La Loi

Date: 55-0115 | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          J’étais... Une fillette s’était présentée à la réunion ; beaucoup parmi vous ont vu cela. C’est dans We The People que l’article a été publié. Une fillette aveugle [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... dans beaucoup... Et ainsi les gens... La fillette m’a saisi et elle n’a simplement pas lâché. C’était une–une–une fillette, elle portait des lunettes, et elle était sérieusement aveugle. Elle pouvait voir des ombres, mais je pense que c’est pratiquement tout ce qu’elle pouvait voir. Je ne... Excusez-moi. Je ne crois pas qu’elle pouvait même voir des ombres. Je–je ne pense même pas. Je ne me souviens pas du cas à l’instant même, mais la nuit précédente un petit enfant au pied bot qui portait depuis des années un appareil orthopédique... Et le Saint-Esprit a parlé et leur a dit combien de temps cela faisait, quatre, cinq ans qu’il était dans cet état-là, et ce qui allait se passer. Et alors, la mère s’est avancée là, et elle a défait les lacets de l’enfant ; et le voilà qui traversait l’estrade, marchant normalement.

2          Et c’est là qu’un homme qui était dans un fauteuil roulant... Madame Morgan, qui était infirmière chez Mayo, avait été guérie du cancer. Elle figure sur la liste des gens décédés, qui sont décédés depuis huit ans, pense-t-on. Mais elle continue à servir comme infirmière. Eh bien, parce que le Seigneur Jésus l’avait guérie. Et le cas de cet homme la préoccupait. Eh bien, on peut lui donner une carte de prière, mais pour ce qui est de l’appeler dans la ligne de prière, ça, nous ne pouvons pas. En effet, c’est... nous... Pour faire cela, ça doit être la souveraineté de Dieu. Nous distribuons de nouveau des cartes chaque jour. Et peu importe le nombre qui me vient à l’esprit, j’appelle simplement quelques personnes, et je sens que c’est ce que Dieu désire (Voyez-vous?), tous ceux qu’Il choisit. De cette façon-là, si... Personne ne sait exactement par quel numéro on commencera. Et les frères qui distribuent les cartes, Billy et parfois frère Woods, et parfois tout celui qui l’aide, ils... Le... Ils ne savent pas par quel numéro on commencera. Et moi, non plus. Je viens tout simplement et je choisis là-dedans.

            Et chaque soir lors des réunions, le pauvre homme n’en recevait pas. Et il était... C’était la dernière soirée de la série de réunions. Et on l’avait transporté, et on l’avait étendu là. Il essayait de se tortiller ; il était étendu sur le dos. Et j’ai eu une vision, montrant que le Seigneur Jésus l’avait rétabli. Ainsi je devais... Selon la vision, je devais aller le toucher. Je ne sais pas pourquoi ; cela n’était pas... juste pour obéir à ce que Dieu avait dit de faire, c’est tout.

3          Et alors, pendant que je descendais pour–pour le toucher, là, il y avait un homme qui était tout recroquevillé à la suite de l’arthrite, cet état chronique qui avait fait que ses doigts et tout étaient devenus noueux. Et quand je passais, dès que je l’ai touché, l’homme s’est levé et il s’est mis à sautiller hors de son fauteuil roulant, où on l’avait fait asseoir. Cet autre vieil homme a en quelque sorte touché mes vêtements ou quelque chose comme ça, et il est passé... Eh bien, vous savez qu’il n’y a rien dans ma veste ni dans mes vêtements pour guérir. Il n’y a rien en moi. C’était quelque chose sur lequel il pouvait reposer sa foi (Voyez-vous?), quelque chose auquel il croyait.

            Et environ une semaine après, l’homme qui était guéri et qui avait quitté le fauteuil roulant descendait la route au volant de sa voiture, et il a regardé dans le champ, et il y avait un homme qui labourait à l’aide d’un tracteur, et ils se sont reconnus. L’homme qui était là, c’est celui qui était sur la civière. Alors d’un bond ils ont sauté, l’un de la voiture et l’autre du tracteur, et ils ont accouru et se sont étreints, en sautillant tout simplement, en louant le Seigneur.

            Et c’est à partir de la guérison de cet homme qui avait quitté le fauteuil roulant que j’ai été invité à prier pour le roi George d’Angleterre ; en effet, c’était un–un ami de son secrétaire privé qui m’a envoyé chercher pour que je prie pour lui. Et le roi fut guéri de la sclérose en plaques. Et je crois qu’il ne pouvait rester debout que pendant un certain temps, ou quelque chose comme ça. Je ne me souviens pas. J’ai cela couché sur papier chez moi, et c’est scellé de son sceau.

4          Eh bien, ce soir-là, la fillette aveugle a recouvré la vue. La manière dont le Bienveillant Seigneur Jésus a donné... a redonné la vue à cette fillette, c’était certainement un miracle. Et elle en était tellement heureuse. Et cela a causé une grande agitation partout. Et We The People a publié cela. Ce–ce magazine est imprimé en plusieurs langues, c’est l’un des plus grands... Eh bien, cela contient des articles sur, oh, sur la science et la religion et ainsi de suite. Et puis vous, fidèles des Assemblées de Dieu, cela a paru aussi dans votre journal. Plusieurs magazines qui parlent de la guérison ont publié cela. Et pour cela, que toute la gloire soit rendue à notre Seigneur Jésus pour avoir accompli cela.

5          Il y a quelques instants j’ai entendu frère Boze dire: «Les gens sont venus de loin, à des kilomètres d’ici.» C’est le cas. Peut-être que je reçois des lettres là-bas des gens à partir de leurs hôtels et tout, qui sont venus de très loin, de différents coins du pays, et qui disent : «Eh bien, nous avons effectué un long trajet en voiture ; nous sommes arrivés ; nous avons emmené un enfant malade. Nous...» Et puis ils donnent le témoignage. Peut-être le lendemain je reçois une autre lettre qui dit : «Le Seigneur l’a guéri hier soir en cours de route, nous rentrons chez nous heureux.» Et puis... Nous sommes donc reconnaissants pour toutes ces choses. Que le Seigneur soit loué.

6          Et maintenant, je constate qu’il ne reste dans la salle qu’un seul fauteuil roulant, ou plutôt un seul lit de camp ; il n’y en a pas d’autres. Et j’ai appris l’autre soir qu’une dame a été guérie de quelque chose, elle venait de chez les frères Mayo, il y a eu une vision sur elle et elle a été guérie. Et il y a une jeune fille assise ici dans un fauteuil roulant. Ma chère soeur, j’espère que tu ne seras plus assise là d’ici une heure. Jésus-Christ t’a rétablie et t’a fait sortir de là. J’aurais souhaité pouvoir faire quelque chose à ce sujet, par exemple descendre et te rétablir. Chère soeur, j’ai aussi une fillette à la maison ; elle n’a que huit ans, mais je me dis, qu’en serait-il si c’était elle qui était assise dans ce fauteuil roulant? Je serais heureux que Jésus la guérisse. Je serais heureux s’Il te guérissait. Je ne peux faire que ce qu’Il me dit de faire ; tu comprends cela. Tu pries. Je crois que c’est Sa volonté de le faire. Si ta foi peut tout simplement monter jusqu’à ce niveau-là, ce sera terminé. Ainsi...

            Ça, c’est une chose ; on ne comprendra jamais en étant assis dans la salle que l’on voit les uns, peut-être que l’on voit quelqu’un assis ici, souffrant terriblement, et un autre assis ici qui n’est pas très malade, mais que celui qui souffre soit guéri et cet autre-là reste malade. Et il arrive parfois que celui qui souffre reste ainsi tandis que celui qui n’est pas dans un état grave soit guéri.

7          Il y a quelques soirées ; il se pourrait peut-être que la personne soit ici dans la salle ce soir. Ce sont les gens qui viennent de cette instit-... grande école par ici, cette université. Ils ont dit, ont écrit une lettre, disant : «Frère Branham, nous avons essayé de vous contacter partout dans le pays pour la fille qui s’en était allée et qui était perdue depuis une année ou deux», ou quelque chose comme cela. Et le FBI considérait la fille comme morte, ou quelque chose comme ça. Elle avait laissé tomber une espèce de... oh ! je pense, le trafic de drogue ou quelque chose de ce genre dans lequel elle était impliquée. Elle est partie avec un homme ou quelque chose de ce genre, et c’est la seule trace qu’on avait d’elle. Et ils se sont dit que peut-être s’ils me demandaient de prier, que le Seigneur me donnerait une vision de ce qui s’était passé.

            Et il y–il y a beaucoup de gens ici qui viennent de différents coins, pensez tout simplement à vous-même et pensez à quelque part où vous avez vu ou entendu quelqu’un d’autre en parler, chaque fois qu’Il annonce ce qui va se passer, c’est chaque fois ainsi. Ainsi vous voyez qu’il ne s’agit pas de votre frère, car je ne suis que... je pourrais... juste un homme.

8          Mais ce jour-là j’avais tant de différentes choses pour lesquelles je devais prier. Il y avait des enfants malades et affligés et tout. Je me suis dit : «Oh ! la la !» Je suis rentré ce soir-là et j’ai prié jusqu’à vingt-trois heures. Je suis entré dans ma chambre et je suis allé me coucher. Le lendemain matin je me suis réveillé vers trois heures trente ou quatre heures, et je me suis dit : «Eh bien, je me demande pourquoi Il m’a réveillé à cette heure.» Je me suis levé, j’ai allumé la lumière, j’ai lu un chapitre de la Bible et j’ai attendu un petit moment. Et quelque temps après je suis parti encore me mettre au lit. Et j’ai levé les yeux, et j’ai vu une jeune dame qui venait en marchant. Elle était vêtue d’un tailleur en velours brun (Je crois que c’est comme cela que ça s’appelle), la veste et la jupe étaient des pièces séparées, vous savez. Et ainsi, elle marchait comme cela, elle avait des cheveux plutôt roux, couleur sable, roux foncé, une jolie fille, un peu corpulente. Et elle souriait. Elle rentrait chez elle.

            J’ai donc compris que c’était quelque chose que le Seigneur voulait. Alors dès que le jour s’est levé, nous avons demandé à notre–notre... à mon épouse, plutôt, de téléphoner à une soeur qui avait reçu la lettre ; cela ne portait aucune description. Et elle a téléphoné, et c’était la fille en question. C’était elle, la description selon laquelle elle était rousse, avec des cheveux blonds roux, et elle rentrait chez elle. Combien le Seigneur est merveilleux !

9          Ce matin-là, je voyais constamment devant moi un petit bébé. J’ai téléphoné au bureau, et ils ont lu toutes les–les listes qu’on n’avait pas encore envoyées. Je me suis dit : «Ô Dieu, où se trouve cet enfant?» J’ai regardé de nouveau, j’avais la liste à la maison, je l’ai relue, il n’y avait pas de bébé. La seule chose que j’avais, c’était un petit enfant d’environ cinq ans, atteint du cancer dans les deux yeux, dans le Kentucky. Mais le Seigneur ne cessait de dire : «Un petit bébé.» Je continuais à chercher, me demandant où pouvait se trouver ce bébé. Il n’y avait aucune vision. Je... Mais je savais qu’il était là ; c’était un petit bébé.

            Et je me suis souvenu que pendant que j’étais assis dans mon tabernacle, environ deux semaines auparavant, une fillette avait chuchoté à mon oreille : «Priez pour le bébé de ma soeur.» Je me suis dit : «C’est la fille du Révérend Ledford», un évangéliste baptiste. Je suis certain que c’est elle qui m’a dit cela. Eh bien, j’ai téléphoné, j’ai trouvé son nom dans l’annuaire, et j’ai appelé le révérend Ledford. Mais il n’était pas chez lui.

10        Alors j’ai de nouveau téléphoné à mon bureau, et le secrétaire a dit : «Eh bien, il a épousé dans cette ville-ci une fille répondant au nom de... j’oublie... Thompson, je crois que c’était ça, ou quelque chose comme... Jackson, Jackson.» Alors il a dit... Elle m’a donné le... le nom de son père, Thomas Jackson. Alors je les ai appelés, et j’ai dit : «Je suis frère Branham.» J’ai dit : «Je ne veux pas que vous soyez... pensiez que je suis mentalement dérangé, mais...»

            Et elle a dit : «Pourquoi, Frère Branham?»

            Et j’ai dit : «Eh bien, ce matin, pendant les deux dernières heures, en revenant du bureau, ai-je dit, un petit bébé apparaît constamment devant moi.» Et j’ai dit : «Et dès que j’ai pensé à la petite... votre petite-fille qui m’a chuchoté à l’oreille, l’enfant du révérend, disant que le bébé de sa soeur était malade...» J’ai dit : «Le Saint-Esprit venait de me prévenir que c’était le bébé en question.»

            Et elle s’est mise à pleurer. Et elle a dit : «Frère Branham, a-t-elle dit, bien sûr que je vous connais. Je–je fréquente votre église.» Bien entendu, je ne reste pas là assez longtemps pour savoir qui vient. Elle a dit : «Je comprends.» Elle a dit : «Combien notre Seigneur est merveilleux !» Elle a dit : «Le bébé est inconscient depuis les dix derniers jours. Il n’y a rien à faire pour lui. Les médecins l’ont abandonné. Il est à l’hôpital, et ce matin on lui administre une transfusion sanguine. Le père et la mère, la raison pour laquelle ils n’ont pas répondu, c’est qu’ils sont là-bas, car ils s’attendent à ce que l’enfant meure à tout moment.»

11        Et je sais comment on donne une transfusion sanguine à un bébé, c’est à partir de la veine, et l’aiguille est placée ici à la tête. Vous voyez? Et c’est très... Et ça semble très douloureux pour le petit, mais c’est là qu’ils peuvent trouver la veine. Et j’ai dit : «Eh bien, je vais attendre environ une heure que la transfusion sanguine soit terminée, alors j’irai à l’hôpital.»

            Elle s’est mise à pleurer, disant : «Frère Branham, pensez-vous que le bébé...»

            J’ai dit : «Je n’ai aucun doute du tout, le bébé vivra.» J’ai dit–j’ai dit : «J’en suis vraiment convaincu.»

            Elle a dit : «Oh ! Frère Branham, je le crois de tout mon coeur. Puisque vous le dites, je le crois.»

            J’ai dit : «Ne dites pas cela parce que je l’ai dit ; dites-le non pas parce que c’est une vision, mais parce que c’est une révélation. Je savais... J’avais oublié ce qu’il en était du bébé, mais... et Dieu me l’a de nouveau révélé.» Alors j’ai dit : «Je vais prier pour le bébé maintenant et je vais prier pendant une heure, ensuite j’irai à l’hôpital.»

12        Et, les amis, eh bien, un... L’hôpital pourrait vous en donner un rapport, ainsi que le père et la mère. Je suis allé à l’hôpital environ une heure après, ou peut-être une heure et demie après. La mère se tenait là, m’attendant, avec un très grand sourire sur le visage. J’ai dit : «Bonjour.» J’ai dit : «Etes-vous madame Ledford, la–l’épouse du révérend D. W. Ledford?» Il...

            Elle a dit : «Oui.» Elle a dit : «Vous êtes Frère Branham. Ne vous souvenez-vous pas de moi?»

            J’ai dit : «Je crois vous avoir déjà vue, soeur.»

            Elle a dit : «Eh bien, nous sommes venus plusieurs fois à l’église.» Elle a dit : «Bien entendu, depuis votre départ, je sais, a-t-elle dit, que mon mari a prêché dans votre église.» Et j’ai dit : «Eh bien, j’en suis reconnaissant.» Et les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Je me suis dit : «Eh bien, ceci... Il doit s’être passé quelque chose.»

13        Alors elle a dit : «Révérend Branham, a-t-elle dit, ma mère venait de m’appeler il y a environ une heure.» Et elle a dit : «Elle m’a rapporté ce que vous aviez vu et ce qui s’est passé ce matin.» Elle a dit : «Je suis ici avec le bébé ; on s’attendait à ce qu’il meure à tout moment.» Et elle a dit : «Je... Les médecins ne savent même pas ce qu’il avait.» Elle a dit : «Nous savons une chose : il était diabétique.» Et il n’a que cinq mois. Et elle a dit : «Il est diabétique, et je ne me rappelle pas tout ce qu’ils ont trouvé, mais ils ignorent ce qui le rendait pratiquement inconscient.» Et elle a dit : «Je me suis entretenu avec ma mère. Quand ma mère m’a parlé, a-t-elle dit, j’étais certaine au fond de moi-même que mon bébé vivrait.» Elle a dit : «Quand je suis retourné, il gigotait, il faisait gou–gou et riait.» Elle a dit : «Venez le voir.» Alors elle a dit : «J’attends simplement que les médecins viennent pour le renvoyer à la maison», le docteur Roby de Jeffersonville.

            Je suis donc entré là, et le petit tenait son biberon comme ceci, et il buvait tout simplement. Il m’a regardé et cette petite bouche édentée a ri comme cela, puis il a ramené son biberon à la bouche. Sa mère a essayé d’arracher le biberon. Oh ! non, il l’a récupéré. Le médecin est venu et il a examiné ce bébé, il a dit : «Ramenez-le à la maison...?... il n’a aucun problème.»

            Voyez-vous? Il est mieux de suivre la conduite du Saint-Esprit. Si seulement nous les chrétiens, nous pouvions nous calmer (Voyez-vous?), si nous n’étions pas dans un tel empressement. Calmons-nous. Une seule visite du Seigneur représente plus que dix mille de nos propres efforts humains. Croyons en Lui de tout notre coeur. Il est si aimable.

14        Bon, ce soir, c’est samedi soir ; demain matin vous allez vous lever pour aller à l’école du dimanche. [Un frère dit : «Pouvons-nous augmenter le volume de l’amplificateur? Je me demande, je suis désolé pour ceux qui sont assis derrière, il leur est un peu difficile d’entendre.»–N.D.E.] Le–l’ingénieur, qui que ce soit qui règle cela...

            Maintenant, j’aimerais que vous ouvriez ce soir avec moi une Ecriture pour la lecture. Et maintenant, nous avons confiance que le Seigneur va venir à notre rencontre par Sa Parole. Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Il est toujours dans Sa Parole.

            Maintenant, en principe demain soir serait notre dernière soirée. D’habitude nous ne restons que cinq soirées, de trois à cinq soirées. Mais nous allons continuer jusqu’à la semaine prochaine, le Seigneur voulant, nous allons carrément continuer. Ainsi nous... J’aimerais faire de façon à ne pas tout donner à la fois. Je vais parler au sujet de la Parole pendant un moment et beaucoup me détendre...

15        Ainsi maintenant, dans l’Epître aux Hébreux, au chapitre 10, nous souhaitons lire une portion de la Parole. Et juste prendre, oh ! vingt, trente minutes, Si Dieu le veut pour parler de ceci. Bon, ça n’a pas été prémédité ; c’est simplement la conduite du Saint-Esprit pour ce moment. Maintenant, j’aime la lecture de la Parole, car la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Et j’aime cela parce que je sais que c’est la Parole de Dieu pour nous. Ici, c’est Paul qui écrit (nous croyons que c’est Paul) aux Hébreux... Voici ce que cela dit :

En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection. (J’aimerais insister sur cette perfection.)

Autrement, n’aurait-on pas cessé de les offrir, parce que ceux qui rendent ce culte, étant une fois purifiés, n’auraient plus eu aucune conscience (ou aucun désir, c’est la meilleure traduction) de leurs péchés?

Mais le souvenir des péchés commis–des péchés est renouvelé l’année–chaque année par ces sacrifices ;

            Maintenant, le verset 11 :

Et tandis que tout sacrificateur fait chaque jour le service souvent–souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés,

lui, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu, attendant désormais que ses ennemis soient devenus son marchepied.

Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés.

16        Ce soir, nous aimerions réfléchir dans les termes de cette merveilleuse lettre de l’apôtre Paul, comme nous le–le croyons. (Les érudits n’ont pas encore établi exactement qui a écrit l’Epître aux Hébreux, mais on croit que c’était saint Paul...) Il essayait de montrer quelque chose, et il utilisait plus ou moins... Ici, il était un typologue. Il essayait de montrer que la loi était une ombre des biens à venir et non l’exacte représentation, ou la chose elle-même ; ce n’était qu’une ombre.

            Et j’ai souvent entendu les gens citer le Psaume 23, en disant : «Ils... Quand je marche dans les ombres ténébreuses de la vallée de la mort.» Si vous remarquez bien, il ne s’agit pas de l’ombre ténébreuse ; il s’agit de l’ombre. Il n’y a pas de ténèbres là-dedans. «L’ombre de la vallée de la mort.» Eh bien, elle ne peut pas être noire et cependant avoir une ombre. En effet, il doit y avoir un certain pourcentage de lumière avant qu’il y ait une ombre. S’il faisait entièrement noir, il n’y aurait pas d’ombre. Ainsi c’est : «Quand je marche dans l’ombre de la vallée de la mort.»

            Maintenant, il doit y avoir assez de lumière pour produire une ombre. S’il faisait noir ici, mon ombre ne se projetterait pas sur cette chaire. Mais étant donné qu’il y a de la lumière, alors cela produit une ombre. Voyez-vous? Ainsi, la mort est sombre dans un certain sens, mais ce n’est qu’une ombre. Voyez-vous? «La vallée de l’ombre de la mort...» Il doit donc y avoir une certaine quantité de lumière dans la mort, pour en faire une ombre. N’êtes-vous pas heureux qu’il en soit ainsi, qu’il y ait de la lumière dans la vallée?

17        Un jour, nous passerons tous par là, les amis. Chacun d’entre nous se dirige vers là ce soir. Et chaque fois que notre coeur bat, il bat une fois de moins pour toujours. Il n’a qu’un nombre déterminé de battements qu’il fera au cours de ce voyage. Un certain... Il battra pour la dernière fois l’un de ces jours. Nous devons donc traverser l’ombre de la mort. Ainsi, nous sommes heureux d’avoir cette promesse que l’Etoile du matin nous rencontrera là-bas pour éclairer la vallée et nous donner la... une lumière pour traverser la rivière.

            Il me faut passer par là un jour. C’est la raison pour laquelle je désire consacrer toute ma vie au Seigneur Jésus, et faire tout mon possible pour Lui. Et je ne peux Le servir qu’en servant Son peuple. Vous ne pouvez L’aimer qu’en vous aimant les uns les autres. Je ne peux L’aimer qu’en vous aimant et vous, en m’aimant. Et ensemble nous aimons Dieu. Et nous devenons Ses enfants, du fait que je vous sers, et que vous, vous me servez. Et c’est ainsi que nous servons Dieu. Jésus a dit : «Tout ce que vous avez fait au moindre de ces petits, c’est à Moi que vous l’avez fait.» Si donc nous voulons avoir une bénédiction, soyons une bénédiction pour quelqu’un d’autre, et il y aura en retour une bénédiction. C’est comme jeter son pain sur l’eau, cela reviendra. Et c’est la vérité. Vous verrez cela dans toutes les catégories sociales. Cependant on récolte ce qu’on a semé. Faisons donc du bien. Dites du bien et soyez gentil. Et quand les gens disent du mal de nous, disons ce qui est bien et ce qui est gentil. Et de bonnes choses nous reviendront, si nous les répandons.

18        Maintenant, Paul parle ici de la vallée, ou plutôt de l’ombre, de la loi, qui, étant une ombre des biens à venir, ne pouvait nullement rendre parfait celui qui rend ce culte. Ensuite il poursuit pour montrer ce qu’est la perfection. Eh bien, c’est étrange que les gens aient trop souvent de telles pensées ; ils disent : «Eh bien, je suis faible ; je n’ai pas une très grande foi ; je ne suis pas un très bon chrétien.» C’est exactement ce que le diable veut que vous disiez. A ce moment-là vous parlez son langage. Voyez-vous? Vous ne devriez jamais dire ça. Ne laissez jamais votre témoignage être négatif ; qu’il soit toujours positif. «Je suis sauvé. Dieu est dans mon coeur. Je crois en Lui de tout mon coeur.» Croyez-vous dans la guérison divine? «De tout mon coeur !»

            Que tout le temps votre–votre témoignage et vos pensées, tout... Ne laissez jamais des pensées négatives entrer dans votre esprit, si cela vous est possible. Quand ça commence, n’entretenez pas cela. Eh bien, vous direz : «Je ne peux empêcher que les pensées viennent.» Eh bien, c’est comme le fermier qui a dit qu’il ne pouvait empêcher–qu’il ne pouvait empêcher les oiseaux de survoler son domaine, mais il pouvait certainement les empêcher de s’y percher.» Ainsi c’est–c’est une bonne chose. Voyez-vous? Vous ne pouvez pas empêcher les pensées de venir, mais ne–ne–ne les entretenez pas ; ignorez-les tout simplement. «Pas du tout. Jésus-Christ est mon Sauveur ; tout m’appartient, avec Dieu. Et je–je vais les garder. Je vais en rendre témoignage.»

            Et Dieu ne peut vous bénir que si vous confessez qu’Il l’a fait pour vous. Voyez-vous? Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Est-ce juste? Hébreux 3. Il a dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Il ne peut le faire pour nous que si nous l’acceptons, le croyons, et le confessons.

            Oh ! Combien... Peut-être que demain après-midi, si Dieu le veut, j’aimerais aborder quelque chose qui me préoccupe tellement à l’instant même, sur la façon de recevoir le Seigneur Jésus. Mais peut-être que ce sera mieux d’aborder cela dans la leçon de l’école du dimanche demain après-midi.

19        Ce soir, nous voulons parler de la–la loi. Maintenant, dans l’Ancien Testament, beaucoup pensent que la loi ou la... que l’aspersion du sang a commencé avec la loi. Mais le sacrifice pour le péché existait avant la loi. Et dès qu’ils ont été chassés du jardin d’Eden, Abel offrit à Dieu un agneau, ce qui était un type du Seigneur Jésus.

            Eh bien, Abel est allé prendre son agneau, il a enroulé une corde ou, pas une corde (Peut-être qu’à cette époque-là ils ne connaissaient pas le chanvre, je pense, pour en faire une corde), mais disons peut-être un sarment de la vigne, autour du cou du petit agneau et l’a traîné jusqu’à l’autel, à un rocher, il l’a étendu, lui a martelé sa petite gorge avec une pierre jusqu’à ce que le sang a commencé à baigner sa petite toison tandis qu’il bêlait en mourant... Avez-vous déjà entendu un agneau mourir? Oh ! C’est la chose la plus pathétique que j’aie jamais entendue. Et ce petit agneau qui mourait là était un type du Seigneur Jésus-Christ. Eh bien, cela semblerait étrange que...

20        Avez-vous déjà remarqué dans les Ecritures que Jésus a été conduit? Avez-vous déjà fait attention pourquoi, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi Il n’est pas né dans une maison, dans un berceau comme tout petit bébé? Il est né dans une grange, dans une étable. Les agneaux ne naissent pas dans des berceaux ; ils naissent dans des étables. Il était l’Agneau de Dieu. Et on a conduit... Abel a conduit son agneau, et Christ a été conduit, l’Agneau était conduit à l’abattage.

            Et de même qu’Abel, en type, sacrifia l’agneau à l’autel en martelant son cou, tandis que son sang, alors que ses veines se rompaient, le sang giclait sur son petit corps et sur sa toison blanche qui devenait toute rouge, il bêlait, bêlait et bêlait, tandis qu’il devenait plus faible, jusqu’à ce que finalement il a cessé de trembler et est mort...

            Cela était le type du Seigneur Jésus-Christ au Calvaire, qui fut blessé et dont la chevelure était pleine de sang qui ruisselait sur Son corps, et Il criait dans un langage qui ne pouvait être interprété que par une interprétation spirituelle : «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il est mort en parlant en langue, Jésus est effectivement mort en parlant en langue. Et Il était un Agneau qui parlait le même langage que l’agneau d’Abel. Ce dernier ne comprenait pas... Celui qui crucifiait l’agneau, Abel, ne comprenait pas ce que disait son agneau. Et ceux qui ont crucifié l’Agneau de Dieu ne comprenaient pas non plus ce qu’Il disait. Mais l’interprétation était : «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Tout cela dans des types, et c’est resté ainsi au fil des années.

21        Et dans l’Ancien Testament, quand un homme avait fait quelque chose de mal, il devait venir sous le–le sang pour être de nouveau justifié, car sans effusion de sang il n’y a pas de pardon de péchés. Comme c’est beau, comme c’est frappant, alors que cela nous est révélé aujourd’hui ! Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon de péché. Peu importe de quelle église vous êtes membre, de quelle dénomination, de quelle organisation vous êtes membre, combien vous avez eu un bon père ou une bonne mère, c’est une affaire personnelle. Tout homme ou toute femme aujourd’hui n’a pas besoin, pour être sauvé, d’étudier la théologie ; il n’a pas besoin d’apprendre un certain genre de prière. La seule chose qu’on doit faire, c’est accepter le Sang versé du Seigneur Jésus-Christ qui a été préparé. Alors au travers de l’effusion du Sang vient le pardon du péché, ou les péchés sont pardonnés.

22        Maintenant, on trouve dans l’Ancien Testament une belle image du pécheur qui vient offrir un sacrifice pour lui-même ... Il devait trouver (Nous savons tous comment ça devait être dans le type) un agneau sans défaut ; il doit être né de... La–l’offrande pour le péché était... devait provenir du premier mouton–du premier mouton né de la vieille brebis mère. Et il devait être sans défaut. Et on devait l’amener et le sacrifier, il devait mourir pour les péchés du peuple.

            Remarquez. Et puis quand un homme avait fait quelque chose de mal, qu’il avait commis adultère, qu’il avait pris le Nom de l’Eternel en vain, ou avait violé les commandements, il amenait l’agneau au–au sacrificateur. Et alors le premier... L’agneau était lavé et ainsi de suite, ce qui était le type du baptême d’eau. Ensuite il amenait l’agneau et confessait son péché devant le sacrificateur, ce qu’il avait fait, le mal qu’il avait commis. Et alors le sacrificateur... On prenait note de cela, c’était écrit dans le livre.

            Si cet homme commettait ce même péché deux fois l’an, il mourait sans miséricorde. S’il était pris en flagrant délit d’adultère et que l’agneau avait été offert une seule fois, alors que l’offrande pour le péché qui avait aspergé le propitiatoire faisait expiation pour lui, il ne pouvait plus donc offrir un autre agneau pour cela. Hébreux chapitre 10 dit : «Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins.» Et au chapitre 6 il est dit : «Il a tenu pour profane le sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et il a outragé l’oeuvre de la grâce.» On ne pouvait pas faire cela. Il devait être offert une fois pour toutes, jusqu’à ce qu’un autre agneau était tué à la fin de l’année.

23        Maintenant, je pourrais vous demander ceci, j’aimerais que vous considériez ceci. Dans Hébreux, chapitre 10, vers le verset 40, quelque part là, j’aimerais vous demander, si vous y avez déjà pensé ou si vous avez déjà entendu les gens parler de ce que le péché impardonnable était. Ma mère me disait que le péché impardonnable, c’était l’avortement. En d’autres termes, une femme qui se débarrassait de ses bébés avant qu’ils naissent, en ôtant aux enfants la vie avant même qu’ils aient une chance de vivre, c’était cela le péché impardonnable.

            Mais cela... C’est ce que je croyais pendant des années, parce que ma mère me l’avait dit. Elle ne tenait cela que de... A l’époque elle n’était pas chrétienne, et ainsi elle tenait pour acquis que c’était cela ; que c’était faire cela. D’autres disaient que c’était commettre un meurtre : un homme qui avait commis un meurtre ne pouvait pas en être pardonné. Après avoir lu la Bible moi-même, j’ai découvert qu’ôter la vie à un homme est pardonné.

24        Maintenant, souvenez-vous, madame, c’est une chose horrible. Il n’y a pas longtemps une femme est venue chez moi ; elle a dit : «Révérend Branham, je vais devenir folle.»

            J’ai dit : «Qu’y a-t-il?» Elle m’a parlé de petits bébés auxquels elle avait ôté la vie, ses propres enfants, avant qu’ils ne soient nés, ou même qu’ils ne soient arrivés à terme, au moment de l’accouchement. Et elle a dit : «Je... Chaque fois que je suis seule, a-t-elle dit, j’entends des bébés qui pleurent dans mes oreilles.» Et elle a dit : «Chaque fois que je m’assieds pour écrire une lettre ou quelque chose de ce genre, je sens de petites mains froides parcourir mes cheveux.»

            «On récolte ce qu’on a semé.» Souvenez-vous de cela. Vivez correctement ; vivez une vie droite. Confessez vos torts à Dieu, et ensuite abandonnez cette voie-là et marchez comme des hommes et des femmes, comme des serviteurs de Dieu devraient marcher et vivre.

            Et cependant, ce n’est pas cela le péché impardonnable.

25        Jésus a dit, quand Il était ici sur terre... Un jour on Lui a amené un groupe d’hommes, et ils ont dit : «C’est par Béelzébul, le prince des démons, qu’Il chasse les démons.»

            Et Jésus a dit : «Si vous parlez contre le Fils de l’homme, il vous sera pardonné. Mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Quiconque parlera contre le Saint-Esprit... Parce qu’ils traitaient... Vous voyez, l’expiation, la cellule de sang–je vais y arriver dans quelques instants–n’était pas encore brisée, c’est pourquoi à ce moment-là cela pouvait être pardonné. Le Saint-Esprit ne s’était pas encore libéré en perçant cette cellule de Sang. Mais une fois qu’Il en est sorti, c’est le péché impardonnable.

26        Maintenant, Paul aborde aussi cela dans Hébreux 10.40, je crois que c’est ça, il dit : «Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible de l’ardeur du feu. Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde sur la déposition de deux ou de trois témoins (peu importe qui il était). De quel pire châtiment sera jugé digne (qu’il soit ministre, qui qu’il soit) celui qui aura foulé aux pieds le Sang de Jésus-Christ, et qui aura tenu pour profane l’alliance par laquelle il a été sanctifié, outrageant les oeuvres de la grâce?» Je cite les Saintes Ecritures. Retournons en arrière maintenant pour commencer.

            «Car si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité...»

            Eh bien, je me rends compte qu’il y a peut-être une vingtaine de ministres assis ici ce soir, appartenant peut-être à différentes confessions. J’aimerais vous demander ceci, mes chers frères : «Qu’est-ce que le péché?» Si nous pouvons trouver ce qu’est le péché, alors nous pourrons comprendre ce que c’est lorsque nous péchons volontairement. Fumer, boire, commettre adultère, vivre dans la volupté, ces choses ne sont pas le péché. Ces sont les attributs du péché. Vous faites cela parce que vous êtes un pécheur.

27        Je ne suis pas un légaliste ; je ne suis ni arménien ni calviniste. Mais je crois que chacun d’eux avait une doctrine. Mais ils sont allés à l’extrême. Ils s’en sont strictement tenus à la chose mais ne l’ont pas équilibrée. Il y a une grande voie et un chemin ; et le chemin c’est la route. La grande voie a un poteau de ce côté-ci et un poteau de ce côté-là, mais au milieu de cette grande voie il y a une route. Vous vous engagez dans la... Vous pouvez être sur une grande voie et vous retrouver dans un caniveau. Mais prenez le chemin. Esaïe a dit : «Il y aura une grande voie et un chemin.» «Et» c’est une conjonction qui ramène la grande voie à un chemin. Et c’est ici que vous voyagez, c’est sur le chemin. C’est ici sur le chemin que vous roulez aisément.

            Vous souvenez-vous de ce qu’on appelait «le chemin», dans la Bible? Tout ce qui se trouvait dans «ce chemin», c’est ce qu’on appelait «un chemin».

28        Remarquez. Maintenant, «celui qui pèche volontairement...» Eh bien, le péché se trouve dans ceci. Il y a deux éléments. L’un, c’est la foi ; l’autre c’est l’incrédulité. Et l’incrédulité, c’est le péché. Le seul péché qui existe, c’est l’incrédulité. Pensez-y. L’incrédulité... Jésus a dit dans Mat-... Saint Jean 3, Il a dit : «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Voyez-vous? Vous n’avez aucune chance. Eh bien, il n’existe point de demi chrétien. Soit vous êtes un croyant, soit vous n’êtes pas un croyant.

            Maintenant, ça c’est la croyance. Qu’est-ce que la croyance? Qu’est-ce que la foi? «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» Maintenant, si vous croyez, vous menez une vie de droiture. Si vous ne croyez pas, vous pouvez mener une vie de compromis, ou faire de l’hypocrisie, en d’autres termes, jouer à l’hypocrite. Ou bien vous pouvez–ou bien vous pouvez faire semblant, prétendre l’être. Mais quand vous êtes réellement un croyant, Dieu a pourvu à un moyen pour que vous ayez la certitude d’être un croyant. Eh bien, Jésus Lui-même a dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ; en Mon Nom ils chasseront les démons, ils guériront les malades», et ainsi de suite.

29        Maintenant, si ceci vous est présenté... Maintenant, écoutez. «Car il est impossible (Voyez-vous?) que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont eu part au Saint-Esprit, de tomber de nouveau. Car si nous péchons (si nous doutons) volontairement...» Laissons cela pénétrer. «Si nous doutons volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché.»

            Si la Vérité de l’Evangile vous a été présentée de telle façon que vous deviez voir cela, mais à cause de–de la popularité ou de quelque chose d’autre, vous y tournez le dos et vous vous en allez et refusez de voir cela, c’est là que vous traversez la ligne. «Car celui qui doute volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés.»

30        Maintenant, là venait le croyant, il suppliait, il apportait son agneau et il le déposait là. Il confessait son péché. Quel merveilleux type ici ! Puis le sacrificateur tranchait la gorge de l’agneau, et le croyant posait ses mains sur l’agneau mourant. Et quand il le tenait et qu’il voyait le petit animal gigoter, le sang giclait, sa petite tête tremblant, alors que le petit animal essayait de bêler, et que la veine jugulaire dans sa gorge était sectionnée pendant qu’il bêlait, mourant, tremblant, se raidissant, le pécheur levait les yeux vers Dieu et disait : «Ça devrait être moi. Mais je T’offre cet agneau qui meurt à ma place.» Il reconnaissait sa culpabilité pour avoir violé les lois de Dieu, et que par conséquent il devait mourir. «Car le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» Et alors qu’il confessait ses péchés et qu’un agneau innocent prenait sa place, il se rendait compte, ses mains étant posées sur cet agneau qu’il sentait mourir à sa place, dans sa conscience il reconnaissait qu’il était coupable et que l’agneau était innocent ; cependant, un substitut innocent avait pris sa place. Si donc il outrageait cela, ou qu’il déshonorait cela, pour la fin de cette année-là, il mourait sans miséricorde.

31        Eh bien, c’est un merveilleux type du croyant aujourd’hui qui vient, qui croit, qui pose ses mains sur la tête de Christ, là à l’autel, ou là où il est assis, partout où il rencontre Christ, il pose ses mains sur Lui au Calvaire et réalise que toute cette agonie et toute cette souffrance, c’était lui qui devait endurer cela... Et dans votre âme vous éprouvez un profond regret et un profond chagrin ; en posant vos mains sur Lui, vous êtes changé. Vous ne serez plus jamais le même. Cela ôte de vous la condamnation. Sous la loi, qui était une ombre, l’homme s’en allait justifié, mais il avait toujours le même désir.

            Disons qu’il a été pris en flagrant délit d’adultère, et qu’il offrait un agneau. Et l’agneau mourait à sa place. Il ressortait de ce bâtiment ayant dans son coeur le même désir qu’il avait en venant. «Car le sang des taureaux et des boucs, déclarent les saintes Ecritures, n’ôtait pas le péché.» En effet, ce n’était qu’un type ou une ombre des biens à venir, parce que la vie dans la cellule de sang de l’animal mourant, le substitut, n’était que la vie d’un animal.

32        Mais dans ce cas-ci... Tenez ! Dans ce cas-ci, il ne s’agissait pas seulement de la vie d’un homme, mais il s’agissait de la Vie de Dieu. Dieu, le Parfait, qui est entré dans le sein de la vierge sous la forme du Saint-Esprit, le Créateur Lui-même, s’est enfermé dans une cellule de Sang... Il n’avait pas de père terrestre. Marie n’avait pas été touchée par un homme. Elle était une vierge. Et Dieu Lui-même l’a couverte de Son ombre, ou en d’autres termes, c’était l’immaculée conception, car Dieu Lui-même a créé une cellule de sang.

            Et la vie vient du mâle, pas de la femelle. La femelle est l’incubatrice. Mais la vie vient du mâle. Et si la vie vient du mâle, et que Dieu est le mâle dans ce cas-ci, le Saint-Esprit, Dieu Lui-même, est descendu dans le sein d’une femme et a formé autour de Lui une cellule de sang. Oh ! la la ! Croyez cela et voyez ce qui arrivera à vos yeux aveugles. Croyez cela et voyez ce qui arrivera à votre cancer.

            Cette cellule de sang dans laquelle Dieu Lui-même est entré et qu’Il avait Lui-même créée, comme lorsqu’Il créa la première cellule, Il s’est créé une cellule. Cela a commencé à manifester la vie et cela a produit le Fils, Christ Jésus. Et au moment où une lance romaine, à cause du péché et de la condamnation, a percé Son coeur saint à la croix, elle a aspergé ce sang en brisant cette cellule de sang, renversant le mur de séparation et introduisant le croyant dans le corps de Son propre Etre au travers du sang versé...

33        Or, le sang d’un animal ne pouvait pas être parfait. Mais le Sang de Christ était parfait. Eh bien, moi je ne serai jamais parfait. Et vous, vous ne serez jamais parfait. Je ne serai jamais parfait à vos yeux. Vous ne serez jamais parfait à mes yeux. Mais mettons cela de côté. Et aux yeux de Dieu? Je vous regarde et vous vois comme un humain. Je vous regarde et vous vois comme un frère. Mais Dieu vous regarde au travers du Sang de Son Fils et vous voit comme un racheté. Jésus a dit : «Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.» Et il n’est pas question de ce que vous avez fait, vous n’avez rien fait pour mériter cela, mais il est question de ce que Christ a fait pour vous.

            Oh ! Comprenez-vous cela? «Car par...» Si ces offrandes avaient continué, eh bien, nous n’aurions plus eu besoin d’un autre sacrifice. «Mais celui qui rend ce culte, étant une fois purifié...» Que cela pénètre très profondément. «Celui qui rend ce culte, étant une fois purifié, n’aurait plus aucune conscience (ou désir) de son péché.» Quand il est réellement purifié... Vous savez ce que c’est que purifier quelque chose. Quand cela a été purifié... Le croyant, étant une fois purifié, n’a plus le désir de pécher. C’est ce qu’il devrait en être. C’est pourquoi le sang des taureaux et des boucs ne pouvait pas faire cela, car la vie qui provenait de la cellule de sang des boucs et des moutons, et l’holocauste, comme une création animale, c’était la vie qui allait à la rencontre du Créateur.

            Mais la Vie qui provenait de la cellule de sang du Fils de Dieu n’était rien d’autre que Dieu Lui-même, qui était descendu et qui était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même, le Grand Jéhovah. Là c’était humain, pas une vie humaine, c’était–c’était la Vie de Dieu. La Bible dit que nous sommes sauvés par le Sang de Dieu, car il n’y a pas d’autre mâle que Dieu, et Dieu est Esprit. En fait, cela ne pouvait pas être sexuel. Cela devait être surnaturel. C’est là la raison pour laquelle Son Eglise aujourd’hui croit au surnaturel.

34        Et un homme qui a déjà confessé ses péchés et qui se tient là, les mains sur la tête de l’Agneau mourant, Christ, et qui a tourné les regards au Calvaire, ne peut plus jamais être le même. C’est juste. «Car par un seul sacrifice...» Hébreux 10.14 : «Car par un seul sacrifice Il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés», ou purifiés par le Sang de l’Agneau.

            Comprenez cela, pécheur, et considérez cela. Certainement que vous... Ne cherchez pas à devenir meilleur ; vous ne pouvez pas du tout devenir meilleur. Venez simplement tel que vous êtes. Peu importe ce que vous faites, vous ne pouvez rien mériter du tout. La seule chose que vous pouvez faire, c’est croire en Celui qui justifie l’impie. Quand vous faites cela, vous êtes sauvé. Oh ! quel changement a été opéré dans ma vie depuis que Jésus est entré dans mon coeur ! Et j’irai là dans cette Cité d’En Haut pour y faire ma demeure, puisque Jésus est entré dans mon coeur !

            Quel changement cela a produit ! Cela s’abaisse jusqu’à la personne la plus vile, jusqu’à la prostituée. Cela va vers l’ivrogne, le parieur, le millionnaire, l’aristocrate, le membre d’église. «Que celui qui veut, vienne boire de la source de l’eau de la Vie, gratuitement.»

            Regardez dans le grand plan de Dieu, Jésus étant l’Agneau de Dieu immolé dès la fondation du monde... Avant que la grande pensée ne devienne une Parole, Dieu a perçu... a pensé à l’avance à ces choses, avant la fondation du monde.

            Regardez dans le jardin d’Eden. Dieu ne nous a jamais placés ici pour mourir. Il nous a placés ici pour vivre. Il ne nous a jamais placés ici pour que l’on tienne des services funèbres ; Il nous a placés ici pour que nous soyons des enfants heureux, pour que nous nous réjouissions éternellement. Et même si le péché a gâché cette image, le Sang rédempteur de Jésus-Christ la purifie.

35        Savez-vous ce que le Sang de Jésus-Christ fait du péché qui est confessé? Avez-vous déjà pris... Vous les femmes, imaginez que vous avez une bassine pleine d’eau de Javel, et vous prenez un petit compte-gouttes rempli d’encre, et vous déversez cette encre dans cette bassine pleine d’eau de Javel, qu’arrive-t-il à cette encre? L’encre devient l’eau de Javel. Que s’est-il passé? Cela n’a pas du tout causé le moindre dommage à l’eau de Javel. Elle est simplement absorbée et devient l’eau de Javel. C’est ce qui arrive au péché confessé. Quand il est confessé sur le Sang du Seigneur Jésus-Christ, il change de couleur et devient justice. En effet, vous êtes disposé à reconnaître la chose, et à accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu pour que vous soyez sauvé. Il n’y a rien de pareil, les amis.

            Il n’est pas étonnant que l’Armée du Salut chante souvent ce cantique : «Qu’est-ce qui peut laver mon péché? Rien que le Sang de Jésus.» Il ne s’agit pas d’adhérer à une église, il ne s’agit de pas de commencer une nouvelle chose, ni de lire de temps à autre une certaine littérature ou quelque chose de ce genre.

Rien que le Sang de Jésus.
Qu’est-ce qui peut me rétablir?
Rien que le Sang de Jésus.
Oh ! Précieux est le flot qui me rend blanc comme neige ;
Je ne connais aucune autre source,
Rien que le Sang de Jésus.

Je pense à cela ce soir. Pensez au cantique de la rédemption :

Par de nombreux dangers, peines et pièges,
Je suis déjà passé ;
C’est la grâce qui m’a gardé sain et sauf jusqu’ici,
La grâce m’emportera au Ciel.

36                    Retournons au jardin d’Eden, un tableau ici devant vous juste pendant un instant... Considérez les petits enfants de Dieu, Adam et Ève, courant çà et là dans le jardin. C’était beau, pas de maladie, pas de chagrin, rien pour nuire ou pour détruire, pas question de vieillir. Ce matin-là, quand Adam s’est réveillé, après que Dieu avait retiré de son côté une côte et en avait fait une femme... Je sais que l’artiste grec et d’autres artistes du monde ont fait le portrait d’Ève, une bête horrible! C’est faux. Rien que le bon sens ordinaire vous ferait savoir que ce n’est pas ça. Personne n’admire quelqu’un qui a un tel aspect. Bien que des gens pourraient avoir un tel aspect et qu’ils n’y peuvent rien, on a pitié d’eux.

37        Mais je crois qu’Ève était la plus belle femme que Dieu ait jamais placée sur la terre. Je peux la voir assise là, avec des yeux bleus comme les étoiles d’en haut... des cieux, étincelants, une longue chevelure lui tombant dans le dos. C’était là la femme la plus parfaite qui ait jamais existé sur terre. Dieu a donné à Adam la meilleure chose qu’Il pouvait lui donner.

            Adam l’a prise par le bras, il a dit : «Elle est chair de ma chair et os de mes os.» Et alors qu’ils se tenaient là bras dessus bras dessous, dans le jardin d’Eden, le Dieu Tout-Puissant a célébré la première cérémonie par laquelle un couple a été uni. Après cela peut être célébré par un magistrat ivre, c’est une chose sainte et sacrée. C’est juste. C’est Dieu qui a célébré la première cérémonie. [Un frère parle en langue.–N.D.E.]...?...

38        Le Grand Saint-Esprit de Dieu, en entrant dans les coeurs des gens, en unissant de nouveau cette Ève et cet Adam dans leur perfection, la sainteté de Dieu, la perfection de Dieu... Maintenant, que s’est-il passé? Le péché est entré. Et dès que le péché est entré, que s’est-il passé? Cela a gâché le tableau de Dieu. Qu’est-ce que c’était horrible !

            Et puis, j’aimerais que vous remarquiez ceci : Adam, pour montrer la nature de l’homme, aussitôt qu’Adam s’est rendu compte qu’il avait péché, au lieu de se présenter là pour confesser la chose, savez-vous ce qu’il a fait? Il a fui et s’est caché. Et c’est ce que fait l’homme aujourd’hui. C’est ce que font des individus aujourd’hui. Ils fuient et se cachent loin de Dieu au lieu de venir confesser leurs péchés. Ce que les hommes devraient faire donc partout, c’est de venir confesser leurs péchés au lieu d’essayer de cacher cela. Ne le croyez-vous pas?

            Mais qu’est-ce? C’est une nature. Les gens font encore cela. Remarquez. Alors Dieu parcourait le jardin d’Eden, criant : «Adam, Adam, où es-tu...» Que s’était-il passé? Adam s’était caché. Bien qu’il s’était fait un tablier qu’il a porté pour se tenir là devant Dieu, cela n’a pas marché quand il s’est tenu devant Dieu.

            Maintenant, pour ramener Adam à Lui-même afin de pouvoir lui parler, Dieu est allé chercher des peaux et en a fait des tabliers. Est-ce juste? Or, s’Il a pris une peau, c’est que quelque chose est mort pour avoir sa peau. Voyez-vous, il a fallu un substitut. Quelque chose avait dû prendre la place de l’homme coupable. Et cet Agneau que Dieu mit à mort là-bas, c’était Jésus-Christ, sous forme d’image. Et là, Il a apporté les peaux de l’agneau, et Il les leur a lancées derrière dans les buissons, et Adam et Ève s’en sont revêtus. Et les voici venir pour se tenir devant Dieu le Père.

39        Ecoutez ceci maintenant. Considérez ce tableau. Je désire surtout que vous qui êtes en dehors de Christ ce soir vous considériez ceci. Les voilà. Ils sont condamnés tandis qu’ils se tiennent là. Dieu a dit à Adam : «Pourquoi as-tu fait ceci?»

            Et comme tous les hommes cherchent à faire retomber la responsabilité l’un sur l’autre, il a dit : «C’est la femme que Tu m’as donnée.»

            La femme a dit : «C’est le serpent qui m’a séduite.» On faisait retomber la chose l’un sur l’autre.

            Ecoutez ensuite ce que Dieu a dit. Je peux voir le Grand Jéhovah, ce tourbillon de Lumière au-dessus des arbres parler à Adam et Ève. Considérez ceci, et Il a dit que parce qu’ils avaient fait cela, Il a dit : «Serpent, tu es privé de tes jambes. Tu ramperas sur ton ventre tous les jours de ta vie. Tu seras haï. Tu auras la poussière pour nourriture. Maudit soit le sol, Adam. Il produira des épines et des ronces, et tu devras labourer la terre. Et c’est à la sueur de ton front que tu mangeras ton pain. Et comme Je t’ai tiré de la poussière, tu retourneras à la poussière. Et toi femme, puisque tu as ôté du monde la vie, tu devras amener la vie dans le monde. J’augmenterai tes douleurs, et tes désirs se porteront vers ton mari», et ainsi de suite. Toutes ces choses, Il ne pouvait plus les supporter dans Sa Présence : le péché.

            Maintenant, considérons ce beau petit couple : Adam, avec ses larges épaules viriles, et sa chevelure touffue descendant jusqu’au cou ; Ève, peut-être que sa chevelure blonde lui tombait dans le dos, et qu’elle avait des yeux bleus. Là maintenant Adam, son grand corps musclé tremblait et frémissait. Pourquoi? Quelque chose s’était passé. Maintenant, remarquez, les larmes coulent ici sur les joues d’Adam. A présent, en tant qu’un mortel, il doit mourir. Les larmes tombent de ses joues sur la tête d’Ève, et se mêlent à celles d’Ève en coulant sur le corps de celle-ci... Le péché est une chose horrible. Dieu dit : «Allez-vous-en !»

40        Et, remarquez, je peux les voir alors qu’ils traversent le jardin d’Eden, qu’ils sortent de la Présence de Dieu. Je vois cela alors qu’ils vont là, les très gros muscles virils de ses jambes. Lorsqu’il commence à s’en aller, les larmes coulent de ses joues, la petite Ève l’entoure de son bras, et lui entoure Ève de son bras, ils pleurent en allant, en s’éloignant de la Présence de Dieu... C’est la même chose qui arrivera à tout pécheur qui sortira de Sa Présence.

            Alors, tandis qu’ils s’en allaient dans cette direction, remarquez, je peux entendre ces peaux de mouton heurter les jambes robustes d’Adam pendant qu’il marche [Frère Branham tape les mains.–N.D.E.] elles se heurtent ses jambes au fur et à mesure qu’il s’en va, qu’il s’éloigne, qu’il avance, qu’il s’éloigne de Dieu.

41        Alors je peux entendre Dieu, toute la grande éternité qui Le constitue, tout l’espace, toute la lumière... Je peux voir tout cela s’unir en quatre lettres : l-o-v-e [En français, a-m-o-u-r] La seule chose, notre seul espoir ce soir, se trouve dans l’amour de Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit :

Oh ! l’amour de Dieu, combien riche, combien pur !
Combien il est insondable et fort !
Il ... éternellement Les chants des saints et des anges.

            Vous ne pourriez pas décrire ou mesurer avec quoi que ce soit ce que représente réellement l’amour de Dieu. Le rachat fut fait là au jardin d’Eden par l’amour. Il a dit : «Je mettrai inimitié entre sa postérité et la postérité du serpent. Il écrasera sa... la tête du serpent, et la tête du serpent lui blessera le talon.»

42        Changeons notre tableau pendant quelques minutes. Considérons une scène quatre mille ans plus tard. Entrons à Jérusalem. C’est le matin ; il est environ huit heures. J’entends un bruit à l’extérieur. Tout le monde est en train de parler. Que se passe-t-il? Oh ! il y a un très grand tapage : certains sifflent, d’autres crient, d’autres font des moqueries. Ecartons les rideaux et jetons un coup d’oeil pour voir ce qui se passe là-bas. Eh bien, écoutez, voilà qu’un Homme descend la rue. Et Il porte une... deux malfaiteurs marchent derrière Lui. Il porte une croix sur le dos. «Eh bien, qui est-ce?» C’est la question que je pose à mes amis qui sont à l’étage.

            Ils disent : «C’est ce Jésus de Nazareth, cet imposteur, ce guérisseur divin, Celui qui trouble nos églises et leur crée des ennuis, qui enseigne des choses que les sacrificateurs ne croient pas. C’est Lui. On L’amène au Calvaire. On va Le crucifier.»

            Ces très vieux pavés, tandis qu’Il franchit la porte, cette croix bondit sur son épaule... Et quand on Le traînait, j’ai remarqué qu’Il portait une robe sans couture, d’un seul tissu, et cette robe est recouverte de tout petits points rouges. Est-elle tachetée? Est-ce sa couleur naturelle? Non, elle était blanche. Pourquoi donc ces petites taches? Observons-Le. Tandis qu’Il se dirige vers le Calvaire, ces petits points commencent à devenir de plus en plus grands. Et au bout d’un moment il se forme une grosse tache rouge. Qu’est-ce? Du sang.

43        Et tandis qu’Il monte là au Calvaire, je peux entendre quelque chose faisant... [Frère Branham bat des mains.–N.D.E.] Qu’est-ce? Le second Adam, le Rédempteur, le Sang du Juste, coulant pour les pécheurs afin de couvrir nos péchés. Et en retour, nous avons craché sur Lui. Nous avons secoué la tête et dit : «Je vais avoir ma propre opinion concernant la religion. J’ai ma propre religion, je n’ai pas besoin de cette histoire-là !» Sans cela vous êtes perdu, vous êtes sans espoir, sans Dieu, sans Christ, vous êtes mourant dans le monde, vous allez vers une tombe des pécheurs et un enfer des démons, sans cela.

            Dieu a pris des dispositions pour vous. Je peux Le voir gravir la colline alors qu’Il transportait cette croix, Son petit corps faible titube alors qu’Il gravit la colline. Bien vite, la chose a commencé à tourbillonner autour de Lui ; la mort Le piquait cruellement, et Lui avance avec une croix sur le dos, se dirigeant là vers le Calvaire. Qu’est-ce? Parce qu’Il en était obligé? Non, parce que l’amour Le poussait à le faire.

44        Voilà, pensez-y. Les gens disaient : «Il s’est sauvé... les autres... Il a sauvé les autres ; Il ne peut pas se sauver Lui-même.» C’était un compliment. Il ne pouvait pas sauver les autres et se sauver Lui-même. Y avez-vous déjà pensé? Il était le Père. Amen. Il était Dieu le Père en tant qu’un Sacrifice. C’est la raison pour laquelle j’aime ce cantique, frère. Quand vous essayez de faire de Lui juste un prophète... Il était plus qu’un prophète ; Il était Dieu manifesté dans la chair.

            Pourquoi ne pouvait-Il pas... Il a dit qu’Il pouvait faire venir douze légions d’anges. Pourquoi ne les a-t-Il pas appelées? Il ne pouvait pas le faire. C’est la raison pour laquelle Ses propres enfants réclamaient Son Sang. Pouvez-vous imaginer vos propres enfants réclamant votre sang? S’Il les condamnait, Il condamnerait Ses propres enfants. Il a dit : «Je ne vous condamnerai pas devant le Père.» Il a dit : «Il y en a un qui vous a condamnés et qui vous a accusés devant Dieu ; c’était Moïse, et vous croyez en lui.» Lui, Il ne les a pas condamnés. Il a dit : «Pardonne-leur, Père ; ils ne savent pas ce qu’ils font.»

45        Et je peux voir cet aiguillon de la mort Le piquer çà et là comme une abeille, Le piquer ici, Le piquer là. Il mourait comme un malfaiteur. Il ne connaissait pas le péché, et pourtant tous les péchés du monde étaient sur Lui. Chaque tache du péché, chaque peine du péché, chaque larme, chaque chagrin, chaque déception, reposaient sur Ses épaules. Et cet aiguillon allait çà et là. Eh bien, était-Il Dieu? Il a dû être fait chair afin d’ôter l’aiguillon de la mort.

            Vous savez, une abeille... Vous savez ce qu’est une abeille. Une abeille a un aiguillon. Et cette abeille peut piquer. Mais une fois que l’abeille a planté cet aiguillon, c’est la fin de cet aiguillon. Quand elle se retire, elle laisse cet aiguillon. Et la mort avait un aiguillon, et elle inspirait la peur jusqu’à ce moment-là. Mais quand cette abeille de la mort a piqué Jésus-Christ, Dieu fait chair, Celui-ci a retenu l’aiguillon de la mort. Et maintenant cette abeille n’a plus d’aiguillon. La mort ne peut pas piquer le croyant. Il n’est pas étonnant que saint Paul ait dit : «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.»

46        Sans effusion de sang, il n’y a point de pardon de péché. La loi ayant une ombre des biens à venir... Chaque agneau qui mourait sous la loi annonçait l’Agneau de Dieu au Calvaire. Et par la puissance de la résurrection de la Divinité elle-même, Son corps fut ressuscité, car il était impossible que Son corps soit retenu. Puisque David a dit dans l’Esprit : «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, Je n’abandonnerai pas Son âme au séjour des morts.» C’est ainsi qu’Il est ressuscité le troisième jour pour notre justification, nous donnant la promesse du Père : «Je vous enverrai le Saint-Esprit qui demeurera avec vous pour toujours, l’Esprit de vérité que le monde ne peut pas recevoir.»

            Et ce soir le Saint-Esprit béni est dans cette salle ce soir avec la puissance de la résurrection de l’Antitype de chaque agneau qui était mort, même depuis le jardin d’Eden : «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Christ mourant pour les pécheurs, mourant pour la maladie... Que Dieu soit béni à jamais pour Sa miséricorde et Sa bonté.

47        Soeur, Il est le même Dieu qui peut vous guérir de ces varices, alors que vous êtes assise là. Croyez-vous cela? Voulez-vous accepter cela? Eh bien, tenez-vous alors debout, et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ. L’Agneau de Dieu ôte le péché du monde. Dieu ne fait acception de personne.

            Il y a, assise là, une femme âgée, une vieille femme chrétienne de couleur en train de me regarder, comme on le dirait, une femme de couleur sans instruction. Mais la grâce de Dieu est avec elle. Elle a un cancer au sein droit, c’est ça le problème. Est-ce juste, vous la dame assise juste là? Croyez-vous que Dieu va vous guérir de ce cancer, de ce problème au sein? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Pensez-vous...

            Il y en a une autre assise juste là derrière elle et qui a un problème au nez et à la bouche. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir de cela? Tout ce que vous avez à faire, c’est de recevoir le Seigneur Jésus-Christ, de croire en Lui de tout votre coeur. Vous obtiendrez tout ce que vous demandez.

48        Christ, le Bien-Aimé, est ressuscité des morts. Il est ici ce soir. Qu’est-ce qui est ici qui est en train de faire ces choses? Qu’est-ce qui chaque soir connaît les secrets des coeurs, qui peut appeler les gens dans l’assistance, alors que maintenant Cela est suspendu ici comme un flot laiteux? Qu’est-ce? C’est cette Vie qui était dans la cellule de Sang, laquelle a été rompue au Calvaire.

...une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Quand les pécheurs plongent dans ce flot,
Ils perdent toutes les taches de leur culpabilité.

Le voleur mourant s’est réjoui De voir cette fontaine en son jour ;
Là puissé-je, quoique vil comme lui,
Laver tous mes péchés.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

... foi j’ai vu ce flot que Ses blessures ravitaillent,
L’amour rédempteur est mon thème,
Et il le sera jusqu’à ma mort.

Puis dans un chant plus noble, plus doux,
Je chanterai Ta puissance salvatrice,
Quand cette pauvre langue zézayante et balbutiante
Reposera silencieuse dans la tombe.

            Oh ! Ami pécheur, rétrograde, tiède, qui n’êtes pas encore passé par le Sang, ne voulez-vous pas venir ce soir? Il y a une fontaine ouverte maintenant même pour vous. Ne voudriez-vous pas venir? Si le Dieu Tout-Puissant peut se tenir ici et prendre un pauvre jeune campagnard ignorant, qui connaît à peine son abc, qui a dû apprendre à lire la Bible avant de venir à la chaire, et cependant avec un coeur soumis à Celui qui m’aime, Dieu va manifester Sa puissance là au travers de ce même canal, en faisant voir les aveugles, en faisant entendre les sourds, en faisant marcher les boiteux, et en confirmant les oeuvres de Son Saint-Esprit sous la même forme qu’Il avait lorsqu’Il était ici, parce que je crois en Lui et que je L’aime. Croyez-vous qu’Il va vous sauver ce soir, pendant que nous inclinons la tête?

49        Dieu Tout-Puissant, aie pitié ce soir, ô Père, des nécessiteux qui sont ici. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Beaucoup ici sont malades et affligés. Nous Te prions de les guérir. Seigneur, il y en a beaucoup ici qui sont perdus, oh ! qui sont spirituellement malades. Ils sont simplement allés d’une église à une autre, de lieu en lieu, cherchant à trouver la paix, cherchant à vaincre. En principe, ils ne peuvent tout simplement pas y arriver. Fais qu’ils saisissent cet Esprit qui est ici ce soir, qu’ils soient introduits avec Dieu seul dans cette cellule de Sang, qu’ils y soient scellés, le Sang les environnant par le Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.

50        Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande s’il y a ici un homme ou une femme pécheur qui voudrait lever la main et dire : «Frère Branham, priez pour moi. Je désire entrer dans cette cellule de Sang avec le Seigneur Jésus.» Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, et vous. Oh ! des mains se lèvent partout.

            Maintenant à ma droite, quelqu’un par ici voudrait-il lever la main et dire : «Souvenez-vous de moi.»? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un qui est tiède et indifférent, voudriez-vous lever la main et dire : «Frère Branham, j’ai toujours désiré mener une vraie et authentique vie chrétienne.» Voudriez-vous lever la main et dire : «Priez pour moi, frère.» Oh ! Que Dieu vous bénisse.

51        Je... Maintenant avec vos têtes inclinées, que tout le monde soit respectueux, s’il vous plaît. Tout le monde, si vous croyez que Dieu est ici et qu’Il voit, je ne suis que votre frère. Je vous aime ; c’est pour cela que je suis ici ce soir. C’est ce que je fais ici. Je ne cherche pas à vous amener à adhérer à une quelconque église. Je désire que vous en arriviez à ceci, que je sais être la vérité : Fréquentez n’importe quelle église de votre choix, mais je veux que vous soyez réellement sauvé. Je désire que vous veniez à cette–cette aspersion. Et une fois que vous êtes enfermé là à l’intérieur avec Jésus-Christ, car Il a rendu parfaits pour toujours ceux qui sont entrés dans le corps de Christ en venant à l’aspersion du Sang... Voudriez-vous simplement...

            Ceux qui désirent que l’on prie maintenant pour eux, voulez-vous vous tenir debout? Ceux qui désirent que l’on prie pour cela, voulez-vous vous tenir debout, partout? Pécheurs, voudriez-vous vous lever pour un mot de prière? Que tout le monde garde la tête inclinée à l’exception de ceux qui sont debout. Levez-vous simplement et dites : «Par ceci je déclare que je voudrais que Dieu soit miséricordieux envers moi, pécheur.» Voulez-vous vous lever partout? C’est ça ! C’est ça !

            Que tous ceux qui ne sont pas des pécheurs soient maintenant en prière. Que tous les chrétiens nés de nouveau soient en prière. Que Dieu vous bénisse. Je vois des personnes âgées aux cheveux gris se lever, des jeunes gens aux cheveux noirs et brillants, des petits enfants, des jeunes filles ; des personnes âgées, partout, acceptant Jésus-Christ comme leur Sauveur. Ne pensez-vous pas que le Glorieux Saint-Esprit est ici et qu’Il regarde ceci à l’instant même? Ne sait-Il pas que ceci est Sa volonté?

52        Maintenant, vous qui êtes plutôt tiède et qui, dans votre coeur, ne–ne vous êtes jamais décidé dans votre vie, au sujet de Jésus, voulez-vous réellement... Croyez-vous que Dieu va exaucer ma prière pour les malades? Il va alors certainement l’exaucer pour les pécheurs. Voudriez-vous vous tenir debout et dire : «Par ceci, Seigneur Jésus, Tu connais mon coeur ; je veux naître de nouveau. Je veux réellement venir ce soir au travers du Sang de Ton Fils, le Seigneur Jésus, et être rempli de Son Esprit à l’intérieur du Corps de Christ. Je viens au travers de la cellule de Sang. Et, Seigneur, par la foi je me lève maintenant pour accepter cela.» Voulez-vous bien faire cela? Voulez-vous vous tenir debout juste maintenant pour ce mot de prière? Que Dieu vous bénisse. Que chacun de vous reste simplement debout.

            «Je T’accepte maintenant, Seigneur Jésus.» La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu. Ceci, c’est la Parole de Dieu, au mieux de ma connaissance pour–pour vous L’apporter à ma façon pauvre et humble, à savoir que Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils. Et Il a donné Son Fils, et ce Dernier est mort au Calvaire. Et le Sang a été tiré de Son corps pour vous racheter, vous pécheur, pour vous ramener à la communion du Père. Que Dieu vous bénisse.

53        Y en a-t-il un autre qui aimerait se lever en compagnie de ce très grand groupe qui est debout maintenant pour la prière? Encore un, voulez-vous le faire pendant que nous avons nos... Voilà. Que Dieu vous bénisse, frère. Je sens vraiment qu’il y en a encore. C’est juste. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. C’est ça.

            Je ne suis pas un fanatique, les amis. J’ai essayé de vous confirmer cela, ou plutôt Dieu, certainement, pour montrer que je–je ne suis pas un fanatique. Mais je sens vraiment qu’il y en a peut-être d’autres ici qui aimeraient se lever. Ne... Vous direz : «Eh bien, je me suis levé avant.» Faites-le encore une fois, s’il vous plaît. Levez-vous à présent et dites : «Seigneur, aie pitié de moi.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. «Père, aie pitié maintenant. Veux-Tu bien l’accorder, Seigneur?» Continuez simplement à vous lever. Continuez simplement à vous lever, partout, ceux qui veulent que l’on se souvienne d’eux dans la prière maintenant, alors que nous terminons cette partie-ci du service. Tenez-vous debout. Très bien, alors que vous avez la tête inclinée.

54        Notre Bienveillant Père céleste, je prie pour réclamer la miséricorde divine maintenant sur ceux-ci qui T’acceptent comme leur Sauveur. Ô Dieu, si Tu regardes dans cette assistance pour voir les maladies des gens ainsi que leur... et qui ils sont, Tu parles maintenant à des coeurs qui sont ici. Tu vois ceux qui sont debout, Tu vois ceux qui devraient se tenir debout. Père, dis-leur simplement la Parole, s’il Te plaît. Pardonne-leur tout péché et toute transgression. Que le Sang de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, les purifie maintenant même de toute impiété. Et avec humilité et amour qu’ils soient sauvés pour Ta gloire.

55        Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, l’orgue va jouer doucement un cantique pendant un moment. [Un frère chante le cantique : Quand, à la tombée du jour, j’arriverai à la rivière.–N.D.E.]

            Parler...

[Lorsque les vents de tristesse auront soufflé pour la dernière fois ;
Quelqu’un m’attendra là-bas pour m’indiquer le chemin
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain tout seul.
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain tout seul,
Jésus est mort pour expier tous mes péchés ;
Quand je verrai les ténèbres, Il m’attendra,
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain tout seul.-N.D.E.]

56        Maintenant, vous qui êtes debout, pendant que le cantique continue, voudriez-vous venir ici à l’autel juste un instant pour un mot de prière. Tous ceux qui sont debout, venez ici à l’autel juste un instant...?...

            [Espace vide sur la bande]... au-dessus de cette assistance maintenant. J’observe cette Lumière alors qu’Elle se déplace parmi les gens. Que fait-Elle? Certainement, Elle est en train de guérir les malades, de parler aux coeurs des gens. C’est ce qu’Il pourrait faire en ce moment, si seulement l’église le Lui permettait ! D’autres sont venus depuis que j’ai commencé à parler. Y en a-t-il encore? Juste un moment pour un mot de prière, ceux qui veulent naître de nouveau. Ils sont ici pour accepter l’Aimable Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, le Messie. Très bien.

57        Père, nous Te prions maintenant de bénir ces gens pendant qu’ils sont debout respectueusement ici à l’autel, confessant tous leurs torts et Te rendant grâces pour les avoir pardonnés. Père, Tu es lié par obligation vis-à-vis de Ta Parole. Tu as dit : «Celui qui veut, qu’il vienne, qu’il vienne.» Et Tu as dit : «Nul homme ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Et tous ceux qui viennent à Moi, Je ne les mettrai pas dehors. Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je les ressusciterai au dernier jour.» C’est ce que dit Ta Parole, Père. Je sais que Tu as donné la Vie Eternelle et nous T’en sommes reconnaissants.

            Maintenant, Père, agis sur l’assistance pendant que notre frère chante et que les gens prient, au Nom de Jésus.

            Soyez en prière pendant que notre frère chante le couplet suivant.

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