La Guérison Divine
1 Tous mes remerciements, je me sens chez moi en étant en votre compagnie ici ce soir, et de savoir...?... Vous m’avez bien accueilli à mon retour. J’espère qu’un jour, comme–lorsque je reviendrai, le Seigneur voulant, pour répondre à votre courtoisie, je pourrai rester plus longtemps lorsque je viendrai. Je me suis souvent demandé si nous ne pourrions pas avoir une réunion une fois où vous pourriez tout simplement rester, et les gens–nous n’avons même pas l’occasion de leur expliquer comment obtenir la guérison divine. Nous n’avons que deux ou trois soirées, trois ou quatre soirées, et nous allons tout simplement d’un endroit à un autre. Je suis–on fait ça depuis huit ans, et partout dans le monde, je–je commence à me fatiguer, et je–j’aimerais m’installer et tenir une très longue série de réunions, et rester jusqu’à ce que le Seigneur dira : «Eh bien, allons ailleurs.»
Et peut-être, même si nous n’avons pas des réunions de guérison chaque soir, et que nous avons des réunions de prédications, et qu’ensuite nous avons, peut-être, trois ou quatre soirées de services de guérison par semaine, alors cela donnera aux gens une occasion pour–dès qu’ils seront guéris, vous verrez les sourds, les muets, les aveugles, ou que sais-je, lorsqu’ils viendront sur l’estrade, ils l’obtiendront aussitôt. Mais j’ai vu se tenir sur l’estrade des gens qui ont été aveugles pendant des années, puis lire cette Bible que voici. Elle a de très, très petits caractères, et ils ont lu cette Bible, puis ils sont descendus de l’estrade, et environ trois jours après ils étaient tout aussi aveugles qu’ils l’étaient auparavant. Ensuite... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] La guérison dure-t-elle? Certainement, mais voici le problème : ils sortent, et le diable s’empare d’eux, peut-être, à travers quelqu’un d’autre. Et ils deviennent un peu sceptiques ou quelque chose de ce genre, alors la chose revient directement sur eux.
2 Vous savez, Jésus a dit : «Lorsque l’esprit impur est sorti d’un homme, il va par des lieux arides et il ne trouve point de repos. Ensuite il revient et amène sept autres démons pires que lui.» Et alors, si le maître de la maison (c’est-à-dire votre foi) ne se tient pas là, prêt à s’opposer, eh bien, alors il entrera, et votre dernière condition sera pire que la première.
Donc, bien des fois, les gens qui ont une tumeur maligne ou quelque chose comme ça, ou une tumeur, ou un genre de grosseur, lorsque cela meurt, la vie en sort, à ce moment précis ces gens sentent un soulagement. Deux jours après vous vous sentez mieux. Ensuite après environ soixante-douze heures, vous commencez à vous sentir malade, alors très malade, parce que c’est une masse de chair morte. Et ensuite, quand cela se désagrège, c’est–s’il n’y a pas moyen que cela tombe, peut-être que cela se trouve à l’intérieur de...?... et ainsi de suite qui retient cela, cela va tomber dans le diaphragme ou quelque part. Alors vous avez une masse de–de chair en vous qui est pourrie. Bien sûr, votre coeur, le sang circule et purifie le corps, cela est pompé par votre coeur. Cela rend le patient terriblement malade, cela entraîne une infection, la fièvre et tout. Et alors la personne dit : «Eh bien, je sais que lorsque je me tenais là, j’étais guéri et cela a duré deux ou trois jours. Mais je pense que j’ai perdu ma guérison.» Eh bien, c’est le meilleur signe au monde que vous avez obtenu votre guérison. Voyez?
3 Eh bien, dans le cas d’un miracle, cela aurait pourtant disparu, une guérison miracle. Mais les miracles et la guérison sont deux dons tout à fait différents. L’un a le don des miracles, l’autre a le don de la guérison, ou bien vous pourriez avoir à la fois le don des miracles et celui de la guérison. Il y a neuf dons spirituels, et ils peuvent tous opérer au cours d’une seule réunion. On ne sait pas. Cela dépend de Dieu. Mais, de toute façon, si la personne, par la guérison... La guérison, c’est lorsque dans votre coeur vous êtes certain que Dieu l’a fait pour vous, et rien ne peut vous bouger de là. Et c’est à ce moment-là que vous allez être guéri. Vous allez vous rétablir.
C’est pareil pour ceux qui sont infirmes. Combien de fois j’ai vu notre Seigneur Jésus... Et la manière dont nous conduisons nos réunions, c’est pratiquement de temps en temps que nous avons des infirmes dans l’assistance.
4 On distribue cent cartes ou plus, et c’est la seule manière légitime que vous puissiez le faire, lorsque vous avez une assistance comme celle-ci, peut-être ce soir, de trois mille personnes ou plus... Eh bien, peut-être, vous devez alors–vous–tout le monde, peut-être qu’il y a deux mille personnes qui voudraient que l’on prie pour elles. Qui sera le premier? Eh bien alors... Et surtout dans un ministère comme le mien, il y aura tellement de monde qui pourra venir. Mais ce n’est pas moi qui impose les mains à la personne ; il est question que vous acceptiez la Présence de Jésus-Christ. C’est ce qui produit la guérison. Et souvent si vous observez les réunions, il y a plus de gens qui sont guéris là dans l’assistance sans cartes de prière qu’il n’y en a qui ont des cartes de prière et qui viennent sur l’estrade. C’est juste–c’est là que vous avez plus de foi qui opère. Vous avez une seule personne ici, qui a peut-être la foi, alors que vous avez peut-être deux ou trois cents personnes assises là qui ont la foi. Et après notre départ, vous savez, comme c’est toujours le cas, comme c’est le cas dans les réunions, je reçois des lettres et des lettres en provenance de Des Moines, disant que ce trouble de l’estomac a disparu, que toutes sortes de maladies ont quitté les gens, après notre départ. Et c’est juste une confirmation de la Présence du Seigneur Jésus ressuscité.
5 Maintenant, Dieu voulant, étant ici, je voulais vous lire la vision qui m’a été donnée, comme je vous l’ai annoncé.
Je venais de rentrer de l’Afrique, et comme vous le savez tous, pour avoir désobéi à Dieu, je–j’ai attrapé des parasites, et j’ai failli mourir. Les gens... Franchement, les gens disaient que j’allais mourir. Et cela–j’étais couché dans ma chambre un matin, et pendant que j’étais couché sur mon lit ce matin-là, je me suis retrouvé tout à coup dans une vision, et j’ai vu quelqu’un venir vers moi comme un homme descendant des cieux. Il avait dans ses mains un papier à dactylographier, ça semblait être des feuilles vierges. Par terre, il y avait à mes pieds des feuilles qui portaient des écrits. J’étais étonné alors que je pouvais voir d’autres dans la chambre, des visages dans la chambre, et voir cet homme se tenir là. Et il a dit : «Comme tu te demandes ce que sera ton futur...»
J’ai dit : «Oui. C’est à cela que je pensais.»
Il a jeté les papiers vers les cieux, et ils se sont envolés, ils ont plané, l’un après l’autre, et une voix a crié du haut des cieux et a dit : «Ton futur est clair.»
Et alors, j’étais–je suis sorti de la vision. Et je suis de nouveau entré dans une vision, et j’ai demandé : «Dois-je avoir peur ou bien ces parasites ne vont plus me tourmenter?»
Le médecin me croyait tout simplement condamné, il avait dit qu’ils allaient me mettre dans un–dans un endroit par ici, c’est une sorte de lazaret, comme je revenais de là avec des parasites. Et il m’a dit que j’aurais une fièvre dans dix heures. Si cette fièvre montait jusqu’au cerveau, je mourrais en dix heures, et si cela touchait le coeur, j’allais mourir. Si cela touchait le foie, ils... mon côté allait ressortir et on devrait opérer.
6 Et j’aurais aimé avoir le temps pour vous raconter comment ça s’est passé là en Afrique, lorsque le Seigneur m’a donné une vision, Il a dit : «Ne va pas là-bas.» J’ai laissé des prédicateurs me convaincre d’aller ailleurs, de cet autre côté. Avec l’aide de Dieu, je ne le ferai plus jamais.
Et Il m’a parlé, Il m’a dit : «C’est fini.»
Et ce même jour-là, je suis allé chez le docteur Lucas de Louisville, et j’ai dit : «Faites-moi un examen.» Il m’avait simplement renvoyé à la maison deux jours avant cela. Il ne voulait me permettre d’aller nulle part avec ces parasites.
Et j’ai dit : «Donnez-moi...»
Il a dit : «Vous en avez.»
J’ai dit : «Examinez-moi.»
Il a fait un nouveau prélèvement, et il est revenu, il a dit : «Puis-je faire encore un prélèvement?»
J’ai dit : «Oui, monsieur.»
Et il l’a fait de nouveau, il a dit : «Que vous est-il arrivé? Vous n’avez aucun parasite.»
Et je lui ai dit : «Le Seigneur Jésus m’a guéri.» Je lui ai raconté l’histoire, lui qui est un catholique. J’ai dit : «Est-ce que vous croyez cela?»
Il a dit : «Eh bien, je suis obligé de croire.» Il a dit : «Jusqu’avant-hier, vous veniez ici pendant six mois souffrant des parasites qui augmentaient sans cesse, et voici deux jours après, vous n’en avez pas un seul.» Il a dit : «Je ne peux m’empêcher de le croire.»
7 Bon, c’était avec la vision. Et Il est revenu vers moi, cela n’était jamais arrivé auparavant dans ma vie, pas plus d’une fois à la fois. Mais cette fois, c’est venu cinq fois d’affilée. Et cela est revenu, et j’ai demandé comment il fallait que je conduise mes réunions. C’est comme certaines personnes qui me parlent de frère Roberts et des autres qui prient pour beaucoup de gens. Et Il m’a dit : «Fais juste comme tu es conduit de faire.»
Ensuite Il est revenu, et j’ai vu l’Ange qui me parle se tenir à ma droite et j’étais en Afrique, à Durban, au même endroit, juste là où j’ai quitté et où j’ai désobéi au Seigneur. Il m’a carrément envoyé là pour commencer.
J’ai vu de grandes foules de gens, mais la réunion s’est élevée en l’air et a disparu comme une ombre. J’ai regardé de nouveau, et j’ai vu de nouveau cela; il y avait beaucoup de gens assis, il y en avait même plus que dans la première réunion. Alors l’Ange qui me parlait m’a tourné vers l’est, en fait c’était de ce côté. Et il y avait tant de gens que je ne saurais même pas en estimer le nombre. Ils sont montés sur des collines ; et un Ange, qui était plus petit que celui qui se tenait à mes côtés, est venu de–au-dessus avec une lumière, une lumière qui oscillait, et elle a montré les gens qui étaient sur les collines. Et ils ressemblaient à des Indiens, ils étaient à moitié vêtus. Ils se réjouissaient et glorifiaient Dieu pendant que je leur parlais. Et j’ai entendu l’Ange, qui était au-dessus de moi, dire à l’Ange qui se tenait à côté de moi : «Il y en a trois cent mille dans cette réunion de Branham.» Et voyez si c’est vrai ou pas.
8 Et ensuite, lorsque je suis revenu à moi et que je remerciais le Seigneur dans la chambre, mon souffle semblait venir faiblement, et alors j’ai de nouveau regardé, j’ai entendu le bruissement des feuilles de ma Bible, et voici venir ma Bible, Elle venait dans la pièce, et Elle s’est arrêtée devant moi, puis s’est ouverte sur le premier chapitre de Josué. Et alors, j’en suis sorti, et ma femme, au même moment, cela... dormait dans une autre pièce, allait entrer dans ma chambre, à trois heures du matin. Et comme elle entrait, quelque chose lui a parlé et a dit : «N’entre pas dans cette chambre, car une vision est en cours.» Et ces trois visions ont eu lieu des heures plus tard, à six heures, alors elle m’a appelé à la porte. Cela n’était jamais arrivé auparavant dans ma vie.
Et ma belle-mère, qui vit juste à l’étage inférieur, est montée immédiatement chez moi ; c’est une chrétienne très connue, et elle a dit : «Que s’est-il passé ici? J’ai commencé à faire ma vaisselle, et quelque chose m’a parlé et a dit : ‘Monte écouter les nouvelles ce matin.’»
9 Je suis allé à la banque pour voir si j’allais devoir–devais l’impôt sur le revenu, pour retirer mon reçu, et j’ai vu un des banquiers en train de pleurer. Lorsque je suis entré dans la salle, il m’a regardé et a baissé la tête. Jai traversé la salle, et j’ai pris mes chèques qui étaient annulés, et qui m’étaient retournés, quelque chose m’a dit : «Va lui parler.»
Et je suis allé lui parler. Il a tendu la main ; il a dit : «Billy, c’est la chose la plus étrange.» Il a dit. : «Savez-vous que les gens de ma famille sont morts du cancer. Cette nuit, à trois heures du matin, j’ai fait un songe où vous êtes venu vers moi, et vous m’avez imposé les mains, et j’étais guéri.» Et maintenant, il est en parfaite santé.
Il est écrit dans les Ecritures : «Que chaque parole soit établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Cela a été le cas pour ceci. Maintenant, gardez cela à l’esprit, et souvenez-vous simplement que c’est le Seigneur Jésus qui m’envoie pour que je...
10 Lorsque l’archevêque de l’Inde est venu ici et qu’il a reçu le baptême du Saint-Esprit, l’archevêque de l’Eglise orthodoxe orientale... C’est l’église la plus importante après l’Eglise catholique. Nos réunions doivent se tenir là-bas, elles sont parrainées par des hommes politiques. Il est prévu que je prenne un dîner avec Nehru. Nous devons rencontrer le roi d’Espagne, et le roi de–le prince de Jordanie, le premier ministre Krugar en Afrique du Sud, et elles doivent être parrainées par les politiciens pour que cela soit publié dans toute la nation, et pour que nous soyons autorisés à nous rendre à Jérusalem.
Et maintenant, je suis certain que cela sera la plus grande réunion dont on ait jamais entendu parler. Et puis, lorsque l’archevêque a dit : «Frère Branham, préparons la réunion», il a dit : «Avez-vous déjà l’argent?»
J’ai dit : «J’ai à peu près cinq mille dollars. Je pense que cela nous suffira.»
11 Bien sûr, en Inde on ne peut pas dépenser un seul sou ; vous devez envoyer l’argent à l’avance. Ils ont besoin d’avoir notre argent pour tout. Et aucun de ces autres pays, leur monnaie ne vaut rien ici. Voyez-vous? C’est pourquoi nous devons envoyer l’argent.
Et j’ai dit : «Je pense que ça suffira, peut-être, pour payer nos billets pour aller là-bas.»
Et il a dit : «Eh bien, programmons cette série de réunions, a-t-il dit, pour le mois de février, le 23. Je demanderai à monsieur Nehru d’offrir un dîner pour vous cet après-midi-là du 23, cela m’accordera l’occasion d’aller en Afrique et de tenir cette réunion et tout.»
J’ai dit : «Ça me va.» J’ai appelé monsieur Baxter, nous avons fixé cela. Et ce soir-là, ma femme, qui est présente maintenant, elle est assise ici au fond, je–il y avait des gens dans le bureau, et des gens dans l’autre pièce, je m’occupais des malades, j’avais eu un appel longue distance pour un cas d’urgence, un homme qui allait se suicider.
Il a dit : «Je voulais juste vous appeler, prédicateur, et vous dire que je ne vaux rien, et je me prépare–vous allez entendre le coup de feu dans une minute.»
Et j’ai dit : «Eh bien, un–un instant. Déposez ce fusil ; baissez le chien.» J’ai continué à parler jusqu’à ce que j’ai entendu–je l’ai entendu le déposer, et je l’ai conduit à Christ. Et il fut sauvé juste là.
12 Ainsi j’étais en train de retourner pour aller m’occuper encore des gens, et à la porte se tenait un homme habillé bizarrement. Je n’avais pas remarqué qu’il était habillé comme cela, mais il avait une sorte de serviette sur la tête. Son nez était un peu retroussé, comme ça. Et il m’a dit... J’ai dit : «Bonsoir, monsieur.» Je pensais qu’il était tout simplement–que quelqu’un parmi eux l’avait fait entrer. Il était là afin que l’on prie pour lui.
Et il a dit, il a levé les yeux comme cela, il a dit : «Frère Branham, n’allez pas outre-mer avant décembre.»
«Eh bien, ai-je dit, pourquoi?» Et cet homme a disparu. Et je suis entré dans l’autre pièce, et je leur ai demandé s’il avait vu quelqu’un comme cela ; ma femme ne l’avait pas fait entrer dans la maison, il... Personne ne savait rien à son sujet. Et alors, ce soir-là, après que la maison se fut vidée, je suis entré, et je me suis couché vers une heure du matin, et j’ai rêvé que je ne devrais pas aller en Afrique jusqu’à–ou plutôt en Inde avant septembre. Je suis entré, j’ai réveillé ma femme, et je lui ai raconté cela. Nous sommes restés là pendant un instant ; je suis retourné et j’ai fait encore le même songe. Et nous avons dit : «Peut-être que c’est le Seigneur, Il ne veut pas que j’aille là-bas.» Et je suis entré, j’ai dit : «Seigneur, dans ce cas je reconnais que cette vision, c’est Toi qui m’avertis, de même que les deux songes, de ne pas aller là-bas avant septembre.» Je suis allé me coucher et j’ai dormi comme un bébé. Nous irons donc en septembre au Nom de Jésus-Christ. Observez ce qui va arriver. Je sais que notre Seigneur sera bon envers nous. Il l’a promis.
13 Et j’aimerais vous demander ceci ce soir : quand les vents soufflent fort en Afrique et en Inde, avec les sorciers, et ne vous mettez pas en tête qu’ils ne sont pas là pour vous défier... Et en Inde, ils ont des danseurs de corde, des cracheurs de feu, et tout le reste, et tout ce qu’il y a dans le monde du surnaturel, ils viennent et défient cela sur-le-champ. Quand les choses deviennent difficiles là-bas, puis-je compter sur ceci, que lorsque je m’éclipserai pour un mot de prière, puis-je croire qu’il y a ici à Des Moines des gens qui prient pour moi? Allez-vous le faire...?... Merci.
Frère Mitchell vient de me dire qu’on m’a donné une petite offrande pour m’aider un peu. J’apprécie cela, mes amis, et je–je suis pauvre. Je ne possède pas des biens de ce monde. On vient de me construire un petit presbytère pour y vivre. J’aurais pu être un homme riche, mais je préfère que mes richesses soient là-haut. Et oh ! je ne pourrais pas prendre l’argent des gens pauvres. Je ne pourrais tout simplement pas le faire. Et je ne le ferais pas maintenant. J’irais travailler chaque fois que je viendrais à une réunion, si seulement je le pourrais. Mais il s’agit d’un appel pour prier pour les malades. Et je–le peu d’argent que j’attrape, eh bien, je le place dans le champ de mission à l’étranger, tout ce dont nous n’avons pas besoin pour notre survie, et nous–nous menons une vie pauvre. Venez chez moi et vous vous en rendrez compte, ou faites une enquête pour vérifier tout ce que vous désirez connaître. Je suis venu au monde pauvre ; je rentrerai pauvre. Ma famille est pauvre, et je–je désire rester ainsi.
14 Et j’apprécie... beaucoup d’entre vous sont des gens pauvres, et ce soir, vous avez probablement donné la dernière pièce de cinq cents que vous aviez. Et en ce grand jour là, lorsque nous nous tiendrons là au Trône de Jugement de Christ, et que vous entendrez ces païens crier, lorsque je–après que vous aurez entendu mon nom être appelé, et que je devrai m’avancer et me tenir sur... que les enregistrements seront joués, et que les écrans montreront tout cela, et que certains de ces natifs et de ces païens viendront des autres pays, en disant : «Oh ! Frère Branham, si tu n’étais pas venu, je serais perdu», alors Dieu baissera les yeux vers vous et dira : «C’est vous qui l’aviez envoyé.»
S’il y a des bénédictions à en tirer, puissiez-vous les recevoir. En effet, moi, je le fais tout simplement par devoir. Chacun de vous peut le faire. Dieu m’a envoyé, et c’est vous qui m’aidez à y aller. Que Dieu vous bénisse richement et vous le rende au centuple. Je serais heureux de prier avec vous à n’importe quel moment. Priez pour moi. Ma prière est que nous puissions encore nous rencontrer quelque part de ce côté de la rivière de la vie, et que nous puissions avoir encore une bonne réunion à l’ancienne mode ici en Amérique avant que nous ne traversions les eaux. Je veux dire la dernière rivière.
15 Je ne suis plus un jeune homme. J’ai déjà quarante-cinq ans, et ces années ont été difficiles. Et un de ces jours, je me rends compte que mon–je me rapproche de la rivière. Chaque fois que mon coeur bat, je me dirige vers une grande chambre appelée la mort. Chacun de nous se dirige vers cela. Un jour mon coeur battra pour la dernière fois, et je devrai y entrer. Je ne veux pas y entrer comme un poltron. Je veux y entrer, je veux tout simplement m’envelopper de la robe de Sa justice, entrer dans cette chambre de la mort sachant ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection. Afin que lorsqu’Il appellera d’entre les morts, je puisse sortir.
Quand la dernière bataille aura été livrée, je me suis souvent demandé, la plupart des Branham... et la chose la plus malheureuse aussi, c’est du côté de ma mère. Ils attrapent la paralysie agitante lorsqu’ils deviennent très âgés ; ils tremblent beaucoup. C’est le genre de personnes qui sont nerveuses, tendues. Grand-père est mort récemment, à près de cent ans, il tremblait. Moi aussi, je pourrais attraper la paralysie agitante lorsque je deviendrai vieux, je ne sais pas, mais je peux m’imaginer devenu un vieil homme, venant lorsque chaque–mon travail sera fini, et que les vagues froides du Jourdain me frapperont au visage, et je saurais que je dois traverser. Je–j’aimerais tout simplement regarder en arrière sur le sentier que j’aurai parcouru, pour voir plusieurs sentiers dans les carrés de ronces et dans les endroits difficiles. Je ne veux pas un lit fleuri d’aisance, alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix, et ont navigué sur des mers de sang. Empruntons aussi le chemin difficile. Je dois combattre si je dois régner. Je dois passer par quelques difficultés. Je veux retirer le casque du salut, le déposer sur le rivage, glisser la vieille épée de la Parole ici dans le fourreau de l’éternité, et crier à tue-tête : «Père, envoie le canot de sauvetage, je rentre à la Maison ce matin.» Je crois qu’Il sera là pour m’accueillir. C’est juste. C’est cela ma foi qui est bâtie sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa justice, et lorsqu’autour de moi tout cède, Il est toute ma confiance et tout mon soutien, car sur Christ le Roc solide nous nous tenons. Tout autre terrain c’est du sable mouvant.
16 Je vais lire juste une portion des Ecritures, Dieu voulant maintenant, ainsi si mes paroles viennent à faillir, alors Sa Parole ne faillira pas. Cela se trouve dans Saint Luc, chapitre 18, verset 35.
Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin, et mendiait.
Entendant la foule passer, il demanda ce que c’était.
On lui dit : C’est Jésus de Nazareth qui passe.
Et il cria : Jésus, Fils de David, aie pitié de moi !
Ceux qui marchaient devant le reprenaient, pour le faire taire ; mais il criait beaucoup plus fort : Fils de David, aie pitié de moi !
Jésus, s’étant arrêté, ordonna qu’on le lui amène ; et, quand il se fut approché,
Il lui demanda : Que veux-tu que je te fasse? Il répondit : Seigneur, que je recouvre la vue.
Et Jésus lui dit : Recouvre la vue ; ta foi t’a sauvé.
À l’instant il recouvra la vue, et suivit Jésus, en glorifiant Dieu. Tout le peuple, voyant cela, loua Dieu.
17 Parlons maintenant à l’Auteur dans un mot de prière. Père, nous Te remercions ce soir pour Ta Parole. Et Ta Parole est la Vérité. Et nous Te remercions pour cette histoire que nous venons de lire dans la Bible, sachant sans l’ombre d’un doute, que chaque iota est vrai. Cela est arrivé. Et nous sommes tellement heureux de savoir que–que le sang de l’homme, tout au travers des âges, bien que cela ait coûté cela, nous regrettons que cela ait coûté cela, mais cela a produit cette Bible ce soir comme une littérature gratuite, et nous pouvons La lire en tant que des citoyens américains, et nous avons le droit de T’adorer conformément à ce que dicte notre conscience, tel que nous lisons la Parole.
Et nous sommes reconnaissants pour notre nation, pour notre peuple, et pour la liberté que nous avons. Et nous Te prions de préserver ceci, Seigneur. Et nous Te demandons de bénir cette assistance ce soir alors qu’il y a assis ici beaucoup de gens qui attendent impatiemment. Tu n’as jamais déçu un homme qui est venu vers Toi, s’attendant à recevoir quelque chose. Tu ne le renverras jamais à vide. Tu le renverras plein d’assurance et comblé de bénédictions.
18 Et maintenant, Seigneur Dieu, parle-nous ce soir, et que l’on sache ce soir que Tu es le Fils de Dieu qui est ressuscité des morts, et qui vit parmi nous. Et Tu n’es pas mort, Tu es vivant depuis deux mille ans maintenant, vivant au travers de–tout au travers des âges, et Tu es–Tu es vivant éternellement.
Ô Dieu, que chaque homme et chaque femme ici, qui n’est pas en communion avec Toi, revienne à Toi ce soir ; ou qui vient pour la première fois, voie combien c’est une bénédiction de Te connaître dans le pardon de péché. Et que tous les malades et tous ceux qui sont souffrants, alors que nous centrons cette partie du message sur ce sujet, soient guéris.
Bénis nos frères pasteurs, chacun d’eux, et tous les membres, et les laïcs qui sont représentés ici. Les officiels, les gardiens, tous ceux qui jouent un rôle dans la tenue de cette série de réunions, bénis-les. Bénis cette ville, et aide ce soir, Seigneur, pour envoyer un réveil à l’ancienne mode venant de Dieu dans cette ville, qui secouera les habitants de toute cette ville, et pour que beaucoup trouvent Jésus-Christ. Nous Te prions de commencer à le faire ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.
19 Notre scène s’ouvre ce soir sur un tableau plutôt tragique. Eh bien, le premier principe dont j’aimerais parler, bien sûr, pour poser un fondement maintenant, c’est La Guérison divine, parce que c’est le sujet avec lequel je–je fais ceci. Et je verrai la manière dont le Seigneur conduira, la manière dont nous allons tenir cette réunion. J’aimerais que tout le monde soit respectueux, dans la prière, et croie au Seigneur. Et je crois... Je vois deux ou trois personnes ici, assis dans des fauteuils roulants. Vous voyez, cela commence à peine à s’ébruiter. Peut-être, cet homme qui s’est levé hier soir, qui a mis les béquilles sur ses épaules, et qui est parti, ou quoi que ce que je lui ai demandé de faire, peut-être qu’il a raconté cela à quelqu’un d’autre et que cela a continué à se répandre, de plus en plus tout le temps. C’est toujours ainsi. Pourtant nous devons donc partir, et quitter les gens ; en effet, je dois cependant partir ce soir ou très tôt matin pour aller prêcher à Washington DC, à la Convention Internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens, et tenir une réunion de guérison à la Maison Blanche. C’est très bien, n’est-ce pas? Nous louons le Seigneur pour cela. J’espère que beaucoup d’amis qui ont invité des sénateurs et d’autres personnalités, que le Seigneur Jésus sauvera tout le groupe, et leur accordera le baptême du Saint-Esprit.
20 J’aimerais tenir une réunion de guérison en me tenant sur le même perron où se tenait le membre du Congrès Upshaw, après avoir été un–un membre du Congrès pendant dix-sept ans, à la Maison Blanche, Il était infirme et dans un fauteuil roulant, invalide, il a été dans des fauteuils roulants pendant soixante-six ans, allant d’une réunion de guérison à une autre, jusqu’à un soir, à Los Angeles, en Californie. Je ne l’avais jamais connu, je n’avais jamais entendu parler de cet homme. J’ai vu une vision, je l’ai vu se déplacer dans cette direction. Il était assis là dans le fauteuil roulant, et le Seigneur lui a donné un ordre, Il a dit, Il lui a tout dit au sujet de sa vie, et ce qui était arrivé, et comment il s’était fait mal, et tout à ce sujet. Et ensuite, Il lui a dit de se tenir debout, que Jésus-Christ l’avait guéri.
Et il a couru vers l’estrade, il a touché ses orteils, et il pouvait pratiquement faire un saut de mains, à quatre-vingt-six ans. Il avait vécu pendant... Et il s’est tenu juste sur le perron de la Maisons Blanche, immédiatement après la réunion de Billy Graham là-bas, et il a chanté devant ces membres du Congrès : «Je me repose sur les bras éternels du Seigneur Jésus.»
Maintenant, que Dieu m’accorde ce soir de pouvoir tenir des réunions de guérison juste sur le même perron.
21 Maintenant, notre scène se passe dans une ville vraiment maudite. Jéricho se trouve dans la vallée ; Jérusalem est sur la colline. Et un homme, comme nous le lisons dans l’histoire du bon Samaritain, pendant qu’il descendait en venant de Jérusalem, en se rendant à Jéricho, il rétrogradait, il quittait la ville des bienheureux, il descendait à la ville des maudits. Et c’est à ce moment-là qu’il est tombé entre les mains des brigands et fut dépouillé, blessé et laissé à moitié mort : spirituellement mort, physiquement vivant.
Et cette ville était donc une ville maudite. Autrefois les murailles s’étaient effondrées, et Josué avait maudit la ville, pour que personne ne tente de la rebâtir. Et alors, dans cette ville en ce jour-là, et ça a toujours été ainsi, il y avait de la méchanceté et du tapage, les gens menaient une vie horrible, peut-être, aux jours de ce vieux mendiant aveugle, auquel nous pensons, Bartimée, peut-être qu’elle était aussi méchante à cette époque-là que dans les jours qui précédaient sa chute. Et il était assis là dans cette vallée, vers le mois d’octobre, d’après ce que croient les théologiens, peut-être que le vent froid avait déjà commencé à souffler, ce mendiant n’avait plus d’espoir. Considérons cet homme pendant un moment.
22 Premièrement, il était un aveugle qui était coupé de ce monde, il vivait coupé du monde dans un monde de non-voyants, dans un monde obscur, et il n’avait jamais vu la lumière du jour. C’est une condition horrible. Et autre chose, s’il–si les médecins pouvaient faire quelque chose pour lui, ces derniers–il n’aurait pas pu accéder à cela parce qu’il était un mendiant. Il n’avait pas d’argent.
Eh bien, être pauvre et manquer d’argent, ce n’est pas agréable, mais être isolé dans un monde aveugle sans espérance et sans miséricorde, voilà une scène tragique que nous avons. Le pauvre homme en haillons n’avait aucune chance. Peut-être, s’il avait pu–si les médecins auraient pu l’opérer, il n’avait pas d’argent pour que cela se fasse.
J’ai beaucoup de respect pour les médecins, car je crois que Dieu les a envoyés sur terre pour faire certaines choses. Mais je me demandais simplement si jamais on pouvait placer un médecin sur la base du volontariat, comme un ministre devrait ou essaye...
23 J’ai consulté votre annuaire téléphonique cet après-midi, et j’ai découvert que vous avez environ mille médecins dans cette ville. Eh bien, je me demande tout simplement ce qui se passerait si ces opérations qui coûtent entre mille cinq cents et deux mille dollars pour une heure et demie de travail, si ces médecins recevaient une offrande d’amour pour cela. Je me demande combien de médecins nous aurions. Eh bien, c’est de cette manière que cela devrait se faire. Ça devait être la compassion, parce que vous travaillez sur votre semblable, les citoyens, votre frère, votre soeur.
Et je remercie Dieu pour de bons médecins. S’il vous faut une opération, et qu’ils pensent qu’il vous en faut une, vous pourriez leur donner quelques sous, ils le feront de toute façon. C’est le genre de médecin dont chaque ville a besoin.
24 Et peut-être, cette ville méchante, adultère, où vivait ce mendiant avait quelques-uns de ces aimables médecins, et aussi, il est possible qu’en ce temps-là ils n’eussent pas la connaissance pour savoir comment l’opérer.
Néanmoins, il était isolé dans le monde de ténèbres, il était aveugle et pauvre, et il mendiait. Et en ces jours-là, les mendiants circulaient partout dans les rues. Il y avait les lépreux qui ne pouvaient pas travailler, les aveugles, les boiteux, les infirmes, et tous les autres qui restaient dans la rue. Et un mendiant avait peu de chance de trouver quelque chose à manger. Peut-être l’homme qui sortait le matin avait une pièce de monnaie qu’il pouvait donner aux pauvres. Le premier qu’il rencontrait, il la lui donnait ; c’était tout. Ils ne prêtaient probablement pas attention au mendiant, parce qu’ils étaient tellement–un–un–nombreux, il y en avait tellement que les gens ne prêtaient même plus attention à eux.
25 Il était vraiment dans une–dans une condition horrible. Et le voici. Essayons de le dépeindre maintenant et juste de présenter un petit drame. Je peux l’imaginer dans la fraîcheur du jour, peut-être, ce pauvre vieil homme n’avait pas mangé depuis deux jours, il avait pris un bol de potage ou quelque chose comme ça qu’il avait eu avec la pièce de monnaie que quelqu’un lui avait donnée. Il était assis là à la porte. C’est encore très courant dans les pays orientaux de voir ces mendiants partout, ils sont encore là.
Et il était assis là à la porte, peut-être, un après-midi, ça avait été une journée chaude, il s’est accroupi à l’ombre. Les foules s’asseyaient, les pierres polies où beaucoup de gens venant de différentes parties du pays en passant à Jéricho... Imaginons donc un peu le vieux mendiant assis là avec ses vêtements usés, tremblant à l’ombre. Il ne savait pas quelle distance il devait parcourir pour se mettre au soleil. Peut-être qu’il allait se faire piétiner par un cheval s’il allait plus loin ; il était assis là, dans cette condition, sans espoir, sans secours, et il ne se doutait pas que là sur la route venait le salut.
26 Il est possible que cette personne assise ici ce soir ne soit peut-être pas dans une condition aussi désespérée que cet homme-là, mais elle ne se doute pas que juste ici dans l’heure qui va suivre, le salut sera là pour elle.
Il était assis là dans cette condition-là, et au bout d’un moment je peux l’imaginer qui commence... Imaginons qu’il est en train de réfléchir, peut-être qu’il a tendu la main et l’a placée sur le bord des pierres dans la rue et qu’il les frotte ; il se dit : «Il y a bien des années, Josué, le grand conquérant de l’armée de Dieu, conduisit les enfants d’Israël juste sur cette même route. Non seulement cela, mais juste ici, pas très loin de cette même porte, Josué se promenait un jour, et il rencontra un Homme qui avait Son épée nue et qui déclara être le Chef de l’armée de l’Eternel (Jésus-Christ Lui-même), qui se tenait en Personne juste hors de la ville. Sur cette même route, huit cents ans avant, Elie et Elisée avaient emprunté cette route pour se rendre au Jourdain, et Elie allait être enlevé dans un tourbillon, et Elisée a reçu une double portion de son Esprit, sur cette même route.»
Mais le pauvre vieux mendiant aveugle, le sacrificateur, le clergé de ce temps-là lui avait dit : «Ces jours-là sont passés. Les jours des miracles sont passés. Cela fait huit cents ans, Dieu ne s’occupe plus des gens de cette manière-là. Nous avons d’autres choses que nous dirigeons ou plutôt vers lesquelles nous allons, alors nous n’avons plus ces choses-là.»
27 Et c’est ce qu’on lui avait enseigné, mais quelqu’un, peut-être une petite fille, ou un petit garçon, qui était passé et lui a dit qu’il y avait un prophète en Galilée qui pouvait faire voir les aveugles, et faire marcher les boiteux. Le sacrificateur avait refusé de Le recevoir, le clergé de ce temps-là ne voulait rien avoir avec Lui. C’était seulement les pauvres et les nécessiteux qui Le suivaient. Il n’avait pas une grande assemblée, une assemblée de cinq mille personnes, alors que le sanhédrin pouvait réunir deux millions de personnes. Mais Son assemblée à Lui n’était pas tellement grande–grande, mais ce sont ceux-là qui L’aimaient, qui croyaient en Lui et qui Le suivaient. Et je peux imaginer le vieux prophète–ou plutôt le vieux mendiant couché là, disant : «Oh ! si seulement ce prophète-là pouvait passer par ici.»
«Cherchez et vous trouverez. Frappez et l’on vous ouvrira. [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] Demandez et vous recevrez.»
Il régnait un grand silence. Tout à coup, les gens commençaient à passer en murmurant.
Le vieux mendiant aveugle se demandait : «De quoi–de quoi parlent-ils?»
Et au bout d’un moment, la foule a augmenté. Eh bien, de ce côté-ci il y avait des ricanements et des moqueries. Il entend quelqu’un crier : «Ah ! ah ! ah ! Voici venir ce fanatique religieux, ce saint exalté.» Qui était-ce? C’était le prêtre, le plus élevé du clergé, il dit : «Voici venir ce faiseur de miracles. Prenons quelqu’un par ici maintenant, et voyons s’Il peut le guérir. Alors nous croirons en Lui.»
Et je peux imaginer l’aveugle Bartimée se dire : «Je me demande si c’est ce Prophète de Galilée. Mais qui suis-je? Je ne suis qu’un mendiant. Eh bien, avec toute cette foule maintenant, ces centaines de gens, ces multitudes de gens par ici, qui grouillent, eh bien, il me serait impossible d’avoir une audience avec cet Homme. Mais si seulement je peux parvenir jusqu’à Lui, je Lui demanderai quelque chose.»
«Heureux ceux qui ont faim et soif, car ils seront rassasiés.»
Le voilà, et après un moment, j’entends le prêtre ricaner et rire. J’entends les jeunes gens rire. Mais au bout d’un moment, j’entends un autre groupe passer à côté ; ils chantent : «Hosanna, hosanna.» J’entends une petite femme, qui s’est peut-être penchée, dire : «Vous savez, je L’aime. Mon petit enfant qui était aveugle, lorsqu’Il lui a imposé les mains, il a recouvré la vue.»
J’entends une autre petite femme dire : «Mon fils était infirme, et Il a prié, et mon petit garçon a été guéri.»
Et j’entends l’aveugle Bartimée dire : «Qui est-ce qui passe?»
Quelqu’un a dit : «C’est Jésus de Nazareth, le Prophète de Galilée.»
28 Oh ! voilà, l’occasion s’était présentée, mais comment pourrait-il attirer l’attention de cet Homme, alors que tout le monde désirait Le voir, toute cette foule? Les uns se moquaient de Lui, les autres Le ridiculisaient, les autres Le défiaient de guérir quelqu’un, comme le diable l’avait fait lorsqu’il L’avait rencontré pour la première fois : «Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pain. Que je Te voie faire cela.»
Ce même esprit vit encore aujourd’hui : «Accomplis un miracle ici. Guéris celui-ci, que je te voie faire cela.» Lorsque vous entendez cela, vous comprenez d’où cela vient.
«Change ces pierres en pain, et je Te croirai. Montre-moi un miracle.» A la croix, ils ont dit : «Descends, dégage Tes mains et descends. Nous Te croirons.» Voyez-vous ce même esprit? Or, l’homme sur lequel était cet esprit est mort, mais cet esprit vit encore dans d’autres hommes. L’Esprit de Dieu qui était sur Jésus-Christ vit encore et règne aujourd’hui. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Son Esprit va d’une personne à une autre.
29 Elisée reçut une double portion de l’esprit d’Elie. Ce même Esprit est venu sur Jean-Baptiste, et il est prédit qu’il doit revenir dans les derniers jours : le même Esprit. Ces hommes sont morts, mais l’onction qui était sur eux...
Les pharisiens, les moqueurs, les railleurs, les religieux, qui se moquaient de la guérison et de la puissance, le diable étant leur guide, ils disaient : «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu...»
Et ils disent la même chose : «Si tu es un faiseur de miracles. Si tu peux faire ceci. Si tu crois que Jésus est encore le même, fais quelque chose, que je t’y voie.»
30 Il y a quelques mois, j’étais quelque part à Jonesboro, dans l’Arkansas. Un homme est passé à la radio et a dit : «Je donnerai mille dollars en liquide pour une seule déclaration qui peut être prouvée, qu’une seule personne ait déjà été guérie par la guérison divine.»
Eh bien, je restais dans un motel, et j’ai reçu environ cinquante coups de fil en une demi-heure. Des gens qui avaient été guéris et qui s’étaient fait accompagner des médecins, ils disaient : «Allez-y ! Allons prendre ces mille dollars. Vous pouvez les prendre pour l’oeuvre missionnaire.»
Alors nous avons tout simplement réuni un groupe et nous sommes allés là-bas. J’ai frappé à la porte de cet homme ; j’ai dit : «Je suis venu recueillir ces mille dollars.»
Et il a dit : «Qui êtes-vous?»
J’ai dit : «Je suis frère Branham.» Oh ! Il m’avait vraiment critiqué à la radio.
Il a dit : «Bien...»
J’ai dit : «Vous savez, vous disiez que vous parlez quand la Bible parle, et que vous vous taisez quand Elle se tait. J’aimerais voir à quel point vous pourrez vous taire dans quelques minutes.» Et j’ai dit : «Maintenant, vous avez dit ...» J’ai dit : «Voici la preuve pour la guérison du cancer, de la cécité, et de tout, et voici des médecins qui les accompagnent pour témoigner. Je réclame les mille dollars.»
«Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi.» Il a dit : «Révérend Branham, voici de quoi il s’agit.» Il a dit : «Nous–nous–notre quartier général est à Abilene, dans le Texas, alors je vais vous dire ce que nous devons faire.» Il a dit : «Nous allons prendre une petite fille, et nous irons là-bas. Nous allons la mettre dans un bureau où sont tous les ministres et nous lui couperons le bras et vous allez guérir cela, alors nous vous donnerons les mille dollars.»
J’ai dit : «Vous souffrez d’un grave cas de déficience mentale.» J’ai dit : «N’importe quel homme qui aurait une telle idée...» J’ai dit : «Vous êtes oint de l’esprit de votre père, le diable, qui a dit à Christ : ‘Accomplis un miracle devant moi, et je Te croirai’. Je crois qu’Il guérit, même si je ne voyais jamais cela de toute ma vie. Je le croirais quand même parce que la Bible le dit.» Ainsi c’est de cette manière qu’ils s’échappent en faisant des contorsions comme un ver dans un citron. Très bien.
31 Mais il n’y a rien là-dedans. N’ayez pas peur ; l’Evangile va de l’avant, et la puissance de Dieu va de l’avant, et les gens sont guéris jour après jour dans le monde entier. Jésus-Christ est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Si je priais pour cinq cents personnes ce soir et que toutes les cinq cents personnes mouraient le matin, demain soir je prierai encore pour les malades. C’est juste...?... pense, c’est ce que dit la Parole de Dieu. Si je mourais ce soir, et que la route... Si cinq cents personnes mouraient ce soir, que d’ici cinquante ans, elles se levaient à la résurrection et disaient : «Frère Branham, ne croyez pas en Jésus-Christ. C’est faux, c’est faux, c’est faux. Acceptez quelque chose d’autre», je dirais toujours : «Laissez-moi mourir en Jésus. Je crois en Lui. Il est mon coeur ; Il est ma vie ; Il est tout ce que je possède.» Et je crois que chaque croyant en Christ, qui est né de nouveau a la même attitude à l’égard de Jésus-Christ. Amen.
Que nous vivions, que mourrions, que nous coulions, ou que nous nous noyions, nous croirons toujours en Jésus-Christ ; Sa Parole est réelle. Peu importe que je puisse amener cela à s’accomplir ou pas, ou que ma foi soit assez forte ou pas, les Paroles de Jésus sont toujours vraies.
32 Maintenant, dans ce cas-ci ce mendiant aveugle n’avait personne pour l’aider. Je peux l’entendre se lever et dire : «Aie pitié de moi, Jésus de Nazareth !»
Quelqu’un dit : «Assieds-toi ! Eh bien, Il n’a pas de temps à perdre avec toi.»
Certains ont dit : «On t’a enseigné que les jours des miracles sont passés. Assieds-toi ! Ne... Pourquoi cries-tu? Tu te comportes comme un fanatique, comme quelqu’un de cette bande de Galiléens.» Et c’étaient de pauvres gens ordinaires. «Pourquoi perds-tu ton temps avec eux? Assieds-toi ! Personne ne te donnera plus une pièce de monnaie, si on te surprend en train de crier et de faire des histoires comme cela. Ton tout petit–maigre revenu va être...»
Mais au fond de son coeur quelque chose lui a dit : «Si je peux avoir une audience avec cet Homme, ce sera fini. Si je peux L’entendre dire...»
33 Eh bien, Jésus était en route vers le Calvaire. Tout croyant de la Bible sait cela. Et Jésus était Dieu dans la chair, le Roi de tous les prophètes. Et étant oint de cet Esprit, Il savait la chose qui L’attendait. Qu’Il devait aller quelque part à Jérusalem et être livré entre les mains des méchants, et que Ses propres enfants allaient Le crucifier. Et Il devait mourir, et Gethsémané L’attendait.
Je peux L’imaginer, voir Son visage calme, impassible, fixe, alors qu’une brise souffle, alors qu’Il marchait devant une foule comme cela, se dirigeant vers le Calvaire. Le poids du monde, la rédemption du monde entier, le ministère de guérison que nous avons dans le monde aujourd’hui reposait sur Ses épaules. La guérison du membre du Congrès Upshaw reposait sur Ses épaules. La guérison de mes yeux aveugles reposait sur Ses épaules. Les péchés de ma vie et de votre vie reposaient sur Ses épaules. Et les péchés de chaque mortel, qui est mort sur la surface de la terre, reposaient sur Ses épaules.
Comme Il était préoccupé pendant qu’Il marchait ! Il n’entendait pas les hurlements de la foule, les uns riant et se moquant de Lui, et probablement Lui jetant des pommes pourries ou quelque chose comme cela pendant qu’Il avançait. Les autres criaient : «Hosanna ! Hosanna !» Quel tumulte d’un mélange de cris d’une multitude de gens ! Comment pouvait-Il entendre ce pauvre aveugle qui était loin contre le mur? Mais celui-ci avait la foi.
34 Et comme Il s’éloignait en marchant, l’autre criait : «Fils de David, aie pitié de moi !»
Il y avait probablement mille–mille personnes ou plus qui criaient au même moment, disant différentes choses. Ce n’était pas–je ne–je doute que Jésus ait même entendu sa voix. Mais ce qui s’est passé, malgré tout ce qui était en face de Lui, la foi de ce seul homme, lui qui était dans cette condition-là, un pauvre, un proscrit, un aveugle et un mendiant, L’a arrêté au milieu de la route. La foi d’un mendiant L’a arrêté, malgré tout ce qui était devant Lui. Il s’est arrêté, Il a regardé autour de Lui pour voir de qui il s’agissait. Il a senti ce petit coup de la foi tirer quelque chose de Lui. Alléluia !
Il est le même ce soir. La foi d’une personne dans cette salle peut faire qu’Il se retourne et arrête les cieux.
La foi d’un homme. Il ne pouvait entendre ceux qui criaient, qui hurlaient, mais quelqu’un avait la foi comme la femme qui avait touché Son vêtement. Il a regardé autour de Lui dans l’assistance. Il a regardé et a vu cet homme-là, Il a dit : «Que veux-tu que Je fasse pour toi?» Oh ! cela me fait frémir, de Le voir faire la même chose juste ici. «Que veux-tu que Je fasse pour toi?»
35 Quelqu’un a dit : «Eh bien...» Les gens, probablement la dame qui avait le petit bébé qui avait été guéri, a dit : «Oh ! Il t’appelle. Prends courage.»
Maintenant remarquez, alors qu’il était totalement aveugle, assis là vêtu de guenilles, pauvre, Jésus a dit : «Approche.»
Comme va-t-il s’approcher, aussitôt la raison dirait : «Oh ! Maître, Tu m’as demandé de faire quelque chose que je ne peux pas faire. Comment saurai-je Te trouver au milieu de toute cette multitude de gens qui sont là en train de hurler, de crier, et de faire des histoires? Et–et comment vais-je Te trouver?» C’est ce que la raison aurait dit, il n’aurait pas pu Le trouver, mais la foi est entrée en action. C’est ce qu’il nous faut ici ce soir : que la foi entre en action. La foi bondit et saute. «Peu importe où Il est, Il m’a invité à approcher, j’y vais.» Voilà !
36 Je peux voir ces vieux petits bras très minces et osseux traverser ce vêtement usé, se tendre vers l’assistance comme cela, jeter par terre ce vêtement usé, sachant qu’il n’en aurait plus besoin. Oui, monsieur. Ses vieux petits bras osseux se sont tendus comme cela, et le voilà qui traverse cette multitude de gens en titubant, essayant de Le trouver.
Jésus a dit : «Que veux-tu que Je fasse pour toi?»
Eh bien, il n’a pas dit : «Seigneur, je sais que les jours des miracles sont passés. Point n’est besoin de chercher à faire cela, mais je sais que Tu es une Personne céleste, c’est pourquoi j’aimerais Te demander combien beaux seront les Cieux. Quel genre de harpes va-t-on jouer Là-haut? Est-ce que je vais voir après que je serai arrivé Là-haut?»
L’aveugle Bartimée savait qu’il verrait lorsqu’il arriverait au Ciel. Il savait qu’il saurait toutes ces choses quand il arriverait là-bas. Mais le problème c’est qu’il avait un besoin à ce moment-là. Et il savait que Christ était capable d’y pourvoir. Il a dit : «Seigneur, que je recouvre la vue.»
37 Oh ! mon Dieu ! peu importe ce que les gens disaient à savoir que les jours des miracles sont passés ; que cela est impossible. Il a dit : «Seigneur, ma foi T’a arrêté. J’ai obtenu une audience avec Toi. Maintenant, que je recouvre la vue.»
Jésus n’a pas dit : «Je vais te guérir.» Jésus a dit : «Ta foi t’a sauvé.» Alléluia ! Alléluia signifie gloire à notre Dieu. Il est digne de toutes les louanges. Il a dit : «Ta foi t’a sauvé.» En d’autres termes : «Si tu as suffisamment de foi, malgré cette multitude de cris qui sont mêlés, et tous ces demi-croyants, ces demi-critiqueurs, pour que je puisse la sentir Me tirer et M’arrêter, c’est une foi suffisante pour te guérir. Ta foi t’a sauvé.»
Eh bien, il s’est mis à se réjouir ; peut-être qu’il ne voyait pas encore. La multitude a continué. Jésus s’est retourné et a carrément continué Sa marche. Si–si cet homme avait autant de foi, il se rétablirait. Alors Il–je peux Le voir descendre la route, aller alors droit vers le Calvaire. Et la foule de gens ne cesse de devenir plus calme, plus calme, et à se calmer. Et je vois l’aveugle Bartimée qui se tient là, disant : «Eh bien, Il m’a dit que j’allais recouvrer la vue. Je le crois. Je–je n’ai jamais vu ma main, mais–mais–mais je crois que je vais recouvrer la vue.» Au bout d’un moment il a dit : «Je la vois maintenant. Je commence à voir. La voici, je vois mes doigts.» Et il s’en est allé sur la route en se réjouissant, en louant Dieu pour avoir recouvré la vue. Bien sûr. C’est ce que Jésus avait dit.
38 Si sa foi a été suffisamment forte pour toucher Jésus, et suffisante pour L’arrêter et avoir une audience avec Lui, alors Jésus est en train de passer par ici ce soir. Chaque homme et chaque femme ici qui souffre d’une maladie peut avoir une audience avec Lui. Je déclare que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il est vivant parmi nous aujourd’hui. Et les mêmes choses qu’Il a faites en ce temps-là, Il les fait ce soir. Quand Il est ressuscité, Il a regardé Son assistance, Il connaissait les secrets de leurs coeurs. Est-ce juste? C’est ce qu’Il fait ce soir.
Et Il a dit–Il a parlé à la femme au puits ; Il savait où se trouvait son problème.
Il a dit à Philippe, lorsqu’il est venu vers Lui, il avait rencontré le–avait amené Nathanaël, Il a jeté un coup d’oeil sur l’assistance, Il a dit : «Nathanaël, tu es un homme de bien. Un homme honnête.»
Celui-ci a dit : «Comment m’as-Tu connu?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Il a dit : «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»
Jésus a dit : «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois?» Il a dit : «Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.» Parce qu’il croyait.
39 J’ai lu une fois une histoire sur l’aveugle Bartimée. C’était peut-être une fiction. Je vais la raconter avant que nous priions pour les malades.
Elle dit que l’aveugle Bartimée, en ce temps-là, avait deux petites tourterelles, et elles faisaient de petits tours pour les touristes. Il leur fallait faire quelque chose de captivant, sinon ils ne pourraient pas vivre–ne pourraient pas gagner de quoi vivre, ils mendiaient, et ils n’avaient aucun autre moyen pour vivre. Alors elle dit : «Ces petites tourterelles faisaient des culbutes.» Elle dit : «Un soir–il avait une petite fille, et elle est tombée malade. Alors il est sorti pour prier, et il a dit : ‘Seigneur, si Tu guéris ma petite fille, demain je T’offrirai ces deux tourterelles en sacrifice.’ Alors le Seigneur a guéri la petite fille, et Bartimée a tenu parole. Quelques soirs plus tard, sa femme tomba malade. Elle souffrait d’une maladie mortelle. Et les médecins ne pouvaient rien faire pour elle. Alors il est encore sorti pour prier, et il a dit : ‘Seigneur, si Tu guéris ma femme, je T’offrirai mon agneau.’» En ce temps-là... aujourd’hui les aveugles sont conduits par des chiens. En ce temps-là, ils étaient conduits par des agneaux. Alors il a dit : «Je t’offrirai mon agneau.» Alors le Seigneur a guéri sa femme. Et le lendemain il était en route vers le temple pour accomplir ce qu’il avait promis au Seigneur, à savoir offrir son agneau.
Et Caïphe était le souverain sacrificateur en ce temps-là, il a dit : «Aveugle Bartimée, où vas-tu?»
Il a dit : «Oh ! souverain sacrificateur, hier soir ma femme avait une maladie mortelle. Et j’ai prié le Seigneur, et je Lui ai demandé d’épargner sa vie, et j’ai promis de Lui offrir mon agneau.» Et il a dit : «Il a épargné sa vie, et je me rends au temple pour offrir mon agneau en sacrifice à l’Eternel Dieu.»
«Oh, a-t-il dit, aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau. Je vais te donner de l’argent pour acheter un agneau.»
Il a dit : «Oh ! souverain sacrificateur, je n’ai pas promis à Dieu un agneau ; je Lui ai promis cet agneau-ci pour le sacrifice.»
Il a dit : «Tu ne peux pas offrir cet agneau. Cet agneau, ce sont tes yeux.»
Et elle dit : «L’aveugle s’est redressé ; il a dit : ‘Oh ! souverain sacrificateur, Dieu pourvoira à un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée’. Ce jour-là, il était assis là en train de trembler dans le froid, il a entendu ce bruit qui venait sur la route, Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.»
40 Il a pourvu au même Agneau ce soir pour chaque homme et chaque femme qui est... garçon ou fille qui est dans cette salle, qui veut recevoir cet Agneau. Dieu a pourvu à Lui en tant que l’Agneau immolé avant la fondation du monde, qui fut blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, sur Qui le châtiment qui nous donne la paix est tombé, par les meurtrissures Duquel nous sommes guéris. Prions.
Père, nous Te remercions pour le Seigneur Jésus, pour Ses tendres bénédictions, et de ce que nous Le voyons. Combien j’aurais aimé Le voir ce jour-là quand Il parlait à Philippe et à Nathanaël ! Combien cet Israélite a dû être étonné lorsqu’il s’est tenu devant Lui, et qu’Il savait où il avait été ! Que doit s’être dit la femme au puits lorsqu’Il lui a dit : «Va chercher ton mari»?
Elle a dit : «Je n’en ai pas.»
Il a dit : «Tu en as eu cinq.»
Comment ces gens ont dû se sentir? Et lorsque les disciples raisonnaient dans leur coeur, essayant de garder cela secret, Il s’est retourné et Il a dit : «Pourquoi raisonnez-vous dans votre coeur?»
Il savait où se trouvait un poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche pour payer l’impôt, Il savait où deux mules étaient attachés à la croisée des chemins. Et cependant, en toute humilité Il s’est tenu devant le sanhédrin et a dit : «Je ne fais rien, sinon ce que Mon Père Me montre.»
Ayant vu Son ami Lazare tomber malade, et sachant ce que les gens allaient dire, Il s’est éloigné. On L’a envoyé chercher pour qu’Il vienne prier pour lui, et Il a continué à s’éloigner. Mais quand Il retournait, Il a dit : «Eh bien, notre ami Lazare dort.» Et alors, Il a dit à Ses disciples qu’il était mort, et Il a dit : «A cause de vous, Je suis heureux de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais aller le réveiller.» Et à la tombe Il a dit : «Père, Je Te remercie de ce que Tu as... M’exauces toujours, mais Je dis cela à cause de ceux qui M’entourent.» Tu savais que Tu Lui avais montré et que Tu Lui avais dit de quitter le pays, pour laisser ceci arriver, et de revenir ensuite pour ressusciter Lazare des morts.
41 Je suis très heureux ce soir, Seigneur, d’être compté parmi les milliers de gens à travers le monde ce soir, dont le nom est écrit dans Ton Livre. Et je Te connais par la communion au travers de Tes souffrances et de Ta résurrection, par la grâce étonnante à laquelle Tu as pourvu.
Et par un don divin, qui m’a été donné par un Ange, et Tu sais tout à ce sujet, Seigneur... Je suis indigne, mais Tu m’as dit d’aller manifester ces signes aux gens, de leur annoncer Ta Venue imminente. Et ceci serait un signe à savoir que je prierais pour les malades, et que rien ne résisterait à la prière. Et combien Tu as confirmé cela entre–partout dans le monde chez les potentats, les monarques, les rois, et je crois que cela est encore sous une forme mineure. Et maintenant, Tu nous envoies de nouveau en Afrique, et là dans ces pays.
Ô Seigneur, je crois que Tu viens bientôt. Oh ! en cette chaude soirée, ici à Des Moines, que Jésus, le Fils de Dieu qui a accompli ces choses, et qui, peu avant de s’en aller, a dit : «Vous ferez aussi ces oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde» ...
Viens, Seigneur Jésus, et oins Ton serviteur. Et oins Tes enfants qui sont assis ici, qui travaillent ensemble par le Saint-Esprit, afin que cette soirée soit une soirée inoubliable, à cause de la guérison des malades, du salut des âmes, et du scellement des gens. Car nous le demandons au Nom de Ton Bien-Aimé Enfant, le Seigneur Jésus-Christ, notre Sauveur. Amen. Que le Dieu des Cieux vous bénisse à jamais.
42 Si le Saint-Esprit veut nous oindre en ce moment. Je vais... J’ai remarqué hier soir que cela ne me fera aucun bien de mélanger les assistances comme cela. Je ne peux pas le faire. Vous devez soit vous en éloigner totalement, soit accepter cela totalement.
Et maintenant, je–je vous dis ceci, si je ne vous revois plus jamais de ce côté de la rivière, j’aurai le même témoignage de l’autre côté. Je vous ai dit la vérité. Je vous ai témoigné la résurrection du Seigneur Jésus. Je vous ai dit que ce qu’Il était autrefois, Il l’est ce soir. Et la seule manière qu’Il peut se présenter ici sur terre, c’est par vous et par moi. Et Dieu a établi dans l’Eglise les uns pour être des docteurs, les autres pour être–pour différents dons, les autres comme prophètes, et les autres comme différentes choses. Il les a établis dans l’Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise. Vous croyez tous cela, n’est-ce pas? Vous a-t-on enseigné cela? C’est l’Ecriture. On pourrait essayer de dire que c’était pour un autre jour, mais nous essayons seulement de nous cacher derrière notre incrédulité. La Parole de Dieu ne change jamais. Elle ne change pas ; Elle est la même hier, aujourd’hui et éternellement.
43 Et, ce soir, le Seigneur Jésus nous a donné à nous les pauvres gens ce privilège ce soir de voir la résurrection du Seigneur Jésus. J’aimerais vous demander quelque chose : Si vous veniez à Des Moines ce soir, et que quelqu’un vous dise que le Seigneur Jésus était ici à Des Moines... Différentes églises ont leurs différentes doctrines, leurs différentes théories, théologies qu’elles enseignent. Et chacune d’elles... Je n’ai pas le droit de condamner ce qu’elles font. Tout homme qui respire le souffle de Jésus-Christ, qui murmure Son Nom, je l’aime. Je pourrais être en désaccord avec lui sur la doctrine, mais malgré tout, s’il est un enfant de Dieu, c’est mon frère, et je l’aime. Qu’il soit baptiste, presbytérien, orthodoxe, quoi qu’il puisse être, cela ne change rien pour moi. Je n’ai jamais adhéré à une dénomination, et je n’en ai pas l’intention. J’ai l’intention de me tenir à la brèche et de dire que nous sommes des frères. Brisons nos différences, allons et aimons-nous les uns les autres, et le monde viendra à Jésus-Christ lorsque nous ferons cela. Mais aussi longtemps qu’il y aura ces guerres et tout parmi nous, comment les gens pourront-ils croire?
Eh bien, aimons-nous les uns les autres. Je crois ceci, mes amis, avec foi, et vous avez entendu mon histoire, que ma famille avant moi, bien sûr, c’étaient des catholiques. Ils venaient de l’Irlande, les Branham et les Harvey, ma mère et mon père. Et ils... Je n’ai jamais reçu d’enseignements religieux. Mais lorsque...
44 La première chose dont je peux pratiquement me souvenir dans ma vie, c’était une vision. C’est un don. C’est juste comme je l’ai probablement expliqué ici, lorsque j’étais ici auparavant, je ne sais pas. C’est juste comme quand on fait un songe, certaines personnes font des songes. D’autres pas. Lorsque vous faites un songe, c’est votre subconscient. Et un homme ordinaire, disons que son subconscient écoute premièrement cela, pendant qu’il est ici. Lorsque vous vous endormez, vous rêvez des choses que vous aviez faites pendant que vous étiez éveillé. Lorsque vous vous réveillez, vous vous souvenez des choses dont vous avez rêvé il y a même plusieurs années. Est-ce juste? Certaines personnes ne rêvent jamais. Une personne qui dort profondément ne rêve pas. Ce sont les gens qui ne dorment pas très profondément qui font des songes. Ils ne sont pas complètement éveillés, plutôt ils ne sont pas complètement endormis.
Or, l’homme qui ne fait pas des songes, son subconscient est complètement éloigné de lui. Eh bien, un tel homme n’y peut rien non plus, parce qu’il–cet homme ne peut pas dire : «Eh bien, je vais vous faire un songe ce soir.» Il ne pourrait pas le faire.
Et cet homme qui n’a jamais fait de songe ne pourrait pas dire : «Eh bien, je–je vais faire un songe», ni celui-ci : «Je ne ferai jamais un autre songe.» Tout cela est déterminé par Dieu. Et je crois que Dieu utilise les songes. Pas tous les songes, bien sûr, et ce n’est pas très précis quand il n’y a pas d’interprète. Mais maintenant, un voyant, quelqu’un qui voit des visions, son subconscient n’est ni là derrière ni ici. Les deux sont carrément ensemble. Il n’y peut rien. C’est Dieu qui a fait cela.
Croyez-vous que ces dons sont innés chez l’homme, qu’il naît avec cela dans ce monde? C’est ce que dit la Bible. C’est juste.
45 Oh ! il y a des dons dans l’église, par exemple vous direz : «Les dons de prophétie. Qu’en est-il de cela?» Oui, frère, mais il y a une grande différence. Il est question de ce que les gens font ; les gens de la dernière pluie se sont éloignés. Vous avez essayé de faire d’un don de prophétie un prophète. C’est complètement différent. Un don de prophétie doit être jugé par deux ou trois juges, mais un prophète n’a jamais besoin d’être jugé. Ses paroles sont la vérité depuis le berceau.
Jésus-Christ était le Fils de Dieu depuis le jardin d’Eden, la Postérité de la femme. Croyez-vous cela? Il n’avait rien à faire avec cela ; c’est Dieu qui avait déterminé cela.
Je crois que Moïse était né prophète lorsqu’il est sorti du sein de sa mère. Croyez-vous cela? Il ne pouvait rien au fait qu’il était Moïse. Dieu l’avait fait Moïse. Est-ce juste?
Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant qu’il naisse, Esaïe l’avait vu, et il a dit qu’il était la voix de celui qui crie dans le désert. Il avait vu cette naissance-là. Il devait être appelé du nom de Jean, car on ne pouvait pas lui donner un autre nom. Son père avait été frappé de mutité parce qu’il avait douté de l’Ange. Est-ce juste? Comment pouvait-il faire autrement? C’était la prédestination, la préordination. Lisez le livre des Ephésiens, il met–il met les choses dans l’ordre.
46 Jésus a dit à Ses disciples : «Je vous ai connus avant la fondation du monde.» Avant la fondation du monde, Il savait cela. Tout a été fait et ordonné à ce moment-là. Nous travaillons simplement conformément aux grandeurs–au programme plutôt.
Jérémie, Jérémie 1.4, je crois que c’est ça, ou 4.1, j’ai oublié. Je pense que c’est 4.1. Dieu a parlé à Jérémie, Il a dit : «Avant même que tu fusses formé dans le sein de ta mère, Je te connaissais, Je t’avais consacré, et Je t’avais établi prophète des nations.» Est-ce juste? Comment pouvait-il y avoir été pour quelque chose? Ce n’est pas ça. Vous naissez ainsi, si vous n’arrivez pas à faire...?...
47 Jésus a dit : «Qui par ses inquiétudes peut ajouter une coudée à la durée de sa vie?» Vous ne pouvez pas rendre vos cheveux noirs ou blancs. Vous êtes ce que vous êtes par la grâce de Dieu. C’est Dieu qui a fait ceci, ce n’est pas vous qui l’avez fait. Lorsque vous essayez de vous rendre singulier... J’aurais aimé me changer en un Billy Graham, mais cela ne me servirait à rien. J’aurai aimé me changer en un–frère Mitchell, me tenir là et prêcher comme cela, ou Ern Baxter. Cela ne me servirait à rien, je dois être William Branham.
J’ai souvent pensé à frère Roberts et à ceux qui prient pour les malades, et à la manière dont ils le font, à la manière dont ces frères partent prier pour de grandes foules. Il n’y a jamais eu de réactions, s’ils n’ont pas prié pour celui-ci et celui-là. Mais je ne peux pas être un Oral Roberts. Dieu a fait d’Oral Roberts ce qu’il est. Je dois être William Branham. Et Oral Roberts ne peut pas être William Branham. Ainsi nous sommes ce que nous sommes par la grâce de Dieu. Ainsi tout cela est établi dans l’Eglise pour le perfectionnement de celle-ci, pour que tout concoure au bien de ceux qui aiment Dieu.
48 Eh bien, un voyant, son subconscient est comme cela. Il se tient là ; il ne va pas dormir. Il a ses deux yeux grands ouverts, mais il est dans un autre monde. Et lorsqu’il en ressort, il se souvient de ce qu’il a vu là-bas pendant un laps de temps peut-être. Et ensuite–ensuite aussitôt, vous savez, il y entre de nouveau. Et il n’a rien à voir au fait qu’il voit des visions. C’est Dieu seul qui fait cela.
Mais c’est exactement la même chose que Jésus-Christ a faite lorsqu’Il était ici sur terre. Maintenant, ce n’est pas quelque chose de mythique ; c’est l’Evangile de Jésus-Christ. Dites-moi une seule fois que Jésus a profussé–professé faire des miracles. Jamais. Il a dit : «Je ne fais que ce que Mon Père Me montre.» Est-ce juste? Saint Jean 5.19. Lorsqu’Il a passé tous ces infirmes, Il n’a guéri qu’un seul homme, et ce dernier pouvait marcher. Il n’était pas infirme. Il était couché sur un grabat, ça pouvait être la prostatite. Il l’a guéri, et l’homme est rentré chez lui en se réjouissant. Lorsque les Juifs L’ont interrogé sur le fait que cet homme portait son lit et tout, Jésus a dit : «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. C’est ce que Je fais aussi. Le Père agit, et Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres termes : «Je ne peux rien faire jusqu’à ce que Dieu Me le montre premièrement, puis Je vais alors le faire.» Et Il a dit : «Vous ferez aussi ces choses que Je fais, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Et cela fait de Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce juste? Acceptez donc cela ce soir, mes amis.
49 Et si le Seigneur Jésus venait sur la scène ce soir comme vous L’avez vu hier soir rendre la vue aux aveugles, faire entendre les sourds, dire aux gens des choses qu’ils ont faites il y a des années, peut-être des péchés qu’ils gardent dans leur âme, qu’ils n’ont jamais confessés... Il citera cela immédiatement, et leur dira de quoi il s’agit. Si ce n’est pas le même Esprit qui était sur les apôtres, je–je–je ne connais pas la Bible. Si ce n’est pas le même Esprit qui était sur le Seigneur Jésus-Christ, je ne connais pas la Bible. C’est le même Esprit, et observez-En les fruits. Cela produit le salut pour la gloire de Dieu.
Maintenant, s’Il venait ce soir et accomplissait la même chose, combien ici partiront en disant : «Je crois de tout mon coeur que Jésus est ressuscité des morts»? Faites voir vos mains. S’Il venait juste ici dans cette salle ce soir, et qu’Il s’abaisse, s’humilie et opère parmi nous de pauvres gens, avec exactement les mêmes choses qu’Il avait faites autrefois en ces jours-là, allez-vous L’accepter? Allez-vous le faire? Et le Seigneur vous bénira.
50 Maintenant, s’Il... A ce que je sache, il n’y a pas une seule personne dans cette salle que je connaisse en ce moment, à l’exception de frère Mitchell, qui est juste là. Ma femme est quelque part ici, mes deux fillettes et mon fils. Mais à part ceux-là, je ne vois pas un seul visage que je reconnais. Et il n’y a peut-être pas une seule personne ici que je connais. Mais il n’y a personne parmi vous ici que Jésus ne connaissait avant sa naissance. Et peut-Il–s’Il peut revenir et vous dire ce que vous étiez, et ce que vous avez fait, et où se situent vos problèmes, si alors Il peut vous dire ce qui sera... Si c’est ainsi, nous croyons qu’il en sera ainsi. Cela... Vous savez qu’il en est ainsi. Vous savez si c’est juste ou pas. Si donc c’est vrai, alors c’est vrai. Et nous devrions partir heureux et en nous réjouissant.
51 Souvenez-vous de ce qu’a dit Jésus : «Va, et» ne fais plus quoi? «Ne pêche plus (Est-ce vrai?), sinon quelque chose de pire t’arrivera.» Qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. C’est l’exacte vérité.
J’ai entendu quelqu’un l’autre jour qui essayait de prêcher sur le blas-... blasphème du Saint-Esprit. Il a dit : «Un chrétien ne peut pas blasphémer contre le Saint-Esprit.» Je–et ensuite il s’est retourné et il a lu Hébreux 6.
Je me suis dit : «Oh ! frère, [il est impossible que] celui qui a été une fois éclairé, et qui a eu part au Saint-Esprit, s’il tombe, qu’il soit renouvelé et amené à la repentance.» Bien sûr, il peut blasphémer contre le Saint-Esprit.
Jésus a dit qu’ils avaient blasphémé contre le Saint-Esprit, parce qu’ils L’avaient traité de démon.
52 Ecoutez ceci, Hébreux 10 dit ceci : «Celui... (Je termine). Celui qui pèche volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché.» Hébreux 10, je crois, le verset 47. Est-ce juste? «Celui qui pèche volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché, mais le jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles.»
Maintenant, celui qui fait quoi volontairement? «Celui qui pèche.» Et qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. Celui qui tourne le dos à la vérité quand elle lui est présentée, il ne reste plus de sacrifice pour le péché. Avez-vous déjà lu que–comme cela? Celui qui doute volontairement, après que la vérité lui a été présentée, du fait que son église croit d’une manière différente, c’est à ce moment-là que vous traversez la ligne. Celui qui pèche volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
53 Il a la connaissance de la vérité, mais il refuse de l’accepter. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est l’Ecriture. C’est juste. Ne pèche plus–dou-... [Espace vide sur la bande]... arrivera. Lorsque cet ennemi vous quitte, et qu’ensuite vous vous en allez, et que vous laissez quelqu’un vous dissuader, et dire : «Eh bien...», vous ressentez une petite douleur et vous dites : «Eh bien, peut-être que ce n’était pas vrai.» Frère, quelque chose de pire est en route.
Tenez ferme comme le rocher des âges, et réclamez la puissance du Seigneur Jésus-Christ, soyez guéri et vous recevrez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse, ce soir.
54 Maintenant, je ne vais pas essayer d’appeler toute cette ligne...?... Combien de cartes de prière as-tu distribuées? Quelle–quelle série était-ce? X. Très bien, il a dit qu’il a distribué la série X. Je vais appeler à partir d’un certain numéro. C’était quoi encore? Je vais juste en appeler quelques-unes. Com-... combien? Cent. Eh bien, il y a ici cent cartes de prière, et elles portent la lettre X, elles sont numérotées de 1 à 100.
Dieu au Ciel, qui est mon Juge, sait que je ne connais pas un seul numéro, une seule carte, ni quoi que ce soit à ce sujet. Ils viennent ici et ils les distribuent. Cette carte porte votre nom et votre adresse, et au verso, elle porte un numéro et une lettre. C’est uniquement pour vous garder en ligne.
55 Maintenant, si je disais que ceux qui veulent que l’on prie pour eux, levez la main. Soyez sincère. Partout dans la salle levez... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... 85. 86, qui a la carte de prière X-86? Regardez sur la carte, il y a un X et un 86. Qui a cette carte-là? Levez la main. Très bien. 87, levez la main, 87? Très bien. 88, 88? Voici une femme infirme assise ici, tenant en main une carte de prière. Jetez un coup d’oeil sur sa carte, et voyez si c’est un–si c’est 88. Ou bien pouvez-vous voir, soeur? Cela porte un nom. Très bien. 88, est-elle ici? Levez la main. Ecoutez, il pourrait s’agir d’un sourd ; il ne peut pas entendre son... 88? Excusez-moi, madame, 88. 89, qui a la carte de prière 89? Très bien. 90? 9–89? X-89. 90, qui a X-90? Levez la main, s’il vous plait. Qui a 90? Très bien. 91, X-91? Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin, car il est peut-être sourd (Voyez?), ou peut-être qu’il ne peut pas se lever. Si vous ne pouvez pas vous lever, dites-le simplement à votre voisin, faites un certain genre de mouvement. Très bien. C’est en ordre. 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100? Très bien. Essayons avec ce groupe ici maintenant de prier pour ces gens, et voyons ce que notre Seigneur fera.
Maintenant, s’il nous reste encore du temps, nous allons reprendre à partir du numéro 1, et recommencer à partir de là. S’il nous reste encore du temps, si nous prenons ces–ces gens ici, comme ils viennent sur l’estrade.
56 Maintenant, s’il vous plait, mes amis chrétiens, j’aimerais que vous fassiez tous ceci pour moi ce soir, s’il vous plait. Soyons tout simplement d’un commun accord. Combien croient que Jésus est ressuscité des morts et qu’Il est vivant ici ce soir? Faites voir votre main. Combien aiment communier avec Lui? Aimez-vous le faire? J’aime communier avec Lui. Très bien. Maintenant, communions avec Lui. Et communions avec la foi de notre voisin. Que tout le monde ensemble se joigne d’un commun accord et dise : «Seigneur Jésus, oh ! je ne considère pas si je vais devoir faire la vaisselle le matin, ou si je vais faire ceci.»
Dites, à propos, je crois que c’était ce–je–non ce n’était pas dans cette réunion. C’était à un autre endroit ici, appelé–je suis allé d’ici à Cedar Rapids, ou à un certain endroit à partir d’ici, à un autre endroit, un–et c’était ici dans l’Iowa. Great Falls, y a-t-il un certain Great Falls dans l’Iowa? C’était à un certain endroit qui a quelque chose avec un Falls, ça pourrait avoir été Cedar Falls ou quelque chose comme cela. Nous y avions tenu des réunions. S’il y a quelqu’un ici ce soir qui était à ces réunions-là, j’aimerais que vous suiviez maintenant.
57 J’ai prié sur l’estrade pour une femme qui avait une horrible maladie de l’estomac, et elle ne pouvait rien manger. Et le Saint-Esprit lui a dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR...» Soyez attentifs, vous avez vos enregistreurs ici, si vous voulez voir ce qu’Il dit. Il a dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie de cette maladie de l’estomac.»
Lorsque vous entendez cela être prononcé, frère, je donnerais ma vie juste là, il en sera exactement ainsi. J’ai quarante-cinq ans, j’ai des visions depuis que j’étais un bébé, et je n’ai jamais vu une seule fois où j’ai défié quiconque de montrer une seule fois où Il a parlé de cette manière sans que cela n’arrive très exactement tel qu’Il l’a dit. C’est juste. Posez la question n’importe où ; prenez n’importe quel enregistrement que vous voulez et cherchez. Lorsque vous L’entendez parler comme cela, et que ce n’est pas très exactement ainsi.
58 Et il fut dit à cette femme qu’elle allait être guérie. Et ensuite, elle est rentrée chez elle, je lui ai dit d’aller manger. Et cette femme est rentrée chez elle, elle a essayé de manger, mais elle n’y arrivait pas. Je crois qu’elle a essayé de manger un hamburger, a-t-elle dit, et oh ! combien elle était malade, elle est restée éveillée toute la nuit. Et quelques jours plus tard, elle était toujours très malade. Et cela a continué pendant six semaines, je crois, et les gens qui étaient dans les environs se sont mis à se moquer d’elle. Ils disaient : «Tu es allée là chez ce prédicateur, et il t’a certainement dit que le Seigneur t’a guérie.» Ils ont dit: «Et te voilà !»
Elle disait : «Je le crois de toute façon.» Elle a dit : «Même si je n’étais jamais guérie sur cette terre, a-t-elle dit, je le crois de toute façon.» C’est ce qu’il faut faire. C’est ce qu’il faut. J’ai son témoignage et son nom. Si je savais que je serais aussi près, j’aurais apporté cela. Et oh ! la dame pourrait être assise ici, maintenant même. Alors je–cela a donc continué, et un matin sa famille était allée au travail, ou plutôt les hommes, les enfants sont allés à l’école, et elle a eu très faim, elle a pris un morceau de toast et s’est mise à le manger, et d’ordinaire cela la rendait très malade et elle vomissait. Mais elle ne s’est pas sentie malade. Mais de toute façon, elle lavait d’abord quelques assiettes, et une grande fraîcheur l’a envahie. Et elle a dit : «Je me demande de quoi il s’agit?»
59 Et elle a eu très faim quelques instants après. Alors elle a mangé un morceau de toast ; cela ne l’a pas dérangée. Elle a mangé un peu d’avoine, et c’était vraiment la chose qui la rendait malade. Cela ne l’a pas dérangée. Alors elle a pris une tasse de café, et après avoir pris ce café, cela ne l’a pas dérangée. Alors elle était heureuse. Elle a couru le dire à sa voisine, qui avait un nodule à la gorge, et le Saint-Esprit avait dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu seras guérie.» Et elle a couru dire à sa voisine ce qui était arrivé. Lorsqu’elle est arrivée là-bas, elle a entendu un grand bruit de quelqu’un qui criait, et sa voisine sautillait sur le plancher en criant aussi fort qu’elle pouvait. Le nodule avait tout simplement disparu de sa gorge. Et elles se sont réjouies ensemble. Elles sont venues à une réunion et m’ont relaté cela. Et j’ai leurs noms, leurs adresses et tout. Ça c’est juste un cas parmi tant d’autres, mais c’est parce que cela était arrivé ici.
60 Qu’était-il arrivé? C’était six semaines plus tard. Vous savez, parfois Dieu, l’Ange du Seigneur ne peut pas–ne peut pas se mettre immédiatement au travail. Combien savent que Daniel avait prié, et cela a pris vingt et un jours avant que l’Ange ne puisse parvenir jusqu’à lui? Est-ce juste? Mais lorsqu’Il déclare quelque chose, Il y veillera pour accomplir Sa Parole. Le croyez-vous?
Qu’était-il arrivé? L’Ange du Seigneur avait déclaré cela au Nom du Seigneur, et Il est passé dans ce voisinage-là pour confirmer la Parole. Amen.
Est-ce que cette personne-là est ici? Si elles sont là, qu’elles se tiennent debout. Si vous êtes ici dans cette salle. C’était dans l’une de ces réunions de Rapids–ou ces–ces femmes étaient cependant ici quelque part dans l’Iowa. Je ne peux pas voir loin derrière, parce que les lampes de là en dessous sont éteintes, mais si vous êtes–si vous êtes ici, eh bien, que Dieu vous bénisse. Et si vous vous tenez ici, les gens vous regardent, bien sûr. Que Dieu soit avec vous. Je remercie Dieu pour une foi qui ne dit pas : «Non», mais qui dit : «Oui, ô Dieu, c’est la vérité.» Et maintenant, puisse-t-Il vous bénir.
Et si notre soeur veut... Vous avez été très gentille, soeur, pour nous aider. Et nous vous remercions pour votre bonté, tous les ministres, et tout le monde. Ma prière est que le Bienveillant Seigneur vous bénisse tous.
61 Maintenant, est-ce la patiente? Très bien. Approchez, madame.
Maintenant, je pense qu’ils veulent que je parle à ce téléphone. C’est ce que Billy m’a dit hier soir. Bien des fois lorsque l’onction descend sur moi... Imaginez tout simplement que vous entrez dans un autre monde, et ensuite vous revenez, et puis étant sorti, vous rentrez. Et au bout d’un moment vous devenez faible. Au bout d’un moment vous ne savez plutôt plus où vous vous trouvez. Et lorsque je me mets à marcher, ce n’est pas parce que je suis trop faible, mais je ne vois pas où je marche. Alors, parfois Billy m’entoure de ses bras. Il me surveille. Si vous remarquez, il se tient quelque part là dans un coin, et il me tient à l’oeil. C’est la raison pour laquelle je l’ai avec moi.
Combien se souviennent lorsque j’avais quitté le champ de mission pendant huit mois à cause d’une mauvaise organisation? On me laissait rester pendant des heures et des heures dans la ligne de prière, au point que je ne pouvais plus réellement savoir qui... complètement épuisé. Cela a pris huit mois avant que je ne me rétablisse. Alors je... Vous pouvez vous surmener. Vous dites : «Est-ce vrai, Révérend Branham?»
Oh ! bien sûr. C’est ce qu’enseignent les Ecritures. Combien savent cela? Est-ce que les Ecritures enseignent cela? Oui, monsieur.
62 Considérez Elie, après avoir eu cette vision là-haut, où il a vu comment apprêter ce taureau et tout, il a fait descendre le feu du ciel, et la pluie du ciel, le même jour il est allé dans le désert, et il était égaré pendant quarante jours et quarante nuits, en train d’errer. Dieu l’a trouvé retiré dans une caverne. Est-ce juste? Il a entendu le vent souffler, il a entendu le bruit souffler, et ensuite un murmure doux et léger qui a dit : «Que fais-tu là-dedans, Elie?» Voyez, l’onction l’avait quitté. C’est ça.
Maintenant, le Saint-Esprit est ici dans cette salle. Et je prie pour qu’Il vienne maintenant, notre Rédempteur béni. Nous avons ici environ une demi-heure de service. Et je prie pour que chacun de vous, mes bien-aimés, lorsqu’Il viendra, puisse Le reconnaître et L’accepter, et je prie pour que chacun de vous soit en prière.
63 Maintenant, vous là-bas qui n’avez pas de cartes de prière, faites-moi voir vos mains, ceux qui n’ont pas de cartes de prière, mais sont malades, tous, partout jusque là derrière où il fait sombre, levez vos mains. Très bien. C’est tout simplement partout. Puisse–puisse Dieu l’accorder.
Je vais vous dire ce qu’il faut faire. Vous croyez que je vous ai dit la vérité. Allez-vous faire cela? Croyez, et regardez dans cette direction. Et vous croyez de tout votre coeur que je vous ai dit la vérité, que je ne cherche pas à me présenter à vous, mes amis. J’essaie de vous présenter Jésus-Christ. Et croyez que je suis sincère à ce sujet, et que ces choses que je vous ai dites sont la vérité. Et croyez comme l’aveugle Bartimée, car il a dit : «Ô Dieu, aie pitié.» Et observez la foi Le toucher et faire qu’Il se tourne et dise : «Vous.»
Considérez cette femme à la–qui toucha le bord de Son vêtement, et qui est retournée dans la foule. Mais ces yeux se sont mis à chercher partout ; elle a vu qu’elle ne pouvait pas se cacher. Il a dit : «Ta foi t’a guérie.»
Voyez-vous? Il peut être touché par la guérison de vos infirmités. Vous pouvez Le toucher, et Il guérira.
64 Maintenant, l’Ange du Seigneur est ici maintenant. Ma prière est qu’Il vous bénisse tous.
Je pense que la dame... Si vous voulez bien vous avancer ici, soeur, afin qu’on puisse entendre votre voix. Parfois je parle très bas, et je ne le sais pas. Voyez? Je ne sais pas si je parle ici ou quelque part dans une vision. Et parfois, on place ces micros ici, ils sont donc très sensibles. Là dans l’assistance. On peut pratiquement entendre votre respiration de là où vous êtes. Et ainsi je... De cette manière les gens peuvent saisir très exactement ce qui se passe et savoir la vérité.
Je suppose que vous et nous sommes–nous sommes de parfaits inconnus l’un pour l’autre. N’est-ce pas? C’est ce que nous sommes. Mais vous êtes une chrétienne. Vous êtes une croyante, parce que je sais que votre esprit est en train d’agir. Voyez-vous? Et si le Saint-Esprit, que je sais être ici... Il vous accueillerait comme ma soeur. Et je sais que vous êtes une croyante chrétienne.
65 Maintenant, vous êtes ici pour quelque chose. Eh bien, Dieu le sait. Il sait très exactement à quoi vous pensez. Et si je suis le serviteur de Dieu, et sachant que je ne vous connais pas, et il n’y a aucun moyen au monde pour que je le sache, alors Il peut me révéler ce qu’est votre problème. Et dans ce cas, s’Il le fait, vous saurez si c’est la vérité ou pas, n’est-ce pas? Vous le saurez. Si moi–si moi par l’Esprit de Dieu je peux vous dire ce qui ne va pas avec vous, et puis sans vous connaître, alors vous savez qu’il y a un certain moyen ici, que j’ai pour savoir cela. Pas vrai? Et maintenant, il en sera tel que vous l’établirez.
Si vous dites : «Cet homme est un sorcier», ou tout ce que vous voulez–ou un certain hypnotiseur, ou quelque chose comme ça. Eh bien, cela–cela dépendra de vous, ce sera entre vous et Dieu. Et si vous jugez simplement cela comme étant la Parole de Dieu, voyez ce que–ce qui arrivera.
Eh bien, Cela ne va pas dans les milieux distingués. Voyez? Parce que la méchanceté demeure là. Cela va vers les faibles et les humbles. Croyez-vous cela?
Et je dirai ceci au Nom du Seigneur, que vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour un bien-aimé : je crois qu’il s’agit de votre père. Et cet homme est devenu aveugle, il a la cataracte dans les yeux. Est-ce juste? Et vous venez d’un autre Etat : le Nebraska. Allez imposer les mains à votre père pour qu’il recouvre la vue. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Amen.
66 Croyez-vous au Seigneur? Maintenant, voilà une femme qui m’est totalement inconnue ; je ne l’ai jamais vue, et maintenant je ne me souviens pas de ce que je lui ai dit. Mais c’était quelque chose au sujet de quelqu’un qui marche à l’aveuglette, une personne âgée. Mais je ne sais pas exactement ce que c’était. Vous avez entendu cela. C’est sur l’enregistrement. J’ignore de quoi il s’agissait–ce qui se passait. Mais maintenant je vois cela. Maintenant, mon...?... Quelqu’un a posé une question aujourd’hui dans une lettre : «Pourquoi vous frottez-vous le visage tout le temps, Frère Branham, quand vous devenez fatigué?»
J’ai l’impression que mon visage devient épais comme ça. Et je–j’essaie sans cesse de sentir pour voir si je peux sentir mes mains sur mon visage en me frottant comme cela, fatigué, nerveux...?... la tension. D’habitude à ce moment-là, je vois Billy ou l’un d’eux venir me prendre.
67 Maintenant, soyez respectueux, croyez de tout votre coeur, et le Dieu Tout-Puissant, qui nous a créés, vous montrera Sa gloire. Et puis tout ce que vous en faites, cela dépend de vous. Il m’utilise tout simplement ce soir afin de se présenter à vous en tant que votre–en tant que Ses enfants. Bon, je suis seulement l’un de vous. Si l’Enlèvement se produisait, vous partirez peut-être tous avant moi, je ne suis pas digne. J’étais là dans un état froid, formaliste, pendant que vous étiez là dans la rue, prêchant cet Evangile. Certains parmi vous, les ministres âgés aux cheveux blancs qui êtes dans cette salle, vous étiez dans le champ, prêchant ce message alors que j’étais encore un petit garçon pécheur. Mais vous que je respecte comme mon frère et ma soeur, j’essaie seulement de suivre le chemin que vous avez prêché en croyant que cela allait venir. Ne rejetez pas cela alors que ça se trouve là. Vous croyiez que cela serait là, et pendant que la chose est là, acceptez-la et croyez-la de tout votre coeur, et Dieu vous bénira. Très bien, mes frères.
68 Je ne voyais pas Billy Paul, je... Vous savez, vous pouvez–vous sentez les esprits des gens. Cela–cela est en ordre peu importe où il se trouve. Mais vous pouvez sentir l’esprit des gens, et je sens quand son–son esprit quitte le canal de l’Esprit. Frère Baxter, je peux savoir qu’il est ici, et vous êtes habitué à cela, c’est pour cette raison que je n’ai pas des gens autour de moi. Voyez-vous? Quelqu’un regarde, à moins que cela soit absolument parfait. Vous pouvez le savoir. Voyez? Cela interfère. Très bien.
69 Et, monsieur, j’aimerais juste vous parler un instant, et juste en tant qu’un frère, vous parler. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, que nous ne nous connaissons pas, mais le Seigneur Jésus nous connaît tous les deux. Est-ce juste? Et nous sommes deux hommes qui se sont rencontrés ici sur terre, et peut-être que c’est pour nous la première fois ici–juste ici ce soir. Mais vous êtes un chrétien. Oui, monsieur. Vous avez un excellent esprit qui est vraiment le bienvenu. Et vous avez un problème ; et le problème, c’est ici dans votre poitrine. Il semble y avoir quelque chose. Je crois qu’un docteur ou quelqu’un dit quelque chose, ou quelqu’un, au sujet de quelque chose qui se dessèche. C’est comme des corpuscules, ou des vaisseaux sanguins, ou quelque chose comme ça qui se dessèche. C’est dans–dans le sang. Est-ce juste? C’est ce qui vous cause cette maladie de la poitrine. Oui, oui. Vous êtes un ministre de l’Eglise de la Bible Ouverte. Que Dieu vous bénisse maintenant ; partez et soyez guéri. Ma prière est que Jésus-Christ vous guérisse, mon frère, au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse.
Croyez-vous maintenant, de tout votre coeur? Ayez la foi maintenant. C’est le Seigneur Jésus. Soyez simplement en prière là-bas, en disant : «Seigneur, souviens-Toi de moi.» Et Dieu accordera cela.
70 Maintenant, voici une âme soeur. Je ne connais pas cette femme. Je crois que nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas, madame? Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Est-ce pour nous la première fois de nous rencontrer? C’est la première fois. Très bien, nous ne nous connaissons pas.
Mais il y a–il y a quelque chose qui cloche. Dieu sait tout à ce sujet. Et vous n’êtes pas d’ici. Vous venez de quelque part où il y a beaucoup de blé, beaucoup de blé. Je vous vois monter à bord d’un avion ou de quelque chose comme ça. Vous regardez par un hublot. Vous avez volé jusqu’ici, et vous venez de l’Oklahoma. Est-ce juste? Vous êtes assise près d’un hublot et vous regardez dehors. Très bien. Vous souffrez d’un–vous souffriez d’un–d’une certaine maladie. Je vous vois avec quelque chose de blanc sur vous, ou quelque chose comme ça. Oh ! c’est une–c’est une opération, c’était à–à l’estomac. Et c’était un cancer, et le médecin vous a tout simplement suturée, et ce cancer s’établit–gagne le foie. Est-ce juste?
Eh bien, une dame de couleur est assise là, elle est assise juste là derrière. Elle a aussi le cancer. Elle est assise juste là derrière, juste au-dessus de cet endroit-là. Tenez-vous debout, madame. Pas vrai?
Oh ! Père, au Nom de Ton Fils Jésus, qui est ici pour exposer le diable à l’ignominie. Satan, tu sais que tu ne peux pas retenir ces gens. Sors d’eux, je t’adjure au Nom de Jésus-Christ, sors de ces femmes, et laisse-les tranquilles ! Amen !
71 Maintenant écoutez, mes soeurs, vous deux, alors que vous êtes debout. Eh bien, cette pression qui s’exerçait sur moi a disparu. Maintenant, si Dieu me révèle qui vous êtes, d’où vous êtes, ce qui n’allait pas chez vous, par la même chose, c’est une très douce sensation de bénédiction qui se déverse à maintes reprises par ici maintenant, et je crois de tout mon coeur que le Dieu Tout-Puissant vous a guéries toutes les deux. Rentrez chez vous et soyez guéries, vous deux, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
Béni soit le Nom du Seigneur ! Le Seigneur Jésus-Christ domine et règne dans tous les âges éternellement. Béni soit Son saint Nom ! Amen ! Oh ! Est-ce que vous L’aimez? Que Sa miséricorde dure à toujours, et dans toutes les générations. Oh ! la la ! quel banc de foi qui se meut dans cette salle maintenant ! Vous ne pouvez pas savoir ; cela vient de partout. Que peut-il arriver maintenant? Très bien.
72 Est-ce que vous avez peur? Approchez. Bonsoir. Croyez-vous au Seigneur de tout votre coeur, de toute votre force, de toute votre pensée? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé pour être Son serviteur, afin de vous accorder votre requête? Le croyez-vous de tout votre coeur? Que Dieu vous bénisse. Si Dieu peut me révéler ce qui ne va pas chez vous, dans ce cas vous savez que je dois le savoir par un moyen surnaturel. Et vous êtes conscient que quelque chose est près de vous maintenant. N’est-ce pas? Pas vrai? C’est Sa... Avez-vous déjà vu la photo de l’Ange, de cette Colonne de Feu? C’est exactement ce qui est sur vous maintenant même. Vous souffrez d’un trouble cardiaque. Pas vrai? Je vous vois quelque part, vous semblez très heureux au sujet de quelque chose. C’est un–oh ! c’est un–voici ce qui est arrivé. Je–j’ai été en contact avec vous d’une certaine manière. Vous–vous étiez autrefois stérile, et vous ne pouviez pas avoir d’enfants, et j’avais demandé à Dieu de vous bénir par l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, et vous avez eu un bébé. Ce bébé est avec vous ce soir. Ainsi votre trouble cardiaque vous a quittée. Vous êtes guérie, ma soeur. Partez et que la paix de Dieu soit sur vous. Amen.
73 Gloire à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. Une grande miséricorde, gloire ! Béni soit Son saint Nom. Il révélera, comme Il sait toute chose, et toutes choses ont été faites par Lui. Très bien. Ayez la foi. Chaque personne ici devrait avoir la foi, en cet instant même, et devrait se réjouir. Mes amis, je prie que nous ne–ce n’est pas que je désire que vous soyez émotifs. Ce n’est pas cela ma pensée. Mais vous rendez-vous compte que le Dieu même du Ciel est en train de faire exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait il y a deux mille ans? Qu’en ces derniers jours, Il ferait de même. Et vous voyez cela.
74 Il m’est difficile de comprendre que nous puissions rester tranquilles, car nous avons le souffle coupé de savoir que notre Seigneur... Lorsque nous sommes allés au fleuve Gange, nous avons vu des femmes de couleur jeter leurs petits bébés en sacrifice au dieu du Nil. Les alligators les broyaient comme cela et c’était fini. Nous sommes allés à la tombe de Mahomet, et il y a un cheval blanc qu’on met là depuis deux mille ans. Confucius est mort il y a deux mille trois cents ans, et on a érigé une grande statue de quatre-vingts pieds et quelques [24 m], qu’on a érigée, faite des cheveux, de dents, et tout de ses disciples, mais il n’y a pas la moindre vie là-dedans. Mais à Jérusalem il y a une tombe vide. Et cet Homme-là vit encore dans cette assistance ce soir, manifestant toutes les choses, notre Seigneur, toute la puissance de la résurrection. Il vit et règne, et prend les pauvres sujets, il prend les choses qui n’avaient aucune valeur pour accomplir ce qui est élevé et noble, pour condamner le monde dans cette génération, pour manifester Sa connaissance, Sa puissance, et Sa justice en ceux qui croiront. C’était une prophétie. Oh ! combien béni soit le Nom du Seigneur !
75 Est-ce que vous croyez, soeur, alors que vous vous tenez là en regardant dans cette direction? Je suppose que vous et moi, nous ne nous connaissons pas, mais Dieu nous connaît tous les deux, soeur. Eh bien, je ne suis pas hors de moi, mais je–je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous a vue. Il sait tout ce qui vous concerne, et Il sait pourquoi vous êtes ici. Pas moi. Il se pourrait que vous vous teniez ici pour demander de l’aide pour un problème financier ; il se pourrait que vous soyez ici pour présenter une requête au sujet d’un bien-aimé. J’ignore votre requête, mais Dieu la connaît. Et Il peut me la révéler, avant même que vous ouvriez la bouche, tout ce qui vous concerne, s’Il le veut. Même s’Il ne le fait pas, il est juste question de ce que notre Seigneur désire faire. Mais je crois qu’Il le fera, et vous accordera le désir de votre coeur, sachant que vous êtes une chrétienne, et que vous n’êtes pas une critiqueuse. Vous croyez fermement dans ce dont je parle. Et de cette manière-là, je peux vous aider. Premièrement, vous êtes une femme qui souffre d’une maladie de femme, d’une maladie gynécologique. Vous pourriez ne pas savoir ceci. Si, vous le savez. Vous le savez effectivement. Vous avez un problème à la tête, c’est le cancer. Et c’est au cerveau, mais Dieu va vous guérir. Vous, je vous vois à un moment donné assise, vous tenant les mains comme ceci. Vous avez assisté à une autre réunion quelque part, et vous vous teniez là, le souffle coupé. C’était quelque chose qui s’était produit à l’estrade. Eh bien–je–c’est moi. C’était à Portland, dans l’Oregon, lorsque ce maniaque a été condamné. Je le vois tomber par terre maintenant et se rouler. Vous êtes guérie, soeur. Jésus-Christ vous guérit. Rentrez chez vous et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
76 Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous qu’Il vient? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Je commence à me fatiguer un petit peu, mais approchez, juste une minute. Croyez-vous–vous en Lui de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir? Vous avez une hernie, une hernie, la gorge. On doit vous opérer. Et vous êtes une ministre. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit maintenant? Au Nom du Seigneur Jésus, recevez votre guérison, soeur. Amen. Que Dieu vous bénisse. Partez et soyez guérie. Très bien.
Ne désirez-vous pas quelque chose, madame, à–l’organiste? Il y avait une Lumière étrange qui était suspendue au-dessus de vous, juste pendant les quelques dernières minutes. Et je me demandais si Cela était autour d’un malade, mais maintenant cela vous a mis à part depuis que la ligne est allée de ce côté. Oui. Une femme s’est rendue au temple un jour, pour que Dieu ôte son opprobre. Elle s’appelait Anne. Et vous désirez la même chose. Et que le Seigneur Jésus... Vous suivez un traitement pour cela, ou vous cherchez à suivre un traitement. Je vois un médecin qui vous dit quelque chose là-dessus. Pas vrai? Que le Seigneur vous accorde l’enfant et puissiez-vous l’embrasser dans vos bras, un bel enfant. Au Nom de Jésus-Christ.
77 Approchez. Est-ce que vous croyez alors que vous venez? Croyez-vous que Dieu vous guérira et qu’Il ôtera de vous cette tumeur? Le croyez-vous de tout votre coeur? Approchez donc. Père, au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie. Je réprimande l’ennemi dans sa vie, afin que cette tumeur la quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Approchez, madame. Croyez-vous en Lui, alors que vous venez? Allez-vous m’obéir comme le prophète de Dieu, faire ce que je vous dis de faire? Maintenant écoutez, vous êtes nerveuse cela fait un certain temps. C’est–ce n’est pas un–c’est–c’est une nervosité mentale, parce que vous êtes toujours–vous essayez d’être profondément sincère, vous vous préoccupez beaucoup des autres comme les vôtres, et des choses comme cela. En d’autres termes, vous anticipez les choses. Et cela a provoqué chez vous un ulcère dans l’estomac. Vous avez un problème d’estomac. Vous n’arrivez pas à bien manger. Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous cela? Alors allez prendre votre souper. Que Dieu ait pitié de vous.
78 Approchez donc en croyant de tout votre coeur. Monsieur, je vois que vous avez connu un accident et que vous avez perdu votre bras. Très bien. Non seulement cela, mais vous souffrez d’un problème cardiaque et vous désirez que Dieu vous guérisse. Il l’a fait. Alors allez tout simplement en marchant, et en vous réjouissant, et en louant Dieu. Disons : «Béni soit le Seigneur.»
Approchez, ma soeur. Comme vous venez, venez en croyant. Croyez-vous que Dieu peut ôter de vous ce diabète et vous guérir? Au Nom de Jésus-Christ ma prière est que vous puissiez recevoir cela. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Approchez. Est-ce que vous croyez, soeur, comme vous venez? Dernièrement vous avez eu toutes sortes de sentiments étranges. Par exemple, parfois vous pensez que vous souffrez du coeur. Vous êtes extrêmement nerveuse, et cette nervosité a créé une tumeur. Et vous avez une tumeur qui a été opérée. Est-ce juste? Croyez-vous que Jésus-Christ va ôter cela maintenant? Au Nom de Jésus-Christ, que cela s’en aille pour la gloire de Dieu. Amen.
79 Approchez donc en croyant de tout votre coeur. Amen. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.
La petite dame qui est assise là, me regardant très sincèrement, vous êtes paralysée. Mais vous avez une pensée dans votre coeur que vous voulez accomplir. Je ne lis pas votre pensée ; je ne vous connais pas. Mais vous voulez écrire un livre. Pas vrai? Tenez-vous debout. Votre paralysie a disparu, vous êtes guérie. Vous pouvez rentrer chez vous...?... Que Dieu vous bénisse.
Votre problème cardiaque vous a quittée, alors vous pouvez aussi continuer votre chemin en vous réjouissant aussi, soeur, et être guérie. Que Dieu vous bénisse.
Disons : «Gloire à Dieu !»
L’insuline est une bonne chose, mais le Seigneur c’est mieux. Ne le croyez-vous pas? L’insuline vous maintient seulement, mais Dieu peut vous guérir de ce diabète. Ne le croyez-vous pas? Approchez juste une minute. Si donc l’Esprit de Dieu est sur moi et qu’Il m’oigne pour connaître vos pensées, votre esprit, qui vous êtes, d’où vous venez, je vous impose les mains au Nom de Jésus-Christ, et je réprimande le diabète, pour que Jésus-Christ vous guérisse. Amen. Qu’il te soit fait selon ta foi. Partez, en croyant de tout votre coeur.
80 Jeune homme, si je te disais que tu étais guéri pendant que tu étais assis dans la chaise, vas-tu le croire? Va carrément de l’avant, tu avais–tu as reçu ta guérison. Que Dieu soit avec toi et qu’Il te bénisse. Sois respectueux. Aie la foi.
Un instant, il y a un sourd. Oh ! le voici. Cette femme est sourde. Inclinez la tête un instant. Oh ! Eternel Dieu Tout-Puissant, Toi qui as posé les fondations du monde, et qui as fait toutes choses, qui as créé l’homme à Ton image, et ensuite qui as envoyé Ton Fils sur terre, Jésus-Christ, et ce Dernier a été rendu semblable à l’homme pour ôter le péché de l’homme, et pour ramener l’homme dans la communion comme des fils et des filles de Dieu... Par conséquent, sur base de Son Sang versé, je viens confessant un don divin de guérison, qui m’a été donné par un Ange, en disant à cet esprit de surdité qui a rendu cette femme sourde: «Sors d’elle !» Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle reçoive la guérison. Est-ce que vous m’entendez?
M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? Dites : «Amen. J’aime le Seigneur.» C’est tellement merveilleux. Dites : «Amen. J’aime le Seigneur.» Cela fait maintenant combien de temps que vous étiez sourde? Ecoutez, comme vous pouvez entendre maintenant ! Voyez, j’ai introduit le doigt ici. M’entendez-vous très bien? Dites : «Amen.» Voilà, vous êtes parfaitement rétablie. Descendez de l’estrade, en disant : «Grâces soient rendues à Dieu !» Alléluia ! Gloire au Nom du Seigneur Jésus-Christ, le Grand Alpha et Oméga, le Commencement et la Fin.
81 Je vois un enfant suspendu ici devant moi. C’est un bébé. Et il a subi un examen. Ce petit enfant a une hernie. Il est assis dans cette assistance. Voilà le bébé en question. Imposez-lui les mains, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, je condamne cet ennemi. Sors de l’enfant ! Ramenez-le à la maison, croyez en Dieu ; il sera guéri. Ayez foi en Dieu.
Me croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assise là, qui me regardez et avez porté ce petit manteau rouge, vous qui êtes assise là et qui êtes sur le point de mourir du cancer? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit maintenant? Si vous le croyez, tenez-vous debout, et croyez cela.
Qu’en est-il de vous, qui êtes assis là à côté d’elle et qui agitez les mains? Vous avez un problème de la vésicule biliaire, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit.
82 Qu’en est-il de vous qui avez croisé les bras, vous qui êtes assis là? Vous avez une maladie du côlon. Pas vrai? Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Dieu peut tout faire.
Vous avez aussi le cancer, n’est-ce pas, madame? Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit.
Qu’en pensez-vous, vous deux qui êtes assis comme mari et femme? Vous avez une tumeur. Vous avez un problème de l’estomac. Pas vrai? Ne marchez-vous pas avec des béquilles, n’avez-vous pas un genre de béquilles? Jésus-Christ vous guérit. Tenez-vous debout et soyez guéris. Vous n’en avez plus besoin. Emportez vos béquilles sur vos épaules et rentrez chez vous. Vous n’en avez plus besoin. Christ vous guérit maintenant.
Qu’en pensez-vous, vous madame assise là, qui souffrez de l’asthme? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Vous le croyez? Oui, oui. Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit de cet asthme. Alléluia !
83 Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assis là avec ce petit garçon? Pensez-vous que Dieu le guérira de cette maladie des reins, vous qui êtes assise juste au bout de la rangée? Le croyez-vous, frère, de tout votre coeur? Tenez-vous debout là, posez la main sur l’enfant. Dieu Tout-Puissant, je condamne cette maladie des reins et je demande sa guérison, au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. Il est guéri. Rentrez chez vous. Il n’aura plus jamais cela. Dieu le guérit.
Chaque personne ici peut être guérie en cet instant même, si vous croyez. Le croyez-vous?
Qu’en est-il de vous qui êtes dans ces fauteuils roulants? Etes-vous prêts à être guéris? Est-ce que vous croyez? Si vous le pouvez, vous pouvez pousser vos fauteuils roulants hors de la salle. Soyez guéris. Chaque personne ici peut être guérie. Si vous le croyez, tenez-vous debout. Je sens la puissance de l’onction du Saint-Esprit se mouvoir en moi maintenant même. Car la prière de la foi sauvera chaque malade qui est ici. Croyez-le.
Seigneur Jésus, je condamne chaque maladie dans cette salle. Sors d’ici, Satan ! Tu es un perdant ; tu as perdu la bataille. Jésus-Christ vous a tous guéris. Tenez-vous debout et rentrez chez vous, et soyez guéris.