La Présence Du Seigneur Jésus

Date: 55-0612 | La durée est de: 2 heures et 1 minute | La traduction: Shp
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1          Tous mes remerciements. Merci, monsieur.

            Bonsoir, mes amis. Je suis heureux d’être ici ce soir au service du Seigneur Jésus-Christ et de voir cette belle foule de gens dehors. Je pense que si on avait, là en place, ce qui était sur terre, nous aurions à peu près rempli cela à craquer ce soir.

            Nous sommes donc très reconnaissant de voir cette agréable et belle assistance. Nous n’aimerions pas que vous montiez, si vous êtes assis ici, parce que cela pourrait... vous aimeriez être près de la réunion. Et nous aurions voulu qu’il en soit ainsi, que nous puissions avoir tout le monde juste autour d’ici où nous nous tenons.

            Et juste au moment où je montais en chaire tout à l’heure, le jeune garçon a couru. Quelqu’un a donné le... mon jeune garçon, là, ce fil venant d’un petit enfant hydrocéphale, à qui on s’était adressé l’autre soir ici. Et voici le fil de la première soirée, environ un pouce et demie [3,81 cm]. Et puis, la deuxième soirée, un pouce [2,54 cm] ou plus, c’est encore parti la deuxième soirée. Cela fait donc entre trois et quatre pouces [7,62 et 10,16 cm], ça s’est rétréci pendant les quarante-huit dernières heures. Nous remercions le Seigneur et nous Le louons pour Sa bonté.

            J’étais donc en train de penser ; six personnes paralysées étaient assises dans des fauteuils roulants et elles se sont levées de leurs fauteuils roulants, elles ont marché dans cette série de réunions, elles s’en sont allées. Et beaucoup d’autres qui étaient sur des civières et des brancards, avec différentes maladies dans leur corps, rapportent que le Seigneur Jésus les a guéris. C’est donc certainement merveilleux, n’est-ce pas? Nous sommes heureux pour tout ça et nous rendons gloire à Dieu pour tout cela.

2          Maintenant, que Ses bénédictions reposent sur vous. Maintenant, j’aimerais profiter de cette occasion pour dire que ça a été une série de grandes réunions pour moi. J’avais souvent eu autant de gens dehors, mais ça a été une très bonne série de réunions en tout, et nous avons tout apprécié. Je parle pour ma part et de la part de mon équipe, ou pour mon équipe et moi-même plutôt. Et à mes frères dans le ministère, ceux qui ont parrainé cette série de réunions, c’est certainement un plaisir pour moi, frères, d’être avec vous ici sous votre parrainage. Vous avez effectué un merveilleux travail de publicité, de collaboration, et tout, et je regrette de n’avoir pas eu à rencontrer chacun de vous personnellement et à vous serrer la main.

            J’ai été un peu empêché, frères, cette fois-ci. Ce n’est pas quelque chose qui vous incombe, mais ça incombe à frère Moore (Il n’est pas venu ici.) et nous nous sommes retrouvés sans organisateur. Monsieur Wood, mon bien-aimé frère ici, n’a jamais essayé d’organiser une réunion, et il ne savait pas comment s’y prendre. Et j’ai un jeune garçon ici, qui est juste un enfant, il ne saurait donc pas quoi faire. Alors... Et franchement, je ne saurais quoi faire. Alors, nous avons simplement eu à faire de tout notre mieux, et vous avez été très gentils, et je vous apprécie.

            Et j’espère revenir un jour auprès de vous une fois de plus sous le même parrainage, pour en avoir une plus longue, et peut-être que Dieu nous accordera une série de réunions plus glorieuse. Et je prie que cela... que cette série de réunions soit une chose glorieuse pour toutes vos églises. Que vos églises grandissent. Que les bénédictions de Dieu reposent sur chacun de vous. Et que de grands ministères sortent de vos églises, des évangélistes et autres, pour évoluer dans ce dernier jour au service du Seigneur.

3          Et à vous le peuple, c’est votre argent qui a payé toutes nos dettes. Mon jeune garçon a essayé de s’en occuper cette fois-ci et c’est du nouveau pour lui, il a essayé de son mieux. Et il a dit: «Eh bien, papa, nous partons sans aucune dette ni rien et, a-t-il dit, ils vous donnent une offrande d’amour ce soir. On sera quitte.»

            Je reçois toujours mon offrande d’amour... Généralement, je la reçois à la fin de la réunion, et si on n’a pas payé les dettes, eh bien, je m’en sers pour payer toutes les dettes, et essayer de... Nous n’aimerions jamais exercer une pression sur une réunion à aucun moment. Je ne supporterais absolument pas cela. Jamais je ne le fais. Nous ne sommes pas ici pour prendre l’argent des gens. Nous sommes ici pour vous aider, pour faire tout notre possible pour vous permettre d’avoir un contact plus intime avec Celui que nous tous, nous aimons, le Seigneur Jésus-Christ. Et c’est notre unique but dans n’importe quelle réunion. Et si j’avais pris l’argent, non pas ce que j’ai réclamé, mais l’argent qui m’a été donné, je serais un multimillionnaire.

            J’avais eu un million cinq cent mille qui m’avaient été donnés par un seul chèque bancaire, et j’ai refusé de mettre ma main dessus. Et je–je ne recevrais pas cela, car vous... Il y a à peu près trois choses auxquelles vous allez veiller, cela peut effectivement amener un ministre à rétrograder, et l’une d’elles, c’est l’argent: L’argent. Ensuite, la popularité, lorsque vous pensez être quelque chose alors que vous savez que vous n’êtes rien ; donc, la popularité. Et puis, courir avec une femme ou quelque chose comme cela. Cela, alors, une... Ces trois choses, vous êtes donc... Vous... Ces choses-là, gardez-vous-en, et Dieu prendra soin du reste de cela pour vous, si seulement votre tête réfléchit bien.

            Et par la grâce de Dieu, j’ai essayé d’éviter toutes ces choses. J’ai refusé l’argent, des fermes et tout le reste que les gens m’avaient donnés. Eh bien, je refusais de prendre cela juste dans ce but-là. Je n’aimerais pas que cela me dérange. Je veux juste avoir assez d’argent pour financer cette série de réunions, et Dieu pourvoira à ce qui suffit pour la réunion suivante quand nous y arriverons. Et puis, s’Il ne pourvoit pas, peut-être que j’étais en dehors de Sa volonté.

            Ainsi donc, c’est ainsi que j’essaie, et je... Et puis, quant à la popularité, je l’ai évitée. Vous le savez. Et je sais que je ne suis rien, et je... Où... Comme Dieu a dit à David: «Je t’ai pris», alors qu’il était au pâturage. C’est là que j’étais aussi, seulement pire que ça. Et Il m’a aimé. Et je–j’ai trois repas par jour, je suis en bonne santé, et je peux manger. J’ai une petite maison là-bas, la maison du pasteur, ça appartient au tabernacle dont j’étais le pasteur. Ils peuvent me mettre dehors, mais ils ne le feraient pas. J’ai donc un lieu où rester, trois beaux petits enfants, et ce jeune garçon ici, et je–je suis... et une aimable petite femme. Je l’aime de tout mon coeur. L’unique femme au monde que je–j’aime. Ainsi donc, ce–c’est réglé. Et j’espère que Dieu me gardera toujours comme cela.

4          Ainsi donc, je suis très heureux d’être à ce service et de trouver ceci, ma première fois d’être en Géorgie. Mais c’est certainement, je... On vous a certainement enseigné la grâce par ici, et de savoir comment s’emparer de Dieu.

            J’aurais bien voulu que frère Moore soit ici, de la sorte les réunions auraient pu avoir plus de–de force.

            Si je dois prêcher... Hier soir, mon jeune garçon m’a amené un peu tôt, alors que je pensais qu’il devait avoir fait cela. Mais il a dit: «Papa, tu es devenu complètement pâle.» Si ce jeune garçon s’adonnait à Dieu... Il a aussi des visions. Et... mais il est simplement dans l’adolescence, et priez pour lui. Je le maintiens dans des réunions parce que je sais ce qu’est la vie des jeunes. J’ai été autrefois jeune moi-même. Et j’ai été à la fois mère et père, les deux, pour lui. Sa mère est morte alors qu’il était un tout petit enfant, un bébé de dix-huit mois. Et je l’ai élevé, le transportant dans mes bras, mettant son biberon sous mon manteau ici pour le conserver chaud pendant l’hiver, je le mettais sous mon oreiller la nuit pour le conserver chaud au contact de mon propre corps. Et il a simplement grandi dans mes bras. Ainsi, je–je–je l’aime, et il m’accompagne.

            Et nous allons directement quitter cette série de réunions pour aller à Zurich, en Suède, directement... Zurich en Suisse plutôt, tout de suite. Et nous avons voyagé à travers le monde ensemble. Priez pour nous pendant que nous serons en déplacement.

            Et chaque sou que vous donnez dans cette offrande d’amour ce soir... J’aurais voulu ne pas avoir à prendre ça. Je–j’aurais voulu ne pas avoir à prendre ça. Mais je–je suis obligé, pour... Je n’ai aucun moyen de subvenir à mes besoins si ce n’est les aumônes des gens ; c’est ainsi que je vis.

5          Et autre chose, je–j’ai une forte dépense à la maison. Mes dépenses, que je sois en train de tenir une réunion ou pas, s’élèvent entre soixante-quinze et cent dollars par jour. J’envoie des milliers de lettres et tout à travers le monde, tout autour du monde ; des livres et–et tout le reste. Mes dépenses sont donc très lourdes.

            Et puis, chaque sou, quand je reçois une offrande d’amour, je vais voir ce que nous devons à la banque. Je paie cela, et je paie bien assez pour ce temps-là. Ce qui me reste est directement affecté aux missions à l’étranger, pour aller outre-mer, aider les gens là-bas. Et je–je suis sûr, par la grâce de Dieu, d’en dépenser chaque sou aussi respectueusement que je sais comment le faire pour le Royaume de Dieu. Et alors, au jour du Jugement, quand nous nous rencontrerons tous ensemble, vous verrez que ce qui a donné accès à l’homme noir, ou à l’homme jaune, ou quelque part dans les autres nations, ça sera votre argent qui avait aidé à m’envoyer là-bas pour qu’eux soient sauvés. Et il... Je sais que vous crierez victoire au cours des âges à venir, à cause de cela.

            Et je serai... Je suis votre frère et je vous aime. J’avais l’habitude de dire ceci: «La nuit ne sera jamais trop sombre ni la pluie ne tombera jamais trop abondamment pour m’empêcher de venir auprès de vous.» Je disais cela à mes tout débuts. J’aurais bien voulu en être capable maintenant. Mais il y en a simplement trop. Je–je ne pourrais pas le faire. Mais je serai content à n’importe quel moment de prier avec vous au téléphone.

            Ecrivez-moi si vous voulez l’un de ces tissus sur lequel on a prié, si je suis à la maison. Eh bien, or, si le petit formulaire qui a été rédigé peut avoir été rédigé par une machine à ronéotyper, cependant le tissu, c’est moi personnellement qui ai prié dessus. Je sais, et si c’était mon enfant qui était malade et que j’avais confiance en un frère dont Dieu exauçait les prières, je n’aimerais pas qu’un secrétaire s’en occupe, j’aimerais que cela vienne de lui. Ainsi donc, on recommande de faire aux autres ce qu’on veut qu’on fasse pour vous. Si vous avez donc besoin d’un...

            Or, je ne dis pas ceci... Je sais qu’il y a beaucoup de propos tenus à la radio par des frères qui ont des émissions à la radio, ils veulent que vous leur écriviez afin qu’ils obtiennent vos adresses et–et qu’ils vous envoient des demandes d’offrandes et tout. Cela... Vous ne recevrez pas une lettre comme cela, ami.

            Et je crois que votre argent appartient à votre église. C’est exactement là–là sa place. Et mettez ça dans votre église, vos dîmes et autres, pour soutenir votre église. Je ne... j’essaie simplement de vous aider. Vous n’avez rien à envoyer. On envoie cela juste pour... tout est gratuit. Juste, vous avez besoin d’un tissu sur lequel on a prié, gardez-le. S’il n’y en a pas ici ce soir, et que vous manquez le vôtre, envoyez la demande. Si vous en voulez un à garder simplement, envoyez dans... placez-le dans Actes 19, dans la Bible, et quand la maladie frappera votre maison, allez épingler ça sur votre enfant, s’il a attrapé le croup ou je ne sais quoi, et alors, croyez Dieu de tout votre coeur. Et c’est absolument sans frais, gratuit, pour tout. Et j’aimerais simplement que vous soyez aidé par le Seigneur.

            Et si jamais je n’ai plus l’occasion de vous voir de ce côté-ci de la Gloire, j’espère que nous nous assoirons de l’autre côté, à côté de l’arbre à feuilles persistantes, là à côté de Christ, la Fontaine de... la Fontaine inépuisable de la Vie, et nous nous serrerons la main et nous passerons mille ans à parler l’un à l’autre de tout cela, là dans l’autre monde.

6          Le soleil se couche, mes amis. Il nous faut travailler maintenant. Je vous aime et je sais que vous m’aimez. Et j’apprécie tout ce qui a été fait. Que le Bienveillant Seigneur vous bénisse, c’est ma sincère prière.

            Inclinons la tête juste un instant. Précieux Père céleste, ce soir, nous en arrivons à la fin de cette merveilleuse série de réunions à Macon, après que celle-ci a été la dixième soirée où on a vu Ta glorieuse puissante main se mouvoir parmi les gens. Et de grandes évidences infaillibles du Seigneur Jésus-Christ ressuscité se mouvant parmi les gens, révélant leurs péchés à l’estrade, guérissant les sourds, les aveugles, les handicapés moteurs, les estropiés, les boiteux, les infirmes, le cancer, les maladies du coeur, les rétablissant, montrant de grands signes, que Tu es toujours le Dieu vivant, que la mort n’a fait que Te glorifier, que Tu es ressuscité et que Tu es vivant aux siècles des siècles. Cela a beaucoup aidé nos coeurs, Seigneur. Et cela aidera cette partie du pays, Ta visitation ici parmi nous. Et nous sommes très heureux.

            Nous prions, ô Dieu, que cela–que cela augmente le nombre des membres dans chaque église à travers la Géorgie. Ô Dieu, accorde-le, et que les résultats soient à la base de l’éclatement d’un réveil à l’ancienne mode d’échelle nationale, et que des foyers qui étaient brisés soient réunis une fois de plus, que des hommes et des femmes qui s’étaient éloignés de Dieu reviennent une fois de plus. Et ceux qui sont loin de l’église reviennent et regagnent la communion une fois de plus. Accorde-le, Seigneur.

7          Et envoie bientôt Jésus, le grand Berger du troupeau, car nous avons un vif désir de Le voir, de contempler Son visage, L’aimer, Lui exprimer nos adorations. Combien nous Le louerons et nous L’adorerons pour tout ce qu’Il a fait pour nous, et nous Lui rappellerons que quand le chemin devenait trop lassant et que nous étions fatigués, Il était toujours là pour nous rencontrer et nous aider. Oh ! Nous L’aimons ce soir, Père. Et nous prions que ces grandes bénédictions reposent sur chaque église à travers cette communauté, sur chaque maison et sur chaque individu qui a eu quoi que ce soit à faire dans cette série de réunions. Et que tout cela soit pour Ta gloire.

            Maintenant, alors que nous abordons la dernière partie du service ou la fin de ce service, nous Te prions de nous accorder une double portion de Tes bénédictions ce soir. Que le Saint-Esprit vienne et bénisse chaque coeur ici. Et fais au milieu de nous ce soir, Seigneur, infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Nous reviendrons T’accorder toute la louange, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

            Je ne suis pas très fort quant à m’exprimer, dire aux gens ce que... combien je les apprécie et tout. Mais j’espère que Dieu Lui-même, le Saint-Esprit, exprimera à chaque coeur le sentiment exact que j’éprouve à votre sujet ce soir.

8          Ceci–ceci n’est pas une chose facile. Et je–je ne suis pas un isolationniste. J’aime mes frères. Et juste au moment où je me familiarise avec les gens, où on en arrive à se connaître, où on commence à sympathiser donc, où leur confiance commence à augmenter, c’est alors que je dois dire au revoir ; je dois aller ailleurs. Voyez? Mais l’un de ces jours, nous allons nous rencontrer là où nous n’aurons pas à dire au revoir. Exact. Nous aurons alors beaucoup de temps. Dieu comprend, et j’espère qu’Il le révélera à votre coeur.

            Priez pour la prochaine série de réunions en Suède. Je continue à appeler cela Suède. Ce n’est pas Suède ; c’est la Suisse, à Zurich. Nous nous attendons à environ cent cinquante mille personnes à la première réunion à Zurich, en Suisse.

9          Quand j’étais là (juste entre parenthèse), la vision qui avait en fait conduit vers cette grande réunion en Finlande tout récemment, cette vision avait eu lieu quand j’étais de passage ici en Géorgie, à bord d’un train. J’avais vu un petit garçon ressusciter d’entre les morts. J’allais à Miami et là, j’ai prédit cela devant des milliers de gens. Y a-t-il ici présent ce soir quelqu’un qui était à la réunion de Miami quand j’avais prédit? Je vois des mains se lever ici, ici. C’est bien. Eh bien, c’est bien.

10        Vous rappelez-vous ce que j’avais dit? Il avait décrit l’aspect du petit garçon. Il serait tué dans un accident d’automobile. Il y aurait des strates rocheuses comme cela et des arbres verts, hauts. Le petit garçon aurait ce qu’on appelle les cheveux coupés courts, des yeux bruns. Son pied transpercerait sa petite chaussette et tout. C’est arrivé exactement ainsi. J’avais prédit cela partout à travers les Etats-Unis.

            Deux ans plus tard, j’étais à Helsinki, en Finlande. De là, nous sommes allés à Kuopio ; c’est chez les Lapons. En descendant la montagne un jour... J’ai vu que nous avions tenu une série de merveilleuses réunions, nous étions montés là afin qu’on me fasse visiter la tour d’où l’on voyait venir les Allemands, et–et ils bombardaient leur petite ville, là, et–et les Russes.

11        Et sur mon chemin en descendant, j’ai vu là qu’une–une voiture de fabrication américaine avait tamponné deux petits enfants, elle avait cogné l’un sous le menton, l’avait projeté contre l’arbre et lui avait écrasé la cervelle contre l’arbre, l’aile. Et l’autre, elle avait roulé sur l’autre petit garçon et l’a traîné en dessous, et elle l’a projeté sur la route, et il était couché mort, couvert de manteau.

            Et les gens en Finlande, ils–ils vivent en ville et–et cultivent dans les campagnes et font des va-et-vient, des gens très pauvres. Et moi, frère Moore, frère Gordon Lindsay, et les autres, nous nous sommes approchés pour jeter un coup d’oeil à ce petit garçon. Et ils sont revenus, ils pleuraient ; ils ont dit: «Frère Branham, vous devriez aller le voir.»

            J’ai dit: «Je n’aimerais pas le voir.»

            J’avais été en France, en Angleterre et à divers endroits, j’avais mon petit Billy Paul, il avait à peu près cet âge-là à l’époque. J’avais la nostalgie de le voir, et je–je ne voulais pas aller voir ce petit garçon mort.

            Ils ont alors fini par me persuader d’y aller. Et quand je suis allé voir le petit garçon, j’ai baissé le regard sur lui, et mon coeur était brisé de voir le petit garçon et je me suis retourné.

12        Et quand je me suis retourné, Quelque Chose a posé Sa main sur mon épaule. J’ai pensé que c’était frère Lindsay. Je me suis retourné, il n’y avait personne autour de moi, pas du tout, et une main était toujours posée sur mon épaule. Voyez-vous combien un prédicateur peut être stupide? J’ai alors baissé le regard et je n’arrivais pas à comprendre ce que c’était. J’ai encore regardé et j’ai dit: «Voudriez-vous relever ce manteau-là?»

            Et on était parti chercher le père et la mère, j’ai donc pensé au sentiment que ce petit père et cette mère allaient éprouver en arrivant là et en trouvant leur petit garçon gisant là, mort. Et ça faisait environ trente minutes qu’il était donc mort. Alors, on était parti à la campagne chercher le père et la mère.

            Et j’ai dit: «Voudriez-vous... Puis-je regarder encore une fois?»

            Alors, l’interprète a parlé, et ils ont soulevé cela. Et je me suis dit... Eh bien, où... Et il m’est arrivé de lever les yeux et voici apparaître ces strates rocheuses descendant comme ceci, et ces arbres verts. J’ai vu ces petits cheveux coupés courts, ses petits yeux bruns enfoncés là. Chaque os de son corps était brisé, et son pied ressortait à travers ses chaussettes. C’était parfaitement ce garçon-là.

            Et j’ai dit: «Frère Moore, viens ici, toi et frère Lindsay. Regardez la feuille de garde de votre Bible.»

            Il a dit: «Qu’y a-t-il?»

            J’ai dit: «Lisez la feuille de garde de votre Bible.» J’avais demandé à tout le monde d’écrire cela sur la feuille de garde.

            Il a regardé là et il a dit: «Un petit garçon serait...» Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est ce petit garçon.»

            J’ai dit: «C’est lui.»

            Oh ! la la ! Quel sentiment ! Peu m’importe le nombre. Vous pouvez prendre chaque homme de science qu’il y a au monde, et les aligner là, et chaque démon qui vient du lieu de tourment peut se tenir là, cela va arriver de toute façon. Ça ne demande pas alors la foi. Dieu l’a déjà dit. Cela va arriver.

13        J’ai dit: «Si ce petit garçon n’est pas sur ses pieds dans les cinq prochaines minutes, je suis un faux prophète.» Voyez? Et nous nous sommes agenouillés là, eux tous se sont retirés. Et le responsable de la ville, le numéro 1, quelque chose comme l’équivalent du maire ici aux–aux Etats-Unis, était là. Ils ont reculé. Et je me suis agenouillé là, juste tel que la vision me l’avait montré, j’ai prié pour le petit garçon et j’ai dit: «Seigneur Dieu des cieux et de la terre, là dans ma patrie, Tu m’avais montré cette vision pendant que je traversais la Géorgie une nuit.» J’ai dit: «Je Te prie, Seigneur Dieu, de confirmer maintenant la Parole, afin qu’ils sachent que Tu es toujours le Seigneur Jésus, et que la Finlande sache que Tu es la Résurrection des morts.» J’ai posé mes mains sur le petit garçon selon ce qu’Il avait montré... Tout devait se conformer parfaitement à la vision. Et j’ai ordonné à la mort de restituer sa petite vie. Il a bondi, il s’est mis à crier et à courir çà et là.

            Ça a parcouru la Finlande. J’ai cela à la maison avec la signature du maire et tout. Cela était diffusé à la radio. Ce soir-là, on ne pouvait même pas accéder au bâtiment sur six ou huit pâtés de maisons. Il y avait des soldats finlandais là dehors pour assurer la garde sur le parcours.

14        Maintenant, je–j’aimerais vous raconter quelque chose, amis. Eh bien, je ne suis pas un politicien, mais on dit qu’il n’y a pas de chrétiens en Russie. C’est une erreur. Il y avait ces Russes-là. Si vous habitez en Russie, il vous faudra un visa pour vous déplacer sur quarante miles [64 km] de votre lieu de naissance. Beaucoup de ces bons chrétiens étaient venus là.

            Et pendant qu’ils se tenaient là dans la rue, quand ces soldats finlandais m’escortaient, ils se tenaient au garde à vous, esquissant un salut à la russe et les larmes leur coulaient sur les joues, et ils disaient: «J’accepterai un tel Dieu.» C’est exact, voyez? Ils en avaient simplement marre de credos et de rites ; c’est tout. Tout celui–celui qui jouit de son bon sens recevra un véritable Dieu vivant et réel qui ressuscite les morts. Il Le recevra certainement.

            Et il n’y a pas longtemps, je parlais au Baron Von Blomberg. Probablement que vous le connaissez, c’est un cher ami à moi. Il avait un jeune prisonnier allemand, il venait d’outre-mer, et il l’a eu là derrière le rideau de fer et il a dit: «Frère Branham, je suis surpris que vos réunions ne soient pas plus connues qu’elles le sont ici. Elles sont mieux connues derrière le rideau de fer qu’elles ne le sont de ce côté-ci, après la résurrection de ce petit garçon.» Il savait cela, que c’était arrivé.

            Je me rappelle... si nous avons juste un temps... C’est une bonne soirée, prenons donc juste un moment et finissons-en complètement avec cette petite histoire, si vous voulez.

15        J’aimerais vous parler de l’autre petit garçon. Ce soir-là, quelque chose était arrivé alors que j’entrais à Messuhalli, comme on l’appelait. On y faisait entrer vingt-cinq mille personnes, et ensuite, on les faisait sortir pour permettre à vingt-cinq mille autres d’entrer, juste pour qu’elles vous entendent parler. Ainsi donc, quand j’entrais ce soir-là, je suis passé... Ils étaient très pauvres. Quand je traversais une pièce, monsieur Baxter, mon organisateur, était en train de chanter à l’estrade. Et ils essayaient de chanter Crois seulement, ces Lapons. Et vous... Oh ! la la ! Vous auriez dû entendre cela.

            Ainsi donc, quand j’allais pour entrer dans le bâtiment, je traversais cette pièce, là, il y avait le dortoir des dames à côté et des toilettes. Et quand je–je... Ces quatre jeunes soldats, de pauvres petits enfants, ces Russes les avaient tellement tués qu’ils... Les jeunes gens ne s’étaient jamais rasés de leur vie, juste de petit visage lisse... C’était pitoyable à voir, ces petits garçons de pas plus de quatorze, quinze ans, en très longs manteaux drôles, avec de grosses bottes, martelant tout le long. Et ils avaient leurs petits fusils, ils empêchaient la foule de s’approcher de moi, leur faisant dégager la voie au fur et à mesure que nous avancions sur six pâtés de maisons pour essayer d’accéder au lieu.

16        Et alors, quand nous sommes arrivés là et que nous traversions, eh bien, une petite fille est sortie, venant du dortoir là. Et il y avait des instructions qu’on ne devait pas m’adresser un seul mot si on me voyait dans la rue. Tout comme cela, vous savez, afin que nous puissions sortir, car j’étais sur le point de mourir. Il y avait donc... Imaginez quels services ça a pu être. Et je faisais que je...?... dans le service de l’après-midi, je prenais de cet argent qu’ils avaient, je sortais là m’acheter beaucoup de bonbons, j’avais une file de petits enfants depuis ici jusqu’à la porte. J’aime vraiment les enfants de toute façon.

17        Et alors, ce soir-là, en entrant, la petite fille finlandaise est sortie, sa petite chevelure défaite, elle portait une petite jupe et de petits haillons qui lui descendaient. Et elle avait une... deux béquilles sous le bras, elle avait un énorme appareil orthopédique qui l’entourait comme ceci et c’était bouclé au dos. L’une de ses jambes était un peu plus courte que l’autre. Et cette jambe droite, elle ne s’en servait pas, elle ne pouvait pas s’en servir. Et elle avait, juste au bout de son soulier, elle avait une lanière et un fermoir. Alors, le fermoir montait, un morceau de cuir, ça lui passait par-dessus le dos et se rattachait à cet énorme appareil orthopédique ici derrière. Elle avait deux béquilles. Et alors, ces appareils orthopédiques montaient et soutenaient cette jambe et la fortifiaient. Alors, quand elle se mettait à marcher, elle soulevait sa petite épaule comme cela et soulevait la petite jambe, la faisait avancer comme ça, avec cette lanière qui tirait ça (Cela n’a pas d’organe de commande.), alors cela s’avançait ; ensuite, elle pouvait marcher. Son autre jambe était en bon état. Elle avançait ses petites béquilles comme cela, alors elle marchait.

18        Et quand elle est sortie là et qu’elle a fait avancer ses petites béquilles, elle m’a regardé ; elle a incliné sa petite tête ; elle pensait avoir fait quelque chose de mal. Et j’ai regardé cette pauvre petite enfant. Je–je savais qu’elle voulait venir vers moi. Je l’ai regardée et je me suis arrêté. Les deux autres soldats ont continué à marcher. Ils se sont retournés, ces deux autres que je ne pouvais pas... ils ne parlaient pas un seul mot anglais, et je n’en parlais aucun finlandais. Ils essayaient donc de me faire avancer ; et je me suis simplement tenu là. Et je continuais à leur faire signe de ne pas faire cela. Puis, j’ai regardé cette enfant-là, il n’y avait personne à part–à part les–les deux... les quatre soldats, moi-même et la petite fille. Alors, elle m’a regardé. Elle pensait avoir fait quelque chose de mal. J’ai dit: «Veux-tu me voir, chérie?»

            Et elle–elle n’a pas... évidemment, elle ne pouvait pas savoir de quoi je parlais. Et je lui ai fait signe comme cela. Et j’ai observé cette petite enfant, elle s’est avancée, elle a avancé sa béquille, et sa petite épaule, elle s’est avancée jusque près de moi. Et je me tenais simplement là, la regardant pour voir, ce qu’elle ferait. Et elle s’est approchée de moi. Elle a tendu la main et elle a tenu mon manteau, elle a soulevé la poche, elle m’a baisé sur la poche. Elle a laissé son petit... mon manteau et le petit... Le mot merci, c’est kiitos. Elle a fait avancer ses petites béquilles, elle a tenu sa petite jupe, elle l’a déployée comme cela et elle a dit: «Kiitos.» Et elle a levé les yeux, et ses petites lèvres tremblaient, les larmes lui coulaient sur ses petites joues...

            J’ai fini par découvrir qu’elle était une petite orpheline de guerre. Sa mère et son père avaient été tués pendant la guerre. Et–et ils étaient juste... Elle était ballottée partout où elle pouvait.

19        J’ai regardé. Je me suis dit: «Ô Dieu, si j’étais le plus gros hypocrite du monde, Tu–Tu honorerais cette enfant-là.» Voyez? A cause de sa–à cause de sa foi. Elle m’a baisé sur la poche, et ensuite elle m’a remercié, elle a déployé sa petite jupe comme cela, elle a dit: «Kiitos.» Et elle a essayé de se balancer au possible.

            J’ai posé ma main sur elle ; j’ai alors regardé. J’ai vu une petite fille s’en aller en marchant comme une ombre, sans appareils orthopédiques du tout, s’en aller en marchant comme ceci. J’ai dit: «Chérie, regarde, regarde. Oh ! Si seulement je pouvais te le dire.» J’ai dit: «Chérie, tu es–tu es guérie. Oh ! la la !», ai-je dit.

            Et vers ce moment-là, frère Baxter a surgi à la porte et a dit: «Frère Branham, tu es en retard, viens.» Il m’a saisi par l’épaule et je suis entré. J’ai alors commencé le service et je suis arrivé vers, oh ! je pense, pratiquement à la fin, quand mon frère et les autres sont vite montés, ils se sont mis à me tapoter de côté. Je sais alors que je deviens mi-conscient, quand il y a des visions. Et Cela peut aller là dans l’assistance et dire à ces gens leurs noms, disons que son nom était Runningwater. Et on devait interpréter cela, dire cela, ce que c’était, et leur dire où ils habitaient, ce qu’était leur nom, et tout à ce sujet. Je vous assure, ces gens ont tout simplement jeté leurs béquilles et des cannes et se sont levés de civières, et ils sont partis, guéris. C’était tout. Ils étaient simplement–simplement emballés.

20        Et puis, quand... On n’avait pas à leur imposer les mains. On n’avait à rien dire, juste leur faire savoir que Dieu était là, et c’était tout ce qui était–tout ce qui était nécessaire pour les gens. Ainsi donc, quand je me suis retourné, j’ai dit... Howard me disait sans cesse, mon frère, il disait: «Allons.» Et il allait faire passer mon bras autour de son cou. Et j’ai dit: «J’aurais bien voulu que nous puissions rester un tout petit peu longtemps.»

            Et alors, quand il a dit: «D’accord», et alors la personne suivante qu’ils ont aidée à monter par la grâce souveraine de Dieu, c’était cette petite fille-là. Et elle s’est avancée vers moi. Elle souriait, vous savez, avec ces petites béquilles.

            Et j’ai dit à l’interprète là, madame Isaacson... Et peut-être qu’elle est assise dans cette réunion, à ce que je sache. J’ai alors dit: «Madame Isaacson, répétez exactement ce que je dis.» J’ai dit: «Chérie, c’est toi la petite fille qui était là dehors, qui avait saisi mon manteau.» Et elle hocha sa petite tête. J’ai dit: «Jésus t’a guérie, chérie.» J’ai dit: «Maintenant, va là, et demande à quelques-uns de ces hommes de t’ôter ces appareils orthopédiques, et pendant qu’on sera en train de le faire, d’enlever les appareils orthopédiques, fais descendre tes petites mains jusqu’au niveau de ta petite jambe courte, puis reviens montrer à frère Branham.»

            J’ai fait venir le suivant. Cela m’a rappelé la petite fille qui était assise ici hier soir. Quand j’ai vu cette petite enfant, j’ai vu le papa la débarrasser de l’appareil orthopédique, aussitôt elle est venue devant moi comme cela. Alors, hier soir, quand l’Esprit de Dieu m’a frappé, j’ai vu la petite enfant s’en aller. Je savais qu’elle allait se rétablir. Ainsi donc, elle s’en est directement allée, rétablie.

            C’est donc... Et puis, cette petite–petite fille, quand elle est allée là-bas, j’ai fait venir quelqu’un d’autre. Quelques instants après, elle a parcouru l’estrade avec des appareils orthopédiques, les béquilles, partout sur sa tête, courant et criant à tue-tête. Eh bien, sa photo et son adresse, je pense, et tout, c’est dans notre livre là dehors.

21        Alors, quand je suis rentré cette nuit-là, il y avait cette autre petite dame, ce petit garçon qui avait été écrasé. Il n’était point revenu à lui-même. Il était dans ce qu’on appelle un hôpital, c’était juste une maison là comme ça. On avait un médecin et trois ou quatre dames là qui offraient des soins de... comme infirmières. Et, oh ! c’était pitoyable à voir. Et ils... La petite dame, quand je suis rentré, on a eu à me tirer par-dessus, à l’hôtel. «Viens guérir mon petit garçon.»

            Eh bien, nous lui avons dit que c’était contraire aux instructions, que j’abandonne la campagne pour aller auprès d’une personne, car vous... L’un est tout aussi précieux pour l’un que l’est l’autre. Nous n’arrivions donc pas à lui faire comprendre. Et finalement, ce jour-là, elle était là. Et ils voulaient que j’aille là. Et je leur ai parlé, j’ai dit: «Faites-la monter, et laissez-moi lui parler.»

            Alors, elle et son mari sont montés, c’étaient juste des jeunes gens d’environ vingt-cinq ans. Et elle a dit: «Eh bien, va guérir mon petit garçon.» Eh bien, c’était par l’entremise d’un interprète.

            Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’est pas moi qui ai guéri ce petit garçon-là.» J’ai dit: «Là dans ma patrie, Dieu m’avait montré une vision sur le petit garçon.»

            C’était une gentille petite femme. Elle a dit: «Allez-y, ayez une vision pour mon petit garçon.»

            Je me suis dit: «Eh bien, c’est vraiment formidable, mais je–je–je ne peux pas le faire. Je–je n’ai aucun moyen d’avoir une vision ; c’est ce que Dieu montre. C’est la souveraineté de Dieu. Ce n’est pas moi.» J’ai donc dit: «Etes-vous une chrétienne?»

            «Non.»

            «Est-ce que votre mari est un chrétien?»

            «Non.»

            «Eh bien, ai-je dit, si donc vous voulez trouver grâce à mes yeux, vous feriez quelque chose pour moi.» Et j’ai dit: «C’est pareil avec Dieu. Eh bien, si votre petit garçon meurt, il ira au Ciel, ai-je dit ; si après vous mourez, pécheur, vous ne le verrez plus jamais. Et si vous êtes un chrétien, et que lui meurt et va au Ciel, alors vous irez au Ciel ; vous serez avec lui, là où nous ne connaîtrons plus d’accidents.» Et j’ai dit: «En procédant ainsi donc, vous pourrez trouver grâce aux yeux de Dieu.»

22        Eh bien, elle ne pouvait pas perdre sur un plan ou sur un autre. Alors, elle... Ils se sont agenouillés, ils ont donné leurs coeurs à Christ. Eh bien, pas juste un semblant, ils se sont en fait relevés, évidemment, le père, il s’est relevé en pleurant ; il était prêt à retourner à la maison, vous savez. Alors, la petite mère a dit: «Maintenant, allez avoir une vision pour mon enfant.»

            Alors, j’ai dit: «Eh bien, j’aurais bien voulu en être capable. Mais allez de l’avant...»

            Elle a dit: «Allez à l’hôpital.»

            «Non.» J’ai dit: «Rentrez à la maison, si le Seigneur me montre quelque chose, je ferai... je viendrai vous l’annoncer.»

            Alors, après, toutes les quinze minutes à peu près, elle appelait: «Frère Branham a-t-il déjà eu la vision? Frère Branham a-t-il déjà eu la vision?»

            Alors, évidemment, c’est là une mère pour son enfant. Et puis, vers la nuit, après que j’étais rentré de la réunion, que cette petite fille avait été guérie, ainsi que beaucoup d’autres, je me tenais là ; c’était vers vingt-trois heures trente ou vingt-quatre heures, on pouvait lire un journal dans la rue, c’était là-haut en Laponie, il ne fait pas, juste... Il y a juste un seul jour par année, un seul jour et une seule nuit. Voyez? Six mois, il fait sombre, et six mois, le soleil est là, et six mois il se couche.

            Eh bien, j’avais cette Bible-ci, et je La tenais sur mon coeur. Et quand je suis rentré, mon frère Howard a dit... Eh bien, s’il y a des Canadiens ici, je n’aimerais pas qu’ils s’offensent à ceci, frère. Mais nous étions une fois au Canada, et nous avions acheté des bonbons. Et, oh ! la la ! c’était mauvais. Ils n’avaient pas d’ingrédients à y mettre, comme ici en Amérique. Alors, Howard m’a donné quelques bonbons, mon frère. Il a dit: «Tu parles de ces bonbons finlandais... canadiens ; goûte une fois celui-là.»

            Je suis donc entré, je suis allé à ma chambre. Et frère Moore et frère Lindsay sont allés ensemble ; Howard et frère Baxter, eux tous sont allés dans leurs chambres. Mais je restais seul tout le temps, à cause des visions. Je suis donc entré dans la chambre. Et j’ai simplement déposé le... sur la table les bonbons. Je me suis tenu là comme ceci. Et je regardais à l’est, et j’ai dit: «Grand Dieu Jéhovah...» pendant que je regardais ces petits Finlandais qui parcouraient ce parc-là, criant et louant Dieu, et j’ai dit: «Grand Jéhovah, un jour, Tu viendras. Oh ! Que ça sera merveilleux quand Tu seras revenu !» Et je Le louais. Et j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] clic, ça s’est posé comme cela. Et il y avait un–un petit long verre, posé devant moi. Et il y avait là deux, je pense qu’on les appelle des jonquilles ou quelque... Pour moi, ce sont des fleurs de Pâques. Ça ressemble à l’une de ces vieilles cornes de phonographe, vous savez. Et deux d’entre elles étaient posées là, l’une étalée dans cette direction-là, et l’autre étalée dans cette direction-ci. Celle qui était étalée dans cette direction-là était complètement à plat. Et celle-ci descendait comme ça.

23        Alors, je me suis dit: «Eh bien, d’où est venu cela?» Et j’ai regardé à ma droite, Il se tenait là, cet Homme grand, aux cheveux noirs retombant sur Ses épaules, Il avait les bras croisés, Celui qui me parle toujours, Celui qui parle ici même, la Lumière au-dessus de Lui. Il se tenait là. Et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            J’ai dit: «Ces bonbons, Seigneur.»

            Il a dit: «Mange-les.» Et j’ai pris cela. J’ai mis un bonbon, un bonbon dans ma bouche, et je l’ai avalé. Eh bien, ne me demandez pas ce que cela veut dire ; je ne peux pas vous le dire. Quand j’ai avalé cela, cette fleur de Pâques qui était étalée dans ce sens-là a fait... [Frère Branham imite un bruissement.–N.D.E.] Ça a produit un bruissement, ça s’est directement relevé, comme ça.

            Il a dit: «Maintenant, mange l’autre.» Et j’allais le manger et, oh ! c’était horrible. Je l’ai fait sortir de ma bouche, et cette autre fleur faisait... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] en descendant. Il a dit: «Refuse de manger cela, et l’autre petit garçon mourra.» Il m’est alors arrivé de penser que c’étaient les positions géographiques dans lesquelles ces jeunes gens étaient couchés, quand ils ont été cognés, quand nous les avons trouvés, ils étaient étendus l’un tourné vers le sud, et l’autre vers le nord.

            Et j’ai remis cela dans la bouche et, on dirait, vous savez comment vous retenez votre goût, ou plutôt votre souffle, on dirait, vous savez. J’ai très vite mâché et avalé cela. Et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était de ce côté-ci a fait... [Frère Branham produit un bruissement.–N.D.E.] Ça s’est redressé comme cela. Il a dit: «Va annoncer à la mère: AINSI DIT LE SEIGNEUR, ses prières sont exaucées.»

24        Oh ! la la ! Après que j’étais revenu à moi-même, après l’engourdissement, je suis vite sorti de la chambre ; on pensait que l’armée du salut était par là. J’ai lâché un cri, les fenêtres et les portes se sont ouvertes. Tout le monde est vite sorti. J’ai dit: «Venez ici, soeur Isaacson, vous tous, et frère Moore.» Je leur ai raconté la vision. J’ai dit: «Passez au téléphone et annoncez à cette petite femme que j’ai dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ne vous inquiétez pas, car l’enfant s’en remettra. Il sera rétabli !»

            Alors, elle a appelé la maison et la... Ils avaient un tout petit bébé, et c’était... la baby-sitter le veillait. Et elle a dit: «Ils ont été appelés à l’hôpital ; le petit garçon se mourait.»

            Alors, elle a appelé l’hôpital, et la maman est venue au téléphone, criant donc à tue-tête. Madame Isaacson a dit: «Eh bien, ne vous en faites pas.» Elle a dit: «Il va se rétablir.» Elle a dit: «Il va...»

            Elle a dit: «Eh bien, nous sommes venus ici le visiter ; on pensait qu’il se mourait. Il vient simplement de se relever maintenant même ; nous lui lavons le visage pour le ramener à la maison. Il va bien.»

            Oh ! la la ! Voyez-vous? Oh ! Je vous assure, notre Seigneur est Dieu. C’est tout. Il est le Dieu des Cieux. Il est le Dieu de la terre. Il guérit les malades. Il ressuscite les morts. Il fait tout bien. Maintenant, avais-je eu quoi que ce soit à faire avec la guérison de ces deux jeunes garçons? Je n’ai rien eu du tout à faire. C’était Dieu qui avait opéré la guérison. Tout ce que j’avais fait, c’est ce qu’Il m’avait ordonné. Que le Seigneur vous bénisse.

            Rappelez-vous toujours, amis, si jamais vous oubliez tout ce que je vous ai dit, rappelez-vous que je crois que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il n’est pas mort, mais Il est vivant.

25        Lisons juste un petit passage des Ecritures maintenant et nous allons vous parler pendant les dix ou quinze prochaines minutes, si vous supportez jusque-là. Nous allons commencer à faire passer une bonne longue ligne de prière, nous nous mettrons à prier pour les malades, le Seigneur voulant.

            Maintenant, là dans Saint Jean, chapitre 11, et nous aimerions lire juste une portion de Sa Parole. Commençons au–au verset 18:

Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. (Ecoutez ceci maintenant.)

Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;

Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole maintenant, alors que nous parlons de la Parole, juste pendant quelques instants. Ensuite, nous prierons pour les mouchoirs et nous commencerons à prier pour les malades.

26        Combien aiment la Parole? Tout le monde... Oh ! Je sais que vous L’aimez. La foi vient de quoi? De ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Il n’y a rien de pareil à Cela, C’est la Semence. C’est la Semence de toute espérance. Et si vous... Voici une autre chose, rappelez-vous toujours que je fais cette déclaration, qu’une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu dans cette Bible la fera s’accomplir. Si vous regardez cela correctement et que vous croyez cela, cela s’accomplira.

27        Eh bien, dans notre passage de ce soir, nous trouvons une scène très triste qui se transforme en une victoire très glorieuse, grâce à la Présence du Seigneur Jésus.

            Maintenant, l’histoire nous apprend que Jésus, après, Il avait quitté Sa propre maison, et Il est allé vivre avec Son ami Lazare. Et comme le petit roman Le Prince de la Maison de David, si certains parmi vous les prédicateurs, peut-être, presque tous les prédicateurs ont lu cela. Et ce sont des romans. C’est le livre d’Ingraham. Et il a dit que quand Il est allé rester avec Lazare, parce que son père nourricier, Joseph, était décédé, Il est allé habiter chez Marthe, Marie et Lazare. Et Lazare apprenait pour devenir un scribe au temple. Marthe et Marie faisaient le tricotage, elles faisaient des tapis et autres pour le temple.

            Et puis, Son ministère était devenu si populaire qu’Il était juste... Il a quitté la maison. Et chaque fois qu’Il quitte une maison, les ennuis commencent alors. Souvenez-vous-en donc, amis, vous les chrétiens. Chaque fois que Jésus quitte votre maison, attendez-vous aux ennuis. C’est en route vers chez vous.

            Et dans ce cas-ci, Jésus n’avait pas... Il n’avait pas quitté pour y avoir été obligé, mais c’est Son ministère qui L’avait forcé à partir. Pour notre contexte ce soir, remontons juste un peu, prenons un texte sur Jésus. Dieu, chaque fois, avant de faire quelque chose ici sur terre, Il donne généralement un avertissement avant de faire quoi que ce soit.

            Je crois que ce grand réveil qui parcourt les pays aujourd’hui, même si nous avons beaucoup de choses que nous aimerions ratisser de cela, le fanatisme et des choses qui surgissent au milieu de cela... Mais, malgré tout cela, c’est un avertissement au monde, que le jugement est sur le point de frapper le monde à tout moment. Dieu donne Son dernier appel juste avant la Venue.

28        Rappelez-vous, si vous rejetez la miséricorde, il ne reste que le jugement. C’est tout ce que vous pouvez... Si vous transgressez et que vous franchissez la ligne de démarcation de la miséricorde, il ne reste que le jugement. Alors, Dieu, avant de faire quoi que ce soit sur la terre, Il envoie toujours un avertissement.

            Eh bien, avant la naissance de Jésus, Il avait envoyé un avertissement. Et Il a toujours... Autre chose à garder à l’esprit: Peu importe combien le monde devient formaliste et indifférent, Dieu n’a jamais manqué de témoin sur la terre. Il a toujours eu quelqu’un sur qui Il peut mettre la main et dire: «Celui-ci est Mon serviteur.»

29        Et en ce jour-ci, avant la Venue du Seigneur, l’Eglise s’était éloignée, à peu près comme elle l’a fait aujourd’hui. C’était sous le gouvernement romain. Et les genres à l’ancienne mode avaient pratiquement disparu. Mais on avait quelqu’un qui gardait la foi. Et le nom de cet homme, c’était Zacharie. Et il avait une femme du nom d’Elisabeth. C’était un homme et une femme justes. Ils vivaient ensemble pieusement. Ils servaient le Seigneur de tout leur coeur.

            Elisabeth était stérile. Son mari, sacrificateur au temple, son devoir était de brûler le parfum pendant que le peuple priait. Et un jour, pendant qu’il était là au temple en train de brûler le parfum et que les prières étaient offertes, un homme juste... Remarquez, un homme saint, il craignait Dieu, il avait sa maison en ordre. Pendant qu’il offrait là cette offrande, du parfum, il a regardé à droite de l’autel, et là était Gabriel l’Archange.

            Maintenant, croyez-vous aux anges?

30        Il n’y a pas longtemps, un homme m’a rencontré, il a dit: «Frère Branham, j’ai essayé d’examiner votre ministère, votre enseignement, mais il n’y a qu’une seule chose...» Et c’est un frère du Plein Evangile. Il a dit: «Il n’y a qu’un seul point sur lequel vous commettez une erreur.» Il a dit: «C’est que vous parlez d’un Ange.» Il a dit: «C’est Dieu.»

            J’ai dit... Il a dit: «Il n’y a pas d’anges dans le Nouveau Testament. Les anges étaient dans l’Ancien Testament.» Il a dit: «Daniel avait des anges et autres, qui le suivaient, ainsi que les anciens prophètes et autres. Mais dans le Nouveau Testament, c’est le Saint-Esprit qui règne et conduit l’Eglise.»

            J’ai dit: «Vous avez raison. C’est le Saint-Esprit qui le fait. Mais nous avons toujours des anges qui sont des esprits envoyés de Dieu pour servir.»

            Et il a dit: «Pas dans le Nouveau Testament, Frère Branham.»

            Et j’ai dit: «Si.» J’ai dit: «Qu’en est-il de l’Ange Gabriel avec Marie?»

            Il a dit: «Là, c’était avant la Pentecôte.»

            J’ai dit: «Voulez-vous donc dire après la Pentecôte?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Croyez-vous que Philippe avait le Saint-Esprit?»

            Il a dit: «Bien sûr.»

            J’ai dit: «Qui était celui qui l’avait retiré de ce grand réveil qui était en cours là-bas et qui l’avait envoyé au–au désert, à Gaza, en ce temps-là? Qu’était-ce? Etait-ce le Saint-Esprit ou était-ce l’Ange du Seigneur?» C’était l’Ange du Seigneur.

31        J’ai dit: «Qui douterait que ce grand saint Pierre avait le baptême du Saint-Esprit? Vous croyez cela, n’est-ce pas? Et quand il était en prison cette nuit-là et qu’on allait le décapiter le lendemain matin, et là chez les Jean Marc, on tenait une réunion de prière, qui était entré comme une grande Colonne de Lumière et avait éclairé, et l’avait libéré? Etait-ce le Saint-Esprit? Non, absolument pas. C’était l’Ange du Seigneur.» C’est exact.

            Qui oserait dire que saint Paul n’avait pas le Saint-Esprit? Et là à bord de ce navire, qui était rempli d’eau, quatorze jours et quatorze nuits sans lune ni étoiles, ils n’avaient plus d’espoir d’être sauvés. Et il est descendu dans la cale pour prier, et quand il en est remonté, il a dit: «Prenez courage, car un ange du Dieu que je sers m’est apparu cette nuit, et m’a dit: ‘Paul, ne crains point ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.’» Il a dit: «C’est pourquoi, ô hommes rassurez-vous. Car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.» Amen ! Paul avait le Saint-Esprit.

32        Et regardez, tout le Livre de l’Apocalypse a été écrit, envoyé, un Message par un Ange. «Moi, Jésus, J’ai envoyé Mon ange pour attester ces choses qui doivent s’accomplir bientôt.»

            Eh bien, un vrai ange, vous allez vous en prendre à Joseph Smith et aux autres, à moi. Mais, suivez. Cela ne marche pas avec les Ecritures. Un véritable et réel ange viendra confirmer cette Ecriture à la lettre. Oui, oui.

            Remarquez, Jean s’est prosterné et il voulait adorer cet ange-là. Il a dit: «Garde-toi de le faire, car je suis ton compagnon de service et celui des prophètes, adore Dieu.» Un vrai ange ne se laissera pas adorer. Il n’est pas question d’adorer les anges ; il est question d’un ministère des anges, qui vient de la part de Dieu.

            Or, ces anges mineurs viennent, peut-être, il y a des anges avec nous, ou ils viennent vers votre–votre humble serviteur. Et c’est probablement un ange mineur. Mais quand Gabriel vient, frère, quelque chose est effectivement en route, quelque chose d’important va se passer. Puisse... Gabriel a annoncé la Première Venue du Seigneur Jésus, et Gabriel annoncera la Seconde Venue du Seigneur Jésus. Amen.

33        Là, Zacharie a regardé et le grand archange se tenait là, Gabriel. Et il–il l’a salué et a dit: «Maintenant, après les jours de ton service, a-t-il dit, tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu ; tu rentreras chez toi rester avec ta femme Elisabeth, et elle va concevoir et enfanter un fils.»

            «Eh bien, a-t-il dit, ces choses ne peuvent pas se faire. Je suis vieux.» Et il lui a annoncé qu’il deviendrait muet jusqu’à la naissance de l’enfant et qu’on l’appellerait Jean.»

            Voyez, peu importe ce que l’homme pense, Dieu a un programme, et celui-ci va être exécuté. Peu importe: «De ces pierres Dieu peut, a dit Jean, susciter des enfants à Abraham.»

            Vous connaissez donc la suite de l’histoire. Les gens se demandaient pourquoi il traînait tant. Et peu après, il est sorti, et il était muet. Il leur a fait signe, leur demandant de partir. Et il est rentré chez lui. Et sa femme a conçu, elle s’est cachée pendant six mois.

            Et au même moment, il y avait une petite vierge qui habitait dans la ville de Nazareth, la ville la plus perverse du pays, de loin pire que Macon. Et elle habitait là. Peu importe combien une ville est mauvaise, peu vous importe combien les membres de votre communauté sont viles, combien c’est méchant, vous pouvez mener la vie chrétienne, il n’y a pas d’excuse pour cela. Et là, sur toutes les femmes du monde, Dieu a choisi une petite dame, une petite vierge, dans la ville la plus perverse qu’il y avait dans le pays.

34        Présentons ici une saynète pour les enfants, beaucoup d’entre eux regardent et écoutent.

            Je peux voir Marie, d’après les habitudes de l’Orient, peut-être qu’on est lundi matin ; c’est un mauvais temps pour–pour les femmes, c’est le jour de la lessive. Ou c’est le cas chez nous donc. Je peux voir Marie descendre à la fontaine des vierges pour puiser de l’eau. Elle met la cruche sur la tête, à la manière des Orientaux, ou soit sur ses épaules. Elle marche le long du sentier. Et tout d’un coup, une grande Lumière apparaît sur le sentier, elle regarde dans cette Lumière et là se trouve le puissant archange, Gabriel.

            Il a dit: «Je te salue, Marie.»

            Eh bien, cela a frappé la petite vierge. Cela vous frapperait. Je sais comment je m’étais senti la première fois que j’avais vu l’Ange qui me parle. Eh bien, vous... Ils disent: «Pourquoi ne Lui demandez-vous pas Son Nom?» Vous–vous ne demandez rien ; vous ne faites qu’écouter.

            Il a donc dit: «Je te salue. Tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu.» Oh ! la la ! Quelle salutation ! Et il a dit: «Eh bien, voici, Elisabeth, ta parente... (En fait, c’était une cousine à Marie ; Jean et Jésus étaient des cousins germains.) Il a dit: «Elle est à son sixième mois de grossesse, elle qui était taxée de stérile. Mais tu vas avoir un Enfant, sans avoir connu un homme.»

            Elle a dit: «Comment cela se peut-il?»

            Il a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre. Et le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»

35        Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez la différence. Il y avait là un vieux prédicateur qui avait beaucoup d’exemples, dont Sara qui avait eu un enfant alors qu’elle était plus âgée que sa femme. Anne, au temple, priait de telle manière que le sacrificateur avait pensé qu’elle était ivre. Beaucoup parmi le peuple de Dieu sont mal compris. Ils ne sont pas fous. Ils sont simplement mal compris. Et elle priait que Dieu la débarrasse de l’opprobre. Zacharie avait cela comme exemples. Mais il douta.

            Regardez cet homme-là, il servait le Seigneur, un homme de bien, mais cependant, il douta du surnaturel, lui un prédicateur. Mais la petite vierge, elle ne douta de rien, jamais, et elle avait beaucoup plus à croire par rapport à ce que lui avait à croire. Il n’y avait jamais eu d’enfant né d’une vierge. Mais elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.»

36        Ce dont nous avons besoin ici à Macon et dans tous les autres Etats ce soir, c’est davantage de Marie. Elle n’a pas attendu de sentir la vie. Elle n’a pas attendu de sentir quoi que ce soit. Elle n’a pas attendu d’en être sûre. Elle a pris Dieu au Mot et s’est mise à s’En réjouir. C’est–c’est comme ça. N’attendez pas que vous puissiez dire: «Eh bien, si je... ma main se redresse, je me sentirai mieux.»

            Considérez ces gens ici, quand je leur imposais la main l’autre soir, ils sont simplement restés là quelques minutes, regardant leurs mains. Tout d’un coup, vous savez, le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir, et ces vieux os tordus ont commencé à se relâcher, et ils ont parcouru l’estrade, ils ont tournoyé, se réjouissant dans le Seigneur. Amen.

            Ne pensez pas que vous avez à sentir quelque chose, voir quelque chose ; prenez Dieu au Mot et mettez-vous à vous réjouir. Je peux la voir aller ici et là, disant: «Gloire à Dieu, je vais avoir un Enfant sans avoir connu un homme.»

            «Eh bien, disait-on, cette jeune fille est folle.» Mais elle avait pris Dieu au Mot. Elle avait eu une vision. Elle savait que c’était la Vérité. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, quelqu’un qui prendra Dieu au Mot.

37        Sur son chemin, elle a entendu parler de ceci, qu’Elisabeth, sa cousine, allait avoir un enfant. Elle a donc vite gravi la région montagneuse de Judée pour lui rendre visite. C’était alors un grand honneur d’avoir un enfant. Aujourd’hui, c’est pratiquement une disgrâce.

            Je n’engueule pas les gens. Je ne prêche pas avec des notes. Je ne sais pas ce que je vais dire. Juste ce... Je dois simplement tendre la main et prendre cela. Et quand cela vient, je dois simplement le dire. Je–je... C’est tout ce que je sais faire.

            Mais aujourd’hui, c’est pratiquement un déshonneur de voir encore une grande famille. Oui, oui. On préférerait payer cent dollars pour un petit chien au nez couvert de morve et le trimbaler, lui accorder l’amour maternel, pratiquer le contrôle de naissance plutôt que d’avoir des enfants. On pense que c’est vieillot, on va... trainaillant dans des bars, boire, jouer aux cartes, rouler tout l’après-midi dans le véhicule de votre mari. Eh bien, c’est une disgrâce. C’est vrai. Le plus grand honneur qu’une femme puisse avoir, en dehors du fait de venir à Christ et d’être loyale à son mari, c’est d’avoir un enfant. Amen ! Vous allaitez peut-être un petit prédicateur, comment le savez-vous? Alléluia ! Je sais que c’est le genre de pain de maïs à l’ancienne mode, mais, frère, cela vous collera aux côtes. Cela se fera à votre mort. Ça se fera assurément.

38        Ensuite, je peux la voir. Elle monte en courant pour saluer sa cousine. Et alors, quand elle a atteint la partie montagneuse de Judée, elle s’en est approchée. Eh bien, Elisabeth s’était cachée pendant six mois comme elle attendait famille. Et le petit enfant n’avait point bougé. Il était mort dans le sein de sa mère.

            Vous savez, c’est anormal à six mois. A deux ou trois mois, il y a la vie. Mais elle s’était cachée, elle ne voulait pas se faire voir. Et quand elle a vu la vierge Marie venir, elle a couru l’embrasser, elle l’a étreinte et l’a baisée. J’aime voir des femmes se rencontrer comme cela. J’aime voir des hommes se rencontrer et se saluer.

            Vous savez, on en est arrivé aujourd’hui à ne pas avoir communion parmi les gens. C’est vrai. Les hommes s’avancent et disent... juste une toute petite poignée de main drôle et froide. J’aime ce genre de très forte poignée de main vigoureuse. On la rapproche ici, comme cela, il y avait de l’émotion. C’est bien. J’aime l’ancienne mode.

39        Il n’y a pas longtemps, j’étais ici en Floride dans une réunion. Il y avait une espèce de duchesse, ou quelque chose comme ça là, je pense qu’il a appelé cela, une espèce de femme: Duchesse? Ou elle avait cédé une concession là. Et là derrière la tente, le docteur Bosworth a dit–a dit: «Frère Branham, la duchesse aimerait vous voir là derrière.»

            J’ai dit: «La qui?»

            Il a dit: «La duchesse.»

            J’ai dit: «Eh bien, qui est-elle?»

            Il a dit: «Eh bien, c’est une grande dame ici.»

            J’ai dit: «Il y a aussi beaucoup de malades là dehors.» J’ai dit: «Elle n’est pas plus que ces gens malades. Si je vais voir qui que ce soit, permettez-moi de voir quelques malades là dehors.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, vous voyez, c’est une grande dame.»

            Eh bien, on l’a fait venir, l’organisateur et les autres l’ont placée sur la route, et quand je suis passé derrière... Je ne fais pas de commentaire sur cette femme, je n’en ai pas l’intention. Mais pour comprendre ce que je veux dire. Une femme énorme se tenait là avec assez de bijoux pour envoyer cinquante prédicateurs outre-mer, et une main très potelée. Elle avait une paire de lunettes, dressée comme ceci sur un bâton. Et quand elle s’est présentée comme cela, elle a regardé par-dessus ce bâton et a dit: «Est-ce vous docteur Branham?»

            J’ai dit: «Non, madame.»

            Et elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée de faire votre connaissance.» Et elle a levé les mains comme ça, faisant simplement parade, c’est tout. Elle a soulevé sa grosse main potelée comme ça ; elle a dit: «Enchantée de faire votre connaissance.»

40        J’ai saisi sa main, j’ai dit: «Eh bien, abaissez-la ici, afin que je vous reconnaisse lorsque je vous reverrai.» Je n’aime pas ce montage, chercher à se faire passer pour quelque chose alors qu’on n’est rien. Après tout, qu’est-ce que vous êtes? Que vous soyez duchesse, ou je ne sais quoi vous êtes, vous êtes un mètre quatre-vingt-deux de poussière de terre. Si vous n’êtes pas né de l’Esprit de Dieu, vous êtes en route vers l’enfer aussi certainement qu’un martinet se dirige vers son nid ; peu importe qui vous êtes. Vous êtes le président ou un roi, ou je ne sais quoi vous pouvez être, vous êtes tous un mètre quatre-vingt-deux de poussière de terre. Vous retournez droit vers là. Vous mettez un tas d’histoires alors que vous n’êtes rien. C’est vrai. Elle avait l’air d’être moulée dans les habits, et il n’y en avait pas assez pour entrer dans une boîte d’aspirine, boucher un fusil ; elle se tenait là, regardant comme cela, comme si elle était quelqu’un. Ça ne veut rien dire. Juste un peu de temps ici sur terre, et vous devez vous coucher et l’abandonner complètement. Oui, oui. Une duchesse? Porter quelque chose comme cela?

41        Les gens ne savent même pas... Autrefois, il y a longtemps, nous sortions, et... si un voisin, quand nous étions dans la ferme, et–et que quelqu’un tombait malade, nous allions couper le maïs, couper du bois et le ramener. Et de nos jours, eh bien, vous ne savez même pas que votre voisin est mort, à moins de le lire dans un journal. Il y a quelque chose qui cloche. L’amour fraternel a cessé.

            C’est horrible. Tenez, l’autre jour, je descendais en ville avec madame. Il y avait une femme qui avait dit: «Salut, soeur Branham.»

            J’ai regardé Meda, j’ai dit: «Eh bien, tu n’as pas parlé à cette femme-là.»

            Elle a dit: «Si, je lui ai parlé.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne t’ai pas entendue.»

            Elle a dit: «J’ai souri.»

            J’ai dit: «Oh ! Ce petit sourire sans émotion, ai-je dit, ce n’est pas cela parler à quelqu’un. Va là dans la rue, serre-lui la main, et dis: ‘Salut, soeur ; je suis contente de vous rencontrer.’» Amen !

            Frère, c’est ce que... Revenez à la vieille ligne de démarcation une fois de plus, là où les hommes sont... les chrétiens sont chrétiens, des hommes et des femmes vivent comme ils le devraient. Amen.

42        Je peux voir Marthe sortir précipitamment là, ou plutôt je veux dire, ou–ou–ou, je vous demande pardon, je veux dire Elisabeth. Elle sort en courant à la rencontre de Marie, l’embrasse et dit: «Chérie, je suis très contente de te voir. Oh ! la la ! a-t-elle dit, je suis très heureuse, je ne t’ai pas vue ça fait longtemps.»

            Et je peux entendre Marie dire: «Eh bien, alors, Elisabeth, je suis très contente de te voir, chérie. Et je pense beaucoup à toi. Et je vois que tu es enceinte.»

            Elle a dit: «Oui, je–je suis enceinte. C’est vrai, Marie.» Elle a dit: «J’ai eu du plaisir avec mon seigneur.» Elle a dit: «Je vais avoir un enfant. Mais, a-t-elle dit, Marie, je suis inquiète. Le petit enfant a six mois et il n’a point bougé, cependant le petit enfant est mort.»

            Eh bien, vous savez, Marie a dit: «Sais-tu comment je l’ai su? Je revenais de la pompe un jour, là-bas, et j’ai rencontré l’archange Gabriel, le même qui avait rencontré–avait rencontré ton mari. Et il m’a dit que j’allais avoir un Enfant sans avoir connu un homme. Et il a dit que je Lui donnerais le Nom de Jésus.»

            Et la toute première fois que ce Nom-là, Jésus, a donc été prononcé par des lèvres humaines, ce petit enfant mort a tressailli de joie dans le sein de la mère, comme cela, il s’est mis... et il a alors reçu le baptême du Saint-Esprit.

43        Elle a dit: «Qu’est-ce qui fait que la mère de mon Seigneur... Car aussitôt que ta salutation a frappé mes oreilles, eh bien, mon enfant a tressailli de joie dans mon sein.»

            Et si ce Nom, Jésus, a pu faire qu’un enfant mort dans le sein de sa mère tressaille de joie la première fois qu’Il a été prononcé par les lèvres humaines, qu’est-ce que Cela devrait faire à un chrétien né de nouveau, ou à un homme ou une femme qui croit et qui Le sert? Amen.

            Il a tressailli de joie dans le ventre. Alors, le Saint-Esprit est venu sur Elisabeth, et elle s’est mise à prophétiser. Oh ! C’est ça la religion à l’ancienne mode. C’est comme ça que ça marche dans le surnaturel.

            Quel genre d’enfant ça allait être?

            Quand le petit Jean est né, eh bien, il n’est jamais parti à un séminaire pour décrocher un diplôme de licencié en lettres. Mais il est allé dans le désert, pensait-on à l’âge de neuf ans, et il y est resté avec Dieu. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre pour avoir un diplôme, là avec Dieu. Et il est resté là jusqu’à l’âge de trente ans.

44        Et à l’époque, Jean-Baptiste sortit du désert de Judée, prêchant, disant: «Le Royaume des Cieux est proche.» Et il a secoué toutes les régions avoisinantes de Jérusalem, de Judée et de Samarie. De grandes foules affluaient. Oh ! la la ! Nous nous posons des questions. Eh bien, c’est le genre de baptistes dont nous avons besoin aujourd’hui, mes frères baptistes. Nous avons besoin d’un baptiste comme cela.

            Eh bien, eh bien, le vieux Hérode est venu, et je peux entendre quelqu’un dire: «Eh bien, ne prêche pas sur le mariage et le divorce ce soir.» Pouvez-vous vous rappeler... Vous imaginez-vous un homme plein de Saint-Esprit retenir quoi que ce soit? Il s’est avancé droit en face de lui et a dit: «Il ne t’est pas permis de l’avoir.» Oui, oui, frère.

            Il avait le Saint-Esprit, et il prêchait le Saint-Esprit. Et toutes les régions avoisinantes étaient secouées. Ecoutez. Prêcher l’Evangile de Jésus-Christ même dans sa simplicité, c’est le Message le plus puissant qui ait jamais été prêché, ou qui soit jamais apporté: L’Evangile du Seigneur Jésus-Christ. Et là, il a secoué les régions avoisinantes.

45        Puis, Lazare est descendu avec Jésus. Et quand on se disputait là, Jean sur un rivage du fleuve, et un sacrificateur sur l’autre rivage, celui-ci a dit: «Veux-tu dire qu’un temps arrivera...»

            Il a dit: «Il arrivera un temps où le sacrifice perpétuel sera retiré. Un Homme mourra pour les péchés des gens.»

            Et ils diront: «Ô Rabbi, tu ne sais pas de quoi tu parles, Jean.»

            Jean a dit: «Il y a...» Et il a promené le regard, et il a dit: «Voici venir l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Voici veut dire: considérer, ou regarder. Il a dit, là, comment il L’avait reconnu, il a dit: «Celui qui m’a parlé dans le désert m’a dit: Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptise du Saint-Esprit.» Il y avait un signe qui suivait le Messie. Il y a un signe qui suit toujours le Messie, le peuple du Messie. «Les signes et les prodiges, a dit Jésus, les suivront jusqu’à la fin du monde.» Il sera avec eux, même en eux jusqu’à la fin du monde.

            Il a dit: «Voici venir l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Et Lazare a failli s’évanouir, je suppose.

            Jésus, après qu’Il fut baptisé, alla au désert et resta là quarante jours, tenté par le diable. Et quand Il sortit du désert... Oh ! la la ! J’ai regardé à cette horloge-là, et cela m’a ruiné maintenant, il se fait si tard. Juste une minute maintenant, car nous terminons.

46        Ecoutez. Quand Il sortit du désert, Il sortit en prêchant, accomplissant des signes et des prodiges ; Son ministère devint si puissant qu’Il quitta la maison, ou je pense que Dieu Lui avait donné une vision pour quitter. Ça s’est avéré que Dieu Lui avait donné une vision.

            Quand Lazare tomba malade, Il s’en alla. On envoya Le chercher, Il continua à s’en aller. On envoya encore Le chercher ; Il continua à partir. Si votre pasteur faisait cela, vous ne reviendriez plus jamais dans cette église-là. C’est la raison pour laquelle le pasteur ne peut rien faire pour vous. Vous devez croire qu’il est un homme de Dieu.

            Il continuait donc de plus en plus. Peu après, Il a su que le temps du Père était arrivé, pour qu’Il accomplisse la vision, Il a dit: «Lazare est mort, et maintenant, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.»

47        Il est donc rentré. Et ils avaient eu... Lazare était tombé malade. Ils avaient été enseignés juste un peu... Je ne sais pas si c’est la vérité ou pas, mais il était mort d’hémorragie. Peut-être que le médecin était venu, qu’il avait fait tout son possible. Ils avaient envoyé chercher Jésus ; Il n’était pas venu. Et l’homme avait été abandonné, il est allé et il est mort. L’heure sombre. Ils l’ont fait sortir, ils ont embaumé son corps, ils l’ont mis dans un caveau sous terre, ils ont mis une pierre contre cela (C’est le genre d’ensevelissement en Orient), puis, quand on l’a déposé là, le premier jour est passé, le deuxième, le troisième, le quatrième jour, alors les vers du corps y grouillaient. Le corps humain, la première chose qui s’affaisse, c’est le nez. Et peu après, cela commence à dépérir et à pourrir, et les vers du corps, les insectes et autres, grouillent, ça ronge le corps humain. Quatre jours, cela puait déjà. Après soixante-douze heures, la corruption s’installe.

            Il n’y avait alors plus d’espoir. Marthe et Marie étaient là, elles avaient quitté leur église, elles avaient renoncé à tout ce qu’elles avaient. Leur frère était là, mort. L’Homme en Qui elles avaient placé leur confiance, comme étant le grand Homme qui allait çà et là et faisait des miracles, Il les avait quittés et s’en était allé. Il n’était pas venu quand on L’avait envoyé chercher pour prier pour leur frère. A l’heure la plus sombre que cette petite famille ait jamais connue... Et généralement, c’est à l’heure la plus sombre que Jésus vient.

48        A l’heure la plus sombre que j’aie jamais vue, quand un médecin m’avait dit que je n’avais que trois minutes à vivre, alors Jésus vint. Oui. A l’heure la plus sombre, peut-être, que vous ayez jamais connue, puis Jésus vient. Ceci peut être l’heure la plus sombre pour vous assis là dans ces fauteuils roulants, comme c’est la fin de la réunion. Les espoirs que vous aviez d’être guéris, après avoir vu ces autres estropiés et tout marcher. Peut-être que vous vous dites: «Je pense qu’il n’y a plus d’espoir pour moi.» L’heure la plus sombre, mais ne vous en faites pas, Il sera là. Continuez simplement–continuez simplement à garder la foi en Lui. Il sera là. Il ne fait jamais défaut. Il sera bien là.

            Quelqu’un est venu et a dit: «Jésus vient dans la ville.»

            Oh ! la la ! Je ne peux pas m’imaginer... ces critiqueurs ont dit: «Eh bien, où est allé ce saint exalté?» Voyez, quand Son ami tombe malade, eh bien, Lui s’en va. Il n’est donc plus ici maintenant. Mais quand on a dit: «Voici, Il rentre discrètement dans la ville maintenant après que le jeune homme est déjà mort, enseveli ; voici, Il revient dans la ville.»

            Mais la petite Marthe qui, d’habitude, traînait un peu sur beaucoup de choses, mais elle avait une foi inébranlable. Quand elle a donc vu Jésus, qu’elle a su qu’Il venait, elle est directement sortie en courant, elle a dépassé les critiqueurs, elle est allée jusque là où Il était.

            Eh bien, on dirait qu’elle avait là le droit de le réprimander, du fait que–qu’elle avait... elle Le réprimanderait, disant: «Pourquoi n’es-Tu pas venu vers mon frère? Nous avons quitté notre église. Nous avons abandonné notre religion. Nous avons tout fait pour Toi.»

49        Si elle L’avait rencontré dans cet–cet état-là, ce miracle-là n’aurait jamais eu lieu. C’est votre... C’est l’approche que vous avez du don de Dieu qui détermine ce que vous allez en retirer. Voyez? L’approche que vous en avez.

            Mais Marthe, quand elle est venue auprès de Lui, elle s’est prosternée à Ses pieds. Elle a dit: «Seigneur...» C’est exactement ce qu’Il était. Elle Lui a accordé Son vrai titre. Eh bien, observez la foi se mettre à l’oeuvre.

            Je crois que Marie... Marthe avait lu l’histoire de la femme sunamite, quand son enfant était mort, elle savait que Dieu était en Elie.

50        Elie était l’homme de Dieu de l’heure pour la nation. Et elle savait que Dieu était en Elie. Alors, elle a demandé à son serviteur de seller un âne et de conduire jusqu’à ce qu’elle arrive auprès d’Elie pour découvrir pourquoi son enfant était mort. Et vous connaissez l’histoire, comment Elie est venu et a ressuscité l’enfant pour elle.

            Eh bien, Marthe a peut-être pensé: «Eh bien, si Dieu avait été dans Elie le prophète, certainement qu’Il est dans Son Fils.» Amen ! «Eh bien, a-t-elle dit, maintenant, si seulement je peux arriver auprès de Lui, je peux découvrir la raison.» Elle est donc allée auprès de Lui avec révérence. Peu importe ce qu’Il avait fait, quelle erreur ça paraissait être, elle est allée auprès de Lui avec révérence, s’est prosternée devant Lui et a dit: «Seigneur...» C’est ce qu’Il affirmait être, le Seigneur. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.»

            Elle n’avait pas perdu confiance. «Si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, quand bien même il est mort, que les vers du corps sont en train de le ronger, mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» J’aime ça.

51        Peut-être que vous avez pêché à la seine dans chaque hôpital de la ville. Peut-être que chaque médecin vous a abandonné. «Mais maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Peut-être on dit: «Vous ne vous lèverez jamais de ce fauteuil roulant.» «Mais maintenant même, Seigneur», pas le matin, pas d’ici peu, «mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Il est à la droite de la Majesté Divine, intercédant sur base de notre confession. Il a dit: «Quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous avez demandé et cela vous sera accordé.»

            «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Oh ! la la ! Cela a remué Son coeur. Il a levé les yeux vers elle, Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Amen !

            Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois qu’il ressuscitera. C’était un bon garçon.» Ils croyaient dans la résurrection générale, ces Juifs-là. «Je sais qu’il ressuscitera lors de la résurrection des derniers jours.»

            Ecoutez-Le. Il n’était pas beau à voir, Il était un tout petit Homme rabougri, Il n’avait pas de beauté pour attirer le regard.

52        Et je peux Le voir redresser Ses petites épaules, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Quelque chose doit arriver. Frère, ces pensées se consolident. Là, la foi a trouvé la... a trouvé sa trajectoire juste dans cet Homme-là, la Ressource. Le Dieu du Ciel était là, voilé dans la chair. Là était cette femme avec la foi parfaite en Lui. Alors, les roues tournent ensemble. «Je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu l’accordera.»

            Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Toi... Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Christ, le Fils de Dieu (Ce que Tu confesses être) qui devait venir dans le monde.»

            Il a dit: «Où l’avez-vous mis?» Amen !

            Frère, quelque chose doit se passer quand le croyant entre en contact avec son Créateur. Quelque chose se passe. Amen ! Quelque chose doit se passer. Le voilà se diriger vers la tombe. Il s’est mis à pleurer alors qu’Il y allait.

53        Avec tout le respect dû à ce... Il y a quelque temps, une femme me parlait, elle a dit: «Révérend Branham, vous vantez trop Jésus.» Eh bien, c’était une femme de la Science Chrétienne. Et eux ne croient pas que le Sang de Jésus-Christ... Ils L’acceptent juste comme un prophète, pas comme Dieu.

            Et j’ai dit: «Je crois qu’Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Oh ! Vous Le vantez trop !»

            J’ai dit: «Comment puis-je trop Le vanter?»

            Elle a dit: «Vous faites de Lui Dieu. Vous faites de Lui Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.» Amen ! Dieu était manifesté dans la chair. Il était Emmanuel. J’ai dit: «Soit Il était le Dieu Tout-Puissant voilé dans un corps appelé Son Fils, le Seigneur Jésus, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.» J’ai dit: «Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Non, non, non. Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Je vais vous prouver par les Ecritures qu’Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «Si vous arrivez à le faire par les Ecritures, je vous croirai.»

            Et elle a dit: «Je vais vous montrer pourquoi Il n’est pas Dieu.» Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il pleura.» Et elle a dit: «Une personne divine ne peut pas pleurer ; en effet, Il ne peut pas. Il n’était pas Dieu. Il pleurait en allant à la tombe de Lazare. Qu’en est-il de ça?»

            J’ai dit: «Femme, votre argument est plus mince qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’une poule qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Ça n’a pas de fondement pour subsister là.» J’ai dit: «Il a certes pleuré. Je l’accepterai. Il a pleuré quand Il se dirigeait vers la tombe. Mais quand Il a redressé Son petit corps là et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours et quatre nuits est revenu à la vie, la corruption avait reconnu son Maître, et un être immortel, une âme qui avait effectué un voyage de quatre jours, quelque part, avait reconnu son Maître et était revenue. Un homme s’est tenu sur ses pieds et a encore vécu.» Amen !

            Il était un Homme quand Il pleurait, mais Il était Dieu quand Il a ressuscité le mort. Amen ! Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même. Oui, oui.

54        Il était un Homme quand Il descendait la montagne cette nuit-là, affamé. Il n’avait rien à manger. Il a contourné ce figuier-là, cherchant quoi manger là. C’était un Homme quand Il avait faim. Mais quand Il prit cinq petits pains et deux poissons et qu’Il nourrit cinq mille personnes, C’était Dieu parlant par Son Fils. Amen. Il était alors plus qu’un homme. C’est vrai.

            Il était un Homme quand Il était... Il guérissait toute la journée et que la vertu sortait de Lui, Il avait prêché, Il avait prié pour les malades. Il était couché à bord d’une petite barque cette nuit-là, et dix mille démons de la mer juraient de Le noyer. Et cette petite barque-là dans la tempête était agitée de part et d’autre comme un bouchon d’une bouteille...

            C’était un Homme qui était couché sur la poupe de la barque, endormi, si fatigué et épuisé que même ni le vent ni les vagues ne L’ont réveillé. Les portes étaient fracassées, le mât était tombé, le voile était parti ; et Il était toujours endormi. Il était un Homme pendant qu’Il dormait. Mais quand Il s’est avancé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», C’était plus qu’un homme qui parlait là. C’était Dieu parlant par Son Fils. Il était le Divin Fils de Dieu. Amen.

            Il était un Homme au Calvaire quand Il implorait la miséricorde. C’est vrai. Il était un Homme quand Il criait: «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Mais quand Il ressuscita le matin de Pâques, ayant brisé le sceau de la tombe, le séjour des morts et la mort étant détruits, Il a prouvé qu’Il était le Fils de Dieu. Amen. «Crois-tu cela?»

Vivant, Il m’aima ; mourant, Il me sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin ;
Ressuscitant, Il me justifia librement pour toujours ;
Un jour, Il va venir, oh ! quel jour glorieux !

            Amen. Oui, oui. C’était le même qui était avec les enfants hébreux dans la fournaise ardente. «Crois-tu cela?» Je crois que ce même Jésus qui ressuscita Lazare est ici ce soir. «Crois-tu cela?»

55        Je crois que le même Jésus qui ressuscita d’entre les morts est ici même maintenant. «Crois-tu cela?» Je crois que le même qui était avec Daniel dans la fosse aux lions est ici ce soir. «Crois-tu cela?» Je crois que Celui qui avait touché la femme, ou plutôt dont la femme avait touché le bord du vêtement, et Il l’a guérie, est ici ce soir. «Crois-tu cela?» Je crois qu’Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» «Crois-tu cela?»

            Je crois qu’Il a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé.» «Crois-tu cela?» Amen !

            Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Sa paix éternelle, le même Saint-Esprit qui est descendu le jour de la Pentecôte est ici ce soir. «Crois-tu cela?»

            Je crois que c’est Lui qui a été avec nous cette semaine, pour faire marcher les paralytiques, faire entendre les sourds, faire voir les aveugles, guérir les malades et les affligés, accomplir les signes et les prodiges. Il est le Christ ressuscité. «Crois-tu cela?»

            Je crois qu’Il restera toujours le même Christ. Je crois qu’Il est ici ce soir pour guérir les malades, sauver les perdus, et nous amener un jour au Ciel. «Crois-tu cela?» Il est ici.

56        Prions. Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils bien-aimé, Seigneur, nous croyons cette ancienne histoire avec tout ce qui est en nous. Nos coeurs, nos âmes, notre corps croient cette histoire, que Tu es le Fils de Dieu, le Ressuscité. Les âges peuvent s’écouler ; les sceptiques peuvent se lever ; les démons peuvent combattre. Ils peuvent posséder des gens. Mais cependant, Tu resteras Dieu dans les âges sans fin. Tu resteras toujours Dieu. Maintenant, je Te prie, ô Dieu, de sauver chaque personne perdue ici ce soir. Guéris tous les malades qui sont ici ce soir. Ramène les rétrogrades, Seigneur, à l’Eglise du Dieu vivant. Accorde-le, Seigneur, pour la gloire de Dieu. Nous le demandons au Nom de Christ.

            Avec nos têtes inclinées, je me demande, ici dans cette vaste assistance maintenant même, avant que nous commencions la ligne de prière: Y a-t-il ici un pécheur, qui a vu les grandes oeuvres de Dieu cette semaine, qui est ici ce soir et qui est en dehors de Dieu... Mes amis chrétiens, priez comme vous n’avez jamais prié auparavant. Et si vous êtes ici ce soir, pécheur, voudriez-vous lever les mains vers le Dieu Tout-Puissant pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi un pécheur»? Voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse partout. C’est bien. Levez la main partout. Juste des vingtaines de personnes ont levé leurs mains, partout.

            Je pense à la vieille aveugle Fanny Crosby. Elle a dit:

Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur ;
Ecoute mon humble cri ;
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.

Toi la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi?
Qui au Ciel sinon Toi?

57        Chaque homme ou chaque femme qui ait jamais abouti à quoi que ce soit, dans ce monde, ça a été des hommes et des femmes qui ont fait confiance en Dieu et qui ont cru que Jésus était le Fils de Dieu. Ils ont cru cette ancienne histoire de l’Evangile.

            Je peux voir Eddie Perronet là, alors qu’il était persécuté par des hommes. Il n’arrivait à vendre sa musique à personne. Personne ne voulait de lui. Un jour, dans son bureau, après avoir été persécuté et chassé, il a pris le stylo, le Saint-Esprit s’est emparé de son stylo ; alors, il a composé le cantique inaugural de la Seconde Venue de Jésus. Quand il a dit:

Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges se prosternent ;
Apportez le diadème royal,
Et couronnez-Le Roi de tous.

            Un autre a écrit. Oh ! la la ! Que de grands poètes, auteurs, prophètes et ministres avons-nous vus au cours de l’âge ! Que Dieu ait pitié ! Y a-t-il ici quelqu’un qui n’a pas le Saint-Esprit ce soir, qui mène une vie à moitié, et qui aimerait recevoir le baptême du Saint-Esprit? Voudriez-vous lever la main, non pas vers votre frère, mais vers votre Créateur? Dites: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Sois miséricordieux.»

            Rappelez-vous, il y a un ange qui enregistre chaque main. Il sait exactement qui vous êtes. Que moi, je vous voie ou pas, que votre voisin vous voie ou pas, nous ne demandons pas que votre voisin voie. Je demande que vous regardiez à Dieu, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.

58        Notre Père céleste, Tu vois certes des mains se lever. Et, Seigneur, à la fin de ce service de guérison, que chacun d’eux s’avance, Seigneur, qu’il se tienne à l’autel à l’ancienne mode ici et prie. Beaucoup de ces jeunes gens et jeunes filles, là dans l’assistance, ont levé la main. Peut-être, une vieille mère et un vieux papa sont déjà partis depuis des années. Leurs prières sont encore sur l’autel de Dieu, et les anges de Dieu sont rassemblés ici ce soir pour exaucer la prière de cette mère-là.

            Ô Dieu, accorde qu’ils reçoivent Jésus ce soir comme Sauveur. S’il y a un membre d’église tiède ici, Seigneur, qui ne fait que fréquenter l’église, mais qui ne sait pas ce que représente naître de nouveau, qui n’a jamais reçu le Saint-Esprit, comme Paul a dit à ceux qui étaient là dans Actes chapitre 19, il leur a demandé: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            Ô Dieu, accorde ce soir que le Saint-Esprit se déverse sur eux et qu’ils rentrent dans leur église, enflammés pour Dieu. Accorde-le, Seigneur. Suscite un réveil à l’ancienne mode, qu’il se déclenche de ceci, Seigneur, dans chaque église dans le pays. Nous savons que Tu viens bientôt. Demain, Seigneur, nous serons en route, pour outre-mer, on connaîtra des temps de tempête, là où Tu nous as ordonné: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» ...

59        Ô Dieu miséricordieux, envoie Ta grâce à ceux-ci ce soir. Il y en a beaucoup assis ici que nous ne reverrons plus jamais après ce soir: dans une assistance de beaucoup de gens, des milliers assemblés ici, certains d’entre eux sont vieux et juste sur le point de traverser la ligne. Alors, Seigneur Dieu, je sais, d’après la nature, qu’il y en a beaucoup ici qui ne me verront plus jamais. Et je ne les verrai plus jusqu’à ce que nous nous rencontrions au tribunal de Christ.

            Ô Dieu, j’aimerais laisser ce témoignage, que j’ai dit la Vérité. Je leur donne l’invitation à venir à Toi. Et, Père, tout le monde, sauve-les. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Oh ! la la ! Après un appel à l’autel comme celui-ci, à l’ancienne mode, vous avez bien l’impression d’être tout purs, récurés, n’est-ce pas? Oh ! C’est merveilleux ! Oh ! C’est magnifique ! Quel temps dont se souvenir du réveil à venir, se souvenir de ce genre de réunions où vous avez été sauvé, quand il y avait une de ces réunions en cours: une réunion à l’ancienne mode, du Saint-Esprit, envoyée de Dieu, où les gens sont sauvés. Qu’Il bénisse chacun de vous.

            Maintenant, après le service de guérison, voudriez-vous vous avancer alors que les ministres ici feront l’appel? Venez ici, tenez-vous là et priez juste un petit instant, amis.

            Comme je l’ai dit dans la prière il y a quelques minutes, ceci est notre dernière rencontre avec beaucoup parmi vous. Je ne vous reverrai plus jamais donc. Je ne verrai plus beaucoup parmi vous jusqu’à ce que nous nous rencontrions aux pieds de Jésus. Et je dois rendre compte de ce qui s’est passé ici cette semaine pour l’Evangile que j’ai prêché. Quand vous voyez là debout, par la grâce de Dieu, je crois toujours la même ancienne histoire avec laquelle j’avais commencé. Jésus sauve du péché et guérit les malades. Amen.

60        Oh ! C’est ma vie. C’est–c’est moi ; c’est tout ce que je suis, tout ce que je peux être, tout ce à quoi je peux penser.

            Il n’y a pas longtemps, mon petit garçon... Nous sommes allés à un petit restaurant, nous étions là à Wood River dans l’Illinois, juste avant que nous allions outre-mer, en Inde, où nous avons eu l’assemblée la plus vaste, de cinq cent mille personnes. Mais alors, quand nous étions à Wood River, la salle était bondée, nous sommes allés dans un petit restaurant. Et après le service, il a dit: «Maintenant, papa, tu dois manger un peu ce soir, car tu deviens faible.» Je suis entré dans un restaurant pour manger, et il y avait des petits écoliers à l’intérieur. Vous savez comment ils sont, ils jouaient ce drôle de petit, ce que vous appelez le Mickelodeons, ou je ne sais pas ce que ce petit... Je n’arrive guère à manger dans un restaurant où il y a ce genre de choses, des cris et un tas de comportements.

            Et il a dit... Mais les enfants, vous savez, ils introduisent une espèce de–de pièce d’argent à l’intérieur. Ils jouaient une espèce de petite chanson. Et j’étais assis là. Et Billy a dit: «Papa, n’est-ce pas une belle chanson?»

            J’ai dit: «Quelle chanson?» Je ne savais même pas que ça jouait.

            Et il a dit: «Tu sais, papa, a-t-il dit, tu as tellement trop lu et trop prié que tout ce à quoi tu penses, c’est Jésus-Christ.»

            J’ai dit: «Merci, fils ; c’est le meilleur compliment que j’aie jamais eu.» Oui, oui. C’est vrai. J’ai dit: «C’est bien. C’est tout ce que je veux sur mon coeur, sur mon coeur, dans mon esprit, tout au long de la journée, de la nuit, méditer sur Ses préceptes et sur Son amour.»

61        Maintenant, juste avant de commencer à prier pour les malades, je ne dis pas que Jésus fera ceci ce soir. Je ne peux pas le dire, car je ne le sais pas. Mais j’aimerais dire à cette assistance mixte ce soir: Si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts, la Bible dit que le... qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est l’Ecriture. S’Il est le même, Il doit prouver qu’Il est le même. S’Il s’est manifesté aux gens dans les jours d’hier, Il doit se manifester aux gens aujourd’hui. Et Il a promis dans Sa Bi-... dans Sa Parole. Tout ce qu’il y a, c’est que vous avez simplement peur de vous avancer prendre Dieu au Mot. C’est tout. N’ayez pas peur. Tenez-vous là même, peu importe combien ça paraît sombre, voyez si Jésus ne vient pas là. Je ne L’ai jamais vu faillir. Il le fera. Mais vous devez rester là même. Vous devez... Vous n’avez pas juste à espérer comme ça ; vous devez effectivement prendre Sa Parole là-dessus et croire cela de tout votre coeur.

62        Eh bien, quand Il était ici sur terre, Il n’affirmait pas être un Guérisseur, ami. Ce n’est pas ce qu’Il soutenait. Il affirmait même le contraire. Eh bien, je sais que les étrangers sont peut-être ici ce soir, vous risquez de vous en aller, disant: «Frère Branham, le guérisseur divin.» Eh bien, c’est une erreur. Je ne suis pas un guérisseur divin. Il n’y a aucun homme ici sur cette terre qui soit un guérisseur divin. C’est contraire aux Ecritures. Les Ecritures ne permettent à aucun de nous d’être le guérisseur divin, même pas Christ Lui-même. Christ a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui habite en Moi qui fait les oeuvres.»

            Il a dépassé un grand nombre de gens (Saint Jean 5), des estropiés, des infirmes, des aveugles, des boiteux et des paralytiques. Il est passé droit à côté de cette piscine-là, après qu’une femme qui se tenait là dans une foule avait touché Son vêtement. Il s’était retourné, Il avait promené Son regard sur la foule et avait dit: «J’ai senti la vertu sortir de Moi.» Il a regardé la foule et a dit: «Toi, ta foi t’a guérie.» La perte de sang s’était arrêtée. Voyez? Eh bien, C’était Jésus-Christ d’hier. C’est Jésus aujourd’hui.

            Il est passé au milieu de ce groupe de gens, qui étaient estropiés, aveugles, boiteux et paralytiques, Il est passé droit au milieu d’eux, et Il a trouvé un homme couché sur un grabat. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Suivez. Jésus a dit... Il savait qu’il était là, et Il savait qu’il était dans cette condition depuis plusieurs années. Quand on l’a trouvé transportant son lit, on a attrapé Jésus et on L’a interrogé. Bien sûr, Il serait interrogé. Il serait interrogé à Macon ce soir.

63        Il n’y a pas longtemps, une femme qui reste avec nous là (Soeur Wood, je pense que c’était elle) a dit que quelqu’un était allé là, il est entré dans un magasin, il a demandé aux gens de bien vouloir venir aux réunions. Un homme a dit: «Je ne crois pas ce non-sens.» Il a dit: «Si cet homme a pu faire cela, eh bien, pourquoi ne va-t-il pas là à l’hôpital relever tous les malades?» Voyez?

            Or, cela témoigne donc d’une déficience mentale, c’est tout. Eh bien, l’homme qui connaît même la Bible, Jésus-Christ n’avait même pas fait cela. Il ne prétendait pas faire cela. Il est passé à côté de pire qu’un hôpital, environ quatre ou cinq mille personnes couchées à la piscine de Béthesda, rien que des estropiés, des boiteux, des infirmes et des aveugles, Il est passé droit au milieu et Il n’a point guéri aucun d’eux. Il est allé auprès d’un petit homme couché sur un grabat, Il savait qu’il était couché là, Il l’a guéri et Il s’en est allé. Et les Juifs L’ont interrogé. Maintenant, écoutez ce qu’Il a dit.

            Il a dit (Saint Jean 5.19), Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis...» Ce mot, en vérité, veut dire absolument. «Absolument, absolument, Je vous dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Le Père Me montre quoi faire, et Je vais le faire. Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi, J’agis.» Voyez? «Je ne fais rien de Moi-même. Je fais exactement ce qu’Il Me dit de faire.»

            Maintenant, Cela est la Parole de Dieu. Combien ont déjà lu cela. Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen !»–N.D.E.] Saint Jean 5.19. Puis Jésus, quand Il était ici sur terre, Il pouvait connaître les pensées des gens. Il–Il a simplement fait... Le Père Lui montrait une vision, Il allait faire cela exactement comme le Père le Lui avait montré, mais Il ne faisait rien à moins que le Père le Lui ait montré. Il ne peut pas mentir. Il était Dieu.

            Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

64        Maintenant, regardez. Il est allé auprès d’une femme au puits. Il l’a trouvée. Il lui a parlé un instant. Et ensuite, Il a découvert ce qu’était son problème. Il lui a révélé le point exact où était son problème. Elle L’a regardé, elle a dit: «Eh bien, attends une minute. Je... Tu dois être un Prophète?» Elle a dit: «Je sais que le Messie, quand Il viendra, c’est ce qu’Il fera ; mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» C’était le signe du Messie.

            Quand Philippe est venu auprès de Lui et qu’il a été sauvé, il est allé trouver Nathanaël, il l’a ramené, il est entré dans l’assemblée. Jésus l’a regardé, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât quand, tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

            Maintenant, regardez. Quand Jésus quitta la terre, voici ce qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez même de plus grandes», ce qui veut en fait dire davantage. Il ne pouvait pas faire de plus grandes. Mais vous pouvez en faire davantage. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (Ce sont les incroyants) ne Me verra plus. Ça sera terminé pour le monde quand Je partirai d’ici dans cette forme physique. Je serai parti, c’est tout ce qu’ils verront jamais de Moi. Mais cependant, vous, vous Me verrez.» Maintenant, suivez ce qu’Il a promis. Il a dit: «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.»

65        Maintenant, c’est qui le vous? Qui est l’incroyant? Il y a des incroyants dans chaque génération. Il y a des vous dans chaque génération. «Cependant, vous, vous Me verrez.» Il a promis de revenir dans Son Eglise et d’accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies quand Il était ici sur terre. Et la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. N’a-t-Il pas tout bien accompli cette semaine? L’a-t-Il fait? Les aveugles ont vu. Les estropiés ont marché. Les handicapés moteurs se sont relevés. Le péché a été réprimandé. Il y a eu des visions. Tout ce qui a été dit a été parfait, tout à fait. Est-ce vrai? Des pécheurs ont été sauvés. Des gens ont reçu le Saint-Esprit, ils sont nés de nouveau, ils ont rendu témoignage de l’Esprit ; des signes et des prodiges ont été accomplis partout. Qu’est-ce? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, non pas juste avec frère Branham, avec Son Eglise, partout. Vous y prenez autant part, ou plus que moi. Il se fait que ceci est juste un don. Ça ne veut pas dire que ça me rend plus que vous, probablement pas autant que vous. Voyez?

            Si la résurrection avait lieu ce soir, vous les anciens qui avez combattu pour gagner le prix et qui avez navigué sur des mers ensanglantées, vous me précéderiez, et vous mériteriez d’entrer. Je ne fais que suivre la route que vous, vous avez pavée. C’est tout. C’est juste un don. Dieu l’a envoyé, Il l’a placé ; je n’ai rien avec la venue de ce don. Cela est inné, comme cela, et c’est juste un don pour glorifier Jésus-Christ, ou pour... pas glorifier, mais Le magnifier, Le montrer, permettre aux gens de voir qu’Il est ici. Dieu fait cela par la prédication de la Parole, par des signes et des prodiges. Il est le même Seigneur Jésus. Croyez-vous cela?

66        Maintenant, regardez. Encore une petite pensée. Quand Jésus fut crucifié et enseveli, les disciples se sont dit: «Eh bien, ça y est.» Voyez? «C’est tout ce que nous verrons de Lui.» J’aimerais que vous suiviez juste quelques instants.

            Il y eut deux d’entre eux qui étaient en route vers Emmaüs un matin, ils se rendaient à Emmaüs. D’autres parmi eux étaient allés à la pêche. Oh ! Ils étaient découragés, ils longeaient la route en causant, disant: «Eh bien, nous voici rentrer chez nous, reprendre nos anciennes tâches», allant à Emmaüs, Cléopas et son ami, pendant qu’ils longeaient la route. Et pendant qu’ils communiaient, voici, Jésus sortit du buisson, juste un Homme ordinaire, et se mit à leur parler. Et eux n’ont pas reconnu cela.

67        Eh bien, vraiment... Ecoutez attentivement. Frère, soeur, il y en a beaucoup parmi vous à qui Jésus a parlé et qui ne s’en sont pas rendu compte. Il est ici avec nous. Il est vivant. Il vient vers vous chaque soir là et dit: «C’est à vous que Je parle. Vous êtes... Vous pouvez être guéri. Acceptez simplement cela, et confessez-le, et voyez ce qui arrive.» Voyez? C’est Lui qui vous parle.

            Il leur a parlé toute la journée. Et Il a dit: «Pourquoi êtes-vous si tristes et inquiets?» C’était un beau matin de Pâques, Jésus était vivant dans le monde après la résurrection, le premier Homme à ressusciter d’entre les morts, les prémices de ceux qui dormaient. Ainsi donc, Il–Il a marché et ils n’ont pas reconnu cela. Ils ont marché, ils Lui ont demandé: «Eh bien, es-Tu donc un Etranger? Eh bien, ont-ils dit, connais-tu Jésus de Nazareth...?»

            Et alors, Il a commencé avec les Ecritures et Il a expliqué exactement ce que Jésus était censé faire quand Il viendrait. Et quand Il est arrivé devant une petite maison, un petit bâtiment là, à la distance d’un chemin de sabbat, ils allaient entrer dans l’auberge, Lui parut donc vouloir aller plus loin. C’est ce qu’Il fait souvent. Il peut paraître vouloir te dépasser, fiston. Cette petite fille ici, cette petite fille assise ici dans un fauteuil roulant, ou vous par ici, ou vous ici en bas, Il peut paraître vouloir vous dépasser ; Il veut simplement voir ce que vous allez dire à ce sujet. Voyez?

            Alors, Il a dit... Il paraissait vouloir dépasser. Et ils L’ont contraint, disant: «Entre et reste avec nous.» Faites de même maintenant. «Entre et reste avec nous.» Il est donc entré. Aussitôt qu’Il s’est assis, ils... le serviteur est venu, et a apporté du pain. Et Jésus a fait quelque chose de juste un peu différent. Et leurs yeux s’ouvrirent et ils Le reconnurent. Alors, Il disparut de leur vue, s’en alla, simplement comme ça. Ils n’ont pas pu Le trouver, nulle part.

68        Eh bien, je prie que Jésus de Nazareth, le même Seigneur Jésus ressuscité, vienne ici ce soir et fasse quelque chose d’un peu différent de ce que cela est réellement dans un service ordinaire, vous savez, du genre sortir et avoir un service d’évangélisation. Je prie qu’Il fasse quelque chose comme ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre ; quand Il était ici sous forme d’un corps, Il a fait quelque chose là pour Ses disciples. Ils ont dit: «Eh bien, c’est ainsi que Jésus le faisait. Eh bien, ça doit être Lui.» [Frère Branham tape les mains.–N.D.E.] Il avait disparu. J’espère qu’Il viendra ce soir faire ici devant nous la même chose, qui vous amènera à dire: «C’est Jésus ressuscité d’entre les morts.»

            Prions. Père céleste, maintenant, que Tes bénédictions reposent sur les gens. Alors que Ton glorieux Esprit commence à se mouvoir, et je sens Cela se poser sur cette estrade maintenant, je prie qu’il se fasse infiniment au-delà de chaque mesure ce soir. Accorde-le, Seigneur. Je prie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que tout le monde soit respectueux. Croyez simplement au Seigneur de tout votre coeur, de toute votre âme, de tout votre esprit.

            Maintenant, ce que–ce que... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Voyez? ... une prière. Priez pour moi maintenant, allez-vous le faire? Et quand je m’en serai allé dans des pays étrangers, et que des sorciers me défieront comme ils le font généralement et tout, puis-je compter sur les gens de la Géorgie, qu’ils seront en train de prier pour moi? Que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi.

            Et écoutez, je préférerais en effet faire cette déclaration. Je n’ai jamais vu cela être défié jusqu’à présent sans que le Dieu Tout-Puissant vienne mettre tout le lieu en pièces...?... Jamais à aucun moment rien n’a été soumis au défi sans que Dieu ne vienne, toujours, confirmer que c’est la vérité. C’est vrai. Chaque fois. Vous n’avez donc pas à vous inquiéter. Croyez simplement au Seigneur Jésus et allez de l’avant, voyez ce qui arrive.

69        Maintenant, dans la ligne de prière, alignons quelques-uns d’entre eux ici. Qui a la carte de prière, qu’était-ce, S? Qui a la carte de prière S numéro, disons, numéro 1, qui a S numéro 1? Levez la main. Quelqu’un avec S numéro 1? Très bien, madame. Venez ici. Numéro 2, quelqu’un qui a numéro 2, levez la main, la carte de prière numéro 2? N’importe où? Avez-vous levé la main par là, madame? Quelqu’un avec S numéro 2, c’est vous qui l’avez, madame? Très bien. Numéro 3? Levez la main afin que je... C’est bien, numéro 3. Numéro 4? Voyez, je dois faire ça, les faire venir lentement, car ils ne... juste... Que la dame qui est là, s’il vous plaît. Très bien.

            Très bien. La carte de prière numéro 4. Ai-je vu cela? Levez la main. Numéro 5, voulez-vous lever la main? La carte de prière S numéro 5, très bien. Numéro 6, voudriez-vous lever la main? Numéro 6, très bien. Numéro 7, voudriez-vous lever la main? La dame ici derrière. Numéro 8, voudriez-vous lever la main? La carte de prière S-8, voudriez-vous lever la main, 8? Voulez-vous dire qu’elle n’est pas là? Regardez, quelqu’un parmi vous, l’un de vous. Venez ici, Frère Wood, regardez par ici, par ici, certains parmi ces gens ne sont peut-être même pas en mesure de lever la main. J’ai vu des cartes de prière déposées ici. Frère Thoms, veuillez commencer à partir de là.

70        Numéro 8, la carte de prière S numéro 8. Etait-ce la sienne? Est-ce la dame? C’est deux. Très bien.

            Numéro 8, c’est peut-être quelqu’un de sourd. Regardez la carte de votre voisin. C’est peut-être quelqu’un de sourd, et il ratera sa place. Ils... La carte de prière S numéro 8. 8? Et je vois quelqu’un pointer son doigt, mais je ne vois personne. Avec la main levée, 8, numéro 8.

            Tes bénédictions reposent sur les gens. Que le Grand, Tu vois tout, et Tu remplis tout l’espace, Tu remplis tout le temps, omniscient, omniprésent, omnipotent, le Grand JE SUIS, Tu seras toujours, Tu es l’Amant de nos âmes, le Guérisseur de nos corps, le Sauveur de notre être. Et je Te prie de bien vouloir venir maintenant oindre ces mouchoirs de Tes grandes bénédictions. Et quand ils seront posés sur les malades et les affligés, qu’eux tous soient guéris. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen !

71        Maintenant, j’aimerais donc vous poser une question, alors qu’on s’approche. Premièrement, dans la ligne de prière, là-bas, tous, vous suis-je inconnu à vous tous là de ce côté-là? Si je le suis, levez la main, tout le monde, dans la ligne de prière, à qui je suis inconnu. Tout le monde dans l’assistance à qui je suis inconnu, je ne vous connais pas, levez la main. Vous voyez donc, l’unique que je connais dans l’assistance, c’est mon associé ici, monsieur Wood et ces jeunes gens assis juste ici en bas, ainsi que ce prédicateur, je n’arrive pas à me rappeler son nom. Mais [Quelqu’un dit: «Palmer.»–N.D.E.] Palmer, frère Palmer. Et c’est à peu près tous ceux que je connais dans la–dans la réunion. Mais combien là dans l’assistance n’ont pas de carte de prière, et vous croyez que Jésus vous guérira et vous voulez qu’Il se souvienne de vous ce soir? Levez la main, maintenant même.

            Eh bien, rappelez-vous, Il connaît chacun de vous. Il connaît votre coeur. Maintenant, je prie qu’Il accorde cela à tout un chacun parmi vous. Que Son aimable Présence bénie soit toujours avec vous, c’est ma prière.

            J’aurais bien voulu pouvoir expliquer ceci à l’assistance. Si seulement je le pouvais, amis... Quelle différence par rapport à la joie de–de prêcher et d’entendre la Parole. Eh bien, Cela s’établit. C’est comme Quelque Chose qui se tient ici près de moi. C’est comme une sensation de véritable révérence. C’est Lui, Sa Présence, Son Etre. Ayez simplement foi.

72        Vous rappelez-vous l’aveugle Bartimée qui s’asseyait à l’entrée? Sa foi arrêta Jésus alors qu’Il était en route vers le Calvaire. Pensez donc. Un drôle d’aveugle mendiant arrêta le Seigneur Jésus-Christ en plein sur Sa route, et Son Esprit fixé sur le Calvaire, Il montait pour être crucifié. Et les gens se moquaient de Lui, criaient sur Lui, Lui sifflaient, mais ce drôle d’aveugle mendiant se tenait là, sa foi arrêta Jésus en plein sur la route. Et il a recouvré la vue.

            Vous pouvez recevoir ce que vous réclamez si seulement vous croyez. Très bien. Tous sont-ils en ligne, Paul? Tout est-il O.K.? D’accord. Ayez foi.

            Maintenant, cette dame ici...

            Eh bien, il se fait ce soir, assistance... Vous savez que je fais passer le temps pour une raison ; c’est tout à fait vrai. En effet, avant que cette onction vienne, on est juste comme ce microphone. Cela ne peut pas parler de soi ; cela doit avoir quelque chose de vivant qui parle à l’intérieur. C’est tout. Et maintenant, je ne sais quoi dire. Je dois simplement me tenir ici jusqu’à ce qu’Il vienne. Et je L’attends. C’est exact. C’est la raison pour laquelle nous voulions que la musique joue Crois seulement.

73        Chantons très doucement, juste une fois, si vous le voulez, ensemble, Crois seulement maintenant,

Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.

74        Maintenant, cette dame ici debout m’est totalement inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Peut-être qu’elle ne m’a jamais vu, à ce que je sache. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais vous m’avez juste vu depuis que je suis venu ici, vous m’avez vu depuis l’assistance. Eh bien, maintenant, j’aimerais que vous, madame, alors que je vous parle, sachant bien que c’est... Notre Seigneur...

            Rapportons cette petite histoire une fois de plus ; généralement, cela marche à merveille. Notre Seigneur descendait à Jéricho un jour et il est dit qu’Il devait passer par la Samarie. Je me demande pourquoi. Je pense que le Père Lui avait dit de monter là. Il a renvoyé Ses disciples, et Il a dit à Ses disciples d’entrer dans la ville pour acheter de quoi manger. Alors, pendant qu’ils étaient partis, une dame est allée au puits pour puiser de l’eau. Jésus a dit: «Apporte-Moi à boire.» C’est un entretien entre un Homme et une femme.

            Et elle a dit: «Le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser. Il n’est pas de coutume que les Juifs demandent aux Samaritains pareilles choses, des faveurs, car nous n’avons pas de relations.»

            Et Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Il a poursuivi la conversation. Eh bien, je pense... Eh bien, je peux ne pas le prouver par les Ecritures ; mais à voir comment Il opère maintenant, et alors, ça doit être ce qu’Il faisait ; Il cherchait à contacter son esprit. Le Père Lui avait dit de monter là juste comme Il m’a dit de venir à Macon. Voyez?

75        Eh bien, nous nous sommes rencontrés ici. Eh bien, Il devait donc contacter son esprit pour découvrir ce que le Père dirait. Il lui a donc parlé un petit instant, directement, Il a découvert où était son problème, et c’était un problème de mariage. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai ; tu en as eu cinq.»

            Alors, elle a répliqué, disant: «Eh bien, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Eh bien, je sais que quand le Messie sera venu... (C’était Christ), a-t-elle dit, c’est ce qu’Il fera.» Voyez, c’est le signe du Messie. Elle a dit: «C’est ce qu’Il fera.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et sur ce, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai donc fait.» Eh bien, ce n’est pas ce qu’Il avait fait ; elle était simplement frappée. Voyez? Il n’avait jamais dit... mais Il pouvait le faire si le Père le Lui avait montré, mais Il avait seulement dit une seule chose, c’était ça, là où était son problème. Elle a cru que c’était Lui le Messie.

76        Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts comme nous croyons qu’Il l’est, les Ecritures déclarent qu’Il l’est, et les Ecritures ne peuvent pas être anéanties... Il a affirmé qu’Il Le serait dans chaque génération, se manifestant jusqu’à la fin du monde, accomplissant les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Nous voici donc ici ce soir, vous et moi de nouveau, comme un homme et une femme.

            Et vous êtes une chrétienne, je vois que votre esprit est le bienvenu aussitôt que vous êtes montée, que vous êtes une chrétienne. Et maintenant, si le Saint-Esprit de Dieu vient ici et me dit ce dont vous avez besoin, peu importe ce que c’est, ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre sujet, eh bien, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas. Alors, s’Il sait ce qui a été, et que vous, vous reconnaissez si c’est la vérité ou pas, alors, Il sait certainement ce qui arrivera. Est-ce vrai? Il en sera certainement ainsi. S’Il me permet donc de savoir ce que c’était... Et maintenant, j’ai une très longue ligne de prière. Je ne souhaiterais pas trop parler aux gens, car j’aimerais les faire passer tous et d’autres encore, si possible. Si donc j’arrive simplement à trouver quelque chose, une seule chose, ça sera en ordre. Est-ce que le reste dans l’assistance acceptera que Jésus est ressuscité s’Il fait ça?

77        Très bien. Regardez simplement de ce côté-ci juste un instant jusqu’à ce que l’Esprit du Seigneur commence à se mouvoir entre nous. Oui, oui. Maintenant, cette femme-ci a été effrayée au sujet de quelque chose. Elle est une... Elle a peur du cancer. Sa maladie est dans le colon, en bas dans l’intestin. C’est vrai. Et vous avez eu peur que ça dégénère en cancer, n’est-ce pas? C’est vrai.

            Maintenant, regardez simplement de ce côté-ci maintenant. Soyez vraiment respectueux, regardez-moi juste une minute. J’aimerais vous aider. Une vision est apparue sur vous tout à l’heure. Eh bien, tenez-vous simplement... Ne–ne soyez pas nerveuse. Il–Il ne va pas... Il n’est pas là pour vous faire du mal, c’est pour vous aider. Voyez?

            Eh bien, j’oublie simplement ce qu’Il disait. Eh bien, juste une minute, peut-être qu’Il fera autre chose qui... Tenez, je–je vous vois venir de quelque part. Vous–vous êtes on dirait un peu raide ce soir. Vous–vous êtes tombée. Vous êtes tombée, c’était ce matin, d’une marche près d’une église. Est-ce... C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, n’ayez pas peur du cancer. Allez de l’avant, vous allez être guérie. Votre foi vous guérit, Jésus-Christ vous a guérie au Nom du Seigneur Jésus. Disons: «Gloire à Dieu !»

            De la mort à la vie... Quand la femme montait, il y avait un esprit noir suspendu autour d’elle. Cela a quitté maintenant (Voyez?), si seulement elle persiste dans la voie où elle est, elle sera rétablie. Peu importe ce que c’est, elle sera rétablie.

78        Très bien. Etes... ce... Est-ce vous la patiente, madame? Venez ici. Maintenant, ayez foi, croyez. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes de parfaits inconnus. Maintenant, quand la vision frappe et qu’Il se met à parler, alors ne dites rien. Ecoutez simplement ce qu’Il dit. Vous reconnaîtrez alors si c’est vrai ou pas. Croyez-vous? Ayez simplement foi.

            Notre Seigneur est merveilleux. Il n’échoue jamais. Maintenant, cette dame ici, alors que je parle avec elle, elle est... Vous souffrez des veines, comme des varices, au niveau des jambes. Oui, madame. Puis, vous souffrez aussi de l’arthrite. Je vois que c’est à peine que vous arrivez à vous lever le matin et à vous déplacer, c’est par moments difficile on dirait pour vous. C’est vrai. Et maintenant, afin que vous sachiez que je suis serviteur de Dieu, vous avez un mari aveugle. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Notre Père céleste, que les bénédictions de Dieu reposent sur elle, je prie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant maintenant et en remerciant le Seigneur Jésus. Passez directement de ce côté-ci, s’il vous plaît, vers l’homme là. Très bien.

            Ayez foi, ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur, et vous aurez ce que vous avez demandé. Maintenant, soyez respectueux.

79        Maintenant, je pense, madame... Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux. Je ne vous connais pas, et peut-être que vous ne me connaissez pas. Vous êtes ici pour une raison, et Dieu sait cela. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale ; en effet, c’est au niveau de votre estomac, et il s’agit d’une tumeur d’estomac. C’est ce qui vous a été dit. C’est la vérité, n’est-ce pas? Oui, oui, c’est vrai. Et vous souffrez aussi de l’arthrite. Et vous avez mal aux yeux ; votre vue devient tout le temps brumeuse. Ce qu’il y a, c’est un durcissement de nerf, qui se meurt au niveau de votre oeil. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus est ici pour vous guérir? Avancez juste un instant.

            Maintenant, regardez, j’aimerais vous demander quelque chose. Celui qui est ici vous connaît (Et vous savez que moi, je ne vous connais pas)... Mais il y a un genre d’onction ici, vous en êtes consciente, n’est-ce pas, voyez? Vous–vous savez qu’il se passe quelque chose. C’est Lui. Voyez? Et s’Il est si proche, alors Il parle par moi ; et moi, votre frère, je me conforme alors à Sa Parole, que s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. Est-ce vrai? Alors, je fais ceci au Nom de Jésus-Christ, afin que la vie de cette femme soit épargnée et qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Réjouissez-vous simplement.

80        Venez. Ayez foi. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Oh ! la la ! Quel temps ! Je crois simplement que ça sera l’une des plus glorieuses soirées que vous ayez jamais vues à Macon. Il y a simplement une merveilleuse masse compacte de foi partout, ça ne fait que se mouvoir, d’un commun accord. Je n’arrive guère à voir les patients.

            Vous avez quelque chose qui cloche avec votre dos. Je vois un accident, ou quelque chose comme ça, un accident d’automobile ; vous avez connu un accident d’automobile et vous avez eu mal au–au dos, cela vous fait mal au–au genou, et cela–et cela–cela vous fait mal à la hanche. Et aussi, vous souffrez de l’hypertension suite à cet accident-là. Allez en vous réjouissant, soyez heureuse, reconnaissante et louant Dieu et rétablie...?...

            Voyez-vous ce que le Saint-Esprit a fait à cette femme qui était liée? Je n’ai rien eu à faire avec cela. C’est sa foi qui a fait cela. Amen ! Ayez simplement foi, et vous pouvez recevoir ce que vous réclamez si seulement vous croyez. «Si tu peux croire...» Ne condamnez pas la dame. Si vous aviez été délivré d’une chose comme cela, vous crieriez aussi. Je sais que je crierais. Oui, oui.

81        Vous souffrez de vésicule biliaire, n’est-ce pas? Madame, là même au bout de la rangée, vous souffrez aussi de vésicule biliaire, n’est-ce pas, madame, assise ici même? Vous souffrez de vésicule biliaire. C’est vrai. Elle en souffre aussi ; ces deux esprits, une traînée de ténèbres s’est interposée entre vous. Amen. Oh ! Comme c’est merveilleux ! Maintenant, si votre foi... Vous voyez, c’est cet esprit-là qui appelle l’autre au secours. Voyez-vous? Mais les chrétiens sont en train de prier, et cela constitue un soutien. Voyez? Voyez? La bataille est engagée. Le monde n’en sait rien, mais c’est dans un autre monde, là où vous êtes... nous voyons.

            Croyez-vous de tout votre coeur? A propos, vous n’êtes pas venues de cette ville, n’est-ce pas? Vous venez de l’Atlanta. Votre nom est Annie, votre nom est Johnson, n’est-ce pas? Retournez guérie. Vous aussi, soeur. Jésus-Christ vous...?...

            Qu’en pensez-vous, vous assise là-bas, soeur, souffrant de la migraine? Là, croyez-vous que Jésus vous rétablira? Croyez-vous? C’est votre mère qui est assise là aussi, n’est-ce pas? Elle souffre de l’arthrite, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Maintenant, écoutez. Vous êtes membre de l’Eglise de Christ, ceux qui ne croient pas dans ces–ces miracles et tout, mais retournez et dites-leur que c’est vrai. Imposez les mains à votre mère et soyez guéries. Amen.

            Au Nom de Jésus-Christ, je réprimande cet esprit, qu’il parte et que la personne soit guérie. Maintenant, allez rapporter à Dieu les grandes oeuvres qu’Il a accomplies pour vous. Ayez foi.

82        Venez, madame. Croyez-vous? Non, je n’étais pas en train de lire sa pensée non plus. Non, non, ne... Arrêtez d’avoir de telles pensées. Ce n’est pas ce que je faisais. Rappelez-vous, je connais ce que vous pensez.

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît certes. Il peut me révéler ce qu’est votre problème. Je ne peux pas vous guérir, mais Il le ferait par grâce. Après avoir prêché la Parole, vous devriez croire cela. Mais Dieu ne veut pas qu’aucun périsse ou soit malade. Dieu veut que nous prospérions en santé, n’est-ce pas? Il veut que vous soyez en bonne santé. S’Il me dit ce qui cloche chez vous, allez-vous croire qu’Il est ici, que c’est Lui plutôt que moi? Allez-vous croire? Vous souffrez de l’estomac. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous n’arrivez pas à manger la nourriture grasse et tout? Vous quittez la table. Vous avez aussi un mari qui souffre de diabète. C’est vrai. Vous n’êtes pas de cet Etat. Vous venez de la Caroline du Sud. Vous êtes dans une équipe de six (Est-ce vrai?), trois hommes, trois femmes. Retournez en vous réjouissant et soyez rétablis au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            «Crois-tu? Tout est possible si seulement tu crois.»

            Ayez foi.

83        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Oh ! la la ! Oh ! Que c’est merveilleux ! Petite dame, assise juste là en retrait, vous avez mal au dos, n’est-ce pas, vous assise là au bout du siège? Vous souffrez du dos, n’est-ce pas? Vous portez un appareil orthopédique sur votre dos en dessous de vos habits. N’est-ce pas vrai? Quand vous retournerez chez vous à la maison, enlevez-le. Votre foi vous a guérie, Jésus-Christ vous a rétablie. Oh ! Il est merveilleux. Croyez simplement ; vous pouvez recevoir.

            Vous souffrez de la tête, n’est-ce pas, madame? Et je vois quelque chose au sujet de quelqu’un. Vous avez un membre de famille, c’est une petite fille, elle a connu un éclatement de veines au niveau de la tête, et elle saigne maintenant même. Rentrez à la maison, Jésus-Christ vous guérit. Votre foi vous guérit. Amen !

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Et vous avez été guérie tout à l’heure quand vous montiez. Jésus-Christ vous rétablit. Poursuivez simplement votre chemin, heureuse et en vous réjouissant.

84        Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je–je ne suis pas... Venez ici, madame, afin que quelqu’un ici sache que je ne suis pas en train de lire votre pensée. Posez votre main sur moi comme ceci pour juste établir un contact. Je ne vous ai point regardée, pas plus que pour voir que vous êtes une femme, que vous traversez l’estrade. Je ne vous ai jamais vue. Sans regarder votre esprit, je ne pense même pas à ce qui cloche chez vous. Mais croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous? Si Dieu me révèle (alors que je regarde de ce côté-ci, sans même vous regarder, je regarde de ce côté ici) ce qui cloche chez vous, allez-vous lever l’autre main si c’est la vérité? Vous avez une tumeur.

            Voyez, je ne suis pas en train de lire sa pensée. Cela vous a quittée, madame. Poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant et soyez guérie. Très bien.

            Venez...?... Que Dieu vous bénisse, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie pour la gloire de Dieu. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur.» Très bien.

            Venez, madame. Vous aimeriez guérir de ce trouble d’estomac. Allez alors prendre votre souper et dites: «Merci, Seigneur», et soyez guérie. Que Dieu vous bénisse...?... Disons: «Gloire à Dieu !» C’est bien.

85        Regardez, il y eut une fois une croix au sommet d’une montagne d’où a coulé le précieux Sang du Fils de Dieu ; une transfusion par la foi depuis cela ce soir ôterait tout le diabète et vous rétablirait. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela? Recevez alors cela, au Nom de Jésus-Christ. Amen ! Que Dieu vous bénisse. Allez.

            Voudriez-vous venir, madame? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous souffrez d’une maladie gynécologique, un trouble féminin, ça vous dérange beaucoup, cela a formé un abcès ; mais Jésus-Christ peut vous rétablir. Croyez-vous cela? Je réclame donc votre guérison. Au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous recevoir cela, amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» Amen !

            Très bien, madame, venez. Ayez foi. Croyez-vous tous? Que Dieu soit loué.

            Maintenant, la dame ici debout... Est-ce la patiente? Très bien. Maintenant, madame, je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Vous m’avez vu une fois. Eh bien, je ne vous connais pas, c’est ce que... Il n’y a aucun moyen pour moi de vous connaître. Mais Dieu vous connaît ; Il sait ce pour quoi vous êtes ici. Si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, accepterez-vous votre guérison?

86        Le vieux gentleman assis là avec des cheveux blancs, une barbe blanche, monsieur, vous souffrez d’une hernie, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

            Je vois une attraction venir de lui, là, d’un... Il y a un homme assis derrière lui là en petit noeud bleu. Il souffre aussi d’une hernie. Croyez-vous? Oui, oui. Voudriez-vous être guéri? Très bien. Vous avez une mauvaise habitude que vous aimeriez abandonner aussi, n’est-ce pas? Oui, oui. Cessez alors de fumer la cigarette. Allez de l’avant et servez le Seigneur ; cela s’arrangera complètement. Amen !

            Gloire soit rendue au Dieu vivant, Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha, le Grand JE SUIS, non pas J’étais, JE SUIS, l’Eternel, Celui qui était mort et qui est encore vivant, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du Matin, la Rose de Saron, le Lys de la vallée, le Tout Tendre, le Tout-Suffisant, le Dessein global, le Tout-Puissant. Que Ses bénédictions soient élevées aux siècles des siècles. Amen !

87        Excusez-moi. Regardez, c’est vous la patiente. Je suis... je ne sais pas. Soeur, je–je–je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Mais maintenant, vous vous tenez là avec votre main levée et vos yeux fermés, mais le Seigneur Jésus sait tout à votre sujet. Il... je... Si je pouvais vous guérir, je le ferais, mais je ne le peux pas. Je ne peux pas le faire. Mais vous souffrez d’une maladie gynécologique. C’est une maladie de femmes. C’est vrai. Et vous vous intéressez aussi à quelqu’un d’autre. C’est un petit garçon, aux cheveux un peu châtains. Il porte des lunettes. Il souffrait des reins. Et je vois quelqu’un debout à côté de vous. C’est un... brun... Oh ! C’est votre femme, monsieur. Eh bien, que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Alléluia ! Grâces soient rendues à Dieu !

88        Vous voyez que cet homme a un cornet acoustique à son oreille. Inclinons la tête juste une minute. Je ne sais pas, c’est un esprit de surdité qui est sur lui. Il peut y avoir d’autres choses que je ne peux pas dire. Inclinons la tête et que personne ne lève les yeux jusqu’à ce que je... vous entendiez ma voix dire: «Levez les yeux», maintenant, car ceci doit être chassé. Gardez donc vos têtes inclinées et attendez donc ici. Croyez-vous de tout votre coeur?

            Notre Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, bénis cet homme que je bénis en Ton Nom, et que cet esprit mauvais qui essaie de lui ôter la vie, de l’amener à marcher devant les véhicules quelque part et être tué, et lui ôter la vie avant que son temps arrive, prématurément... Satan, nous t’adjurons par le Dieu vivant, le Seigneur Jésus, quitte cet homme.

            Depuis combien de temps êtes-vous comme ça? [L’homme répond: «Depuis que j’étais dans l’armée.»–N.D.E.] Est-ce exact? M’entendez-vous très bien maintenant? M’entendez-vous maintenant? Vous êtes parfaitement normal. M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous? M’entendez-vous maintenant? Je suis juste en train de chuchoter, juste à peine chuchoter. Vous L’aimez de tout votre coeur. Très bien, vous pouvez relever la tête. Regardez ici, voici son cornet acoustique. M’entendez-vous très bien? Dites: «Gloire au Seigneur !» Vous y êtes. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et dites: «Grâces soient rendues à Dieu !»

89        Très bien. Venez, madame. Voudriez-vous guérir de cette tumeur-là? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Levez la main et dites: «Je L’accepte de tout mon coeur.» Au Nom de Jésus-Christ, je réprimande ce démon qui veut retirer la vie de cette femme. Sors d’elle, au Nom de Jésus, amen !

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            Et si je vous disais que cela a été guéri pendant que vous étiez assis là dans un fauteuil, me croiriez-vous? Alors, poursuivez simplement votre chemin, heureux, en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            La maladie du coeur tue plus de gens que n’importe quoi, mais Jésus sauve. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela pour votre coeur maintenant? Amen. Alors, au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous être guéri. Amen.

            Très bien, voudriez-vous venir, madame? Croyez-vous, madame, de–de tout votre coeur, de tout votre esprit? Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit maintenant même? Il le fait. Je vous impose les mains, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et je demande que vous soyez rétablie. Amen.

90        Monsieur, assis là souffrant de prostatite, croyez-vous que Jésus vous guérit et vous rétablit? Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Votre nom, c’est monsieur French, n’est-ce pas? Vous... Oui, monsieur. Est-ce vrai? B. French, est-ce vrai? Levez votre pied. J’ai entendu un Ange de Dieu citer votre nom. Votre foi vous a guéri, monsieur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Amen.

            Le diabète, Dieu guérit simplement cela comme n’importe quoi d’autre, n’est-ce pas? Au Nom de Jésus-Christ, je réclame votre guérison. Amen. Allez, heureux et vous réjouissant.

            La petite dame qui vient de quitter ici il y a quelques minutes, avant cette dame-ci, quand vous vous teniez là dans la ligne de prière, madame, vous aviez éprouvé une sensation très étrange vous envahir, quand vous aviez inauguré la ligne de prière, n’est-ce pas? Cette dame souffrait de la même maladie, n’est-ce pas, madame? En effet, vous toutes deux, vous souffriez des reins. Voyez-vous? Vous avez été guérie, vous avez été guérie avant même que vous montiez ici, poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant, disant...?... Amen...?...

91        Croyez au Seigneur Jésus. En effet, monsieur, j’ai... portez des lunettes, nous savons qu’il pourrait y avoir quelque chose qui cloche à vos yeux. Peut-être qu’il y a autre chose. Vous souffrez de l’arthrite. C’est vrai. Vous devenez de fois très raide, n’est-ce pas? Et puis, quand vous essayez de vous déplacer, parfois, vous soulevez votre pied de côté quand vous êtes assis comme cela, pour vous éloigner de quelque chose. Vous n’aurez plus à le faire. Votre foi vous a guéri. Allez, au Nom du Seigneur Jésus, et soyez rétabli. Amen.

            Ayez foi. Oh ! la la ! Ami chrétien, si seulement vous saviez, le Saint-Esprit semble donc comme s’établir sur le bâtiment, sur le lieu.

            Croyez-vous, madame? Feriez-vous ce que je vous ai dit? Eh bien, comme vous vous tenez ici, toute votre vie vous avez été nerveuse. Vous n’êtes pas une personne nerveuse qui s’agite, mais vous êtes une personne nerveuse par la réflexion. Vous envisagez toujours des choses à l’avance, vous planifiez des choses à l’avance. Généralement, ça n’arrive jamais comme cela. Nous appelons cela traverser le pont avant d’y arriver. En faisant cela, vous avez développé un trouble d’estomac. C’est vrai. C’est un ulcère d’estomac. C’est la nervosité. Eh bien, cessez d’être nerveuse. Ça ne sert à rien d’être nerveuse ; Jésus est avec vous. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, en remerciant Dieu, en Le louant, et vous serez complètement rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ayez foi. Croyez-vous?

92        Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous sommes... Nous ne nous sommes jamais rencontrés et nous nous tenons ici, l’un, un homme blanc, et l’autre, un homme de couleur: deux nations différentes. Mais Dieu sait qu’il n’y a pas de mur de séparation entre nous et Christ. Vous souffrez de quelque chose qui cloche au niveau des genoux. C’est vrai. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une autre ville appelée Ford Valley, quelque chose comme cela, Ford Valley, Géorgie. Et vous êtes un prédicateur: F. H. Henderson. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur Henderson ; Jésus-Christ vous rétablit.

            Est-ce... Hein? Est-ce faible? Ayez foi.

            Qu’en est-il de vous ici en bas sur des fauteuils roulants? Je vois mon jeune garçon me tapoter sur le flanc ; je sais qu’il se passe quelque chose, mais regardez encore une fois. Soyez fidèle ; ayez foi.

93        Cet homme-ci était en train de prier ici il y a quelques instants. J’ai vu la Lumière se tenir au-dessus. C’est au sujet d’un enfant assis là dans le fauteuil roulant. Chéri, crois-tu que Frère Branham est serviteur de Dieu? Crois-tu? Veux-tu être guéri? Crois-tu que Dieu te fera sortir de ce fauteuil roulant? Tu es juste un enfant ; tu ne peux pas avoir la foi pour toi-même. Papa, imposez-lui la main. Maintenant, ce démon qui lie son... Satan, au Nom de Jésus, lâche l’enfant. Lève-toi de là, chéri. Sors du fauteuil roulant.

            Vous y êtes. Repoussez son fauteuil roulant. Tu es rétabli maintenant, chéri. Le vieux...?... trouble te quittera.

            Le reste parmi vous, levez-vous partout. Voulez-vous être guéris? Peu m’importe ce qui cloche. Satan, tu as perdu la bataille. Tu ne peux plus retenir ces gens davantage. Sors d’ici. Au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure de quitter ce groupe de gens. Chacun d’eux peut être guéri. Sors ! Quitte ! Au Nom de Jésus-Christ, que tu quittes cette assistance et que tout le monde soit réta-...?...

E-1 Thank you very kindly. Thank you sir.
Good evening, friends. I'm happy to be here tonight to service of the Lord Jesus Christ, and to see this lovely crowd of people out. I believe if they had what was on the ground, up in the place, we'd just about have it filled up tonight.
So we're very thankful to see this nice beautiful audience. We wouldn't want you to go up, if you set here because it would... you want to get in close to the service. And we wish it was so we could have everyone right around where we were standing.
And just as I come up to the platform just now, the boy run. Someone give the--my boy there, this string from the little water head baby that was spoke to the other night here. And here's the string from the first night, about an inch and a half. And then the second night is an inch or better gone the second night, again. So that makes right on between three and four inches, shrunk in the last forty-eight hours. We thank and praise the Lord for His goodness.
I was just thinking; that's six paralyzed people setting in wheelchairs that's got up out of their wheelchairs and walked in this meeting, went away. And many of them on cots and stretchers and different diseases of their bodies are reporting the Lord Jesus has made them whole. So that certainly is wonderful, isn't it? We're happy for all this and we give God praise for all of it.

E-2 Now, may His blessings be upon you. Now, I want to take this opportunity to say that this has been a great meeting to me. I've had many times as more people out, but it's been a real good, solid meeting, and we have enjoyed every bit. I speak for myself and my party, or my party and myself, rather. And to my minister brothers, the ones who has sponsored this meeting, it's indeed been a pleasure to me, brethren, to be with you here under your sponsorship. You've done a marvelous job of advertising, cooperating, and all. And I am sorry that I didn't get to meet each one of you personally and shake your hand.
I been a little handicapped, brethren, in this time. Nothing of your account, but on account of Brother Moore, he didn't get here, and we was without a manager.
Mr. Wood, my dear beloved brother here, he never tried to manage a meeting, and he wouldn't know how to do it. And I've got a boy here, that's just a kid, so he wouldn't know what to do. So... And to be honest, I wouldn't know what to do. So we just had to do the best we could, and you've been very fine, and I appreciate you.
And I hope that someday that I can be back with you again under the same sponsorship, to have a longer, and maybe God give us a greater meeting. And I pray that it'll, this meeting will be a great thing to all your churches. May your churches grow. May the blessings of God rest upon each one of you. And may the great ministries come out of your churches, evangelists, and so forth, to go forth in this last day in the service of the Lord.

E-3 And to you people, it's been your finances that's paid off all of our debts. My boy has tried to take care of it this time and it's new to him, and he's tried his best. And he said, "Well, daddy, we're leaving without owing a penny and everything," and said, "they are giving you a love offering tonight. It'll be free."
I always take my love offering... I usually get it at the end of the service, and if they don't have the debts paid up, why, I use that to pay up the debts, and to try to... We don't never want to ever have a pressure put on a meeting, no time. I just wouldn't stand for it. I never have. And we're not here to get people's money. We are here to help you, to do everything we can to let you be in closer contact with the One Who we all love, the Lord Jesus Christ. And that's our sole purpose of being in any meeting. And if I would've took the money, not that's been that I asked for, but money that would been given to me, I'd be a multimillionaire.
I had a million five hundred thousand dollars give to me in one bank draft, and I refused to put my hands on it. And I--I wouldn't have it, 'cause you... There's about three things that you'll watch, that'll really start a minister on the downgrade, and one of them is money: money. Then popularity, when you think you're something when you know you're nothing; so, popularity. And then go to running around with some woman or something. That, then, one... Them three things, then you're... you... Those things, you keep free from that, and God will take care of the rest of it for you. If you just keep your head thinking right.
And with God's grace I've tried to shun all those things. I've refused money, ranches, and everything else that people had give me. Why, I'd refuse to take it just for that purpose. I don't want to be bothered with it. I just want enough money to run this meeting, and God will supply enough for the next meeting when we come to it. And then if He don't supply it, maybe I was out of His will.
So then, and that's the way I try, and I... And then, for popularity, I've shun that. You know that. And I know that I am nothing, and I... Where did... Like God told David, "I took you when he was in a sheep cote." And that's where I was at too, only worse than that. And He loved me. And I--I have three meals a day, and healthy, and can eat. And I have a little home up there, the parsonage, that belongs to the tabernacle that I used to pastor. They could put me out, but they wouldn't do it. So I've got a place to stay, three lovely little children, and this boy here, and I--I'm--and a lovely little wife. And I love her with all of my heart. The only woman in the world that I--I love. And so that--that settles that, and I hope that God will always keep me that way.

E-4 And so I am very happy to be in this service, and to find this, my first time in Georgia. But it's certainly, I... You've certainly been taught grace down here, and know how to take a hold of God.
I wish that Brother Moore would've been here so the meetings could've been of--of more force.
If I have to preach... Last night, my boy taken me a little early, when what I thought he should've done. But he said, "Daddy you turned completely white."
If that boy would give hisself over to God... He sees visions too. And, but he just in the adolescent age, and you pray for him. I keep him in the meetings because I know what young life is. I was young once myself. And I been both mother and daddy, both, to him. His mother died when he was just a little bitty, eighteen month old baby. And I've raised him, packing him in my arms, put his bottle under my coat here and keep it warm in wintertime, put it under my pillow at night to keep it warm by my own body. And he's just been raised up on my arm. So I--I--I love him, and he goes with me.
And we're leaving straight from this meeting to go over to Zurich, Sweden, right away... Zurich, Switzerland, rather, right away. And we've traveled world over together. Pray for us as we go.
And every penny that you people give in this love offering tonight... I wished I didn't have to take that. I--I just wished I didn't have to do it. But I--I have to, in order... I have no other way of making a living, just by the alms of the people is the way I live.

E-5 And another thing, I--I have a great expense at home. My expenses, whether I'm in a meeting or not, runs me between seventy-five and a hundred dollars a day. I send out thousands of letters and everything, across the world, around the world; and books and--and everything, so my expenses are pretty heavy.
And then every penny, when I get a love offering, I go see how much behind we are at the bank. I pay it off, and just pay up enough for then. What I have left over, it goes right straight in foreign missions, to go overseas, to help the people over there. And I--I'm sure, by the grace of God, I'll spend every penny of it as reverently as I know how for the Kingdom of God. And then at the day of the judgment when we all meet together, you'll find out that the reason the black man, or the yellow man, or somewhere in the other nations, it'll be your money that helped send me there to get him saved. And he, I know you'll shout the victory through the ages that is to come, over it.
And I'll be... I'm your brother and I love you. And I used to say this: The night never gets too dark or the rain never falls to hard but what I would come to you. I said that when I first started. I wished I could now. But there's just too many. I--I couldn't do that. But I'll be glad at any time to pray with you by the phone.
Write to me if you want one of these prayer cloths. If I'm home. Now, if the little thing that's made up, will be made up by a mimeograph machine. But the cloth, I have individually prayed over. I know what if it was my baby sick and I had confidence in some brother that God heard his prayer, I wouldn't want some secretary to make it up; I'd want it to come from him. And so they say do unto others as you'd have do unto you. So if you need one...
Now, I'm not saying this. I know a lot of radio talk, with the brothers who has radio programs, they want you to write to them so that they could get your address, and--and send to you for offerings and things. That... You won't get a letter like that, friend.
And I believe that your money belongs in your church. Just exactly where--where it belongs. And you put it in your church, your tithings and so forth to support your church. I'm don't... I'm just trying to help you. You don't have to send one thing. Just send it to... Everything free. Just, you need a prayer cloth, keep it. If it isn't here tonight and you miss yours, you send. If you want one just to keep, you send in--put it on an Acts 19 in the Bible and when sickness strikes your home go pin it on your child if it's got the croup or whatever it is and then believe God with all your heart. And it's absolutely yours free, no charges to nothing. And just want you to be helped of the Lord.
And if I never get to see you no more this side of glory, on the other side I hope that we set down by the evergreen tree, there by Christ the Fountain of, inexhaustible Fountain of Life and we shake one another's hands and have a thousand years with each other to talk it all over, over in the other world.

E-6 The sun's a setting, friends. We got to work now. I love you and I know you love me. And I appreciate everything that's been done. The good Lord bless you is my sincere prayer.
And shall we bow our heads just a moment. Precious heavenly Father, tonight we are come to the close of this marvelous Macon meeting. After this being the tenth night of seeing Your great mighty hand move through the people, and the great infallible evidences of the resurrected Lord Jesus Christ moving among the people, revealing their sins on the platform, healing the deaf, the blind, the spastic, the crippled, the lame, the halt, the cancer, heart trouble, making them well, showing Your great signs that You're still the living God, that death only glorified You, and You rose again and alive forevermore. And it's helped our hearts so much, Lord. And it'll help this part of the country, Your visit here with us. And we're so happy.
We pray, God, that it'll--it'll increase the membership of every church through Georgia. God grant it, and may the results cause an old fashion revival to break out and go nationwide, and homes that's broke up will be reunited again, men and women who are away from God will come back again. And those who are away from the church will come back and come into the fellowship again. Grant it, Lord.

E-7 And soon send Jesus, the great Shepherd of the flock, for we're longing to see Him, and to look upon His face, and to love Him, and express our adorations to Him. How we'll praise Him and adore Him for all He's done for us, and tell Him that when the way got weary and we got tired that He was always there to meet us and to help us. Oh, we love Him tonight, Father. And we pray that His great blessings will remain on every church through this community, and every house, and every individual, that's had anything to do with this meeting. And may it all be to Thy glory.
Now, as we're approaching the last part of the service or the closing of this service, we pray that You'll give us a double portion tonight of Thy blessings. May the Holy Spirit come and bless every heart here. And do in our midst tonight, Lord, the exceedingly, abundantly above all that we could do or think. And we'll return and give Thee all praise, for we ask it in the Name of Thy beloved Son, the Lord Jesus. Amen.
I'm not very good at expressing and telling people what--how I appreciate them and so forth. But I hope that God Himself, the Holy Spirit, will express to every heart just the way that I feel about you tonight.

E-8 This--this is not a easy thing. And I--I'm not an isolationist. I love my brethren. And just about time I get acquainted with people, and just get to know one another, and begin to feel, then their confidence begin to raise up, then I have to say good bye; I got to go somewhere else. See? But one of these days we're going to meet where we'll never say, "good bye." Right. We'll have plenty of time then. God understands, and I hope that He will reveal it to your heart.
Pray for this Swedish meeting coming on. I keep calling it Sweden. It's not Sweden; it's Switzerland, Zurich. We're looking for about one hundred fifty thousand people at the first meeting at Zurich, Switzerland.

E-9 When I was up just by the way, the vision that really led that great meeting in Finland just recently; that vision come when I was in Georgia, passing through here on a train. I seen a little boy being raised from the dead. I went to down in Miami and there predicted it before thousands of people. Was anybody at the Miami meeting that's here present tonight when I predicted? I see some hands going up here, here. That's good. Well, that's fine.

E-10 You remember what I said? He told how the boy would be looking. He'd be killed by an automobile accident. There'd be stones laying lapped like that and green timbers standing up. The little boy'd have kind of what we call a crock haircut, brown eyes. His foot would be run through his little sock and so forth. That's just the way it was. I predicted it all around over the United States.
Two years later I was in Helsinki, Finland. We went from there up to Kuopio; that's in the Laplands. Coming down off the mountain one day... I seen we was having a marvelous meeting, and we'd went up there to show me the tower where they used to watch where the Germans would come in and--and bomb their little city over there and--and the Russians.

E-11 And on my road down I seen where a--a American made automobile had struck two little children, hit one under the chin and knocked him over against the tree, and crushed his brain against the tree, the fender. And the other one, run right over the other little boy and rolled him up under, and he kicked him way out across the road, and he was laying dead with some coats over him.
And the people in Finland they--they live in the city and--and farm out in the country and walk back and forth, very poor people.
And I, Brother Moore, and Brother Gordon Lindsay, and them went over to take a look at the little boy. And they come back and they were crying; they said, "Brother Branham, you ought to go see him."
I said, "I don't want to see him."
I'd been gone to France and England and many places, and I had a my little Billy Paul was just about that age then. I was homesick to see him, and I--I didn't want to go see that little dead boy.
So finally they persuaded me to go over. And when I went to look at the little lad, I looked down at him, and my heart was breaking to see the little fellow, and I turned away.

E-12 And when I turned away Something laid It's hand on my shoulder. I thought it was Brother Lindsay. And I looked around was nobody around me at all and a hand was still on my shoulder. See how stupid a preacher can be? So I looked down and I couldn't make it out what it was. And I looked again and I said, "Would you raise that coat back?"
And they'd gone to get the father and mother, and I just thought how that little father and mother's going to feel when they come in and found their little boy laying there dead. And he'd been dead about thirty minutes then. And they'd gone out in the country to get the father and mother.
And I said, "Would--could I look at that again?" So the interpreter spoke, and they raised it up. And I thought... Well, where... And I happened to look up and here come that rock's lapping down like this and them green timbers. I seen the little crock haircut, little brown eyes set back. Every bone in his body was broken, and his foot run through his sock. It was that boy perfectly.
And I said, "Brother Moore, come here, you and Brother Lindsay. Look in the flyleaf of your Bible."
Said, "What's the matter?"
I said, "Read the flyleaf of your Bible." I asked everybody to write it in the flyleaf.
He looked down there and said, "A little boy'd be..." He said, "Well, Brother Branham, that's the boy."
I said, "That's him."
Oh, my, what a feeling. I don't care how many. You could take every scientist in the world, and stand them there, and every demon out of torment could be standing there, it's going to happen anyhow. It don't take faith then. God's already said it. It's going to be done.

E-13 I said, "If that little boy isn't on his feet in the next five minutes, I'm a false prophet." See? And we knelt down there, and all of them got back. And the main man of the city, the chief man, something equivalent to a mayor here in the--in the states, he was standing there. They backed over away. And I knelt down just the way the vision told me, and prayed for the little lad, and said, "Lord God of heavens and earth, over in the homelands you showed me this vision while passing through Georgia one night." I say, "I pray to Thee, Lord God, that now that You'll confirm the Word, that they might know that You're still the Lord Jesus, and that Finland might know that You're the resurrection of the dead." And laid my hands over on the little boy according to the way He showed it... Had to be everything just the way the vision was. And I called for death to give his little life back. He jumped up begin screaming and running around.
That's all over Finland. I've got it at home by the mayor's signature and everything. It went out over radio.
That night you couldn't even get into the place for six or eight blocks. They had Finnish soldiers out there guarding the way.

E-14 And I--I want to tell you something, friends. Now, I'm not a politician, but they say there's no Christians in Russia. That's an error. There was those Russians. If you live in Russia it'd be forty miles from where you was born at, you'd have to have a visa. Many of those fine Christians come over there.
And when they was standing on the street, when them Finnish soldiers bring me down, they stood at attention with their Russian salute and the tears running down their cheeks and said, "I'll accept a God like that." That's right, see? They're just tired of creeds and forms; that's all.
Anybody that's--that's mentally balanced will receive a real true and living God that raises the dead. Certainly they will.
And here not long ago I was talking to Baron Von Blomberg. Probably you know him, he's a good friend of mine. He had a little German prisoner, was from overseas, and he got him out behind the iron curtain and he said, "Brother Branham, I'm surprised that your meetings no better known than it is here. It's better known behind the iron curtain than it is on this side, from the resurrection of that little boy." He knew about it, that it happened.
I remember... If we got just a moment's time... It's a pretty night, so let's just take a moment's time and finish this little up, if you will.

E-15 I'd like to tell you about the other little boy. That night something happened as I started into the Messuhalli, they called it. They had put twenty-five thousand in, and then they'd make them go out and let another twenty-five thousand come in just to hear you speak. And so when I started in that night, I went into... They're very poor... As I went through the room, Mr. Baxter, my manager was singing at the platform. And they were trying to sing "Only Believe," them Laplanders. And you... My, you should've heard that. And so then when I started up into the place, I went through this room there, and the ladies dormitory was on the side and restroom. And when I--I... These four little soldiers, poor little fellows, them Russians had killed them off till they, the boys never shaved in their life, just little slick face... It's pitiful looking sight to see them little boys not over fourteen, fifteen years old, big old long coats, big boots, beating along there. And they had their little rifles, and they was keeping the crowd from me out making them clear the way as we went down for six city blocks trying to get in.

E-16 And then when we got in there and started through, well, coming out of the dormitory there was a--a little girl stepped out. And they'd had orders if they seen me on the street not to say one word. Everything like that you know so we could get out, 'cause I was about to die. There's just... Imagine what a services that would be. And I'd get I...?... in the afternoon service, I'd get some of that old money that they had, go out there and buy a lot of candy, and I'd have a string of kids from here back out to the gate. I just love children anyhow.

E-17 And so that night going into, the little Finnish girl stepped out, her little ragged hair, and she had a little skirt on and little rags hanging down from it. And she had a--two crutches under her arm, and she had a great big brace wrapped around her like this and buckled in the back. And she had one leg was a little shorter than the other. And this right leg didn't have any use of it, couldn't use it. And she had right in the toe of her shoe, she had a strap and a snap. So the snap come up in a piece of leather went over her back and hooked over into this big brace back here. She had two crutches. And then these braces come up and braced this leg and made it strong. Then when she started to walk, she'd raise her little shoulder up like that and raise that little leg up, and set it out like that, with this strap would pull it up (There's no leader control of it.) and set it out; then she could walk. Her other leg was all right. She'd set her little crutches out like that, then she'd walk.

E-18 And when she stepped out and throwed her little crutches out, she looked at me; she bowed her little head; she thought she'd done something wrong. And I looked at that poor little fellow. I--I knowed she wanted to come to me. I looked at her and I stopped. The other two soldiers walked on. They turned around these other two that I couldn't... They couldn't speak a word of English, and I couldn't speak any Finnish. So they was trying to make me go on, and I just stood there. And I kept motioning them not to do it. And I looked at that child, no one in there but just--just the--the two--the four soldiers, myself, and the little girl. And she looked at me. She thought she'd done something wrong. I said, "You want to see me, honey?"
And she--she didn't, 'course couldn't know what I was talking about. And I motioned to her like that. And I watched that little fellow, and she come over, and she put her crutch out, and her little shoulder, and she moved over till she got right up close to me. And I just stood and looked at her, she what she'd do. And she got right up close to me. And she reached down and took a hold of my coat, and picked up my pocket, and kissed me on the pocket. Dropped her little--my coat down and the little... The word "thank you" is "Kiitos." And she stretched her little crutches out, and took her little skirt, and pulled it out like that, and she said, "Kiitos." And she looked up, and her little lips a quivering, the tears running down her little cheeks...
I come to find out she was a little war orphan. Her mother and father had been killed in the war. And--and they was just... She was just tossed about wherever she could.

E-19 I looked. I thought, "God, if I was the biggest hypocrite in the world, You'd--You'd honor that child." See? "From her--from her faith." And she kissed me on the pocket, and then thanked me, pulled her little skirt out like that, and said, "Kiitos." And tried to peg away.
And I put my hand on her; I looked as I did. I seen a little girl going walking like a shadow with no braces at all on, going walking along like this. I said, "Sweetheart, look, look. Oh, if I could only tell you." I said, "Honey, you're--you're healed. Oh, my." I said.
And about that time Brother Baxter burst through the door, and said, "Brother Branham, you're late; come on." And he grabbed me by the shoulder and in I went. So I started on through the service and got about, oh, I guess, about almost through till my brother and them run up, begin to pat on the side. I know then, I would go kind of semiconscious when them visions are on. And It would reach out there in them audiences and tell those people their name, like "Runningwater" his name was. And they'd have to interpret to tell it what it was, and tell them where they lived and what their name was, and all about it. I tell you, them people just throwed down crutches, and canes, and get up off of cots, and go healed. That was all. They was just--just carried away.

E-20 And then, when... You didn't have to lay hands on them. You didn't have to say a thing, just let them know that God was there, and that was all was--all was necessary for them folks. So then, when I looked around, I said... Howard kept telling me, my brother, he said, "Let's go." And he was going to put my arm up around his neck.
And I said, "I just wish we could just stay just a little bit longer."
And so when he said, "All right." And so the next one, they helped up, by God's sovereign grace, it was that little girl. And here she come across to me. And she was smiling, you know, with these little crutches.
And I said to the interpreter there, Mrs. Isaacson... And she may be sitting in this meeting for all I know. So I said, "Mrs. Isaacson, just say what I say." I said, "Sweetheart, you're the little girl that was out there, that caught a hold of my coat. And she nodded her little head. I said, "Jesus made you well, sweetheart." I said, "Now, you go over there, and let some of the men take the braces off you, and as you go, take the braces off, let your little hands go down, just as much as your little leg is short, then come back and show Brother Branham."
I called the next... Reminded me of the little girl setting here last night. When I seen that little child, I seen the father take the brace off of it, as soon as he got before me like that. Then last night when the Spirit of God struck me, I seen the little child going walking away. I knowed it was going to be all right. And so it went right on away, whole.
So that's... And then that little--little fellow when she went over there, I called someone else. In a few moments here she come across the platform with braces, crutches, and all over her head, running and screaming to the top of her voice. Now, her picture and address, I think, and everything's in our book out there.

E-21 Then when I went in that night, there'd been that other little lady, this little boy was mashed up. He had never come to. He was in what they call the hospital, just a house like there. Had one doctor and three or four ladies in there taking that care of--for nurses. And, oh, it was a pitiful sight. And they... The little lady, when I'd go in, they'd have to pull me over at the hotel. "Come, heal my little boy."
Well, we told her that was against the rules for me to leave the campaign and go to one, 'cause you... One's just as dear to one as the other. So we couldn't get her to understand. And finally, that day she'd been over there. And they wanted me to go over. And I told them, I said, "Bring her up, and let me talk to her."
So her and her husband come up, just young folks, about twenty-five years old. And she said, "Well, go over and heal my little boy." Now, it was through an interpreter.
And I said, "Well, I didn't heal that little boy." I said, "Over in the homelands, God showed me a vision about the little boy."
She was a sweet little woman. She said, "Go, see vision for my little boy."
I thought, "Well, that's awful nice, but I--I--I can't do that. I--I have no way of seeing vision; it's what God shows. It's the sovereignty of God. It isn't me." So I said, "Are you a Christian?"
"No."
"Is your husband a Christian?"
"No."
"Well," I said, "then if want to find favor with me, you'd do something for me." And I said, "That's the way with God. Now, if your little boy dies, goes to heaven," I said, "then if you die a sinner, you'll never see him no more. And if you're a Christian and he dies and go to heaven, then you go to heaven; you'd be with him, where we'll never have no more accidents." And I said, "Then in doing that, you might find favor with God."

E-22 Well, she couldn't lose on either side. So she... They got down and give their hearts to Christ. Now not just a make-on, they really got up. Of course, the father, he got up crying; he was ready to go on out home, you know. So the little mother said, "Now, go see vision for my baby."
So, I said, "Well, I wished I could. But you go on..."
She said, "Go out to the hospital."
"No." I said, "You go on home, if the Lord shows me anything, I'll do... I'll come tell you."
So about every fifteen minutes, she'd call up. "Brother Branham seen vision yet? Brother Branham seen vision yet?"
So of course, that's the mother for her baby. And then, along about that night, after I got in from the meeting, that little girl had been healed, and many more. I was standing up, it was about eleven-thirty or twelve o'clock, you could read a newspaper on the street; that far up in the Laplands, it doesn't get, just... There's just one day a year, one day and one night. You see? Six months it's dark, and six months, the sun's up, and six months it's down.
Now, I had this Bible. And I had it over my heart, and when I come in, my brother Howard, said... Now, if there's any Canadians here, I don't want to this to take offense at this, brother. But, we was in Canada, one time, and we got some candy. And oh, my, it was bad. They just didn't have the ingredients to put in it, like here in America. So Howard give me a couple pieces of candy, my brother. Said, "You talk about that Finnish--that Canadian candy; taste that once."
So I went in, went to my room. And Brother Moore and Brother Lindsay went together, and Howard and Brother Baxter, and all of them went their rooms. But I stay by myself all the time, on account of the visions. So I went into the room. And I just laid the--on the table the piece of candy down, stood around like this. And I was looking out towards the east, and I said, "Great Jehovah God..." Seeing those little Finns coming through that park a screaming and praising God, and I said, "Great Jehovah, someday You'll come. Oh, how marvelous it'll be when You come." And praising Him. And I heard something go [Brother Branham makes a sound--Ed.] click, set down like that. And there was a--a little long glass set down in front of me. And it had two, now, I think they're called jonquils or some... They're Easter flower to me. You look like one of these old phonograph horns, you know. And two of them was setting there, and one of them was laying that way, and one was laying this way. The one laying that way was laying all the way flat. And this one was going down like that.

E-23 And I thought, "Well, where did that come from?" And I looked over to my right hand side, there He stood, that big Fellow, dark hair to His shoulder, had His arms folded, the One that always speaks to me, the One that does the talking right here, the Light over Him. He was standing there. And He said, "What did your brother give you?"
I said, "Those pieces of candy, Sir."
He said, "Eat them." And I picked it up. I put one piece, one piece in my mouth, and I swallowed it. Now, don't ask me what it means; I couldn't tell you. When I swallowed that, that Easter flower that was laying that way, went [Brother Branham makes a swishing sound--Ed.] swish, raised right up like that.
He said, "Now, eat the other one." And I started to eat it, and oh, it was horrible. I took it out of my mouth, and this other flower went [Brother Branham makes a noise--Ed.] going down. Said, "Fail to eat it, and the other boy'll die." And I happened to think then, that's geographically just the way those boys was laying, when they got hit--when we found them, laying: one laying to the south and one to the north.
And I put it in my mouth and kind of, you know how you hold your taste, or your breath, like, you know. I chewed real quick and swallowed it. And when I swallowed it, this Easter flower on this side went [Brother Branham makes a swishing sound--Ed.] stood right up like that. Said, "Go tell the mother, THUS SAITH THE LORD, her prayers is heard."

E-24 My, after I got to myself, from the numbness, I run out in the place; they thought they had the Salvation Army up there. I let out a scream, and the windows and doors coming open. Everybody run out. I said, "Come here, Sister Isaacson, all of you, and Brother Moore." I told the vision to them.
I said, "Go, get on the phone and tell that little woman that I said, THUS SAITH THE LORD. Don't you worry that baby will come to. It'll be all right."
So she called the home and the... They had a little tiny baby, and it was... The baby sitter was watching it. And they said, "They'd been called to the hospital; the boy was dying."
So they called up the hospital, and the mother come to the phone, just screaming to the top of her voice. Mrs. Isaacson said, "Now, don't worry." Said, "He's going to get all right." Said, "He's going..."
Said, "Why, we come up here to see him; they thought he was dying. He just raised up just now; we're washing his face to take him home. He's all right."
My. See? Oh, I tell you, our Lord is God. That's all. He's God of the heavens. He's God of the earth. He heals the sick. He raises the dead. He does all things well. Now, did I have anything to do with the healing of those boys? Not one thing did I have to do. It was God that did healing. I only did what He told me to do. The Lord bless you.
Always remember, friends, if you never think of anything else that I've said to you, remember, that I believe that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. He is not dead, but He's alive.

E-25 Read just a little Scripture now and speak to you for the next ten or fifteen minutes, if you bear that long. We'll start put a good, long prayer line out, start praying for the sick, the Lord willing.
Now, over in Saint John the 11th chapter and we want to read just a portion of His Word. Let's begin at the--the 18th verse.
Now Bethany was nigh unto Jerusalem, about fifteen furlongs off:
And many of the Jews that came to Martha and Mary, to comfort them concerning their brother.
And Martha, as soon as she heard that Jesus was coming, went and met him: but Mary set still in the house.
Then said Martha unto Jesus, Lord, if thou would have been here, my brother would not have died. (Listen to this now.)
But I know, that even now, whatsoever thou will ask God, God will give it thee.
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again.
Martha said unto him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last day.
Jesus said unto her, I am the resurrection, and... life: he that believeth in me, though he were dead, yet shall he live:
And whosoever liveth and believeth in me shall never die. Believest thou this?
And she said unto him, Yea, Lord: I believe that thou art the Christ, the Son of God, which should come into the world.
May the Lord add His blessings to the reading of His Word now, as we speak from the Word, just a few moments. Then we'll pray for the handkerchiefs and start praying for the sick.

E-26 How many likes the Word? Everybody... Oh, I know you do. Faith cometh by what? Hearing, and hearing the Word of God. Nothing like it, It's the seed. It's the Seed to every hope. And if you... Here's another thing, always remember that I made this statement. That the right mental attitude towards any Divine promise of God in this Bible, will bring it to pass. If you'll look at it right, and believe it, it'll come to pass.

E-27 Now, in our text tonight we find a very sad scene breaking up into to a great glorious victory, because of the Presence of the Lord Jesus.
Now, we are taught by history, that Jesus after He'd left his own home and come up to live with His friend Lazarus... And as the little fiction book of: "The Prince of the House of David," if some of you ministers, perhaps, nearly all ministers have read that. And it's fiction. It's Ingraham's book. And he said that when He come up to--to stay with Lazarus, because that his foster father, Joseph, had deceased, and He come to live with Martha, and Mary, and Lazarus. And Lazarus was learning to be a scribe at the temple. And Martha and Mary was needle workers that made tapestries and things for the temple.
And then, His ministry got so popular that He was just... went away from the home. And any time when He goes away from home, then trouble sets in. And you just remember this, friends, you Christians. Any time that Jesus leaves your home, look out for trouble. It's on its road to your house.
And this case, Jesus didn't... He didn't leave because He had to, but His ministry forced Him away. For our context tonight, let's back up just a little bit and get a text about Jesus. God, always before He does anything here on earth, He usually gives a warning before He does anything.
I believe that this great revival of sweeping the lands today, though we have many things that we like to comb out of it, fanaticism and things rises up in the midst of it... But in the midst of all of it, it's a warning to the world that judgment's ready to strike the world at any time, God making His last call just before the coming.

E-28 Remember, if you spurn mercy, there's nothing left but judgment. That's all that you can... If you trespass and step over the boundary line of mercy, there's nothing left but judgment. So God, before He does anything here on earth, He always sends a warning.
Now, before Jesus was born, He sent a warning. And He's always... Another thing keep in mind. No matter how formal and indifferent the world gets, God has never left Hisself without a witness on earth. He's always had somebody He could put His hand on and say, "This is My servant."

E-29 And in this day, before the coming of the Lord, the Church had got away, about like it has in today. It's under the Roman government. And the old fashion types have just about cleared out. But they had somebody who kept the faith. And that man's name was Zacharias. And he had a wife named Elisabeth. And they were righteous man and woman. They lived together godly. They served Lord with all their heart.
Elisabeth was barren. Her husband, the priest at the temple, his duty was to burn incense while the people were praying. And one day while he was down at the temple a burning incense, while prayers were being made, a righteous man, notice, holy man, feared God, had his house in order. While he was making this offering there of incense, he looked over on the right hand side of the altar, and there stood Gabriel, the Archangel.
Now, do you believe in the Angels?

E-30 Here not long ago, a man met me; he said, "Brother Branham, I tried to search your ministry, your teaching, but there's only thing..." and this a full Gospel brother. He said, "There's only one thing that you make a mistake in." He said, "That is: talking about an Angel." Said, "That's God."
I said... He said, "There's no Angels of the New Testament. Angels was of the Old Testament." Said, "Daniel had Angels, and so forth, that followed him, and the old prophets and so forth. But in the New Testament the Holy Spirit governs and leads the Church."
I said, "You're correct. The Holy Spirit does. But still we have Angels which are ministering Spirits sent from God."
And he said, "Not in the New Testament, Brother Branham."
And I said, "Yes." I said, "How about the Angel Gabriel with Mary?"
Said, "That was before Pentecost."
I said, "Then you mean after Pentecost?"
He said, "Yes."
I said, "Do you believe that Philip had the Holy Ghost?"
He said, "Sure."
I said, "Who was It that called him away from that big revival down there and sent him out into the--the desert, Gaza, then? What was it? Was it the Holy Ghost or was It the Angel of the Lord?" It was the Angel of the Lord.

E-31 I said, "Who would doubt, but what that great Saint Peter had the baptism of the Holy Ghost? You believe that, don't you? And when he was in jail that night, and they was going to behead him the next morning, and down at John Mark's house was having a prayer meeting, Who was it come in like a big Pillar of Light and shined in on him, and loosened him up? Was it the Holy Ghost? No, sir. It was the Angel of the Lord." That's right.
Who would say that Saint Paul didn't have the Holy Ghost? And out there on that ship, and it waterlogged, fourteen days and nights no moon or stars, and all hopes they'd ever be saved was gone. And he went down in the gallery to pray, and when he come back out, said, "Be of a good courage, for the Angel of God, Whose servant I am, stood by me last night, saying, 'Fear not, Paul. Thou must be brought before Caesar, and lo, God has give all these that sail with you to you.'" Said, "Wherefore, be of a good courage. For I believe God, that'll be just as He told me." Amen. Paul had the Holy Ghost.

E-32 And look the whole Book of Revelations was wrote, sent, a Message by an Angel. "I, Jesus, have sent My Angel to signify these things which must shortly come to pass."
Now, a true angel, you're going to throw back Joseph Smith and so forth, to me. But, watch. It don't work with the Scripture. A real true Angel will come and vindicate this Scripture to the dot. Yes, sir.
Notice, that John fell down and wanted to worship that Angel. And He said, "See that you do it not, for I am thy fellow, thy fellow servants, and of the prophets worship God." A true Angel won't be worshiped. It's not worship of Angels; it's a ministry of Angels that comes from God.
Now, these minor Angels comes, perhaps, it's Angels with us, or comes to your--your humble servant. And that's probably a minor Angel. But when Gabriel comes, brother, there's something really on the road, something major going to happen. May... Gabriel announced the first coming of the Lord Jesus, and Gabriel will announce the second coming of the Lord Jesus. Amen.

E-33 There Zacharias, looking and the great Archangel standing there, Gabriel. And He--He saluted him, and said, "Now, after the days of your ministration," said, "you found grace with God; you're going home and be with your wife, Elisabeth, and she's going to conceive and bear a son."
"Now," he said, "these things can't be. I'm old."
And He told him he would be dumb until the day the baby was born. And they'd call his name, John.
See, no matter what man thinks, God's got a program, and it's going to be fulfilled. No matter, "God's able of the stones," John said, "to raise children unto Abraham."
So you know how the story goes. The people wondered why he was so late. And after while he come out and he was dumb. And he motioned to them, beckoned to them to go away. And he went home. And his wife conceived and hid herself for six months.
At this same time, there was a little virgin living in the city of Nazareth, meanest city in the country, way worst than Macon. And there she was living. No matter how bad the place is, you don't care how low the people is in your community, how wicked it is, yet, you can live a Christian life, no excuse for it. There out of all of the women in the world, God, chose a little lady, a little virgin living in the wickedest city there was in the land.

E-34 Let's give a little drama here for the sake of the children, many of them looking and listening.
I can see Mary, as oriental types, maybe it's Monday morning; that's a bad time for--for the women, it's wash day. Or it is at our house. Then I can see Mary go down to the virgins fountain and get some water. She sets a pot upon her head, as an oriental custom, or either on her shoulders. She comes walking back up along the side of the--the path. And all at once, a great Light comes in the path, and she looks into this Light, and there stands the mighty Archangel, Gabriel.
Said, "Hail, Mary."
Why, it excited the little virgin. It would excite you. I know how I felt, the first time I seen the Angel that speaks to me. Why, you... They say, "Why don't you ask Him His Name?" You--you don't ask nothing; you just listen.
Then said, "Hail. Blessed art thou among the women, for you've found favor in the sight of God." Oh, my, what a salute. And He said, "Now, behold thy cousin," which was Elisabeth, a cousin to Mary; John and Jesus were second cousins. Said, "She's with child of six months, which was called barren. But thou art going to have a Child, knowing no man."
She said, "How can these things be?"
He said, "The Holy Ghost will overshadow thee. And that holy Thing which will be borned of thee, shall be called the Son of God."

E-35 Now, I want you to watch the difference. There was a old preacher, had plenty of examples, Sarah received a child when she was older than what his wife was. Hannah, at the temple, praying in such a way, till the priest thought she was drunk... Many of God's people are misunderstood. They're not crazy. They're just misunderstood. And she was praying for God to take away her reproach. Zacharias had that for an example. But he doubted.
Look at that man, served the Lord, a good man, but yet, doubted the supernatural, being a minister. But the little virgin, she never doubted one thing, and she had a lot more to believe than what he had to believe. There'd never been a child born, a virgin birth. But she said, "Behold, the handsmaid of the Lord. Be it unto me according to Thy Word."

E-36 What we need here in Macon and all the rest of the countries tonight is some more Marys. She didn't wait till she felt life. She didn't wait till she'd felt anything. She didn't wait till she was positive of it. She took God at His Word and begin to rejoice over It. That's the--that's the way. Don't wait till you say, "Well, if I--my hand straightens, I'll feel better."
Look at those people here, when I laid hands on them the other night, they just stayed there for a few minutes, looking at their hands. First thing you know, the Holy Spirit begin to move, and those old twisted up bones begin to loosen up, and here they went across the platform, and around, rejoicing in the Lord. Amen.
Don't think you have to feel something, see something; take God at His Word and start rejoicing. I can see her going around saying, "Glory to God, I'm going to have a baby, knowing no man."
"Why," they'd say, "the girl's crazy." But she took God at His Word. She'd seen a vision. She knowed it was the Truth. That's what we need today: Somebody that'll take God at His Word.

E-37 On her road, she heard about this, Elisabeth, her cousin, is going to have a baby. So she runs up in the hilly country of Judaea to see her. It was a great honor then to have a baby. It's a disgrace nearly now.
I'm not bawling people out. I don't preach by any notes. I don't know what I'm going to say. Just that... I just have to reach up and get it. And when it comes, I just have to say it. I--I... That's all I know to do.
But today it's a dishonor, almost, to see a big family any more. Yes, sir. They'd rather pay a hundred dollars for a little snotty nosed dog and pack it around, and give it the love of a mother, and practice birth control, than to have children. Think that was something old, going... hang around to the barrooms, and drink, and play cards, and run around all afternoon in your husbands car. Why, it's a disgrace. That's right. The greatest honor a woman can do, outside of coming to Christ, and being loyal to her husband is have a baby. Amen. You might be nursing a little preacher, how do you know? Hallelujah. I know that's old fashion, corn bread type, but brother it'll stick to your ribs. It'll do when you're dying. It sure will.

E-38 Then I can see her. She run up to salute her cousin. And now, when she got up to the hilly part of Judaea, she come up. Now, Elisabeth had hid herself six months as a mother. And the little baby had never moved. It was dead in its mothers womb.
You know, that's subnormal, six months. Two or three months is life. But she'd hid herself, and wouldn't show herself. And when she seen the virgin Mary coming, she run and threw her arms around her, and hugged her and kissed her. I like to see women meet one another like that. I like to see men meet one another and greet one another.
You know, they got today, there is no fellowship among people. That's right. Men walk up and say, just a little bitty, old, cold handshake. I like that great big old pump handle type. Get her around here, like that, got a feeling in it. That's right. I like the old fashion way.

E-39 Here not long ago, I was down here in Florida in a meeting. And there was some kind of a duchess, or something there, I guess he called it, some kind of a woman: Duchess? Or she'd let them have a piece of ground out there. And back in behind the tent Dr. Bosworth said--said, "Brother Branham, the Duchess wants to see you back there."
I said, "The who?"
He said, "The Duchess."
I said, "Well, who's she?"
He said, "Well, she's the great woman here."
I said, "There's a lot of sick people out there too." I said, "She's no more than those sick people. If I'm going to see anybody, let me see some of the sick out there."
And he said, "Well," he said, "you see, she's a great woman." Well, they had her, the manager and them had her standing right in the road, and when I got back there... I'm not making no remark of this woman, I don't mean to. But to see what I mean. A great big woman standing there with a enough jewel on her to send fifty missionaries overseas, great big fat hand. She had a pair of glasses on, sticking out like this on a stick. And when she come out like that, she looked over this stick, and said, "Are you Dr. Branham?"
I said, "No, ma'am."
And she said, "Well, Dr. Branham," she said, "I'm charmed to meet you." And she raised her hands up like that, just putting on the dog that's all. Held her big old fat hand up like that; she said, "I'm charmed to meet you."

E-40 I got a hold of her hand, and said, "Well, get it down here, so I'll know you when I see you again." I don't like that old put-on, trying to be something when you're nothing. After all, what are you? If you're duchess, or whatever you are, you're six foot of dirt. You're not borned again of the Spirit of God, you're hell bound as much as martin is to his box; no matter who you are. You're the President, or a king, or whoever you may be, we're all six foot of dust. You're going right back there. Putting on a lot of stuff when you're nothing. That's right. Clothes looked like she had been poured into them, and not enough to go in an aspirin box, or wad a shot gun, and standing there looking like that, like she was somebody. That don't mean anything. Just a little old time here on earth, you got to lay down and leave it, every bit. Yes, sir. A duchess? Put on something like that?

E-41 People don't even know... Used to be, a long time ago, we'd go out, and... If the neighbor, when we was on the farm, and--and somebody got sick, we'd go over and cut the corn, and cut the wood and bring it in. And now days, why, you don't even know your neighbor's dead, 'less you read in the paper. There's something wrong. Brotherly love has ceased. It's awful.
Here the other day, I went downtown with my wife. And there was some lady said, "How do you do, Sister Branham?"
I looked over to Meda; I said, "Well, you didn't speak to that woman."
She said, "Yes, I did."
And I said, "Well, I didn't hear you."
She said, "I smiled."
I said, "Oh, that little old silly grin." I said, "That's not speaking to anybody. Get out there on the street and shake her hand and say, 'Hello, sister, I'm glad to meet you.'" Amen.
Brother, that's what... Get back to the old fashion hewing line again, where men are--Christians are Christians and men and woman live like they ought to. Amen.

E-42 I can see Martha run out there, or I mean or--or--or, beg your pardon, I mean, Elisabeth. Run out to meet Mary and throwed her arms around her, and said, "Darling, I'm so glad to see you. My," said, "I'm so happy, I haven't seen you in such a long time."
And I can hear Mary say, "Well, now, Elisabeth, I'm so happy to see you, honey. And I've been thinking so much about you. And I see you're to be mother."
She said, "Yes. I--I'm to be mother. That is right, Mary." Said, "I've had pleasure with my lord." Said, "And I'm going to have a baby." But said, "Mary, I'm worried. The little fellow is six months and he has never moved, yet. The little baby's dead."
"Well, you know," Mary said, "you know how I knew it? I was coming back from the pump one day, down there, and I met the Archangel Gabriel, the same One that met--met your husband. And He told me, I was going to have a baby knowing no man. And said I was to call to call His Name, Jesus."
And just the first time that that Name, Jesus, was ever spoke by human lips, that little dead baby leaped for joy in the wombs of the mother, like that, begin--and received the baptism of the Holy Ghost then.

E-43 And she said, "Whence cometh the mother of my Lord. For as soon as your salutation come into my ears, why, my baby leaped in my womb for joy."
And if that Name Jesus could make a baby, dead in the mothers womb leap for joy, the first time was spoke by human lips, what ought It to a borned again Christian, or a man or woman who believes and serves Him? Amen.
Leaped in her womb for joy, then the Holy Ghost come upon Elisabeth, and she begin to prophesy. Oh, that's the old fashion religion. That's the way it works in the supernatural whelm.
What kind of a baby was this to be?
When little old John was born, well, he never went over to some seminary, and got a B.A. degree. But he went out in the wilderness, they thought about the age of nine, and stayed out there with God. That's the way to get a degree, out with the Lord. And he was out there until he was thirty years old.

E-44 And in them days John the Baptist came from the wilderness of Judaea, preaching, saying, "The Kingdom of heaven is at hand." And he stirred all the regions around about Jerusalem, and Judaea, and Samaria. Great throngs of people come out. My, we wonder, well, that's kind of Baptist, we need today, my Baptist brothers. We need a Baptist like that.
Why, why old Herod come up, and I can hear somebody say, "Now, don't you preach on marriage and divorce tonight." Could you rememb... Imagine a man full of the Holy Ghost, holding back anything? Walked right up in his face and said, "It's not lawful for you to have her." Yes, sir, brother.
He had the Holy Ghost, and he was preaching the Holy Ghost. And all the regions around was stirred. Listen. Preaching the Gospel of Jesus Christ though in its simplicity, it's the most powerful message that was ever preached, or ever said: the Gospel of the Lord Jesus Christ. And there he stirred the regions around about.

E-45 Then Lazarus come down with Jesus. And when He was disputing there, John on one side of the river, and a priest on the other side, saying, "You mean there's coming a time..."
He said, "There'll be a time when the daily sacrifice will be taken away. A man will die for the sins of the people."
And they'll say, "O rabbi, you don't know what you're talking about, John."
John said, "There's," and he looked around, and he said, "behold, there comes the Lamb of God that takes away the sin of the world." "Behold," means "to esteem," or "look up to." He said, over there that how he knew Him, said, "He that told me in the wilderness, upon Whom thou shall see the Spirit descending and remain, He's the One that'll baptize with the Holy Ghost." There was a sign followed the Messiah. There's a sign still follows the Messiah, of the Messiah people. "Signs and wonders," Jesus said, "would follow them to the end of the world." He'd be with them, even in them to the end of the world.
Said, "There comes the Lamb of God that takes away the sin of the world." And Lazarus about fainted, I suppose.
Jesus after He was baptized went into the wilderness and was there for forty days tempted of the Devil. And when He come out of the wilderness, my, I looked at that watch, and that's ruined me now, getting so late. Just a minute now for we close.

E-46 Look. When He come out of the wilderness, he come out preaching, doing signs and wonders; His ministry got so great that He was sent away from the home, or I believe God give Him a vision to go away. It proved that God give Him a vision.
When Lazarus got sick, He went away. They sent for Him; He kept on going. They sent for Him again; He kept on going. If your pastor would do that, you'd never go back to that church again. That's the reason the pastor can't do nothing for you. You got to believe Him to be a man of God.
So when He went on and on. After while He knew the Father's time had come, that He'd fulfilled the vision, He said, "Lazarus's dead, and now, for your sake, I'm glad I wasn't there."

E-47 So He come back. And they'd had... Lazarus took sick. They are taught, just kind of a... I don't know whether it's the truth or not, but he died with hemorrhages. Perhaps, the doctor come in, done all they could do. They sent for Jesus; He didn't come. And they left the man, he went on and died. Dark hour. Took the fellow out, embalmed his body, and put him in the cave down in the ground, laid a rock over it, which is the oriental type of burial. Then when they laid him there, the first day passed, the second day, third, fourth day, then the skin wombs was crawling in. The human body, the first thing sinks in is the nose, and after while they begin to decay and rot, and the skin worms, and bugs, and things, crawls in, eats the human body up. Four days, done stinking, after seventy-two hours corruption sets in it.
Then all hopes was gone. There was Martha and Mary, had left their church, give up all they had. There their brother was dead. The Man that they had confidence, being the great Man Who went around and did miracles, He had left them and gone away, wouldn't come when they sent to pray for his brother. The darkest hour, that little family had ever seen... And usually about the darkest hour, that's when Jesus comes around.

E-48 The darkest hour that I ever seen, when a doctor told me I had three more minutes to live. Then Jesus come along. Yes. Darkest hour, maybe, you ever seen. Then Jesus comes along. This may be your darkest hour, setting here in these wheelchairs, the ending of the meeting. The hopes that you had of being healed, after seeing these other cripples and things walk away. Maybe you think, "I wonder if there's any hope for me." Darkest hour, but don't worry, He will be here. Just keep--just keep faith in Him. He will be along. He never fails. He comes right along.
Somebody come and said, "Jesus is coming to the city."
My, I can't imagine those critics saying, "Now, where'd that holy-roller go?" See when His friend got sick, why, away He goes. So He isn't here no more now. But when they said, "Here He comes slipping back into the city now, after the boy is done dead, and buried, here He comes back into the city."
But little Martha had been kind of dilatory about many things, but she had a faith that wouldn't move. So when she seen Jesus, knowed that He was coming, she run right out, down through the critics, and went right on down to where He was.
Now, looked like she had a right up upbraid Him, because that--that she had... She scold Him, say, "Why didn't You come to my brother? We left our church. We give up our religion. We done everything for You."

E-49 If she'd have met Him in that--that condition that miracle would've never took place. It's your... It's the way you approach a gift of God, that determines what you're going to have out of it. See? The way you approach it.
But Martha, when she come to Him, she fell down at His feet. She said, "Lord," that's exactly what He was. She give Him His right title. Now, watch faith go to work.
I believe Mary--Martha had read the story about the Shunammite woman, how that when her baby died, and she knowed that God was in Elijah.

E-50 Elijah was God's man of the hour for the nation. And she knew that God was in Elijah. So she had that servant to saddle a mule and drive forward till she got to Elijah to find out why her baby was dead. And you know the story, how Elijah come and raised the baby up for her, to life.
Well, Martha, perhaps, thought, "Well, if God was in Elijah the prophet, surely He's in His Son." Amen. "Well," she said, "now, if I can only get to Him, I can find the reason." So she went to Him with reverence. No matter what He done, what a mistake it looked like, she went to Him with reverence and fell down before Him, and said, "Lord..." that's what He claimed to be, the Lord. Said, "Lord, if Thou would have been here, my brother would not have died."
She hadn't lost confidence. "If You had been here my brother would not have died. But even now though he's dead, the skin worms is eating him up, but even now, whatever You ask God, God will give it to Thee." I like that.

E-51 Maybe you seined through every hospital in the city. Maybe every doctor has turned you down. "But even now, Lord, whatever You ask God, God will give it to Thee."
Maybe, they say, "You'll never rise from that wheelchair." But "Even now, Lord," not in the morning, not after while, "but even now, whatever You ask God, God will give it." He's setting at the right hand of the Majesty on high, making intercessions upon our confession. He said, "When you pray, believe that you get what you ask for, and it shall be given unto you."
"Even now, Lord, whatever you ask God, God will give it Thee."
My, That stirred His heart. He looked up at her, He said, "Thy brother shall rise again." Amen.
She said, "Yes, Lord. I believe that He will rise again. He was a good boy." They believed in the general resurrection, those Jews. "I know he will raise again in the resurrection of the last days." Listen at Him. He wasn't very much to look up to; He was a little old scrawny-looking fellow, no beauty that we should desire Him.

E-52 And I can see Him pull His little shoulders up, said, "I am the Resurrection and Life: he that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live: And whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord: I believe that You are the Son of God, that was to come into the world." Something's got to happen. Brother, them thoughts are moving together. There's faith met the--met its course there, right in that Man there, the resource, the God of heaven standing there, inveiled in flesh. There's that woman standing there with perfect faith in Him. And the wheels are moving together. "I know that whatever You ask God, God will give it."
He said, "I'm the Resurrection and Life: he that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live: And whosoever liveth and believeth in Me, shall never die. You... Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord. I believe that You are the Christ the Son of God, that You confess to be, that was to come into this world."
He said, "Where have you laid him?" Amen.
Brother, something's got to take place when the believer gets in contact with his Maker. Something takes place. Amen. Something's got to take place.
There He goes to the grave. He started weeping as He went down.

E-53 All due respect to this...A woman was talking to me sometime ago. She said, "Reverend Branham, you brag too much about Jesus." Now, she was a Christian Science. And they don't believe that the Blood of Jesus Christ... They just accept Him to be a prophet, not Divine.
And I said, "I believe He was Divine."
She said, "Oh, you brag too much on Him."
I said, "How could I brag too much on Him?"
Said, "You make Him Divine. You make Him God."
I said, "He was God." Amen. God was manifested in the flesh. He was Emmanuel. I said, "He is either Almighty God inveiled in a body called His Son, the Lord Jesus, or He's the biggest deceiver the world ever had." I said, "He was God."
She said, "No, no, no. He wasn't Divine."
I said, "He was Divine."
She said, "I'll prove to you by the Scriptures that He wasn't Divine."
I said, "If you can do it by the Scriptures, I'll believe you."
And she said, "I'll tell you why, He's not Divine." Said, "In the 11th chapter of Saint John, when He went down to the grave of Lazarus, He wept." And said, "A Divine person cannot weep, that He cannot. He was not Divine. He was weeping when He went to the grave of Lazarus. What about that?"
I said, "Woman, your argument is thinner than the broth made out of the shadow of a chicken that starved to death." I said, "You ain't got no leg to stand on there." I said, "He did weep. I'll admit that. He wept when He went to the grave. But when He straightened His little body up there, and said, 'Lazarus, come forth.' And a man that'd been dead for four days and nights come to life again, corruption knew its Master, and the immortal being, a soul that had been four day's journey out somewhere knew its Master, and returned back. And a man stood on his feet and lived again." Amen. He was a Man when He was crying, but He was God when He raised the dead. Amen. God was in His Son, reconciling the world to Himself. Yes, sir.

E-54 He was a Man when He come off the mountain that night hungry. He didn't have nothing to eat. He went out around that fig tree, looking around for something to eat. He was a man when He was hungry. But when He took five biscuits and two fishes and fed five thousand, that was God speaking out of His Son. Amen. He was more than a Man then. That's true.
He was a Man when He was had been healing all day and the virtue going out of Him, preaching and praying for the sick. He was laying out in a little old boat that night, and ten thousand devils of the sea swore they'd drown Him. And that little old boat out there in that storm tossed around like a bottle stopper...
He was a Man laying in the back of the boat asleep so tired and weary till even the wind didn't wake Him or the waves. Doors was broke, the mass pole fell, the sails was gone; and He was still asleep. He was a Man when He was sleeping. But when He walked up there, and put His foot upon the brail of the boat, looked up and said, "Peace be still," that was more than a Man speaking there. That was God speaking through His Son. He was Divine Son of God. Amen.
He was a Man on Calvary when He cried for mercy. That's right. He was a Man when He cried, "My God, why has Thou forsaken Me?" But when He rose up on Easter morning, breaking the tomb sealed, and hell and death was destroyed, He proved that He was the Son of God. Amen. "Believeth Thou this?"
Living, He love me; dying, He saved me;
Buried, He carried my sins far away;
Rising, He justified freely forever:
Someday He's coming--oh, glorious day!
Amen. Yes, sir. He was the same One that was with the Hebrew children in the fiery furnace. Believest thou this? I believe that that same Jesus that raised Lazarus, is here tonight. Believest thou this?

E-55 I believe that same Jesus that rose up from the dead is right here now. Believest thou this? I believe that the same One was with Daniel in the lions' den is here tonight. Believest thou this? I believe the One that touched the woman, or the woman touched the hem of His garment and healed her is here tonight. Believest thou this? I believe He said, "These signs shall follow them that believe, if they lay their hands on the sick they shall recover." Believest thou this?
I believe He said, "If ye abide in Me, and My words in you, ask what you will, it'll be given to you." Believest thou this? Amen.
I believe He's the same yesterday, today, and forever, His everlasting peace, the same Holy Ghost that fell on the day of Pentecost is here tonight. Believest thou this?
I believe He's the One that's been with us this week to make the paralyzed to walk, the deaf to hear, the blind to see, healing the sick and the afflicted, showing signs and wonders. He is the resurrected Christ. Believest thou this?
I believe He will always be the same Christ. I believe He's here tonight to heal the sick, to save the lost, and to take us to heaven someday. Do you believest thou this? He's here.

E-56 Let us pray. Heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus, Thy beloved Son, Lord, we believe this old story with all that is within us. Our hearts, souls, and body believe this story, that You are the Son of God, the resurrected One. Ages may roll on; skeptics may rise; demons may fight. They may possess people. But yet, You'll remain God through the ceaseless ages. You'll always be God. Now, I pray, God, that You'll save every lost person here tonight. Heal all the sick that's here tonight. Call back the backsliders, Lord, to the Church of the living God. Grant it, Lord, for the glory of God, we ask it in Christ's Name.
With our heads bowed, I wonder in this vast audience just now, before we start the prayer line, is there any sinner here, that's seen the great works of God this week, that's here tonight and outside of God... My Christians friends, pray like you never prayed before. And if you're here tonight, sinner, would you raise your hands to the Almighty God, and say, "God, be merciful to me a sinner." Would you raise your hands? God bless you everywhere. That's right. Raise your hands everywhere. Just scores of people, raising their hands, all around.
Think of old blind Fanny Crosby. She said.
Pass me not, O gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Thou the Stream of all my comfort,
More than life to me,
Whom have I on earth beside Thee?
Whom in heaven but Thee?

E-57 Every man or woman that ever amounted to a hill of beans in this world, was men and women who trusted God and believed that Jesus was the Son of God. They believed this old Gospel story.
I can see Eddie Perronett there when he was persecuted by men. He couldn't sell his music to nobody. Nobody wanted him. One day, in his office, after being persecuted and run back, he picked up the pen, and the Holy Ghost grabbed his pen, and he wrote the inauguration song of the second coming of Jesus. When he said,
All hail the power of Jesus' name!
Let angels prostrate fall;
Bring forth the royal diadem,
And crown Him Lord of all.
And other one wrote, oh, my. What we seen great poets, and authors, and prophets, and ministers through the age. May God have mercy. Is somebody here without the Holy Ghost tonight just living a halfway life, and would like to receive the baptism of the Holy Ghost, would you raise your hands, not to your brother, but to your Maker? Say, "Remember me, God. Be merciful."
Remember, there's a recording Angel taking every hand down. He knows just exactly who you are. No matter whether I see you, your neighbor sees, we're not asking for your neighbor to see. I'm asking for you to look to God, the Lamb of God, to take away the sins of the world.

E-58 Our heavenly Father, Thou doest see the hands up. And, Lord, at the close of this healing service, may every one of them come forward, Lord, stand around an old fashion altar here and pray. Many of them boys and girls out there, that's raised their hand. Maybe an old mother and dad's done gone on years ago. Their prayers are still on the altar of God, and the Angels of God are gathered tonight here to answer that mother's prayer.
God, grant that they'll receive Jesus tonight as Saviour. If there's a lukewarm church member here, Lord, that only goes to church, not knowing what it means to be borned again, never received the Holy Spirit, as Paul said to the ones up in Acts the 19th chapter, said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
God, grant tonight that the Holy Spirit will pour upon them and they'll go back to their church, afire for God. Grant it, Lord. Cause an old fashion revival to break from this, Lord, in every church through the country. We know You're coming soon. Tomorrow, Lord, on our road, way over across the seas, the stormy weathers, down into the places where Thou has command us, 'Go into all the world and preach the Gospel to every creature.'"...

E-59 Oh, merciful God, send Your grace to these tonight. There's many setting here that we'll never see again after tonight: Audience of this many people, thousands gathered in here, some of them old and just about ready to cross the line. Then, Lord God, I know, according to nature, there's many here that'll never see me no more. And I'll never see them no more until we meet at the seat of Christ.
O God, I want to leave this testimony, that I've told the truth. And I give them an invitation to come to Thee. And, Father, every one, save them. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
Oh, my. After an old fashion altar call like that, it just makes you feel like you're just all clean, scoured out, doesn't it? How wonderful. How marvelous. What a time to remember from the revival to come to remember this type of meeting that you got saved, when there was one of these meetings going on: an old fashion, Holy Ghost, God sent meeting, where people are being saved. May He bless everyone of you.
Now, when the healing service is over, won't you come up when the ministers makes the call here? Come up here, stand and pray just a little while, friends.
As I said in prayer a few minutes ago, this is our last time meeting, many of you. I'll never see you no more now. I won't see many of you no more until we meet at the feet of Jesus. And I've got to give an account for what's went on here this week for the Gospel that I've preached. When you see standing there, by the grace of God, I still believe the same old story that I started off with. Jesus saves from sin and heals the sick. Amen.

E-60 Oh, it's my life. It's--it's me; it's all I am, all I could be, all I can think of.
Here not long ago, my little boy... We went down into a little place; we was over at Wood River, Illinois, just before we went overseas to India, where we had our largest congregation of five hundred thousand people. But then, when we was at Wood River, the place was packed full of people, and we went down in a little place. And after service, he said, "Now, daddy, you got to eat a little bit tonight, 'cause you're getting weak." And I went into a place to eat, and there some school kiddies in there. You know, how they are; they was playing them little old, what you call it, nickelodeons, or ever what's little... I can't hardly eat in a restaurant where them things are at, squeaky and carrying on.
And he said... But kids, you know, they drop some kind of a--a coin in there, and they was playing some kind of little song. And I was setting there. And Billy said, "Daddy, ain't that a pretty song?"
I said, "What song?" I didn't even know it was playing.
And he said, "You know, daddy," said, "you just read so much, and pray so much, till everything you can think of is Jesus Christ." I said, "Thank you, son; that's the best compliment I've ever had." Yes, sir. That's right. I said, "That's right. That's all I want on my heart, on my heart, in my mind all day long and night, mediate upon His precepts and on His love."

E-61 Now, just before we start praying for the sick, I do not say that Jesus will do this tonight. I can't say, because I do not know. But I want to say to this mixed audience tonight, if Jesus Christ the Son of God rose from the dead, the Bible said, that the--that He is the same yesterday, today, and forever. That's the Scripture. If He is the same, He's got to prove that to be the same. If He manifested Hisself to the people in the days yesterday, He's got to manifest Hisself in the people today. And He promised it in His Bi--in His Word. The only thing, you're just afraid to step out and take God at His Word, that's all. Don't you be afraid. You stand right there, no matter how dark it looks; you see if Jesus don't come to. I've never seen Him fail. He will do it. But you've got to stay right there. You've got to... You ain't got just hope so; you've got to really take His Word for it and believe it with all your heart.

E-62 Now, when He was here on earth, He did not claim to be a healer, friend. He did not claim that. He claimed very vice versa. Now, I know strangers, perhaps, here tonight, you might go away, say, "Brother Branham, the Divine healer." Now, that's an error. I am not a Divine healer. And there's no other man on this earth a Divine healer. That's contrary to the Scripture. The Scripture don't allow any of us to be Divine healers, not even Christ Himself. Christ said, "It's not Me that doeth the works, it's My Father that dwelleth in Me, He doeth the works."
He passed by great multitudes of people (Saint John 5), crippled, lame, blind, halt, and withered. He went right through that pool, after a woman stood out in the crowd and touched His garment. He turned around, looked over in the crowd, and said, "I felt virtue go out of me." Looked out in the crowd, and said, "You, your faith has made you whole." The blood issue had stopped. See? Now, that was Jesus Christ of yesterday. That's Jesus today.
And He went through that bunch of people, which was crippled, and blind, and halt, and withered, went right through them, and found a man laying on the pallet. And He said, "Will thou be made whole?"
Watch. Jesus said, He knew he'd been there, and knew he had been in that condition for so many years. When they found him packing his bed, they got Jesus and questioned Him. Sure, He'd be questioned. He'd be questioned in Macon tonight.

E-63 Here not long ago, a woman that stays with us down there (Sister Wood, I believe it was), said that someone went out here and went into a store and ask the people would they come to the meeting. The fellow said, "I don't believe no such nonsense." Said, "If the man could do that, why, don't he go down here to the hospital and raise all the sick?" See?
Now, it just goes to show that it's a mental deficiency; that's all. Well, the man that even knows the Bible, Jesus Christ didn't even do that. He didn't claim to do that. He passed right by and worst than a hospital, about four or five thousand people laying at the pool of Bethsaida, just crippled, and lame, and halt and blind, and walked right through and never healed a one of them. Walked out there to a little man laying on a pallet, and knew he was laying there, and made him well, and walked away. And the Jews questioned Him. Now, listen what He said.
He said, Saint John 5:19. He said, "Verily, verily, I say unto you..." That word "verily" means "absolutely." "Absolutely, absolutely, I say unto you, The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing: that doeth the Son likewise. The Father shows Me what to do, and I go do it. The Father worketh, and I worketh hitherto." See? "I don't do nothing in Myself. I do just as He tells Me to do."
Now, that is the Word of God. How many's ever read that, say, "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] Saint John 5:19. Then Jesus, when He was here on earth, He could perceive their thoughts of the people. He--He done just... The Father showed Him a vision, He'd go do it just as the Father told Him; but didn't do nothing except the Father told Him. He can't lie. He was God.
He said, "I do nothing except the Father shows Me."

E-64 Now, look. He went to a woman at the well. He found her. Talked to her for awhile, and then He found out what her trouble was. Told her right where her trouble was. And she looked at Him and she said, "Now, wait a minute. I... Thou must be a prophet?" Said, "I know that Messiah, when He comes, He will do these things; but Who are You?"
He said, "I am He that speaks to you." That was the sign of the Messiah.
When Philip come to Him, and got saved, and went over and found Nathanael brought him back, and he come up in the congregation. Jesus looked over to him, said, "Behold, an Israelite in whom there's no guile."
He said, "When did You know me, Rabbi?"
He said, "Before Philip called you when you were under the tree, I saw you."
He said, "Thou art the Son of God. Thou art the King of Israel."
Now, look. When Jesus left the earth, here's what He said. "These things that I do shall you do also. Even more than this shall you do." "Greater," which really is "more." He couldn't do anything greater. But you could do more of it. "More than this shall you do, for I go unto My Father." He said, "A little while and the world (that's the unbeliever) will see Me no more. That'll be finished for the world when I leave here in this physical form. I'll be gone, and that's all they'll ever see Me. But yet, ye, ye shall see Me." Now, watch what He promised. He said, "I'll be with you even to the end of the world."

E-65 Now, who is the "ye"? Who's the unbeliever? There's unbelievers in every generation. And there's "ye's" in every generation. "Yet, ye, shall see Me." He promised to return into His Church and do the same things that He did when He was here on earth. And the Bible said that He's the same yesterday, today, and forever. And hasn't He done all things well this week? Has He? The blind, seen. The cripples walked. The spastics raised up. Sin has been rebuked. The visions has come. Everything that's been said had been perfect, just exactly. Is that right? Sinners has been saved. People received the Holy Spirit, been born again, bore witness of the Spirit; signs and wonders has happened everywhere. What is it? It's Jesus Christ the Son of God, not with just Brother Branham, with His Church, everywhere. You're just as much into it, or more into it than I am. This just happens to be a gift. That don't mean it makes me any more than you, probably not as much. See? If the resurrection would come tonight you, old-timers that's fought to win the prize and sailed through bloody seas, would go before me, and you would deserve to go. I'm just following the road that you paved; that's all. It's just a gift. God sent it, placed it; I had nothing to with it coming. It was born that way, and it's just a gift to glorify Jesus Christ, or to--not glorify, but to magnify Him, bring Him out, let the people see that He's here. God does that through preaching the Word, through signs and wonders. He's the same Lord Jesus. Do you believe it?

E-66 Now, look. One more little thought. When Jesus was crucified and was buried, the disciples thought, "Well, that's it." See? "That's all we'll ever see of Him." I want you to watch just a few moments.
There was two of them, who was on the road to Emmaus, one morning, going over to Emmaus. Some of them went fishing. Oh, they were discouraged, going along talking along the road, saying, "Well, here we go back home again, and take up our old tasks going over to Emmaus," Cleopas and his friend, as they walked along the road. And while they were communing, behold, Jesus stepped out of the bushes, just an ordinary Man, and begin to talk to them. And they didn't know it.

E-67 Now, real... Listen closely. Brother, sister, there's many one of you that Jesus has talked to you and you didn't realize it. He's here with us. He's alive. He comes to you every night there and say, "It's you, I'm talking to. You're... You can be made whole. Just accept it, and confess it, and see what happens." See? That's Him talking to you.
He talked to them all day. And He said, "Why are you so sad and worried?" Beautiful Easter morning, Jesus alive in the world from the resurrection, first man to raise from the dead, firstfruits of them that slept. So then He... Walking along and they didn't know it. And they went along, said, "Well, are You just a stranger? Well," said, "know Jesus of Nazareth...?"
And then He begin with the Scriptures and explained just exactly what Jesus was supposed to do when He come. And when He went to a little house, the little place where the sabbath day's journey, they started to go into the inn, so He made out like He was going on by. He does that a lot of times. He might made out like He was going to pass you by, sonny. This little girl here, this little girl setting here in a wheelchair, or you over here, or you down here, He might've made out like He was going to pass you by; He just wants to see what you're going to say about it. See?
So He said--acted like He'd go by. And they constrained Him, said, "Come in and abide with us." You do the same now. "Come in and abide with us." So He come in. As soon as He set down, they... The waiter come out and they brought the bread. And Jesus did something just a little different. And their eyes were opened and they recognized Him. And He vanished out of their sight, was gone, just like that. They couldn't find Him anywhere.

E-68 Now, I pray that Jesus of Nazareth, that same resurrected Lord Jesus will come here tonight and do something a little different than what it really is in a regular service, you now, like going out and having an evangelistic service. I pray that He will do something like He did when He was here on earth, that when He was here in a body form, He did something there to them disciples. They said, "Well, Jesus did that like that. Well, that must be Him." [Brother Branham clapped his hands--Ed.] He was gone. I hope that He comes tonight and does the same thing here before us, that you'll say, "It's Jesus raised from the dead."
Shall we pray. Heavenly Father, now let Thy blessings rest upon the people. As Thy great Spirit begins to move and I feel It settling on this platform now, I pray that the exceeding abundantly will be done this night. Grant it, Lord. I pray in Jesus Christ's Name. Amen.
Everybody be reverent. You just believe on the Lord with all your heart, with all your soul, with all your mind.
Now, what--what... [Blank.spot.on.tape--Ed.] See?... a prayer. Pray for me now, will you do it? And when I'm way over in the foreign countries, and the witch doctors are challenging me, as they usually do and everything, can I depend on people in Georgia to be praying for me? That's God bless you. And you pray for me.
And listen, that I might make this statement. I have never seen it challenged yet, but what, Almighty God come in and tore up the place...?... There's never been a time where anything ever challenged but what God always come in to vindicate it to be truth. That's right. Every time. So you don't have to worry. Just believe the Lord Jesus and walk on, see what happens.

E-69 Now, in the prayer line, let's line up a few of them down here. Who has prayer card, what was it S? Who has S number, let's say, number-1, who has S-number-1, raise up your hand? Someone with S-number-1? All right, lady. You come here. Number 2, anybody got number 2, raise up your hand, prayer card number 2? Anywhere? Did you raise your hand over there, lady? Somebody with S-number-2, you have it, lady? All right. Number 3? Raise your hand up so I... That's right, number 3. Number 4? See, I have to do this, getting them coming slow, 'cause they don't just... Let the lady out over there, if you will. All right.
All right, prayer card number 4. Did I see it? Raise up your hand. Number 5, will you raise up your hand? Prayer card S-number-5, all right. Number 6, would you raise up your hand? Number 6, all right. Number 7, would you raise up your hand? Lady back here. Number 8, would you raise up your hand? Prayer card S-8, will you raise your hand up, 8? You mean that it's not in? Look, some of you, one of you. Come here, Brother Wood, look along here, along here, some of these people might not even be able to raise their hand. And I seen some prayer cards laying along here. Brother Thoms, if you'll start from there.

E-70 Number 8, prayer card S-number-8. Was that her? Is that the lady? That's two. All right.
Number-8, it maybe somebody deaf. Look at your neighbor's card. It maybe somebody deaf, and they'll miss their place. They... Prayer card S-number-8. 8? And I see someone pointed their finger, but I don't see no one. With your hand up, 8 number 8.
Thy blessings rest upon the people. May the great One, You see all things, and You cover all space, fill all time, omniscient, omnipresent, omnipotent, the great I Am, You'll always be, You're the Lover of our souls, the Healer of our bodies, the Saviour of our being. And I pray, that You will now come and anoint these handkerchiefs with Thy great blessings. And when they're laid upon the sick and the afflicted, may every one of them be healed. We ask in Jesus' Name. Amen.

E-71 Now, I want to ask you now, as we come. First, in the prayer line out there, all, am I a stranger to all of you out that way? If I am, raise your hands, everyone in the prayer line that I'm a stranger to? Everyone in the audience that I'm a stranger to, don't know you, raise your hand. Then you see, the only one that I know in the audience to know of, is my associate here, Mr. Wood and these boys setting right down here, and this preacher, I can't think of his name, but [Someone says, "Palmer."--Ed.] Palmer, Brother Palmer. And that's about all that I know in the--in the meeting. But how many out there doesn't have a prayer card, and you believe that Jesus will heal you, and you want Him to remember you tonight, raise your hands, just now.
Now, remember, He knows every one of you. He knows your heart. Now, I pray that He will grant it to each and every one of you. May His loving blessed Presence ever be with you is my prayer.
I just wish I could explain this to the audience. If I only could, friends... What a difference from that joy of--of preaching and hearing the Word, now, It's settling down, like Something standing here near me. It's like real reverent feeling. It's Him, His Presence, His being. Just have faith.

E-72 You remember old, blind Bartimaeus, sitting at the gate? His faith stopped Jesus when He was on His road to Calvary. Just think. An old blind beggar, stopped the Lord Jesus Christ right in His road, and His mind set on Calvary, going up to be crucified. And the people making fun of Him, and screaming at Him, and hissing at Him, but that old blind beggar, standing over there, his faith stopped Jesus right in the road. And he received his sight.
You can receive what you ask for if you'll just believe. All right. All lined up, Paul, everything okay? All right. Have faith.
Now, this lady here...
Now, it happens to be tonight, audience, that you know I'm stalling for something; that's exactly right; 'cause until that anointing comes, it's just like that microphone. It can't talk itself; it's got to have something alive to talk in it. That's all. And now, I don't know what to say. I just have to stand here till He comes. And I'm waiting for Him. That's exactly. That's the reason we wanted the music to play "Only Believe."

E-73 Let's sing real slowly, just once, will you altogether, "Only Believe" now.
Only believe, only believe,
All things are possible, only believe;
Only believe, only believe,
All things are possible, only believe.
Now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I take every spirit here under my control for the glory of God.

E-74 Now, this lady standing here, to me is a total stranger; I've never seen her in my life. Perhaps she's never seen me as I know of. We are strange to each other, but you just seen me since I've come here, just seen me from the audience. Well now, I want you, lady, as I speak to you, just knowing that it's... Our Lord...
Let's take this little story again; usually it works wonderful. Our Lord was going down to Jericho one day and He said He must need go up to Samaria. I wonder why. I think the Father told Him to go up there. He sent His disciples away, and He said to His disciples to go in the city and buy something to eat. So while they were gone away, a lady come out to the well to get some water. Jesus said, "Bring Me a drink." It's a man and a woman talking.
And she said, "The well is deep and you have nothing to draw with, and it's not customary for Jews to ask Samaritans any such things as that, any favors, because we don't have any association together."
And He said, "But if you knew Who you were talking to you'd ask Me for a drink." He went on carrying the conversation. Now, I think... Now, I couldn't prove it by the Scripture; but the way that He works now, and then, it must be that this is what He was doing; He was trying to contact her spirit. The Father told Him to go up there just like He told me to come to Macon. See?

E-75 Well now, and here we are met. Well, then He had to contact her spirit to find out what the Father would say. So He talked to her a little while, directly, He found where her trouble was, and it was in a marriage condition. He said, "Go, get your husband."
She said, "I don't have any."
He said, "That's right; you got five."
Then she turned and said, "Well, I perceive that You're a prophet." She said, "Now, I know when the Messiah cometh... (which was Christ)," said, "He will do this." See, that's the sign of the Messiah. Said, "He will do this."
He said, "I'm He that speaks to you."
And upon that she run into the city and she said, "Come, see a Man that told me everything I ever done." Now, He didn't do that; she was just excited. See? He never told... But He could have done it if the Father would've showed Him, but He just only told her one thing: that was where her trouble was. And she believed Him to be the Messiah.

E-76 Now, if He's raised from the dead as we believe He has, the Scripture says He has, and the Scriptures cannot be broken... And He claimed that He'd be in every generation, declaring Himself to the end of the world, doing the same things that He did when He was here on earth. Then here we stand tonight, you and I, as man and woman again.
And you're a Christian, I see your spirit is welcome when you first walked up, that you're a Christian. And now, if the Holy Spirit of God will come here and tell me what you want, regardless of what it is, what you're here for, or something about you, well, you'll know whether it's the truth or not. Then if He knows what has been, and you know whether that's truth or not, then He surely knows what will be. Is that right? It surely would be. Then if He would let me know what it was... And now I've got a great long prayer line. I don't wish to talk too much to people, 'cause I want to get them all through and some more if I can. So if I can just find something, one thing, it'll be all right. Will the rest of the audience accept Jesus as being resurrected if He will do this?

E-77 All right just look this away just a moment till the Spirit of the Lord begins to move between us. Yes, sir. Now, this lady here has been frightened about something. She's a... She's afraid of cancer. Her trouble is in the colon, down in the bowel. That's true. And you've been scared that it was going to be cancer, haven't you? That's right.
Now, just watch this way now. Just be reverent, watch me just a minute. I want to help you. The vision broke from you then. Now just stand... Don't, don't be nervous. He--He's not going to... He's not to hurt you, it's to help you. See?
Now, I forget just what it was He was saying. Now, just a minute, maybe He will do something else that... Here, I--I see you coming from somewhere. You--you're kindly stiff a little bit tonight. You--you had a fall. You had a fall that was this morning off of a step near a church house. Is that... That's right, isn't it? Now, don't fear about cancer. Go on, you're going to be well. Your faith makes you well; Jesus Christ healed you in the Name of the Lord Jesus. Let's say, "Praise be to God."
From death unto life... When the woman come up, there was a black spirit hanging over her. It's gone now (See?), if she'll just keep on the way she is, she'll get well. No matter what it is she'll get well.

E-78 All right. Are... this... You the patient, lady? Come here. Now, have faith, believe. We're strangers to each other, I suppose. We don't know one another, just perfect strangers. Now, when the vision strikes, and He goes to talking, then don't you say nothing. You just listen to what He's saying. Then you know whether it's to be true or not. Are you believing? Just have faith.
Our Lord is wonderful; He never fails. Now, this lady here as I speak with her, she's... You're suffering with the veins, like varicose veins in your legs. Yes, ma'am. Then you also have arthritis. I see you can't hardly get up of a morning, and moving around is kindly hard for you at times. That is true. And now, that you might know that I am God's servant, you have a husband and he's blind. That's true, isn't it?
Our heavenly Father, may the blessings of God rest upon her, I pray, in Jesus' Name. Amen. God bless you, sister. Go, rejoicing now and thanking the Lord Jesus. Go right this way if you will to the man there. All right.
Have faith, don't doubt. Believe with all your heart and you shall have what you've asked for. Now, be reverent.

E-79 Now, I guess the lady... We're strange to each other. The Lord Jesus knows both of us. I don't know you, and you perhaps don't know me. But you're here for some cause, and God knows about it. And you're facing an operation, because it's in your stomach, and it's a tumor in the stomach. That's what you was told. That's the truth isn't it? Uh-huh, that's right. And you have arthritis also. And you have eye troubles; your eyes are going getting dimmer all the time. What it is is a hardening of the nerve, dying in your eye. That's right. Do you believe Jesus is here to make you well? Come forward just a moment.
Now look, I want to ask you something. He Who's here, Who knows you (and you know I don't know you)... But there's some kind of anointing here; you're conscious of it, aren't you? See? You--you know there's something going on. That's Him. See? And if He's that close, then He's speaking through me, and I, your brother, then according to His Word if they lay hands on the sick they shall recover, won't they? Then this I do in the Name of Jesus Christ, that the life of this woman be spared and she'll be made well in Jesus' Name. Amen. God bless you, lady. Be just rejoicing.

E-80 Come. Have faith. Are we strangers to each other, are we, lady? My, what a time. I just believe that this is going to be one of greatest nights you've ever seen in Macon. It's just such a wonderful solid mass of faith everywhere, just moving in one accord, can't hardly see the patients.
You've got something wrong with your back. I see a crash or something: a automobile accident, you've been in a automobile accident and it hurt your--your back and it hurt your--your knee, and it--and it--it hurt your hip. And then, you've got high blood pressure which is resulted from that accident. Go, rejoicing, happy, thanking and praising God and being made whole through...?...
See what the Holy Spirit done to that woman bound? I had nothing to do with it. Her faith did that. Amen. Just have faith, and you can receive what you ask for if you'll only believe. "If thou canst believe..." Don't condemn the lady. If you was free from a thing like that, you'd be hollering too. I know I would. Uh-uh-uhm.

E-81 You suffer with a gall bladder condition, don't you? Lady, right there on the end of the row has got a gall bladder condition too, don't you, lady, sitting right here? You have a gall bladder condition. That's right. She has too; them two spirits, a streak of darkness come in between you. Amen. How wonderful. Now, if your faith... You see, it's that spirit there calling to that one there for help. You see? But the Christians are praying, and that's backing up. See? See? The battle is on. The world knows nothing about it, but it's in another realm where you're--we're watching.
You believe with all your heart? By the way, you didn't come from this city did you? You come from Atlanta. Your name is Annie, Johnson's your name isn't it. Go on back and be well. You too, sister; Jesus Christ makes you...?...
What do you think about it, setting there, sister with the migraine headaches? There, you believe that Jesus will make you well? You do? Your mother's setting there too, isn't she? She has arthritis, doesn't she? Isn't that right? Now, listen. You belong to the Church of Christ where they don't believe in these--these miracles and things, but you go back and tell them that it's true. Lay your hand over on your mother and be made well. Amen.
In the Name of Jesus Christ I rebuke this spirit, and may it go and the person be well. Now, go tell God what great things He's done for you. Have faith.

E-82 Come, lady. Do you believe? No, I wasn't reading her mind either. Uh-huh, don't... You quick thinking that. I wasn't. Remember, I get what you're thinking about.
We're strangers to one another. I don't know you. God does know you. He can reveal to me what's your trouble. I couldn't heal you, but He'd do that through grace. After preaching the Word, you should believe it. But God's not willing that any should perish or be sick. God wants us to prosper in health, doesn't He? He wants you to be well. If He will tell me what's wrong with you, will you believe that He's here, it's Him instead of me? You will? You got a stomach trouble. That's right, isn't it? You can't eat greasy foods and things. You back away from the table. You got a husband too that's got diabetes. That's right. You don't come from this country. You come from South Carolina. You're in a party of six (Is that right?), three men, three women. Return back rejoicing and be well in the Name of the Lord Jesus Christ.
Does thou believe? All things are possible if thou can only believe. Have faith.

E-83 We're strangers to each other, lady. Oh, my, how wonderful. Little lady, setting right back out there, you got trouble in your back, haven't you, setting right on the end of the seat there? You got a back trouble, haven't you? You're wearing a brace right now on your back beneath your clothes. Isn't that right? When you go home take it off; your faith healed you; Jesus Christ made you well. Oh, He's wonderful. Just believe; you can receive.
You suffer with a head trouble, don't you, lady? And I see something about somebody. You've got a relative; it's a granddaughter, and she's got bursted veins in her head, and she's bleeding right now. Go home, Jesus Christ makes you well. Your faith heals you. Amen.
Let's say, "Praise the Lord." And you was healed when you come up there just then. Jesus Christ makes you whole. Just go right on your road happy and rejoicing.

E-84 Come, lady. You believe with all of your heart? I--I am not... Come up here, lady, so that somebody here will know that I'm not reading your mind. Lay your hand over on me this way just for a contact. I've never looked at you no more than I see you're a woman walking across the platform. I've never seen you. Not looking at your mind, don't even think about what's wrong with you. But do you believe me to be God's servant? You do? If God will reveal to me (as I look this way, not real looking at you, looking this way) what's wrong with you, will you raise your other hand if it's the truth? You have a tumor.
See, I'm not reading her mind. It's gone from you now, lady. Just go on your road rejoicing and be healed. All right.
Come...?... God bless you, sister. In the Name of the Lord Jesus may you be healed for God's glory. Go on your road rejoicing, saying, "Thank you, Lord." All right.
Come, lady. You want to get over that stomach trouble. Go, eat your supper then and say, "Thank you, Lord," and be healed. God bless you...?... Let's say, "Praise be to God." That's right.

E-85 Look. There's a cross on top of a mountain one time, where the precious Blood of God's Son come out of there; a transfusion by faith from that tonight would take all the diabetes away and make you well. Do you believe that? You accept it? Then may you receive it in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you. Go.
Would you come, lady? Do you believe me to be His servant? You have a lady's trouble, female trouble, bothers you bad, abscessed; but Jesus Christ can make you well. Do you believe it? Then I ask for your healing. In the Name of Jesus Christ may you receive it, amen. Let's say, "Thanks be to God." Amen.
All right, come, lady. Have faith. Do you all believe? God be praised.
Now, the lady standing here... Is this the patient? All right. Now, lady, I suppose we're strangers to each other, are we? We don't know one another. You've seen me one time. Well, I don't know you is what... No way for me to know you. But God knows you; He knows what you're here for. If God will reveal to me what you're here for, will you accept your healing?

E-86 The old gentleman setting there with the white hair, beard, sir, you have a rupture, don't you? You believe God will make you well? God bless you. Have faith.
I see a pull coming from him there from a... There's a man sitting behind him there with that little blue bow tie on. He also has a rupture. You believe? Yes, sir. You want to be made well? All right. You got habit you want to quit too, don't you? Yes, sir. Quit your smoking cigarettes then. Go on and serve the Lord; that'll be all of it. Amen.
Praise be to the living God, Jehovah-jireh, Jehovah-rapha, the Great I AM, not the I was, I AM, the Everlasting, He that was dead and is alive again, the Root and Offspring of David, the Morning Star, the Rose of Sharon, the Lily of the Valley, the all lovely One, the all sufficient One, the all purpose One, the all powerful One. His blessings be raised forever and forever. Amen.

E-87 Excuse me. Look, you're the patient. I'm... I don't know. Sister, I... I--I don't know you. God knows you. But now, you standing there with your hand up and your eyes closed, but the Lord Jesus knows all about you. He... I... If I could heal you, I would, but I can't. I can't do it. But you're suffering with a female trouble; it's a lady's trouble. That's right. And you're also interested in another person. It's a little boy, kinda brown kinky hair, wearing glasses. And he's got a kidney trouble. And I see somebody standing by you. It's a brown... Oh, this is your wife, sir. Well, God bless you. Go on your road rejoicing in the Name of the Lord Jesus Christ. Hallelujah. Thanks be to God.

E-88 You see the man's got a trumpet in his ear; let's bow our heads just a minute. I don't know; it's a deaf spirit on him. There may be other things; that I can't say. Let's bow our heads and no one look up 'till I--you hear my voice saying, "Look up," now, because this has to be driven out. So keep your heads bowed. And just wait here. Do you believe with all your heart?
Our heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus bless this man who I bless in Thy Name, and may this evil spirit that's trying to take his life, 'cause him to walk before vehicles somewhere and be killed--take another life before his time comes, prematurely... Satan, we adjure thee by the Living God, the Lord Jesus, leave the man.
How long have you been that way. [The man answers, "Since I was in the service."--Ed.] Is that right? Can you hear me all right now? Can you hear me now? You're perfectly normal. Can you hear me now? You can hear me? Can you hear me now? I'm just whispering, just barely whispering. You love Him with all your heart. All right, you can raise your head. Look here, here's his trumpet. You hear me all right? Say, "Praise the Lord." There you are. Go on your way rejoicing and say, "Thanks be to God."

E-89 All right. Come, lady. You want to get over that tumor? You believe God will heal you? Raise up your hand and say, "I accept Him with all my heart." In the Name of Jesus Christ I rebuke this devil that would take the woman's life. Come out of her in Jesus' Name, Amen.
Let's say, "Thanks be to God."
What if I told you that was healed setting there in a chair? Would you believe me? Well then, just go on to your road, happy and rejoicing and say, "Thanks be to God."
Heart trouble kills more people than anything else, but Jesus saves. Do you believe that? You accept it for your heart now? Amen. Then in the Name of Jesus Christ may you be made well. Amen.
All right, would you come, lady? Do you believe, lady, with--with all your heart, with all your mind? Believe that Jesus Christ makes you well right now? He does. I lay hands upon you in the Name of Jesus Christ the Son of God, and ask that you be made well. Amen.

E-90 Sir, setting there with the prostate trouble, do you believe Jesus heals you and makes you well? You do? God bless you. Is your name Mr. French? Isn't it? You... Yes, sir. Is that right? B. French, is that right? Raise up to your feet. I heard your name called by an Angel of God. Your faith has healed you, sir. Go on your road rejoicing. Amen.
Diabetes, God just heal that like anything else, couldn't He? In the Name of Jesus Christ I ask for your healing. Amen. Go, happy and rejoicing.
The little lady that just left here just a few minutes ago before this lady, when you were standing in the prayer line, lady, you had a real odd feeling come over you when you first started the prayer line, isn't that right? This lady had the same thing, didn't you, lady, because you both had kidney trouble. You see? You was healed, and you were healed 'fore you even come up here, so you just go on your road rejoicing, saying...?... Amen...?...

E-91 Believe on the Lord Jesus. 'Course, sir, I have... Wearing glasses, we know there'd be something wrong with your eyes. Maybe there's something else. You have arthritis. That's right. You get real stiff at times, don't you? And then, when you're trying to move, sometimes you move your foot sideways when you're setting down like that to step off of something. You won't have to do that no more. Your faith healed you. Go, in the Name of the Lord Jesus and be made well. Amen.
Have faith. My, my, Christian friend, if you only knew, the Holy Spirit, just seems like, just settled over the building, over the place.
You believe, lady? Would you do what I told you to? Now, being that you're standing here, all your life you've been nervous. You're not a nervous person that shakes, but you're a nervous person by thinking. You're always preplanning things, going ahead planning things ahead. Usually never happens that way. We call it crossing bridges before you get to them. In doing that, you formed a stomach trouble. That's right. It's a ulcer in your stomach. It's nervousness. Now, you quit being nervous. There's no need of being nervous; Jesus is with you. Now, go on your road, rejoicing, thanking God and praising Him, and you'll get completely well in the Name of Jesus Christ. Amen.
Have faith. You believing?

E-92 How do you do, sir. We are strangers to each other, I suppose. We are... Never met one another and here are standing, one a white man, one a colored man: two different nations. But God knows that there's no middle wall between us and Christ. You are suffering with something wrong in you knees. That's right. You're not from here. You come from another city called Ford Valley, something like that, Ford Valley, Georgia. And you're a preacher, F. H. Henderson. Go on your road rejoicing, Mr. Henderson; Jesus Christ makes you whole.
Is this...? Huh? Is this weak? Have faith.
What about you down here in a wheelchairs? I notice my boy patting my side; I know there's something happening, but just look once more. Be faithful; have faith.

E-93 This man here was praying awhile ago. I seen the Light holding over. It's about the child setting there in the wheelchair. Honey, you believe Brother Branham to be God's servant? You do? You want to be well? You believe God will raise you up out of that wheelchair? You're just a baby; you can't have faith for yourself. Dad, lay your hand over on her. Now, that devil that binds her... Satan, in Jesus' Name, turn the child loose. Raise up from there, honey. Come up out of the wheelchair.
There you are. Push her wheelchair back. You're whole now, sweetheart. The old...?... trouble will leave you.
The rest of you, rise to your feet everywhere. Do you want to be healed? I don't care what's wrong. Satan, you've lost the battle. You can't hold these people any longer. Come out of here. In the Name of Jesus Christ, I adjure thee to leave this group of people. Everyone of them can be made well. Come out. Leave, in Jesus Christ's Name, may you go from this audience and everyone be made...?...

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