Jésus Se Tenant Sur L’autorité De La Parole
1 Merci, Frère Brewer. Vous pouvez vous asseoir. C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir, au service du Seigneur, afin de prier pour les malades et les affligés, et servir au Nom de notre Cher Seigneur Jésus-Christ qui nous a aimés, qui a donné Sa Vie pour que nous, des êtres indignes, puissions être rendus participants de Sa grâce et de Sa communion dans les âges à venir. Et que Ses bénédictions et Son auguste Présence oignent maintenant chacun de nous de Son Etre, et que cela ne quitte personne jusqu’à ce que nous quitterons cette salle, pour qu’Il en reçoive la gloire.
Nous sommes toujours... Les services de guérison me rendent peut-être souvent un peu nerveux, pas exactement nerveux tel que vous pourriez le penser. C’est–c’est la manière dont cela agit sur moi, lorsque je m’occupe des malades.
2 Et très souvent, les gens spirituels sont considérés comme des gens bizarres ou étranges. Nous pourrions penser, par exemple, aux grands poètes du–que le monde a produits, tel que Stephen Foster. On le prenait pour un névrosé. Il a donné à l’Amérique certains de ses meilleurs chants populaires: Old Folks of Home [Les anciens de chez nous–N.D.T.], Suwannee River [La rivière Suwannee]. Et quand l’inspiration le quittait, il allait–il sortait et se soûlait. Et puis, finalement il appela un serviteur, prit un rasoir et se suicida. Et puis, il y a eu William Cowper qui composa ce bon vieux cantique:
Il y a une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Cet homme célèbre, William Cowper, je me suis tenu à sa tombe tout récemment, à Londres. Et après qu’il eut reçu l’inspiration pour composer ce cantique, lorsqu’il en sortit, il essaya de trouver une rivière pour se suicider.
3 Ce n’est pas mal lorsque vous êtes là-haut (c’est merveilleux!), ou lorsque vous êtes ici en bas. Mais le problème, c’est entre les deux moments. Vous ignorez où vous vous trouvez. Vous direz: «Eh bien, ça c’était les compositeurs.» Bien, les prophètes, Jonas, comme nous le disions à son sujet hier soir, Dieu lui donna un message pour aller dire à une ville de la taille de St Louis par ici, de se repentir. Et le prophète, après qu’il eut apporté son message, en parcourant les rues, à un million d’illettrés dont certains ne savaient pas distinguer leur main droite de leur main gauche, les gens se repentirent au point qu’ils mirent des sacs sur leurs animaux.
Ensuite, il s’assit sous un petit ricin. Et après que l’inspiration l’eut quitté, il pria Dieu de lui ôter la vie. Il ne savait plus où il se trouvait. Il ne comprenait pas.
4 Elie, ce grand prophète d’autrefois, un grand témoin de Jéhovah, lorsqu’il se rendit au mont Carmel, il convoqua Israël à venir devant Baal, pour voir qui était Dieu, il a dit: «Si Baal est dieu, servez-le. Si l’Eternel est Dieu, servez-Le.»
Lorsque Dieu l’oignit de l’inspiration, lui donna une vision et lui dit comment faire les choses... Et il alla là-bas, appela tous les prophètes de Baal et les laissa offrir un sacrifice. Ceux-ci crièrent et se firent des incisions: pas de dieu. Mais Elie égorgea un taureau, le plaça sur le rocher, l’autel, et dit: «Eternel, que l’on sache que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur.» Et il a dit: «J’ai fait tout ceci sur Ton ordre», montrant par là que l’Eternel lui avait montré ce qu’il fallait faire.
Et lorsqu’il eut accompli la vision que l’Eternel lui avait montrée, le Feu de Dieu descendit des cieux et consuma le sacrifice. Il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois. Il avait fermé les cieux, parce que l’Eternel lui avait dit de le faire. Et il avait dit au roi que ni pluie ni même la rosée ne tomberait, sinon à sa parole. Puis, il partit, s’assit et pria de nouveau, et une–une pluie abondante tomba. Elle arrosa tout le pays.
Et aussitôt que l’inspiration l’eut quitté, à cause de la menace d’une femme, il s’enfuit dans le désert et erra pendant quarante jours et quarante nuits. Et lorsque Dieu le trouva errant là-bas, se demandant s’il était hors de lui, il s’était retiré dans une grotte quelque part en se traînant, Dieu l’appela.
5 Voyez-vous ce que je veux dire? Nous pourrions parler des autres. Mais la manière dont les gens vivent le christianisme aujourd’hui est si superficielle. Ce n’est pas étonnant que l’incroyant ait du mal à croire au christianisme. C’est parce que ce n’est pas plus qu’un–un formalisme. Mais le christianisme est réel par sa puissance. Et si ce n’est qu’un cérémonial, n’importe quelle autre–n’importe quelle autre cérémonie pourrait le remplacer.
Je n’ai rien contre les loges, mais la franc-maçonnerie, les Odd Fellows [Une organisation sociale et bénévole qui a commencé au XVIIIe siècle en Angleterre–N.D.T.], ou n’importe quelle loge serait tout aussi bonne s’il ne s’agissait que de la cérémonie. Elles ont leurs bons côtés et leurs mauvais côtés, juste comme l’église. Mais le Christianisme, c’est un Etre vivant dans des hommes, ce qui est la preuve de la résurrection du–du Fils de Dieu, qui était Dieu avec nous.
6 Maintenant, nous allons lire juste une portion de ses Ecritures et ensuite vous parler juste pendant quelques instants. Et nous passerons donc directement à la prière pour les malades. Des fois je ne sais pas me mettre à prêcher dans ces réunions.
Je vais essayer, le Seigneur voulant, vendredi soir, de tenir un rassemblement missionnaire. Mon coeur est passionné pour les missions. J’aimerais vous dire comment j’ai vu trente mille purs païens gagnés à Jésus-Christ en cinq minutes, quand ils brisaient leurs idoles au sol, se sont avancés et ont accepté Jésus comme leur Sauveur personnel: des mahométans, des hindous...
Je brûle vraiment d’envie d’aller à Jérusalem. Frère Pethrus de l’église de Stockholm en Suède, l’église de Philadelphie qui est la plus grande église en Suède... Ils ramenaient des Juifs de l’Iran et d’ailleurs. Vous avez tous vu les photos dans le journal. C’est un très beau signe de la fin de l’âge des Gentils. Dieu va retourner maintenant chez les Juifs. L’Eglise des Gentils va être scellée, achevée, elle va partir.
7 Ces Juifs n’ont jamais su ni même appris que Jésus était sur terre. Et ils ont pris le Nouveau Testament et se sont mis à le lire pour voir qui Il était, comment lorsqu’Il était ici sur terre, Il a accompli des miracles. Il ne prétendait pas être un grand personnage. Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il a simplement dit: «Je ne fais rien à moins que Mon Père Me le montre.» Il a dit: «Lorsque le père Me montre une vision, Je–Je fais ce qu’Il Me dit de faire.»
Ils ont dit: «Il est ressuscité des morts, disent les chrétiens, et Il a promis que les choses qu’Il a faites, les chrétiens les feraient aussi.»
Les Juifs ont dit: «Que nous voyons cela se produire, alors nous croirons cela. Que nous Le voyions accomplir le signe du prophète, alors nous L’accepterons comme le Messie.»
8 «Les Juifs cherchent des miracles et les Grecs la sagesse.» Vous connaissez cette Ecriture. Bien, j’aimerais rassembler plusieurs milliers de gens tel qu’ils sont rassemblés maintenant (ou vont se rassembler en Palestine) pour des réunions. Je crois que par le même moyen de Ses Ecritures, il fut montré autrefois au Juif que Jéhovah Dieu était manifesté en chair. Il ne s’agit pas de trois dieux; c’est le même Dieu manifesté dans la chair, trois dispensations. C’est ce qui l’achoppe. Et quand il verra que c’est une réalité, il acceptera cela.
9 Il n’y a pas longtemps, lorsque John Rhyn qui avait été aveugle pendant vingt ans, un catholique romain, s’asseyait dans les rues mendiant, vendant des crayons, ou plutôt (excusez-moi) des journaux, près de Fort Wayne, dans l’Indiana. Et lorsqu’il fut guéri, j’ai été interrogé par un rabbin.
Il m’a dit: «Comment avez-vous ouvert les yeux de John Rhyn?
J’ai dit: «Ce n’est pas moi qui les ai ouverts.» J’ai dit: «C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui lui a ouvert les yeux.»
Et il a dit: «C’est ridicule. Il n’était pas le Fils de Dieu. Et Il n’était pas le Christ.»
Et j’ai dit: «Pourquoi pensez-vous ainsi, Rabbi?»
Il a dit: «Eh bien...» Il a donné ses raisons. Il a dit: «Il n’était pas... ce Messie-là vient avec puissance.»
J’ai dit: «Vous considérez Sa Seconde Venue, monsieur. La même Ecriture a parlé de Sa Première Venue, l’aveuglement des Juifs jusqu’à ce que les temps soient accomplis.»
Il a dit: «Vous les Gentils, vous ne pouvez pas couper Dieu en trois morceaux et Le vendre à un Juif.»
J’ai dit: «C’est une erreur qui n’a pas été corrigée pendant la Réforme. Dieu n’a pas été coupé en trois morceaux.»
Il a dit: «Tout ce que vous dites n’a même pas de sens. Vous dites: ‘Dieu le Père’ et ‘Dieu le Fils’ et ‘notre Dieu.’ Alors, lequel d’entre eux est votre Dieu?»
J’ai dit: «Il n’y en a qu’un Seul là.»
Il a dit: «Mais comment est-ce possible? Si Dieu le Père est une personne, Dieu le Fils l’autre personne, puis Dieu le Saint-Esprit. Vous devriez donc dire ‘nos Dieux’. Ce qui fait de vous des païens.»
J’ai dit: «Ce serait le cas, monsieur. Mais il n’en est pas ainsi.» J’ai dit: «Jéhovah Dieu était dans la Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël, Il fut manifesté ici dans la chair afin d’ôter le péché, et Il revint sous la forme du Saint-Esprit. Il s’agit de trois dispensations. C’est la raison pour laquelle ils furent baptisés dans «Père, Fils, Saint-Esprit», ai-je dit, pour les trois dispensations de Dieu, du même Dieu. Nous avons un seul Dieu.»
Des larmes commencèrent à couler sur sa barbe, il se retourna et s’éloigna.
J’ai dit: «Un instant! Vous m’avez dit quelque chose il y a quelques minutes.»
Il a dit: «Je vous écouterai une autre fois.»
J’ai dit: «J’aimerais vous entendre maintenant, parce que je sais que vous croyez qu’Il était le Messie.» Et il n’a pas voulu répondre, il se retourna et continua. Mais leur temps est proche.
10 J’aimerais lire ici dans les Ecritures. Saint Luc, chapitre 7:
Après avoir achevé tous ces discours devant le peuple qui l’écoutait, Jésus entra dans Capernaüm.
Un centenier avait un serviteur auquel il était très attaché, et qui se trouvait malade, sur le point de mourir. Ayant entendu dire que Jésus... lui envoya quelques anciens des Juifs, pour le prier de venir guérir son serviteur. Ils arrivèrent auprès de Jésus, et lui adressèrent d’instantes supplications, disant: Il mérite que tu lui accordes cela;car il aime notre nation, et c’est... qui a bâti notre synagogue.
Jésus, étant allé avec eux, n’était guère éloigné de la maison, quand le centenier envoya des amis pour lui dire: Seigneur, ne prends pas tant de peine; car je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit.
C’est aussi pour cela que je ne me suis pas cru digne d’aller en personne vers toi. Mais dis un mot, et mon serviteur sera guéri.
Car, moi qui suis... à des supérieurs, j’ai des soldats sous mes ordres; ... je dis à l’un: Va! et il va; à l’autre: Viens! et il vient; et à mon serviteur: Fais...! et il le fait.
Lorsque Jésus entendit ces paroles, il admira le centenier, et, se tournant vers la foule qui le suivait, il dit: Je vous le dis, même en Israël je n’ai pas trouvé une aussi grande foi.
De retour à la maison, les gens envoyés par le centenier trouvèrent guéri le serviteur qui avait été malade.
11 Inclinons la tête et parlons à l’Auteur de cette Parole. Notre très Bienveillant Père céleste, nous Te remercions pour nous avoir envoyé Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé, pendant que nous étions éloignés de Dieu, des Gentils retranchés dans le monde, sans miséricorde, sans Dieu. Et au temps marqué, Christ est mort pour nous tous, réunissant toutes les nations, les gens que Dieu a créés, comme une unité.
Et aujourd’hui, il n’y a ni esclave ni libre, ni homme ni femme, mais tous nous sommes un en Jésus-Christ. Et ce qui sera à la fin n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps comme le Sien, car nous Le verrons tel qu’Il est. Et nous T’en remercions.
12 Et maintenant, Tendre Père, je Te prie de nous bénir encore par Ta Présence ce soir. Je Te prie de venir parmi les gens, et que toute personne dont le coeur est assombri soit débarrassé du doute et de l’incrédulité. Et que le Saint-Esprit puisse avoir la priorité et la prééminence dans chaque vie et chaque coeur ici ce soir, afin que nous puissions dire lorsque nous partirons, que nos coeurs brûlaient au-dedans de nous à cause de Sa Présence. Accorde-le, Seigneur.
S’il y a des incrédules, des gens qui ne sont pas sauvés, sauve-les ce soir, Seigneur. Accorde-le. Que quelque chose soit fait de telle manière que les gens reconnaîtront que Tu es ici. Circoncis les lèvres qui parlent, les coeurs qui écoutent. Et guéris les malades ce soir, Père.
13 Et nous lisons que lorsque Tu étais ici sur terre, ce que Tu faisais, Tu en rendais toute la gloire au Père. Et nous Te remercions. Tu as dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Et ce soir, nous sommes des fils de Dieu par adoption. Et ce n’est pas nous qui faisons les oeuvres, mais c’est le Père qui demeure en nous; c’est Lui qui fait les oeuvres. Il nous sauve du péché, ce n’est pas nous-mêmes. Il nous guérit, ce n’est pas nous-mêmes. Mais Il nous guérit par Sa grâce. Nous T’en remercions. Et nous Te prions maintenant de parler; et puissions-nous écouter. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.
14 J’aimerais aborder Jésus se tenant sur l’autorité de la Parole, juste pour quelques instants, si vous voulez bien m’accorder votre attention. Et j’aimerais parler juste un petit moment, alors qu’il n’y a pas encore beaucoup de gens. Et quand la salle commencera à se remplir, vous pourrez alors le dire à quelqu’un d’autre. Soyez toujours révérencieux pendant le service, particulièrement durant le service de guérison. Ayez un coeur ouvert, un esprit ouvert. Dites simplement–simplement: «Maintenant Seigneur, je suis ici pour apprendre, viens m’enseigner.» Voyez-vous? Et le Saint-Esprit vous enseignera.
Si vous venez avec une sorte de critique moqueuse, tout ce que vous vous attendrez à voir, c’est ce que vous verrez et rien d’autre. Si vous venez vous, attendant simplement à être déçu, c’est ce que... Vous aurez toujours ce à quoi vous vous attendez. Si vous venez pour recevoir, vous vous attendrez à recevoir, et vous recevrez juste ce que vous vous attendez à recevoir. Dieu fait toujours cela. Il–Il a–Il a juré par Sa Parole.
Et maintenant, il se peut que quelque chose soit dit qui serait un petit peu différent de vos enseignements religieux. Vous pourriez être catholique, ou vous pourriez être autre chose, d’une autre forme de religion, ou un protestant qui ne croit pas à la guérison divine. Quoi que ce soit, considérez la chose juste telle qu’elle est. Voyez cela du point de vue de la Parole de Dieu.
15 Maintenant, nous allons parler juste quelques instants sur L’autorité de la Parole de Dieu. Eh bien, chaque Parole de Dieu est une autorité écrite, qui est sous serment. C’est le–c’est le droit absolu du croyant d’accepter ceci comme étant la vérité infaillible, parce que c’est la Parole de Dieu. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais», dit le Seigneur. Cela doit s’accomplir en son temps.
Bien, maintenant, souvent cela... Les chrétiens et, quelques fois, même les frères qui sont dans le ministère sont souvent un peu embrouillés là-dessus. Et qui suis-je pour dire qui était dans l’erreur? Car je suis comme vous autres, je devrais être assis, écoutant le clergé, et–au lieu de me tenir devant eux.
16 Mais, mes frères, la Parole de Dieu... Quelques fois les gens deviennent–disent: «Bien, maintenant, la Parole a dit ceci. Prenons cela très exactement tel qu’Elle le dit.» C’est... Bien, cela–c’est vrai. Mais cette Parole doit tomber dans une certaine terre, sinon Elle ne produira pas de fruits. Voyez-vous?
J’ai entendu des gens dire aussitôt qu’ils étaient sauvés: «Je suis chrétien maintenant. Le Seigneur a dit que tout ce que je demanderai en Son Nom, je l’obtiendrai. Amen. Je vais demander ceci.» Eh bien, ça ce n’est peut-être pas encore la bonne terre. Voyez-vous? Vous ne pouvez pas prendre un cactus et le faire pousser dans un sol argileux. Si vous plantez le cactus dans un sol très riche, il mourra. Le cactus pousse dans le sable. Et si vous prenez un–un pin et le plantez dans ce sable d’Arizona, là où pousse le cactus, il mourra, parce qu’il n’y a pas suffisamment d’humidité. Pourtant tous les deux sont plantés dans le sol. Il faut que ce soit la bonne Parole au bon endroit, et la chose va arriver.
Eh bien, j’ai prié pour des milliers de gens, c’est juste une routine de prier pour les gens. Mais pourtant, j’ignore ce qui va arriver jusqu’à ce qu’Il me montre cela. A ce moment-là j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. A ce moment-là le Seigneur confirme Sa Parole, alors je sais très exactement ce qu’Il va faire. Quand Il me révèle ce qu’Il va faire, cela produit alors une foi parfaite.
17 Si vous remarquez, Jésus n’utilisait ces choses que lorsque Dieu le Lui permettait. Vous souvenez-vous de la leçon d’hier soir? Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Et le Père agit, Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres termes, la Parole de Dieu qui était manifestée en Christ, c’était ce que Dieu Lui avait montré de faire.
Pour tout prophète, pour tout homme spirituel de n’importe quel âge, de n’importe quelle époque, c’était toujours exactement la même chose. Alors vous ne pouvez pas trop vite tirer des conclusions, en disant: «La–la Parole dit ceci, je vais l’accepter et faire ceci.» Vous ne pouvez pas faire cela. Cela n’est pas encore tombé juste. Mais lorsque le Saint-Esprit vient matérialiser cela et vous montre quoi faire, alors vous pouvez le faire, parce que ce n’est pas vous qui le faites. Ceci c’est la Parole écrite de Dieu, le plan du salut. Mais nous devons être prudents quant à la manière dont nous manipulons cela.
18 Par exemple, souvent il y a des gens qui viennent dans la ligne de prière et je prie pour eux. Je ne sais jamais ce qui va se produire. Je prie simplement pour eux. Et il y a une puissance dans la prière. La prière peut même changer la Parole de Dieu. (C’est frappant, n’est-ce pas?) Mais c’est la vérité. La Parole de l’Eternel... Ne voulez-vous pas croire les prophètes?
La Parole de l’Eternel est venue à Esaïe et il est allé dire à Ezéchias qu’il n’allait pas descendre de son lit, qu’il allait mourir. Et Ezéchias tourna son visage contre le mur, pleura amèrement et dit: «Ô Eternel, j’ai marché devant Ta face avec intégrité de coeur.» Et il désirait avoir quinze années supplémentaires de vie, et le prophète n’était pas encore parti que la Parole de l’Eternel vint de nouveau à lui. Il a dit: «Va lui dire que j’ai entendu sa prière, et qu’il va descendre du lit dans trois jours.» La prière change les circonstances.
19 Bien des fois je vois des gens qui–qui sont malades et qui vont mourir, une ombre se forme autour d’eux alors qu’ils se tiennent là. Je sais que c’est la sentence de mort. Je ne sais pourquoi, mais c’est tout; je sais alors comment leur parler. Je prie simplement pour eux, je passe et je dis: «Que le Seigneur vous bénisse.» Ou bien: «Peut-être le Seigneur Jésus vous a guéri.»
A Durban, en Afrique du Sud, une femme est venue sur l’estrade, elle paraissait en aussi bonne santé que la femme qui avait la meilleure santé dans la salle. Cent mille personnes étaient assemblées là. Et cette femme est venue, étant normale et en bonne santé. Elle s’est tenue là et j’ai dit... je l’ai regardée; j’ai dit: «Je vois que vous êtes une chrétienne.»
Elle a dit: «Je le suis.»
Et au... Puis, j’ai encore regardé, je l’ai vue aller à l’église, et elle était en compagnie d’un groupe de gens.
J’ai dit: «Vous êtes membre de telle église.»
Et elle a dit: «C’est ça.»
J’ai encore regardé et je l’ai vue, l’ombre devenait très sombre autour d’elle. Et j’ai commencé à dire: «Bien, la seule chose qu’elle a, c’est un kyste à l’ovaire.» Elle a été chez le médecin. J’ai dit: «Votre mari porte un complet gris, et il a une moustache noire. Il y a quelques jours il attendait dans la salle pendant que vous étiez examinée par un médecin, un homme aux cheveux gris qui porte des lunettes.»
Elle a dit: «C’est vrai.»
Et j’ai dit: «Il a dit que vous aviez un kyste à l’ovaire.»
Elle a dit: «C’est vrai.»
J’ai dit: «Il a dit que cela devrait être ôté.»
Elle a dit: «C’est vrai.»
J’ai dit: «Il voulait brûler cela au radium.»
Elle a dit: «C’est vrai.» L’ombre devenait de plus en plus sombre autour d’elle. J’ai commencé à dire: «Maintenant, que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous guérisse ma soeur, faites-la descendre de l’estrade.» Puis, j’ai vu passer une procession funèbre qui l’emportait. Je savais que je pouvais tout aussi bien le lui dire. C’était donc fini.
J’ai dit: «Madame, vous avez l’air d’une femme forte, vous n’avez qu’un tout petit problème. Mais préparez-vous à mourir, car vous n’allez vivre que peu de temps.»
Elle a dit: «Monsieur!»
J’ai dit: «C’est vrai, soeur. Préparez-vous simplement pour Dieu. Soyez prête.»
Elle descendit de l’estrade, elle s’assit, regarda son mari et dit: «Que penses-tu de cela?» Et elle tomba morte juste là. On l’emporta. Parce que rien ne pouvait être fait. J’avais vu la procession funèbre. Et ce que Dieu dit est la Vérité.
20 Maintenant, ceci c’est la Vérité de Dieu. C’est la Vérité. Tout ce qui est contraire à cela n’est pas la vérité. Mais ça, c’est le plan du salut pour les nations, pour les gens. Mais alors, parfois pour les individus, après que Dieu a envoyé Sa Parole de cette manière et que les ministres ont prêché cela... Il a envoyé à l’Eglise des apôtres, des prophètes, des dons de langues, l’interprétation des langues; tout cela pour édifier ou garder l’Eglise pure, en rassemblant l’Eglise, en la mettant à part.
Tout récemment, à l’Eglise méthodiste de New Albany (cette personne pourrait être assise ici maintenant), avant d’aller en Afrique... Je venais de rentrer d’un de mes voyages en Californie. C’est juste afin que vous puissiez voir. Des milliers de gens étaient entrés dans la salle où nous tenions des services ce soir-là en Californie.
21 Et il y avait environ vingt ou trente fauteuils roulants installés là et des lits de camp, des civières et autres dans les gradins et sur... Et, mon frère, comme vous le comprenez, pendant ces réunions, je dois me tenir loin des gens. En effet, avec une telle onction, dès que vous parlez à une personne, vous contactez immédiatement son esprit. Voyez? Et quand vous faites cela, vous comprenez.
Alors je restais dans une salle; deux hommes se tenaient à la porte tout le temps. Et ils vinrent me prendre ce soir-là. Je suis allé à la salle, et je me souviens que c’était juste en entrant. Je me tenais juste à côté de l’escalier, le manager, l’un des managers, M. Baxter, a commencé à chanter Crois seulement et je me suis présenté devant l’auditoire. Et je regardais de ce côté et j’avais passé plusieurs soirées, et je suis... devenais très faible. Les réunions devenaient sans cesse de plus en plus puissantes. Bien entendu, vous entrez davantage dans l’Esprit.
22 Et je regardais comme cela, et je vis un petit garçon qui jouait sur une meule de foin, juste devant moi. Et il tomba de la meule de foin et se heurta le... contre un gros support grossier... Son dos heurta cela. Je vis un homme le prendre. Je me suis simplement mis à parler. C’était juste devant moi, comme vous le voyez se faire chaque soir. Et cela a juste dit ce qui était en train de se passer.
Je vis un médecin le soigner, et je vis quel genre de médecin c’était. J’ai dit: «Je le vois faire des trous dans le plancher et fixer son lit. Il ne peut même pas supporter la vibration due aux pas des gens sur le plancher. Et alors on le met dans un lit. On le fait pivoter et on le met dans ce lit. Mais il devient un grand homme.» J’ai dit: «Maintenant, il devient même un homme beaucoup plus important. Il est assis près des gradins ou quelque chose comme cela. Ils ont placé une–une chaise là... on l’a déjà installé. Et–et les gens applaudissent ses discours.» Et la vision me quitta.
23 J’ai regardé. Et les voilà qui entrent, ils venaient de descendre d’un avion. Et voilà venir un fauteuil roulant. Ils venaient juste d’entrer dans la salle et cela a commencé à venir... Cela fut amené jusque-là où il y avait les autres fauteuils roulants. J’ai dit: «Il s’agit du vieux monsieur maintenant.» C’était à une distance correspondant à environ deux fois la longueur de cette salle. J’ai dit: «Il s’agit du vieil homme maintenant.»
Et il était en train de pleurer, j’ai continué et j’ai dit à mon frère d’appeler la ligne de prière. Et nous nous sommes donc mis à aligner les gens, et alors, la chose suivante qui se produisit, eh bien, on avait installé ici un micro baladeur, et M. Baxter a dit: «Frère Branham,» a-t-il dit–a-t-il dit: «Ce vieil homme à qui vous parliez est un membre du Congrès des Etats-Unis. C’est William D. Upshaw.»
J’ai dit: «J’ignore qui c’était.»
Il a dit: «Il désire vous parler par ce micro.»
Et il a dit: «Mon fils, comment avez-vous su que j’étais tombé et me suis fait mal lorsque j’étais petit?»
J’ai dit: «Je ne peux pas vous le dire, monsieur. Je n’ai jamais entendu parler de vous de ma vie. Je suis désolé.»
Et il a dit: «Eh bien, j’étais le président de la Convention Baptiste du Sud.» Il a dit: «C’est le Docteur Davis, la personne qui vous a ordonné dans l’Eglise baptiste, qui m’a envoyé ici vous voir.»
J’ai dit: «Je connais bien le docteur Davis.»
Il a dit: «On avait prié pour moi.» Il a dit: «Je suis un infirme et je suis resté dans ce fauteuil roulant pendant soixante-six ans.»
Et il a dit: «J’ai maintenant quatre-vingt-six ans.» Et il a dit: «J’ai fait confiance à Dieu depuis que j’avais dix-sept ans, quand j’ai été blessé, qu’Il me guérirait.» Il a dit: «Pensez-vous que je serai guéri?»
J’ai dit: «Je ne saurais vous le dire, monsieur.» J’ai dit: «Je ne peux dire que ce que je vois.»
Il a dit: «Que Dieu vous bénisse, mon garçon.»
Et j’ai dit: «Merci, gentil monsieur.» Et je me suis tourné de ce côté et alors, mon frère, qui était le huissier en chef dans la réunion, était en train d’aligner les gens là.
24 Et j’ai regardé de ce côté, et j’ai vu un jeune médecin portant une de ces blouses de médecin avec le col comme ceci. Il portait un objet ici sur son front, une torche qui réfléchit la lumière (j’oublie le nom de cet instrument). Il avait les bras croisés, et il portait des lunettes en écailles de tortue, et il secouait la tête.
Alors que la vision se précisait davantage, j’ai regardé en dessous de lui. Il y avait une fillette de couleur, d’environ six ou sept ans. Et il lui avait enlevé les amygdales. Cela n’avait pas réussi, et elle en est sortie paralysée.
Et comme je relatais la vision qui apparaissait devant moi, loin à distance... Oh! la salle avait plusieurs fois la longueur de celle-ci. J’ai entendu une Tante Jemima typique [une grosse femme de couleur–N.D.T.] pousser un très grand cri, et elle s’élança là, une femme très corpulente. Et elle bousculait simplement les huissiers à droite et à gauche avec le... en tirant un brancard derrière elle. Elle a dit: «Seigneur, aie pitié. C’était mon enfant.»
25 Et ils devaient donc aligner un groupe de gens, parce qu’on n’est pas censé monter sur l’estrade sans carte de prière. En effet, c’est le moyen légitime que nous avons pour le faire. C’est le seul moyen par lequel nous pouvons le faire. Alors les huissiers devaient la faire partir de la ligne. Et ils ont dû frayer une voie là. Et elle criait et faisait des histoires.
Elle a dit: «Pasteur, c’était mon enfant.» Elle a dit: «Va-t-elle se rétablir?»
J’ai dit: «Je ne sais pas, Tantine. La seule chose que je peux dire, c’est ce que je vois.» Voyez-vous? «Mais cela...»
Elle a dit: «C’était exactement la description du médecin. Et ça fait à peu près deux ans.»
J’ai dit: «C’est la même fillette.» On avait retiré d’elle la couverture. J’ai dit: «C’est la même fillette.»
Elle a dit: «Eh bien, est-elle guérie?»
J’ai dit: «Tantine, je ne saurais vous le dire. La seule chose que je sais, c’est juste ce que je regarde et vois.» J’ai dit: «C’est seulement par vision.»
Et elle a dit: «J’ai prié, prié et prié pour cela.»
Et j’ai dit: «Bien; je ne sais pas, Tantine.»
J’ai dit: «Howard, es-tu prêt pour que la première personne vienne?»
Il a dit: «Oui.»
26 Une dame a commencé à monter. Je me suis retourné pour regarder encore l’auditoire afin de leur demander d’être révérencieux. J’ai vu juste comme une traînée noire se déplacer. Et cela continuait à venir comme cela. Et en fait, c’était comme une rue, ou quelque chose comme ça, ou une route. Et cette fillette de couleur descendait la route avec une poupée dans les bras, la berçant comme ceci. La chose était là.
Eh bien, c’est la Parole du Seigneur rendue manifeste. Voyez-vous? Maintenant, peu importe ce qui pouvait arriver, toutes les forces de l’enfer ne pourraient pas faire face à cela. Cette femme n’avait même pas besoin d’avoir la foi. Elle n’avait pas besoin d’avoir quoi que ce soit, parce que Dieu l’avait dit. C’était la Parole de Dieu matérialisée. J’avais alors l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
J’ai dit: «Tantine, comme vous avez été aussi respectueuse, Dieu vous a récompensée. Et votre enfant est guérie.» Elle s’est mise à crier et à embrasser son enfant.
Elle a dit: «Oh! pasteur, quand mon enfant va-t-elle se rétablir? Quand...?»
J’ai dit: «Elle est guérie maintenant, Tantine.» J’ai dit...
Elle a dit: «Peut...?» Et l’enfant...
Elle a dit: «Regarde ici, maman.» Et elle s’est levée comme cela. Et la pauvre est tombée à la renverse comme cela et s’est mise à crier, et les femmes ont commencé à s’évanouir et à s’écrouler.
27 Et on les a relevées, et il y a eu un vacarme pendant un petit moment. Et lorsqu’on a relevé la fille et sa mère, elles se tenaient par la main, elles ont marché là devant ces milliers de gens, la mère et la fille.
L’homme qui conduisait l’ambulance se tenait là, avec une mine accusant une grande fatigue. Et il a récupéré le brancard. J’ai dit: «Voyez-vous ce que le Seigneur Jésus peut faire?»
28 Et comme je regardais, j’ai vu ce vieux sénateur comme une ombre en train de marcher comme cela. Et il était assis là, portant un costume bleu et une cravate rouge. Seulement dans la vision il portait un costume brun, un costume plutôt de couleur brune rayé de blanc.
Et j’ai dit: «Monsieur le sénateur, avez-vous un costume brun rayé de blanc?»
Il a dit: «Mon fils, j’en ai acheté un, tout juste hier.»
J’ai dit: «Vous avez été un homme très respectueux et cela–vous avez honoré Dieu toutes ces années. Et comme vous avez honoré et eu foi en Dieu, Dieu a... vous récompense maintenant, en vous donnant de derniers jours heureux. Vous pouvez marcher, monsieur le sénateur. Le Seigneur Jésus-Christ vous a guéri, AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Il a dit: «Quand serai-je en mesure de marcher, mon garçon?»
Et j’ai dit: «Maintenant même, Monsieur le Sénateur.» Et il quitta d’un bond ce fauteuil, il mit de côté... Il avait de grandes béquilles qui passaient au-dessus de ses épaules, lorsqu’il se tenait debout avec; c’était comme soeur Roosevelt, je... comme cela dans son dos.
29 Et un homme, alors que normalement Dieu aurait dû le guérir lorsqu’il était jeune (dix-sept ans) et non pas attendre qu’il ait soixante-six ou–ou plutôt quatre-vingt-six ans. Et son dos, tous ses os étaient fragiles. Mais cet homme, pour la première fois, à quatre-vingt-six ans, depuis qu’il était infirme pendant soixante-six ans, s’est levé.
Oh! bien sûr, Satan disait: «Tu vas lui briser le dos s’il se lève de là.» Mais ça c’est ce que Satan disait, mais Dieu l’avait dit. Voyez? Dieu l’avait dit. Ensuite la Parole fut manifestée. Voyez-vous? Et l’homme marchait normalement et bien. Il a parcouru les Etats-Unis, la Grande Bretagne, partout dans le monde connu, et il a même envoyé une lettre à Joseph Staline sur cela. C’est un ami intime de Churchill. Beaucoup parmi vous ont vu le sénateur Upshaw, je pense, après sa guérison. Combien? Levez la main ceux qui savent cela. Voyez...?...
30 Et maintenant, qu’est-ce? C’est la Parole rendue manifeste. Si ce n’est pas trop, si cela ne prend pas trop de temps, j’aimerais terminer ce témoignage dans quelques minutes. Sur mon chemin du retour... En rentrant à la maison, je suis entré et ma femme m’a dit, elle a dit: «Chéri, ton vieil ami est mourant.»
J’ai dit: «Qui ça?»
Elle a dit: «M. Hall.»
Lorsque la petite Georgie Carter était restée couchée dans le lit pendant neuf ans et huit mois, là à trente-cinq miles [56 km–N.D.T.] au sud de... Je n’avais jamais de ma vie entendu parler de cette ville, c’était un petit endroit. Le Seigneur me donna une vision. Je me rendis là, et elle fut guérie. Elle quitta le lit après être restée couchée là pendant neuf ans et huit mois; et elle pesait trente-cinq livres [15,8 kg]. Si vous désirez lui écrire, vous pouvez avoir–lui écrire. Mlle Georgie Carter, Milltown, Indiana. Elle est maintenant ma pianiste à l’Eglise baptiste de Milltown.
31 Et puis, M. Hall a été converti. En effet, il était un homme très très déplaisant. Et il fut converti au cours de la même réunion. Et c’est lui qui est le pasteur là-bas maintenant.
Et alors, elle a dit: «M. Hall a été déclaré atteint d’un cancer du foie.» Et elle a dit: «Il est couché dans la maison de sa soeur, et sa soeur est mariée au frère du juge de la ville, et il est chez lui. On l’a amené ici. Il est mourant. Il t’appelle.»
Et j’ai dit: «Bien, allons le voir.» Et je suis allé voir frère Hall. Et il était jaune comme tout. Le cancer dans le foie avait commencé par une sclérose du foie, et c’est devenu un cancer. J’ai dit: «Qui est votre médecin, Frère Hall?»
Il a dit: «Le docteur Dillman.» Le docteur Dillman est un ami intime.
J’ai dit: «De quoi s’agit-il, Frère Hall?»
Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, je pense que c’est juste la fin de la route pour moi.» Il a dit: «Je pense que c’est tout ce qui peut être fait, à moins que le Seigneur fasse quelque chose pour moi.»
J’ai dit: «Bien, je vais prier, Frère Hall.» Et nous avons prié. Et le jour suivant, je suis retourné; son état avait empiré. Le deuxième jour, son état devenait toujours pire. Il semblait qu’il allait mourir. Mme Hall est sortie et a dit: «Frère Branham, est-ce que vous savez quelque chose?»
J’ai dit: «Soeur Hall, j’ai vraiment imploré Dieu, de tout mon coeur.» La Parole de Dieu reste toujours la Parole de Dieu. Mais Elle n’était pas encore venue à ce moment-là. Voyez-vous? Elle ne m’avait pas été donnée. Elle ne lui avait pas été donnée. Mais c’est toujours la Parole de Dieu, Elle n’était pas bien ancrée.
32 Alors nous sommes retournés. Mme Hall a dit: «Frère Branham, y a-t-il quelque chose que vous puissiez faire pour lui?»
J’ai dit: «Eh bien...»
Elle a dit: «Connaissez-vous un autre médecin?»
J’ai dit: «Les médecins sont juste comme tout le reste, vous devez avoir foi en eux.» J’ai dit: «Le docteur Sam Adair, qui est ici dans la ville, c’est notre médecin.» C’est un homme très bien, j’ai étudié avec lui. Nous avons pêché ensemble, chassé ensemble, joué ensemble; et maintenant nous travaillons ensemble. Et il envoie ses patients qu’ils ne peuvent pas soigner par la médecine; il leur dit: «Allez voir frère Branham et voyez...» Et vous devriez voir ce qui a été fait pour lui. Nous verrons cela un peu plus tard, à un moment donné.
33 Mais écrivez-lui et demandez-lui à ce sujet. C’est un spécialiste. J’ai appelé le docteur Adair et je lui ai demandé s’il pouvait aller voir M. Hall.
Il a dit: «Je vais aller voir les clichés de la radiographie à l’hôpital.» Il est parti. Il m’a rappelé et a dit: «Oui, Billy. Il a le cancer.»
J’ai dit: «Je vous en prie, y a-t-il un endroit où vous pouvez l’envoyer?»
Il a dit: «Vous pouvez l’envoyer à la clinique Able, à Louisville, pour que le cas soit examiné.» On a pris une–une ambulance, et on l’a emmené là-bas. Il était alors à l’article de la mort. On l’a emmené là-bas, et ils n’ont pas voulu leur remettre le diagnostic. Ils ont rappelé le docteur Adair. Et il m’a appelé; il a dit: «Billy!»
J’ai dit: «Oui.»
Il a dit: «Votre ami prédicateur va passer par-dessus bord dans quatre jours.»
J’ai dit: «Il va mourir, docteur?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Oh! la la! il n’y a rien que vous puissiez faire?»
Il a dit: «Billy, on ne peut pas lui enlever le foie sans qu’il meure.»
Il a dit: «Il n’y a rien que l’on puisse faire. Cet homme est mourant.» Il a dit: «C’est un prédicateur. Il devrait être prêt.»
J’ai dit: «Oh! il est prêt. Mais c’est un jeune homme.» J’ai dit: «Il n’a pas plus de cinquante-cinq ans. Il peut faire encore beaucoup pour le Seigneur.» J’ai dit: «J’ignore la raison pour laquelle Dieu le reprend.»
Il a dit: «Bien, Bill, c’est difficile à comprendre pour quiconque. Nous devons simplement accepter cela.»
J’ai dit: «C’est vrai.» C’était donc dur d’aller le dire à ma soeur Hall.
34 Mais je suis descendu ce soir-là, et j’ai dit: «Soeur Hall, le médecin a dit que dans quatre jours M. Hall sera parti. Il va mourir dans quatre jours.» Et elle se mit à pleurer.
J’ai dit: «Maintenant, Soeur Hall, vous ne devez pas oublier que c’est un chrétien. Il est prêt pour partir. Et si cette tente terrestre est détruite, nous en avons déjà une qui attend.» Voyez?
J’ai dit: «Il serait bien mieux. Bien sûr, vous resterez seule. A votre âge donc sans enfant.» J’ai dit: «Vous resterez seule, bien sûr. Mais vous n’oubliez pas, Dieu sait ce qu’il y a de mieux et fait tout concourir pour le mieux.»
Elle a dit: «Frère Branham, Dieu vous a-t-Il déjà dit un mot à ce sujet?»
J’ai dit: «Soeur Hall, Il ne m’a rien dit.» J’ai dit: «J’ai prié de tout mon coeur. Peut-être qu’Il va juste le laisser mourir.»
Elle a dit: «Pensez-vous qu’il va mourir?»
J’ai dit: «Oui, je le crois. Je crois qu’il va mourir. Parce que de toute évidence, tout est contre lui, Soeur Hall.»
Et j’ai dit: «Tout... Et à ce que je sache, il n’y a rien qui puisse être fait. Ça doit être la volonté du Seigneur.» J’ai dit: «Je ne saurais le dire.»
Alors elle s’est mise à pleurer, la pauvre créature. Et c’est à peine s’il vivait. Il pouvait saisir de temps à autre. Il était inconscient la plupart du temps.
35 Le jour suivant, j’avais un jour de congé. Et je–j’aime chasser l’écureuil. Mais alors, j’avais là un vieux petit calibre 22. Je comptais aller chasser l’écureuil dans les bois afin de me reposer un peu. D’habitude je pars m’asseoir sous un arbre et je m’endors, et je dors le reste de la journée. Parce que je suis–je m’éloigne simplement des foules pour un petit moment; en effet, vous savez ce qui se passe là-bas à la maison.
Le lendemain matin, de bonne heure, nous avons terminé avec la foule qu’il y avait à la maison vers minuit ou une heure. Et j’ai réglé le réveil à trois heures. Je me suis réveillé de bonne heure, et j’ai pris mon vieux petit fusil pour chasser l’écureuil et mon vieux chapeau, et je commençai à sortir pour aller chasser l’écureuil. J’ai regardé dehors sur la route. Il n’y avait personne là-dehors, alors je... Et lorsque j’ai traversé la chambre... Et lorsque je suis entré dans le vestibule, il y avait, suspendue là dans la pièce, une toute petite vieille pomme d’à peu près cette grosseur; elle était verte, noueuse, rongée par les vers. Et je me suis dit: «Pourquoi ma femme a-t-elle accroché ça au mur?» C’était la chose à l’apparence la plus horrible. Vous avez déjà vu ces vieilles petites pommes, comme celles d’un arbre qui n’a pas été traité, vous savez, qui sont vraiment noueuses et vilaines.
Et alors j’ai dit: «Pourquoi a-t-elle accroché cela au mur?» Et je me suis mis à passer, et j’ai regardé encore. Et elle n’était pas accrochée au mur; elle était simplement suspendue en l’air. Et j’ai compris que cela signifiait quelque chose. Je me suis agenouillé. J’ai dit: «Qu’est-ce que Mon Père céleste veut faire connaître à Son serviteur?»
36 Et j’ai regardé et voici qu’une autre pomme était suspendue à côté de celle-là. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il y en avait cinq suspendues là, à peu près juste... elles formaient comme une grappe, cinq de ces petites pommes noueuses. Puis est descendue une très grosse pomme avec des rayures rouges et jaunes. Et elle a juste englouti cela très bruyamment comme cela, et a continué: «Chom, chom, chom, chom», et a dévoré toutes les cinq.
Et ensuite la pomme disparut, et cette Lumière (qui se trouve sur la photo que vous avez tous vue ici) était suspendue juste au-dessus de cela, faisant «Whewww.» J’ai dit: «Qu’est-ce que mon Seigneur veut faire connaître à Son serviteur?»
Il a dit: «Lève-toi.» Et je me suis levé. Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, va dire à M. Hall qu’il ne mourra pas, mais qu’il vivra.» Et c’était bien cela. Plus question d’aller chasser l’écureuil ce jour-là. Je suis rentré en courant, j’ai réveillé ma femme et je lui en ai parlé.
Elle a dit: «Oh! puis-je aller avec toi?»
J’ai dit: «Oui.» Et nous nous sommes apprêtés à l’aube. Nous nous sommes rendus là. M. Hall était... On l’avait étendu sur le dos, et on lui frictionnait les mains et tout. Et–et je suis entré. Et je–j’ai dit: «Il n’est pas parti?»
Il a dit–dit: «Non, il n’est pas parti, Frère Branham, mais il est en train de partir.» Il a dit: «Il se débat.» Et ses yeux étaient révulsés.
J’ai dit: «Soeur Hall!»
Elle a dit: «Pourquoi avez-vous une mine si heureuse?»
J’ai dit: «J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Oh! personne ne sait jamais ce que cela signifie alors.
Elle a dit: «Est-ce une bonne nouvelle?»
J’ai dit: «Oui.»
Elle a dit: «Oh! laquelle?»
Et j’ai dit: «Entrons simplement maintenant. Rassemblez tout le monde autour du lit.» Nous nous sommes rassemblés autour du lit.
Les yeux de M. Hall étaient révulsés comme cela, et il était tout jaune. Et il ne cessait de crier: «Que quelqu’un me frictionne les mains.»
J’ai dit: «Frère Hall, m’entendez-vous?»
Il a dit: «Qui est-ce?»
Et j’ai dit: «C’est frère Bill.»
Il a dit: «Oh! je ne suis pas encore parti, Frère Bill?»
J’ai dit: «Vous n’allez plus partir maintenant, Frère Hall. J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. J’ai eu une vision ce matin, il y a environ deux heures», et je lui ai raconté ce que c’était. Et j’ai dit: «Frère Hall, vous allez vivre.»
37 Je suis sorti de la salle, je suis rentré à la maison, et j’ai appelé le docteur Adair et j’ai dit: «Docteur Adair!» J’ai dit: «Vous connaissez l’homme qui devait passer par-dessus bord dans quatre jours?»
Il a dit: «Oui. Est-il mort?»
Et j’ai dit: «Non, il ne va pas mourir.»
Il a dit: «Que voulez-vous dire?» J’ai dit... Il a dit: «Comment va-t-il vivre avec ce cancer en lui?»
J’ai dit: «Je ne sais pas, mais il va vivre.» J’ai dit: «Parce que le Seigneur l’a dit.» Ça, c’est la Parole de Dieu, c’est certain. Voyez-vous? Voilà. C’était sur une bonne terre là, alors...
Alors il a dit: «Eh bien, Billy, a-t-il dit, je n’ai jamais voulu douter de vous.» Et il a dit: «J’ai vu bien des choses être accomplies. Je n’ai jamais douté de vous de ma vie, mais il faudra que le vieux médecin voie cela.»
J’ai dit: «Bien, vous ne mourrez pas de vieillesse parce que–jusqu’à ce que vous voyiez cela.» Et j’ai dit: «Vous–vous verrez.» Et je me suis rendu à Erie, en Pennsylvanie, et par là, et j’ai effectué un voyage de six semaines, je suis rentré pour un jour. Je devais me rendre en Afrique après cela.
38 Nous avions le gymnase d’une école secondaire là-bas. Il avait une capacité d’à peu près cinq mille cinq cents personnes. Et certains d’entre vous étaient probablement là ce soir-là, à ce que je sache. Il se peut qu’il y ait des gens qui étaient présents. Nous avons eu une seule soirée dans le gymnase qui... Il y avait tellement de gens là-bas, il y avait à peu près le même nombre de gens à l’extérieur, et la police était là-dehors, essayant de maintenir l’ordre, et–pour cette seule soirée. Et quand je suis entré, les gens étaient simplement entassés au point que vous ne pouviez pas voir jusqu’où cela s’étendait; il y en avait simplement partout.
Et j’ai regardé comme par hasard, le docteur Balden, un grand ami à moi, était assis devant moi. Je... Sa femme avait été guérie de l’asthme chez moi à la maison. J’ai dit: «Je suis content de vous voir, Docteur Balden.»
Il a dit: «Merci, Billy.» Il s’est mis debout.
J’ai regardé là, le docteur Dillman de Corydon était assis là dans les gradins.
J’ai dit: «Bonsoir, docteur. Je suis heureux de vous voir ici ce soir.»
J’ai regardé comme par hasard, et voilà que le docteur Sam Adair se tenait à la porte. Il ne pouvait pas entrer. J’ai dit: «Bonsoir Docteur Adair.» J’ai dit: «Je suis désolé que nous n’ayons pas un siège pour vous; mais, ai-je dit, puisse le Seigneur vous bénir.» Oui. Et j’ai regardé comme par hasard, et voilà que frère Hall était assis là derrière, tout au fond. Il me fit signe de la main comme ceci, vous savez.
39 J’ai dit: «Docteur Dillman, vous souvenez-vous d’un patient que vous aviez il n’y a pas longtemps, du nom de William Hall?» J’ai dit: «Docteur Adair, connaissez-vous celui dont vous aviez dit qu’il devait passer par-dessus bord dans quatre jours, et qu’il fallait que le vieux docteur voie cela?»
Evidemment, il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Voulez-vous témoigner, Frère Hall?»
Il a dit: «Gloire au Seigneur! dois-je témoigner?» Et il s’est levé et il a donné un témoignage là. Ils l’ont emmené et l’ont examiné ce même soir-là, ils n’ont pu trouver aucune trace de cela nulle part. Il pèse cent quatre-vingt-cinq livres [83,9 kg–N.D.T.], il est en parfaite santé. Le révérend William Hall, de Milltown dans l’Indiana, si vous voulez lui écrire.
40 Il nous reste six minutes maintenant avant que nous ne commencions la ligne de prière. Peut-être encore un petit incident de plus. «La prière de la foi sauvera le malade, Dieu le relèvera.» Vous ne pouvez pas baser votre foi sur une espérance. Vous devez... La foi est certaine. Toute personne qui a une vue normale et qui regardera ma chemise dira qu’elle est blanche. L’un des sens déclare et dit qu’elle est blanche.
Eh bien, si vous avez la foi qui dit que vous allez être guéri, de façon tout aussi réelle et certaine que votre vue déclare que c’est blanc, alors vous avez la foi. Cela va arriver. Mais cela doit être réel... une certaine déclaration pour le prouver.
41 Nous sommes tout près du Missouri, c’est l’état du «Prouve-le moi». Ils disent: «Voir c’est croire.» Vous avez entendu cela, n’est-ce pas? Vous... Combien ont déjà entendu ce vieux dicton? Voyez-vous? Voyons simplement combien cela est déraisonnable.
Venez ici, Frère Brewer. Merci. Un homme aux cheveux noirs se tient devant moi, il porte une cravate rayée et un costume gris, je déclare que c’est une couleur entre le gris et le brun. Combien croient que c’est la vérité? Tout celui qui peut le voir croit cela. Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen par lequel je sais que cet homme se tient là, c’est par la vue. C’est voir.
42 Maintenant, l’homme se tient là, mais je ne le vois pas. Il n’y a pas moyen du tout pour moi de le voir, pourtant je sais qu’il est là. Je sais qu’il est là, tout aussi réel que si je le regardais. Voulez-vous discuter avec moi, pour dire qu’il n’est pas là? Maintenant voir ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Je possède un autre sens, et c’est le toucher. Je peux sentir qu’il est là. Il est tout aussi réel que s’il est–je le regardais. Voir ce n’est pas croire, maintenant toucher c’est croire.
Maintenant, il m’est impossible de le toucher. Je ne suis plus du tout en contact avec lui. Pourtant, je crois qu’il est là, parce que je le vois. Retournez-vous, jouez une ou deux notes (Merci, Frère Brewer) sur ce piano. Combien ont entendu cela? Combien ont vu cette musique? Je pensais que voir c’est croire. Voir ce n’est pas croire; là, entendre c’est croire. Est-ce vrai? Avez-vous vu cela? Non. Avez-vous touché cela? Avez-vous goûté cela? Avez-vous senti l’odeur de cela? Non. Vous avez entendu cela.
Maintenant, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que vous ne voyez pas, que vous ne goûtez pas, ne touchez pas, ne sentez pas ni n’entendez. Voyez? C’est juste un fait réel, vous êtes certain de cela. Voyez-vous? Et cela doit avoir un fondement quelque part, non pas juste sur un mythe. Cela doit avoir pour fondement l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous savez donc où cela se trouve. Donc c’est–c’est vrai. Cela est rendu réel.
43 M. Le révérend Johnson, à ce que je sache, il pourrait se trouver ici maintenant. J’étais un prédicateur baptiste, il était un méthodiste, et nous avions l’habitude de tenir des réveils. Nous sommes tous deux originaires du même coin du Kentucky. Il a emménagé dans l’Indiana, il était pasteur de l’Eglise méthodiste de Main Street, une très belle église de New Albany. Moi j’avais un petit tabernacle à Jeffersonville.
Après que le Seigneur a commencé à bénir les réunions, il a commencé à venir, il a dit: «Billy, vous devriez venir m’accorder une seule soirée.»
J’ai dit: «Pas pour prier pour les malades, Frère Johnson. Je suis à la maison pour me reposer.»
Il a dit: «Bien, venez simplement prêcher pour moi une seule soirée.» Eh bien, j’y suis allé. Il a dit: «Je vous promets que nous n’allons pas vous demander de prier pour les malades.»
J’ai dit: «Ce n’est pas que je ne veuille pas, mais le problème est que je–je ne... même pas... Nous... J’habite ma maison depuis cinq ans, et pas une seule fois nous n’avons mangé dans notre maison sans que les stores de la fenêtre de la cuisine soient baissés.» Les gens sont... C’est comme cela... C’est juste comme lorsque je rentre à la maison. Chez-moi ce n’est pas chez-moi. Mais aussi longtemps que vous pouvez aider quelqu’un, c’est en ordre. Voyez?
44 Ainsi, lorsque ça devient insupportable, je quitte alors et je pars quelque part dans les montagnes, et je me repose une semaine ou deux, puis je reviens. Ainsi donc, lorsque... En allant à l’église ce soir-là, ils n’ont pas pu... Ils me firent entrer par une fenêtre de derrière. (Deux hommes se sont baissés, m’ont soulevé et m’ont fait entrer.) Il m’a dit de descendre au bas de l’escalier, il a dit: «Je vous avais dit, Billy, que vous ne prieriez pour personne, je ne voudrais pas vous demander de le faire.» Mais il a dit: «Nous avons une monitrice de l’école du dimanche ici, une jeune fille aimable, une femme, une jeune mariée.» Il a dit: «Elle est complètement fichue, presque.» Il a dit: «C’est une névrosée.» Il a dit: «Si vous pouvez juste lui imposer les mains, a-t-il dit, je pense que cela la satisferait.»
Il a dit: «Elle a été partout, on a prié pour elle.»
J’ai dit: «D’accord, frère Johnson.»
Et je suis descendu; je pensais que j’allais voir une femme en camisole de force; une charmante petite femme se tenait là: elle semblait avoir à peu près trente ans, une douce petite femme dans son bon sens. Elle a dit: «Bonsoir, Frère Branham.»
J’ai dit: «Est-ce vous la patiente?»
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Je m’attendais à vous voir en camisole de force.»
J’ai dit: «Quel est votre problème, soeur?»
Et elle a dit: «Je ne sais pas, Frère Branham.»
J’ai dit: «Depuis quand souffrez-vous de cela?»
Elle a dit: «A peu près huit ans.» Et elle a dit: «J’ai tout fait.» Et elle a dit: «Je–je sais que j’ai perdu la raison.»
J’ai dit: «Je ne pense pas que ce soit le cas.» J’ai dit: «Croyez-vous au Seigneur Jésus?»
Elle a dit: «Oh! absolument.» Elle a dit: «J’ai une belle classe de l’école du dimanche de jeunes filles. A la mission de la 18e rue, je tiens là un service le dimanche après-midi et ainsi de suite, et j’enseigne un grand nombre d’enfants.» J’ai prié pour elle, je suis sorti. Et deux ou trois jours plus tard, je l’ai rencontrée dans la rue (ma femme et moi).
45 Alors lorsque nous l’avons rencontrée, eh bien, elle est entrée au Fair Store, ou je crois que c’était au White House. J’ai dit: «Voilà la dame en question.»
Et je–j’ai dit: «Comment vous sentez-vous?» Elle était en compagnie de deux femmes.
Elle a dit: «Oh! Frère Branham, mon état s’est plutôt aggravé.» Elle a dit: «Je–je ne sais simplement pas ce que je vais faire.» Elle a dit: «Je–je crois que je ne peux pas vivre une semaine de plus.» Et ainsi, elle était dans un état terrible. Et je suis entré là et j’ai prié pour elle à l’écart, aussi respectueusement que possible. Et j’ai dit: «Continuez votre route, maintenant, croyez.» Et nous sommes partis, je suis parti pour un long moment avant de revenir. Et elle ne cessait d’appeler mon épouse au téléphone.
Elle disait: «Quand frère Branham tiendra une réunion pendant laquelle, il sera sous cette onction, disait-elle, c’est là la chose qu’il faut pour chasser ce démon de moi.»
Elle disait: «Quelque chose doit faire cela.»
Elle disait: «Je n’y arrive simplement pas. Partout dans le pays, des hommes [de Dieu] ont prié pour moi.» Et elle disait: «Et je... juste... Les médecins ne peuvent rien faire.» Elle dépensait dix dollars chaque semaine, depuis des années, pour se rendre chez ce fameux psychiatre de Louisville. Rien ne pouvait l’aider.
46 Alors un matin, lorsque cette vision que j’ai écrite juste ici m’a été donnée, la Parole du Seigneur, qui va s’accomplir en Afrique et en Inde... Je vais vous la raconter afin que vous puissiez l’écrire. Voyez si cela n’arrive pas textuellement tel qu’Il l’a dit. Ce matin-là, Il est venu dans la pièce où je me trouvais.
Et lorsque ma femme est sortie là, elle a dit: «Billy, laisse-moi appeler d’abord cette jeune femme, s’il te plaît.»
Elle a dit: «La pauvre petite créature.» Elle a dit: «Elle est en si mauvais état.»
J’ai dit: «Très bien. Tu peux l’appeler.»
Alors avant qu’elle n’arrive là, il y avait là d’autres personnes. Et, il y avait un homme qui venait de– de l’Eglise baptiste de Walnut Street, à Louisville, il était atteint d’un cancer du foie. Il est... Il y a trois–deux ans de cela, ça va faire trois ans. Et il est maintenant un membre de mon église là-bas, le petit tabernacle. Il vient tout le temps. Alors le Seigneur lui a dit ce qu’il avait fait. Il était un joueur de baseball, et le Seigneur lui a dit quelque chose qu’il avait fait et qu’il devait mettre en ordre. Et il l’a fait. Il a survécu.
47 Alors, lorsque la petite femme est entrée, elle s’est assise. J’ai demandé à mon épouse de la conduire dans mon bureau. J’ai dit: «Je veux que nous soyons seuls.» Et nous nous sommes installés; je me suis simplement mis à lui parler, juste comme je le fais ici à l’estrade. Et elle a dit... J’ai dit: «Quel est votre problème, soeur?»
Elle a dit: «Frère Branham, je ne sais pas.» Elle a dit: «Je... On dirait que tout a simplement disparu, et je sens comme si je marchais sur la terre, que s’il m’arrivait de la secouer, elle va... Je sais qu’elle est suspendue dans l’espace, a-t-elle dit, elle va–elle va s’affaisser.»
J’ai dit: «Oh! la la! vous n’avez pas ce poids-là.» Cela a donc continué juste comme cela.
Et elle a dit: «Bien, j’ignore simplement ce qui ne va pas.» Elle a dit: «Je sais que je suis folle. Je–je sais que je le suis vraiment.» Elle a dit: «Je suis folle.» Et elle a dit: «On va m’envoyer dans un asile d’aliénés.» Et lorsque vous vous mettiez à lui parler, vous pouviez voir qu’il y avait donc un problème.
Alors j’ai dit: «Bien, parlons simplement vous et moi, vous savez, par exemple, au sujet d’une Ecriture ou quelque chose comme ça.»
Et elle a dit: «Très bien.» Elle ne cessait de se tordre les mains, et elle prenait son gant, et le roulait comme cela.
Et j’ai dit: «Maintenant, je voudrais juste que vous déposiez vos gants, soeur, et que vous soyez simplement–simplement détendue.»
Elle a dit: «Oh! je n’y arrive pas, Frère Branham.» Elle a dit: «J’aurais aimé pouvoir le faire.» Elle a dit: «Mais je n’y arrive pas.»
J’ai dit: «Etes-vous–êtes-vous une chrétienne?»
«Oui, tout à fait.»
J’ai dit: «Frère Johnson m’a dit que vous étiez une de ses membres les plus remarquables, et il a dit, les plus fidèles.» Et il...
Elle a dit: «Bien, je suis reconnaissante pour cela.» Et elle a dit: «J’essaie de l’être.» Et j’ai continué à l’observer. Et il m’arriva de voir droit en face de nous, voilà venir une petite voiture noire. Et je l’ai vue entrer dans l’ombre.
J’ai dit: «Avez-vous déjà connu un accident d’auto?»
Elle a dit: «Pas du tout. Non, je n’ai jamais connu un accident d’auto.»
48 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... par litre. On peut vous oindre chaque jour. Tout le monde pourra se tenir autour de vous et crier, taper du pied, hurler, brailler.» J’ai dit: «Ce démon restera juste là, parce qu’il a le droit légal d’y rester.» J’ai dit: «Maintenant, voilà votre problème, si...» Elle... J’ai dit...
Elle a dit: «Que dois-je faire?»
J’ai dit: «Allez le dire à votre mari. Mettez cela en ordre.»
Elle a dit: «Oh! je... Frère Branham, j’ai deux enfants, a-t-elle dit, cela briserait notre foyer.»
J’ai dit: «Eh bien, c’est tout ce que je sais, soeur.» J’ai dit: «Eh bien, tous les psychiatres du monde ne peuvent pas vous débarrasser de cela. Personne ne le sait à part vous, cet homme-là et moi. Et le Seigneur le savait. C’est pourquoi Il l’a révélé.»
Et elle a dit: «Bien, je–je ne peux simplement pas le faire. Je ne peux pas le faire.»
J’ai dit: «Bien, maintenant...» Bien sûr, cela... voyez? Je suis sorti.
Et elle a dit: «Non, non. Un instant, Frère Branham.» Elle a dit: «Ne partez pas. Ne partez pas. Un instant.» Et elle pleurait. La pauvre petite, j’ai eu pitié d’elle! Mais il n’y a qu’une... C’est une chose d’avoir pitié de quelqu’un, mais alors voilà le problème: vous devez être sincère avec les gens. C’est ça le problème aujourd’hui. Nous usons trop de la sympathie vaine. C’est vrai, vous devez dire la vérité et Dieu honorera la vérité.
49 Alors elle est sortie, ou plutôt je suis sorti, et elle m’a suivi, et–et je me suis retourné pour la regarder, et là dans la pièce se tenait juste à ses côtés un homme de grande taille aux cheveux noirs, ondulés, ramenés de côté.
J’ai dit: «Votre mari est-il un homme de grande taille aux cheveux noirs et ondulés?»
Elle a dit: «Oui, monsieur.» Et juste à ce moment-là, il me tourna le dos. Et alors, il avait une Chevrolet portant des écrits à l’arrière.
J’ai dit: «Travaille-t-il pour la compagnie Chevrolet?»
Elle a dit: «Oui.» Elle a dit: «Vous le connaissez?»
J’ai dit: «Non, madame.» Mais j’ai dit: «Il–il a la même chose à vous confesser. Lorsqu’il est arrivé dans un autre pays, là où il était parti», et j’ai dit: «Ça fait moins de trois jours, votre mari se trouvait dans une voiture verte de marque Chevrolet avec une femme qui travaillait au bureau, elle portait un... une femme aux cheveux noirs avec une robe rose, et il vous a été infidèle.»
Elle a dit: «Pas mon mari!»
J’ai dit: «Si.»
Elle a dit: «C’est un diacre à l’église.»
J’ai dit: «Peu m’importe ce qu’il est», j’ai dit: «Ce n’est pas étonnant que frère Johnson passe des moments difficiles là-bas, ai-je dit, avec de telles choses.»
50 Ce sont des choses qui constituent le problème dans la moitié des églises aujourd’hui. Si les gens se mettaient en ordre, on aurait des choses...
Et j’ai dit: «Maintenant, nous avons quatre téléphones par ici.» J’ai dit: «Appelez votre mari, et mettez cela en ordre. Et ensuite, nous parlerons au Seigneur. Mais aussi longtemps que la chose est là, c’est inutile de chercher à faire quoi que ce soit.»
51 Et je suis sorti, et elle... Meda s’est mise à lui parler. Elle est allée et a appelé son mari. Là... Une femme l’accompagnait, elle était assise dans la voiture. Elles sont allées et ils se sont croisés. Quelques minutes après, il est monté avec elle dans la voiture (il l’a rencontrée sur la route). Elle a dit qu’elle avait une confession à faire. Alors elle lui a parlé de son cas. Et elle a dit: «Je veux que tu me pardonnes.»
Il a dit: «Je le ferai.» Et elle a dit: «Eh bien, cela ne fait pas deux jours , a-t-elle dit, n’étais-tu pas avec cette...» Elle connaissait la femme en question.
Et il a dit: «Bien, euh... Où étais-tu?» Et elle... Il a dit...
Elle a dit: «Est-ce la vérité?»
Il a dit: «Qui te l’a dit?»
Elle a dit: «Frère Branham.»
Il a dit: «Chéri, c’est la vérité.» Et il a dit: «Si tu me pardonnes, je te pardonnerai. Et nous serons un... nous allons retourner à l’église et demander à Dieu de nous pardonner tous deux. Et nous allons vivre comme des chrétiens doivent vivre. Et nous élèverons nos enfants dans la bonne voie.»
52 Ma femme a dit: «Penses-tu qu’ils vont revenir?»
J’ai dit: «Oui.» Les gens venaient. Après un moment elle est venue. Elle a dit: «Bill, viens.» Je me trouvais dans la pièce avec d’autres personnes. Et les voilà qui gravissaient les marches, ils avaient passé leurs bras l’un autour de l’autre, les larmes coulant sur leurs joues. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
53 Ô Eternel Dieu, Toi le Grand Jéhovah qui tonna du haut du mont Sinaï et écrivis les commandements, Toi qui tonna du haut du Calvaire et qui dis: «Tout est accompli.» La Parole de Dieu... Qu’est-ce qui était accompli? «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Tout est accompli.
Oh! regardons au Calvaire ce soir, là où tout a été accompli et acceptons cela. Car nous sommes sauvés par Sa grâce au moyen de la foi, reconnaissant que c’est Ton appel et Ton élection. «Nul ne peut venir», as-Tu dit, à moins que Tu ne l’appelles. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»
54 Nous voyons Abraham là-bas, qui ne valait pas plus que tout autre homme, quitter le pays de Chaldée, la ville d’Ur, aller dans la vallée de Schinear; il venait peut-être de Babylone, un idolâtre, mais Dieu, par une élection souveraine, l’avait choisi. «Abraham, Je t’ai sauvé toi et ta postérité après toi.» Ô Dieu, Tu lui as dit de regarder la poussière de la terre et de compter cela, le sable de la mer, et ensuite les étoiles des cieux; c’était innombrable. Sa postérité sortirait de la poussière et irait jusqu’aux étoiles.
Ton Saint-Esprit ce soir... Nous qui sommes morts en Christ nous devenons la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Combien je suis reconnaissant d’être assis avec les élus ce soir. Et ils m’appellent leur frère. Nous T’appelons notre Père. Et nous sommes reconnaissants.
55 Maintenant, manifeste Ton amour et Ta Présence aux gens. Et lorsque Toi, ici sur terre, lorsque Tu as parlé à la femme au puits, Tu as connu son péché. Tu as parlé à Nathanaël, un homme juste, Tu lui as dit ce qu’il faisait avant qu’il ne vienne à la réunion. Et Tu es Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Tu es ressuscité des morts, et maintenant Tu vis éternellement.
Viens, Seigneur Jésus, et oins ce pauvre serviteur inutile, et utilise-le ce soir comme un canal pour apporter Ta Parole à qui Tu veux. Au Nom de Jésus, je le demande. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
56 Les Ecritures déclarent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement: Hébreux 13.8. Et puis, Jésus-Christ a dit: «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. Et encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste?
Maintenant, c’est... Si c’est ça l’Evangile et si c’est la vérité, alors Jésus-Christ va se manifester. Si ce n’est pas la vérité, Il n’était pas le Christ et c’est complètement faux. Nous ne pouvons que confirmer ou infirmer cela. Et si Jésus, lorsqu’Il était ici sur terre, les mêmes oeuvres qu’Il a faites ici sur terre devront se répéter, sinon Il n’a pas... [Espace vide sur la bande]
57 Un Juif bien connu du nom de Nathanaël vint vers Lui, après que Philippe l’eut trouvé et lui eut dit qu’il avait trouvé le Messie. Il... «C’est absurde.» Il ne pouvait croire cela.
Il a dit: «Eh bien, alors...» Pourquoi ne pouvait-il pas croire cela? Lorsqu’Il vint et vit Qui c’était...
Jésus lui a dit, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes, un homme honnête, droit et pieux.
Il a dit: «Rabbi (autrement dit Maître, Docteur, Révérend), Rabbi, quand m’as-Tu connu? Je ne Te connais pas.»
Il a dit: «Avant que Philippe ne t’appelât, quand tu étais sous l’arbre.» Immédiatement, il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Il L’a reconnu. Son nom est immortel ce soir.
58 Aujourd’hui, il aurait probablement dit: «C’est de la télépathie. C’est un sorcier.» Les Juifs en ces jours-là taxèrent Jésus, parce qu’Il faisait cela, ils dirent qu’Il était Béelzébul. Béelzébul, c’est le chef des diseurs de bonne aventure, le pire de tous les démons. Mais Il ne l’était pas. Il était le Seigneur Jésus, le même Jésus, le même Dieu qui était sur les prophètes.
59 Maintenant, chantons Crois seulement pendant quelques minutes, s’il vous plaît. Tout le monde à l’unisson. Il se fait un peu tard. Je suis désolé, je... Vous êtes un auditoire si aimable. Je n’arrête pas de parler, et je ne devrais pas faire cela. Parce que c’est...
Maintenant, vous réalisez... Combien ont vu hier soir la photo de la... C’est la... été prise... La même Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël à travers le désert, a été prise maintenant, et Elle est accrochée à Washington DC, la même Colonne de Feu. Qu’est-ce? C’est le même Dieu.
60 Elle fut manifestée dans un Homme appelé Jésus-Christ. Elle est manifestée aujourd’hui dans Son Eglise, le même Dieu (voyez?), la même Colonne de Feu. Et Le voici, nous avons la preuve de l’Ancien Testament au moyen de la photo. Et vous allez La voir. Regardez de ce côté. Des millions de gens à travers le monde L’ont vue. Sincèrement, Elle se trouve à moins de dix pieds [3 m–N.D.T.] de l’endroit où je me tiens maintenant même.
Et puis, les signes du Messie. Maintenant, puisse le Seigneur accorder cela. Je vais juste regarder dans la ligne. A ce que je sache, aussi loin que je puisse voir, il n’y a personne ici que je connaisse, à part mon propre fils qui se tient ici avec les huissiers et monsieur le révérend Brewer qui est assis ici. Dieu, qui est mon Juge, sait cela. Je ne vois personne d’autre que je connaisse. Vous m’êtes tous inconnus.
61 Si je devais regarder ce petit bébé assis ici et dire qu’il est hydrocéphale, eh bien, ça ne serait pas un mystère. Vous diriez: «Bien sûr, je vois cela.» Mais la personne qui paraît bien portante, c’est celle qu’il faut. Maintenant, combien là-bas n’ont pas de cartes de prière et veulent être guéris? Faites voir votre main, partout. Levez votre main, partout, ceux qui veulent... Juste pour que je... Maintenant, je vais vous demander... Maintenant, quatre-vingt-dix pour cent d’entre vous n’ont pas de cartes de prière, parce qu’il n’y a qu’un certain nombre de cartes de prière qui ont été distribuées. En effet, nous ne pouvons pas en prendre plus que cela.
Mais suivez, mes amis, si vous voulez bien regarder de ce côté et croire de tout votre coeur. Ayez simplement foi, voyez si Dieu ne va pas se manifester directement dans l’assistance comme Il le fit en Jésus-Christ, pour dire la même chose. Jésus connaissait leurs pensées là-bas, Il leur disait ce qui n’allait pas et quoi faire. C’est la même chose ce soir; c’est le Seigneur Jésus.
62 Eh bien, Sa Présence étant ici maintenant... Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends tout esprit dans cette salle sous mon autorité. (Maintenant, qui conduit...) Maintenant, nous devons être respectueux. Et maintenant, je–je dois parler à cet homme juste pendant un instant, pour voir ce que le Seigneur dira.
Eh bien, Jésus, quand Il est arrivé à... Il devait passer par la Samarie et–avant d’aller à Jéricho. Ça, c’est bien loin du chemin. Mais le Père L’envoyait là-bas. L’Esprit qui était en Lui L’envoyait là-bas. Et Il envoya les disciples acheter du pain, de la viande. Et une Samaritaine sortit puiser de l’eau.
Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit: «Il n’est pas de coutume qu’un... vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains, car on n’a pas de relations.»
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire. Et Je te donnerais une eau que tu ne viens pas puiser ici.»
Eh bien, elle était surprise. Elle a dit: «Tu n’as rien pour puiser de l’eau.»
Alors Il lui parla pendant quelques minutes, puis Il dit... Il toucha directement son problème, Il dit: «Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq.»
Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Et elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»
Il ne lui a pas dit tout ce qu’Il–elle avait fait, mais Il lui a dit où se situait son problème. Et s’Il a pu faire cela, Dieu était capable de tout Lui dévoiler.
63 Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela, jeune homme? Tu crois. Je te suis parfaitement inconnu. Je ne te connais pas. Je ne t’ai jamais vu de ma vie, je ne sais rien à ton sujet. Mais Dieu te connaît, et Il me connaît. Et Il nous a formés tous deux. Il nous a donné la vie. Et tout ce que nous avons reçu de bon vient de Dieu. Crois-tu cela? Alors tu es conscient que quelque chose est en train de se passer. Il y a... ce qui est autour de toi. En effet, je peux voir cela tournoyer, partant de moi vers toi. Tu es un croyant, un chrétien. Eh bien, était-ce exactement là ce que Jésus a dit à Nathanaël?
64 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... assis là malgré tout. Vous êtes un chrétien. Et nous sommes frères, des esprits apparentés. Et vous êtes un homme, je suis un autre homme. Nous sommes tous deux enfants de Dieu. Il se peut qu’il y ait un problème dont vous ne savez rien. Il se peut qu’il y ait un problème dont vous savez quelque chose. Dieu vous aime. Il m’a envoyé, Il peut donc parler à travers moi si je suis Son voyant, et Il sait où se situe votre problème et ce qu’il faut faire. Il pourrait ne pas me le montrer, je ne sais pas. Mais je–je sais que nous sommes tous deux oints maintenant. Et je sais que le même Ange du Seigneur, cette Colonne de Feu, se déplace entre nous deux maintenant.
Votre problème, c’est dans les yeux. Est-ce la vérité? Pourtant, vos yeux paraissent brillants et bons, mais ce n’est pas le cas. Ils s’affaiblissent et la vue baisse. Les nerfs de vos yeux meurent. C’est une maladie des nerfs qui a causé ceci. Autre chose, je vois que vous avez–vous avez eu un accident. Et cet accident a paralysé un côté ou quelque chose comme ça, n’est-ce pas juste? Et cela n’est pas encore rétabli. Cela vous cause des ennuis. Est-ce la vérité? Vous êtes... Si c’est la vérité... Eh bien, vous avez entendu ce qui a été dit, mais ce n’était pas moi. C’était ma voix, mais c’était Lui qui l’utilisait. Et c’était absolument la vérité. Oui...?... Approchez.
Père miséricordieux, qui ressuscita notre Seigneur Jésus d’entre les morts et qui a manifesté Sa gloire à nous tous, et nous vivons ici à la fin des temps, à la clôture de ce grand âge... La bombe atomique est simplement prête à exploser à tout moment pour anéantir le monde entier. Je Te prie de faire d’eux des croyants et de guérir les malades, Seigneur, comme un témoignage de Ton amour envers eux.
Et maintenant, j’impose les mains à mon frère et je demande sa délivrance. Au Nom du Bien-aimé Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez, en vous réjouissant, étant heureux... très bien.
65 Maintenant, soyez respectueux. Ayez la foi. Croyez. Vous là-bas, priez et ayez simplement la foi.
Très bien, monsieur. Etes-vous le patient, monsieur? C’est vous. Je suppose que vous et moi sommes inconnus l’un de l’autre. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Dieu vous connaît.
66 Etes-vous la personne pour laquelle je venais de prier, monsieur? J’aimerais que vous me regardiez. Je voulais dire par là, comme Elie avait dit à Achab, il a dit: «Si ce n’était par égard pour Josaphat, je ne t’aurais même pas regardé.» Mais, il l’a regardé. Si nous ne nous connaissons pas, qu’il n’y a aucun contact entre nous deux, Dieu devra établir le contact, n’est-ce pas? Si Dieu me fait connaître quelque chose à votre sujet, qui vous aiderait, allez-vous alors accepter Jésus comme votre Guérisseur? Ou bien, si c’est... Si c’est de la guérison que vous avez besoin. Et c’est cela.
C’est de la guérison que vous avez besoin, parce que c’est un trouble gastrique qui vous dérange. N’est-ce pas juste? Si c’est juste, levez la main. C’est un... de l’estomac. C’est dû à la nervosité. Cela a provoqué un ulcère, une maladie de l’estomac. Vous avez eu des ennuis avec cela. Et vous avez... Vous n’êtes pas de cette ville. Vous–vous avez roulé pour venir ici. Vous venez de–de loin, vraiment d’une longue distance. Je vois cela... Je pourrais dire une distance comprise entre cinquante [80 km–N.D.T.] et cent miles [160 km]. Quelque chose comme cela. Vous êtes venu. Vous–vous êtes...
Il y a simplement quelque chose d’étrange à votre sujet. Un instant. C’est un... Vous avez un ami, et cet ami souffre d’un trouble cardiaque. Et cela–cela... Je crois que l’homme en question est un Juif. Et il–il est un petit... ne sait rien au sujet de Jésus. Il n’est pas converti au christianisme, pourtant il voudrait avoir un... Cet homme est ici dans cette salle. Le voici même assis juste ici, il est assis juste par ici, à côté d’une dame, juste là. Mon ami, Jésus est le Messie, le Fils du Dieu vivant, acceptez-Le maintenant comme votre Sauveur et votre trouble cardiaque va vous quitter. Si tu peux croire, tout est possible. Votre trouble gastrique vous a quitté. Rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez maintenant. Que Dieu vous bénisse.
Voici votre heure, mon ami Juif. Le Messie de Dieu qui connaissait Philippe vous connaît vous et votre compagnon. Et voici l’heure de prendre votre décision.
67 Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Vous souffrez d’un cancer et d’un trouble de la vésicule biliaire. Vous craignez que cela soit aussi un cancer, ce qui est bien le cas. Croyez-vous que le Fils de Dieu, que Son Esprit est ici pour vous rétablir? Croyez-vous que c’est Lui qui est en train de parler, ce n’est pas moi? Et Il est en train de parler à travers ceci. Alors si c’est Sa voix qui parle à travers moi, donc Sa Présence est ici. Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Croyez-vous ceci? Approchez.
Ô Dieu, Toi qui créas les cieux et la terre, Toi qui créas tout par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’impose les mains à cette femme qui est mourante et je Te demande de lui accorder la vie. Epargne-lui la vie, Seigneur, et que la puissance de l’ennemi la quitte maintenant. Je réprimande cela au Nom de Jésus-Christ, que cela sorte...?...
Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Allez maintenant, réjouissez-vous, soyez heureuse. Réjouissez-vous réellement, et remerciez le Seigneur pour Sa bonté.
68 Vous pouvez venir, madame. Si notre Maître se tenait ici à l’estrade dans une chair humaine, comme moi, portant ce costume qu’Il m’a donné, si c’est la guérison que vous attendez avec impatience, Il vous montrerait le sacrifice qu’Il a accompli au Calvaire. Il ne pourrait pas le faire une seconde fois; Il l’a déjà fait. Vous devez accepter cela. Alors, je réalise qu’entre vous et moi... sachant que vous êtes une chrétienne, une croyante, je peux donc dire que vous êtes ma soeur. Alors, dans Sa bonté, notre Père céleste a envoyé à l’Eglise des prédicateurs pour prêcher la Bible, des docteurs pour enseigner cela, des prophètes pour saisir la prescience de Dieu, des dons de parler en langues et d’interprétation des langues, afin de manifester des oeuvres dans l’Eglise. Il est plein d’amour.
Alors, par la grâce de Dieu, puis-je être en mesure de vous transmettre l’amour de Dieu, au Nom de Son Fils Jésus. Vous devez croire à la guérison divine. Que Dieu vous bénisse, madame. Vous avez été guérie une fois auparavant. Vous avez été guérie d’un cancer de l’estomac. Est-ce vrai? Et vous aviez l’arthrite et d’autres petites choses dont vous avez été guérie. N’est-ce pas vrai?
69 Et vous-même, vous priez pour les malades. Oui, oui. Vous allez partout prier pour les malades. Vous avez donc développé une sorte de rhume, cela–cela vous dérange. Et vous avez passé une radiographie. Et on vous a dit que vous avez une tache aux poumons. Alors au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne cette tache, que cela vous quitte! Et puissiez-vous être rétablie au Nom de Jésus-Christ. Je condamne ce démon qui voulait ôter la vie à cette femme. Ce dont vous vous inquiétez, ce sont les ténèbres. Voyez?...?.. les ténèbres vous ont quittée. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en remerciant Dieu et en vous réjouissant, étant heureuse.
Pouvez-vous croire? Tout est possible, si vous pouvez croire.
70 Bonsoir. Nous sommes des inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous ne–ne nous connaissons pas. Dieu seul nous connaît. Mais pour ce qui est de vous guérir, je ne peux pas. Mais votre vie ou bien... ne peut être cachée. Dieu Se tient ici. Il peut se manifester. Vous souffrez de l’arthrite. Je vous vois essayant de vous déplacer à l’intérieur de la maison quelques fois, et vous devenez raide. Et vous... Je vois un... Vous allez à un endroit. C’est un–c’est un hôpital ou quelque chose comme ça. C’est une–c’est une opération. C’est sur votre côté. On–on–on a enlevé un–un cancer de votre côté. Je vous vois... un cancer. Je vois cela écrit sur une petite liste que tient le médecin. Un homme plutôt court. Il a écrit cela sur une liste, le cancer. Et ce n’est pas... ce n’est pas encore guéri. Ce n’est pas réglé. Cela vous cause encore des ennuis.
Mais Jésus-Christ est ici afin de guérir cela. Le croyez-vous? Approchez. Bienveillant Père céleste, que Ta miséricorde vienne sur notre soeur. Et nous condamnons l’ennemi maintenant, et au Nom de Jésus que cela s’en aille, que cela soit guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Il L’a envoyé...
71 Bonsoir. Maintenant, vous dites: «Imposer les mains?» Oui. C’est ce que le Seigneur a dit. «Pourquoi imposer les mains?» C’est ce qu’Il a ordonné. Oh! cela me fait tellement de peine que l’église ne soit pas du tout à la hauteur. Vous ne réalisez pas... Je me repose juste un instant. Les visions m’affaiblissent. Vous vivez dans deux mondes. Vous êtes ici et ensuite, vous êtes dans un autre monde. Vous n’y pouvez rien. C’est juste comme si vous faisiez un rêve les yeux ouverts. C’est Dieu qui fait cela dans Sa grâce souveraine. Ce n’est pas parce que vous l’avez demandé. Vous ne pouvez pas le demander. Dieu fait cela Lui-même.
Avant que vous ne soyez né, ceci a été établi par Dieu. C’est votre subconscient, scientifiquement parlant. C’est comme lorsque vous faites un rêve. Cette conscience est inactive et celle-ci devient active. Ensuite, lorsque vous vous réveillez... Lorsque vous êtes endormi, vous rêvez des choses que vous avez faites ici. Alors, lorsque vous vous réveillez, celle-ci est inactive, et l’autre ici est active. Et puis, vous vous rappelez des choses que vous aviez rêvées il y a des années. Une partie de vous se trouvait quelque part.
Certaines personnes ne rêvent pas. Leur subconscient est très éloigné là au fond. Un homme qui rêve ne dort pas profondément. Et puis, il ne peut pas s’empêcher de rêver. Et un voyant, son subconscient n’est pas là au fond, ni ici. C’est juste ici. Il ne va pas dormir. Il passe carrément d’un monde à l’autre, du naturel au surnaturel.
Le grand prophète Daniel a eu une seule vision, il en eut la tête troublée pendant plusieurs jours. Cela l’a affaibli.
72 Croyez-vous? Si Dieu me révèle là où se trouve votre problème, cela sera-t-il suffisant pour vous? Vous souffrez de l’asthme. Est-ce vrai? Maintenant, partez. Portez-vous bien. Au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
73 Venez, ma petite dame, comme ça nous pourrons...?... Maintenant, si seulement vous croyez et avez la foi et ne doutez pas, juste une minute, là, madame. Est-ce qu’on venait de prier pour vous? Venez-vous d’être guérie alors que vous vous teniez ici? Venez-vous d’être guérie? Etes-vous la dame qui se trouvait ici, pour laquelle on a prié juste tout à l’heure? Absolument. J’ai vu cette Colonne de Feu qui était suspendue là, et je... Non, Elle est suspendue au-dessus de quelqu’un d’autre. C’est une–une autre femme. Elle porte des lunettes. Et la femme en question a une maladie de la peau. Aie pitié! Et que Dieu vous bénisse et vous rétablisse maintenant. Croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela.
74 Croyez-vous, vous la dame assise là? Vous avez aussi le diabète. Alors ayez simplement foi en Dieu. Dieu va vous rétablir. Vous étreignez votre petit ami là qui souffre d’un ulcère du foie. Croyez-vous que–que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, va vous guérir, qu’il va vous rétablir? Si vous croyez...
Juste comme vous vous tenez là avec ce trouble gastrique. Vous n’avez pas... Vous l’aviez lorsque vous êtes montée ici, mais vous n’en avez plus maintenant. Alors vous pouvez vous en aller et être rétablie.
75 Ayez simplement la foi. Croyez, c’est tout ce que je vous demande de faire. Croyez simplement que le Seigneur Jésus-Christ existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent.
Voulez-vous guérir de cette arthrite? Acceptez votre guérison. Dites: «Je crois en Dieu de tout mon coeur.» Maintenant, allez et ne dites plus jamais que vous avez cela. Cela vous quitte. Ayez la foi.
Juste une minute, madame. Quelque chose vient de se produire juste là, tout à l’heure. Oh! je vois, c’est l’homme qui est assis là; il souffre de l’asthme. Croyez-vous que Jésus va vous rétablir, monsieur? Tenez-vous debout alors, acceptez votre guérison. Arrêtez de tousser. Je condamne cela au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ayez seulement la foi, c’est tout ce que je vous demande de faire.
76 Vous avez le diabète, n’est-ce pas? Voulez-vous guérir de cela? Acceptez-vous Jésus comme votre Guérisseur? Alors partez et les jours de l’insuline seront finis pour vous. Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous recevoir cela. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.
77 Oh! Dieu s’approche de vous. Vous étiez très nerveux, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Absolument. On pensait parfois que vous souffriez d’un trouble cardiaque, n’est-ce pas? C’est une dépression nerveuse, une sorte de tremblement... Un... Oui. J’ai vu lorsque le médecin vous a parlé de votre trouble cardiaque, cela vous a secoué. Si vous acceptez Jésus comme votre Sauveur maintenant, ce qu’était votre désir depuis longtemps... Vous êtes un pécheur et vous avez besoin de Jésus-Christ comme votre Sauveur. L’acceptez-vous comme votre Sauveur maintenant? Partez, vous êtes guéri, frère, et vos péchés vous sont pardonnés. Que Dieu vous bénisse.
Croyez-vous ceci? L’Ange du Seigneur est tout près pour guérir. Venez.
Pauvre vieille mère qui êtes assise là, souffrant de cette névrite, voulez-vous que Dieu vous guérisse? Croyez-vous qu’Il va le faire? Si vous le croyez de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir. Tenez-vous debout, et acceptez alors cela. C’est juste. Cela vous a quittée, mère.
78 Monsieur, vous qui vous frottez le visage là-bas, réalisez-vous que vous êtes sur le point de mourir de la leucémie, n’est-ce pas juste? Tenez-vous debout juste une minute. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Père, je réclame la vie de cet homme au Nom de Jésus, qu’Il vive et ne meure pas. Amen. Ô Dieu, accorde-le.
Que Dieu vous bénisse, frère. Votre ami qui pleure là, celui qui est assis juste à côté de vous, il souffre très sérieusement de l’asthme, il désire aussi être guéri. Voulez-vous vous tenir debout, monsieur, et accepter votre guérison de l’asthme? Que Dieu vous bénisse.
Voulez-vous guérir de ce trouble gynécologique, madame? Partez simplement en vous réjouissant et en remerciant Dieu. Et soyez guérie.
79 Venez, ma petite dame, continuez simplement à marcher, cet asthme vous a quittée lorsqu’elle a quitté cet homme là-bas. Continuez simplement la marche et dites: «Grâces soient rendues à Dieu.»
Combien veulent être guéris? Le Saint-Esprit est ici. Si vous avez besoin de guérison, c’est maintenant l’heure de la recevoir. Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Qu’est-ce que Jésus-Christ devrait faire de plus pour prouver qu’Il est le Fils de Dieu ici au milieu de vous?
Votre foyer va être dans la joie, monsieur.
80 J’aimerais que vous fassiez ceci pour moi. Si vous croyez que je suis Son serviteur, imposez-vous les mains les uns aux autres, et vous verrez le Royaume de Dieu entrer en vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
Au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, je condamne chaque maladie dans cette salle.
E-1 Thank you, Brother Brewer. You may be seated. It's indeed a great privilege to be here tonight in the service of the Lord, to pray for the sick and the afflicted, to minister in the Name of our dear Lord Jesus Christ, Who loved us, gave His Life that we who are unworthy might be made partakers of His grace and His fellowship in the ages that is to come. And may His blessings and His august Presence anoint everyone of us now with His Being, and may it not leave any until we leave the building, for He to receive glory.
We are always... The healing services usually make me, maybe a little nervous, not exactly in the way that would be the nervous like you might think. It's--it's the way it works on me, ministering to the sick.
E-2 And most always, spiritual people are considered odd or strange. We would think of the great poets of--the world has produced, for instance, like Stephen Foster. He was considered a neurotic. He gave America some of it's best folk songs: "Old Folks Of Home," "Suwannee River." And after the inspiration would leave him, he would--he would go out and get drunk. And then when he finally called a servant and took a razor and committed suicide...
And then, William Cowper, who wrote that famous old song,
There is a fountain filled with blood
Drawn from Immanuel's veins;
Sinners plunged beneath the flood,
Lose all their guilty stains.
This famous man, William Cowper, I stood at his grave, just recently, in London. And after he received the inspiration to write that song, when he came out of it. He tried to find a river to commit suicide.
E-3 It's not bad while you're up there; it's wonderful, or while you're down here. But it's in between the time. You don't know where you're at. You say, "Well, that's songwriters." Well, prophets, Jonah, as we spoke of him last evening, God gave him a message to go tell a city the size of St. Louis over here, to repent. And the prophet, after delivering his message, up and down the streets, to a million illiterate people, some of them didn't know which was right or left hand. They repented in such a way, till they put sackcloth on their animals.
Then he set down under a little gourd tree. And after the inspiration left him, he prayed for God to take his life. He didn't know where he was at. Didn't understand.
E-4 Elijah the great prophet of old, Jehovah's great witness, when he went to Mount Carmel, called up Israel before Baalim, to see which was God, he said, "If Baalim be god, serve him. If God be God, serve Him."
When God anointed him with inspiration, give him a vision and told him how to do things... And he went out there and called all the prophets of Baalim and let them make a sacrifice. They screamed and cut themselves: no god. But Elijah killed a bullock, laid it upon the rock, the altar, and said, "Lord, let it be known that Thou art God and I am Your servant." And said, "I did all of this at Your command," showing that the Lord had showed him what to do.
And when he fulfilled the vision the Lord showed him, the Fire of God fell out of the heavens and consumed the sacrifice. It hadn't rained for three years and six months. He'd closed the heavens, because the Lord had told him so. And he told the king that no water, even dew wouldn't fall until he called for it. Then he went out, and set down, and prayed again, and there come a--a gush of rain. It watered all the land.
And as soon as the inspiration left him, by the threat of a woman he run in to the wilderness and wandered for forty days and nights. And when God found him, wandering around out there, wondering if he was beside himself, he had crawled back in a cave somewhere. God called him.
E-5 You see what I mean? Others, we could refer to. But people, Christianity and the way they have it today is so shallow. No wonder the unbeliever can hardly see how to believe Christianity. Because it's no more than a--a form. But Christianity is real in it's power. And if it's just ceremonial, any other--any other ceremony would take it's place.
I have nothing against lodges, but Masonry, Odd Fellows, or any of them, would be just as well if it's ceremony. It has it's good and bad, just like the Church. But Christianity is a living Being in mankind, that's a proof of the resurrection of--of God's Son, Who was God with us.
E-6 Now, we are going to read just a portion of His Scripture and just talk to you, just for a few moments. And now, we'll go right straight into praying for the sick. These meetings sometimes, I can't go to preaching.
I'm going to try, if the Lord willing, Friday night, have a missionary rally. My heart is thrilled over missions. I would tell you how I saw thirty-thousand raw heathens won to Jesus Christ in five minutes, where they broke their idols on the ground, walked up and accepted Jesus as personal Saviour: Mohammedans, Hindus...
I'm very hungry to get to Jerusalem. Brother Pethrus, of the Stockholm church in Sweden, The Filadelfia Church, which is the largest church in Sweden... They'd been bringing up Jews from down in Iran, so forth. You all have noticed the pictures in the paper. A very beautiful sign of the end of the Gentiles' age. God will return to the Jews now. The Gentile Church will be sealed away, finished, go out.
E-7 Those Jews never even knew or heard Jesus ever on earth. And they got the New Testament and begin to read it and see what He was: How that here when He was on earth, He performed signs. He didn't claim to be any great person. He didn't claim to be a Healer. He just said, "I do nothing except My Father shows Me." He said, "When the Father shows Me a vision, I--I go do what He tells Me to do."
They said, "He rose from the dead, says the Christian, and promised that the things that He did, the Christian would do also." The Jew said, "Let me see that happen, then I'll believe it. Let us see Him do the sign of the prophet, and then we will accept Him as Messiah."
E-8 "The Jews seek sign, and the Greeks wisdom." You know the Scripture. Well, I would like to gather many thousand, as they got gathered now (or going to gather at Palestine), for the meetings. I believe the Jew once, in a same way of His Scriptures, be shown that Jehovah God was manifested in flesh. It's not any three gods; it's the same God, manifested in flesh, three dispensations. That's what stumbles him. And when he seen that to be a reality, he will accept it.
E-9 Here not long ago, when John Rhyn, been twenty years blind, Roman Catholic, set on the streets begging, selling pencils, or pardon me, papers, near Fort Wayne, Indiana. And when he was healed, I was interviewed by a Rabbi.
He said to me, "How did you open John Rhyn's eyes?"
I said, "I did not open them." I said, "Jesus Christ, the Son of God, opened his eyes."
And he said, "Ridiculous. He was no Son of God. And He was not the Christ."
And I said, "Why would you think so, Rabbi?"
He said, "Well," He give his reasons. Said, "He wasn't... that Messiah was coming in power."
I said, "You were looking at His second coming, sir. The same Scripture spoke of His first coming, the blinding of the Jews, until the time fulfilled."
He said, "You Gentiles can't cut God in three pieces and sell Him to a Jew."
I said, "That's one error that wasn't cleared up in the reformation. God's not cut in three pieces."
He said, "You all don't even make sense. You say 'God the Father,' and 'God the Son,' and 'Our God.' Well, which one of them is your God?"
I said, "There's is only One there."
"But how could it be? If God the Father is one person, God the Son is the other person, God the Holy Ghost. Then you should say 'Our Gods.' That makes you heathens."
I said, "That would be, sir. But it's not that way." I said, "Jehovah God was in the Pillar of Fire that led the children of Israel, was manifested in the flesh here to take away sin, and come again in the form of the Holy Spirit. It's three dispensations. That's the reason they was baptized the Father, Son, Holy Ghost." I said, "For the three dispensations of God, the same God. We have one God." Tears begin to drop off of his beard and he turned and walked away. I said, "Just a moment. You told me something a few minutes ago."
He said, "I will hear you some other time."
I said, "I want to hear you now. 'Cause I know that you believe He was the Messiah." And he wouldn't answer, and he turned and went on in. But their time is at hand.
E-10 I want to read here out of the Scripture: Saint Luke, 7th chapter.
Now when he had ended all these sayings in the audience of the people, he entered into Capernaum.
And a certain centurion's servant, who was dear unto him, was sick, and ready to die.
And when he heard that Jesus... sent unto him the elders of the Jews, beseeching him that he would come and heal his servant.
And when he came to Jesus, they besought him instantly, saying, That he was worthy... whom he should do this:
For he loveth our nation, and... hath built us a synagogue.
And Jesus went with them. And when he was now not far from the house, the centurion sent friends to him, saying unto him, Lord, trouble not thyself: for I am not worthy that thou should enter under my roof:
Wherefore neither thought I myself worthy to come unto thee: but say in a word, and my servant shall be healed.
For I'm also a man... under authority, having under me soldiers... I say unto one, Go, and he goeth;... to another, Come, and he cometh; and to this servant, Do... and he doeth this.
When Jesus heard these things, he marveled at him, and turned him about, and said unto the people that followed him, I say unto you, I've not found so great faith, no, not in Israel.
And they that were sent, returned to the house, found the servant whole that had been sick.
E-11 We bow our heads and speak to the Author of this Word. Our most kind, heavenly Father, we thank Thee for sending Jesus Christ, Thy beloved Son to us, when we were alienated from God, Gentiles cut off in the world, without mercy, without God. And in due season Christ died for us all, bringing all nations, God's created people, together as one unit.
And today there is neither bond nor free, male nor female, but all one in Christ Jesus. And it does not yet appear just what the final end will be, but we know we'll have a body like His, for we shall see Him as He is. And we thank Thee for this.
E-12 And now, kind Father, will You bless us with Your Presence again tonight? Will You come into the midst of the people, and may each person in the shades of their heart, be pulled down from any skeptic or unbelief. And may the Holy Spirit have the right of way and preeminence in every life and heart here tonight, that it might be said when we leave, that our hearts did burn within us because of His Presence. Grant it, Lord.
If there be any unbelievers, unsaved, save those, Lord, tonight. Grant it. May something be done just in a way, that the people will know that Thou art here. Circumcise the lips that speak, the hearts that hear. And heal the sick, Father, tonight.
E-13 And we read when You were here on earth, that the things that You did, You gave God the Father all the glory. And we thank Thee. Thou hast said, "It's not Me that doeth the works, it's My Father that dwelleth in Me." And tonight we are sons of God by adoption. And not "we" that doeth the works but the Father that dwelleth in us, He doeth the works. He saves us from sin, not ourselves. He heals us, not ourselves. But He heals us by His grace. We thank Thee for it. And we pray now, that You will speak, and may we hear. For we ask it in Jesus' Name, Thy Beloved Son. Amen.
E-14 "Jesus On The Authority Of The Word." I'd just take, just a few moments, if you will give me your attention. And I wish to talk just a little while, while the crowds are not too big yet. And when we go to filling up, then you can tell someone else. Always be reverent during time of the service, especially when the healing service is going on. Be open-hearted, open-minded. Just--just say, "Now Lord, I'm here to learn; You come teach me." See? And the Holy Spirit will teach you.
If you come with a kind of a sarcastic criticism, whatever you expect to see, that's just what you'll See? If you come expecting to be just disappointed, that's the way... You'll get what you expect, always. If you come to receive, you will be expecting to receive, and you shall receive just what you expected to receive. God always does that. He's--He's--He's sworn to His Word.
And now, maybe some things might be said that would be just a little different from your religious teachings. You might be Catholics or you might be something, other phase of religion, or some Protestant that doesn't believe in Divine healing. Whatever it is, you look at it just the way it is. Just look it from the standpoint of God's Word.
E-15 Now, we're going to speak just a few moments on "The Authority Of God's Word." Now, every Word of God is a written, sworn authority. It's the--it's the absolute right of the believer to accept this as the infallible Truth, because it is God's Word. "Heavens and earth will pass away but My Word will never pass away." saith the Lord. It must be fulfilled in it's season.
Well now, many times, it... Christians, and sometimes even ministering brethren, many times get a little confused on this. And who am I to say who was wrong. For I'm with the rest of you, and should be sitting listening to the clergy, and--instead of standing in front of them.
E-16 But, my brethren, the Word of God... Sometimes people get--say, "Well now, the Word said this. Let's take it just exactly the way it says." That's... Well, that--that is right. But that Word has to fall in a certain ground or it won't produce. See?
I've heard people get saved. They say, "I'm a Christian now. The Lord said whatever I ask in His Name, I'd get it. Amen. I'll ask for this." Now, that's not right ground maybe yet. See? You can't take cactus and grow it in clay. You put cactus in real rich soil, it'll die. Cactus grows in sand. And you take a--a pine tree and put it in that sand in Arizona where the cactus grows, it'll die, 'cause there's not enough moisture. Yet both of them is in soil. It must be the right Word at the right place, and it will take place.
Now, I've prayed for thousands of people, just as a routine of praying for people. But yet, I don't know what's going to happen, till He shows me what's going to happen. Then I have THUS SAITH THE LORD. Then the Lord has brought His Word in confirmation, then I know just exactly what He's going to do. When He tells me what He's going to do, then it makes a perfect faith.
E-17 If you notice Jesus, He only used those things as God permitted Him. Remember last night's lesson? He said, "The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing." Whatever the Father doeth, He showeth the Son. And the Father worketh and I worketh hitherto." In other words, what the Word of God made manifest in Christ, was what God showed Him to do.
Any prophet, any spiritual man of any age, any time, was always exactly the same thing. So you can't jump at conclusions, say "The--The Word says this; I'll accept it and do this." You can't do that. It hasn't fallen right yet. But when the Holy Spirit comes, and materializes that, and shows you what to do, then you can do it, 'cause it's not you done. This is the written Word of God, the plan of salvation. But we have to be careful how we handle it.
E-18 For instance, many times there are people come in the line and I pray for them. I never know what's going to happen. I just pray for them. And there is a power in prayer. Prayer will even change the Word of God. (That was a striker, wasn't it?) But it's the truth. The Word of the Lord... Would you not believe the prophets?
The Word of the Lord came to Isaiah and he went and told Hezekiah that he wasn't coming off his bed, he was going to die. And Hezekiah turned his face to the wall, and wept bitterly, and said, "Lord, I beseech Thee. I've walked before Thee with a perfect heart." And desired fifteen years more life, and the prophet wasn't gone till the Word of the Lord came again to the prophet. Said, "Go tell him I heard his prayer and he's coming off the bed in three days." Prayer changes things.
E-19 Many times I see where there is people that--that's sick and going to die, turns dark around them when they're standing. I know it's the pronouncing of death. I don't see why, but that's all; I know to tell them then. I just pray for them and pass on and say, "The Lord bless you." Or "Maybe the Lord Jesus healed you."
In Durban, South Africa, coming across the platform was a lady, as healthy looking as the healthiest woman in the building. There was a hundred thousand people had gathered in there. And the woman come normally and healthy. She stood up there and I said, looked at her; I said, "I see you are a Christian."
She said, "I am."
And at the... Then I noticed again; I seen her going to church, and a group of people that she was with. I said, "This is the church you belong to."
And she said, "It is."
I looked back and I seen her, turn real dark around her. And I started to say, "Well, the only thing she had was a cyst on the ovary." She had been to the doctor. I said, "Your husband's wearing a gray suit and he has a black mustache. He waited in the hall while you was examined a few days ago by a doctor, that was a gray-headed man wearing glasses."
She said, "That's right."
And I said, "He said you had a cyst on the ovary."
Said, "That's right."
"He said it should be taken off."
"That's right."
"He wanted to burn it with radium."
She said, "That's right." Kept turning dark around her. I started to say, "Now, the Lord bless you and heal you my sister, pass her off the platform." Then I seen a funeral procession going, packing her. I knew I might as well tell her. It was over then.
I said, "Lady, you're a strong looking woman, very little wrong with you. But prepare for death for you're not going to live but a short time."
She said, "Sir?"
I said, "That is right, sister. Just make ready for God. Be prepared."
She walked off the platform, set down and looked at her husband, said, "What do you know about that?" and fell dead right there. They packed her out. 'Cause there was nothing could be done. I'd seen the funeral procession going on. And what God says is Truth.
E-20 Now, this is the Truth of God. That's the truth. Anything contrary to that is not truth. But that is to the nations, to the people, the plan of salvation. But to the individual, then sometimes, after God sending His Word this way and ministers to preach it... He sent to the Church, apostles, prophets, gifts of tongues, interpretation of tongues; that's all for the edifying or the keeping clean of the Church, bringing the Church together, separating out.
Just recently at the Methodist church in New Albany (The person may be setting here now.), before going to Africa... I'd just come from California on one of my trips. Just that you might See? There was come into the building that night in California, into the place where we were having service, several thousands.
E-21 And there was about twenty or thirty wheelchairs setting up like this, and cots, and stretchers, and so forth in the bleachers and on... And my brother, as you understand, in these meetings, that I have to keep myself away from people. 'Cause with that anointing, as soon as you speak to a person, right then you contact their spirit. See? And when you do that, you understand.
So I kept in a room; two men stayed at the door all time. And they come got me that night. I went down to the building, and just remember walking in. I was just standing by the side of the steps, the manager, one of them, Mr. Baxter, they begin to sing "Only Believe," and I come out before the audience. And I was looking out this a way, and I'd been several nights, and I'm... getting real weak. The meetings become more powerful all the time. 'Course you become more into the Spirit.
E-22 And I was looking like that, and I seen a little boy playing on a haystack, right out in front of me. And he fell off the haystack and struck a great crude looking frame across his... His back struck it. I seen a man pick him up. I just started talking; it was just right out in front of me, like you see every night going on. And it told just what was taking place.
Seen a doctor work on him and seen what kind of a doctor. I said, "I see him bore holes in the floor and set his bed. He can't even stand for people to walk on the floor. And now, they got him in a bed. They whirl him around or take him out in this bed. But he becomes a great man." I said, "Now, he becomes even a greater man. He is setting around the benches or something. They got a--a chair there... got him in yet. And--and people are applauding his speeches." And the vision left me.
E-23 And I looked. And coming in, they just got off of an airplane. And here come a wheelchair. They'd just got inside the building and it begin come... It was moving on down to get it with the rest of wheelchairs. I said, "That's the old gentleman now." It was about twice the distance of this building. I said, "That's the old man now."
And he was weeping so, I went ahead and told my brother to call the prayer line. And so we begin to get them lined up, and so the next thing taking place, why, they had an extension mike here, and Mr. Baxter said, "Brother Branham," said--said, "That old man that you were speaking to is the Congressman of the United States. It's William D. Upshaw."
I said, "I don't know who he was."
He said, "He wants to speak to you through this mike."
And he said, "My son, how did you know that I fell and hurt myself when I was a boy?"
I said, "I can't tell you, sir. I've never heard of you in my life. I'm sorry."
And he said, "Well, I was the president of the Southern Baptist Convention." said, "Dr. Davis, the one that ordained you in the Baptist church, was the one who sent me here to see you."
I said, "I am acquainted with Dr. Davis."
He said, "I been prayed for." said, "I've been a invalid in this wheelchair for sixty-six years." And he said, "I'm eighty-six years old now." And he said, "I have trusted God, since I was seventeen years old when I was hurt to heal me." Said, "Do you think I will ever be healed?"
I said, "I could not tell you, sir." I said, "I can only say what I See?"
He said, "God bless you, my boy."
And I said, "Thank you, kind sir." And I turned this a way and when I did, my brother, being the chief usher in the meetings, was getting the people lined up down there.
E-24 And I looked across this way and I seen a young doctor with one of these Medic coats on with a collar this way. He had a thing in front of his head here. A light that they reflect the light (and I forget the name of the instrument). And he had his arms folded, and he wore tortoise shell glasses, and he was shaking his head.
As the vision materialized more, I looked below him. There was a little colored girl, perhaps about six, seven years old. And he had taken her tonsils out. It wasn't successful and paralyzed her.
And when I told the vision which was before me, way down through the distance... Oh, several of the times of this building. I heard a typical "Aunt Jemima," let out a great big scream and she started up there, a great big heavy set woman. And she was just knocking ushers right and left with the... pulling a stretcher behind her. She said, "Lord, have mercy. That was my baby."
E-25 And so, they had to line up a bunch of people, 'cause you're not supposed to come to the platform without a prayer card. 'Cause that's the legitimate way we have of doing it. It's the only way we can. So the ushers had to turn her from the line. And they had to make a way there. She was screaming and going on.
She said, "Parson that was my baby." Said, "Will she ever be well?"
I said, "I don't know, Auntie. The only thing I can say is what I See?" See? I said, "But that..."
Said, "That was exactly the way the doctor looked. And that was about two years ago."
I said, "That's the same little girl." They had the sheet pulled down from her. I said, "That's the same little girl."
Said, "Well, is she healed?"
I said, "Auntie, I couldn't tell you. The only thing I know is just what I look at and See?" I said, "It's only by vision."
And she said, "I have prayed, and I have prayed, and I have prayed for it."
And I said, "Well, I wouldn't know, Auntie."
I said, "Howard, are you about ready for the first person to come?"
He said, "Yes."
E-26 A lady started walking up. I turned to look again out over the audience to tell them to be reverent. I seen, looked like, just like a dark streak moving. And it just kept coming in like that. And what it was, it was a street, or something, or a road. And this little colored girl was going walking down the road with a doll on her arms, rocking it back and forth like this. That was it.
Now, that's the Word of the Lord made manifest. See? Now, no matter what would take place, all the forces of hell could move against that. The woman don't even have to have faith. She don't have to have anything, 'cause God has said so. That's God's Word materialized. Then I had THUS SAITH THE LORD.
I said, "Auntie, as reverent as you've been, God has rewarded you. And your baby is healed." She started screaming and kissing her baby.
She said, "Oh, Parson, when will my baby get well? When...?"
I said, "It's well now, Auntie." I said...
She said, "Can..?" And the baby...
Said, "Looky here mother." And she raised up like that. And the poor old thing. She fell backwards like that, and begin screaming, and women begin to faint and fall.
E-27 And they got them up and they had a commotion there for a little bit. And when they got the girl up, and the mother, they had taken a hold of each other's hands, walked right down through before those thousands of people, mother and daughter.
The man that drove the ambulance stood there with such a depleted look on his face. And he took the stretcher back. I said, "You see what the Lord Jesus can do?"
E-28 And as I looked, I seen that old congressman, like a shadow, going walking like that. And he was setting there with a blue suit on and a red tie. Only in the vision he had a brown suit, a kind of a chocolate colored brown, with a white stripe in it. And I said, "Congressman, have you got a brown suit with a white stripe?"
He said, "My son, I just bought one yesterday."
I said, "You have been a very reverent man and it--has honored God all these years. And through the honoring of God and believing God, God has... rewarding you now, to give your last days happy. You can walk Congressman. The Lord Jesus Christ has healed you, THUS SAITH THE LORD."
He said, "When will I be able to walk, my boy?"
And I said, "Right now, Congressman." And up he jumped from that chair, threw aside... He had big crutches that went up over his shoulders, when they'd stand him up; it was like Sister Roosevelt, I... like that, in his back.
E-29 And a man, when it looked like God would have healed him when he was young (seventeen years old) not wait till he's sixty-six--or--or eighty-six, rather. And his back, all bones all brittle. But that man for the first time, eighty-six years old, since being an invalid for sixty-six years, rose to his feet.
Why, of course, Satan would say "You'd break his back if he gets up from there." But that's what Satan said, but God had said. See? God had said. Then the Word was manifest. See? And the man was walking normally and well. Passed through the United States, Great Britain, all through the known world, and even sent Joseph Stalin a letter of it. Personal friend of Churchill's. Many of you seen the Congressman Upshaw, I suppose, after his healing. How many? Raise your hands that know it. See...?...
E-30 And now, what is that? It's the Word made manifest. If it's not too, taking too much time, I want to finish this testimony in about few minutes. On my road home, coming home, I came in and my wife said to me, she said, "Honey, your old friend is dying."
I said, "Who?"
"Mr. Hall."
When little Georgie Carter had been laying in the bed down there for nine years and eight months, down thirty-five miles down the Southern... Never heard of the city in my life, little place. The Lord gave a vision. Went down there and healed her. She come up off the bed after laying there nine years and eight months and weighed thirty-five pounds. If you'd like to write to her, you can have--write to her. Miss Georgie Carter, Milltown, Indiana. She's my pianist at the Milltown Baptist church, now.
E-31 And then Mr. Hall had been converted. Which was a very, very foul man. And he was converted in that same meeting. And he's the pastor down there now. And so,
She said, "Mr. Hall has been pronounced with a cancer of the liver." And said, "He is laying at his sister's house, and his sister married the judge of the city's brother, and is down at his house. They brought him up here. He's dying. He'd been calling for you."
And I said, "Well, let's go down and see him." And I went down to see Brother Hall. And he was just as yellow as the color. Cancer in the liver, started off with a liver sclerosis, and it went into cancer. I said, "Who is your doctor, Brother Hall?"
He said, "Dr. Dillman." Dr. Dillman is a bosom friend of mine.
I said, "What about it, Brother Hall?"
He said, "Well, Brother Branham, I guess it's just the end of the road for me." Said, "I guess that's just about all that can be done, 'less the Lord undertakes for me."
I said, "Well, I'll pray, Brother Hall." And we prayed. And the next day, I went back; he was worse. The second day he was still worse. Looked like he was dying. Mrs. Hall come out and said, "Brother Branham, do you know anything?"
I said, "Sister Hall, I pleaded with God, just with all my heart." The Word's still the Word of God. But it just hadn't fell right then. See? It hadn't been given to me. It hadn't been given to him. But it's still the Word of God, just hadn't anchored right.
E-32 So we went down again. Mrs. Hall said, "Brother Branham, is there anything you can do for him?"
I said, "Now..."
Said, "Do you know of any other doctor?"
I said, "Doctors is just like anything else, you got to have faith in them." I said, "Dr. Sam Adair, here in the city, is our doctor." Very fine man, went to school with him. We fished together, hunted together, and played together, worked together now. And he sends his patients which they can't handle in medical realms; he will tell them, "Take off up to Brother Branham's and see..." And you ought to see what has been done for him. We'll get to it a little later, sometime.
E-33 But you write to him and ask him about it. He's a specialist. I called up Dr. Adair and asked him if he would go down and see Mr. Hall. He said, "I will go read the x-rays at the hospital." He went out. Called me back, said, "Yes, Billy. He's got cancer."
"I tell you, is there anywhere you can send him?"
Said, "You might send him over to Able's Clinic in Louisville, let it be examined." Took him over there and got a--a ambulance out. He was nearly dead then. Took him over there, and they wouldn't give them the diagnosis. Called back Dr. Adair. And he called me up; he said, "Billy,"
"Yep."
Said, "Your preacher friend is going to jump overboard in four days."
I said, "He is going to die, doctor?"
He said, "Yep."
I said, "My. Ain't nothing you can do?"
He said, "Billy, you can't take his liver out and him live." He said, "There's nothing can be done. The man's dying." Said, "He is a preacher. He ought to be ready."
I said, "Oh, he is ready. But he is a young man." I said, "He ain't over fifty-five years old. Plenty of work yet he could do for the Lord." I said, "Why God's a taking him, I don't know."
He said, "Well, Bill, that's hard for anybody to understand. We just have to accept it."
I said, "That's right." So that was a hard thing to go tell my Sister Hall.
E-34 But I went down that night, and I said, "Sister Hall, the doctor said in four days Mr. Hall will be gone. He's going to die in four days." And she started crying. I said, "Now, Sister Hall, you must remember; he's a Christian. He's ready to go. And if this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting." See? I said, "He'd be far better off. 'Course, you will be lonesome. At your age now, no children," I said, "you'll be lonesome, of course. But you must remember, God knows what is best and working what's best."
She said, "Brother Branham, has God ever said one word to you about it?"
I said, "Sister Hall, He hasn't said a thing to me." I said, "I prayed all my heart. Maybe He's just going to let him die."
Said, "Do you think he's going to die?"
I said, "Yes, I believe he is. I believe he is going to die. 'Cause all evidence, everything is against him, Sister Hall." And I said, "All... And as far as I know, there's nothing can be done. It must be the will of the Lord." I said, "I couldn't say."
So she started crying, poor old thing. And he was just barely living. He could just make out now and then. He was subconscious, most of the time.
E-35 The next day, I had one day off. And I--I like to squirrel hunt. But so, I had little old twenty-two rifle there. I was going to go squirrel hunting out in the woods to get some rest. I usually go out and set down under a tree and go to sleep and sleep the rest of the day. 'Cause I'm--just get away from the crowds for a little while, because you know what it is around the house up there.
The next morning, real early, we got through with the crowd in the house about twelve or one o'clock. And I set the clock to alarm at three. I got up real early, and got my little old squirrel rifle and my old hat, and started off to go squirrel hunting. I looked out on the runway. There was nobody out there, so I... And when I started through the room. And when I went into the hall, there hung there in the room a little bitty old apple about that big around, and green, knotty, worm-eaten. And I thought, "What did my wife put that on the wall for? That was the horriblest looking thing." You've seen them little old apples, like's off of a tree that hasn't been sprayed, you know, just real knotty and a hard looking thing.
And so I said, "What'd she put that on the wall for?" And I started on through, and I looked again. And it wasn't on the wall; it was hanging right in the middle of the air. And I realized that there was something to it. I knelt down. I said, "What will my Heavenly Father have His servant know?"
E-36 And I looked and here was another one hanging by it's side. And on down till five of them hung there, 'bout right--and were cluster-like, five of those little knotty apples. Then down come a great big apple with red streaks in it and yellow. And it just made big chomps, like that, and went "Chomp, chomp, chomp, chomp," eat up all five of them.
And then the apple disappeared, and this Light (that was in the picture that you all have seen here.), It was right hanging above it, going "Whewww" I said, "What would my Lord, have His servant know?"
He said, "Stand upon your feet." And I stood up. He said, "THUS SAITH THE LORD, go tell Mr. Hall that he will not die but live." And that was it. No squirrel hunting that day. I run back and woke up my wife and told her about it. She said, "Oh, can I go with you?"
I said, "Yes." And we got ready at the break of day. We went down. Mr. Hall was... They had him back, rubbing his hands and things. And--and I went in. And I--I said, "He isn't gone?"
He said--said, "No, he isn't gone, Brother Branham, but he's just going." He said, "He's struggling." And his eyes was set in the back of his head.
I said, "Sister Hall,"
She said, "What you looking so bright about?"
I said, "I have THUS SAITH THE LORD." Oh, no one never knows what that means then.
She said, "Is it good?"
I said, "Yes."
Said, "Oh, what?"
And I said, "Just come in now. Gather everybody around the bed." We got around the bed.
Mr. Hall's eyes were setting back like that, and he was real yellow. And he kept screaming, "Someone, rub his hands."
I said, "Brother Hall, can you hear me?"
He said, "Who is it?"
And I said, "This is Brother Bill."
He said, "Oh, haven't I gone yet, Brother Bill?"
I said, "And you're not going right now, Brother Hall. I have THUS SAITH THE LORD. I seen this morning, about two hours ago in a vision," and told him what it was. And I said, "Brother Hall, you're going to live."
E-37 Walked out of the room, went home, called up Dr. Adair, and I said, "Dr. Adair?" I said, "You know the man was going to jump overboard in four days?"
"Yeah," said, "is he dead?"
And I said, "No, he isn't going to die."
He said, "What do you mean?" I said... He said, "How's he going to live with that cancer in him?"
I said, "I don't know, but he is going to live," I said, "'cause the Lord has said so." That's the Word of God: positive. See? There it is. It's in the right ground here, then...
Then he said, "Well, Billy," he said, "I never wanted to doubt you." And said, "I've seen many things done. I've never doubted you in my life, but the old doctor will have to see that."
I said, "Well, you won't die with old age, 'cause--until you see it." And I said, "You--you'll find out." And I went up to Erie, Pennsylvania, and through there and made a six weeks tour, come back for one day. I was going to Africa after that.
E-38 We had a high school gym there. It seated about fifty-five hundred people. And some of you probably was there that night, as all I know. Even may be people was present. We had one night in the gym that... So many in there, they had about the same amount on the outside, and the police out there, trying to keep order, and--for this one night. And when I got in, the people was just piled till you couldn't see where they were: just everywhere.
And I happened to look, setting down in front of me. There was Dr. Balden, a good friend of mine. I... His wife had been healed with asthma at my house. I said, "Glad to see you, Dr. Balden."
He said, "Thank you, Billy." He stood up.
I looked up there, and setting in the bleachers, and there set Dr. Dillman from Corydon. I said, "How do you do, doctor. I'm glad to see you in here tonight."
Happened to look, standing in the door, and there stood Dr. Sam Adair. He couldn't get in. I said, "How do you do, Dr. Adair?" I said, "I'm sorry we haven't got a seat for you, but" I said, "may the Lord bless you." Yeah. And I happened to look, setting back there, and there set Brother Hall, all reared back. He waved at me like this, you know.
E-39 I said, "Dr. Dillman, you remember a patient you had here not long ago, named William Hall?" I said, "Dr. Adair, you know the one you said was going to jump overboard in four days, and the old doctor had to see that?"
Obvious, said, "Yes."
I said, "You want to testify, Brother Hall?"
He said, "Praise the Lord, do I want to testify?" And he raised up and give a testimony there. They'd taken him out and examined him that very same night, couldn't find a trace of it nowhere. He weighs a hundred and eighty-five pounds: perfect health: Reverend William Hall, Milltown, Indiana, if you'd like to write him.
E-40 It's six minutes before the prayer line now. Maybe one more little incident. "The prayer of faith shall save the sick; God shall raise them up." You can't base faith on hope. You've got... Faith is positive. Every person that's got their normal sight would look at my shirt and say it's white. One of the senses declares and says it's white.
Now, if you've got faith, that says you are going to be healed, just as real and positive as your sight says that's white, then you've got faith. It's going to happen. But is has to be real... some declaration to prove it.
E-41 We're so close to Missouri; that's the "Show Me" state. They say, "Seeing is believing." You've heard that haven't you? You... How many ever heard that old saying? See. Let's just see how foolish that is.
Come here, Brother Brewer. Thank you. There is a man standing before me with dark hair, wearing a striped tie and a gray suit, I say, 'tween gray and brown. How many believes that's the truth? Anybody can see him believes it. Now, there's only one way that I know that man's standing there; that's by sight. That's seeing.
E-42 Now, the man's there and I can't see him. There's no way at all for me to see him, yet I know he's there. I know he's there just as real as if I was looking at him. You want to argue with me; he's not there? Now, seeing isn't believing, is it? I've got another sense and that's feeling. I can feel him there. He's just as real as he is--I was looking at him. Seeing's not believing; Feeling is believing now.
Now, it's impossible for me to feel him. It won't contact him at all. Yet, I believe he is there, because I see him. Turn around, hit that piano with a (Thank you, Brother Brewer) a note or two. How many heard that? How many saw that music? I thought seeing was believing? Seeing's not believing; hearing's believing there. Is that right? Did you see it? No. Did you feeled it? Did you taste it? Did you smell it? No. You heard it.
Now, faith is the substance of things hoped for, the evidence of things you do not see, taste, feel, smell, or hear. See? It's just a positive fact; you know it. See? And it's got to be based somewhere, not upon just mythics; it's got to be based on THUS SAITH THE LORD. Then you know where it's at. Then it's--it's right. It's made positive.
E-43 Reverend Mr. Johnson, far as I know, he may be here now. I was a Baptist preacher; he was a Methodist, and we used to have revivals. We was both from the same part of Kentucky. Moving out to Indiana, he was the pastor of the Main Street Methodist Church, one big fine church in New Albany. I had a little tabernacle in Jeffersonville.
He said after the Lord begin to bless the meetings, begin to come on, "Billy, you just ought to come give me one night."
I said, "Not to pray for the sick, Brother Johnson. I'm home to rest."
He said, "Well, just come down and preach for me one night." Well, I did. He said, "I promise you we won't ask you to pray for the sick people."
I said, "Not as I don't want to, but the thing of it is, I--I don't even... We... I've been living in my house for five years, and we have never eaten but one time in my house without the shades pulled down at in the window in the kitchen." People's... That's how... It's just coming home. Home's not home. But as long as you can help somebody, all right. See?
E-44 So when it gets too bad, then I take off, and go up to the mountains somewhere, and rest up a week or two, and come back. So then when... Going out that night at the church, they couldn't... They brought me into a back window. (Two men raised down, picked me up, and let me out.) He told me to go down to the bottom of the steps, said, "I asked you, Billy, that you wouldn't pray for anybody, wouldn't ask you to." But said, "We got a Sunday school teacher here, a lovely little girl, woman, young married woman." Said, "She's completely gone out nearly." Said, "She's a neurotic." Said, "If you'd just lay your hands on her," said, "I think it would satisfy her." Said, "She has been everywhere, been prayed for." I said, "All right, Brother Johnson."
And I went down, and I thought I was going to see a woman in a straight jacket, a lovely looking little woman standing there: looked to be about thirty-years old, normal, sweet-looking little woman. She said, "How do you do, Brother Branham?"
I said, "Are you the patient?"
She said, "Yes."
I said, "I was expecting to see you in a straight jacket." I said, "What is the matter, sis?"
And she said, "I just don't know, Brother Branham."
I said, "How long's it been on you?"
She said, "About eight years." And she said, "I've just done everything" and said, "I--I know I've lost my mind."
I said, "I don't think you have." I said, "Do you believe the Lord Jesus?"
She said, "Oh, yes, sir." said, "I have a fine young ladies' Sunday school class here. In the Eighteenth Street Mission I have service up there on Sunday afternoon, so forth, and teach a big group of children." I prayed for her, went on out. And two or three days later, I met her on the street (wife and I).
E-45 So when we met her, why, she went into the Fair Store, or the White House, I believe it was. I said, "There is that lady." And I--I said, "How you feeling?" She was with two women.
She said, "Oh, Brother Branham, if anything, I'm worse." She said, "I just--I just don't know what I'm going to do." She said, "I--I believe I can't last over another week." And so, she was in terrible shape. And I stepped in on the side and I prayed for her, just as reverent as I could.
And I said, "Go on now, believe." We went, was gone for a long time 'fore I ever come back. And she just kept the phone busy with my wife.
She said, "When Brother Branham's having another meeting, where he'd be under that Anointing," Said, "It's got to be something to cast that evil away from me." She said, "Something's got to do it." Said, "I just can't. I've been prayed for for men all over the country." And she said, "And I just... The doctors can't do anything." She spent ten dollars every week, had been for years, going to that famous psychiatrist in Louisville. Nothing could help her.
E-46 So one morning, when this vision right here, I got wrote out, which came to me, the Word of the Lord, which will take place in Africa and India, I'll give it to you so you can write it down. See if it don't come Word by Word the way He said it. That morning, He come in the room where I was at. And when my wife come out there, she said, "Bill, let me call that little woman first, will you?" Said, "Poor little thing." said, "She's in such a fix." I said, "Very well. You can call her."
So before she could get there, there was other people there. And there's a man from--from the Walnut Street Baptist church in Louisville, with a cancer in his liver. He's... That's been three--two years ago, going on three. And he's a member of my church over there now, the little tabernacle. He comes all the time. So the Lord told him what he had done. He used to be a baseball player, and told him something that he'd done that he must go straighten up. And he did. He lived.
E-47 So when the little woman come in, she set down. I had her take her out in the den room. I said, "I want to be by ourself." And we set down; I just got to talking to her, just like I would here at the platform. And she said... I said, "What's the matter, sister?"
She said, "Brother Branham, I don't know." Said, "I just... Seem like everything's just gone away and feels like I'm walking on the earth, if I happen to shake it, it's going to... I know it's standing in space," said, "it'll--it'll sink."
I said, "My, you ain't that heavy." So it was just on like that.
And she said, "Well, I just don't know what's the matter." said, "I know I'm crazy. I--I know I'm actually" said, "I'm crazy." and said, "They're going to send me away to the insane institution." And when you got to talking to her, you could see that it was something wrong then.
So I said, "Well, let's you and I just talk like, you know, like on a Scripture or something."
And she said, "All right." She was just wringing her hands, and taking her glove, and rolling it like that.
And I said, "Now, I'd just lay your gloves down, sister, and just--just relax."
She said, "Oh, I can't Brother Branham." She said, "I wished I could." She said, "But I can't."
I said, "Are you... You're a Christian?"
"Yes, everything."
I said, "Brother Johnson told me you was one of his most famous members, and he said, the most loyal members." And he...
She said, "Well, I'm thankful for that." And she said, "I try to be." And I kept watching her. And I happened to look coming right across in front of us, here come a little black car. And I seen it move into the shadow.
I said, "Was you ever in a car accident?"
She said, "No, sir. No I never was in a car accident."
E-48 [Blank.spot.on.tape--Ed.] "... by the gallon. They can anoint you by the day. All the people can stand around, and scream, and stomp, and yell, and holler," I said, "That devil will lay right there because he has a legal right to lay there." I said, "Now there's your trouble, if..." She... I said...
Said, "What shall I do?"
I said, "Go tell your husband. Make it right."
She said, "Oh, I... Brother Branham, I got two children," said, "It'll break our home up."
I said, "Now, that's all I know, sister." I said, "Now, all the psychiatrists in the world couldn't pull that out of you. There's nobody knows that but you and that man and I. And the Lord knew it. So He has revealed it."
And she said, "Well, I--I just can't do it. I can't do it."
I said, "Well, now..." 'Course, that... See? I started out.
And she said, "No, no. Wait a minute, Brother Branham." She said, "Don't go. Don't go. Just a minute." And she was crying. Poor little fellow, I felt sorry for her. But there is only one... This thing of feeling sorry for somebody and then the thing, you've got to be honest with people. That's what's the trouble today. We use too much petty sympathy. That's right, you've got to tell the truth and God will honor truth.
E-49 So she started out... I started out, rather, and she come to me, and--and I turned around to look at her, and there stood in the room, standing right by her side, was a tall black-headed man with wavy hair, combed over sideways. I said, "Is your husband a tall black-headed man with wavy hair?"
She said, "Yes, sir." And just then, he turned his back to me. And when he did, he had Chevrolet wrote on the back.
I said, "Does he work for a Chevrolet company?"
Said, "Yes." Said, "You know him?"
I said, "No, ma'am." But I said, "He--He's got the same thing to confess to you. When he was landed in another country, the place where he went," and I said, "It hasn't been three days ago since your husband was in a green Chevrolet car with a woman that worked in the office wearing a... black-headed woman with a pink dress on, and lived untrue to you."
She said, "Not my husband?"
I said, "Yes."
She said, "He is a deacon in the church."
I said, "I don't care what he is," I said, "No wonder Brother Johnson's having a bad time down there," and I said, "such as that."
E-50 That's some things that's the matter with half the churches today. If they'd get straightened up, you'd get things... And I said, "Now, we got four phones here." I said, "You call your husband and make that right. And then we'll talk to the Lord. But as long as that's there, there's no need of trying to do anything."
E-51 And I started out, and she... Meda got talking to her. She went and called her husband. There... The lady was with her, setting in the car. They went on down and met. In a few minutes, he got with her in the car (met her on the road). She said she had a confession. So she told him all about her side of it. And she said, "I want you to forgive me."
He said, "I will." And said, "Now, wasn't it a couple of days ago," said, "Wasn't you with this..." She knew the woman.
And he said, "Well, uh... Where you been?" And she... He said...
She said, "Is that the truth?"
He said, "Who told you that?"
She said, "Brother Branham."
He said, "Honey, it's the truth." And said, "If you'll forgive me, I'll forgive you. And we'll be a--go back to church and ask God to forgive both of us. And we'll live like Christians ought to. And we'll raise our children in the right way."
E-52 My wife said, "You think they'll be back?"
I said, "Yes." Peoples come in. After while she come.
She said, "Come here, Bill." I was in the room with some more people. And here they come up the steps with their arms around one another, tears streaking down their cheeks. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-53 O, Eternal God, Great Jehovah Who thundered off of Mount Sinai and wrote the commandments, Who thundered off of Calvary, said, "It's finished." The Word of God... What was finished? 'He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquities, the chastisement of our peace upon Him, with His stripes, we were healed." It is finished.
Oh, let us look to Calvary tonight, to where it was finished at, and let us accept it. For by grace are we saved through faith, knowing it's Your calling and election. "No man could come," You said, except You called him: "No man can come to Me except My Father draws him."
E-54 Seeing Abraham back there, no more than any other man, coming out of the land of Chaldea, the city of Ur, coming down in the valleys of Shinar, from Babylon perhaps, an idolater, but God by sovereign election chose him. "Abraham, I have saved you and your seed after you." O God. Told him to look at the dust of the earth and to number it, sands of the sea, and then the stars of heaven: innumerable. His seed would be coming from the dust to the stars.
Your Holy Spirit tonight... We being dead in Christ take on Abraham's seed and are heirs according to the promise. How thankful I am to be setting with the election tonight. And they call me their brother. We call You our Father. And we're thankful.
E-55 Now, manifest Your love and Presence to the people. And when You, here on earth, when You talked to the woman at the well, You know her sin. You talked to Nathanael, a righteous man, You told him what he'd done before he come to the service. And You're Jesus, the same yesterday, today, and forever. And You have rose from the dead and are living now forevermore.
Come Lord Jesus, and anoint this poor unprofitable servant, and use it as a channel tonight to issue Your Words to whomsoever You will. In Jesus' Name I ask it. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-56 Scripture says He is the same yesterday, today, and forever: Hebrews 13:8. Then Jesus Christ said, "The things that I do shall you do also. And a little while and the world will see Me no more, yet you'll see Me, for I'll be with you, even in you to the end of the world." Is that right?
Now, that's... If that is the Gospel, and that is the truth, then Jesus Christ will manifest Hisself. If it isn't the truth, He wasn't the Christ and it's all wrong. We can only make it right or wrong. And if Jesus, when He was here on earth, the very things that He did here on earth will have to be repeated or He did not... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-57 A real famous Jew came to Him by the name of Nathanael. After Philip had found him and told him he found the Messiah. He... "Nonsense." He couldn't believe that. He said, "Well, then..." Why couldn't he believe it? When he came and seen Who He was...
Jesus said to him, said, "Behold, you're an Israelite, in whom there is no guile." (In other words, a honest, upright, religious man.)
He said, "Rabbi (or Master, Teacher, Reverend), Rabbi, when did You know me? You're a stranger to me."
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree."
Quickly, he said, "Thou art the Son of God. You're the King of Israel." He recognized. His name's immortal tonight.
E-58 Today, he'd probably said, "Mental telepathy. A witch." The Jews in them days called Jesus, because He could do that, and they said He was Beelzebub. Beelzebub is the chief of the fortunetellers, the worst of all the devils. But He wasn't. He was the Lord Jesus, the same Jesus, the same God that was on the prophet.
E-59 Now, let us, "Only Believe," just a few moments, if you will. Everyone with one accord. Just a little late. I'm sorry, I... You're such a lovely audience. I keep talking, and I shouldn't do that. Because it's...
Now, you realize... How many has seen the picture last night of the... it's the... been taken... The same Pillar of Fire that led the children of Israel through the wilderness, has taken now, and hangs in Washington, D.C., the same Pillar of Fire. What is it? It's the same God.
E-60 It was manifested in a Man called Jesus Christ. It's manifested today in His Church, the same God (See?), same Pillar of Fire. And here He is, we've got the Old Testament proof by the picture. And you'll see It. Watch this a way. It's been seen by millions of people around the world. Frankly, It isn't ten foot from where I'm standing right now.
And then the signs of the Messiah. Now, may the Lord grant. I just want to look down the line. As far as I know, there's not a person in here that I know, except my own son, standing down here with the ushers and Reverend Mr. Brewer, setting here, so far as I can see? God, Who is my Judge, knows that. I see no one else that I know. You're all strangers to me.
E-61 If I was to look at this little baby setting here and say it's got a water-head, well, that's no mysterious thing. You'd say, "Sure, I can see that." But the person who looks healthy, that's the person. Now, how many out there doesn't have prayer cards and wants to be healed? Let's see your hands, everywhere. Raise up your hands, everywhere, that wants... Just so I... Now, I'm going to ask you... Now, there is ninety percent of you hasn't got prayer cards, 'cause there is only just a certain amount of prayer cards given out. 'Cause we can't get to no more.
But look friends, if you'll look this a way and believe with all your heart, just have faith, see if God doesn't turn right out in the audience like He did on Jesus Christ, and say the same thing. Jesus perceived their thoughts out there, told them what was wrong, what to do. It's the same thing tonight; it's the Lord Jesus.
E-62 Now, His Presence being here now... Now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I take every spirit in this building under my jurisdiction.
(Now, who's leading... ) Now, we want you to be reverent. And now, I--I've got to talk to this man just a moment, just to see what the Lord would say.
Now, Jesus, when He had come to... He had to go up by Samaria and--before He went to Jericho. That's way out of the way. But the Father sent Him up there. The Spirit that was in Him sent Him up there. And He sent the disciples away to buy bread, meat. And a Samaritan woman come out to get some water. And He said, "Bring Me a drink."
She said, "It's not customary for a... You Jews to ask Samaritans such, 'cause they don't have no dealings."
He said, "But if you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink. And I'd give you water you didn't come here to draw."
Well, she was surprised. Said, "You have nothing to draw the water with."
So He talked to her a few minutes, then He said... Went right straight to her trouble, said, "Go get your husband."
She said, "I don't have any husband."
He said, "That's right. You got five."
She said, "Sir, I perceive You are a Prophet." And she run into the city and said, "Come, see a Man Who told me all I ever did." He never told her all He--she did, but He told her where her trouble was. And if He could do that, God could show Him all things.
E-63 Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. Do you believe that young man? You do. I'm a perfect stranger to you. I don't know you. I've never seen you in my life, know nothing of you. But God knows you and He knows me. And He set us both. He's give us our life. And everything that we've ever received good, come from God. You believe that? Then you are aware that something is going on. There's... What's around you. 'Cause I can see it just milling from me to you. You are a believer, a Christian man. Now, was that just what Jesus told Nathanael?
E-64 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... setting there just the same. You're a Christian man. And we're are brothers, kindred spirits. And you're one man, I'm another man. We're both God's children. Maybe there is something wrong, that you don't know nothing about. Maybe there is something wrong that you do know something about. God loves you. He sent me, then He could speak through me if I be His seer, and know where your trouble is and what to do. He may not show me; I don't know. But I--I know that we are both anointed now. And I know the same Angel of the Lord, that Pillar of Fire, is moving between us now.
Your trouble's in your eyes. Is that the truth? Yet your eyes look bright and nice, but they're not. They're going weak, growing dim. Nerves are dying in your eyes. It's a nervous trouble caused this. Another thing I see, you've--you've had an accident. And that accident has paralyzed a side or something, isn't that right? And it's not well yet. You're having trouble with it. Is that the truth? You're... If it's the truth... Now, you've heard what was said, but that wasn't me. That was my voice, but it was Him using it. And it was every bit the truth. Yes...?... Come here.
Merciful Father, Who raised up our Lord Jesus from the dead and made manifest His glory to us all, and we're living here at the end of time, at the closing out of this great age... The atomic bomb is just ready to burst at any time and annihilate the whole world. I pray that You'll make believers and will heal the sick Lord, as a token of Your love to them.
And now, I lay my hands upon my brother and ask for his deliverance. In the Name of God's beloved Son, Jesus Christ. Amen.
God bless you, brother. Go rejoicing, happy... all right...
E-65 Now, reverent. Have faith. Believe. You out there, pray and just have faith.
All right, sir. Are you the patient, sir? You are. I suppose you and I are strangers to each other. I don't know you. Never seen you in my life. God knows you.
E-66 Was you the one just prayed for, sir? I want you to look on me. I mean by that, like Elijah said to Ahab, said, "If it wasn't I respected Jehoshaphat, I wouldn't even look at you." But he did. If we're strangers, no contact between us all, God will have to do the contact, won't He? If God will let me know something about you that'll help you, will you accept Jesus then as your Healer? Or if it's... If healing is what you need. And it is.
The healing's what you need, because it's a stomach trouble bothering you. Isn't that right? If that's right raise up your hand. It's a stomach... It's a caused a nervous condition. It's made a ulcer, peptic condition of the stomach. You have had troubles with it. And you've... You're not from this city. You--you've drove here. You've come a--a long distance, right on a long ways. I see it... I'd say between fifty and a hundred miles. Something like that. You've come. You--you are...
There's just something strange about you. Just a moment. It's a... You've got a friend, and the friend has a heart trouble. And it--it... I believe the man's a Jew. And he--he is a little... don't know what about Jesus. He hasn't become a Christian, yet he's wanting a... The man's here in this building. Here he sets right here even, setting right out here beside of a lady, right there. My friend, Jesus the Messiah, the Son of the living God, accept Him now as your Saviour and your heart trouble will leave you. If thou canst believe, all things are possible.
Your stomach trouble has left you. You go home and eat what you wish to now. God bless you.
This is your time, my Jewish friend. The Messiah of God Who knew Philip, knows you and your companion. And this is your hour of decision.
E-67 Do you believe? With all your heart? Do you believe me to be God's servant? You have cancer and gall bladder trouble. You're scared that's cancer too, which it is. You believe the Son of God, His Spirit is here to make you well? You believe that this is Him speaking, not me. But He's speaking through here. Then if that be His voice speaking through me, then His Presence is here. He said, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they'll get well." You believe this? Come near.
O God, Who made heavens and earth, created all things by Jesus Christ, the Son of God. I lay hands upon the dying woman and ask that You give her life. Spare it, Lord, and may the power of the enemy leave from her now. I rebuke it in the Name of Jesus Christ, may it go out...?...
God bless you, my sister. Go now, rejoicing, being happy. Just be real rejoicing and thank the Lord for His goodness.
E-68 And you may come, lady. If our Master was standing here at the platform in human flesh, like I am, wearing this suit that He gave me, if it's healing what you look forward to, He would point you to His sacrifice at Calvary. He could not do it the second time; He's already done it. You have to accept it. Then, realizing that between you and I, knowing that you are a Christian, a believer, then I can say you are my sister. Then our heavenly Father in His loving kindness, has sent to the Church, preachers to preach the Bible, teachers to teach it, prophets to understand the foreknowledge of God, gifts of speaking with tongues and interpretation of tongues to make manifest things in the Church. He's full of love.
Then by God's grace may I be able to transfer God's love, by the Name of His Son, Jesus, to you. You ought to believe in Divine healing. God bless you, lady. You've been healed once before. You was healed with a cancer of the stomach. Is that right? And you had arthritis and a few things, others, that you was healed with. Isn't that right?
E-69 And you pray for the sick yourself. Yes, sir. You go around praying for the sick. Then you've developed some kind of a cold like, it's--it's been bothering you. And you've had a x-ray taken. And it said a spot was on the lungs. Then in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I condemn that spot, that it goes from you. And may you be made well in Jesus Christ' Name. I condemn that devil that would take her life. The things you're worrying about are darkness. See?...?... darkness is gone from you. God bless you, sister. Go thanking God and rejoicing, being happy.
Can you believe? All things are possible, if you can believe.
E-70 How do you do? We are strangers, I suppose, to each other. We don't--do not know each other. Just God alone knows us. But to heal you, I could not. But your life or... could not be hid. God's standing here. He can make manifest. You have arthritis. I see you trying to move through the house sometimes, and you get stiff. And you... I see a... You're going into a place. It's a--it's a hospital or something. It's a--it's a operation. It's in the side. They--they--they took a--a cancer from the side. I see you... a cancer. I see it wrote on a little list that the doctor had. Kind of short like man. He wrote on the list, cancer. And it isn't--it isn't well yet. It isn't right. You're having troubles with it yet.
But Jesus Christ is here to make it well. You believe it? Come here. Kind heavenly Father, May Your mercy come to our sister. And we condemn the enemy now, and in the Name of Jesus, may it go, be made well. Amen.
Bless you, my sister. Sending Him...
E-71 How do you do? Now, you say, "laying on of hands?" Yes. That's what the Lord said. "Why lay on the hands?" That's what He commanded. Oh, I'm so grieved that the church falls so short. You don't realize... I'm just resting a moment. Visions make me weak. You're living in two worlds. You're here, and then in you're in another world. You can't help that. Just like you dreamed a dream with your eyes open. God does that in sovereign grace. Not because you asked for it. You couldn't ask for it. God does it Himself.
Before you were borned. This was set in order by God. It's your subconscious, scientifically speaking. Like you dream a dream. This conscience is inactive and this one becomes active. Then when you awake... When you're asleep, you dream things you did here. Then when you wake up, this one is inactive, and this one here is active. Then you remember things that you dreamed of years ago. You were some part of you somewhere.
Some people doesn't dream. Their subconscious is way back. A dreamer doesn't sleep sound. And then, he can't help it because he dreams. And a seer is neither his subconscious back there, nor here. It's right here. He doesn't go to sleep. He breaks from one world to another, from the natural to the supernatural.
The great prophet Daniel saw one vision, was troubled at his head for many days. It weakened.
E-72 Do you believe? If God will reveal to me where your trouble is, will that be sufficient for you? You got asthma. Is that right? Now, go. Be well. In the Name of Jesus Christ, the Son of God.
E-73 Come, little lady, so we can...?... Now, if you'd just only believe and will have faith and don't doubt.
Just a minute there, lady. Was you just prayed for. Was you just healed standing here? Were you just healed? Were you the lady that was here, prayed for just now? Yes, sir. I seen that Pillar of Fire hanging there, and I just... No, It's hanging at someone else. It's a--a different lady. She's wearing glasses. And the woman's got a skin disease. Have mercy. And God bless you and make you well now. Believe with all your heart, you can receive it.
E-74 Do you believe, lady, setting there? Had diabetes also. So just have faith in God. God would make you well. You're hugging your little companion there with that ulcerated liver. You believe that--that Jesus Christ, the Son of God, will heal you, will make you well? If you believe...
Just like you standing there with that stomach trouble. You didn't... You had it when you come up, but you haven't got it now. So you can go ahead out and be made well.
E-75 Just have faith. Believe is all I ask you to do. Just believe that the Lord Jesus Christ is and a Rewarder of those who will diligently seek Him.
You want to get over that arthritis? Accept your healing. Say, "I believe God with all my heart." Now, just go on off and never say you got it anymore. It goes from you. Have faith.
Just a moment, lady. There's something happened right there, just then. Oh, I see, it's the man setting there, got asthmatic condition. You believe Jesus is going to make you well, sir? Stand up to your feet then, accept your healing. Stop your coughing. I condemn it in the Name of Jesus, the Son of God.
Only have faith is all I ask you to do.
E-76 You have diabetes, don't you? You want to get over it? You accept Jesus as your Healer? Then go and insulin days will be over for you. In the Name of the Lord Jesus, may you receive it.
Have faith in God. Don't doubt.
E-77 Oh, how God is moving to you. Been awfully nervous, haven't you? You believe me to be God's prophet? Yes, sir. They sometime thought you had a heart trouble, didn't they? A nervous breakdown, kind of a shaking... One... Yes. I seen the doctor when he told your heart trouble, it shook you. If you'll accept Jesus as your Saviour now, what you have been wanting to do for a long time... You're a sinner and need Jesus Christ as your Saviour. You accept Him as your Saviour now? Go, you're healed, brother, and you're forgiven of your sins. God bless you.
Believest thou this? The Angel of the Lord is near to heal?
Come.
Poor old mother setting there with that neuritis, you want God to heal you? Believe that He will do it? If you believe it with all your heart, you may have it. Stand up and accept it then. That's right. It's gone from you, mother.
E-78 Sir, do you realize, you that's rubbing your face, up there, that you're fixing to die with leukemia, isn't that right? Stand up to your feet just a minute. God be merciful to you. Father, I ask in Jesus' Name for the man's life, that he live and not die. Amen. God grant it.
God bless you, brother. Your friend weeping there, right setting next to you, has got asthmatic so bad, he'd like to be healed too. Would you stand up, sir, and accept your healing of asthmatic? God bless you.
You want to get over the female trouble, lady? Just go rejoicing, thanking God. And be made well.
E-79 Come. Little lady, just keep walking, that asthma left you when it left that man up there. Just keep moving and saying "Thanks be to God."
How many wants to be healed? The Holy Spirit here. If you need healing, now is the time to receive it. You believe me as God's servant? What more would Jesus Christ have to do to prove Him to be the Son of God here in your midst?
Your home is going to be happy, sir.
E-80 I want you to do this for me. If you believe me to be His servant, lay your hands over on one another, and you'll see the Kingdom of God come into you. Lay your hands over on each other.
In the Name of Jesus Christ, the Son of God, I condemn every disease in this building.