C’est Moi, N’ayez Pas Peur!

Date: 54-0720E | La durée est de: 1 heure et 3 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Inclinons la tête juste un instant.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir pour le Seigneur Jésus-Christ, notre Aimable Sauveur qui est descendu nous racheter et rendre possibles toutes ces choses merveilleuses dont nous jouissons maintenant, à travers les souffrances et la mort qu’Il a endurées à notre place au Calvaire. Nous Te remercions pour ce moment de communion, où Ton peuple se rassemble pour communier les uns avec les autres, alors que le Sang de Ton Fils Jésus nous purifie de toute impiété.

            Nous sommes ravis ce soir de savoir que le temps est proche où, lorsque nous Le verrons face à face, Lui que nous avons tant désiré... tous les jours de notre vie pour Le voir. Et nous Te prions de nous garder humbles de coeur afin que nous Le voyions. Maintenant, puisse-t-Il venir ce soir avec une grande puissance et un grand amour. Et puisse-t-Il se manifester aux gens qui sont ici. Accorde ces bénédictions, alors que nous les demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

2          Bonsoir, les amis. C’est un privilège d’être ici ce soir, de jouir de cette communion fraternelle avec vous, mes chers amis. J’ai été pratiquement transporté de joie à l’instant même en voyant mon brave ami, frère Bosworth, assis sur l’estrade. Et je me sentais un peu indigne, je pense, et je suis passé carrément à côté et j’ai vu aussi frère Ekberg là, ces chanteurs, et j’étais, bien sûr, heureux d’être ici ce soir et de voir ces frères. Et frère Bosworth se prépare à aller aussitôt au Japon.

            Et avant d’aller plus loin, nous ne sommes pas des formalistes, nous nous conformons uniquement à la conduite de l’Esprit. Et cependant, c’est encore tôt, et les gens se réunissent peut-être encore ; la tempête, bien sûr, a probablement gêné certains d’entre nous ce soir. Néanmoins, j’aimerais présenter à cet auditoire, s’il le veut bien, l’un de mes amis très intimes pour qu’il dise un ou deux mots pour nous. Il est pour moi un deuxième père sur cette terre. Mon père est mort quand j’étais encore jeune. Et frère Boswort a été comme un autre père pour moi. Il a été aimable ; il m’a aidé. Et il est... Dans maintes et maintes réunions, nous nous sommes tenus côte à côte. Et j’ai vu ce patriarche de la foi se tenir là à son poste du devoir.

3          Et je l’ai vu le soir du débat, où cet Ange du Seigneur était descendu et s’était fait prendre la photo que vous voyez ici maintenant, la photo qu’on avait prise de la réunion. C’est frère Bosworth qui s’était tenu là ce soir-là ; et ce jeune homme qui était fraîchement sorti du séminaire a pointé son doigt sur le visage de ce vieux saint et a demandé qu’on le photographie dans cette position. Et il brandissait son poing à la figure de ce vieux saint homme, disant: «Maintenant, photographiez-moi. Et maintenant, photographiez-moi», comme cela. En effet, il voulait avoir six photos qu’il pouvait publier dans son journal dans de telles positions. Et le Dieu Tout-Puissant n’a pas permis qu’une seule d’entre elles soit développée. Toutes étaient totalement blanches. C’est juste.

            Et ensuite, il est vite monté et a pris la photo alors que je me tenais là, et l’Ange du Seigneur est arrivé. Et l’Ange du Seigneur était visible à Sa place. Ainsi, vous voyez ce que le Seigneur peut faire.

4          Eh bien, je vais... Frère Bosworth et moi, nous sommes revenus ensemble de l’Afrique. Nous avons eu une merveilleuse série de réunions là-bas où le Seigneur a vraiment béni en accomplissant de grandes choses. Et frère Bosworth avait été dans cette ville, il y a bien des années, avec Paul Rader, Billy Sunday. Il me rappelle un vieux pin qui se trouve seul sur la colline. Seulement deux... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Tenez, nous aimons vraiment les bons chants. Et nous sommes très reconnaissants pour ces hommes qui sont avec nous, et pour soeur Shakarian, les autres chanteurs, les musiciens et ainsi de suite, qui nous apportent l’Evangile au moyen des chants et de la musique. Que le Seigneur les bénisse richement. J’ai toujours dit: «Lorsque j’arriverai au Ciel, j’aimerais certainement me tenir là où on chante. C’est là l’endroit où j’aimerais être.

5          Eh bien, il me reste très peu de temps pour parler juste une minute ou deux. Cet après-midi, je pense que j’ai peut-être prêché trop longtemps cet après-midi, et je pense que je dois pratiquement présenter mes excuses. Quand je suis sorti, frère Moore m’a dit, il a dit: «Frère Branham, ce fou que vous avez eu était dans son bon sens lorsque vous m’avez parlé... Je... Il... après sa guérison, il descendait la rue, se comportant de nouveau comme un fou, courant de toutes ses forces et criant: ‘Gloire à Dieu’, et tout.»

            J’ai dit: «Eh bien, il était simplement doté de son bon sens à ce moment-là pour adorer. Voyez-vous?» C’est juste. Jésus lui a accordé son bon sens pour qu’il adore. Il était alors de nouveau fou aux yeux des gens, parce qu’il avait recouvré son bon sens.

6          Vous savez, il a été dit au sujet des disciples, je crois que le frère l’a dit, les gens disaient: «Ces hommes bouleversent le monde.» Ils n’ont pas bouleversé le monde ; ils l’ont simplement remis en ordre. Tous les autres ont l’impression qu’il est bouleversé. Il était bouleversé depuis si longtemps jusqu’à ce qu’ils l’ont simplement remis en ordre. Et c’est ce que l’Evangile fait.

            Dans le... Saint Matthieu, au chapitre 14, verset 27, j’aimerais lire juste une portion. Et je surveille l’heure, nous allons passer directement à la ligne de prière dans quelques instants, juste pour faire quelques observations, en d’autres termes, juste pour jauger mon auditoire et voir où on en est. Venez donc chaque soir en vous attendant à la bénédiction de Dieu, et demain après-midi, c’est à quatorze heures trente.

Jésus leur dit aussitôt: Rassurez-vous, c’est moi ; n’ayez pas peur !

7          Eh bien, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à ces Paroles. Nous allons de nouveau parler de Jésus. Tout ce dont nous savons parler, c’est de Lui. Et nous Le voyons cette fois-ci, Il s’occupait des affaires du Père, Il faisait ce qui était... le Père Lui avait ordonné de faire. Et nous Le voyons à bord d’un bateau, traversant de nouveau, pendant une autre tempête. Nous L’avons vu cet après-midi calmer la mer et faire recouvrer au maniaque son bon sens. Et maintenant, nous Le voyons ce soir après avoir parlé pratiquement toute la journée. Et pendant Son discours, ou plutôt Son sermon... Beaucoup de gens L’avaient suivi hors de Jérusalem. Peut-être une foule comme celle-ci, ou un peu plus grande L’avait suivi hors de Jérusalem, jusque dans le désert. Et le temps de manger arriva, mais il n’y avait pas de nourriture. Et Jésus a dit à Pierre: «Donnez-leur à manger ; nourrissez-les.»

            Avez-vous remarqué, les mêmes choses que Jésus a faites, Il s’attend à ce que Son Eglise fasse les mêmes choses que Lui. Car Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» Alors, Il a dit: «Donnez-leur du pain.»

8          Ils ont dit: «Oh ! Cela demanderait peut-être plus d’argent qu’ils ne pouvaient en réunir pour nourrir une si grande foule.»

            Et Il a dit: «Avez-vous du pain parmi vous?»

            Et ils ont dit: «Nous avons ici un–un petit garçon qui a son... quelques pains et du poisson, environ cinq pains et deux poissons», ou quelque chose comme cela.

            Et Il a dit: «Eh bien, apportez-les ici.»

            Eh bien, si vous remarquez bien, afin de faire quelque chose, Jésus a pris quelque chose à partir duquel Il devait faire quelque chose. Maintenant, pour apporter ce soir la foi pour la guérison dans cette salle, Jésus doit prendre quelque chose à partir duquel Il doit faire quelque chose. La première chose qu’Il doit avoir, c’est quelqu’un ici qui a la foi pour être guéri, puis cela prendra tout l’auditoire.

9          J’ai remarqué hier soir, lorsqu’on a amené sur l’estrade cet homme qui était aveugle et qui a recouvré la vue, cela a aussitôt amené un embrasement. Voyez-vous? La femme sourde qui est venue, pendant que je lui tenais encore la main et que j’ordonnais au démon de la quitter, elle a commencé à trembler de tout son corps ; elle a dit: «Je vous entends, je vous entends.» Immédiatement, cela a amené un embrasement. Et au moment où je m’en allais, c’était comme si toute la salle était illuminée par la Présence de Dieu.

            Jésus a pris la foi que l’aveugle avait, ou la foi que cette femme sourde avait, et avec cela Il a commencé à édifier la foi. Voyez-vous ce que je veux dire? Il prend quelque chose à partir duquel Il doit faire quelque chose.

            Maintenant, pour qu’Il obtienne quelque chose, quelqu’un a dû abandonner quelque chose. C’était le petit garçon ; il a dû abandonner son repas. Eh bien, pour le jeune gamin, le repas dans la main du petit garçon ne représentait pas grand-chose ; avec cela il ne pouvait lui-même être rassasié qu’à moitié, peut-être. Mais une fois placé entre les mains de Jésus, cela a nourri cinq mille personnes.

10        Eh bien, peut-être que votre foi ne représente pas grand-chose, mais si vous... cette petite foi que vous avez, si vous la mettez entre Ses mains, elle pourrait faire éclater un réveil ici dans tout Chicago. Voyez-vous? Vous devez avoir quelque chose à partir duquel faire quelque chose. Et ce que vous avez dans votre main, cela ne représente rien dans votre main. Mais dans la main de Dieu, c’est merveilleux ce qu’Il peut faire avec une si petite chose.

            Une fois, un vieux berger du nom de Moïse paissait les brebis un jour, et il avait à la main un vieux bâton sec, et Dieu lui parla à travers le buisson ardent. Et Moïse se détourna pour voir. Et Dieu lui a accordé une audience et lui a dit qu’Il allait l’envoyer en Egypte pour prendre le contrôle de l’Egypte, et en faire sortir Son peuple.

            Eh bien, quelle chose étrange que Dieu prenne un homme de quatre-vingts ans, un rétrograde, fuyant Dieu, et âgé de quatre-vingts ans, et qu’Il l’envoie en Egypte pour vaincre une grande nation comme celle-là ! Ce serait comme envoyer un homme en Russie aujourd’hui pour en prendre le contrôle. L’Egypte était la nation la mieux armée du monde. Leurs grandes unités de chars, avec des hommes armés de lances, et des cavaliers, des archers, des frondeurs, c’était... faisaient trembler le monde entier à ses pieds. Et cependant, Dieu va auprès de ce vieil homme, ayant une longue barbe blanche et une longue chevelure blanche, et Il lui dit: «Moïse, va prendre le contrôle.»

            Combien cela semblait ridicule pour la raison. Vous ne pouvez pas saisir Dieu par la raison. Vous ne pouvez pas saisir Dieu par la raison. Dieu ne doit pas être saisi par la raison ; Il doit être obéi. Ce que Dieu dit, ne Le raisonnez pas, faites-le tout simplement. La raison est forcément un non-sens dans cette situation. Moïse a dit: «Que puis-je faire pour y aller?» Il lui a donné un signe.

            Et il avait un... Il a dit: «Qu’y a-t-il dans ta main?»

11        Eh bien, Moïse avait moins que ce qu’avait le garçon. Le garçon avait un peu de nourriture ; Moïse avait un bâton sec en main. Dans la main de Moïse, il n’y avait rien d’autre qu’un bâton qu’il avait peut-être ramassé dans le désert. Mais une fois que cette main de la foi a saisi ce bâton, ce dernier est devenu la verge du jugement de Dieu vis-à-vis du monde. Ce bâton sec est devenu la verge du jugement. Rappelez-vous, Moïse a étendu cette verge. Il a étendu la verge sur la mer ; il l’a étendue dans l’air. C’était la verge du jugement de Dieu.

            Si ces Egyptiens avaient pu arracher cette verge à Moïse, ils auraient battu les Israélites. Et c’est ce qu’il faut aujourd’hui, de même que la verge était dans la main de Moïse, le Nom de Jésus-Christ est dans la main de l’Eglise. Si l’Eglise s’accroche à ce Nom de Jésus, L’estime et L’honore, et cesse de L’utiliser dans l’argot et ainsi de suite, et L’utilise avec puissance et révérence, Elle va vaincre chaque ennemi que Dieu a sur terre. «En Mon Nom, ils chasseront les démons ; en Mon Nom, ils imposeront les mains aux malades», toutes ces choses en Son Nom.

12        Ça semble ridicule pour le monde, mais pouvez-vous imaginer combien cette scène était ridicule, avant que nous la quittions? Là se trouvait Moïse, un vieil homme de quatre-vingts ans, descendant en Egypte, pouvez-vous vous imaginer, avec ce vieux bâton à la main, sa femme avec deux enfants, un sur chaque hanche, assise à califourchon sur un mulet? Le voilà partir, la tête haute, souriant, se réjouissant tout simplement. Quelqu’un dit: «Où vas-tu, Moïse?»

            «Je vais en Egypte pour prendre le contrôle.» L’invasion par un seul homme, allant en Egypte. Pouvez-vous vous imaginer pareille chose? Le monde a regardé et a dit: «Ridicule !» Mais ce qui est glorieux là-dessus, c’est qu’il l’a fait. Pourquoi? Dieu l’avait dit. Peu importe combien cela semblait ridicule et minable, ce bâton dans la main de foi de Moïse, soutenu par la Parole de Dieu, valait plus que toute l’armée que Pharaon pouvait mobiliser. Amen.

13        Il en était ainsi de ces petits poissons ce matin-là. Il les a donnés à Jésus. Il a pris ce pain et l’a brisé, puis Il s’est mis à distribuer cela, et Il coupait un morceau de poisson et distribuait cela.

            J’aimerais vous poser une question, auditoire: quel genre d’atome avait-Il libéré à ce moment-là? Pas seulement le poisson, nous savons qu’Il était le Créateur. Christ était le Créateur. Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui, mais le monde ne L’a point connu. Non seulement Il a brisé le blé, mais Il a brisé le blé déjà préparé et cuit au four. Non seulement Il a brisé le poisson, la chair, mais Il a brisé la chair déjà cuite et apprêtée. Quel atome avait-Il libéré alors, vous les hommes de science? Qu’est-ce qui multipliait ce poisson? Chaque fois qu’Il en coupait un morceau, il y en avait un autre là, déjà préparé et cuit au four. Qu’a-t-Il fait avec le pain lorsqu’Il l’a brisé, et que ce dernier était déjà doré, juste après cela, venant du four? Il le donnait directement, comme cela.

            Voilà notre Dieu. Il est le même Seigneur Jésus ce soir qu’Il l’était à l’époque. Bien que le poisson ne représentait pas grand-chose dans la main du petit garçon, mais dans la main de Jésus, cela a nourri cinq mille personnes.

            Puis j’ai remarqué qu’Il a envoyé Ses disciples ; Il a dit: «Maintenant, il faut que Je m’en aille ; vous, allez donc de l’avant et apprêtez une barque pour traverser, parce que nous allons aller de l’autre côté de la mer.»

14        Et ils sont partis et ont apprêté la barque. Mais ils n’ont pas pu attendre Jésus. Ils sont quand même partis. Il avait dit: «Je vais renvoyer la multitude, puis Je vais vous rejoindre.» Mais ils sont partis sans Lui. Ils avaient confiance en leur barque. Ils étaient probablement tous des pêcheurs et des passeurs, ainsi ils savaient que leur barque était en très bon état. Ils sont donc partis sans Jésus, ayant confiance en leur barque.

            Et c’est ce que l’église a fait aujourd’hui. Nous sommes partis avec notre église, croyant que tout est en ordre du fait que nous avons de grandes organisations, de grands bâtiments, et nous avons laissé Jésus derrière. Nous avons laissé Christ hors de l’église. Certains d’entre nous sont partis avec notre pasteur et ont laissé Jésus. Certains sont partis avec leurs dénominations et ont laissé Jésus. D’autres sont partis avec leurs grandes orgues et ont laissé Jésus. D’autres sont partis avec le bâtiment et ont laissé Jésus. Mais quand on laisse Jésus derrière, les ennuis vont certainement survenir.

15        Ils avaient confiance en leur barque. Il n’y a pas longtemps, lorsque nous avons établi cette nation, nous étions un peuple merveilleux. Lorsque cette nation a été établie à Plymouth Rock, des hommes sont tombés sur leurs faces, ils ont prié et ont remercié Dieu pour une nation où il y a la liberté de religion, où ils pouvaient adorer Dieu. Nous étions jeunes ; c’étaient nos balbutiements.

            Puis, après cela, ils ont déclaré un jour de Thanksgiving, quand Dieu a béni leurs terres, ils sont venus et ils ont offert des actions de grâces. Nous étions alors jeunes ; la nation était jeune. Nous étions un grand peuple lorsque nous étions jeunes et que nous rampions, quand nous étions dans notre berceau. Mais j’ai peur, après que nous avons grandi, que nous soyons partis sans Jésus. Nous avons ouvert des bars. Nous ne pouvons pas marcher sur le chemin étroit et resserré. Nous nous moquons du prédicateur, nous crachons sur ses pieds si cela nous est possible. Quand le Saint-Esprit descend dans nos réunions, nous en savons trop maintenant. Nous savons que nous avons les meilleures églises ; nous avons les meilleurs bâtiments ; nous avons les prédicateurs les mieux instruits. Nous avons les meilleurs orateurs.

            Lorsque nous étions jeunes, Dieu pouvait traiter avec nous. Mais lorsque nous avons grandi, nous en savons plus que Lui. Et je crains que notre nation avance par elle-même, laissant Dieu de côté. Nous allons certainement nous buter à des problèmes.

16        Vous les pentecôtistes, lorsque vous étiez jeunes, par ici dans ces missions des environs... Lorsque docteur Bosworth que voici, docteur Bosworth, ainsi que bien d’autres, étaient de jeunes gens, des prédicateurs par ici ; vous aviez de petites missions, on se moquait de vous, on vous traitait de saints exaltés. Vous étiez jeunes ; vous n’aviez rien. Dieu était avec vous. Vous n’aviez pas honte de l’Evangile. Vous vous agenouilliez dans la rue et priiez avec tout celui qui voulait qu’on prie pour lui. Vous veniez à l’autel, vous appeliez les gens autour de l’autel et vous restiez là jusqu’à ce qu’ils soient remplis du Saint-Esprit, les larmes coulant sur leurs joues. Vous repartiez, vous viviez pieusement.

            Mais je crains que nous ayons laissé Jésus derrière. Nous avons de plus grandes églises maintenant. Nous avons de meilleures choses. Nous avons de grandes chorales bien habillées ; nous avons de grandes orgues ; nous avons de très beaux bâtiments, mais nous sommes partis sans Jésus. Ne croyez-vous pas cela?

            Lorsque vous étiez jeunes, vous croyiez à la guérison divine, vous croyiez à l’accomplissement des miracles. Vous croyiez à tous les dons surnaturels. Mais après avoir grandi, nous avons appris davantage à ce sujet. Nous sommes partis sans Jésus, exactement comme eux l’avaient fait. Et les ennuis ont surgi. Je ne vois pas comment Dieu pourrait avoir pitié de nous. Mais Il a pitié de nous.

17        Lorsque Jésus est venu et qu’Il a regardé sur le rivage, et que Sa barque était partie, Il n’a pas fait demi-tour pour les laisser. Mais Il a gravi la montagne, cherchant à voir où ils se trouvaient. Il a regardé au loin sur la mer, et les voilà, essayant d’avancer de leur propre force, essayant d’avancer par leur propre puissance, essayant d’avancer d’eux-mêmes, après L’avoir laissé. Et ils étaient dans le pétrin.

            C’est là qu’Il a regardé et vu la–l’église américaine récemment, lorsque nous étions tout ballottés par n’importe quoi, les églises étant formalistes et reniant la puissance et tout. Ce qu’Il avait fait à l’époque, c’est exactement ce qu’Il a fait aujourd’hui. Il nous a envoyé un réveil. Il a donné à l’Eglise pentecôtiste un réveil. Il a donné au monde un réveil, ramenant la bénédiction.

            Il a gravi la montagne, Il a regardé. Je suis si reconnaissant ce soir que le Seigneur Jésus-Christ ait gravi les remparts de la Gloire, loin au-dessus de tous les Archanges, de toutes les dominations, et Il est assis à la droite de la majesté divine ce soir, observant cette chose alors qu’elle est ballottée. Il a vu lorsque cette Amérique était établie sur la liberté de religion ; Il a vu les églises devenir formalistes et s’éloigner, mais Il ne nous a pas oubliés.

18        Juste au milieu de cette nuit inoubliable, où tous les espoirs d’être sauvés s’en étaient allés pour ces petits disciples, ils ont compris qu’ils étaient partis sans Jésus. Qu’ont-ils fait? Là, sans doute, dans la détresse, ils ont tous prié, désirant que le Seigneur vienne vers eux. Ils se sont levés et ils ont regardé partout, et Le voici venir, marchant sur l’eau. Et ce qui est tragique... Ecoute, Chicago. Ecoute, monde. Ce qui est tragique, c’est qu’ils ne L’ont pas reconnu. Ils ont eu peur de Lui. Ils pensaient que c’était un esprit ou un fantôme ou quelque chose de ce genre. Ils ont eu peur de Lui.

            Et maintenant, vous avez crié. Ce qui est sage, ce qui est raisonnable lorsque vous êtes malade, c’est d’aller voir le médecin. C’est juste. Lorsque votre médecin échoue, alors vous dites: «Je dois aller ailleurs.» Lorsque vous venez à la réunion et que vous voyez Jésus-Christ accomplir ces signes, vous en avez peur. Vous dites: «C’est du spiritisme ; c’est le diable, c’est quelque chose de ce genre.»

19        Le seul secours que ces disciples avaient, ils en ont eu peur. Et ce soir, le seul salut que nous avons aussi bien pour la nation, pour l’église que pour l’individu et sa guérison, c’est Jésus-Christ. Et les gens ont peur de Lui lorsqu’Il entre dans l’église. Ils ont peur. Ils s’en vont ; ils sont assis dans l’église avec un air curieux sur les visages. «Je ne sais qu’en penser. J’en ai simplement peur. Je ne sais pas ; il se peut que ce soit de la psychologie. Il se peut que ce soit de la télépathie. Il se peut que ce soit le diable. Il se peut que ce soit un devin. Il se peut que ce soit un astrologue. Il se peut que ça soit un sorcier. Il se peut que ça soit un diseur de bonne aventure.» N’ayez pas peur. C’est le Seigneur Jésus-Christ, qui sauve les malades et les affligés.

            C’est le seul espoir de salut en ce jour où nos nations et le monde sont dans le chaos. Alors que nos nations se disloquent partout, et que nos églises sont formalistes et indifférentes, alors que la puissance de Dieu n’a pas été prêchée à la chaire, Jésus-Christ descend dans cette eau agitée. N’ayez pas peur de Lui ; acceptez-Le. Car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, disant: «Vous ferez aussi les choses que J’ai faites.» N’ayez pas peur.

20        Pierre a finalement osé montrer assez de foi pour dire: «Seigneur, Tu nous as dit, il n’y a pas longtemps, que nous ferions aussi les choses que Tu as faites. Alors, si c’est Toi, Seigneur, ordonne que je vienne vers Toi sur l’eau.»

            Il a dit: «Viens. Vous pouvez aussi faire les choses que Je fais.» Et Pierre s’est mis à marcher sur l’eau.

            Remarquez, Jésus, dans Ses dernières Paroles ici sur terre, certaines de Ses Paroles, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra pas; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Dans une autre déclaration, Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais ; et mêmes de plus grandes, parce que Je M’en vais au Père.»

            Et Jésus-Christ peut envoyer ce même ministère par l’homme, ministère apporté par des Anges, et le monde, l’Amérique entière, a regardé cela et a critiqué cela. C’est juste. Que reste-t-il alors, sinon de sombrer dans la mer, sans espoir! C’est tout. N’ayez pas peur, les amis.

21        Ce soir... Ici, dimanche soir, nous avons manqué même des places debout. Les gens étaient entassés tout autour, parce que le Seigneur Jésus était descendu et avait accompli des choses. Certains de mes amis se tenaient dehors, les gens sont sortis et ont dit: «Eh bien, ce n’est qu’un devin. Ce n’est qu’un astrologue. Ce n’est qu’un ceci. C’est un démon.» Ils sont spirituellement ignorants, ils ne connaissent pas la puissance de la résurrection de Dieu, ils ne comprennent pas cela.

            Vous n’avez entendu qu’une face de l’Evangile, mon ami. Vous ne réalisez pas que ce sont les mêmes choses que Jésus a faites Lui-même et Il a dit que nous ferions les mêmes choses. Ce n’est pas quelque chose qui sort d’un catalogue ; cela vient de la Bible de Dieu. Et Jésus a fait ces mêmes choses, Il en rend témoignage Lui-même ; Il a dit: «Je ne peux rien faire à moins que Mon Père ne Me le montre. Et ce que Je vois, c’est ce que le Père Me montre.»

22        Il a dit à la femme au puits, après lui avoir parlé, Il lui a révélé son problème. Lorsque Philippe est allé trouver Nathanaël, Nathanaël était venu pour critiquer. Et lorsqu’il s’est tenu là devant le Maître, Jésus l’a regardé et Il a dit: «Tiens, tu es un homme juste, un homme honnête. Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Eh bien, avant que Philippe t’appelât. Tu étais sous un arbre.» Il a dit: «Et Je t’ai vu.»

            Maintenant, qu’en serait-il s’il avait dit: «Dis donc, je crois que Tu es vraiment Béelzébul.» Alors voyez dans quoi il se retrouverait. Et s’il avait dit: «Je crois que c’est simplement de la télépathie.» Vous voyez ce qui serait arrivé? Mais qu’a... le... Qu’a fait ce brave homme? Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Jésus a dit: «Tu crois parce que J’ai su que tu étais sous cet arbre-là?» Il a dit: «Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

23        Si vous voulez croire ce soir: «Prends courage ; c’est Moi, a-t-Il dit, n’aie pas peur.» Rien de mal ne va arriver, si seulement vous croyez en Lui. Si vous avez des problèmes, restez tranquille dans la barque, et lorsque vous verrez Jésus, dites: «Oui, Seigneur Jésus, je crois que c’est Toi et maintenant je T’accepte comme mon Guérisseur ou mon Sauveur», et tout ira très bien. Prions.

            Père, nous Te remercions au Nom de Jésus, Ton Fils, pour toute Sa bonté et toute Sa miséricorde. Et maintenant, puisse-t-Il venir ce soir et confirmer ce qui a été dit, savoir qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Que Ses bras d’amour s’étendent.

24        Et nous prions comme ceux qui avaient été persécutés autrefois à cause de la guérison des malades. Ils se sont réunis (Dans le livre des Actes, au chapitre 4), ils ont prié, disant: «Seigneur, pourquoi ce tumulte parmi les nations, ces vaines pensées parmi les peuples?» Ils ont dit: «Etends la main de Ton Saint Fils Jésus pour guérir.» Ils ont dit: «Accorde à Tes serviteurs d’annoncer cette Parole avec une pleine assurance.» Et le bâtiment où ils étaient assemblés trembla.

            Seigneur Jésus, considère ce soir, je Te prie, Seigneur, notre réunion ici, afin que la main de Ton Saint Fils Jésus puisse s’étendre en confirmation de la Parole, pour accomplir les choses qu’Il avait dites. Et accorde que ce soir l’Ange du Seigneur campe autour de ce lieu et vienne à chaque coeur et prépare le remplissage du Saint-Esprit et la foi divine, afin que tous les malades et tous les affligés soient guéris ce soir, et que les pécheurs soient sauvés pour Ta gloire.

25        Maintenant, Seigneur, je me soumets à Toi, en tant que Ton serviteur et je Te prie d’utiliser Ton serviteur ce soir comme Tu veux. Je Te soumets cet auditoire. Et je Te demande de tirer gloire de cet auditoire ce soir, de guérir Tes enfants malades et de pardonner les péchés de Tes ennemis. Au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, nous le demandons pour la gloire de Dieu. Amen.

            Très bien. Que le Seigneur vous bénisse tous. Maintenant, je suis ici pour soutenir que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et je suis sûr que vous croyez cela avec moi, n’est-ce pas? Je crois que ce qu’Il était hier, Il l’est aujourd’hui. Il était Dieu hier ; Il est Dieu aujourd’hui. Il était le Guérisseur hier, Il est le Guérisseur aujourd’hui. Il était le Sauveur hier, Il est le Sauveur aujourd’hui. Il–Il a accompli des miracles par des visions et Il ne faisait rien, sinon ce que le Père Lui montrait. Est-ce juste? Il a dit que le... Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Je crois cela.

            Et si Jésus est en nous, alors abandonnons-nous et ôtons ce qui est humain ; que Jésus-Christ utilise nos corps pour Sa gloire. Croyez-vous cela? Ma prière est qu’Il l’accorde.

26        Très bien, quelqu’un peut-il, je vous prie, aller à l’orgue maintenant? Et ensuite, nous allons appeler la ligne de prière. Nous n’allons pas appeler trop de gens à la fois. Cela affaiblit et épuise. (Merci, frère.) Je deviens... Un instant. Pendant que l’orgue joue, j’aimerais... J’ai reçu deux ou trois lettres aujourd’hui (J’en reçois à chaque réunion, presque chaque soir.), où on me critique parce que je m’affaiblis. Je n’y peux rien. J’aurais bien voulu avoir ce pouvoir-là, mais je n’y peux rien. Mais permettez que je vous demande quelque chose, juste un instant. Si vous êtes ici, je voudrais... Je ne vous en veux pas pour cela. Je vous aime, il vous faut simplement que... vous êtes... Il faut simplement comprendre. Vous avez le droit de demander cela. Jésus était Jéhovah Dieu voilé dans la chair. Et la foi d’une femme dans l’auditoire L’a touché, juste une femme. Et la raison pour laquelle Il savait cela, c’est parce qu’une vertu était sortie de Lui. Qu’est-ce que la vertu? C’est la force. Cela L’avait affaibli. Quand la foi d’une femme L’a touché, cela L’a affaibli.

27        Qu’en est-il du prophète Daniel, qui vit une vision et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours? Comprenez-vous maintenant? Voyez-vous? Vous n’y pouvez rien. Nous sommes simplement des hommes. Je ne suis qu’un pécheur sauvé par grâce. Et le Seigneur Jésus-Christ descend et donne Son Saint-Esprit. Si jamais vous sentiez cela, vous comprendriez alors. Lorsque vous sortez carrément de votre être, sans savoir où vous vous trouvez, dans une autre dimension, et que vous voyez des choses qui étaient et des choses qui seront... Et vérifiez-les pour voir si elles sont exactes.

            Dieu a dit que cette chose arriverait dans les derniers jours, et que les gens riraient de cela. Nous avons cela. Voyez-vous? C’est juste. Ainsi, nous y sommes. Nous sommes dans les derniers jours. C’est l’un des grands signes du dernier jour. Certainement, cela m’affaiblit. Je n’y peux rien. J’aurais souhaité me tenir là plus longtemps. Je fais de mon mieux pour me tenir là après que deux ou trois personnes sont passées...?... alors je suis–je suis vraiment fichu. Des fois, je sors et on doit me conduire. C’est juste. Frère Moore qui se tient ici, frère Bosworth, il a servi avec moi pendant plusieurs jours, partout dans le monde pratiquement, et plusieurs fois frère Moore est entré dans la voiture pour me faire faire un tour, lui et frère Brown, en chantant des cantiques, et moi étendu sur le siège arrière pleurant, essayant de revenir à moi (C’est juste), pleurant.

28        Je suis rentré chez moi. Ma femme est assise ici quelque part dans cette salle, lorsque je rentre le soir, et que je tiens mon oreiller comme cela, je pleure presque toute la nuit durant, à cause de cela. Certainement. [Un message en langue est donné dans l’auditoire.–N.D.E.]

            Eh bien, que le Seigneur soit béni. Maintenant, si vous remarquez bien, mon ami chrétien, voyez-vous, dans les... puisque ces choses vous affaiblissent. Vous n’y pouvez rien. C’est un autre–c’est un autre monde ; c’est une autre dimension. Représentez-vous simplement que vous reculez de quarante ans dans le passé quelque part, voyant quelque chose qui s’est produit des années avant votre naissance, voyez-vous, et puis vous revenez. Ici se tient le malade, vous–vous vous demandez: «Eh bien», vous–vous–vous savez que vous avez dit quelque chose, mais vous ne savez pas ce que vous avez dit.

29        Et puis, au bout de quelque temps, vous voyez quelque chose qui arrivera dans les années à venir, et vous dites ce qui va arriver à cette personne à un certain moment. Et puis, quelque temps après, après deux ou trois personnes, vous vous demandez vraiment si vous êtes ici ou là. Voyez-vous? Et vous ne comprenez pas cela. Ainsi, je vous en prie, simplement... Si vous ne.... Vous pouvez... Vous ne... Je ne le comprends pas moi-même. Ainsi, croyons simplement cela de toute façon. Je ne comprends pas comment Dieu a eu pitié de moi et m’a sauvé, mais Il l’a fait. J’en suis donc reconnaissant.

            Très bien. Maintenant, nous allons appeler environ quinze personnes pour la prière, des gens qui ont des cartes de prière. Appelons les quinze premiers. Qui a la carte de prière 1? Levez la main ; 1, 2, 3, 4, 5, levez-vous. Carte de prière numéro 1, numéro 2, numéro 3, jusqu’à 15... Très bien. De 1 à 15 ; n’était-ce pas ça? De 1 à 15. Les cartes de prière, de 1 à 15 d’abord. (Non. Merci, frère. Que le Seigneur vous bénisse ce soir pour cette révélation-là. Vous dites? Quelle lettre... Qu’avez-vous distribué?) S, S de 1 à 15, je ne pensais pas qu’il y ait une autre série de cartes de prière. S de 1 à 15, qu’on a distribué il y a quelques instants. Depuis les trois dernières soirées nous utilisons la même série que nous avons distribuée la première soirée. Mais maintenant nous avons distribué d’autres ce soir, et c’est la série S. S de 1 à 15, je vous prie. Oui, S de 1 à 15.

30        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... tous vos coeurs... Qui a écrit ce cantique? Quelqu’un le sait-il? [Un homme dit: «Paul Rader.»–N.D.E.] Paul Rader, c’est juste, peut-être qu’il l’a écrit juste ici. Etait-ce à Fort Wayne, le savez-vous, Frère Bosworth? Si Paul Rader a écrit ce cantique juste ici, ici, juste ici à Chicago... C’est donc ici même que ce cantique a vu le jour, à Chicago. Ce cantique est mon thème. Il a été chanté dans plusieurs différentes langues dans plusieurs coins du monde. Il m’a invité à l’estrade pendant les dix dernières années, je pense. Crois seulement ; tout est possible, si seulement tu peux croire. Maintenant, ayez la foi ; ayez foi en Dieu et croyez de tout votre coeur pendant que nous chantons doucement maintenant tous ensemble.

Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.

            Si l’auditoire veut bien faire ceci pour moi. Fermons simplement les yeux maintenant, et levons les mains, et disons: «Maintenant, je crois.»

Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois ;
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois.

31        Je vois mon frère qui est assis là, en train de pleurer en écoutant ce cantique. Bien des fois cela nous a invités [à la chaire], n’est-ce pas, Frère Bosworth, bien des fois? Comme le temps passe, Frère Bosworth, que l’horloge fait tic-tac pour l’éternité, je me demande ce soir si Paul Rader, là dans la Gloire... Combien ont déjà entendu ses dernières paroles, lorsqu’il se mourait? Il avait toujours un sens de l’humour. Les gens chantaient pour lui, m’a-t-on dit, et il a dit: «Tirez ces rideaux et chantez-moi de bons cantiques évangéliques pleins d’allant.» Il a dit: «Qui est en train de mourir, moi ou vous?»

            Alors ils ont tiré les rideaux et ils ont commencé à chanter les cantiques évangéliques ; il a dit: «Ça sonne mieux.» Il a appelé son frère Luc à entrer ; il a dit: «Luc, nous avons marché longtemps ensemble. Mais, penses-y, dans cinq minutes, je serai en Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Il est allé à la rencontre de Dieu...

32        Un jour, nous irons et nous le verrons, Frère Bosworth...?... Que Dieu vous bénisse, frère. Vous voulez mettre debout les frères et les soeurs...?... Revenez ici ; tenez-vous par ici...?... exactement pour que lui se tienne ici, il a une bonne foi ; il me croit, et je–j’aime cela. Vous sentez ce mur autour de vous, c’est vraiment merveilleux. Priez avec moi, Frère Bosworth. Et que tout l’auditoire prie avec moi, ainsi que vous tous les frères ici, priez avec moi partout, afin que nous puissions–nous puissions être–être d’un même accord. Maintenant, que le Saint-Esprit vienne.

            Bon, aux visiteurs qui sont parmi nous, je vous demanderais à vous tous de garder vos places pendant les quelques prochaines minutes pour le service. Le Dieu du Ciel sait que ceci n’est pas fait à titre de production théâtrale ; c’est pour Sa gloire. Je ne prétends pas être capable d’accomplir chaque miracle qui m’arrive ; je ne peux accomplir aucun miracle. C’est Dieu qui les accomplit tous ; moi, je suis un homme.

33        Hier soir, quand la vue a été rendue à cet aveugle, d’habitude j’aurais prié pour lui, mais j’ai senti que cela captiverait l’auditoire. Et j’ai demandé à Dieu de le faire, et Il l’a fait. Et jamais je n’ai vu quelqu’un, n’importe quand dans mon ministère, ou plutôt je ne crois pas que mes frères aient déjà vu quelqu’un qui n’a pas été aidé juste ici à l’estrade en passant, chaque fois sur les milliers qui sont passés. Je vois cela arriver.

            J’ai vu des aveugles se tenir sur l’estrade, pas sur cette estrade-ci, mais l’es-... et ils pouvaient lire cette Bible, revenir deux jours plus tard, incapables de voir leur main devant eux. Ils se retrouvaient parmi les incroyants. Lorsque l’esprit impur sort d’un homme, il va dans les lieux arides, il revient avec sept autres esprits plus méchants que lui. Si le maître de la maison ne se tient pas là pour protéger cet homme, alors il entrera et de force il s’emparera de lui. Mais le maître de votre maison, c’est la foi qui dit: «Dieu l’a dit.»

            Maintenant, soyez respectueux et priez de tout votre coeur en étant d’un commun accord. J’attends que Sa Présence amène l’onction sur moi. Ceci n’est qu’une chose, mon ami, c’est un don divin. Cela vient de façon aussi naturelle que lorsque vous chantez. C’est comme un de ces merveilleux chanteurs ici présents, pour eux chanter, ce n’est que... C’est juste leur voix ; ils ont reçu ce don. Mais ils devaient en atteindre la hauteur avant qu’ils puissent faire cela. Il faut que le Saint-Esprit me donne l’onction. Je dois me soumettre d’une certaine façon, afin que l’onction s’empare de moi, et ensuite viendront les visions.

34        Combien savent que Jésus-Christ, lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dit qu’«Il ne pouvait rien faire de Lui-même, sinon ce que le Père Lui montrait»? Est-ce juste? Il ne faisait rien du tout à moins qu’Il ait vu d’abord une vision. Est-ce juste. Ce sont Ses propres Paroles: Saint Jean 5.19. Il a dit: «Vous ferez la même chose»? Alors c’est Jésus le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ma prière est qu’Il vienne ce soir et nous bénisse.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends cette assemblée sous le contrôle du Saint-Esprit. Amen.

35        Amenez cette dame. Bonsoir, soeur. Maintenant, pour l’auditoire, pour cette femme, je pense que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre ; nous ne nous sommes jamais rencontrés sur terre auparavant. Mais Dieu nous connait tous les deux, n’est-ce pas? Connaissez-vous quelqu’un dans cet auditoire? Connaissez-vous des gens dans cet auditoire? Très bien. Cela montre alors que vous êtes témoin de ceci, de ce qui se passe. Maintenant, je n’ai jamais vu cette dame. Je n’ai ja-... C’est la première fois que je la vois de ma vie. Elle se tient juste là, une femme, c’est tout ce que je sais d’elle ; elle se tient là. Dieu sait que c’est la vérité.

            Eh bien, Dieu connait le motif de sa présence ici. Moi, je l’ignore. Je ne pourrais pas vous le dire. Il se peut qu’elle ait un cancer ; il se peut qu’elle ait une tumeur. Je ne sais pas ce qu’elle a. Je ne le sais même pas. Il se peut qu’elle soit une pécheresse ; il se peut qu’elle soit une chrétienne. Je ne le sais pas. Il se peut qu’elle soit une alcoolique ; il se peut qu’elle soit une toxicomane. Je–je ne le sais pas. Il se peut qu’elle soit une critiqueuse. Je ne le sais pas. Mais Dieu le sait. Alors, s’Il le veut, Dieu peut me révéler exactement son problème.

            Eh bien, comment Jésus a procédé lorsqu’Il a rencontré une femme de ce genre? Il s’est mis à lui parler ; Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Oh ! Il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose à nous les Samaritains ; nous n’avons pas de relations.»

            Il a dit: «Mais si tu savais à qui tu parlais, tu M’aurais toi-même demandé à boire.»

36        Elle a dit: «Eh bien, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.» La conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a découvert son problème. Que, pensez-vous, est arrivé là-bas? Eh bien, rappelez-vous, voici Ses Paroles: «En vérité, en vérité (C’est-à-dire absolument, absolument), Je vous le dis, Je ne peux rien faire à moins que le Père Me le montre.»

            Pourquoi a-t-Il renvoyé Ses disciples, et ensuite Il est monté sur la montagne, ce soir dans notre passage? Il... Le Père Lui avait montré, Il allait marcher sur l’eau, jusque là où ils se trouvaient. Certainement. Le Père Lui avait montré cette femme. Eh bien, Il avait pris le chemin qu’il ne fallait pas. Il est monté loin vers la Samarie au lieu de descendre à Jéricho, en descendant directement la colline, en descendant directement la route. Il a fait un détour vers la Samarie. En effet, le Père Lui avait dit: «Il y a une femme qui viendra là.» Alors Il devait découvrir ce qui n’allait pas chez cette femme. Ainsi, oint tel qu’Il l’était, Il lui a parlé jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit. Et quand Il a saisi son esprit, Il a vu ce qu’était son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as cinq.»

37        Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons que c’est ce que fera la venue du Messie. Nous savons que c’est ce que le Messie fera, quand Il viendra ; Il nous annoncera toutes choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Or, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que ferait-Il si cette femme venait ici? Il lui parlerait un instant, ne le pensez-vous pas, pour voir ce que le Père dirait. Maintenant, je vais faire la même chose, lui demander... Si le Messie, Christ, le Saint-Esprit vient et m’oint, Il me révélera ce qui ne va pas chez elle, le motif de sa présence ici. Ma prière est qu’Il l’accorde pour Sa gloire, et afin que vous puissiez croire en Lui, le Fils de Dieu ressuscité.

            Maintenant, juste pour vous parler un instant, soeur... toujours avant... Vous êtes consciente que l’onction du Saint-Esprit est ici. Maintenant, cette femme, je ne l’ai jamais vue, mais je–je détourne d’elle ma tête, et je m’éloigne, afin que... pour ne pas la regarder. Puis je reviens par ici ; je sais qu’elle sait qu’il se passe quelque chose. Je pense qu’on avait ici cette photo il y a quelques instants, celle de l’Ange du Seigneur ; c’est exactement ce que vous–vous ressentez maintenant.

38        Maintenant, pour vos amis qui sont là et qui vous connaissent, qui savent qui vous êtes, et peut-être qui savent pourquoi vous êtes ici, je ne sais pas, mais... savent ce qui ne va pas chez vous... Eh bien, si vous avez une sensation vraiment étrange, pas étrange, une sensation glorieuse, calme, humble, autour de vous, l’onction, si c’est exact, levez la main afin que les gens voient. C’est juste.

            Hier soir, plusieurs personnes ont vu l’Ange du Seigneur qui se tenait ici à l’estrade. D’autres ne L’ont pas vu ; ce n’est pas tout le monde qui a vu l’étoile, l’Etoile du matin qui conduisit les mages vers Christ, mais ceux qui l’attendaient, ceux à qui cela était donné de la voir. Et la dame est consciente, de même tous ceux qui viendront ici seront conscients de Cela. Ils seront conscients qu’il se passe quelque chose.

            Frère Bosworth, il y a quelques instants lorsque cela est venu ici de la droite, et m’a touché, en se tenant tout près, ce frère me croit au point que cela l’a touché là derrière. Il était là en train de pleurer.

39        Maintenant, et en continuant cette conversation avec vous pour découvrir avec l’aide de Dieu ce que serait votre problème, le motif de votre présence ici, je vous parle quelques instants afin de saisir le canal de votre esprit humain. Je suis un homme ; vous êtes une femme. C’est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie. Mais Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas?

            Vous êtes une personne nerveuse, mais ce n’est pas pour cela que vous vous tenez ici. Vous vous tenez ici, et vous avez ce mouchoir dans la main, et cela doit aller vers une amie malade. C’est juste. Cette amie malade souffre d’un–un cancer. Et cette amie... Ce cancer se situe au niveau du sein. Je vois qu’un médecin a fait quelque chose ; il a ôté un sein ; il a fait l’ablation d’un sein. Et vous avez apporté le mouchoir afin que je prie dessus, et vous êtes censée l’envoyer à votre amie. Elle habite ici dans l’Illinois. Ces choses sont-elles vraies? Si c’est le cas, voudriez-vous...?... me donner votre mouchoir.

40        Maintenant, Dieu notre Père, que la puissance du Seigneur Jésus-Christ qui se tient ici maintenant, et pendant que l’onction agit, j’impose les mains à son amie et demande que la puissance de Jésus-Christ accompagne ce mouchoir ; et que l’ennemi, le diable, quitte cette femme, et qu’elle puisse vivre. Au Nom de Jésus-Christ, j’envoie ce symbole. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Dites-lui de m’écrire pour me donner le témoignage d’ici.

            Très bien, soyez révérencieux ; ayez la foi. Croyez-vous?

            Madame, je vous ai vue monter vers la ligne de prière et vous asseoir de nouveau avec ce bébé. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’avez pas de... La dame qui est assise là avec ce bébé qui pleure, je vois le petit bébé pleurer. Vous n’avez pas de carte de prière? Très bien. C’est très bien.

41        Le père là derrière, croyez-vous que le–que le bébé va se rétablir? Croyez-vous, vous aussi, maman, que le bébé va se rétablir si je le demande à Dieu? Maintenant, je veux que vous imposiez tous les deux les mains au bébé. Le problème se situe à la tête, et vous êtes tous venus de très loin, n’est-ce pas? Vous venez de l’Etat du Kentucky, n’est-ce pas? Approchez, n’est-ce pas juste? Très bien.

            Seigneur Jésus de Nazareth, que ce démon quitte cet enfant, qu’il sorte de lui au Nom de Jésus-Christ, alors qu’aucune autre main comme celle de cette mère ne pourrait se poser sur lui donc en dehors de celle de Dieu, je demande que le bébé se rétablisse au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant. Vous pouvez partir, et que le bébé vive et soit de nouveau normal.

            Que Dieu vous bénisse. Ne doutez pas, soeur. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, mais Dieu sait tout à votre sujet, n’est-ce pas ça? N’ayez donc pas peur, Celui qui connaît toutes choses... Le mal a quitté le bébé ; continuez simplement de croire. Et le bébé, vous remarquerez une grande différence en lui dans les prochaines vingt-quatre heures, ce sera un enfant différent. Croyez simplement cela maintenant et allez de l’avant. Amen.

42        Très bien, que tout le monde soit révérencieux. Ayez... Ayez simplement la foi. Juste un instant. Oh ! inclinez la tête. Voici un démon de surdité qui se dirige vers moi maintenant. Il est sur cet homme qui se tient ici. Je pensais que c’était dans l’auditoire. Inclinez la tête maintenant, jusqu’à ce que nous puissions l’amener à entendre, et alors nous lui parlerons. Que tout le monde soit révérencieux, et inclinez la tête.

            Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Ta bénédiction sur notre frère qui se tient ici, attendant ce soir d’être délivré du mal. Oh ! Toi le Tout-Puissant, fais que Ton serviteur ce soir soit obéissant à Ta Parole. Et je Te prie de le guérir. Ôte de lui ce mal.

43        Satan, au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure de quitter cet homme ; sors de lui.

            Maintenant, gardez toujours vos têtes inclinées un instant. M’entendez-vous, frère? M’entendez-vous...?...

            Vous pouvez redresser la tête. M’entendez-vous? Dites: «Oui», très fort. M’entendez-vous maintenant? Maintenant, vous aussi, en dehors de cela, quelque chose que vous ne voyez pas, vous avez une tumeur et cette tumeur se situe dans la mâchoire. Est-ce juste? Croyez-vous que je suis Son prophète? Et il n’y a pas que ça, mais vous venez de la ville de Zion, dans l’Illinois, n’est-ce pas? Rentrez chez vous maintenant ; vous êtes rétabli. Jésus-Christ vous rétablit. Amen. Il était juste un peu sceptique au début, il ne comprenait pas.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Le seul problème, c’est qu’il ne comprenait pas au départ, afin qu’il sache que Dieu connaît toutes choses. Vous voyez? Très bien.

            Très bien, amenez le patient. Soyez révérencieux maintenant. Ne doutez pas ; croyez simplement de tout votre coeur.

44        Bonsoir. Je pense que vous et moi sommes des inconnus l’un pour l’autre. Nous le sommes. Nous ne nous connaissons pas. C’est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie, un tableau vraiment typique de Jésus avec la–avec la femme samaritaine. C’étaient deux races différentes. L’un était Juif, et l’autre une Samaritaine. Maintenant, voici un Blanc et une personne de couleur ensemble. En ce temps-là, c’était un peu différent, comme les petits conflits qu’il y avait dans le passé entre les Blancs et les hommes de couleur. Mais Jésus leur a révélé que Dieu était le Père de toutes les nations. Est-ce juste? Il ne regarde pas si vous êtes Jaune, ou Blanc, ou Noir, ou Brun. Tous les murs de séparation ont été renversés ; Jésus-Christ est mort pour tous les êtres humains du monde. Croyez-vous cela? Je le crois de tout mon coeur.

45        Et nous venons de rentrer d’Afrique, là-bas où nous avons servi, et avons vu trente mille personnes se convertir lors d’un seul appel à l’autel. Et ils sont vraiment humbles et aiment le Seigneur. Nos coeurs brûlent de retourner encore chez eux.

            Etant des étrangers et ne nous connaissant pas... Mais vous n’êtes pas de cette ville ; vous venez d’une ville qui est dans une–une–une contrée ondulante. C’est une grande contrée où l’on cultive le blé. C’est l’Oklahoma. Vous venez de l’Oklahoma. Et vous êtes en visite ici. Vous êtes ici pour rendre visite à une bien-aimée ; cette bien-aimée est une soeur. Et vous êtes ici pour qu’on prie pour votre diabète. Et ce diabète a envahi votre corps. Et à votre pied droit, cela a rongé et a fait un trou. Est-ce juste? Maintenant, je vais vous renvoyer dans l’Oklahoma en bonne santé.

46        Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, je condamne ce démon qui suce le sang. Et puissent la croix du Calvaire et la transfusion de sang... et que ce diabète sucré se change en un état normal d’un bon sang riche, au Nom de Jésus-Christ et par Son Sang. Amen. Partez sans douter de quoi que ce soit, et en vous réjouissant. Très bien.

            Gloire soit rendue à Dieu! La femme y arrive seulement maintenant ; elle ne comprenait pas ce qui s’était passé jusqu’à l’instant. Qu’est-ce? Elle a été guérie. Voyez-vous? Lorsqu’elle se tenait là sous l’onction de cet Esprit, elle ne comprenait pas ce que C’était ; c’est maintenant qu’elle est revenue à elle pour comprendre ce que Cela était.

            Qu’en pensez-vous, vous là-bas, monsieur, le petit homme qui est assis là, souffrant de l’asthme? Croyez-vous? Je vous vois tendre la main là pour prendre quelque chose. Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu va vous guérir de cet asthme? Vous souffrez aussi du rhume de foin, n’est-ce pas? Je vous vois tout le temps vous pincer le nez. N’est-ce pas ça? Si c’est ça, levez la main là. Très bien, levez-vous. Acceptez-vous votre guérison maintenant?

47        Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, que cet homme soit rétabli pour Ta gloire. Amen. Gloire à Dieu !

            J’aimerais vous demander quelque chose, monsieur, lorsque cette femme a descendu les marches en se réjouissant comme cela, cela vous a fait du bien, n’est-ce pas? Cela vous a donné le sentiment que vous alliez vous aussi être guéri. C’est alors que Dieu a exaucé votre prière. Que Dieu vous bénisse maintenant.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez, tout est possible.

48        Très bien, voici la dame. Vous êtes près du Royaume, madame, vous qui êtes assise là en train de me regarder. Cette Lumière se tient juste au-dessus de vous, c’est la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? La dame qui est à côté de vous souffre du coeur. Imposez-vous les mains l’une à l’autre.

            Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, alors que Tu es au-dessus de ces femmes, que les troubles cardiaques les quittent et qu’elles s’en aillent et soient rétablies, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que les bénédictions de Dieu soient sur vous. Ayez simplement la foi.

            Vous souffrez de la colonne vertébrale, n’est-ce pas, monsieur qui êtes assis là? Oui. Vous n’avez pas... Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’avez pas de carte de prière, je dis. Pas de carte de prière. Alors, levez-vous un instant. Levez votre... Un homme en chemise verte, c’est sur lui que Cela se trouve maintenant même, fiston, un instant. Je voudrais voir ce qui va lui arriver un instant.

49        Très bien, croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète? Son serviteur? Croyez-vous cela? Votre mal de la colonne vertébrale vous a quitté, monsieur. Faites le mouvement dans tous les sens comme ceci. Je vous l’ai dit ; c’est parti, vous êtes libre maintenant. Rentrez chez vous ; vous êtes en bonne santé ; votre foi vous a guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez simplement de tout votre coeur.

            Est-ce le patient? Excusez-moi. Cela fait trois ou quatre soirées de réunions ; c’est que je m’épuise beaucoup maintenant, je deviens très faible.

            Vous souffrez de quelque chose au niveau de la poitrine ; c’est une tumeur. Vous êtes aussi nerveuse, il s’agit d’une maladie de femmes. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de Cleveland, dans le Tennessee. Est-ce juste? Maintenant, rentrez chez vous en croyant au Seigneur Jésus-Christ pour que vous soyez rétablie. Je condamne le démon qui tourmente ma soeur et lui ordonne de la quitter, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant, soeur, et soyez rétablie.

            Merci. Ayez simplement la foi, là-bas. Je–je suis désolé. Pour certains qui m’ont écrit des lettres, je m’affaiblis. Je–je n’y peux rien. Je... C’est quelque chose dont je n’ai pas le contrôle. Je vais l’expliquer peut-être plus tard.

50        Cette dame qui vient de partir, c’est cette dame qui a été guérie à l’instant, qui s’assied juste par là? Etes-vous la dame qui a été guérie? Oh ! je vois. Juste là? Oui. Oh ! imposez la main à la dame qui est à côté de vous, là-bas ; elle souffre de l’hypertension, elle voudrait se débarrasser de cette hypertension. N’est-ce pas ça, madame? Très bien, imposez-lui la main, soeur, vous qui venez d’être guérie. Père, au Nom de Jésus-Christ, que cette hypertension tombe maintenant pour Ta gloire. Amen. Acceptez-vous cela, soeur? De tout votre coeur? Je vois. Que Dieu vous bénisse, soeur.

51        Il y a une autre femme de couleur assise juste derrière vous, elle est assise là derrière, une personne de couleur. Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas, madame, qui êtes assise là avec un petit capuchon? Et vous avez eu une attaque d’apoplexie. Vous êtes guérie. Vous avez perdu beaucoup de poids ; je vous vois lorsque vous étiez une personne corpulente. Vous avez perdu plusieurs kilos, n’est-ce pas? Votre apoplexie est complètement partie ; levez les mains. Levez... Sautillez. Madame, vous êtes guérie ; glorifiez Dieu. Vous êtes maintenant en bonne santé. Que la paix de Dieu soit avec vous.

            Alléluia ! Vous pensez que je suis fou, mais je suis dans la voie à laquelle Dieu a pourvu. Ainsi cette réunion se trouve dans la voie à laquelle Dieu a pourvu. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et vous serez guéri, chacun de vous.

52        Très bien, amenez le patient. Croyez-vous que ces troubles cardiaques vous ont quitté pendant que vous étiez assis juste là dans le fauteuil? Cela vous a quitté. Maintenant, partez et réjouissez-vous ; c’est ce qu’il faut pour avoir la foi et être en bonne santé.

            Approchez, madame. Croyez-vous que ces maux d’estomac vous ont quittée pendant que vous étiez assise là? Allez prendre votre souper alors. Au Nom de Jésus-Christ, soyez rétablie. Ayez la foi.

            Croyez-vous que la même chose vous est arrivée? Très bien, alors partez et soyez rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Ayez la foi maintenant ; croyez de tout votre coeur.

            Monsieur, croyez-vous que vous êtes guéri, vous qui êtes assis là sur la chaise? Vous croyez ; venez ici, que je vous impose les mains. C’est ce que vous vouliez que je fasse. Au Nom de Jésus-Christ, soyez rétabli. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

53        Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.] Oh ! la la ! Quelque chose a alors survolé cette salle, juste à l’instant, comme une Lumière. Vous verrez après que je serai parti d’ici. Demain soir, il y aura des gens qui rendront témoignage de leur guérison et qui ne s’en rendent pas compte présentement. Il se passe quelque chose.

            Très bien. Cette maladie de femmes vous a quittée ; partez en vous réjouissant et en étant heureuse, au Nom de Jésus.

            Ayez la foi. Maintenant, vous avez la foi qu’il faut.

            Les troubles cardiaques, ce n’est rien ; Dieu est capable de guérir toute maladie, n’est-ce pas? Cela vous a quitté, frère. Partez, en vous réjouissant et puissiez-vous...

            Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»

54        Croyez-vous que Jésus-Christ vous a guérie maintenant alors que vous passez? Au Nom du Seigneur Jésus, qu’elle soit complètement rétablie. Amen. Partez, en remerciant Dieu et en vous réjouissant.

            Oh ! la la ! (Où va cette eau?) Qu’est-ce que cela représente pour notre Père céleste de guérir l’arthrite? Eh bien, Il peut le faire facilement, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Voulez-vous m’obéir en tant que Son serviteur? Levez la main. Soulevez vos pieds comme ceci, martelez le sol. Toute votre arthrite est partie maintenant. Quittez l’estrade en vous réjouissant. J’oins ce mouchoir ; en effet, vous en avez besoin pour un ami. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant et en étant heureux.

            Gloire à Dieu !

55        Frère, Dieu peut guérir ce diabète aussi facilement qu’Il guérira un mal de dent, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il le fait? Vous recevrez alors ce que vous avez demandé. Ne doutez point, au Nom de Jésus-Christ.

            La pire de toutes les maladies au monde, c’est la maladie du coeur. Mais Dieu peut la guérir ; ne le croyez-vous pas? Alors, vous recevrez cela, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Approchez, soeur. Croyez-vous? Croyez-vous que je suis Son serviteur? De tout votre coeur? Je vois qu’il y a une table entre vous et moi. Vous vous en éloignez. Vous souffrez de l’estomac. Partez, prenez votre souper maintenant. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit.

56        Y a-t-il ici quelqu’un qui veut être guéri? Levez la main. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Si Dieu peut chasser d’ici les démons des sourds, des aveugles et ainsi de suite, Il peut le faire là-bas. Voilà partir... Nous sommes... Frère Bosworth, venez ici. Offrons la prière de la foi.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus-Christ, agis ce soir. Et je chasse chaque esprit méchant de cet auditoire maintenant même, pour la guérison de tous les malades et de tous les affligés par Jésus-Christ.

Up