you're seeing taking place today, Christian friends, is a perfect vindication of soon coming judgment. Amen. Judgment has got to strike the world; for if people won't receive mercy, there's nothing left but judgment. Mercy always foreruns judgment. Did in the antediluvian destruction. It did through John the Baptist, and so is it now, the forerunning of mercy. And if you spurn mercy, there's only one thing left--is judgment.
E-26 Like you say, "Will God stand and judge me at the day of judgment?"
No--no, your attitude towards Him now, you're judging yourself. God has already pronounced, "The day you eat thereof that day you die." That just settles it. That's... He has to stay by that; He don't have to pronounce any more judgment. Your attitude towards it is the recompence. What you think of His way of escape, if you refuse to walk in His way, then you're already judging yourself as you judge Him.
E-27 Now, before God sends a message to the earth, God sends Angels sometime as message--messengers to the earth to bring His message. Do you believe in that? God has Angels.
Now, sometime ago someone called my hand on that, and said, "Brother Branham," a great fundamental brother, he said, "there's only one flaw that I can find with your message to the people."
And I said, "What's that my brother? If it's not Scriptural, then I'll get rid of it and repent."
He said, "Well, you're always referring to an Angel, and said, 'The Angel of God met you and told you so and so.'" Said, "Brother Branham, don't you know, that God doesn't use Angels to direct His church?" Said, "The Holy Spirit directs His church."
I said, "That is true, but God also has Angels, ministering spirits sent from God."
And he said, "Oh, Brother Branham, that was Old Testament doctrine." Said, "You mix the New Testament with the Old."
I said, "One's just the shadow of the other." And I said, "You've got to have the Old Testament. It's just a shadow of the New. And the Old Testament, and both of them together, confirms God's attitude towards the people."
E-28 Paul said in Hebrews the 12th chapter, "Seeing that we're compassed about with such a great cloud of witnesses, let us lay aside every sin, every weight, and the sin that does so easily beset us."
Now, he said, "Well now, Daniel had Angel, and so forth." But said, "The New Testament does not support Angelic beings coming to individuals after the Holy Spirit has come."
And I said, "Oh, brother, I different with you." I said, "I believe that the Holy Spirit is here. He's the One that fills us. And our life is not our own, but it's the Life of the Holy Spirit in us that makes us Christians." I believe that, that ever fiber of a Christian's body is controlled by the Holy Spirit. I believe that your eyes are. You can't help when you look to see an evil, but if you lust after it, you've already committed adultery. You turn your head. The Holy Spirit makes you do that. Is that right? You might be tempted. Temptation is not sin. Heeding your temptation is sin. See? You can be tempted. Christ was tempted like we are, but never sinned. So the Holy Spirit is God that helps us bear out the truth of God, and we're written epistles read of all man.
E-29 Now, he said, "Now, what about the--the Angels in the New Testament?"
I said, "Why, look at the--Mary, the virgin, she was visited by an Angel."
He said, "Oh, but that was before the Holy Spirit came."
I said, "Then I'd like to ask you this. Do you believe that Philip had the baptism of the Holy Spirit?" All of us do that, don't we? "Why, when Philip was down in Samaria with a great revival going on, it wasn't the Holy Spirit Who come and called him out to the desert Gaza; It was the Angel of the Lord (Is that right?), the Angel of the Lord."
E-30 Why, we all believe that Peter had the Holy Ghost, don't we? He was the chief spokesman at Pentecost at the inauguration of the church, and we know he had the Holy Ghost. But when he was in prison, and they were going to cut his head off the next day, and they were having a prayer meeting down at John Mark's house, Who was it went up there to the prison and loosed him? The Holy Spirit? The Angel of the Lord. And It was in a form of a Light. Is that right? Came in the window, raised him up, loosed the shackles, passing him by the guards, opened the gates. And Peter thought he was dreaming all the time until he got outside. Oh, I tell you; to be packed away under the power of God means something. You lose your own senses and everything when you're carried away by the power of God.
E-31 Now, that was the Angel of the Lord. The great Saint Paul surely had the Holy Ghost. And he taught the Holy Spirit. And he said in Galatians 1:8, "If an Angel from heaven would teach any other thing, let him be accursed."
And when Paul was out on the sea, and fourteen days and nights of no moon or stars, he went under the gallery to pray and come up shaking his hands. I can see him screaming and saying, "Be of a good cheer." Oh, my. What's happened to that little fellow? Why, he said, "The Angel of God, Who's servant I am, stood by me last night saying, 'Don't fear Paul. You must be brought before Caesar, and lo, God's give all them that sail with you, to you.'" He said, "Wherefore, sirs, be of a good courage for I believe God that it'll be just the way it was spoke to me: the Angel of God Who's servant I am." Now, that was an Angel of God. The whole book of Revelations was wrote by an Angel, and God does have Angels.
E-32 Now, and before God sent Jesus to the earth, He sent an Angel. And an Angel come to a home: Zacharias and Elisabeth. They were great renown believers, Christians as to call. And that's the kind of a home that an Angel can get to.
And you know what I think today the reason that we don't have no more Angelic visitations than we do? We who call ourselves Christians, play cards half the night, read old "True Story" magazines, have beer in the icebox. And that's the reason Angels don't visit us. You can't mix oil and water.
Now, brother, I'm just an old fashion sassafras, backwoods, Holy Ghost, second born preacher. And I believe in the old fashion corn bread, and sauerkraut, potatoes, and beans. It ain't ice cream, but it'll stick to your ribs and carry you through the--the times.
Now, I believe in old time Holy Ghost salvation, cleanse a man's heart up, and that's all I know to say about. So... I just put on... And let's just ask God to pour it out upon us, now what do you say? Let Him stand in--in the form of the old fashioned raining down of Power of God.
Now, these Angels come into these homes when they were renowned homes.
E-33 And he went... One day Zacharias down at priest, a making a sacrifice, and his order was to burn incense. And while he was burning the incense, the Angel of God came, Gabriel, to his right hand side, and spoke to him, and said--said, "Zacharias" Told him that when he went home after the days of the ministration of the temple that he was going to--to be with his wife, and she was going to bear a Child. And she was an old woman. See how God always... He takes the very ridiculous to do what He's going to do. Who would ever think that He'd take a hillbilly, or something like that, that hardly knowed their ABC's or something to make a minister?
When He got Peter, James, and John, the Bible said that they were ignorant and unlearned men. He didn't look for any scholars. He went down and got an old fisherman down there with an old greasy fish apron around him, hardly didn't know his ABC's, and made a saint of God out of him, and give him the keys to the kingdom. Amen. All right. That's the way God does. And He came down to the very ridiculous.
E-34 Someone said not long ago... Now, God bless you, to my dear Catholic friends here. See? Said, "Brother Branham, if that gift would been given, the Pope of Rome would've knowed about it." He knowed just about as much as Caiaphas knowed that that was the Christ that was born.
God doesn't deal in great bignig rings like that. He's come to the poor and humble, and takes that which is not, to bring to pass that... [Blank.spot.on.tape--Ed.] same foolishness of preaching to condemn the mighty and wise. God does that. He always takes the very lowest to bring it up.
If them apostles could've said, "We're educated; we're smart; we got all kinds of degrees." They'd have had something to glory in, but they were ignorant and unlearned men. And God taken that which was not, and made that which is. Hallelujah. Oh, I love that. When I think... Then everybody's got a chance.
E-35 You say, "Now, wait a minute preacher. Paul was an educated man." That's exactly right, and said he had to forget everything he knowed to learn Christ, too and die daily over it. Yes, sir.
Now, that is truth. And that's where our world is--our churches are failing today. We're trying to get into our pulpit... You people who are electing your pastors, you're trying to get the very smartest, newest, freshest thing out of the seminary, that you can find; and sometimes that's the worst thing you could have. Right. What--what we need today is a man with an experience of God who'll lay the axe to the root of the tree and let the chips fall where away and preach the unadulterated Gospel if the church turns him out.
E-36 A fellow said to me not long ago said, "Preacher, if I preach that," he said, "I'd be preaching to four walls."
I said, "I'd rather be preaching to concrete blocks the truth of God (That's right.), and have favor with God, if I had to eat soda crackers, and drink branch water, and be pre--preaching the truth, than to have fried chicken three times a day, and have my collar turned around, and standing for something that I knowed was a lie." Amen. Amen. That's free. That's right. God's Spirit...
What we need today is a good old fashion Saint Paul's revival, and the Bible Holy Ghost back in the church again as a Light of God.
E-37 This priest standing there making his sacrifices, or while they was offering pray, waiting, and oh, a righteous man, godly man... And over to his right side appeared this great Gabriel, the Archangel.
God always sends minor Angels, but Gabriel announced the first coming of Christ, and Gabriel will announce the second coming of Christ. Right. The Archangel of God will announce the second coming of Christ.
Now, I want you to notice, beautifully here. And the Angel told him when he went home, he would be with his wife, and she'd bear a child. Now notice, that scholarly man, who had plenty of examples to look to, he said, "How can these things be? My wife is old," maybe ten, fifteen years passed the menopause.
But look where Sarah was. She was forty years a passed the menopause. Look at Hannah. He had plenty of examples, that he ought to have been able to have read in the Scripture and know that that was the truth. But many times He read it, but he didn't apply it as the same God then, being the same God then. And that's what's the matter today, we think the days of miracles are passed. We're failing to see that the same God that was, is now, and always will be.
E-38 How easy the Jews condemned Jesus, when they seen... Why, they'd walked through the Red Sea, their fathers had, and on dry land. And all these miracles and signs, and then still didn't believe that that was their God Who was doing the same thing. That's the way it is today.
It's a failing of the church when we... Theology and such and education has took the place of the old fashioned mourner's bench. We used to have a mourner's bench. You took that down in the basement. We don't use it no more. That's the truth. And we... All the fire we ever had on the altar, we put it in the stove. What we need today...
You say, "Well, Brother Branham, I'm afraid you'll get a little fanaticism, a little wild fire." I'd rather have a little wild fire than no fire at all. Sure I would. I can put up with a little fanaticism before I could put with something that's so icy, and stiff, and starch, and ungodly. How can God move into a place like that? Go into a place and the spiritual thermometer registering hundred below zero. Somebody say, "Amen," and everybody stretch their neck, and look around, and see who said it. Preacher said, "You interrupt me."
E-39 A little old woman one time lived up in Kentucky. Her boy come out there to Indiana and joined a nice, big church. It wasn't a church that I belonged. It was a Methodist church, and I was a Baptist. And he went down to a Methodist church. And they begin... It was a great, starchy church. She come out of a little old fired up Methodist church.
She went down that morning where her son and them was going to church at. And she walked in. Why, the--the man at the door didn't even want to let her in. She had on a little old calico dress, or gingham, or whatever you call it up around her neck like this, and little old laced up shoes, and long sleeves like that. And come walking, tripping like a little mammy, you know, ought to, walking in the church, and the doorman looked back at her like that, as to say, "What are you?" And it had embarrassed her boy. Ha-ha. Brother, if you got a mammy like that you ought to thank God for somebody... What we need today is some more old fashioned mothers like that.
E-40 She was so happy to get to church, and she got--setting in the church. The preacher said something another about the Blood of Jesus Christ. She said, "Amen." And everybody stretched their neck like a crane to look around and see who it was. And the preacher lost his text. He said, "Hmm, hmm, hmm, hmm." He didn't know what had happened. Why then, she set there just... She didn't know she was out of place. She was setting there...
Look. Listen. Brother, she might not have had her name in "Who's Who," as this great book of "Who's Who" they got, but I... She had her name on the Lamb's Book of Life. And I'd rather have my name there, than all the "Who's Who's" of this world. That's who's to my opinion who who who is. God's Who's Who. I'm glad my name's in it.
You know that famous book they got out, "Who's Who" of the the four hundred millionaires, and so forth, all the dignitaries of the world. Let this world have theirs. Our name's written in heaven on the Lamb's Book of Life, and that's who's God's Who Who is. Might be silly to the world, but their name's on the Lamb's Book of Life.
She was sitting there with her arms folded just as bright as she could be. And the preacher said something else after while that she thought was a...?... She said, "Amen." And everybody... And you know what? The usher come and put her out of the church. She was interrupting the pastor; he couldn't preach his sermon. Talking about falling from grace. Oh, my. That just goes to show the difference. Yes.
E-41 Now, Sarah, a little woman way in her eighties, and she had the baby. Now, why couldn't Hannah have... And Hannah did the same. Now, how about Elisabeth? But John said, or not John, excuse me; Zacharias said, "Oh, she couldn't do it. She's too old."
Look. Here's the sovereignty of God. The Angel said, "I am Gabriel Who stands in the Presence of God. And My words shall be fulfilled in their season. And because you've doubted My word, you'll be dumb till the day the baby's born." Hallelujah.
When God says anything, commissions it and sends it to the earth, all hell might explode, but it'll never change God's Word. It'll be anyhow. God's done spoke it. That makes it right. Shew! Oh, that settles it with me. When God says so, I believe it, don't you? That's it. All right.
E-42 We notice then, well then, he was dumb, and he went out to the people and beckoned. They thought he'd seen a vision. He went home to live with his little wife, and surely, she conceived. And she hid herself for six months.
Six months later this same Angel came down into Nazareth, a wicked little old city where a young lady was having a--maybe a blue Monday washday. She's walking down; she was engaged to a man, a widower of four children, had that pot of water on her head, walking down through the street. And all at once, a great Light flashed before her, like a great Light standing there. And in the middle of this Light stood the great Archangel, Gabriel. And he said, "Hail, Mary." In other words, "Stop."
It frightened the little virgin. It would frighten you. Think of such a salutation as that. "Hail, Mary. Blessed art thou among the women, for thou has found favor with God." Oh, my. "Thou has found favor with God." Told her what was going to happen: that she was going to bear and bring the Child, knowing no man.
And she said, "How will it be?"
He said, "The Holy Ghost is going to overshadow you," Gabriel speaking. "The Holy Ghost is going to overshadow you, and you're going to conceive. And in your womb is going to come forth a blood cell, and it's going to develop into be the Son of God. And you'll call His Name Jesus."
E-43 And now, look at the difference between Mary, that young woman, and this old callused preacher. Just look at the difference. The preacher said... He had plenty of examples back there for women to actually to bring children in the natural way, had plenty of examples of those, after they'd past of age; but this little girl had to believe something that never had happened before. She had to believe for a virgin birth. And she didn't question. She didn't say, "Wait, let me see what this says, or what that says." She just took God at His Word. She said, "Behold, Thy handsmaid of the Lord, be it unto me according to Thy Word." And the Angel left her, after telling her about Elisabeth and so forth.
E-44 Now, here's what I like about Mary. She didn't wait till she felt life for this. She didn't wait till anything stopped. She didn't wait till any natural, visible sign of it all. She just took God at His Word, and begin to testify and glorify God, that she was going to have the baby before she had any visible results from what the Angel told her. She believed that it was the Word of God, and God would do it, because God had spoke it. And she took God at His Word.
And if we could ever get to a place where men and women in this day would be that simple, that would just take God at His Word... Don't wait to see whether I can move this foot or not, or this arm or not, or whether this cancer looks like it's gone, or this heart trouble is any better. Take God at His Word; get a happy mental attitude towards it, and start rejoicing, saying, "God, You said so, and it's got to come to pass...?..." Yes, sir. She didn't wait till she was positive. No, sir.
E-45 And then she'd heard about something else. She'd heard that an... Her cousin was going to have a--a baby. Oh, so right up into Judaea she went to help her rejoice.
Many people get saved, and--they say they do, and just set and say, "I don't even tell nobody about it." Why, you haven't got saved right. You might have some kind of a little mental upset up here. But brother, when you really get saved in the old fashion way, brother, and God comes into your heart and makes you a new creature, you can't set still. You just can't do it. The whole world's got to know it. You got to tell them about it.
E-46 Could you imagine, Philip, down there, Stephen, a man full of the Holy Ghost, the Bible said. How could you stop him? Why, he was like a house on fire in a dry weather on a windy day. Why, you couldn't put him out if you had to. They... Only way they could stop him was kill him. He was full of the Holy Ghost. He wasn't no preacher; he wasn't... He was just a deacon, but he was out on the street testifying and glorifying God. They couldn't stop him. The Holy Ghost had him so wrapped up, till he--he was--wasn't his own. He only looked through God's eyes. He only seen what God seen. He only acted on what God said.
Oh, God, if we could ever have a revival like that, you'll see the whole thing broke down, and America would have a real coming back to God, when we can get the people who won't think their own thoughts, won't take their theology. But we just take what God said, and live by that. Do you believe that's what we need today?
E-47 Away she goes, up in the hills of Judaea to testify, to talk about Him. I can see Elisabeth when she looks down and sees her coming; she was lovely; she loved her cousin. So she wro--runs out to meet her.
Now, Elisabeth had--had hid herself for six months. So when she seen this girl coming, she run out. And she was so happy, she put her arms around her, hugged her, and called her--her name, and begin to rejoice. And she said, "I'm so happy to know that you're going to be a mother."
She said, "Yes."
Said, "Well, I'm--I'm very happy, but I'm just a little scared, because it's six months with me as mother, no life yet," all subnormal. See how God does? Always the ridiculous. All subnormal, the little baby John was six months with no life.
And then, she said... And Mary said, "Well, I've got something good to tell you. The Holy Ghost appeared to me also, and told me that I was going to have a child a knowing no man. And I'd call His Name Jesus."
And just as soon as that Name, Jesus, come through human lips for the first time, little John received the baptism of the Holy Ghost and begin to leaping in his mother's womb for joy. That's right. And if the... If the Name of Jesus Christ spoke by a human being could make a dead baby come to life, what ought it do to a church that's borned again of the Spirit of God? It ought to bind every devil, heal every sick person. Amen. That's right. What ought it to do to a people who claim to be borned again?
E-48 Little John in his mother's womb, six months of developing of cells and no life. The Bible said that John the Baptist was born from his mother's womb full of the Holy Ghost. Amen. Oh, I like that: Born from his mother's womb full of the Holy Ghost. And he begin to leap and jump for joy.
You know when the Holy Ghost comes on you, something's got to turn loose. If a baby's born, and that baby... Somebody said, "Well, I'm borned again." You sound like it. All right.
E-49 Now, if a baby is borned, and that baby's born stillbirth, you know what's the matter with that baby? The baby's born dead. And that's what's the matter with a whole lot of stillborn children in these formal churches today. You're born dead. You got a conception, but never received life. What to do with a baby like that, is pick him up by the heels, and give him a little bit of posterior protaplasma stimulation. I'll tell you: He comes to life right quick.
And if there's anything the church needs today is a good old fashion Gospel, Holy Ghost spanking by the hand of God pouring out His power. It'll make the church come to life. Amen. That may seem flat, but it's the truth. Yes, sir. You spank him a little bit, and he will let out a squall, crying.
Oh, my. I can see Martha, or Mary, when she was up there, and Elisabeth went out to reach, and grab her, and hug her. What a marvelous time.
E-50 You know today we kinda lost that kind of feeling for one another. Isn't that right? I never forget Miami. That woman's here, I don't mean to hurt your feelings. There's some lady let us have a great big place down there; she was suppose to be... What is them? Duchesses? Du--dukes, duchesses, or some kind of a woman like that. And I was having a meeting, and they had it at a little place. They said... Brother Huckster said, "Brother Branham," said, "the--the Duchess wants to see you."
I said, "The who?"
He said, "The Duchess"
And I said, "Who is she?"
He said, "Why, she's the greatest woman around here."
I said, "Oh, is she borned again?"
Said, "Well, I don't know."
And I said, "Well, what's she any more than these other people out here?"
Said, "Well, just speak to her as you go through the back of the hall."
I said, "All right."
E-51 And when I got back there, there stood a great big woman with about enough clothes on that you could put in a aspirin box. And that woman, she had... And enough jewelry on (Now, that... I ain't making fun. I'm stating facts, 'cause I'm in the pulpit.) that would've fed poor children, and paid my missionary trip twice to Africa. And she had a pair of specks in her hand on a stick holding them out like that. Now, you know that woman couldn't see through them glasses out that far, holding it out like that. She had her hands so full of jewelry. And she reached [Blank.spot.on.tape--Ed.] said, "I am so charmed to meet you." Held her hand up like this.
I reached out over her big fat hand...?... I said, "Get her down here so I know you when I see you again."
E-52 What we need today, brother... There's people putting on too much dog, we call it in the street expression. What are you anyhow but six foot of dirt? God have mercy on you. I don't care how you can dress, how you can act, what kind of a home you can live in, what kind of a car you can drive, if you're not born of the power and Spirit of the resurrected Jesus Christ, you're lost, and will go to hell just as sure as a martin will go to its box. Amen. That's the truth. Oh, my.
Here some time ago my wife, and I were going down town. There was a young lady on the street; she said... People just getting away from love. And that's the main thing you got to have. Going down the street, and I was riding... my wife. Some lady said, "Hello, Brother and Sister Branham."
I said, "How do you do?" And I said to her like that, bowed my head to her, and said, "Howdy do?" Riding on down the street, and I said, "Did you speak to her?"
She said, "Yes."
I said, "I must be getting hard of hearing." I said, "I never heard you."
She said, "Oh, I--I smiled."
Now, I said, "A little silly grin to take a place of a speak to...?... I don't like that.
E-53 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... is a good old fashioned Holy Ghost sent revival, men back to believing the Word of God, that God will take care of us like He did in the old days, He will take care of us today. Do you believe that? God will take care of us. What we need today is another refilling, another like the disciples. Three days...
Some of you trying to test an experience, or trust it, that they had ten years ago. That's all right, but what about today? You need one today; today is the day, sure, a filling. The disciples about three or four days after they received the Holy Ghost, went back and got in one accord, and begin to pray again with one accord, until the Holy Ghost shook the building where they were setting. Amen. What we need.
E-54 Oh, my. You get away from all this here dignity. I can prove to you that dignity, the devil is the pappy of every bit of it. In the beginning he wanted something more--more glamorous, and everything than what Michael had. He went over and set him up a kingdom, and that's what polluted heavens, if he'd have stayed there, and God kicked him out. He's been dignifying the church ever since. It's the truth. God doesn't dwell in dignities; He dwells in simple sincere hearts. Hallelujah.
Brother, I begin to notice here not long ago I happened to be preaching at a little old Baptist Church that I was the pastor at, still pastor, Milltown Baptist Church. And I used to go home at night; I looked and there's--there was a--a nightingale used to set there in a little old cedar bush. I'd stayed with some people out there about twenty miles out. I'd drive out every night just to be alone. And get up in the woods and sometimes pray...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-55 Did you ever get up of the morning, hear all the robins a hollering, all the little birds just as soon as it breaks day. We carouse around all night, and can't get up till about one o'clock on Sunday, even go to church. Set around, and they stick his little heads through the air and sing, sing, sing. You never heard of one of them having high blood pressure. You never did see one on a crutch, did you? God takes care of him. That's right. They just trust that, and commit everything to God, and go ahead.
Now, I've studied nightingales. And I noticed some nights when the storm clouds was coming over; he'd quieten down. Then all at once he'd let loose again and just sing to the top of his voice. I thought, "Wonder what does that?"
Now, science tells us, or the--that they look up to the heavens, and if they can't see any stars or any light, they get sad, so they don't sing. But if he can get his eye on one star, he knows the sun's a shining somewhere. So he knows it'll break day after while, so he just sings to the top of his voice.
And I thought, "Oh, God." That's right. If I can get amongst some people who's got it, and you squeak a little, "Amen," out once in a while, and let's me know that the power of the Holy Ghost still exists somewhere. That's right.
E-56 If I could go out today, and I go out tonight and look up and see that great, big bright star, I'd say, "Star, what makes you shine like that? You're so pretty. What makes you shine and give light down here on the earth?" If he could speak, he wouldn't say... He'd say, "Brother Branham, it's not me shining. It's the sun shining on me. That's what makes me shine." And that's what makes people...
A doctor said to me not--some time ago, said that these people that shouted, and praised God, and tried to act like they were so happy, that they was excited. Why, brother, we better get excited, don't you think so? Excited.
And said, "Now, no, it isn't. It isn't that. It's not them. It's because the Spirit of God is shining on them."
E-57 Sometime ago I was drinking from an old fountain where I used to go by and drink all the time. And it was always a bubble, bubble, bubble, bubble, bubble constantly. I thought, "What makes you so happy a bubbling like that?" I thought, "Maybe because deers drink." No. "Because that--that the bears drink." No. "Maybe because I drink." No.
If he could speak, he'd say, "Brother Branham, it's not me a bubbling. It's something behind me pushing me and making me bubble." And that is to every believer that's borned of the Spirit of God. There's Something behind him pushing him, bubbling up out of you, fountains of water, bubbling up unto Everlasting Life. That's what the whole church needs today is a good old fashion, fresh bubbling up. Yes, sir.
E-58 Used to be when I was a little kid, I used to think of bubbling. Mama used to... I used to have to cut rails and things to stick under the old kettle and wash, out in the backyard, in the wood yard. I don't guess you ever did that, big old three-legged kettle out in the wood yard, you know. And mama put her clothes in there with homemade soap. And I'd have to go out and cut wood and fire under there. Oh, my. I thought, "What... So much of that fire? How... Why is that thing burn so much wood?"
She said, "It's got to get hot, for you can do business." And that's the way it is with the church: It's got to really get hot or you can't do business. You got to get something.
She'd take another old kettle she had there in--in canning time. And she'd can these little yellow tomato to make preserves out of them. Put it between hot biscuits on a cold morning, it'd go good right now.
E-59 And so she'd put it in there, and I'd notice she'd pour sugar in. And I'd cut wood and pile around that thing. And I... Oh, it's so hot. The steam would be coming up out of there. I said, "Mama, ain't that hot enough?"
She said, "Nope, cut some more wood."
I said, "Well, mama, look at the steam."
She said, "It has to go to bubbling, popping. And when it gets real, real hot it goes pop, pop, pop, pop, like that, preserves when it's cooking." She said, "That's what mixes the sugar and makes it sweet." And said, "It ain't fit to can until you get it to popping."
I thought, "That's right. When an old fashion meeting... The thing we got to do is pour on the Gospel wood until she gets hot enough till testimonies pop, pop, pop, pop, bubble, bubble, bubble, bubble, turn over like that. She's getting fit to canning, sealed into the Kingdom of God. Amen.
You think I'm crazy, don't you? Well, if I am, I'm happy. Just let me alone. See, I'm--I'm doing fine now. I--I feel better this way, than I did the other way. See? Now, I'm not excited. I know right where I am. See?
E-60 Now, oh, a good old fashion meeting... Here sometime ago I was up at Gary, Indiana. I was holding a meeting up close there. And they'd taken me over to them big steel mills. And the man was walking me around. He said, "Preacher, I want to show you my--this place."
I said, "All right." They had a bunch of benches, like those seats there. And every man was working at a lathe or so forth. And after while, a little whistle blowed. And when the little whistle blowed, why--why all the people begin to take off their aprons, and that was a five minute whistle. And they swept all the shavings out into the middle of the floor. And--and the first thing you know, then another whistle blowed. Everybody went out.
E-61 He stood there, and we watched them all go out. He talked. I said, "How many men you work," and so forth.
He said, "I'll show you, Reverend Branham, how we clean that up."
I said, "All right, sir." He walked over there, and he pressed the button. And I heard something way back, going, "Rrrrrrrrrr." I said, "What is that?"
He said, "Just watch and see." And the first thing you know, here come a great, big magnet passing over, dropped down like this, from way up high, come down a chute, picked up speed coming down. It went right down along that floor, and all them shavings, practically all of them, jumped right up against that magnet, went right on out, and went over there. And they demagnetized the thing, and every bit of it dropped back into a great, big cupola there to be molded again.
Huh. I said, "Praise the Lord."
He said, "What's the matter with you?"
And I said, "Oh, oh, nothing." I said, "I was just thinking."
He said, "You must've been."
And I said, "I want to ask you something." I said, "Why didn't all of them shavings go up?"
And he said, "Well, you see, Reverend Branham," said, "some of them, that magnet won't take." Said, "It can't go to the magnet, because it's not magnetized to it. They're aluminum. Them aluminum shavings won't pick up to that magnet."
I said, "Hallelujah."
He said, "What's the matter with you?"
I said, "What's the matter with that... There's some iron laying there. Why didn't it go up?"
Said, "Reverend Branham, it's bolted down."
I said, "Glory to God."
He said, "What's the matter with you?"
I said, "I'm thinking. A way back yonder in the heavens is a big Magnet called the Son of God. There's people being magnetized down here." Oh, you might be a shaving or a church member, but brother, unless you're magnetized through the power of the resurrection and conformed to His power by the Son of God...
E-62 One of these days God will press the button, and some of these shackled down people with worldly lusts and pleasures will be left here, and the cold, formal church members will lay there. But them who were borned again, them that are in Christ, will God bring with Him in the resurrection, going in yonder to the big molding pot. And these old, frail bodies will be molded in it and made into His own glorious likeness.
Why wouldn't it make a man shout? Why, it'd tear you to pieces. That's right. I thought of how glorious. How the people's got away from God.
E-63 I noticed these... Back to our text, how these two girls standing there, women, talking. And so the... She stayed a few days, and what kind of a man would this man to be, John the Baptist? When he was born... You know, he never went out to some cemetery, or seminary. And... Excuse me. And he never went out there, but God took him over in the wilderness. What a seminary, the best God's ever had yet.
Over in the seminary so he wouldn't get any theology, but he'd get kneeology, where God could deal with him out there. And there that fellow stayed in there from about time he was eight years old until he was thirty.
In those days come John the Baptist, preaching in the wilderness of Judaea saying, "Repent for the Kingdom of heaven is at hand." For this is he who was spoken of the prophet Isaiah, the voice of one crying in the wilderness. There he was.
Brother, he didn't have on the tuxedo clothes. He didn't have on--his collar turned around. But he had an old sheepskin draped around him, but he preached repentance, and he preached Christ. Though his simplicity had stirred all the regions around about. What we Baptists churches, and all the rest of you need today, is another John the Baptist.
E-64 He preached repentance. He preached Jesus Christ. Though in its simplicity had drawed all the regions in. The power of God has been the greatest drawing card the world has ever had. There he come preaching, how marvelous and how wonderful. What a real--what a real man of God in a manifestation he was. And he preached. Then Christ came on the scene.
Then he said, "I must decrease, and He must increase." John, I like that. He didn't claim to be nothing. He said, "I--I--I'm not him."
But Jesus said, "Yes, he is." Said, "There never was a man borned of a man as great as that man there." That's right. Said, "Howbeit the least of the Kingdom of heaven is greater than John. But there's never been a man born of a woman as great as he." Why? All the other prophets spoke of Him, but John introduced Him to the world. "This is... Behold, the Lamb of God." He introduced Him to the world. He was the greatest among the prophets--was John.
E-65 And notice. I want you to get this now. As they went on... Now, Jesus' ministry begin to come great. And he went away from home, Lazarus' home. And when he left, sorrow came in. And let me say this to you Christians, when Jesus leaves your home, watch out. Sorrow's on its road. Sorrow's on its road when Jesus leaves your home. You watch for trouble, just as sure as He goes away. If you drive Him away with your sinful living, your reckless, careless life, sorrow's on its road to your house. Isn't that right?
Now, notice. But in this case He wasn't run away. He went away because God give Him a vision, and told Him to go away, and wait three days. He said He didn't do nothing unless the Lord showed Him in a vision. "What I see the Father doing, that's what I do. I do nothing else besides that."
So, He knew they'd went three days. And first thing you know, they sent... Lazarus got sick, so they sent for Jesus to come and to heal him. And He just ignored it and went on. Brother, I'm telling you: If you ever send for your pastor to come and pray for you when your sick, and he didn't come, you'd sure leave a Baptist or Methodist church, and go over, and join the Presbyterian. Or you Pentecost would go to the Baptist or somewhere. Yes, sir. No, you couldn't stand that.
E-66 So, they sent for Him again. He just ignored it and went on, for He knew that God's will had to be done. All things work together for good to them that love God. Isn't that right? Keep your heart right with God and everything else come all right.
Now, He went on just a little farther. And the first thing you know, Lazarus taken sick. He got sicker, sicker. The doctors come. They could do nothing with him. We're taught in mythicals, perhaps, I wouldn't say it would be correctly historical; he died with hemorrhages in his lungs. All right. When he died, anyhow, they taken him out, buried him. They embalmed his body, put him in the grave. In order then of burying him, like there is a lot in the Orients today, they dig a hole, and just lay a rock over the top of it where they bury their dead.
E-67 So they put him in the grave, and He went on... First day passed. My, how sad that little home. Then the second day passed, worse, third day, even a fourth day. All hopes was gone. Think about that poor little sad family. Death had struck the home. That was the saddest hour they'd ever seen. Death was in the home. The Man had been down there preaching and healing the sick, had turned them down when their brother was dead--dying. And they'd had faith in the Man. They believed that He was a Man of God. They'd give up the church, 'cause any man that believed on Jesus had to get out of the synagogue. He was a holy-roller. See?
And so they--they had to get out of the synagogue. As soon as they believe this here, they put them right out. And yet they knew in their heart that He was God's Son. But their theology had tied them up, so they couldn't accept it. They had their own creeds and their own apostle's creeds. Did you ever hear of such nonsense?
E-68 We got today the apostle's creed. I challenge that to the Bible. There is no such a thing as apostle's creed. If there's any apostle's creed in the Bible, it's found in Acts where He said, "Repent everyone of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins. You shall receive the gift of the Holy Ghost for the promise is unto you and your children's children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
That sounds more like an apostle's creed. "Now, I believe in a holy Roman Catholic Church. I believe in communion of saints." Anybody that believes in communion of saints is a spiritualist. That's exactly right. Saints are dead; they're in the Presence of God. There's no mediator between God and man but Jesus Christ. Amen. That's right. Oh, how you get yourself all twisted up. My, it's a shame...
E-69 See, I don't want to blame you people; it's the pulpits where it started. No wonder that's the damnation of the country, when Satan got in the pulpit. It's the truth. Failing to preach the unadulterated Word of God, and the Word of God will produce just exactly what It said It would do. But we explain it all away. "It's all away. It's for some other day."
Could you imagine somebody standing at the platform, saying the baptism of the Holy Ghost, Divine healing, and that's for another day? It's like trying to introduce a man freezing to death, and paint some fire for him, and say, "There's a fine fire." That's what was. You can't warm by a painted fire.
That was fire one time, but what about fire now? Holy Ghost had power at Pentecost through the first age, second age, and on down. What about this age? He's the same Holy Ghost today. The same power, the same signs, the same wonders, the same miracles, if He can get the same kind of faith amongst the people. God doesn't change.
E-70 There, what a time--dark hour. The church has turned them out, because they believed on Jesus. And He'd turned them down, seemingly. My, it was a dark hour. But just at the darkest of hours, then Jesus come along. That's usually the way He does it; just in the darkest of hours Jesus comes along.
Maybe it's your darkest of hours, sister, but Jesus comes along. Maybe it's your darkest of hour. There's been women sitting there this week in wheelchairs--walked. There's been those who was on stretchers; there's been those who've been bound for years and so forth around the world everywhere--up walking. Maybe it's yours with heart trouble, worst enemy you got, and sickness. Maybe you can't live over another few days, but Jesus will come along. Just in the darkest of hours He comes along.
E-71 Now, when He come along, things begin to change. Little Martha, she had been kind of dilatory and in all the things of the world, but I... about food and making tables ready. But you know, I kinda like her now. She, as soon as she heard Jesus come, here she started to see Him.
Now, I see her pass by. And say, "Hey, they tell me that holy roller... Ha-ha. He wasn't here when Lazarus died, was He? So, we--we see He's slipping back to town now, after the funeral service is over." He just passed right on by them.
Now, I believe that Martha had in her mind some Scripture. And here's what I think she had. When the Shunammite woman in the Bible, when Elijah passed by and she was blest and give a baby. And the Shunammite woman, when she seen the baby had died, she said, "Saddle a mule now, and go forward, and don't you check unless I bid you. We're going to get to the prophet."
And she knowed that that was God's representative. And if she could get before the prophet, she knowed God was in His prophet. And if she could only get to that prophet, she would find out why her baby had died. She'd know.
E-72 So, the husband said, "Oh it's neither new moon or sabbath, and he won't be up there, at up at the Mount Carmel."
She said, "All will be well." And away she went.
And when they come in... God hadn't told the prophet nothing about it. He just told Gehazi, said, "Here comes that Shunammite." He said, "Now, her heart's grieved, and God's kept it from me. I don't know what's the matter with her." So he hollered, "Is all well with thee? All well with thy husband? Is all well with the child?"
Now, here's where I like her. She said, "All is well." Settles it. The baby a corpse, her husband a screaming maniac, running up and down the floors, her heart jumping out of her, but, "All is well." I like that. What was it? She was-- She was to the base of where she knowed she'd find out from God what the reason was. She run up to the prophet and fell down and revealed herself.
She grabbed him by the feet, 'course Gehazi jerked her up, and kinda taken care of her, what nobody did such things. So Elijah said, "Now, Gehazi, you take my staff. Don't you go to talking to somebody on the road, but I'm going to give you a commission. You go lay this staff on the baby."
E-73 And the woman now... And that would've worked all right if the woman would've believed that. That's where I think Paul got the handkerchief idea. Gehazi... Elijah knowed what he touched was blessed. So it--it wouldn't work for her, 'cause she didn't believe that. No, sir. She knowed God was in the prophet. She didn't know about the stick. So she said, "As your soul lives, I'm not going to leave you." She stayed right with him. Well, there wasn't nothing to do, put on his coat and take with her.
And away they went out down through there, and got to the house, and I can just imagine seeing everybody in the yard a weeping and a wailing, that little ten, twelve year old boy laying on the bed. And I want you to notice: she took him into the prophet's chamber, good place to take him, laid him on his bed.
So, old Elijah walked up in all that confusion, and commotion around. He walked in there, and walked up-and-down the floor, laid his body upon the little dead baby. It sneezed seven times, and come to life; took the baby up.
E-74 Now, no doubt but what Mary, or Martha, had read that story, and she knew if God was in His prophet, surely He was in His Son. So, she knew if she could get to God's Son, she would know why that that baby, or her brother had been taken. So she got over to Him.
Now, when she... Looked like she had a right to scold Him, upbraid Him, and say, "Why did You do a certain thing? Why didn't You come when we called You?" But when she got to Him, she fell down at His feet, and said, "Lord, if Thou would've been here, my brother would not have died." See? She never scolded Him, saying, "Why didn't You come and this, that, or..." If she did, the miracle wouldn't have taken place.
E-75 It's your attitude towards... Your approach towards a Divine working of God, will determine what you'll get out of it. If you come and say, "Well, I... Glory to God." Stand there and chew your chewing gum, and say this, "I'm just going around to see what them holy-rollers is doing. I didn't see nothing." Sure. "I--I never see them...?... just a bunch of maniacs, looked..." If you come to criticize, the devil will give you something to criticize. If you come for to find good, God will show you something good. It depends on what you're looking for.
So, they come. Now, I--I could see her then. She come up to Him, and she knelt down, and said, "Lord, if Thou would've been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." I like that. "What you ask God, God's going to give it to you."
E-76 Now, "Although he's dead, Lord, he's been dead four days. He's corrupted. His body is--is rotten; skin worms is crawling in his body; bugs is eating him up, out there in the dirt. I know he's gone. All hopes that way is gone, but even now, Lord, whatever You ask God, God will give it to You." Oh, I like that. "Even now Lord, whatever You ask God, God will give it to You." If you people in this building today that's sick and afflicted, if you'll get your mind off the symptoms and get onto what God has said, it'll take place right now. "Even now, Lord."
I think of Jonah. If there ever was anybody in the world that really had some symptoms, it was Jonah. Don't you think so? That guy was on his road down to Nineveh. God told him to go to Nineveh, and he backslid and went over to Tarshish to get--get an easier road.
E-77 And on the road down there... Any backslidden preacher is going cause some trouble. That's what's the matter with the world today. So, they... First thing you know, a trouble's come up. And Jonah said, "Now, you tie up my hands and feet, and throw me out in the ocean, everything will be all right." So they picked him up, and throwed him out in the ocean. And then the first thing you know a big fish come by and swallowed him. I was talking to somebody about that the other day.
They said, "Preacher, do you really believe that--that that fish... Why," said, "I can prove it that an orange can't go down a whale's neck." Said, "Why, it couldn't do it."
I said, "But this is a special fish God prepared. See? This is a good one. This one could swallow a man easy without any trouble at all."
E-78 It reminds me of a little girl on that story, used to come to the Tabernacle. Oh, she was--got saved down there and filled with the Holy Ghost. Her little face just a shining. She was going up the street, and and old man Dorsey up there that lived at Utica, a infidel to the core, he was standing out there hoeing weeds on Sunday, you know, cleaning his tomato patch out. This little girl come up the road singing, "Jesus loves me this I know." Just a singing to the top of her voice.
Mr. Dorsey said, "Hey, what are you doing?"
She said, "How do you do, Mr. Dorsey?" Said, "Praise the Lord. I just got the Holy Ghost."
He said, "Nonsense." Said, "Where you been down there? Billy Branham will run you crazy."
She said, "Well, I just feel awfully good."
Said, "What's you got in your arm there?"
She said, "It's my Bible."
Said, "You believe that story in there about the fish and the whale, or the--the whale swallowing Jonah?"
She said, "Yes, sir."
He said, "Do you believe that--that the whale swallowed Jonah?"
She said, "Well, if the Bible said that Jonah swallowed the whale, I'd believe it." See? Whatever it was.
E-79 She said... He said, "Nonsense." He said, "How are you going to prove it any other way but by faith that that whale swallowed Jonah?"
"Why," she said, "When I get to heaven I'll ask Jonah." That's exactly.
Well, he said, "Then perhaps what if Jonah ain't there?"
Said, "Then you'll have to ask him." He'd be in hell, exactly. Said, "You'll have to ask him."
That's a good--that's a good question. That's a good thing. Said, "If Jonah's not in heaven, then you ask him. 'Cause he'd be where he'd be." Oh, that's right, brother.
And this Jonah, God throwed him--had him throwed out of the ship, and this whale swallowed him. I believe it. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-80 You're living here by the seashore or... Take your goldfish, when that fish feeds, he prowls through the water till he finds his prey. Then when he finds his prey he goes down to the bottom of the--the sea, spreads out his swimmers and rests. If the water's too deep, and he's way out in the ocean, he stays at the top, of course. But when he's down at the bottom, when he's preying, he goes down to the bottom...
Now, this whale had swallowed Jonah. What a fix that whale was in. Had all that big stomach full of backslidden preacher. That's a whole lot for anything to stomach. And here he was down there in the bottom of the sea. And here was this preacher, hands tied behind him, backslid. Talk about symptoms, he had some.
E-81 Look. First place he was backslid. Next place he was on a stormy sea. His hands was tied behind him; he was in the belly of the whale, and the whale in the bottom of the sea. If he looked this away, it was whale's belly. If he looked that way, it was whale's belly. Everywhere he looked, it was whale's belly. Talk about symptoms, that's worse off than any of you here this afternoon. He had symptoms, what I mean.
But what did he say? He turned over in that vomit down there, got on his knees, seaweeds wrapped around his neck; he looked in the whale's belly. He said, "I refuse to see that whale's belly. They are lying vanities." He said, "Once more will I look toward Your holy temple, O Lord." Hallelujah.
What? Why? When Solomon dedicated the temple, the Pillar of Fire come in and settled behind it. Solomon prayed. He said, "If Thy people anytime be in trouble and look toward this holy place, then You hear from heaven."
And Jonah believed that God heard Solomon's prayer. And that old whale got so sick at his stomach, till he vomited the preacher right up in Nineveh where he belonged. Is that right?
E-82 Well, if Jonah under those circumstances... Amen. Here it is. Get it? If Jonah under those circumstances, backslid, hands tied behind him, in the belly of the whale, on a stormy sea, down in the ocean, if he could refuse to see the whale's belly and believe that God heared Solomon's prayer, how much more ought you and I today to hear Christ Jesus, Who has died and took His own bloody garments, and setting at the right hand of God, making intercessions on our confessions. What we say He's done, He's... God's there to make it right.
How much more ought we to refuse our symptoms? It's nonsense. "I won't look at my crippled hand. I won't look at my--about my deaf ear. I'll look to your holy temple, Lord, where Jesus stands at the right hand of God making intercessions on what I confess to be true." Amen. Say, I feel religious right now. I tell you, I do.
E-83 Look, just a little bit. Got to hurry, it's getting late. All right. Notice this. I can see then... Martha, she goes out to meets Jesus. She falls down and said, "If Thou would've been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God shall give it to Thee."
Now, look. There was a woman with a desire in her heart. She had come exactly the way God told her to to His representative, which His Representative at that time was His Son, today is the Holy Spirit. All right.
E-84 Now, the Holy Spirit will bare record of the Word. If it don't bare record of the Word, then it's not the Holy Spirit you're speaking to, 'cause the Holy Spirit feeds on the Word of God. "Man shall not live by bread alone, but by every word that proceedeth out of the mouth of God."
Now, then here's a woman, heartbroken, all disturbed, but yet in her soul she was quiet. She got right where she knowed that she could get some results. She said, "If Thou would've been here, my brother would not died. But even now, whatever You ask God, God will give it to Thee."
He said, "Thy brother shall rise again."
She said, "Yes, Lord, I know. He was a good boy. He will raise in the general resurrection in the last days. I know he will--he will raise. He was a good boy." The Jews believed in the general resurrection. Said, "He will raise in the last days."
Now, look at Jesus, pulled His little frame together. He said, "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead yet shall he live. And whosoever liveth and believeth in Me shall never die." Said, "Believest thou this?" Oh, my.
E-85 There's the question; here's the woman, right place. The cogs are coming right together. She's standing by God's Representative. She's got a desire in her heart, and she's got the right Man, the right place, the right attitude, and she's confessing, "You are just exactly what You said You was. You're the Son of God that was to come into the world. And I believe that whatever You ask God, God will give it to You, because You are His Representative." Brother, something's got to take place. Something has to take place.
Said, "I believe just exactly what You confess to be. I believe that's just what You are. I believe that You are just exactly what You said You was."
He said, "Thy brother shall rise again." And she questioned said to the resurrection. He said, "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead yet shall he live. And whosoever liveth and believeth in Me shall never die." And--and He said, "Whereas..." or, "Believeth thou this?"
She said, "Yes, Lord, I believe that with all my heart. I believe that You are the Son of God that was to come into the world."
Said, "Where you buried him?"
Said, "Come, see."
The Bible said, "Jesus wept."
E-86 I'm not trying to scold you, but here sometime ago a Christian science woman said to me, said, "Reverend Branham," said, "your messages is all right, but," said, "you put too much emphasis on Jesus Christ. You brag too much about Him."
I said, "How could I?" I want to know how could I brag too much on Him.
She said, "Well, now, look." Said, "You try to make Him so Divine, and everything like that, when He was a good man, He was a teacher."
I said, "He was God."
She said, "He couldn't be God."
I said, "If He wasn't God He was the biggest deceiver the world's ever had." That's right. I said, "He was either God, or He was nothing."
E-87 She said, "Well, He wasn't Divine."
I said, "He was Divine."
She said, "If I prove it to you by the Bible, will you accept it?"
I said, "If it was the Bible said He wasn't Divine, then I'll believe it."
She said, "I can prove it."
I said, "All right." She referred to this Scripture.
She said, "When Jesus went down to the grave of Lazarus, the Bible said 'He wept.'"
And I said, "You mean to tell me that--that you think that's the reason He wasn't Divine?"
Said, "Why, sure He wept. He was a man."
I said, "He was a man, yes. But He was God also. He was a God-man."
E-88 And she said, "Why, He couldn't have been."
I said, "He was." I said, "Look. He was a man when He was crying going down to the grave, was standing there brushing back those tears, out of those blue eyes. He looked, throwed His head back, looked over there, and there laid a man that was in the grave dead, his soul four day's journey somewhere, his body rot: The nose had done fell in; the hands had turned black, and the bugs eating through him. Standing there, pulled His little frame up ('cause the Bible said there's no beauty we should desire Him.), pulled His little Self together. He wasn't a great, big seven footer; but He pulled Hisself together. And He said, 'Lazarus, come forth.' And a man that had been dead four days stood on his feet and lived again." I said, "That was more than a man." That was God speaking out of His Son. God was in Christ, reconciling the world to Himself. Do you believe that?
E-89 Yes, sir. That was a... One time He come down off the mountain, and he was hungry, been up at Jerusalem, been fussing with Him, and everything. He come down He was looking for something to eat. He went to a tree. There wasn't any fruit on that tree. And He couldn't find nothing. He was hungering like a man, and He couldn't find nothing to eat.
But just after that He taken five little fishes, and two pieces of biscuit, or something and fed five thousand people. That was a Man when He was hungering looking for something to eat on the tree, but it was God that taken those fish and biscuits and broke it and fed five thousand. God was in Christ reconciling the world to Himself. Yes, sir.
E-90 He was a Man out there on that boat that night, when it was pitched around like a little bottle stopper on a sea, when ten thousand devils of sea swore they would drowned Him, Him out there asleep. He was so weak, the virtue had went out of Him. And He was so tired from healing, and going on that day, until maybe the devil said, "We got Him out here asleep, now, we will drown Him." When He was laying back there, and the waves didn't even disturb Him, He was a Man when He was laying down on that boat asleep. But when He walked up there, when they woke Him, He put His foot upon the brail of the boat said, "Peace be still." And the winds and the waves obeyed Him. That was more than a man. That was God speaking through mortal lips, His Son. Hallelujah.
And what Christ was then, we have positionally the same powers today. Grant it in Christ Jesus. Where's the faith of the church? "Believeth thou this?"
E-91 He was a man when He cried at Calvary for peace, or mercy from God. He cried, "My God, My God, why has Thou forsaken Me?" He was a man when He was crying. But... And when He died, He was a man. But when He rose on Easter morning, He broke the seals of death and hell. Brother, He come forth, put His foot upon the devil's throat, and took the keys of death and hell, burst forth from the grave and come out. He proved that He was God. Yes, sir.
When He was on earth, He looked like God, He act like God, He preached like God, He healed like God; He was God, God in the flesh. Yes, sir. Now, I believe Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. Do you believest thou this?
E-92 I believe there's a woman one time that spent all her money for a doctor. She could be cured of none of them. But down in her heart she said, "If I could ever get in contact with that Man, I'd be healed."
One morning, as you desire so will it be, a little boat pushed into the bushes, and there was that little woman down there, come down touched the hem of His garment, was made well of her plague. Believest thou this?
I believe--I believe an old blind beggar stood on the street trying to beg for alms. And Jesus came by; He spoke to him and give him his sight. I believe that same Jesus was then, is today. Do you believest thou this?
E-93 I believe that same resurrected Jesus Christ manifests Hisself here every night in power, and signs, and wonders. I believe this great commotion that's going across the world now that's called heresy... Says, "The people has lost their mind." This bunch of people that's sold out to the world, burned every bridge behind them, and serving God, believing in signs and wonders and miracles, and the big, formal church is saying they're crazy. I believe that's Jesus Christ reincarnated in flesh in the human church here on earth a doing signs and wonders. Believest thou this?
I believe that on the day of Pentecost Peter said, "Repent every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you, and to your children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." Believest thou this?
E-94 I believe He's the same God that was back there. The same Holy Ghost that fell on the day of Pentecost is the same Holy Ghost that we feel right here now. Believest thou this?
I believe the same power that preached the Gospel all night by Paul, when a man fell and killed hisself, and Paul laid his body over his body, and he received life again. I believe that same Holy Ghost power is right here to a fascinate a bunch of people, that'll make them set hours after hours in an old hot building to listen to the glorious Gospel of Christ. Believest thou this?
E-95 I believe He's the One that gives sight to the blind, and hearing to the deaf, and speech to the dumb, made the lame walk. I believe He's right here now, the same God that He was then, same power He was then. I believe the same signs and wonders that took place then is taking place now. Believest thou this?
I believe if every person in here right now would say, "Jesus, I now accept You as my Healer," I believe these women would raise up out of these wheelchairs, walk out of the building. Believest thou this?
I believe every man with a trumpet in his ear, and every woman, would pull it out and be made well; if you'd accept Him in that same power that His resurrection, proving His same signs. You can't set half dead, and believe some kind of a cold doctrine, and then expect to get something from God. You've got to believe that He is, an a Rewarder of those who diligently seek Him. I believe that He's here to perform everything that He promised to do. Believest thou this?
E-96 How many sinners is in here today? I believe God will give you the baptism of the Holy Ghost right now. Believest thou this?
I believe God would save every sinner, fill every saint, and fix us up for the rapture. Believest thou this? I believe that He would do it, and I believe that each one of you believe it. Now, I want you to watch. I want you to believe it with all your heart.
Jesus, when He returned back, raised that dead man there to life again. His soul had been gone, returned back, lived in the flesh again. And many people went up to see Lazarus after he was raised from the dead. I believe that's only a shadow. I'm so glad today I don't know what to do, to know that I have become a bosom friend of His. You've become a bosom friend of His. We've had associations with Him. We are today having our fellowship with Him right now. And our names are written on the same Book that He called Lazarus' name from. I believe there'll be a resurrection one of these days when all those other dead in Christ will God bring with Him. Do you believe that? Then, brother, why can't we have an old fashion Holy Ghost meeting here in Palm Beach is what I'm wondering. Believest thou this?
E-97 I believe that each one of you right now after seeing what you've seen, hearing what you've heard, seeing His power and manifestations, I believe that each one of you can go to your church and start a prayer meeting yourself. Believest thou this?
I believe you can turn this whole place in here, and make this town so dry from whiskey, that a bootlegger would have to prime hisself an hour to get enough moisture to spit. I believe that's the truth. I hear on the police force and everything, that they're bootlegging whiskey in police cars, and things they're bringing in here. What the trouble is, they let down the bars, and their churches has got formal, and they...?... everything else, pollute the country, and members of the church, drink, smoke, gamble, and live like the rest of the world. That's what broke communism loose in Russia. Believest thou this? I've been there. I know what I'm talking about.
E-98 When they seen God perform miracles, them Communists with tears running down their cheeks, said, "We'll accept a God like that. We believe that. Yes, sir." But because the church got away, got formal, and indifferent, and ungodly, got away, denying the power thereof, just having a form of godliness... The Bible said they would have a form of godliness, but would deny the power thereof. I believe we're living in that time. Is that right? Believest thou this? They'd be--have a form of godliness, but would deny the power thereof.
Now, as the Holy Spirit is moving in here, moving over this audience, I believe it right now, that anyone has a--a need of Christ that God will grant it to you right now.
I know my time's gone. Holy Spirit's keeps shutting me, telling me, go.
E-99 How many has a need of God? Let's see you raise your hand? I wonder if there's a man or woman in here right out raw... Now, look. I'm not one of these preachers that believes in this, going around trying to pet and baby people to the Kingdom of God. You make a illegitimate child. You can't come in under the fire of Gospel...
Brother, Peter, James, and John, and them didn't pull any punches. They preached it right out there and said, "Oh, you generation of hypocrites, and so forth." John said, "Who's warned you to flee from the wrath to come?"
And brother, they come and was baptized by the scores. There's got to be a time where you got to quit babying people. You can't sissify them. That's what the trouble today. Preachers is handling the Gospel with--with ecclesiastical gloves on. That's what the trouble of it today. What we need today's a raw, flat Gospel to tell you you're a sinner, going to hell. If you haven't got the Holy Ghost you're out of the Kingdom of God. That's right. You can't believe the supernatural, because you have never been borned again. And when you're borned again you have to believe the supernatural, because you're supernatural yourself.
E-100 Is there anybody in here that's a sinner and wants to be man or woman enough to say, "Preacher, I've been to the meetings this week. I've watched and seen. I'm convinced that I'm a sinner, and I want you to pray for me." Have you got grace enough to raise your hand? God bless you, lady. Someone else? God bless you, you, you.
I want you preachers to look. You don't have to baby people around. Tell them the truth. That's what will stand at the day of judgment. God bless you. And God will save you if you're sincere in that.
Anybody over here say, "I'm a sinner, pre--preacher. Pray for me. I want to be saved." Just raise your hand say, "I want to be saved." Would you raise your hand? All right. In this side? Anywhere around? All right.
E-101 How many in here is without the baptism of the Holy Ghost, say, "Brother Branham, you pray for me. I want the baptism of the Holy Ghost. I belong to church. That's true enough. And I've accepted Jesus as my Saviour, but I know I haven't got the Holy Ghost"?
Now, you say, "Well, I believe I got the Holy Ghost." That isn't it. You know when you got the Holy Ghost. You don't get the Holy Ghost with some psychic work-up. The Holy Ghost is a gift of God.
E-102 And to you, my dear Baptist friends, you've been taught that you received the Holy Ghost when you believed. That's a Scriptural error. Acts 19, Paul preaching to a bunch of Baptists. "Baptists?" They were Baptists. They were from John the Baptist.
When he come through the upper coasts of Ephesus, he find certain disciples. And he said unto them, "Have you received the Holy Ghost since ye believed?" They were disciples and followers.
And look, friends, not only that, but they were shouting and praising God and having a great, joyful meeting. Let me tell you. There's where the world's stumbling right now. Look. They was having a great meeting. Apollos had been up there, a lawyer who had been converted and become a Baptist preacher. And he said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
They said, "We not know whether they be any Holy Ghost.'
Said, "How was you baptized?"
Said, "Unto to John."
Said, "John only baptized unto repentance, saying that you should believe on them that was to come and--Him that was to come." And when they heard this they were baptized in the Name of Jesus Christ. Paul laid his hands upon them. The Holy Spirit come upon them. They spoke in tongues and magnified God. Is that right? That's the Scripture.
E-103 I'm re--not responsible for nothing else but to say what God says. Now, you don't receive the Holy Ghost when you believe. You receive the Holy Ghost after you believe. You receive It after you believe. And It's a gift of God. No faith, no nothing else would give It to you. You can't just imagine you got It; you can't just accept It by faith. It's absolutely a work of God that comes down into the heart and makes known the Presence of Jesus Christ.
And when you receive the Holy Ghost, then you believe in all kinds of miracles and signs. And not only do you believe it, but you practice them. "These signs shall follow them that believe. Repent, every one of you and be baptized. Go unto all the world; preach the Gospel. He that believes and is baptized shall be saved. He that believeth not shall be damned. And these signs shall follow them that believe: In My Name they'll cast out devils, speak with new tongues, take up serpents, drink deadly things, lay hands on the sick, and they shall recover." That is a sign of the believer. Believeth thou this? That's what the Bible said, the last words Jesus said when He left the earth.
E-104 Now, if those signs are not following you, then you're just imagining you are a believer. 'Cause Jesus said, "These signs maybe will follow? These signs shall follow," His last words addressed to the church. May God help you while we bow our heads just a moment.
Lord Jesus, flatly, bluntly, old fashion way, without any scholarships, without any string-tied ear marking, in a poor way scattered out, but the Holy Spirit has took those words, and buried them into the hearts of the people out here. There's men and women standing here in this building who knows they're sinners and wants to be saved. They asked me to pray for them, for they've been here in the meeting, and they've watched signs and wonders, great things taking place. And we know that they are believing.
E-105 And I pray, dear Father, that You'll... Right now may they in their humble heart accept You as their Saviour and be saved. There are those in here, Lord, who belong to church. And Thou knowest in my heart, we're not trying to tell them to leave their church. We're only trying to get them in such deep sincerity, till You will pour in the--the oil of Gilead, the balm, and will make them so full of Your Spirit, until they'll be so salty till the other church members will want to be like them, so full of power. When they get sick, they'll call for them to come pray for them.
Oh, God, grant it. And when disputes are in the church, they'll be the ones that sets in the home, and prays, and seeks God until it's all smoothed out, covering it with prayer with a hunger in their hearts to see the church of God move on. God, grant these blessings to the people. We know that soon we're to pass from this life. We've got to give an account for our lives. And I ask You to be merciful to these.
E-106 Now, while we have our heads bowed, I wonder if those who are sinners and would want to accept Christ... Now, every head bowed; every eye closed. Let this be the Holy Spirit and myself. I wonder if you'd just stand up to your feet, say, "Brother Branham, I've been here this week and seen signs and wonders through prayer: of healings, miracles. I've been in the meetings. I've seen these great things happen around the place. The deaf hear; the blind see; the dumb speak. I--I want--I want to accept Christ as my Saviour now."
Would you stand up, just stand to your feet wherever you are? Just say, "I want to make a... Just now say in my heart, God knowing my heart..." Now, after you--you believe that He's there... Now, "My Spirit will not always strive with man." See?
Now, if you believe He's there... Now, it'll be twice as hard for Him to come back again. Now, will you stand, say, "Remember me, Brother Branham. I'm standing now. I'm wanting to accept Christ right now as my Saviour. I want turn my back on sin, and from this day on I'm going to try to serve God." Sinners who doesn't know Christ, would you stand?
E-107 Now, those who have the... Thank you. Those who have the Holy Spirit--want the Holy Spirit, would you stand? Say, "I want to accept the Holy Spirit. Thank you, thank you. That's good. All around both sinners and those seeking the Holy Ghost... All right. I believe God's going to grant it. Any one else seeking the baptism of the Holy Spirit, wants to be remembered in prayer? God bless you, young man. Sinner? That's right. You're a sinner? That's right. God bless you. Just remaining standing, if you will, just a moment.
Now, Lord, don't let a one of them perish, please. You see them; You know them. And I pray that You won't let any of them perish, but may they become acquainted this afternoon with that Jesus Who called Lazarus from the grave. Grant it, Lord, just now. May the Holy Ghost, Who's present and all powerful to do this work, I pray that You'll let Him anoint them just now with great faith that'll bring the results down to their heart. In Jesus Christ Name I ask it.
E-108 Now, while you remain standing... Now, those who are sick stand up and say, "Brother Branham, I need prayer for my body." Now, would you stand, you who are in need of prayer for your sickness? God bless you. What a marvelous time. What an hour. Just remain just a moment.
Brethren, I want you to look over this audience, Brother Vayle, Brother Bosworth, Jimmy. I want you to look over this audience for me. I want you to walk up here with me. Hold your hands towards that audience. (Put your hand... ) Ministers up here, I want you to hold your hands towards that audience. Holy Ghost filled ministers everywhere, hold your hands towards the audience, everywhere.
E-109 Now, I believe I told the truth or an error. I have the Bible here to back up--tell me I told the truth. The Holy Spirit's here. I believe that if each one of you will be sincere in your heart now, you will get just what you ask for.
Now, when Joshua crossed the river of Jordan, they marched around Jericho, and then they let out a shout, the walls of Jericho fell, and they went in and took the city. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
All want this afternoon... You want healing? Let's go in and take it. If you want healing, it's yours. God promised it to you. It's yours. If you want salvation, it's yours. But let's go in ahead and take it.
E-110 Now, its every one in his own way, with our head bowed, every person in here in your own way, let's pray now. And you pray as I pray. Pray to God in your own way.
Now, heavenly Father, the Holy Spirit here present to give to each one of these people the deep desires of their heart. Many of them are here that's wanting salvation. They raised their hands and stood, that they wanted salvation to their souls. I pray, God, that You'll fill each one of them with Thy Holy Spirit, forgiveness of sin, and the baptism of the Holy Spirit.
And I also pray, Lord, for all these sick people, who are standing now. Knowing that they're desperately in need, and must have deliverance now. And we believe that You're here. You've ordained this day; You've ordained us to be here. And through this last eight or ten days, that signs, wonders, and miracles has taken place.
E-111 And now, Lord, may each person here forget about all their differences, and now accept You, just now. May they say, "I don't care what the world says. I don't care whether they call me a holy-roller, whether they call me a religious fanatic. I am now coming to Jesus Christ in the power of His resurrection. And I'm claiming by faith right now my healing, my salvation. And Lord, I'm going to give You praise like they did at Pentecost. I'm going to stand there and praise You, and bless You until You give me what I'm asking for. I now commit it to You, Lord."
And in the Name of Jesus Christ, the Son of God, may the Holy Ghost drive back every power of the devil, and may each person be filled with God's Presence, in Jesus Christ's Name.