La Conduite De L’Esprit De Dieu
1 Bonsoir, mes amis. Je suis heureux d’être de nouveau ici ce soir au service du Seigneur. Après cette bonne averse qu’on a eue aujourd’hui à l’extérieur, j’espère que Dieu nous accordera une averse à l’intérieur, une averse spirituelle. Autrefois, nous chantions: «Pluies de bénédiction.» C’est ce dont nous avons besoin, n’est-ce pas? De grandes pluies de bénédiction.
On s’accorde généralement des bénédictions, ou on se passe ce que nous appelons des bouquets à la fin des services, mais nous n’aurons pas à le faire dans ce–ce cas-ci. Je n’ai jamais eu le privilège de rencontrer personnellement certains prédicateurs et autres de l’Association, qui nous ont permis d’avoir ce camp, pour cette petite occasion que nous avons eue ces deux soirées. Mais si l’un des administrateurs, ou les–ou quelqu’un qui est en contact avec eux, avec cette...ceux qui nous ont permis d’avoir ce lieu, nous aimerions vous remercier de tout notre coeur, gentil frère. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et nous allons commencer la réunion de prière.
2 Et, souvenez-vous... M’aimez-vous? Si vous m’aimez, levez la main. Et je lève mes deux mains. Je vous aime d’un amour immortel en Jésus-Christ. Priez pour moi.
Bon, Celui qui peut ouvrir les Ecritures, ce n’est pas un homme, c’est Dieu. Ainsi, puisse-t-Il ouvrir cette sainte Parole alors que nous lisons dans Saint Luc, chapitre 2 pour un sujet, et pour thème, dans un autre passage. Mais dans Saint Luc 2, vers 25, voici ce que nous lisons:
Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui.
Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme ils apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi, il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit: Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole.
Car mes yeux ont vu ton salut,
Dans Romains 8, verset 14:
Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.
3 Maintenant, nous allons prendre pour sujet ce soir: L’Expectative. Et notre thème de ce soir sera: La Conduite de l’Esprit de Dieu.
L’époque où se passe ce que nous venons de lire dans notre texte, c’était vraiment un temps à Jérusalem! Les Israélites, les Juifs, s’étaient éloignés de leur Dieu, ils s’étaient égarés, ils étaient devenus formalistes et indifférents ; et ils soutenaient que tous les jours des miracles étaient passés. Ils lisaient ce que Josué avait fait. Ils lisaient ce que Moïse avait fait. Mais ils s’étaient relâchés à cause du progrès scientifique et de leur épanouissement. L’instruction prédominait.
C’est vraiment dommage que ces choses se substituent au Saint-Esprit. Que Dieu ait pitié!
Je pense... je dis ceci avec révérence ; je le dis avec respect, sans m’en servir comme prétexte à mon ignorance: mais je déclare que l’instruction est l’une des plus grandes malédictions que la religion de Jésus-Christ ait jamais connues. Les gens la substituent au salut. Ils pensent que parce qu’un prédicateur est très instruit, qu’il prononce très bien ses mots... Qu’importe à Dieu votre façon de prononcer les mots?
4 Il y a quelque temps, à Fort Wayne, dans l’Indiana, j’ai été étonné. Cela me vient à l’esprit maintenant. J’étais passé derrière l’estrade, c’est là qu’ont lieu des événements extraordinaires du monde. Vous qui lisez ce magazine célèbre: Nous le Peuple, ça a été publié là. Ils ont écrit, dans un article sur la religion, quelque chose sur mes réunions à Fort Wayne ; là-bas, Dieu avait fait recouvrer la vue à une jeune fille qui était complètement aveugle. Et un enfant aux pieds bots avait été complètement guéri à l’estrade.
J’étais devenu très faible. On m’avait fait passer derrière l’estrade, là où mon ami Paul Rader, qui est parti dans la Gloire il y a plusieurs années, avait composé ce cantique célèbre qui m’accompagne aujourd’hui, Crois seulement. Pendant que je me tenais là, un homme instruit est entré, très érudit. A l’entendre parler, il aurait appris à monsieur Webster quoi dire. Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, une seule chose cloche dans votre ministère.»
J’ai dit: «Eh bien, gentil homme, j’aimerais savoir tout ce qui cloche.» J’ai dit: «Je ne voudrais pas qu’il y en ait.»
Il a dit: «C’est votre grammaire.» Il a dit: «Oh ! Elle est pauvre.»
J’ai dit: «Oui, oui. C’est vrai.» J’ai dit: «Je... Nous étions neuf enfants, les garçons, plus une fille, ça fait dix. Mon père est mort jeune.» J’ai dit: «J’ai dû travailler pour m’occuper de dix enfants.» Et j’ai dit: «Je–je n’ai pas reçu une grande instruction, je n’ai fait que l’école primaire.»
Il a dit: «Mais, Frère Branham, maintenant vous êtes un homme.» Il a dit: «Cela ne compte plus pour le moment.» Il a dit: «Vous pouvez recevoir des cours par correspondance ou quelque chose comme cela, je... Et améliorer votre grammaire.» Il a dit: «C’est terrible.»
J’ai dit: «Oui, oui. Je le sais.» J’ai dit: «Je suis désolé. Mais, ai-je dit, après que le Seigneur m’a donné ce ministère, et il me faut aller travailler pour Lui, les gens affluent tellement dans le... A ce jour, il y a aux Etats-Unis quatre cents villes principales qui réclament des réunions. Je signe des documents et autres, là où des dizaines de milliers assistent aux réunions.» J’ai dit: «Comment pourrais-je le faire, monsieur, à cette allure?»
5 «Oh ! a-t-il dit, un point sur lequel vous commettez ce genre d’erreur, a-t-il dit, le soir, vous avez dit: ’ Que tous ceux qui viennent passent par ce polepit–polepit, a-t-il dit. Frère Branham, l’assemblée vous apprécierait davantage si vous disiez pulpit [chaire] et non polepit,»
Eh bien, il m’a un peu durement tiré l’oreille, je pense. J’ai dit: «Mon bien-aimé frère, je ne suis pas d’accord avec vous. Qu’importe à ces gens que je dise polepit ou pulpit [chaire] ! Ce qu’ils veulent de moi, c’est que je prêche la Parole et que je vive ce que je prêche.» J’ai dit: «Voilà l’essentiel.»
Donc, Christ ne vient pas par l’instruction. Christ vient par un coeur abandonné qui croit en Lui. Eh bien, l’instruction est une bonne chose, mais elle ne prendra jamais la place du salut. Impossible.
6 Et, mais, en ces jours-là, les gens s’étaient éloignés. Aussitôt que l’instruction prend place, le surnaturel quitte l’église, Christ quitte. Il ne peut pas supporter cela. Les gens deviennent tellement intelligents qu’ils savent plus que Lui. Donc, les Ecritures ne sont pas apportées par l’instruction ; Elles sont apportées par la révélation, pas par l’instruction, par la révélation. Aussitôt donc que l’instruction occupe votre chaire... Beaucoup parmi vous, dans le choix de vos prédicateurs qui doivent occuper la chaire, vous choisissez le–le–le jeune homme fraîchement sorti de l’école, intelligent, plein d’esprit, sociable et mélangeur. Dieu ne veut pas celui qui mélange, Il veut celui qui sépare. Dieu veut quelque chose qui est... Voyez? Et vous votez pour lui ; et souvent, c’est parce qu’il est très raffiné, il est gentil. Comme... Ce n’est pas ainsi que Dieu choisit des hommes.
7 Eh bien, quand Samuel est allé choisir l’un des fils de David, ou plutôt pas de David, mais l’un des fils d’Isaï, le père de David, on lui a présenté l’aîné, comme ils étaient sûrs que ce serait lui qui prendrait la place de Saül .C’était un grand gaillard beau, aux cheveux bouclés, mesurant sept pieds... Eh bien, Isaï a dit: «Il aura un air merveilleux dans ses robes royales, avec une grosse couronne sur la tête.»
Voyez-vous comment les pensées humaines peuvent s’infiltrer? Et en s’avançant, le prophète se disait: «C’est peut-être lui l’homme.»
Il portait une cruche d’huile, lorsqu’il s’est avancé, le Saint-Esprit a dit: «Je l’ai rejeté.» Le monde l’avait choisi, mais Dieu l’avait rejeté. Le monde regardait l’apparence, Dieu regardait l’intérieur.
On a fait venir un autre de grande taille. Il était raffiné, peut-être qu’il peignait ses cheveux en les renvoyant en arrière. Il a dit: «Quel beau jeune homme ! Regardez comme il est droit et robuste! Nous le présenterons là et nous verrons ce que le Saint-Esprit dira de lui. Je suis sûr que ça sera lui.»
Lorsqu’on l’a présenté là, Samuel a pris la cruche d’huile et s’est avancé pour l’oindre, parce qu’il était très beau et qu’il avait l’air d’un homme intelligent. Mais le Saint-Esprit a dit: «Je l’ai rejeté», jusqu’à ce que tous les fils d’Isaï, les cinq, avaient été présentés, et le Saint-Esprit a dit: «Je les ai rejetés.» Saül... Samuel a dit: «N’en avez-vous pas un autre?» Il a dit: «Oui, j’ai un maigrichon, blond, là derrière, qui s’occupe des brebis; il ne vaut pas grand-chose.»
«Allez le chercher.»
Et lorsqu’on l’a amené, c’était un drôle de petit gars en manteau de peau de brebis, ses cheveux lui tombant sur la nuque, et probablement qu’il utilisait des His, hain’t et fetch, carry et tote [Parler du Kentucky]. Il n’était pas instruit, il tenait une houlette en main. Le Saint-Esprit a dit: «Je l’ai choisi. Va l’oindre.» Voyez-vous la différence entre ce que l’homme veut et ce que Dieu veut? Voyez? C’est ça la différence. Ne choisissez pas l’apparence, choisissez l’intérieur. L’intérieur est éternel, l’apparence périra.
8 Mais c’est en partant de cette considération que les hommes choisissent leurs conducteurs. Ils choisissent leurs pasteurs, ils rejettent la prédication de la croix à l’ancienne mode, le salut à l’ancienne mode et les appels à l’autel. Lorsque vous faites cela, c’en est fini de votre église. C’est vrai. Que ce soit les baptistes, les méthodistes, les presbytériens ou quoi que ce soit, c’en est fini. C’est ce qu’Israël avait fait, il s’est choisi des rois jusqu’à s’éloigner de Dieu. Ils avaient oublié la puissance que Dieu avait donnée à David, ils avaient oublié Moïse. C’était quelque chose qu’ils lisaient. Ils étaient divisés et dispersés. Quel type parfait est-ce d’aujourd’hui! C’est la même chose: on choisit la théologie intellectuelle, on choisit des hommes qui peuvent parler avec une grande éloquence. Eh bien, ils parlent en langues pour la moitié de leur assistance. C’est vrai.
9 Il n’y a pas longtemps, un homme essayait de discuter avec moi sur la guérison divine, et je savais qu’il n’avait pas... qu’il ne pouvait pas soutenir cela avec les Ecritures. Et il s’est mis à utiliser des grands mots. J’ai dit: «Je n’ai pas le don d’interprétation; alors, parlez-moi en anglais afin que je sache de quoi vous parlez.» C’est ça donc.
Alors, lorsqu’ils ont fait cela, ils se sont éloignés: ils se sont éloignés de Dieu, ils se sont éloignés du surnaturel. «Oh ! ces choses-là, c’est du passé.» Mais, vous savez, Dieu ne manque jamais de témoin, quelque part. Des fois, ça diminuait jusqu’à un seul homme, par exemple, Noé, qui avait trouvé grâce aux yeux de Dieu.
Souvent, ça diminuait jusqu’à un seul homme, mais Dieu a toujours eu un témoin sur qui Il peut mettre la main et dire: «Voici Mon serviteur. Je lui dis d’aller à tel endroit, et il y va. Je lui dis de faire telle chose, et il le fera, sans tenir compte de ce que l’église dit ou de ce que les gens disent ; il le fera de toute façon.» Dieu a un témoin.
10 Et à l’époque, Il avait un témoin. Et l’un d’eux était notre–notre personnage de ce soir, Siméon, un vieux sage ; il portait une très longue barbe blanche et des cheveux blancs qui flottaient au vent sous son turban. Il était spirituel. Il croyait au surnaturel. Il croyait en Dieu. Et un jour, pendant qu’il était en prière, Dieu, par le Saint-Esprit, lui révéla qu’il ne mourrait pas avant de voir l’Enfant Christ. Quelle révélation ! Regardez donc, ils attendaient Christ depuis quatre mille ans ; et puis, ils étaient tout emballés dans l’instruction, dans la science et la psychologie. Oh ! Ils avaient tout maîtrisé, mais ils étaient loin des jours des miracles, cependant, Dieu s’était trouvé un homme à qui Il pouvait parler. Ô Dieu, donne-nous un autre. L’Ancien...
11 Eh bien, que pensez-vous que les gens avaient dit à ce vieillard qui avait un pied dans la tombe, comme nous le dirions aujourd’hui, de quatre-vingt et quelques années, portant une barbe blanche, allant çà et là, témoignant partout, disant: «Je ne mourrai pas avant de voir le Christ du Seigneur»? Pourquoi? Il avait le droit de croire cela. Cela lui avait été révélé par le Saint-Esprit. C’est ça, une vérité spirituelle révélée. Dieu a dit: «Sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» Cela montrait que les portes du séjour des morts s’opposeraient à Elle, mais elles ne prévaudront point, du moment qu’il lui a été révélé, à l’apôtre, que Jésus était le Christ. C’est ça. Remarquez, il croyait en Dieu. Eh bien, peut-être que le vieil homme, étant un docteur, il jouissait d’une grande réputation, il était un homme intelligent; instruit. Que pensez-vous que ses collègues prédicateurs ont pensé de lui alors qu’il allait çà et là, racontant aux gens qu’avant sa mort, il verrait le Christ?
Eh bien, ils peuvent avoir dit: «Ce n’est pas le temps pour le Christ. Nous ne verrons jamais cela dans cette génération-ci. Il y a encore beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de centaines de générations, et c’est difficile à déterminer.»
Mais il a dit: «Oh ! non. Le Saint-Esprit m’a dit que je Le verrais.» Voyez?
12 Savez-vous ce qu’ils ont dit? La même chose qu’on avait dite à Abraham, au père Abraham. Alors qu’il avait cent ans, Dieu lui avait dit, quand il avait soixante-quinze ans, qu’il aurait un enfant de sa femme Sara, qui avait alors soixante-cinq ans. Ils ont attendu cet enfant pendant vingt-cinq ans, rendant grâces à Dieu pour lui avant qu’il vienne. C’est ça. Vous êtes les enfants d’Abraham si vous avez ce genre de foi. Voyez? Vous devez avoir la foi d’Abraham.
Dieu avait dit à Abraham: «Je t’ai appelé de ton pays et Je vais...» Il avait vécu avec Sara depuis qu’elle avait environ dix-sept ans. Et durant toute leur jeunesse, ils avaient vécu ensemble. Et Sara était là, âgée de soixante-cinq ans, ayant probablement connu la ménopause depuis trente ou quatre... trente ans, comme ça arrive aux dames; elle n’avait plus d’espoir d’avoir un enfant. Mais Dieu avait dit: «Tu auras d’elle un enfant. C’est ta femme.»
13 Et Abraham a cru en Dieu. Peu importe combien impossible... Si vous permettez l’expression, je suppose qu’ils sont allés acheter un tas de couches, ils ont apprêté des épingles et tout, parce qu’ils allaient avoir l’enfant, ils prenaient des dispositions pour cela. Lorsque Sara...Les premiers mois sont passés: «Comment te sens-tu, Sara?»
«Pas de changement.»
«Mais, gloire à Dieu, nous aurons de toute façon cet enfant.» Peu importe ce que les gens du dehors disent, Dieu a fait la promesse. Dix ans s’écoulèrent: «Qu’en est-il?»
«Eh bien, pas de changement.»
«Mais, Dieu soit béni, nous aurons de toute façon cet enfant.»
«Comment le savez-vous?»
«Dieu l’a dit.»
Le voilà âgé de cent ans. Et Abraham, plutôt que de faiblir... Si Dieu vous fait une promesse dans Sa Parole ce soir et que vous... si cela ne s’accomplit pas dans cinq minutes, eh bien, vous vous en allez en disant: «Il n’y a rien là.» Comment pouvez-vous être un fils ou une fille d’Abraham? Quand Dieu fait une promesse à un fils et à une fille d’Abraham, ils croient en Dieu. Et Abraham, dit la Bible, plutôt que de faiblir, fut fortifié tout le temps, sachant que ce serait un miracle plus grand. Et il appelait ces choses qui existaient comme si elles n’existaient pas. Il croyait en Dieu.
14 Et peut-être que Siméon a dit: «Eh bien, puisque mon père Abraham avait cru en Dieu, parce que Dieu lui avait donné une promesse, Dieu m’ayant aussi donné une promesse, alors j’y crois.»
Que pensez-vous qu’un médecin dirait aujourd’hui si un vieil homme de cent ans se rendait, en compagnie d’une femme de quatre-vingt dix ans, se rendait au cabinet d’un médecin et disait: «Docteur, j’aimerais que vous preniez des dispositions à l’hôpital parce que ma femme va avoir un enfant.»
Eh bien, savez-vous de qui on traiterait cet homme-là? On le traiterait de fou. C’est ce qu’on dit de quiconque prend Dieu au Mot ; on le traite de fou parce qu’il est conduit par l’Esprit. Mais les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Et l’Esprit de Dieu confirmera toujours la Parole comme étant la Vérité. Quoi que disent les gens, la Parole est vraie. Voyez-vous cela? Oh ! J’aime la Parole ! La foi doit s’ancrer dans la Parole, dans ce que Dieu dit.
15 Eh bien, si vous remarquez bien, comme je vous le disais hier soir, Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur. Jésus avait seulement des visions. Il a dit: «Je ne peux faire que ce que Je vois faire au Père.» Saint Jean 5.19.
Il a dit: «Je...» Quand Philippe s’est rendu auprès de Lui et qu’il a été sauvé, il est allé trouver Nathanaël loin, sous un arbre, en train de prier, à plusieurs kilomètres de distance, il l’a amené. Jésus était là, Il a regardé Nathanaël et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Nathanaël était dans l’assistance. Jésus savait ce qui clochait en lui, tout à son sujet. Nathanaël a dit: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»
Jésus a répondu: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Là, c’était Jésus. Et ces oeuvres qu’Il avait faites, Il a dit: «Vous les ferez aussi. Je M’en vais, mais encore un peu de temps, Je reviendrai et Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous Me verrez, ainsi que ces signes et ces prodiges, jusqu’à la fin du monde.» Amen. Ne vous irritez pas. Amen veut dire Ainsi soit-il. Très bien. Vous ne m’irriterez pas en disant amen. Cela me siffle un peu.
16 Je sais que je m’adresse à beaucoup de chasseurs d’opossum. Autrefois, j’avais un vieux chien qui pourchassait tout ce qui passait par là alors que cela grimpait à un arbre, sauf une moufette. Alors, je plaçais une moufette sous un tas de broussailles, et le chien ne voulait pas aller attraper cela. Tout ce que je devais faire, c’était soulever le tas de broussailles, tapoter un peu le chien en disant: «Attaque-la.» Il allait l’attraper. La pire moufette que je connaisse, c’est le diable. Un petit «amen» de temps en temps, et «attaque-le», c’est une bonne chose.
Très bien. Etre conduit par l’Esprit de Dieu. Attendre cela. Siméon attendait que Dieu tienne Sa Parole. Abraham attendait que Dieu tienne Sa Parole. David attendait que Dieu tienne Sa Parole lorsqu’il a affronté le géant. Samson attendait que Dieu tienne Sa Parole quand Il a entouré le poteau de ses bras. Samson attendait que Dieu tienne Sa Parole quand il a ramassé la mâchoire d’un mulet et qu’il a terrassé mille Philistins. Les enfants hébreux attendaient que Dieu tienne Sa Parole quand ils entraient dans la fournaise ardente. Daniel attendait que Dieu tienne Sa Parole quand il allait parmi les lions. La femme qui toucha le bord de Son vêtement attendait que Dieu tienne Sa Parole. Marthe attendait que Dieu tienne Sa Parole quand Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.»
17 Aujourd’hui, alors qu’on cherche à faire de Jésus juste un homme... Oh ! Cela me donne un drôle de sentiment! On dit que Jésus n’était qu’un prophète, qu’un homme. Il était Dieu Lui-même, Il n’était rien d’autre que Jéhovah Tout-Puissant voilé dans une chair. Sinon, Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.
Une femme membre d’une certaine église, l’église de la Science chrétienne, m’a dit tout récemment, elle m’a dit: «Révérend Branham, vous accordez trop d’importance à Jésus en disant qu’Il était Dieu.»
J’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Eh bien, Révérend Branham, a-t-elle dit, vous savez qu’Il n’était qu’un prophète.»
J’ai dit: «Non, Il ne l’était pas. Il était Dieu.»
Elle a dit: «Si je vous prouve qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous accepter cela?»
J’ai dit: «Comment allez-vous le prouver?»
Elle a dit: «Par la Bible.»
J’ai dit: «Assurément.» Oui, oui. Si la Bible dit qu’Il n’était pas Dieu, Il ne l’était pas. Je crois la Bible. En effet, il n’y a pas d’autre fondement en dehors de Ceci, la Bible.
Et elle a dit: «Je vais le prouver par la Bible, qu’Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «D’accord. Où est votre passage des Ecritures?»
Elle a dit: «Saint Jean, chapitre 11.» Eh bien, j’ai dit: «Où trouvez-vous là qu’il est dit qu’Il n’était pas Dieu?»
Elle a dit: «Lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, a-t-elle dit, La Bible dit: ‘Il pleura.’» Elle a dit: «Cela prouve qu’Il était un Homme. Il n’était pas Dieu, sinon Il n’aurait pas pleuré.»
18 J’ai dit: «Madame, votre argument est plus léger que le bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Vous n’avez pas du tout de fondement.» J’ai dit: «Il était un Homme, mais Il était aussi Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» J’ai dit: «Quand Il s’est tenu à la tombe, certainement, Il a pleuré comme un homme. Mais quand Il a regardé là et qu’Il a redressé Son petit corps (Il n’était pas beau à voir, la Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer notre regard), mais lorsqu’Il a regardé là à la tombe, et qu’un homme mort, dans la tombe, et les vers grouillaient dans son corps... et qu’Il a dit: «Lazare, sors !» et qu’un homme mort depuis quatre jours, et dont l’âme avait effectué un voyage de quatre jours quelque part, est revenu à la vie et s’est de nouveau tenu debout, c’était plus qu’un homme.»
Oui, oui. La corruption avait reconnu son Maître ; la vie avait reconnu son Maître. Et un homme qui pourrissait dans la tombe redevint un homme normal, vivant, il s’est assis et a mangé comme des hommes. Là, c’était plus qu’un homme. Là, c’était Dieu dans un homme.
19 Assurément... Un soir, Il descendait de la montagne, un matin plutôt, affamé, cherchant dans un figuier quelque chose à manger. Il avait faim. Lorsqu’Il avait faim, là, c’était un Homme. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons, qu’Il en a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu, un Dieu-Homme. Exact.
Il était un homme là, ce soir-là, lorsqu’Il était tellement fatigué, la vertu étant sortie de Lui après avoir guéri les malades et autres toute la journée, Dieu le Père ayant parlé par Lui, par des visions et autres. Il était là sur une mer agitée. La petite barque était ballottée comme un bouchon de liège, dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. Il était tellement fatigué, alors qu’Il était couché à la poupe, que même les vagues ne L’ont pas réveillé. Il était un Homme pendant qu’Il était couché là, fatigué. Mais lorsqu’Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», et que le vent et les vagues Lui ont obéi, là, c’était plus qu’un homme. C’était Celui qui règne au Ciel et sur la terre qui parlait par des lèvres d’un Mortel. Exact.
20 Il est mort sur la croix en criant comme un homme: «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il est mort comme un homme, mais le troisième jour, Il est ressuscité, Il s’est manifesté. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit: «Vivant, Il m’aima ; mourant, Il me sauva ; enseveli, Il emporta mes péchés au loin ; ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours. Un jour, Il viendra. Oh ! quel jour glorieux !» Il n’est pas étonnant que cela ait ravi le coeur des poètes, des écrivains et des prophètes au cours des années. Et tout homme qui ait jamais abouti à quelque chose a cru en Lui comme Sauveur.
Eddie Perronet, alors qu’il était persécuté par le monde extérieur... Je me suis récemment tenu à côté de sa tombe, la sienne et celle de Cowper, le compositeur de Il y a une fontaine remplie du sang. Alors qu’un jour, Eddie Perronet, là dans son petit bureau... Il n’arrivait pas à écouler ses chansons. On le traitait de fou. Mais Dieu lui a parlé. Il prit son stylo et composa le cantique inaugural de la Seconde Venue de Jésus. Il a dit: Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus. Que les anges se prosternent. Apportez le diadème royal Et couronnez-Le Seigneur de tous. Oh ! la la ! Regardez ça.
21 L’expectative: Si vous vous attendez à cela, vous le recevrez. Généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez. Si vous êtes venu à la réunion ce soir, vous attendant à y trouver quelque chose à critiquer, le diable vous le montrera. Il veillera à ce que vous soyez satisfait. Vous recevez ce à quoi vous vous attendez. Si vous êtes venu pour recevoir une bénédiction, Dieu veillera à ce que vous la receviez. Si vous êtes venu pour être sauvé, Dieu veillera à ce que vous le soyez. Si vous êtes venu pour être guéri, que vous vous attendez à être guéri, Dieu veillera à ce que vous le soyez. Il s’agit de tout ce que vous attendez de Lui.
Eh bien, à l’époque de Siméon, on n’avait pas de télégrammes et autres comme aujourd’hui. On n’avait pas de télévisions, de radios et autres de la science moderne que nous avons. Le message se transmettait de bouche à oreille. Et je... vous savez, généralement, il n’y a que ceux qui s’attendent à quelque chose qui reçoivent ce qu’ils attendent.
22 Remarquez, il y a eu des mages, là loin dans le pays de l’est, peut-être en Inde: Des mages. Il n’y a pas longtemps, environ un an, je parcourais les rues en Inde, j’ai vu de vieux mages, ils ont toujours les mêmes habitudes, s’asseoir là et de contempler les étoiles... Ces mages croyaient qu’Il viendrait. Et trois d’entre eux virent l’étoile et la suivirent de l’est à l’ouest. Les Ecritures déclarent: «Nous avons vu Son étoile en Orient.» Oui, ils étaient à l’est, ils ont vu cela à l’ouest. En effet, l’Orient se trouve à l’est de la–de la Palestine. Ainsi, ils devaient se retrouver en Orient pour voir cette étoile en Occident. «Nous avons vu Son étoile en Orient, et nous sommes venus en Occident pour L’adorer.» Amen.
Remarquez, cette étoile est passée par-dessus chaque observatoire. C’était l’unique moyen pour eux de déterminer le temps à l’époque, c’était par des observatoires. Ils déterminaient le temps par des étoiles: «Sentinelle, que dis-tu de la nuit?» Vous rappelez-vous le prophète? Cette étoile... Croyez-vous que c’était une étoile? La Bible dit que c’en était une. Et elle est passée par-dessus chaque observatoire où des croyants orthodoxes contemplaient les cieux, observant le temps. Ils restaient au sommet du bâtiment, sur le mur et observaient les étoiles. Et un homme fatigué sortait la nuit et demandait: «Sentinelle, qu’en dis-tu?»
«Il y a encore autant d’heures», c’est la quatrième veille, la cinquième veille, «il y a encore autant d’heures avant l’aube.»
23 Et dans chaque ville, on observait les étoiles. Et aucune d’elles n’a vu cela. Mais les mages l’avaient suivie depuis l’Inde jusqu’en Palestine. Pourquoi les autres ne l’avaient-ils pas vue? La raison pour laquelle les gens ne peuvent pas voir les choses glorieuses de Dieu aujourd’hui, c’est qu’ils ne les attendent pas. En voilà la raison. Cela est exclusivement accordé à ceux qui attendent la chose. Ces mages attendaient la prophétie de Balaam selon laquelle: «Une étoile sortira de Jacob.» Et ils ont su cela à l’allure où se passaient les événements. C’était le moment pour que cela s’accomplisse. Vous pouvez le savoir. Amen.
Ça y est. Ecoutez. Vous pouvez savoir que nous sommes au bout du chemin. Des bombes atomiques, à cobalt, à hydrogène, les nations tremblent, elles sont en conflits, et le grand ennemi plane là, à bord des avions à réaction, il peut faire voler cette nation en éclats, oui, le monde entier, en cinq minutes. Tout le monde devient nerveux.
24 C’est comme un petit agneau broutant dans un champ, il devient, on dirait, nerveux. Que se passe-t-il? Vous qui êtes en haut et qui regardez vers le bas, regardez là, il y a un lion tapis là derrière lui. L’agneau ne voit pas le lion, mais quelque chose le lui fait savoir. C’est ce qui se passe aujourd’hui chez les êtres humains. Ils sont devenus nerveux. Ils sont bouleversés. Ils ne savent que faire. Qu’y a-t-il? L’ennemi s’est tapi. Il est prêt à bondir. La fin est là. Et tout homme jouissant du bon sens sait qu’il y a quelque chose qui cloche.
25 Le mage a vu cela, il a dit: «Une étoile se lèvera. J’attendrai cela.» Il a vu cela.
Qu’est-ce que Jésus a dit devoir arriver juste en ce temps-ci? «Et Je restituerai aux gens toute la gloire ancienne, Je déverserai sur eux la pluie de la première et de l’arrière-saison. Les signes et les prodiges qui étaient dans la première Eglise seront dans la deuxième Eglise au dernier jour.» Voici votre signe. Il apparaît sur la terre. Les signes et les prodiges, la même chose que Jésus avait faite, se passe de nouveau ici, Son Esprit agissant parmi les gens.
Le prophète a dit que vers le soir, la Lumière paraîtrait. Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit. C’était brumeux. Jadis, dans l’Eglise primitive, quand ils avaient parmi eux des signes et des prodiges de Jésus, ils avaient des visions, ils guérissaient les malades et autres ; de grands signes et de grands prodiges de la Bible. La Lumière a diminué. Elle a continué à diminuer jusqu’à ce qu’on est entré dans les âges de ténèbres. Après l’âge des ténèbres, Luther est apparu. Après Luther, Wesley est apparu. Après Wesley, Calvin est apparu. Après Calvin vint... Oh ! ainsi de suite. Qu’est-ce? Ils avaient assez de Lumière pour savoir que Jésus sauvait.
26 C’était un jour brumeux, mais la Bible dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» Le soleil s’est levé à l’est sur les Orientaux, les Juifs et les Orientaux. La civilisation a évolué dans le même sens que le soleil. Et aujourd’hui, on est dans les derniers jours. Nous sommes arrivés à la Côte Ouest. La chose suivante, c’est le retour à l’est. Et lorsque le soleil se couche, il brille dans toute sa gloire.
Le Saint-Esprit est ici. L’attendiez-vous? Si oui, vous verrez certainement Sa conduite.
Siméon attendait Jésus. Et si Dieu vous a fait une promesse, Il est obligé de tenir cette promesse. Et Dieu ne fera jamais une promesse qu’Il ne pourra pas tenir. Ainsi, quand Siméon... Peut-être que ce jour-là, quand Jésus est né, les mages étaient venus, ils attendaient cela. Les pauvres bergers sur le flanc de la colline... Il n’est jamais allé auprès des membres du clergé. Eux ne L’attendaient pas. Auprès de ces bergers-là, ces pauvres paysans sur le flanc de la colline, les anges étaient descendus et ont dit: «Aujourd’hui, dans la ville de David est né le Christ, le Seigneur.» Ils sont allés et ont trouvé les choses comme telles. Les messages ne s’étaient pas répandus.
27 Supposons que c’était un lundi matin, au temple. Beaucoup d’enfants naissaient, parmi deux millions de gens, de Juifs de l’époque. Beaucoup de gens... d’enfants naissaient. Chaque enfant mâle devait être amené au–au temple huit jours après sa naissance pour être circoncis. Et la mère devait offrir un agneau, ou si elle était pauvre, elle offrait deux tourterelles pour sa propre purification et pour la circoncision de l’enfant. C’était une loi.
Disons qu’on est un lundi matin. Des centaines d’enfants naissaient chaque jour. Et on est un lundi matin, il y a de l’activité au temple. Caïphe est assis là, en retrait, avec son éventail de juge, il ne sait rien à ce sujet. Les sacrificateurs étaient occupés à leur train-train habituel, discutant du genre de boutons qu’ils devraient mettre sur leurs habits, ou de quelque chose comme cela. Et il y avait un vieil homme du nom de Siméon qui était assis dans une pièce de prière en train de lire Esaïe, peut-être: «Nous étions tous errants comme des brebis. Le Seigneur a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. Car Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» «Oh ! dit-il, Dieu, ô Dieu, Tu m’as donné la merveilleuse promesse que je Le verrais.» Et à ce moment là... Si Dieu vous a fait une promesse, Il la tiendra.
28 Le Saint-Esprit lui a parlé, disant: «Siméon, lève-toi.»
«Pourquoi, Seigneur?» Non, non. Un homme de Dieu ne pose pas des questions à Dieu. Quand Dieu lui dit: «Lève-toi», il se lève.
Il s’est levé. Ce qu’Il va faire importe peu. Suivez-Le simplement. N’attendez pas pour dire: «Eh bien, si j’allais à l’autel, qu’en dirait madame Jones? Qu’en dirait le pasteur? Qu’en dirait Untel?» Ce qu’ils disent importe peu; faites ce que le Saint-Esprit dit: «Avancez.»
Siméon s’est levé au temple. Il a regardé tout autour. La Bible dit: «Quand la profondeur», par David, «quand la profondeur appelle la profondeur...»
Croyez-vous dans la guérison divine? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E] Eh bien, c’est pourquoi la guérison divine existe, parce que vous y croyez. Il y a quelque chose en vous.
29 A notre arrivée ici, à l’arrivée de nos pères au Kentucky, ils ont combattu les Indiens. Ils ont trouvé les Indiens, quand il y avait un cas de mort, ils descendaient ici à la rivière Ohio, à la rivière Green, à la rivière Cumberland, ils mettaient leur mort à bord d’une pirogue, ils y mettaient du maïs, une flèche et un arc et ils le larguaient dans la rivière. Ils disaient: «Il va à la chasse heureuse.» L’Indien ne connaissait pas Dieu. Tout ce qu’il y avait, c’est qu’en lui il y avait quelque chose qui lui faisait savoir que Dieu existait.
Le Hottentot d’Afrique, on est allé là, cet homme ne savait pas distinguer la main droite de la main gauche, mais il adorait une statue. Il savait que Dieu existait. Quelque chose en lui... c’est un être humain. Il a une âme qui lui fait savoir que Dieu existe.
30 Remarquez, très vite, je dois me dépêcher pour terminer. Le temps s’écoule très vite. Remarquez: «Quand la profondeur appelle la profondeur, dit David, au bruit de tes ondées...» S’il y a ici quelque chose qui réclame autre chose, c’est qu’il doit y avoir autre chose là pour répondre à cet appel. Autrement dit, avant qu’il y eût une nageoire au dos d’un poisson, il devait y avoir de l’eau où ce poisson devait nager, sinon il n’aurait pas eu de nageoire. Avant qu’il y eût un arbre qui devait pousser de la terre, il devait premièrement y avoir la terre, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre qui devait croître de la terre. S’il y a ici quelque chose qui réclame autre chose, il doit y avoir cette autre chose là pour répondre à cet appel.
Il n’y a pas longtemps, je lisais dans un journal (j’ai mentionné cela plusieurs fois) qu’un petit garçon mangeait les gommes des crayons. Il mangeait la pédale d’un vélo. On l’a amené chez un médecin et on l’a examiné au laboratoire, ou plutôt dans une clinique, et on a trouvé que son corps avait besoin de soufre. Il trouvait ce soufre dans la pédale de la bicyclette, ou dans le caoutchouc. Le caoutchouc contient du soufre. Voyez? Il y avait quelque chose ici dedans qui réclamait du soufre. Et puisque quelque chose réclamait du soufre; il devait y avoir du soufre pour répondre à cet appel, sinon il n’y aurait jamais eu d’appel.
31 Et si vous cherchez la guérison divine auprès de Dieu, il doit y avoir une fontaine ouverte quelque part. Les Indiens cherchaient Dieu. Il doit y avoir un Dieu pour répondre à cela. Si vous cherchez le Saint-Esprit, il doit y avoir le Saint-Esprit pour répondre à cette recherche. S’il n’y a pas de profondeur pour répondre, il n’y a pas de profondeur qui appelle.
Pourquoi êtes-vous venu ici ce soir? C’est parce que vous croyez que ça existe quelque part. Et aussi certainement que vous croyez cela, il y a une fontaine ouverte. C’est pourquoi le Saint-Esprit vous a amené ici.
Siméon croyait qu’il verrait Christ. Et il était assis au temple, ce–c’était à Dieu de veiller à ce que Siméon trouve cet endroit-là. Tout comme c’est à Dieu de veiller à ce que vous arriviez ici ce soir. Il était conduit, il était dans l’expectative et il a parcouru la salle.
32 Remarquez, rapidement, accordez-moi votre attention... Il parcourait la salle... et, tout d’un coup, vous savez, il a atteint la rangée des mères. Il les a vues là debout. Toutes les femmes riches étaient là avec leurs petits enfants vêtus de belles broderies, avec leurs petites couvertures roses et–et bleues et tout, et chacune tenait un agneau, de très petites belles choses. Et là loin, au bout de la rangée, je vois une petite vierge d’environ dix-huit ans. Elle a une mauvaise réputation, parce que, disait-on, cet Enfant appartenait à Joseph, et Il était né en dehors du mariage. Mais dans le coeur de cette petite mère, elle savait de qui était cet Enfant. Ce Dernier n’était pas en belles broderies, Il était emmailloté. C’est ce qu’on retirait du joug d’un veau quand il labourait: Le Roi de Gloire sans broderie, emmailloté.
La mère se tenait là, le visage couvert d’un petit voile, les yeux baissés sur le petit Enfant, tandis que les autres femmes gardaient leur distance: «Nous n’aurons rien à faire avec elle. Elle est bannie.» Une bannie, dans son coeur, elle savait de Qui était l’Enfant.
33 Le Saint-Esprit a dit: «On L’appellera Fils de Dieu.» Comment? Ce n’était pas à raisonner, c’était à croire. Et là, les autres gardaient leur distance. Mais voici venir le prophète, celui qui croit au surnaturel. Il était le surnaturel. Il passait là, le vieux sage, les larmes lui coulant sur les joues alors qu’il marchait, il s’est arrêté juste en face de cette brave petite mère, il a tendu les mains et a pris cet Enfant des bras de Marie. Il L’a regardé, les larmes lui coulant sur les joues, et a dit: «Seigneur, Tu laisses Ton Serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Vous y êtes. Etre conduit par l’Esprit. Oh ! la la! Attendre la chose et être conduit par l’Esprit vers ce qu’on attend.
Ce même jour, au temple, il y avait une vieille prophétesse aveugle du nom d’Anne. Elle ne quittait pas le temple ; elle priait jour et nuit. Elle était aveugle, mais elle voyait plus loin que les gens qui avaient des yeux. Elle, qui était aveugle, attendait la consolation d’Israël, sachant que Christ viendrait un jour. Et le Saint-Esprit l’a saisie. Elle s’est levée ; et voici venir cette vieille prophétesse aveugle, conduite par le Saint-Esprit, traversant le temple, dépassant les critiqueurs, jusqu’à venir se tenir en face de Lui. Le Saint-Esprit l’a conduite à Christ. Elle s’est levée, elle a prophétisé, elle a béni Marie et l’Enfant. Elle était conduite par l’Esprit, elle s’attendait à cela, et elle y croyait.
34 Il y a quelque temps, je revenais de Dallas, au Texas, un orage avait éclaté et il secouait mon avion. Nous avons atterri à Memphis, dans le Tennessee. Je n’oublie jamais cela. On m’a envoyé là dans un grand hôtel appelé Peabody. Je ne pourrais jamais rester dans un tel hôtel à mes propres frais. Je n’ai pas autant d’argent. Mais la–la compagnie aérienne TWA m’y avait envoyé. Et alors, pendant que j’y passais la nuit, j’ai prié cette nuit-là. Et le lendemain matin... Croyez-vous que nous sommes conduits par l’Esprit de Dieu?
Je souhaiterais avoir le temps de vous raconter beaucoup de choses. Continuons avec celle-ci. Cette fois, c’était très frappant. Le lendemain matin, j’avais des lettres, je me rendais à la poste pour les expédier. Et je me suis engagé sur la route, on m’a appelé pour me dire: «Soyez prêt à prendre votre avion à 8 h. La limousine vous prendra à 7 h 30’.»
J’ai dit: «Merci, monsieur.» J’ai dit: «Eh bien, voyons. Il est 6 h 30’. J’ai le temps d’aller à la poste.»
35 Et je suis allé poster ces lettres. Je descendais la route en chantant. Eh bien, tout d’un coup, vous savez, le Saint-Esprit a dit: «Arrête-toi.»
Je me suis dit: «Qu’est-ce qui ne va pas?» Je me suis dit: «Peut-être que ce sont juste mes pensées que j’ai entendues.» J’ai un peu avancé et Quelque Chose m’a arrêté, disant: «Arrête-toi un instant.» J’ai regardé, un gros agent de police se tenait là dans un coin, alors, j’ai reculé, faisant comme si je contemplais les moulinets de pêche. Et le Saint-Esprit a dit: «Fais demi-tour.» Je sais uniquement faire ce qu’Il me dit de faire, pas plus pas moins, et j’espère ne jamais connaître plus que ça.
Je me suis retourné, je me suis engagé dans le sens contraire, j’ai dépassé l’hôtel, continuant sans cesse. J’ai consulté ma montre, il était 8 h 30’. Je suis allé droit jusqu’au quartier des gens de couleur. Je ne savais où j’allais. J’étais simplement conduit. Je ne savais pas. Je continuais simplement à avancer. J’ai vu cela arriver des douzaines de fois, oui, des centaines de fois. J’étais simplement conduit.
Une question surgit dans mon esprit: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse ici loin près de la rivière, au milieu de ces cabanes où habitent les gens de couleur.»
«Ce n’est pas ton affaire. Toi, suis-Moi.»
36 J’ai simplement continué à marcher. Tout d’un coup, vous savez, j’ai regardé, il y avait un prototype de vieille tante Jemima appuyée sur un portail, et je passais là, chantant ce petit cantique Je suis si heureux de pouvoir dire que je suis l’un d’entre eux. Je le chantais pour moi-même. Et j’ai regardé au portail; elle se tenait là, une chemise d’homme nouée autour de la tête. Et une petite vieille cabane délavée en une quelconque matière située là, il y avait un–un soc de charrue suspendu à la porte pour faire contre poids et l’empêcher de s’ouvrir. Elle était accrochée là, regardant là. Je l’ai aperçue à une centaine de yards [41 m], et j’ai arrêté de chanter, je continuais simplement à descendre la route. Quand je passais par là, elle s’est mise à sourire, m’a regardé, les larmes lui coulant sur ses grosses joues et a dit: «Bonjour, pasteur.»
Je me suis retourné, j’ai dit: «Bonjour, tantine.» J’ai dit: «Comment avez-vous su que j’étais pasteur?»
Elle a dit: «Pasteur, avez-vous déjà lu dans la Bible l’histoire de la femme sunamite qui ne pouvait pas avoir un enfant, qui avait dit au seigneur qu’elle était bénie, mais–mais Elie lui avait dit qu’elle aurait un enfant, et elle l’avait eu, et puis, cet enfant était mort?»
J’ai dit: «Oui, je m’en souviens.»
Elle a dit: «J’étais ce genre de femmes. Je ne pouvais pas avoir d’enfant, et j’avais promis au Seigneur d’élever l’enfant, a-t-elle dit, selon Sa volonté.» Et elle a dit: «Le Seigneur m’a donné, à moi et à mon mari, un enfant.» Et elle a dit: «Pasteur, a-t-elle dit, l’enfant, mon garçon, lorsqu’il est devenu un homme, il est sorti et s’est mal comporté.» Et elle a dit: «Je n’y pouvais rien, pasteur.» Elle a dit: «J’ai fait la lessive sur une planche à laver, a-t-elle dit, pour essayer de l’élever correctement dans une église, mais, a-t-elle dit, il a rétrogradé, il s’est éloigné de Dieu ; et il a eu une mauvaise compagnie.» Et elle a dit: «Pasteur, a-t-elle dit, il a contracté une maladie honteuse, la syphilis, il se meurt d’une maladie vénérienne.» Et elle a dit: «Il est couché là à l’intérieur, mourant.» Et elle a dit: «Oh ! Le médecin était ici hier et, a-t-elle dit, il est inconscient depuis hier matin, et le médecin m’a dit: ‘Il ne redeviendra plus jamais conscient.’» Il a dit: ‘ Son coeur, le sang est refoulé dans son coeur. Le coeur est rongé, il est trop tard pour faire quoi que ce soit pour lui. Cela a rongé et fait des trous.’» Et elle a dit: «Pasteur, je ne peux simplement pas voir mon enfant mourir sans connaître le Seigneur.» Elle a dit: «J’ai prié toute la nuit.» Elle a dit: «Je continuais à dire: ‘Seigneur, je suis ce même genre de femme. Où est Ton Elie?’» Elle a dit: «J’ai continué à prier et, a-t-elle dit, je me suis endormie.» Et elle a dit: «J’ai vu venir en songe un homme en costume de couleur...portant un chapeau tanné.» Elle a dit: «C’était vous, pasteur.» Elle a dit: «Le Seigneur m’a dit, à 3 h du matin, de venir me tenir à ce portail pour vous attendre.» Elle a dit: «Je suis ici depuis lors.»
Je l’ai tapotée à l’épaule, c’était encore mouillé de rosée. Je me suis dit: «Seigneur, c’est ici.»
37 Elle a dit: «Voudriez-vous entrer?»
J’ai été aux palais de quatre rois. J’ai été dans certaines de meilleures maisons, dans des pays à travers le monde. Je n’ai jamais été mieux accueilli que je l’étais dans cette humble cabane ce matin-là. J’ai franchi la porte. Il n’y avait pas de posters de jeunes filles nues au mur. Il y avait un petit écriteau au-dessus de la porte: «Que Dieu bénisse notre maison.» J’ai vu un gros four à bois placé là à même le sol et, dans un coin, se trouvait un petit lit en fer où était un gaillard qui pesait environ 180 livres [81,6 kg], un jeune homme de teint sombre, couché là, tenant un drap en main et faisant: «Mmmmm, mmmmm.»
Elle a dit: «Vous voyez, pasteur?» Elle a dit: «Il est inconscient, là, c’est le deuxième jour.» Et elle a dit: «Il s’imagine être perdu sur une grande mer.»
Et juste à ce moment-là, il a dit: «Maman, il fait sombre. Il fait sombre. Je ne sais simplement pas où je vais.»
Elle a dit: «Oh ! Pasteur, a-t-elle dit, entendez-vous cela?» Elle a dit: «Je ne peux supporter de voir mon bébé mourir comme cela.» Elle s’est baissée et lui a donné un baiser au front.
Je me suis dit: «Ô Dieu! Peu importe ce qu’il a fait, combien il est plongé dans le péché, il est toujours le bébé à maman.» Elle ne pouvait pas l’oublier. C’est son bébé. Et je me suis dit: «Ô Dieu, si cette mère ne peut pas oublier son bébé, pourtant Tu as dit: ‘Une mère oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite, quand elle l’oublierait, Moi, Je ne t’oublierai point. Tu es gravé dans la paume de Ma main.» Je me suis dit: «Ô Dieu, cette pauvre femme!»
38 Et elle pleurait. Et j’ai dit: «Tantine, mon nom est Branham. Avez-vous déjà entendu parler de moi?»
Elle a dit: «Non, non, pasteur Branham, je n’ai jamais entendu parler de vous.»
Et j’ai dit: «Mon ministère, c’est prier pour les malades.» Elle a dit: «Je suis contente de le savoir.»
Et j’ai dit: «Tantine, voudriez-vous vous agenouiller avec moi pour la prière?»
Elle a dit: «Oui, pasteur.»
J’ai dit: «Conduis la prière, tantine.»
Et elle s’est agenouillée là et, oh ! frère, vous entraînez... Elle pouvait bien être une lavandière, mais permettez-moi de vous le dire, quand cette vieille femme s’est mise à prier, on pouvait sentir la puissance de Dieu se mouvoir dans la pièce.
Elle a dit: «Bien-aimé Seigneur...» Son enfant était couché là mourant, mais cela ne la dérangeait pas du tout. Elle a dit: «Bien-aimé Seigneur, je viens à Toi au Nom de Jésus.» Une telle prière ! Je me suis tenu là, j’ai pris le drap, je me suis essuyé les yeux avec dès qu’elle avait terminé de prier. Elle a dit: «Seigneur, Tu m’as envoyé Ton pasteur; maintenant, Seigneur, que j’entende mon enfant dire qu’il est sauvé avant qu’il meure.» Je l’ai regardée. Je me suis dit: «Que votre brave coeur soit béni.» J’ai dit: «Maintenant, je vais prier, tantine.» J’ai dit: «Père céleste, mon avion est parti il y a pratiquement deux heures, mais Tu as dit: ‘Marche.’ C’est tout ce que je savais faire. Je m’attendais à ce que Tu fasses quelque chose. Maintenant, je ne peux rien faire, Seigneur, si ce n’est Te parler.» J’ai simplement touché les pieds du jeune garçon. C’était froid et humide. La mort était sur lui. J’ai dit: «Tout ce que je peux faire, c’est Te parler, Seigneur, mais voudras-Tu avoir pitié de ce jeune homme? Sauve-le, Dieu bien-aimé, et guéris son corps à cause de cette pauvre vieille mère.»
Et lorsque j’ai terminé la prière, il a dit: «Maman.»
Elle a dit: «‘Oui, chéri?» Il a dit: «Il fait clair dans la pièce.»
39 Cinq minutes après, il était assis au bord du lit, me serrant la main. D’un bond, je suis sorti et j’ai pris un avion, je suis allé à l’aérogare, l’avion attendait toujours, et on faisait le dernier appel. Dieu, par grâce, avait arrêté cet avion, il l’avait retenu là à cause d’une pauvre femme de couleur ignorante. Pensez à la grâce, sans mesure, sans limite, c’est ça la grâce de notre Dieu. Elle avait cloué l’avion au sol, elle l’avait retenu là à cause de la prière d’une pauvre lavandière. Oh! la la !
Environ une année plus tard, je passais par là, le train... Eh bien, le train s’était arrêté. Si jamais vous êtes allé à Memphis, le train s’arrête. Je descendais pour m’acheter un sandwich, c’était trop cher à bord du train, je suis donc descendu pour m’acheter un hamburger. Et je suis sorti de l’avion, ou plutôt du train, je marchais, j’ai entendu un porteur dire: «Salut là, pasteur Branham.»
Je me suis retourné, j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Il a dit: «Vous ne me reconnaissez pas, n’est-ce pas?»
J’ai dit: «Je ne pense pas.»
Il a dit: «Vous souvenez-vous de ce matin-là où le Saint-Esprit vous avait conduit chez maman?» J’ai dit: «Vous n’êtes pas ce jeune homme-là !» Il a dit: «Si, pasteur.» Il a ajouté: «Je suis guéri, et aujourd’hui, je suis chrétien.» Amen. Oh! la la !
40 Il y a quelques jours, des frères étudiants, qui sont ici, étaient chez moi, ainsi que votre bien aimé jeune homme ici, frère Banks Wood et sa femme qui sont présentement mes voisins... On observait un opossum sur un sentier qui passe dans le bois, à environ 150 yards [137 m], il remontait le sentier, et il a pris la direction de mon portail, après avoir dépassé quatre autres maisons, c’était à 10 h, le matin.
Eh bien, frère chasseur, vous savez que les opossums ne se déplacent pas la journée. Ils se déplacent la nuit. Il s’est engagé, je me suis dit: «Peut-être qu’il a la rage.» Alors, je suis allé là, j’ai pris un râteau, je l’ai posé sur lui, et il a maugréé contre moi. Je... il avait une patte cassée. Les chiens devaient l’avoir mâché, ou un véhicule avait roulé dessus, ses oreilles étaient toutes couvertes de mouches vertes, d’asticots, et il était dans un état horrible. Je me suis dit: «C’est pourquoi il a maugréé.» Généralement, il se renverse tout simplement. Et il m’est arrivé de remarquer qu’il portait neuf petits nus.
J’ai dit à frère Léo et à Gene qui sont quelque part ici, j’ai dit: «Jeunes gens, venez ici. L’autre jour, une femme de Jeffersonville, une belle femme, avait donné naissance à un enfant, elle est allée là, elle l’a enveloppé dans une couverture, elle l’a étouffé à mort, elle l’a amené sur un pont et l’a jeté dans l’eau.» J’ai dit: «Cet opossum est plus mère que cette femme-là.» C’est vrai. Oh ! Combien bas les êtres humains peuvent tomber !
41 Et l’opossum ne s’est pas arrêté pour moi. Il s’est directement dirigé vers les marches de ma maison et s’est écroulé là. Madame Wood et monsieur Wood, qui sont ici maintenant, sont venus regarder. Madame Wood a une grande expérience, monsieur Wood aussi, sur des brebis et autres. Ce sont des gens très aimables. Et madame Wood m’a dit, elle a dit: «Frère Branham, tout ce qu’il y a de raisonnable à faire pour lui, c’est de le tuer.» Elle a dit: «Il respire encore, mais, a-t-elle dit, il ne peut pas vivre. C’est la gangrène, et tout s’y est établi.» Elle a dit: «Il se meurt. Tue-le. Et puis, prends aussi ses petits et tue-les.» Ils cherchaient à téter leur mère. L’opossum est l’unique animal, à part le kangourou, qui a une pochette où il porte ses petits. Elle a dit: «Tout ce qu’il y a de raisonnable à faire, c’est de le tuer. Alors, après la mort de leur mère, ils vont prendre du lait caillé et mourir bien vite de crampe et tout.» Elle a dit: «Tue-le simplement.»
J’ai dit: «Je ne le peux pas. Je ne le peux simplement pas.»
Elle a dit: «Eh bien, tu es un chasseur.»
J’ai dit: «Mais je ne suis pas un tueur.» J’ai dit: «Je–je ne tue que ce que je mange, et c’est un animal comestible. Et je ne peux simplement pas le tuer de toute façon.»
Elle a dit: «C’est bien, Frère Branham.» Elle a dit: «Mais ne le laisse pas souffrir.»
Elle considérait cela du point de vue humain. Mais, en moi, Quelque Chose disait: «Ne le tue pas.»
42 Tout au long de la journée, les gens venaient et repartaient. Elle n’a point bougé, elle est restée étendue là, avec cette patte ressortie comme ça, et ces petits continuaient toujours à la téter ; et je lui ai donné des coups de bâton, elle n’arrivait simplement pas à se lever.
Et moi, cette nuit-là, nous étions sortis, on m’avait fait sortir, frère Wood et les autres, pour effectuer une petite promenade. Nous nous promenions sur la route, frère Wood a dit: «Voyez-vous ce chiot?» Et j’ai fait marche arrière pour le voir, et la pauvre petite créature avait été écrasée par quelqu’un. Elle était tout recouverte des mouches, des gales et des poux. Il a dit: «Ne pensez-vous pas qu’il nous faut le tuer?»
J’ai dit: «Non, épargnons-le.» Et je l’ai pris, avec des poux, des mouches, des gales et tout. Je l’ai fait entrer dans la voiture, je l’ai amené chez moi, je l’ai soigné. Il aimerait vivre. Assurément, nous tous, nous aimerions vivre, n’est-ce pas?
43 Alors, ce soir-là, lorsque je suis rentré vers 23 h, cette vieille mère opossum était couchée là. Frère Wood a dit: «Elle ne bougera point.» Il a dit: «Si elle devait bouger, c’est maintenant qu’il fait nuit qu’elle se déplacerait.» Il a dit: «Elle ne se déplacera pas.»
J’ai dit: «Je crains qu’elle ne le fasse pas, non plus.» Toute la nuit, je ne pouvais pas oublier cet opossum. Il me hantait. Le lendemain matin, ma fillette de 9 ans, très spirituelle, elle a des visions, elle est très calme, une fillette pieuse, la petite Rebecca, elle m’a accompagné à la véranda pour voir où était l’opossum. Là était couché l’opossum, la mère opossum, avec ses petits cherchant à téter. Je lui ai donné de petits coups de bâton. C’est à peine si elle pouvait encore bouger. Elle n’arrivait pas à ouvrir les yeux.
44 Je suis rentré, je me suis assis dans mon bureau. Rebecca est retournée à la cuisine. Je me frottais la tête, j’ai dit: «Oh! la la! Je souhaiterais pouvoir oublier cela. Je pense que j’aurai à la tuer. Je n’aimerais pas le faire.»
Et Quelque Chose m’a dit: «Eh bien, hier, tu prêchais à son sujet. Tu disais qu’elle était une véritable mère, tu l’as honorée parce que c’était une mère. Elle se meurt. Et si elle meurt, ses petits mourront. Et pourtant, elle veut vivre pour ses petits. Et Tu as prêché disant que c’était une véritable mère. Et Je l’ai envoyée jusqu’à ton seuil pour que tu pries pour elle. Elle est restée couchée là pendant vingt heures comme une dame, attendant son tour pour qu’on prie pour elle.»
J’ai dit: «Eh bien, pourquoi?» Je me suis dit: «Tiens, un instant. Je ne suis pas en train de monologuer. Qui a dit cela?» Je me suis dit: «Oh! la la! Ça doit être le Saint-Esprit.»
Et je me suis retourné, je suis allé dehors et j’ai dit: «Père céleste...» Je L’ai vu faire de telles choses auparavant, une fois, avec un vieux chien ; le taureau qui allait me tuer ; les frelons, oh! bien des choses. Dieu traite avec les animaux. Ils n’ont pas d’âme. Mais ils suivent l’instinct.
45 Je me suis dit: «Seigneur, si Tu as de la considération pour une mère opossum qui se meurt, un opossum ignorant... Elle aimerait élever ses petits. Et Tu l’as envoyée depuis les bois, elle a dépassé les autres maisons non clôturées, Tu l’as fait entrer ici, Tu l’as fait coucher à mon seuil pendant vingt-quatre heures attendant qu’on prie pour elle. Ô Dieu, si le Saint-Esprit reconnaît le don de Dieu, Il a fait cela avec des humains des milliers de fois, mais pour un opossum ignorant, ai-je dit, Ô Dieu, alors guéris cet opossum.»
J’aurai à vous rencontrer au Jugement. La vieille mère opossum, après que j’eus demandé sa guérison au Nom de Jésus, s’est retournée et m’a regardé, elle a rassemblé ses petits, elle m’a regardé comme pour dire: «Merci, gentil homme.» Sa patte était tout aussi normale qu’elle pouvait l’être, elle s’est pavanée directement comme cela.
J’ai dit: «Becky, viens ici. Regarde-la s’en aller.» Elle se dirigeait droit au portail, elle est descendue sur la route, heureuse au possible, portant ses petits, allant dans le bois. Oh ! Cette mère opossum sait plus au sujet de Dieu qu’un dixième de la population du monde.
46 Etre conduit par l’inspiration. Le même Saint-Esprit vous a conduit ici ce soir. Ne croyez-vous pas en Lui? Ayez foi. Prions. Notre Père céleste, être conduit par l’Esprit de Dieu! Oh ! Sois miséricordieux ce soir, Père céleste, alors que ce groupe attend, beaucoup de personnes âgées et des malades assis ici, attendant. Je dois les rencontrer au Jugement. Peut-être, si je reviens ici un an plus tard, si je suis en vie, beaucoup dans un groupe de cette ampleur seront partis. Je ne les reverrai plus après ce soir. Et je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux. Sauve les perdus ce soir. Puissent-ils se rendre compte que celui-ci est le jour de visitation. Tu es ici. Tu cherches à amener les gens à compter sur Toi. Seigneur, Tu sais que nous essayons de les amener à compter sur Toi. Puissent les pécheurs être sauvés maintenant même.
47 S’il y a un pécheur dans la salle, soit à l’intérieur, soit à l’extérieur, qui voudra qu’on se souvienne de lui dans la prière (Dieu peut faire marcher les boiteux et faire voir les aveugles), qu’il lève la main pour dire: «Frère Branham, priez pour moi.» Levez simplement la main et faites-la descendre. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, vous. Quelqu’un à ma droite? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est ça. Dieu voit votre main. Il est ici. Il sait tout à ce sujet.
Père, je Te prie au Nom de Jésus de sauver ces gens qui ont levé les mains. Accorde-le, Seigneur. Beaucoup n’ont même pas le courage de lever la main, mais je Te prie, Père, de les sauver de toute façon. Et puisses-Tu venir avec grande puissance maintenant même. Et puissions-nous dire ce soir, une fois le service terminé ce soir, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous?»
Tu as fait quelque chose d’un peu étrange, de différent de ce que les prédicateurs ordinaires faisaient. Tu as pris le pain, et par la façon dont Tu l’as béni, le miracle que Tu as opéré, ces disciples ont reconnu que ça ne pouvait pas être un homme, que c’était Toi. Et ils sont rentrés en se réjouissant, disant: «‘Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous?» Ne voudras-Tu pas une fois de plus ce soir, ô Dieu, faire quelque chose d’un peu différent de ce que font les prédicateurs ordinaires, afin que cette assistance sache que Tu es ressuscité des morts, que Tu es ici, les conduisant ce soir aux fontaines de la Vie. Parle, ô Seigneur. Tes serviteurs écouteront. Oins Ton serviteur inutile maintenant, Seigneur. Je m’abandonne à Toi pour la suite du service. Au Nom de Jésus. Amen.
48 Je suis désolé de vous avoir fait attendre si longtemps. Vous avez été très gentils et patients. J’aimerais vous demander une autre chose; nous allons vous faire venir à l’estrade, faire venir des gens à l’estrade, pour la prière.
Maintenant, j’aimerais que tout le monde soit respectueux au possible. Ceci pourrait vous paraître un peu étrange. Si c’est le cas, c’est en ordre. Eh bien, si j’étais un critiqueur, je ne resterais pas ici. C’est dangereux. Qu’on le sache bien, si Dieu vient et que les maladies quittent les gens, rappelez-vous, je souhaiterais avoir le temps d’en parler, vous aurez à me croire sur parole, pas moi, mais la Bible. Ce sont des démons. Ils peuvent aller d’une personne à une autre, et faire...cela s’est fait dans la Bible et ça se fait encore aujourd’hui.
J’ai vu 25 personnes être frappées d’épilepsie il n’y a pas longtemps. Un prédicateur d’une certaine église était assis dans l’assistance, lui et son assemblée. Et je leur ai demandé d’incliner la tête. Il ne le voulait pas. Alors, je me suis mis à prier, et Quelque Chose m’a frappé. J’ai regardé derrière et j’ai dit: «Monsieur, inclinez la tête.»
Il a dit: «Je ne suis pas obligé.»
J’ai dit: «D’accord.»
J’avais un enfant épileptique. Je n’arrivais pas à obtenir que les convulsions quittent cet enfant. Il était en lambeaux rattachés par une épingle et il mâchait sa langue. Je n’arrivais pas à obtenir que les convulsions quittent cet enfant.
Et j’ai dit: «Monsieur, ne soyez pas irrespectueux. Jésus a dit: ‘Si tu peux amener les gens à croire.’»
Et j’ai dit: «Par vos oeuvres, vous montrez que vous ne croyez pas.» Il a dit: «Je n’y crois pas. Je n’ai pas à garder ma tête inclinée.»
J’ai dit: «D’accord.» J’ai dit: «Ô Dieu, laisserais-Tu cet enfant innocent souffrir à cause du péché de cet homme et de ce groupe-là? Satan, sors de cet enfant ! Tu es libre.» Et vingt-cinq personnes bondirent au milieu de la salle, courant çà et là, et écumant comme cela, ce prédicateur y compris, et chacun d’eux a été frappé d’épilepsie. Voyez? C’est vrai. J’ai vu cela arriver des centaines des fois, avec toutes sortes de maladies. Nous ne jouons pas ; on est dans la Présence du Dieu Tout-Puissant.
49 Eh bien, je ne vous connais pas. Je ne connais que quelques personnes, et c’est juste un très petit nombre, deux ou trois qui sont assises ici devant, à ce que je sache. Et cette femme âgée, assise ici même, madame Spencer, je la connais, cette dame, ces... Ceux qui sont dans les sièges de devant là-même, ce sont les seuls que je connais.
J’aimerais cependant vous poser une question. Lorsque Jésus était ici sur terre, comment accomplissait-Il Ses miracles, d’après ce qu’Il avait dit? Ecoutez, si vous voulez retourner chez vous lire cela, lisez Saint Jean 5, tout le chapitre si vous le voulez. Mais 5.19, quand Jésus a été interrogé là-dessus, alors qu’Il avait dépassé les boiteux, les estropiés et les gens aux membres atrophiés à la piscine de Béthesda: «Pourquoi–pourquoi ne les avait-Il pas tous guéris?»
Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Voyez?
50 Tous les prophètes, et Christ Lui-même, ne faisaient que ce que le Père, Dieu, leur montrait en vision. Et s’Il est le même aujourd’hui, ne fera-t-Il pas la même chose aujourd’hui? Croyez-vous que si Jésus revenait ici sur cette estrade ce soir et qu’Il accomplissait, qu’Il faisait les mêmes oeuvres qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici sur terre, vous accepteriez cela et croiriez-vous cela de tout votre coeur? Si c’est le cas, levez la main vers Lui, peu importe qui vous êtes, pécheur ou saint, quoi que ce soit. Que Dieu vous bénisse. Puisse-t-Il l’accorder!
Et, rappelez-vous, lorsque je vous rencontrerai au Jugement, j’aurai toujours le même témoignage avec la même Bible, le même Dieu.
Eh bien, je ne peux guérir personne. Vous le savez. Je ne suis pas un guérisseur ; je suis un prédicateur de l’Evangile. J’ai des visions, ça, c’est un don de prophète. Je suis né avec ici dans l’Etat du Kentucky, depuis l’enfance. Vous n’acquérez pas ces choses. Vous ne les apprenez pas à l’école ; ce sont des dons divins, c’est à celui que cela est donné. La Bible dit: «Les dons et les appels sont sans repentir.» On naît dans le monde avec ces choses. On ne les acquiert pas par l’instruction, ni par divers moyens, mais par le don de Dieu.
51 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... venant devant moi... Qui aimerait prendre ma place? Voici... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... sache, il y a peut-être des milliers de personnes là, à peu près, selon l’estimation, plusieurs centaines. Je ne suis pas fort dans l’évaluation des foules. Cela ne change rien pour le Saint-Esprit, ou pour moi, qu’il y ait une douzaine, ou... J’ai prêché à demi-million une fois, à cinq cent mille personnes. Souvent, dans nos réunions, on compte dix, vingt, trente, quarante, cinquante mille personnes à la fois. Nous nous attendons à quatre-vingt mille personnes la première soirée, cette semaine, en Allemagne. Ils L’aiment. Ils L’aiment. Ils ont subi une défaite à la guerre. Ils ont été vaincus. Malgré tous les communistes, Hitler et tous les autres, l’Evangile se fraye toujours un chemin en Allemagne et dans tout le reste de la région. C’est une Lumière immortelle. Elle ne mourra jamais.
52 Il y a une femme ici devant moi, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose, mais nous ne sommes pas inconnus à Dieu.
Eh bien, cette femme se tient ici, je ne l’ai jamais vue de ma vie, et elle ne m’a jamais vu. Mais, et si celui-ci était le même cas que celui de Jésus de Nazareth? Et s’Il se tenait ici, que ferait-Il? Voyons dans la Bible ce qu’Il ferait.
Une fois, Il a rencontré une femme au puits et Il s’est mis à lui parler, n’est-ce pas? Que faisait-Il? Vous direz: «Je ne sais pas.»
Eh bien, si vous vous teniez ici avec Ce que je sens tout autour maintenant, vous sauriez ce que cela signifiait. Il contactait l’âme de la femme. Cette femme est un être vivant. Chaque personne ici a un esprit et une âme. Je ne traite pas avec votre corps ; c’est avec votre esprit. Si vous recevez bien cela, le corps y obéira. Voyez? C’est l’âme de la femme que je dois contacter. Alors, Dieu, par la prophétie, peut me révéler et me dire d’où elle vient, qui elle est et ce qu’elle est. Elle reconnaîtra si cela est la vérité ou pas. Moi, je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue. Il n’y a aucun moyen pour moi de la connaître. Mais alors, Il... Alors, Il peut dire à la femme ce pour quoi elle est ici, et Il peut lui dire ce qu’il adviendra d’elle. Et si elle... s’Il peut dire ce que son... Ce qu’elle a été, elle reconnaîtra si c’est vrai ou pas. Assurément, elle pourra croire que ce qu’Il a dit se passera. Est-ce vrai? Il n’y a que le surnaturel qui peut faire cela. Ce sera à elle de croire ce qu’il en est. La façon dont elle... la façon dont elle traitera cela déterminera sa destinée, ce qu’elle recevra.
53 Eh bien, combien ici... j’aimerais vous poser la question: Y a-t-il ici quelqu’un qui connaît cette femme? Levez la main. Quelqu’un la connaît? Oui, regardez. Eh bien, oh! la la! elle doit être d’ici. Très bien. Donc, vous la connaissez, pas moi. Vous en serez juge. Que Dieu en soit le Juge. Moi, je ne la connais pas. Mais si Dieu va, comme Il avait fait par Jésus-Christ, Son Fils, quand Dieu, l’Esprit, habitait en Christ, et Christ a dit: «Ce même Esprit viendra sur vous et vous ferez les mêmes oeuvres après que Je serai ressuscité d’entre les morts... Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde», allez-vous, pouvez... Ne pouvez-vous pas croire cela?
Eh bien, maintenant, pour la Gloire de Dieu, et pour la puissance de Sa résurrection, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ. Faites donc ce qu’Il vous dit.
54 Maintenant, j’aimerais vous parler, madame. Mon intention n’est pas de faire de vous un–un–un objet de spectacle. Je le fais simplement parce que je–je dois vous parler jusqu’à ce que l’Esprit se mette à oindre, comme vous êtes la première patiente, et puis, ça commence à changer. Puis, Cela va çà et là. Voyez, ça me met sous une onction.
Vous êtes–vous êtes consciente d’être dans la Présence de Quelque Chose d’autre que votre frère, vous sentez qu’il y a Quelque Chose près de vous. Vous êtes une chrétienne. Je vois que vous êtes une chrétienne ; tout devient très clair autour de vous. Cela veut dire que votre esprit m’accueille bien. Vous n’êtes pas une critiqueuse. Vous êtes venue pour une assistance. Je ne vous connais pas, mais Quelque Chose est près de vous. Cette Chose même que vous sentez, qui est vraiment doux, humble, c’est cet Esprit, on dirait. Est-ce vrai? Levez la main vers vos amis si c’est vrai.
Ne pouvez-vous pas voir Cela, ami, entre moi et cette femme? Cette Lumière est en train de se mouvoir et tournoyer. C’est le Saint-Esprit. Vous–vous ne voyez pas cela vous-mêmes, peut-être, mais votre esprit vous fait savoir qu’Il est ici. Eh bien, c’est ce qui vous guérit, pas moi. C’est votre foi en Lui.
55 Mais vous êtes venu vers moi pour que je prie pour vous, et je ne sais pas où est localisée votre maladie. Mais si Lui peut me le dire, accepterez-vous cela et croirez-vous que c’est Lui? Votre maladie est au dos. Il s’agit des reins. Est-ce vrai? Et vous êtes extrêmement nerveuse. Et vous avez une affection des reins, c’est un... c’est un empoisonnement. Je vois le diagnostic qui montre que c’est le poison. Je le vois alors qu’on vous examine. C’est vrai. Croyez-vous? Je ne l’ai jamais vue. Eh bien, plus je parle à cette femme, plus Dieu dira des choses. Mais, regardez. Il y a dans cette salle, regardez là, beaucoup pour qui prier.
56 Faites attention à ceci un instant. Parlez-moi juste encore, soeur. Eh bien, voyez, cette voix que vous avez entendue il y a quelques instants, alors qu’elle vous disait ce qui n’allait pas, je ne sais même pas ce que c’était. Le seul moyen pour moi de savoir, c’est par les enregistrements que font ces hommes. Ce n’était pas moi, c’était Lui. Je ne savais pas ce que je disais. C’était Lui qui parlait. Mais je vois un petit signe, cela... Non, vous n’êtes pas de Campbellsville. Vous venez d’une ville appelée Jacktown, ou quelque chose comme cela, Jacktown, dans le Kentucky. C’est vrai, n’est-ce pas? [La soeur dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Et votre prénom est Nettie. Et votre nom de famille Coffman. Retournez chez vous, madame Coffman, Jésus-Christ vous rétablit. Votre foi vous a guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
57 Croyez-vous? Si vous pouvez croire, vous pouvez être guéri. Ayez simplement foi. C’est tout ce dont vous avez besoin.
Vous aimeriez guérir de cette maladie de gorge, vous assise là derrière, vers le poteau. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Si vous le croyez, vous pouvez le recevoir. Vous pouvez l’avoir. Que Dieu vous bénisse, soeur. Levez-vous juste un instant. Ne pleurez pas. Votre maladie de gorge est finie. Vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Voyez-vous? Il vous faut la foi. Ce n’est pas moi. C’est Lui qui regarda là dans l’assistance, là où une femme avait touché Son vêtement, et Il a demandé: «Qui M’a touché?»
On lui a dit: «Ne posez pas une telle question. Eh bien, tout le monde...»
Tout le monde a nié L’avoir touché. Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il a repéré la femme. Il a dit: «Je me suis senti faible. Une vertu est sortie de Moi.» C’est la même chose qui se passe. Ce n’est pas moi, c’est Lui, mais c’est Lui ici présent. Il a dit: «Ta foi t’a guérie.» La femme a reconnu que c’est vrai.
Soyez respectueux et croyez en Dieu. Vous pouvez recevoir tout ce que vous demandez, si vous pouvez croire, mais il vous faut croire.
58 Est-ce cette dame? Bonsoir, madame. Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète? Je dis cela non pas par amour-propre, soeur, c’est parce que l’Ange du Seigneur m’a dit: «Si Tu amènes les gens à te croire.»
Je vois des ténèbres autour de cette femme. C’est la mort. Vous... Oui. Vous n’êtes pas de cette contrée. Vous venez d’une ville, d’une grande ville. Elle est située sur une colline, près d’une rivière, il y a une autre ville de l’autre côté. Oh! C’est Cincinnati, dans l’Ohio, c’est de là que vous venez. Je vois le pont. Vous souffrez des intestins. C’est vrai. Et vous souffrez d’un cancer de foie. [La soeur dit: «C’est ce que déclare le médecin.»–N.D.E.] Et vous êtes... Oui, un médecin costaud vous a examinée, c’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas? Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Ouais. Voudriez-vous rentrer chez vous, guérie? Acceptez mon Seigneur Jésus.
Soeur, Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous que je suis un croyant? Croyez-vous que c’était Dieu qui parlait par des lèvres humaines? Cette onction est donc sur moi. Et si je vous imposais les mains? Jésus a dit que les malades seraient guéris. Voudriez-vous rentrer chez vous en vous réjouissant, Lui rendant gloire? Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne toutes les maladies de cette aimable petite mère. Renvoie-la à sa demeure, chez elle, bien portante. C’est au Nom de Jésus-Christ que je fais ceci. Amen. Que Dieu vous bénisse. Oui, j’aimerais que vous aussi, vous croyiez cela, elle se rétablira. Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse. Ayez foi en Dieu. Jésus a dit: «Ayez foi en Dieu.» Si vous pouvez croire, vous pourrez être rétabli.
59 Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, monsieur? Nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Absolument pas. Nous étions... C’est notre première rencontre, mais le Seigneur Jésus nous a nourris de toute la nourriture que nous avons jamais consommée. Il nous a donné le souffle que nous respirons. Et Il est le seul à détenir notre destinée éternelle en Ses mains.
Comme vous m’êtes inconnu, eh bien, je ne sais donc rien à votre sujet, mais Jésus vous connaît. Il vous connaissait avant votre naissance. Il connaissait toute votre vie. Eh bien, Il est capable, s’Il le veut, de me dire pourquoi vous vous tenez ici. Et s’Il le veut, peu importe ce que c’est, que ça soit n’importe quoi, allez-vous croire en Lui de tout votre coeur et accepter que c’est Lui? Allez-vous le faire?
Oui, oui. Vous venez de Campbellsville, car je vous vois marcher dans la rue; mais vous étouffez, ou quelque chose comme cela. Oh ! C’est votre coeur. Vous souffrez du coeur. Cela a été causé par une crise cardiaque, et vous ne vous êtes jamais remis de cela.
N’importe quoi qui a été dit était la vérité, n’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous qu’Il est... que vous êtes dans Sa Présence?
Je vous impose les mains, mon bien-aimé frère, et je demande au Dieu du Ciel de vous accorder le désir de votre coeur. Puissiez-vous aller ce soir recevoir ce pour quoi vous êtes venu. Car je me tiens dans la lumière du Calvaire pour proclamer ces bénédictions à la place de Celui qui mourut pour eux, Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez, ne doutez de rien. Vous recevrez ce que vous demandez.
60 Oh ! Combien je L’aime! Il est l’Adorable Seigneur Jésus, le Précieux. Bonsoir, jeune dame. Je suppose que nous sommes aussi inconnus l’un à l’autre. Je suis très content de vous voir. J’aime voir des femmes sans maquillages. Vous avez l’air d’une dame. Je suis très content de vous voir. Que Dieu vous accorde votre désir.
Je vous suis inconnu, mais vous aimez le Seigneur de tout votre coeur. Croyez-vous qu’Il est le Fils de Dieu? En effet, je ne devrais pas vous le demander, vous croyez, car vous êtes une croyante chrétienne. Et moi, je vous suis inconnu, mais cependant, je suis Son serviteur, vous croyez cela, n’est-ce pas? Dans ce cas, je peux vous assister en priant pour vous.
Je ne voudrais pas que vous pensiez à ce qui cloche en vous, ou à ce pour quoi vous êtes ici ; j’aimerais que vous pensiez à autre chose; alors, vous verrez que ce n’est pas de la télépathie mentale. La télépathie mentale consiste à prendre un numéro qu’on devine ou quelque chose comme cela. Gardez votre esprit loin de vos maladies, chacun de vous.
Mais vous avez une petite tumeur, n’est-ce pas? C’est appelé kyste, d’après le médecin. Et ça se trouve en dessous de votre bras droit. C’est vrai, n’est-ce pas? Votre mari est avec vous, n’est-ce pas? J’ai senti son esprit appeler maintenant. Il a aussi besoin d’être assisté, n’est-ce pas? Il souffre du coeur. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous pouvez rentrer chez vous. Soyez rétablie, soeur. Imposez les mains à votre mari pendant que cette onction est sur vous comme cela. Que Dieu vous accorde le désir de votre coeur, alors que je vous bénis, ma soeur chrétienne, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
61 Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui de tout votre coeur, et vous pouvez recevoir ce que vous demandez. C’est votre foi qui fait cela, pas moi. C’est l’Aimable qui est ici ce soir, Celui dont j’ai parlé aujourd’hui, qui était assis avec les pieds sales. Il vous aime beaucoup. Ne Le rejetez pas. Acceptez-Le dans votre coeur. Oh ! Quel péché ce serait pour vous de partir d’ici ce soir sans croire, après qu’Il est venu de la Gloire accomplir ces choses! Sois miséricordieux ! Ô Dieu, sois miséricordieux !
Eh bien, regardez juste un instant dans cette direction, soeur. Je vous suis inconnu, je suppose. Nous avons (Oh! la la !) un grand écart d’âge. Vous êtes une jeune femme. Je ne sais rien à votre sujet, mais Dieu sait tout à votre sujet, n’est-ce pas? Si Dieu me permet de savoir, à moi Son serviteur, ce pour quoi vous êtes ici, accepterez-vous cela?
Amis, je... Une très grande attraction de la foi depuis l’assistance, franchement, c’est à peine si je vois l’assistance. Il y a une grande foi, une attraction, une montée de la foi.
J’ai une vision: un enfant juste ici derrière. Y a-t-il un enfant couché là? Il souffre de la hernie, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai, madame? Croyez-vous en Lui? Cet enfant m’est caché, mais il n’est pas caché à Dieu. Dieu sait l’endroit exact où il se trouve. Croyez-vous, maman? Imposez la main à votre enfant, vous et papa là, et demandez à Dieu: «Père, sois miséricordieux.» Le ferez-vous? Accorde qu’il n’arrive aucun malheur, mais que Jésus, l’Aimable, guérisse cet enfant pour la gloire de Dieu. Amen.
62 Je ne suis pas hors de moi, non, mais je sais certainement que maintenant, ici même, se tient Jésus, Celui qui est ressuscité d’entre les morts, Celui qui vous aime beaucoup. Il parle pour moi maintenant. J’ai prêché à Son sujet, maintenant, c’est Lui qui parle. C’est Lui.
Excusez-moi, madame. Je n’avais pas l’intention de vous abandonner. Je dois suivre la conduite de l’Esprit. Eh bien, il y a une traînée noire qui va d’une femme à une autre. Qu’est-ce? C’est un démon. Il sait que son temps est arrivé. Cette femme ici a... Vous êtes extrêmement nerveuse, n’est-ce pas, madame? Vous êtes hystérique, nerveuse. Je vous vois chercher à faire des choses, vous n’y arrivez simplement pas. Vous êtes très nerveuse, nerveuse. Satan vous a dit que vous perdriez l’esprit si vous ne guérissez pas de cela. Mais il vous a mentie.
63 Cette petite dame assise là-même, la deuxième juste là derrière, elle est aussi dérangée par la nervosité. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Voyez-vous ce que je veux dire? Ce démon sait que si cette femme croit à moitié que Jésus-Christ, le Fils de Dieu...et que je suis Son prophète, il devra la quitter. Et ce démon appelait un autre au secours, afin de l’aider à accumuler l’incrédulité, mais il a perdu la bataille. Assurément qu’il l’a perdue. La foi est en train de s’accumuler. Vous êtes très nerveuse, bouleversée, vous êtes aussi dérangée au sujet de quelqu’un d’autre. C’est un homme. Et cet homme est un soldat, il a été un soldat. C’est un vétéran de guerre. Il souffre des nerfs. C’est votre... C’est le frère de votre mari, votre beau-frère. Votre mari a aussi une mauvaise habitude qu’il devrait abandonner: la cigarette. N’ayez pas peur, soeur. Ayez foi en Dieu. Venez ici pour la bénédiction.
J’impose les mains à ma soeur que voici. Satan, toi mauvais esprit, égoïste, esprit impie, je te défie au Nom de Jésus-Christ dans un duel de la foi. Tu es exposé. Sors de cette femme. Au Nom de Jésus. Allez en paix, ma fille, que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse.
64 Le sang coule entre moi et cette femme. Elle souffre du diabète. L’insuline est un médicament performant, mais, oh ! le Sang de Jésus est beaucoup plus performant. Vous et moi, allons au Calvaire pour une transfusion. Voulez-vous aller avec moi?
Ô Dieu, je soulève cette femme vers Toi, vers Ton trône là au Calvaire. Veux-Tu toucher son corps maintenant même et la rétablir? Puisse-t-elle ne pas mourir, mais que ceci soit réprimandé. Je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Que Son Esprit soit sur vous. Maintenant, cela aurait pu vous clouer au lit d’ici peu, et ça pourrait vous rendre estropiée, vous faire marcher avec une canne, cette arthrite. Mais Jésus est ici pour vous rétablir. Croyez-vous cela, soeur?
Petite dame, en train de vous retourner vers ce jeune garçon-là, vous souffrez des nerfs, n’est-ce pas? Oui, oui. Oh! Satan pensait qu’il pouvait cacher cela. Cette dame assise à côté de vous souffre des nerfs aussi. N’est-ce pas vrai? Vous deux, les dames, imposez-vous les mains.
Au Nom du Seigneur Jésus, Satan, démon, séducteur, tu ne peux pas les retenir. Elles croient. Elles L’ont touché. Sors. Au Nom de Jésus. Amen.
65 Juste un instant. Oh ! Vous y êtes. La petite dame assise là est aussi nerveuse, n’est-ce pas, madame? J’ai vu un trait noir monter. Jésus vous a guérie. Celle-là à côté de vous, là. Elle a beaucoup de problèmes, la tuberculose, cela se développe lentement. Vous aimez Jésus de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus vous rétablira? Alors, que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guérie.
Afin que vous, soeur, vous ne puissiez pas douter, allez simplement. Vous voulez que je vous impose les mains. Au Nom de Jésus, je le fais en confirmation de la foi. Amen. Ayez foi en Dieu. Venez, madame. Je vois une table dressée entre vous et moi. Vous vous en retirez. Vous refusez la nourriture. Croyez-vous que Dieu vous rétablira afin que vous puissiez vivre et manger, guérir de cette gastrite? Vous avez aussi une maladie des femmes, une maladie gynécologique. Ça fait longtemps, mais Dieu va vous rétablir. Croyez-vous cela? Alors, je vous impose les mains pour votre guérison, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Ayez foi. Allez, je crois cela ainsi, faites de même. Très bien.
66 Voudriez-vous venir? Eh bien, afin que vous puissiez savoir... Ami, je ne suis pas en train de lire les pensées des gens. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Ça ne sert à rien de chercher à cacher cela maintenant. Votre foi vous a guérie, soeur bien-aimée. Vous souffrez de la gorge, n’est-ce pas? Vous, assise là avec des mains, en train de pleurer. Quand j’ai croisé votre regard dans cette direction-ci, Quelque Chose vous a frappée, n’est-ce pas? Quelque Chose a dit: «Vous êtes guérie.»
La petite dame assise là à côté de vous, en train de pleurer, elle souffre aussi, elle souffre du coeur. Croyez-vous que Jésus va vous rétablir aussi? Imposez-vous toutes les mains les unes aux autres.
Seigneur Jésus, je Te prie de guérir pour Ta gloire. Tu touches... Elles T’ont touché. J’ai senti cela. Et maintenant, rétablis-les, je T’en prie, Père. Au Nom de Jésus, je prie. Amen.
Madame, la patiente, tenez ma main. Je vous suis inconnu, n’est-ce pas? Si Dieu me montre, pendant que vous regardez dans cette direction, ce qu’est votre maladie, accepteriez-vous Cela? Alors, vous n’aurez pas à subir cette intervention chirurgicale. Cette tumeur vous quittera directement. Croyez, ayez foi en Dieu.
67 Vous ne deviendrez jamais aveugle si seulement vous croyez de tout votre coeur. Croyez-vous? Alors, je vous impose les mains, au Nom de Jésus-Christ, afin que vous soyez rétabli. Amen. Ayez foi, croyez de tout votre coeur, et soyez rétabli.
La nervosité ne représente rien pour être guérie par Dieu, n’est-ce pas? Il en a guéri beaucoup de cela. Croyez-vous que vous allez en guérir? Voyez, c’est une affection de prostate qui est à la base de cela, cela vous rend nerveux en vous levant le soir et tout. C’est vrai. Oui, oui. Eh bien, allez en croyant, ne doutez pas du tout, cela s’arrêtera sur vous. Vous serez rétabli. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez foi. Ne doutez pas. Je ne peux pas vous guérir, vous, madame, dans un petit fauteuil roulant. Je ne peux pas vous rétablir, mais je sais où se trouve votre maladie. Si seulement vous croyez ! Vous pleurez. Quelque Chose vous dit que vous pourrez vous rétablir.
68 Croyez-vous que votre mal de dos est fini? Croyez-vous? Eh bien, vous pouvez alors partir, et que Dieu vous bénisse.
Vous souffrez de l’arthrite, c’est très grave. Mais continuez simplement à croire. Si seulement vous vous servez d’un peu plus de foi, vous pouvez soulever votre fauteuil roulant et rentrer chez vous. Croyez simplement. Ayez foi. Combien merveilleux est notre Seigneur Jésus. C’est à peine si je peux encore voir l’assistance. On dirait que tout devient blanc laiteux, le Saint-Esprit s’accumule. Les gens croient maintenant. Pourquoi n’avez-vous pas fait cela au début? Vous auriez vu de grandes choses être accomplies.
Bonsoir, monsieur. Oh ! l’asthme, une mauvaise maladie, mais Dieu guérit l’asthme. Croyez-vous cela? Alors, partez en croyant en Lui, et cela vous quittera. Je vous bénis, mon frère, au Nom de Jésus-Christ, pour votre guérison. Amen. Allez, croyant donc. Vous pouvez avoir ce que vous demandez. Que Dieu soit avec vous.
69 Oh ! la la ! Dieu veut que vous soyez tous guéris. Je n’arrive plus à vous voir. Dieu peut guérir la maladie des reins, rétablir le dos des gens. Croyez-vous cela? C’est en ordre dans votre cas? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir? Alors, je vous bénis, mon frère, et je demande que Dieu vous guérisse par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Puisse-t-Il vous rétablir. Amen. Ayez foi.
Vous êtes très nerveuse, et cela affecte votre coeur, on dirait; en d’autres termes, il palpite, surtout lorsque vous mangez et vous vous couchez, vous êtes étouffé. Eh bien, j’aimerais vous le dire, vous avez un coeur nerveux, mais ce n’est pas une maladie de coeur. Voyez, c’est le gaz qui se forme dans votre estomac à cause de cette nervosité, et vous avez des ulcères d’estomac, et cela renvoie le gaz dans votre coeur, et ça le fait palpiter. Croyez-vous que vous allez être guérie? Croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, le Seigneur Jésus, Jésus? Pauvre petite mère. Que Dieu vous bénisse, soeur, une petite créature frêle. Il vous aime. Il veut que vous croyiez en Lui maintenant même. Ô Dieu, pauvre petite créature, cherchant à accumuler assez de foi pour être rétablie. Oh ! Satan, toi être cruel, je t’adjure au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, quitte cette femme ! Sors d’elle ! Ma soeur, je–je ne suis qu’un homme. L’obscurité qu’il y avait tout autour de vous est partie. Il y a maintenant la Lumière. Allez en croyant. Tout ira bien.
70 La maladie du coeur et autres, c’est facile à guérir pour Dieu. Croyez-vous cela? C’est l’ennemi numéro un, qui tue plus de gens que n’importe quoi d’autre, mais Dieu peut guérir cela. Croyez-vous cela? Beaucoup en souffrent là aussi. Combien aimeraient en être guéri maintenant? Levez la main là dans l’assistance? Voyez, je n’ai aucun moyen de le savoir, c’est juste... je suis pratiquement épuisé. Je–je prie que Dieu vous rétablisse. Seigneur Jésus, je bénis cette femme qui veut vivre. Et je demande qu’elle vive, Seigneur. Et que l’ennemi quitte ma soeur. Puisse-t-elle rentrer chez elle ce soir guérie. Au Nom de Jésus. Amen. La prière de la foi sauvera les malades, et Dieu les relèvera. Très bien.
71 Venez. Mon frère, vous savez que la vie est très courte pour vous, à moins que quelque chose arrive. Vous souffrez du cancer, il y a des ténèbres qui s’accumulent autour de vous. Le diable sait que si seulement vous vous servez d’un peu de foi, il sera vaincu. Ne voudriez-vous pas croire en Lui, mon frère? Ayez... Allez-vous servir Dieu durant toute votre vie?
Dieu Tout-Puissant, je condamne le diable, et je demande que mon frère vive. Et, Satan, tu es exposé. Sors de lui, au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas, maintenant. Allez en croyant. Vous pouvez avoir ce que vous demandez si vous croyez. Oui, oui.
Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur, soeur? Ne soyez pas excitée. Vous êtes juste un peu nerveuse, mais il ne s’agit pas de dans ma présence ; c’est Lui. Vous pouvez le discerner. Voulez-vous guérir de cette gastrite? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé prier pour vous? Si je le Lui demande, irez-vous de l’avant, irez-vous manger et croire? Voudriez-vous vous approcher?
Père, avec des têtes inclinées et des coeurs inclinés, Satan a dérobé à cette pauvre femme..., voyant que sa vie n’a pas été un lit fleuri d’aisance, mais il y a une forte pression noire qui la suit. Oh ! toi démon, j’amène cette femme au Calvaire. Au Nom de Jésus, tu es vaincu. Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Tu dois la quitter. Sors ! Au Nom de Jésus-Christ, puisses-tu partir.
La vie qui vous rongeait, qui formait l’ulcère, qui causait des brûlures et continuait, cela a quitté maintenant. Soyez rétablie.
72 Croyez-vous? Tout le monde? Dieu est-Il finalement venu à votre coeur? Je sais que je dois partir ; on est en train de me pousser de côté, et je–je dois partir. Que Dieu vous bénisse. Je vous ai dit la vérité. Et Dieu a témoigné que je vous ai dit la vérité. Maintenant, croyez-vous en Dieu? Alors, faites ce que je vous ai dit. Vous verrez la gloire de Dieu.
Chacun de vous, imposez-vous les mains les uns aux autres en tant que croyant. Quelqu’un... petit garçon, petit garçon en chemise rouge par ici, venez ici juste un instant. Impose les mains à cette femme qui est dans le fauteuil roulant là. Impose-lui les mains. C’est ça. Juste là, chéri. Juste là. Impose les mains à cette dame.
Ô Dieu, cette pauvre mère avec son...?... il y a longtemps vous êtes resté couché comme cela, frère, vous dans le fauteuil roulant. Déplacez-vous un tout petit peu, s’il vous plaît. Vous, assis là, sur le point de mourir, souffrant du cancer, sur le point de mourir, Dieu vous guérira. Ayez foi. Inclinons la tête.
«Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris», dit le Seigneur. Ne doutez pas maintenant, ayez foi. Chacun de vous, offrez cette prière, répétant ce que je dis: Père céleste, je viens à Toi au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Je suis indigne de la guérison, mais j’ai appris que Jésus est mort afin que je puisse avoir cela. Et maintenant, je crois cela, et j’accepte cela. Et je ferai agir ma foi. Et je partirai d’ici ce soir, croyant que je suis guéri, témoignant que je suis guéri, vainquant l’ennemi à chaque coin, croyant que Tu confirmeras Ta Parole en moi, au Nom de Jésus.
73 Maintenant, c’est votre prière. Gardez la tête inclinée. C’est votre confession. Restez avec Dieu. Maintenant, je vais prier pour vous et chasser, par l’Esprit de Dieu, toute la brume de doute, de superstition.
Ô Dieu bien-aimé, je sais que je suis indigne, et je suis faible. Ma force est partie. Mais, Dieu bien-aimé, Toi, Tu es fort. Et je sais que je ne suis pas digne, mais Toi, Tu es digne, et ce n’est pas moi après tout. Je suis tellement vile, mais dans la Lumière du Calvaire, je suis parfait. Jésus m’a rendu ainsi par Sa grâce.
Maintenant, je Te prie de façon parfaite, Mon Père. Je viens en Son Nom, parce qu’Il m’a invité à venir. J’amène cette assistance dans Ta Présence, chacun d’eux. Regarde-les, Seigneur, de pauvres humains souffrant, des estropiés assis dans des fauteuils roulants, de petits enfants avec les mains sur leurs mamans. Ô Dieu, le papa avec sa main sur la maman, le mari avec sa main sur sa femme, les enfants avec leurs mains sur leurs parents. Tu vois, cela brise simplement mon coeur. Qu’est-ce que cela Te fait à Toi, Seigneur? Je prie pour eux, et la prière de la foi sauvera les malades. Regarde-les, Seigneur. Regarde-les. Ils croient. Satan, toi esprit mauvais, tu es vaincu. Sors d’eux. Au Nom de Jésus-Christ, je te chasse. Quitte cette salle. Tu es vaincu, et ces gens seront guéris. Sors. Je t’adjure, par Jésus le Fils de Dieu...
E-1 Good evening, friends. Happy to be here tonight again in the service of the Lord. After the fine shower today on the outside, I trust that God will give us a shower on the inside, a spiritual shower. We've sing sometimes, "Showers Of Blessings." That's what we need, isn't it? Great showers of blessings.
It's usually kindly in line to give blessings, or to pass what we call, the bouquets at the end of the services, but this--this case, we won't have to do that. I never had the privilege of meeting personally any of the ministers and so forth, of the Association, who let us have this campgrounds for this little occasion that we've had these two nights. But if any of the trustees, or the--or anyone connected with it, with this--letting us have this place, we want to thank you, kind brother, with all of our hearts. [Blank.spot.on.tape--Ed.] And we will start the prayer meeting.
E-2 And remember... You love me? If you do, raise up your hands. And I will raise both mine up. I love you in Christ Jesus, undying love. Pray for me.
Now, the One Who can open the Scripture is not a man; it's God. So, may He open this blessed Word as we read from Saint Luke the 2nd chapter for a subject, and a text from another place. But in Saint Luke 2, about 25, we read this:
And, behold, there was a man in Jerusalem, whose name was Simeon... the same was just and devout, and he waited for the consolation of Israel: and the Holy Ghost was upon him.
And it was revealed unto him by the Holy Ghost, that he would not see death, before he had seen the Lord's Christ.
And he came by the Spirit into the temple: and when... they brought... the child Jesus, to do for him according to the custom of the law,
Then took he him up in his arms, and blessed God, and said,
Lord, now lettest... thy servant depart in peace, according to you words:
For my eyes have seen thy salvation.
In Romans 8 and the 14th verse:
For as many are led by the Spirit of God, they are sons of God.
E-3 Now, we will use for our subject tonight, "Expectations." And we will use for our text tonight, "Leading of the Spirit of God."
In the days of our text, it was quite a time in Jerusalem. The Israelites, the Jewish people had fallen away from their God, and had went out, and got formal and indifferent, claiming all the days of miracles were passed. And they read what Joshua done. They read was Moses done. But they had got down because there had been an increase in science, and in the--the people. Education had become a predominant thing.
It's too bad that those things has to substitute for the Holy Spirit. God have mercy.
I believe... I say this with reverence; I say this respect, and not using it for a crutch to support my ignorance: but I say that education has been one of the greatest curses that the religion of Jesus Christ has ever had. People substitute it for salvation. They think because the minister is very highly educated, speaks his words very well... What does God care about how you speak your words?
E-4 Here sometime ago, in Fort Wayne, Indiana, I was amazed. It just comes to my mind now. I walked behind a pulpit, where you that read this famous book, "We the People." Just the outstanding things of the world takes place; they put it in this. On the religious article, they wrote something about my services at Fort Wayne, where God made a total blind girl to receive her sight. And a baby that had its feet clubbed in was made completely whole at the platform.
I'd gotten real weak. They had taken me behind the stage where my friend, Paul Radar that went to glory many years ago, had wrote the famous song that I pack with me now, "Only Believe." Standing in there, an educated man come in, very scholarly. From the sound of his talk, he must have taught Mr. Webster what to say. He said, "Brother Branham," said, "there's one thing wrong with your ministry."
I said, "Well, kind sir, I would like to know if there's anything wrong." I said, "I don't mean for it to be."
He said, "That is your grammar." Said, "Oh, it's poorly."
I said, "Yes, sir; that is right." I said, "I... There was nine of us children, boys and one girl, ten children. My father died young." I said, "I had to work and take care of ten children." And I said, "I--I didn't get much education, just the seventh grade."
He said, "But, Brother Branham, you're a man now." Said, "That don't count now." Said, "You could take a correspondence or something, I... And check up on your grammar." Said, "It's terrible."
I said, "Yes, sir. I know that." I said, "I'm sorry. But," I said, "after the Lord has ministered to me, and I must go minister to Him, the people crowd so much in the... Right today, four hundred major cities in the United States is calling for services. Sign papers and things where tens of thousands attend the meeting." And I said, "How could I go, sir, like that?"
E-5 "Oh," he said, "one thing that you made such a mistake on," said, "the night you said, 'all the people coming pass this polepit--polepit,'" he said, "Brother Branham, the congregation would appreciate you more if you said, 'pulpit,' and not 'polepit.'"
Well, he kindly pulled my ear a little hard, I guess. I said, "My beloved brother, I differ with you. Them people don't care whether I say, 'polepit,' or 'pulpit,' the thing they want me to do is preach the Word, and live what I'm talking about." I said, "That's the main thing."
So, Christ doesn't come by education. Christ comes by a surrendered heart believing Him. Now, education's fine, but it will never substitute salvation. It can't.
E-6 And, but, in them days, the people had got away. As soon as education comes in, the phenomenon leaves the Church. Christ leaves. He can't stand it. They get so smart they know more than He does. So, the Scripture is not given by education; it's given by revelation, not education, revelation. So, as soon as education takes your pulpit...
Many of you people in selecting your ministers to come to your pulpit, you select the--the--the young fellow who's just out of school, who's smart and witty, a social mixer. God don't want a mixer; He wants a separator. God wants something that's... See? And you choose him, because a lot of times he's very smooth. He's kind. Like... God don't choose men like that.
E-7 Why, when Samuel went up to choose one out of David's boys, or not David, but out of Jesse's boys, David's father, they brought out the oldest son when they knowed he was going to take Saul's place, great, big, fine looking, curly-headed, seven foot tall... Why, Jesse said, "He will look wonderful in his kingly robes, and with his big crown setting on his head."
You see how man's ideas can get into it? And when he went forward, the prophet thought, "That may be the man."
He carried the cruse of oil, when he went forth, the Holy Ghost said, "I have refused him."
The world had chose him, but God refused him. The world looked on the outside; God was looking on the in.
They brought the next big one. Polished him up, perhaps combed his hair back. Said, "What a beautiful young man. Look how straight and sturdy he is. And we will take him up and see what the Holy Spirit will say about him. I'm sure it'll be him."
When they brought him up there, Samuel took the cruse of oil and went forth to anoint him because he was such a handsome, smart looking fellow. And the Holy Spirit said, "I have refused him." Till he brought all of Jesse's sons, the five up, and the Holy Spirit said, "I have refused them."
Saul--Samuel said, "Isn't there one more you have?"
He said, "Yes, I've got a little old ruddy, scrawny looking fellow back there taking care of the sheep, not very much about him."
"Go get him."
And when they brought him up, a little old fellow with a sheepskin coat on, hair hanging down his neck, and probably he said, "his, hain't," and "fetch, and carry, and tote," and no education, sheep stick in his hand. The Holy Ghost said, "I've chosen him. Go anoint him." See what the difference what man want and what God wants? See? It's the difference. Don't choose according to the outside, choose the inside. Inside's eternal; outside will perish.
E-8 But, when men begin to look on that, they choose their leaders. They choose their pastors, and refuse the old-time preaching of the cross, and the old-time salvation and altar calls. When you do that, your church is gone. That's right. Whether it's Baptist, Methodist, Presbyterian, or wherever it may be, it's gone.
Israel had done that, chosen their kings until they'd got away from God. They forgot about the power God gave David, about Moses. It was something they was reading about. And they had got all broke up then, and scattered about. What a perfect type it is of today, the same thing: Choosing the mental theology, choosing men who can speak with great eloquent words. Why, they're speaking in unknown tongues to half of their audience. That's right.
E-9 A fellow not long ago was trying to discuss with me about Divine healing, and I knew he didn't--couldn't stand it in the Scripture. And he begin to use such big words; I said, "I have not the gift of interpretation, so speak to me in English, that I might know what you're speaking about." So, that is it.
Now, and when they did, they'd got away: got away from God, got away from the supernatural. "Oh, those things were past." But you know, God has never left Hisself without a witness somewhere. It's got down sometime to one man, for instance, Noah, who found grace in the sight of God.
It's got down many times to one man, but God has always had a witness that He could put His hands on and say, "This is My servant. I tell him to go here, and he goes. I tell him to do this, and he will do it, regardless of what the church says or what the people says; he will do it anyhow." God's had a witness.
E-10 And in that day, He had a witness. And one of them was our--our man tonight, Simeon, an old sage, great long white beard, white flowing hair hanging down from under his turban. And he was spiritual. He believed in the phenomenal. He believed God. And one day while he was in prayer, God, by the Holy Spirit, revealed to him that he wasn't going to see death before he seen the Christ Child. What a revelation!
Now look, four thousand years they had looked for Christ, and then all teed up in education, smart in science, and smart in psychology. Oh, they had it all under control, but was far away from the days of miracles, but God found one man He could talk to. God, give us another. Old...
E-11 Now, what do you think people said to that old man, one foot in the grave, as we'd call it today, eighty-something years old, white beard, and going around testifying everywhere, saying, "I'm not going to die until I see the Lord's Christ."? Why? He had a right to believe it. It was revealed to him by the Holy Spirit. That's it, spiritual revealed truth. God said, "Upon this rock I will build My Church, and the gates of hell can't prevail against It." Showed the gates of hell would be against it, but they can't prevail, when he was revealed to him that Jesus was the Christ of the apostle. That's it.
Notice, he believed God. Now, maybe the old fellow being a teacher, great reputation, smart man, educated, what do you think his fellow preachers thought about him when he went around telling the people that he was going to see the Christ before he died?
Why, they'd say, "It's no time for Christ. We will never see it in this generation. It'll be many, many, many, many hard tell, hundred of generations yet."
But, he said, "Oh, no. The Holy Spirit told me I was going to see it." See?
E-12 You know what they said? The same thing they did to Abraham, to father Abraham. When he was a hundred years old, God told him when he was seventy-five he was going to have a baby by his wife Sarah, which was sixty-five at the time. And twenty-five years they had waited for that baby, thanking God for him before the baby come. That's it. You're the children of Abraham if you have that faith. See? You've got to have the faith of Abraham.
God told Abraham, "I've called you from your land, and I'm going..." He'd lived with Sarah since she was about seventeen. And all their young lives they'd lived together. And here she was, sixty-five years old, probably thirty or four--thirty years pass the menopause, as it is with ladies, far beyond any hopes of ever having a baby. But, God said, "You're going to have a baby by her. That's your wife."
E-13 And Abraham believed God. No matter how impossible... If you'll excuse the expression, I suppose went out and bought up a bunch of Birdeye, got the pins ready and everything, going to have the baby, making ready for it. When Sarah, the first months passed, "How are you feeling, Sarah?"
"No different."
"But praise God, we're going to have the baby anyhow." No matter what the outside says, God had made the promise. Ten years passed. "What about it?"
"Well, no different."
"But bless God, we're going to have the baby anyhow."
"How do you know?"
"God said so."
Here he is a hundred years old. And Abraham, instead of getting weak... If God gives you a promise through His Word tonight, and you--it don't happen in five minutes, why you go away and say, "There's nothing to it." How can you be a son or daughter of Abraham? When God makes a promise to a son and daughter of Abraham, they believe God. And Abraham, the Bible said, instead of getting weaker, he got stronger all the time, knowing it would be more of a miracle. And he called those things which are as though they were not. He believed God.
E-14 And Simeon perhaps said, "Now, if my father, Abraham, believed God, because God give him the promise, God promised me too, and I believe it."
What do you think a doctor would say today if an old man went a hundred years old and his wife ninety, went down to the doctor's office and said, "Doctor, I want you to make arrangements at the hospital, for my wife's going to have a baby."
Why, you know what they'd do to that man? They'd say he was crazy. That's the same thing they say that anybody who takes God at His Word; they say they're crazy when they're led by the Spirit. But sons of God are led by the Spirit of God. And the Spirit of God will always bear witness of the Word being the truth. No matter what people say, the Word's right. You see it? Oh, I love the Word. Faith has to anchor on the Word, what God says.
E-15 Now, if you'll notice, like I was talking to you last night, Jesus didn't claim to be a healer. Jesus only saw visions. He said, "I can't do nothing till the Father shows Me what to do." Saint John 5:19.
Said, "I..." When Philip come to Him and he got saved, he went over and found Nathanael way under a tree praying, several miles away, brought him back, Jesus stood and looked at him and said, "Behold, an Israelite in whom there is no guile," standing out in the audience. Knowed what was wrong with him, all about him.
He said, "How'd You know me, Rabbi?"
Said, "Before Philip called you, when you were under the tree, I saw you."
That was Jesus. And those things that He did, He said, "shall you do also. I'm going away, but a little while I will come back and be with you, even in you to the end of the world. You'll see Me, and these signs and wonders to the end of the world." Amen. Don't be excited. "Amen" means "so be it." All right. You won't excite me by saying, "Amen." It kindly hisses me a little bit.
E-16 I know I'm talking to a many opossum hunter. I had an old dog once, and about take anything come along when you'd tree it but a skunk. And I'd get a skunk under the brush pile, and the dog wouldn't go get it. The only thing I'd have to do was raise up the brush pile and pat him a little bit and say, "Sick him." He'd go get him. The worst skunk I know is the devil. A little, "amen," once in a while, and, "sick him..." That's right.
All right, led by the Spirit of God. Be expecting it. Simeon was expecting God to keep His Word. Abraham was expecting God to keep His Word. David was expecting God to keep His Word when he met the giant. Samson was expecting God to keep His Word when he laid his arms around the pole. Samson was expecting God to keep His Word when he picked up a jaw bone of a mule and beat down a thousand Philistines. The Hebrew children was expecting God to keep His Word when they walked into the fiery furnace. Daniel was expecting God to keep His Word when he went in among the lions. The woman that touched the hem of His garment was expecting God to keep His Word. Martha was expecting God to keep His Word when He said, "I am the Resurrection and Life."
E-17 Today, when you are trying to make Jesus just merely a man... Oh, that makes my insides feel funny. Saying that, "Jesus, just a prophet. Just a man." He was God Himself, none other than the Almighty Jehovah inveiled in flesh. If it wasn't, it was the biggest false the world ever had.
A woman, belonging to a certain church, a Christian Science church, that said to me recently, she said, "Reverend Branham, you put to much emphasis on Jesus being deity."
I said, "He was God."
She said, "Now, Reverend Branham," she said, "you know He was just a prophet."
I said, "No, He wasn't. He was God."
She said, "If I prove to you He wasn't Divine, will you accept it?"
I said, "How are you going to prove it?"
She said, "By the Bible."
I said, "Sure." Yes, sir. If the Bible said He wasn't Divine, He wasn't. I believe the Bible. For there is no other foundation but this right here, the Bible.
And she said, "I will prove it by the Bible that He wasn't Divine."
I said, "All right. Where's your Scripture?"
She said, "Saint John the 11th chapter."
Well, I said, "Whereabouts in there do you see that said He wasn't Divine?"
Said, "When he went to the grave of Lazarus." Said, "The Bible said, 'He wept.'" Said, "That proves that He was a man. He wasn't Divine, or He couldn't weep."
E-18 I said, "Lady, your argument is thinner than the broth made out of the shadow of a chicken that's starved to death." I said, "You haven't got a bit of room." I said, "He was a Man, but He was God also. God was in Christ, reconciling the world to Himself." I said, "When He stood by the grave, certainly, He wept like a man. But when He looked out there, and straightened His little body up, not much to look upon, the Bible said, 'There's no beauty we should desire Him,' but when He looked out there to the grave, a man that'd been dead and in the grave, and the skin worms crawling in and out of him, He said, 'Lazarus, come forth.' And a man that had been dead for four days, and his soul a four day's journey out somewhere come to life and stood on his feet again. That was more than a man."
Yes, sir. Corruption knew its Master, life knew its Maker. And a man that was rotting in the grave come back as a normal living man, and set and eat with mankind. That was more than a man. That was God in a man.
E-19 Surely... He come down off a mountain one night, one morning rather, hungry, looking around over a fig tree to find something to eat. He was hungered. He was a man when He was hungered. But, when He took five biscuits, and two little fishes, and fed five thousand, that was more than a man. That was God, a God Man. Truly.
He was a man out there that night when He was so tired and the virtue going out of Him from healing the sick and so forth through the day, and God the Father speaking through Him with visions and so forth. He was out on the troubled sea. The little ship tossed about like a bottle stopper, ten thousand devils of the sea swore they'd drown Him that night. And He was so tired, He was laying in the stern of the boat; even the waves didn't wake Him up. He was a man laying there tired. But when He put His foot upon the brail of the boat, looked up, and said, "Peace, be still," and the wind and the waves obeyed Him, that was more than a man. That was a Ruler of heavens and earth speaking through those mortal lips. Truly.
E-20 He died on the cross screaming, like a man, "My God, why hast Thou forsaken Me?" He died like a man, but on the third day He rose up, proving Himself. No wonder the poet said, "Living, He loved me; dying, He saved me; buried, He carried my sins far away; rising, He justified freely forever: Someday He's coming- oh, glorious day." No wonder it's thrilled the heart of poets, and authors, and prophets through the years. And any man that ever mounted to a hill of beans believed on Him as Saviour.
Eddie Perronett, when he was all persecuted by the outside world... I stood recently by his grave, him and Cowper, who wrote, "There is a Fountain Filled With Blood." When Eddie Perronett, way back in his little den room one day, and they couldn't sell his songs. They said he was crazy. But God spoke to him, and he grabbed the pen and he wrote the inauguration song of the second coming of Jesus. He said, "All hail the power of Jesus' Name. Let angels prostrate fall. Bring forth the royal diadem and crown Him Lord of all." Oh, my. Look at that.
E-21 Expectations: If you're expecting it, you will receive it. You usually get what you expect to get. If you come to the meeting tonight, expecting to find something to criticize the meeting, the devil will show you. He will see that you get satisfied. You get what you expect. If you come to get a blessing, God will see that you get it. If you come to get saved, God will see you get it. If you come to get healed, be expecting to get healed. God will see that you do it. It's what ever you expect Him.
Now, in the days of Simeon, they didn't have telegrams and so forth like they do today. And they didn't have the televisions, and the radios, and so forth of modern science as we have. The message was from lip to ear. And I... You know, only those who expecting usually get what they're looking for.
E-22 Notice, there was some Magis way back over in an eastern country, India perhaps: Magis. Not long ago, about a year ago, passing through the streets of India, seeing the old Magis still in their same customs setting there watching the stars... These Magis, they believed that He was coming. And three of them saw the star and followed it from the east to the west. The Scripture said, "We have seen His star in the east." Yes, they were in the east, and they saw it in the west, for the Orients lay east of the--of the Palestine. So, they had to be in the east to see a star in the west. "We have seen His star in the east, and we have come west to worship Him." Amen.
Notice, that star passed over every observatory. And that's the only way they could tell time then, was by the observatory. They kept time by the stars: "Watchmen, what of a night?" You remember the prophet? That star... Do you believe it was a star? The Bible said it was. And it passed over every observatory with Orthodox believers looking up at the sky, watching time. They stayed up on top of the building, upon the wall, and they watched the stars. And some weary man come out at night and say, "Watchmen, what about it?"
"It's so many hours," the fourth watch, the fifth watch, "so many hours till daylight."
E-23 And they watched the stars in every city. And not one of them ever saw it. And the Magis followed it all the way from India, plumb into Palestine. Why didn't they see it? The reason people can't see the glorious things of God today, they're not looking for them. That's the reason. It's only given to those who are looking for It. Those Magis had watch Balaam's prophecy when he said, "There'll be a star rise out of Jacob." And they knew it, the way things was shaping up. It was time for it to happen. And you can tell. Amen.
Here it is. Listen. You can tell we're at the end of the road. Atomic bombs, cobalt, hydrogens, the nations is trembling, fussing, the great enemy hanging yonder with jet planes that could blow this nation to pieces, yes, the whole world in five minutes time. Everybody's nervous.
E-24 Like a little lamb out in the field eating, and he seems to become nervous. What's the matter? You who are up high and look down, looky there, it's a lion crouching after him. He doesn't see the lion, but there's something telling him. That's the way it is today with human beings. They're nervous. They're upset. They don't know what to do. What's the matter? The enemy's crouching. He's ready to spring. The end's here. And anybody with right kind of mental thinking knows that something's wrong.
E-25 The Magi saw that, and they said, "There'll be a star rise. I will be watching for it." They saw it.
What did Jesus say would take place just about this time? "And I will restore to the people all the glory of the former, and I will pour out upon them the former and the latter rain. And the signs and wonders that was in the first Church will be in the second Church at the last day." Here's your sign. He's appearing on the earth. Signs and wonders, the same thing that He did is here again, His Spirit moving amongst the people.
The prophet said it'll be light in the evening. It'd be a day which was not day or night. It was gloomy. Back at the early church when they had signs and wonders of Jesus among them, they saw visions, and healed the sick, and so forth, great signs and wonders of the Bible. The light become dim. It went on till they come through the dark ages. After the dark age come Luther. After Luther come Wesley. After Wesley come Calvin. After Calvin come... Oh, just on and on. What is it? They had enough light to know that Jesus saved.
E-26 It was a gloomy day, but the Bible said, "In the evening time, it shall be Light." The sun was rising in the east on the eastern people, the Jews and the eastern people. And civilization travels with the sun. And now it's in the last days. We've traveled to the west coast. The next thing is the east again. And when the sun is going down, she'd shine out in all her glory.
The Holy Spirit's here. Have you been expecting Him? If you are, you'll surely see His leadings.
Simeon, he was expecting Jesus. And if God has made you a promise, God's under obligation to keep that promise. And God will never make a promise that He can't keep. So, when Simeon... Perhaps that day when Jesus was born, the wise men came. They was expecting it. The poor shepherds out on the hillside... He never went to the clergymen. They wasn't expecting Him. Those shepherds, poor peasants out on the hillside, the Angels came down and said, "Today, in the city of David, there's born Christ, the Lord." They went and found it even so. Messages didn't get scattered around.
E-27 Let's take it it's Monday morning in the temple. Many babies are born in two million people, as Jews was then. Many peop--babies are born. Every male child must be brought to the--to the temple after eight days and be circumcised. And the mother had to offer a lamb, or if she was poor, she offered two turtledoves for the purification of her ownself, and for the circumcision of the baby. It was a law.
Let's say it's Monday morning. Hundreds of babies is born every day. And it's Monday morning, busy around the temple. Caiaphas is setting back with his fan as a judge, knowing nothing about it. The priests are on their regular routine, arguing what kind of buttons they should have on their clothes, or something like that. And there's an old man by the name of Simeon setting in the prayer room, reading Isaiah, perhaps. "All we like sheep have gone astray. The Lord laid upon Him the iniquity of us all. For He was wounded for our transgressions, and He was bruised for our iniquities, and with His stripes we were healed." "Oh," he says, "God, O, God, and You've give me the wonderful promise that I will see Him." About that time... If God made you a promise, God will keep His promise.
E-28 The Holy Spirit spoke to him and said, "Simeon, rise up."
"What for, Lord?" No, no. A man of God don't question God. When He says, "Rise up," he raises up.
He got up. It ain't no business of what he's going to do; just follow Him. Don't wait and say, "Now, if I went to the altar, Mrs. Jones, what would she say? What would the pastor say? What would this say?" Don't make any difference what they say, do what the Holy Spirit says: "Move."
Simeon raised up in the temple. He looked around. The Bible said, "When the deep," to David, "when the deep calleth to the deep..."
Do you believe in Divine healing? Say Amen. [Congregation says, "Amen."--Ed.] Well, that's the reason there is a Divine healing, because you believe it. There's something in you.
E-29 When we first come, our fathers came to Kentucky, they fought the Indians. And they found the Indians, when they would die, they'd go down here at the Ohio river, and around in the Green river, and Cumberland river here, and put their dead in the canoe, and put some corn, a bow and arrow, and push him out in the river. They said, "He's going to the happy hunting ground." The Indian didn't know about God; the only thing, there was something in him that told him there was a God.
The Hottentots of Africa went in there; the men didn't know right or left hand, but he worshipped an image. He knowed there was a God. Something in him... He's a human being. He's got a soul tells him there's a God.
E-30 Notice, quickly, I have to hurry and close. Time is getting away so swiftly. Notice, "When the deep calleth to the deep," David said, "At the noise of Thy waterspouts..." If there is something in here calling for something, there's got to be something out there to respond to that call. In other words, before there was a fin on a fish's back, there had to be a water for him to swim in or he wouldn't have had no fin. Before there was a tree to grow in the earth, there had to be an earth first, or there wouldn't be no tree to grow in the earth. If there's something in here calling for something, there's got to be something out there respond to it.
It was not long ago, I read in the paper (I've quoted it many times), where a little boy eat the erasers off of pencils. He eat the pedal off of a bicycle. And they took him down at the doctor and examined him at the laboratory, or the clinic, rather, and they found out his body needed sulfur. He found sulfur in the pedal of the bicycle, or in the rubber. Sulfur is in rubber. See? There was something in here calling for sulfur, and if there's anything calling for sulfur, there's got to be a sulfur to respond to that call, or there'd never be a call.
E-31 And if you're seeking Divine healing from God, there's got to be a fountain open somewhere. The Indian was seeking God. There's got to be a God to respond to it. If you're seeking the Holy Spirit, there's got to be a Holy Spirit to respond to that seeking. If there's no deep to respond, there's no deep to call.
Why'd you come here tonight? Because you believe that there is somewhere. And as sure as you'd believe it, there's a fountain open. That's why the Holy Spirit brought you here.
Simeon believed that he was going to see the Christ. And he was setting in the temple; it--it was God's business to see that he found that place. Just like it's God's business to see that you got here tonight. Led, expecting, and he got up, went walking out through the building.
E-32 Notice, quickly, give me your attention... Walking through the building, and the first thing you know, he hits this line of mothers. He looked standing down there. There was all the rich women with their little babies with fine needlework, their little pink and--and blue blankets and so forth, each one holding a lamb, pretty little things. And way down the line, I see a little virgin about eighteen years old. She's got a black name behind her, because they said this baby belonged to Joseph, and the baby was borned out of wedlock. But in that little mother's heart, she knew who that baby belonged to. It didn't have fine needlework, it had swaddling's cloth. That's what you take off the back of a y--yolk of an ox when he's plowing: the King of glory, no needlework, swaddling's cloth to wrap Him in.
The mother standing, her little veil over her face looking down to the little baby, and the other women keeping their distance. "We will have nothing to do with her. She's an outcast." An outcast, in her heart she knew who that baby belonged to.
E-33 The Holy Ghost said, "It shall be called the Son of God." How? It wasn't to reason; it was to believe. And there, they kept their distance. But here comes the prophet, the one who believes in supernatural. He was the supernatural. Walking down through there, the old sage, and the tears running down his cheeks as he walked, stopped right in front of that little old mother, reached over and took that baby out of her arms. He looked at It, the tears running down his cheeks, and said, "Lord, let Thy servant depart in peace. According to Your Word, my eyes has seen Your Salvation." There you are. Led by the Spirit. Oh, my, expecting it, and being led by the Spirit to what you're expecting.
In the temple the same day, was an old blind prophetess by the name of Anna. She didn't leave the temple; she prayed day and night. She was blind in her eyes, but she could see a lot farther than people could with their eyes. She, blind, she was waiting for the consolation of Israel, knowing that Christ would come someday. And the Holy Spirit struck her. She stood up on her feet, and here come that old prophetess, blind, moving by the Holy Ghost, moving through the temple, around the critics, until she come and stood in front of Him. The Holy Ghost leading her to Christ. Raised up, and prophesied, and blessed Mary and the baby. Led of the Spirit, expecting it, believing it.
E-34 Sometime ago, coming from Dallas, Texas, a storm came up and blowed my plane. We landed in Memphis, Tennessee. I never forget it. They sent me up to that great hotel there called, "Peabody." I could never stay in a hotel like that with my own money. I don't have that type of money. But the--the airline sent me up there, the TWA. And then, when I was up there that night, I prayed that night. And the next morning... Do you believe that we are led by the Spirit of God?
I wish I had time to tell you many things. On with this: At this time it was very striking. The next morning I had some letters, I was going to the post office to mail them. And I started down the street; they called me and said, "Be ready to catch the plane at eight o'clock. The limousine will pick you up at seven-thirty."
I said, "Thank you, sir." I said, "Now, let's see. It's six thirty. I got time to go down there at the post office."
E-35 And I went down to mail the letters. I was going down the street singing. Well, the first thing you know, the Holy Spirit said, "Stop."
I thought, "What's wrong." I thought, "Maybe I just thought I heard that."
Went a little farther, and something checked me, said, "Stop a minute."
I looked, and there was a big police standing on the corner, so I stepped back up like I was looking at some fishing reels. And the Holy Spirit said, "Turn and go the other way." I don't know no more than just to do what He tells me to do, and I hope I never know any more.
I turned and started back, passed by the hotel, went on and on and on. I looked at my watch, it was eight-thirty. I got plumb over into the colored district. I didn't know where I was going, just being led. I didn't know. Just kept going. I've had it to happen dozens of times, yes, hundreds of times. I was just being led.
I thought, "Lord, what do You want me way down here around the river, and these little colored haunts where the colored people live."
"That's nothing to you. Follow thou Me."
E-36 I just kept on walking. The first thing you know, I looked, leaning across a gate, and I was going on along there singing that little song, "I'm so glad that I can say I'm one of them," singing it to myself, and I looked across the gate, and there was a typical old Aunt Jemima with a man's shirt tied around her head, a little old whitewash cabin of a thing setting there, and there was a--a plow point hanging on the gate for a weight to pull it back. And she was hanging out there looking over there. And I seen her about a hundred yards away, and I quit singing, just went on down the street. When I passed by, she started smiling, looking at me, tears running down her big fat cheeks. She said, "Good morning, parson."
I turned around. I said, "Good morning, Auntie." I said, "How'd you know I was a parson?"
She said, "Parson, did you ever read in the Bible about the Shunammite woman, who couldn't have a baby, and she told the Lord that she was blessed, and--and Elijah told her that she was going to have a baby, and she had it, and then the baby died?"
I said, "Yes, I remember that."
She said, "I's was that kind of woman. I couldn't have no baby, and I told the Lord I'd raise the baby," and said, "to suit for Him." And she said, "The Lord give me and my husband a baby." And she said, "Parson," she said, "the baby, my boy, when he got to be a man, he went out and done what was wrong." And said, "I couldn't help it, parson." Said, "I've washed over the washboard" said, "to try to raise him right in church, but," said, "he backslid, and he went away from God; and he got with the wrong crowd." And said, "Parson," said, "he got a bad disease, syphilitic, dying with a venereal disease." And said, "And he's laying in here dying." And she said, "Oh, the doctor man was here yesterday," and said, "he's been unconscious since yesterday morning, and said to me, 'He will never gain conscious no more.' Said, 'His heart, blood is coming back through his heart. It's eat him up, and there's too late to do anything for him. It's done eat holes in him.'" And she said, "Parson, I just couldn't see my baby die without knowing the Lord." She said, "I prayed all night." Said, "I kept saying, 'Lord, I's the same woman. Where's Your Elijah?'" Said, "I kept praying, and," said, "I fell asleep." And she said, "I dreamed I seen a man coming with a lead colored suit on, wearing a tan hat." Said, "That was you, parson." She said, "The Lord told me, at three o'clock this morning to come stand at this gate and wait for you." Said, "I've been here ever since."
I patted her on her shoulder still wet with the dew. I thought, "Lord, here it is."
E-37 She said, "Won't you come in?"
I've been in four king's palaces. I've been in some of the best homes in the nations around the world. I never was any more welcome than I was in that humble little home that morning. I walked in the door. There was no pin-up girls on the wall. There was a little sign up over the door, "God bless our home." I looked at an old chunk stove setting in the floor, a little iron poster bed setting in the corner, and a great big, about a hundred and eighty pound, dark boy laying there with a sheet in his hand going, "Mmmmm, Mmmmm."
She said, "You see, parson?" Said, "He's been unconscious, now, this is the second day." And said, "He thinks he's out on a big sea, and he's lost."
And just then he said, "Mammy, it's dark. It's dark. I's just don't know where I's going."
She said, "Oh, parson," said, "do you hear that?" Said, "I can't stand to see my baby die like that," and reached down and kissed him on his forehead.
I thought, "O God. No matter what he done, how much sin he was in, he's still Mammy's baby. She couldn't forget him. That's her baby." And I thought, "God, if that mother can't forget her baby, yet You said, 'A mother may forget her suckling child, but I can't forget you. You're engraved on the palms of My hand." And I thought, "O God, that poor woman."
E-38 And she was crying. And I said, "Auntie, my name is Branham. Did you ever hear of me?"
She said, "No, sir, Parson Branham, I never heard of you."
And I said, "My ministry is praying for the sick."
She said, "I's glad to know that."
And I said, "Auntie, will you kneel with me for prayer?"
She said, "Yes, parson."
I said, "Lead, Auntie."
And she knelt down there, and oh, brother, you cause... She might have been a wash woman, but let me tell you, when that old woman started praying, you could feel the power of God moving in the room.
She said, "Dear Lord..." Her baby laying there dying, but not a bit disturbed. She said, "Dear Lord, I comes to You in Jesus' Name." Such a prayer, I stood there and took the sheet and wiped my eyes with it once she got through praying. Said, "Lord, You have sent Your parson, now Lord, let me hear my baby say that he's saved before he goes."
I looked at her. I thought, "Bless your old heart." I said, "Now, I will pray, Auntie." I said, "Heavenly Father, my plane's been gone nearly two hours, but You said, 'Walk.' That's all I knowed to do. I was expecting You to do something. Now, I can't do nothing, Lord, but talk to You." I just felt his feet. They was cold and sticky. Death was on him. I said, "All I can do is talk to You, Lord, but will You have mercy on this boy? Save him, dear God, and heal his body for the sake of this poor old mother."
And when I got through praying, he said, "Mama."
She said, "Yes, honey?"
Says, "It's getting light in the room."
E-39 Five minutes from there, he was setting on the side of the bed shaking hands with me. I jumped out and grabbed a plane, and went to the station, the plane was still waiting, just making its last call. God, through grace, stopped that airplane, and kept it there because of a poor, ignorant colored woman. Think of grace, measureless and boundless is the grace of our God. Grounded an airplane, and held it setting there for the prayer of a poor wash woman. Oh, my.
About a year ago, I was passing through, the train... Well, the train stopped. If you ever went to Memphis, how the train pulls up; I started down to get me a sandwich; it was too high on the train, so I went down to get me a hamburger. And I got out of the plane--or the train, started walking down; I heard a redcap "Hello there, Parson Branham."
I looked around, I said, "How do you do, sir?"
Said, "You don't know me, do you?"
And I said, "I don't believe I do."
Said, "You remember that morning that the Holy Ghost led you up to my Mammy's house?"
I said, "You're not the boy?"
He said, "Yes, parson." Said, "I's healed, and I's a Christian, now." Amen. Oh, my.
E-40 A few days ago, the student brothers here, was at my house, and you're beloved boy here, Brother Banks Wood and his wife lived now are neighbors to me... Looking at the lane of woods down about a hundred and fifty yards, coming up the lane, and turned into my gate, passing four other houses, was a opossum at ten o'clock in the day.
Now, hunter brother, you know opossums don't travel in daytime. They travel at night. It started in; I thought, "It may have rabies." So, I went out and took a yard rake lay over, and she growled at me. I--it had a broken leg. The dogs must have chewed it, or a car hit it; and it was all green flies and maggots in its ears, and it was in a terrible shape. I thought, "That's the reason it growled." Usually, they just fall over. But I happened to notice that she had nine little naked babies.
I said to Brother Leo, and Gene that's here somewhere; I said, "Boys, come here. The other day a woman in Jeffersonville, beautiful woman, gave birth to a baby, and went down, and wrapped it in a blanket, and smothered it to death, and taked it out on the bridge, and dropped it in the water." I said, "This opossum is more of a mother than that woman is." That's right. Oh, how low can human beings get?
E-41 And the opossum wouldn't stop for me. She made her way right to my steps and fell over. Mrs. Wood and Mr. Wood, who's here now, come up and looked. Mrs. Wood has had a lot of experience, and Mr. Wood, around sheep and things. Very lovely people. And Mrs. Wood said to me; she said, "Brother Branham, the only decent thing to do with it is kill it." Said, "It's still breathing, but," said, "it can't live. It's gangrene, and everything done set in it." Said, "It's dying. Kill it. And then just take the little ones and kill them." They were trying to nurse their mother. A opossum is the only animal besides a kangaroo that has a pocket it packs its little ones in. Said, "That's the only decent thing to do, is kill it. Then, after that mother dies, they'll nurse that curdled milk and die right away, cramping and everything." Said, "Just kill them."
I said, "I can't. I just can't."
She said, "Well, you're a hunter."
I said, "But, I'm not a killer." I said, "I--I kill only what I eat, and that's an edible animal. And I just can't kill it, somehow."
She said, "That's right, Brother Branham." She said, "But, don't let it suffer."
She was looking at it right, from the humane side. But there was Something in me said, "Don't kill it."
E-42 All day long people come and went. She never moved, laying there, and that leg sticking out like that, and them little ones still nursing at her. And I'd punch her with a stick, and she just couldn't get up.
And I, that night, we went out. They had taken me out, Brother Wood and them, to take a little ride. We was riding down the road, Brother Wood said, "See that little puppy?" And I went back to see it, and the poor little thing, somebody had dumped it out. It was all full of flees, and mange, and lice. Said, "Don't you think we ought to kill it?"
I said, "No, let's save it." And I took him, lice, flees, and mange, and all. Got him in my car, took him home, doctored him up. He wants to live. Sure, we all want to live, don't we?
E-43 So, that night when I come in about eleven o'clock, there laid the old opossum. Brother Wood said, "She will never move." Said, "If she'd move, now when it got dark if she was going to move." Said, "She will never come to."
I said, "I'm afraid she won't, either."
All night I couldn't get away from that opossum. It haunted me. The next morning, my little girl, very spiritual, nine years old, sees visions, very quiet, pious little girl, little Rebekah; she went with me to the porch to see where the opossum was. There laid the opossum, mother opossum, them little ones trying to nurse. I punched at it. It could just barely move yet. Couldn't open its eyes.
E-44 I went back and set down in my room. Rebekah went back in to the kitchen. I was rubbing my head. I said, "Oh, my. I wish I could forget that. I guess I will have to kill it. I don't want to do that.
And Something said to me, "Now, you was preaching about her yesterday. You said she was a real mother, and you respected her because that she was a mother. She's dying. And if she dies, her babies die. And yet, she wants to live for her babies. And you were preaching about her being a real mother. And I sent her to your steps to be prayed for. And she's laid there twenty four hours like a lady, waiting for her turn to be prayed for."
I said, "Well, why?" I thought, "Here, wait a minute. I'm not answering myself. Who was that said that?" I thought, "Oh, my. It must be the Holy Spirit."
And I turned and went out there, and I said, "Heavenly Father..." I've seen Him do such things before, to an old hound dog once, the bull was going to kill me, the hornets, oh, many things. God deals with animals. They ain't got no soul, but they follow instinct.
E-45 I thought, "Lord, if You've got respect for a mother opossum who would die, ignorant opossum... She wants to raise her babies. And You sent her from the woods, up a passed them other houses with no fence, and turned her in here, and laid at my steps for twenty four hours waiting to be prayed for. God, if the Holy Spirit recognizes the gift of God, which He's done it with humans thousands of times, but to an ignorant opossum," I said, "God, then heal the opossum."
I will have to meet you at the judgment. The old opossum, when I asked in Jesus' Name for her healing, she turned over, and looked at me, gathered up her little ones, and looked at me as if to say, "Thank you, sir." That leg just as normal as she could be strutted right down like that.
I said, "Come here, Becky. Look, going there." Right down to the gate, off down the road just as happy as she could be with her babies going to the woods. Oh, that opossum knows more about God than a tenth of the people in the world.
E-46 Led by inspiration. The same Holy Spirit's led you here tonight. Don't you believe Him? Have faith. Shall we pray. Our heavenly Father, led by the Spirit of God. Oh, be merciful tonight, heavenly Father, as this waiting group, many aged people, and sick people are setting here waiting. And I have to meet them at the judgment. Perhaps if I turn back here a year, if I live, many of a group this size will be gone. I will never see them no more after tonight. And I pray, God, that You'll be merciful. Save the lost tonight. May they realize that this is the day of visitation. You're here. You're trying to get the people to look to You. Lord, Thou knowest that we're trying to get them to look to You. May the sinner be saved just now.
E-47 If there is a sinner in the building, or inside, or out, would want to be remembered in prayer, God can make the cripple walk and the blind see. Raise up your hand and say, "Brother Branham, pray for me." Just raise your hand up and put it back down. God bless you, sister. God bless you, sister. Someone else? God bless you, you. Somebody to my right? God bless you. God bless you, brother. God bless you, sister. That's it. God sees your hand. He's here. He's knows all about it.
Father, I pray that in Jesus' Name, that You will save those hands of the people. Grant it, Lord. Many didn't even have courage to raise their hand, but I pray, Father, that You'll save them anyhow. And may You come with great power just now. And may we be able to say when the service is over tonight, like those who came from Emmaus, "Did not our hearts burn within us?"
You did something kindly strange, different from what regular ministers done. You took bread, and the way You blessed it, and the miracle that You performed, them disciples knew that It couldn't be a man, It was You. And they went back rejoicing, saying, "Our hearts burned within us." Won't You once more tonight, God, do something a little different from what regular ministers do, that this audience might know that You've risen from the dead, and You're here leading them tonight, to the fountains of life. Speak, O, Lord. Thy servants will listen.
Anoint Your unprofitable servant now, Lord. I commit myself to You for the service following. In Jesus' Name. Amen.
E-48 Sorry to keep you waiting so long. You've been very kind and patient. I want to ask you one more thing; we will bring you to the platform, the people to the platform for prayer.
Now, I want everyone to be just as reverent as you can. This may seem just a little strange to you. If it is, it's all right. Now, if you're critical, I wouldn't stay around. It's a dangerous thing. For be it known, if God comes and diseases go out of people, remember, wish we had time to talk it over, you'll just have to take my word, not my word, but the Bible, they are demons. They can go from one to another, and do--did do it in the Bible, and do it yet today.
I've seen twenty-five struck with epilepsy not long ago. A minister from a certain church set in the auditorium, him and his congregation. And I asked them to bow their head. He wouldn't do it. And I started to pray, and Something struck me. I looked back, and I said, "Sir, bow your head."
Said, "I don't have to."
I said, "Very well."
I had an epilepsy child. I couldn't get the spasm to leave the child. Had a clothespin with a rag wrapped around it, and it was gnawing its tongue. I couldn't the spasm to leave the child.
And I said, "Sir, don't be irreverent. Jesus said, 'If you can get the people to believe.'" And I said, "You show by your works you don't believe."
He said, ""I don't believe in it. I don't have to keep my head down."
I said, "Very well." I said, "God, would you let this innocent baby suffer for the sin of that man and that group? Satan come out of the child. You're at leisure."
And twenty-five people jumped in the middle of the floor running around and around, frothing like that. This minister with them, and every one of them had epilepsy. See? That's right.
Hundreds of times I've seen it happen with all kinds of diseases. We're not playing; you're in the Presence of Almighty God.
E-49 Now, I don't know you. I only know a few people, and that's just a very few; that's two or three setting here on the front, as far as I know. And this elderly lady setting right here, Mrs. Spencer, I know her, and the lady, them--about them on the front seat right there is about the only ones that I know.
I want to ask you something though. When Jesus was here on earth, how did He say He done His miracles? Listen, if you want to go home and read it, read Saint John 5, the whole chapter if you want to. But 5:19, when Jesus was questioned about it, when he passed by the lame, halt, and withered at the pool of Bethesda, "Why--why didn't He heal them all?"
Jesus said, "Verily, verily I say unto you, The Son can do nothing in himself, but what he sees the Father doing: that doeth the Son likewise." See?
E-50 All prophets, and Christ Himself, only did as the Father, God showed them by visions. And if He's the same today, won't He do the same today? Do you believe that if Jesus will return here to the platform tonight, and perform, and do the same things that He did when He was here on earth, will you accept it and believe it with it with all your heart? If you will raise your hand to Him, no matter who you are, sinner or saint, whatever? God bless you. May He grant it.
And remember, when I meet you at the judgment, I will still have the same testimony by the same Bible, the same God.
Now, I cannot heal anyone. You know that. I'm not a healer; I am a minister of the Gospel. I see visions; that's the prophet gift. I was born here in the state of Kentucky with that since a baby. Them things just don't come to you. You don't learn them in school; they're Divine gifts, who it's given. The Bible said, "Gifts and callings are without repentance." You're born in this world with those things. They're not come by education, or by different things, but by the gift of God.
E-51 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... coming before me... Who would like to take my place? Here is... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... know, perhaps a thousand people standing around, closely, to the guess, several hundred. I'm not a good judge of crowds. Doesn't make any difference to the Holy Spirit, or I, whether there's a dozen, or... I've preached to half a million at a time, five hundred thousand. Many times our meetings run to ten, twenty, thirty, and forty, fifty thousand at a time. We're expecting eighty thousand the first night this week in Germany. They love Him. They love Him. They're war beaten. They're down. And in spite of all the communists, and Hitlers, and everything else, the Gospel still waves on through Germany and all the rest of the country. It's an undying light. It will never die.
E-52 Here's a lady standing before me, I never seen her in my life. We're strangers, I suppose, to each other, but we're not strangers to God.
Now, the woman stands here, and I never seen her in my life, and she never seen me. But what if this was the same case like Jesus of Nazareth? What if He was standing here? What would He do? Let's find out in the Bible what He would do.
He met a woman one time at the well, and He went to talking to her. Did He? What was He doing? You say, "I don't know."
Well, if you was standing here with This around like I feel now, you'd know what It was meaning. He was contacting her soul. That woman is a living. Every person in here has a spirit and a soul. I'm not dealing with your body; it's your spirit. You get that right, the body will obey it. See? It's the woman's soul that I must touch. Then God, through prophecy could reveal to me and tell me where she come from, who she is, and what she is. She'd know whether that was the truth or not. I don't know her. I never seen her. No way for me to know her. But then He--then He'd tell her what she's here for, and could tell her what her outcome was going to be. And if she--if He could tell what her--what her has been, she know whether that's true or not. Surely, she could believe what He said would come to pass. Is that right? Nothing could do it but supernatural. That'll be up to her to believe what it is. The way she--the way she treats It, that'll determine her destination, what she gets.
E-53 Now, how many here, I want to ask you, does anybody here know the woman? Raise your hand. Does anybody know her? Yes, look. Why, my, she must be from here. All right. Now, you know her; I don't. You'll be the judge. Let God be the judge. I don't know her. But if God will, like He did through Jesus Christ His Son, when God, the Spirit, dwelt in Christ, and Christ said that, "This same Spirit will come upon you, and you'll do the same things after I'm risen from the dead. I will be with you till the end of the world," will you, could--couldn't you believe that?
Now, now, for the glory of God, and for the power of His resurrection, I take every spirit here under my control, in the Name of Jesus Christ, so do as He tells you.
E-54 Now, I want to talk to you, lady. I don't mean to make you a--a--a gazing stock. I only do it, because I--I have to speak to you; you're the first patient, until the Spirit begins to anoint, and then it begins to get different. Then It goes around. See, It takes me under anointing.
You're--you are conscious that you're in the Presence of Something besides your brother, a feeling of knowing that there's Something near you. You are a Christian. I see that you're a Christian; it's turning real light around you. That means that your spirit is a welcoming me. You're not a critic. You've come for help. I don't know you, but Something is near you, that very thing that you feel, that real sweet, humble like Spirit... Is that true? Raise your hand to your friends if that's true.
Can't you see that, people, between me and the woman? That Light moving, whipping around? That's the Holy Spirit. You--you don't see it, perhaps, yourself, but your spirit lets you know It's there. Now, That's the thing that heals you, not me. It's your faith in Him.
E-55 But you've come to me to be prayed for, and I don't know where your trouble is, but He can tell me. And if He will tell me, will you accept it and believe it's Him?
You're trouble lays in your back. It's your kidneys. Is that true? And you're real extremely nervous. And you have a kidney trouble, it's a--it's a poisoning. I see the tests shows that it's poison. I see him as he's testing you. That is true. Do you believe? I never seen her. Now, the more I talk to her, the more He would say. But, look standing there in that room. Look out there. So many to be prayed for.
E-56 Let's watch this a minute. You just speak to me again, sister. Now, see, that voice you heard a few moments ago when it was telling you what was wrong, I don't even know what it was. The only way I know, these men's got recorders going here. That wasn't me; that was Him. I didn't know what I was saying. It was Him talking.
But I see a little sign, that... No, you're not from Campbellsville. You're from a place called Jacktown, or something like that, Jacktown, Kentucky. It's true, isn't it? [Sister says, "Yes, sir"--Ed.] And your first name is Nettie. And your last name is Coffman. Go back home, Mrs. Coffman, Jesus Christ makes you well. Your faith healed you in the Name of Jesus Christ. Amen.
E-57 You believe? If you can believe, you can be healed. Just have faith. That's all you need.
You want to get over that throat trouble, setting right back there towards the post? You believe that God would make you well? If you believe it, you can receive it. You can have it. God bless you, sister. Stand up to your feet just a moment. Don't weep. Your throat trouble is finished.
You don't have to have a prayer card. You see? You have to have faith. That's not me. That's Him Who looked in the audience there, where a woman touched His garment, and He said, "Who touched me?"
Said, "Don't ask such questions. Why, everybody..."
Everybody denied touching. He looked around until He found the woman. He said, "I got weak. Virtue went out of Me." That's the same thing taking place. Not me, it's Him, but it's Him in here. He said, "Thy faith has healed thee." The woman knows that's true.
Be reverent and believe God. You can have anything that you ask for, if you can believe, but you must believe.
E-58 This the lady? How do you do, lady? Do you believe in the Lord Jesus Christ to be the Son of God? Do you believe me to be His prophet? I say this not for self respect, sister; it's because that Angel of the Lord said to me, "If you'll get the people to believe you."
I see a shadow of darkness hanging around the woman. It's death. You... Yes. You don't come from this country. You're from a city, a big city. It sets on a hill near a river, and there's a a city across the other side. Oh, it's Cincinnati, Ohio, is where you're from. I see the bridge. You have a bowel trouble. That's right. And there's on the liver a cancer on the liver. [Sister says, "That's what the doctor says."--Ed.] And you're... Yes, that strong looking doctor that was examine you. That's right. That's right, wasn't it? I'm not reading your mind. Yeah. You want to go home well? Accept my Lord Jesus.
Sister, Jesus said, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover." Do you believe I am a believer? Do you believe that that was God speaking through human lips? Then, that anointing is on me. What will happen if I lay hands on you? Jesus said, "They would get well." Will you go home rejoicing, giving Him praise? Then in the Name of Jesus Christ the Son of God, I condemn all the diseases of this lovely little mother. Send her wherever she belongs, to her home, to be well. In Jesus Christ's Name, I do this. Amen.
God bless you. Yes, I want you to believe that too, and she will recover. God bless you. God bless you.
Have faith in God. Jesus said, "Have faith in God." If you can, you can be made well.
E-59 How do you do, sir? We are strangers to each other, are we, sir? We've never met in life. No, sir. We was... This is our first time meeting, but the Lord Jesus has fed us all the food we that we've ever eaten. He's give us the breath we breathe. And He's the only One Who holds our eternal destination in His hand.
Being a stranger before you, well then, I know nothing of you, but Jesus knows about you. He knowed you before you were born. He knowed you all your life.
Now, He's able, if He will, tell me what you're standing here for. And if He will, whatever it is, let it be what it may be, will you believe Him with all your heart and accept it to be Him? You will?
Yes, sir. You are from Campbellsville, because I see you walking on the street, but you're smothering or something. Oh, it's your heart. You have heart trouble. This was caused by a heart attack you had, and you've never gotten over it.
Whatever that was was said was the truth, was it, sir? You believe that He's are in His Presence?
I lay my hands upon thee, my beloved brother, and ask that God in heaven will give to you the desire of your heart, and you may go tonight and have what you've come for. For I stand in the light of Calvary to pronounce these blessings in the One Who died there for them, Jesus Christ. Amen.
God bless you, my brother. Go, don't doubting nothing. You shall receive what you ask for.
E-60 Oh, how I love Him. He's the adorable Lord Jesus, precious One.
How do you do, young lady? I suppose we're strangers to each other also. I'm so glad to see you. I like to see women without that artificial make-up stuff on them. You look like a lady. I'm so happy to see you. God grant to you your desire.
I am a stranger to you, but you love the Lord with all your heart. And do you believe Him to be the Son of God? Which, I shouldn't ask you; you do, for you're a Christian believer. And me being a stranger to you, but yet, I am His servant, you believe that, don't you? Then I can help you by praying for you.
I don't want you to think of what's wrong with you, or what you're here for; I want you to think of something else, so you'll see it's not mental telepathy. Mental telepathy is to take a number and they guess at it or something. Keep your mind off of your troubles, every one of you.
But you have a little growth, don't you? It's called a "cyst," the doctor says. And it's located under your right arm. It's true, isn't it? Your husband is with you, isn't he? I feeled his spirit calling now. He needs help also, doesn't he? He's got heart trouble. That's right, isn't it? You may go home. Be well, sister. Lay your hands on your husband while that anointing is on you as it is. God grant to you the desire of your heart, as I bless thee, my Christian sister, in the Name of Jesus Christ. Amen.
E-61 Have faith in God. Believe Him with all your heart, and you can receive what you ask for. It's your faith that does it, not me. It's the lovely One Who's here tonight, the One I spoke of today, that set with unwashed feet. He loves you so much. Don't turn Him away. Accept Him in your heart. Oh, what a sin it would be for you to go away from here tonight disbelieving, after He's come from glory to do these things. Be merciful. God be merciful.
Now, look this a way just a moment, sister. I am a stranger to you, I suppose. We are my, many years apart in age. You're a young woman. I know nothing of you, but God knows all about you, doesn't He? If God will let me, His servant, know what you're here for, would you accept it?
Friends, I... Just such a faith pulling from the audience, honest, I can't hardly see the audience. It's such a faith, a pulling, faith arising.
I see a vision, a child right back here. Is there a child laying down there? Got a rupture, hasn't he? Isn't that right, lady? You believe Him? The child is hid, but not from God. He knows right where it's at. Do you believe, mother? Lay your hand over on your child, you and dad there, and ask God, "Father, be merciful." Will you do it? Grant that no harm comes, but that Jesus, the lovely One will heal the child, for the glory of God. Amen.
E-62 I am not beside myself, no, but such a feeling to know that now, right here, stands Jesus, the One Who raised from the dead, the One Who loves you so much. He's speaking for me, now. I've been preaching about Him; He's talking, now. That's Him.
Excuse me, lady. I didn't mean to leave you. I have to follow the way the Spirit leads.
Now, here's a dark streak coming from a woman to another one. What is it? It's a devil. He knows his time has come. This woman here has... You're extremely nervous, aren't you, lady? Just hysterically nervous. I see you trying to do things, and you just can't. You're just nervous, mental nervous. Satan told you that you were going to lose your mind if you didn't get over it. But he lied to you.
E-63 That little lady setting right there, second one in right back there, she's bothered with nervousness, too. Isn't that right, lady? See what I mean? This demon knows if that woman will halfway believe that Jesus Christ, the Son of God, and I'm His prophet, that'll have to leave her. And that demon was calling to that one for help, for help to accumulate unbelief, but he's lost the battle. Sure he has. Faith is gathering.
Very nervous, upset, you're bothered about somebody else, too. That's a man. And that man's a soldier, been a soldier. He's a veteran of the war. It's a mental trouble. It is your--it's your husband's brother, your brother-in-law. Your husband has a habit, too, that he ought to quit: smoking. Don't fear, sister. Have faith in God. Come here for the blessing.
I lay my hands upon this, my sister. Satan, you evil, selfish, ungodly spirit, I challenge you in the Name of Jesus Christ in a duel of faith. You're exposed. Come out of the woman. In Jesus' Name. Go in peace, my daughter, and may God be with you and bless you.
E-64 Blood is dropping between me and the lady. She has diabetes. Insulin is a great thing, but oh, the Blood of Jesus is so much greater. Let's you and I go to Calvary for a transfusion. Will you go with me?
O, God, I lift this woman to Thee, up to Thy throne there at Calvary. Will You touch her body just now and make her well? May she not die, but may this be rebuked. In Jesus' Name I ask it. Amen. God bless you, my sister. May His Spirit be upon you.
Now, that would put you in the bed pretty soon, and make you cripple, walk you around on a cane, that arthritis. But Jesus is here to make you well. Do you believe it, sister?
Little lady, looking around behind that boy, you're suffering with a nervous condition, aren't you? Uh-huh. Oh, Satan thought he would hide that. That lady setting next to you is suffering with a nervous condition, too. Isn't that right? You two ladies put your hands on each other.
In the Name of the Lord Jesus, Satan, demon, deceiver, you're not going to be able to hold them. They believe. They've touched Him. Come out. In Jesus' Name. Amen.
E-65 Just a moment. Oh, there you are. Little lady setting there had nervous too, didn't you, lady? I seen a black streak go up. Jesus healed you.
Next to you, there. Had a lot of trouble, TB, retarded. You love Jesus with all your heart? You believe Jesus would make you well? Then, God bless you. Go and be healed.
So can you, sister, don't disbelieve, just go. You're wanting me to put hands on you. In Jesus' Name, I do this for the confirmation of faith. Amen.
Have faith in God. Come, lady. I see a table standing between me and you. You're going away from it. You're refusing food. You believe He will make you well so you can live and eat, and get over this stomach trouble? Got a ladies condition too, female trouble. It's been a long time, but God's going to make you well. You believe it? Then I lay hands upon you for your healing, in the Name of the Lord Jesus Christ. Amen. Have faith. Go, I believe this a way, if you will. All right.
E-66 Would you come? Now, that you might know... Friend, I am not reading the people's minds.
God bless your heart. That's right. There's no need of trying to hide it now. Your faith has made you whole, sister dear.
You've had a throat trouble, haven't you? Setting there with your hands just weeping. When I caught your looking this a way, Something struck you, didn't It? Something said, "You're healed."
The little lady setting there weeping next to you, she's been having a trouble also, a heart trouble. You believe that Jesus is going to make you whole, too? You all put your hands on each other.
Lord Jesus, I pray You'll heal for Your glory. You touch... They touched You. I felt them. And now, You make them well, will You, Father? In Jesus' Name I pray. Amen.
Lady, patient. Take a hold my hand. I am a stranger to you, am I not? If God will show me looking this a way what is your trouble, will you accept It? Then, you won't have to have your operation. That tumor will go right out of you. Believe; have faith in God.
E-67 You'd never go blind if you could believe with all your heart. You do? Then I lay my hands upon you, in the Name of Jesus Christ, that you be made well. Amen. Have faith, believe with all your heart, and be well.
Nervousness is nothing for God to heal, is it? He's done made so many well. You believe you're going to get over it? See, it's a prostate trouble that causes this, makes you nervous getting up at nights and everything. That is right. Uh-huh. Now, go believing. Don't doubt at all, and it'll stop on you. You'll be well. God bless you, my brother. This I do in Jesus Christ's Name. Amen. Have faith. Don't doubt.
I can't heal you, lady in the little wheelchair. I can't make you well, but I know where your trouble is. If you only believe. You're weeping. Something's telling you that you can be well.
E-68 Do you believe your back trouble is gone? You do? Well, you may go then, and God bless you.
You got arthritis, very bad. Just keep having faith. If you'd just use a little more faith, you can pick your wheelchair up and go home. Just believe. Have faith.
How wonderful is our Lord Jesus. I can hardly see the audience no more. Seem like that everything's becoming milky white, the Holy Spirit gathering in. People are believing now. Why didn't you do that in the beginning? You'd see great things done.
How do you do, sir? Oh, asthma's a bad thing, but God's a Healer of asthma. You believe it? Then go believing Him, and it'll cease on you. I bless thee, my brother, in Jesus Christ's Name, for your healing. Amen. Go, believing now. You can have what you ask for. God be with you.
E-69 Oh, my. God wants to make you all well. I can't see you no more. God can heal kidney trouble, make people well with their back. Do you believe It? Is it all right in your case? You believe with all your heart? You believe that God will make you well? Then I bless thee, my brother, and ask that God heal you through Jesus Christ the Son of God. May He make you well. Amen. Have faith.
Real nervous, and it causes you to have a heart trouble like, in other words, a fluttering, especially when you eat and lay down, you get a smothering. Now, I want to tell you, you got a nervous heart, but not a heart trouble. See, it's the gas that forms in your stomach from a nervous, a peptic condition, that throws gas up around your heart, and makes it flutter. You believe you're going to be well? You believe you are standing in His Presence, the Lord Jesus, Jesus? Poor little mother. God bless you, sister, little frail looking thing. He loves you. He wants you to believe on Him just now. O God, poor little thing, trying to accumulate enough faith to be made well.
Oh, Satan, you cruel thing. I adjure thee in the Name of Jesus, the Son of God. Leave the woman. Come out of her.
My sister, I--I'm just a man. But the blackness was around you is gone. It's light now. Go, believing. All will be well.
E-70 Heart trouble's and things is so easy for God to heal. Don't you believe that? It's number one enemy, kills more people than anything else, but God can heal it. You believe it? You got many suffering out there with it, too. How many wants to be healed of it now? Raise up your hands way out in the audience? See, this with no way of me knowing, just so... I am just about gone. I--I pray that God make you well.
Lord Jesus, I bless this woman who wants to live. And I ask that she lives, Lord. And may the enemy leave my sister. May she go to her home tonight and be well. In Jesus' Name. Amen.
Prayer of faith shall save the sick, and God shall raise them up. All right.
E-71 You come. My brother, knowing that life is very short for you unless something can happen. You have cancer, blackness gathering over you. The devil knows that if you could just use a little faith, he's whipped. Won't you believe Him, my brother? Have... Will you serve God all your life?
Almighty God, I condemn the devil, and ask that my brother lives. And, Satan, you're exposed. Come out of him, in Jesus' Name. Amen. Don't doubt, now. Go believing. You can have what you ask for if you believe. Uh-huh.
You believe with all your heart? You believe me to be His servant, sister? Don't be excited. You're just a little nervous, but it's not in my presence; it's Him that you can tell. You want to get over your stomach trouble? You believe that God sent me to pray for you? If I will ask Him, will you go on, eat, and believe? Would you come near?
Father, with bowed heads and bowed hearts, Satan has robbed this poor woman, seeing that her life hasn't been a flower bed of ease, a dark strain following her. Oh, you demon, I bring her to Calvary. In the Name of Jesus, you're defeated. Jesus said, "These signs shall follow them that believe: If they lay their hands on the sick, they'll get well." You'll have to leave her. Come out. In the Name of Jesus Christ, may you go.
The life that was eating you, making the ulcer, that caused the burning and going on, it's gone now. You get well.
E-72 You believing? Everybody? Has God finally come to your heart? I know I have to go; they're pushing my sides, and I--I must. God bless you. I've told you the truth. And God's testified that I told you the truth. Now, do you believe God? Then do as I tell you. You'll see the glory of God.
Each one of you lay your hands over on each other as believers. Someone... Little boy, little boy with the red shirt on here, come around here just a minute. Lay your hands on the lady with the wheelchair there. Put your hands over on her. That's it. Right there, honey. Right there. Put your hands over on the lady.
O, God, this poor mother with her...?... on. Long time you've laid like that, brother, you in the wheelchair. Just move a little farther, would you?
You, setting there with the cancer, about to die, God will heal you. Have faith. Let us bow our heads.
"They shall lay their hands on the sick, and they shall recover," saith the Lord. Don't disbelieve now; have faith. Each one of you pray this prayer; as I repeat it, you say it.
Heavenly Father, I come to Thee in the Name of Thy Son, the Lord Jesus. I'm unworthy of the healing, but I am taught that Jesus died that I may have it. And I now believe it, and I accept it. And I shall act my faith. And I will go from here tonight, believing I'm healed, testifying I'm healed, and defeating the enemy on every corner, believing that You'll confirm Your Word in me, through Jesus' Name.
E-73 Now, that's your prayer. Keep your head bowed. That's your confession. Keep with God. Now, I will pray for you, and cast away by the Spirit of God, all this gloomy doubt, superstition.
O dear God, I know I'm unworthy. And I'm weak. My strength is gone. But dear God, Thou art strong. And I know that I'm unworthy, but You're worthy, and it isn't me after all. And I'm so vile, but in the light of Calvary I'm perfect. Jesus made me that way by His grace.
Now, I pray in the perfect manner to You, my Father. I come in His Name, because He bid me come. And I bring this audience into Your Presence, each one of them. Look at them, Lord, poor, suffering humanity, cripples setting in wheelchairs, little children with their hands on mama. O, God. Dad with his hand on mother, Husband with his hand on his wife, children with their hands on their parents. You see it just breaks my heart. What does it do to you, Lord? I pray for them, and the prayer of faith shall save the sick. Look at them, Lord. Look at them. They believe.
Satan, you evil spirit; you're defeated. Come out of them. In the Name of Jesus Christ, I cast you away. Leave this building. You are defeated, and these people shall be well. Come out. I adjure thee, by Jesus the Son of God...