Jéhovah-Jiré

Date: 55-0222 | La durée est de: 1 heure et 28 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, les amis. Je suis très heureux d’être ici ce soir au service du Seigneur. Et je suis heureux de voir que vous les fidèles êtes tous là.

            Nous sommes arrivés un peu en retard, ce soir. J’étais donc en train de prier et ils frappaient à la porte, mais je ne les entendais pas. J’étais un peu perdu dans la prière. C’est une bonne condition, n’est-ce pas? De parler à notre admirable Maître.

            Maintenant, nous... C’est la troisième soirée des services, et nous croyons que le Saint-Esprit a béni tout le monde depuis que les réunions ont commencé. Phoenix devrait être dans une bonne condition pour qu’il y ait dans chaque église un réveil qui balaie la ville. Frère Roberts vient de partir, le serviteur de Dieu, et il a toujours tenu un bon réveil, et le Seigneur est jusque là avec nous, dans ce réveil, de sorte que... Oh ! la la ! chaque église devrait être aidée maintenant. Et je crois qu’il y a maintenant un ou deux réveils dans cette ville.

2          Les Premières Assemblées de Dieu (je crois que c’est ça) tiennent un–un réveil, et des réunions matinales aussi, avec un certain évangéliste. Et je ne me souviens tout simplement pas du nom de ce frère maintenant, mais j’ai entendu parler de lui. Frère Hagin? [Quelqu’un dit: «Hagin.»–N.D.E.] Hagin? Frère Hagin tient un réveil chez (est-ce la Première Assemblée?) les Premières Assemblées de Dieu. Et j’ai fait la connaissance de leur pasteur, c’est un homme merveilleux. Et il avait déjà fixé le lieu de réunions. La raison (ou plutôt organisé), c’est parce qu’il a dit qu’il était... La raison pour laquelle ils ne pouvaient pas assister à cette réunion, et... Cela ne fait jamais de mal lorsqu’il s’agit d’une ville touristique comme celle-ci. Oh ! la la ! il y a beaucoup de gens qui vont à l’église. Et il tient aussi un service matinal, là-bas, vers neuf ou dix heures.

            Et vous qui êtes étrangers dans la ville, passez-y. Allez écouter le frère. Je ne l’ai jamais rencontré, mais il est mon frère de toute façon, que je l’aie déjà rencontré ou pas. Et puis, je pense qu’il y a d’autres réveils que j’ignore. Nous serions heureux de les annoncer depuis l’estrade, s’ils en donnent l’information.

3          Et nous essayons de notre mieux pour accomplir notre part de veiller à ce que l’Epouse se prépare pour la Venue du Seigneur. C’est cela notre choix. Et que le Seigneur soit loué pour cela. Et maintenant...

            Est-ce que tout le monde se sent très bien ce soir, ayant suffisamment prié et étant prêt? Oh ! c’est très bien.

            Et maintenant, il y a des mouchoirs ici, sur lesquels j’aimerais prier, avant de commencer. Les mouchoirs... Oui, oui, frère. Ces mouchoirs représentent des malades.

4          Je me souviens une fois en Afrique, je crois que c’était là-bas, on avait... je crois que c’était environ vingt et un sacs pleins pour lesquels il fallait prier, des milliers de mouchoirs.

            Quelqu’un a dit: «Frère Branham est un type très bien, mais, a-t-il dit, il est très superstitieux. Il–il prie sur des mouchoirs.» Mais c’était... Ce n’est pas de la superstition ; c’est essayer de faire quelque chose que nos frères ont fait avant nous, pour aider les gens.

            La Bible nous enseigne que l’on prenait des mouchoirs ou des linges qui avaient touché le corps de saint Paul. Je crois que Paul avait une Ecriture pour tout ce qu’il faisait, ne le pensez-vous pas? En effet, il–il n’était certainement pas en dehors des Ecritures quand il faisait cela. Et il... Je crois qu’il a tiré cela du passage où Elie a dit à son serviteur, Guéhazi, je crois que c’était Guéhazi... Lorsque l’enfant de la Sunamite était mort, il a dit: «Prends ce bâton et pose-le sur l’enfant.» Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni ; il lui suffisait seulement d’amener cette femme à croire la même chose. Mais la foi de la Sunamite n’était pas dans le bâton, elle était dans le prophète, alors... Je pense cependant que c’est de là que Paul a tiré cela.

5          Eh bien, nous sommes conscient que nous ne sommes ni Paul ni Elie, mais nous savons que nous servons toujours le même Dieu. Et ils étaient juste des hommes tout comme vous: «Des hommes de la même nature que nous», disent les Ecritures. Et ils prièrent avec instance...» et Dieu les a honorés.

            Dieu envoie quelqu’un en qui les gens peuvent avoir confiance, comme un point de contact, pour entrer en contact avec Lui. Nous sommes reconnaissants pour un tel Père. Ne sommes-nous pas tous Ses enfants? Un Père tendre et bienveillant qui essaie de faire tout ce qui est en Son pouvoir pour nous amener à croire, et à L’accepter sur base de Son amour.

            Maintenant, ces mouchoirs-ci, peut-être là dans le désert, quelque part, et à travers le pays, il y a des enfants, des mères, et des pères malades, très malades. Ils les ont envoyés ici, en toute sincérité. Je vois une petite bavette ici, sur laquelle il est écrit: «Bébé.» Qu’était... c’était mon bébé? Et si c’était le vôtre? C’est le bébé de quelqu’un, et ils attendent le retour de cette bavette. Prions.

6          Père céleste, nous venons à Toi dans la simplicité de la foi, croyant que ce que nous demandons, nous le recevons, parce que nous le demandons au Nom de Jésus, Qui nous a promis que si nous demandions quelque chose au Père en Son nom, Il le ferait. Et nous croyons en Lui. Et je prie, Père céleste, pour que Tes bénédictions reposent sur ces mouchoirs, sur ces petites bavettes et sur ces morceaux de tissus qui sont ici. Tu les as vus lorsqu’on les a apportés. Et je Te prie, Père, de les bénir tous. Et que ces mouchoirs et ces petits objets ici soient sanctifiés. Que le Saint-Esprit veille dessus, jusqu’à ce qu’ils parviendront à leur destination.

            Ce petit bébé, lorsque ceci sera posé sur lui, quelle que soit la maladie, que Satan recule. La Bible nous enseigne que lorsqu’Israël, dans son voyage vers la Terre promise, est arrivé au bord de la mer Rouge... Ils marchaient dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu, ils avançaient, conduits par l’Ange de Lumière, et lorsqu’ils sont arrivés à la mer Rouge, celle-ci leur faisait obstacle, les empêchant d’atteindre la Terre promise. Quelqu’un a dit que Dieu a baissé le regard, à travers la Colonne de Feu, avec des yeux courroucés, vers ce qui essayait d’empêcher Sa volonté parfaite de s’accomplir. Et la mer eut peur, recula et ouvrit ses vagues, et Israël traversa à sec.

            Père, lorsque ces mouchoirs et tout, parviendront aux malades, que Dieu baisse de nouveau le regard, à travers le Sang de Son Fils, le Seigneur Jésus, avec des yeux courroucés, sur l’ennemi, et que ce dernier prenne peur et s’éloigne, à cause de ce signe. Et qu’ils fassent route vers la promesse de la bonne santé et de la force. Et nous envoyons cela avec toute la sincérité de notre coeur à cette fin. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

7          Nous sommes tellement heureux de savoir que le Seigneur Jésus ne nous a jamais délaissés ; Il ne nous abandonnera pas non plus. Il est le même Seigneur Jésus béni d’éternité en éternité. Il n’a jamais failli, et Il est tout aussi réel aujourd’hui qu’Il l’était dans les jours où Il a vécu en Galilée. Lorsque je séjourne ici dans votre charmante ville, avec un peuple très aimable là, et ils étaient... Hier matin quelque chose est arrivé. Une vision m’est apparue dans la chambre. Les visions n’apparaissent pas uniquement à l’estrade. Ça, c’est juste une partie de cela. Et là dans la chambre une vision est apparue, et je me suis retrouvé à table où se trouvaient les soeurs qui sont assises ici maintenant. J’ai dit: «J’ai eu une vision d’une petite fille d’à peu près cette taille, elle était blonde, elle devait mourir aujourd’hui dans un accident, dans une voiture noire.» J’ai dit: «Il m’a dit de prier pour cette enfant, afin que cela soit déjoué» Et c’est ce que j’ai fait. J’ai dit: «C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez en entendre parler dans les deux ou trois prochains jours.»

8          Et à la même heure, la charmante petite fille de ce foyer-là était sortie à bord d’une voiture, où elle a échappé de justesse à la mort, elle a été ramenée saine et sauve. Combien notre Père céleste, de façon merveilleuse... Alors, nous étions assis il y a quelques instants, en train de parler de cela (ces choses arrivent tout le temps) et de différentes choses.

            C’est sûrement un signe montrant que notre Seigneur est ressuscité d’entre les morts ; Il vit parmi nous, et Il nous aime tous. Il aime tous les méthodistes, qui sont ici ; Il aime tous les baptistes, tous les presbytériens, et les... tous les pentecôtistes, et les nazaréens, tous, Il aime tout le monde.

9          Ce sont de petites barrières dénominationnelles qui nous empêchent–qui brisent notre communion, mais Dieu nous aime malgré tout. Nous sommes Ses–Ses enfants. Sa grâce prend le dessus sur le tout. Et Il nous aime tous. Que nous soyons blancs, bruns, jaunes, noirs, cela ne change rien du tout pour Lui. Nous sommes tous issus d’un seul homme: Adam.

            Chacun de nous, que nous soyons blancs, bruns, noirs, ou jaunes, nous pouvons nous donner l’un à l’autre du sang pour la transfusion et sauver la vie l’un de l’autre par la transfusion. Mais je suis tellement reconnaissant qu’il y en ait Un qui est venu, qui a été créé différemment de nous tous, et au travers de la transfusion de Son Sang, nous vivons éternellement ; c’est le Seigneur Jésus, qui n’était ni Juif ni Gentil. Il était Dieu. Il avait en Lui le Sang même de Dieu. Il était un Sang créé. Il n’était pas venu par un homme. Le Saint-Esprit a couvert Marie de Son ombre, et elle a conçu, et elle a enfanté Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Lequel était... Le Sang vient du mâle, c’était le propre Sang de Dieu, ce n’était ni le sang d’un Juif ni le sang d’un Gentil ; c’était le sang tiré des veines d’Emmanuel. Nous en sommes donc reconnaissants. Cela renverse tous les murs de séparation, et nous unit dans une belle communion...

10        Je vois certains de mes amis indiens assis là au fond ce soir. Je suis tellement reconnaissant qu’ils soient ici. Et avec l’aide de Dieu, je pense que le samedi, je tiendrai des réunions à la réserve indienne. Ce sera l’un des points culminants de ma vie, de retourner chez les Apaches, je pense que c’est la réserve des Apaches, pour tenir une réunion.

            Je n’oublie jamais la dernière soirée passée là, où je parlais aux Indiens. Je crois, peut-être qu’ils ne comprennent même pas l’Anglais (peut-être certains d’entre eux sont ici), mais lorsque j’ai essayé de leur parler, et de leur dire que Jésus les aimait... Souvenez-vous, mes amis, ce sont eux les véritables Américains. C’est vrai. Comment... Ils ont des sentiments ; ils ne sont pas constitués de la sciure, ce sont des êtres humains, ils aiment le Seigneur, et le Seigneur les aime.

11        Ainsi je me rappelle lorsque je leur parlais. J’ai appelé une ligne de prière, personne ne s’est levé. D’habitude, vous n’arriverez pas à les empêcher d’entrer dans la ligne de prière. Cette fois-là, personne ne voulait entrer dans la ligne de prière. Et j’ai entendu un des amis espagnols... (Dites, à propos, où est notre petite chorale espagnole, et ces petites dames qui chantent pour nous? Nous aimerions pouvoir les réunir de nouveau.) Et je les ai entendus dire, je ne sais pas si c’est «Gloria a Dios !» Est-ce cela? C’est quelque chose comme cela: «Gloria a Dios !» Ou...

            Et je me suis dit: «Oh ! oh ! nous allons tenir une ligne de prière, parce qu’ils sont tout autour.» Ils avaient donc une grande foi. Et puis, dans la suite, après quelques instants, le Seigneur... après que nous sommes parvenus... Le missionnaire a fait sortir quelques-uns d’une petite salle là, je me tenais sur un balcon, en train de prêcher. Et ils ont fait sortir quelqu’un. C’était une–une dame. Et la dame en question, je crois, avait une–une maladie vénérienne, ce n’était pas parce qu’elle était immorale, mais juste à cause des conditions dans lesquelles elle vivait. Et elle était très surprise de m’entendre dire cela. Comment avais-je su cela? Cela l’avait plutôt frappée.

12        Et la personne suivante, c’était une petite fille (au mieux que je me souvienne) qui était devenue sourde à la suite d’une fièvre. Et le Seigneur Jésus l’a guérie, et elle était aussi–ne parlait pas. Et elle marmonnait quelque chose. Et j’ai dit à l’interprète: «Elle parlera mieux.»

            Il a dit: «Hum ! son parler s’améliore maintenant.» Naturellement, je ne savais pas ce que... Alors il y eut–il y eut un petit garçon qui louchait qui fut alors guéri. Alors j’ai eu vraiment une ligne de prière, c’était en quelque sorte une ruée, tout le monde entrait dans la ligne de prière.

13        Je me souviens de la personne suivante qui est venue, frère Moore, ici, je crois, vous a aidés pendant le déroulement du service. Une pauvre vieille femme est venue vers moi. Elle avait des manches de balai enveloppés d’un morceau de tissu et de chiffons, servant des béquilles. Et lorsqu’elle est venue, ses cheveux pendaient, elle a levé les yeux vers moi, et son pauvre vieux visage ridé était marqué de sillons imprimés par les soucis au fil du temps, les larmes coulant de ses pauvres yeux affaiblis roulaient là dans ces sillons sur son visage. Je me suis dit: «C’est la mère de quelqu’un !»

            Elle m’a regardé. Oh ! la la ! quel flot de foi, d’amour et de respect. Elle ne m’a pas demandé de prier pour elle ; elle m’a simplement regardé, elle a pris ses béquilles l’une après l’autre, elle me les a remises, elle s’est redressée, elle est allée–elle s’est éloignée, comme cela. La simplicité de la foi...

14        Nous les Blancs, nous cherchons à comprendre cela, à voir comment cela va se faire. Eux, ils ne cherchent pas à comprendre cela ; ils croient tout simplement. C’est tellement facile... C’est merveilleux. Vous savez, je crois que nous devrions oublier le grand nombre de choses que nous avons apprises (Ne pensez-vous pas?), afin que nous puissions simplement servir le Seigneur.

            Maintenant, ce soir, j’aimerais juste lire un passage des Ecritures et vous parler. A propos, ils ont dit que j’ai fait un merveilleux appel à l’autel hier soir. J’en suis tellement heureux.

15        Ça c’est quelque chose de nouveau. Je n’ai jamais fait mon propre appel à l’autel auparavant, avant cette fois-ci. Et je–je suis très reconnaissant que le Seigneur m’ait donné des âmes. C’est l’essentiel. La raison pour laquelle nos réunions se déroulent aussi bien, c’est parce que des enfants naissent dans le Royaume. Dieu désire que nous... Il préfère voir un seul enfant naître dans le Royaume plutôt que tout ce monde qui est étendu ici être guéri ce soir. Cela vaut plus.

            Il aime guérir Ses enfants, mais Il désire leur donner plus que cela. Il désire guérir leurs âmes, afin qu’à la résurrection, Il puisse simplement vous donner un corps immortel, et–où vous ne serez plus jamais malade, plus jamais infirme, ou aveugle, quoi que ce soit. C’est ce qu’Il désire faire pour vous.

16        Maintenant, dans les Ecritures, dans Genèse 22. Ouvrons rapidement nos Bibles maintenant, si vous désirez lire avec moi, c’est juste un petit texte, pour ainsi dire sur lequel nous allons prêcher. L’horloge est juste devant moi, ainsi je peux surveiller l’heure, et nous aimerions commencer notre ligne de prière juste à vingt et une heures, le Seigneur voulant. Alors, nous allons lire, maintenant, dans Genèse 22, le verset 7, et ensuite le verset 14–les versets 7 et 8, puis le verset 14.

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble. (Maintenant, le verset 14.)

Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

17        Inclinons maintenant la tête un moment, pendant que nous parlons à l’Auteur. Notre Père céleste, reçois ces Paroles qui ont été lues dans Tes saintes Ecritures ce soir, sachant qu’Elles sont immortelles, Elles sont éternelles, Elles ne mourront jamais. Le Seigneur Jésus a dit, pendant qu’Il était ici lors de Son pèlerinage terrestre, Il a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais.»

            Par conséquent nous savons qu’aussi longtemps que des âges s’écouleront, au-delà du temps à venir, ces versets que nous avons lus ce soir, continueront encore, encore et encore. Ils n’auront pas de fin, parce que Dieu les a choisis et les a placés dans Sa Bible. Veux-Tu bien Les prendre ce soir, sur cette base, alors que... Tu as dit que Ta Parole ne retournera point à Toi à vide, qu’Elle accomplira le but auquel Elle a été destinée. Et Tu connais le but de nos coeurs, alors, Père, qu’Elle trouve un lieu de repos dans chaque coeur ce soir.

            Et que ceux qui sont en dehors du chemin, qui ne Te connaissent pas, comme un Sauveur personnel, qui n’ont jamais reçu le Saint-Esprit, le pardon des péchés, naissent de nouveau, soient justifiés par la foi. Nous prions, Père, que cela pénètre profondément dans leurs coeurs, et ils viendront avec amour, humblement à la croix et seront justifiés à Tes yeux. Et que ceux qui sont ici, Tes enfants, qui T’ont déjà accepté, ceux qui sont étendus ici sur des lits de camp, des civières, cloués dans des fauteuils roulants, sans espoir, impotents, pour ce qui est du monde... Certains sont assis là, ayant une maladie du coeur, ils pourraient mourir à tout moment, on pourrait les emporter d’un moment à l’autre, sans espérance ; ô Dieu, que Ta Parole place dans leur coeur les richesses de la résurrection du Seigneur Jésus ce soir. La promesse est là-dedans: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir.» Et qu’Il–et que Sa merveilleuse puissance de résurrection vienne ici ce soir. Parle, Seigneur. Tire gloire de ce culte. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

18        Que Dieu qui est au Ciel bénisse Ses Paroles ce soir et Son peuple qui est réuni alors que nous abordons la Parole, en parlant de Jéhovah-Jiré. Eh bien, Dieu a sept Noms rédempteurs composés. Premièrement, c’est Jéhovah-Jiré ; «Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice.» Jéhovah-Rapha: «L’Eternel te guérit», et ainsi de suite ; Jéhovah-Nissi: Le bouclier, le bouclier de paix. Sept Noms rédempteurs composés qui ont été révélés par Jéhovah, et tous ces Noms rédempteurs composés sont mis ensemble dans un grand et beau Nom: Jésus-Christ. Et c’est là que repose tout l’accomplissement des–des Noms rédempteurs composés de Jéhovah.

19        Maintenant, après avoir parlé à plusieurs reprises et de plusieurs manières aux–aux pères par les prophètes, Dieu, dans ce dernier temps nous a parlé par Son Fils, le Seigneur Jésus. Notre foi... S’il se trouve des étrangers dans nos portes, ce soir nous voulons vous souhaiter la bienvenue. Mais, la chose essentielle, ou plutôt la pensée, ou le motif principal de notre présence ici à Phoenix, ce soir, c’est ceci: nous croyons que les Ecritures enseignent, conformément aux Ecritures, que Christ est ressuscité le troisième jour, conformément aux Ecritures. Il n’est pas mort. Il est vivant éternellement.

            Et nous croyons que les Ecritures enseignent dans Hébreux 13.8 qu’Il est le même en principe, le même en puissance, le même en compassion, le même en oeuvres, hier, aujourd’hui et éternellement. Et tout ce qu’Il était autrefois, Il l’est maintenant, et le sera toujours.

20        Nous croyons qu’Il a enseigné avant Son départ, avant qu’Il s’en aille, que les incroyants ne Le verraient plus après Sa mort. Mais Il a promis que les croyants Le verraient, parce qu’Il serait avec eux, même en eux jusqu’à la fin du monde. Alors, le monde n’a pas encore connu sa ruine finale, et Jésus est toujours avec nous aujourd’hui. N’est-ce pas une espérance merveilleuse, glorieuse et extraordinaire que nous avons, de savoir ceci que Christ est ressuscité d’entre les morts? Maintenant, si seulement nous pouvons voir ce qu’Il était hier, nous saurons ce qu’Il est aujourd’hui et qu’Il sera éternellement. Ici...

            Aux étrangers je dis ceci, lorsqu’Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un grand Personnage, Il était juste un Homme humble, Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Il n’avait pas la stature d’un roi, mais Il était le Roi des rois. Et les oeuvres qu’Il accomplissait, Il a déclaré qu’Il n’accomplissait aucune d’elles par Lui-même. Il a dit: «Je ne suis jamais seul, le Père est toujours avec Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres ; c’est le Père qui habite en Moi ; c’est Lui qui fait les oeuvres.» Il a dit: «Le Père agit ; Moi aussi J’agis. Je ne fais rien, je ne fais que ce que Je vois faire au Père. Et tout ce que le Père fait, Il Me le montre, ensuite Je vais le faire.» Saint Jean 5.19, vous verrez cela: «Le Fils... En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.»

21        Et nous voyons qu’au cours de Son voyage, Il avait... La puissance Lui a été donnée, parce qu’Il était le Dieu oint. Et Il avait la puissance, de sorte que ceux qui formaient Son assistance pouvaient tirer de Lui la force.

            Une femme a touché Son vêtement, puis elle a regagné l’assistance. Elle était satisfaite, elle L’avait touché. Alors Il s’est retourné, Il a regardé autour de Lui ; tout le monde L’avait touché, mais elle L’avait touché d’une manière différente. Il a dit... Il a regardé autour de Lui, finalement Il a dit: «Qui M’a touché?» Il a dit: «J’ai senti que Je me suis affaibli, ou plutôt la vertu est sortie de Moi.» Et Il a regardé autour de Lui jusqu’à ce qu’Il a trouvé la femme, Il a dit: «Ta foi t’a guérie.» Et je crois qu’Il est le même aujourd’hui.

22        Et puis, lorsqu’on Lui a amené quelqu’un, Il lui a parlé... Et Il a vu une femme au puits, Il s’est mis à lui parler pendant un moment. Il ignorait ce qu’était son problème, le Père Lui avait simplement dit d’aller là-bas, au lieu d’aller directement à Jéricho, Il a fait un détour par la Samarie. C’est tout en haut sur la colline, c’est différent. Alors, Il a fait un détour par la Samarie, Il s’est assis, Il a envoyé Ses disciples, conformément à ce que le Père Lui avait montré. Et Il s’est assis là, et Il a attendu jusqu’à ce que cette femme apparaisse. Alors, lorsque la femme est apparue, Il a dit: «Apporte-Moi à boire», juste pour attirer son attention. Et ensuite, lorsqu’Il s’est mis à lui parler, eh bien, Il a trouvé où était son problème ; Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai pas.»

            Il a dit: «Tu en a eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Or, je sais que lorsque le Messie sera venu, Il fera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est entrée en courant dans la ville, disant: «Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»

23        Et je crois que Philippe est venu à la réunion et s’est tenu là, il n’y avait aucun moyen du tout pour Jésus de savoir quoi que ce soit à son sujet ; il se tenait juste là. Il avait amené Nathanaël, un inconnu ; il était allé de l’autre côté ; quelque part, à une journée de marche et il l’avait pris, il l’avait trouvé en train de prier sous un arbre. Lorsqu’il est arrivé, il s’est tenu au milieu de l’assistance, et Jésus parcourait l’assistance du regard, comme cela, voyant les gens. Il a regardé jusqu’à ce qu’Il a trouvé Nathanaël (C’était la première fois qu’Il le voyait dans Son pèlerinage), et Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes, un homme honnête, sincère.

            Il était étonné, ce petit Israélite, et il a dit: «D’où me connais-Tu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philipe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Oh ! la la ! cela–cela l’a sûrement secoué, n’est-ce pas?

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

24        Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais ; vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.» Je sais que là c’est l’expression de plus grandes, mais si vous examinez cela, c’est davantage. Personne ne peut faire de plus grandes oeuvres. Il a arrêté la nature, Il a ressuscité les morts, Il a guéri les malades, et ainsi de suite. «Mais vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais ; vous en ferez même davantage, car Je M’en vais au Père.»

            Il pouvait être seulement à un seul endroit lorsqu’Il était dans Son corps. Maintenant, Il est dans le corps des croyants, dans le monde entier. Et je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Puisse-t-Il nous accorder ces bénédictions ce soir.

25        Retournons maintenant à notre texte de «Jéhovah-Jiré: L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice».

            Abraham, j’aime vraiment parler d’Abraham, parce que c’est à Abraham que l’alliance a été faite. La promesse a été faite à Abraham, et pas seulement à Abraham, mais à sa postérité après lui. Pas ses postérités, car il avait plusieurs fils, mais à une seule postérité, celle qui est venue par Isaac. Par Isaac vint Christ. Etant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham, et nous sommes héritiers selon la promesse.

            Et je crois raisonnablement que je peux prouver par la Bible, que la postérité d’Abraham, ce sont ceux qui sont nés de nouveau de l’Esprit de Jésus-Christ, parce que Christ vit dans le croyant. C’est vrai. Vous avez la semence d’Abraham lorsque vous avez le Saint-Esprit. C’est vrai. C’est à travers cette promesse-là.

            Et maintenant, cette promesse n’a pas été faite ou plutôt ne vous a pas été donnée à cause de votre bonté ; c’est l’élection et l’appel de Dieu qui vous ont conduit à cela, vous n’avez rien fait pour mériter cela. Vous n’avez jamais cherché Dieu ; c’est Dieu qui vous a cherché et qui vous l’a donné sur base de la grâce souveraine, il n’y a rien au monde que vous puissiez faire, rien que vous puissiez faire à ce sujet.

26        Qu’arrivait-il si un cochon désirait être un agneau? Cela ne lui ferait aucun bien. Il est simplement un cochon ; sa nature est celle d’un cochon. Eh bien, c’est juste la même chose, lorsque vous désirez... «Eh bien, je crois que je vais devenir un chrétien.» Vous n’y arriverez pas s’il vous le fallait. C’est Dieu qui doit faire cela. Vous pouvez purifier votre vie. Vous pouvez faire une chose, payer de bonnes dîmes aux églises. Vous pourriez même bâtir une synagogue. Vous pourriez faire toutes ces choses, mais vous n’arriverez jamais à vous purifier du péché. C’est comme un léopard qui essayerait de faire disparaitre ses taches en les léchant, et il ne ferait que les rendre plus éclatantes. Ainsi... La seule manière pour un léopard d’être changé, c’est que quelqu’un le prenne et teigne sa peau, à ce moment-là il sera changé.

            Et le seul moyen que Dieu puisse faire quoi que ce soit avec vous, ou plutôt pour que vous puissiez être changé d’un pécheur en un chrétien, c’est d’être plongé dans la fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel, car une fois plongés sous ce flot, les pécheurs en ressortent des gens différents des pécheurs (Amen.) et perdent toutes leurs taches de culpabilité. C’est ça.

27        Maintenant, Abraham, Dieu l’a appelé par élection. Il n’était pas meilleur que quiconque d’autre. Il est sorti de–venu de Babylone, sortant de... Peut-être, il est possible que son père et les autres aient été des idolâtres, à ce que je sache. C’était à Babylone, et c’est à Babylone qu’a commencé l’idolâtrie. Ce sont les enfants de Cham qui l’ont fondée, c’est-à-dire Nimrod, et finalement, tout d’abord elle fut appelée Les Portes du Paradis, et plus tard elle fut appelée Babylone: la confusion. C’est là que l’idolâtrie a été établie et peut-être que le père d’Abraham était un idolâtre.

            Mais il s’est rendu au... au pays de Schinear, dans la ville d’Ur, et c’est là qu’ils ont séjourné, et Dieu, par Sa souveraine grâce appelât Abraham. Ce n’est pas Abraham qui a appelé Dieu, c’est Dieu qui a appelé Abraham et lui a donné l’alliance. Maintenant, mes frères arminiens, ceci pourrait vous choquer un petit peu, mais Il lui a donné une alliance inconditionnelle (C’est juste), ce n’est pas: «Si tu fais ceci, si tu fais cela...» Il n’y a pas de «si» attaché à cela. «Je l’ai déjà fait.» Amen.

            Dans le jardin d’Eden Dieu fit une alliance avec Adam ; Adam l’a brisée. Chaque fois que Dieu fait une alliance–ou que l’homme fait une alliance avec Dieu, il la brise. Mais cette fois-ci Dieu était déterminé à ne pas laisser Ses enfants se perdre. Il a fait une alliance entièrement inconditionnelle, Il a dit à Abraham: «Je t’ai sauvé, et maintenant tu viens à moi dans ta vieillesse, pas seulement toi, mais J’ai sauvé ta postérité après toi.» Oh ! la la ! cela...

28        L’une des plus grandes malédictions qui reposent sur l’Eglise du Plein Evangile, c’est l’ignorance de sa position en Jésus-Christ. J’ai toujours dit: «Je rencontre deux catégories de gens. L’une, ce sont les gens du Plein Evangile ; et l’autre, ce sont les fondamentalistes.» Le fondamentaliste connaît sa position, seulement, il n’est pas né de nouveau, il possède simplement l’enseignement fondamental, il n’a donc pas de foi. Et celui du Plein Evangile est né de nouveau, mais il ignore où il se tient. Ainsi, voilà la chose: si seulement je pouvais avoir la foi des pentecôtistes du plein évangile et les croyants fondamentalistes, ou soit le croyant fondamentaliste–la doctrine fondamentaliste dans la foi pentecôtiste, le succès est assuré.

            C’est comme un homme qui peut remplir un chèque, mais qui n’a pas d’argent en banque. L’autre peut remplir–ne peut pas remplir cela, et alors que l’autre qui peut remplir un chèque n’a pas d’argent en banque. L’homme qui ne peut pas remplir un chèque a de l’argent, mais il ne sait pas comment remplir un chèque. C’est comme cela. Que va-t-il faire? L’un a de l’argent en banque, mais il ne peut pas remplir un chèque. L’autre peut remplir un chèque, mais il n’a pas d’argent en banque. Alors, que peut-il faire? Vous devez mettre ces deux personnes ensemble.

29        Et si nous pouvions délivrer les gens de la peur, voilà une chose, oh ! je ne sais pas, vous désirez un petit «touchez-moi», ou un tour de passe-passe. La Parole de Dieu, c’est votre fondement. Dieu l’a dit. Il L’a établie là d’une manière parfaite. C’est de cette manière que nous La croyons. Voyez-vous? Il n’est pas question... «Oh ! si je peux faire ceci ou cela.» Ce n’est pas ce que vous avez fait qui compte ; c’est ce que Dieu a fait pour vous. C’est...

            Les gens disent: «Oh ! si je peux seulement tenir bon.» Ce n’est pas vous qui tenez bon ; c’est plutôt si Lui a tenu bon ou pas. Il ne s’agit pas de ce que je suis ; il s’agit de ce qu’Il est, de ce qu’Il représente pour moi. Dieu ne me voit pas tel que je suis. Si je suis en Christ, Il voit Christ. Il ne me voit plus, car je suis mort. Ma vie est cachée en Lui, scellée par le Saint-Esprit, couverte par le Sang. Comprenez-vous cela?

30        Alors, Dieu prend la foi qu’avait Abraham, et Il la place dans chaque croyant par le Saint-Esprit. Est-ce que vous comprenez? Maintenant... Alors vous commencez à croire toutes choses, à espérer toutes choses ; c’est alors que l’Evangile commence à agir dans le coeur.

            Il n’y a rien, pas de grand... Je pense que les gens ont trop compliqué cela en donnant de très grands exposés, avec de très grandes expressions, et... Qu’est-ce que les gens du peuple connaissent de ces grandes expressions? Qu’est-ce que moi j’en connais? Rien. Pas du tout. J’aime simplement voir cela dans la simplicité. Pourtant, la chose la plus puissante que le monde ait jamais connue, c’est l’Evangile de Jésus-Christ. Acceptez-Le simplement sur la base du Sang versé du Seigneur Jésus ; venez et croyez en Lui. Voilà la chose entière juste là.

            C’est ce qui produit les visions. Il m’a dit qu’Il le ferait, et Il le fait. C’est tout. Croyez tout simplement. Il vous a dit qu’Il vous guérira ; croyez-Le tout simplement. C’est tout. Il a dit qu’Il vous sauvera ; croyez-Le tout simplement et observez ce qui arrive. Voyez? C’est tout.

31        Maintenant Abraham, Dieu l’a appelé, Il lui a donné l’alliance sans condition, Il lui a dit qu’Il viendrait à lui dans sa vieillesse, qu’Il le sauverait lui et sa postérité après lui, et Il lui a dit qu’il allait avoir un enfant. Abraham avait alors soixante-quinze ans environ. Sara était de dix ans moins âgée qu’Abraham, elle avait donc soixante-cinq ans. Ce qui faisait quarante, cinquante, soixante, puis vingt-cinq ans après la ménopause. Ils s’étaient mariés lorsqu’ils étaient jeunes, et ils avaient vécu ensemble tout ce temps comme mari et femme. Et maintenant, Dieu dit qu’elle aura un enfant avec lui. Mais la Bible dit: «Abraham ne douta point au sujet de la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié, rendant gloire à Dieu.» Il savait que Dieu allait le faire.

32        Pouvez-vous vous imaginer ce qui arriverait à Phoenix aujourd’hui, si un couple de vieillards, de l’âge d’Abraham et de Sara, allait chez le médecin et disait: «Eh bien, docteur, nous voulons réserver une chambre à l’hôpital, parce que nous allons avoir un enfant.»

            Eh bien, le médecin dira: «Hum ! excusez-moi, monsieur.» Et il fera appel au service de psychiatrie pour venir le prendre (Voyez?); en fait, il dira: «Il y a quelque chose qui cloche.» Tout homme qui se démarque réellement et qui croit en Dieu est mal compris. C’est vrai.

33        Anne, au temple, priait, et vous savez quoi? Même le sacrificateur pensait qu’elle était ivre. Elle n’était pas montée là à Silo, pour voir le genre de chapeau que les femmes portaient, ou pour savoir qui avait déménagé, et tout au sujet des rumeurs qu’il y avait dans le quartier. Elle était montée là dans un seul but: C’était que Dieu puisse ôter son opprobre. Et elle a prié. Elle ne se souciait pas de ce que les gens pensaient. Et les gens l’ont mal comprise, et elle a dit...

            «Seras-tu toujours ivre?»

            Elle a dit: «Je ne suis pas ivre, mon seigneur, mais je prie: ‘Ô Dieu, ôte mon opprobre.’»

            Observez le prophète. Il a dit: «Que l’Eternel t’accorde ton...» Elle s’est levée et a béni l’Eternel, elle est rentrée chez elle, et elle a eu l’enfant. C’était tout. Comme c’est simple: prendre Dieu au Mot. Oh ! n’est-Il pas merveilleux?

34        Abraham est allé vers... Je peux m’imaginer qu’ils ont fait des préparatifs, qu’ils ont tout apprêté pour le bébé. Et jour après jour, Abraham disait: «Sara?»

            «Eh bien, Abraham, il n’y a aucun changement, juste...?» «Eh bien, gloire à Dieu ! nous allons l’avoir de toute façon.» Voyez? Pourquoi? Il avait fondé sa foi sur la Parole de l’Eternel. Peu importe combien de temps cela prenait, Dieu l’avait dit, c’était donc réglé. Oh ! si seulement vous pouviez faire cela.

            Vous qui êtes dans ces fauteuils roulants, sur ces lits de camp, et sur vos béquilles, vous qui êtes assis ici, qui souffrez du coeur, et du cancer. Si vous pouvez seulement fonder votre foi sur «Dieu l’a dit». C’est réglé. C’est tout ce qu’il en est. «Je suis l’Eternel qui te guérit.» C’est réglé. Si les médecins... Il m’arrive... Avoir des médecins, c’est une très bonne chose. Ils font ce qu’ils peuvent, mais il y a des choses qu’ils ne peuvent pas faire. Alors, si cela dépasse le médecin, à ce moment-là, Il est le Seigneur. Si... Le médecin peut vous aider, il assiste tout simplement la nature, mais Dieu a–c’est Dieu qui doit vous guérir. Le médecin ne peut pas vous guérir, il ne prétend pas le faire. Il peut remettre votre bras en place, mais c’est Dieu qui doit le guérir. Le médecin peut arracher votre dent, mais c’est Dieu qui doit guérir cela. Voyez? Bien sûr. Il peut vous faire une ablation de l’appendice, mais c’est Dieu qui doit guérir cela. Il ne peut pas créer les tissus. C’est Dieu qui fait cela. Remarquez...

35        Abraham savait donc qu’il aurait cet enfant par Sara, parce que Dieu l’avait dit. C’est un très bon fondement pour la foi: Dieu l’a dit. Des années passèrent, des mois passèrent, Dieu continuait de bénir Abraham, et celui-ci persévérait. Et Abraham continuait de témoigner qu’il allait avoir un enfant par Sara. Et alors que les jours passaient, je peux... Mais voici une chose que Dieu a dite à Abraham de faire, mais que celui-ci n’a pas faite. Je ne sais pas si vous l’avez remarqué ou pas. Dieu avait dit à Abraham de se séparer de sa patrie et de marcher seul avec Lui. Et Abraham n’a pas fait cela. Il a pris avec lui son papa, son neveu, et un petit groupe de gens.

            Et si vous remarquez, Dieu n’a jamais donné la promesse à Abraham jusqu’à ce qu’il se soit absolument séparé de tous ces gens-là. Est-ce vrai? Le vieil homme était quelqu’un de bien, mais il avait toujours une écharde dans la chair. Et puis Lot, regardez ce qu’il a fait: il y avait toujours des problèmes entre les bergers et tout. Lorsqu’Abraham a atteint cent ans et Sara quatre-vingt-dix... Pensez-y ; cela faisait environ vingt-cinq ans ou plus, qu’ils attendaient cette promesse, qu’ils allaient avoir l’enfant. Abraham croyait toujours: «Nous allons l’avoir de toute façon.» Et plutôt que de faiblir dans la foi...

36        Or, nous, si cela n’arrive pas maintenant même, oh ! demain nous dirons: «Vous savez, je–je... Hier soir je pensais que j’étais guérie, mais aujourd’hui, je ne sais pas, je me sens plus malade que jamais.» Voyez? Comment Dieu peut-Il faire quelque chose pour vous comme cela? Vous vous dites ensuite une postérité d’Abraham? La postérité d’Abraham ne considère pas ce «non» comme une réponse. La postérité d’Abraham croit cela de toute façon, peu importe comment vous vous sentez. C’est juste. Ce n’est pas par une sensation, c’est par la foi.

            Jésus n’a jamais dit: «As-tu senti cela?» Il a dit: «Crois-tu cela?» Voilà la chose. «Crois-tu cela?» C’est l’essentiel, si vous croyez. «Tout est possible, non pas à celui qui sent, mais à celui qui croit.» Mettez la Parole à sa place. Oh ! je–je commence à me sentir religieux, maintenant même. Pensez-y. Si nous pouvons prendre Dieu au Mot, croire cela, cela règle la question. Dieu l’a promis ; c’est tout ce qu’il faut.

37        Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez ceci maintenant. Ensuite, lorsqu’Abraham a atteint presque cent ans, ou environ cent ans, Dieu lui est apparu au dix-septième chapitre de la Genèse, et Il lui est apparu sous un autre nom. Abraham a dit: «Ô Dieu, je–je Te crois, mais comment ces choses vont-elles arriver? Maintenant, je suis vieux, et–et Sara aussi ; la force a tari.» Il est un vieillard, et... C’est juste. Elle est une vieille femme. Elle a quatre-vingt-dix ans, et lui cent. Eh bien, comment va-t-il avoir ce bébé?

            Et Dieu lui apparut sous le Nom du Dieu Tout-Puissant. Le mot hébreu courant pour cela c’est: El-Shaddaï, ce qui signifie: El, «Dieu». Shaddaï vient du mot... ou plutôt Shaddaï signifie les seins. Eh bien, ce n’est pas... Il est venu, en d’autres termes, comme la mère, la femme, comme «Celui qui porte des seins, le Tout Suffisant». «Je suis celui qui... Je suis le Tout Suffisant ; Je suis celui qui est fort.» C’est tout ce que je dois connaître.

            «Comment vas-Tu le faire, Père?»

            «Je suis celui qui est fort.»

            «Très bien, Père.»

            «Je suis l’El-Shaddaï ; Je suis le Sein. Je suis le Dieu qui porte des seins, le Dieu qui porte des seins.» C’est comme lorsqu’un bébé est malade ou sous- alimenté, mal nourri; la mère prend le petit enfant dans ses bras, elle le place sur son sein, et il tète et tire la force de la mère. Et le bébé reçoit la force de la mère, et il acquiert une bonne santé. Le Tout-Puissant, Il est toujours le Tout-Puissant. El-Shaddaï.

            Et lorsque la personne... Maintenant, observez. Ce n’était pas le Dieu qui porte «un sein», mais le Dieu qui porte «des seins». Oh ! pourquoi? Deux ressources: «Il était blessé pour nos iniquités, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Tout ce dont vous avez besoin, à la fois pour le physique et pour le spirituel, Il est celui qui porte des seins, Celui qui est fort. Amen. Frère... «Je suis capable d’accomplir ce que J’ai dit.»

38        Abraham savait que Dieu était capable de tenir Sa promesse, car Il était Celui qui est fort, il n’y a personne comme Lui dans les Cieux, nulle part...Il est capable de tenir Sa promesse. Parfois je fais une promesse, et je n’arrive pas à la tenir. Mais lorsque Dieu fait une promesse, Il est capable de la tenir. «Je suis celui qui est fort. Eh bien, Abraham, Je sais que tu es vieux ; tu es dans ta seconde enfance, pour ainsi dire. Tu n’es qu’un vieux petit bébé. Tous tes organes vitaux se dessèchent. Ta chair est toute flasque, et Sara de même; mais penche-toi seulement sur Mon sein, et... Non seulement le bébé tire sa force du sein de la mère, mais il est aussi satisfait pendant qu’il est en train de téter. Amen. Le petit cesse de pleurer. La mère essuie ses yeux–les larmes de ses yeux. Le petit enfant s’appuie sur la mère, et il tète tout simplement et récupère de la force.

39        Oh ! vous les malades qui êtes assis ici ce soir, vous qui êtes sur des lits de camp et des civières, et dans des fauteuils roulants, allez vers El-Shaddaï, accrochez-vous à la Parole; là, mettez-vous à téter, mettez-vous à sourire. «Je suis l’Eternel qui te guérit. Tous les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais.» Voyez-vous cela? Commencez à téter à partir de là, et observez ce qui arrive. Sentez si votre force ne revient pas. Bien vite, vous serez satisfait. «Oui, je crois qu’Il va le faire.» Il le fera. Appuyez-vous juste là-dessus. Tenez-vous-en à cela. Dieu le fera, car Il est El-Shaddaï, Celui qui est fort, le Tout Suffisant, Celui qui satisfait. Amen.

            Chaque semence d’Abraham écoute chaque Parole de Dieu, cela le satisfait. C’est juste. Si Dieu l’a dit, ne discutez pas là-dessus. Croyez-le tout simplement. C’est tout. J’aime cela, pas vous? Dieu, Celui qui satisfait, nous Le tétons, et nous sommes satisfaits pendant que nous tétons.

40        Pour le salut, nous croissons dans la grâce du Seigneur Jésus-Christ ; nous L’acceptons comme notre Sauveur personnel ; Dieu nous attire sur Son Sein. «Mon petit enfant, Je veille à ce que tu sois fort. Ne t’inquiète pas là-dessus. Tiens-toi juste là, et crois en Moi, et lis simplement Ma Parole et tète-Moi. Et Je te donnerai toute la force qu’il te faut.» N’est-ce pas merveilleux?

            Dites: «Père, je suis malade, es-Tu El-Shaddaï?»

            «Viens à Moi, et Je t’allaiterai pour te redonner la force.» Soyez-en satisfait, peu importe le temps que cela prend, soyez toujours satisfait: «Dieu va le faire de toute façon.» C’est ce qu’il a dit. Alors Abraham...

41        Le temps que cela a pris n’a rien changé, que ça soit cinq minutes, ou cinquante ans. Eh bien, même quand il fut devenu vieux, Abraham fut tout le temps fortifié. Il a dit: «Seigneur, Tu pouvais me donner ce bébé il y a vingt-cinq ans, mais maintenant, j’ai cent ans. Combien ce sera un miracle plus glorieux (si Tu le fais maintenant) que si Tu l’avais fait il y a quelques années.» Dieu l’avait simplement laissé vieillir pour prouver, pour lui montrer ce qu’Il allait faire. Oh ! j’aime simplement cela, la manière dont Il l’a fait.

            Et si vous remarquez ce qu’Il a fait... Je crois que la dernière fois que j’étais ici, j’ai prêché sur cela, ce qu’Il a fait à Sara et Abraham, comment Il les avait rajeunis, et les avait ramenés un jeune homme et une jeune femme. Le croyez-vous ce soir? Evidemment, Il l’a fait. Dieu ne raccommode tout simplement pas quelque chose. Il fait un vrai travail. Absolument.

42        Sara n’aurait pas pu avoir ce bébé comme cela, alors au lieu simplement de rendre son sein fertile, et–et de revitaliser les canaux galactophores, et ainsi de suite, comme cela, de donner à son coeur une petite stimulation afin qu’elle puisse avoir le bébé, Il a simplement soufflé sur elle, et toutes les rides ont disparu ; les cheveux gris sont redevenus noirs, et elle est redevenue jeune, et ses yeux sont devenus brillants, et elle était la plus jolie femme de tout le pays. Amen. C’est ce qu’Il a fait.

            Et Abraham, qui était voûté sur sa canne, avec une très longue barbe, s’est redressé ; les bosses ont disparu de son dos ; sa barbe est redevenue noire ; ses yeux ont commencé à briller ; il est redevenu un homme d’environ vingt-cinq ans. Il a pris sa femme, il est monté sur un chameau, et il a effectué un voyage de trois cents miles [482,8 km]. Oh ! la la ! Qu’en est-il? C’est la Parole du Seigneur. C’est juste. Et Il a dit à Abraham qu’Il montrerait ce qu’Il allait faire avec toute sa postérité. Attendez que nous ayons nos corps glorifiés. Je vous assure, ce sera merveilleux, n’est-ce pas? Il n’y aura plus de maladie, plus de vieillesse, comme c’est merveilleux !

43        Voyez-vous, Dieu, lorsque vous êtes né, Il s’est mis à peindre un tableau. Vous avez commencé à grandir. Et lorsque vous atteignez environ vingt-cinq ans, le tableau est achevé. Il a dit: «Très bien, mort, viens maintenant.» Tout d’abord, vous vous réveillez un matin, et vous remarquez, vous dites: «Mère, tu as des rides sur ton...»

            «Oui, papa, et les cheveux gris apparaissent aussi.» Qu’est-ce? C’est la mort qui s’installe. Sans cesse, cela continue à vous faire pencher vers le bas. Après un temps, cela finira par vous emporter. Mais à la résurrection, tout ce que la mort avait fait sera ôté. Le tableau sera... Alors, vous allez revenir dans une résurrection, ramené à la perfection. Amen. Et l’atome qui crée une cellule de sang créera une cellule parfaite (Amen.), sans péché, qui ne peut pas être détruite, qui ne vieillira jamais. Oh ! quel... N’est-ce pas...

            «Comment obtient-on cela?» Dites-vous? «Que–que–que vendez-vous, prédicateur?» Je vends des polices d’assurance. Ne désirez-vous pas avoir une police? Voici la seule manière pour vous de venir, c’est sur la base du Sang versé de Christ. Si Dieu frappe à la porte de votre coeur, c’est Dieu qui vous appelle. Et à la minute même... Voilà. A la minute même que vous croyez cela, et recevez cela, vous avez la Vie immortelle. C’est ce que Dieu a dit.

44        Suivez. Romains 8.20 dit: «Ceux qu’Il a prédestinés dans Son alliance... (Vous ne pourrez pas venir vous-même sans cela. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.») Ceux qui ont été prédestinés, Il les a appelés; ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés ; et ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.» Alors, vous êtes déjà glorifié dans la Présence de Dieu, et vous attendez. N’est-ce pas merveilleux? Et maintenant, alors que nous attendons notre corps racheté, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, le Saint-Esprit se mouvant sur les croyants, de grands baptêmes puissants se poursuivant pendant que le monde extérieur se livre à la moquerie, Dieu travaillant avec eux, guérissant les malades, montrant des visions, et toutes sortes de miracles et des prodiges, pendant que le soleil du soir se couche. Le chrétien lève les yeux. C’est là qu’il reçoit son...?... Les bombes atomiques sont suspendues là-bas, le monde entier tremble et ne sait que faire, mais les chrétiens crient les louanges de Dieu: «Viens, Seigneur Jésus.» Oh ! la la ! n’est-ce pas merveilleux?

45        Comment un homme peut-il être triste et croire une pareille chose? C’est impossible. Les jours de tristesse sont finis. Amen. Toutes les inquiétudes et la tristesse ont disparu maintenant. C’est impossible. Dieu l’a dit ; cela doit arriver. Aussi sûr que Dieu existe au Ciel, nous devons le faire. Dieu l’a déjà dit. Il a promis cela, Il nous a appelés, Il nous a élus, Il nous a connus avant la fondation du monde, et Il a prédestiné une Eglise à être là sans tache ni ride.

            Vous qui êtes dans cette Eglise, vous avez la prédestination. Vous avez la Vie Eternelle. Comment entrez-vous dans l’Eglise? «Nous sommes tous baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps, nous sommes la postérité d’Abraham, les héritiers selon la promesse, nous sommes morts–morts en Christ, et héritiers selon la promesse.» C’est par la promesse faite à Abraham que nous sommes sa postérité, Dieu agissant en nous, prouvant, confirmant la Parole par des miracles et des prodiges qui L’accompagnent.

            Le monde déclare: «Ce n’est pas vrai ; c’est du fanatisme !» Les gens ont dit cela tout au long des âges, ils continuent à dire cela, et ils le diront toujours jusqu’à ce que Jésus viendra. Il a dit: «Le monde ne Me verra plus.» Cela ne veut pas dire seulement le parieur et le trafiquant d’alcool ; cela veut dire bien des fois les prédicateurs. C’est vrai.

46        Remarquez. Mais Dieu a dit alors à Abraham, après que le petit enfant fut né... Avant... Je dois dire encore ceci. Peut-être que cela ne fera pas de mal de considérer de nouveau cela. Cela ne cesse pas de me venir à l’esprit. Comment Dieu a fait cela: après que Lot avait pris la décision de se séparer pour Sodome, là, l’Ange est venu et a parlé à Abraham. Il n’était pas dans une situation brillante. Il avait la terre la plus pauvre. Il avait donné le meilleur à son frère. Et ensuite, lorsque l’Ange est venu, et qu’Il a parlé à Abraham, Il lui a dit: «A cette même époque, conformément au temps de la vie, Je vais te visiter...» Et Sara, là derrière dans la tente, a ri.

            L’Ange a dit: «Pourquoi as-tu ri?»

            Elle a dit: «Je n’ai point ri.»

            Il a dit: «Oh ! si. Tu as ri.» Il est toujours le même Dieu. C’est juste. Alors Il a dit... Dieu avait fait la promesse. Peu importe ce qu’avait fait Sara ou que sais-je encore à ce sujet, Dieu avait fait la promesse, alors, Il était lié à Sa promesse.

47        Et j’imagine tout simplement, quelques jours après cela, après la destruction de Sodome et Gomorrhe, alors Sara a commencé à redevenir une jeune femme et Abraham un jeune homme, et ils sont allés... Eh bien, je sais que vous ne pourrez pas lire cela en ces termes, dans la Bible, mais si vous remarquez bien, ils ont effectué un voyage jusqu’à Guérar. Eh bien, imaginons simplement ceci, et voyons simplement comment... Vous savez, la meilleure manière de lire la Bible, ce n’est pas juste comme on lit un journal, et dire: «Eh bien, demain le ciel sera nuageux, et il pleuvra et ainsi de suite.» Pour la lire il faut tomber amoureux de l’Auteur.

            Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, si seulement vous pouviez arranger un peu–un petit peu votre grammaire, et–et quelques unes de ces choses-là...» Il a dit: «Vous devriez recevoir une bonne formation et ainsi de suite.»

            J’ai dit: «Ce qu’il me faut, c’est quelques bonnes réunions de prière.»

            Il a dit–il a dit: «Eh bien, vous... Je vous assure, vous apprendriez davantage de choses sur votre Bible.»

            J’ai dit: «Je pourrais ne pas connaître beaucoup de choses sur Sa Parole, mais je connais très bien l’Auteur, et c’est ça la meilleure chose. Pourvu que vous connaissiez l’Auteur.» Le connaître dans le pardon gratuit du péché, par le renouvellement de Son... Quand Il apporte Sa Vie immortelle et qu’Il La met dans nos corps mortels, nous donnant l’assurance bénie qu’un jour nous Le verrons tel qu’Il est, car nous aurons un corps semblable au Sien. N’est-ce pas merveilleux? Pensez-y.

48        Et puis, remarquez encore. Voici maintenant Sara. Prenons cela comme vous pourriez le lire dans la Bible. Maintenant, vous savez, elle est une toute petite arrière–arrière-grand-mère, pour ainsi dire, âgée de quatre-vingt-dix ans; il porte un petit chapeau contre la poussière, et un petit châle blanc sur son épaule, avec une petite canne en main, marchant là. Et Abraham, très vieux, un vieillard de cent ans... Oh ! vous direz: «Frère Branham, ils ne devenaient pas...» La Bible dit qu’ils étaient avancés en âge, avancés en âge, âgés.

            Et dès que Dieu leur a dit ce qu’Il allait faire, ils ont effectué un voyage jusqu’à Guérar. Et maintenant, le roi Abimélec, là-bas, était à la recherche d’une chérie. Et lorsqu’il a vu cette vieille grand-mère, qui était très très vieille, portant un petit chapeau contre la poussière, il a dit: «Voilà celle que j’attendais.» Eh bien, cela ne semble-t-il pas horrible? Eh bien, ce serait bien le cas. Remarquez... Ce n’est pas ce que vous lisez, juste ici ; c’est ça, bien sûr, mais lisez entre les lignes.

49        Lorsque je reçois une lettre de madame Branham, elle dit: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir. Je–je pense beaucoup à toi, et je... Nous avons passé une belle journée aujourd’hui.» Voyez-vous? Ça, c’est ce qu’elle dit, mais entre les lignes, je sais ce qu’elle veut dire. Voyez? Pourquoi? Je l’aime. C’est la raison pour laquelle je sais de quoi elle parle. Je l’aime tellement que par la manière dont elle parle, je peux savoir ce qu’elle veut dire. Bien des fois, elle veut dire bien plus de choses que ce qu’elle écrit. Amen.

            Eh bien, il en est ainsi avec Dieu. Tombez simplement amoureux de Jésus-Christ. Alors, Il prendra simplement la Parole, et alors que l’homme se met à lire cela comme un sujet de discussion ou de querelles... Vous, lisez simplement cela, et Dieu descendra simplement et vous fera la cour...?... Voyez-vous? Il vous montre des choses qu’en fait vous ne voyez pas là-dedans, cela semble tout simplement ressortir de soi-même.

50        Il a dit: «J’ai caché cela aux yeux des sages et des intelligents, et Je l’ai révélé aux enfants qui veulent apprendre.» Les enfants–humiliez-vous tout simplement. Débarrassez-vous de votre très grande instruction. C’est bien dommage que nous nous soyons plongés là-dedans, n’est-ce pas? C’est vrai.

51        Tenez, il y a quelques jours, quelques semaines plutôt, je me tenais à côté d’une grande église, une église prédominante. Et on me parlait en disant: «Regardez ce gars par ici. C’est un saint du dernier jour», ou plutôt non, «un disciple de la pluie du dernier jour. Et oh ! regardez là. Il a emporté tout le monde, et tout comme cela.» Et–et c’était une église du Plein Evangile.

            Et j’ai dit: «Savez-vous ce qui est arrivé?» J’ai dit...

            «Oh ! a-t-il dit, écoutez, c’est un disciple de la pluie du dernière jour.»

            J’ai dit: «C’est ce que vous étiez au commencement. Luther était un disciple de la pluie du dernier jour pour les–les catholiques. Wesley était un disciple de la pluie du dernier jour pour les luthériens. La Pentecôte était une pluie du dernier jour pour les méthodistes. Tout était en quelque sorte une pluie des derniers jours.» N’est-ce pas vrai? Vous savez quel est le problème? Quand vos églises deviennent complètement froides et formalistes, Dieu les quitte, Il vous laisse là, Il va ailleurs. C’est juste.

52        Eh bien, je ne suis pas un disciple de la pluie du dernier jour ; je–je suis simplement votre frère. Peu m’importe que vous soyez de la première pluie, de la deuxième pluie, de la pluie du milieu, de toutes les pluies ou–ou d’aucune pluie du tout, cela ne change rien pour moi. Je vous aime malgré tout, et nous sommes frères.

            Il a dit: «Eh bien», il a dit...

            Toute cette grande église a dit: «Nos meilleurs membres sont allés là-bas.»

            J’ai dit: «C’est vrai?» J’ai dit: «Pourquoi sont-ils allés là-bas?» J’ai dit: «Cet homme est venu et les a arrachés?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Eh bien, pourquoi sont-ils partis? Vous disiez que c’était vos meilleurs membres.» J’ai dit: «C’est parce qu’ils avaient faim. Si vous cessez d’enseigner tant de théologie et de vous appeler Docteur, Docteur en philosophie, Docteur en théologie, et que vous rameniez Dieu dans l’église, prenez ce petit gars en salopettes aux longs cheveux, qui porte des salopettes, et qu’il se mette à prêcher l’Evangile, ça sera différent.»

            Eh bien, c’est vrai. Peu importe s’il ne connaît pas son abc, ou s’il n’arrive pas à distinguer des pois cassés de grains de café. Laissez-moi vous dire, frère, aussi longtemps qu’il connaît Jésus-Christ, il pourrait nasiller et crier «hit» et «haint», mais aussi longtemps qu’il a Dieu avec lui, quelque chose se produira dans votre église, je vous assure. Je préfère avoir cela, plutôt que tous les doctorats et tout le reste ; c’est de la psychologie. Moi, je désire connaître Dieu dans la puissance de Sa résurrection. C’est vrai. Maintenant...

            Il a dit: «Je pense que vous avez raison.»

            J’ai dit: «Vous n’êtes pas loin du Royaume maintenant.» Amen.

53        Ainsi, c’est vrai, mes amis. Tout ce qui nous intéresse, c’est la meilleure classe: un ministre doit être un érudit, il doit être ceci, cela. Pour moi, il doit... L’exigence de la Bible, c’est qu’il soit rempli du Saint-Esprit. Voilà l’essentiel. Eh bien, allez chercher parmi vous, il y a beaucoup d’hommes (même pour vos diacres), quelqu’un qui a le Saint-Esprit.

54        Remarquez donc Abraham et Sara lorsqu’ils sont descendus à Guérar. Et ce jeune roi est tombé amoureux de Sara. Et Abraham... Pensez-y donc. Oh ! la la ! Ceci va faire un peu mal à un pèlerin de la sainteté. Abraham, pour commencer, avait rétrogradé. Dieu lui avait dit: «Ne quitte pas ce pays.» La sécheresse est venue ; il l’a quitté quand même. Quand Dieu vous dit de faire une chose et que vous ne le faites pas, vous êtes rétrograde. Abraham a donc rétrogradé. Tout Juif qui quittait la Palestine était rétrograde ; c’est leur pays de la promesse.

            Alors, il est allé là, et il a aussi raconté un mensonge. Il a dit: «Ce n’est pas ma femme ; c’est ma soeur.» Il craignait pour sa propre vie. Il est allé là-bas et il s’est installé, et il a laissé ce roi amener Sara là-bas ; en effet, il savait qu’il le tuerait pour avoir sa femme, parce qu’il était tombé amoureux de cette vieille grand-mère. Alors il–il est allé là, et vous savez que cela ne pouvait pas se faire. Eh bien, oh ! la la ! elle était une belle jeune femme.

55        Alors, ils l’ont amenée là-bas, et ils l’ont très bien habillée, et ils lui ont mis des boucles d’oreilles, et tout, ils l’ont apprêtée pour les noces le jour suivant. Et Abimélec s’est étendu sur son lit ce soir-là, après avoir prié un peu, remerciant l’Eternel pour sa belle épouse qu’il allait avoir le jour suivant. Et l’Eternel lui est apparu, et a dit: «Tu es un homme mort.»

            Il a dit: «Pourquoi?»

            Il a dit: «Tu as pris une femme qui a un mari.»

            Il a dit: «Eh bien, Seigneur, n’est-ce pas... Tu connais l’intégrité de mon coeur. Ne m’a-t-il pas dit que c’était sa soeur? Et elle a dit: ‘C’est mon frère.’»

            «C’est la raison pour laquelle Je t’ai empêché de pécher contre Moi.» Il a dit: «Eh bien, écoute, son mari est Mon prophète.» Alléluia ! Qui était-il? Eh bien, ce n’est pas parce que vous avez commis une petite faute que vous êtes perdu. Repentez-vous, retournez à Dieu.

56        Voilà Abraham assis là, un rétrograde, qui a raconté un petit mensonge pieux. Mais ces petits mensonges pieux sont de gros mensonges noirs. Suivez... Il a dit: «Oh ! oui. C’est–c’est ma soeur», et ainsi de suite, et il avait rétrogradé, il était assis là, craignant pour sa propre vie.

            Et Dieu a dit: «Mais peu importe ce qu’il est, c’est Mon prophète. Je lui ai donné la promesse, Je l’ai appelé par élection.» Il pouvait donc être rétrograde, ce n’était pas pour lui une occasion pour mentir. Mais Dieu a dit: «Je vais traiter avec lui pour cela.» Mais de toute façon, Il a dit: «Il M’appartient. Rends-lui sa femme, sinon tout ce que tu possèdes va mourir.»

            Oh ! la la ! il s’est levé de là, il a pris cette femme, et il est allé. Absolument. Il va redresser les choses, faire des restitutions. C’est ce qu’il nous faut ce soir, que beaucoup de réveils de ce genre se déclenchent à travers le pays.

57        Oh ! après que le petit Isaac fut né, qui était devenu l’amour, le... papa, alors, quand il eut environ cent quinze ans, que Sara avait environ cent cinq ans, Dieu a dit: «Maintenant, Abraham, J’aimerais dire aux gens qui viendront dans les âges à venir exactement comment Je vais faire ceci. Je t’ai dit que Je ferais de toi le père d’une multitude de nations ; que le monde entier serait béni au travers de ta postérité. Maintenant, tu as cent quinze ans, à peu près cela, Sara a cent cinq ans, et vous avez attendu pendant tout ce temps. Maintenant, J’aimerais que tu prennes le seul espoir que tu as, qui montre que Je tiendrai Ma Parole, que tu l’amènes là-haut, et que tu le tues.»

            Oh ! la la ! Abraham n’a pas voulu le dire à la mère, parce qu’il savait qu’elle était vieille, ça l’inquiéterait. Mais avec son vieux coeur fidèle, il a sellé deux mules, il les a chargées de bois, il a pris son fils le matin suivant, il s’est levé, et ils ont effectué un voyage de trois jours. Ensuite il a levé les yeux, il a vu de loin la montagne que Dieu lui avait montrée dans la vision, où il devait aller. Il a dit: «Voilà la montagne en question.» C’était loin, il avait déjà effectué un voyage de trois jours.

58        Et alors, lorsqu’il est arrivé là (j’aime ceci), il a dit: «Maintenant attendez ici, pendant que le jeune homme et moi allons là-bas pour adorer. Le jeune homme et moi, nous retournerons.» La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Comment allait-il retourner, alors qu’il allait là-bas avec un couteau pour le planter dans sa poitrine, pour ôter la vie à son propre fils sur l’autel. Mais Dieu, à travers Abraham, savait qu’Il le lui avait donné comme une ombre de la mort, Il était capable de le ressusciter d’entre les morts. Abraham le...

            «Moi et le garçon, nous reviendrons.»

            «Comment allez-vous revenir?»

            «Ce n’est pas mon affaire de comprendre comment nous allons revenir, mais Dieu frayera une voie. Dieu le fera de toute façon.»

            Comment allez-vous revenir, au moment où vous mourez d’une maladie du coeur, comment allez-vous vous rétablir, alors que le médecin dit que vous ne pouvez pas vivre une semaine de plus?

            «Je ne sais pas, mais Dieu pourvoira. Dieu frayera une voie quelque part.»

59        Et comme il mettait les bois sur les épaules du petit Isaac, et que celui-ci gravissait la colline, c’était un type de Christ. J’aurais souhaité que nous ayons le temps d’aborder cela, mais nous sommes pressés maintenant. Alors Isaac a monté la colline. Il a dit: «Père, a-t-il dit, voici les bois et voici le–le feu et l’autel, mais où est l’agneau pour l’holocauste?»

            Le Père a dit: «Mon fils, Dieu se pourvoira Lui-même d’un agneau.» Oh ! la la ! Voyez-vous cela? Quelque chose devait arriver. «Dieu pourvoira. J’ai dit aux serviteurs que toi et moi, nous allions revenir. Dieu m’a dit de monter ici et de te tuer, mais Dieu pourvoira. De toute façon je ne sais pas comment je vais m’en tirer, mais j’avance tout simplement. Dieu pourvoira.»

            J’aime cela, pas vous? Sa foi n’a pas failli. Il n’a pas douté, il a tendu la main, il a pris son fils, lui a lié les mains et les pieds, son unique fils bien-aimé! Dieu dans Abraham, voyez-vous cela? Dieu dans Abraham pouvait... Dieu pouvait accepter Sa propre Parole au travers d’Abraham pour croire en Lui-même. Et si vous avez le Saint-Esprit, certainement Dieu fera confiance à Sa propre Parole, comme votre Guérisseur, votre Sauveur.

60        Alors, il a lié les bras du petit garçon, et il l’a placé sur l’autel, il a reculé, il a écarté ses cheveux de son visage (Pensez-y, son fils unique.), il a tiré le couteau de son étui, il a ramené sa petite tête en arrière, comme cela. Il y a les veines jugulaires, grosses comme ça qui longent sa gorge. La main tremblante... Le moment crucial était venu: son unique fils. Peut-être qu’il s’est penché, il l’a embrassé, ne sachant pas exactement ce qui allait arriver, mais il croyait en Dieu. C’est... La postérité d’Abraham fait la même chose. Lorsque vient le dernier moment, ils s’en tiennent toujours à la promesse de Dieu.

            Il a baissé la main, il a pris le couteau, il a ramené la main en arrière, au moment où il allait frapper son petit garçon à la gorge, à ce moment-là, l’Ange a saisi sa main, et a dit: «Abraham, arrête ta main.» Amen. «Dieu se pourvoira Lui-même d’un sacrifice.»

61        Et juste à ce moment-là, un bélier a bêlé; il était retenu par les cornes dans le désert. D’où est venu ce bélier? Ecoutez. Abraham avait effectué un voyage de trois jours loin de la civilisation. Un homme ordinaire peut marcher environ trente miles [48,2 km] par jour. Moi, je peux le faire. Et un homme ordinaire peut marcher trente miles par jour. Alors, il a levé les yeux et a vu la montagne au loin. Voyez donc l’impossibilité de la chose: peut-être qu’ils se trouvaient à quatre-vingt-dix ou à cent miles [144,8 ou 160,9 km] de la civilisation; et puis aussi, le bélier était au sommet de la montagne, où il n’y a pas de ruisseau, rien qu’il puisse boire, rien qu’il puisse manger. Et le bélier est apparu sur la scène au moment crucial. Puisqu’Il est Jéhovah-Jiré, Il s’occupera des circonstances et des urgences. N’est-ce pas?

62        Et il a pris le bélier et l’a immolé à la place de son fils. Qui était ce Bélier? Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, immolé depuis la fondation du monde. Quel... Ce n’était pas une vision ; le bélier n’était pas une vision ; c’était un bélier réel. Il l’a pris et l’a tué, et le sang a coulé du bélier. Alléluia ! Voyez-vous cela? C’était un bélier réel. Dieu l’a appelé à l’existence par la Parole en une minute, il a été ôté de l’existence comme sacrifice à la minute suivante. Dieu peut tout. Il peut répondre au moment crucial. Il peut pourvoir quand il n’y a aucune possibilité. Il est Jéhovah-Jiré. «L’Eternel se pourvoira Lui-même.»

63        Comment allez-vous être guéri, alors que le médecin a dit que vous ne le pouvez pas. Il est Jéhovah-Jiré: «L’Eternel pourvoira à la guérison.»

            «Je suis une prostituée. Je suis une impudique, j’ai fait toutes ces choses mauvaises. Comment Dieu peut-Il me sauver?»

            «Dieu se pourvoira Lui-même d’un sacrifice.» Et c’est ce qu’Il a fait au Calvaire, lorsque chaque type a été accompli dans l’antitype, lorsque Jésus-Christ est mort pour le péché du peuple et la guérison de leur corps, lorsqu’Il est mort au Calvaire. Oh ! si nous pouvions voir cela, mes amis, cela ferait vraiment de nous des personnes différentes.

64        Tenez, tout récemment, j’observais... Je parlais avec deux dames aujourd’hui à ce sujet. Cela change votre attitude, lorsque vous voyez réellement cela. Maintenant, juste un instant, je termine. Je clôture le service tout de suite, on est prêt pour le service de guérison. Regardez par ici. Je sens le Saint-Esprit se mouvoir partout dans la salle maintenant.

65        Il y a quelques temps, j’étais là dans l’Ohio, à Akron, ou quelque part là, dans l’Ohio, je tenais une réunion. Et nous étions en train de manger dans un petit restaurant Dunkard. Il y avait de gentilles jeunes dames, toutes propres, et c’étaient des dames, en tout point. Et elles nous servaient. C’était un plaisir d’aller là et de manger dans ce bel endroit. Eh bien, le dimanche est arrivé, elles–elles sont allées à l’église, elles ont fermé leur restaurant. Juste de l’autre côté de la rue... J’étais là à la campagne, à un carrefour. Il y avait tellement de monde que je ne pouvais pas rester dans la ville. Alors j’ai traversé... Les jeunes gens étaient partis. Je devais prêcher cet après-midi là. J’avais prêché presque toute la matinée. Et tous étaient partis à la réunion, frère Baxter, et tous les autres. Et je me suis dit: «J’ai si faim ; je vais chercher un sandwich.»

66        Je suis allé là, j’ai marché un peu dans la rue et je suis entré dans un petit restaurant ordinaire, un petit restaurant au bord de la route. Et lorsque je suis entré, derrière la porte, la porte a claqué très fort derrière moi. Et j’ai regardé, et là se tenait un–un policier, le bras autour d’une femme, en train de jouer à la machine à sou. Et je... Les jeux d’argent sont prohibés dans l’Ohio. Et je me suis dit: «La loi, la loi même ...» Et cet homme avait mon âge, peut-être qu’il était marié et avait une famille chez lui. Je me suis dit: «Oh ! la la ! la corruption, la souillure !»

            J’ai regardé au fond, à une table là au fond, et quelques jeunes gens, et une dame d’environ... une petite jeune fille, d’environ dix-huit, vingt ans, et ils devraient être à l’école du dimanche quelque part. Ces jeunes garçons buvaient, là, et, oh ! la manière dont ils abusaient de cette fille. Et elle se tenait là, et elle se laissait faire. Et il m’est arrivé de regarder à ma droite, et il y avait là une dame âgée assise là, portant de sales petits vêtements–qu’elle n’aurait pas dû porter–elle était très âgée, elle avait environ soixante-cinq ans, peut-être plus. Et elle avait du maquillage violet sur sa bouche, et sur les ongles des orteils des pieds. Et–et ses bras (pauvre vieille créature) étaient flasques. Et–et sa chevelure était coupée à la garçonne, et elle était crépue. Et elle essayait d’allumer une cigarette–elle était ivre et en compagnie de deux hommes ivres.

67        Et je me suis dit: «Ô Dieu, comment peux-tu regarder pareille chose?» Je me suis dit: «Ma petite Sara et ma petite Rebecca vont-elles grandir dans un monde comme cela? Ô Dieu, pourquoi ne détruis-Tu pas simplement la chose, et ne la rases-Tu pas complètement? Je–je–je ne vois pas comment Tu peux supporter cela, regarder une pareille chose.»

            Je me tenais là à la critiquer. Les deux hommes ivres se sont levés et sont sortis, ils se sont absentés pour un moment. Et juste à ce moment-là, j’ai senti quelque chose se mouvoir sur moi. J’ai reculé, je me suis assis sur un petit banc à côté ; personne ne prêtait encore attention à moi. Il faisait un peu sombre dans le coin. Et là, Dieu me donna une vision, et cela changea ma pensée, et tout.

68        Je regardais là, et je vis un globe. Et autour de ce globe, il y avait comme une traînée rouge, juste des gouttelettes fines. Quelque chose a dit: «C’est le Sang du Seigneur Jésus, qui est mort pour sauver les pécheurs. C’est pour cette raison que Dieu ne peut pas détruire ; Il ne la voit pas. Il ne le peut pas. Chaque être mortel a un droit, a le droit d’accepter son salut, jusqu’à ce qu’il meurt et qu’il passe au-delà de ce Sang. Ils ne doivent plus passer en jugement ; ils sont déjà jugés ; ‘Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» Mais aussi longtemps que vous êtes ici, vous avez droit à l’arbre de la Vie, si vous acceptez cela.

            Ensuite, j’ai regardé, et au-dessus de cela se tenait le Seigneur Jésus, dans une vision. Et j’ai vu les épines sur Sa tête, et le sang qui coulait sur Son visage, et les gros crachats de moqueries sur Sa précieuse barbe. Et Il secouait la tête, comme cela, de temps en temps, en sursautant comme cela. Je me suis dit: «Qu’est-ce, mon Seigneur?»

69        Et Il a dit: «Ce sont tes péchés.» Et j’ai compris que le Sang de Jésus, agissait comme un pare-chocs à l’égard de mes propres péchés. S’ils étaient allés au-delà de ce flot de Sang, là, qui était autour de la terre, lorsqu’Il est mort au Calvaire pour régler le problème du péché, s’ils étaient allés au-delà de cela, alors Dieu m’aurait tué. Mais...?... ordre... juste comme le pare-chocs de la voiture, pour empêcher que votre voiture soit endommagée, le pare-chocs reçoit le choc. Et le Sang du Seigneur Jésus reçoit le choc de vos péchés. «Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. Père, pardonne-leur.»

70        Et je regardais là, mon nom était inscrit là dans un vieux livre, et il y était écrit toutes sortes de choses: «Condamné.» J’ai rampé jusqu’à Ses pieds, et j’ai dit: «Seigneur Jésus, veux-Tu alors me pardonner? Ce n’était pas mon intention...» J’ai dit: «Tu veux dire que mes péchés Te font souffrir comme cela?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a pris Sa main, Il l’a mis dans Son côté, et avec son doigt Il a écrit sur le livre: «Pardonné» ; Il a jeté cela derrière Lui, comme cela, Il a croisé ses bras, et m’a regardé. Il a dit: «Je te pardonne, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «Oui, Seigneur. Je T’aime pour cela.»

            Il a dit: «Mais pourquoi la condamnes-tu alors? Je suis... Tu veux condamner quelqu’un d’autre, mais regarde, toi-même autrefois tu étais condamné, et Il t’a pardonné gratuitement.»

            Cela a changé mon motif. Aussitôt que je suis sorti de la vision, je me suis avancé vers elle. J’ai dit: «Madame, puis-je vous parler une minute?»

            Elle a dit: «Oh ! j’ai de la compagnie.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas dans ce sens-là, madame. Je suis un ministre de l’Evangile. J’aimerais vous parler.»

            Elle a ôté sa cigarette, elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et j’ai dit: «Pourquoi menez-vous une telle vie?» J’ai dit: «En réalité, en réalité ; vous n’appréciez pas ça. Etes-vous une mère?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et elle m’a raconté son histoire, et c’était une histoire à vous briser le coeur, l’autre côté du tableau de sa vie: elle avait connu des déceptions et tout. Elle a dit: «Monsieur, j’ai été élevée dans un foyer chrétien.»

            Je lui ai raconté que le Seigneur m’avait reproché de l’avoir condamnée et d’avoir voulu qu’elle soit détruite pour une chose comme cela. J’ai dit: «Madame, j’aimerais vous poser une question: allez-vous me pardonner pour avoir eu de telles pensées à votre égard?»

            Elle a dit: «Certainement, mon fils. Voulez-vous prier pour moi, afin que je sois sauvée?»

            J’ai dit: «Voulez-vous vous agenouiller ici?»

            Elle a dit: «Oui.» Nous avons transformé cet endroit-là en une réunion de prière. C’est vrai. La femme a été sauvée. Voyez-vous? Dieu pourvoira, n’est-ce pas? Dieu pourvoira. Il a déjà pourvu à un moyen d’échapper pour chacun.

71        Prions, alors que nous inclinons la tête, juste un instant. Notre Père céleste, nous venons à Toi de tout notre coeur pour confesser nos torts, et sachant que du fait que nous sommes la postérité d’Abraham, malgré tout, Seigneur, combien Tu as traité avec nous d’une manière merveilleuse, en nous pardonnant nos péchés et nos offenses. Et ce soir, dans cette assistance, après que nous avons vu la simplicité de la prédication de l’Evangile, que Christ est mort pour nos péchés à notre place, et nous a réconciliés avec Dieu le Père, afin que nous puissions, au travers de Sa réconciliation, être ramenés à une pleine filiation avec Dieu... combien nous Te remercions !

72        Père, beaucoup sont entêtés, et ils n’ont pas l’intention d’être comme cela, Seigneur. Peut-être qu’il y en a quelques-uns ici ce soir qui sont peut-être des alcooliques, peut-être des gens qui ont déjà dépassé la ligne de démarcation, et qui se sont livrés à des actes immoraux, et qui ont fait toutes sortes de mauvaises choses comme cela. Mais, ô Dieu, Tu les aimes toujours. Maintenant, veux-Tu bien les sauver ce soir, Seigneur? Veux-Tu bien ramener ce pauvre... errant et rétrograde ; peu importe s’il est dehors, s’il a menti, s’il est condamné, peut-être qu’il sent qu’il a traversé la ligne de démarcation. Non, il ne l’a pas traversée. Ton Esprit continue d’appeler. Aussi longtemps qu’Il appelle, Tu veux que Ton fils errant rentre à la Maison. N’aimerais-Tu pas accorder ce soir, Père, que le Saint-Esprit apporte la conviction dans l’assistance et qu’Il ramène à Toi beaucoup de Tes enfants errants? Car nous le demandons en Son Nom. Avec nos têtes inclinées.

73        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... ce soir, mais c’est Toi qui me parles. Cette sensation dans mon coeur, je sais que c’est Toi, je lève ma main vers Toi, Père, et je Te demande d’avoir pitié de moi, un pécheur.» Allez-vous le faire, y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse...?... Quelqu’un... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Là au balcon à ma gauche: «Ô Dieu, aie pitié de moi. J’accepte maintenant Jésus comme mon Sauveur. Je viens, Père. Sur base du Sang versé de Ton Fils, le Seigneur Jésus, je viens. Je ne peux rien faire. Je suis impuissant, Seigneur, mais je veux que Tu saches que je–je–je réalise que c’est Toi qui parles à mon coeur maintenant. Et me voici, je lève ma main vers Toi. C’est Toi qui parles, et je lève ma main.

            Au balcon, à droite, voulez-vous lever la main? Que Dieu te bénisse, jeune fille. Quelqu’un d’autre voudrait-il lever la main? Dites: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu...» Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Dites: «Je lève ma main vers Dieu, notre Père, afin qu’Il ait pitié et me pardonne.»

            Y a-t-il un rétrograde entêté ce soir, voulez-vous lever la main partout dans l’assistance, partout où vous êtes? Dites: «Je viens, Seigneur. Ramène-moi. Je suis comme Abraham ; j’ai erré. Je T’ai senti tirer mon coeur ce soir. Me voici, Seigneur. Je–je lève la main vers Toi, pour montrer que j’ai reconnu Ta Voix. Encore une fois, cependant je reviens maintenant à la maison.» Y en a-t-il un ici ce soir? Tout ce que vous avez à faire, c’est simplement de montrer à Dieu que vous êtes honnête et sincère. N’attristez pas Son Esprit. Il est en train de vous parler. Dites: «Seigneur, voici ma main ; je sais que c’est Toi qui es en train de me parler. Je lève ma main, je Te demande d’avoir pitié de moi.»

            Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. Que Dieu vous bénisse. C’est merveilleux. Reconnaissez-Le. Soyons de véritables hommes et femmes. Soyez sincère envers vous-même.

74        Y a-t-il quelqu’un ici qui n’a pas le Saint-Esprit, qui aimerait dire: «J’aimerais qu’on se souvienne de moi, Frère Branham. Le Saint-Esprit est en train de me parler maintenant. Je désire le baptême du Saint-Esprit, pour être introduit dans le Corps du Seigneur Jésus. Je lève la main vers Dieu pour qu’Il m’accorde le Saint-Esprit.»? Que Dieu vous bénisse, ce grand nombre des gens qui ont levé leurs mains, qui désirent le Saint-Esprit. Un soir, j’aimerais simplement les amener tous à l’autel.

            Continuez simplement à prier, à lever les mains, ainsi... C’est merveilleux. J’observe tout simplement le Saint-Esprit. Vous savez, mes amis, quelque chose est en train de se produire. Votre attitude envers Christ a amené l’onction du Saint-Esprit sur moi, et je–je... Des visions apparaissent au-dessus de l’assistance. Je–je ne sais pas si j’ai déjà vu cela de cette manière.

75        Vous pouvez maintenant lever la tête. Que Dieu ait pitié de vous. Je sens simplement que vous allez... Combien sont malades ici ce soir? Combien se sentent mieux depuis que vous avez la main levée vers Dieu? Faites voir de nouveau votre main, dites: «Je me sens mieux.» Regardez ceux qui ont levé leurs mains partout, il y en a peut-être trente ou quarante. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse tous. Ceci me donne simplement une impression très étrange maintenant même.

            Combien ici sont malades et veulent que l’on prie pour eux? Levez la main. Peu m’importe, vous n’êtes pas obligé... Ceux qui n’ont pas de carte de prière ni rien (Voyez-vous?), levez simplement la main, partout où vous êtes. Ecoutez, l’Ange du Seigneur est déjà au-dessus de l’assistance. J’aimerais que vous m’accordiez votre attention et que vous soyez respectueux, très respectueux. Et j’aimerais que vous regardiez dans cette direction, et que vous croyiez.

76        Si notre Seigneur Jésus était ici, sûrement qu’Il saurait comment, quand, et comment procéder. Pas vrai? Maintenant, ne vous déplacez pas si cela vous est possible. Soyez très respectueux, juste un instant.

            Je ne crois pas que nous devrons appeler une ligne de prière. Je crois qu’Il va guérir tous ceux qui sont ici, je le crois vraiment. J’éprouve une sensation des plus étranges. Je sens simplement–simplement le Saint-Esprit tirer partout dans l’assistance. Eh bien, je ne suis pas un fanatique ; vous le savez. Je vous dis la vérité.

77        Que quelqu’un commence à croire. Combien ont déjà assisté à mes réunions auparavant et savent comment cela se produit? Faites voir la main. Combien parmi vous croient que c’est l’Esprit du Seigneur? Agitez votre main, agitez-la simplement. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la !

            Regardons dans cette direction un instant. Par ici, quelqu’un là dans ce balcon, quelque part, commencez à croire. Quelqu’un là-haut qui aimerait que l’on prie pour lui, mais qui n’a pas de carte de prière, mais désire que l’on prie pour lui, levez la main. Priez simplement, maintenant. Regardez dans cette direction un instant. Que Dieu vous bénisse.

78        Maintenant, c’est comme si l’assistance peut voir ceci. J’aurais souhaité que–que vous puissiez voir ceci. Cette Lumière que vous voyez dans la photo, La voici suspendue juste ici, Elle est juste à quelques mètres de moi, juste dans cette direction. Elle monte vers les balcons, juste ici, Elle monte. Oui, Elle se tient au-dessus d’un homme, l’homme est assis juste ici, il porte une chemise blanche, Elle est suspendue juste au-dessus de lui. Je crois que c’est un Espagnol. Il a un petit garçon assis à côté de lui. Avez-vous levé la main, monsieur, pour montrer que vous désirez que l’on prie pour vous? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Dieu vous a honoré, monsieur. Votre femme est assise là... C’est votre petit garçon, et vous désirez que l’on prie pour votre petit garçon. Si Dieu me révèle ce qui ne va pas chez votre petit garçon, allez-vous accepter la guérison? Le petit garçon a une maladie de l’estomac. Si c’est vrai, agitez la main. Votre petit garçon va se rétablir, les bénédictions de Dieu sont sur lui.

            Ayez tous la foi maintenant. Le Dieu d’Abraham est présent. Il est votre Dieu. Ayez la foi, croyez. Quelque part dans l’assistance, croyez.

79        Je La vois suspendue au-dessus d’un homme, se tenant juste ici derrière. Cet homme a quelque chose qui cloche ; il est en train de prier en ce moment même. Et dans son esprit, il se demande si c’est lui qui appelle. Cet homme a une hernie. C’est juste. Vous êtes un étranger ici. Vous êtes arrivé ici tout récemment, peut-être aujourd’hui. Vous venez de la Californie, par ici. C’est vrai. N’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous guéri. Ayez la foi.

            Il y a une dame plutôt corpulente en train de me regarder, et elle prie. Ce n’est pas pour vous-même, Elle se dirige vers une dame assise à côté d’elle. Vous étiez distraite. Vous aussi vous êtes en train de prier pour quelqu’un d’autre. Je ne vous connais pas, mais vous êtes en train de prier pour un de vos amis qui est infirme, ou quelque chose comme ça. Et cette femme est... Cette personne vit dans le Missouri. C’est–c’est vrai, n’est-ce pas?...?... Je vois beaucoup d’arbres à feuilles caduques et tout qui s’agitent. C’est un–c’est le Missouri. Que Dieu vous bénisse.

80        Il y a un homme assis juste derrière vous, là, qui marche à l’aide d’une béquille, ou d’une canne, ou quelque chose comme ça. Il s’est retourné, en regardant quelqu’un. Vous souffrez aussi du diabète. Est-ce vrai, monsieur? Croyez-vous que Christ vous guérit? Tenez-vous debout ; déposez vos béquilles, laissez-les par terre. Lorsque vous sortirez, vous n’en aurez plus besoin ; vous êtes guéri. Ayez foi en Dieu.

81        Madame, vous qui êtes sur la civière, je ne peux pas vous guérir. Mais, croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Vous souffrez d’un–un... Vous étiez malade auparavant. Et vous aviez un–un cancer, et vous avez été guérie de ce cancer. Maintenant vous avez une tumeur. Mais vous avez la foi. C’est quelqu’un d’autre qui vous a amenée. C’est vrai. Vous vous disiez que si jamais vous entriez de nouveau dans ma réunion, vous seriez guérie. Allez-vous m’obéir en tant que Son serviteur? Prenez votre lit, au Nom de Jésus-Christ et rentrez chez vous. Levez-vous, prenez vos vêtements et rentrez chez vous.

            Et vous? Avez-vous la foi? Ne soyez pas excité, croyez. Ayez foi en Dieu, vous tous. Peu m’importe qui vous êtes ; faites votre...?... Que quelqu’un d’autre lève la main...?... Tenez, si vous croyez, regardez dans cette direction et dites à Dieu «Je crois vraiment que c’est la vérité.» Bien sûr, je peux seulement dire ce que je vois.

82        Que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, vous pouvez prendre vos affaires, rentrez chez vous, en vous réjouissant, en disant: «Merci, Seigneur.» Croyez de tout votre coeur, vous pouvez partir.

            Et vous, madame qui êtes assise là dans un fauteuil roulant, en train de la regarder? Croyez-vous de tout votre coeur? Cette dame est dure d’oreille, mais l’Ange de Dieu est suspendu au-dessus d’elle. Regardez-moi. Me croyez-vous? Maintenant, écoutez-moi. Vous avez connu un accident. Vous vous êtes brisé une côte, ou une jambe ou une hanche, là. Vous êtes restée couchée pendant longtemps. Ensuite, vous avez eu une attaque et cela vous a paralysée. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Croyez-vous en moi? Allez-vous m’accepter comme le prophète de Dieu? Tenez-vous alors debout ! Jésus-Christ vous guérit. Donnez-Lui la main, là, monsieur. Aide-la à se tenir debout, dites-lui de marcher. Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, rentrez chez vous. Vous autres, croyez-vous? Combien croient de tout leur coeur? Tenez-vous debout. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vous rétablit...?...

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