Combattre Ardemment Pour La Foi

Date: 55-0123E | La durée est de: 1 heure et 22 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... fois, car beaucoup d’entre nous ne pourraient plus jamais se rencontrer comme ceci. Nous tous, cette foule même qui est rassemblée ici pourrait ne plus jamais se rencontrer encore comme ceci de ce côté du Ciel. C’est juste. Il y a beaucoup de personnes âgées ici, et j’ignore tout simplement quand je vais revenir. Il y a des accidents et vous savez ce qui arrive, il se pourrait que je ne puisse plus revenir, ou que vous ne puissiez plus revenir.

            Mais je... avec mon dernier témoignage auprès de vous, si ce n’est pas le cas, si cela arrive de cette manière, Jésus-Christ est réellement le Fils de Dieu ressuscité des morts. Et ce que j’ai dit à Son sujet, je le crois de tout mon coeur. Et je vous aime d’un amour éternel, d’un amour chrétien le plus chaleureux. Que Dieu soit avec vous.

            Maintenant, notre petit pasteur ici, frère Joseph... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Accordez-moi toute votre attention maintenant pour la lecture de la Parole.

2          Dans le Livre de Jude nous trouvons ces versets. Au verset 3 du Livre de Jude.

Bien-aimés... je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Eh bien, je crois que ce Livre a été écrit en l’an 66 de notre ère. Et c’était donc 33 ans après la Pentecôte. Et Jude s’adressait à l’église de l’époque, les exhortant à combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Pouvez-vous jamais imaginer qu’un–que l’Eglise du Glorieux Saint-Esprit, qui avait été inaugurée, et immergée en Christ par le Saint-Esprit, pouvait être si embrouillée en si peu de temps que le prophète ici, leur a dit de combattre ardemment pour la foi qui avait été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Maintenant, nous n’allons pas prendre beaucoup de temps. Je dois faire attention ici, parce que nous avons un grand service qui suit. Ce soir, je vais prier pour autant de gens que je pourrai faire passer dans la ligne de prière. Et je vous demanderai de vous tenir prêts en ayant la foi, et en étant dans la prière.

            Eh bien, le–le prophète dit ici de combattre ardemment pour la foi, pas «une» foi, mais «la» foi, qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Or, bien des gens disent: «Eh bien je pourrais aller à cette réunion, mais c’est contraire à ma foi.» Il n’existe qu’une seule foi: une seule foi, une seule espérance, un seul Seigneur, un seul baptême. Le croyez-vous? Une seule foi, et cette foi, c’est dans le Seigneur Jésus-Christ.

            Et maintenant, certaines personnes disent: «Eh bien, je suis méthodiste. C’est contraire à ma foi.» Je suis catholique, et c’est contraire à ma foi.» Il n’existe qu’une seule foi. Il pourrait y avoir différentes églises dénominationnelles pour représenter cette foi, mais il n’existe qu’une seule foi.

            Or, Jude a dit que nous (bien entendu, ici, il s’adressait principalement à la–l’église de ce jour-là)–nous devrions plutôt combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

3          Maintenant, cela ne peut pas s’appliquer à l’Ancien Testament. Cela doit s’appliquer au Nouveau Testament, parce que l’Ancien Testament c’était la loi, et de ce côté-ci, c’est la grâce. Et–et il est dit: «La loi et les prophètes», Luc 16.16, la loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean ; depuis lors le Royaume des Cieux est prêché. Alors cela devait concerner ce côté-ci, cela devait concerner ce côté-ci où il y a la sanctification,  parce que les saints, on parle de l’Eglise comme étant les saints après...

            Le mot saint signifie celui qui est sanctifié. En d’autres termes, nous devons combattre pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes à ceux qui sont sanctifiés. La sanctification signifie être appelé hors de, mis à part, purifié (Voyez-vous?), purifié et mis à part pour le service.

            Or, la foi qui a été transmise à ces gens, c’est la foi pour laquelle nous sommes censés combattre. Savez-vous ce que signifie combattre? C’est débattre, ou s’accrocher à, combattre pour. Combattre ardemment pour cette foi-là.

            Maintenant, si je disais: «Vous les frères méthodistes, l’avez-vous?»

            Oui, nous avons cette foi-là.

            Et vous les frères baptistes?

            - Oui.

            Et les catholiques disent: «Oui.»

            Les pentecôtistes disent: «Oui.»

            Tout le monde dira: «Oui, mon église combat pour cette foi-là.»

            Eh bien, je suis heureux d’entendre cela. Je serai très heureux de savoir que c’est la vérité.

            Maintenant, la seule manière d’être certain, je pourrais dire: «Alors qu’est-ce qui fait que vous êtes différents les uns des autres?»

            «Eh bien, donc, nous, nous croyons que c’était comme ceci.»

            Eh bien, faisons un recul dans le passé jusqu’au tout début des Ecritures, au ministère du début, et aux jours des saints, et voyons quel genre de goût ils avaient, ensuite, combattons pour ce qu’eux avaient. C’est la seule manière d’être certain. Est-ce vrai?

4          Maintenant, la première personne à introduire cette foi pour laquelle la Bible nous recommande de combattre, c’était le Seigneur Jésus-Christ lui-même. Jean était le précurseur qui devait annoncer Sa Venue, mais Christ était Cela. Christ Lui-même. C’est Lui qui a apporté la foi en question, parce que sur terre, c’est Christ qui, devant les gens, était la représentation de Dieu dans la nouvelle alliance.

            Remarquez, Dieu a envoyé Christ après que les jours de la loi eurent fait... une femme sous la loi afin qu’Il puisse racheter ceux qui étaient sous la loi. Christ était fait chair, étant Dieu Lui-même, Emmanuel, investi, Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. 

            Et lorsqu’Il était ici sur terre, Il ne suivait pas Ses propres pensées ni Sa propre volonté, mais Il a sacrifié Sa propre volonté et Ses propres pensées pour suivre la pensée et la volonté de Son Père. «Je ne suis pas venu faire Ma volonté, mais la volonté de Celui qui M’a envoyé.» Comprenez-vous cela?

5          Eh bien, Christ est venu pour faire la volonté du Père. Si donc nous voyons ce que Christ a fait, quel genre de foi Il a donné aux gens, ou prêché aux gens, alors, cela devrait être la foi pour laquelle nous combattons.

            Maintenant, lorsque Christ était ici sur terre, on se posait des questions, Il était né juste un garçon ordinaire, né dans une étable. Il n’est pas venu au monde avec tout un tas de–d’agitation. Il était simplement issu des parents humbles, Il était né dans une étable, Il a été élevé, Il allait, Il a grandi parmi les Siens.

            Et à l’âge de trente ans, Il est allé dans le désert, et là, Il a rencontré Jean, et Il a été baptisé par Jean dans le Jourdain, pour obéir ou accomplir... Lorsque Jean L’a vu venir, Il a dit: «C’est moi qui dois être baptisé par Toi, pourquoi viens-Tu à moi?»

            Il a dit: «Laisse faire. Il doit en être ainsi, et il est convenable que nous accomplissions toute justice.» Et alors, Il a été baptisé par Jean, Il est sorti de l’eau, et voici les cieux s’ouvrirent.

            Et Jean a rendu témoignage qu’il a vu l’Esprit de Dieu descendre du Ciel comme une colombe et venir sur Lui. Jean a dit plus loin: «Je ne Le connaissais pas, mais Celui qui m’a dit dans le désert d’aller baptiser avait dit: ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, c’est Celui-là qui baptiste du Saint-Esprit et du Feu.»

            Jean avait un signe qui indiquerait que c’était le Messie. Lorsqu’il Le vit venir, il a reconnu que c’était le Messie. Eh bien, Il n’était pas habillé différemment des autres hommes. Jésus était juste un homme ordinaire. La Bible dit: «Il n’avait aucune beauté pour attirer nos regards.» Il n’était pas un grand homme de sept pieds [2 m]. Il n’avait aucune beauté pour attirer nos regards.

6          Je suppose qu’Il n’avait pas une grande instruction de ce monde, car nous n’avons aucun récit qui montre qu’Il ait fréquenté l’école, il n’y a aucun passage des Ecritures ni un récit dans l’histoire qui indique qu’Il a fréquenté une école. Mais Il avait une instruction, bien sûr. Mais nous ignorons où Il l’avait reçue. Et maintenant, nous avons un passage qui montre que Paul–Paul avait fréquenté l’école, ainsi que les autres, mais nous n’avons aucun passage attestant que Jésus a fréquenté l’école.

            Il était juste un homme ordinaire, Il utilisait un langage ordinaire, le langage que vous utilisez dans la rue avec n’importe qui, celui que les gens ordinaires comprenaient.

            Et ainsi donc, Son aspect et tout n’avait rien de remarquable qui vous aurait fait penser qu’Il était ce qu’Il était. Ce qu’Il était ne reposait pas sur Son apparence extérieure. Car, Son apparence extérieure était celle d’un homme, mais à l’intérieur Il était Dieu, Emmanuel. Dieu le Père était en Lui, réconciliant le monde avec Lui-même. Alors là, Il a amené la foi chrétienne.

            Maintenant, observons-Le. Qu’est-ce qui Le rendait différent? Comme orateur, je pense qu’Il n’était pas si énergique pour sortir là dans la rue comme nous le faisons, et crier, parce que la Bible dit: «Sa Voix ne se fera point entendre dans les rues. Et un roseau cassé et une mèche qui fume...» et ainsi de suite comme le prophète avait dit que ça serait.

7          Donc, il y avait simplement quelque chose dans Sa manière de parler qui captivait pourtant les coeurs des gens. Il n’était pas obligé d’être si énergique avec une démonstration extérieure, mais il y avait quelque chose là dans Sa manière de parler qui fascinait les coeurs des gens.

8          Combien j’aime souvent entendre de grands ministres parler, et j’aime les entendre. Mais je me suis souvent demandé comment on Le trouvait, lorsqu’Il se tenait là ce jour-là, lorsque Jésus a tendu les bras et a dit: «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, Je vous donnerai le repos.» Oh ! j’aurais aimé entendre cela.

9          J’aurais aimé L’entendre lorsqu’Il était assis sur la pierre, peut-être, sur la–sur la montagne, où Il a donné Son sermon sur la montagne, et L’écouter. Il a dit: «Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu. Heureux serez-vous lorsqu’on vous persécutera, et qu’on se moquera de vous de toutes les manières, qu’on dira faussement de vous toutes sortes de mal à cause de Moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les Cieux ; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.» Voyez-vous?

            Oh ! j’aurais aimé L’entendre prêcher cela. Frère Bosworth a dit que je pourrais peut-être ne jamais entendre cela, mais j’ai certainement l’espoir d’entendre ceci: «C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur.» Si je peux seulement entendre cela, c’est tout... Cela me suffira, c’est juste.

            Remarquez, lorsqu’Il était ici sur terre, Pierre a dit dans Actes, chapitre 2, après qu’il avait reçu le baptême du Saint-Esprit, il a dit: «Hommes Israélites, Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous...» De quelle manière? Par Sa théologie? Non. Par Sa grande position dans l’église? Non. Par Son diplôme? Non. Par Sa grande éloquence? Non. «Hommes Israélites, Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, et les prodiges que Dieu a accomplis par Lui au milieu de vous tous et dont vous êtes tous témoins...»

10        Oh ! la la ! c’était un langage direct, n’est-ce pas? Il a dit: «Vous, de vos mains méchantes vous avez crucifié le Prince de la Vie, mais Dieu L’a ressuscité.» Amen. J’aime cela. Il a dit: «Vous L’avez crucifié, mais il n’était pas possible qu’Il soit retenu par la mort. Donc la mort a dû Le libérer, et Il est ressuscité d’entre les morts. Et nous sommes Ses témoins. (Amen.) Voilà pourquoi ces choses sont accomplies, par exemple, l’infirme qui se tenait à la porte a été guéri.» Il a dit: «C’est par la foi dans le Nom de Jésus-Christ que cet homme a été guéri.» Voyez-vous? «Le Prince de la Vie que vous avez crucifié, a-t-il dit, Dieu l’a confirmé.»

            Il n’avait aucun... Il n’était pas un homme aux allures princières. Il n’avait aucune de ces choses auxquelles le monde regarde. «Mais Dieu était avec Lui, parce qu’Il a confirmé qu’Il était avec Lui devant vous tous, par des miracles et prodiges qu’Il a accomplis au milieu de vous tous.»

            C’est ce que les apôtres pensaient au sujet de la foi chrétienne. Ce que pensait le grand monde ecclésiastique, les pharisiens et les sadducéens, le grand Sanhédrin, qui comptait environ deux millions de personnes. Ils ont envoyé un représentant un soir, Nicodème. Il est venu de nuit. Certains parmi vous se moquent de lui parce qu’il était venu de nuit. Il était finalement arrivé. Et vous? Avez-vous fait autant que Nicodème? Il était finalement arrivé là. Il s’est rendu auprès de Jésus.

            Très bien. Et lorsqu’il est allé, considérez-le maintenant, un érudit, un érudit qui va voir un Homme qui n’avait aucun diplôme. C’était un aristocrate qui se rendait auprès d’un pauvre pour recevoir la connaissance. Voici qu’un homme qui avait de grands diplômes se rendait auprès d’un Homme qui n’avait aucun diplôme. Voilà qu’un vieux sage et un docteur allait vers un jeune homme pour apprendre au sujet de la Vie Eternelle. Voyez-vous la différence?

11        Eh bien, il a parcouru les ruelles la nuit pour y parvenir à cause de son église et des autres. Mais Nicodème (Ecoutez-le.), il a exprimé l’opinion de l’église, du Sanhédrin, du temple, des pharisiens, et des sadducéens, et du Sanhédrin et de tous les autres. Il a dit: «Nous savons... Rabbi (ou Maître), nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu.» «Nous», nous qui? «Nous les Juifs, nous de la–de la cour. Nous de la synagogue, qui T’avons persécuté, qui Te ridiculisons, qui nous moquons de Toi ; cependant, nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu.» Pourquoi?

            «Parce que Tu es un homme éloquent, un grand orateur, Tu as une voix mélodieuse?»

            «Non.»

            «Comment le savez-vous alors?»

            «Nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, car aucun homme ne peut faire ces choses que Tu fais, ces miracles que Tu fais, à moins que Dieu soit avec lui.» Ils reconnaissaient que c’était Lui, mais à cause des préjugés, de l’égoïsme, ils n’étaient pas prêts à se renier, à renoncer à leur vieil entourage pour L’accepter. Cependant, ils reconnaissaient que cela venait de Dieu.

12        Cette ville, du fait que les gens lisent les journaux et viennent aux réunions, n’a aucune excuse. Ils savent que Dieu est ici, en train d’agir et d’accomplir des miracles. Les gens qui se moquent de la guérison divine, qui se moquent de l’Eglise du Dieu vivant, disant que ce sont des gens bornés, n’ont aucune excuse. Ils savent au fond de leurs coeurs que c’est la vérité. Ils doivent... Ils ont peur de confesser cela, ils ont peur de perdre de leur prestige social. J’aimerais plutôt perdre tout mon prestige social et gagner le Ciel, pas vous? Sincèrement, je n’ai aucun prestige social à perdre.

            Mais Christ m’a reçu, et maintenant je suis–je suis un enfant. Considérez ce qu’Il était pour nous. Malgré Sa richesse Il est devenu pauvre, afin que par Sa pauvreté nous devenions riches. Malgré Son immortalité Il s’est fait chair afin d’ôter notre maladie, afin que par Sa maladie nous puissions avoir la bonne santé. Et Il est devenu tous mes péchés, Lui qui était sans péché, Il a pris mes péchés, afin que je sois sans péché. Il est devenu moi afin que je devienne Lui au Ciel.

            Il se tient là comme mon Représentant et le vôtre. Alors Dieu ne regarde pas à nous ; Il regarde à notre Représentant. Oh ! n’est-ce pas merveilleux, Christ qui prend notre place, qui nous représente devant le Père?

            Avez-vous déjà été dans un tribunal? Le Représentant, Il se tient là comme notre avocat, Il se tient là pour plaider. Qui sait faire mieux que Lui, alors qu’Il est le Fils même du Père, se tenant dans la Présence de Dieu pour plaider notre cas, à nous pécheurs. Et si nous confessons...

            Du riche qu’Il était, Il est cependant devenu pauvre, afin que par Sa pauvreté, nous puissions devenir riches. Riches en quoi? En argent? Non. Riches en bénédictions célestes, des choses spirituelles. Nous, qui autrefois étions pauvres, sommes devenus maintenant riches par Sa pauvreté.

13        Considérez-Le. Il s’est dépouillé? Il s’est humilié, Il est descendu, le Grand Dieu du Ciel... Vous... Il est descendu dans Son humiliation et s’est abaissé, s’est humilié dans un corps de chair pour marcher parmi les hommes, pour entendre les malédictions et les jurons des hommes, pour sentir la douleur de la maladie et de la mort sur Lui, pour que par tout cela, pas parce qu’Il était obligé, mais parce que l’amour L’y avait contraint... Car Il a fait tout cela et était tombé malade et a eu des ennuis... Vous direz: «Etait-Il tombé malade?» Certainement. N’a-t-Il pas connu la même chose personnellement, selon Ses propres–Ses propres propos, Il a dit: «Les gens ne Me diront-ils pas: ‘Médecin, guéris-Toi Toi-même?» Bien sûr, Il a porté nos maladies, nos chagrins, nos péchés, nos peines. Voyez-vous ce qu’Il était?

            Eh bien, c’est Celui dont les apôtres ont parlé ; Celui dont Nicodème a parlé. Voyons ce qu’Il était. Quelle sorte de représentation de la foi chrétienne était-Il.

14        Lorsqu’Il était ici sur terre, Il ne s’était donné aucun titre. La Bible dit qu’Il ne l’a pas fait. Il ne s’était pas forgé une réputation. Bien des fois, je me suis dit ceci: l’homme qui a fabriqué le dentier s’est forgé une réputation avec cela. Mais l’Homme qui a créé les vraies dents ne s’est forgé aucune réputation. L’homme qui a fabriqué la jambe artificielle s’est forgé une réputation, mais Celui qui a créé la vraie jambe ne s’est forgé aucune réputation. Voyez?

            Il s’est simplement dépouillé et est descendu afin de vous sauver vous et moi, de nous guérir vous et moi. Le Grand Médecin, le Dieu du Ciel, L’Immortel, Il s’est revêtu de chair afin d’ancrer la maladie dans Son propre Corps, pour ôter notre maladie. On ignore toujours cela. Il n’y a pas de mot pour exprimer ce que cela signifie réellement, ce que Dieu a fait pour nous en Jésus-Christ.

            Lorsqu’Il était ici sur terre, Il ne se vantait pas. Il était venu sans rien connaître, excepté ce que le Père voulait qu’Il fasse. On Lui a proposé de grandes choses. Même Satan Lui a dit: «Je Te donnerai tous les royaumes du monde, je T’en ferai le maître, si Tu te prosternes et m’adores.»

            Il a dit: «Arrière de Moi, Satan. Il est écrit: ‘Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu Le serviras Lui seul.» Certainement. Il aurait pu avoir tous les royaumes du monde. Il les aura de toute façon. Il en deviendra Héritier. Il est l’Héritier de toutes choses. Et nous sommes héritiers avec Lui, et cohéritiers dans le Royaume. «Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu. Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre.» Voilà Son sermon. Eh bien, Il nous donne Sa promesse. C’était Lui.

15        Maintenant, observez-Le. Alors qu’Il était ici sur terre, nous voyons certaines de Ses oeuvres. Voyons maintenant ce qu’Il représentait dans la foi chrétienne. Tenez. Le voici. La source de tout le christianisme, la tête, le commencement, l’origine de la foi chrétienne, c’était Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le commencement de la foi chrétienne, le point de départ auquel les hommes de tous les âges doivent regarder, et à partir duquel ils doivent commencer. Il était un exemple pour nous. Est-ce vrai?

           

            Au chapitre 13 de Jean, quand le lavage des pieds a été introduit, et Il a dit... Observez Pierre, ce Pierre–Pierre était empesé, il a protesté...?... Il s’est tenu là comme un homme guindé. Et Il s’est avancé pour laver les pieds de Pierre. Celui-ci a dit: «Jamais Tu ne me laveras les pieds.» Oh ! la la ! nous en avons tant aujourd’hui.

            «Jamais Tu ne me laveras les pieds.»

            Jésus l’a regardé, Il a dit: «Eh bien, si Je ne te lave pas les pieds, tu n’as point de part avec Moi.»

            Pierre a dit: «Dans ce cas, Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête.» Cela l’avait en quelque sorte dépouillé de sa raideur. N’est-ce pas?

16        Oh ! je peux L’imaginer prononcer ces gentilles paroles, en regardant Pierre et dire: «Maintenant, maintenant... Si Je–si Je ne peux pas te laver les pieds, tu n’as point de part avec Moi. Si tu ne peux pas observer Mes commandements, si tu ne peux pas accomplir la volonté du Père... Pierre, Je t’aime. Mais tu dois accomplir ces choses.» Cela fait partie de la foi chrétienne.

            Alors, après qu’Il eut fini de laver les pieds des disciples, Il s’est assis, et a dit: «Maintenant, vous m’appelez Seigneur et Maître ; et vous dites bien, car Je Le suis. Si donc Je vous ai lavé les pieds, Moi, votre Seigneur et votre Maître, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres ; car... (Ecoutez cela.)–car Je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez les uns aux autres comme Je vous ai fait.» Il était l’Exemple du christianisme. Il était le christianisme. Il était notre modèle.

            N’essayez jamais de prendre comme modèle pour votre vie un certain prédicateur, un certain prêtre, un certain grand religieux ici sur terre, mais, prenez Christ comme modèle pour votre vie. Il est votre exemple. Il a donné un exemple. Il a mené une vie exemplaire qu’Il a présentée à l’Eglise. Oh ! j’espère que ceci pénètre profondément.

            Pourquoi les gens ne veulent-ils pas écouter l’Evangile? Voyez-vous? Remarquez, que cela pénètre profondément.

17        Il a dit qu’Il était l’exemple. Maintenant, nous Le voyons, observez quel exemple Il a donné. Il s’est avancé là et a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Et ensuite, un homme est venu auprès de Lui, quelque peu indifférent, Il a parcouru l’assistance du regard, et Jésus qui se tenait là s’est tourné vers cet homme ; Il a dit: «Tu es un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Lorsque Philippe était allé trouver Nathanaël là sous cet arbre où il était en train de prier au sujet du Messie, il a dit: «Viens ici. J’aimerais te montrer que nous avons trouvé Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et cet homme guindé, a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens et vois.» Voilà la meilleure manière pour découvrir la chose. Allez vous rendre compte. Il a dit: «Viens et vois.»

            Eh bien, il s’est rendu là, vous savez, un homme aimable, un homme de bonne moralité, il n’y avait pas plus honnête que lui, et il s’est avancé devant Jésus, il se tenait là dans la foule, et Jésus regardait autour de Lui. Je m’imagine lorsqu’il a entendu Jésus, ou lorsqu’il a entendu Jésus, ou qu’il L’a vu prier pour quelques malades ou quelque chose, son coeur a commencé à fondre un petit peu.

            Vous savez, je peux presque l’entendre glisser un mot à Philippe. Il dit: «Philippe, cet Homme-là est un peu différent des prédicateurs ordinaires que nous connaissons.»’ Oh ! la la ! est-Il différent? Il a dit: «Il est un peu différent. J’aime plutôt Sa façon de parler.»

            J’entends Nathanaël dire: «Eh bien, je–je–je me disais que tu changerais d’avis lorsque tu Le verrais et une fois que tu L’aurais entendu. Tu étais simplement en train d’exprimer ton opinion, là-bas, lorsque tu as dit... peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

18        Presqu’à ce moment-là Jésus a tourné Son admirable visage, Ses grands yeux doux ont regardé par là, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Cela l’a secoué.

            Il a dit: «Moi?»

            Il a ajouté: «Comment m’as-Tu connu, Révérend ou Rabbi?»

            Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, lorsque tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Voilà l’exemple du christianisme. C’est juste.

            Il a rencontré une femme au puits, et Il avait envoyé Ses disciples au loin. Ils étaient allés dans la ville pour acheter de la nourriture, quelques victuailles ; et pendant qu’ils étaient absents, Jésus savait que cette femme allait venir, parce qu’Il a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père Me l’ait montré.»...

            De Jérusalem Il est censé aller directement à Jéricho, mais Il est passé par la Samarie. Je me demande pourquoi. Il fallait qu’Il passât par la Samarie. Je me demande pourquoi. Arrivé là, Il s’est assis à côté du puits. Et la femme est sortie pour puiser de l’eau. Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que les Juifs demandent pareille chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais à qui tu parles, tu M’aurais toi-même demandé à boire, et Je t’aurais donné une eau que tu ne viens pas puiser ici.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond», et ainsi de suite.

            Il a dit: «Va chercher ton mari.» Il est allé droit au but. «Va chercher ton mari. C’est cela ton problème.»

            Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»

            «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Amen.

19        Voilà le signe du christianisme. Voilà la foi qu’eux avaient. Voilà l’exemple.

            Eh bien, elle est entrée dans la ville en courant. Jésus est entré, Il n’a accompli aucun miracle ni aucun signe. Il a simplement parlé aux gens. Ils ont dit: «Nous Te croyons. Nous Te croyons. Ce n’est pas parce que la femme a dit que Tu connaissais le secret de sa vie, mais–mais parce que nous T’avons entendu parler, nous Te croyons. Voilà pourquoi nous...» Observez ce qui est arrivé un peu plus tard à cette ville.

            Jésus a continué son chemin. Remarquez, c’est le genre de vie qu’Il a vécue. Il est passé par la piscine de Béthesda, ou plutôt près de la piscine, où était couché un grand nombre de malades, d’infirmes, de boiteux, d’aveugles, de paralytiques.

20        Maintenant, suivez. Croyez-vous que Jésus avait de la compassion? Il était plein d’amour. Mais, parfois c’est simplement comme les gens qui s’aiment. Ils oublient de quel genre d’amour ils parlent. L’amour phileo et l’amour agapao: un... les deux sont l’amour, mais l’un, c’est l’amour d’En Haut, et l’autre c’est l’amour d’ici sur la terre.

            C’est comme je parlais à un reporteur aujourd’hui, j’ai dit: «Le–l’amour d’ici-bas, l’amour humain vous amènera à tirer sur un homme à cause de votre femme, mais l’amour qui vient d’En Haut vous amènera à prier pour son âme perdue.» C’est bien différent. Voyez-vous? L’un d’eux, c’est un amour ici en bas à ce niveau, l’amour humain ; et l’autre, c’est l’amour qui vient d’En Haut.

            Et quand on regarde la foule avec compassion, on dit: «Oh ! ne veux-Tu pas guérir cette personne. Il est malade. Il est grandement dans le besoin. C’est un homme de bien. On le connaît. Guéris son petit bébé. Regarde.» Ça, c’est la compassion humaine. Mais la vraie (tenez), la vraie compassion divine, c’est faire la volonté de Celui qui vous a envoyé faire cela.

21        Jésus est passé à côté de tous ces malades, et de ces affligés, et de ces infirmes ; Il est allé là et a trouvé un homme qui était couché sur un grabat, Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            «Eh bien, a-t-il dit, je peux marcher. Lorsque je descends à la piscine, oh ! quelqu’un qui est en meilleure condition que moi y entre avant moi.»

            Jésus a dit... maintenant suivez, Jésus savait que cet homme était étendu là, que ça faisait trente-huit ans qu’il était malade, il avait cette maladie depuis trente-huit ans. Pourquoi guérirait-Il un homme comme cela?  Il faisait la volonté du Père. Et Il l’a trouvé. Il a dit: «Prends ton lit, et va chez toi.» Il a roulé son lit et a fait ce que Jésus lui avait dit de faire, il s’en est allé en marchant.

            Les Juifs L’ont trouvé, ils se sont mis à L’interroger. Ils L’ont amené devant la justice. Jésus a été amené devant la justice.

            Et au 19e–après le 5e chapitre de Jean et au 19e verset, Jésus, lorsque Jésus était interrogé... Je me demande sur quoi on interrogeait Jésus. Premièrement, Il avait guéri un homme le jour du sabbat. Ensuite: «Pourquoi ne guéris-Tu pas ceux qui sont là? Va là-bas et guéris-les tous, si Tu en es capable.»

22        Ecoutez la remarque par laquelle Jésus a répondu. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce que le Père Lui montre. Ce que Je vois faire au Père, le Père Me le montre, et ensuite Je vais et fais cela.»

            En d’autres termes, Jésus ne faisait rien de Lui-même avant d’avoir vu une vision montrant ce que le Père Lui disait de faire. Ensuite, Il allait et accomplissait cela. Voilà le christianisme: accomplir la volonté de Dieu. C’était Sa vie. C’est ce qu’a fait Jésus.

            Eh bien, qu’a-t-Il dit pendant qu’Il s’en allait? Nous combattons pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes. Cela devait venir de quelque part, si elle a été transmise aux saints. Est-ce juste? La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, qui l’a transmise?

            Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde ; et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Saisissez-vous cela? Qu’était-ce?

23        La foi qu’Il représentait, Il l’a transmise à l’Eglise qui doit la porter jusqu’à la fin du monde. Amen. Oh ! j’espère que cela pénètre profondément en vous. Regardez sous votre cinquième côte gauche.

            Remarquez, c’était cela la–la foi dont Jude parlait. Ce genre de foi, les oeuvres qu’avait accomplies Jésus, la foi qu’Il avait en Dieu, Il a transmis la même chose aux saints. Car Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» Alléluia ! J’espère que c’est en ordre.

            Remarquez: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je vous transmets ceci. Mais avant que vous puissiez l’avoir, montez là à la cité de Jérusalem et attendez un peu. Je vais vous envoyer la promesse du Père. Je reviendrai vous voir très bientôt. Je monte au Calvaire. Ils vont Me crucifier et Me livrer entre les mains des gens des nations. Des méchants vont Me crucifier, mais Je ressusciterai le troisième jour. Ensuite, Je vais revenir. Alors, restez ici dans la ville de Jérusalem.» Luc 24.49: «Restez ici, ou attendez là dans la ville de Jérusalem avant d’aller par tout le monde avec cet Evangile. J’aimerais que vous montiez à la ville de Jérusalem et que vous attendiez jusqu’à ce que Je vienne.»

24        Il est celui qui sera en vous, c’est Lui qui était venu sous la forme de l’Esprit. «Montez et attendez, car Je vais envoyer une promesse, ce que le Père vous a promis. Je vais l’envoyer sur vous. Alors, Je serai avec vous, même en vous, tout le long jusqu’à la fin du monde. Et Je serai en vous, accomplissant les mêmes oeuvres que J’ai accomplies quand J’étais ici dans ce Corps. Je retournerai dans Mon Corps mystique, accomplissant les mêmes oeuvres. Voyez-vous cela? Oh ! la la ! le seul but de Sa mort au Calvaire, c’était de sauver un pécheur et de donner à l’Eglise la puissance ou l’autorité, et la foi pour accomplir les mêmes choses qu’Il faisait, ou d’ouvrir un coeur, de créer un canal pour qu’Il puisse Lui-même y demeurer. J’espère que vous comprenez cela.

            Observez. Nous verrons si cela s’est accompli. Très bien. Lorsqu’Il est parti et que le Saint-Esprit est venu le jour de la Pentecôte... Observez. Immédiatement, un petit gars du nom de Philippe, tout rempli de Christ, est descendu à Samarie où Jésus n’avait accompli aucun miracle, mais où Il avait dit à la femme, par une révélation divine, ce qui n’allait pas dans sa vie et ainsi de suite, il est allé là-bas, a prêché et a accompli des miracles, et il a chassé des démons, et il y a eu une grande réjouissance dans la ville. C’était la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

25        Pierre, après avoir été rempli du Saint-Esprit, il a effectué un voyage un jour, et il est monté sur le toit de la maison, en attendant le dîner. Probablement qu’il n’avait pris aucun petit déjeuner, car il avait faim. Et pendant qu’on préparait le déjeuner par ici sur le rivage, chez un corroyeur nommé Simon, Simon Pierre est monté sur le toit de la maison ; en effet, c’est une habitude en Orient de dormir sur le toit de la maison, de manger sur le toit de la maison et tout. Pierre est monté et s’est assis, et il se reposait un petit peu. Et pendant qu’il se reposait, il était un représentant de la foi.

            Nous devons nous dépêcher maintenant. Il est presque 21 heures. Ecoutez ceci, alors que nous terminons.

26        Il devait représenter la foi. En effet, Jésus lui avait dit qu’il allait la représenter. Ainsi donc, quand il tomba en extase... Je me demande dans quel état il est entré. La Bible dit qu’Il était en extase.

            Aujourd’hui les gens diraient: «Voilà un spirite.»

            Il tomba en extase, et alors il vit une vision. Que lui disait la vision? Exactement la volonté de Dieu. C’est la même chose qui se faisait avec Jésus de Nazareth.

            Vous direz: «Maintenant écoute, Pierre. J’aimerais que tu montes là. Il y a des hommes qui viennent, ils t’attendent maintenant, et je t’ai montré cette vision de cette nappe pleine de créatures impures.

            Et Pierre s’est levé, il a dit: «Oh ! non. Non, non. Je ne mangerai jamais quelque chose d’interdit.» Il a dit: «Je–je... Jamais rien d’impur n’est entré dans ma bouche. Il a dit: «Je ne mangerai pas.»

            Il a dit: «Ce que Dieu a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé.» Il a dit: «Maintenant, Pierre, tu ne comprends pas la vision, mais il y a deux hommes qui t’attendent, lève-toi et pars avec eux sans hésiter.» Oh ! la la ! voilà la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Voilà comment ils avaient agi avec cela.

27        Alors Pierre s’est levé, peut-être qu’il n’avait même pas pris son dîner, et il est parti. Et Corneille avait eu une vision, il a appelé tous les siens, les élus, il les a fait entrer dans sa maison, et il les a fait asseoir, probablement qu’ils avaient pris la tablette qu’on utilise pour se laver, et tout, qu’ils avaient tiré les chaises et avaient fait asseoir tout le monde autour. Et Pierre est entré et il s’est mis à témoigner et à leur dire comment le Saint-Esprit était descendu sur eux le jour de la Pentecôte.

            Et comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur les Gentils. Voilà la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Et ils se sont tous mis à parler en langues, à exalter Dieu, à glorifier Dieu, ils ont tenu le même genre de réunion qu’eux au jour de la Pentecôte. Pierre a dit: «Peut-on refuser l’eau du baptême à ceux-ci, vu qu’ils ont reçu le Saint-Esprit comme nous au commencement?» Alors, il ordonna qu’ils fussent baptisés au Nom du Seigneur. Et il est resté avec eux plusieurs jours.

            Et pendant ce temps, il y avait un–un homme très indifférent, Paul, qui détenait une licence, un doctorat en théologie et un doctorat en philosophie, et qui connaissait tout sur la théologie. Il a dit: «Je vais mettre la main sur cette bande de gens, ces fous...» C’est ce qu’il a dit: «Une hérésie.» Comment appelle-t-on une personne qui pratique l’hérésie? Un hérétique. Un cinglé, un fou. Il a dit: «Je vais les arrêter tous. Ils ne savent même pas de quoi ils parlent.»

28        Paul était ici en bas dans le domaine naturel, muni de son doctorat. Voyez-vous? Il ne savait pas... Il avait une foi intellectuelle, mais il n’avait pas une foi divine. Il y a une grande différence entre avoir une foi intellectuelle et avoir une foi divine. C’est là que vous, mes amis baptistes, vous manquez d’avancer. Vous obtenez la foi intellectuelle par cela, mais il vous faut avoir une révélation divine de Jésus-Christ, laquelle vient du coeur. La foi intellectuelle ne suffit pas. C’est très bien, mais elle vous amène seulement au Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est une expérience personnelle de la naissance, de la nouvelle naissance, de la régénération, faisant de vous une nouvelle créature en Christ.

            Suivez, Paul est monté sur son coursier, et il s’est rendu à Damas muni de quelques lettres de la part du souverain sacrificateur, et il a dit: «Je vais arrêter tous ces hérétiques. Je vais les ramener.»

            Voyez, comment l’Evangile s’est répandu. Il n’est pas resté là inactif comme c’est le cas aujourd’hui. Frère, lorsque les gens ont vu les oeuvres que Dieu accomplissait par les apôtres, ils sont allés partout. Ils étaient vraiment en feu. Ils faisaient quelque chose. Le réveil de Philippe a produit probablement quelque chose de glorieux.

            Et pendant que Paul était là-bas en route vers Damas en provenance de la Samarie, qu’il se dirigeait vers Damas, Dieu avait appelé un homme et l’avait rempli du Saint-Esprit, et Il lui avait accordé le don de discernement. Et il s’appelait Ananias.

            Alors Paul était en route ; voilà la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Paul était en route, faisant trotter son grand coursier ; c’était juste un bluff, il proférait de grandes menaces: «Je veux arriver à ce grand...?... Je–je vais m’occuper d’eux. Je vais mettre fin à tous ces bruits insolites, à ces visions et à ce–et à toutes ces prophéties. Je vais mettre un–je vais mettre un terme à cela.

29        Et presqu’à ce moment-là la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël, Elle ne lui était jamais apparue, mais Elle l’a frappé en plein visage et l’a renversé de son cheval. Amen. Il s’est mis à se rouler par terre, il a levé les yeux, et Cela brillait tellement... La même Colonne de Feu, une Lumière qui brillait plus fort que le soleil dans sa–lorsqu’il est au zénith. Paul secoua la tête.

            Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

            Il a dit: «Seigneur, Qui est-ce que je persécute?» Quelle différence !

            Dieu a dit: «Maintenant, voyez-vous ce que Je vais faire de lui? Je vais faire de lui–Je vais faire de lui un vase ; Je vais l’amener à Me servir.» Dieu a une façon de faire les choses, vous savez.

            Alors Il a dit: «Maintenant, lève-toi, tiens-toi debout et va à la rue qu’on appelle la Droite.» Voilà un bon endroit où amener un nouveau converti. Et... Il a dit: «Descends à Damas et... la rue qu’on appelle la Droite.»

            Maintenant, je peux m’imaginer Paul entrer là quelque part, et dire: «Madame, oh ! ma tête me fait mal. Mes yeux, c’est à peine si je peux voir un petit reflet. Et je suis dans un état terrible.» Il s’était trouvé une petite chambre, qu’il louait, là dans un hôtel, et il est entré là. Et durant toute la journée, il a prié, disant: «Seigneur Jésus, je vais simplement déchirer toutes ces lettres qu’Ananias m’a remises. Je–je ne veux plus rien savoir là-dessus. Je veux en savoir plus sur Toi, Seigneur.»

30        Et il y avait là-bas un vieux prédicateur, du nom d’Ananias, qui avait des visions. Voyez-vous, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, comment l’avait-il reçue? Voyez-vous? L’Evangile avait été prêché.

            Et Ananias a eu une vision, il a vu un homme du nom de Saul étendu dans une maison, qui se roulait, s’agitait et pleurait sans arrêt. Le Seigneur a dit: «Ananias, va là sur la rue qu’on appelle la Droite, et impose-lui les mains, afin qu’il recouvre la vue, qu’il soit guéri et qu’il reçoive le Saint-Esprit.»

            Qu’est-ce? Dieu est apparu en vision à Ananias. La foi que Jésus a apportée, les–les résultats qui l’accompagnent étaient manifestés dans l’Eglise. Il a dit: «Vas-y maintenant, impose-lui les mains, il recevra le Saint-Esprit et il recouvrira la vue.»

            Dieu se révèle encore aux gens: «Va, impose les mains à celui-ci, dis à celui-ci, parle à celui-ci, va par ici vers celui-là.» Vous voyez cela chaque soir. Amen.

            Il a dit: «Va là-bas et impose-lui les mains.»

            Ananias a dit: «Seigneur, j’ai entendu parler de cet homme.» Il a dit: «Il arrache les gens de leur maison, les menace, et nous avons appris qu’il a des lettres de la part du souverain sacrificateur.»

            Dieu a dit: «Voici, il prie.»

            Lorsqu’il est sorti de la vision, je peux le voir s’essuyer les yeux et revenir à son état normal, il tend la main et prend sa Bible, pour ainsi dire, son manuscrit, il le met sous le bras, et le voici qui descend la rue.

31        Il regarde au bas de la rue qu’on appelle la Droite, il dit: «Eh bien, voyons. J’ai vu dans cette vision une maison d’un certain aspect. Où est-il?» Il dépasse le parc de la ville, il dépasse la cour de la maison, il dépasse la synagogue, il avance. Et là, il dit: «Oh ! c’est ça. Voilà l’endroit que j’ai vu dans la vision.» Il s’avance là et frappe à la porte, ouvre et entre. Voici le vieux Saul couché là, se roulant, se tordant et priant.

            Il s’avance vers lui et dit: «Frère Saul (Amen.)... Frère Saul, tu as eu une vision quand tu étais en route, n’est-ce pas? Le Seigneur Jésus t’est apparu là-bas.»

            Je peux entendre Saul dire: «Comment le sais-tu?»

            «Eh bien, Il m’est apparu par ici, et Il m’a tout dit à ce sujet.»

            Voici la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Il a dit: «Il est venu à ma rencontre là et m’a dit de venir ici et de t’imposer les mains afin que tu sois guéri, et aussi afin que tu reçoives le Saint-Esprit ; car Il t’a choisi.» Oh ! la la ! vous y êtes.

32        Et il lui a imposé les mains, et il a prié comme il–Dieu le lui avait demandé. Et les yeux de Paul ont été guéris. Et il l’a directement amené à la rivière et l’a baptisé, en invoquant le Nom du Seigneur, qui avait lavé ses péchés. Et Paul a été appelé à prêcher l’Evangile. Voilà la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Paul se tenait là un soir, il était prisonnier dans le... à bord des galères de la Rome antique. Je me suis tenu à l’endroit où il a été décapité et jeté dans la fosse par une fenêtre...?... Là Paul est sorti de la prison, est embarqué dans un vieux navire qui partait chargé de blé. Et là en route, il a parlé aux passagers, il a dit: «Je pense que nous ne devrions pas partir d’ici, de la Crète, pour aller là.» Il a dit: «Je crains que vous vous causiez des ennuis.»

            «Oui, qui est ce prisonnier de toute façon? Embarquez-le !» Et ils ont passé quatorze jours et quatorze nuits dans ce grand ouragan, tout espoir d’être sauvé avait disparu. Ils étaient ballottés dans tous les sens, et l’aiguille de la boussole s’est cassée. Tout, le mât est tombé, et quelle–quelle situation ! Les voiles étaient déchiquetées, et chaque homme hurlait et pleurait ; tout espoir d’être sauvé avait disparu. Paul avait des chaînes aux mains et aux pieds.

33        Une nuit, il descendit dans la galerie, peut-être dans la cloison, il rampa jusqu’à un petit endroit et ferma la porte, un cabinet secret, et il se mit à prier, peut-être toute la nuit. Le lendemain matin, on entendit les cliquetis de chaînes, quelqu’un montait les marches, voici venir Paul. Il se tient là secouant ses mains, à cause des callosités qui s’étaient formées sur ses mains par l’effet des chaînes, parce qu’il prêchait l’Evangile, combattant pour la foi qui avait été transmise aux saints une fois pour toutes, avec ces chaînes aux mains.

            Suivez. S’il avait prêché cela et avait combattu pour cela, Dieu le récompensera pour cela. Le voilà avec ses mains dans cet état-là, il dit: «Un instant. Un instant. Prenez courage, vous tous.» Et le vieux navire était ballotté dans tous les sens. «Prenez courage. Car l’Ange de Dieu, dont je suis le serviteur, m’est apparu cette nuit.» Ça pouvait être la Colonne de Feu, je ne sais pas ce que c’était. Ça peut être la même Colonne de Feu qui est allée vers Pierre et l’a fait sortir de la prison. Je ne sais pas.

            Mais il a dit: «L’Ange de Dieu dont je suis le serviteur, m’est apparu cette nuit et a dit: ‘Ne crains point, Paul’...» Il a dit: «Vous tous, gentlemen, j’ai eu une vision cette nuit. L’Ange du Seigneur est venu vers moi et m’a dit de ne pas avoir peur. En effet, il faut que je comparaisse devant César, cependant, ce petit navire échouera sur une certaine île. Et remarquez, il faut que je comparaisse devant César. Et Dieu m’a donné chacun de vous qui naviguez avec moi, Il m’a donné chacun de vous. C’est pourquoi, mes frères, a-t-il dit, prenez courage, car j’ai foi en Dieu qu’il en sera comme il m’a été montré.» La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, qu’était-ce? L’Esprit de Christ dans l’apôtre. Est-ce juste?

34        Rapidement, on doit terminer... L’Esprit de Christ dans les apôtres... On appelle souvent ce livre Les Actes des apôtres. C’était une erreur. Ce sont les actes de Christ dans les apôtres, parce qu’eux, c’étaient des hommes. Mais ils avaient la même foi.

            Eh bien, c’était l’Esprit de Christ dans les apôtres qui faisait cela ! Trente-trois ans plus tard, Jude a dit: «Combattez sans cesse pour cette foi-là. Je désire vivement vous écrire pour vous exhorter (en d’autres termes, vous stimuler), afin que vous puissiez combattre ardemment (ardemment), (continuer à tenir ferme) pour la même foi qui a été transmise aux saints.»

            Votre église croit-elle cela? Si elle croit, elle combat pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Combattre ardemment pour la foi.

            Maintenant, votre église croit-elle que Jésus-Christ est ici aujourd’hui sous la forme du Saint-Esprit? Si nous croyons que le Saint-Esprit est ici, et puis, que la Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», alors, le même Saint-Esprit qui était sur les apôtres doit être le même Saint-Esprit qui est ici aujourd’hui. Est-ce juste?

            Qu’en serait-il si je vous disais ce soir que l’esprit de John Dillinger était en moi? Eh bien, ce serait dangereux pour vous d’être ici. Vous vous attendriez à ce que je porte deux gros fusils sur mon côté, parce que l’esprit de John Dillinger, un hors-la-loi, serait en moi.»

            Qu’en serait-il si je vous disais que l’esprit d’un très célèbre artiste était en moi? Vous vous attendriez à ce que je prenne des pinceaux et que je peigne ici un tableau du coucher du soleil ou des vagues qui roulent là-bas, un tableau qui vous fascinerait et vous tiendrait sous le charme.

35        Qu’en serait-il si je vous disais que l’esprit de George Beverly Shea...? Qu’en serait-il si je vous disais que l’esprit d’Einar Ekberg était en moi? Vous vous attendriez à ce que je chante les mélodies que ces hommes ont chantées, parce que leur esprit serait en moi.

            Et si je dis que l’Esprit de Christ est en moi, cela doit produire la Vie de Jésus-Christ. C’est exact. Et si Christ est ici, l’espérance de la gloire en nous maintenant, Il produira exactement la même Vie qu’Il avait produite autrefois.

            Ô Chicago, mes précieux amis, vous êtes ce que notre Seigneur Jésus a acquis par Son Sang. A vous qui m’aimez, et qui venez m’écouter, je vous aime d’un amour éternel. Et, souvenez-vous, combattez sans cesse pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, qui a été apportée par Jésus-Christ, qui a été transmise des apôtres jusqu’à saint François et aux autres, et cela a continué ainsi. Il est le même Seigneur Jésus hier, aujourd’hui et éternellement. Je suis ici ce soir pour combattre pour cette foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Et que Dieu m’aide toujours, jusqu’au jour de ma mort, à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Je prie au Nom de Christ pour que vous puissiez recevoir cela.

36        Ô Père, ces quelques paroles décousues qui ont été prononcées maintenant, pendant quelques quarante-cinq minutes, cela a duré plus longtemps que je ne le voulais, à cause de la pression et du poids que nous ressentons pour que le Message, la Parole à faire parvenir aux gens... Si seulement ils peuvent recevoir la Parole, à ce moment-là ils T’auront dans leur coeur. Et pendant que je serai à des kilomètres d’ici, ils auront toujours cette foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Ô Père, au mieux de ma connaissance, j’ai dit la vérité, et le... J’ai dit, au mieux de ma connaissance, que c’est la vérité. C’est la foi. Et maintenant, Seigneur Jésus, Toi qui as dit ces paroles d’une manière merveilleuse: «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde», ne voudrais-Tu pas venir ce soir et manifester Ta résurrection dans la puissance de la divinité, la puissance de la vision, la puissance de la guérison, la puissance du pardon des péchés. Manifeste-Toi à ces gens-ci, nous Tes enfants aux coeurs affamés qui attendent. Nous voulons voir la manifestation de la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Peu importe le nombre de fois que Tu es venu, Seigneur, j’aime toujours cela. J’aimerais voir cela encore et encore ; car je T’aime. Je veux être avec Toi pour toujours.

            Et, Père, je Te prie ce soir de prendre maintenant ce service entre Tes mains, et de venir accomplir quelque chose comme Tu l’avais fait là autrefois. Comme ce que Tu avais fait devant ceux-là à Emmaüs, ce jour-là, en brisant le pain, Tu l’avais fait différemment de quiconque d’autre ; et leurs yeux se sont ouverts et ils ont compris que c’était Toi, que Tu étais là. Ils ont reconnu qui Tu étais. Ne voudrais-Tu pas venir ce soir et faire la même chose, peut-être, pas la même chose, mais faire quelque chose d’une manière telle que nous reconnaîtrons que c’est le même Jésus qui a été présenté au monde, la foi qu’avaient les saints, et qui continue encore aujourd’hui.

            Que les incrédules, les sceptiques soient sauvés ce soir. Que les malades soient guéris et que les saints se réjouissent. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils, qui nous a promis ces choses. Amen.

37        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Esprit, que j’ai adressé aux gens qui sont ici dans la fosse d’orchestre, en train de faire leurs enregistrements, que Dieu bénisse leurs coeurs, ils ont ces enregistrements, car parfois, beaucoup de bien-aimés veulent entendre ce qui leur a été dit. Observez cela.

            Bon, avant que je ne me mette à prier pour les malades, maintenant, j’aimerais dire ceci, mon cher frère, ma chère soeur: Peut-être ce soir rien du tout ne sera révélé. Je ne sais rien. Je ne contrôle pas cela. C’est Dieu qui contrôle cela. Voyez-vous?

            Maintenant, j’aimerais que vous fassiez ceci. Maintenant, en tant que des croyants... Si vous êtes sceptique, ne restez pas assis ici, quand cela commence, parce que vous allez seulement vous retrouver dans le pétrin. Mais, souvenez-vous, vous pourriez attraper une maladie, certainement, alors, souvenez-vous, les puissances démoniaques seront en liberté, si le Saint-Esprit vient les chasser. Croyez-vous qu’Il nous a ordonnés pour faire cela? Il a dit: «Ces...» Le pire... la dernière chose qu’Il a dite, avant de quitter la terre, les dernières Paroles qu’Il a adressées à l’Eglise, «Allez  par tout le monde, et prêchez cette Bonne Nouvelle à toute la création?» Est-ce juste? Cela ne pouvait pas être uniquement pour les disciples, car Il a dit: «Par tout le monde, et à toute la création. Et voici les miracles qui accompagneront dans le monde entier, à toute la création, ceux qui croient. En Mon Nom, ils chasseront des démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, s’ils prennent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Et Il fut reçu au Ciel dans la Gloire, et c’est la dernière fois que Sa voix a été entendue de manière audible sur terre depuis ce temps-là, jusqu’à ce qu’Il fendra de nouveau le ciel pour retourner.

            Il a dit: «Quand Je reviendrai, trouverai-Je la foi? Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»: La foi.

            Amenez les lettres, frère. Prions maintenant pour les lettres. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

38        Très bien. Approchez, madame. Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose ; voici une femme debout ici, elle se tient encore ici ce soir, je crois qu’il y a quelques soirées, c’était la même chose. Cette dame est une– une femme de couleur. Et elle, de par ses origines, son état, elle est une Ethiopienne ; et moi, je suis un Anglo-Saxon, ou un homme de race blanche. C’est la même chose qui s’est produite en Samarie, lorsque Jésus avait rencontré la femme samaritaine. Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous, vous ayez des relations avec nous.» Parce qu’ils avaient un problème racial en ce jour-là. Mais Jésus lui a clairement fait comprendre qu’il n’y avait aucune différence entre les peuples. C’est juste.

            «Car ce n’est ni sur cette montagne ni à Jérusalem que les hommes adorent, a-t-Il dit, mais ils adorent Dieu en Esprit et en Vérité, et ce sont les gens qui font cela que le Père cherche.» Voyez-vous? En Esprit et en Vérité.

            Maintenant, voici un exemple. Voici la femme, je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, que nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous les deux. Et Il la connaît comme une Ethiopienne, Il me connaît comme un Anglo-Saxon. Et nous sommes tous les deux issus du même sang. Et d’une seule nation, d’un seul homme, d’un seul sang, Dieu a fait... Chaque être humain a le même sang. Il peut donner une trans-... Le Chinois, le Japonais, le Jaune, le Brun, le Noir, ou le Blanc, ils ont tous le même sang, c’est simplement la couleur de leur peau. Donc, Jésus est mort pour nous deux.

            Nous nous tenons ici ce soir, elle est une chrétienne ; je sais qu’elle est une chrétienne, parce que... Comment ai-je su cela? Juste de la même manière que Jésus a su que Philippe était un–un croyant. Voyez-vous? Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude (qui est honnête et véridique).» Je ne l’ai jamais vue auparavant, alors comment ai-je su qu’elle est une chrétienne? Parce que l’esprit qui est en elle se sent le bienvenu. Voyez-vous? C’est une chrétienne. Elle croit.

            Maintenant, elle est ici dans un but. Dieu le sait, pas moi. Mais s’Il le révèle, alors, le christianisme de l’an 33 de notre ère est en action en 1955. Est-ce juste? Alors, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, n’est-ce pas? Comme avec les apôtres...

39        Que Dieu vous bénisse donc, alors que nous prions et que je m’adresse à cette dame juste pendant quelques instants. Maintenant, je m’adresse à vous qui êtes dans la ligne de prière. Maintenant, si vous vous tenez là sans avoir suffisamment de foi, si vous êtes là étant un peu sceptique, je ne sais pas. Mais c’est moi qui vous le dis, si vous êtes... avez... Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, si vous refusez catégoriquement de croire que ceci est de Dieu, sortez de la ligne de prière, parce que vous allez probablement vous trouver dans une situation pire que celle dans laquelle vous êtes là où vous vous tenez. Voyez-vous? Souvenez-vous-en tout simplement. Voyez-vous? En effet, votre carte de prière vous a permis d’être ici. (Voyez?) Cela vous donne le droit de venir ici. Mais là-bas, c’est Son choix. S’il s’agit des gens qui sont là et qui n’ont pas des cartes de prière, ce sont ceux qu’Il choisit. Ceci, ce sont les gens qui ont simplement été appelés selon un numéro. Alors, je ne peux pas savoir qui vous êtes, et pourquoi vous êtes venu ici. Mais lorsqu’Il montre des visions là, il s’agit de quelqu’un au sujet duquel Il veut connaître quelque chose (Voyez-vous?), ou plutôt dire quelque chose. Que le Seigneur vous bénisse.

            Maintenant, madame, en tant que croyant comme vous dans le Seigneur Jésus, et Son grand amour et Son omnipotence, et je suis simplement... Vous direz: «Frère Branham, qu’êtes-vous en train...» Je vous parle tout simplement, afin de...

            Voyez-vous, c’est simplement comme le fait d’accorder un instrument. Voyez-vous? Je sais que vous êtes une croyante. Je le sais, parce que votre esprit se sent le bienvenu. Mais maintenant, vous avez quelque chose à l’esprit, quelque chose que vous voulez que ce soit fait, ou une faveur que vous voulez demander à Dieu, ou quelque chose comme ça. Et maintenant, pour ce qui est de faire cela, je ne sais pas. C’est donc juste comme accorder un instrument, si vous ne comprenez pas. Accordez cela, et serrez cela et relâchez cela jusqu’à ce que cela soit bien accordé. Alors, vous aurez le...?... Vous savez, pour produire la mélodie (Voyez-vous?), c’est pareil. Et c’est la raison pour laquelle je parle d’abord aux gens, et ceux-ci, il y en a tellement par là, et cela tire au balcon, et partout, et c’est une procédure qui m’affaiblit, constamment, chaque fois. Ce sont les gens, c’est leur foi. Voyez-vous?

40        Mais alors, si je regardais d’abord par là, je ne saurais pas où c’était. Je sais que c’est partout dans l’assistance, mais j’ignore de qui il s’agit. Mais si je peux avoir deux ou trois personnes ici, au point que je peux entrer en harmonie avec la volonté de Dieu, et la conduite du Saint-Esprit, alors, Cela va aller vers l’assistance. Voyez-vous ce que je veux dire, chrétiens? Maintenant, c’est ça. Mais, bien sûr, vous avez un problème d’yeux. Vous portez des lunettes, et ce n’est pas seulement à cause de vos lunettes, mais vous avez des yeux malades qui vous dérangent, dernièrement cela vous a dérangée plus que jamais auparavant. C’est juste. C’est pour vos yeux et vous êtes ici désirant que l’on prie pour vos yeux, car il semble qu’ils–ils deviennent aveugles. Mais vous êtes venue pour me demander de prier pour vous, afin que Dieu les épargne. En effet, je sais que c’est la vérité.

            Et puis, vous... Donnez-moi votre main un instant. Oui, vous avez une maladie, pas tellement une maladie, mais c’est une grosseur. Et c’est une tumeur, et cette tumeur se trouve sur le sein. Et elle est sur votre sein gauche. C’est juste. Maintenant, croyez-vous que ceci c’est la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes? Croyez-vous que c’est le même Esprit qui a dit à la–à la femme au puits: «Tu as eu cinq maris»? Il savait que vous aviez cette maladie et ce qu’était votre problème, n’est-ce pas? Maintenant, croyez-vous? Approchez juste une minute.

            Dieu bien-aimé qui es au Ciel, je prie pour que Ton Esprit repose sur notre soeur, et qu’elle parte étant bien portante, car Tes bénédictions sont ici, Ton Esprit. Et je... Ton onction étant sur Ton serviteur, je lui impose les mains sur Ton ordre, et j’ordonne à ce démon qui la tourmente de la quitter au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.

41        Maintenant, voulez-vous approcher, madame. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Croyez-vous au Seigneur Jésus de tout votre coeur? Il y avait une grande traction qui venait de cette dame qui vient juste de passer. La raison de cela, c’est qu’elle avait une tumeur, et vous aussi vous en avez une. C’est de cela qu’il s’agit. Vous avez une tumeur, et ce démon, qui vient juste de sortir d’elle, appelait celui-ci au secours. Voyez-vous? C’est vrai. C’est pour la tumeur que vous désirez que l’on prie pour vous. Maintenant, si je vous parlais un instant, Dieu révélerait d’autres choses. Mais, croyez-vous maintenant que si je priais, cela arrivera, que vous serez guérie? Le croyez-vous? Je vais vous dire: Vous avez  une autre personne pour laquelle vous désirez que l’on prie. Oh ! cela ne cesse de tourner dans votre esprit. Vous vous posiez des questions. Je ne lis pas votre pensée, mais vous vous demandiez si j’allais omettre cette requête. N’est-ce pas vrai? Je ne lis pas votre pensée. C’est vrai. Il s’agit de votre fille. Est-ce vrai? Et elle souffre d’un–d’une maladie mentale. Elle n’est pas ici dans la salle avec vous ce soir. Mais vous désirez qu’elle soit guérie, n’est-ce pas?

            Maintenant, vous sentez Quelque Chose tout autour de vous, n’est-ce pas? Si c’est vrai, agitez simplement la main. C’est l’Ange du Seigneur. Le croyez-vous maintenant, soeur? Que votre foi s’élève maintenant et que cela soit fini.

            Ô Père, je lui impose les mains, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, et je demande que ceci soit le remède, au Nom de Jésus, pour Sa gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

42        Maintenant, cela devrait convaincre tout le monde qui est ici. Jésus-Christ est ressuscité des morts. Est-ce vrai? Assurément.

            Très bien. Amenez-le ici.

            Oh ! combien c’est merveilleux de se confier au Seigneur Jésus ! Maintenant (Vous voyez?), vraiment, maintenant, ce que le Saint-Esprit désire que je fasse maintenant même (Voyez-vous?), maintenant même, si je suis la parfaite conduite divine du Saint-Esprit, ce sera un abandon à l’instant même. Voyez-vous? Mais puisse Dieu accorder encore un peu Sa grâce en partage, étant donné que c’est la dernière soirée, et nous avons beaucoup de gens dans la ligne. Que Dieu accorde cela.

            Mais maintenant même, je sens comme Quelque Chose qui fait [Frère Branham produit le bruit d’un tourbillon.–N.D.E.], appelant simplement au-dessus de l’assistance, appelant, appelant. Oh ! je prie que Dieu ouvre vos yeux, ce soir, comme avec le serviteur là-bas. Je ne suis pas un hypocrite, je suis votre frère. Priez et croyez. Ayez foi en Dieu, vous qui êtes là-bas.

            Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur que l’Evangile que j’essaie de prêcher, cet Evangile du Seigneur Jésus, est la vérité, monsieur? Croyez-vous? Vous croyez que c’est la vérité. C’est de cette manière qu’il faut le dire. Voyez-vous? Car par tes paroles tu seras condamné, ou par tes paroles tu seras–tu seras sauvé. Lorsque vous croyez au Seigneur Jésus, témoignez de Lui devant les hommes, Il confessera votre nom devant le Père et devant les saints Anges.

            Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas. Nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Mais Dieu vous connaît depuis votre naissance, Il me connaît depuis ma naissance. Et notre destinée éternelle repose entre Ses mains. S’Il venait donc et me révélait le motif de votre présence ici, ou quelque chose du genre, juste tout ce qu’Il désire dire, quelque chose que vous savez, que j’ignore, cela vous amènera-t-il à croire de tout votre coeur?

43        Votre problème, c’est au niveau de la poitrine. C’est juste. Et voici la raison pour laquelle c’est à ce niveau-là: vous êtes un fumeur ; vous fumez la cigarette, et c’est exactement ce qui fait que votre poitrine soit dans cet état. Non seulement cela, mais je vous vois essayer de les abandonner. Vous essayez de vous en débarrasser. Et il semble que la chose a une telle emprise sur vous que vous n’y arrivez pas. Mais, vos espérances ont reçu un fondement tel que maintenant cela va partir. Vous ne serez pas déçu. Vous allez recevoir ce que vous demandez. Maintenant, poursuivez votre chemin. Vous en avez fini avec les cigarettes. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que ce démon sorte de cet homme. Partez, en vous réjouissant ...?...

            Bonsoir, madame. Je suppose que nous sommes aussi des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Jésus nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? C’était la musique que l’orgue jouait... Jésus vient. C’est bien. La puissance du tentateur est brisée, assurément, c’est juste. Sa puissance est brisée.

            Madame, regardez par ici. Vous êtes ici pour une maladie ; c’est une grosseur. Et ça se trouve à votre bras, je crois. Est-ce vrai? Un gonflement, c’est à votre bras droit, juste sous le bras, dans le creux du bras, c’est une grosseur, c’est un gonflement. Pas vrai? C’est vrai. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit maintenant? Que Dieu vous bénisse. Continuez votre chemin. Au Nom de Jésus le Fils de Dieu, nous chassons ce démon de notre soeur. Amen !

            Cela semble très simple, et c’est bien le cas. Mais c’est la puissance de Dieu qui fait cela. Approchez, s’il vous plaît, madame? Et je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, nous ne nous connaissons pas. Jésus nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Il nous connaît tous les deux. Bien sûr. Vous avez même l’air d’être une chrétienne, madame, à vous voir. Et votre esprit se sent le bienvenu, sachant que vous êtes une chrétienne. C’est juste. Vous non plus vous n’avez pas eu une vie facile. Je vois un trait sombre, une traînée, juste alors qu’on entre dans l’esprit. Vous êtes ici afin que je prie pour vous, car vous avez aussi une grosseur, et cette grosseur se trouve au pied. C’est au pied gauche. Pas vrai? Est-ce la vérité? Vous avez une bien-aimée ou une amie pour laquelle vous désirez que je prie aussi. Vous ne pensiez pas que j’allais dire cela, n’est-ce pas? Mais je–je... C’est à elle que vous pensez. Et cette personne a connu une attaque d’apoplexie, elle a eu deux attaques, deux attaques. Et autre chose au sujet de cette personne, ce n’est pas une chrétienne. N’est-ce pas vrai? Maintenant, vous êtes guérie, et allez poser ce mouchoir sur cette personne, votre amie, au Nom du Seigneur Jésus.

44        Croyez-vous de tout votre coeur? Soyez respectueux. Un instant, madame. C’est en ordre. Allez de l’avant. Allez simplement de l’avant. Il y a une vision qui apparaît dans ce coin. Je vois quelque chose, comme des collines et des arbres qui se balancent, et c’est un... Je crois reconnaître l’endroit en question. C’est–c’est, je crois que c’est Pineville, au Kentucky. Et il y a une dame, vous êtes ici pour votre soeur qui se trouve à Pineville, au Kentucky, qui est... Vous n’avez pas... Avez-vous une carte de prière, madame? Vous n’avez pas une carte de prière. Vous n’avez pas une carte de prière? OK, c’est en ordre alors. Votre soeur qui est à Pineville, au Kentucky souffre de la tuberculose. N’est-ce pas la vérité? Très bien, que Dieu vous accorde votre requête. Que Dieu vous bénisse. C’est votre foi qui a fait cela.

            Voyez-vous, mes amis, vous n’êtes pas obligé d’avoir une carte de prière. Vous devez avoir la foi ; c’est ce qui fait agir le don de Dieu, pas une carte de prière, votre foi. C’est ce qui fait opérer les merveilleux et formidables dons de Dieu. Ayez foi en Lui ; ne doutez pas de Lui ; croyez en Lui de tout votre coeur.

            Gloire à Dieu. Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre aussi. Et il est loin d’ici. Et je vois cela tourner ; c’est tout au sud ; c’est Atlanta, en Géorgie. Est-ce vrai? Et c’est un bien-aimé. C’est un jeune homme, un jeune, et c’est un cas de polio. Et je les vois m’appeler ou m’envoyer un message pour aller prier pour cette personne-là. Pas vrai? Amenez-leur ce mouchoir, et il en sera de même. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. Que Dieu vous bénisse. Ayez la foi.

45        Croyez-vous que Dieu vous rétablit? Que direz-vous si je vous disais qu’Il vous a guérie pendant que vous étiez assise là dans ce fauteuil roulant? Croyez cela, soeur...?... Croyez-vous? Vous vous demandez comment j’ai su votre nom, n’est-ce pas? Vous habitez au 428 sur South Utica Street, ici dans l’Illinois, à Waukegan, dans l’Illinois. Rentrez chez vous. Vous avez reçu votre requête. Amen.

            Béni soit le Nom du Seigneur Jésus-Christ, le Grand Alpha et Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui est, et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, la Voie, la Porte, l’Agneau auquel Dieu a pourvu, le Jéhovah-Jiré, Manassé, Jéhovah...Oh ! toute la rédemption, et toutes les bénédictions, tout le pouvoir et toute la puissance sont en Lui, et c’est à la portée de chaque croyant ici ce soir. Amen.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur que je suis Son serviteur? Vous souffrez d’une maladie des artères: le durcissement des artères. Croyez-vous que Jésus va vous guérir? Et vous tenez un mouchoir en main à me donner, destiné à votre mari qui a l’arthrite, et il est dans le Michigan. Pas vrai? Amenez-lui cela au Nom du Seigneur Jésus et ...

            Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Si vous pouvez croire... Croyez-vous que Dieu vous guérit de cette maladie gynécologique? Bien, descendez simplement de l’estrade, dites: «Merci Seigneur.»

            Disons: «Béni soit le Nom du Seigneur !» Ayez foi en Dieu.

46        Cette dame assise juste là, portant ce petit chapeau, cette dame de couleur (qui regarde dans ma direction) souffre de la poitrine, croyez-vous que Jésus vous guérit, vous qui êtes assise juste là, madame? Si vous le croyez, eh bien, vous pouvez obtenir cela. Dites... Oui, vous qui avez tourné la tête et qui avez regardé dans l’autre direction à l’instant. Voilà. Vous vous teniez la poitrine ; il y avait quelque chose qui n’allait pas. Si vous croyez que Jésus-Christ vous a guérie, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Partez et recevez cela.

            J’ai vu une autre dame de couleur par ici juste au même moment, un instant. Mais c’était quelque chose de différent. Que le Seigneur Jésus... Qui que vous soyez là-bas, vous qui n’avez pas de carte de prière maintenant, commencez à regarder par ici, en croyant. J’ai vu une dame de couleur qui faisait quelque chose, mais c’était une autre sorte d’examen, différent de ce qui a été administré à... La voici. C’était un affaissement du côlon, une maladie du côlon. Elle est assise juste là, pas vrai? Agitez la main si c’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Partez et portez-vous bien maintenant au Nom du Seigneur Jésus. Que vous faut-il de plus pour croire? Madame, vous êtes nerveuse, n’est-ce pas, vous êtes dérangée, parce que vous avez une maladie gynécologique, une maladie de femme. C’est un petit ulcère qui s’est formé sur l’organe féminin, dans l’utérus. Maintenant, poursuivez simplement votre chemin, vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit. Continuez votre chemin.

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? De tout votre coeur? Oh ! c’est merveilleux.

47        Ne pensez pas que je suis hors de moi. Ce n’est pas le cas. Maintenant, soyez respectueux. Je vois quelqu’un... Je crois que c’est cet homme assis juste ici. Il prie au sujet de... Il–il–il a un garçon pour lequel il prie, il a subi une opération de la cataracte à l’oeil. Que Dieu vous bénisse, frère, poursuivez votre chemin. Vous aussi vous êtes guéri, alors que le Seigneur Jésus soit avec vous. Amen.

            Ayez la foi. Ne doutez pas. Croyez que ce que Dieu a dit est la vérité, c’est tout ce que vous devez faire.

            Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hernie, vous qui êtes assis juste là? Hein ! Croyez-vous qu’Il le fera? Très bien, poursuivez votre chemin et réjouissez-vous là, cet homme, là. Croyez de tout votre coeur. Continuez à vous réjouir.

            Voici assis juste ici quelqu’un qui a une double hernie, il est assis juste ici en bas. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette double hernie? Hein? Si vous croyez cela, et si vous pouvez avoir la foi, et croire de tout votre coeur. Vous pouvez obtenir cela.

            Bonsoir, soeur. Il y a chez vous bien des choses qui ne marchent pas. Un des grands problèmes pour lesquels vous désirez que je prie pour vous, c’est la raideur, cette arthrite qui vous dérange. Pas vrai? Croyez-vous que vous obtenez cela maintenant? Croyez-vous que votre foi suffit? Vous désirez que je vous impose les mains, bien sûr, je vais faire cela, alors que vous passez. Mais approchez.

            Père, que Ton Esprit vienne sur ma soeur. Que cet esprit de raideur qui fait que ses os se frottent l’un à l’autre, je le réprimande au Nom de Jésus-Christ, qu’elle parte et soit bien portante. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur.

48        La faiblesse et un coeur nerveux vous dérangent, croyez-vous que Jésus va vous rétablir? Il vous a rétablie. Tournez-vous carrément, poursuivez votre chemin et soyez heureuse, car vous êtes guérie au Nom du Seigneur Jésus.

            Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Désirez-vous aller prendre votre souper, savourer de nouveau votre nourriture, étant débarrassée de cette sale maladie de l’estomac? Bien, continuez votre chemin, prenez votre souper, réjouissez-vous tout simplement au Nom du Seigneur Jésus.

            Ayez la foi. Jeune dame, vous êtes trop jeune pour avoir une maladie gynécologique que vous avez. Mais croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir de cela? J’aimerais vous parler loin du microphone, une minute, puis-je le faire? Juste une minute. Bien sûr. [Frère Branham s’adresse à la demoiselle en aparté.–N.D.E.] C’est juste quelque chose qu’on ne pouvait pas dire en public. Cette demoiselle le sait. Seul Dieu a vu ce qui est arrivé. La demoiselle était juste ici et a été guérie, juste à l’instant. Est-ce vrai? Agitez la main. Seul Dieu... Oui. Ce que je vous ai dit là, était-ce vrai? Il n’y a que Dieu qui–qui pouvait savoir cela. Voyez-vous?

            Oh ! Il est ici, si vous le croyez. Si vous avez la foi.

            Approchez, madame. Oh ! la la ! ce serait une bonne chose de guérir de ce diabète et d’être de nouveau rétablie, n’est-ce pas? Croyez-vous que vous allez vous rétablir? Au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je demande votre guérison. Partez maintenant, au Nom de Jésus-Christ, et soyez guérie.

            Mon frère, allez-vous m’obéir en tant que prophète de Dieu? Si vous allez le faire, c’est votre seul espoir pour guérir de l’arthrite. Descendez simplement de l’estrade comme si vous étiez un jeune homme, dites: «Désormais, je refuse d’avoir ceci. Je me tiens dans la Présence de Sa Majesté, Jésus-Christ.» Que Dieu vous bénisse. Continuez votre pla-... Descendez carrément là maintenant, en marchant. Voilà votre foi. Que Dieu vous bénisse. Continuez carrément...?... Jésus-Christ vous rétablit.

49        Gloire au Seigneur ! Très bien. Approchez maintenant. Est-ce que vous croyez? Eh bien, un instant. Il y a une chose sombre suspendue au-dessus de cette dame, une chose très sombre, qui tourne autour d’elle. Ô Dieu, aie pitié. Oh ! c’est un cancer. C’est ça. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir de cela maintenant? C’est Lui le Guérisseur, n’est-ce pas? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Lorsque l’Ange du Seigneur m’a rencontré, en citant le cancer Il avait déclaré qu’il serait guéri.

            Approchez. Dieu Tout-Puissant, cette pauvre femme, sachant que cette maladie se trouve dans son corps, je Te demande maintenant, Seigneur, que ma foi se joigne à la sienne. Et que le Grand Ange de Dieu, qui m’a rencontré ce soir-là, qui avait cité cela et avait dit: «Pas même le cancer ne résistera, si tu es sincère et que tu amènes les gens à croire.» Et, Père, de tout mon coeur, je crois que Tu vas la guérir.

            Et je dis au diable, quitte-la au Nom de Jésus ! Sors d’elle ! Que Dieu vous bénisse. Partez en croyant de tout votre coeur maintenant.

            Vous désirez guérir de l’hypertension, madame, vous qui êtes assise là? Vous en avez été guérie depuis environ dix minutes maintenant, pendant que vous étiez assise là. Amen. J’aimerais que vous m’accordiez une faveur. Allez-vous le faire maintenant? Votre fille est à l’hôpital, celle qui est assise là à côté d’elle. C’est juste. Madame, imposez-lui la main, s’il vous plaît. Père, accorde-lui la délivrance, je prie au Nom de Jésus. Amen. Ne vous inquiétez pas, frère, ne craignez plus cette maladie cardiaque. Continuez votre chemin en vous réjouissant. Jésus-Christ...?...

            Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. Ne vous déplacez pas maintenant. Si vous vous mettez à vous déplacer, nous allons devoir arrêter ce service à ce niveau. Parce que cela me perturbe. Voyez? Vous avez un problème dans votre flanc, vous qui êtes assis là, la deuxième personne assise là, en partant de la fin, là. N’est-ce pas, madame? Vous venez juste d’en être guérie. Tenez-vous debout, et–et dites simplement: «Gloire au Seigneur !» pour votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Une maladie de la rate...

50        Approchez. Ayez la foi. Ne doutez pas. Croyez. Si vous croyez, vous pouvez obtenir ce que vous demandez.

            Bonsoir, monsieur. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Frère, vous êtes un chrétien, un croyant? Je vois que vous l’êtes. Vous avez une requête à me soumettre ; c’est pour un bien-aimé qui est votre père. Il a eu une attaque d’apoplexie, il a connu deux attaques. Et vous-même vous avez le diabète. Et vous désirez... Vous êtes un médecin. C’est juste. Et lorsque vous soignez vos patients, vous priez pour les malades.

            Ô Dieu, au Nom de Jésus, accorde à notre frère sa requête. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Ayez la foi. Est-ce que vous croyez?

            Est-ce que tu crois pour tes yeux, chérie? Crois-tu que Jésus va te rétablir? Bien sûr qu’Il va le faire.

51        Je–je ne crois pas que je puisse aller plus loin, mes amis. Je suis presque... C’est simplement–c’est comme s’Il est simplement–Il est simplement...  je faiblis  maintenant. Croyez, allez-vous simplement le faire maintenant? Vous tous. Ayez simplement la foi maintenant. Imposez-vous les mains. Je vais faire une prière pour vous confier à Dieu. Approchez, frère Wood, ou quelqu’un d’autre rapidement. Voyez-vous? Imposez-vous les mains maintenant. (Apportez-moi un peu d’eau ou quelque chose comme ça).

            Imposez-vous les mains partout. Ô Dieu miséricordieux, alors que ma force se flétrit rapidement, ô Dieu, aie pitié, Père. Par la prière de la foi de tout mon coeur je condamne chaque maladie, affection qui a affecté les corps des gens qui sont ici. Et je demande que Toi, le Saint-Esprit, Tu leur manifestes la Puissance de Jésus-Christ ressuscité et que Tu les guérisses. Satan, tu es vaincu. Tu ne peux plus retenir ces gens. Tu es exposé. Au Nom de Jésus-Christ, sors de chaque personne qui est ici, qui est dans...?...

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