Vous Croyez Maintenant?

Date: 54-0307E | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Bonsoir, amis chrétiens. Et un bonsoir spécial à ces ministres qui se sont tenus debout en guise de salut. Que le Seigneur vous bénisse, mes frères. Je suis à cent pour cent avec vous pour cet Evangile aussi.

            Et notre frère Moore vient de me dire qu’il y en a environ deux cents d’entre eux ici, rien que des prédicateurs de l’Evangile, ce soir. Que Dieu vous bénisse, mes frères et soeurs. Que le Seigneur fasse briller Sa grâce sur vous et qu’Il vous donne infiniment au-delà de tout ce que vous pouvez faire ou penser ; c’est ma prière.

            Celle-ci est la soirée où nous nous rassemblons pour clôturer cette série de réunions, ce qui est toujours un moment triste, et pourtant un moment béni. Il se produit généralement plus de guérisons la dernière soirée que toutes les autres soirées mises ensemble.

2          Et pendant que nous chantions, il y a quelques instants, ce glorieux ancien cantique: Crois seulement, tout est possible, crois seulement, je pensais à ce–à ce... au compositeur de ce cantique, Paul Rader. Combien ont donc connu Paul Rader? Y a-t-il quelqu’un qui connaît Paul Rader? Assurément, un homme merveilleux.

            Il n’y a pas longtemps, j’étais dans son... là même où il avait composé ce cantique, et cela passait sur les–les ondes d’éther: Crois seulement ; alors, je me suis souvenu de Paul.

            Je vais vous dire quoi. Je suis plutôt capricieux. Et quand j’ai entendu cela, et sachant que Paul Rader s’était peut-être assis dans ce même fauteuil pendant qu’il composait Crois seulement, puis on m’a présenté à l’estrade, oh ! je ne pouvais simplement pas m’empêcher de pleurer. Simplement je–je... Quelque Chose a simplement saisi mon coeur.

            Paul Rader, je me suis souvenu que quand il se mourait là en Californie, des commentaires qu’il avait faits... Il a dit à un ami vraiment personnel à moi, qui est un copain intime, il a dit: «Frère, si j’avais apporté mon message de grâce aux pentecôtistes très chauds plutôt que de venir ici faire ce que j’ai fait, je serais de loin mieux aujourd’hui.» C’est vrai. J’ai dit amen à cela. Oui, oui.

3          Il y a juste quelque temps, je parlais à frère Shuler, Jack Shuler, il tenait une série de réunions ici. Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, quand je suis arrivé à Fort Wayne, je vous ai suivi.»

            Je lui ai parlé, disant: «Frère Jack, je ne suis point venu ici comme votre concurrent, je suis venu ici comme votre frère.»

            Il a dit: «Eh bien, je me suis demandé ce que vous faisiez là.»

            Et j’ai dit: «Juste pousser le bois.»

            Il a dit: «C’est bon.»

            J’ai dit: «Eh bien, Frère Shuler, je suis... Mon ministère, c’est plus prier pour les malades.»

            Il a dit: «Attachez-vous à ça, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Je... Nous les pentecôtistes...»

            Il a dit: «Je suis aussi pentecôtiste.» Il a dit: «Qu’est-ce qu’un pentecôtiste, Frère Branham?»

            J’ai dit: «C’est un orthodoxe méthodiste qui a beaucoup d’Esprit en lui.» Ce–c’est bien vrai. C’est pratiquement vrai.

4          Il a dit, quand il était à Fort Wayne, il a dit: «Aussitôt que j’arrive là...» Bien entendu, quelques-uns de ces hommes durs et guindés, vous savez, avaient eu quelque chose à dire sur ma réunion.

            Il a dit: «Les frères...» Frère Billings et les autres du temple, là, il soutenait mes réunions, là où j’étais. Il a dit: «Ils sont allés là prendre une jeune fille qui était totalement folle. Elle était folle et elle faisait des va-et-vient dans des asiles. On l’avait mise dans une maison, et elle a sauté par les fenêtres. Elle a une fois sauté par une fenêtre au deuxième étage, depuis le deuxième étage, et elle est tombée dans la cour d’une maison, et elle s’est fracturée: totalement folle, elle ne reconnaissait rien, ni rien. Elle a été amenée à la réunion, et elle a été parfaitement guérie.»

            Il a dit qu’il avait fait monter cette personne droit là à l’estrade et il a dit: «La voici, et je ne veux plus entendre des critiques sur frère Branham.» C’était réglé. C’était tout. Eh bien, c’était tout. Oui.

            Frères, il y en a beaucoup là dans ces dénominations, qui sont avec nous de tout coeur. C’est vrai.

5          Et frère Jack Shuler est un brave homme. Vous m’avez entendu dire, la première soirée que je suis venu ici: «Donnez-moi une petite chose...» C’était son propre slogan. Je pense donc que je peux m’en servir. Je...

            Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, sans doute que beaucoup de gens parlent de votre guérison divine, de la prière pour les malades.» Il a dit: «Ils parlent de ce que je fais des saynètes, a-t-il dit...» Il m’a dit que je pouvais répandre ceci; je vais donc le faire.

            Il a dit qu’il n’y a pas longtemps, quelqu’un disait: «Jack, pourquoi n’abandonnez-vous pas toutes ces saynètes-là, toutes ces histoires semblables, pour ne prêcher que Christ et laisser les choses aller ainsi?»

            Il a dit: «Etes-vous un pêcheur?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Qu’utilisez-vous comme appâts, un steak d’aloyau?»

            Il a dit: «Non.»

            J’ai dit: «Qu’utilisez-vous?» J’ai dit: «Des vers?»

            Il a dit: «Les aimez-vous?»

            J’ai dit: «Non.»

            Il a dit: «Qu’utilisez-vous pour pêcher?»

            J’ai dit: «C’est ce à quoi les poissons mordent.»

            Il a dit: «C’est ce que je pensais.»

            Il a dit: «Frère Branham, c’est pareil avec votre ministère. Quand vous venez en ville, les gens s’attendent à ce que vous priiez pour les malades.» Il a dit: «Quand je viens en ville, ils s’attendent aux saynètes.» Il a dit: «Non pas que nous voulions faire cela, mais c’est notre ministère.»

            C’est vrai. Accrochons-nous-y jusqu’à ce que Jésus vienne. C’est vrai. Accrochons-nous-y donc. Amen.

6          Or, pour cette série de réunions, j’ai été à Phoenix. Je pense que c’est la troisième ou la quatrième fois que j’ai tenu des réunions à Phoenix. Mais je dis ceci du fond de mon coeur: Ceci a été l’un des moments les plus agréables que j’aie jamais passés à Phoenix. C’est vrai.

            Mon fils venait de me rencontrer... Et frère Sharrit est venu me prendre le soir et m’a ramené. Billy m’a rencontré ici à la porte, il m’a fait entrer. Et frère...?... arriver, nous étions en train de parler, Billy m’a rencontré là, et il a dit... J’ai dit: «Eh bien, fils, qu’en est-il de...?»

            Il était... avait une petite sacoche en main. Il a dit: «On vous a donné une offrande d’amour, papa.» J’aimerais vous remercier.

            J’ai dit: «Qu’en est-il de l’offrande, est-ce le...?...» Tout a été payé totalement, et il est resté quelque chose qui sera affecté au champ missionnaire. Que Dieu bénisse vos âmes vaillantes. Au mieux de ma connaissance, je ferais de tout mon mieux avec cela pour l’édification du Royaume de Dieu. Tous mes remerciements, et que Dieu vous bénisse richement, et qu’Il vous récompense au centuple pour tout ce que vous avez fait.

7          Ainsi donc, il ne restera pas de dettes dans cette ville, et autres, tout aura été payé. Et notre offrande missionnaire, il y a quelques centaines de dollars, quoi que ce fût, ce qui était resté des autres sera directement versé dans les offrandes missionnaires. Cela ira dans l’oeuvre outre-mer, et je sais que cela vous fera plaisir de le savoir, que... Et dans mon offrande d’amour, quel que soit le montant, deux ou trois cents dollars, quand j’arriverai chez moi, ou je ne sais combien ça sera, je vais... Ce que j’ai comme dettes, je payerai cela, et cela sera directement affecté à une autre réunion. Et ce qui restera sera directement affecté au champ missionnaire à l’étranger. C’est tout à fait vrai, et Dieu sait que c’est la vérité. Je remercie chacun de vous.

            J’aimerais complimenter mes frères et soeurs qui ont parrainé cette série de réunions, aussi pour la collaboration de ces pasteurs qui sont venus et qui ont marqué non seulement leur présence, mais ont consacré leur temps et leur coeur à la réunion. Vous avez été merveilleux, mes chers frères et soeurs. Et si jamais nous ne nous rencontrons pas de ce côté-ci de la rivière, nous nous rencontrerons de l’autre côté.

            J’espère que je peux bientôt revenir à Phoenix pour une série de réunions plus longue. Il y a une chose dont nous avons besoin ici à Phoenix, c’est soit un très grand auditorium de huit ou dix mille places assises, soit apporter une tente ; c’est la meilleure chose, et alors nous resterons jusqu’à la fin. C’est vrai. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci. Tous mes remerciements. Cela fait que je me sens vraiment deux fois le bienvenu pour revenir, et je–j’apprécie cela. Je suis votre ami pour vous aider, en n’importe quel moment que je peux.

8          Maintenant, aux laïques qui... Nous ne pouvons pas avoir une église si nous n’avons pas de laïques. Vous savez, le pasteur ne peut pas tout faire. Il faut des membres dans l’église.

            Chacun de vous a apporté un soutien à cette série de réunions avec votre argent. Vous avez supporté cela par la prière. Et ce soir, si le programme s’exécute normalement... Deux petites femmes qui s’étaient cachées pendant ces huit jours de réunions, elles jeûnaient et priaient pour cette réunion. C’est l’une des raisons pour lesquelles cela a été un succès. C’est vrai. Et puisse... J’espère qu’elles sont ici ce soir. Cela m’a été rapporté par une très bonne autorité, je crois que c’est authentique. Je vous apprécie donc, soeurs, et je vous apprécie, non seulement elles, mais les autres qui ont jeûné et prié aussi, me soutenant avec votre merveilleuse foi en Jésus-Christ.

            Oh ! Quand je me tiens au milieu d’un groupe comme celui-ci, avec ce mur de foi tout autour, on n’a pas peur. Je peux vous dire cela. Il y a Quelque Chose qui se tient juste à côté de vous et qui vous fait savoir que Quelque Chose est avec vous.

            Et alors, quant à s’accommoder de cette vieille prédication sassafras qu’est la mienne, c’est un... Je ne suis pas un–je ne suis pas un fameux prédicateur, mais vous avez même supporté cela ; ainsi, je–je vous remercie. C’est beaucoup de grâce. Je vous apprécie beaucoup. J’aimerais vous remercier, tout un chacun.

9          Maintenant, à un autre, ce frère Bower ici. Je ne le connaissais pas très bien, jamais, mais je ne le connais que de nom. C’est lui qui m’a appelé. Je l’ai entendu au petit-déjeuner des ministres l’autre matin, je l’ai entendu parler pour la première fois. Outre qu’il est chrétien, il est diplomate. C’est vrai. C’est un bon frère.

            Non seulement cela, mais j’ai rencontré d’autres frères et soeurs là qui sont vraiment des hommes et des femmes consacrés à Dieu, la colonne vertébrale même et le coeur de Phoenix. C’est vrai.

            Frère Shuler a dit qu’au cours de ces trois semaines, je pense, il avait eu cinq cents personnes qui ont accepté Christ. Je ne sais combien nous avons eus ici. Ainsi, nous pensons que, quand nous quitterons tous ce soir, Phoenix sera de loin meilleur grâce à toute votre collaboration avec nous dans ces réunions d’évangélisation qui se tiennent ici à Phoenix.

            Si Jésus venait, il y aurait au moins mille personnes qui iraient, ceux qui ne seraient pas partis. Ainsi, nous remercions le Seigneur. Des dollars et des centimes ne pourraient jamais valoir ces âmes, n’est-ce pas? Jamais, jamais. Et Dieu nous bénira et nous continuerons à venir plus que nous ne l’avons fait au commencement. Maintenant, que le Seigneur soit avec vous.

10        Une autre personne que j’aimerais identifier ici ce soir, c’est mon brave ami John Sharrit. C’est ça. Amen. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci. Beaucoup parmi vous ne le connaissent peut-être pas. Ce petit homme qui se tient derrière n’a rien à dire, il est... Je ne voulais pas dire un petit homme. Ces frères m’ont corrigé. Il pèse environ deux cent vingt livres [99,7 kg]. Et il est... Et moi, je l’appelle un petit homme ; pouvez-vous vous imaginer cela?

            Oh ! Je veux dire qu’il est aussi humble qu’un enfant, c’est vraiment un très bon gars. Et sa vieille mère grisonnante, et elle, et sa femme et ses enfants, nous les saluons avec un respect que seul un chrétien peut témoigner. Que la paix soit dans leur foyer dès maintenant et à jamais. Ils nous ont bien hébergés et nous ont accordé le meilleur qui puisse être donné et... Oh ! la la ! Je ne peux pas exprimer le sentiment que nous éprouvons envers la famille Sharrit. Que Dieu les bénisse, qu’Il leur accorde une longue vie.

11        Et beaucoup parmi vous connaissent John Sharrit, comment il est devenu ce qu’il est maintenant, grâce à l’humilité de son coeur. Quand un ministre était venu ici... Et John Sharrit possédait une toute petite cabane comme maison. Et ce ministre n’avait rien. Le Seigneur lui a dit de donner cette maison à cet homme, c’est tout ce qu’il avait. Et il a pris sa femme et leurs habits (au mieux de ma connaissance, là), il a quitté et il est allé quelque part ; et il l’a placée dans un garage, et ils ont habité là dans un... s’occupant des bâtiments de quelqu’un et tout là-bas, comme loyer du lieu. Il travaillait là, et il a dû emprunter à quelqu’un là dans la ville assez d’argent pour commencer une affaire, et vous savez ce que Dieu a fait pour lui. Et il ne s’est jamais enflé. Il est simplement le même vieux frère Sharrit qu’il était il y a longtemps.

            Eh bien, je ne sais pas... J’espère qu’il ne se fâchera pas contre moi pour avoir dit cela. Mais il n’y a pas longtemps, cet homme était dans les rues de la ville en train de vendre des pommes à un centime la pièce, pour prendre soin d’une mère veuve. Que Dieu bénisse son âme vaillante, et qu’il vive longtemps. C’est vrai. Et maintenant, il prend soin de beaucoup de mères veuves. Toutes celles qui viennent, il les place quelque part et il prend soin d’elles. Que Dieu les bénisse.

12        Eh bien, une autre personne que j’aimerais identifier ce soir, c’est... Je ne connais pas cet homme ; je ne sais pas s’il a des représentants ici ou non. Mais il s’agit de cet homme qui a cette lumière, là, le Blakely, je crois que c’est comme ça que c’est appelé. Cet homme qui a cette lumière...

            Je n’ai jamais entendu parler de cet homme. Je pense qu’il ne connaît rien sur nous. Mais pourtant, avec cette courtoisie, nous dirons: «Que Dieu bénisse monsieur Blakely, et puissent ses stations d’essence subsister toujours.» Amen. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci. Monsieur Blakely, ou votre représentant ici, qui que ce soit, c’est ce que nous ressentons tous. Si jamais je suis en Arizona, je sais où acheter de l’essence. C’est vrai. Et je pense que les gens ressentent la même chose. Tout celui qui a un coeur pour nous aider en ce grand moment de croisade, nous sommes très heureux. Jamais il... Ce n’est pas à des fins commerciales. Ce n’est pas un semblant ; c’est le pur amour provenant du coeur d’un homme. C’est vrai. C’est vrai.

            Il n’y a rien... Il ne m’a jamais demandé de dire un mot. Il n’a jamais demandé qu’on mentionne quoi que ce soit. Je me sens simplement conduit comme ça à ce sujet. C’est vrai. Et c’est comme ça que nous nous sentons à ce sujet, chacun de nous. Quelqu’un qui s’intéresse à notre Seigneur Jésus-Christ, nous nous intéressons à son bien-être (Est-ce vrai?), car il est notre frère. Maintenant, nous–nous prions que Dieu bénisse tout le monde.

13        Maintenant, la chose suivante, c’est pour cette arène ici, qu’on appelle, je pense, Madison Square Garden. J’ai été à Madison Square Garden à New York, c’est un peu plus large, mais je ne serais pas plus le bienvenu. C’est vrai.

            Au concierge, il y a un homme qui a eu à se tenir ici le soir avec une torche. Je ne sais pas si le parking ici est à lui, ou quelque chose comme cela, un brave gentleman. Il est pratiquement le seul que je connaisse personnellement qui ait quelque chose à faire avec cela. Et à vous qui êtes ici, les concierges, ou les hommes d’affaires, ou quoi que ce soit, ils veillent à cela ; nous vous remercions du plus profond de notre coeur pour avoir ouvert votre porte. Et puisse, à votre arrivée dans le Pays de gloire, puisse Jésus-Christ vous ouvrir les portes et vous recevoir dans Son Royaume ; c’est notre prière. Que Dieu vous bénisse. Si nous pouvons accorder une faveur à n’importe qui, nous serons heureux de le faire.

14        Eh bien, ce soir, comme c’est la dernière soirée... Et ça a vraiment été un service de guérison et un grand plaisir. Une autre chose que j’aimerais dire avant de quitter aussi: Frère Jack Moore et frère Brown ont été avec moi contre vents et marées. Et ils sont ici avec moi ce soir, ils sont avec moi dans cette série de réunions. Et je–je... Oh ! Je ne sais quoi dire au sujet de ces frères ; ils sont simplement... Eh bien, nous sommes simplement un en Jésus-Christ. C’est ça.

            Et ainsi, j’espère donc ce soir que Dieu vous bénira. Puisse chacun de vous vivre, moi aussi, vivre pour que nous nous revoyions dans cette grande réunion de Phoenix, en Arizona. Que Dieu vous bénisse. Aux Blancs, aux Espagnols, aux gens de couleurs, aux Indiens, à qui que ce soit, que la paix soit sur vous. Que Dieu vous bénisse, c’est ma prière. Amen. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci, merci.

15        Maintenant, j’aimerais lire une portion de la Parole de notre Père céleste. Et ensuite, je vais prier sur les mouchoirs. Il y en a beaucoup ici. Maintenant... Oh ! Oui, je viens de m’en souvenir. Ma femme m’a dit de–de remercier la dame qui a confectionné quelques petites robes style indien pour chacune de mes petites filles et pour ma femme aussi. Je l’en ai habillée ce matin et je lui ai pris une photo. Elle est une Indienne maintenant. [L’assemblée rit avec frère Branham.–N.D.E.] Très bien. Tous mes remerciements.

            Quelqu’un nous a envoyés un gâteau sur lequel il était mentionné: «Aux petits Esquimaux et à frère Branham.» Merci.

            Quelqu’un a remis à Billy Paul deux dollars à me donner. Merci. Alors que je quittais cet après-midi, un beau jeune homme est venu et a dit: «Frère Branham, vous devez prendre ceci», et il a déposé cela entre mes mains. C’étaient six dollars, un billet de cinq dollars et un billet d’un dollar. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Et à... Tout... Si j’ai omis quelqu’un, pardonnez-moi. Je–je–je voulais vous prendre tous.

16        Maintenant, j’aimerais d’abord lire les Ecritures qui se trouvent là dans le Livre des Actes, et ensuite... ce qui se trouve dans Actes, chapitre 2, verset 22. Maintenant, je vais simplement lire et donner un témoignage. Et ce soir, je vais passer tout mon temps dans la ligne de prière à prier pour les malades. Vous... J’aimerais en appeler autant que possible sur l’estrade, et voir ce que notre Seigneur Jésus fera pour nous. J’ai été en prière les quelques dernières heures, demandant à Dieu quoi faire et comment le faire. Et j’aimerais, si Dieu écoute ma prière, qu’il n’y ait aucune personne faible dans cette salle quand on partira d’ici.

            J’aurais voulu avoir un moyen par lequel je pourrais... Nous avions l’habitude de tenir des lignes rapides où nous faisions passer les gens, des foules. Je ne sais pas. Certains d’entre eux pensent que c’est toujours bon, mais cela entasse les gens, et tout. Il y a un contact personnel ; c’est vrai.

            Mais si vous prenez note de ceci, et que vous croyez de tout votre coeur... Maintenant, faites-en donc quelque chose de fondamental. Vous voyez? C’est ce que vous voyez notre Seigneur Jésus... Ce n’est pas un homme. Voyez?

            Et vous êtes assis parmi les fines fleurs de la moisson, des chrétiens. Voyez? Vous êtes juste là où toutes les prières montent, dans l’assistance, là même, alors que le Seigneur agit sur les gens ici. Eh bien, c’est la–la chose même qui accomplit la guérison, n’est-ce pas? C’est l’essence même de la guérison.

17        Maintenant, écoutez ceci, maintenant, je vais parler de Jésus, le Fils de Dieu. Le verset 22 du chapitre 2 des Actes:

Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles,... prodiges et les signes qu’il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes ;

            Laissez-moi vous répéter ce qu’a dit Pierre ici:

Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous en êtes aussi tous témoins.

            De qui disait-il cela? Jésus de Nazareth, à qui Dieu a rendu témoignage par quoi? Les signes, les prodiges et les miracles.

18        Maintenant, je vais lire ce que Jésus a dit dans Saint Jean 5, à partir du verset 33.

Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.

            J’aimerais que vous remarquiez maintenant ; saisissez ces mots attentivement, la lecture de cette Parole. Juste avant ceci, Il a dit au chapitre 30: Je ne puis... (Au verset 30 plutôt.)

Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j’entends, je juge ;...(Voyez?)

            Que toute la gloire soit rendue au Père. Eh bien, il a dit que vous pensez à Jean et il a rendu témoignage à la vérité.

Pour moi ce n’est pas d’un homme que je reçois le témoignage ; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.

Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière. (A la lumière de qui? La lumière de Jean. La lumière qu’il apportait, vous avez voulu vous en réjouir. Ecoutez.)

Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les oeuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé. (C’est Dieu qui Le confirme. Ecoutez.)

Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi...

19        Maintenant, dans le... Jean, chapitre 16, j’aimerais lire une autre portion, à partir du verset 28:

Ses disciples lui dirent: Voici, maintenant tu parles ouvertement, et tu n’emploies aucune parabole.

(C’est ici que je veux en venir maintenant.) Maintenant nous savons que tu sais toutes choses, et que nous savons que... et que tu n’as pas besoin que personne t’interroge ; c’est pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu.

            Ecoutez. Du fait que Jésus connaissait ces choses et qu’Il leur en avait parlé, ils ont dit: «Maintenant, Tu parles de façon que nous puissions comprendre.»

20                    Il connaissait ce qu’était le péché de la femme. Il savait où était le poisson qui avait une pièce d’argent dans la bouche. Quand Philippe était venu, ou plutôt Nathanaël, Il connaissait qu’il avait été sous un arbre, en train de prier, avant que Philippe le trouvât. Il a dit: «C’est pourquoi...» Ce n’est pas un proverbe. Il a dit: «C’est pourquoi nous croyons que Tu es sorti de Dieu.»

            Considérez Jésus, au verset 31:

Jésus leur répondit: Vous croyez maintenant?

            Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à Sa Parole.

21        Puis-je dire ceci comme notre Seigneur l’a dit: «Vous croyez maintenant? Croyez-vous maintenant que la Parole de Dieu a été prêchée? Les malades ont été guéris. Des signes et des prodiges de la puissance surnaturelle qui a agi dans l’auditoire, accomplissant des choses qui dépassent tout entendement de l’esprit humain, Jésus-Christ se manifestant dans Sa résurrection, le même hier, aujourd’hui et éternellement, connaissant les pensées des gens, un voyant en fait... Non seulement cela, mais des âmes ont été sauvées et remplies du Saint-Esprit, en confirmation de la Parole.

            Toutes ces choses ensemble, croyez-vous maintenant? Croyez-vous qu’Il est ressuscité des morts et qu’Il vit au milieu de nous ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement? Croyez-vous maintenant qu’Il ne fait acception de personne? Il guérit les Espagnols ; Il guérit les Blancs ; Il guérit les Indiens. Il montre des visions en rapport avec les Espagnols, les Blancs, les Indiens, ceux à qui Il peut parler dans leur langue, ceux qui ont une espèce de langue, et ceux qui en ont une autre.

            Ainsi, Dieu est Dieu au-dessus de chaque personne, de chaque couleur, de chaque race, de chaque langue. Il est Dieu, Il est ressuscité des morts, Il vit au milieu de nous, Il ne fait acception de personne, ni d’un homme ni d’une femme, mais tous sont un en Jésus-Christ. Oh ! C’est beau, n’est-ce pas?

22        Tenez, ce soir, je dis ceci par la foi. Par la foi, je crois ce soir que vous verrez visiblement dans cet auditoire l’action du Saint-Esprit qui était sur Jésus-Christ, accomplissant des signes et des prodiges, sans aucun doute, le même Saint-Esprit accomplissant la même chose.

            Maintenant, quand Jésus était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il ne prétendait pas être une grande personne. Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Est-ce vrai? «Je ne fais que ce que le Père Me montre. Ce que Je vois faire au Père, Je le fais aussi pareillement.» Est-ce vrai?

23        Maintenant, aucun prophète et aucun... personne, même pas le Seigneur Jésus, jamais, à aucun moment, a jamais accompli un miracle ou fait quelque chose sans que Dieu le Lui ait d’abord montré ou averti de faire cela.

            Considérez le grand prophète Elie. Quelqu’un est venu il n’y a pas longtemps... Quelqu’un m’avait critiqué dans un journal. Et ce... Un homme qui était avec moi a dit: «Frère Branham, j’irai là maudire ce journal-là.»

            J’ai dit: «Ô frère, Jésus a dit: ‘Je ne suis point venu pour détruire les gens. Je suis venu pour sauver les gens.» Ils critiquent, mais c’est en ordre. Cela ne me blesse pas. C’est la meilleure attraction que j’aie. C’est vrai.

            J’ai toute cette publicité gratuitement, et nous n’avons pas à payer pour cela. En effet, l’argent que nous aurions dépensé pour cela, nous l’envoyons aux missionnaires outre-mer. Donc, voyez, cela ne blesse pas. C’est bien. Tout le monde vient voir tout ce qu’il en est de tout ce problème. Nous recevons donc cela gratuitement. Ils me font donc simplement une faveur sans le savoir. Voyez?

24        Mais il a dit: «Nous avons besoin d’un autre Elie qui viendra sur le mont Carmel et dira: ‘Maintenant, je vous défie de venir ici.’»

            J’ai dit: «Ouais. Attendez une minute, frère.»

            Il a dit: «Elie n’a point attendu une vision. Tout ce qu’il a fait, c’était d’aller là et accomplir cela.»

            J’ai dit: «Excusez-moi, frère. Vous êtes un érudit, mais vous êtes très loin du chemin là même.»

            Quand Elie a invoqué là en ce jour-là sur le mont Carmel, il a disposé ces choses ensemble, il s’est avancé là et a dit: «Seigneur, j’ai fait tout ceci par Ta Parole.» Est-ce vrai? Assurément, vous tous. Voyez? «Par Ta Parole...»

25        Jésus a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même, mais Je ne fais que ce que Je vois faire au Père. Je fais la même chose qu’Il me montre.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19: «Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi, J’agis.»

            En d’autres termes, toujours dans le surnaturel. Et aucune chair ne peut se glorifier dans la Présence de Dieu. Ainsi, nous attendons simplement. Eh bien, certains hommes n’ont pas de visions. D’autres procèdent par une inspiration du pressentiment. Le Saint-Esprit dit à un pasteur: «Va à cette autre église là», même s’il ne reçoit pas d’argent là-bas, mais ils sont dans le besoin. «Je te veux là.» Il n’attend pas une vision, parce que ce n’est pas là son ministère. Il va simplement là, et Dieu obtient le même résultat que par une vision. Pensez-y. Très bien. D’autres procèdent autrement. Mais tout ensemble, c’est l’oeuvre du Saint-Esprit. Que le Seigneur vous bénisse.

26        Maintenant, écoutez, chrétiens, mes chers petits enfants en Christ, mes bien-aimés, je déteste vous quitter ce soir. Honnêtement, je le regrette. Je n’ai pas à le dire, mais vraiment j’aurais voulu avoir encore quelques semaines à Phoenix. Mais je–j’ai mes réunions bien programmées, on est simplement poussé un jour ici, un jour là, et un jour... comme cela.

            Ainsi, je dois me dépêcher aussi vite que possible pour rentrer chez moi, et partir directement. Quand je rentre, si rien ne se passe en un matin, je commence directement cet après-midi-là. Voyez? Ainsi, au commencement de chaque prochain jour... Priez donc pour moi ; allez-vous le faire? Et, peut-être, je ne vous reverrai plus, je pense, jusqu’à ce que je revienne d’outre-mer. Mais maintenant, il se peut que ce soit dans le but peut-être de raconter cette vision. Je vous ai promis que je le ferais. Je l’ai écrit quelque part ici dans la Bible.

27        Et voici ce qui se passera: L’Ange du Seigneur qui est venu vers moi et qui m’a dit de retourner en Afrique... Et Il m’a placé là en Afrique et m’a montré une série de réunions plus grandes que celles qui avaient eu lieu la première fois.

            Alors, pendant que je me tenais là, un autre Ange est descendu du Ciel. Il portait on dirait un habit rouge. Mais Il était au-dessus de moi, Il–Il m’a tourné vers l’Est. Et j’ai vu tous les Africains là. Les Africains sont robustes, d’une forte constitution, mais ceux-ci étaient des gens minces, on dirait qu’ils étaient drapés, on dirait, d’une–une couverture relevée en haut et rembourrée, comme ceci. Je n’arrivais à identifier personne. Mais, oh ! ils étaient plus nombreux que ces Africains.

            Alors, cet Ange au-dessus de moi s’est transformé en une très grande Lumière éclairante et s’est mis à montrer derrière, comme cela. Et tout aussi loin que je pouvais voir, il n’y avait que des gens. Et il y en avait là sur des collines et dans des vallées. Et ils ressemblaient aux Indiens. Et alors, quand cet Ange au-dessus de moi a parlé à l’Ange qui est toujours avec moi, à côté de ce grand Homme au teint plutôt basané, avec des cheveux qui Lui retombaient sur les épaules, les bras croisés, Il se tenait là à mes côtés.

            Je L’ai entendu dire à Celui qui se tenait à côté de moi, d’une voix si forte que cela m’a fait sortir de la vision, Il a dit: «Il y en a trois cents mille à cette réunion.» Notez-le, car c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Sa Parole s’accomplit.

28        Quand l’archevêque de l’Inde est venu chez moi, récemment, et qu’Il a reçu le baptême du Saint-Esprit, l’archevêque Palai, il a dit: «Frère Branham, à voir comment on vous attend là... (Cela veut donc dire les convertis.), il a dit: «Je vous assure, il y en aura partout, un demi-million de gens dans votre assemblée.» Il a dit: «Toute l’Inde attend.»

            Et avec cette vision pour confirmer cela, observez ce que notre Seigneur fera. Voyez? Je m’attends à un demi-million de convertis dans mon voyage. Nous allons en Afrique, en Inde, en Palestine, au Luxembourg, à Francfort, puis nous retournons à Londres et, enfin, nous retournons chez nous ; et puis nous irons là au Sud, en Australie, en Nouvelle Zélande, et puis là-bas. Eh bien, peut-être, il se peut que j’aie l’occasion de vous voir après mon retour d’outre-mer.

29        J’aimerais vous poser une question maintenant. Quand le–quand le chemin s’assombrit en Afrique et en Inde... Rappelez-vous, quand on arrive en Inde, les gens croient simplement tout. Des ouvriers dans des rues, toutes sortes de choses. C’était pareil en Afrique. N’allez pas penser que ces sorciers ne vont pas me défier. Ils le feront assurément.

            Mais je n’ai jamais vu un moment, même quand une demi-douzaine se tenaient devant moi à la fois, où Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ait manqué de venir avec puissance. Amen. Je n’ai jamais été effrayé, jamais de ma vie, parce que je sais que c’est Lui qui m’a envoyé. C’est à Lui de prendre soin de moi. C’est vrai. Voyez?

            Et quand le chemin devient sombre là-bas, je peux fermer les yeux et me souvenir que dans cette belle vallée ensoleillée de Phoenix, j’ai des milliers de gens qui prient pour moi. Et je–je me sentirai en sécurité grâce à vos prières qui m’environnent. Et que Dieu soit avec vous.

            Si certains parmi vous doivent s’en aller dans la Gloire avant que nous nous rencontrions, que Dieu soit avec vous. Je vous rencontrerai là par la grâce de Dieu, en ce grand jour où nous n’aurons plus à prier pour les malades, ni à prêcher l’Evangile ; nous serons en train de chanter les louanges de l’Agneau. Que Dieu vous bénisse.

30        Maintenant, j’aimerais prier, et prier pour ces mouchoirs. Notre Bienveillant Père céleste, alors que nous sommes assemblés ici dans cette salle pour une réunion d’adieu à cette campagne, ô Grand Jéhovah Dieu, nous Te remercions pour chaque âme qui a été sauvée. Nous Te remercions pour tout celui à qui Tu as donné le Saint-Esprit ; pour ceux qui ont renouvelé leurs voeux. Nous Te remercions pour chaque guérison que Tu as accordée aux gens.

            Voyant leurs témoignages affluer par lettre depuis le début de la semaine, après leur retour chez eux, ils ont constaté que des tumeurs avaient disparu, des cancers avaient disparu, et les médecins les ont déclarés guéris. Nous sommes si reconnaissants, Père. Et puisse chaque personne qui a même franchi les portes de cette campagne, puisse chacun d’eux être guéri. Accorde-le, Seigneur.

            Et maintenant, je Te prie de nous bénir ensemble ce soir dans cette réunion de clôture. Que la puissance de résurrection de Jésus-Christ repose sur Ton humble serviteur, que les gens prennent garde et reconnaissent que je leur ai dit la vérité, et qu’ils croient grâce à cela.

            Bénis ces mouchoirs, Père, alors que je pose les mains dessus, pour des nécessiteux. Regarde simplement ici. Viens, Seigneur Jésus, et fais-nous sortir de cette maison de pestiférés. Ô Dieu, que Tes miséricordes soient sur ces gens. Certains d’entre eux sont–sont des Indiens, peut-être ; d’autres, des Espagnols ; d’autres, des Blancs ; d’autres, des gens de couleur. Ô Dieu, où qu’ils soient, qui qu’ils soient, c’est–c’est Ton peuple.

            Je Te prie de délivrer chacun d’eux. Que Ta grâce et Tes bénédictions... Et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, exauce ma prière, ô Dieu. Et je Te prie, du plus profond de ma sincérité, de guérir chaque personne que ces mouchoirs toucheront. Accorde-le, Seigneur. Puisse cela être accompli pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Fils, Jésus-Christ. Amen.

            Et dans ce petit tas entremêlé, s’il arrive que certains parmi eux ne reçoivent pas leurs mouchoirs, écrivez-moi simplement et je vous en enverrai un. Que Dieu vous bénisse.

31        Maintenant, juste un témoignage afin que nous puissions commencer... J’aimerais en appeler autant que possible à l’estrade. J’ai environ dix minutes maintenant avant de les appeler.

            Juste un petit témoignage. Si vous avez remarqué, je n’ai pas donné un seul témoignage depuis que je suis ici, parce que j’ai gardé tout cela dans la prédication de la Parole. Quand monsieur Baxter et l’organisateur sont parfois avec moi, ce sont eux qui prêchent, et moi, je viens juste et je témoigne.

            Or, généralement, quand on est oint, on quitte la maison avec cet Esprit sur soi, quand on arrive et qu’on se met à prêcher, alors tout d’un coup, vous savez, on a une autre attitude. Eh bien, encore une fois, cela fait plutôt un peu obstacle à la réunion, pour cette partie-là. Mais pourtant, j’ai apprécié l’occasion de vous parler.

32        Maintenant, j’aimerais un peu donner un témoignage. Plusieurs milliers de témoignages... Oh ! la la ! Comment... Si je me tenais ici même pendant les trois prochaines semaines, à cette estrade, cinq heures par jour, je pourrais toujours être en train de témoigner sur ce que j’ai vu notre Seigneur Jésus faire. C’est vrai.

            De... Des miracles pratiquement incroyables, comment Dieu a accompli de si grandes choses. Non pas moi, là, c’est Dieu qui a accompli. Voyez? Personne ne peut accomplir ces miracles. Jésus ne pouvait pas les faire Lui-même, si ce n’est que quand Dieu Lui faisait connaître comment le faire et quoi faire. Or, Dieu était en Lui. C’était Dieu qui accomplissait l’oeuvre. Eh bien, remarquez.

            Mais maintenant, j’aimerais donner un petit témoignage, je ne sais par où commencer. Je me demande un peu... je repasse dans mon esprit quoi dire. Eh bien, en voici un. Et alors, d’ici quelques instants, nous percevrons l’atmosphère qui règne dans la réunion, alors nous allons appeler les gens pour la ligne de prière.

            Et voulez-vous ce soir, avec l’aide de Dieu, me promettre que vous allez placer toute la foi possible là au Calvaire ce soir pour votre guérison? Faites cela.

33        Eh bien, je viens de quitter Chicago il y a quelques semaines, et je rentrais à la maison. Et comme j’étais très fatigué, je n’arrivais guère à me lever. Et chez moi, que leur coeur soit béni, les gens viennent... On ne peut pas les renvoyer après qu’on est arrivé là. Ainsi, on–on doit simplement servir ces...?...

            Nous n’avons pas mangé une seule fois chez nous (Nous vivons là depuis cinq ans) avec les rideaux tirés. C’est vrai.

            Ma femme, je pense qu’on l’a présentée ici ce soir ; on allait aussi le faire. Elle a trente-quatre ans et elle est presque complètement grisonnante, comme vous le remarquez. S’il y a un quelconque mérite à attribuer à la famille Branham, il ne me revient pas, attribuez-le-lui. C’est elle qui s’est tenue entre moi et la porte, aidant les gens, faisant tout ce que nous pouvons. Que ton coeur soit béni ! Que Dieu lui accorde une portion dans–dans le Royaume de Dieu.

            Seulement... Un prédicateur peut à peine se rendre compte de ce par quoi passe la femme d’un prédicateur. Vous le savez, frère. Je suis si content de ce que Dieu nous donne une aide. Pas vous? Oui, oui.

            Un homme qui a une bonne femme loyale devrait être si fidèle et loyal envers elle. Et celle qui a un bon mari devrait faire de même. Considérez le monde aujourd’hui et le chaos dans lequel il est.

34        Alors, quand nous... j’étais revenu à la maison, je suis allé chez un vieil ami du nom de George Wright, là sur le chemin de la campagne où la petite Georgie Carter... Et vous avez vu cela dans le livre, évidemment, son témoignage personnel. La personne la plus mince que j’aie jamais vue, même plus mince que Florence Nightingale, quand elle a été guérie. Mais Georgie, en fait, était une petite femme pour commencer ; elle ne pesait qu’environ trente-cinq livres [15,8 kg]. Vous avez entendu son témoignage. Elle était restée couchée là neuf ans et huit mois, et elle n’avait jamais quitté son lit.

            Et une heure après cela, elle était dans la cour en train de louer, de sauter, de crier, de rendre gloire à Dieu. Elle est ma pianiste à l’église baptiste de Milltown, dans l’Indiana, ce soir. Elle n’a plus jamais été alitée, si ce n’est pour dormir la nuit depuis lors. Elle était couchée là neuf ans et huit mois, elle n’arrivait même pas à bouger, elle ne pouvait même pas soulever son crachoir pour y cracher. Ses membres, ici au niveau de ses hanches, n’étaient pas plus que ça, cette grosseur. Si vous aviez vu ce squelette sortir du lit et aller dans la cour s’asseoir et bénir les feuilles... Et elle s’est assise à l’orgue et elle a joué: «Jésus, garde-moi près de la croix» pendant que son père entrait, et il s’est évanoui, avec un seau de lait en main. C’est vrai.

            Dans ce même... Elle fréquentait une église qui faisait... croyait que les jours des miracles étaient passés. Et ils ont dit que, si jamais je franchissais leur porte, qu’ils seraient chassés de l’église ; ils ont dit à tout le monde qui allait là de ne pas me laisser entrer. Mais Jésus m’avait envoyé là et je suis entré. Elle voulait que j’entre, et Dieu l’a guérie. Et maintenant, toute la famille est remplie du Saint-Esprit. Voyez? Donc, c’est différent maintenant.

35        Je suis donc allé chez monsieur Wright, un cher vieil ami à moi de soixante-dix et quelques années. Et ma femme était avec moi dans la réunion, nous ne savions pas qu’il existait une telle maladie. Et ainsi, quand je suis arrivé là, je l’ai trouvé avec un caillot de sang derrière les deux jambes. Et un spécialiste avait été là, là loin dans la contrée où il habite, et il lui accordait environ trois ou quatre jours à vivre, disant que ce caillot de sang durcissait les artères. Aussitôt que... Le caillot de sang était dans les jointures de ses genoux, et aussitôt que le sang circulait, il atteindrait le coeur ; et cela le tuerait immédiatement. S’il atteignait son cerveau, cela le paralyserait: «Il n’y avait pas du tout d’espoir», selon le spécialiste.

            Eh bien, il m’est arrivé d’apprendre cette nouvelle à mon arrivée, et il était couché sur le lit, les mains levées, en train de pleurer. Et je... Il a dit: «Ô frère Branham, nous avons essayé d’avoir... Chicago, nous avons envoyé des télégrammes...» Mais je ne les avais jamais reçus. Alors, ils...

            Je suis entré, je suis tombé sur le vieil homme, priant, demandant à Dieu de le laisser vivre. Et je suis resté là toute cette journée-là, environ–environ deux ou trois jours, priant pour cet homme, chaque jour. Et j’essayais de me détendre le matin. Je me levais, sortais, prenais mon vieux fusil, gravissais la colline pour voir si je pouvais effrayer un lapin. Je revenais, m’asseyais, priais pour lui, je ressortais. Finalement, les gens ont commencé à apprendre que j’étais là. [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Excusez-moi. Je suis donc retourné le lendemain et il y avait environ huit ou dix voitures pleines parquées là. Je ne pouvais donc pas m’approcher directement de la maison à ce moment-là.

36        Ainsi donc, le prochain... Ma femme m’a téléphoné, disant: «Chéri, je suis désolée de t’appeler, mais, a-t-elle dit, tu vas devoir simplement revenir à la maison, car une missionnaire chez les Juifs...» Une très bonne femme chrétienne ; elle habite à Louisville, elle va être en Palestine au même moment que je serai là. Et c’est une femme très distinguée, elle est diplômée de l’Institut biblique Moody de Chicago, une brave femme, une fervente croyante dans la guérison divine. Dieu l’avait guérie et avait fait beaucoup de choses dans sa famille. Et elle... Sa fille était à l’hôpital, et les médecins l’avaient abandonnée avec une espèce de poison depuis l’enfance, et elle était couchée, mourante.

            Le...?... L’hôpital baptiste là à Louisville, dans le Kentucky, c’est un grand hôpital. J’oublie combien de centaines de chambres il dispose. L’une des meilleures équipes médicales qu’il y a dans le pays, je suppose, dans ce grand hôpital...

            Beaucoup parmi vous ici de Louisville savent où il se trouve, au bout de Broadway là-haut. Et ainsi donc, elle était couchée là... Et James C. Robertson, un grand avocat chrétien de renommée internationale, un ami très intime à Timothée...?... en Angleterre, qui m’amène en Angleterre cette fois-ci, comme le–comme le Reader’s Digest va dans le monde entier...

            Et il est allé là, et son père est l’un des présidents de cette équipe, et ils avaient fait tout, ils avaient pris chaque médecin qu’ils pouvaient prendre pour cette femme, car elle est aussi une amie personnelle de madame Baker, la fille de cette mère.

37        Ainsi, je suis rentré, je suis allé là. La famille Wright s’est mise à pleurer, disant: «Frère Branham...» Frère Shelby m’avait accompagné, son fils d’environ quarante ans, il a dit: «Frère Branham, que pensez-vous de papa? Pensez-vous qu’il va mourir?»

            J’ai dit: «Oui, Shelby. Je crois que ton papa va mourir.»

            Il a dit: «Monsieur, ça me–me fait mal de perdre papa.»

            Sa petite soeur s’est approchée et a dit: «Frère Branham, que pensez-vous de papa.»

            J’ai dit: «Je pense qu’il va mourir.» Et j’ai dit: «Je pense qu’il rentre à la Maison à la rencontre du Seigneur.»

            Evidemment, nous savons que les chrétiens ne meurent pas ; il n’y a aucune Ecriture dans la Bible. Voyez? Les chrétiens ne meurent pas. Ils vont simplement rester avec le Seigneur.

38        Eh bien, j’ai dit: «Il a soixante-douze ans. Dieu lui avait promis soixante-dix. Maintenant, il a soixante-douze ans et il a été un homme en bonne santé et fort. Mais maintenant, son temps est arrivé. Son médecin avait été ici et il avait dit qu’il se mourait. Et le caillot de sang semble faire gonfler son corps alors. Peut-être... Il avait vécu plus longtemps que le médecin lui avait accordé de vivre. Mais j’ai demandé à Dieu... Dieu ne m’a jamais dit un mot. Donc, je suppose que Dieu va le reprendre.»

            J’ai dit: «C’est un chrétien, prêt à partir. Il n’y a donc rien... Il a vécu sa vie. Ainsi, je pense que Dieu va le reprendre.» C’est tout ce que je savais.

            Ils ont donc pleuré, certainement. J’ai offert une prière d’adieu pour lui. Je suis rentré à la maison (Merci, frère.), je suis rentré à la maison. Et quand je suis arrivé à la maison cette nuit-là, le lendemain après-midi, je suis allé à l’hôpital baptiste. Et aussitôt que je suis arrivé là, leur... son–son beau-fils, la mère, la vieille mère, son beau-fils, il était un catholique. Et après avoir épousé cette fille, il avait changé d’église et était devenu un protestant. Et les membres de la famille de sa mère étaient encore catholiques. Ils ont donc envoyé chercher le prêtre pour qu’il vienne oindre la femme en vue de la mort, juste pour consoler la famille.

39        Et il s’est donc fait que le prêtre irlandais et moi, nous nous sommes rencontrés au même moment. J’ai dit: «Eh bien, juste un instant. Je n’ai aucun mépris pour la religion de qui que ce soit, en ce qui me concerne, mais si... Laissez-moi d’abord entrer. Si ce frère, ce prêtre, entre là pour l’oindre pour la mort, moi, je vais l’oindre pour la vie.» Voyez? J’ai dit: «Nous ne pouvons pas mélanger ceci, mais, ai-je dit, si vous le voulez, laissez-moi d’abord prononcer la vie sur elle.»

            Ils m’ont donc laissé entrer. Alors, quand je suis entré là, il y avait un groupe de gens qui se tenaient là. Elle était on dirait dans un coma, ses yeux étaient gonflés et tout. Une espèce de poison depuis l’enfance, contre lequel on n’a pu rien faire ; ainsi, ils... la médecine...

40        Je suis donc entré, j’ai demandé qu’on me laisse seul dans la chambre avec elle. Je me suis tenu là ; j’ai dit: «Soeur, vous souvenez-vous de moi?» Et elle, essayant d’ouvrir les yeux, a dit: «Qui est-ce?»

            Et j’ai dit: «Frère Branham.»

            Et elle s’est mise à pleurer, les larmes lavant tout... son visage gonflé... Une jeune fille d’environ vingt-deux ans. Et elle a dit: «Oh ! Frère Branham, serre-moi la main, serre-moi la main.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, ne soyez donc pas agitée, bien-aimée soeur.» Voyez? Et je l’ai saisie par la main. J’ai dit: «Je suis venu pour prier.»

            Elle a dit: «Oh !» Et juste...

            J’ai dit: «Maintenant, soyez calme, soyez calme.» Voyez? «Ne soyez pas tout émotionnée. Attendez que Dieu vous guérisse, et alors ayez de l’émotion.» Voyez? Et alors, j’ai dit: «Ressaisissez-vous, soyez raisonnable, écoutez-moi maintenant.»

41        Je lui ai donc imposé les mains et j’ai demandé à notre Bien-Aimé Seigneur Jésus de bien vouloir la guérir. J’ai prié pour elle, je me suis éloigné du lit et j’allais la quitter. J’ai pris mon manteau et mon chapeau. Et quand je me suis retourné, il y avait là au-dessus de ce lit cette Colonne de Feu qui tournoyait continuellement.

            J’ai su qu’Il allait dire quelque chose. Eh bien, je n’avais pas eu de vision depuis environ une semaine ou dix jours, depuis que j’avais quitté la réunion de Chicago. Et Il tournoyait là.

            Je me suis tenu tranquille. J’ai regardé ce qu’Il disait. Je me suis avancé vers le lit et j’ai dit: «Ma chère soeur, même si vous connaissez votre état...?»

            Elle a dit: «Oui, Frère Branham, a-t-elle dit, je prie que Dieu vous montre une vision.»

            J’ai dit: «Il l’a fait. Et j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» J’ai dit: «D’ici environ six ou huit heures, ils vont mettre un...?... ici pour essayer de vous amener à... car vous allez entrer dans un coma. Mais vous n’allez plus y entrer, juste une seconde, dès que vous en sortirez.»

            Et j’ai dit: «Dans le...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

42        ... s’est avancé vers moi et m’a entouré de ses bras, il a dit: «Juste une minute.» Il a dit: «Frère Branham, vous ai-je entendu dire AINSI DIT LE SEIGNEUR, dans trente-six heures ma femme retournera à la maison?»

            J’ai dit: «Si ce n’est pas le cas, je suis un faux prophète.»

            Il a dit: «Frère Branham, ma petite enfant avait des pieds-bots. Vous avez prié pour elle une douzaine de fois, je pense. Nous avions...?... prier pour elle. Et un jour, pendant que j’étais dans une pièce là, c’était bondé, vous avez eu une vision et vous avez dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, dans vingt-quatre heures, les pieds de votre enfant vont se redresser.’»

            Il a dit: «Et le lendemain matin, quand je suis allé au berceau, les pieds du bébé étaient droits et l’ont été depuis lors.» C’était un...?... Et il a dit: «Si vous dites: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, ma femme va retourner à la maison dans trente-six heures’, je ne vais même pas dans la chambre. Je vais prendre mon chapeau, retourner à la maison, faire le nettoyage et l’attendre.»

            J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse. Si ce n’est pas vrai, alors je suis un faux prophète. Souvenez-vous-en donc, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Il a pris son chapeau et s’en est allé.

43        Et je suis ressorti, et je descendais les marches ; et il y avait un homme du nom de McDowell (McDowell Electric Company à Jeffersonville), aux bas des marches. Il... Une sommité dans le domaine de l’électricité.

            Sa mère venait d’être opérée à Frankfort, dans le Kentucky, d’un cancer au point qu’on ne l’avait même pas suturée. Elle avait soixante et un ans. On a opéré, c’était si malin qu’on a simplement rassemblé cela, on l’a suturée, on l’a remise au lit, disant qu’elle allait mourir.

            Frère Mack a dit: «Frère Bill, certainement que vous allez monter là pour la vente de ma petite maison.» Il a dit: «Je sais que vous êtes fatigué, chéri, mais je... Oh ! Si vous faites cela...»

            J’ai dit: «J’irai.»

44        Nous sommes donc montés dans sa voiture et nous sommes partis. Et je suis allé dans la chambre de cette femme, j’ai prié pour elle, et je suis sorti de l’hôpital, et quelqu’un a placé sa main sur mon épaule. C’était une petite infirmière et elle pleurait.

            Elle a dit: «Prédicateur, j’ai toujours cru que je verrais le jour où ces choses se répéteraient comme aux temps bibliques.» Elle a dit: «C’est la première fois que j’ai donc entendu parler de cela, mais, a-t-elle dit, je crois que ce que vous avez demandé à Dieu là à l’intérieur, Dieu le fera.»

            J’ai dit: «Eh bien, que votre coeur soit béni, soeur. Que demandez-vous à Dieu?»

            Elle a dit: «Je ne suis personnellement pas malade.»

            «Mais, ai-je dit, que puis-je demander à Dieu pour vous?»

            Elle a dit: «Rien. Mais que je sois aussi ce genre de chrétienne.»

            J’ai dit: «Eh bien, que Dieu vous l’accorde, soeur.»

45        Je suis sorti et je suis rentré à la maison. Je suis arrivé vers cinq heures du matin ; deux voitures pleines de gens étaient stationnées devant la porte. J’ai simplement prié pour eux, je suis entré et je suis allé au lit. J’ai dormi jusque vers neuf heures. Et je me suis réveillé et j’allais sortir de la maison, j’allais sortir de la chambre (Excusez-moi) pour aller dans le couloir qui mène vers une autre pièce. Quand je suis sorti de ce... J’avais porté mon peignoir et je suis sorti. Je me tenais dans la pièce, il y a eu dans la pièce une jeune fille très attrayante. Je n’avais jamais pensé à une vision. J’ai dit: «Bonjour. Que faites-vous là?»

            Et elle n’a point dit un mot. Elle a simplement tourné la tête et a dit: «Mère, c’est à cela que je m’attendais.»

46        Et alors, quand j’ai regardé de côté, j’ai su que c’était une vision. Il y avait une femme grisonnante de soixante et un ans, avec le cancer, qui souffrait du cancer, elle se tenait près d’un téléphone et conversait avec sa fille, avec quelques-unes de ses amies. Elle était penchée contre les placards de sa cuisine chez elle.

            J’ai dit... J’ai regardé cela, j’ai dit: «Eh bien, c’est la femme pour qui j’ai prié hier soir.»

            Et juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose produire un bruit de mottes de terre qui tombaient, tombaient. J’ai regardé tout autour. J’ai vu un saule, et il y avait de très grosses mottes d’argile jaune qui tombaient. Et j’ai entendu l’Ange du Seigneur parler et dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, les gens qui se moquent de monsieur Wright, il va creuser leurs tombes.» Oh ! la la ! Quelle sensation !

47        Le dimanche suivant, le dimanche suivant, la femme était chez elle en train de faire son travail tout aussi normalement et bien portante qu’elle pouvait donc l’être. Tout ce staff de baptistes là, je veux dire, le staff de l’hôpital, Good Samaritan Hospital, c’était à Frankfort, ça les a tous déconcertés, la façon dont elle s’était rétablie ; ils n’ont pu trouver aucune trace du cancer.

            Savez-vous ce que le médecin a dit quand je le lui ai demandé? Il a dit: «Vous savez, je dois m’être trompé.» Oh ! la la ! «Je dois m’être trompé.» Alors, ces autres doivent s’être trompés, ou quelque chose comme cela. Très bien.

            Et monsieur Wright, je l’ai appelé et j’ai dit: «J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.’»

            On a dit: «Frère Branham, il est pratiquement paralysé ce matin.»

            J’ai dit: «Frère Wright creusera la tombe de ceux qui se moquent de lui.» Je sais qu’il est un fossoyeur, mais il l’était. Et le deuxième jour, le caillot de sang a disparu, on ne pouvait plus en trouver une trace, nulle part. Et monsieur Wright...?... parfaitement normal et bien portant. Qu’est-ce? C’est la Parole de Dieu venant de la Gloire, rendue manifeste parmi nous...?...

48        J’ai dépassé mon temps pour aller en Inde, le 23 du mois passé, j’étais trop pressé. Bien sûr, c’est généralement ce que je fais, et Dieu doit me ralentir un peu. Etant un Irlandais, vous savez, et–et essayant de faire des choses, je suis juste pressé pour faire cela...

            Ainsi donc, je me dirigeais vers une chambre pour assister des gens, il y avait là un homme debout avec une serviette sur la tête. C’était quelque chose comme cette femme assise là maintenant avec une serviette autour de la tête. Il était d’un teint un peu sombre, et son nez était un peu aplati par-devant.

            Et j’ai dit: «Bonjour, monsieur.» Je pensais que c’était l’un des patients dans cette maison-là. Il a simplement levé les yeux et a dit: «Frère Branham, n’allez pas outre-mer jusqu’en septembre.»

            J’ai regardé... Je–je me suis mis à demander... Il était parti. Il avait disparu.

            Eh bien, qu’est-ce? C’est la Parole du Seigneur rendue manifeste. Quand... Ces visions sont parfaitement vraies. Elles sont envoyées de Dieu. Eh bien, comparez cela... A l’intention de n’importe quel étranger dans nos portes, je souhaiterais que vous compariez...?... Allez dans ma ville natale, prenez mes livres, retracez tout témoignage, demandez à n’importe quel moment, si jamais une seule fois les visions ont failli, et ce que sont ces choses.

49        Et n’est-ce pas le même Seigneur Jésus qui était avec Paul cette nuit-là sur une mer houleuse, quatorze jours et quatorze nuits, sans lune ni étoiles? Tout espoir d’être jamais... Tous avaient perdu l’espoir, tout le monde avait perdu l’espoir. Le vieux navire était plein d’eau. Et il y avait Paul... Regardez. Tout espoir d’être sauvé était perdu, et Paul était dans la cale, peut-être, en train de prier. Et l’Ange du Seigneur est venu vers lui et a dit: «Ne crains point, Paul, tu dois comparaître devant César. Et Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.»

            Il est ressorti, ce petit Juif au nez crochu, agitant ses mains et criant: «Prenez courage. (Eh bien, oh ! la la ! en plein milieu de la tempête.) Un Ange du Dieu dont je suis le serviteur s’est tenu à mes côtés et m’a dit: ‘Ne crains point, Paul.’ Et j’ai confiance en Dieu, a-t-il dit, qu’il en sera exactement comme Il me l’a montré.» Il avait vu en vision le bateau naufragé là sur le rivage.

            Un vieux serpent l’a mordu à la main, il l’a simplement jeté dans le feu et a continué. Le Saint-Esprit...

            Une fois, il était tiraillé, ne sachant où aller. Et quand il s’est engagé sur une voie, il y avait un homme qui s’est levé et a dit: «Viens à Macédoine.» Est-ce vrai?

            Si ceci est–si ceci... Pierre a dit le jour de la Pentecôte: «C’est ici ce qui.» Et si ceci n’est pas ici ce qui, je vais garder ici jusqu’à ce que ce qui vienne. C’est ici la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. L’aimez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

50        J’ai cinq minutes de retard, en parlant. Que Dieu vous bénisse. Nous allons former la ligne de prière maintenant et commencer à prier pour les malades. Combien j’aime parler de Sa bonté !

            Très bien. Billy Paul, où qu’il soit... Je ne lui ai pas parlé cette soirée ou ce soir. Je ne sais pas s’il a distribué des cartes de prière, ou s’il l’a fait ou s’il ne l’a pas fait. Très bien. Billy, où que tu sois, fais-toi voir. Très bien.

51        Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez que chaque fois que le Seigneur accomplit quelque chose ici à l’estrade, Il peut le faire là dans l’assistance. Est-ce vrai? Il peut faire la même chose.

            Maintenant, ce... Eh bien, ceci n’est pas un théâtre. Ce n’est pas un montage. C’est la puissance de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

            Ayez simplement foi et croyez. Et si vous croyez, tout est possible à ceux qui croient. Que Dieu bénisse chacun de vous.

52        Billy, de nouveau en retard, nous allons te donner ton temps. [Frère Branham rit.–N.D.E.] Oh ! Je te taquinais simplement. Très bien. Mon garçon m’a été d’un grand secours. Et je–je dirai cette unique chose à son sujet, parce qu’il est assis ici, mais ce n’est qu’un jeune garçon d’un certain âge. Dieu est avec ce garçon, de toute façon. Si ce garçon abandonnait complètement son coeur, même après avoir reçu le Saint-Esprit... Il a ... Mais s’il s’abandonne complètement, nous ferons passer deux lignes de prière ici ce soir.

            Dieu est avec le jeune homme. Nous pouvons être en train de descendre la route quelque part, et il dira: «Papa...» Sur une route que nous n’avons jamais empruntée auparavant. Il dira: «Nous allons passer à côté d’une étable rouge. Il y aura deux vaches près de la clôture ; ce sont–ce sont des vaches blanches», quelque chose comme cela. Nous allons rouler quelques kilomètres, il dira: «Regarde ça, papa.» Vous y êtes.

            L’autre soir, nous passions, il n’avait jamais été à cet endroit auparavant. Et il a dit: «Tu sais, c’est une chose étrange, papa.» Il a dit: «Quand tu entreras ce soir, il y aura une telle personne qui te rencontrera à la porte, et telle chose.» Et c’est juste... C’est ce que c’était. Voyez?

            C’est l’Ange du Seigneur, le don de Dieu, qui passe par le jeune homme. Si seulement il s’abandonnait à cela, nous formerions deux lignes de prière et commencerions cela ici. Voyez? Priez. Que Dieu accorde qu’il en soit ainsi.

53        Il est allé outre-mer avec moi en Afrique. Il va encore y aller si c’est la volonté du Seigneur, si l’armée ne le prend pas, dans ce prochain voyage.

            [Frère Branham demande: «Quelles cartes de prière as-tu distribuées, Paul? P quoi?»–N.D.E.] 1 à 100. Très bien. Commençons alors à 1. Très bien. Carte de prière P, c’est comme Phoenix. C’est un bon numéro pour... Une bonne lettre par laquelle commencer ce soir, n’est-ce pas? P.

            Qui a la carte de prière numéro 1, P numéro 1? Levez la main. Là? Très bien, madame. Descendez ici. Numéro 2, P numéro 2. Levez ... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

54        Maman, on m’a dit que vous n’étiez pas ici à l’estrade. Levez-vous. Si vous voulez prendre ceci, Frère Moore, je le ferai. Viens ici juste une minute, chérie. Ça va la tuer, de faire ça, elle est si timide, mais j’aimerais qu’elle monte ici. Très bien. Apportez l’enfant...?... [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Cette petite femme, je pensais qu’elle avait toujours... Elle est si timide, si timide, je vais la faire monter ici, même s’il me faut aller la transporter moi-même.

            Celle-ci, c’est ma fillette, Rebecca. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Celle-ci, c’est Sara. Que Dieu la bénisse. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] La reine de ma vie, madame Branham. Amen. Maintenant... [L’assemblée applaudit.–N.D.E.]

            L’une, je l’appelle sucre, et l’autre, miel ; j’ai une famille douce. Et c’est comme si je tire des dividendes tout le temps, n’est-ce pas? Très bien.

55        La petite Rebecca ici, juste un mot pour elle. La petite Rebecca a huit ans, ce sera son anniversaire, elle a eu sa première vision il y a environ deux semaines.

            Un soir à Hammond, dans l’Indiana, elle pleurait... Quand on m’a fait venir de la réunion, et j’étais sur le point de m’évanouir moi-même, j’ai dit: «Qu’y a-t-il, chérie?»

            Et elle a dit: «Papa...» Elle était là au fond, il y avait plusieurs milliers de gens, elle était là-haut au balcon. Elle a dit: «Papa, une pauvre vieille mère, couchée sur une civière... Et tu as dit: ‘Que tous ceux qui aimeraient être guéris lèvent la main.’» Elle a dit: «Tu n’as pas pu la voir. Elle... La foule s’est tenue debout et tu n’as pas pu la voir.» Ce pauvre petit coeur était brisé. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            «Eh bien, chérie, elle n’avait pas levé la main. Jésus l’a vue.»

            Elle a dit: «Mais, papa, elle n’avait... Tu ne l’as pas vue. Et elle voulait que tu la voies.»

            «Eh bien, ai-je dit, ça va s’arranger. Jésus la guérira.»

            Et le lendemain soir, la petite amie est montée à ce balcon-là, elle a vu la femme et elle s’est mise à prier pour elle. Et ce même soir, le Saint-Esprit m’a fait retourner vers la femme. Et elle avait été amenée là par avion, elle était paralysée suite à une attaque d’apoplexie, et Dieu l’a appelée, l’a guérie et l’a parfaitement rétablie. Et elle a pris son lit et est sortie de la salle ce soir-là. C’est vrai. Rebecca priant... C’est vrai...

            Très bien, chérie. Veux-tu dire un mot? Tu veux dire: «Gloire au Seigneur»? Tu veux dire un mot, chérie, pendant que tu te tiens là? Elle est un peu réservée. Je dirais ceci pour elle: «Nous t’aimons, n’est-ce pas, chérie?» Et nous apprécions votre gentillesse à tous. Que Dieu vous bénisse et merci pour ce... lui avoir donné beaucoup d’éloge comme cela. Que Dieu te bénisse, chérie. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci.

56        Carte de prière... Qu’était-ce donc, nous...?... P, P-1. Etait-ce 1? La carte suivante, c’est 3. Vous avez 1, 2, 3 ici. 4, qui a la carte de prière 3. Est-ce la dame? Avez-vous la carte de prière 3? 3, ici même. Très bien. Numéro 4, qui a numéro 4? Vous, madame, qui venez là. 4. Qui a 5? Qui a la carte de prière 5? 6, rapidement, levez-vous. 6. Très bien. 7, la carte de prière 7. Nous essayons de les prendre une à la fois, ainsi nous n’allons pas... nous rassurer de ne manquer personne. 7...

            Nous allons prendre tout le monde ce soir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Numéro 19, 20. Combien... Comment procédons-nous? Est-ce assez? Hein? [Quelqu’un parle à Frère Branham.–N.D.E.] Oh ! Ici même? Très bien. Très bien. Quand son temps viendra, vous pourrez la transporter, ou je ne sais quoi...

            Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Nous allons essayer de prendre ces deux, et ensuite voir si nous pouvons en prendre plus.

            A quelle heure devez-vous quitter? Très bien. Que le Seigneur soit béni.

57        Maintenant, si vous voulez... Est-ce votre carte? P est de ce nombre? P est de ce nombre? Très bien, frère. Peut-être que votre carte n’est pas... Ne faites pas attention à cela... Vous vivrez certainement. Voyez? Vous allez–vous allez vous rétablir. Croyez-vous cela? Vous n’avez qu’un seul espoir, et c’est en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ayez donc foi. Je connais son problème: Une tumeur. Voyez? Je–je sais ce que c’est, mais j’attends simplement. Il ne peut pas saisir cela correctement... J’essaie de marcher par votre foi. Je l’ai fait les deux ou trois dernières soirées.

            Il y a quelques soirées, vous avez réellement pensé que c’était terminé, n’est-ce pas? L’Ange du Seigneur était si proche de vous, juste au-dessus de vous...?... vous. Voyez, c’est ce qu’il y avait. Vos nerfs se sont aussi davantage tranquillisés depuis lors. Voyez? C’est ce qu’il y avait. Je voulais qu’Il le guérisse pour vous. Voyez? Je ne peux pas le faire. Je dois demander. Vous voyez? Et vous croyez simplement de tout votre coeur, et l’homme sera à mesure de sortir d’ici en marchant ce soir, de prendre son lit et de rentrer chez lui. Amen. Ayez simplement foi ; ayez simplement foi. Voyez? Eh bien, ne doutez pas, monsieur. Ayez simplement foi. Que Dieu vous bénisse.

58        Très bien. Maintenant, chantons Crois seulement, s’il vous plaît, maintenant, doucement. C’est ça. Merci, soeur. Merci, soeur. Dites donc, il y en a deux que j’ai manqués il y a quelques instants. Les musiciens. Que Dieu vous bénisse tous les deux. Et tous ces chants spéciaux, cette petite chorale espagnole aussi. Gloria a Dios. C’est tout ce que je connais en espagnol. Est-ce: «Gloire à Dieu»? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... Tout est possible, crois seulement.

            Très bien. Si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vient prendre, tenir la réunion, et re–reproduire Sa vie et Son amour pour vous, à partir de ce jour, désormais, vous tous, réclamez-Le pour être votre Sauveur, vivez pour Lui et aimez-Le. Réclamez votre guérison, et vous la recevrez.

59        Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit dans cette salle sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.

            Maintenant, madame, j’aimerais juste vous parler, juste un peu. Je–j’ai... Eh bien, je n’ai aucun moyen de vous connaître–connaître, mais c’est Dieu seul qui vous connaît. Est-ce vrai? Eh bien, c’est... Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas?

            Maintenant, regardez, mes amis, cette dame et moi, nous sommes inconnus. Nous ne nous sommes jamais rencontrés de notre vie. Nous sommes de parfaits inconnus. Et je suppose... Etes-vous Espagnole? Je me le disais, soeur.

            Eh bien, mais elle parle anglais. Maintenant, nous–nous ne nous connaissons pas. Elle a probablement grandi ici en Arizona. Qu’elle soit... Peut-être qu’elle était... qu’elle est venue de Mexico ou quelque... Je ne sais pas. Mais de toute façon, nous sommes nés peut-être à des endroits séparés de kilomètres, et nous ne nous connaissons pas, et nous ne nous sommes jamais rencontrés de notre vie, avant d’être ici même. Maintenant, comment... Que pourrais-je savoir au sujet de cette femme? Rien. Dieu sait que c’est la vérité, maintenant même. Mais Il connaît tout à son sujet. Est-ce vrai?

60        Alors, Il... Si [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ressuscité des morts, et Il a dit... Maintenant, et si Jésus se tenait ici devant cette femme, eh bien, Il ne pourrait pas lui dire: «Je vais te guérir», parce qu’Il l’a déjà fait, si c’est ce dont elle a besoin. Si elle a besoin d’argent, Il–Il est son argent. Il est... Elle a besoin d’un Sauveur, Il est son Sauveur. Tout ce dont elle a besoin, Jésus-Christ peut pourvoir à ce besoin-là, et Il y a pourvu.

            Tout ce qu’Il pourrait faire s’Il se tenait ici, ce serait lui dire ce que sont ses besoins, comme Il l’avait fait pour la femme au puits. Voici pour commencer, ce soir, un parfait tableau de Jésus, et de ce temps-là au puits.

            Maintenant, ce n’est pas moi, mais Lui. Voyez? Elle est une Espagnole, et moi, un Irlandais. Il y a une assez grande différence. Très bien. Remarquez, sa famille vient de l’Espagne, la mienne de l’Irlande. Mais nous voici debout ici, les deux, juste comme les Samaritains et les Juifs ce soir-là.

61        Maintenant, voyez, et si j’ai dit la vérité, que Jésus est ressuscité des morts et qu’Il a promis que les choses qu’Il avait faites, nous les ferions aussi. Et je déclare qu’à ma naissance, sans religion du tout... Mes ancêtres sont venus de l’Irlande ; naturellement, ils étaient des catholiques. Mais ma famille n’avait pas du tout de religion. Le matin même où je suis né, j’avais trois minutes quand on a ouvert une petite vieille fenêtre (pas le genre que vous avez ici à Phoenix. Non.), une petite porte en bois, on l’a simplement poussée pour l’ouvrir. Cette Colonne de Feu que vous voyez ici est directement entrée et s’est suspendue là où j’étais couché.

            La première chose que je peux me rappeler: voir une vision. Voyez? Il n’y a rien que j’aie fait, c’est Dieu qui m’a simplement permis de venir sur terre pour accomplir cette oeuvre pour Lui. Je ne fais qu’accomplir mon devoir envers Dieu. Voyez? Rien pour moi, c’est pour vous. Maintenant, s’Il est ici, le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il connaîtra cela.

62        Maintenant, madame, j’aimerais juste vous regarder un moment pour parler avec vous, juste contacter votre esprit et voir ce que le Seigneur me dira.

            Evidemment, vous savez que j’attends Quelque Chose ; c’est l’Onction de l’Ange du Seigneur. En effet, s’Il ne vient pas, alors je ne connaîtrai rien. Mais quand Il vient, Il connaît tout. S’Il me permet, par Sa grâce, de connaître ce qui cloche chez vous, accepterez-vous votre guérison ou quoi que ce soit? Est-ce vrai? Le voici.

            Vous avez une espèce de crises ; c’est l’épilepsie. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, juste un instant. Maintenant, voici la chose. Il y a quelque chose qui cloche chez cette femme. La vision m’a quitté. Il y a quelque chose qui cloche chez cette femme. Je le sais, une traction depuis l’assistance. Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, mes amis, on ne fait pas de religion là. Maintenant, soyez respectueux.

            Maintenant, juste un instant, madame. J’aimerais que vous regardiez dans cette direction une fois de plus. J’ai perdu ce que c’était. Le voici. Vous avez eu quelque chose, avec lequel vous tombez, ou quelque chose comme cela et... Oh ! C’est l’épilepsie. Le voici encore. Cet homme assis là même souffre de l’épilepsie. C’est vrai, n’est-ce pas? Imposez-lui la main. Regardez ici, madame. Regardez ici, monsieur. Ce démon-là... Voyez? Regardez ici. Je peux voir cela avec mes yeux. Voyez-vous cette traînée noire qui va de l’un à l’autre? Ce sont ces démons qui s’appellent au secours. Ils savent que leur temps est venu.

63        Regardez ici, madame. J’aimerais voir ce qui va se passer. Vous vous souciez aussi de quelqu’un. Oui, elle souffre du cancer. Est-ce vrai? Et n’est-ce pas qu’elle habite près des montagnes, on dirait, Superior, ou quelque chose comme cela. Est-ce vrai? Gardez votre esprit sur Dieu.

            Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, je condamne ce démon. Tu n’as pas peur de moi, mais tu as peur de Jésus-Christ qui peut te chasser. Et je me tiens ici comme Son représentant. Sors de là, au Nom de Jésus-Christ. Puissent-ils partir et être bien portants, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Grâces soient rendues à Dieu. Oh ! Vous allez voir la gloire de Dieu.

64        Vous faites signe de la main là–là, soeur. Vous avez été assez gentille pour placer votre main sur le dos de cet homme pour moi, pour prier avec moi. Maintenant, vous souffrez du côlon, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Levez la main, si c’est vrai. Maintenant, cela vous a quittée. Que Dieu vous bénisse. Vous avez été gentille envers quelqu’un d’autre. Que Dieu soit avec vous.

            Croyez de tout votre coeur. Croyez que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est près ; vous allez avoir ce que vous demandez.

            Très bien. Frère Brown, faites venir...

65        Bonsoir. L’enfant... Salut, chéri. Très bien. D’accord. Maintenant, j’aimerais que vous me regardiez un instant. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Je crois que cela vient d’un coeur fidèle. Oui, c’est pour l’enfant.

            Si je peux vous dire par la puissance de Dieu... Je ne pourrais pas guérir votre enfant, mais si je peux dire ce qui cloche chez l’enfant, accepterez-vous Jésus comme le Guérisseur de l’enfant? L’enfant souffre d’une tumeur. Est-ce vrai? Ce sont deux tumeurs, et elles sont sur... une sur chaque rein. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne ces tumeurs, qu’elles quittent l’enfant, au Nom de Jésus. Amen.

            Monsieur, la prostatite vous a aussi quitté là, monsieur debout. Voyez?

            Disons: «Gloire soit rendue à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire soit rendue à Dieu !»–N.D.E.]

66        Très bien. Très bien, le suivant. Oh ! Le suivant... Qui est cette dame qui est...?... Regardez-moi, soeur. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Un serviteur, je voulais dire. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît.

            Si le Seigneur Jésus me fait connaître ce qui cloche chez vous, allez-vous accepter votre guérison? Regardez-moi alors juste une minute, de même que Pierre et Jean qui passaient par la porte appelée La Belle avaient dit: «Regarde-nous.»

            Je vois un accident. Vous avez connu un accident d’automobile, et c’est votre dos. Est-ce vrai? Croyez-vous que Jésus vous rétablit? Très bien. Vous pouvez avoir votre guérison. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être bien portante, au Nom de Jésus-Christ.

67        Ayez foi. Très bien. Croyez. Croyez seulement, tout est possible. Priez pour moi, église. Je deviens faible alors que...?... Très bien. Vous ne saurez jamais ce que cela me fait.

            On dirait que j’ai vu un avion survoler par ici tout à l’heure. Le voici. C’est pour cette petite mère, elle a, quelque part là, elle a un fils dans la Force Aérienne, n’est-ce pas? C’est vrai. Levez-vous. Vous étiez en train de penser à lui alors, n’est-ce pas? Dieu l’a guéri tout à l’heure. Vous aurez de ses nouvelles. Que Dieu vous bénisse. Allez maintenant, au Nom de Jésus.

68        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce–n’est-ce pas, madame? Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît effectivement. Vous croyez que je suis Son prophète, ou Son... Vous savez, voir... Un prophète est un prédicateur, que je puisse... Parfois, Cela parle ouvertement, on dirait.

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Je ne pense pas vous avoir déjà vue. Mais vous avez un problème, et un examen a montré... On vous examine le dos dans un hôpital ou une clinique, ou quelque chose comme un rayon X. C’est une phtéose rénale et aussi un cancer.

            Je peux le voir maintenant regarder l’autre médecin, et il secoue la tête. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous que Jésus va vous rétablir? Venez ici.

            Bienveillant Père céleste, alors que je garde ma main sur son corps, puisse-t-elle être guérie. Qu’elle vive, pour Ta gloire. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande pour la gloire de Dieu. Amen.

69        Croyez-vous en Lui, madame? La dame corpulente assise là, croyez-vous que je suis prophète de Dieu? N’aimeriez-vous pas rentrer chez vous prendre de nouveau un bon souper délicieux, être guérie de ce trouble d’estomac, être rétablie? Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela. Croyez-vous cela? Très bien. Tenez-vous debout, dites: «J’accepte cela maintenant.» Et rentrez chez vous et soyez rétablie, guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Observez ce...?... Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette maladie du coeur? Vous assis là avec votre doigt près de la bouche, croyez-vous de tout votre coeur que Dieu va vous guérir? Croyez-vous cela? Levez-vous et acceptez votre guérison. Oui, c’est vous. C’est vrai. Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit. Amen.

            Comme vous avez été si gentille, madame, il y a quelques instants, cet asthme vous a aussi quittée. Amen. Maintenant, vous pouvez partir. Que Dieu vous bénisse et que vous soyez rétablie.

            Disons: «Gloire soit rendue à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Ayez foi en Dieu.

70        Est-ce le patient? Bonsoir, madame. Que Dieu vous bénisse. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu seul nous connaît. Mais Il nous connaît effectivement. Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas. Oh ! Dieu doit...

            Madame, croyez-vous que Dieu vous guérira de ce goitre-là pendant que vous êtes assise là, juste là derrière? Je vous vois prier aussi au sujet d’une mère. Votre mère souffre de la tuberculose, c’est vrai, n’est-ce pas? Acceptez cela et croyez, vous recevrez ce que vous avez demandé si vous pouvez croire cela.

            Vous êtes... Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais pas devant Dieu.

            Parfois, quand l’Esprit se meut là-bas, c’est à peine si j’arrive à voir Cela. C’est là au fond dans l’obscurité. Amis chrétiens...?... assis là au fond, continuez simplement à prier.

            J’ai vu un petit enfant qui est ici quelque part, il souffre du coeur. Il est assis là au fond. Je ne peux pas le voir sous cette lumière ici. Mais Cela est suspendu près d’un enfant qui souffre du coeur. Croyez-vous qu’Il va le guérir? Acceptez-vous cela? Levez-vous. Que Dieu vous bénisse. Et rentrez chez vous et soyez rétabli, au Nom de Jésus-Christ.

            Crois seulement, tout est possible.

            Cela continue à se mouvoir là dans l’assistance. Vous voyez?

71        Je vous vois vous éloigner de moi. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous avez quelque chose... Je vois des Indiens autour de vous. Vous êtes un missionnaire chez les Indiens. Et vous venez d’une ville... Je vois là où vous passez, dépassant un écriteau, ça s’appelle Parker, en Arizona. Et vous êtes... vous souffrez d’une affection de vésicule biliaire. Et vous êtes... des varices dans vos jambes, l’affection de votre foie suscite ces acides dans votre bouche et de l’amertume. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Oh ! Je vous vois parler à un homme que je connais ; c’est un grand homme. C’est George Craig de l’Indiana. Et n’y a-t-il pas quelqu’un d’autre avec vous, une femme, une missionnaire aussi, qui souffre de la même chose que vous? Allez, imposez-lui les mains, parce que tous les deux, vous êtes guéris...?... guéris au Nom de Jésus...?...

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez-vous? Tout est possible à ceux qui croient.

72        Voudriez-vous guérir de cette maladie du coeur, madame? Croyez que Dieu va faire... Il vous a guérie tout à l’heure. Levez-vous. Jésus-Christ vous guérit.

            Maintenant, allez-vous interpréter pour elle? Elle est–elle est certainement Espagnole, et elle a un... elle souffre du coeur et du diabète. Est-ce vrai? Et vous êtes de confession catholique–catholique. Est-ce vrai? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Acceptez-vous Jésus maintenant comme votre Guérisseur et Sauveur?

            Au Nom de Jésus-Christ, je condamne le démon qui a lié cette femme. Qu’il sorte d’elle...?... être sur vous et pour votre...

            Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.]

73        Bonsoir. Parlez-vous anglais? Un peu. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Merci. Je ne dis pas cela parce que je suis... Il m’a dit: Si j’amène les gens à me croire... Et l’unique moyen, quand je saisis votre esprit... Vous... Si j’ai dit la vérité sur Jésus-Christ, alors Il va confirmer que je dis la vérité. Est-ce vrai? Maintenant, je dois vous rencontrer.

            Je vois un accident. Vous avez connu un accident, un accident d’automobile, et cela vous a brisé les côtes. Ne vous appelle-t-on pas Luck, ou quelque chose du genre? N’est-ce pas que votre nom est Bru–Bruso ou Brusa? N’est-ce pas vrai? Et n’habitez-vous pas près des montagnes? Vous venez de Superior, en Arizona. Rentrez chez vous, rétabli au Nom de Jésus-Christ.

74        Voulez-vous guérir de cette tuberculose, frère? Levez les mains et dites: «Gloire au Seigneur ! Je T’aime. Je veux être guéri.»

            Sentez-vous...?... Vous êtes assis...?... Madame? Continuez...?... chez vous en vous réjouissant, disant: «Gloire à Dieu !»

            Ayez foi ; croyez. Très bien. Inclinez la tête pendant que cette femme sourde recouvre son ouïe. Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils Jésus, ôte la malédiction de ce démon qui...?... ses oreilles. Sors d’elle.

            M’entendez-vous, madame? M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? Dites: «Gloire au Seigneur !» [La soeur dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Vous êtes guérie, soeur. Quittez l’estrade en vous réjouissant...?... heureuse.

            Dites: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.]

75        Me croyez-vous, madame? Voudriez-vous aller manger de nouveau, guérir de cette gastrite? Dites simplement: «J’accepte cela au Nom de Jésus.» Que Dieu vous bénisse. Allez, recevez cela au Nom de Jésus-Christ.

            Croyez-vous, madame? Voudriez-vous guérir de cette maladie gynécologique? Allez et acceptez Jésus, et soyez rétablie.

            Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Voudriez-vous aussi vous débarrasser de cette gastrite? Allez prendre votre souper, au Nom de Jésus-Christ, et soyez rétablie...

            Vous aimeriez guérir de ce mal de dos, n’est-ce pas, frère? Partez en remerciant Dieu et en louant Dieu...

            Tout votre groupe peut être guéri. Ayez foi en... Ayez foi.

            Venez, madame. Vous êtes jeune. Vous êtes nerveuse, bouleversée, cela vous a causé un ulcère gastro-duodénal à l’estomac, dû à la gastrite. Allez manger. Jésus-Christ vous a guérie.

76        Venez. Vous avez un abcès à l’ovaire, une maladie gynécologique. Jésus-Christ vous rétablit. Rentrez chez vous, en vous réjouissant, et soyez rétablie, au Nom de Jésus-Christ.

            Vous souffrez de nerf, ça vous rend vraiment triste les après-midi. Je vous vois encore vous éloigner d’une table. Vous avez un ulcère à l’estomac. Est-ce vrai? Vous l’aviez ; vous ne l’avez plus maintenant. Rentrez chez vous et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ.

            Croyez-vous que vous êtes guéri...? Ces vieux esprits...?... la maladie du coeur que vous aviez. Rentrez chez vous maintenant et soyez rétabli, au Nom de Jésus-Christ. Croyez de tout votre coeur.

            Me croyez-vous, madame, comme serviteur de Dieu? Vous toussez, ça dégénère en asthme. Rentrez chez vous, croyez en Dieu de tout votre coeur et soyez rétablie. Très bien.

77        Me croyez-vous, madame, de tout votre coeur? Hein? Vous souffrez de l’anémie. C’est vrai, n’est-ce pas? Et vous n’êtes pas chrétienne. Vous êtes... Vous pensez devenir chrétienne. Qu’en est-il de le faire maintenant même? Et Dieu vous amènera au Calvaire et vous fera une transfusion sanguine venant de Son âme. Allez-vous L’accepter comme votre Sauveur?...?... [L’assemblée adore.–N.D.E.]

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes miséricordes sur ce peuple, et que chaque individu ici présent soit guéri. Je condamne chaque démon qui a lié ces gens. Satan, tu ne peux pas les retenir plus longtemps. Sors d’eux au Nom de Jésus-Christ. Que chaque homme et chaque femme qui croient être guéris...?... Levez-vous...?...

E-1 Thank you, brother. Good evening, Christian friends, and a special good evening to those ministers who stood in that salute. The Lord God bless you, my brethren. I am with you one hundred percent in this Gospel too.
And our Brother Moore just told me, some approximately two hundred of them in here of just Gospel preachers tonight. God bless you, my brothers and sisters. And may the Lord ever make His grace to shine upon you and give you the exceedingly abundantly above all that you could do or think, is my prayer.
This is the night when we gather together for the closing of a meeting, which is always a sad time, yet a blessful time. It's usually more healing done the last night, than there is all the rest the nights put together.

E-2 And when we're singing that glorious old song awhile ago, "Only Believe, All Things Are Possible, Only Believe," I was thinking of that--of that, who wrote that song--Paul Rader. How many ever knew Paul Rader? Is anybody know Paul Rader? Sure, a wonderful man.
Not long ago I was standing in his, in the very place where he wrote the song, and it was coming in over the--the ether waves of "Only Believe," and I was thinking of Paul.
I tell you. I'm kind of a temperamental person. And when I heard that, and know that Paul Rader, perhaps, set on that same chair when he wrote "Only Believe," and they was introducing me to the platform, oh, I just couldn't keep from crying. I--I just... Something just gripped down in my heart.
Paul Rader, I was thinking when he died here in California, the remarks he made. He told a very personal friend of mine, who's a bosom chum; he said, "Brother, if I'd have sold my message of grace to the red hot Pentecostals, instead of coming over here doing what I did, I'd been better off today." That's right. I say, "Amen" to that. Yes, sir.

E-3 Just awhile ago I was talking to Brother Schuller, Jack Schuller was having a meeting here. He said, "Brother Branham," he said, "when I come into Fort Wayne, I followed you."
I told him, I said, "Brother Jack, I never come here as your competitor, I come here as your brother."
He said, "Well, I wondered what you been doing down there."
And said, "Just shoveling wood."
He said, "That's fine."
I said, "Well, Brother Schuller, I'm... My ministry's more to pray for the sick."
He said, "Stay with it, Brother Branham."
I said, "I... Us Pentecostal people..."
He said, "I'm Pentecostal too." He said, "What is a Pentecostal person, Brother Branham?" Says, "It's a fellow that's a orthodox Methodist, got a whole lot of Spirit about him." That--that's pretty good. That's about right.

E-4 He said when he was in Fort Wayne, said, "As soon as I got there..." Of course some of the dry starchies, you know, had something to say after my meeting.
He said, "The brethren..." Brother Billings and them of the temple there, he was backing up my meeting where I was at. He said, "They went out there and got a girl that was a perfect maniac. She was insane, in and out of the institutions. They'd put her in a house, and she'd jump through the windows. She jumped through a two story window once, out from a two story, and fell into the yard and hurt herself: perfectly insane, knowed nothing, or nothing, was brought to the meeting and made perfectly whole."
Said he brought that person right up to the platform and said, "Here she is, and I don't want to hear any more criticism about Brother Branham." That settled it. That was all. Well, that was all. Yes.
Brethren, there's a whole lot of them out there in those denominations with us in heart. That's right.

E-5 And Brother Jack Schuller is a fine man. You heard me say the first night I come here, "You give me a little something..." It was his own slogan, so I guess I can pass it on. I...
He said, "Brother Branham," said, "no doubt a lot of people talk about your Divine healing, praying for the sick." He said, "They talk about me in dramatizing," said... He told me I could pass this on, so I will.
He said, not long ago till somebody said, "Jack, why don't you quit all that there dramatizing, all that carrying on like that, and just preach Christ and let it go?"
He said, "Are you a fisherman?"
Said, "Yes."
Said, "What do you use for bait, t-bone steak?"
Said, "No."
Said, "What do you use?" Said, "worms?" He said, "Do you like them?"
Said, "No."
Said, "What do you fish with them for?"
Said, "That's what the fish bite on."
He said, "That's what I thought."
Said, "Brother Branham, that's the way with your ministry. When you come to town, people expect you to pray for the sick." Said, "When I come to town, they look for the drama." Said, "Not because we want to do it, but that's our ministry." That's right. Let's stay with it till Jesus comes. That's right. Just stay right with it. Amen.

E-6 Now, to this meeting. I've been to Phoenix; I think, this is three or four times I've had services in Phoenix. But I say this from the depths of my heart: This has been one of the most pleasant times I've ever stayed in Phoenix. That's right.
My boy just met me... And Brother Sharritt come and gets me at night and brings me up. Billy meets me here at the door, brings me on in. And Brother...?... coming down, we were talking, Billy met me there, and he said...
I said, "Well, son, what about...?" He was--had a little satchel in his hand, said, "They've give you a love offering, dad." I want to thank you.
I said, "What about the offering, is the...?" Everything is paid up clear, and they had some left over to go into the missionary. God bless your gallant souls. To the best of my knowledge, I'll do the best that I can with it to the up-building of the Kingdom of God. Thank you kindly, and may God richly bless you, and repay you a hundredfold for all that you have did.

E-7 And then, won't be no debts left in this city, and so forth, everything will be clear. And our missionary offering, and a couple of hundred dollars, whatever it was, left over out of the other, will be placed right into the missionary offering. It'll all go overseas work, which I know you'd be pleased with that to know that that... And in my love offering, whatever it'll be, two or three hundred dollars, when I get home, or whatever it may be, I'll... What debts I have, I'll pay it, and go right into another meeting. And what's left over of that will go right straight into foreign missions. That's exactly the truth, and God knows that to be true. I thank every one of you.
I want to pay a salute to my brethren and sisters, the sponsors of this meeting, and the cooperation of these pastors who's come and put not only their presence, but their time and their heart in the meeting. You've been wonderful, my dear brothers and sisters. And if we never meet again this side the river, we'll meet at the other side.
I trust that soon I can return to Phoenix for a longer meeting. There's one thing we need here in Phoenix, is either a great, big auditorium, seat eight or ten thousand people, or bring a tent; that's the best, and then stay till it's over. That's right. [Congregation applauds--Ed.] Thank you very kindly. That makes me feel doubly welcome back, and I---I appreciate it. I'm your friend to help you at anytime that I can.

E-8 Now, to the laity, that... We can't have a church, 'less we got the laity. You know, the pastor can't do it all. It's got to take some members in the church.
Each one of you has helped support this meeting with your finance. You have support it with prayer. And tonight, if schedule worked out regularly... Two little women that's been hid away in these eight days in the meeting, has been fasting and praying for this meeting. That's one of the reasons that it was a success. That's right. And may... I trust that they're here tonight. That was told to me by pretty good authority, which I believe is authentic. So I appreciate you sisters, and I appreciate you, not only them, but others who've been fasting and praying too, and backing me up with your wonderful faith in Jesus Christ.
Oh, when I stand around a group like that and that wall of faith around, you don't get scared. I can tell you that. There's Something just stands right by you and makes you know that Something's with you.
And then, for putting up with that old sassafras preaching of mine, it's a... I'm not a--much of a preacher, but you even rallied at it, so I--I thank you. That's a lot of grace. I appreciate you very much. I want to thank you, each and every one.

E-9 Now, to another, this Brother Bower here. I never knew him very well, but just by his name. He's one who called me. I heard him at the ministerial breakfast the other morning, heard him speaking for the first time. And besides a Christian, he's a diplomat. That's right. He's a fine brother.
Not only that, but I met other brothers and sisters there who are real consecrated men and women of God, the very backbone and heart of Phoenix. That's right.
Brother Schuller said in these three weeks, I think, he'd had five hundred accept Christ. I don't know how many we've had here. So, we believe, when we both leave tonight, that Phoenix will be better off because of your all's cooperation with us in these evangelistic meetings that's been going on in Phoenix.
If Jesus would come along, they'd be at least a thousand people going where would not have went otherwise. So we thank the Lord. Dollars and cents could never count those souls, could they? Never, never. And God will bless us and live right on, as we have of more than we did have in the beginning. Now, the Lord be with you.

E-10 Another person I want to recognize here tonight, and that's my good friend John Sharritt. That's it. Amen. [Congregation applauds--Ed.] Thank you. Many of you may not know him. The little fellow that stands back has nothing to say, he's... I didn't mean a little fellow. Them brethren's corrected me. He weighs about two-twenty. And he's... And me call him a little fellow, could you imagine that?
Oh, I mean he's just as humble as a baby, just a very fine fellow. And his dear old, gray-headed mother, and her, and his wife and his children, we salute them with a respect that only a Christian can do. Peace be unto their home from now on. They take us right in and give us the best that can be done and... Oh, my. I just can't express how we feel about the Sharritt family. God bless them, give them long lives.

E-11 And many of you know John Sharritt, how he come to be what he is now, because of humility in his heart. When a minister come here and John Sharritt owned a little bitty cabin of a house. And this minister had nothing; the Lord told him to give that house to the man, all he had. And he took his wife and their clothes (the best of my knowledge, now), and left and went up somewhere; and put her in a garage, and lived up there in a--taking care of somebody's buildings and things up there, for the rent of the place. Working down here, and had to borrow enough money to go into business from somebody here in town, and you know what God has done for him. And he's never got his head swelled up. He's just the same dear old Brother Sharritt he used to be a long time ago.
Now, I don't know... I hope he don't get angry with me for saying that. But not long ago, that man was on the streets of the city selling apples, a nickel apiece, to take care of a widowed mother. God bless his gallant soul, and may he live long. That's right. And now, he's taking care of a lot of widowed mothers. Every one that comes in, he will put them somewhere and take care of them. God bless them.

E-12 Now, another person I want to recognize tonight is... I don't know the man; I don't know whether he has a representative here or not. But it's this man that's got this light out here, the Blakely, I believe it's called. The man that's got that light...
I never heard of the man. I guess he knows nothing about us, but yet with that courtesy, we say, "God bless, Mr. Blakely, and may his service stations ever remain." Amen. [Congregation applauds--Ed.] Thank you. Mr. Blakely, or your representative here, whoever it is, that's the way we all feel. If I ever in Arizona, I know where to buy gasoline. That's right. And I think the people feel the same way. Anybody that's got a heart to help us in this great time of crusade, we're very happy. He never... That's not a commercial. That's not a feign; that's from pure love from my heart for the man. That's right. That's right.
There's not one thing... He never asked me to say one word. He never asked anything to be said. I just feel that way about it. That's right. And that's the way we feel about it, every one of us. Somebody who's interested in our Lord Jesus Christ, we're interested in his welfare. Is that right? 'Cause he's our brother. Now, we---we pray that God will bless all.

E-13 Now, next is for this arena here, I believe called Madison Square Garden. I've been in Madison Square Garden in New York, a little larger, but I wouldn't be any more welcome. That's right.
To the custodian, there's a man who has to stand out here at night with a flashlight. I don't know whether he has the parking here, or something, a fine gentlemen. He's about the only one that I know personally that has anything to do with it. And to you who are here, the custodians, or the businessmen, or whatever it is, they see to this, we thank you from the depths of our hearts for opening up your door. And may, when you come to the land of glory, may Jesus Christ open up the doors to you and receive you into His Kingdom, is our prayer. God bless you. If we can be a favor to any, we'll be glad to do it.

E-14 Now, tonight, being it's the last night, and really it's been a healing service and a great pleasure. One thing more I want to say before I leave too. Brother Jack Moore and Brother Brown, they've been with me through thick and thin. And they're here with me tonight, and been with me through this meeting. And I--I just... Oh, I don't know how to say about those brothers, they're just... Well, we're just one in Christ Jesus. That's it.
And so, I'm trusting tonight now, that God will bless you. May every one of you live, and I live to see one another again in a great meeting in Phoenix, Arizona. May God bless you. To the whites, to the Spanish, to the colored, to the Indian, to whoever it is, peace be unto you. God bless you is my prayer. Amen. [The congregation applauds--Ed.] Thank you, thank you.

E-15 Now, I wish to read some of our heavenly Father's Word. And then, I'm going to have prayer for the handkerchiefs. Many of them are here. Now... Oh, yes, I just remembered. My wife told me to--to thank the lady that made some little Indian dresses, for one for each of my little girls and for the wife too. I dressed her up in it this morning and took her picture. She's an Indian now. [The congregation laughs with Brother Branham--Ed.] All right. Thank you kindly.
Someone sent us a cake that had on there "To the little Eskimos and Brother Branham." Thank you.
Somebody give Billy Paul two dollars to give me. Thank you. As I was leaving this afternoon, a fine young man come and said, "Brother Branham, you must take this," and laid in my hand. It was six dollars, five dollar bill and one one. God bless you, my brother. And to... everything... If I've left out any, you forgive me. I--I--I meant to catch you all.

E-16 Now, in the Scriptures found over here in the Book of Acts, I want to read first, and then, found in Acts the 2nd chapter and the 22nd verse. Now, I'm just going to read and give testimony. And tonight, I'm going to spend all my time in a prayer line, praying for the sick. You... I want to call just as many across the platform as I can, and see what our Lord Jesus will do for us. I been in prayer the last few hours, asking God what to do and how to do it. And I want, if God will hear my prayer, may there not be one feeble person in this building when it's left.
I wish there was some way that I could... We used to have the old fast line where we'd call people, the crowd through. I don't know. Some of them think that's still good, but it crowds the people up, and so forth. It is a personal contact; that is right.
But if you'll just take this to note, and believe with all your heart... Now, just make it fundamentally fact. See? That what you see our Lord Jesus... it isn't a man. See?
And you're sitting amongst the cream of the crop of Christians. See? And you're right down where all the prayers are going up out there, right there, when the Lord here moves over the people. Why, that's the--the very thing that does the healing, isn't it? It's the very essence of healing.

E-17 Now, listen here, now I'm going to speak of Jesus, the Son of God. The 22nd verse of the 2nd chapter of Acts:
Ye men of Israel, hear these words; Jesus of Nazareth, a man approved of God among you by miracles... wonders and signs, which God did by him in the midst of you, as ye yourselves also know:
Let me give Peter's address here to you again.
Ye men of Israel, hear these words; Jesus of Nazareth, a man approved of God by miracles and wonders and signs, which God did by him in the midst of you, as you also are all witnesses.
Who was he saying that? Jesus of Nazareth, God approved him by what? Signs, wonders, and miracles.

E-18 Now, I'm going to read what Jesus said in Saint John 5 beginning with the 33rd verse.
Ye sent unto John, and he bare witness of the truth.
Want you to notice now, catch these words close, the reading of this Word. Just before this, he said in the 30th chapter, "I can't..." 30th verse, rather.
I can of mine own self do nothing: as I hear, I judge:... (See)
All praise given to the Father. Now, he said you think of John and he bare record of the truth.
For I receive not testimony from man: but these things that I say, that you might be saved.
He was a burning and a shining light: and you were willing for a season to rejoice in his light. (In whose light? John's light. What light he was bringing, you were willing to rejoice. Listen.)
But I have greater witness than that of John: for the works which the Father hath given unto me to finish, the same works that I do, bare witness of me, that the Father hath sent me. (God's a vindication of Him. Listen.)
And the Father himself, which hath sent me, hath borne witness of me...

E-19 Now, in the... John the 16th chapter, I want to read some more, beginning with the 28th verse.
His disciples said unto him, Lo, now speakest thou plainly, and speakest no proverb.
(Here's where I want you to get to now.) Now we are sure that thou knowest all things, and that know... and needest not that any man should seek thee: by this we believe that thou comest forth from God.
Listen. Because Jesus knew these things and spoke them to the people, they said, "Now, you're speaking where we can understand."

E-20 He knew what the woman's sin was. He knew where a fish had a coin in its mouth. When Philip coming over, or Nathanael, He knew where he was at under a tree, praying before Philip found him. He said, "By this..." That's no proverb. He said, "By this we believe that you come out from God."
Look at Jesus, the 31st verse:
Jesus answered them, Do ye now believe?
May the Lord add His blessing to His Word.

E-21 May I say this as our Lord said it, "Do you now believe? Do you now, that God's Word been preached? The sick has been made well. Signs and wonders of supernatural power has moved through the audience, performing things that's beyond any comprehension of the human mind, Jesus Christ proving Himself in the resurrection--the same, yesterday, today, and forever, knowing the thoughts of the people, a seer indeed. Not only that, but souls has been saved and filled with the Holy Spirit, conformation of the Word.
All these things together, do you now believe, believe that He has risen from the dead, and living among us tonight, the same yesterday, today, and forever? Do you now believe that He's not a respect of person? He heals the Spanish; He heals the white; He heals the Indian. He shows visions to the Spanish, to the white, to the Indian, to those who He can speak their language, those who has another kind of language, and those who has another language.
So God is God over every person, every color, every race, every language; He's God, raised from the dead, living among us, no respect of person, neither male or female, but all one in Christ Jesus. Oh, isn't that lovely?

E-22 Here tonight, by faith I say this. By faith I believe tonight that you'll see visibly, in this audience, the moving of the same Holy Spirit that was on Jesus Christ, showing signs and wonders, without a doubt, the same Holy Spirit doing the same thing.
Now, when Jesus was here on earth, He did not claim to be a healer. He didn't claim to be a great person. He said, "Of Myself I can do nothing." Is that right? "I only do what the Father shows Me to do. What I see the Father doing, that I do also." Is that right?

E-23 Now, no prophet and no... No one, even the Lord Jesus never, at any time, ever performed a miracle or done anything without first God showing or advising them to do it.
Look at the great prophet Elijah. Someone come not long ago... Someone had criticized me in the paper. And that... A man that was with me said, "Brother Branham, I'd go out there and put a curse on that paper."
I said, "Oh, Brother." Jesus said, "I never come to destroy people. I come to save people." They criticize, but that's all right. That don't hurt me. That's the best drawing card I got. That's right.
I get all that publicity free, and we don't have to pay for it. For what money we'd pay for that, we take it over to the missionaries overseas. So, see, that don't hurt. That's good. Everybody come out to see what all the trouble's about. Then we get it free. So they just do a favor not knowing it. See?

E-24 But he said, "We need another ELijah who'll come out on Mount Carmel and said, 'Now, I dare you to come out here.'"
I said, "Whoa. Wait just a minute, brother."
Said, "Elijah never waited for no vision. Only thing he did is go there and do it."
I said, "I beg your pardon, brother. You're a scholar, but you're a long ways off the track right there."
When Elijah called out there on the day at Mount Carmel, he laid those things together, and walked out there, and he said, "Lord, I have did all this at Your Word." Is that right? Sure, all of you. See? "At Your Word..."

E-25 Jesus said, "I can do nothing of Myself, but what I see the Father doing. I do the same thing He shows Me." Is that right? Saint John 5:19: "So the Father worketh, I worketh hitherto."
In other word, always in the supernatural. And no flesh can glory in the Presence of God. So we just wait. Now, some men don't see visions. Some goes by inspiration of presentment. The Holy Spirit say to a pastor, "Move to this other church over here," though he don't get the money over there, but they're in need. "I want you over there." He don't wait for a vision, because that's not his ministry. He just goes over there, and God gets as much as it being a vision. Think. All right. Others go by something else. But all together is the working of the Holy Spirit. The Lord bless you.

E-26 Now, look Christian, my dear little children in Christ, my lovely ones, I hate to leave you tonight. Honest, I do. I don't have to say that, but I really wish that I had a couple more weeks in Phoenix. But I--I just got my meetings so set, just pushing a day here and a day there, a day... like that.
So I've just got to hurry, just as quick as I can get home, and start right off. When I get in, if nothing happens, on one morning and start right off that afternoon. See? So at the beginning of the very next day... So, you pray for me, will you? And, perhaps, I won't see you no more, I guess, until I come back from overseas. But now maybe it's maybe to tell that vision, I promised you I would. I've got it written here in the Bible.

E-27 And here's what will take place: The Angel of the Lord which come to me and told me to return to Africa... And He set me down in Africa and showed me a greater meeting than was there at the first time.
Then while I was standing there, while another Angel come down from the heavens. He looked like some sort of a red like garment. But He was above me, and He--He turned me to the east. And I seen all the African people here. The African people are sturdy, heavy built, but these were thin-like people, looked like they had a--like a--a blanket around them, and it had been pulled up and stuffed down like this. And I couldn't recognize any. But oh, there were so many more than they was of these African people.
And this Angel, above me, turned on a great big operating light, and begin to show back, like that. And just as far as I could see, was nothing but people. And it was up over hills and valleys. And they looked like Indians. And then when this Angel above me spoke to the Angel that's always with me, up side the big fellow, kind of dark complected, hair down to His shoulders, folded His arms, He was standing here by my side.
I heard Him tell this One standing by me, and the Voice was so strong that it broke me out of the vision, said, "There's three hundred thousand of those in that meeting." Mark that down, for it's THUS SAITH THE LORD. His Word comes to pass.

E-28 When the archbishop of India came to my place, recently, and received the Baptism of the Holy Ghost, Archbishop Palai, he said, "Brother Branham, the way they're looking for you there, so that meant converts." Said, "I'll assure you, there'll be anywhere from a half to a million people in your congregation." He said, "All India's awaiting."
And with this vision to back it up, watch what our Lord will do. See? I'm expecting a half a million converts in my journey. We go to Africa, to India, to Palestine, to Luxembourg, and Frankfurt, back to London, and then back home; and then down in South--Australia, New Zealand, and down in there. Now, perhaps, maybe I'll get to see you after I come back from overseas.

E-29 I want to ask you now. When the--when the way grows dark in Africa and India... Remember, when you go to India, just believe anything. Street workers, all kinds of things, it was the same way in Africa. Don't you think those witch doctors won't challenge me. They sure will.
But I have never seen a time, when a half a dozen stand before me at one time, but what Jesus Christ, the Son of God, come in power. Amen. I've never been scared, never in my life, because I know that He was the One Who sent me. It's up to Him to take care of me. That's right. See?
And when the way's getting dark over there, I'll close my eyes and remember that through this beautiful sunshine valley of Phoenix, I've got thousands of people praying for me. And I--I'll feel secure that your prayers are wrapping me up. And may God be with you.
If some of you have to slip off to glory 'fore we meet again, God be with you. I'll meet you there by God's grace, at that great day where we won't be praying for the sick, or neither preaching the Gospel; we'll be shouting the praises of the Lamb. God bless you.

E-30 Now, I want to pray, and pray for these handkerchiefs. Our kind Heavenly Father, as we have gathered here in this building for the farewell meeting of this campaign, O, great Jehovah God, we thank Thee for every soul that was saved. We thank Thee for every one You give the Holy Spirit to; them that renewed their vow. We thank Thee for every healing that You give to the people.
Seeing their testimonies come in by letter from the beginning of the week, after they'd went home, find out that tumors are missing, cancers have come up gone, the doctors pronounce them well. We're so thankful, Father. And may every one that's even entered the doors of the campaign, may every one of them be healed. Grant it, Lord.
And now, I pray that You'll bless us together tonight in the closing of this meeting. And may the power of the resurrection of Jesus Christ rest upon Your humble servant, that the people might take heed and know that I have told them the truth, and by this they will believe.
Bless these handkerchiefs, Father, as I lay hands upon them, needy people. Just looky here. Come, Lord Jesus, and take us out of this pesthouse. O God, let Thy mercies be with these people. Some of them are--are Indians, perhaps, some Spanish, some white, some colored. O God, wherever they are, whoever they are, they're Your people.
I pray that You'll deliver every one of them. May Thy grace and blessings... And if I have found favor in Your sight, answer my pray, God. And I pray with the deepest of sincerity that You'll heal every person these handkerchiefs touch. Grant it, Lord. May it be done for God's glory, in the Name of His Son, Jesus Christ. Amen.
And in the little mixup, if some of them happen not get your handkerchiefs, just write to me and I'll send you one. God bless you.

E-31 Now, just a testimony so we can start... I want to call just as many as I can to the platform. I've got about ten minutes now, till time to call them.
Just a little testimony... If you've noticed, I haven't give one testimony since I've been here, because I've kept it all in preaching of the Word. When Mr. Baxter and the management sometime is with me, they do the preaching, and I just come in and testify.
Now, usually when you're anointed, leaving home with that Spirit on you, when you come in and go to preaching, then the first thing you know you're in a different attitude. Now, then again, that kind of hinders the meeting a little bit, as far as that part. But yet, I've appreciated the opportunity to speak to you.

E-32 Now, I want to kinda give a testimony... many thousands of testimonies... My, how... If I would stand right here for the next three weeks in this platform, five hours a day, I could still be testifying of what I seen our Lord Jesus do. That's right.
Of... Incredible almost, miracles, how that God has performed such great things. Not me, now, how God has performed. See? There's no man that can perform these miracles. Jesus could not do them Hisself, only as God let Him know how to do it and what to do. Now, God was in Him. God was the One Who done the work. Now, notice.
But now, I want to give a little testimony, don't know what to start on. I'm kind of wondering--passing through my mind what to say. Well, here's one. And then just a few moments, we get feel of the meeting, then we're going to call for the prayer line.
And will you, tonight, by God's help, promise me that you're going to throw every speck of faith you can right into the Calvary tonight, for your healing? Do that.

E-33 Now, I just left Chicago a few weeks, and I come home. And being so tired, I could hardly get up. And at home, bless their heart, the people come... You can't turn them down after you get there. So you just--you just have to minister to those...?...
We haven't eaten one time in our house, (We've been living five years) with the shades up. That's right.
My wife, I guess they introduced her tonight here; they was going too. She's thirty-four years old and almost completely gray, as you notice. If there's any credit to be given to the Branham family, it doesn't come to me, give it to her. She's the one who stood between me and the door, helping the people, doing all that we can. Bless your heart, may God give her a piece in--in the Kingdom of God.
Only... A preacher can hardly realize what a preacher's wife goes through. You know it, brother. I'm so glad God give us a helpmate. Aren't you? Yes, sir.
A man that's got a good loyal wife ought to be so true and loyal to her. And she that's got a good husband ought to be the same way. Look at the world today and how it is in chaos.

E-34 So when we... I come home, I went down to an old friend by the name of George Wright, down a country road where little Georgie Carter... And you've heard that in the book, of course, her personal testimony. The thinnest person I ever seen, even thinner than Florence Nightingale, when she was healed. But Georgie, really, was a little woman to begin with; she only weighed about thirty-five pounds. You've heard her testimony. Laid there nine years and eight months, and never moved off the bed.
And a hour from then, she was in the yard praising, leaping, shouting, giving God glory. She's my pianist in the Milltown Baptist Church at Milltown, Indiana, tonight. Never been to bed, only just to go to sleep at night since. Been laying there nine years and eight months, couldn't even move, couldn't even raise her sputumin cup to spit in it. Her limbs, up here at her hips, wasn't over that big around. If you'd seen that skeleton come from the bed, and go into the yard, and sit down, and bless the leaves... And was sitting at the organ playing "Jesus Keep Me Near the Cross," when her father come in and fainted, with a bucket of milk in his hand. Right.
In that same... She went to a church that did--believed the days of miracles was past. And they said if I ever entered their door, that they'd be put out of the church; tell everybody that comes over not to let me come in. But Jesus sent me down there and I went in. She wanted me to, and God healed her. And now, the whole family is filled with the Holy Ghost. See? So that's different now.

E-35 So I went out to Mr. Wright's, a dear old friend of mine, seventy some years old. And my wife, being with me in the meeting, we didn't know that this condition existed. And so, when I went down there, I found him with a blood clot in the back of both of his legs. And a specialist had been out there, way out in the country where he lives, and said he only had about three or four days to live, that the blood clot was a hardening of the arteries. As soon as... The blood clot was in his joints of his knees, and as soon as the blood moves, it would go to his heart; it would kill him instantly. If it went to his brain, it would paralyze him: "No hope at all," specialist.
Well, I happened to find that news when I went in, and he was laying on the bed with his hands up, crying. And I... Said, "Oh, Brother Branham, we tired to get at Chicago." They sent telegrams, but I never did get them. So they...
I went in, fell across the old man, praying, asking God to let him live. And I stayed there that day about--about two or three days, praying for the man, every day. And I was trying to relax of a morning. I'd get up, go out, get my old shotgun, go up on the hill and see if I could scare a rabbit. I come back, set down, pray for him, go back out. Finally, people begin to find out I was over there. [Brother Branham coughs--Ed.] Pardon me. So I went back the next day and there's about eight or ten carloads setting our there. So I couldn't go up the house right at the time.

E-36 So then the next... My wife called and said, "Honey, I hate to call you," but said, "you just going have to come home, because a missionary to the Jews, a very fine Christian woman, she lives in Louisville, going to be in Palestine the same time that I'm over there. And she's a very noted woman, a graduate of Moody Bible in Chicago, and a fine woman, a strict believer in Divine healing. God has healed her and done many things in her family. And she... Her daughter was in the hospital, and the doctors had give her up with some kind of a poisoning from childbirth. and she was laying, dying.
The...?... Baptist Hospital back in Louisville, Kentucky, which is a great hospital. I forget how many hundreds of rooms it's got in it. One of the best medical staffs there is in the nation, I suppose, at this big hospital...
Many of you in here from Louisville know where it's at, at the end of Broadway up there. And so, then, she was laying there... And James C. Robertson, a great Christian attorney, internationally known, very close friend of Timothy...?... in England, which is bringing me over to England this time, like the--like a "Reader's Digest," goes all over the world...
And he went up there. And his father's one of the presidents on the staff, and they had done everything, and got every doctor they could for this woman, 'cause she is a personal friend of Mrs. Baker also, the girl's mother.

E-37 So I went home, went over there. The Wright family begin crying, said, "Brother Branham..." Brother Shelby went out with me, his son, about forty years old, he said, "Brother Branham, what do you think about dad? You think he's going to die?"
I said, "Yes, Shelby. I believe your daddy's going to die."
He said, "Sir, I--I hate to give dad up."
His little sister come over, said, "Brother Branham, what do you think of daddy?"
I said, "I believe he's going to die." And I said, "I believe he's going home to meet the Lord."
'Course we know Christians don't die; there's no such a Scripture in the Bible. See? Christians don't die; they just go to be with the Lord.

E-38 Now, I said, "He's seventy-two years old. God promised him seventy. Now, he's seventy-two, and he's been a healthy, strong man. But now, his time's come. His doctor has been here and said he was dying. And the blood clot looks like is swelling on up in his body now. Perhaps... He's lived longer now than the doctor give him to live. But I've asked God... God's never said a word to me. So I suppose God is going to take him."
I said, "He's a Christian, ready to go. So there's nothing... He's lived his life. So I guess God will take him." That's all I knew.
So they was crying, of course. I had a farewell prayer for him, went on home (Thank you, brother.), went on home. And when I got home that night, next afternoon, I went over to the Baptist Hospital. And as soon as I got over there, their... Her--her son-in-law, the mother, the old mother, her son-in-law, he was a Catholic. And after marrying this girl, had changed churches and become a Protestant. And his mother's people were Catholic yet. So they sent for the priest to come and anoint the woman for death, just for consolation for the family.

E-39 So it happened to be, the Irish priest and I met there at the same time. I said, "Now, just a moment. I have no disregard for any man's religion, as far as I'm concerned, but if... Let me go in first. If this brother, this priest, is going in there to anoint her for death, I'm going in to anoint her for life." See? I said, "We can't get this mixed up." But I said, "If you will, let me pronounce life on her first."
So they let me go in. Then when I went in there, there was a group of people standing there. She was kind of in a coma, swollen way up to her eyes and everything, some kind of a poisoning that comes from childbirth, that they could do nothing with, so they... the medical science...

E-40 So I went in, asked to be in the room all alone with her. I stood there; I said, "Sister, do you remember me?"
And she, trying to open her eyes; she said, "Who is it?"
And I said, "Brother Branham."
And she started crying, tears washing all... swollen face, young woman, about twenty-two. And she said, "Oh, Brother Branham, shake my hand, shake my hand."
And I said, "Now, just don't be hysterically, sister dear." See? And I took hold of her hand. I said, "I come to have prayer."
She said, "Oh!" And just...
I said, "Now, be quiet, be quiet." See? "Don't get all emotional. Wait till God heals you, and then get emotional." See? And so, I said, "Come solid, sanely, listen to me now."

E-41 So I laid hands upon her and asked our dear Lord Jesus, if he would heal her. I prayed for her, walked back from the bed and was going to leave. I picked up my overcoat and hat. And when I turned around, up over that bed was that Pillar of Fire moving around and around.
I knew He was going to say something. Now, I hadn't saw a vision for about a week or ten days, since I left the Chicago meeting. And there It was moving around.
I stood still. I seen what He said. I walked over to the bed and I said, "My dear sister, though you know your condition...?"
She said, "Yes, Brother Branham." She said, "I pray that God will show you a vision."
I said, "He has. And I have THUS SAITH THE LORD."
I said, "In about six or eight hours they're going to put a...?... over here to try to bring you to 'cause you're going to go into a coma. But you're no more than going into it, just a second, till you're coming out of it."
And I said, "In the..." [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-42 ...Walked up to me and put his arms around me, said, "Just a minute." He said, "Brother Branham, did I hear you say THUS SAITH THE LORD in thirty-six hours my wife will be home?"
I said, "If it isn't, I'm a false prophet."
He said, "Brother Branham, my little baby had club feet. You'd prayed for her a dozen times, I guess. We had...?... pray for her. And one day while I was in a room here, it packed full of people, you saw a vision and said THUS SAITH THE LORD in twenty-four hours your baby's feet will be straight."
Said, "The next morning when I went to the crib, the baby's feet was straight and has been straight ever since." That was a...?...
And he said, "If you say, 'THUS SAITH THE LORD my wife is going home in thirty-six hours.' I'm not even going to the room. I'm going to get my hat, and go home, and clean up, and wait for her."
I said, "God bless you, my son. If that isn't true, then I'm a false prophet. Just remember; that's THUS SAITH THE LORD." Grabbed his hat and away he went.

E-43 And I come back out and started down the steps, and there was a fellow by the name of McDowell (McDowell Electric Company in Jeffersonville) was at the bottom of the steps. He... Top man in electricity.
His mother had just been opened up at Frankfurt, Kentucky, with a cancer, till they didn't even sew her up. She was sixty-one years old. They opened her up, and it was just so full of malignancy, they just pulled it together and taped her, laid her back on the bed, and said she's going to die.
Brother Mack said, "Brother Bill, surely you'll go up there about selling my little home." Said, "I know you're tired, honey, but I... Oh, if you'll do it..."
I said, "I'll go."

E-44 So we got in his car and away we went. And I went up to the women's place, had prayer for her, started out of the hospital, and somebody put their hand on my shoulder. It was a little nurse and she was crying.
She said, "Preacher, I've always believed that I'd see the day when those things come back to Bible days again." Said, "First time I ever heard of it," but said, "I believe what you ask God in there, God will do it."
I said, "Well, bless your heart, sister. What do you ask of God?"
She said, "I'm not sick myself."
But I said, "What could I ask God for you?"
She said, "Nothing. But let me be a Christian like that too."
I said, "Well, God grant it to you, sister."

E-45 Went on out, went on home. I got in along about five o'clock in the morning; two carloads of people were setting before the door. Just had prayer for them, went in and went to bed and slept till about nine o'clock. And I got up and started out of the house, started out of the room (Pardon me.) into the hall, leads out into another room. When I started out of this... I put on my bathrobe and started out. Standing in the room was a very attractive young woman. I never thought of a vision. I said, "Good morning. What are you doing in here?"
And she never said a thing. She just turned her head, and said, "Mother, that's just the way I expected it."

E-46 And then when I looked over sideways, I knowed it was a vision. There stood that gray-headed woman, sixty-one years old, with cancer, that had cancer, standing by a phone having a conversation with daughter, with some of her friends, leaning up against her kitchen cabinets at home.
I said... Looked at that, I said, "Well, that's the woman that I prayed for last night."
And just then I heard something going, clods dropping, dropping. I looked around. I seen a willow tree, and there was great big, yellow clods of clay dropping. And I heard the Angel of the Lord speak and say, "THUS SAITH THE LORD, the people who are laughing at Mr. Wright, he will dig their graves." Oh, my, what a feeling.

E-47 The next Sunday, the following Sunday, the woman was home doing her work just as normally and well as she ever could be. Staff of the whole Baptist staff there, I mean, the staff of the hospital, Good Samaritan Hospital it was in Frankfurt, baffled all of them how she got well; they couldn't find any of the cancer.
You know what the doctor said, when I ask him? He said, "You know I must have been mistaken." Oh, my. "I must have been mistaken." Then some of these others must have been mistaken or something. All right.
And Mr. Wright, I called up and I said, "I have 'THUS SAITH THE LORD.'"
Said, "Brother Branham, he's almost paralyzed this morning."
I said, "Brother Wright will dig the grave of those who are laughing at him." I know that he's a grave digger, but he was. And on the second day the blood clot passed, they couldn't find a trace of it anywhere. And Mr. Wright's...?... perfectly normal and well. What is it? It's the Word of God coming out of glory, made manifest among us...?...

E-48 I spent my time to go to India, on the twenty-third of last month. Got too big a hurry. 'Course that's the way I usually do, and God has to slow me up some. Just being an Irishman, you know, and--and trying to do things, and just hurry and do it...
So then, I was going to the room to minister some people, there stood a man with a towel over his head. Looked something on order of this lady sitting here now, with that towel across her head. He was kind of dark complected, and his nose was kind of flat in the front.
And I said, "How do you do, sir?" I thought he was one of the patients at the house. He just raised his eyes and said, "Brother Branham, don't go overseas until September."
I looked... I--I started to ask... He was gone. He was vanished.
Now, what is it? It's the Word of the Lord made manifest. When... Those visions are perfectly true; they are sent from God. Now, compare that... To any stranger in the gate, I wish you to compare...?... Go to my home town, get my books, trace down any testimony, ask anytime, if ever one time that a visions failed, and how these things are.

E-49 And isn't that the same Lord Jesus that was with Paul out there that night on the stormy sea, fourteen days and nights, no moon and stars? All hopes that they'll ever be... All lost hope, everybody lost hope. The old ship was waterlogged. And there was Paul... Look. All hope of being saved was gone, and Paul was down in the gallery, perhaps, praying. And the Angel of the Lord come to him and said, "Fear not, Paul, thou must be brought before Caesar. And God's give all those that sail with you to Phenice."
Come back out, that little hooked-nosed Jew, shaking his hands and hollering, "Be of good cheer. (Why, my, right in the midst of the storm.) for the Angel of God, Whose servant I am, stood by me last night, saying, 'Fear not, Paul.' And I believe God," he said, "it will be just the way it was showed to me." In the vision he saw the ship wrecked up on a seashore.
An old snake bit him by the hand, he just throwed him off in the fire and walked on. The Holy Ghost...
He was between two straits one time, not knowing where to go. And when he started one way, there was a man stood up and said, "Come over to Macedonia. Is that right?
If this is--if this... Peter said on the day of Pentecost, "This is that." And if this ain't that, I'm going keep this till that comes. That's right. This is the power of the resurrection of Jesus Christ. You love Him? [Congregation says, "Amen"--Ed.]

E-50 I'm five minutes late in talking. God bless you. We will call the prayer line now and start praying for the sick. How I love to tell about His goodness.
All right. Billy Paul, everywhere he's at... I haven't talked to him this evening, or tonight. I don't know whether he give out prayer cards any more, or whether he did or didn't. All right, Billy, wherever you are, show up. All right.

E-51 Now, I want you to notice, that every time the Lord performs something here at the platform, He can do the same out there. Is that right? He can do the same.
Now, this here... Now, this is not a stage show. It's not something that's--that's worked up. It's the power of the resurrection of the Lord Jesus Christ, the Son of God.
Just have faith and believe. And if you believe, all things are possible to them that believe. God bless you every one.

E-52 Billy, late like that again, we'll give you your time. [Brother Branham laughs--Ed.] Oh, I was just kidding you. All right. My boy has been a great help to me. And I--I'll say this one thing about his, because he's setting here, but he's just a boy, at an age. God's with the boy, though. If that boy will fully surrender his heart, though after receiving the Holy Spirit... He has... But if he will fully surrender himself, we'd have a double prayer line running here tonight.
God's with the boy. We'll be going down the road somewhere, he will say, "Daddy..." We'd never been on the road before. He'd say, "We're going to pass a red barn. There's two cows standing near the fence; they're--they're white cows," something like that. We'll drive for a few miles, say, "See it, daddy?" There you are.
The other night we was coming over, he'd never been at this place before. And he said, "You know, the strange thing is, dad?" He said, "When you come in tonight, there's going to be a certain person meet you at the door, and a certain thing." And it's just... That's the way it was. See?
It's the Angel of the Lord, the gift of God, passing by the boy. If he'd only surrender himself to that, we'd build a double line and start it here. See? You pray. God grant it that it will be.

E-53 He went overseas with me to Africa. He's going back again, the Lord willing, if the Army don't take him, in this next trip.
[Brother Branham asks, "What prayer cards did you give out, Paul? P what?"--Ed.] One to a hundred. All right. Let's begin at one then. All right. Prayer card P, that's like in Phoenix. That's a good number to... good letter to start with tonight, isn't it? P.
Who has prayer card number 1, P-number-1? Raise up your hand. There? All right, lady. Come right down here. Number-2, P-number-2. Raise up... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-54 Mother, they tell me you wasn't up here at the platform. Stand up. If you want to take this Brother Moore, I will. Come here just a minute, honey. This is going to kill her to do this, she's so bashful, but I want her to come up here. All right. Bring the baby...?... [Congregation applauds--Ed.] This little wife, I thought she'd always... She's so bashful, so timid, I'll get her up here if I have to go pack her myself.
This is my little girl, Rebekah. [Congregation applauds--Ed.] This is Sarah. God bless her. [Congregation applauds--Ed.] The queen of my life, Mrs. Branham. Amen. Now... [Congregation applauds--Ed.]
I call one sugar and the other honey, I got a sweet family. And I look like I'm drawing dividends all the time, doesn't it? All right.

E-55 Little Rebekah here, just a word for her. Little Rebekah, eight years old, will be her birth, she saw her first vision about two weeks ago.
One night in Hammond, Indiana, she was crying... When they got me out of the meeting, and I was about to pass out myself, and I said, "What's the matter, honey?"
And she said, "Daddy..." She's way back, there was several thousand people, she's up in the balcony. She said, "Daddy, some poor old woman, laying on a stretcher... And you said, 'All that wants to be healed, raise up your hand.'" Said, "You couldn't see her. She... The crowd stood up and you couldn't see her." That poor little heart was breaking. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
"Well, honey, she didn't raise her hand. Jesus saw her."
She said, "But, daddy, she didn't... You didn't see her. And she wanted you to see her."
Well, I said, "It'll be all right. Jesus will heal her."
And the next night this little fellow climbed up in that balcony, and seen the woman and started praying for her. And that same night, the Holy Spirit turned me around to the woman. And she'd been flown in there by an airplane, was paralyzed from a stroke, and God called her and healed and made her perfectly well. And she packed her bed out of the building that night. That's right. Rebeccah praying...
All right, honey. Do you want to say a word? You want to say "Praise the Lord?" You want to say a word, honey, while you're standing? She's kinda backwards. I'll say for her, "We love you," don't we, honey? And we appreciate the--the kindness of all you people. God bless you and thank you for this... giving her a lot of praise like that. God bless you, honey. [Congregation applauds--Ed.] Thank you.

E-56 Prayer card... What was that now, we...? P, P-1, 1 was it? Next card is 3. You got 1, 2, 3, here. 4, who's got prayer card number 3. Is this the lady? You got prayer card 3? 3, right here. All right. Number-4, who has number-4? You, lady, coming now? 4. Who has 5? Who has prayer card 5? 6, quickly raise up, 6. All right. 7, prayer card 7. We try to get them one at a time, so we won't... be sure and miss anyone. 7...
We're going to get to every one tonight. [Blank.spot.on.tape--Ed.] Number 19, 20. How many... how we getting along? That's enough? Huh? [Someone speaks to Brother Branham--Ed.] Oh, right here? All right. All right. When her time comes, you can pack her, or whatever...
All right. Everybody be reverent. We'll try to get those two, and then see if we can get some more.
What time you have to leave? All right. The Lord be blessed.

E-57 Now, if you will... Is this your card? P is in that number? P is in that number? All right, brother. Maybe your card is not... Don't pay any attention to it... you'll shall live. See? You're going--you're going to get well. You believe that? You only have one hope and that's in Jesus Christ, the Son of God. So have faith. I know his trouble: tumor. See? I--I know what that is, but I'm just waiting. He can't grasp it right... I'm trying to walk through your faith. I have the last two or three nights.
A few nights ago you really thought it was over, didn't you? The Angel of the Lord was so close to you, just right over you...?... you. See, what it was. Your nerves has been quieter since then too. See? That's what it was. I wanted Him to heal him for you. See? I can't make it. I have to ask. You see? And you just believe with all your heart, and the man will be able to walk out of here tonight, take his bed and go home. Amen. You just have faith; just have faith. See? Now, don't doubt, sir. Just have faith. God bless you.

E-58 All right. Now, let's sing "Only Believe," if you will now, slowly. That's it. Thank you, sister. Thank you, sister. Say, there's two that I missed awhile ago: the musicians. God bless you both. And all the special singing; that little Spanish choir, too. "Gloria a dios" That's all I know in Spanish. Is that "Glory to God?" [Blank.spot.on.tape--Ed.]
... things are possible, Only believe.
All right. If Jesus Christ the Son of God will come and take, hold the meeting, and re--reproduce His Life and His love to you people, from this day, henceforth, you all claim Him to be your Saviour, and live for Him and love Him. Claim for your healing, and you shall receive it.

E-59 Now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I take every spirit in this room under my control for the glory of God.
Now, lady, I just want to--to talk to you just a little bit. I--I have... Well, I have no way of knowing--knowing you, but it's only God Who knows you. Is that right? Now, this is... We're strangers to each other, are we?
Now look, friends, this lady and I are strangers. We have never met in our life. We're perfectly strangers. And I suppose... Are you Spanish? I thought so. Si.
Now, but she speaks English. Now, we--we don't know one another. She was probably raised here in Arizona. Whether she was... she might've been... come from Mexico or some... I don't know. But anyhow, we was born, perhaps, miles apart, and know not one another, never met before in our life, till right here. Now, how... What would I know about the woman? Not a thing. God knows that to be the truth, right now. But He knows everything about her. Is that right?

E-60 Then He... if [Blank.spot.on.tape--Ed.]... raised from the dead, and He said... Now, what if Jesus was standing here before the woman. Now, He couldn't tell her, "I'll heal you," because He's already did that, if that's what she needs. If she needs finances, He--He's her finance. He's... She needs a Saviour, He's her Saviour. Whatever she has need of, Jesus Christ can supply that need, and has supplied it.
The only He could do if He was standing here, would be tell her what her needs was, like He did the woman at the well. Here to begin with tonight is a perfect picture of Jesus and of that time at the well.
Now, not me, but Him. See? She is a Spanish woman, and I'm Irish: quite a difference. All right. Notice, her people came from Spain, mine from Ireland. But here we are standing, two, just like Samaritans and Jews that night.

E-61 Now, see, and if I have told the truth, that Jesus raised from the dead and promised the things that He did, we'd do also. And I claim that when I was born, no religion at all... My people before me, from Ireland, 'course were Catholic. But my family had no religion at all. In the very morning when I was born, three minutes old, when they opened a little old window (not the kind you have here in Phoenix, no), a little wooden door, just pushed it open. This Pillar of Fire that you see here, come right in and hung over where I was laying at.
The first thing I can remember: seeing a vision. See? Nothing that I done, God just let me come on this earth to do this work for Him. I'm only doing my duty to God. See? Nothing for me, it's for you. Now, if He's standing here the same yesterday, today, and forever, He will know it.

E-62 Now, lady, I just want to look at you, just a moment to speak with you, just to contact your spirit and to--to see what the Lord would tell me.
Of course, you know I've been stalling for Something; it's the Anointing of the Angel of the Lord. 'Cause if He doesn't come, then I know nothing. But when He comes, He knows all things. If He will, by His grace, let me know what's wrong with you, you will accept your healing, or whatever it is. Is that right? Here It is.
You have some kind of spell; it's epilepsy. Isn't that right? Now, just a moment. Now, here's the thing. There's something wrong with the woman. The vision's left me. There's something wrong with the woman; I know, the jerk from the audience. Now, be reverent. Now, friends, this is not playing church. Now, be reverent.
Now, just a moment, lady. I want you to look this way again. I lost what it was. There It is. You had something you fall with or something, and... Oh, it's epilepsy. There it is again. That man has epilepsy setting right there. Isn't that right? Lay your hand over on him. Look here, lady. Look here, sir. That demon... See? Look here. I can see that with my eyes. See that black streak moving from one to the other? That's them demons crying to one another for help. They know when their time's come.

E-63 Look here, lady. I want to see what's going to happen. You're worried about somebody too. Yes, she has cancer. Is that right? And don't she live near the mountains, like Superior, or something. Is that right? Keep your minds on God.
Almighty God, Creator of heavens and earth, I condemn this devil. You're not scared of me, but you are of Jesus Christ Who can cast you out. And I'm standing as His representative. Come out of there, in the Name of Jesus Christ. May they go and be made well, in Jesus Christ's Name. God bless you.
Thanks be to God. Oh, you'll see the glory of God.

E-64 You're waving your hand there--there, sister. You was kind enough put your hand on that man's back for me, to pray with me, now, you been having colon trouble, haven't you? Isn't that right? Raise up your hand, if that's right. Now, it's left you. God bless you. You were kind to someone else. God be with you.
Believe with all your heart. Believe that Jesus Christ the Son of God is near; you shall have what you ask.
All right, Brother Brown bring...

E-65 How do you do? The baby... Hi, sweetheart. All right. All right. Now, I want you to look at me a moment. You believe me to be God's servant? I believe that comes from a true heart. Yes, it's for the baby.
If I can tell you by the power of God... I couldn't heal your child, but if I could tell what's wrong with the child, would you accept Jesus as the child's Healer? The baby is suffering from tumor. Is that right? It's two tumors, and they're on--one on each kidney. In the Name of Jesus Christ the Son of God I condemn the tumor that it leaves the child, in Jesus' Name. Amen.
Mister, the prostate trouble left you standing there too, sir. See?
Let's say, "Praise be to God." [Congregation says, "Praise be to God."--Ed.]

E-66 All right. All right, next. Oh, the next... Who is the lady that's...? Look on me, sister. Do you believe me to be God's prophet? A servant, I meant to say. I don't know you, but God knows you.
If the Lord Jesus will let me know what is wrong with you, will you accept your healing? Look on me then just a minute, same way Peter and John passed through the gate called Beautiful and said, "Look on us."
I see a crash. You've been in an automobile accident, and it's your back. Is that right? You believe Jesus makes you well? All right. You can have your healing. You can go home now and be well in the Name of Jesus Christ.

E-67 Have faith. All right. Believe. Only believe; all things are possible. Pray for me, church. I'm getting weak as...?... All right. You'll never know what that does to me.
Like I see a airplane fly through here just then. Here It is. It's for that little mother, got somewhere there, got a son in the Air Force, haven't you? That's right. Stand up. You was thinking about him then, wasn't you? God healed him just then. You'll hear from him. God bless you. Go now in the Name of Jesus.

E-68 We are strangers to each other, are--are we, lady? I don't know you, but God does know you. You believe me to be His prophet, or His, you know, to see... A prophet is a preacher, that I might... Sometimes It speaks it out like.
We are strangers to each other, aren't we? I don't think I ever seen you. But you're having some trouble. and some examination that showed... They're looking around on the back at the hospital or a clinic, or some kind of an x-ray thing. It's a floating kidney and cancer also.
I can see him now looking at the other doctor, and shook his head. Isn't that true? You believe Jesus is going to make you well? Come here.
Kind heavenly Father, as I hold my hands against her body, may she be healed. May she live, Lord, for Your glory. In Jesus Christ's Name I ask it for God's glory. Amen.

E-69 Do you believe Him, lady. The heavy set lady, sitting there, do you believe me to be God's prophet? Wouldn't you like to go home and eat a good decent supper again, get over the stomach trouble, be made well? If you believe with all your heart, you may receive it. You believe it? All right. Stand up to your feet, say, "I accept it now." And go home and be made well, healed in Jesus Christ's Name. Amen.
Watch this...?... You believe God will heal you with that heart trouble? Setting there with your finger up close to your mouth, you believe with all your heart that God will heal you? You do it? Stand up to your feet and accept your healing. Yes, that's you. That's right. Stand up; Jesus Christ makes you well. Amen.
Being you was so kind, lady, awhile ago, that asthmatic condition left also. Amen. Now, you can go. God bless you, and be made well.
Let's say, "Praise be to God Who giveth us the victory through our Lord Jesus Christ. Have faith in God.

E-70 Is this the patient? How do you do, lady. God bless you. I suppose we're strangers to one another. God alone knows us. But He does know. I don't know you and you not knowing me. Oh, God must...
Lady, do you believe God will heal you with that goiter, setting there, right back there? I see you're praying about a mother too. Your mother's got TB, hasn't she? Isn't that right? You will accept and believe, you shall receive what you've ask for if you can believe it.
You're... We are strangers to each other, but not before God.
Sometimes when the Spirit is moving out over there, I can't hardly see It, it's back in the dark. Christian friends...?... sitting back in there, just keep praying.
I seen a little child that's in here somewhere that's got a heart trouble, setting right back in there. I can't see it under the light here. But It's hanging to a child with heart trouble. You believe He's going to heal it? You accept it? Stand up to your feet. God bless you. And go home and be made well, in Jesus Christ's Name.
Only believe; all things are possible. It just keeps moving out in the audience. You see?

E-71 I see you moving from me. You're not from this city. You've got something... I see Indians around where you're at. You are a missionary to the Indians. And you're from a place... I see where you come down, passing a sign, Parker it's called, Parker, Arizona. And you're a--got a gall bladder trouble. And you're... varicose veins are in your legs, and liver trouble causing that acids in your mouth and bitterness. Isn't that right?
Oh, I see you talking to a man that I know; he's a big fellow. It's George Craig from Indiana. And isn't there someone else with you, a woman, a missionary too, that's suffering with the same thing that you have? Go, lay your hands on her, 'cause you're both healed...?... healed in Jesus Name...?...
Have faith in God. Don't doubt. You believe? All things are possible to them that will believe.

E-72 You want to get over that heart trouble, lady? Believe God's going... He healed you right then. Stand up on your feet. Jesus Christ makes you whole.
Now, you're going to interpret for her? She is--she's Spanish, of course, and she has a... She's got a heart trouble and a diabetes. Is that right? And by faith you're Catholic--Catholics. Is that right? You believe me to be God's prophet? You accept Jesus now as Healer and Saviour?
In the Name of Jesus Christ, I condemn the demon that's bound this woman. May he come out of her...?... being upon you and for your...
Let us say, "Praise the Lord." [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.]

E-73 Good evening. You speak English? A little bit. You believe me to be God's prophet? Thank you. I'm not saying that, for I'm... He told me, "If I'd get the people to believe me..." And the only way, when I catch your spirit... You... If I've told the truth of Jesus Christ, then He will vindicate that I'm telling the truth. Is that right? Now, I go to meet you.
I see a accident. You've had an accident, a car accident, and it smashed your ribs. Don't they call you "Luck" or something like that? Isn't you name, Bru--Bruso, or Brusa? Isn't that right? And don't you live near the mountains? You're from Superior, Arizona. Go home; be made well in the Name of Jesus Christ.

E-74 You want to get over that TB trouble, brother? Raise up your hands and say, "Praise the Lord. I love You. I want to be made whole."
Do you feel...?... you're setting...?... lady? Go on...?... home rejoicing, saying, "Praise be to God."
Have faith; believe. All right. Bow your heads while this deaf woman receives her hearing. Almighty God, in the Name of Thy Son Jesus, remove the curse of that devil that...?... her ears. Come out of her.
Do you hear me, lady? You hear me now? You hear me now? Say, "Praise the Lord." [The sister says, "Praise the Lord"--Ed.] You're healed, sister. Go off the platform rejoicing...?... happy.
Say, "Praise the Lord." [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.]

E-75 You believe me, lady? Do you want to go eat again, get over that stomach trouble? Just say, "I accept it in Jesus Name." God bless you. Go, receive it, in Jesus Christ's Name.
You believe, lady? You want to get over that female trouble? Go accept Jesus and be made well.
You believe Him with all your heart? You want to get rid of stomach trouble too? Go eat your supper, in the Name of Jesus Christ and be made...
You want to get over the back trouble, do you, brother? Go thanking God and praising God...
The whole group of you can be healed. Have faith in... Have faith.
Come, lady. You're young. You're nervous, upset, made a peptic ulcer in your stomach for stomach trouble. Go eat. Jesus Christ has healed you.

E-76 Come. You've got an abscess on the ovary, a female trouble. Jesus Christ makes you whole. Go home rejoicing and be made well, in the Name of Jesus Christ.
You have a nervous condition, cause you to feel real gloomy in the afternoon. I see you again, turning away from a table. You've got a ulcer in your stomach. Is that right? You did have; you haven't now. Go home and be made well in the Name of Jesus Christ.
You believe you're healing...? Them old spirits...?... heart trouble you had. Go home now and be made well in the Name of Jesus Christ. Believe with all your heart.
You believe me, lady, as God's servant? You got a coughing condition, which makes it asthmatic. Go home and believe God with all your heart and be made well. All right.

E-77 You believe me, lady, with all your heart? Huh? You got anemia condition. Isn't that right? And you're not a Christian. You're... You've been thinking about becoming a Christian. What about doing it right now? And God will take you to Calvary and give you a blood transfusion from His soul. Will you accept Him as your Saviour?...?... [Congregation worships--Ed.]
Almighty God, Author of Life, Giver of every good gift, send Thy mercies upon this people, and may every individual in here be healed. I condemn every demon that's bound these people. Satan, you can't hold them any longer. Come out of them in the Name of Jesus Christ. Every man and woman that believes that you're healed...?... raise to your feet...?...

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