Jaïrus Et La Guérison Divine

Date: 54-0216 | La durée est de: 1 heure et 33 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. C’est vraiment un plaisir d’être ici ce soir, et un privilège. Et je vous remercie pour la considération que vous avez pour le jeune homme, mon fils. Il est juste un jeune homme, et il m’accompagne maintenant depuis un temps... L’organisateur est au Canada, monsieur Baxter. Ainsi donc, c’est à peine si je–je sais comment je pourrais... C’est difficile pour moi de m’en tirer sans lui maintenant même. Il est plutôt mon bras droit... il est... mais comme il est juste un enfant, et vous avez tous de la considération pour lui, j’apprécie certainement cela.

            Et un jour, je l’espère, Dieu fera de lui un prédicateur. Et si seulement il s’adonne complètement à Dieu, évidemment, il est juste un enfant. Il est encore adolescent, mais Billy, s’il s’abandonne à Dieu, son ministère dépassera de loin le mien au point que celui-ci ne sera même pas en vue. Billy sera un jeune garçon très spirituel, et l’Esprit du Seigneur est près de lui.

            Un exemple: Nous pouvons être en train de rouler à bord de la voiture sur une route à un endroit que nous n’avons jamais vu auparavant. L’autre jour, il me parlait, disant: «Papa, a-t-il dit, je vois que nous allons prendre un virage d’ici peu, et il y aura une grange peinte en rouge, et une vache de ce côté ici, et des poules à côté...» Cela sera exactement là, ne vous en faites pas. Ça sera exactement là. Et voyez, Cela est très près de lui, la même chose. Si seulement il s’abandonnait à Cela.

            Et puis, nous pouvons avancer un peu plus loin, et je peux dire: «Maintenant, regarde, Paul.» Si vous voyez, c’est la même chose que je vous dis. J’ai dit: «Maintenant, nous serons un homme so-... Sois prêt à freiner, car il va y avoir quelqu’un qui prendra le virage, dans la prochaine ville, et cet homme sera habillé de telle et telle façon, comme cela.» Et il sera là. Voyez? Juste comme...

            Et il dira: «Eh bien, maintenant, papa, c’est... Je vois aussi cela.» Il a dit: «Mais je ne sais que faire.»

            J’ai dit: «Suis seulement ce que le Seigneur dit.» Voyez? Voyez?

            Les dons et les appels sont sans repentir. C’est vrai. Et, évidemment, il arrive des milliers de choses, nous n’avons jamais... je ne mentionne jamais cela. Juste... Il me montre simplement certaines choses, et je vais simplement de l’avant. C’est en ordre. Je suis reconnaissant et je n’en parle pas aux gens. On n’est pas obligé, à moins que cela fasse du bien à quelqu’un ou aide quelqu’un. Si cela ne va pas aider quelqu’un, cela ne fera aucun bien de toute façon, n’est-ce pas? Juste peut-être pour notre propre intérêt... Et il y a beaucoup de choses qu’Il permet d’arriver, dont Il ne dit jamais rien jusqu’à ce qu’elles arrivent. Il ne me montre que ce qu’Il veut me montrer. Voyez? Et ce qu’Il ne veut pas montrer, Il n’est pas obligé de le montrer. Et Il est... C’est ainsi que Dieu s’y prend.

2          C’est juste comme vous pouvez vous coucher ce soir et avoir un songe. Eh bien, vous n’y pouvez rien au fait d’avoir eu un songe. Eh bien alors, demain soir, je peux dire: «Ayez pour moi un songe.» Eh bien, vous ne pourriez pas le faire s’il vous le fallait. Voyez? Il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Mais Celui qui donne des songes, c’est Lui qui peut faire cela. Et Celui qui donne des visions, c’est Lui qui peut le faire.

            Et maintenant, une vision est différente d’un songe, seulement un songe est un... c’est un–c’est un... Eh bien, d’une certaine façon, c’est une sorte de vision, mais vous êtes inconscient. Et un songe, c’est quand votre subconscient... une vision, je pense donc, je ne saurais pas, je ne pense pas que cela se passe dans le même canal, seulement un songe... Dieu traite effectivement parfois avec des gens dans des songes. Il–Il a donné des songes au roi Nebucadnetsar, Il a donné des songes à Joseph et autres. Mais ce n’est pas trop précis à moins qu’il y ait un interprète des songes.

            Et puis, une vision, vous–vous n’avez pas du tout à dormir ; vous êtes simplement debout et vous regardez cela. Cela se déroule juste devant vous, et vous êtes... et vous pensez à une sensation... Vous vous tenez ici même, en train de parler à quelqu’un, et pourtant, en réalité, vous êtes peut-être à vingt ans avant cela, en train d’observer ce qui était arrivé, ce qui s’était passé vingt ans avant cela, quelque chose qu’il avait fait dans la vie. Et peut-être que cela arrivera d’ici peu, peut-être après des années. Je vois cela, ce qu’Il dit ; observez simplement ce qu’Il dit. Et Il vous dira...

3          Maintenant, quand quelqu’un dit: «Eh bien, vous avez fait telle chose, et il y a quelque chose qui cloche, et ceci...», cela ne veut pourtant pas dire que le patient est guéri. Vous L’entendrez parler quand Il dit cela: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», alors notez cela ; voyez ce qui arrive. C’est tout à fait exact.

            Evidemment, avec ça, je n’ai aucun contrôle de ce que je dis à ce sujet, pas du tout. Il n’y a pas de contrôle. C’est quelque chose d’autre. C’est juste... Vous passez simplement d’une dimension à une autre. Cela prend le dessus. C’est Lui–Lui qui parle, pas moi. Puis, quand je–je m’entends parler, quand vous m’entendez parler comme cela, je m’entends moi-même parler. Je peux m’entendre moi-même, pourtant, je suis peut-être debout par exemple à New York City, et sur l’estrade, et je vois quelqu’un qui vient peut-être d’Alton, en Illinois, ici. Eh bien, je le vois dans la rue, peut-être que je peux reconnaître l’endroit. Je dis: «Eh bien, c’est... Vous venez de l’Illinois, d’Alton. J’ai été là une fois.» Et peut-être je vois comment se présente votre situation. Et pourtant, je suis en train de parler, je suis effectivement à Alton, en esprit, mais je suis... je sais que je suis... ma voix se fait entendre à New York. Vous parlez de sensation. Mais ce–ce sont des dons juste comme des gens et d’autres choses que vous faites. C’est le don de Dieu pour les gens. Ce n’est pas pour moi, c’est pour vous. Voyez? Ce n’est pas mon... C’est à vous. C’est pour vous.

4          Et je suis très content d’être dans cette série de réunions ici. J’ai... Votre jeune pasteur ici, l’un d’eux, je le connais, frère Brewer, et certainement que vous avez un groupe de braves prédicateurs assis ici. Je suis très fier de ces hommes qui se tiennent ici devant le public comme une cible pour chaque incroyant, pour dire: «Je crois dans la guérison divine. Je crois dans la puissance de Dieu.» C’est ce pour quoi nous sommes ici. Vous qui êtes par ici sans une église, allez à leur église, adhérez à un tel groupe. Je l’ai fait. Et je–je sais que ça serait bien pour vous de le faire. Des hommes et des femmes qui croient... Si vous êtes guéri, rejoignez alors les gens qui croient dans la guérison divine. C’est vrai. Et je pense que c’est la fine fleur de la moisson. Et ce sont de braves gens. Bien sûr, si j’ai su ce qui se passait là dans l’assistance, c’est que je–je sais s’ils sont de vrais hommes de Dieu ou pas, pendant qu’ils se tiennent derrière moi, si près de moi. C’est donc vraiment un groupe de braves gens.

5          Généralement, parfois, au cours des réunions, je demande à tout le monde de quitter l’estrade, car c’est l’esprit tout autour. Eh bien, je demande cela la première soirée, car je suis conscient de la présence des gens derrière moi. Quand j’ai perçu cette bonne union de foi s’avancer, j’ai simplement dit: «Laissez-les s’asseoir là même, laissez-les s’asseoir là même. C’est en ordre. Cela m’aide.»

            Et si vous le savez tous, cela arrive dans mes réunions, ceci est pratiquement la première fois pour vous de voir donc quelqu’un s’asseoir derrière moi dans une réunion. N’est-ce pas vrai? C’est vrai, parce que le–le... ce n’est pas permis. On les éloigne carrément de l’estrade. Mais ce qui se passe, c’est à cause de cela. Une autre chose, il y a des cas d’épilepsie et tout, ou des gens possédés de démons ; quand ils montent à l’estrade, parfois ils piquent des crises. Voyez? Et si vous manifestez de l’incrédulité là derrière, et que ça agit là-dessus (Oh ! la la !), alors, vous–vous avez une réunion en pièces. Si donc vous les avez seuls ici vous-même, juste avec le Saint-Esprit, vous pourrez mieux maîtriser cela.

            Et Satan sait exactement de quoi vous avez un peu peur, et c’est inutile pour moi de chercher à éviter cela. J’ai juste un peu peur de ces choses, parce que souvent elles me quittent. C’est donc la raison pour laquelle il sait qu’il peut introduire cela par le bluff, s’il le peut. Mais si l’assemblée reste respectueuse quand n’importe quoi se passe, si elle reste respectueuse, et vraiment respectueuse, juste... vous, Dieu aura la situation sous contrôle, vous verrez ce qui arrive alors. Voyez-vous? Tout marchera bien.

6          Il y a quelque temps, j’étais dans une réunion à Jonesboro, dans l’Arkansas. Il y a peut-être ici des gens qui étaient dans cette réunion-là, à ce que je sache. C’est bien près d’ici. Il y avait de grandes foules, le journal avait estimé à vingt-huit mille ceux qui étaient là. Et si le journal a estimé cela, ils étaient tous là. Ainsi, ils s’étaient dispersés partout. Et nous tenions une réunion, un homme est entré là, il était très hostile. C’était un membre d’une église qui ne croyait pas à la guérison divine.

            Il y avait un enfant à l’estrade. La maman avait enroulé un tissu autour d’une pince à linge. Quand il piquait ces crises, eh bien, elle lui enfonçait ce lambeau-là dans... ou la pince à linge dans la bouche pour l’empêcher de mâcher la langue pendant qu’il piquait des crises. Et quand il... Evidemment, quand il s’est approché, il piquait une crise tout le temps. Voyez-vous? Ainsi donc, il a continué, piquant cette crise d’épilepsie. Eh bien, cela donc... J’attendais que cela s’arrête, mais cela ne s’arrêtait simplement pas. J’ai alors demandé à tout le monde dans l’assistance d’incliner la tête. Et de cette façon, peu importe ce que les gens pensent... Beaucoup de gens pensent: «Eh bien, j’ai la foi.» Ils peuvent croire cela de tout leur coeur, et jusqu’à un point, ils ont la foi, ici, la connaissance. Mais voyez-vous, la foi est quelque chose de différent de cela. C’est la connaissance de la foi, mais la foi est une chose certaine.

7          C’est comme par exemple un homme qui va outre-mer. Je vais arrêter ici juste une minute. Nous allons outre-mer à bord d’un navire. Eh bien, l’homme qui gouverne en fait le navire descend au fond du navire, le technicien. Mais il reçoit des instructions de celui qui est au-dessus, sur le pont. Eh bien, et si celui-ci donne des instructions: «Deux noeuds à gauche», et que l’homme en bas dans le... ici tourne deux noeuds à droite? Il dit: «Tout droit devant», et l’homme ici en bas, dans le navire, recule. Mais, voyez, ils doivent évoluer en harmonie. Voyez? Il vous le faut, sinon le navire n’avancera jamais.

            Eh bien, maintenant, beaucoup de gens ont l’espérance et ils appellent cela la foi. Mais maintenant, quand Dieu dit une certaine chose, et que vous dites une certaine... la même chose, et qu’ici en bas, c’est la même chose qui se dit, quelque chose va arriver (Voyez-vous?), quand tout cela évolue ensemble. Mais alors, le navire avancera. La cargaison suivra. Mais il vous faut être en parfaite harmonie avec la volonté de Dieu, la Parole de Dieu. Votre subconscient, votre véritable... votre première conscience avec l’Esprit de Dieu, tout cela évoluant ensemble, et tout dégage simplement la voie, alors vous avancez... Vous devez le faire.

8          Et puis, parfois, quand les gens... ils peuvent s’asseoir et regarder, observer. Evidemment, dans une assistance de cette taille, peut-être deux mille personnes ou plus, mais dans le... s’il y avait un... Il doit y en avoir beaucoup, peu importe combien nous pensons que tout le monde est cent pour cent d’accord, mais il doit y en avoir quelques-uns qui ne le sont pas. Ils... Et ils regardent de ce côté, et d’autres se poseront des questions dans leur coeur, ils se poseront des questions simplement dans le subconscient. Eh bien, c’est ce que je détecte ici. C’est ce que vous êtes... Voyez? Et vous pensez: «Eh bien, je–je–je me demande ce qui se passe. Ce que... Comment cet homme fait-il cela? Que–que s’est-il passé?»

            Eh bien, juste pendant que vous faites cela, cela arrive simplement comme ceci, faisant... [Frère Branham souffle dans le microphone.–N.D.E.] contre vous comme cela. Voyez? Et vous pouvez sentir cela.

            Vous dites: «Frère Branham, c’est de la psychologie.»

            Eh bien, si c’est cela, Jésus s’en est servi. C’est vrai. Il... Quand Il est entré dans la maison où était la fille de Jaïrus, tous pleuraient, faisaient des histoires. Il a fait sortir tout le monde de la maison. Est-ce vrai? Un jour, un groupe de gens discutaient, Il a pris un homme, Il l’a fait sortir de la ville, seul, l’éloignant de cela. Pierre, quand il est allé ressusciter Dorcas, il s’est agenouillé dans une pièce et a prié. Il a fait sortir toutes les veuves qui faisaient des histoires comme cela, il s’est donc retrouvé seul avec elle. Est-ce vrai? Voyez? Voyez? Non... Voyez?

            L’oeil, c’est la porte de l’âme. Cinq sens, et l’oeil dirige pratiquement les autres. Regardez ça. C’est depuis longtemps que l’Eglise catholique connaît cela, quand ils ont érigé des statuettes et autres là-dedans, la psychologie en voyant, la vue. Et la personne regardera ; il dira: «Je me pose des questions.» Et vous sentez cela.

            Et je leur ai demandé d’incliner la tête ; vous avez souvent entendu cela. En effet, quand ils le font, alors ils–ils ne regardent pas ; ce n’est pas mal.

9          Dans ce cas-ci, ce petit garçon piquait des crises, je cherchais à ce que la crise s’arrête chez l’enfant. J’aborderai cela en détails une autre fois, concernant la puissance pour amener cela à s’accomplir, ici même. Voyez? Ainsi donc... Mais maintenant, quant à savoir si cela reste ou pas, cela dépend de la foi de la personne. Mais alors, devant l’assistance, pendant que cela se passait, je n’arrivais pas à faire partir la crise de cet enfant ; et je–j’ai demandé à tout le monde d’incliner la tête. J’ai continué à avoir des sensations ; c’était la sensation la plus étrange, c’était là au fond ; il y avait juste un petit groupe de gens assis là, ils ne voulaient pas incliner la tête. Eh bien, je continuais à demander si le... J’ai dit: «Veuillez tous incliner la tête, s’il vous plaît», comme cela, et personne... Je suis allé de l’avant et tout le monde avait la tête inclinée. Directement, j’ai dit à l’homme là derrière, j’ai dit: «Monsieur, il vous faudra incliner la tête, vous et vos gens là.» Il est resté simplement assis, les yeux levés, l’air on dirait hostile.

            Et alors, l’un des huissiers est parti discrètement là derrière et lui a parlé ; il a dit: «Ceci est une réunion publique. J’ai autant de droit ici même que n’importe qui d’autre. Je n’ai pas à incliner la tête.» Alors, le huissier est revenu discrètement et il m’en a parlé.

            J’ai dit: «Eh bien, monsieur, si c’était votre enfant, vous inclineriez la tête, car vous aimeriez qu’il soit guéri.» J’ai dit: «La petite créature, on–on n’avait pas de médicament contre... Les médecins ne peuvent pas soigner un épileptique.» Et j’ai dit: «C’est un esprit. Ils ne... quand il va attaquer cela. C’est un démon.» Et j’ai dit: «Vous...» Il est simplement resté comme cela. J’ai dit: «Maintenant, regardez, monsieur, ça vous regarde.» Voyez? J’ai dit: «Ô Dieu, ne laisse pas ce pauvre petit enfant innocent être obligé de souffrir à cause du péché de cet homme-là.» Et j’ai encore dit, j’ai dit: «Mon Père céleste, veux-tu faire partir cet esprit de cet enfant et le laisser vivre?» Et j’ai dit: «Satan, sors. Et tu es libre.» Et quand il a quitté l’homme, vingt-huit personnes sont tombées d’épilepsie par terre, là même où c’était.

10        Des sièges... se sont mis à courir là dans la salle, tournoyant et tout comme cela, et une telle... des gens criant. On n’arrivait donc pas à les calmer pendant quelques minutes. Puis, quand le calme est revenu, à ce que je sache, toute l’équipe souffre encore de l’épilepsie. Voyez?

            Vous voyez donc, vous ne traitez pas avec... Vous ne faites pas la religion. Voyez? C’est... Une fois, un homme a vu Paul chasser les esprits d’épilepsie, il est donc allé demander à un homme qui souffrait d’épilepsie, il a dit: «Nous t’ordonnons par Jésus que Paul prêche, sors.»

            Et le démon a dit à l’homme...?... Il a dit: «Je connais Jésus et je connais Paul, mais toi, qui es-tu?» Et alors, l’homme possédé de l’esprit s’est emparé de lui, l’a déshabillé, il a fui nu dans les rues. Est-ce vrai? Voyez? Il... C’était appelé un démon en ce temps-là ; il est appelé l’épilepsie aujourd’hui. C’est toujours un démon, toujours un démon. C’est vrai. C’est pareil pour toutes les autres maladies: des démons, des tourmenteurs...

11        On adopte le nom cancer. Qu’est-ce? C’est un terme médical qui vient du mot crabe, des pattes. Jésus l’aurait appelé un démon. Si vous voulez comprendre ce que c’est, le cancer vient d’un germe. C’est pareil pour vous, vous êtes venu d’un germe. Autrefois vous étiez un petit germe. Vous êtes venu à un... Un germe, c’est quoi? C’est une toute petite cellule. Qu’y a-t-il au-delà de cette cellule-là? C’est une vie. Vous êtes alors dans un domaine surnaturel. Puis, cela commence à développer des cellules, tout selon son espèce: le chien, le chien ; un oiseau, un oiseau ; un humain, un humain ; chaque semence selon son espèce. Cela continue à développer des cellules jusqu’à ce que vous en arriviez là où vous êtes maintenant. Et alors, cela devient un cancer dans votre corps, une tumeur, ou une cataracte, ou quelque chose comme cela. Qu’est-ce? C’est un autre germe qui développe des cellules. Il n’a pas de forme, il va simplement se répandre. Il n’y a rien derrière cela, c’est le démon. Il se déclare, se répand, il couvre l’oeil, il entre... Alors, il se met à vous sucer le sang. Et, rappelez-vous, ce cancer-là, en développant des cellules à l’intérieur, grandit juste comme vous, vous avez grandi dans le sein de votre mère. Eh bien, d’où est-il venu? Il n’était pas là au commencement. C’est une autre vie dans votre vie. C’est un autre corps dans votre corps. Et vous ne pouvez pas me dire que c’est le Bienveillant Père céleste qui a fait cela. Cette vie-là ne peut pas venir de Dieu. C’est une mauvaise vie pour ôter la vie que Dieu vous a donnée. Donc, ce n’est pas la Vie de Dieu. C’est le démon.

12        Or, je ne traite pas avec cette masse. Je traite avec l’esprit qui est dans cette grosseur, ce morceau de chair. Eh bien, une fois l’esprit chassé, l’esprit quitte cela.

            Combien de chasseurs, de chasseurs de biches, y a-t-il ici présents? Faites voir les mains. Combien de bouchers y a-t-il ici présents? Faites voir les mains. Y a-t-il quelqu’un qui ait déjà tué un animal, et qui sait que c’est la vérité? Quand vous tuez n’importe quoi, vous êtes un chasseur... Etes-vous... ou–ou un entrepreneur de pompes funèbres, un corps humain... A la mort, tout se rétrécit pendant environ soixante-douze heures. Et puis, cela se met à gonfler, ça gonfle plus qu’auparavant. Regardez un petit chien écrasé dans la rue. Laissez-le rester là sous le soleil accablant pendant quelques jours et observez ce qui se passe. Il gonfle plus qu’il était auparavant, il enfle.

            Or, le patient, une fois l’esprit impur sorti d’un homme, quand il est chassé par la guérison divine, les puissances de Dieu, quand l’esprit impur est sorti, le patient se sent mieux et se réjouit. Et pendant environ soixante-douze heures, je donne un avertissement sur cette chose, il commencera à se sentir mal, il retombe malade. Eh bien, assurément qu’il doit se sentir ainsi. Il dira: «Eh bien, vous savez, je m’étais très bien senti, mais je pense que j’ai simplement perdu ma guérison.» C’est ainsi qu’on la perd. C’est vrai.

            «L’esprit impur, a dit Jésus, quand il sort d’un homme, il va dans des lieux arides, et il revient avec sept autres démons.» Est-ce vrai? Si le maître de la maison n’est pas là pour protéger cette maison-là... Et le maître de la maison, c’est votre foi ; s’il n’est pas là pour le contrecarrer, il entrera, il entrera par la force. Alors, la–la vie, autant la puissance de la foi avait fait partir le démon, la vie de cela, autant votre incrédulité restaurera de nouveau cela. Jésus n’a-t-Il pas dit: «Va et...» Ne fais plus quoi? Voudriez-vous tous dire cela ensemble? «Va et...» Ne fais plus quoi? [L’assemblée dit: «Ne pèche plus.»–N.D.E.]

13        Eh bien, le péché, c’est quoi? Voyez? Boire du whisky, ce n’est pas ça ; fumer la cigarette, commettre un adultère, ce n’est pas le péché. Ce ne sont que des attributs du péché. Vous faites cela, parce que vous êtes des pécheurs. C’est ce que votre vie produit. Fumer... C’est juste comme je le disais ce soir dehors: «Combien ceci est bon, toute la chose est bonne.» Et vous êtes un pécheur parce que vous ne croyez pas. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Vous êtes un pécheur, parce que vous ne croyez pas. Et quand... C’est ce qui vous fait faire ces choses, c’est parce que vous ne croyez pas, et pourtant vous confessez croire. Cela devrait amener tous les prédicateurs de la sainteté à dire amen. Et c’est un calviniste qui le dit. Très bien.

            Mais de toute façon, ce que le... quand vous... on reconnaît votre vie par le fruit que vous portez. Et si vous faites simplement ces choses, et que vous pensez qu’il n’y a pas de mal à ça, c’est parce que les choses ne sont pas en ordre ici en bas. Voyez? Vous faites cela parce que vous êtes un incroyant.

            Maintenant, je sais que les baptistes seront en désaccord là-dessus. Mais écoutez, frère, on reconnaît un arbre par les fruits qu’il porte. Jésus a dit: «C’est à leur fruit que vous les reconnaîtrez.»

14        Or, si la vie qui est ici à l’intérieur, c’est la foi de Dieu, et cela vient de Dieu, cela ne peut que produire la vie chrétienne. C’est tout. Vous ne pouvez pas faire pousser une épine sur un... faire pousser des pommes sur un arbre à épines. Quel que soit l’arbre, qu’il soit revêtu de l’écorce de sycomore, qu’il paraisse comme un sycomore, s’il porte des pommes, c’est un pommier. En effet, la vie qui est à l’intérieur, c’est la vie d’un pommier, aussi porte-t-il des pommes. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Cela ne fait aucune différence qu’on soit baptistes, méthodistes, presbytériens, gens du Plein Evangile, pentecôtistes, et que sais-je encore, nazaréens ; si vous portez les fruits de l’Esprit, vous avez en vous la Vie. Voyez? Voyez?

15        Maintenant, on reconnaît la vie par ce qui est à l’intérieur. Eh bien, si cet esprit impur est sorti, et que leur vie qui est ici à l’intérieur, c’est la foi: «Va et ne pèche plus (C’est-à-dire, ne doute plus), sinon une chose pire...» Certainement, sept autres viendront avec lui, et ils entreront par force et occuperont cela. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Donc, quand vous venez à l’estrade à n’importe quel moment, ici, venez avec un seul but. Si vous ne croyez pas, si vous ne croyez pas que ceci vient de Dieu, tenez-vous loin de l’estrade. Tenez-vous loin d’ici. Voyez? Très bien. Et si vous–si vous croyez effectivement, faites donc exactement ce qui vous est ordonné. Allez directement de l’avant et croyez, parce que cela est soutenu par la Parole de Dieu. Voyez? Et vous êtes tenu de recevoir cela.

16        Un petit témoignage au sujet de la persévérance... Et j’espère ne pas prendre trop de votre temps. Il y avait un... récemment, ils étaient dans une réunion. J’ai raconté cela plusieurs fois. Je m’y réfère toujours, car cela me semble vraiment très bon, ou agréable: Voir cette femme venir avec le trouble d’estomac. Et quand je lui ai parlé, Cela a dit, avant qu’on sache ce que je disais... Et tout le monde pleurait ; je me suis demandé ce que c’était. J’ai saisi cela sur le magnétophone, sur les enregistrements, pour voir ce qui faisait cela, et Cela avait dit... Le Saint-Esprit avait parlé clairement, disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, mangez ce que vous voulez, vous êtes guérie.» Et la femme est partie en se réjouissant.

            Et une femme plus loin là dans la ligne, la même nuit, avait une grosseur au cou, ressortie comme ça. Et Il a dit la même chose à celle-ci: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Et Il lui a dit ce qu’elle avait fait, l’une ou l’autre chose ; et elle allait faire des restitutions pour ce qu’elle avait fait. De toute façon, elle était guérie.

17        Mais une femme est rentrée à la maison, elle a cherché à obéir à ce que la Voix du Seigneur avait dit: manger. Et la pauvre créature, elle a essayé de manger, mais elle vomissait, et elle... l’estomac lui brûlait ; elle a essayé d’avaler cela par force. Cela ne faisait que... des semaines se sont écoulées, et elle était toujours tout–tout aussi en mauvais état qu’auparavant, si pas dans un état pire. Eh bien, elle a simplement continué à croire. Et les gens de son quartier ont commencé à se moquer d’elle, disant: «Eh bien, cette femme-là, ce prédicateur-là l’a rendue folle.»

            Eh bien, ce n’était pas moi qui lui avais dit cela. C’était Lui. Ainsi, elle s’est simplement accrochée à cela. Alors, un matin, quand sa famille était partie, l’estomac lui brûlait et ça lui faisait très mal. Trois ou quatre semaines plus tard, elle a eu très faim pendant qu’elle faisait la vaisselle, elle a donc pris un morceau de pain grillé et l’a mangé. D’habitude, cela, elle le vomissait directement. Et elle s’est mise à manger du pain grillé, c’était très bon ; elle a donc gardé cela à l’estomac. Et une chose qui lui faisait mal, c’était l’avoine. Et l’un des enfants avait laissé de l’avoine dans l’assiette, a-t-elle dit, et elle s’est donc tapée quelques bouchées de cette avoine. Et cela ne l’a point dérangée. Elle a aussi pris une tasse de café, et c’était aussi très bien. Elle a attendu quelques minutes, elle a dit: «La sensation la plus drôle...» Et elle s’est beaucoup réjouie, elle a couru annoncer à sa voisine, au bas de la rue (C’était la dame qui avait la grosseur au cou), lui dire, eh bien, qu’elle était... juste ce qu’elle ressentait.

            Elle est descendue en courant, elle a entendu quelqu’un crier dans la maison ; elle a ouvert la porte, elle est entrée en courant ; la femme criait, parcourait toute la pièce. La grosseur venait de quitter son cou.

18        Ainsi donc, elle est venue à la réunion, toutes les deux, elles sont venues à la réunion, là où nous étions. Et elle a dit à mon frère, elle a demandé à ce sujet, elle m’a écrit une note ; elle voulait venir auprès de nous, alors l’organisateur est venu, il m’a posé la question. Eh bien, j’ai dit: «Voyez, quand une bénédiction est proclamée par Dieu, c’est juste comme la Parole de Dieu au sujet du Millénium, et tout le reste, cela doit s’accomplir.» Voyez?

            Eh bien, ce qui est arrivé... Dieu ne répond peut-être pas instantanément. Je crois que Daniel pria, et il s’écoula environ vingt et un jours avant que l’ange... C’était vrai, n’est-ce pas? Vingt et un jours plus tard, l’ange arriva auprès de lui? Mais ce qui était arrivé, c’est que quand l’Ange du Seigneur avait proclamé cela, des semaines s’étaient passées, deux ou trois semaines. C’était Lui qui passait dans ce quartier-là confirmer la Parole (Voyez?) qui avait déjà été proclamée par Dieu. Voyez? Juste...

            Et si cette femme-là, durant ce temps, s’était associée à quelques critiqueurs et des incroyants, pour dire: «Voyez, il n’y a rien à cela», eh bien, il se serait accumulé beaucoup d’incrédulité là... Voyez-vous ce que je veux dire? Juste comme n’importe quoi d’autre dans la Parole de Dieu, il faut la même chose. Ayez donc foi en Dieu. Que le Seigneur vous bénisse maintenant.

19        Et maintenant, il y a des mouchoirs déposés ici pour qu’on prie dessus. J’aimerais faire ceci maintenant. Eh bien, beaucoup sont... des gens pensent que c’est de la superstition, mais c’est l’Ecriture. Oui. C’est–c’est l’Ecriture. Maintenant, vous pouvez vous demander pourquoi un mouchoir... Eh bien, beaucoup parmi vous, les frères, oignent les mouchoirs. Eh bien, c’est en ordre. C’est bien magnifique. Voyez? Tout ce que Dieu bénira, nous sommes tout à fait pour cela, n’est-ce pas? Tout ce que Dieu fera... Mais dans les Ecritures, si vous remarquez... Maintenant, abordons-en le moindre détail. Si vous dites: «Je ne crois pas cela, Frère Branham», c’est en ordre de toute façon. Voyez? Et nous allons faire le... Nous ne vous sous-estimons pas du tout.

            Mais si vous observez les Ecritures, Paul n’oignait jamais ces mouchoirs-là. On les retirait après que cela avait touché son corps: Actes 19. Eh bien, là où je pense qu’il a tiré cela, c’est quand la femme sunamite avait perdu son enfant, qu’elle est allée auprès du prophète Elie. Elie a envoyé Guéhazi avec un bâton dans sa main pour le poser sur l’enfant. Il savait que ce qu’il touchait était béni par Dieu. Voyez? Et il l’a fait.

            Maintenant, l’onction est là. Si seulement j’avais un peu de temps pour aborder cela... Voyez? Mais maintenant, je... Nous avons prié sur les mouchoirs et nous les envoyons comme mémoriaux. J’en envoie des centaines et des centaines par semaine, et je pense–je pense que j’envoie plus de mille mouchoirs par semaine depuis un bureau, à Jeffersonville. Et des témoignages, nous avons une petite maison construite là-bas, un petit hangar, c’est plein de témoignages et autres.

20        Il y a quelque temps, je viens de m’en souvenir, on en a envoyé un–un à une femme en Allemagne, qui était estropiée suite à l’arthrite. On est parti prendre–prendre l’épingle, on le lui a mis sur son sous-vêtement. Elle a confessé tous ses péchés et autres. Elle a dit: «Maintenant, démon, sors de la maison du Seigneur.» Elle s’est levée d’un bond et s’en est allée en marchant. C’était terminé. Voyez? Son témoignage a été si fort à Luxembourg que je m’en vais maintenant à Luxembourg pour une réunion, à Luxembourg, l’Allemagne, le 5, puis monter à Frankfort. Puis...

            Eh bien, il y a juste... N’abandonnez pas. Continuez simplement à croire.

            Et maintenant, avant de commencer la suite du service, pouvons-nous incliner la tête juste un instant pour prier pour ces mouchoirs? J’aimerais que chaque chrétien ici présent concentre son coeur sur les malades et les nécessiteux que ces mouchoirs représentent. Allez directement de l’avant, frère...?...

21        Très Bienveillant et Tendre Père, nous nous souvenons maintenant du grand saint Paul dans la Bible. On prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps, on les appliquait sur les malades, et les mauvais esprits quittaient les malades, ils étaient guéris des maladies. Or, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus, Celui qui opérait la guérison. Et maintenant, Père, ces mouchoirs montrent peut-être qu’une vieille femme ou un pauvre vieux papa, un petit enfant quelque part, malade et affligé, attendent le retour de ces mouchoirs. Glorieux Père céleste, baisse le regard avec miséricorde ce soir et guéris chacun de ceux-ci. Tu les vois. Et nous Te prions de nous accorder ces bénédictions. Nous ne savons comment Te demander, comment rimer notre prière ; nous savons que cela n’a rien à faire avec la chose. C’est Ton commandement divin d’accomplir ces choses. C’est que nous puissions croire cela dans notre coeur, et je crois.

            Et maintenant, la Bible nous dit, un des écrivains a dit que quand Israël est sorti de l’Egypte et qu’il était en route vers la Terre promise, la mer Rouge leur barrait le chemin. Et Dieu a regardé en bas au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés, la mer Rouge a eu peur et a reculé, et Israël à traversé à sec.

            Et maintenant, Père, puisses-Tu regarder ce soir ces mouchoirs et les accompagner auprès des malades et des nécessiteux. Et quand ils seront placés sur les nécessiteux, les malades et les affligés, puisses-Tu regarder en bas cette maladie-là avec des yeux courroucés, en tonnant depuis le Calvaire ; et que cette maladie ait peur et recule. Que les patients recouvrent la bonne santé et entrent dans la promesse de Dieu. Accorde-le, Père. Nous leur envoyons ces mouchoirs, au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, Jésus-Christ, à cette fin-ci. Amen.

22        J’étais... Maintenant, dans Saint Luc, chapitre 8, lire un verset, puis juste quelques commentaires. Hier soir, j’étais un peu en retard ; je vais donc essayer d’être vraiment à temps ce soir, si possible.

            Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée.

            Notre passage des Ecritures de ce soir concerne un homme désespéré, poussé à bout, un homme du nom de Jaïrus. C’était dans le... en plein milieu du ministère de notre Rédempteur et Sauveur béni, quand Il était ici sur terre. Il passait beaucoup de temps en prière. Il allait dans des montagnes et priait. Et un jour, avant cela, Il avait traversé une mer, jusque là de l’autre côté d’une mer houleuse, pour aider une seule personne. Il était allé à Gadara aider là-bas un fou qui était lié aux sépulcres. Il avait traversé une mer houleuse pour aider un seul homme en difficulté, car une seule âme Le réclamait. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est venu de la Gloire ce soir, Il est venu de Son... avec Sa puissance pour rétablir une seule personne de cette terre ce soir, aider une seule personne. Et je pense qu’Il sera là chaque jour, des milliers à travers le monde, là où de grandes campagnes se tiennent maintenant, à la fin de la dispensation des Gentils. Puisse-t-Il venir ce soir.

23        Nous pensons à Jaïrus. Je pense que c’était un petit homme gentil. Souvent, nous jugeons les gens par leurs actes, et parfois nous ne jugeons pas le coeur.

            Vous savez, j’ai souvent pensé qu’au fin fond il y a l’esprit d’un homme ; ensuite, il y a l’âme ; ensuite, il y a son esprit ; et puis, sa chair. Très bien. Satan ne tente pas ici au fond, il tente ici dans la chair. Par exemple, vous descendez la rue demain, vous marchez en chantant des cantiques chrétiens, et quelqu’un dit: «Vous savez, elle (ou il) n’est qu’un hypocrite (parlant de vous) ; il n’y a rien...» Eh bien, tout d’un coup, votre chair saisit cela par l’oreille, elle suggère à l’esprit: «Venge-toi de lui.» Le temps que cela passe ici au fond, Cela dit, ceci ici au fond dit: «‘A Moi la vengeance, dit l’Eternel. A Moi la rétribution.’» Voyez? C’est ça.

            Donc, Satan tente ici dehors. Voyez-vous? Il ne descend pas ici en bas, car ici, c’est immortel. Voyez? C’est la chair qu’il tente.

            Un jeune homme descend la rue, un jeune homme chrétien ; une jeune fille passe, habillée de façon immorale. L’oeil perçoit cela, la chair suggère un mal à l’esprit. Puis, le temps que cela passe à l’esprit, ça passe à l’âme, la nature est bonne... L’âme de l’homme, c’est la nature de l’Esprit, évidemment. Ainsi donc, alors que l’âme perçoit là, l’esprit dit cependant: «Celui qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur.» Le jeune homme détourne la tête et s’en va. Voyez? C’est ici en bas que ça doit se passer, pas ici dehors. Ça doit se passer en bas, dans votre coeur ; c’est de là que ça vient, là où–là où Dieu habite.

24        Alors, le petit Jaïrus, je m’imagine qu’au fond de son coeur il croyait au Seigneur. Mais ce qu’il avait, il s’était joint à un groupe d’incroyants. Savez-vous qu’il y a beaucoup de gens comme cela ce soir? Ils croient, ils aimeraient être ici même dans cette réunion ce soir, mais ils ont leur nom dans des registres, qui ne croient pas ceci. Voyez-vous? Ce sont donc des croyants en secret.

            Et Jaïrus... Vous savez, un tel homme, tôt ou tard, Dieu amènera cela à une confrontation, je pense. Alors, Jaïrus allait probablement avec le sacrificateur et ils disaient: «Celui qui va à ces campagnes de guérison peut simplement retirer sa carte de membre et partir.» En effet, il ne pourra plus être membre de la synagogue. Voyez? Il devait sortir. Ainsi donc, il–il ne pouvait pas croire en ce fanatique, parce qu’Il n’enseignait pas comme leurs séminaires enseignaient, et tout, ainsi... Mais Il avait en fait la Parole du Seigneur. Et Il avait un mouvement spirituel. Dieu, chaque fois...

25        Là où est Dieu, vous verrez des esprits surnaturels. Je demande à n’importe qui, n’importe quel érudit de la Bible, d’examiner la–l’histoire et de voir si jamais il y a eu un mouvement de Dieu dans le monde, en n’importe quel moment, dans lequel Dieu était, s’il y en a eu sans phénomènes surnaturels, des guérisons divines, et les puissances de Dieu rendues manifestes, partout. Ne trouvez donc pas étrange aujourd’hui si ces choses arrivent. C’est juste le mouvement du Seigneur. C’est tout. C’est juste le Seigneur en action. Et Dieu agit par Son Esprit.

            Et dans l’Ancien Testament (Quel beau type !, dans l’Ancien Testament, il y avait la Colonne de Feu qui se suspendait au-dessus des enfants d’Israël. Les sacrificateurs surveillaient cela, et chaque fois que la Colonne de Feu se déplaçait, les trompettes retentissaient, ils... Israël transportait le camp et partait. Ils suivaient la Colonne de Feu. Et peu importe le temps, à minuit, la journée, au milieu du jour, à dix-sept heures, n’importe quand que c’était, dès que la Colonne de Feu se déplaçait, le peuple se déplaçait avec le Feu.

            Un très beau type d’aujourd’hui, que le... Après mille cinq cents ans d’âges de ténèbres, il y eut un homme du nom de Martin Luther qui avait vu la Colonne de Feu: «Le juste vivra par la foi.» Ils sont partis. Ils sont sortis du catholicisme pour entrer... Le tout début de l’Eglise protestante, sa naissance, ça a commencé avec Martin Luther. Eh bien, Martin Luther a continué jusqu’à ce qu’il eût tellement organisé son église. Luther est mort, beaucoup d’autres de ses disciples étaient morts, et finalement, on a corrompu tout cela.

            Dieu ne restera alors pas là. La Colonne de Feu s’est donc encore déplacée. Mais quand Elle a commencé à se déplacer pour entrer dans un autre réveil surnaturel, eh bien, Luther n’a pas pu voir cela, parce qu’il s’était organisé, et il avait ses propres règlements et tout établis, l’Eglise luthérienne, et ils n’ont simplement pas pu se déplacer avec Ça. Mais un petit homme du nom de John Wesley, George Whitefield et les autres, ils ont vu la Colonne de Feu, ils se sont déplacés avec Elle. Et le grand réveil méthodiste a balayé le monde. Luther est donc resté inerte.

26        Très bien. Et puis, les wesleyens, ils avaient eu un grand réveil, la guérison divine et les puissances de Dieu. Récemment, je me tenais, quand j’étais parti là-bas en Angleterre, quand j’étais au... après la guérison du roi George, quand j’avais prié pour lui à cause de la sclérose en plaques. Et puis, on nous a amenés là à la maison de Wesley. Je me suis agenouillé dans la chambre et j’ai prié, j’ai porté son manteau, je suis monté à sa chaire, et je me suis tenu là où il–il a beaucoup prêché. Un homme honorable. Quel grand homme c’était, et son grand réveil...

            Ainsi donc, je pense, peu après, après le départ de John Wesley, d’Asbury, de Whitefield, et de beaucoup de ces gens, après leur mort, quelques générations après, juste comme c’était à l’époque des apôtres, la chose suivante alors, vous savez, eh bien, les méthodistes ont commencé à se refroidir. Ils ont commencé à se faire des rites, des sectes et tout, à devenir raides, établis. Et, vous savez, la Colonne de Feu a commencé à partir. C’est vrai.

            Et des gens appelés des pentecôtistes ont vu Cela, le baptême du Saint-Esprit. Ils sont partis, laissant simplement les méthodistes au bord. Alors, ils sont partis, ils ont eu un réveil qui a balayé le monde entier. C’est vrai. Mais le côté triste, c’est que, vous savez, la Pentecôte devient pratiquement comme les autres maintenant, une fois de plus. Voyez? C’est vrai. C’est vrai. Mais vous savez, l’Esprit de Dieu continue à se déplacer. La Colonne de Feu avance malgré tout, et tous ces gens...

27        Et si vous remarquez bien, c’est un très beau type dans l’Ancien Testament, sans m’écarter de mon sujet. Je vous prie de me pardonner. Mais Moïse était un type de l’église. Et remarquez aujourd’hui, l’église fait ce que Moïse avait fait. Moïse s’était glorifié devant les gens plutôt que de glorifier le Seigneur. Est-ce vrai? Et il ne lui a pas été permis d’amener les gens de l’autre côté. Et c’est ce que l’église fait aujourd’hui. Les gens disent: «Eh bien, je suis membre de telle organisation. Je suis membre de ceci.» Et la dénomination cherche à voir si elle peut dépasser l’autre. Et les méthodistes cherchent à dépasser les baptistes ; les baptistes, les presbytériens, comme cela, au point qu’on en est arrivé à se glorifier plutôt que de laisser Dieu entrer dans les gens et–et se glorifier dans les gens. N’est-ce pas la vérité? Mais avez-vous remarqué qu’il y avait un homme, du nom de Josué, qui les avait suivis jusqu’au bout? Il était bien avec eux tout le temps. C’est lui qui les a fait traverser. Est-ce vrai? Alors, cette grande puissance de Dieu qui agissait dans chaque réveil est la chose même qui fera traverser l’Eglise. Tout aussi certainement que deux fois deux font quatre, Cela les fera traverser de l’autre côté du Jourdain, dans l’autre pays. Il y a beaucoup de croyants tout au long. Nous en avons toujours eu.

28        Et reprenons notre histoire, pendant un moment. Le petit Jaïrus, il était un adhérant là. Et quel... Un temps arriva où il éprouva le besoin d’aller voir Jésus. Seulement son église lui disait: «Eh bien, si tu y vas, évidemment, tu vas être excommunié.» Et c’était lui le chef de la synagogue, le pasteur, peut-être. Et il ne pouvait pas faire cela. Mais un jour, sa fillette tomba malade.

            Alors, on fit venir le médecin, je suppose, comme tous le feraient pratiquement. Le médecin vint, et voici il essaya sur l’enfant toutes ces cures qu’il avait, et l’état de l’enfant ne s’améliora pas. Eh bien, je m’imagine que, voyant les cures du médecin échouer, je m’imagine que le petit Jaïrus, au fond de son coeur, a commencé à penser: «Je me demande où est Jésus. S’il m’arrive d’être obligé de Le voir, vous savez...»

            Vous savez, c’est pratiquement ainsi qu’il nous faut attendre jusqu’à être poussé là-dedans, vous savez. Ainsi donc, peu après, la–la fillette, l’heure fatale arriva. Le médecin s’en alla en disant: «Eh bien, il n’y a plus rien qui puisse être fait, Jaïrus ; ta fille va mourir. Il lui reste juste quelques minutes à vivre, et elle doit mourir.» Le glas sonna.

            Eh bien, il doit mettre en action ce qu’il a comme foi. Et c’est pareil maintenant. Il nous faut prendre ce que nous avons comme foi et la mettre en action. Il nous faut faire quelque chose à ce sujet maintenant même. L’heure est arrivée où il nous faut agir.

            Alors, il a dit: «Eh bien...» Il s’est demandé où était Jésus. Je m’imagine que je peux l’entendre mentionner cela à quelqu’un.

            Je peux entendre les membres de sa famille dire: «Eh bien, Jaïrus, ne sois pas tout agité ici maintenant. (Voyez?) En cette heure si cruciale, là, si tu te mets à chercher ce fanatique, ce Guérisseur divin, par ici, eh bien, nous allons simplement devoir... Au prochain conseil général, nous allons simplement devoir t’excommunier. C’est tout ce qu’il y a. C’est tout ce qu’il y a. Si tu vas croire de telles histoires comme cela, eh bien, nous allons devoir t’excommunier. A la prochaine réunion des hommes d’affaires, nous allons voter pour ta révocation et prendre un nouveau pasteur.»

29        Mais Jaïrus avait besoin de quelque chose, il... Au fond de son coeur, il savait que Jéhovah était toujours vivant. Est-ce vrai? Ainsi donc, tout d’un coup, vous savez, eh bien, le... Je ne voulais pas dire cela. Il m’est arrivé de dire cela un peu à un moment inopportun, je pense. Je pense que c’est ainsi qu’on appelle les réunions des Assemblées de Dieu, n’est-ce pas? Eh bien, je ne voulais pas le dire exclusivement pour eux, je veux dire le... Eux tous, partout: Les baptistes, les méthodistes, ou je ne sais comment vous les appelez... La conférence aura alors à t’excommunier. Donc, je sais pourquoi j’ai dit: «Conseil général», je n’ai pas... En effet, les Assemblées de Dieu croient dans la guérison divine. Eh bien... je ne voulais pas dire cela. En fait, je voulais dire si n’importe quelle réunion, où que ce fût, vous savez, quelle que fût la conférence, cela avait à l’excommunier.

            Et parce qu’il n’avait pas... qu’ils ne voulaient pas voir ce genre d’histoire se répandre parmi eux, avec ces fanatiques qui criaient, hurlaient, poussaient des cris, pleuraient, sautillaient, croyant dans la guérison divine, et toutes ces choses. Ils n’en voulaient pas. Ils étaient trop pieux et trop empreints de dignité. Oh ! la la ! L’Esprit de Dieu n’a pas de classe (Voyez?), pas de classe.

            Ils voulaient donc tous leurs sermons de quinze minutes ; puis, il nous faut rentrer tôt à la maison. Et ils ne voulaient pas l’un de ces gars qui...

            Vous savez que c’est le genre de–de personne que le monde réclame aujourd’hui. Ils disent: «Donnez-nous un bon mélangeur à la prochaine réunion. Nous voulons quelqu’un qui peut bien associer les choses, et qui croit dans un petit verre amical ou une petite partie de cartes de temps à autre.» Mais Dieu ne veut pas de mélangeurs. Il veut des séparateurs. Il a dit: «Séparez-Moi Paul et Barnabas.» Oui, oui. Séparez-vous. Sortez du milieu d’eux. Dieu réclame les séparateurs, pas les mélangeurs.

30        Et... alors... mais Jaïrus... Je peux me le représenter maintenant, il est obligé de partir. L’heure a sonné ; il doit mettre sa foi en action. Alors, quelqu’un doit être venu lui parler, disant: «Jésus arrive.»

            Et Le voici traverser la mer, ramant, Lui et Ses disciples. Eh bien, je peux bien le voir tenir son petit manteau, le jeter sur son épaule et descendre la rue à toute vitesse. Je peux entendre quelqu’un dire: «Eh bien, je me demande où il va maintenant.»

            Je peux voir certaines autorités de l’église le rattraper et dire: «Regarde donc, Jaïrus, si ton médecin a dit qu’il n’y a rien qui puisse être fait pour l’enfant, eh bien, vas-tu perdre du temps à côté d’un fanatique? Ça ne fera que jeter la disgrâce.»

            Mais au fond du coeur de Jaïrus, il y avait une petite étincelle quelque part qui disait: «Si jamais je peux arriver auprès de Lui, si la femme sunamite a pu Le trouver, si Lazare a pu être ressuscité d’entre les morts, il y a quelque chose au fond de mon coeur qui me dit que si jamais je peux donc arriver auprès de Jésus, c’est tout ce que j’ai à faire.» Très bien. Il est descendu dans la rue.

31        Eh bien, pendant que les pêcheurs fatigués accostaient, de grandes foules regardaient. Je vois une petite femme assise sur une colline en train de tricoter, vous savez. Elle avait souffert d’une perte de sang depuis des années, elle avait fait des dépenses, ayant vendu la ferme, et tout le reste, elle avait payé les médecins. Ceux-ci avaient fait tout leur possible, mais elle n’avait pas pu être guérie. Et elle disait: «Si c’est Lui, si seulement j’arrive à toucher Son vêtement, je serai guérie.» La voici venir. Je peux la voir se frayer son chemin au milieu de la foule. Des gens se tiennent là, disant: «Les jours des miracles sont passés. Eh bien, tu seras chassée de la synagogue.» Elle s’est faufilée droit au milieu d’eux. Voyez.

            Je peux voir ces gens-là debout, disant: «Eh bien, il n’y a plus de miracles depuis que Moïse était sur terre. Ces choses là, nous pouvons les expliquer par les Ecritures.»

            Elle rampe droit entre leurs pieds et va droit de l’avant. Elle essaie de son mieux. De toute façon, ça ne change rien. Elle cherche à atteindre Jésus. Pourquoi? Sa foi lui disait que si elle arrivait à toucher Son vêtement, c’est tout ce dont elle avait besoin. C’est tout. Et la pauvre petite femme malade, faible et frêle avait saigné comme cela pendant pratiquement dix-huit ans ; vous savez combien elle était faible. Elle a dû ramper un moment et foncer un moment. Elle se relevait pour voir où elle était, et elle repartait. Et peu après, tous cherchaient à L’étreindre et tout, vous savez, de diverses manières. Mais elle a touché Son vêtement.

            Il a dit: «Dites donc, qui M’a touché?» Il s’est retourné. Eh bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous pouvez Le toucher ce soir. Il s’est retourné. Il a parcouru l’assistance du regard, Il a dit: «Quelqu’un a fait quelque chose ici.» Il a dit: «Toi, ta foi t’a guérie.» Oh ! la la ! Oh ! la la ! C’est là mon Seigneur. C’est Lui. C’est Lui ici maintenant. «Ta foi t’a guérie. Tu as souffert d’une perte de sang toutes ces années, mais ta foi s’en est occupée.» Oh ! la la ! Elle s’est prosternée devant Lui en tremblant. Il a continué.

32        Voici venir un homme. La coutume, à l’époque ancienne, c’était de se mettre de la cendre sur la tête en cas de tristesse, en cas de message triste. Il avait de la cendre entassée sur la tête, et le voici venir en courant très vite, comme cela. Il dit: «Jaïrus, Jaïrus [Frère Branham halète.–N.D.E.], ne dérange pas le Maître. Ta fille est déjà morte ; nous l’avons déjà exposée.»

            Et le pauvre petit homme, je peux bien me représenter son petit coeur rater un battement. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] «Elle est morte.»

            Je peux voir Jésus tourner Son regard vers lui et dire: «N’aie pas peur. Crois seulement. C’est tout.»

            Quand il a entendu cette Parole-là, il a de nouveau regardé ; son petit coeur a repris à battre régulièrement. Ses lèvres sont revenues à l’état normal, il a couru de nouveau, tremblant, regardant longtemps. Jésus a posé le regard sur lui, vous savez: «Crois seulement. C’est tout ce que Je te demande de faire. Crois seulement.»

33        Ils ont continué à marcher. Ils sont arrivés à la maison. Les gens... Il a dit: «Maintenant, pourquoi toutes ces histoires par ici, a-t-Il dit, tous ces cris, ces pleurs, tout ce qui se passe?» Il a dit: «Elle n’est pas morte ; elle dort.»

            Et ils ont dit: «Avez-vous entendu ce que ce fanatique a dit? Alors que nous l’avons embaumée et exposée là, et... ‘Elle n’est pas morte, mais elle dort.’» Oh ! N’est-ce pas vraiment... Oh ! Je vous assure, on devrait Le chasser du pays.

            Il est entré dans la maison où tout cela se passait. Comment pouvait-Il faire quoi que ce soit là où était toute cette espèce d’incrédulité? Il a dit: «Vous tous, dehors.» Il les a fait sortir de la maison. «Allez-vous-en, vous tous.» Il s’est demandé qui avait la foi. Il a dit: «Pierre, Jacques et Jean (Oh ! Espérance, foi et charité), venez ici.» C’est ce qu’il Lui fallait avoir. Il les a fait entrer.

34        Jaïrus avait un peu de foi, il a parlé à sa femme, et elle aussi a eu un peu de foi. Ils se sont donc embrassés, se faisant passer le bras l’un autour de l’autre. Et Il a dit: «Entrez maintenant.»

            Il s’est avancé là. Et tous les autres, de l’autre côté du mur, c’était l’incrédulité. Il fut donc si rempli de puissance par l’Esprit qu’Il a pu parler en langues. Il a donc tenu la jeune fille par la main et a dit: «Tabitha...» Et là loin dans le monde des esprits, là où son petit esprit était, ce dernier est revenu. Elle a commencé à serrer Sa main, Il l’a relevée, Il a dit: «Maintenant, donnez-lui quelque chose à manger, a-t-Il dit ; elle est un peu faible.» Oh ! la la ! Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement...?...

35        Et il nous faut nous retrouver dans ce genre d’atmosphère. Créez... Chacun de vous est un créateur. Saviez-vous cela? Chacun de vous, qui est né de nouveau, est un créateur. Nous devons créer une atmosphère comme je le disais l’autre soir.

            Parfois, quand je suis chez moi à la maison, ma femme est tout... des va-et-vient de gens, et cela se passe simplement tout le temps... Je rentre, ma femme se tient là en train de s’essuyer les yeux en pleurant, elle dit: «Bill, les enfants n’ont pas eu de quoi mettre sous la dent aujourd’hui ; la maison est bondée et pleine.» La petite Sara là, ma petite de deux ans, était assise là en train de pleurer. Rebecca revenait de l’école. Eh bien, ma femme, toute nerveuse, avait cette atmosphère-là. Voyez? C’est ce qui se passe. Eh bien, je ne lui parle pas. Elle n’est pas ici ce soir, elle ne sait donc pas cela.

            J’entre donc et je dis: «Eh bien, je t’assure, chérie, c’est vrai.» J’ai dit: «Oh ! Je dois de temps à autre revenir à la maison, tu sais.» Mais je dis: «Chérie», vous savez, pour la calmer un peu. Alors, moi, dans mon coeur, je dis: «Seigneur, je donne mon amour de Dieu à ma femme. Maintenant, Seigneur, aide-moi ici même ; j’ai besoin de Ton Esprit. Or, Satan aimerait nous rendre tout confus, mais je–j’aimerais que Tu m’aides.» Et je dis: «Dis donc, chérie, je vais–je vais t’aider à faire la vaisselle.» Et je–je m’y mets, et je dis: «Commence simplement avec les enfants, comme dire quelque chose là.» Et je me tiens là tout le temps en prière: «Maintenant, Seigneur, envoie Ton Saint-Esprit ; je sais que Cela les calme maintenant même. Et j’envoie cela dans cette maison, ma maison, au Nom de Ton Fils Jésus.»

            Tout d’un coup, vous savez, la femme dit: «Je vais...» Elle s’intéresse à parler de quelque chose. L’enfant prend le jeu des cubes, elle se met à jouer là, et elle va de l’avant. Tout est terminé. Voyez? Voyez?

36        C’est l’atmosphère. Vous devez vous en éloigner. (Voyez?), de cette vieille confusion: «Oh ! Vais-je être...» Vous avez peur. C’est ça le problème. Vous serez en train de frire votre viande un matin pour le petit-déjeuner et–et, tout à coup, vous savez, vous êtes rempli du Saint-Esprit. Eh bien, je vais vous choquer un peu. Ça ne vous dérange pas, n’est-ce pas? Très bien. Par exemple, la viande est en train de frire et, tout d’un coup, la graisse vous saute sur la main. Eh bien, si seulement vous vous en débarrassez d’une secousse et que vous continuez à frire la viande, cela ne vous dérangera pas. Eh bien, je sais que vous n’avez pas bien saisi cela. Regardez. La première chose: «Oh ! Où est l’Ungantene?» Quelque chose... Vous voyez, vous vous tenez la main. Voyez? Voyez? Ça vous effraye à mort. C’est ce qui est à la base. C’est la peur.

            Pierre marchait sur l’eau, il marchait très bien jusqu’à ce qu’il ait vu les vagues dans le sens contraire, et il eut peur. Jésus a dit: «Pourquoi as-tu eu peur?» C’est ça le problème avec les gens qui ont le Saint-Esprit aujourd’hui. Ils ont beaucoup peur.

37        Le diable essaie simplement de vous effrayer avec quelque chose. Il essaie de placer quelque chose dans le futur, ailleurs, disant: «Un de ces jours, vous serez ceci.» Vous l’êtes maintenant. Maintenant, nous sommes des fils de Dieu. Maintenant, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes. Maintenant, nous avons toutes les puissances au ciel et sur la terre. Voyez? Maintenant, nous avons cela. Pas dans le Millénium, nous n’en aurons pas besoin en ce moment-là. Nous avons cela maintenant. Nous sommes... Maintenant même, nous sommes des fils de Dieu. «Ce que nous serons n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous serons semblables à Lui.»

            Ce que vous êtes ici est un reflet de ce que vous êtes quelque part ailleurs. «Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés.» Est-ce vrai? «Ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.» Déjà dans la Présence du Père, nous avons un corps glorifié. Ouf ! C’est profond, n’est-ce pas? Très bien. Nous allons voir si c’est vrai ou pas. «Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons déjà une qui attend.» Est-ce vrai? C’est vrai. Ainsi maintenant même, et ce que nous sommes là, c’est le reflet. Ici, ce que nous sommes ici, c’est un reflet de ce que nous sommes quelque part ailleurs. Si donc vos oeuvres sont mauvaises, vous savez d’où cela vient. Vous savez là où attend votre autre corps.

38        Or, vous parlez de cette huile sur la main? Eh bien, un jour, Paul... le Seigneur avait dit à Paul qu’il devait aller comparaître devant César, ils ont connu un naufrage avec le navire là-bas. Et le Seigneur lui a donné une vision, Il lui a annoncé ce qui arriverait. Quatorze jours et quatorze nuits, sans étoiles, sans lune, ni rien, cela n’a pas inquiété Paul, car il savait ce que le Seigneur avait dit. Il a dit: «J’ai eu une vision hier soir. Un Homme s’est tenu à côté de moi, Il m’a dit que j’allais comparaître devant César.» Et il a dit: «J’ai vu en vision que le navire connaîtrait un naufrage sur une certaine île. Mais, a-t-il dit, il n’y aura pas de perte de vie humaine.» Il a dit: «Le Seigneur me l’a déjà annoncé.» Il a dit: «Prenons bon courage.» Je peux voir ce petit Juif agiter ses mains et crier à tue-tête. Le navire tanguait de toutes ses forces. Cela ne le dérangeait pas ; il savait ce que le Seigneur avait dit. Voyez-vous?

            Alors, quand ils ont atteint le rivage, une forte tempête a éclaté là, et la pluie, il faisait froid. Paul ramassait des morceaux de bois et il–il en jetait dans le feu. Alors, un gros serpent dangereux l’a saisi juste à la main. Eh bien, cela ne l’a jamais effrayé. Il l’a regardé comme cela, tellement plein du Saint-Esprit, tout son être intérieur vraiment chargé de la puissance de Dieu ; il l’a regardé, il l’a secoué, le jetant dans le feu, et il a dit: «Je dois comparaître devant César. Pourquoi me déranges-tu, comme cela?» Et il est allé de l’avant. Cela ne l’a pas dérangé. Voyez? Cela ne lui a pas du tout fait peur.

39        J’aimerais vous poser une question. M’aimez-vous? Je vais vous dire un petit quelque chose. Je n’avais jamais dit cela devant une assistance. Que penserez-vous de quelqu’un qui, une fois, était en train de faire une patrouille ou qui parcourait un champ, et un grand taureau furieux le pourchassait, très meurtrier? Cet homme ne l’avait jamais vu jusqu’au moment où il était juste sur lui. Et le taureau a enfoncé ses cornes dans la terre, de très longues cornes, il a foncé droit vers un grand...?... Il s’est approché de très près, et cet homme, c’était un homme avec le Saint-Esprit. Et il savait donc qu’il n’y avait pas d’arbre où fuir ; il n’y avait pas de clôture où aller ; que pouviez-vous faire? Mais tout d’un coup, quelque chose s’est passé. Il a dit: «Maintenant, taureau, tu ne peux pas me faire du mal, car je suis serviteur de Dieu.» Voyez? «Le Dieu qui t’a créé, c’est le Créateur. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, va là te coucher sous l’arbre.» Et sans aucune peur. Et le taureau a couru, à environ cinq pieds [1,52 m] ou dix pieds [3 m], et s’est arrêté. Il a regardé de ce côté-ci, et de ce côté-là, et il était tout épuisé et il est allé se coucher sous l’arbre. L’homme a poursuivi son chemin.

            Pouvez-vous croire cela? Eh bien, c’est de toute façon la vérité. Eh bien, ce n’est pas plus que le fait que le Seigneur avait jeté Da-... Daniel avait été jeté dans la fosse aux lions. Les lions se sont mis à rôder, Daniel leur a simplement tourné le dos, il a dit: «Seigneur, si Tu...», comme cela, et les lions s’approchaient et reculaient ; ils se sont éloignés sur... et se sont couchés, étendus.

40        L’été dernier, ma cour avait vraiment besoin d’être tondue ; je n’arrivais pas à trouver quelqu’un pour la tondre. Je passais un peu de vacances à la maison, et je me suis mis... Pendant deux semaines, je ne quittais pas la cour de devant, avec une tondeuse à faible puissance. Je mettais mes salopettes et je me mettais à tondre la cour, et tout d’un coup, vous savez, cette tondeuse à faible puissance, quelqu’un arrivait. Je contournais discrètement derrière changer mes habits, j’entrais rapidement prier pour lui, et puis, je changeais encore des habits et je sortais...

            Ça faisait pratiquement deux semaines ; l’herbe avait poussé derrière moi. On dirait... Alors, j’étais passé derrière la maison, personne ne me voyait là, et j’avais enlevé...

            Je portais juste la salopette et le... en chaussures. J’avais enlevé la chemise. Il faisait très chaud, et j’étais en train de tondre. J’avais oublié qu’il y avait un petit nid d’hirondelles, que j’avais là, et il y avait un tas de frelons là-dedans. Alors, j’ai cogné contre ce mur de clôture et (Oh ! la la !) j’étais couvert de frelons en quelques minutes. Juste... Je n’avais rien sur moi ici. Et les frelons... Je–j’ai dit: «Maintenant, petits frelons, je vous aime. Je n’aimerais pas que vous me piquiez. J’aimerais que vous retourniez droit à votre nid, à votre place. En effet, je suis serviteur de Dieu et je prie pour les malades ; et cette herbe est en train de pousser, j’aimerais que vous vous éloigniez de moi. Et je n’ai pas peur de vous maintenant, car je n’ai pas de temps à perdre avec vous. Retournez directement dans le nid.» Je leur ai simplement parlé comme cela.

            J’ai donc continué à tondre, et Dieu est mon Juge, je vais vous le dire, tous les frelons se sont mis en ligne comme cela, ils sont directement retournés dans le nid tout aussi merveilleusement qu’ils le pouvaient. C’est vrai.

41        Je peux vous dire quelque chose concernant la guérison divine, du même genre. Voyez? Il vous faut parler à ces choses. Voyez? «Tout ce que vous direz, croyez que vous l’avez reçu.» Voyez? C’est la puissance, c’est l’onction ; toute peur tombe, ça disparaît.

            Il est passé une fois à côté d’un arbre, Il a dit: «Que plus personne ne mange de toi désormais.» Il s’en est allé, se dirigeant vers Jérusalem cette nuit-là, Il est retourné le lendemain, et vers onze heures, ils passaient par là, Pierre a dit: «Dis donc, regarde cet arbre-là. Eh bien, il a séché depuis les racines.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

42        Et une fois chez Jaïrus, Il a vu cette jeune fille-là, et c’est pourquoi Il avait peut-être traversé la rue là. Mais la femme qui toucha Son vêtement, Il lui a dit: «Ta foi t’a guérie.» Voyez? Mais pour la fille de Jaïrus, Il est allé vers elle. Il a dit: «Ne t’ai-Je pas dit de ne pas avoir peur, de croire simplement?» Or, Il est le même Jésus ce soir, et puisse-t-Il vous bénir, pendant que nous prions.

43        Père, nous Te remercions pour ces merveilleuses histoires de la Bible sur Ton Cher Fils. Quand Il était ici sur terre, Il nous a donné un exemple de ce qu’Il est. Et ce qu’Il était hier, Il l’est aujourd’hui, et Il le sera éternellement. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est l’Evangile: «Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

            Et, Père, aujourd’hui que les enseignants cherchent à dire: «C’était uniquement pour ces gens... Tu as Toi-même dit que cela devrait être pour le monde entier. Et l’Evangile n’est pas encore allé dans le monde entier. Les signes accompagnent les croyants tant que le monde subsiste. Maintenant, Père, je Te prie ce soir de nous bénir encore par Ta Présence. Et Tu ne prétendais pas tout connaître. Tu as dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

44        Maintenant, Père, je Te prie, au Nom de Jésus, de venir circoncire chaque coeur dans la salle. Que nous puissions nous débarrasser de toute peur, partout, et laisser Christ, le Fils de Dieu, prendre le dessus dans notre vie maintenant même. Le laisser penser à notre place. Le laisser parler à notre place, et nous obéirons.

            Et maintenant, quant à Ton serviteur ici, Père, je Te prie de m’aider. Aide Tes serviteurs que voici, qui sont assis ici à l’estrade, ces prédicateurs. Ô Dieu, révolutionne leur ministère. Fais d’eux, Seigneur, des tisons pour avancer avec un grand ministère puissant. Et dans leurs églises, que leurs églises soient reconstruites et en arrivent même, ô Seigneur, à ajouter encore de l’espace. Accorde-le, Seigneur.

            Que beaucoup de ces pauvres enfants qui errent, qui s’égarent, qui vagabondent dans le monde ce soir, sans église où se sentir chez soi, Seigneur, accorde qu’ils se rendent compte de leur erreur et qu’ils viennent à la maison du Dieu vivant. Aide-nous maintenant, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

45        Que Jésus vous bénisse tous merveilleusement. Il y a ici devant moi ce soir ces gens. J’aimerais certainement être en mesure de... j’aurais voulu avoir chacun de vous, de la sorte je pouvais juste descendre, m’asseoir, vous parler un petit moment, m’asseoir simplement en privé et vous parler. Je suis sûr qu’on ne ferait que peu de temps et le Seigneur me dira ce qu’il en est, le cas.

            Par exemple, si je disais: «Eh bien, voici un... peut-être voici un homme assis ici derrière, il est paralysé. Laissez-moi le prendre.» Au même moment, je serais seulement capable de lui dire ce que le Seigneur m’a dit. Mais peut-être cet homme pourra mener une vie normale, je veux dire (avoir) une durée de vie normale. Mais peut-être qu’il y a un homme assis, souffrant du coeur. Et s’il n’obtient rien, il va mourir tout de suite. Il y a un homme qui souffre du cancer ; il est rongé. Il doit recevoir de l’assistance de la part de Dieu, sinon il meurt. Voyez? Que vais-je donc faire? Tout ce que je peux faire, c’est ce qu’Il me dit. C’est vrai.

46        Et maintenant, voici le... mon message pour vous chrétiens et tous: Ce que Jésus était jadis, Il l’est maintenant. Ainsi donc, quand Jésus-Christ était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un grand Guérisseur. Il ne prétendait pas du tout guérir. Combien savent que ceci est la vérité? Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, mais c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Oh ! Le Saint-Esprit était en Jésus. Est-ce vrai? La Bible déclare: «Jésus de Nazareth, que Dieu a oint du Saint-Esprit pour aller çà et là faire du bien.» Ainsi donc, si le Saint-Esprit était en Jésus et qu’Il a promis que les oeuvres qu’Il avait faites, l’Eglise les ferait aussi... Voyez?

            Ainsi donc, Il a dit... Or, quand Il est passé à côté de tous ces estropiés et autres à la piscine de Béthesda, Il a dit... Il a guéri un seul homme qui était couché sur un grabat, Il s’en est allé, laissant les autres. En effet, Il savait où il était et Il connaissait sa maladie. C’est ce que le Père Lui avait montré. Puis, les Juifs ont L’interrogé ; Lui, Il a répondu: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

            Voyez-vous ce que je veux dire? Ça n’a donc jamais été question, même pas pour le Fils de Dieu, d’aller de son propre gré dire: «Ceci est ça. Ceci est cela.» Et ça ne le sera jamais. Tout doit se passer sous le contrôle de Dieu.

47        J’aimerais vous poser une question. J’aimerais en arriver à sentir que je suis dans le vrai (Voyez?) et percevoir l’atmosphère qui règne dans la réunion. Par exemple, une centaine d’années... Il y a deux cents ans, on ne savait pas ce qu’était l’électricité. Mais Dieu nous a donné l’électricité. Nous découvrons que le monde entier est plein d’électricité. Cela est ici depuis que le monde existe. Est-ce vrai?

            Maintenant, écoutez attentivement. Eh bien, et si je me tenais ici dans un champ vraiment sombre, sachant qu’il y a de l’électricité tout autour de moi (Maintenant, écoutez attentivement.) et que je criais à tue-tête: «Ô grande électricité. Oh ! Je sais que tu es ici. Il y a des preuves scientifiques que tu es ici. Eclaire, grande électricité, et montre-moi comment quitter cet endroit sombre.» Pensez-vous qu’elle le ferait? Absolument pas. Et pourtant, je suis tout couvert d’électricité. Est-ce vrai?

            Maintenant, beaucoup parmi vous ici, il y a ici un jeune homme dans un fauteuil roulant, des cas de brancards, et un petit enfant hydrocéphale, des maladies de coeur, des troubles d’estomac, et tout le reste, ils sont assis par ici ; vous êtes juste à un endroit sombre, n’est-ce pas? Or, tous les cris que vous poussez à Dieu, ce n’est pas ça. Vous...

48        L’électricité éclairera, si vous travaillez selon la loi de l’électricité. Est-ce vrai? Si vous aviez un puits artésien sur ce flanc de la colline, faisant jaillir des milliers de gallons d’eau par minute, et que sur cet autre flanc de la colline, d’une autre colline, vous aviez des produits de champ qui se consument, qui ont besoin de cette eau-là, eh bien, peu importe combien vous avez crié à l’eau: «Déverse-toi sur cette colline et arrose les produits de ce champ», cela ne se fera jamais. Mais si vous travaillez selon la gravitation et que vous canalisez cette eau-là sur la colline, elle arrosera les produits de champ. Est-ce vrai? Mais il vous faut travailler selon la loi de la gravitation.

            Eh bien, maintenant, si Dieu est ici dans toute cette salle maintenant même... Croyez-vous cela? Nous sommes tous conscients, nous sommes... J’aurais bien voulu... Vous ne pouvez pas apporter tout cela en une soirée. Voyez-vous? Vous êtes conscients que Dieu est ici. Eh bien, tout ce que nous pouvons faire, c’est travailler selon la loi de Dieu pour notre guérison. Est-ce vrai? Quelle est la loi de Dieu? Son amour. «L’amour parfait bannit toute crainte.» L’amour et la foi, c’est la même chose. Voyez? L’amour, l’amour parfait bannit toute crainte, ça donne la foi. Voyez-vous?

49        Eh bien, si seulement vous aimez Dieu de tout votre coeur, et si vous avez fait quelque chose à votre voisin ou à quelqu’un, dites simplement dans votre coeur maintenant: «Je les aime aussi.» Voyez? «Et j’aime Dieu de tout mon coeur, et j’ai... Frère Branham, je vous ai critiqué un peu, mais je vous aime de toute façon.» Voyez? Très bien. Maintenant, laissez simplement cela arriver comme cela, et ayez simplement toute cette atmosphère d’amour ici à l’intérieur, ensuite observez la loi de Dieu se mettre à agir juste sur cela. Voyez? C’est–c’est comme cela que c’est... Tout comme cela avait amené les frelons à retourner, cela avait arrêté le taureau dans le champ et, oh ! la la ! des choses que je pourrais vous raconter...

            Dans ce livre... Ce soir-là, quand le fou a couru à l’estrade pour me tuer... Vous en avez entendu parler, n’est-ce pas? C’est ici même dans le livre. Qu’est-ce qui a fait cela? Vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez quand vous faites cela. En Afrique, quand les sorciers étaient venus par douzaines lancer le défi, je les ai vus se tenir là, les yeux troubles, faire demi-tour et s’en aller...?... Ils font des enchantements, ils peuvent faire qu’une corde s’immobilise en l’air, faire s’entrechoquer les os et accomplir toutes sortes de choses, même changer l’eau en sang, et tout le reste, juste devant vous. Puis, voir la puissance de Jésus-Christ faire simplement disparaître cette chose comme cela et les lier au point qu’ils sont simplement condamnés et s’éloignent. Il est ici. C’est vrai. Maintenant, ayons foi, croyons de tout notre coeur.

50        Billy, où es-tu? Quel était... De quel numéro à quel numéro? 1 à 50. Eh bien, je pense que ceci est un... Voyons, nous avons eu la première et la dernière parties. Prenons-en donc le milieu ce soir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Cela avait... L’instit-... biblique Moody... avait envoyé un petit quatuor chanter pour lui, ils avaient tiré les rideaux aux fenêtres dans la pièce. Il avait un sens d’humour, vous savez, il s’est retourné et a demandé: «Dites donc, qui se meurt ici, moi ou vous?» Il a dit: «Tirez ces rideaux et chantez-moi de très bons cantiques de l’Evangile, pleins d’entrain.» Dès qu’ils se sont mis à chanter des cantiques, il a dit: «Où est Luc?» C’était son frère. Luc était dans une pièce voisine, alors on a fait venir Luc. Il a tendu sa main tremblante, il a saisi Luc. Ils avaient voyagé ensemble comme Billy et moi, frère Baxter et les autres. Il a dit: «Luc, nous venons de loin ensemble, n’est-ce pas?»

            Luc a dit: «Oui, Paul.»

            Il a dit: «Mais penses-y, dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice. Penses-y.» Il a rendu l’âme et il est mort. Il n’est point mort, il est allé pour rester avec Jésus. Voyez? C’est lui le compositeur de ce cantique:

Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.

51        Qui vous en manque-t-il? 50? La carte de prière numéro 50 n’est pas là. La carte de prière numéro 50, K-50, il y en a une qui manque. La carte de prière K-50, est-elle dans la salle? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Soeur, j’aimerais que vous soyez dans la foi maintenant. Voyez? Je viens d’être attiré vers cet enfant-là ce soir, depuis que je suis ici, cet enfant hydro...?... Maintenant, je ne sais pas ce qu’Il dira. Voyez? Evidemment, je vois que c’est un enfant hydrocéphale, n’est-ce pas? Je ne sais pas ce qu’Il dira, mais je–je crois qu’Il peut parler à l’enfant ce soir. Je prie qu’Il le fasse. Maintenant, que le Seigneur l’accorde.

            Et vous tous ici sur des civières, des brancards et autres, ayez foi. Croyez simplement maintenant. Nous allons croire que Dieu nous accordera quelque chose ce soir. Eh bien, nous avons été aux réunions ; nous avons parlé de l’Evangile ; nous avons crié ; nous avons tapé les mains ; nous avons pratiquement tout fait sur la ligne de la religion. Mais un jour, les disciples qui revenaient d’Emmaüs avaient reconnu qu’Il était là, par la façon dont Il avait accompli quelque chose (Est-ce vrai?), que c’était Lui. Je prie ce soir qu’Il fasse ce soir quelque chose, qui nous amènera à reconnaître.

52        Maintenant, si Jésus se tenait ici dans ce costume, et que cette femme se tenait aussi ici, eh bien, que pensez-vous qu’Il ferait premièrement? Eh bien, Il ne pourrait pas la guérir, car Il l’a déjà fait. Voyez-vous? Il l’a fait quand Il est mort au Calvaire. Combien croient cela? Faites voir les mains. C’est l’Ecriture. «Par Ses meurtrissures, nous avons été (au passé) guéris.» Et chaque personne dans le monde, ses péchés lui ont été pardonnés quand Jésus est mort au Calvaire, mais cela ne vous fera jamais aucun bien à moins de l’accepter. Est-ce vrai? Il est l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde. «C’est accompli, a-t-Il dit, au Calvaire.» Suivez. «Il a été blessé (a été, au passé) blessé pour nos péchés ; brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est déjà fait. Aux yeux de Dieu, tout est terminé.

            Maintenant, aussitôt que nous acceptons cela, nous en tirons des dividendes. Voyez? C’est comme un chéquier qui porte Son Nom signé au bas de chaque chèque ; remplissez simplement cela, envoyez-le. Voyez si le Père ne reconnaîtra pas le Nom de Son Fils. Voyez?

53        Mais maintenant, que peut-Il faire dans ce cas-ci? Il parlerait probablement un petit moment à la femme. Il découvrirait, peut-être, quelque chose qui cloche. Eh bien, s’Il est ici ce soir, Il fera... Il peut faire la même chose, n’est-ce pas?

            Maintenant, combien là dans l’assistance n’ont pas de cartes de prière et aimeraient être guéris? Faites voir les mains. Levez les mains partout, afin que j’aie une idée générale de là où vous êtes. Très bien. Maintenant, regardez de ce côté-ci et priez. Si vous remarquez bien, chaque soir, il y a davantage de gens qui sont guéris là dans l’assistance. N’importe où, peu importe où vous êtes, continuez simplement à prier, croyant ; Dieu l’accordera.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit dans cette salle sous mon contrôle.

54        Maintenant, madame, j’aimerais que vous veniez ici juste une minute. J’aimerais vous parler, juste en vue... juste comme notre Maître avait parlé à la femme au puits, la Samaritaine. Avez-vous déjà lu cette histoire-là? Comme vous êtes ma première personne à venir ce soir, vous parler... La raison pour laquelle je fais venir les gens ici, c’est que premièrement, quand l’onction me frappe, alors je–je dois être à mesure d’isoler... Voyez, je... cela donc... Ça ne sert à rien d’essayer d’expliquer cela, mais cela afflue de partout. Voyez? C’est la foi des gens, ils croient. Et chaque personne en prière, cette prière forme simplement on dirait un canal. Voyez? Et c’est juste... Si donc je peux vous rapprocher de moi, de sorte que je peux un peu me remettre dans la bonne voie (Voyez-vous?), alors Cela commence à parcourir l’assistance, partout. Ils ont pris... et ça revient. Voyez-vous? Comprenez-vous ce que je veux dire?

            Maintenant, un jour, notre Maître était assis à un puits, et Il a parlé à une femme qui était venue puiser de l’eau. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Et elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que Tu demandes... Toi, un Juif, Tu me demandes à moi, une Samaritaine, pareille chose.» Elle a dit: «Nous n’avons pas de relation.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

55        Eh bien, j’ai mon idée de ce que je pense qu’Il faisait. Je pense qu’Il... Elle–elle était un être humain. Elle avait des esprits. Et Il cherchait à contacter son esprit (Voyez?), dans le monde des esprits.

            Eh bien, c’est la même chose, par Son Esprit, que je cherche à faire pour vous, contacter votre vie.

            Or, si j’étais... C’est–c’est un don de Dieu. Maintenant, cela... il n’y a rien que j’aie fait pour mériter cela. Quand je n’avais qu’environ trois minutes dans le monde, Il est entré dans la pièce, Il s’est tenu là où j’étais. Voyez? C’est sans repentir, les dons et les appels. Mais qu’est-ce que cela fait? Cela me rend-il plus que–que le contrebandier qui vient de se convertir il y a quelques minutes? Non. Voyez? Pas du tout. Nous sommes tous juste des serviteurs de Dieu, ensemble. Nous sommes tous les mêmes. Mais nous essayons de travailler pour Lui. Voyez-vous ce que je veux dire? Et tout cela est en Dieu ; et il n’y a rien que quelqu’un puisse faire à part Dieu seul. Jésus-Christ par le... Son Fils...

56        Si je pouvais vous guérir et que je ne le faisais pas, je serais une brute. Je serais une personne horrible. Mais je ne pourrais pas le faire. Mais par un don divin, je peux vous aider à avoir assez de foi pour être guéri (Voyez-vous?), par un don divin, qui m’a été donné, qui est venu de Dieu. Et votre guérison vient de Dieu. Votre foi vient de Dieu ; Dieu est donc tout et en tout. Tout cela doit venir de Dieu. Comprenez-vous?

            Je ne vous connais pas, je ne sais rien sur vous, je ne vous ai jamais vue de ma vie, et c’est peut-être notre première rencontre. Est-ce vrai? C’est vrai. Eh bien alors, si le Seigneur Jésus, en parlant à la femme, s’Il avait découvert quel était son problème... Il y est allé tout droit, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.»

57        Maintenant, s’Il est aujourd’hui le même qu’Il était autrefois, Il nous a promis que la même chose qu’Il faisait, nous le ferions aussi... Sa Présence étant donc ici, Il peut me révéler juste où est votre maladie, comme Il avait su où était son problème à elle. Est-ce vrai? Il peut le faire.

            S’Il le faisait, accepteriez-vous votre guérison? Ou tout ce qui vous... Je ne sais pas si c’est la guérison, ou quoi, ce dont vous avez besoin, mais accepterez-vous cela? L’accepteriez-vous comme une bénédiction de la part de Dieu? Vous accepterez.

            Puisse-t-Il l’accorder, soeur. Oui. C’est un... Vous êtes très énervée. Vous avez été agitée au sujet de quelque chose. C’est un... Vous êtes une... Vous–vous souffrez de... c’est une maladie d’estomac. Il y a quelque chose qui cloche dans l’estomac. Et c’est très... Il y a quelque chose d’autre qui cloche. Je vous vois. Exact. Non, Il dit que c’est un colon en l’air... c’est dans le colon. C’est une affection de colon. Vous–vous redoutez le cancer. Bénissez-Le maintenant. Est-ce vrai, madame? Etait-ce vrai? Votre estomac, et je ne sais quoi c’était. Est-ce vrai? Regardez-moi ici juste un instant. Comment ai-je pu savoir cela? Il n’y a aucun moyen au monde, si ce n’est par Lui... Oui, voici une autre chose que je vois se mouvoir maintenant que je vous parle. Il y a quelque chose que vous avez... Vous avez eu à faire quelque chose. Oh ! Oui, vous–vous travaillez, n’est-ce pas? Et vous avez dû quitter le travail pour venir ici. Est-ce vrai? Evidemment, c’est ce que vous avez fait. Dieu vous a guérie. Allez de l’avant en Son Nom...?...

58        Maintenant, j’aimerais que vous L’aimiez de tout votre coeur maintenant et que vous croyiez de toute votre âme maintenant. Maintenant, Jésus-Christ est le même. Evidemment, plus vous parlez aux gens, plus Cela vous parle. Mais aussitôt que je pense que les gens ont assez de foi pour être guéris, je sens cela, je laisse simplement cela aller. En effet, leur–leur... Voyez, je crois que nous appelons soit 15, soit 20, et je ne sais pas ce qu’Il fera là dans la ligne de prière. Cela dépend du nombre ; je me sens très faible. C’est pourquoi mon jeune garçon se tient quelque part ici en train de me surveiller, et quand il voit que j’en ai assez, il sait quand et quoi faire. Et je... Cela me rend très engourdi. Ne pensez pas que je suis hors de moi quand je me frotte le visage, ou l’une ou l’autre chose. En effet, je sens mes lèvres devenir très épaisses. C’est le Saint-Esprit.

            Maintenant, rappelez-vous, le prophète Daniel eut une seule vision, et il eut mal à la tête. Il a marché çà et là on dirait étant dans le coma pendant plusieurs jours.

59        Maintenant, madame, je suppose que vous et moi, nous sommes inconnus. Le sommes-nous, madame? Vous... Où m’avez-vous rencontré? A Vandalia, dans l’Illinois. Oh ! la la ! Ça fait longtemps. Oui, madame. Eh bien, étiez-vous là à la réunion? Eh bien, évidemment, je ne m’en souviendrais pas, après tout ce temps. Avez-vous été là dans la ligne de prière ou quelque chose comme cela? Oh ! On n’avait pas prié pour vous... Vous aviez simplement assisté à la réunion. C’est bien. Eh bien, cela fait donc que nous sommes tout autant des inconnus. Vous m’avez juste vu me tenir à l’estrade. Etiez-vous là le soir où un jeune garçon né aveugle avait recouvré la vue, puis il est revenu, il m’a tenu la cravate et il a demandé à sa maman quelle couleur c’était?

            Eh bien, alors... C’était à peu près l’avant dernière soirée quelque part. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez mon... juste un instant. Pas–pas... Je ne lis pas vos pensées ; non, madame. Ce n’est pas... Non, madame, ce n’est pas ce que je fais. Je cherche simplement à contacter votre esprit. Voyez? C’est juste comme un–un appareil photo, un film a été tiré. Dieu doit me faire descendre cette même ligne une fois de plus. Voyez? Vous êtes...

            Oui, c’est–c’est très rare ; c’est un... Vous devenez très nerveuse. Vous... Je vous ai vue... Vous avez laissé tomber une assiette, l’une ou l’autre chose, en cherchant à... ou dans votre main. Vous n’arriviez simplement pas à tenir cela ici. N’est-ce pas vrai? Oui. Je vous vois debout à côté de l’évier, ou de ce lieu où vous vous êtes retournée à droite avec un fauteuil derrière vous. Vous avez un peu titubé contre cela. Puis, vous... C’est un... Le soir, quand le soleil se couche, je vois que cela vous rend très lasse et fatiguée, le soir. Je vous vois passer beaucoup de ce temps-là, assise, regardant dehors par la fenêtre. Cela paraissait un peu ennuyeux, maussade là... Vous souffrez aussi de la névrite, n’est-ce pas? C’est vrai. Et vous êtes une...

60        Ce qu’il y a, madame, c’est–c’est le temps de la vie pour vous. C’est la ménopause, le changement du cycle de vie. Venez ici. Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous en débarrasser? Allez-vous vous soumettre à Lui? C’est un esprit horrible. Cela vous hante simplement. Voyez? Maintenant, c’est une assistance mixte, mais regardez. Voyez? Juste... Depuis que vous étiez une petite fille, tous les vingt-huit jours, vous éprouvez une sensation bizarre. Voyez? Et ceci est un changement complet ; là où se trouve la vie, Satan s’y trouve aussi, la mort. Voyez-vous?

            Et maintenant, juste en plein milieu de ce changement, c’est le pire moment de tous. Maintenant, Satan vous rendrait folle s’il le pouvait, mais Dieu va vous en débarrasser maintenant. Voyez? Et Il va vous rétablir. Maintenant, Bienveillant Père céleste, au Nom de Ton Fils Jésus, que ce démon quitte la femme et qu’elle parcoure ces ombres sans crainte dans son coeur. Quitte-la, sors d’elle, au Nom de Jésus.

            Eh bien, ma soeur, maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, normale ; vous vous sentez bien maintenant. Maintenant, tout cela vous a quittée maintenant, très étrange...?... mais vous êtes calme, bien portante maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous à la maison et être–être bien portante, et Dieu vous bénira.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne...»

            Ces esprits sont juste comme une ombre, comme un nuage très sombre, et ils se tiennent là juste comme un brouillard, froids, indifférents. J’aimerais que vous soyez respectueux.

61        Bonsoir, madame. Eh bien, vous et moi, nous sommes inconnus, n’est-ce pas, madame? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, vous êtes juste une dame qui est venue ici. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Maintenant, vous savez que je ne suis qu’un–qu’un homme, peut-être comme votre mari ou n’importe quel autre homme (Voyez-vous?), juste–juste un pécheur sauvé par la grâce. Et...

            Mais Dieu place dans l’église des prédicateurs ; Il place dans l’église des chanteurs. Et Il–Il place dans l’église des prophètes ; Il place dans l’église des dons de toutes sortes. Ne le fait-Il pas? Croyez-vous cela? Croyez-vous que Dieu peut me dire votre problème? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Eh bien alors, s’Il le peut, alors vous accepterez cela. Oh ! Je vois maintenant ; ce n’est pas vous, seulement une faim de Dieu. C’est vrai. Vous priez pour chercher Dieu, pour trouver Dieu, vous êtes poussée à bout pour votre enfant. Est-ce vrai? Cet enfant est... La–la paroi de son coeur a une fissure à l’intérieur, c’est ce que montre le rayon X. Ses côtes sont déformées au niveau du coeur...?...

            Dieu miséricordieux, restaure la vie de l’enfant et bénis la mère. J’ôte la malédiction du diable de cet enfant, que l’enfant vive et ne meure pas. Accorde-le, Dieu Tout-Puissant, Eternel Dieu de gloire, alors que j’impose les mains à ce pauvre enfant affaibli, qu’il soit guéri au Nom de Jésus-Christ. Amen...?... Allez donc en croyant Dieu, et Il accomplira cela pour vous. N’ayez pas peur maintenant, mettez-vous à remercier Dieu, et soyez respectueux.

62        Disons: «Gloire au Seigneur !» Et que notre Seigneur Jésus soit glorifié. Les puissances du Dieu Tout-Puissant qui a créé les cieux et la terre, et qui les a déployés, Il a parlé et a dit: «Qu’il y ait.» Et des choses ont été manifestées à partir de ce qui n’existait pas, que les bénédictions et les miséricordes de Dieu demeurent donc sur Son peuple. Ayez foi en Dieu.

            Qu’en pensez-vous, monsieur? Aimeriez-vous être guéri de cette maladie du coeur, vous assis là-bas? Vous assis là-bas, l’homme qui a les mains sur son... Vous vous dites: «Dieu me rétablira.» Croyez-vous cela de tout votre coeur? Il l’a fait, Il vous a guéri. Levez-vous et acceptez votre guérison. Vous souffriez du coeur, et cet enfant-là aussi ; cela vous a quitté au même moment.

            Soyez en prière. Vous n’avez pas besoin de cartes de prière ; vous avez besoin de la foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur ; vous aurez ce que vous demandez. «Si tu peux croire», a-t-Il dit. Ayez seulement foi.

63        Est-ce vous le patient? Excusez-moi. Cela me bascule au point que je... cela me quitte. Voyez-vous? Et je vois Cela aller là au-dessus de l’assistance ; je surveille Cela (Voyez-vous?), et je cherche pour voir où Ça se trouve. Il n’y a rien qui cloche, je parlais simplement à la dame.

            Maintenant, nous sommes–nous sommes inconnus, n’est-ce pas, soeur? Jamais je... Vous avez été dans des réunions, mais je ne vous avais jamais vue là. Eh bien alors, si notre Seigneur Jésus était ici, tel que j’affirme qu’Il est, et Son Esprit est ici à l’estrade, et vous êtes une croyante, vous devez en être consciente. Vous n’y pouvez rien ; si votre âme est en contact avec Dieu, vous le saurez. En effet, je sais que vous êtes... Je ne peux pas vous guérir ; vous le savez. Je ne suis qu’un homme, mais c’est votre foi qui vous guérit. Est-ce vrai?

            Si moi, par le Saint-Esprit, par un don divin et l’amour de Dieu, j’arrive à voir ce que Dieu a dit, quelque chose pour vous, alors sûrement cela dissipera tout doute, et vous croirez de tout votre coeur. Croirez-vous cela? Vous êtes... C’est une tumeur. Ce n’est pas seulement une tumeur ; il y a des tumeurs. L’une d’elles est au cou et l’autre dans le dos. Est-ce vrai? S’Il sait où elles sont, Satan est donc exposé, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il peut ôter cela? Venez ici.

            Ô Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur Ta fille que voici. Je condamne l’ennemi, et j’ordonne qu’il quitte, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

64        Ayez seulement foi. Je continue à voir un homme debout devant moi, on dirait quelqu’un qui est assis juste là souffrant de bronchite. C’est... cela... Si c’est ce dont vous souffrez, c’est bien, c’est amen. Cela... Très bien. Que Dieu vous bénisse. Amen. Cela continuait simplement à me tirer. J’ai regardé tout autour ; je pensais avoir vu cet homme quelque part. J’ai encore regardé, c’était lui qui était assis là. C’est vrai. Cela vous a aussi quitté, monsieur. Que Dieu vous bénisse.

65        Bonsoir. Evidemment, nous sommes inconnus, je suppose. Ô Dieu... Madame? Je ne vous connais pas. Non, madame. Je... Eh bien alors, si nous sommes des inconnus dans ce monde, Dieu sait que nous sommes donc des inconnus, il y a... il a dû y avoir un moyen par lequel j’ai eu à vous connaître, contacter votre esprit, ou un moyen pour le découvrir. Très bien, assistance. Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Aimeriez-vous guérir de cette sinusite? Croyez-vous que Dieu vous en guérira? Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir maintenant.

            J’aimerais juste vous parler un instant. Vous... C’est une–c’est une affection du rectum, on dirait l’hémorroïde. N’est-ce pas? Je vois la consultation, vous avez un... Vous êtes très nerveuse, bouleversée. C’est un changement de cycle de vie, la ménopause. Vous souffrez aussi d’une espèce de... Vous toussez beaucoup, ou l’une ou l’autre chose. Oh ! C’est une toux asthmatique. Est-ce vrai? Et vous êtes... Vous avez une allergie causée par la poussière, ou une espèce de poussière, ou quelque chose comme cela. Vous... Il y a quelque chose d’étrange à votre sujet. Il y a une relation entre vous et quelqu’un, ou... Maintenant, le Saint... Oui, c’est ça. Vous avez une relation avec moi d’une certaine manière. Je ne vous connais pas, mais vous avez une relation avec moi. Est-ce vrai? Quel est votre nom? Branham. J’y pensais. Que Dieu vous bénisse. Et vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse, madame.

            J’ai pu entendre quelqu’un vous appeler madame Branham. Et votre mari... C’est par votre mari ; c’est comme ça. Un petit homme, un homme court. Que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin et soyez guérie, au Nom de Jésus-Christ. Où habitez-vous? Oh ! Ici quelque part...?... Que Dieu vous bénisse. J’aimerais vous rencontrer une fois. Que Dieu vous bénisse. Amen.

66        Croyez-vous qu’Il vous a guérie de la maladie du coeur alors que vous passiez? Vous croyez qu’Il vous rétablira.

            Ô Seigneur, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de guérir la femme et de la rétablir. Au Nom de Jésus. Accorde-le, Seigneur, pour Ta gloire. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez avec la foi élevée, croyant maintenant que Dieu guérira cela et que cela...?... Croyez ce que vous demandez.

            Venez...?... Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce rhumatisme articulaire aigu? Croyez-vous que Dieu vous rétablira de cela? Croyez-vous? Levez-vous ; Il vous a guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse...?...

            La raison, c’est que c’était lui. Vous souffrez du coeur. Voyez-vous? Et le rhumatisme articulaire aigu affecte le coeur. Et ces deux esprits s’appelaient l’un l’autre. Maintenant, poursuivez votre chemin et réjouissez-vous simplement, remerciez Dieu pour votre guérison, et soyez guéri. Très bien.

67        Amen ! Gloire à Dieu ! Ayez foi. Ne doutez pas. Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu, que Dieu m’a envoyé pour vous aider? L’unique moyen pour moi de pouvoir vous aider, c’est d’élever votre foi au niveau de cela. Est-ce vrai? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Nous sommes inconnus. Aimeriez-vous guérir de l’asthme? L’aimeriez-vous? C’est ce qui cloche chez vous. Acceptez votre guérison maintenant. Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous recevoir cela, et rentrez chez vous à la maison bien portante. Que Dieu vous bénisse maintenant, soeur.

            Très bien. Venez, madame. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et vous serez rétablie. C’est tout ce que je vous demande de faire. Ayez foi.

68        Que Dieu vous bénisse. J’aimerais que vous placiez votre main sur l’enfant maintenant, soeur. Cher et Bienveillant Père, je Te prie, alors que je me sens très attiré vers cet enfant, de le guérir. Maintenant, Bien-Aimé Seigneur, selon Ta Parole, Tu as promis d’exaucer. Et je Te demande d’accorder cette bénédiction alors que mon coeur éprouve de la sympathie pour cet enfant. Je réclame sa guérison, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Je ne connais pas d’autre main qui serait comme celle-là. Eh bien, la mère de l’enfant, voyez, l’enfant reconnaît votre propre touche. Et maintenant, j’aimerais que vous fassiez ce que je vous demande. Allez-vous le faire? Afin que vous sachiez que je vous ai dit la vérité, quand vous rentrerez ce soir, mettez une corde autour de la tête de l’enfant, et mettez-la juste là-haut même et mesurez cela. Et puis, le lendemain soir, ce qui sera le samedi soir, si vous êtes ici... Pouvez-vous rester si longtemps? J’aimerais que vous découpiez cette corde-là, après que vous aurez encore mesuré cela ; combien ça s’est rétréci d’ici samedi soir, et déposez cela ici avec une petite note dessus. Allez-vous le faire? C’est afin de me permettre de montrer cela à l’assistance.

69        Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, je ne... Je ne vous ai jamais vue, je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît, n’est-ce pas? J’aimerais juste vous parler, juste un instant loin de ce microphone. Ce n’est pas une chose immorale ; c’est juste quelque chose que je ne peux pas dire devant cette assistance, par politesse ; c’est une assistance mixte. Mais quelque chose que la femme a fait, personne au monde n’était présent à part elle et Dieu Tout-Puissant. Est-ce vrai, madame? Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, à cause de l’obéissance de votre foi, Christ vous guérit, et vous pouvez croître en Jésus-Christ. Très bien.

            Tout est possible à ceux qui croient. N’est-ce pas vrai? Aimeriez-vous guérir des troubles d’estomac, être rétablie? Croyez-vous? Cela est causé par une maladie de nerfs, ça rend... C’est ça.

            Maintenant, il vous faut faire ce que je vous dis de faire dans quelques minutes. Acceptez simplement votre guérison maintenant même, partez d’ici tout aussi heureux que vous pouvez l’être, en chantant et en vous réjouissant. Vous avez toujours été sous tension comme cela. Voyez? Vous avez toujours été nerveux depuis votre naissance. Voyez? N’est-ce pas vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais je vous ai vue, j’ai vu votre vie retourner à la période où vous étiez une petite fille. Vous avez toujours eu peur. Souvent, des choses vous effrayent, les chiens ou l’une ou l’autre chose comme cela. Vous faites du bruit, et vous allez... Une fois, en revenant de l’école, vous avez été pourchassée par un chien. Voyez-vous? N’est-ce pas? Et puis, quand vous–vous... Cela vous rend très nerveuse. Vous vous sentez toujours comme cela ; vous êtes bouleversée. Vous réfléchissez toujours profondément, vous faisant des soucis pour l’avenir. Tout... N’est-ce pas vrai? Mais vous êtes guérie maintenant, vous pouvez rentrer chez vous à la maison prendre votre souper et être rétablie, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse...?...

70        Venez, madame. Il s’agit d’une maladie gynécologique, n’est-ce pas vrai? Vous aimeriez être rétablie, n’est-ce pas? Certainement. Cela peut dégénérer en cancer. Allez-vous lever les mains pour dire: «J’accepte Jésus comme mon Guérisseur»? Et je condamne la maladie dans son corps au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle la quitte. Voyez? Que Dieu vous bénisse, soeur. Mettez-vous à remercier Dieu, réjouissez-vous et soyez heureuse.

            Très bien. Venez ici. Croyez-vous de tout votre coeur? J’aimerais vous poser une question. Maintenant, je sais, maman, la vie n’a pas été probablement... Eh bien, juste pour vous montrer. Il y a quelques minutes, une sensation très étrange vous a envahie alors que vous montiez cette marche-là. Est-ce vrai? Et ce qui était à la base de cela, c’est quand je parlais à cette dame qui était ici il y a quelques minutes, qui souffrait de l’estomac. Est-ce vrai? Vous toutes deux, vous avez été guéries au même moment. Voyez-vous? Votre trouble d’estomac vous a quittée quand vous montiez les marches. Juste comme la sienne l’a quittée.

71        A part le fait que vous êtes nerveuse à cause de la prostatite, vous souffrez d’estomac vous-même. N’est-ce pas vrai?

            Bien-Aimé Jésus, je Te prie de rétablir cet homme. Puisse-t-il partir d’ici ce soir heureux et rétabli, au Nom de Jésus. Amen...?... se réveillant la nuit, car il–il va à la salle de bain. Voyez? Cela s’est arrêté maintenant, allez et re-...

72        Assistance, on dirait que vous pouvez voir Cela suspendu là même. Oh ! la la ! En effet, c’est merveilleux, cette Lumière qui se meut, tourbillonne là même. Je vois un... Oh ! C’est un... c’est l’eczéma là-dessus, un cas d’eczéma. N’est-ce pas vrai, madame? Vous assise là en train de prier, n’est-ce pas vrai? C’est pourquoi Il est parti directement là. Il écoutait votre prière. Maintenant, levez-vous, acceptez votre guérison, et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Que Dieu vous bénisse.

            Comment te sens-tu, chérie? C’est magnifique. Que son petit coeur soit béni. Sais-tu ce qui cloche chez toi, chérie? Le sais-tu? Tumeurs. Tu as une tumeur ; le savais-tu, chérie? Viens ici, juste une minute.

            Ô Eternel Dieu, Auteur de la vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette petite enfant, innocente. Alors que je serre son petit corps contre le mien, Seigneur, et que je Te demande de la rétablir. Que le démon la quitte. Par la croix de Jésus-Christ, je condamne ce démon qui voulait nuire à la vie de cette enfant ; puisse-t-elle vivre. Que Jésus de Nazareth, le Fils du Dieu vivant, vienne exaucer ma prière en ce moment-ci. Satan, je t’adjure par le Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de quitter l’enfant.

            C’est vous la grand-mère, n’est-ce pas? C’est bien. Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? Vous en souffriez. Vous n’en souffrez plus maintenant. Vous êtes guérie. «Crois-tu cela?» La puissance de Dieu est ici pour guérir.

73        Madame, couchée là, pensez-vous que Dieu vous guérira de ce cancer-là sur le poumon? Si vous croyez de tout votre coeur, vous m’écouterez, vous n’avez qu’une seule chose à faire ; vous êtes étendue là comme les lépreux à la porte. Ils ont dit: «Pourquoi restons-nous assis ici jusqu’à mourir? Si nous restons assis ici, nous allons mourir. Si nous entrons dans la ville, nous mourrons. Il ne nous reste qu’une seule chance, c’est d’aller vers l’ennemi. S’il nous préserve, nous vivrons ; sinon, nous mourrons. Nous allons de toute façon mourir.»

            Vous n’êtes pas invitée d’aller au camp de l’ennemi ; vous êtes invitée à la maison de Jésus-Christ, la maison de la foi, où Il vous attend ce soir. Si vous acceptez votre guérison, et que vous croyez que Dieu vous guérira de ce cancer-là, cela quittera vos poumons et vous serez rétablie. Pensez-vous que la maladie gynécologique vous a quittée, madame? Elle l’a fait. Quittez l’estrade en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu !»

            Madame, eh bien, ne restez pas étendue là, levez-vous au Nom du Seigneur Jésus, prenez votre lit et rentrez chez vous, et soyez rétablie. Croyez-vous?

74        Vous autres ici, vous pouvez faire la même chose en ce moment-ci, si vous croyez. Ça dépend de vous. Agissez sur base de votre foi. Si vous croyez, imposez-vous les mains les uns aux autres.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, je Te demande d’agir, Tout-Puissant, en bénissant cette assistance de gens. Que l’Esprit de Dieu descende maintenant comme de grands océans et de fontaines de puissance.

            Satan, sors des gens, je t’adjure, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu.

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