Jaïrus, Le Croyant En Secret
1 Mes amis, je regrette d’être en retard, mais j’étais bloqué dehors, et je ne pouvais pas entrer. Ça c’est une fois où je n’ai pas pu accéder à la réunion. Oh! quelqu’un avant tout simplement garé son véhicule en bloquant l’entrée, et nous ne pouvions pas sortir jusqu’à ce que les gens–quelqu’un déplace cela.
Nous sommes reconnaissants d’être ici ce soir au service du Seigneur, de vous voir tous ici, braves gens, et nous croyons que ceci sera une glorieuse soirée pour Son Royaume, afin que bon nombre de Ses enfants malades soient guéris ce soir, que bon nombre d’incrédules deviennent des croyants acceptant le Seigneur Jésus-Christ, par le pardon de leurs péchés.
Maintenant, avant d’aller plus loin, inclinons la tête juste un moment pour un mot de prière pendant que nous parlons au Roi.
Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants ce soir pour ce privilège que nous avons de nous réunir un jour de plus de ce côté-ci de la venue du Seigneur, sachant que nous ignorons à quel moment Il apparaîtra dans la gloire, mais sachant ceci, qu’après que cette vie mortelle sera terminée, nous avons la promesse bénie qu’au-delà de ce voile, une tente qui n’a pas été faite de mains d’homme nous attend.
Dieu a pourvu pour nous à une meilleure tente, dans laquelle on ne priera jamais pour les malades, on ne priera jamais pour les pécheurs. Toutes ces choses mortelles et ces choses terrestres auront alors disparu. Maintenant en nous-mêmes nous gémissons dans l’esprit pour la délivrance, pendant que nous sommes ici, Père, en tant que des pèlerins et des étrangers, professant que nous ne sommes pas de ce monde, que Christ nous a appelés à sortir, qu’Il nous a appelés à–choisis, élus à cause de Lui ; et nous sommes reconnaissants pour l’occasion que nous avons de porter Son message.
Viens vite vers nous ce soir, Seigneur Jésus. Prends ce service dans Tes précieuses mains et pourvois aux besoins de chacun de nous. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
2 Bon, ce–ce soir alors que nous parlons du Seigneur Jésus... Hier soir, nous avons passé un moment merveilleux. C’est rare de trouver une aussi grande foi au début des réunions, mais apparemment ceci était un peu différent. Nous avons eu un glorieux départ, et nous en sommes heureux. Si une telle foi perdurait, il est difficile de savoir ce que notre Seigneur fera dans les prochains jours.
Je pense que demain après-midi on devra tenir les réunions dans une salle ici dans la ville. Peut-être que cela a déjà été annoncé par les frères qui savent où la salle se trouve, alors demain, amenez ceux qui ne sont pas sauvés.
Maintenant, chaque église, du moment que nous–nous ne tenons pas cela le dimanche soir ni le dimanche matin, parce que cela pourrait gêner d’autres réunions qui se tiennent dans la ville ; et nous ne voulons gêner aucun service religieux. Tout celui qui sert Dieu, nous croyons que le dimanche matin et le dimanche soir, son poste du devoir, c’est dans sa propre église.
Vous les visiteurs qui êtes ici, demain allez rendre visite à quelques-unes de ces églises, vous-même. Faites-vous connaître aux gens. Faites la connaissance des saints de Dieu qui sont dans cette communauté, et demain après-midi, venez à la réunion. Et ensuite, demain soir, retournez à votre poste du devoir habituel.
Maintenant, ce soir, pour la durée, les premières soirées, lorsque nous avons un long service comme celui-ci, des dix soirées... Il est rare que nos réunions dépassent trois soirées : de trois à cinq soirées, c’est pratiquement la limite. Mais dans ce cas nous avions ici le stade de l’Etat, et nous réalisons que le centre Métropolitain d’ici, de la ville n’est pas très grand. Il a, je pense, une capacité d’environ septante-cinq mille places assises, je pense, d’après ce que quelqu’un m’a dit. Nous avons donc beaucoup de places.
3 Je veux toujours que mes réunions soient plutôt modestes, pour que je ne sois pas obligé de–de demander des offrandes pour couvrir les dépenses. S’il y a une chose, je pense, pour laquelle je me glorifie dans le Seigneur Jésus, c’est qu’Il m’aide de cette manière. Je n’ai rien que je doive supporter comme une émission radiophonique ou une émission télévisée, ou quoi que ce soit.
Je viens simplement vous rendre visite et les petites dépenses que nous avons, nous nous en chargeons immédiatement, et je ne permettrai jamais aux gens de–de demander de l’argent, peu importe combien nous sommes endettés, ils ne doivent pas faire cela. Si nous surprenons le manager en train de demander de l’argent, ça sera sa dernière fois d’être manager, parce que nous ne devons pas prendre l’argent des gens. Nous sommes ici pour vous aider, pour vous apporter quelque chose, et vous êtes une bénédiction pour nous. Et nous ne venons pas pour votre argent, et nous essayons de maintenir cela sans tache partout à travers le monde.
Eh bien, nous allons clôturer les réunions, le Seigneur voulant, le dimanche en huit, et ensuite, jeudi, j’irai en Suisse ; et ensuite, de la Suisse j’irai peut-être à Francfort, en Allemagne ; et puis de là en Suède, le Seigneur voulant, puis nous allons revenir aux Etats-Unis pour continuer donc nos réunions au Canada.
4 Eh bien, nous apprécions vos prières. La prière change les choses. Il n’y a qu’une seule chose qui peut changer la pensée de Dieu et c’est la prière ; Dieu peut pourtant dire quelque chose, et la prière peut–peut la changer. Ça c’est un très bon morceau, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité.
Il l’a fait dans les Ecritures. Pouvez-vous imaginer le prophète Esaïe aller dire à Ezéchias : «AINSI DIT L’ETERNEL», (un vrai prophète), dire : «Va dire à Ezéchias qu’il ne descendra pas de ce lit, il va mourir juste là.» Alors Ezéchias... Il est allé et a dit : «AINSI DIT L’ETERNEL, tu vas mourir là même où tu es. Tu ne descendras pas du lit.»
Et lorsque le prophète est parti, je peux me l’imaginer qui passe au milieu de ces célébrités qui se tenaient là dehors à la porte, disant–qui demandent : «Oh! prophète de Dieu, qu’en est-il de notre roi bien-aimé?»
«AINSI DIT L’ETERNEL, il ne descendra pas du lit.»
Il sort vers les soldats qui étaient dans la cour extérieure : «Oh! prophète de Dieu, qu’en est-il de notre roi?»
«AINSI DIT L’ETERNEL, il ne descendra pas du lit.»
Il arrive chez les pauvres qui sont à l’extérieur des portes et ils demandent : «Oh! prophète de Dieu, nous croyons que tu viens de Dieu. Qu’en est-il de notre roi? Quel–quel sera son sort?»
«AINSI DIT L’ETERNEL, il ne descendra pas du lit. Il va mourir juste sur son lit. AINSI DIT L’ETERNEL.»
5 Il est allé jusqu’à sa petite hutte ; le vieux Ezéchias s’est retourné, il s’est mis à parler au Seigneur et a dit : «Eternel, je Te prie de penser à moi. Car j’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur.» Ça, c’est un mot très fort, n’est-ce pas? Un tel témoignage. «J’ai marché avec intégrité de coeur.» Et il lui fallait quinze ans de plus.
Eh bien, le roi était la personnalité la plus élevée, sur le plan terrestre ou politique, dans toute la nation d’Israël ; le plus grand homme sur le plan politique, qui s’adressait au Roi des rois.
Eh bien, normalement si le Roi des rois avait quelque chose à répondre au roi, Il devait lui parler, mais il est prouvé certainement qu’Il lui parlait. Mais Dieu a les moyens de faire des choses à Sa façon, et suivant cela, c’est par le prophète que la réponse est venue. Et Il a dit au prophète : «Maintenant, va lui dire que J’ai entendu sa prière, et Je vais lui accorder quinze années.»
6 Pouvez-vous imaginer dans quelle position cela a mis Esaïe? Le voici qui revient directement par la porte, disant : «AINSI DIT L’ETERNEL, il va vivre.» Il s’avance droit vers les soldats, disant : «AINSI DIT L’ETERNEL, il va vivre.» Il va droit chez les célébrités : «AINSI DIT L’ETERNEL, il va vivre.»
Eh bien, j’imagine que vous vous demanderiez quel genre de prophète que celui-là? A quoi était dû ce grand changement? La prière change la mort en vie. Elle le fera pour chaque pécheur ici ce soir, en changeant la mort en vie. Elle le fera pour chaque personne malade ce soir, en changeant la maladie en bonne santé. La prière change les choses. Ainsi, gardez toujours cela à l’esprit. Priez sans cesse.
Si vous voulez être une dette à charge de cette réunion, ne priez pas. Si vous voulez être la plus grande assistance qui puisse être apportée à cette réunion, ce n’est pas du point de vue financier, voici la plus grande assistance que vous pouvez apporter à cette réunion : prenez chaque jour une heure ou deux à prier pour la réunion.
Allez visiter quelqu’un si le Seigneur met cela sur votre coeur et amenez-le à la réunion. Ensuite, priez pour que Dieu le sauve pendant qu’il est là, s’il n’est pas sauvé, et qu’Il le guérisse, s’il souffre, s’il est malade et a besoin de guérison. La plus grande contribution que vous pouvez apporter à une réunion, c’est de prier et de chercher Dieu pour qu’Il aide en ce temps de détresse.
7 Maintenant, pendant que nous ouvrons Sa Parole, ma parole est très insuffisante, comme nous le savons, étant donné que c’est la parole d’un homme, mais Sa Parole étant la Parole éternelle de Dieu, alors Elle ne peut faillir. Mes paroles sont juste–juste enclines à faillir comme... Je ne suis qu’un homme dont la parole est comme la vôtre, mais les Paroles de Dieu ne failliront jamais. Cela est écrit dans la Bible.
Maintenant, dans le Livre de Saint Marc, au chapitre 5, à partir du verset 35, nous allons lire un passage des Ecritures juste avant de parler un petit peu sur la Parole, car «la foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu». Et ensuite, nous lirons Sa Parole. Si mes paroles faillissent, la réunion ne sera pas un échec, parce qu’elle va avoir recours à Sa Parole ; et Sa Parole produira ce à quoi Elle est vouée–Elle est destinée.
C’est Jésus qui parle donc.
Comme il parlait encore, survinrent de chez le chef de la synagogue des gens qui dirent : Ta fille est morte ; pourquoi importuner davantage le maître?
Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement.
Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.
8 Etant donné que ceci est plus au moins un message de foi, un message de foi pour la guérison divine en second lieu, notre premier motif dans ces réunions étant de sauver les âmes perdues. Un corps, peu importe s’il est cloué au lit, s’il est malade, un jour il va mourir même s’il est parfaitement guéri ce soir. Mais cette âme qui est immortelle, une fois guérie, elle vivra éternellement.
La guérison divine, on dit souvent que pour les réunions de guérison, l’accent est mis uniquement sur la guérison du corps. Si vous remarquez pratiquement quatre-vingts pour cent du ministère de Jésus était centré sur la guérison divine; mais la guérison divine est comme l’appât qui est sur l’hameçon. Vous ne montrez pas l’hameçon au poisson. Vous lui montrez l’appât, alors quand il avale l’appât, il avale aussi l’hameçon. C’est donc ainsi que nous concevons la guérison divine.
Dieu a établi dans l’Eglise des grands signes et prodiges pour amener les pécheurs à prendre conscience de Sa Présence. C’est comme le don de parler en langues, il n’est pas destiné à celui qui croit, mais à celui qui ne croit pas. Voyez? Ce sont des signes pour l’incrédule, et aujourd’hui nous avons beaucoup d’incrédules.
9 J’ai beaucoup enseigné aux païens en Afrique, en Inde, dans plusieurs différentes parties du monde, mais le pire des incrédules auquel vous avez affaire ce n’est pas l’homme qui n’a jamais entendu la Parole de Dieu. C’est l’homme qui est égocentrique et ancré dans ses propres voies, et qui ne veut pas écouter Dieu. C’est la pire sorte à laquelle on peut avoir affaire, car ils semblent être tellement égocentriques que–que rien ne peut les bouger. Ils diront : «Ne me parlez pas. Je ne crois pas cela.»
Récemment un homme m’a dit, il a dit : «Frère Branham, je ne crois pas dans la guérison divine.»
J’ai dit : «Eh bien, cela ne vous était pas destiné. C’était destiné aux croyants. C’est à celui qui croit que cela est destiné. Pour commencer, ce n’était pas destiné aux incrédules.» J’ai dit : «Alors vous n’en tirerez aucun bénéfice. Ne vous en faites pas.»
Il a dit : «Je crois que la maladie, c’est pour la gloire de Dieu.»
J’ai dit : «Eh bien, c’est étrange que vous ayez fait opérer votre femme de l’appendicite : vous devez avoir retranché la gloire.» Ainsi quand les gens parlent comme cela, il y a quelque chose qui cloche. Dieu ne tire pas gloire du fait que les gens soient malades. Il veut que vous soyez bien portants.
Notre Bible bénie dit : «Je souhaite que tu prospères à tous égards et que tu sois en bonne santé.» C’est l’Ecriture. Donc nous ne pouvons pas renier cela.
10 Maintenant, pour avoir la foi, cette foi doit avoir une base. Vous ne pouvez pas avoir une foi flottante et confuse. La foi ne doit pas s’appuyer sur le sable mouvant du raisonnement de l’homme. La foi est fondée sur le Rocher solide de la Parole de Dieu. La foi repose juste sur la Parole de Dieu.
Si le Seigneur l’a dit, alors c’est réglé. La foi n’est pas branlante. Des fois, les hommes peuvent expliquer quelque chose d’une manière si vraisemblable et dépeindre une image qui parait très réelle, cependant, la foi ne regardera jamais à cela, si c’est contraire à la Parole de Dieu. Elle ira droit à la Parole de Dieu.
Et lorsqu’Il a dit : «Je suis l’Eternel qui te guérit», vous croyez cela parce que Dieu l’a dit. Et nous le croyons parce que Dieu l’a dit.
11 Or, aux jours de Moïse, lorsque Dieu envoya Moïse délivrer les enfants d’Israël, avant qu’il puisse délivrer les enfants d’Israël... Tout d’abord Pharaon, il s’éleva un pharaon qui n’avait pas connu Joseph; c’était un pharaon intelligent, qui avait peut-être été formé dans toute la théologie de l’Egypte–intelligent, habile–mais il n’avait pas... Il avait un bon raisonnement, mais il n’avait pas la Parole de Dieu.
Eh bien, il a raisonné d’une manière scientifique, et il a dit : «Ecoutez ceci. Ils sont tous en train de s’accroître. C’est un peuple plus économe que nous ; ils peuvent vivre avec un petit revenu, et ils–ils engendrent des enfants et augmentent en nombre. Alors, la chose que nous devons faire c’est d’arrêter immédiatement ceci, c’est de tuer tous les bébés, tous les mâles, afin qu’il y ait plus... Ils ne vont plus se multiplier aussi vite.»
Si Pharaon... Il a dit que s’il venait une guerre, s’il survenait une guerre, il a dit : «Ils pourraient alors se joindre à nos ennemis et nous combattre. Ils seront plus nombreux et plus forts que nous.»
12 Eh bien, son raisonnement était correct, il était scientifiquement correct, mais là où Pharaon a commis son erreur c’était de n’avoir pas regardé dans la Parole de Dieu pour connaître cette grande promesse selon laquelle Dieu allait les bénir et les faire sortir de toute façon.
Peu importe ce que dit la science, peu importe ce que dit le raisonnement, si cela n’est pas basé sur la Parole de Dieu, je suis très désolé pour la personne qui écoute cela. Ainsi, la foi ne repose donc pas sur le raisonnement. Elle repose sur la Parole de Dieu, sur ce que le Seigneur a dit.
13 Maintenant, lorsque... Moïse est allé délivrer les enfants d’Israël... Moïse était une personne différente de Pharaon. Pharaon considérait les choses du point de vue scientifique, ce qui est très bien, mais si cela est très bien du point de scientifique, et qu’ensuite c’est contraire à la Parole de Dieu, ne le croyez pas. Si c’est en accord avec la Parole de Dieu, nous devons remercier Dieu pour cela.
C’est comme, par exemple, les médecins, les hôpitaux. Certaines personnes disent que nous ne devrions pas avoir de médecins. Que nous ne devrions pas avoir d’hôpitaux et pratiquer des opérations. Je–je n’approuve pas cela. Je suis très reconnaissant pour les hôpitaux, pour les médecins et les opérations. Je suis reconnaissant pour ces lampes électriques ce soir. Je suis reconnaissant pour la voiture qui m’a amené jusqu’ici ; mais si à quelque moment que ce soit cela oeuvrait contrairement à Dieu, je ne–je ne perdrais pas mon temps avec cela. C’est tout. Mais lorsque cela oeuvre en accord avec Dieu, ce sont des bénédictions naturelles que Dieu nous a accordées.
Les vêtements que nous portons, les chaussures sont mieux que les sandales, c’est mieux que de marcher pieds nus. Les chapeaux que nous portons et ainsi de suite. C’est–c’est mieux que ce que nous avions avant que l’arbre de la connaissance produise ceci ; et nous en sommes reconnaissant. Et chaque découverte en médecine et autre qui peut aider quelqu’un, nous en sommes reconnaissants.
14 Souvenez-vous de ceci en effet, mon cher ami, qu’il n’existe aucun médicament, ni médecin, ni aucun hôpital, qui ait déjà guéri ou qui guérira quelqu’un. Il n’existe point de médicament au monde qui peut vous guérir. Posez la question à un médecin. Ils ne prétendent pas cela. J’ai eu un entretien à deux reprises avec les frères Mayo. Ils disent : «Nous ne prétendons pas être des guérisseurs. Nous prétendons seulement assister la nature. Il n’existe qu’un seul guérisseur : c’est Dieu.»
Regardez combien c’est simple. Si je me coupais la main ce soir, ici sur cette estrade, il n’existe point de médicament au monde qui puisse guérir cette entaille de couteau. Nous n’avons point de médicament au monde avec lequel on peut vous garantir de guérir d’un gros rhume. Des milliers de gens meurent du gros rhume chaque année, des médecins et tout. Vous voyez?
La pénicilline et le sulfamide ne guérissent pas. Ils assistent simplement la nature pendant que Dieu guérit. Disons par exemple qu’un couteau me blesse à la main, que se passerait-il si je me blessais la main avec un couteau ce soir? Tous les médecins du monde ne pourraient rien faire pour cela comme–pour guérir cela.
Eh bien, on peut garder cela propre à l’aide de la teinture de Merthiolate, et m’administrer de la pénicilline et ainsi de suite, mais on ne peut pas guérir cela, parce qu’il n’existe aucun médicament qui construit les tissus. Dieu est le seul Créateur qui existe.
15 Or, si on avait–si on avait un médicament qui peut guérir une entaille de couteau à ma main, cela guérira une entaille de couteau sur ma veste. Cela pourrait guérir une entaille de couteau ici sur ce pupitre. Si cela peut guérir une entaille de couteau, cela guérira une entaille de couteau, peu importe où elle est faite, si un médicament a guéri une entaille de couteau.
Eh bien, dites-vous : «Frère Branham, vous sortez des sentiers battus.»
Très bien, dites-vous : «Le médicament a été fabriqué pour guérir le corps humain et non votre veste ou le pupitre.»
Très bien. Dans ce cas, si je me coupais la main avec un couteau, et que je tombe mort ici sur l’estrade, vous pourriez m’amener à la morgue et embaumer mon corps avec un fluide qui me ferait garder un air naturel pendant cinquante ans, et les meilleurs médecins qu’il y a au monde viendraient et sutureraient cet endroit, et m’administreraient une injection de pénicilline cinq fois par jour, et ils y appliqueraient toute la teinture de Merthiolate, le baume et les remèdes. Cinquante ans après, cette entaille sera exactement telle qu’elle était lorsqu’elle avait été faite.
16 Si donc le médicament guérit le corps humain, pourquoi ne guérit-il pas cela? Voyez ce n’était pas... Eh bien, voici de quoi il s’agit. Vous dites : «Oh! eh bien, Frère Branham, la vie s’en est allée. C’est cela la raison.»
Eh bien, c’est différent. Dites-moi ce que c’est que la vie, je vous dirai qui est Dieu. C’est juste. Donc, ce n’est pas le médicament qui guérit, c’est la vie qui guérit. Les médicaments ne construisent pas les tissus. C’est Dieu qui construit les tissus. Dieu a créé la première cellule que vous aviez. Dieu a créé chaque cellule que vous possédez. Et maintenant, dans les–dans les réunions d’instruction de l’après-midi on vous en parlera après (si le manager ne vient pas, eh bien, l’un de nous le fera), et vous verrez comment se produit la guérison, ce qu’est un cancer, d’où il vient. C’est d’un ordre différent. C’est une vie différente. C’est quelque chose de différent ; c’est une grosseur à l’intérieur de votre corps. Sa place n’est pas là. C’est le diable qui l’y a mis. C’est un démon. C’est exactement ce que c’est.
17 Voici un corps naturel qui a l’air tout aussi naturel. Il est ainsi depuis des années. Au bout d’un certain temps, il pourrait s’y former un cancer. C’est un corps. C’est une multiplication des tissus, des cellules. Comment cela est-il venu là?
Il y a quelques années, chacun de vous n’était qu’un tout petit germe dans le–le père. Au travers des liens sacrés du mariage et la fécondation de ce petit germe chez la mère... Le petit oeuf et le petit germe se sont unis, la cellule de sang provient du sexe mâle. Le sang a–la mère n’a rien à voir avec le sang de l’enfant. Cela provient du père.
Dieu a vu cela plusieurs années avant, de sorte que le... Vous qui êtes ici, beaucoup d’entre vous sont peut-être des fermiers. Vous pouvez prendre une poule et elle pond beaucoup d’oeufs. Si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, ces oeufs n’écloront jamais. Ils ne sont pas fécondés. Le sang provient du mâle.
18 Prenez l’oiseau femelle. Elle peut remplir un nid d’oeufs. Elle peut se mettre dessus et couver ces oeufs, et rester sur ce nid très loyalement et fidèlement au point de devenir si faible qu’elle ne saurait s’envoler du nid ; si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, ces oeufs resteront juste dans ce nid et pourriront. Ils n’écloront pas.
Cela me rappelle certaines vieilles églises froides et formalistes. C’est juste... Vous pouvez les couver, les flatter, les appeler ceci, les dorloter et leur donner un doctorat, vous n’avez rien d’autre qu’un nid plein d’oeufs pourris malgré tout. Vous ferez mieux de jeter la chose et de vous unir à Jésus-Christ. Mettez la foi dans l’Eglise où la chose est comme il faut. Unissez-vous à Christ, le Mâle. Vous direz : «Je ne crois pas dans la guérison divine. Je ne crois pas au Saint-Esprit.» C’est parce que vous n’êtes jamais entré en contact avec Cela. Voilà. Mettez-vous une fois en ordre avec Dieu, et vous croirez chaque bout de la Parole de Dieu, chaque bout de Cela sera réel pour vous.
19 Ce germe provient du mâle, et c’est Dieu qui accomplit cela. Il l’a fait il y a des années. Ce petit germe unique commence à croître. Il se développe jusqu’à former un être humain. Eh bien, il croît jusqu’à être ce qu’il est maintenant. Peut-être qu’un cancer entrera là-dedans. C’est une autre multiplication des cellules. D’où cela provient-il?
D’habitude, aussitôt cela... Le cancer, puisque nous en parlons, c’est l’une des maladies qui tue le plus. Il peut s’associer à n’importe quelle maladie, à n’importe quelle affliction. Il provient généralement d’une contusion, dans le cas du sein de la femme. Cela forme une rangée de cancer, et cela ressemble exactement à des crêpes et tout, elles s’empilent les unes sur les autres et cela peut être opéré avec succès si c’est dépisté à temps. Il existe un cancer rouge qui est comme des raies qui s’étendent, et différentes sortes de cancers : les sarcomes, et différents autres types de cancers.
Etant donné que nous parlons du cancer, eh bien, vous pouvez comprendre ce que je veux dire. Si le médecin peut le découvrir à temps et l’enlever, cela va réussir. Sinon, il s’établit, le patient meurt. Il continuera à croître en suçant le sang. C’est un démon. Ce qui se passe... une cellule.
20 Tout ce que Satan a, tout ce que Satan a déjà fait, il le fait à partir de quelque chose que Dieu a créé. Satan n’est pas un créateur, mais il pervertit ce que Dieu a fait. C’est comme ça qu’il a perverti le bien en mal. C’est comme ça qu’il a perverti cette cellule.
En d’autres termes, la cellule rétrograde. C’est fort comme terme pour un baptiste, n’est-ce pas? Mais cela... On ne sait comment, cela–cela–la cellule rétrograde et c’est ce qui cause ce problème. Et elle commence alors à développer cellules sur cellules. C’est une puissance démoniaque qui entre dans cette cellule.
Vous savez d’où vous venez. Vous venez de Dieu, mais d’où est venue cette chose qu’on appelle le cancer? Cela vient du diable. Il n’y a que deux sources d’où la vie peut provenir, soit de Dieu soit du diable.
Et cela croît sans arrêt jusqu’à devenir une grosse tumeur. Eh bien, c’est de cela que nous nous occupons ici à l’estrade, pas de la grosseur elle-même, mais de la vie qui est dans la grosseur. C’est de cela que nous nous occupons–de la vie qui est dans la grosseur.
Si vous étiez un cancer sur terre, la manière de se débarrasser de vous par la guérison divine serait de faire sortir de vous votre vie. Vous tomberiez par terre. Vous serez toujours ici sur terre, mais alors quelques jours après, vous allez–vous allez peut-être rétrécir.
21 Lorsqu’un corps humain meurt... Un entrepreneur de pompe funèbre ici sait cela. Bien, un chasseur sait donc cela. Abattez un cerf ce soir et attendez. Mettez-le sur une balance et dites aux jeunes gens combien cela pèse. Le matin, mettez-le de nouveau sur la balance, et voyez le poids qu’il a perdu pendant la nuit. Laissez-le là pendant quelques jours, et ensuite mettez-le sur la balance, et voyez à quel point il pèse bien plus qu’au départ.
C’est ce que je dis aux patients : Observez pendant environ soixante-douze heures, la corruption s’établit. Et ce corps se met à gonfler comme dans le cas d’un petit chien qui git mort dans la rue. Il commence à gonfler après être resté très longtemps.
Alors, le patient, comme ce démon est sorti du patient, le cancer est mort. Pendant quelques jours, ils se sentent bien. C’est comme la cataracte, ou quoi que ce soit, ils se sentent bien pendant quelques jours, et ensuite peu après, cela commence à gonfler, à gonfler. Et alors, si le patient n’est pas réellement instruit dans la Parole de Dieu, il perdra sa guérison aussi sûr que n’importe quoi, parce qu’il va tomber malade et sera deux fois plus malade que jamais. Et ça, c’est le meilleur signe que vous ayez jamais eu que vous êtes guéri, certainement, c’est lorsque cela gonfle. C’est parti.
22 Alors si réellement vous... Si votre foi a été bâtie sur quelqu’un, sur un guérisseur divin, ou–ou sur quelqu’un qui professe posséder quelque chose alors qu’il n’a rien, alors c’en est fait de vous. Mais si votre foi est bâtie sur la Parole de Dieu, tous les démons de l’enfer ne pourraient pas vous faire renier cela, car cela est établi ici à l’intérieur.
Ce n’est pas par ici dans une théologie mentale. C’est ici au fond de votre coeur. Ce n’est pas une foi intellectuelle. C’est une foi qui a été ancrée dans votre coeur par le Dieu Tout-puissant. Peu importe combien la route semble sombre, vous criez toujours les louanges de Dieu, parce que vous savez que Dieu vous l’a révélé et c’est réglé.
C’est pourquoi, parfois les gens ont besoin de recevoir des instructions. Vous devez savoir sur quoi votre foi repose, pas sur l’homme, pas sur le rituel de quelqu’un ou sur une certaine sensation bizarre ou quelque chose d’autre de ce genre. Votre foi est bâtie sur la Parole de Dieu. C’est là que la foi trouve son lieu de repos.
23 Moïse, peu importe la grandeur de l’armée, à quoi ressemblait l’armée de Pharaon, cela ne voulait rien dire pour Moïse. Lorsqu’il a rencontré Dieu là-haut, il a connu la Parole de Dieu. Il a reçu les instructions de la Parole de Dieu et lorsqu’il... Dieu l’a rencontré là-haut par cet Ange dans le buisson ardent.
Pouvez-vous imaginer un vieil homme là sur le flanc d’une colline avec–près d’un buisson ardent, en train de brûler, et il s’est détourné pour voir cela... Que serait-il arrivé s’il–que serait-il arrivé s’il s’était avancé, juste par curiosité, (comme certains qui viennent aux réunions juste par curiosité?) et avait dit : «Je vais arracher quelques feuilles et les amener au laboratoire pour les faire examiner, et voir pourquoi ces feuilles ne se consument pas. Elles sont tout en feu, et lorsque le feu s’éteindra, je verrai quel produit chimique était dans ces feuilles.»?
Vous ne recevrez rien... Il n’y a qu’un seul moyen pour connaître quelque chose au sujet de Dieu. C’est par la foi que vous recevez cela. Vous le croyez parce que Dieu l’a dit. Et lorsque j’étais... expliquer ne change rien à ce sujet. Croyez cela.
24 Et Moïse, après qu’il a vu cet Ange, qu’il a vu la gloire de Dieu... Avez-vous remarqué que Moïse voulait voir la gloire de Dieu avant de partir? Et Dieu lui a montré Sa gloire. Qu’était-ce? La guérison divine : il a mis sa main dans son sein et elle était couverte de lèpre quand il l’a retirée; il l’a remise et elle était de nouveau guérie. Ainsi, la guérison divine c’est la gloire de Dieu.
Alors lorsque Moïse a vu cela et qu’il a reconnu l’Ange, la Colonne de Feu était avec lui, je vous assure, il est rentré chez lui, il a pris Séphora, sa femme et il l’a mise sur une mule avec ses deux enfants, et le voilà qui se rend en Egypte.
25 Eh bien, vous parlez d’une scène ridicule! Considérez cela, certains d’entre vous, gens de la Géorgie. Il y avait l’armée de Pharaon qui... L’opposition de la Russie aujourd’hui ne serait rien, comparée à la puissance mondiale de cette époque-là : l’armée de Pharaon, les unités mécanisées, des milliers de chars, des porteurs de lances, des cavaliers. Ils avaient conquis le monde entier.
Et voici un vieillard qui s’avance, à quatre-vingts ans, avec une barbe descendant jusqu’à la taille, un bâton crochu dans la main (aussi sec qu’un os), avec sa femme à califourchon sur une mule, un enfant sur chaque hanche, glorifiant Dieu.
Certains ont dit : «Moïse, où vas-tu?»
«Je descends en Egypte prendre le pouvoir.»
Pouvez-vous imaginer cela? Considérez ce que la science allait dire à ce propos, mais c’est bien ce qu’il l’a fait (Amen.), parce que Dieu l’avait promis. Et la Parole de Dieu ne faillira jamais. Il est allé là et il a pris le pouvoir. L’opposition ne signifie rien lorsque Dieu a parlé. Peu importe le degré de votre maladie, à quel point–à quel point vous êtes infirme, l’opposition ne signifie rien lorsque Dieu parle. Sa Parole est éternelle et Elle est vraie à jamais.
Il l’a fait. C’était une scène ridicule, mais il est allé et il l’a fait, parce qu’il avait la foi. Dieu l’avait promis, et il savait que cela relevait de Dieu, et il est allé et a accompli cela parce que Dieu était avec lui. Certainement.
26 Maintenant, au même moment où les fils des hommes étaient de nouveau dans des ennuis, Dieu a de nouveau envoyé Sa Promesse : Son Fils, le Seigneur Jésus. Lorsqu’Il est venu, mal compris... Tous les docteurs de ce temps-là avaient une conception si figée de la chose qu’ils savaient ce que le Messie allait être. Lorsqu’Il est venu, ils avaient tout simplement une comparaison figée sur la manière dont cela devait se faire, et vous savez quoi? Lorsque Jésus est né à Bethlehem de Judée, les sacrificateurs discutaient sur le genre de bouton qu’ils devaient avoir sur leurs vêtements. C’est juste, Il est né là sur le flanc d’une colline, et Il n’a jamais rendu visite à l’un d’eux.
Les Anges de Dieu sont venus et ont chanté aux bergers. C’est juste. Ce sont les mages, les observateurs des étoiles, là à l’est, qui sont venus en suivant une étoile mystérieuse ou une lumière qui les a conduits à Christ.
27 Lorsqu’Il était ici sur terre, les démons en savaient plus sur Lui que les prédicateurs. C’est juste. Les démons... Les prédicateurs disaient : «Cet homme est Béelzébul. Il lit les pensées des gens. C’est–c’est le plus méchant de tous les diseurs de bonne aventure. C’est un gars astucieux. Je vous assure. C’est un liseur de pensées. C’est Béelzébul, le chef de tous les diseurs de bonne aventure.» Cet esprit-là n’est jamais mort.
Remarquez. Mais le diable a dit : «Je sais qui Tu es. Tu es le Fils de Dieu, le Saint de Dieu.» Le diable avait raison.
28 Paul et Silas étaient là-haut, tenant un glorieux réveil, et les prédicateurs disaient : «Ces gars...» Les docteurs de ce jour-là, pas tous, mais les docteurs de ce jour là et les églises distinguées disaient : «Ces hommes ont bouleversé le monde. Ce sont des imposteurs.»
Une petite diseuse de bonne aventure qui s’asseyait dans la rue, disait : «Ces hommes sont des serviteurs de Dieu qui nous annoncent le chemin de la Vie.»
Vous savez, vous pouvez devenir tellement ritualiste que même les gens possédés des démons, qui ont une conception des choses de l’esprit, connaissent plus de choses que les gens qui sont très ritualistes et formalistes. C’est un langage très dur. C’est tranchant, mais cela vous fera du bien. Amen.
29 Des fois, il faut que nous soyons très malades, vous savez, pour que nous ayons besoin d’un médicament. Maman avait l’habitude de nous dire lorsque nous prenions de l’huile de ricin, et nous avons grandi à la campagne avec du pain de maïs et des doliques... Et chaque samedi soir nous prenions tous un bain dans un vieux bac en bois de cèdre, on y déversait l’eau d’une grosse vieille bouilloire, et nous prenions tous bain, tous les petits garçons et nous étions dix.
Et je me souviens que chacun de nous devait prendre une dose d’huile de ricin. Jusqu’à aujourd’hui je n’arrive pas à supporter cette histoire. Lorsque je me mettais à dire... Maman me disait... je me pinçais le nez, je disais : «Maman, cela me rend tellement malade. Je ne peux même pas regarder cela.»
Elle disait : «Si cela ne te rend pas vraiment malade, cela ne te fera aucun bien.» C’est donc parfois pareil avec l’Evangile. Si cela ne vous rend pas vraiment malade, cela ne vous fait pas beaucoup de bien.
30 Jésus a donc déversé l’Evangile depuis Son coeur, car Il était le Vase choisi par Dieu pour cette heure. Bien que les gens voulaient dire que c’était Caïphe, bien qu’ils voulaient dire que c’était leur église qui avait toute la lumière, qu’il était inutile que quelqu’un d’autre dise quoi que ce soit... Pourtant Jésus était venu strictement... Maintenant écoutez : Christ était venu selon la Parole. Mais c’était un petit peu différent de ce qu’ils avaient l’habitude d’entendre. En effet, cela ne s’accordait pas avec leur conception mentale de la Parole, alors ils ont refusé de L’écouter. Mais Dieu était avec Lui. Dieu a accompli des miracles et Il a opéré des prodiges. Il a dit : «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres que Je fais, car elles témoignent que c’est le Père qui M’a envoyé.»
Les fils des hommes s’étaient complètement égarés, ils n’avaient pas de foi, ils s’étaient fondés sur leurs églises et tout, ils n’avaient plus aucune foi dans la Parole, ils n’avaient que la manière dont ils croyaient cela.
31 Alors nous voyons Christ occupé à guérir les malades, parlant aux gens, leur révélant leurs différentes maladies, ou ce qui n’allait pas, et eux ils disaient : «C’est Béelzébul. Vous voyez, c’est un diseur de bonne aventure. Nous savons qu’Il vient du diable», et ainsi de suite. Mais cela n’a pas du tout gêné Christ. Il savait qu’Il avait été envoyé dans un but divin, et Il était déterminé à l’accomplir, car Il savait ce que le Seigneur avait dit.
Il s’est mis au travail. Chaque véritable serviteur de Dieu fera de même. Même s’il ne s’agit que d’une petite laveuse de vaisselle à la cuisine qui se tient auprès d’une ménagère (Amen.), elle restera fidèle lorsqu’elle aura réellement la révélation du Seigneur Jésus-Christ. Peu importe ce que les voisines disent d’elle, parce qu’elle laisse pousser ses cheveux et qu’elle s’habille de manière décente... Les voisines diront qu’elle est démodée.
Je préférerais passer pour un fou aux yeux du monde que d’être fou du diable une fois. Certainement. Je–je pense que ce que... Quand une révélation de Dieu entre dans le coeur d’une personne, elle change tous ses motifs, toute sa vie, son appétit, tout ce que la personne était autrefois est changé.
32 Jésus, pendant Son ministère, beaucoup de ces pharisiens et de ces sadducéens ont cru en Lui, mais ils ne pouvaient pas le confesser ouvertement, parce que l’association leur disait qu’elle les chasserait de la synagogue, s’ils le faisaient. Ils seraient excommuniés s’ils allaient à Ses réunions. Alors Il... Cela ne L’a pas dérangé. Il a simplement continué à prêcher malgré tout.
Maintenant, notre histoire de ce soir, pour les quelques prochaines minutes, parle d’un de ce genre d’hommes du nom de Jaïrus, qui était un chef de la synagogue.
J’ai toujours pensé que Jaïrus était un croyant en secret. Il croyait dans son coeur, il était en quelque sorte un croyant frontalier. Il croyait dans son coeur qu’il s’agissait vraiment d’un Homme de Dieu. Il croyait que c’était le Fils éternel de Dieu, Son prophète, le Sacrificateur et Roi, mais il avait peur d’en parler parce qu’il serait chassé de la synagogue. Et cela existe encore.
Ainsi nous voyons donc que lorsqu’un homme est vraiment sincère dans son coeur, Dieu va–suscitera quelque chose pour qu’il soit contraint de montrer ses couleurs. Généralement Dieu le fait de temps en temps.
33 Ainsi, nous voyons Jésus occupé à Son travail, occupé à cela. Un soir, Il traversait l’océan. Une tempête s’est levée, et Il avait traversé une contrée pour se rendre dans une autre, à Gadara, et là, Il a trouvé un fou. Ce fou est sorti en courant. Bien sûr, la raison pour laquelle Il était allé là, le Père, comme nous l’avons vu hier soir,... Jésus a dit : «Je ne fais rien si le Père ne Me le montre premièrement. Je reçois d’abord une vision de ce que Je dois faire, ensuite Je vais le faire.»
Saint Jean 5.19 : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.»
34 Il est donc allé à Gadara, et là, un fou est venu à Sa rencontre et a imploré miséricorde. Jésus a parlé aux mauvais esprits, Il leur a ordonné de sortir et ils ont été tous... Un mauvais esprit, lorsqu’il est hors d’un corps humain, il est impuissant, à ce qu’il paraît. Alors, ils sont sortis et sont entrés dans les cochons, et après les gens sont sortis et Lui ont dit qu’ils ne voulaient pas de Lui là-bas, ils Lui ont dit de quitter la contrée. Cela allait leur coûter trop cher de tenir un réveil. Mais nous voyons que ce fou est retourné témoigner et il a rendu gloire à Dieu.
Lorsque j’arriverai dans le pays de gloire, j’aimerais rencontrer cet homme qui était fou, et voir quel impact son témoignage, après sa guérison, a eu sur l’élevage des cochons à Gadara. Il a dû certainement secouer le pays, mais les gens ne voulaient pas de l’aimable Jésus. Ils étaient plutôt satisfaits avec des cochons et des démons plutôt qu’avec Jésus.
La même chose existe aujourd’hui. C’est juste. D’accord, si vous ne voulez pas de Lui, Il ne s’imposera jamais à vous. Vous devez vouloir de Lui. Vous devez avoir un besoin.
35 Une nuit, les disciples L’attendaient près du rivage, et ils sont partis avant le temps. Ils se sont dits : «Oh! eh bien, nous pouvons nous en tirer de toute façon. Nous allons prendre la mer.» Et alors ils ont ramé, ils sont partis sans Jésus.
Voilà le problème de bien des familles par ici et partout ailleurs. Vous pensez que vous pouvez ramer sur l’océan de la vie sans Jésus, mais vous allez vous rendre compte qu’il y a des ennuis dans la petite barque avant que vous ne soyez arrivés très loin. Vous ne pouvez pas arrêter les vagues de la vie sans Christ.
Les voilà partis, mais j’aime ceci. Oh! la la! quand j’y pense. Or, Lui Il savait qu’ils étaient partis sans Lui, mais remarquez qu’Il est monté sur la colline, et Il les surveillait sur la mer. Et Il a vu que le diable les a pris là dans cette petite tempête et qu’il s’est mis à jeter la barque dans tous les sens, mais Ses yeux étaient sur eux. Il les surveillait.
36 Peut-être que le diable vous a attrapé quelque part, et vous a infligé une maladie ou une certaine affliction, ou que vous avez rétrogradé, ou quelque chose comme cela, mais souvenez-vous qu’Il a escaladé les remparts de la gloire et qu’Il est assis dans les lieux célestes. Son oeil veille sur le moineau, et je sais qu’Il veille sur moi.
Il est Dieu d’éternité en éternité ; Il monte et Il veille sur vous. Il voit où vous êtes. Il sait que nous tenons cette réunion ce soir. Il sait à quel point chacun de nous se préoccupe de cela. Il sait que vous vous intéressez à Lui. Il sait que vous vous intéressez au Royaume. Il sait où se trouve votre coeur. Il veille donc sur Sa Parole.
Et puis, nous voyons que le petit bateau est sur le point de couler comme elle monte et descend ces vagues. Le mât s’était renversé, les voiles étaient arrachées, les rames étaient brisées. Et ils étaient là, le petit bateau était rempli d’eau et flottait dans tous les sens là sur la mer. Le diable a dit : «Je les aurai très bientôt.»
Mais tout d’un coup ils ont regardé, et Le voilà qui venait, marchant sur les eaux. Juste à l’heure la plus sombre, Jésus est alors venu.
37 Ceci peut être est votre heure la plus sombre, vous qui êtes assis ici ce soir. Il se peut que le médecin vous ait crue condamnée à la suite du cancer, de la tuberculose, d’un trouble cardiaque, mais c’est juste à l’heure la plus sombre que Jésus vient en marchant, parfois sans qu’on Le reconnaisse. Ils L’ont vu et ont remarqué tout le désastre. Lorsqu’ils ont regardé et L’ont vu, ils ont eu peur de Lui, parce qu’ils pensaient que c’était un esprit.
Bien des gens ce soir ont peur d’assister aux réunions, car ils disent : «Je crois ceci ou cela, ou ce sont des spirites ou des diseurs de bonne aventure, ou ce sont des gens possédés du démon», ou quelque chose du genre.
Et remarquez que dans ce cas-là, la seule Chose qui pouvait les aider, ils En ont eu peur. Et bien des gens ce soir sont dans des lits d’hôpitaux à la suite des afflictions, et la seule chose qui peut les aider c’est l’Aimable Seigneur Jésus, et les gens ont peur de Le mettre à l’épreuve, de Le tester. Amen. C’est juste.
38 Et alors que les flots continuaient, au bout d’un moment, Jésus a parlé et a dit : «N’ayez pas peur, c’est Moi.»
Pierre a dit : «Si c’est Toi, Seigneur, donne-moi un petit test.»
Et demandez et vous recevrez. Alors, il Lui a donné le test, et lorsqu’il a essayé de faire cela par lui-même, il a échoué, et tout autre homme échouera. Il a détourné ses yeux de Jésus et il s’est mis à considérer la taille de vagues. Lorsqu’il a vu que les vagues étaient contraires, il a commencé à s’enfoncer. Et chaque homme qui regarde à son affliction après qu’on a prié pour lui va certainement enfoncer.
Ne regardez pas à votre affliction. Gardez vos yeux fixés sur Celui qui a fait la promesse, le Seigneur Jésus-Christ. Gardez vos yeux sur Sa Parole. C’est Lui qui a fait la promesse. Il veille sur Elle pour L’accomplir. Il garde cela dans le creux de Sa main, et cela est planté au fond de Son coeur. Ses Paroles doivent être vraies.
Détournez votre pensée de vos maladies, de vos ennuis. Gardez vos yeux fixés sur Jésus.
39 Ensuite, remarquez, là de l’autre côté du rivage, dès qu’ils sont arrivés là-bas, une petite femme était là-haut sur la colline. Peut-être qu’elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et aucun d’eux n’avait l’aider. Peut-être qu’elle avait hypothéqué la ferme, qu’elle avait vendu les attelages, tout ce qu’elle possédait. Et aucun d’eux n’a pu l’aider, par contre son état empirait sans cesse. Quel moment!
Probablement qu’en toute sincérité les médecins avaient essayé d’arrêter cette perte de sang, mais ils n’y étaient pas parvenus. Mais je peux l’imaginer qui dit : «Si seulement je pouvais être dans cet autre pays où se trouve ce Prophète, si seulement je pouvais suffisamment approcher pour toucher Ses vêtements... Je crois que chaque Parole qu’Il prononce vient de la Parole de Dieu. Si seulement je peux toucher Son vêtement, je serai guérie. Car j’ai entendu dire bien des choses à Son sujet.»
Et ce soir-là, pendant que Jésus travaillait dur toute la nuit et que les disciples étaient sur la mer orageuse, que le diable essayait de son mieux d’empêcher la réunion... Il fait cela pour chaque réunion que Dieu a envoyée. Vous en avez dans votre église méthodiste, dans votre église baptiste, dans vos églises, où qu’il y en ait, le diable fera tout son possible pour en empêcher la tenue. Allez-y de toute façon. Dieu l’a dit. Affrontez-le et dites que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. «Résistez au diable et il fuira loin de vous.»
40 Alors ils ont carrément continué. Je peux voir ce groupe de disciples fatigués, épuisés, et las d’avoir ramé toute la nuit, Jésus somnolant à l’arrière du bateau.
Lorsque la petite barque a accosté dans les saules, je peux entendre la foule commencer à dire : «Voici ce Guérisseur divin qui vient. Eh bien, observons et voyons ce qu’Il a à dire. J’aimerais L’entendre dire quelques mots. Peut-être qu’Il accomplira un ou deux miracles que nous verrons. Je sais qu’Il dit qu’Il ne fait rien à moins que le Père le Lui montre ; mais, ha! nous allons simplement amener quelques personnes et nous verrons ce qu’Il peut faire.»
Jésus les a ignorés, Il est carrément passé. Il ne discutait pas avec eux. Il devait accomplir la volonté de Dieu.
Cette petite femme, elle s’est carrément faufilée parmi tous ces incrédules, elle a probablement rampé au milieu de la foule et sous les jambes des gens, jusqu’à ce qu’elle a touché Son vêtement, elle s’est retirée étant parfaitement satisfaite de ce que sa foi avait eu un contact–elle s’est reposée.
Et alors, Jésus s’est retourné et a dit : «Qui M’a touché?» Il a parcouru l’assistance du regard, et tous ont nié l’avoir fait. Aussitôt, Il a posé Ses regards sur cette petite femme, Il a dit : «Ma fille, ta foi t’a guérie.»
41 Très bien. Au même moment, il y avait un petit homme là de l’autre côté de la colline, à quelques kilomètres de là. Il était membre de la belle dénomination des pharisiens, une merveilleuse église, il avait un grand prestige social.
Peut-être Jaïrus avait-il une bonne position dans sa ville en tant que grand docteur en théologie. Peut-être avait-il sa licence. Il avait peut-être son doctorat en droit, ou autre, Il était bien vêtu en tant que professeur. Là, sous ces robes sacerdotales, il croyait réellement que c’était le Fils de Dieu. Alors, Dieu lui a donné l’occasion de professer sa foi et de la mettre en action.
42 Très bien. Nous voyons que lorsque Jésus est arrivé sur le rivage... Le jour précédent, ce docteur était probablement venu comme le fait d’habitude un chrétien ou un croyant, ou quoi que ce soit... Lorsque quelqu’un tombe malade, ils font tout ce qu’ils peuvent pour lui.
Jaïrus avait une petite fille d’environ douze ans. Elle tomba malade. Dieu savait ce qu’Il allait faire. C’est pour cette raison que Jésus était allé là-bas. Alors la fillette de Jaïrus tomba malade alors qu’elle avait environ douze ans. Peut-être que le médecin était venu, l’avait examinée, et avait dit : «Eh bien, nous lui avons administré quelques-uns de ces remèdes, ces décoctions de feuilles, d’écorces et tout. Elle s’en tirera certainement. Elle a une petite fièvre et ainsi de suite.»
Les jours passèrent, sa respiration commença à baisser. Tous ces remèdes... Le pauvre homme avait fait tout ce qu’il connaissait en ce jour-là. Il avait fait tout son possible, il était probablement un proche ami de la famille. Il a utilisé tous ses médicaments et tout ce qu’il pouvait, et l’état de la petite fille ne cessait d’empirer.
Finalement, il est venu, il a peut-être pris son pouls, et il a dit : «Eh bien, venez par ici, Jaïrus, toi et ta femme, j’aimerais vous parler. J’ai une triste nouvelle à vous annoncer. Je déteste devoir faire cela en tant que votre médecin, mais en dépit de toute ma connaissance scientifique, votre enfant est en train de mourir. Je surveille les battements de son coeur. Cela diminue à chaque minute. Je lui ai administré tout ce que je pouvais, et malgré tout, son état ne fait qu’empirer. Sa respiration est presque partie. Votre enfant ne peut plus vivre que quelques instants, alors préparez-vous au choc.
43 Le petit Jaïrus, ainsi que le médecin, avait fait tout son possible, j’imagine qu’il a payé le médecin, il l’a remercié pour tous ses services, et ce dernier est parti. Pauvre homme! Madame Jaïrus pleurait, probablement Jaïrus lui-même aussi. Alors du fin fond de son âme, il y eut une petite étincelle du fait d’avoir entendu dire que Jésus de Nazareth était le Fils de Dieu, et que la promesse selon laquelle Dieu allait L’envoyer en ce jour-là et qu’Il accomplirait ces choses, car Esaïe avait dit : «Le boiteux sautera comme un cerf», et des choses semblables allaient produire. Et si cet Homme accomplissait cette promesse, alors la gloire de Dieu L’accompagnait. Alors il a dit... Je peux le voir rentrer et prendre son chapeau. Et tout le monde, les membres de la synagogue, étaient là pour voir l’enfant mourir, et je peux les entendre dire : «Jaïrus, où vas-tu?»
Eh bien, Jaïrus a dit : «Je vais faire un petit tour.» Quelqu’un devait lui avoir dit que Jésus arrivait. C’est un bon message à prêcher même aujourd’hui : «Jésus arrive.»
44 Eh bien, on a appris qu’Il viendrait là-bas, qu’Il était plutôt là-bas, là où se trouvent les saules, sur la rive, et on a appris qu’Il arrivait. Ainsi, la foi vient de ce que l’on entend, de ce que l’on entend la Parole de Dieu. Alors Jaïrus met son petit chapeau, son petit chapeau de sacrificateur, et le voilà parti. Je peux entendre les membres de son église dire : «Jaïrus, où vas-tu?»
Sa femme dit : «Chéri, où vas-tu?»
«Je vais voir Jésus», dit-il.
C’est une bonne chose à faire. En cette heure de détresse, allez vers Lui, car Il est un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Je peux entendre ses associés et tout le comité de diacre lui dire : «Mon gars, tu seras excommunié. Souviens-toi de cela. Attends simplement jusqu’à la prochaine assemblée générale, et nous allons assurément te foutre dehors. Tu sais ce qu’a dit le souverain sacrificateur : ‘Tout celui qui perdra son temps avec un tel gars, nous n’aurons rien à faire avec lui.’»
45 Mais écoutez, le moment était venu, un moment crucial, parce qu’il avait un besoin. C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui. Lorsque vient le moment pour un besoin, lorsque la mort frappe à votre porte, si vous n’avez jamais goûté au baptême du Saint-Esprit et que vous ne connaissez pas la puissance de Dieu par la nouvelle naissance, vous pouvez vous en moquer maintenant, mais lorsque viendra le besoin, cela importera peu pour vous qui vous tenez là à côté, que vous soyez excommunié ou pas, vous irez vers Christ, aussi sûr que deux et deux font quatre.
Les credos de votre église n’auront rien à faire en ce jour-là. Peu importe votre qualité de membre fidèle de votre église, Jésus a dit : «Si un homme ne naît de nouveau...»
Cette petite étincelle vous amène à croire cela, écoutez-la ce soir, arrosez-la de la foi. Dieu fera croître cela pour vous jusqu’à ce que cela devienne un arbre de salut.
46 Maintenant, nous voyons ce petit gars y aller alors que tout le monde le critique. Mais, souvenez-vous, il ne pouvait donc pas dire : «Oh! je vais attendre un moment plus commode.» C’était donc à ce moment-là. Il fallait agir. Il lui fallait parvenir auprès de Jésus, sinon son enfant allait mourir. Et, frères, ce soir, si nous n’amenons pas les gens à Christ, ils vont mourir. Voici l’heure.
Les gens disent : «Je croirai dans la guérison divine dans le millénium.» Eh bien, à quoi vous servira la guérison divine quand vous serez immortel. C’est aujourd’hui le jour, il n’y aura pas une autre occasion. Voici le jour du salut. Amenons les gens à Christ.
47 Je peux alors voir Jaïrus pendant qu’il s’en va. Au bout d’un moment, il entre en contact avec cet aimable petit Homme qui vient, l’air épuisé, la tête penchée, qui paraissait avoir cinquante ans alors qu’il n’en avait que trente, probablement qu’Il avait beaucoup de cheveux gris, la pression du travail. Les gens Lui ont dit qu’Il paraissait avoir cinquante ans. Ils ont dit : «Tu es un homme de pas plus de cinquante ans, et Tu dis avoir vu Abraham.»
Il a dit : «Eh bien, avant qu’Abraham fût, JE SUIS.»
Il était là, mais Il paraissait avoir cinquante ans alors qu’Il en avait trente, probablement qu’Il était un peu voûté en marchant. Lorsque Jaïrus L’a vu, tous les sacrificateurs se tenaient là autour, à se moquer de Lui, à rire de Lui et tout. D’autres glorifiaient Dieu pour la guérison de la femme... Le sacrificateur a dit : «Ce n’est que de la télépathie. Il n’y a rien de vrai là-dedans.»
«Il ne connaissait pas cette femme. Comment a-t-Il su que cela avait–qu’elle avait une perte de sang?»
«Je n’y crois pas. C’est du diable. C’est Béelzébul.» Les gens se moquaient de Lui et tout.
Mais d’autres criaient : «Hosanna à Dieu dans les lieux très haut!» Les gens se réjouissaient.
48 Alors, je peux entendre le sacrificateur dire : «Vous voyez qui fait cela, la racaille, ce sont les gens terre-à-terre.» Oh! la la! si c’est ce qu’il faut pour croire en Dieu, alors je suis une personne terre-à-terre. C’est juste. Les gens du peuple L’écoutaient avec plaisir.
Alors Jaïrus s’est avancé et il est devenu l’une de ces personnes terre-à-terre, selon l’expression de la rue. Il a accouru, il est tombé à Ses pieds et il a dit : «Seigneur, j’ai une petite fille couchée là-bas à l’article de la mort.»
Je peux l’imaginer qui dit ceci : «J’ai entendu parler de Toi. Au fond de mon coeur, j’ai toujours cru que Tu es[le Messie]. Je sais que j’ai été enseigné pour ne pas croire cela et tout mais, Seigneur, au fond de mon coeur, Tu connais mon coeur, si Tu as su que cette femme avait une perte de sang, Tu as su toutes ces autres choses que Tu connais. Dieu Te les a révélées. Il ne fait aucun doute que tu connais mon coeur. C’est pourquoi je suis venu. Viens lui imposer les mains, et elle vivra.» Voilà, c’est là que repose votre foi.
49 Maintenant, pour Jaïrus, c’était : «Impose-lui les mains.» Ça c’était la manière des Juifs. Les Juifs pratiquaient l’imposition des mains.
Mais il n’en a pas été ainsi du centenier. Il a dit : «Je ne suis même pas digne que tu viennes sous mon toit. Prononce simplement la Parole, et mon serviteur vivra.» Considérez cette autorité. Il a dit : «Moi qui suis soumis à des supérieurs, je dis à cet homme : ‘Va faire ceci’, et il le fait. Je dis à celui-ci : ‘Viens’, et il vient.»
Car il savait qu’il était un centenier qui avait l’autorité sur cents hommes et ces cents hommes devaient faire exactement ce qu’il ordonnait. Et il savait qu’à Jésus toutes les maladies et tous les démons étaient soumis. «Dis seulement un mot.» Alléluia!
Je sais que vous allez me traiter de saint exalté, vous feriez tout aussi bien de vous préparer à le faire maintenant même. C’est juste. C’est suffisant pour vous en faire devenir un. Oh! «Dis seulement un mot.» C’est tout ce qu’il vous faut. «Dis simplement un mot, et mon serviteur vivra.» Amen.
50 Jaïrus a dit : «On m’a enseigné l’imposition des mains, ainsi viens imposer les mains à ma fille.»
Jésus savait qu’Il allait s’y rendre de toute façon. Il a dit : «Bon, allons-y.» Et ils sont partis, le petit Jaïrus s’est plutôt mis à regarder dans la foule, et oh! la la! il se sentait plutôt mieux après avoir entendu Jésus dire : «J’irai.»
Lorsque vous pouvez obtenir une audience auprès de Jésus pour quelques minutes, tout, chaque problème est résolu. A partir de ce moment-là, vous ne vous souciez pas de ce que les gens disent de vous, aussi longtemps que vous pouvez amener Jésus à vous parler un peu.
Le voici qui descend la route. Sa petite tête relevée, souriant, vous savez, regardant tout le monde. Il ne se souciait pas de combien les gens se moquaient de lui. Il marchait avec Jésus. Toute personne qui marche avec Lui ne se préoccupe pas de ce que les critiqueurs disent. Si jamais vous marchez avec Lui...
Le voici qui avance sur la route : «Ce Gars est un Voyant. Voici le Type en question. Voici–voici l’Homme en question. Je sais qu’Il a fait cela à d’autres endroits, et Il m’a déjà donné l’assurance. J’y vais.» Ils marchaient ensemble.
51 Observez maintenant le diable. Il a dit : «Je vais lui retirer son appui. Je vais lui régler son compte.
Le temps de faire quelques heures de route, voici venir un homme en courant, qui dit : «Ne dérange plus le Maître. Ta petite fille est déjà morte. Nous avons déjà fait sa toilette. Elle est morte. Ne dérange plus le Maître.»
Lorsque Jaïrus a entendu cela, je peux voir son petit coeur s’arrêter de battre pendant une seconde. Il porte la main à son coeur. Il tourne son regard vers Jésus. Jésus avec ce... clair... un... Oh! la la! je n’arrive même pas à trouver des mots pour le dire. Cette «certitude», ce «calme imperturbable», peu importe combien il y avait des ennuis autour de Lui, Il était toujours tranquille. Je peux Le voir tourner Ses yeux saints vers Jaïrus pour voir sa réaction. Il a dit : «Ne crains point. Crois seulement. Tu verras la gloire de Dieu.»
Il savait où Il allait. Il savait ce qui allait se produire. Il savait ce que la vision avait dit. Il savait que Dieu était fidèle à la Parole.
52 Lorsqu’Il est arrivé là, sur les lieux, tout le monde criait et pleurait. Je peux entendre les pharisiens de l’église de Jaïrus dire : «Te voilà. Te voilà. Tu perds ton temps avec un de ces guérisseurs divins. Le médecin t’avait dit que ton enfant allait mourir. Tu vois donc maintenant que tu as amené la honte. Maintenant, que vas-tu faire?»
Le petit Jaïrus, la tête relevée, est entré directement. Les gens étaient là dehors, faisant des histoires, ils faisaient un grand remue-ménage. Jésus a dit : «Faites place.» En d’autres termes, restez tranquille. Il a dit : «La fille n’est pas morte. Elle dort.»
Eh bien, que pensez-vous que les gens ont dit, ceux qui ne connaissent pas Dieu? Ils Le connaissaient au moyen de l’église, mais je connais le chemin du salut. Ils ont dit : «Maintenant nous savons qu’Il est complètement fou en disant qu’elle n’est pas morte alors que nous l’avons étendue là à l’intérieur. Le médecin dit qu’elle est morte ; l’entrepreneur de pompes funèbres a probablement dit qu’elle est morte. La voilà froide et étendue sur la couchette. Eh bien, elle est morte, et voici ce fanatique qui dit qu’elle n’est pas morte, qu’elle dort. Ôtez un tel homme!»
53 Vous savez ce que Jésus a fait. Les gens se moquaient de Lui. Vous savez ce qu’Il a fait. Il les a faits sortir. C’est juste. Ainsi, ne vous moquez pas de Lui ; vous pourriez être mis dehors. Il les a faits sortir. Il les a tous faits sortir, à l’extérieur. Comment pouvait-Il faire quelque chose en présence d’une bande d’incrédules comme cela? Ce qu’il faut que les croyants fassent, c’est s’unir et prier jusqu’à ce que Christ vienne au milieu d’eux. Alors les miracles et les prodiges se produiront.
Le voilà, Il les a tous fait sortir. Le voilà complètement enfermé face à toute cette incrédulité. Il s’est tenu là avec le père et la mère de l’enfant. Eux croyaient. Pierre, Jacques et Jean étaient les seuls qui ont pu entrer avec Lui : la foi, l’espérance et la charité. Il les a faits entrer dans la chambre, Il a fermé la porte derrière Lui.
A l’extérieur, il y avait un mur d’incrédulité, mais Jésus avait une puissance, car après que les choses terrestres avaient failli, Il pouvait parler dans une autre langue. Et Il a parlé dans l’au-delà où se trouvait l’âme de l’enfant, et une petite fille qui était étendue raide morte s’est tenue debout dans la splendeur de la vie. Il l’a fait revenir à la vie lorsqu’Il a dit : «Tabitha», et Il l’a fait revenir : «Jeune fille, lève-toi.»
Il l’a prise par la main et a dit : «Donnez-lui à manger.» On l’avait probablement embaumée, on l’avait vidé de son sang. Alors on a dit : «Donnez-lui à manger afin qu’elle reprenne de la force.»
54 Oh! je suis tellement heureux ce soir de savoir que ce Jésus-Christ vit et règne toujours, et qu’Il est toujours le même Dieu ce soir qu’Il était en ce jour-là. Il est vivant à jamais. Ayez foi en Dieu.
Je suis tellement heureux que la corruption ait reconnu son Maître. L’esprit a reconnu son Créateur, et rien d’autre ne pouvait faire cela ; mais il a dû retourner aussitôt que le Fils de Dieu a appelé la jeune fille. Je me réjouis ce soir que, s’Il appelait, nos noms sont dans Son Livre, n’est-ce pas?
Mon ami pécheur, je crois ce soir par la grâce de Dieu que votre nom sera aussi inscrit dans Son Livre, afin que vous puissiez Le connaître dans le pardon du péché, que vous puissiez Le connaître comme votre Sauveur, pendant que nous prions, je vous prie.
Le pianiste ou plutôt l’organiste, si elle veut bien venir jouer doucement Reste avec moi, s’il vous plaît, soeur. Pendant que l’assistance garde la tête inclinée un moment.
Que chacun soit maintenant en prière, croyant de tout son coeur. Jésus, le Fils de Dieu, connaît chaque chose, Il peut tout faire. Il aime tout le monde.
55 Maintenant, si vous n’êtes pas un chrétien, si vous n’êtes pas un croyant, je crois que maintenant même Dieu parlera à votre coeur et dira : «Voici l’heure pour croire.»
Notre Père céleste, pendant que nous attendons maintenant. «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu.» Je Te prie, Père, d’être miséricordieux envers nous tous. Pardonne-nous tous nos péchés et nos offenses. Pardonne-nous, et il est écrit dans Ta sainte Parole : «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»
Père, que beaucoup soient amenés à Te connaître pour qu’ils croient et soient sauvés ce soir. Car nous le demandons au Nom de Christ avec nos têtes inclinées, pendant que nous prions.
56 Y a-t-il quelqu’un dans Sa Présence divine quelque part qui aimerait dire par une main levée : «Priez pour moi, Frère Branham. Je suis un pécheur.»? Que Dieu te bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, et vous. Partout aux balcons. Oh! la la! Pendant que je me tourne dans cette direction pour regarder de nouveau. Vous pouvez les voir partout.
Ô Dieu, aie pitié. Oh! la la! Par ici à ma gauche, pendant que je me tourne de ce côté, regardez... Là-haut, voulez-vous lever vos mains?
57 [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]... Daniel a eu une seule vision, et il a eu l’esprit troublé pendant plusieurs jours. Est-ce juste? C’est vrai. Vous direz : «Eh bien, Frère Branham, je n’en sais rien.»
La plupart...?... prophètes et tout sont considérés comme des névrosés. Considérez William Cowper. Il a écrit : «Il y a une Fontaine remplie de Sang, tiré des veines d’Emmanuel.» Après avoir écrit ce cantique, il a cherché une rivière pour se suicider. Considérez Stephen Foster. Vous les gens du Sud, vous l’aimez beaucoup pour avoir écrit de vieux chants populaires. Il a écrit quelques-uns de plus beaux chants populaires qui touchent le coeur qu’il y a au monde, et considérez-le. Chaque fois qu’il–chaque fois... Il était considéré comme un névrosé. Chaque fois qu’il écrivait un chant, il sortait ensuite et s’enivrait, et finalement il appela un domestique, prit un rasoir et se suicida. Il s’élevait dans les sphères de l’inspiration.
Considérez le prophète Jonas. Après avoir fait une promenade pendant trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, il est sorti et il a prêché avec une telle force dans la ville, qui avait la dimension de saint Louis par ici... Il est dit que les gens se sont repentis au point qu’ils ont fait porter des socs à leurs animaux. Ensuite, il est monté et il s’est assis sous un–un petit arbre là-haut, une plante grimpante, et il a prié Dieu de lui ôter la vie.
58 Considérez le prophète Elie. Après qu’il fut monté sur le mont Carmel, qu’il eut fait descendre le feu et l’eau du ciel le même jour, et les grands signes qu’il a accomplis, il a ensuite fui dans le désert après que la vision l’a quitté, et il a erré dans ce désert pendant quarante jours et quarante nuits ; et Dieu l’a retrouvé alors qu’il s’était retiré dans une caverne.» Voyez?
C’est peut-être un peu différent de ce que vous lisez, mais voyez si ce n’est pas vrai. Voyez? C’est la vérité.
Voyez? Cela vous fait quelque chose. Point n’est besoin d’essayer d’expliquer cela. Croyez-le tout simplement. C’est tout.
Maintenant, nous allons... Je crois qu’hier soir nous avons appelé les cartes de prière. Le jeune homme a distribué cent cartes de prière hier soir. Nous avons appelé quelques-unes des premières. Allons un peu vers le milieu et commençons ce soir à appeler à partir d’un certain numéro. Appelons à partir... Ainsi, nous en faisons monter juste quelques-unes ici, c’est tout ce qu’il faut, juste quelques-unes pour amener l’Esprit de Dieu à opérer, et alors Il va se mettre à se mouvoir dans toute la salle. Vous voyez? C’est tout ce qu’il faut. Vous n’êtes pas obligé d’être ici en haut. Cela n’a rien à faire avec ce qui se passe ici en haut.
59 Je désire simplement tâter le terrain la première soirée, les amis. Chacun de vous est un être humain. Chacun de vous a une âme, un esprit, et tous ces esprits sont en mouvement ; et vous touchez cela, vous sentez cela.
C’est pour cette raison que Jésus a pris cet homme par la main et qu’il l’a conduit hors de la foule. C’est pour cette raison que j’ai dit ce soir qu’Il a fait sortir tout le monde de la maison juste pour aller... Voyez, vous devez les isoler avec vous jusqu’à ce que les gens atteignent réellement cette foi et alors cela opère partout.
Commençons quelque part. Voyons. Commençons vers 51. Qui a la carte de prière, disons 51? Avez-vous... Est-elle dans cette ass-... assistance? La carte de prière 51? Jetez un coup d’oeil sur votre carte. Avez–avez-vous votre carte de prière numéro 51? Très bien. Qui a le 52? Nous allons commencer directement comme cela. Voulez-vous venir ici, monsieur? 52? Quelqu’un a-t-il la carte de prière 52? Madame? 53, voulez-vous lever la main, si vous avez le 53? Madame? 54, voulez-vous lever la main? Très bien. 55? 56? 56, est-ce cette dame-ci? 57? 58? 59? 60?
Maintenant, pendant que je... Que maintenant chacun soit très respectueux, et restez simplement assis là où vous êtes en ce moment. Continuez simplement à prier maintenant. Maintenant, là dans l’assistance, où que vous soyez. Peu m’importe que vous soyez dans la rangée du fond, cela n’a rien à faire avec la chose. Regardez par ici et croyez, et voyez ce qui arrive. Ecoutez votre nom. Voyez?
60 Ecoutez. Combien là au fond sont malades ce soir? Vous qui n’avez pas de carte de prière, partout où vous êtes dans l’assistance, partout, vous n’avez pas de carte de prière et vous êtes malade, et vous désirez que Jésus-Christ vous guérisse. Levez la main. Voyez? Regardez tout simplement. Oh! la la! je crois que cela va être très... Maintenant, voici ce que vous devez faire : Restez assis et priez. Soyez très respectueux, soyez simplement respectueux. Ne vous déplacez pas. Restez simplement assis là et priez, dites : «Seigneur Jésus, je...» Ne–ne vous mettez pas sous tension. Ne soyez pas nerveux. Soyez simplement détendu. Dites : «Oh! Père, je suis tellement reconnaissant d’être dans Ta Présence ici sous la...?... ciel. Je veux que Tu aies pitié de moi ce soir. Je suis dans le besoin. Fais que le prédicateur se retourne et me parle pour encourager ma foi ou quelque chose de ce genre. Fais qu’il m’appelle personnellement. Alors accorde-moi le–l’encouragement pour cela, ô Seigneur, et je serai très reconnaissant.»
Faites cela, et approchez-vous de Lui avec reconnaissance, respect, et vous verrez que Dieu le fera pour vous, si vous faites cela.
61 Combien de personnes avez-vous là? Oh! appelons-en encore quelques-uns. Quel–quel est le dernier numéro qu’il y avait là? Quel est votre numéro, soeur? 60? Appelons-en encore cinq. 61, 2, 3, 4, 5, et cela donnera une bonne et belle petite ligne de gens.
Je ne... Le nombre de gens qui sont debout importe peu. C’est juste l’idée qu’on ne veut pas avoir trop de gens à la fois ici maintenant. Voyez? En effet, vous devez rester debout très longtemps, et parfois je ne quitte pas. L’Esprit va dans l’assistance, et je dois suivre l’Esprit. C’est tout ce que je peux faire.
Maintenant, inclinons la tête juste un moment. Que chaque tête soit inclinée, et soyez respectueux, aussi respectueux que possible. Soyez fidèle, soyez en prière, ayez foi en Dieu.
Oh! aie pitié, Seigneur. Je Te prie de souffler Ta divine présence sur cette assistance ce soir. Rends toutes choses possibles, Seigneur. Que Ton Saint-Esprit agisse d’une manière glorieuse et très remarquable, et qu’Il bénisse cette assistance, alors que nous attendons avec respect, au Nom de Jésus. Amen.
62 Maintenant, que tout le monde soit respectueux et si vous êtes... Maintenant, attendez un instant. J’aimerais regarder dans cette assistance de gens. Vous qui êtes là dans la ligne de prière, voulez-vous bien regarder dans cette direction juste une minute? M’êtes-vous tous inconnus, vous tous? Si vous l’êtes, levez vos mains, si vous êtes tous des inconnus. Très bien.
Maintenant, les seules personnes que je connais dans cette–dans cette réunion ce sont mes associés qui sont ici, frère Wood, qui se tient ici. Bien sûr que je le connais. Il est avec nous. C’est lui qui s’occupe de la vente des livres. Voici Léo Mercier et Gene Goad assis ici, ce sont mes amis qui ont les–mes enregistreurs. Je... Ils apportent... Ils ont les bandes et ainsi de suite, et frère Beeler par ici. Je le connais. Il suit aussi les réunions, et frère Thoms de l’Afrique du Sud.
A ce que je sache, ce sont les seules personnes ici que je connais, à part mon fils qui se tient là aux côtés des malades. Ce sont les seules personnes que je connais à cet endroit. J’ai rencontré quelques admirables ministres ici l’autre jour, des frères de ce comité-ci, mais maintenant je ne les reconnaîtrai pas, je pense, si je les voyais là. Je ne les vois pas, et je peux à peine me souvenir de leur–leur visage qui est...?...
63 J’aimerais dire à tout le monde de rester très calme maintenant et de garder vos enfants près de vous, surtout à cause de l’épilepsie. L’épilepsie c’est une chose qui m’échappe.
Vous rendez-vous compte que vous avez à faire à des esprits des démons? Combien réalisent cela? Voyons. Levez la main partout. Dans la Bible, ne vous rappelez-vous pas lorsque cet homme avait l’épilepsie, et que quelqu’un est allé là, il n’avait pas l’autorité, mais il a dit : «Je t’adjure par Jésus que Paul prêche, sors!» Et cet esprit est sorti et s’est emparé de cet homme.
Il n’y a pas longtemps un certain ministre est venu à une réunion. Il avait amené environ vingt-huit membres de son assemblée. Il y avait un petit bébé sur l’estrade, et ce petit bébé avait l’épilepsie, on l’avait enveloppé d’un chiffon, on avait mis un–un–un bout de bois dans sa bouche ou plutôt une épingle. Et on avait... Le bébé avait des crises.
Je ne pouvais pas les en empêcher, et ce ministre qui était assis là riait sous cape, et j’ai regardé autour de moi. J’ai dit aux gens d’incliner la tête. Eux n’ont pas voulu le faire. Cet homme était juste assis là. Alors un huissier s’est dirigé vers lui. Il lui a répondit : «Ecoutez, ceci est un lieu public, et vous... Je fais ce qui me plaît.»
J’ai dit : «D’accord. Cela vous regarde.» J’ai dit : «Ô Père, ne laisse pas ce pauvre enfant innocent souffrir pour les péchés de cet homme. Maintenant, Satan, quitte-le! Mais tu es libre de faire ce que tu veux.»
Et des milliers de gens étaient assis là. Toutes les vingt-huit personnes ont attrapé l’épilepsie, et elles sont tombées par terre en écumant et tout, et elles ont toujours l’épilepsie jusqu’à ce jour, et ce n’est qu’un cas parmi des milliers. Ainsi, soyez respectueux. Nous ne faisons pas les religieux. Vous êtes dans la Présence de Dieu. Voyez? Ainsi, soyez respectueux. Restez assis. Et tout ce qui est dit, faites exactement ce que l’Esprit du Seigneur dit de faire.
64 Maintenant, chantons tous ensemble doucement, s’il vous plaît, Crois seulement. Tous ensemble maintenant, ensemble. Très bien.
Crois seulement
Maintenant chantez et croyez maintenant de tout votre coeur. C’est juste. S’il y a quelque chose qui vous dérange...?...
... est possible, crois seulement (Que tout le monde
confesse sa foi.)
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, ... seulement
Je me demande combien voudraient faire ceci avec Lui? Levez la main et chantez cela comme ceci :
Maintenant, je crois vraiment.
Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois,
Maintenant, je (Père céleste, descend en ce moment sur la
réunion...?...
Aide-nous ce soir, Seigneur, alors que Tu nous sers, que l’Ange
de...?... Ta
Présence, au–au Nom de Jésus.)...
Maintenant, je crois. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]
65 Maintenant...?... vous plaît. Maintenant regardez simplement dans cette direction. Croyez de tout votre coeur. Soyez dans l’expectative. Attendez-vous à ce que Dieu touche votre corps. Il le fera.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Gardez votre attention sur le Saint-Esprit!
Tenez, amenez cet homme ici. Maintenant, soyez respectueux alors que vous vous rapprochez un peu plus par ici, monsieur. C’est juste. C’est très bien. Maintenant, vous les gens qui êtes dans l’assistance, où que vous soyez, soyez respectueux. Ecoutez votre–pour vous, parce que lorsque cela va...
Est-ce qu’ils En ont montré la photo ici ce soir? Avez-vous vu cela, l’Ange du Seigneur sur–sur la photo? Je... Ils aborderont probablement cela à un moment donné. Cela–ça se trouve ici. Ils ont photographié cela et l’ont amené à Washington, DC, et c’est le seul Etre surnaturel qui ait été scientifiquement prouvé comme étant vrai. Et cela est sous un droit d’auteur, du studio Douglas, à Houston, au Texas.
66 Et maintenant, lorsque Cela quitte l’estrade, je vois Cela se déplacer au-dessus de l’assistance, je dois surveiller là où Cela se trouve. Et pendant que je parle, soyez attentif pour entendre votre nom, écoutez pour savoir de qui il s’agit. Soyez respectueux où que Cela se trouve. Et lorsque vous vous tenez ici, vous qui êtes dans la ligne de prière, écoutez simplement ce qu’Il vous dit ; ensuite faites très exactement cela. Et vous allez maintenant remarquer que lorsque Cela–quand ce que je fais vient de... Quand Il me oint, quand ce que je fais vient de Cela, quand c’est moi qui parle, c’est moi, mais quand c’est le Saint-Esprit, quelque chose se produit, Cela dira : «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Maintenant, observez cela, et vous qui êtes dans l’assistance, et lorsque Cela parle, notez cela sur un bout de papier ou quelque chose comme cela, et observez cela. Si cela n’arrive pas exactement ainsi, envoyez-moi cela.
Les enregistreurs qui sont ici enregistrent tout. C’est pourquoi ces jeunes gens sont ici, c’est pour faire ces enregistrements. Vous voyez? Nous avons chaque parole ; et pas une seule fois, depuis que j’étais un tout petit bébé, cela n’a failli. Cela ne peut faillir. C’est Dieu. Voyez? Si cela venait de moi, cela faillirait tout le temps ; mais c’est Dieu, et Lui ne peut faillir.
67 Maintenant, ceci–un homme se tient ici devant moi, il a probablement mon âge, il est peut-être un peu plus âgé. A ce que je sache, lui et moi nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas, monsieur? Nous ne nous connaissons pas, mais Dieu nous connaît tous les deux. Dès que vous vous êtes avancé ici, j’ai vu que vous êtes un croyant, parce que votre esprit se sent le bienvenu, et c’est de cette manière que je sais cela. C’est un...
Quand Nathanaël est venu auprès du Seigneur Jésus, ce Dernier a dit : «Voici un Israélite.» Voyez? Il a su qu’il–qu’il était le bienvenu. Vous voyez? Et dès que je me suis tourné vers vous, si vous étiez un critiqueur ou quelque chose comme cela, il y aurait eu une ombre noire qui s’approcherait là ; et j’aurais su qu’il y a quelque chose qui cloche. Mais vous êtes un croyant, et entre vous et moi il y a Quelque chose, car peut-être alors que je suis sous l’influence de la Présence divine de Dieu... Je ne sais pas ce que cela... Mais vous êtes conscient que quelque chose est en train de se produire.
Maintenant, moi en tant qu’un homme honnête, si vous êtes... Voulez-vous lever la main vers les gens afin qu’ils sachent que vous pouvez dire que vous êtes dans la Présence de Quelque chose d’autre qu’un homme et que cela est surnaturel?
68 Maintenant, tout celui qui est tout près, entre moi et cet homme se tient cette Colonne de Feu. Elle est juste en train de tourbillonner entre lui et moi. Il sait... Maintenant, Elle va descendre soit sur lui soit sur moi dans quelques instants. Il–il sait qu’il est dans cette Présence, dans la Présence de Dieu.
Je ne connais pas cet homme. Je ne l’ai jamais vu ; mais maintenant si le Saint-Esprit m’oint, eh bien, Il vous dira quelque chose qui vous encouragera ou qui vous découragera. Ça, je ne le sais pas. Il faut que ce soit Lui pour faire cela, mais s’Il le fait, vous allez alors reconnaître cela ; si c’est la vérité, vous allez reconnaître cela. Et allez-vous accepter de faire tout ce qu’Il vous dira de faire? Et si ce qu’Il vous dit est la vérité, alors vous saurez que Sa Présence Divine est ici, me disant ce que je dois vous dire. Pas vrai? Eh bien, ma sincère prière, frère, est qu’Il puisse accorder cela.
Vous êtes le premier patient ici ce soir. Les gens ont beaucoup de foi dans l’assistance, et cela bouge partout. La puissance de la maladie s’avance, et c’est la foi des gens qui fait cela. Voyez? Ce n’est pas moi. C’est leur propre foi qui tire cela. Ce n’était pas Jésus qui avait guéri cette femme. Il a dit : «Ta foi t’a sauvée.» Voyez. Si ce n’était–ce n’était pas Lui. C’est sa foi à elle qui avait fait cela. Et c’est la même chose ici. La foi est en train de tirer de partout maintenant...
69 Mais je vois qu’entre vous et moi il y a comme quelque chose qui est en train de couler. Je vois cela se déplacer entre vous et moi, on dirait des gouttes de quelque chose qui tombe. C’est un–c’est une maladie du sang. C’est quelque chose dans le sang. Ce sont–ce sont des acides dans votre sang, je crois que c’est ce que dit le médecin. C’est un... Je vois un homme plutôt mince, qui dit : «C’est un–un acide dans votre sang, cela est dû au diabète.» C’est le diabète qui a fait que cet acide entre dans votre sang. Est-ce juste? [L’homme dit : «C’est juste. C’est la vérité. C’est la vérité.»–N.D.E.] Maintenant, est-ce que vous–est-ce que vous croyez?
Maintenant, vous voyez, plus vous parlez à cet homme... Voyez? Maintenant pour que vous soyez certain, maintenant je peux juste prier pour vous. Je ne sais pas, mais je me retourne maintenant pendant que l’onction est en train de parler et s’adresser à cet homme, Il pourrait... Plus vous parlez à... D’habitude je ne parle pas beaucoup à une personne, parce qu’il y a d’autres personnes à qui parler, et cela m’affaiblit tellement. Mais afin que vous soyez certains maintenant. Maintenant, nous allons simplement parler à ce frère un peu plus longtemps, pour voir si le Saint-Esprit dira quelque chose.
70 Désirez-vous voir si c’est la volonté de Dieu? Priez pour que cela soit la volonté de Dieu. Afin que vous soyez certain, juste vous parler maintenant. Maintenant, ce qui a été dit était la vérité. Nous allons voir ce qu’Il dira encore, et s’Il dit quelque chose, bien sûr ce sera Lui. Cela ne peut pas être moi. Vous le savez bien. Vous vous en rendez compte, mais quoi que c’était, bien sûr ça semble–un rêve maintenant. C’est un autre monde.
Je vois cela se déplacer encore entre nous. Je sais qu’il s’agit d’un–il s’agit d’un autre homme, et cet homme a quelque chose aux yeux, au sujet d’un... Oh! c’est un–un fils. Vous avez un garçon ou quelque chose comme cela ou un fils, n’est-ce pas? Il a quelque chose qui cloche aux yeux. Et puis vous... Je vois une petite fille. C’est sa fille qui est votre petite-fille. Elle a quelque chose qui cloche aux yeux. Est-ce que vous croyez? Maintenant, comme vous l’avez cru, partez, et trouvez la chose telle que vous l’avez crue. Au Nom du Seigneur Jésus, je bénis mon frère pour la gloire de Dieu. Que le Seigneur vous bénisse, mon frère bien-aimé.
71 Ayez foi. Croyez Dieu de tout votre coeur. Vous pouvez obtenir ce que vous voulez, si seulement vous avez la foi pour le croire. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Très bien. Maintenant, pour ce qui est de cela, toute l’assistance devrait avoir la foi maintenant pour être guérie. Pas vrai? Tout le monde devrait avoir la foi. Tout le monde devrait croire.
Je vois l’Ange du Seigneur suspendu au-dessus d’une petite dame, elle regarde droit vers moi, elle prie.
Vous avez un problème à la hanche, n’est-ce pas, soeur? Vous étiez alors en train de prier. Vous disiez : «Seigneur, fais qu’il se tourne vers moi.» Vous avez aussi une hernie, n’est-ce pas? C’est juste, et vous avez une tumeur, n’est-ce pas? Si c’est juste, levez la main. Maintenant, tenez-vous debout. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vous guérit ; et vous êtes rétablie ; votre foi vous a guérie.
Ayez simplement la foi. Continuez de prier, continuez de croire. Ne doutez pas. Croyez que tout est possible. Oh! comme c’est merveilleux, comme notre Seigneur Jésus est merveilleux!
72 Maintenant, est-ce la dame? Est-ce la dame qu’on a amenée? Je vois que vous portez un badge : «Ouvrier indépendant.» Est-ce que vous travaillez dans cette réunion, madame? Très bien. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je pense. C’est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie, mais le Seigneur Jésus nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Il me connaît ; Il vous connaît. Il sait tout ce que j’ai fait, tout ce que vous avez fait. Il sait ce que je ferai. Il sait ce que vous ferez. Ainsi, notre destinée est sous Son contrôle, entre Ses mains.
Et Lui seul est capable de faire ceci. En êtes-vous consciente, soeur? Eh bien, étant donné que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, seul Dieu peut faire ces choses, alors si je vous parle comme notre Seigneur et notre Maître, qui est présent en ce moment, a parlé à la femme au puits... Il a dit : «Apporte-Moi à boire.» Et Il a engagé une conversation avec elle, jusqu’à ce qu’Il a trouvé très exactement où était son problème. Il a trouvé un problème chez elle : c’était qu’elle vivait dans l’adultère. Il a dit : «Va chercher ton mari.»
Elle a dit : «Je n’ai point de mari.»
Il a dit : «Tu en as eu cinq.»
Elle a dit : «Je vois que Tu es prophète.» Elle a dit : «Je sais que lorsque le Messie viendra, Il nous dira ces choses.»
73 C’était le signe même du Messie. Pas vrai? C’est le signe du Messie aujourd’hui. Est-ce juste? Car le Messie est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le même en principe, le même en puissance, le même dans les oeuvres. Et le Messie Lui-même a dit : «Je ne fais rien si le Père Me montre premièrement ce qu’il faut faire.»
Mais je vous parle juste comme Il lui avait parlé, pour saisir votre esprit humain, et étant donné que nous ne nous connaissons pas. Maintenant, tout d’abord, je vois cette femme (Si l’assistance... si ma voix est assez audible maintenant, comme je l’espère) je vois cette femme s’éloigner de moi. Elle... Elle a un problème dans sa colonne vertébrale. Elle a un problème de colonne vertébrale, et sa colonne vertébrale est en mauvais état. C’est vrai, N’est-ce pas vrai madame? Si c’est juste, levez la main. Voyez combien le Saint-Esprit de notre Dieu est infaillible. C’est ça votre problème. Très exactement.
Maintenant, pour ce qui est de savoir si Dieu peut guérir ou pas, cela dépend de sa foi. Voyez-vous? Ces choses, ce n’est pas pour guérir les gens. C’est pour vous amener à prendre conscience que Dieu est ici. Voyez?
74 Maintenant, vous pouvez dire que cet homme est un–un–tout ce dont vous voulez le taxer. Peu importe comment vous allez appeler cela, cela déterminera votre destinée. C’est ce que je déclare. Voyez?
Tout... L’homme qui a frappé Jésus au visage n’a senti aucune vertu. Certainement pas. Mais la femme qui a touché Son vêtement a senti une vertu. Touchez-Le ce soir, pas moi. Pas moi, oh! la la! ne–n’y pensez pas ; pas moi, Lui. Voyez? Je–je suis juste comme vous. Eh bien, je suis pire que vous, plus vil, car vous êtes comme ceci depuis longtemps. Moi je ne suis qu’un bébé dans cela (Voyez?), et vous m’appelez votre frère, et je viens à vous.
Mais certains parmi vous les vieux saints de Dieu qui êtes ici, vous êtes dans ces anciennes églises qui sont par ici, transportant la croix depuis des années et des années. Je me sens honoré de me tenir devant vous, c’est pourquoi je suis certain, sans l’ombre d’un doute, que je vous présente le Seigneur Jésus-Christ. C’est juste. Eh bien, si vous le croyez, j’espère que vous le croyez.
75 Maintenant, cette dame. Voyons ce qui–ce qui a fait–oh! c’est ça, c’est un problème de la colonne vertébrale, je crois que c’était cela. Très bien. Maintenant, c’est ce qui n’allait pas. Maintenant, si je parlais encore un peu à cette dame, Cela continuerait à lui révéler davantage de choses et que sais-je encore. C’est possible. Je ne sais pas. Nous allons juste lui parler juste une minute et voir ce que le Saint-Esprit dira. Afin que vous voyez que ce n’est pas simplement quelque chose qu’on devine. C’est une réalité.
Maintenant, cela... Il est un Seigneur Jésus si merveilleux, si merveilleux. Eh bien, cela m’a quitté à l’instant. Cela m’a quitté. J’ai senti cela partir. Cela est allé vers quelqu’un. Maintenant, aussi sûr que n’importe quoi, Cela a quitté un–est allé vers quelqu’un d’autre. L’onction m’a quitté, la Vie est sortie. Voyez la transpiration qui perle sur le revers de ma main. Voyez, voyez? Cela m’a quitté. Quelqu’un dans l’assistance... Voyons.
76 Maintenant, ici... Maintenant, si vous qui sentez que vous êtes dans l’Esprit... Eh bien, regardez qui se tient juste ici. Voyez-vous cette Lumière? Elle est suspendue juste au-dessus d’une petite dame assise ici, en train de me regarder. Elle souffre. Je la vois occupée à quelque chose, se tenir la tête. Elle a des maux de tête. Elle a des maux de tête. Elle est assise juste ici.
Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous guérit? Qu’Il va vous rétablir? Allez-vous accepter cela et croire cela? Si vous le croyez, vous pouvez obtenir cela. Que le Seigneur Jésus vous bénisse. Voyez?
Vous n’avez pas besoin de cartes de prière. Voyez? C’est la foi qu’il vous faut. C’est la foi qui fait le travail. Voyez-vous, comment la foi vous guérit?
77 Maintenant, voici le patient, je crois. Alors, nous allons... quel... Si nous pouvons juste... Il vient de vous parler, n’est-ce pas, vous disant que vous souffrez de quelque chose.
Maintenant, croyez-vous en Lui de tout votre coeur, qu’Il vous guérira? De tout votre coeur, croyez-vous que vous allez... Je vous vois–vous étiez... Je vois un bâtiment, un genre de bâtiment où vous avez été ou quelque chose de ce genre. Vous étiez com-... C’est un–c’est un–c’est un hôpital. Vous venez juste de sortir d’un hôpital, et c’était un–un... Vous–vous avez l’hypertension. Je les vois prélever votre tension comme ceci, et elle est dangereusement élevée, vous êtes sur le point d’avoir une attaque d’apoplexie. C’est juste, et il–il y a une petite fille avec vous, et cette petite fille a un problème au pied. Son pied est infirme, je crois que c’est le pied gauche. Je la vois comme elle soulève son pied gauche, et cette petite fille, c’est la fille de votre nièce. C’est juste, et cette dame-là, la mère de l’enfant, travaille dans un hôpital. C’est la vérité. Maintenant, allez poser votre main sur l’enfant, et que le Seigneur vous accorde le désir de votre coeur.
78 Disons : «Gloire à Dieu!» Dieu, c’est une adoration... un objet d’adoration. «Ceux qui L’adorent, L’adorent en Esprit et en vérité.» Croyez de tout votre coeur? Si vous croyez, vous pouvez recevoir tout ce dont il s’agit. Ayez foi en Dieu. Dieu vous accordera les bénédictions si vous le croyez.
Oh! la la! Cette dame assise juste ici qui a... qui regarde dans cette direction, croyez-vous de tout votre coeur que Dieu va vous guérir de ce rhume de foin? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Cela vous a choquée un peu, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Si vous croyez, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Amen.
L’hypertension? Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hypertension? Si vous le croyez, vous pouvez obtenir ce que vous demandez. C’est juste. Que Dieu vous bénisse. Amen.
79 Bonsoir, madame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas? Eh bien, étant des inconnus l’un pour l’autre, vous savez cependant que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose d’autre que votre frère, n’est-ce pas? Voyez? C’est Sa Présence. Vous voyez? N’est-ce pas une émotion merveilleuse?
Voyez, Cela s’établit maintenant, Cela descend et se place entre moi et cette femme. Elle recule. Il y a une raie sombre qui la suit. Je la vois plusieurs années dans le passé. Elle est bien plus jeune que maintenant. Vous avez été touchée par quelque chose qui semble ne pas pouvoir être... Vous étiez endormie, ou plutôt vous–une maladie du sommeil. C’est ce que vous aviez, et cela est revenu sur vous, et vous en arrivez au point ou vous êtes toute agitée. Je vous vois vous demander si vous devriez conduire une voiture et des choses comme cela. Vous vous inquiétez au sujet de ces choses. N’est-ce pas la vérité? Croyez-vous que Dieu va vous guérir en cet instant? Approchez.
Et, Père céleste, pendant que Ton Esprit qui connaît toute chose est ici, je Te prie, ô Dieu, de bénir cette femme, que je bénis en Ton Nom ; et qu’elle parte et sois guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Sa miséricorde soit avec vous et sur vous.
80 Bonsoir, madame. Nous sommes aussi des inconnus l’un pour l’autre, je pense. Et nous ne nous connaissons pas, mais Dieu nous connaît tous les deux. Pas vrai? S’Il nous connaît tous les deux, Il connaît toute chose. Il peut faire toutes choses. Il est omnipotent, omniprésent. Alors, Il est omniprésent, Il est omnipotent. Il peut faire toutes choses.
Je vous vois dans un passé récent. Vous partiez ; vous partiez pour subir un examen et on vous a examinée pour un cancer, et vous allez y retourner. Vous devez bientôt y retourner vous faire examiner de nouveau pour voir si c’est le cancer. C’est juste. Pour que vous sachiez que je suis votre frère et que je vous dis la vérité, vous avez quelqu’un qui vous préoccupe. C’est une personne aveugle. C’est votre fille, elle est aveugle. Le mouchoir que vous avez en main, allez le poser sur elle, ensuite rapportez-nous ce que votre médecin dira au sujet du cancer. Vous verrez que c’est réglé. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Que Sa miséricorde repose sur vous.
Gloire à Dieu qui nous accorde toutes choses gratuitement. Que quiconque veut vienne et boive gratuitement les eaux de la Fontaine de Vie. Gloire à Dieu! Chaque esprit est soumis. Voyez, je... Il... Vous ne pourriez pas vous cacher en ce moment. Il est ici. Si vous regardez dans cette direction, je passe mon... Je ne peux pas vous guérir, mais vous ne pourriez pas cacher votre vie. C’est juste.
81 Ici est couchée une dame âgée qui me regarde. Je sais de quoi elle souffre. Elle a la paralysie. Son mari qui est assis à côté d’elle est dur d’oreille. Voici une dame assise ici qui soufre de la vésicule biliaire, elle vient de sortir d’un hôpital. La petite fille là, dans le fauteuil roulant, a la polio : elle est atteinte de la polio. Ayez foi. Croyez. C’est ce qu’il faut. Je ne peux pas guérir. Dieu ne m’a jamais donné quelque chose pour guérir quelqu’un. Il m’a donné un don pour–pour stimuler votre foi en Lui, pour connaître qu’Il est présent.
Que pensez-vous là, madame, vous qui êtes assise là au bout de ce siège, assise là, souffrant du foie? Croyez-vous pendant que Jésus-Christ vous guérit? Vous avez senti quelque chose vous parcourir, n’est-ce pas? C’est ça. Vous étiez guérie. Amen.
Cette dame qui a sa main sur elle, elle aussi a reçu une bénédiction à ce moment-là, car elle souffrait de–de la vessie, et elle a été guérie à ce moment-là. Amen. C’est juste. C’est l’exacte vérité.
82 La dame assise à côté d’elle, qui s’appuie sur ses épaules, vous–vous avez une hernie, n’est-ce pas, madame? C’est juste. Amen. Voyez, vous ne pouvez pas vous cacher dans Sa présence. Il est ici. Amen. Alléluia à l’Agneau du Dieu vivant. «Je suis présent. Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. Tout ce que vous demanderez par la prière Je le ferai.» Ecoutez. Je ne suis pas un fanatique. Dieu le sait.
Notre Père céleste, qui regarde du haut des Cieux, je regarde de nouveau dans cette assistance là devant moi, et le Dieu du Ciel qui me jugera au jour du jugement lorsqu’Il viendra, la Lumière de Dieu brillera continuellement là depuis cette assistance. Tu es–cela fléchit. Je deviens si faible que je peux à peine me tenir ici, mais beaucoup de gens là sont guéris.
83 Maintenant, vous êtes trop loin de moi pour voir exactement qui vous êtes, mais Dieu au Ciel sait cela. Cela a brillé plusieurs fois sur les gens là-bas, et je sais que c’est le signe que Dieu me donne, montrant que ces gens sont guéris là en ce moment, et Dieu sait que c’est la vérité, pendant que je me tiens devant Sa Sainte Parole. Amen.
Suivez. Longtemps après que je serai parti, vous verrez que c’était la vérité. Amen. C’est votre foi qui fait cela. Gloire à Dieu! Je L’aime. Comme Il est merveilleux! Nous Le remercions de tout notre coeur pour Sa bonté, n’est-ce pas?
Attendez un instant, mes amis. Vous ne vous rendez tout simplement pas compte de ce dont il s’agit. Vous entrez dans un... Oh! Il est tellement merveilleux. Vous sentez tout simplement comme si vous allez partir dans un enlèvement.... Oh! la la! comme c’est glorieux de savoir que l’onction du Saint-Esprit est présente, celle qui emportera l’Eglise dans l’Enlèvement un jour!
Maintenant, les gens qui ont traité les gens qui croient en Dieu de fanatiques et de saints exaltés, vous devriez avoir honte de vous, car Dieu est avec eux, confirmant qu’Il est ici. Considérez lorsqu’Israël est sorti de l’Egypte. Le signe les précédait pour confirmer que Dieu était avec eux. Amen. Comme nous L’aimons. Comme nous Le louons pour Sa bonté. Il est d’éternité en éternité. Il est Dieu.
84 Cet homme qui se tient ici, est-ce lui le patient? Excusez-moi, monsieur. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je pense. Je ne vous connais pas. Mais quand on observe tout simplement... Je n’avais pas l’intention de vous faire attendre, monsieur, mais juste... Je ne peux pas expliquer cela. Voyez? Vous êtes ici, j’ignore pourquoi. Lui sait pourquoi vous êtes ici, et Il est le seul qui peut vous guérir, si vous êtes malade. S’il s’agit des problèmes financiers, Il est le seul qui peut subvenir à cela. S’il s’agit de problèmes de ménage, Il est le seul qui peut résoudre cela. La seule chose que je peux faire, c’est juste par un don divin. S’Il le veut, s’Il dit la même chose qu’Il avait dite à la femme au puits... Il savait où était son problème.
Maintenant, j’aimerais poser une question à l’assistance. Un homme se tient ici, un parfait inconnu...
Quelque chose vient de se produire dans l’assistance à l’instant. Cela est allé dans l’assistance. Si le Saint-Esprit me révélait pourquoi cet homme qui m’est inconnu est venu ici, allez-vous tous accepter cela maintenant, que vous... Allez-vous croire que je–je vous ai dit la vérité au sujet du Seigneur Jésus. Le croirez-vous? (Voyez?)
85 Est-ce vrai, monsieur, que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre? Nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Je ne sais rien de ce qui vous concerne. Dans ce cas, s’il y a peut-être quelque chose qui cloche chez vous et que Dieu me le révèle, cela devra alors provenir de la main de Dieu, n’est-ce pas?
Et maintenant... Voyez-vous, l’assistance, maintenant ceci... J’aimerais que vous gardiez la Parole. Vous, sur ces lits de camp qui êtes malades, où que vous soyez, si seulement je pouvais faire quelque chose pour vous guérir, combien j’aimerais descendre là et le faire, mais je ne peux pas. Je ne peux pas le faire. Aucun autre homme ne peut le faire. C’est votre foi en Dieu.
Chaque pécheur qui est ici, combien j’aimerais aller là pour vous sauver, mais je ne peux pas. Il s’agit de votre propre foi en Dieu. Votre–votre–votre salut a été payé au Calvaire. Vous avez été... Depuis que Jésus est mort, vous avez été sauvé, mais cela ne vous fera aucun bien tant que vous ne l’aurez pas accepté. Votre guérison a été payée au Calvaire. Ne pouvez-vous pas l’accepter maintenant?
Voyez-vous, un homme peut venir ici dire n’importe quoi. Ce n’est pas pour autant la vérité, mais lorsque c’est Dieu qui le dit, alors c’est–c’est–c’est la vérité. Ce dont il s’agit, j’ai pu le sentir. Mes frères qui êtes ici, il est presque temps de quitter ce stade, c’est pour cette raison que j’essaie d’amener cette foule dans une position où je peux sentir que l’onction est correctement sur chaque personne. Je me préoccupe pour vous, mes amis. Je veux que vous soyez guéris.
Je–je–vous êtes juste–vous êtes la mère de quelqu’un. J’ai une chère vieille mère qui est en train de prier ce soir. Vous êtes la femme de quelqu’un. J’ai une femme qui est en train de prier ce soir, vous êtes le père de quelqu’un. Mon père est déjà mort, ce soir. Vous êtes le frère et la soeur de quelqu’un... Oh! que Dieu vous aide, mes amis.
Maintenant, en écoutant la prédication de la Parole, en voyant Dieu agir, ne voulez-vous pas croire? Je vous persuade d’avoir la foi en Dieu. Maintenant pendant que j’essaie, alors que la foule devient indistincte. Je ne peux expliquer cela, ou plutôt je ne sais même pas si ma voix vous parvient correctement ou pas, mais j’espère que c’est le cas.
86 Maintenant, à cet homme, s’il veut bien se rapprocher un peu de ce côté, monsieur. Il y a quelqu’un derrière vous qui tire de la même manière. Ainsi, comme nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, comme je l’ai dit, Dieu nous connaissant tous les deux, connaissant tout ce qui nous concerne...
Remarquez-vous le nombre des gens qui sont guéris dans l’assistance contre une seule personne qui est guérie sur l’estrade? C’est à cause de leur foi. Vous voyez? C’est leur foi qui fait cela.
Eh bien, vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes ici venant d’une autre ville, et votre maladie est dans le dos ; et il vous a dit que c’était une hernie discale dans votre dos. C’est juste. Croyez-vous que le Seigneur Jésus peut vous rétablir? J’entends quelqu’un vous appeler par votre nom–Hugh et votre nom c’est Martin. C’est juste, n’est-ce pas? Très bien, allez-y. C’est–c’est fini maintenant. Que Dieu vous bénisse.
87 Disons : «Gloire à Dieu!» Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Maintenant, là où vous vous tenez, j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi. Allez-vous le faire, tous ceux qui sont malades? Imposez-vous simplement les mains les uns aux autres juste une minute, le voulez-vous?
Partout, tout autour. C’est juste. Maintenant, je sais que Dieu... Gloire! Toutes ces choses...
Dieu vient de guérir un homme qui est assis là. Vos mains... «Ils imposeront les mains les uns aux autres.»
Notre Père céleste, nous réprimandons toutes les puissances des ténèbres. Satan, tu es vaincu. Nous venons contre toi ce soir au Nom du Seigneur Jésus, et par l’autorité du Saint-Esprit, et la puissance du Seigneur Jésus ressuscité. Ce groupe de croyants entre dans la Présence du Tout-Puissant. Sors, Satan! Je t’adjure au Nom de Jésus, quitte chaque personne qui est dans la Présence de Dieu! Tu es vaincu! Quitte-les au Nom de Jésus! Amen. Tenez-vous debout maintenant et rendez gloire à Dieu pour Sa très glorieuse puissance.