Christ N’est Pas Le Bienvenu
1 La maladie et beaucoup de vilaines choses... Et la mort en a retenu quelques-uns. La maladie en a retenu d’autres. Et des déceptions en ont retenu d’autres. Mais Dieu nous a encore rassemblés pour Le servir. Et nous sommes très contents de ces choses.
2 Et maintenant, pendant qu’on est assemblés, j’aimerais juste dire quelques paroles sur notre dernière série de réunions outre-mer, pour lesquelles vous avez tous beaucoup prié pour nous, que le Seigneur nous accorde un grand service. Il l’a fait. Et nous sommes très content de faire le rapport, que beaucoup d’âmes ont été sauvées ; c’est cela l’essentiel: des âmes ont été sauvées, elles sont nées dans le Royaume de Dieu. Nous...Vous savez que nous...
3 La prédication de la croix suscite de l’observation ; elle suscite des troubles ; elle suscite de l’agitation ; et nous ne pouvons pas nous attendre à être immunisé contre toutes ces choses. Nous devons simplement les recevoir telles qu’elles arrivent. Ainsi, nous–nous avons eu des ennuis en quittant Zurich. Eh bien, je peux expliquer ce qui était arrivé.
4 Ah ! L’église, le premier réformateur était Martin Luther, comme nous le savons tous, et le deuxième était Zwingli, et Zwingli est allé en... à... de... en Suisse. Et là, à Zurich, la Bible a été traduite pour la première fois en anglais, toute la Bible, à partir de la première traduction, ça a été fait à Zurich, en Suisse. Ils s’accrochent toujours à la vieille conception de Zwingli. Et la traduction de Zwingli nie la naissance virginale. Il ne croit pas dans la naissance virginale. Il disait que c’était le fils de Joseph, appelé Fils de Dieu.
5 Et nous croyons qu’Il était le Fils de Dieu, qu’Il est né du Père, Dieu, qui Lui a donné cette naissance par la création.
6 Et Billy Graham, bien connu, tout le monde le connaît, pratiquement, il était là pour un jour avant moi. Et ils ont bien critiqué ce pauvre jeune homme, se moquant donc de lui, alors que cela n’avait pas... Cela n’était pas nécessaire. Ils disaient: «Il a mis un cran pertinente dans ses cheveux.» Et ils disaient: «Il est venu à l’église comme s’il allait à une boîte de nuit plutôt qu’à l’église.» Et ils disaient: «Il prêchait comme un fantastique vendeur américain de savons.» Et–et ils disaient: «On pouvait sentir à dix pieds [3,8 m] l’odeur de son parfum», et tout comme ça, se moquant du jeune homme. Pourquoi? Il ne méritait pas ça.
7 J’avais suivi Billy, j’étais sur place. Il a prêché la Divinité Suprême du Seigneur Jésus-Christ. C’est vrai. Il a dit: «Il y a beaucoup d’hommes qui se lèvent, des philosophes et autres, mais Jésus-Christ était Dieu Lui-même manifesté dans la chair.»
8 Frère, j’ai crié amen, aussi fort que je le pouvais, car je sais que c’est vrai. Je crois cela. Eh bien, évidemment, lorsque j’ai vu la façon dont ils l’ont traité, j’ai pris juste sa place, j’ai directement commencé par la Divinité Suprême, que Jésus-Christ était Jéhovah Dieu manifesté dans la chair. Eh bien, en faisant cela, le Seigneur nous a donné cinquante mille âmes dans cette série de réunions de cinq soirées.
9 Et puis, quand ils ont appris que nous allions en Allemagne... Eh bien, là, c’est l’église et l’Etat. Ce que l’église dit à l’Etat, l’Etat l’exécute.
10 Et nous avons souvent enseigné là-dessus plusieurs fois... Si j’ai quelqu’un ici qui est un ami catholique... Je ne dis pas du tout ceci maintenant pour repousser... votre église. Non, non. J’en ai des milliers, des dizaines de milliers d’amis catholiques. Mais nous avons souvent pensé dans les premiers jours quand l’Eglise catholique s’était unie, l’église et l’Etat, ensemble, du temps de la Rome papale, quelle persécution cela avait suscitée, eh bien, frère, les protestants sont tout aussi mauvais, si pas pires.
11 L’Eglise protestante m’a traité deux fois plus mal que l’Eglise catholique m’a jamais traité. Voyez? Ainsi donc, quand ils sont allés là, ils ont envoyé dire aux autorités allemandes, en Allemagne, de ne pas me recevoir, que j’étais absolument opposé à l’enseignement, et que je n’étais qu’un imposteur, et qu’il ne fallait pas me recevoir.
12 Et là, on avait construit un stade qui offre trente mille places assises. Quand ils m’ont refusé d’utiliser ce stade ordinaire de football, eh bien, comme il lui appartenait, c’est Hitler qui l’avait construit, alors, on est allé, on a dressé une cathédrale en toile qui pouvait offrir environ trente mille places assises, on avait ouvert de côté afin qu’on puisse toujours les faire asseoir derrière. Quelque part, nous avions trente mille personnes sous un toit. Ils ont envoyé un mot, que–que j’étais un imposteur, qu’il ne fallait pas du tout me recevoir.
13 Et ainsi donc, le gouvernement s’y est impliqué et a dit qu’il n’était pas d’accord, que je ne pouvais pas aller. Docteur Guggenbuhl, un ami qui... C’était l’avocat du pays, il a envoyé un mot là, il y est allé et on lui a dit: «Non, monsieur. Il ne peut pas venir. Nous ne le recevrons pas.»
14 Alors, il y est allé. C’est dans une zone américaine, à Kar-... à–à Karlsruhe, ce qui veut dire Le Repos de Charles. Il est allé là auprès d’un colonel de l’armée américaine, c’est une zone occupée par les Américains, là-bas. Il est allé auprès du colonel et a dit: «Pourquoi ne pouvons-nous pas faire venir cet évangéliste américain?»
15 Il a dit: «On a reçu Billy Graham là et, a-t-il dit, pourquoi ne pouvons-nous pas laisser ce frère venir?»
16 Et alors, le colonel a dit: «Eh bien, je ne vois pas pourquoi on ne le peut pas.» Il a dit: «Qui est ce prédicateur?»
Il a dit: «C’est frère Branham.»
17 Il a dit: «Frère Branham !» Il a dit: «Il a prié pour ma mère, et elle a été guérie en Amérique.» Alors, frère, cela a ouvert la porte. Ça ne changeait rien, ce qu’on avait dit. Cela a ouvert la porte. On a donc ouvert la porte, et–et nous sommes directement allés et nous avons tenu des réunions.
18 Et la première soirée, pour y arriver depuis la–la foule... Nous ne voulions pas... Nous ne voulions pas prêcher la guérison divine. Nous nous en étions abstenus ; nous ne voulions donc pas prier pour les malades. Nous les avons d’abord amenés sur l’Evangile, d’abord, pour nous rassurer. Alors, pour me faire sortir, me préserver d’être fusillé depuis les buissons, on a pris des hommes, et ils tournoyaient sans cesse autour de moi, comme cela, afin que le... on ne puisse pas me viser, vous voyez, jusqu’à ce que j’entre. Et nous avons été attaqués la première soirée, avec un véhicule... Eh bien, juste des fanatiques. Et–et je suis entré dans la voiture très bien. Billy, j’avais dû le saisir pour le faire entrer ; en effet, quelqu’un l’avait pratiquement pris. Et ainsi donc, quand nous sommes arrivés...
19 Puis, la deuxième, la troisième soirée, nous avons commencé à prier pour les malades. Et ce soir-là, on a amené à l’estrade l’une des expériences les plus agréables que j’aie jamais connues de ma vie. Une petite fille... Eh bien, ce n’est pas...
20 Eh bien, cette dureté, ce n’est pas pour les Allemands. Ce sont les gens les plus gentils que j’aie jamais rencontrés de ma vie. Je vous assure, si j’habitais ailleurs qu’en Amérique, je choisirais l’Allemagne, n’importe quand. Et ils sont humbles. Ils sont de loin mieux que les Suisses. La Suisse, c’est bien, mais la Suisse n’a jamais connu des troubles.
21 C’est juste comme les Américains ici (Voyez-vous?), nous–nous n’avons jamais été bombardés par ici ni rien. Nous donc... La guerre éclate, nous vivons des richesses du pays, et les jeunes gens vont outre-mer et meurent, certains reviennent, nous ne voyons jamais cela.
22 Mais ces Allemands ont été terrassés, leurs mères ont été brûlées avec du gaz, et leurs armes. Et ils retrouvaient les crânes de leurs mamans gisant là, avec un enfant serré contre le sein comme cela. Ils savent ce que représente la prière. Et ils sont humbles et disposés.
23 Ainsi donc, cette nuit-là à la réunion, tous les journaux étaient là et tout. Et toutes les églises, critiquant, et ce n’était parrainé par aucune d’elles. Alors, nous avons simplement organisé la réunion, et des milliers ne pouvaient même pas–même pas avoir une place pour accéder à la tente et là où nous étions.
24 Et puis, pendant que le Saint-Esprit se mouvait, et que l’inspiration venait sur moi, il y avait une dame étendue là, et il lui fut dit que sa colonne vertébrale avait été rongée en deux par la tuberculose. Elle était attachée avec une sangle à une planche. J’ai dit: «Enlevez-lui la sangle.»
Alors, un médecin s’est levé et a dit: «Oh ! Vous ne pouvez pas faire ça.»
25 J’ai dit: «Enlevez-lui la sangle, car AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle s’est levée, elle a couru dans la salle, elle était tout aussi parfaite et normale que possible. Et son–son... Elle était pieds nus, elle est montée à l’estrade.
26 Environ quinze minutes plus tard, on a commencé la ligne de prière, ça continuait. Et une petite fille d’environ six ou huit ans est venue, d’à peu près l’âge de ma petite Becky, avec deux longues tresses qui lui pendaient dans le dos. Elle a failli tomber de l’estrade.
27 On l’a saisie, on l’a relevée. Quand elle est arrivée auprès de moi, elle s’est mise à poser sa petite... elle a posé sa petite tête ici et s’est mise à me tapoter de ses petites mains tout autour comme cela. Et elle était aveugle, elle était née aveugle. Elle n’avait jamais vu.
28 Et quand nous avons prié pour elle, franchement, amis, je crois que si jamais j’avais été le pire hypocrite au monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant-là. Elle a fait passer ses bras tout autour comme cela. Elle a posé sa petite tête sur mon sein. Et j’ai prié pour elle.
29 Et j’ai dit au Seigneur: «J’ai quitté Becky et les autres, ils étaient en train de pleurer à la maison, Tu sais. Mais je... Tu m’as envoyé ici prier pour cette enfant, je crois.»
Et quand je lui ai fait relever sa petite tête, elle a regardé tout autour, elle a dit: «C’est quoi ces choses-là?»
30 Et j’ai dit: «Ce sont des lampes, chérie.» Voyez? Et elle... L’interprète le lui a dit. Alors, donc, elle pouvait–elle pouvait voir. Et sa maman s’est mise à crier, elle a couru vers l’estrade. Elle n’avait jamais vu sa maman auparavant. Elle s’est mise à tapoter ses joues. Elle a dit: «Est-ce toi ma maman?» Elle a dit: «Tu es très jolie.» Et, comme cela jamais de sa vie elle n’avait vu sa maman auparavant.
31 Et puis, un homme est venu, le suivant, c’était un homme né sourd-muet. Il avait environ cinquante-cinq ans, il n’avait jamais parlé ni entendu de sa vie. Et quand il a recouvré l’ouïe et le parler, et il... on lui parlait à l’aide des doigts, vous savez. Et je lui ai dit: «Parlez maintenant, dites-lui de répéter juste ce qu’il... je dis.» Et j’ai dit: «Maman.»
Il a dit: «Maman.»
J’ai dit: «J’aime Jésus.»
32 Il a dit: «J’aime Jésus.» Et l’interprète était... C’était un Allemand, il parlait anglais ; en effet, c’est tout ce qu’il avait jamais entendu (Voyez?), c’était en ce moment-là même. Tout ce qu’il pouvait dire, c’était–c’était l’anglais. Voyez, il pouvait parler anglais autant qu’il pouvait parler allemand. Il est donc né en Allemagne. Comprenez-vous donc ce que je veux dire? Il pouvait parler anglais, parce que c’est tout ce qu’il avait donc entendu, et c’était moi qui lui parlais. Voyez? Je disais: «Dites, maman.» Et il disait: «Maman.»
Et je–je disais: «Dites: ‘I love Jesus.’» [«J’aime Jésus»]
«I love Jesus.»
Et je disais: «Praise the Lord. [Gloire au Seigneur.]»
Il disait: «Praise the Lord.»
33 Et l’interprète devait répéter cela à cet Allemand, aux Allemands, c’était traduit de l’anglais à l’allemand une fois de plus. Oh ! la la ! Le jour suivant, le journal s’était vraiment enflammé, tout.
34 Alors, les prédicateurs de l’église de l’Etat, un groupe d’entre eux est venu, et ils voulaient prendre un petit-déjeuner avec moi, et environ deux cents, trois cents étaient venus. Oh ! Je pense, quelque chose, peut-être, comme ce tabernacle, plein de gens. Ils sont descendus à un grand hôtel et ils ont dit: «S’il peut y avoir des preuves que c’est la vérité, que ce n’est pas de la sorcellerie...» Miséricorde ! Ils ont dit: «Si cela n’était pas de la sorcellerie», eh bien, ils seraient prêts à protester contre l’église et en sortir, s’ils n’acceptaient pas Cela.
35 Alors, on est descendu ce matin-là, j’ai dit: «Frères, la sorcellerie? C’est absolument, totalement impossible pour un démon d’avoir quoi que ce soit à faire avec la guérison divine.» J’ai dit: «Je vais–je vais défier là-dessus n’importe où. Chaque passage des Ecritures est opposé à cela. Et le diable n’a pas du tout de puissance, pour–pour avoir... produire n’importe quelle guérison divine.» J’ai dit: «Le diable n’a rien qui puisse guérir. Si c’est... Jésus Lui-même a dit: ‘Si Satan peut chasser Satan, alors son royaume est divisé et ne peut pas subsister.’ Voyez? Il ne peut pas chasser Satan. La guérison provient exclusivement de Jésus-Christ.»
36 Ainsi donc, ils sont restés assis là un petit moment, et ils ont dit: «Eh bien, nous n’arrivons pas à comprendre ce qu’il en est de ces visions. Nous–nous ne savons simplement pas.» Ils ont dit: «Nous, ce que nous pensons, c’est... vous aurez à nous éclairer là-dessus.» Ils ont dit: «Nous pensons que ce que... vous allez ici et là pendant la journée dans ces maisons, vous donnez aux gens des cartes de prière, puis vous les faites monter à l’estrade le soir, et puis, vous leur avez parlé, et vous savez ce que sont leurs maladies et tout au sujet de leur vie...»
37 J’ai dit: «Frère, je ne parle pas allemand, et je ne le peux pas. Regardez ça.» J’ai dit: «Quand je donne une vision, je n’arrive même pas à prononcer leur nom. Je dois épeler cela. Cela peut épeler leur nom et les villes d’où ils viennent, comme w, x, y, o, p, q, r», l’une ou l’autre chose comme cela, comme leurs noms.» J’ai dit: «Comment le pourrais-je? Demandez aux gens. Renseignez-vous auprès d’eux. Eh bien, ai-je dit, les jeunes gens distribuent les cartes de prière en pleine réunion. Et qu’en est-il alors de tous–tous ceux qui n’ont même pas de cartes de prière?»
«Eh bien, ont-il dit, eh bien, est-ce que ça peut être le diable qui fait cela?»
J’ai dit: «Le diable peut-il guérir?» J’ai dit: «Si cela...» J’ai dit...
38 «Cela peut-il être de la télépathie mentale?», ont-ils demandé.
J’ai dit: «Eh bien, la télépathie mentale peut-elle faire voir l’aveugle?» J’ai dit: «N’ont-ils pas dit la même chose au sujet de notre Seigneur, quand ils ont dit: ‘Eh bien, cet Homme a un démon.’? Ils L’avaient vu prédire des événements et faire des révélations aux gens. Ils ont dit: ‘Il a un démon.’ Et les pharisiens se sont levés et ont dit, un autre groupe parmi eux, ils ont dit: ‘Le diable peut-il faire voir un aveugle?’ Non, non. Il ne le peut pas.»
39 Ainsi donc, lors du petit-déjeuner ce matin-là, ils avaient un grand photographe allemand là pour prendre des photos du petit-déjeuner.
40 Eh bien, nous savons tous que nos appareils-photos sont de petits appareils amateurs à côté des objectifs allemands. Tout celui qui achète des télescopes, ou le... allemand le sait. Eh bien, par exemple, notre petit appareil photo Argus. J’en ai un. Ça s’achète à soixante-neuf dollars, avec tout son équipement. Et c’est 35 millimètres. Très bien. Le Leica allemand, de 35 millimètres, coûte cinq cents dollars. C’est bien là la différence, entre soixante-neuf et cinq cents dollars. Oh ! Et cela dépasse de loin tout ce que nous avons, leurs objectifs sont plus que les nôtres.
41 Alors, ils avaient un grand appareil photo placé là, on prenait des photos de la réunion, du–du petit-déjeuner. Et ils posaient des questions sur cette inspiration-là...
Ils ont dit: «Eh bien, nous pensons que c’est une espèce de montage. C’est l’une ou l’autre chose que–que vous avez. C’est une télépathie mentale. En fait, les Allemands peuvent peut-être regarder leurs cartes, ou l’une ou l’autre chose, et ils peuvent vous communiquer cela.»
42 J’ai dit: «Comment alors s’opère la guérison?» J’ai dit: «Qui prédit ces choses, qui, quoi, ce qui va arriver?»
43 «Eh bien, ont-ils dit, peut-être que c’est aussi de la télépathie mentale.»
Et j’ai dit: «Alors, vous ne croyez pas en Dieu.»
«Oh ! Nous croyons en Dieu, assurément. Nous croyons en Dieu. Mais nous ne...»
44 J’ai dit: «Frère, vous êtes–vous êtes simplement nés aveugles, c’est tout. Voyez? Vous–vous étiez nés aveugles et je doute que vous recouvriez jamais votre vue ou pas.» Et j’ai dit: «Si... Je préférerais être aveugle physiquement plutôt que d’être aveugle spirituellement, comme cela. Eh bien, ai-je dit, ce serait de loin mieux pour vous, si vous étiez tous complètement aveugles, et qu’on avait à vous conduire ici et là à cause de vos yeux, par les bras, vous n’aviez donc pas d’yeux, vous laisseriez quelqu’un vous servir des yeux, vous conduire.» J’ai dit: «Ce serait de loin mieux pour vous. Mais, ai-je dit, parce que vous voyez des choses que des prophètes avaient ardemment désiré voir. Vous voyez des choses que de grands hommes avaient ardemment désiré voir, et vous ne voulez toujours pas croire cela.» J’ai dit: «Esaïe avait bien parlé de vous, en disant: ‘Vous avez des yeux et vous ne voyez pas, des oreilles et vous n’entendez pas.’» Et vers...
45 Ils ont dit: «Eh bien, et si cette photo de l’Ange du Seigneur que vous aviez à l’estrade, là-bas, ont-ils dit, qu’en est-il de cela?»
46 J’ai dit: «C’est la preuve, la preuve scientifique, que Jésus-Christ vit et règne encore.» J’ai dit: «C’est la même Colonne de Feu, ou la Lumière, qui suivait les enfants d’Israël, qui les avait fait traverser le désert et les avait amenés à la Terre promise. Et tout lecteur sait que c’était l’Ange de l’alliance, qui était Jésus-Christ.» Et j’ai dit: «Il était auprès du Père avant la fondation du monde. Il a toujours existé. Et Il est le même aujourd’hui.»
47 «Oh ! ont-ils dit, nous avons entendu parler de vos services fantastiques de guérison divine en Amérique et tout.»
48 J’ai dit: «Ce n’est pas ce dont je parle. Ce n’est pas cela le sujet. Je parle de mon propre ministère maintenant. Ces frères peuvent défendre les leurs. Mais, ai-je dit, je parle du mien. Voyez?
Et on a dit: «Eh bien, nous avons entendu parler de toute cette histoire, et tout comme cela.»
49 J’ai dit: «Eh bien, si vous voulez croire, vous êtes un croyant. Si vous ne voulez pas, alors, vous n’êtes pas un croyant ; c’est tout.» Et j’ai dit: «Je ne peux pas expliquer cela. Et ça ne me sert à rien d’essayer de le faire. Car si j’essayais de le faire, j’essayerais d’expliquer Dieu. Et qui peut expliquer Dieu? Et Dieu a rendu cela tel que personne parmi nous ne puisse expliquer Dieu. Nous croyons Dieu par la foi, non pas par la vue, pas par la connaissance ; mais par la foi, nous croyons en Dieu. Dieu est... Il doit être accepté par la foi, c’est ine–inexplicable. On doit recevoir cela. Si cela est explicable, alors on ne doit pas se servir de la foi, si vous pouvez expliquer cela. Voyez, vous n’avez pas... Vous pouvez donner les détails.»
50 Combien comprennent cela? Voyez-vous? On ne peut pas expliquer Dieu. On doit croire Dieu. C’est un mystère pour vous, mais vous devez accepter cela. C’est sur base de votre foi, accepter quelque chose que vous ne pouvez pas expliquer. Amen. C’est comme ça. C’est ça. Voyez, vous devez expliquer quelque chose, croire quelque chose que... je veux dire, croire quelque chose que vous ne pouvez pas expliquer. C’est impossible à expliquer.
51 Eh bien, ils étaient assis et se grattaient la tête. Et, oh ! vous savez, la souveraineté de Dieu est toujours à l’oeuvre, n’est-ce pas? Advienne que pourra, Dieu est à l’oeuvre. Juste au moment vraiment crucial, en ce temps-là même, quand des centaines de ces pasteurs de l’église de l’Etat étaient là à ce petit-déjeuner, ce grand appareil photo allemand était placé là. Et on a tiré une photo, et puis on a déroulé le rouleau, on a retourné cela, juste comme un 35 mm, seulement c’est grand comme ça, un très grand appareil photo prenant tout comme cela, photographiant simplement, roulant cela, ça a continué à prendre des photos.
52 Et à ce moment-là, j’ai dit: «Juste un instant. Celui dont je parle est ici maintenant.» J’ai dit: «Il est–Il est ici Présent.» J’ai dit: «Je vois Cela. Et Il est en train de se mouvoir.» Eh bien, l’Allemand a déplacé son appareil photo juste là comme ça. Il a dit: «Je vais essayer cela.» Il a pris la photo.
53 J’ai dit: «Il y a cet homme qui se tient ici même. C’est un conducteur de trente-deux mille communistes, celui qui se tient là.» Et l’interprète le lui a rendu. J’ai dit: «Il n’est pas Allemand.» J’ai dit: «Il est Italien. Il vient de l’Italie.» Et j’ai dit: «Il n’est pas du tout Allemand.»
«Et c’était la vérité», a-t-il dit.
54 Et j’ai dit: «Tout récemment, vous êtes venu... vous vous êtes converti.»
«Oui.»
J’ai dit: «Vous avez pris une Bible. Vous aviez grandi catholique.»
«Oui.»
55 «Et vous avez pris la Bible. Vous avez pris la Bible, vous L’avez lue, et vous avez été convaincu que c’était... que Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Et vous–et vous avez accepté cela.»
Il a dit: «C’est vrai.»
56 Et j’ai dit: «Eh bien, vous vous êtes caché de l’Eglise catholique, vous avez un orphelinat là loin dans les montagnes.»
Il a dit: «C’est vrai.»
57 Et j’ai dit: «La raison pour laquelle vous ne prenez pas votre petit-déjeuner, c’est que vous souffrez de l’estomac au point que vous ne pouvez pas prendre le petit- déjeuner.»
C’était vrai. Et il s’est mis à pleurer.
58 Et j’ai dit: «Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guéri. Prenez votre petit-déjeuner.» C’était réglé.
59 Et ils avaient pris la photo. Et ils avaient pris... Cet appareil photo installé là, prenant cette photo-là, chacune d’elles. Et il avait pris trois photos de l’Ange du Seigneur. Et puis, il a pris cinq ou six, après ; cinq ou six, avant. Et cela se faisait voir le nég-... dans l’appareil photo encore, l’Ange du Seigneur en train de descendre. Quand Il est arrivé, Il a commencé à descendre, quand Il est venu au-dessus de moi, et quand Il partait. Je les ai ici même à l’estrade ce matin, cela a parcouru tous les journaux allemands, et surtout ailleurs. J’ai cela ici même maintenant, les photos de l’Ange du Seigneur. Ô mon vieux !
60 Le Seigneur Jésus ne faillit jamais: «Les cieux et la terre passeront, a-t-Il dit, mais Ma Parole ne passera point.» Il a dit: «Moi l’Eternel, Je l’ai planté ; Je l’arroserai jour et nuit, (Alléluia !) de peur qu’on ne l’arrache de Ma main, Je l’arroserai jour et nuit.» Voyez?
61 Eh bien, j’en ai tout un tas ici. Il y en a environ deux douzaines. Mais voici la photo, celle que je soulève comme ceci. Et, peut-être, après le service, je demanderai à frère Neville de bien vouloir s’en occuper, il peut vous montrer cela après le service.
62 Et maintenant, voici donc la photo du petit-déjeuner des prédicateurs. Eh bien, vous pouvez voir comment les lumières sont ici, l’aspect de la salle. Il y a environ six après, avant ceci, et six après.
63 Maintenant, Le voilà. Ici, c’est moi, je me tiens ici même. Là, c’est l’interprète. Et c’est docteur Guggenbuhl. Là, c’est frère Bosworth. Ceux-ci sont tous des pasteurs de l’église de l’Etat, leurs groupes. Très bien.
64 Maintenant, quand Cela–quand Cela a frappé, ça se voit. Vous voyez, il n’y a pas de lumière ni rien là-dedans (Voyez?), quand Cela a frappé.
65 Eh bien, quand je me suis levé, j’ai dit: «Tenez-vous debout, l’Ange du Seigneur est ici», Le voici. Oh ! la la !...?... Là, c’est quand Il descendait. Vous voyez, moi, je suis ici, je me tiens ici même. Il est en train de descendre. On Lui a pris une photo, en train de monter, de descendre du plafond, on dirait, en train de descendre. Vous voyez, tout le monde regardait. Et sur cette photo ici regarde de côté.
66 Et ici, cet homme ici, avec le col retourné, c’est l’homme à qui Il parle. Voyez? C’est celui qui donne... à qui je m’adresse ici (Voyez?), et il regarde. J’ai dit: «La vision concerne cet homme qui est debout juste de l’autre côté ici. Et alors, quel genre de carte de prière avez-vous?» Voyez? Vous voyez ce qu’ils... Ils sont là.
67 Eh bien, ici, c’est quand Il est déjà descendu, et vous ne voyez que mes épaules, là. C’est quand la vision est en cours, quand Il est en train de lui parler. Et ici, c’est quand Cela est là, quand Cela quitte mon visage, avec la moitié de mon visage cachée là par la vision, l’Ange du Seigneur, la gloire du Seigneur quitte. Voyez-vous Cela là même? Et ici, c’est après que Cela était terminé, nulle part du tout.
68 Alors, ils ont donc eu cela ; ça a parcouru toute l’Allemagne. Ça parcourt maintenant les Etats, et ça passe par différents magazines religieux. En voilà une, pendant qu’Il descendait. En voici une, quand Il est là ; et ici, c’est quand Il part. Voyez?
69 Oh ! Il vit, Il vit. Jésus-Christ vit aujourd’hui. Ainsi, en plein conflit, ne vous faites pas de souci, Il est toujours Dieu. Il l’a toujours fait. J’en suis très reconnaissant. Je sais, ici, c’est ma ville natale, il est difficile qu’on comprenne cela ici, et surtout que c’est chez moi.
70 C’est le lieu le plus difficile au monde, évidemment, c’est: pas pour vous, mes amis. Mais, eh bien, Jésus n’a-t-Il pas dit la même chose? Parmi les vôtres, c’est–c’est pire. En effet, on n’y peut rien. Les gens ne veulent pas être comme cela, mais ils le sont. Les Ecritures ne peuvent que s’accomplir. Elles doivent s’accomplir. Elles ne peuvent pas être brisées. Les Ecritures doivent s’accomplir. Jésus vit donc aujourd’hui.
71 Et, amis, ce petit tabernacle aujourd’hui, avec ses petits murs rudimentaires et pour les étrangers qui sont dans nos murs, nous vous souhaitons un cordial bienvenu ici au Nom du Seigneur Jésus-Christ, comme Ses enfants bien-aimés. Et nous L’aimons, et nous aimerions que vous vous réjouissiez de cette communion ensemble ce matin alors que nous parlons de la Parole du Dieu vivant.
72 Et je désire, solennellement, que vous priiez pour moi. Je suis à l’heure des décisions irrévocables de ma vie, en ce temps-ci. Je m’en approchais depuis longtemps. Je suis finalement arrivé à ce niveau-ci, où je dois prendre une grande décision tout de suite. Alors, priez pour moi. Allez-vous le faire?
73 Je vous ferai comprendre un peu. Je me suis tenu parmi les frères, sans représenter quoi que ce soit, j’allais de l’un à l’autre qui... et j’ai constaté qu’en me tenant parmi eux, je me suis moi-même amené à ce niveau-ci. C’est...
74 J’ai été ordonné ici par le docteur Davis, vous le savez tous, dans une vieille petite église baptiste par ici. Et maintenant, le... Je vous ai souvent dit que j’ai trouvé deux catégories de gens: l’une d’elles, ce sont les baptistes et les fondamentalistes, ils ont une bonne conception mentale de la Parole. De l’autre côté, je trouve le Plein Evangile: les méthodistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, les pentecôtistes, eux tous ; ils ont la foi. L’une d’elles est montée jusqu’à recevoir le Saint-Esprit, et ce...
75 Mais ils sont si déchainés avec Cela, ils ne savent comment Le contrôler. Et les–les autres ici, ils connaissent la Parole et comment La placer, mais ils n’ont pas la foi avec Cela. Si seulement je pouvais mettre la foi des pentecôtistes dans la théologie des baptistes (Quoi?), l’église serait en ordre. C’est vrai, si seulement je pouvais avoir cela. Ces dons merveilleux de la Pentecôte, c’est une honte, la façon dont vous les avez foulés aux pieds et vous les avez maltraités, et tout.
76 Tenez, je vais vous raconter un petit quelque chose qui est arrivé l’autre jour, juste pour vous faire voir.
77 Je dirais ceci parce que c’est le tabernacle, et ici, c’est chez moi. Je prêche ce que je veux (Voyez?), et ici, ou ce que le Seigneur me dit plutôt. Voyez? Ce n’était pas intentionnellement que j’ai dit cela: «Ce que je veux.» Je ne voulais pas dire cela, car je... ça serait mes propres désirs.
78 Mais je–j’ai entendu un commentaire l’autre jour que quelqu’un avait–avait fait au sujet d’une brouette.
Un homme disait: «Ils ont tenu une grande réunion.» Et il a dit, cela: «Mais, a-t-il dit, il n’y avait pas assez d’esprit, il n’y avait pas assez de bruit à ce sujet.»
79 Et un vieux prédicateur a dit: «Eh bien, a-t-il dit, quand j’habitais la ferme, j’allais à la ferme, et j’y allais avec ma brouette vide, et chaque fois que je cognais une petite bosse, cela grinçait, faisait claquer, éclatait, sautait et tout.» Il a dit: «Quand je l’avais chargée d’une bonne nourriture et des produits de champ, je la ramenais. Et elle se cognait contre les mêmes bosses, et elle ne bougeait pas du tout, c’était une brouette bien chargée.»
80 Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’une brouette bien chargée, bien pleine, sachant où nous allons, sous la conduite du Saint-Esprit.
81 Eh bien, il y a quelque temps, je vais vous dire ce que... Savez-vous ce qu’est ma–ma théologie? L’amour rédempteur, quand vous avez l’amour les uns pour les autres. Voyez? Peu importe ce que sont ces autres choses, combien de dons nous avons, ou combien de ceci ou de cela nous avons; si nous n’avons pas l’amour les uns pour les autres, nous–nous sommes perdus. C’est tout.
82 Je suis allé chez un homme. Eh bien, frères, je cite les noms des églises ici ce matin. Mon intention n’est pas de faire du mal en faisant ça. Mais je suis allé chez un homme qui est membre chez les Assemblées de Dieu. Il ne me connaissait pas. Il y a de cela des années. Je suis arrivé auprès de lui ; j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Il a dit: «Bonjour.»
83 J’ai dit: «Je comprends que vous êtes un prédicateur.»
Il a dit: «Oui.» Et juste avant le... Un grand homme, chez les Assemblées de Dieu, il voulait que j’adhère aux Assemblées de Dieu. Il a dit: «Venez, adhérez, car nous sommes la plus grande organisation de la pentecôte dans le monde.»
84 J’ai dit: «C’est peut-être vrai, mon frère, mais j’aimerais me tenir parmi vous tous, et dire: ‘Nous sommes frères.’» Voyez? J’ai dit: «Peut-être que je suis fort avancé sur mon chemin dans la mienne, vous aussi peut-être, dans la vôtre, mais soyons des frères, après tout. Voyez? Soyons des frères.»
Et il a dit: «Oh ! a-t-il dit, ça va. C’est nous qui avons l’église.»
85 Il m’est alors arrivé d’examiner. Je suis allé chez un homme ; j’ai simplement pris le côté négatif, de deux côtés, pour tester. Je suis allé chez un frè-... ce frère-ci, et j’ai dit: «J’apprends que vous êtes membre des Assemblées de Dieu, un prédicateur.»
Il a dit «Oui.» Il a dit: «Et vous, qui êtes vous?»
J’ai dit: «Je suis un baptiste.»
86 Et il a dit: «Eh bien, avez-vous reçu le Saint-Esprit?»
J’ai dit: «Oui.» J’ai dit: «J’ai reçu le Saint-Esprit.»
Il a dit: «Parlez-vous en langues?»
J’ai dit: «Oui. Oui, j’ai parlé en langues.»
87 Il a dit: «Frère, vous L’avez. Alléluia ! Gloire au Seigneur ! C’est Cela.»
J’ai dit: «Ouais, ai-je dit, j’ai reçu le Saint-Esprit et j’ai parlé en langues, comme évidence de cela.» Et j’ai dit...
88 Il a dit: «Oh ! Vous allez donc sortir de cette vieille église baptiste raide et formaliste. Alléluia !» Et il a parlé en langues à quelques reprises.
89 J’ai dit: «Oui, j’ai reçu le Saint-Esprit, j’ai été baptisé au Nom de Jésus-Christ. Et...»
90 Il a dit: «Vous quoi?»
Et j’ai dit: «J’ai reçu le Saint-Esprit, et j’ai été baptisé au Nom de Jésus-Christ.»
91 Il a dit: «On ne reçoit pas le Saint-Esprit comme cela.»
J’ai dit: «Vous me l’avez dit un peu trop tard.» J’ai dit: «Je l’ai déjà fait.» Alors, il a dit... Et j’ai dit: «Je–je–je... donc, je l’ai donc déjà fait.»
92 Et il a dit: «Oh ! On ne peut pas recevoir Cela comme ça.» Il a dit: «Croyez-vous cette espèce d’hérésie là?» Voyez?
93 Je–j’ai dit: «Oh ! Je ne pourrais pas qualifier cela d’hérésie.» J’ai dit: «La Bible l’enseigne.»
Il a dit: «Sortez de ma maison. Je n’aimerais rien avoir à faire avec vous.»
94 J’ai dit: «O.K. Que le Seigneur soit avec vous, frère.» Je suis sorti.
95 Il n’y a pas longtemps, un vieux prédicateur baptiste là-bas... C’était mon premier voyage à Phoenix, à Curtis. Je suis allé voir ce garçon. Je suis entré chez lui, j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Il a dit: «Bonjour.»
96 J’ai dit: «J’apprends que vous êtes un prédicateur baptiste.» Là loin, du temps où ce jeune garçon, là à cet endroit, avait été guéri de l’affection pulmonaire, jadis, là où se trouve le sanatorium là-bas. J’oublie le nom de cet hôpital. Ainsi donc, j’ai simplement dit: «J’apprends que vous êtes un prédicateur baptiste.»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit?»
Il a dit: «Eh bien, qu’êtes-vous, pentecôtiste?»
97 Et j’ai dit: «Oui, je suis pentecôtiste.» J’étais un baptiste chez l’autre, mais j’étais un pentecôtiste chez celui-ci. J’ai dit: «Oui, ai-je dit, je suis pentecôtiste.» J’ai dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit? L’évidence, le parler en langues?»
98 Il a dit: «Oui, oui, a-t-il dit. Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi, frère, a-t-il dit, c’est en ordre.» Il a dit: «Mais, vous savez, jamais je n’ai donc... d’une façon ou d’une autre, je ne peux simplement jamais voir cela comme ça.» Il a dit...
99 Et j’ai dit: «Oh ! Vous n’avez alors rien eu. C’est tout ce qu’il y a. Vous n’avez rien, si vous ne faites pas cela. C’est tout.»
100 Il s’est avancé vers moi, il m’a tenu la main, il m’a regardé droit dans les yeux et m’a entouré de son bras. Il a dit: «Mais nous sommes frères, n’est-ce pas? Nous allons au ciel, n’est-ce pas, frère?»
101 J’ai dit: «Oui. Et, frère, il se fait que je suis de votre côté.» Voyez?
102 Eh bien, j’ai dit: «Par cela, cet homme a prouvé qu’il avait effectivement le Saint-Esprit, et l’autre avait prouvé qu’il n’avait pas le Saint-Esprit.» C’est vrai. Voyez? C’est exact. Voyez? L’homme avait la théologie, mais aussitôt que j’avais dit quelque chose qui contrariait sa théologie, alors il a explosé. En effet, il n’avait rien d’autre que sa théologie. J’avais contrarié la théologie de cet autre, et il avait Christ pour le retenir là. Amen. Oh ! la la !
103 Soyez une bonne brouette, chargée de bonnes choses, et ayez foi les uns envers les autres. Ayez foi en Dieu. Aimez-vous les uns les autres, et le Seigneur nous bénira. Ne le croyez-vous pas? Amen.
104 Maintenant, avant que nous ouvrions cette vieille Sainte Bible ici, prions. Notre Père céleste, c’est si bon aujourd’hui de savoir que Jésus est mort à notre place, pour nous sauver du péché, nous assembler comme des enfants bien-aimés sous l’onction du Saint-Esprit, guérissant nos maladies, pardonnant toute notre iniquité ; c’est Lui qui guérit toutes nos maladies, qui renouvelle notre jeunesse comme Il le fait pour les aigles, afin que nous puissions monter haut, très haut...
105 L’aigle peut monter plus haut que tout autre oiseau, car il peut voir plus loin, et voir des choses à venir. Nous sommes reconnaissants ce matin, Seigneur, de ce que Tu nous as dotés de la vue de l’aigle, le Saint-Esprit qui regarde au loin et voit le grand moment à venir, quand Jésus viendra. Tous les troubles seront terminés, toute maladie prendra fin ; tous les ennuis et la mort s’enfuiront. Nous en sommes contents, d’avoir l’opportunité de vivre en ce grand et merveilleux jour maintenant, pour prêcher l’Evangile.
106 Et nous savons ceci, que Satan est en train de donner son dernier coup à l’église. Il ne pourra jamais faire cela après cet âge-ci. Elle sera en sécurité sous les ailes de Son Amoureux, après ce temps-ci. Et nous savons qu’il fait des imitations religieuses. Il fait toutes sortes de choses. Et la Bible dit qu’il sera comme un lion rugissant, dévorant ce qu’il peut dévorer. Il sera si astucieux et rusé qu’il séduirait, si c’était possible, même les élus, si c’était possible. Mais, ô Seigneur, Tu es la protection de ceux qui fuient en Ton sein pour chercher refuge. Et nous venons au Nom de Jésus ; reçois-nous, Seigneur.
107 Bénis la lecture de Ta Parole. Bénis les gens ici. Je suis très content, Seigneur, d’être chez moi aujourd’hui, là où nous n’avons pas besoin d’interprète, là où nous n’avons besoin de personne pour traduire en langues. Et alors, nous pensons, que quand nous arriverons à la Maison, dans la Gloire, on n’aura plus besoin de traducteurs, plus besoin d’interprètes, nous parlerons tous une seule langue là. Babylone sera alors passée, oubliée. On ne s’en souviendra plus ; tout sera passé.
108 Ainsi, Père, nous Te prions, au Nom de Jésus, de nous interpréter la Parole. Bénis-nous. Bénis chaque pécheur, Seigneur, qui est assis ici présent ; que, durant le temps de la prédication de la Parole, il soit convaincu de ce qu’il vit mal ; qu’il vienne, lui ou elle, Te donner sa vie, l’abandonner aujourd’hui, sachant que c’est le dernier jour.
109 Que les saints soient élevés. Que nous partions d’ici avec une nouvelle vision aujourd’hui, allant dans la force du Seigneur. Que les malades s’en aillent ce matin bien portants. Que la prédication de la Parole apporte cela. Que chaque personne malade soit guérie, que tous ceux qui sont très malades... Certains sont malades, aveugles, rongés par le cancer, souffrant du coeur, toutes sortes de maladies. C’est Toi le Guérisseur, Père. Et puisses-Tu Te manifester par l’Esprit ce matin, sachant qu’il n’y a rien dans l’homme qui puisse guérir un autre. Mais la guérison réside dans la foi dans le Seigneur Jésus. Et puisse-t-Il être si proche que tout le monde aujourd’hui pourra accepter Sa guérison (Accorde-le.), et accepter son salut par-dessus tout. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.
110 Maintenant, j’aimerais prendre un petit texte ici ce matin, juste pour parler un peu sous forme d’une saynète. J’ai parlé de ce sujet une fois auparavant, et il m’a été demandé de le refaire au tabernacle.
111 Un jour ici récemment, j’étais dans le Kentucky, à Campbellsville. Et j’étais dans un–un petit endroit-là, un petit motel, et il y avait un... Ce soir-là, en lisant les Ecritures, j’ai lu une portion des Ecritures sur une femme de très mauvaise vie, dans la Bible. Elle avait témoigné un grand honneur à Jésus.
112 Et Jésus, pour l’une de ces femmes, a une fois dit: «Cette histoire doit être racontée partout où cet Evangile sera prêché.»
113 Et je me suis dit: «Je–je n’ai jamais parlé de ceci nulle part. Je crois que je vais simplement en parler, sous forme d’une saynète.»
114 Et puis, il m’a été demandé ce matin de bien vouloir... ou plutôt il y a quelques jours, de bien vouloir revenir au tabernacle et–et en parler encore ce matin. Et je prie que... Peut-être que certains étaient ici, étaient par là quand j’avais prêché là-dessus. Je vais essayer d’aborder cela d’un point de vue un peu différent.
115 Et maintenant, le–le passage des Ecritures se trouve dans Saint Luc, chapitre 7, et à partir du verset 36. Je lirai un verset, et puis, quand vous retournerez chez vous, vous en lirez le reste. Saint Luc 7.36. Ou, peut-être je lirai une portion, une portion de Cela, en effet, c’est–c’est bien de lire Cela.
116 Vous savez, la Parole du Seigneur est toujours parfaite. Vous savez, nous voyons les âges s’écouler, nous voyons la science se lever et dire: «Oh ! Dieu a commis une erreur là.» Quelques années plus tard, ils reviennent et disent: «Vous savez, Il avait raison.» Voyez? Toujours, ils... Voyez, ils avaient scientifiquement prouvé qu’Il avait tort, d’abord, ensuite ils doivent détruire toute leur théologie, revenir et prouver qu’Il a raison. Voyez? Dieu reste donc assis au Ciel et se moque d’eux, je pense, et dit: «Oh ! la la ! Pauvres petits enfants, pourquoi ne vous ressaisissez-vous pas tout simplement? Venez, servez-Moi et croyez simplement ce que J’ai dit à ce sujet.» Voyez? Cela règle la question.
117 Alors, maintenant, je vous ai donné l’occasion de prendre le passage des Ecritures.
Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien, et se mit à table.
Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum,
et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait ; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum.
Eh bien...
Le pharisien qui l’avait invité, voyant cela, dit en lui-même: Si cet homme était prophète... (Saisissez-vous cela?)... cet homme était prophète, il connaîtrait qui et de quelle espèce est la femme qui le touche, il connaîtrait que c’est une pécheresse.
118 «S’Il était Prophète.» Voyez? C’est pour cela qu’on L’avait invité là.
Jésus prit la parole, et lui dit: Simon, j’ai quelque chose à te dire. Maître, parle, répondit-il.
Un créancier avait deux débiteurs: l’un devait cinq cents deniers, et l’autre cinquante.
Comme ils n’avaient pas–ils n’avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel l’aimera le plus?
Simon répondit: Celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit: Tu as bien jugé.
Puis, se tournant vers la femme, il dit à Simon: Vois-tu cette femme? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m’as point donné d’eau pour laver mes pieds; mais elle, elle les a mouillés de ses larmes, et les a essuyés avec ses cheveux.
Tu ne m’as point donné de baiser ; mais elle, depuis que je suis entré, elle n’a point cessé de me baiser les pieds.
Tu n’as point versé d’huile sur ma tête ; mais elle, elle a versé du parfum sur mes pieds.
C’est pourquoi, je lui dis... C’est pourquoi je te le dis, ses nombreux péchés ont été pardonnés: car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu.
Et il dit à la femme: Tes péchés sont pardonnés.
Ceux qui étaient à table avec lui se mirent à dire en eux-mêmes: Qui est celui-ci, qui pardonne même les péchés?
Mais Jésus dit à la femme: Ta foi t’a sauvée, va en paix.
119 Vous savez, il y a quelque chose qui cloche. Pour commencer, le–le tableau ne donne pas bien, d’une façon ou d’une autre. On peut bien le voir, il y a quelque chose qui cloche ici. Qu’est-ce que ce pharisien voulait de Jésus? Il n’avait rien à faire avec Lui. Il Le haïssait. Les pharisiens n’aimaient pas Jésus. Eh bien, Lui a-t-il demandé de venir dîner chez lui comme un convive alors qu’il Le haïssait? Généralement, les hommes s’invitent au dîner quand ils s’aiment. Mais ce pharisien qui invite Jésus, ça n’a pas l’air correct, n’est-ce pas? Et il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire-ci, quelque part.
Alors, maintenant, ne soyons pas pressés. Examinons cette histoire un petit instant. Présentons-la sous forme de saynète. Et réfléchissons-y. Il y a quelque chose qui cloche.
120 Vous savez, les gens ont des choses en commun. Vous savez, les gens qui aiment le Seigneur, ils aiment fréquenter l’église parce qu’ils–ils ont des choses en commun. Ils–ils... Nous avons des terrains communs pour des choses. Nous venons ici, car nous sommes tous des croyants dans cette–cette façon d’adorer. Nous croyons dans la guérison divine ; c’est la raison pour laquelle vous amenez vos malades ici. Vous n’allez pas à des endroits où on ne croit pas dans la guérison divine pour–pour être guéri. Vous fréquentez les lieux où on croit la guérison divine. Et nous croyons dans le fait d’adorer le Seigneur en Esprit. Et c’est pourquoi vous êtes venus ici, c’est parce que nous avons... C’est la communion.
121 Eh bien, comme je l’ai souvent dit, vous prenez par exemple une toute petite fille qui suit la grand-mère tout le temps. Vous feriez mieux de faire attention. Il y a quelque chose qui cloche là. Il y a un grand écart d’âges entre elles. L’une a six ans, et l’autre a soixante-dix ans. Il y a quelque chose qui cloche. Eh bien, peut-être qu’elle est la chouchoute de la grand-mère (Voyez-vous?), c’est peut-être cela. Ou, peut-être, la grand-mère peut avoir des bonbons plein la poche, vous savez. Il y a alors quelque chose, la raison pour laquelle la petite fille... Pourquoi? Elle ne voudra pas jouer avec les enfants ; elle suit simplement la grand-mère. Il y a quelque chose–quelque chose de curieux à ce sujet. En effet, les petits enfants ont des choses avec des petits enfants. Les petits enfants jouent avec les petits enfants. La Bible en parle dans Esaïe, les petits enfants jouant dans les rues.
122 Eh bien, prenez là en Allemagne. J’ai vu de petits Américains et de petits Allemands, eux tous, jouant ensemble. Le petit Allemand peut être en train de parler vite l’allemand, et le petit Américain parle l’anglais, mais ils jouaient ensemble. C’étaient des enfants. Ils avaient des choses en commun.
123 Les jeunes filles ont des choses en commun. Elles s’associent à des jeunes filles. Elles parlent de leurs amis garçons et–et de différentes choses. Elles–elles s’associent. Les gens d’âges moyen, ils ont des choses en commun.
124 Les vieux ont des choses en commun. Vous prenez les–les vieilles femmes, elles parlent de... au sujet des femmes plus âgées. Elles ont des choses en commun dont elles parlent.
125 Et nous avons différents clubs, comme les Kiwanis, par exemple. Les Kiwanis, les gens de la ville se rencontrent et parlent ensemble. Ils ont des choses en commun auxquelles ils s’intéressent, les activités sociales de la ville. Ils aimeraient savoir comment ils pourront faire de cela un–un endroit meilleur, comment ils peuvent nourrir les pauvres et tout. (Voyez-vous?) Ils–ils ont donc un lieu de réunion. Ils ont des choses en commun. Ils aimeraient parler de ces choses, des sujets dont ils voudraient parler.
126 Comme maman le disait jadis, elle disait: «Ceux qui se ressemblent s’assemblent.» Ce–c’est toute la vérité là-dessus. Voyez? Vous prenez...
127 On ne voit pas les buses et–et les colombes communier. Ils s’éloignent vite les uns des autres. Pourquoi? Ils n’ont rien de quoi parler. Eh bien, une buse peut parler à une autre de la charogne quelque part.
128 Et c’est pareil pour les pécheurs. Ils parlent de grandes soirées dansantes et des fêtes où ils vont, des buses. Ainsi, ils–ils aiment parler de ces choses. Mais une colombe ne le peut pas. Elle ne s’intéresse pas à–à cette vieille charogne. Laissez cela de côté. Oh ! la la ! Elle ne peut pas en supporter l’odeur. Elle s’en éloigne. Voyez? C’est comme ça.
129 Les chrétiens parlent des choses saines et de bonnes choses ; les pécheurs parlent des choses sales, des choses désagréables, et ils chantent des chansons vilaines.
130 Et même, c’est une grande disgrâce dans notre Amérique ici, au point même que les gens là-bas aimeraient savoir quel genre de femmes nous avons dans ce pays. Ils disaient: «Toutes nos chansons sont des chansons sales, au sujet de nos femmes. En avez-vous d’agréables par ici?»
131 Et une certaine organisation tenait une convention là. Le journal avait écrit à ce sujet, pendant que j’étais là. Et on a dû faire porter aux jeunes filles leurs jackets aux jambes afin qu’on puisse leur prendre des photos, pour ne pas déshonorer la photo... le journal: Elles portaient des shorts, dans une de nos grandes organisations religieuses, elles étaient venues en Allemagne. Oh ! la la ! Des buses, c’est vrai. Ceux qui se ressemblent s’assemblent. C’est vraiment dommage, mais c’est la vérité.
132 Eh bien, nous sommes entre nous, et nous aimerions parler en famille. Nous aimerions–nous aimerions parler entre nous. Et maintenant, c’est la raison pour laquelle ils n’ont pas de communion.
133 La nuit et le jour n’ont pas de communion. Quand le jour se lève, la nuit fuit tout simplement. Mais la nuit ne peut pas tomber et chasser–chasser la journée, quand il fait jour. Et la journée... La journée et la nuit ne peuvent pas s’accepter au même moment. Elles ne peuvent pas exister dans le même canal. Et la lumière est trop forte par rapport–par rapport–par rapport à l’obscurité ; l’obscurité se disperse.
Avez-vous déjà remarqué? Les araignées, les araignées, les veuves noires, les serpents, et toutes sortes d’animaux venimeux, des reptiles, ils s’éclipsent et rôdent la nuit. Pourquoi?
134 Ils sont des ténèbres. Ils sont du royaume des ténèbres. Ils ne s’associeront pas la journée aux moqueurs ni à d’autres animaux, parce qu’ils sont des ténèbres. Leurs oeuvres sont des ténèbres. Ce sont de mauvaises créatures. La vie qui est en eux est mauvaise. S’ils vous mordent, cela vous tuera, si vous n’arrivez pas à obtenir aussitôt une assistance. Et ils–ils ont communion dans les ténèbres.
135 C’est la raison pour laquelle les gens aujourd’hui, la plupart d’entre eux, dorment la moitié de la journée, courent çà et là toute la nuit. Voyez? Ils sont... C’est de l’obscurité. C’est alors que le mal se commet, dans les ténèbres.
136 Mais Jésus a dit: «Vous êtes les enfants de la Lumière. Marchez dans la Lumière, et vous ne marcherez pas dans les ténèbres. Celui qui marche dans les ténèbres ne sait pas où il va». Il ne peut pas voir où il va. Mais un homme qui marche dans la Lumière sait où il va. Il se peut que vous fassiez beaucoup de faux pas, mais vous êtes sur le chemin de retour à la maison. Ça, c’est une chose sûre. Vous savez où vous allez, parce que vous marchez dans la Lumière.
137 Mais cette communion, ce pharisien qui a invité Jésus... Pour commencer, j’aimerais vous faire savoir ce que veut dire un pharisien. Un pharisien, c’est un acteur. Consultez le mot pharisien en grec, cela veut dire quelqu’un qui fait du théâtre. Je n’aime pas ça.
138 Les acteurs, nous en avons trop en Amérique, les acteurs qui prétendent être quelque chose qu’ils ne sont pas, ils se font passer pour quelque chose qu’ils ne sont pas.
139 Comme le membre du Congrès Upshaw avait l’habitude de le dire, c’est un vieux slogan qu’il utilisait pour dire: «Vous–vous essayez de vous faire passer pour ce que vous n’êtes pas.» C’est vrai. Vous essayez de vous faire passer pour quelqu’un d’autre alors que vous n’avez pas à le faire.
140 Nos Américains par exemple, à Hollywood... quand je vais là, vous trouvez beaucoup de gens par là qui sont des acteurs. Ils sont tellement restés devant la caméra qu’une fois descendus dans la rue, ils se font passer pour une imit-... ou plutôt une personne ou une personnalité d’une époque passée. Ils descendent dans la rue, ils se retrouvent toujours en train de faire des mises en scène: pharisiens ! Ce n’est pas seulement à Hollywood. Nous avons cela à Jeffersonville.
141 Vous regardez trop la télévision. C’est ça le problème. C’est vrai. C’est vrai. Des acteurs, pharisiens, cherchant à se faire passer pour ce que vous n’êtes pas, faisant parade.
Vous ne trouvez pas cela seulement dans les rues. Vous trouvez cela à la chaire. Vous voyez des hommes monter à la chaire et se confectionner une voix de la chaire: «Eh bien, je vous assure, frères», une voix de la chaire, du théâtre. Des pharisiens, des hypocrites. Parlez comme vous parlez dans la rue. Ne cherchez pas à fabriquer quelque chose. J’ai horreur de voir quelqu’un chercher à fabriquer quoi que ce soit.
142 Beaucoup de soeurs parfois, vous savez, elles comme des hommes, elles font des montages. Vous allez chez elles et vous les entendez dire: «John, tu vas là au coin. Je t’avais dit de ne pas y aller.»
«Oui, ma chère.»
143 Le téléphone sonne. Elle dit: «Oh ! Salut...» Pharisienne, vous actrice. Arrêtez de faire des mises en scène comme cela. Restez vous-même. Agissez normalement, naturellement ; les gens auront beaucoup plus de considération pour vous. Ne cherchez pas à vous faire passer pour quelqu’un d’autre ; vous ne l’êtes pas. Soyez seulement original.
144 Mais tous ces montages, pharisien, se faisant passer pour quelqu’un d’autre alors qu’on ne l’est pas. Je n’aime pas ça. Vous ne savez jamais comment traiter avec une telle personne. Vous ne savez pas où vous en êtes avec lui. Il ne sait pas lui-même où il se tient, car il est quelque chose, quelque chose dans son coeur, et autre chose dans sa bouche, c’est donc un acteur. Je n’aime simplement pas cela. Il semble simplement y avoir trop de quelque chose qui n’est pas réel.
145 Mais le peuple américain laisse les petites filles sortir et voir ces–ces... certaines de ces femmes de Hollywood, habillées d’une espèce de robe vulgaire. Pour commencer, vous savez, vous la voyez là dans la rue, portant la même chose: des actrices, des pharisiennes. C’est vrai.
146 Puis, vous voyez quelqu’un, un prédicateur, il parcourt le pays avec un ministère. Vous découvrez que des acteurs pharisiens viennent, font un montage, de l’imitation. On retrouve cela dans toutes les couches sociales. Des acteurs. C’est vraiment dommage. Pourquoi ne restez-vous pas juste ce que vous êtes? Dieu aura plus de considération pour vous. Soyez donc... Tout le monde sait après tout ce que vous êtes. Votre vie montre ce que vous êtes, ne faites pas des mises en scène.
147 Qu’est-ce que ce pharisien voulait de Jésus? Je n’arrive pas à me représenter cela dans mon esprit. Qu’est-ce qu’il voulait de Jésus? Il Le haïssait. Et il est là, s’apprêtant à avoir un grand souper là.
Et, oh ! la la ! je peux le voir parcourir les immenses corridors de sa maison.
148 Oh ! Comme ils peuvent faire parade ! Il parcourt là, se frottant ses mains potelées et grasses, vous savez, avec de gros anneaux en boucle de diamant tout autour de ses doigts, disant: «Eh bien, je pense qu’il est temps pour moi d’organiser mon banquet. Hmmph.» Des salles parfumées, ses tapis persans sur le pavement, il fait les cent pas, ce grand pharisien corpulent, grassouillet fait les cent pas, en disant: «Eh bien, maintenant, si seulement je peux trouver une espèce de loisir. Si seulement je peux trouver quelque chose. Evidemment, vous savez, je suis un homme bien connu, et je suis en bons termes avec la–la–la fine fleur de la société.» Hein ! hein !
149 La fine fleur de la société? C’est ce que les gens ont à l’esprit aujourd’hui, la fine fleur de la société. Pourquoi me faire des soucis pour la fine fleur de la société? J’aimerais savoir ce que Jésus veut que je sois. Peu m’importe ce qu’il en est de la fine fleur de la société. Laissez-les s’occuper d’eux-mêmes, ce sont des buses, des pharisiens du théâtre. Laissez-les tranquilles. Jésus a dit: «Ce sont des conducteurs aveugles des aveugles.»
150 Un homme m’a écrit une lettre depuis là en Allemagne, disant: «Venez, et qu’on le laisse couvrir la tête de gens de–de sacs, et qu’ensuite on me laisse savoir ce qui cloche chez eux, alors il–il parlera avec moi.»
151 J’ai dit: «Dites à ce vieux renard: ‘Aujourd’hui, je chasse les démons, et demain, j’en ai fini.’» Amen. Amen. Démon, acteur...
152 Il est là, faisant les cent pas, en disant: «Vous savez, j’ai le diplôme le plus considéré de cette ville. Ma parole dans le Kiwanis est hautement considérée. Et au temple, tout le monde m’estime. Je suis docteur pharisien, père. Je suis la grosse légume par ici. J’ai beaucoup d’argent. Tout le monde le sait. J’habite dans un palais. Tout le monde a de l’estime pour moi. Et, oh ! [Frère Branham fait claquer les doigts.–N.D.E.]
153 «Pourquoi n’y avais-je pas pensé?» Je peux le voir se frotter les mains. «Je sais ce que je vais faire. Je sais comment amener tout le monde ici à ma fête, et je serai l’objet de conversation dans la ville.»
154 Ce Je, je, je, je, je, je, vous savez, c’est une maladie que beaucoup de gens contractent. Je ferai. J’ai fait. Je ferai. Ôtez le je du chemin. Où est la place de Jésus dans cette histoire? Je ferai. Voyez? Je ferai, et J’aurai, et Je dirai. Et: Je, je, je, je, c’est tout ce à quoi ils pensent.
Il a dit: «Eh bien, pourquoi n’y avais-je pas pensé auparavant?» Très bien. Cela lui était venu à l’esprit, ce qu’il allait faire, on est donc tard, le soir. Je vois le soleil se coucher.
155 Et il y a quelqu’un, de grandes foules qui se tiennent là. Et ils... Je vois cet homme se tenir sur ses orteils ; il regarde par-dessus la foule. Et tout le monde reste souffle coupé. Ils écoutent les Paroles qui sortent des lèvres d’un Homme qui «Jamais homme n’a parlé comme cela auparavant.» Il enseigne.
156 Et je vois ce coursier venir de la maison de ce pharisien. Il a une commission pour laquelle il court. Il a marché toute la journée, deux ou trois jours, peut-être. Il venait de la basse Palestine, il est allé droit dans la partie du nord, cherchant à trouver Jésus.
157 Puis, finalement, il tombe sur Lui. Il se fait tard. Il transpire, fatigué. Ses jambes sont toutes recouvertes de poussière. Il est juste un laquais à la maison de son maître. C’est ce qu’ils étaient. Ils avaient beaucoup de laquais, juste pour travailler pour eux, faire leur sale besogne et tout.
158 Alors, il–il se tient là, tout fatigué. Et il se tient sur le bout des orteils et pousse un ouf. Enfin, je L’ai trouvé, pour mon maître, le pharisien.» Et alors, il–il regarde. Peu après, Jésus arrête de parler et se met à prier pour les malades.
159 Je peux voir ce coursier s’approcher, se frayant un passage à travers la foule en jouant des coudes. Il cherche à arriver là. Il tombe sur quelqu’un. Peut-être que c’était–peut-être que c’était Nathanaël, ou était-ce Philippe? Je ne sais pas, je n’étais pas là. Mais, de toute façon, il...
160 Présentons cela sous forme de saynète, une minute. Je le vois tomber sur lui et dire: «Monsieur, j’aimerais voir votre Maître. J’ai pour Lui un message important de la part de mon maître. Puis-je Le voir?»
161 Eh bien, d’abord, Philippe ne lui a pas accordé de l’attention à lui, car il y avait beaucoup de gens qui faisaient pression pour arriver auprès de Jésus. Ils voulaient qu’Il impose les mains à leurs enfants et tout. Et–et il passait un temps à retenir les gens.
162 Je le vois donc le rattraper encore et dire: «Maître... J’ai un message très important de la part de mon maître pour votre Maître. Puis-je Lui parler juste un instant, Lui transmettre ce message? Je vais repartir.»
163 Eh bien, je vois Philippe finalement l’amener là. Il dit: «Maître, cet homme semble venir d’une autre contrée ; il vient de la part d’un homme important ; il a un message pour Toi.»
Et je peux voir le coursier, alors qu’il incline la tête devant Jésus.
164 Et, Jésus, par politesse, secoue la tête à l’intention du coursier. Il a dit: «Maître, mon maître, Simon le pharisien, organise un grand banquet chez lui ; c’est un homme bien connu. Et il organise un grand dîner et, oh ! il peut effectivement organiser un bon dîner. Vous le savez tous. Et il Vous invite comme son convive à ce dîner à telle et telle date.»
Eh bien, je peux entendre...
165 Qu’auriez-vous fait si vous étiez là? Eh bien, vous auriez fait la même chose, probablement, qu’eux avaient faite. On a dit: «Oh ! Non, Seigneur. Non. Tu ne dois pas aller chez ce pharisien-là. Il n’a pas besoin de Toi. Regardez des milliers de malades ici. Eh bien, tout le monde cherche à Te toucher, Seigneur. Tu n’as pas le temps d’aller là auprès de ce pharisien joufflu, là. Eh bien, il–il est bien bourré d’argent. Et il–il–il n’a pas besoin de Toi. Eh bien, tu n’as pas à aller là. N’y va pas, Seigneur.» Je peux entendre Philippe dire: «N’y va pas, Seigneur.» Et j’entends Nathanaël, Pierre et les autres dire: «Ô Seigneur, non. Ne fais pas ça. Ce pharisien n’a pas besoin de Toi. Eh bien, il est seulement... Il a... Il se sert de Toi comme atout. Il–il–il a quelque chose sous sa manche. Il–il est sur le point de jouer un tour quelconque.» Et c’était vrai.
166 Mais, malgré tout cela, là où mon Seigneur est invité, Il y va. Il a dit: «Dis à ton maître, à telle et telle date et à tel moment, J’y serai.»
167 Alors, le coursier a incliné la tête et il a détalé, il a couru, retournant voir son maître. Comment a-t-il pu faire cela? Qu’est-ce qui l’a poussé à faire cela, se limiter à transmettre ce message-là? Et alors qu’il se tenait devant le Prince de tous les princes, qu’il avait audience auprès de Lui. Il a eu une entrevue avec le Roi de Gloire, mais il a manqué de saisir son opportunité. Il était tellement emballé par les choses du monde, les affaires de son maître, qu’il n’a pas saisi ce qu’était son opportunité.
168 Oh ! J’aurais bien voulu être à sa place ! J’aimerais aller auprès de Jésus une fois. J’essaie d’y aller chaque jour pour vos problèmes. Mais jamais je ne Le quitte donc, quand je suis dans Sa Présence, avant de L’avoir adoré.
169 Pourquoi ce coursier n’a-t-il pas pu tomber sur ses genoux et dire: «Maintenant, Seigneur, la première chose que j’aimerais faire, sachant que je me tiens dans Ta Présence et que je bénéficie de Ton attention: Pardonne-moi, un pécheur.» C’est ce qu’il aurait pu faire. C’est ce que j’aurais fait, je crois. Pas vous? Je crois que je Lui aurais demandé de me pardonner. «Seigneur, sois miséricordieux envers moi. Je suis un pécheur. Je n’ai pas d’espérance, je suis sans Dieu. Je suis juste un laquais dans la maison du pharisien. Veux-Tu me pardonner?» Mais, non, il avait autre chose à faire. Il devait s’occuper des choses civiles du monde, de la loi civile.
170 Et ne pensez-vous pas que nous sommes juste un peu trop emballés dans pareille histoire? Oh ! Nous devons polir le véhicule. Nous ne pouvons pas aller à l’église le dimanche: «Nah ! Oh ! je sais que Jésus vient à l’église, mais, oh ! la la ! je n’ai pas le temps d’y aller. Si–si je manque de changer les huiles aujourd’hui, cela peut brûler mes paliers demain.» Brûlez-les. Je préférerais voir mes paliers brûler, plutôt que de voir mon âme être tourmentée en enfer toute l’éternité. Ne ratez pas votre opportunité. Cela est présenté à chaque homme et à chaque femme dans ce monde, chaque jour, comme cela, mais ils manquent de saisir leur opportunité.
171 Il avait manqué cela. Il était là.
172 Mais nous avons autre chose à faire. Les enfants ont besoin des soins. «Nous ne pouvons pas aller à l’église, trop d’enfants à apprêter.» Amenez-les, de toutes les façons. «Eh bien, les–les voisins diront quelque chose.» Pourquoi vous souciez-vous de ce que les voisins disent? Saisissez chaque opportunité. Allez auprès de Jésus ; c’est l’essentiel. Ne soyez pas trop emporté par les affaires du monde. Nous passons trop de temps sur ces choses-là. Frayez-vous le chemin vers Lui. Et une fois arrivé là, déversez votre âme devant Lui.
173 Ne dites pas: «Seigneur, je Te servirai l’année prochaine si Tu me donnes une Cadillac au lieu de cette Ford. Seigneur, je ferai ceci, et ceci et cela, et cela, si Tu fais telle et telle chose.»
174 Venez et dites: «Seigneur Dieu, je ne vaux rien ; il n’y a rien en moi. Pardonne-moi. Je suis un pécheur.» C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Ne vous tenez pas à l’écart pour faire l’acteur, le pharisien. Ne fuyez pas avec trop de choses civiles, trop de petites choses qui ne représentent rien après tout. Votre automobile et tout ce que vous avez périront. Occupez-vous de votre âme. Recevez premièrement cela. Mettez cela là jusqu’à ce que cette paix profonde établie, qui dépasse tout entendement, pénètre profondément dans votre coeur, et vous Le sentirez vous enlever chaque tâche par un baiser.
175 Alors, frère, personne n’aura à vous dire quoi faire après cela ; vous saurez quoi faire. Oui, si jamais vous L’avez touché une fois. Aucun homme ne peut donc entrer dans Sa Présence, Lui parler, et s’en aller donc en étant la même personne. Vous êtes toujours changé. Quand vous Lui parlez, votre âme subit un effet tel que vous n’oublierez jamais cela.
176 Oh ! Comme je me rappelle le premier entretien que j’avais eu avec Lui. J’avais vingt-deux ans. J’avais honte de Lui parler. Je Lui ai écrit une lettre. J’allais coller cela à un arbre dans les bois, afin qu’Il puisse la lire.
177 J’avais tellement honte de ma vie. Et je me suis dit: «Eh bien, peut-être qu’Il pourrait ne pas passer par cet arbre-là, mais peut-être qu’Il m’entendra si seulement je Lui parle.» Alors, je me suis agenouillé et j’ai dit: «Monsieur Jésus, j’aimerais Te parler une minute. Je suis la pire personne au monde.» Je suis parti une personne changée. Voyez, c’est comme ça qu’il faut s’y prendre. C’est votre approche vers Lui qui compte. Et vous êtes conscient de votre besoin.
178 Mais le problème en est que nous sommes trop bons. Nous pensons ne pas avoir besoin de Lui. Il vous faut éprouver le besoin de Jésus. Il vous faut vous rendre compte qu’Il est–qu’Il est votre seul espoir. Il vous faut être tellement assoiffé que vous êtes prêt à périr, alors, vous vous frayerez la voie vers Lui. Vous ne viendrez pas avec une quelconque question civile. Vous viendrez avec le besoin de votre âme. Vous viendrez Lui dire tout ce qu’il en est.
179 Le coursier s’en va. «Oh ! Tout est terminé maintenant.» Bien satisfait aussi. «Oui, je–j’ai exécuté les ordres de mon maître.» Vous pouvez exécuter les ordres de votre patron au travail. Vous pouvez exécuter les ordres de votre mari pour changer de rideau, ou je ne sais quoi, à la maison, mais qu’en est-il d’exécuter les ordres de Jésus? Priez. Certainement. Ça y est. Allez auprès de Lui.
180 Eh bien, la chose suivante que nous trouvons, nous le voyons aller de l’avant. Eh bien, en Palestine, lorsqu’on organisait une fête, seuls les riches... Il vous faut avoir été en Orient une fois pour–pour connaître l’Orient. Vous aurez alors une vue différente des choses, si jamais vous avez été là et que vous avez observé leurs coutumes.
181 En Palestine, la façon dont on mange, on dresse une grande table dehors comme ceci. Et on ne s’assoit pas pour manger en Palestine.
182 Ça doit vous arranger, vous les enfants. Comme la petite fille assise ici devant, en petite robe bleue, avec un petit ruban rose. Et, tu sais, bien–bien des fois, ces enfants aiment se coucher on dirait sur leur bras, comme ça, et manger. Voyez? Vous savez, après tout, c’est bien. Ouais, c’est bien. Maman ne pense pas que c’est bien, eh bien, mais, ce ne sont pas les convenances aujourd’hui, mais ça l’est en Palestine. Ils ne mangent pas sur un... Ils ne mangent pas assis sur un–un fauteuil, assis dans un fauteuil. Ils se couchent sur un canapé et mangent. Ils dressaient donc une longue table, et ils disposaient leurs canapés, en biais, comme ceci, tout le long. Et chaque homme, au lieu de...
183 Quelque chose de cet ordre. Ils disposent sur le canapé comme ceci. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Et quand ils se mettent à manger, ils se couchent comme ceci, ils lèvent leurs mains comme ceci, et mangent comme ceci. Eh bien, vous aimeriez manger comme cela, n’est-ce pas? Oui, oui. Et c’est ainsi que Jésus et les autres mangeaient à leur époque. Eh bien, ils se couchent là derrière et mangent.
184 Et, oh ! ont-ils une bonne nourriture? Oh ! la la ! Je m’imagine que ce pharisien pouvait bien nourrir aussi, parce que, rappelez-vous, c’était un homme riche. Il avait une portion de chaque agneau qui était offert en sacrifice. Oui, oui. Les jeunes gens plongeaient l’émondoir et ce qu’on avait fait sortir appartenait au sacrificateur. Et il pouvait réellement... Il avait vraiment de l’argent. C’était un homme riche. Il n’était pas pauvre. Il était de la haute classe.
185 Mais il avait invité un Indigent. Pourquoi? Le gros hypocrite, il allait se moquer de Lui. Je peux l’entendre dire: «Eh bien, toutes les dispositions sont bien prises. Ce Saint Exalté a dit qu’Il viendrait à mon dîner. Ho-ho-ho-ho. Je me demande ce qu’en pensera le pharisien Jones. Lui aussi Le hait. Nous allons nous amuser, n’est-ce pas? Eh bien, Il prétend être un Prophète.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «Ha-ha-ha. Nous savons qu’Il ne l’est pas. Nous allons donc nous amuser avec Lui quand Il viendra. Nous allons nous amuser.
186 C’est comme ça. Très peu de riches aujourd’hui ont du temps pour Jésus. Je suis très content de ce qu’Il se soucie des pauvres. Je ne dis pas tous les riches, certains L’aiment. Assurément, il y en a. Mais prenez cet homme, alors qu’il a des maisons, des terres, des véhicules et tout ; il–il est très occupé avec cela, il n’a pas de temps pour Jésus. Et puis, il traite avec une classe de gens, et il ne peut simplement pas accepter Jésus. Alléluia !
J’y pense aujourd’hui. Un homme d’un très grand rang social, comment peut-il s’agenouiller, crier et implorer Dieu? Descendre dans la rue témoigner? Cela ruinerait, cela abîmerait son rang social. Qui s’occupe du rang social? Je veux mon standing dans la Gloire. Amen. Avoir le nom dans le Livre de Vie, c’est ce que je veux. Ne vous souciez pas de votre vieux rang social. Prenez votre haute classe. Ça va après tout être brûlé dans votre haute classe, allez donc de l’avant.
187 Il est là: «Que puis-je... Oh ! Tout le monde dans la ville ne viendra-t-il pas là? Ha ! Vous savez, ces pauvres gens là-bas, ils croient dans une telle histoire. Dites donc, tout autour de ma maison, oh ! les journaux publieront cela. Je vais vous dire quoi, je vais avoir un gueuleton.» Oui.
188 Vous savez, ce genre d’esprit existe toujours. Oh ! Assurément. L’orgueil, oh ! c’est une chose maudite. L’orgueil. «Oh ! Je vais porter la meilleure robe ecclésiastique. Et je vais... mes serviteurs.»
189 Oh ! Vous auriez dû voir comment ils habillent leurs serviteurs. Oh ! la la ! Ils–ils... Parfois, ils font venir des Indiens là, et ce sont de véritables habilleurs. Ils mettent des clochettes sur les pointes de leurs souliers et à leurs belles robes, au point que quand ils marchent, cela–cela joue de la musique. Et ils ont leurs plats plein d’agneaux bien épicés et tout. Ils font sortir cela comme ceci, une main derrière eux comme ça.
190 Et leurs pointes, en bougeant comme cela, produisent de la musique. Alors, ils viennent servir cela de telle manière, eh bien, que si vous n’aviez pas faim, vous l’auriez de toute façon. Oh ! Ça sent bon. Oh ! Comme ils peuvent cuisiner et arranger cela !
191 Alors, il a dit: «Vous savez, c’est bien l’époque de l’année où mon... Je ne pense pas organiser cela dans la maison, car il y aura trop de gens qui ne pourraient pas me voir, dans ma meilleure maison.» Voyez? Hypocrite, pharisien, acteur.
192 Beaucoup de gens aujourd’hui doivent aller à l’église pour faire montre de leur religion. Oh ! la la ! C’est vrai. «Je vais aller à l’église. Je serai un très bon gars à l’église, les gens penseront que je suis vraiment un religieux.» Toi pharisien, acteur. Jésus te voit tout le temps. Il sait où tu es. Il sait tout ce que tu fais.
193 Alors, il descend donc là, vous savez, et il dit: «Je vais carrément faire sortir cela sur la place publique là dans la cour. Et, vous savez, ces gros raisins que j’ai ici, ces très gros, blancs. Oh ! C’est délicieux ! Alors, j’ai donc bien programmé cela. Ils étaient là, pleins. La moisson était bien mûre. Et l’odeur, cet arôme se rependait là, ça sera merveilleux, n’est-ce pas? Je dresserai ma table là dehors, et tous les gens viendront près des portes, et ils regarderont çà et là.»
194 C’est ce que font les Orientaux, de toute façon, ils restent toujours bouche bée sur quelque chose, tout ce qui se passe. Vous n’avez pas à avoir... Une foule, quand une foule se forme, on va simplement là et on commence quelque chose. Ils viennent tous. Tout le monde sera là même à regarder, vous savez.
195 Il a dit: «Oh ! Tous à mes portes et partout, les gens se tiendront là. Et, vous savez, je serai l’objet de conversation dans la ville l’année prochaine. Oui. Oui. Oh ! Ça va–ça va–ça va me remonter. Voyez. Ça me fera quelque chose.»
196 Qui se soucie de moi»? Vous devriez penser à Jésus, non pas à ce que vous serez une fois devenu un chrétien, mais à ce que vous allez faire pour Christ une fois devenu un chrétien. «J’irai à l’église. Je vais adhérer. Je serai aspergé», ou tout ce que vous faites, et vous introduire dans l’église, et serrer la main, «inscrire mon nom dans un registre, et je serai considéré comme une–une meilleure personne. Je serai considéré...» Est-ce tout ce pour quoi vous êtes venu à Christ? Honte à vous, acteur, pharisien !
197 Je suis venu à Christ pour voir ce que je peux faire pour Lui. Je dois faire quelque chose pour Lui. J’aimerais que Son état s’améliore. Que les gens Le voient.
198 Il n’y a pas longtemps, une campagne de guérison allait se tenir dans une certaine ville. L’homme du moment, des photos dans leurs journaux, sur les murs et partout, et le Nom de Jésus n’était mentionné aucune fois. J’ai dit: «Où viendra Jésus dans ceci? Voici l’homme du moment. L’homme qui a du coeur pour les gens. L’homme de Dieu pour ceci, et l’homme de Dieu pour cela.» J’ai dit: «Où est Jésus? Je pensais que C’était Lui l’Homme du moment. Je pensais qu’Il était l’Homme de Dieu. Où est-il? C’est ce qui se passe, une bande d’acteurs, de pharisiens. Amen !
199 Remarquez. Oh ! Il va en installer de grand. Et il a dit: «Alors, la nuit, quand je–quand j’allumerai les chandelles et tout, je les suspendrai en l’air. Et les soldats se tiendront là, les gardes, avec les... les serviteurs munis de leurs torches ; ça sera merveilleux, n’est-ce pas?» Et comment, oh ! il se frotte les mains, et tout.
200 Et puis, finalement, le jour arriva pour le–le grand banquet. Il va donc être offert. Et alors, on a avisé tout le monde. Et peu après, j’entends les cloches sonner, et le docteur en philosophie, défenseurs de la foi, Untel, docteur Jones, le pharisien, le grand homme roule jusque-là, les chars, vous savez, s’arrêtent. Ils ont toujours un groupe de laquais là, ces hommes riches. Et quelqu’un s’avance et prend ses chevaux, il les amène à l’étable les nourrit et les panse. Et puis, on l’invite dans la maison.
201 Or, en Palestine, la première chose quand un homme arrive à la maison, la plupart des gens, quand ils arrivaient, à–à–à cette époque-là, c’était à pieds. L’unique moyen de transport qu’ils avaient, c’était de marcher, et–et–et marcher sur des routes. Ils portaient une robe, et la robe descendait jusqu’aux pieds. Et ils portaient des sandales aux pieds. Et le vêtement qui était en dessous descendait jusqu’aux genoux et s’était coupé ici au niveau des genoux, le vêtement qui était en dessous, en dessous de la robe.
Et en marchant, l’homme, ou–ou quelqu’un en marchant comme cela, cette robe flottait et emportait la poussière. Et la poussière retombait sur les genoux, depuis les genoux jusqu’en bas, et ça devenait très sale. Ils sont... C’est ainsi que Jésus a parlé du lavage des pieds. Voyez? Ils... C’était une coutume, car ils étaient... leurs pieds étaient sales.
202 A l’époque, beaucoup de caravanes passaient, traversant la Palestine. Et les routes n’étaient pas comme les nôtres, en béton ou goudronnées. C’étaient de vieilles routes rocailleuses, raboteuses, solides, poussiéreuses, comme de vieux sentiers de campagne quelque part. Et là-dedans, les animaux transportaient, en passant par là... les–les crottes des animaux par terre, et les oiseaux venaient picoter cela, dispersaient cela, et ça se pulvérisait. Et puis, en marchant dans une robe comme cela, sur une route raboteuse et accidentée, eh bien, la poussière s’envolait, s’attachait à vos–à vos jambes, et cela dégageait des odeurs, ça sentait vraiment mauvais, comme dans une étable ou quelque chose comme cela. Et quand une personne arrive à la–à la maison, la coutume était de lui laver premièrement les pieds.
203 Eh bien, je vais vous montrer comment cela se passait. Et voici venir ici... Frère Neville, je–je–j’aimerais illustrer ceci et vous montrer comment cela se passait. Le... Venez ici même, s’il vous plaît, maintenant, restez assis là une minute.
204 Eh bien, la première chose, entrez... Le laquais le moins payé de tout le groupe, c’était le laquais laveur des pieds. L’homme qui lavait les pieds était le pire de tous, le moins payé.
205 Eh bien, j’aimerais vous dire quelque chose. Jésus a exercé la fonction figurant au plus bas de l’échelle, un laquais. Alléluia ! C’est ce qui me prouve qu’Il était Dieu. Il a exercé la fonction figurant au plus bas de l’échelle, laver les pieds. On avait toutes sortes de laquais. Mais le plus bas, c’était celui qui lavait les pieds, il faisait les manucures et enlevait tout de leurs pieds. Le laquais le plus bas qu’il y avait, et Jésus a occupé la place du laquais le plus bas. Alors, vous, vous êtes si raides que vous ne pouvez rien faire pour Lui. Mais il a occupé le niveau le plus bas pour vous. Il était le laveur des pieds. Pensez-y. Le Roi de Gloire est devenu le laveur des pieds pour vous montrer l’humilité et vous donner un exemple de ce qu’il y a à faire et comment le faire.
206 Et vous vous dites chrétiens, vous êtes très empesé, vous ne pouvez pas tendre la main pour serrer la main à un mendiant dans la rue et lui parler du Seigneur. Oh ! Vous êtes très bon.
207 Nous voyons qu’il n’y a rien de bon en nous, quand on pense à Lui qui est devenu un laquais laveur des pieds, le plus bas qu’il y avait. En fait, dans son coeur, Il était le plus élevé qu’il y avait. Il était le coeur de Dieu, et Il est devenu le laquais laveur des pieds le moins payé. Humm. Lui qui était grand, Il était devenu rien, afin de vous racheter et de faire de vous grand.
208 Vous savez quoi? Voici ce que j’ai constaté dans mes voyages. Généralement vous trouvez que de grands hommes se font de petits hommes. Je vais là où il y a de grands hommes, de véritables grands hommes, et je sais qu’ils sont de grands hommes. Mais dès que je me mets à les quitter, ils vous font penser que c’est vous qui êtes le grand homme qu’eux ne sont rien. Mais vous prenez un petit minable qui ne sait rien ; il pense être tout. Il n’est rien pour commencer. Ce sont de grands hommes qui se font de petits hommes. Ils ne se vantent jamais, ni ne s’attribuent des honneurs. Ils vous font penser que c’est vous qui êtes grand. Et c’est ça de grands hommes.
209 Et ici, le plus grand parmi les hommes, le plus grand parmi tous les hommes, Dieu manifesté dans la chair, est devenu le laquais laveur des pieds, par humilité. Le Roi de toute l’Eternité, de toute la Gloire, le Créateur des cieux et de la terre, a lavé les pieds des hommes, les débarrassant de la crotte.
210 Alors, nous pensons être quelque chose. Nous portons un costume de cinquante dollars et... Oh ! Que Dieu ait pitié de nous ! Nous pensons être quelqu’un, nous marchons, la tête en l’air: «Oh ! Je suis membre de telle église. Je suis tout aussi bon que n’importe qui qu’il y a.» Oh ! vous pauvre, malheureux, misérable, hyp-... pharisien. Vous n’êtes qu’un acteur. Vous n’avez pas le salut. Vous le prouveriez si vous en aviez. C’est vrai. «Oh ! J’ai contribué avec un chèque de cinquante dollars pour les oeuvres de charité, l’année passée.» Qui se soucie de cela? Dieu ne considère pas ça. Il considère votre coeur. Vous cherchez à agir comme si vous étiez quelque chose. Il ne vous a jamais réprimandé pour cela. Mais pourquoi ne sortez-vous pas faire quelque chose? Vous faites juste des scènes.
211 Tenez, la première chose qu’ils faisaient quand un homme arrivait, il avait... il s’avançait à la maison, s’il voulait vraiment être le bienvenu, l’hôte l’accueillait. Eh bien, un laquais le rencontrait à la porte ; la première chose qu’il faisait, il tendait la main et lui enlevait le soulier. Et il tenait son pied comme ceci, comme ceci, ici, et il plaçait cela sur son pied, il s’abaissait et lui lavait les pieds comme ça. Après qu’il eut très bien lavé cela, il prenait une serviette et l’essuyait, il lavait l’autre pied. Il prenait ses sandales et les mettait sur un manteau, comme ceci, là-haut. Ensuite, il tendait la main, en retour, prenait une très bonne paire de sandales, en soie ou en satin, il prend son pied, après qu’ils ont séché, c’était frais, et tout, toutes les crottes étaient enlevées, et ensuite il prend et enfonce ceci. Si ça ne lui convient pas, il prend une autre paire, jusqu’à ce qu’il en trouve une qui lui convient très bien.
212 Alors, il est tout lavé. Il se sent bien à l’aise. Puis, il entre dans une petite chambre. Cet homme le rencontre à la porte. Il entre donc dans la petite chambre, là se tient un autre serviteur, et il a–il a une cruche d’huile. Et, oh: Cela est appelé le nard. Quel fameux produit est-ce ! Il met cela là, un peu dans sa main, un peu dans l’autre main, il frotte cela ensemble, il le lui frotte sur le visage et sur le cou.
213 En effet, les rayons directs du soleil en Palestine, et les hommes et les femmes, ils doivent s’oindre. Cela vous déchirerait la peau pratiquement, et leur cou, et autour de leurs joues. Et ce...
214 Eh bien, l’huile se contamine. Cette huile d’olive, si cela reste ici très longtemps, ça dégage une odeur nauséabonde. Mais on met, oh ! un parfum de nard là-dedans. Et c’est un produit qui coûte très cher. Eh bien, on en trouve là en–en Arabie.
215 Vous remarquez, une rose, quand une rose bourgeonne, après que le bourgeon a disparu, cela laisse une petite pomme là où c’était. Vous avez vu cela souvent, un petit–un petit bourgeon.
216 Eh bien, il y a un arbrisseau, un célèbre arbrisseau, il pousse dans des montagnes, là loin en Arabie, et on prend ce petit bourgeon après que la–la rose a disparu, on prend ce petit bourgeon de là, on le décortique, et cela a l’odeur la plus merveilleuse. J’en ai vu un une fois, et vous pouvez vous frotter cela sur les mains comme cela, l’un de ces petits bourgeons comme cela, et vous en conserverez l’odeur pendant deux semaines, de ce parfum-là. Oh ! c’est très couteux !
217 La reine de Séba, quand elle est allée rencontrer Salomon, c’était l’un de ses trésors qu’elle avait amenés, l’un de ces parfums célèbres qui venait de là, en–en Egypte.
218 Maintenant, suivez. Ensuite, on met cela dedans et, oh ! c’est très coûteux. Ils pouvaient mettre cela là-dedans, ils pouvaient lui frotter cela au visage et au cou. Et ensuite, au lieu de dégager une certaine odeur, les pieds étaient lavés, toute la crotte et la saleté étaient enlevées de ses pieds, il s’assoyait alors là, le visage tout lavé, et son cou tout lavé. On lui donnait une serviette et on le tapotait comme ça, et il se sentait alors rafraîchi. Alors, il se dirigeait vers l’hôte, alors.
219 Eh bien, ici même, frère Neville, veuillez vous lever. Eh bien, maintenant, disons que c’est lui mon convive. Eh bien, la chose suivante qu’il fait, quand il le rencontre, il tend la main comme ceci, et le pose sur son épaule. Et il pose sa main sur cette épaule, comme ceci. Eh bien, dès que c’est fait, il lève la main et l’embrasse sur le cou. Alors, il baisse cette main, il lève cette main, celle-ci, ici, à ce niveau, il lui donne un baiser sur le cou, là. Eh bien... (Merci.)
220 Eh bien, quand il fait cela, qu’il l’a embrassé, alors il est un frère. Il est le bienvenu. Alléluia ! Il peut aller au réfrigérateur, s’asseoir, faire comme chez lui. Il est un frère. Alléluia ! Ses pieds ont été lavés, il s’est–il s’est rafraîchi. Il est oint. On lui a donné un baiser de bienvenue. Amen. Il est alors un frère. Il peut directement entrer, se sentir tout aussi le bienvenu que s’il était chez lui.
221 Eh bien, il entre et s’assoit, il peut faire tout ce qu’il veut. Il est le bienvenu. Il a été lavé ; il a été purifié, il est oint. Et on lui a donné le baiser de bienvenue. C’est qu’en lui donnant un baiser, l’hôte reconnaît qu’il est un frère, il est le bienvenu à tout ce qu’il y a dans la maison. Il n’a plus à utiliser une étiquette. Il est à la maison. Il entre directement, il va au réfrigérateur, ou à tout ce qu’il veut faire, il fait tout simplement comme chez lui. Il est alors très bien.
222 Eh bien, comment cela est-il arrivé? Comment cela pouvait-il se faire? Comment ce laquais-là a-t-il donc laissé Jésus passer? Il est là, assis au souper, au dîner, les pieds non lavés. Il est assis là au coin. Oooh ! J’aurais bien voulu être ce laquais-là ! J’aurais bien voulu prendre sa place. Voici Jésus, d’une façon ou d’une autre...
223 Oh ! Il a nettoyé les pieds du docteur Jones, certainement. Il a nettoyé les pieds de tous les autres. Il les a lavés, il les a oints. Simon leur a donné un baiser de bienvenue. Et ils étaient là, ils se tenaient là, bien accueillis. «Oh ! docteur Jones, vous savez quoi? Là chez Untel, l’autre jour, le pharisien Untel... Vous souvenez-vous du pharisien Untel? Vous rappelez-vous?» Oh ! Trop occupés à parler des affaires au point qu’ils ont manqué de voir Jésus entrer.
224 Et je me demande aujourd’hui si nous ne sommes pas si intéressés à savoir si nous sommes méthodistes, baptistes, ou presbytériens, que nous avons manqué de voir Jésus entrer. Ô Dieu, aie pitié.
225 Combien j’aurais aimé prendre la place de ce laquais-là ! Combien j’aurais aimé me retrouver à Ses pieds.
226 Comment a-t-il manqué cela? Oh ! Il était trop occupé à ce que la grande église faisait. Jésus est de toute façon entré. Je peux L’entendre dire à Ses disciples avant de quitter: «Eh bien, nous ferions mieux de partir.» Ils avaient des centaines, environ une centaine de miles, sur des routes de Palestine où il fait chaud pour voyager.
227 Mais laissez-moi vous donner un détail ici. Jésus tient toujours Sa promesse. Comme Il avait dit qu’Il serait là, Il était là. Alléluia ! Quand j’étais couché ici à l’hôpital, mourant, Il m’avait fait une promesse qu’Il serait là. Il avait promis qu’Il me guérirait. Il a tenu Sa promesse. Il a dit... Quand la vie sera terminée, que ma dernière bataille aura été livrée et que mon âge aura quitté, que je serai devenu vieux, et que je descendrai à la rivière Jourdain, Il a promis qu’Il serait là. Il sera là.
228 Il tient chaque promesse. «Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal. Car tu es avec moi.» Vous n’aurez pas à vous inquiéter ; Il sera là. Nous chantions un vieux petit cantique ici:
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain seul,
Jésus mourut pour expier tous mes péchés,
Quand je verrai l’obscurité,
Il m’attendra là,
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain seul.
229 J’ai traversé plusieurs rivières ici seul. J’ai souvent été abandonné par des amis, des amis et des membres de famille se sont moqués de moi. Mais il y a une chose sûre, Il sera là. Quand le temps arrivera, Il sera là. Il tient toujours Sa promesse. Gloire ! Je sais que vous pensez que je suis fou ; peut-être que je le suis. Mais Il sera là. Oui, peut-être un peu tôt, ainsi Il se rassurera d’être là. Il tient toujours Sa promesse.
230 Il est là même à temps, juste comme Il a promis qu’Il y sera, et ils ont manqué de Le reconnaître. Ils avaient le temps pour tout le reste, mais ils n’avaient pas de temps pour Jésus.
231 Regardez, quand notre président vient dans la ville, regardez comment il est accueilli. Eh bien, le président peut venir dans cette ville-ci, ils... du train jusqu’à l’hôtel où il reste, c’est parsemé des fleurs, des drapeaux sont tout hissés, des bouquets de fleurs jetés dans les rues, de jeunes filles avec des fleurs précédent ; l’orchestre joue ; la musique joue ; les chanteurs chantent ; tout pour que le président se sente bien accueilli.
232 Mais chrétiens, Jésus vient et vous ne voulez pas L’accueillir. Oh ! Vous Lui réserverez une petite place dans le placard de temps en temps, un petit placard là de côté. Vous avez cependant honte de Lui, devant vos associés. Vous ne L’interrogerez pas dans la prière. Oh ! Il occupera une petite place dans le plac-... peut-être là au grenier ; il peut L’amener là au grenier, de temps en temps.
Quand Il viendra prendre... «Oh ! Je sais qu’Il est ici. Je vais monter discrètement au grenier afin que personne ne m’entende prier.» Oui, oui. Mais ce qu’il y a de bien, c’est qu’Il vient de toute façon.
«Jésus, veux-Tu occuper la deuxième place?»
«Oui.»
«Veux-Tu occuper la troisième place, Jésus?»
«Oui. Franchement, J’occuperai bien n’importe quelle place que vous Me donnez.»
233 Mais vous accueillerez le président avec tout. Vous accueillerez vos voisins et vous préparerez un grand dîner. Vous nettoierez la maison. Vous ferez tout. Mais quand Jésus vient, Il prend ce qu’Il peut prendre. Vous L’amenez dans le vieux grenier poussiéreux, quelque part là au sous-sol.
234 Vous rappelez-vous, autrefois quand vous alliez à l’église, avant de devenir un vrai chrétien? A peu près une fois l’an. Oh ! Vous portiez votre robe la plus somptueuse ; c’était la Pâques, un petit bonnet sur la tête, de côté. Vous vous plaigniez de ce que le prédicateur avait prêché pendant vingt minutes. Mais Il ne vous réprimandait pas pour ça. Il a accepté cela. Vous rentriez à la maison, vous portiez votre nouvelle robe, et vous disiez: «Mon gars, c’est suffisant comme religion pour une année.» Mais Il ne vous a pas contesté cela. Il a simplement accepté cela. C’est tout ce qu’Il pouvait recevoir de vous. Parfois, Il ne reçoit pas cela de vous. Vous Lui donnez n’importe quelle place.
235 Quelle place a-t-Il dans votre vie aujourd’hui, chrétienne? A-t-Il la meilleure partie? Lui accordez-vous simplement le grenier, ou juste une petite prière de temps à autre? Qu’en est-il de ça? Quel genre de place Lui donnez-vous?
236 Jésus était assis là à côté de lui. Ses disciples n’avaient pas pu entrer ; ils n’étaient pas invités. Eux tous se tenaient tout autour, regardant. Et Jésus était assis là, très mal à l’aise, avec les odeurs de la route sur Lui, les pieds sales, le visage non oint, on ne Lui avait pas donné le baiser de bienvenue, Il était juste assis à côté, dans un coin, la tête inclinée. Le vieux pharisien, pourquoi L’avez-vous invité, vous hypocrite?
237 C’est ce qui se passe avec votre église. Vous prierez pour un réveil ; quand le Saint-Esprit vient, vous Le repoussez ; vous n’allez jamais L’accueillir. Quelqu’un est guéri, l’une ou l’autre chose, ou rempli du Saint-Esprit, vous irez çà et là en parler, Le repoussant. Vous ne voulez plus du Saint-Esprit.
238 Vous ne voulez pas d’un prédicateur qui prêche le Saint-Esprit et la sanctification. Vous n’en voulez plus. Vous voulez un petit... classique, tout raffiné avec beaucoup de théologie mentale, avec une très bonne grammaire et des choses semblables. Donnez-moi une prédication biblique, à l’ancienne mode, envoyée de Dieu, du Saint-Esprit, où Jésus est le bienvenu.
239 Il bénira votre coeur. Et vous pouvez rester assis et étouffer cela. Vous ne voulez pas L’accueillir. Il veut être loué, mais vous ne voulez pas Le louer. Mais vous crierez: «Salut, monsieur le président, comment allez-vous? Je ne vous ai pas vu ça fait longtemps.» Mais Jésus vient, vous Le repoussez dans un coin. Il n’est pas le bienvenu.
240 Vous priez, priez, priez pour un réveil, et quand le réveil commence à éclater quelque part, vous dites: «Hein ! ce n’est pas dans mon église. Je n’ai rien à faire avec cela là-bas.» Oh ! vous, acteur: orgueil, tête en l’air, hypocrite. Honte à vous.
241 Mon Jésus est venu dans cette ville plusieurs fois, et vous L’avez repoussé au coin. Vous En avez parlé, disant: «C’est du diable.» Ils ont dit: «C’est de la télépathie mentale.» Ils ont dit: «Il n’y a rien à cela.» Honte à vous, hypocrites. Jésus vous fera payer pour cela l’un de ces jours, au jour du Jugement. Il vient dans une ville, Il frappe à la porte [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] Il accomplit des choses, les gens regardent et disent: «Oh ! c’est du non-sens», rejetant cela. Et chaque soir, dans votre église, on prie pour un réveil. Pharisien, acteur, vous le voulez à votre guise. Christ vient tel qu’Il veut venir. Il peut embarrasser votre théologie. Mais Il reste assis là, après avoir été invité, et Il est venu.
242 Que de fois ces vieilles morgues froides et formalistes par ici ont.... elles prient pour un réveil? L’autre jour, on priait à travers le pays pour un réveil. Billy Graham et Jack Shuler, et un groupe d’entre eux, parcourant le... priant pour les réveils. Et puis, le Saint-Esprit descend ici, et vous taxez Cela d’apostasie. Alléluia ! Il descend avec les mêmes signes et les mêmes prodiges, et tout, et Il prouve qu’Il est ici, et vous taxez Cela du diable. Hypocrites, vous mourrez dans votre télévision un de ces jours, vous irez en enfer avec la même chose.
243 Du théâtre, ils s’en vont avec un grand tas de théologie d’un séminaire: acteurs, hypocrites, ils ne viennent jamais. Vous dites: «Je ne vais pas là à cette église. Vous vous rappelez ce que...» Oh ! vous, hypocrite !
244 Jésus, assis, Jésus, avec les pieds sales. En Allemagne, on L’appelle Jésus ; Jésus avec des pieds sales. Cela me fait quelque chose de le dire. Ô Dieu, Jésus, l’Hôte, le Prince de Gloire, la Fontaine de la Vie, Il n’est pas le bienvenu, avec des pieds sales, assis là avec des fientes sur Ses pieds, la crotte ramassée sur la route, parmi tous les autres qui étaient tous raffinés et qui répandaient une bonne odeur. Et Lui était assis là le visage baissé, fatigué, les taches de sueur sur Sa barbe, les yeux baissés, on ne L’avait pas baisé.
245 Jésus veut être baisé. Il y a dans la Bible un passage des Ecritures qui dit: «Baisez le Fils de peur qu’Il ne s’irrite.» C’est vrai. Jésus veut être baisé. L’avez-vous déjà baisé? Assurément, vous le pouvez.
246 Il était assis là, mal accueilli, les pieds sales: Jésus avec les pieds sales. Oh ! Cela ne vous fait-il pas vous sentir bizarre? Jésus, avec des pieds sales, non accueilli.
247 Regardez ce que vous faites de Lui aujourd’hui. Au lieu de Le faire entrer dans votre grande et belle église, vous Le repoussez dans une petite mission là au coin, là où l’épicier n’avait même pas en fait une épicerie. C’est très contaminé. C’est là-bas, un petit lieu boueux, là dans le sous-sol quelque part. Et vous priez qu’Il vienne, et vous Le mettez dans le trou le plus sale que vous pouvez trouver. Ô Dieu, sois miséricordieux.
248 Mais béni soit Son Nom, Il vient de toute façon. Vous dites: «Qu’y a-t-il là au coin, un drôle de petit tabernacle de saint exalté?» Il vient de toute façon. «Il n’y a que les plus pauvres qui le fréquentent. Eh bien, c’est vrai, Il vient de toute façon. Accueillez-Le.
249 Oui, Il essaie d’aller à votre grande église, mais vous ne voulez pas Le laisser venir. Vous connaissez trop. Vous êtes trop occupé avec les affaires de l’église. Vous hypocrite, qui vous tenez là. C’est vous qui L’avez invité. Pour quoi avez-vous prié? Il a dit ce qui arriverait quand le Saint-Esprit viendrait. Le jour de la Pentecôte, Cela s’est avéré, ce qu’Il ferait quand Il viendrait. Et Il viendra à votre église, et vous rejetterez Cela. Vous pharisien, vous acteur, vous ne faites que des mises en scène, c’est ce qu’on vous a inculqué là quelque part au séminaire.
250 Ne voulez-vous pas accueillir Jésus? Jésus avec des pieds sales. Ô Dieu. Jésus avec des pieds sales. Le tendre Sauveur, ces pieds qui sans trop tarder allaient être percés par des clous, ces mains non lavées, avec... Les pieds sales avec dessus des fientes, ramassées sur la route, et couverts d’ampoules, des pieds sales, les mains précieuses. Couronné, cela serait bientôt couronné d’épines ; un cou qui attraperait les plis du Sang alors que cela coulera de Son visage.
251 Et Il était assis parmi ces gens religieux, non accueilli. Mon Jésus, avec des pieds sales ! Ô Dieu. Oh ! Si je pouvais être ce laquais-là ! Oh ! Si seulement je pouvais venir Lui laver les pieds. Il était assis là, les pieds sales, non accueilli. Personne ne veut que nous ayons quoi que ce soit à faire avec Lui, Ses pieds sont très sales.
252 Qu’a-t-Il donc fait? Qu’a-t-Il fait? Il est venu de toute façon. Il est venu de toute façon, Il a dit: «Oui, Je serai là.» Il était donc assis là, Il avait respecté Son rendez-vous. Il respectera Son rendez-vous avec vous, chaque fois. Il était assis là.
253 Et le pharisien était là, se frottant les mains, disant: «Maintenant, regardez. Eh bien, Jones, Le voyez-vous?» Ils sont là, ils ne savaient pas que Jésus était assis là.
254 Pensez-vous qu’Il était mal à l’aise? Assurément, Il était mal à l’aise. Il ne savait pas... Avec tous les gens là, Il se sentait mal à l’aise. Personne ne L’accueillait. Ainsi donc, tout d’un coup, vous savez qu’est-ce qu’ils ont... qu’Il a alors fait? Qu’a-t-Il dit? Il est resté assis là comme ça. Maintenant, écoutez. Observez ce qu’Il fait.
255 Maintenant, regardez à l’extérieur. Regardons à l’extérieur. Tout le monde regardait. Personne ne savait qui Il était. Les uns disaient: «Eh bien, où est-Il?»
256 Maintenant, regardez. Prenons une autre scène ici. Regardez, je vois descendre la rue, là, une–une drôle de petite femme. Oh ! Quelle réputation elle avait dans la ville ! Elle était une pécheresse. Nous n’entrerons pas en détail sur ce point. Elle était une prostituée, une femme de mauvaise réputation, celle qui agissait mal. Mais, rappelez-vous, frère, c’est la fille de quelqu’un. C’est vrai.
257 Comment savez-vous ce qui était à la base de cette vie-là? Peut-être qu’un chéri l’avait entraînée dans ce genre de vie, il l’avait serrée dans ses bras et lui avait tout promis. Et puis, quand il a ruiné son caractère, il a fui et l’a laissée pour aller ruiner une autre. Et c’est cela qui l’avait entraînée dans ce genre de vie. Qui connaît son histoire? Mais maintenant, elle est marquée. Personne n’avait rien à faire avec elle. Elle errait dans les rues, gagnant l’argent au mieux de ses possibilités.
258 Je l’entends dire: «Regardez là chez le pharisien. Je me demande ce qui se passe.» Evidemment, elle ne pouvait pas entrer dans une foule comme cela. C’est tout de travers pour une prostituée de venir donc à un tel lieu.
259 Mais elle se tient dehors. Ô Dieu, je la vois se tenir sur la pointe des pieds, par-dessus les larges épaules des gens. Elle essaie de regarder. Elle a dit: «Eh bien, regardez toute cette bonne nourriture à manger. Oh ! la la ! N’est-ce pas que les riches ont... Oh ! N’est-ce pas merveilleux?» Puis, son regard se pose là dans le coin. «Eh bien, regardez. C’est Lui. C’est Lui. Oh ! dit-elle, ça ne peut pas se faire comme cela.»
260 «Ses pieds sont sales. Son visage est sale. Eh bien, Il n’est pas–Il n’est pas accueilli.» Il est rarement accueilli parmi les riches. Elle a dit: «Je... Oh ! Ça ne peut pas être possible. Est-ce réellement Lui?» Elle regarde encore. «Oui, c’est Lui.»
261 Elle fait demi-tour. Elle quitte très vite la foule, très vite ; elle descend les marches, elle s’engage dans une rue. Elle escalade une paire d’escaliers qui grincent, bougeant pendant qu’elle monte dans son petit grenier. Elle court vers sa–sa caisse qu’elle a là. Elle l’ouvre largement et fait sortir un petit sac. Cela contient tout son argent. Elle regarde ça. Elle dépose ça par terre ; cela produit un tintement.
262 Elle dit: «Je ne le peux pas. Je ne peux pas faire ça. Je dois être en train de rêver. Il doit y avoir quelque chose qui cloche avec moi. Je ne peux pas me rendre à cette fête-là. Je ne peux simplement pas faire ça.» Peut-être qu’elle prend et remet cela. «Oh ! Mais, si... je ne peux pas faire cela ; Il saura comment j’ai gagné cet argent. Il est Prophète. Il est un Voyant. Il saura comment j’ai gagné cet argent. Mais, oh, regardez, ils L’ont invité, et Il reste assis là, comme ça. Comment ont-ils fait ça? Oh ! Quelqu’un devrait s’en occuper.»
263 Et quelqu’un doit s’en occuper aujourd’hui, mais ils ne le feront pas. On vous divertit trop, il vous faut rester à la maison, regarder la télévision, il vous faut aller au drive-in [cinéma en plein air, auquel on assiste en auto] la nuit ; il fait trop chaud pour aller à l’église. Oh ! Vous acteurs...
264 Cette vieille prostituée, elle a repris cela ; elle a dit: «Mais il me le faut. Oh ! Je dois être folle.» Les larmes lui coulaient sur les joues. Elle s’est dit: «Oh ! Et à Le regarder, voir la mine qu’Il a, c’est une mine vraiment triste, tout le monde Le dépasse, et personne ne L’accueille. Il est assis là comme une–comme une giroflée jaune. Tout le monde Le dépasse.
265 C’est ainsi qu’Il est aujourd’hui, tout le monde Le dépasse. Oh ! Vous avez vos églises. Vous avez votre religion. Vous avez vos doctrines et autres. Mais qu’en est-il de Jésus? Vous Le dépassez simplement, vous Le laissez assis là, comme ça.
266 Elle a dit: «Je dois faire quelque chose à ce sujet. Il me le faut. Je ne...»
267 Vous savez, les femmes ont quelque chose, plaise à Dieu qu’elles s’en servent davantage. Elles ont quelque chose ; elles ne se tiennent pas pour se poser des questions comme des hommes. Nous, nous nous tenons là et nous nous posons des questions, nous comprenons tout cela, mais les femmes généralement vont faire ce qu’elles ont dans le coeur.
268 Elle a dit: «Je–je dois absolument faire ça.» Je la vois donc rassembler ses robes, soulever cette petite chaussette pleine de chaque sou qu’elle avait gagné. Quittant la vieille cabane, elle descend la rue, très pressée. Elle regarde là, elle entre dans cette grande parfumerie.
269 Et je vois ce Juif au drôle de nez crochu qui se tient là derrière, comptant son argent, les articles qu’on avait achetés ce jour-là. Il a dit: «Oh ! la la ! Je n’ai même pas couvert les dépenses. Je n’ai même pas couvert les dépenses», tout aigre, et brisé.
270 Et tout d’un coup, vous savez, elle franchit la porte. Eh bien, il ne la traite pas comme une dame. Il regarde là, il a dit: «Eh bien, regardez qui est là.» Il ne s’avance pas pour dire: «Puis-je faire quelque chose pour vous?» Il a dit: «Eh bien, que voulez-vous?»
271 Elle a dit: «J’aimerais une bouteille d’albâtre, le meilleur que vous avez dans ce magasin. Je veux le meilleur que vous avez.» Clinquant l’argent. Oh ! Dès qu’il a vu l’argent, c’était différent, là. Oui, oui. Oui. «Je veux le meilleur que vous avez.»
272 Il mérite le meilleur. Que faites-vous pour Lui? Vous Lui donnez le résidu. Oh ! oui, vous courez toute la journée et vous Lui accordez trois minutes la nuit avant d’aller au lit. Il mérite ce que vous avez de meilleur, ami. Il mérite tout ce que vous avez. Mais que faites-vous à ce sujet? Vous Lui donnez simplement n’importe quoi. Il reçoit cela. Il reçoit cela de toute façon. Il–Il reçoit cela.
273 Mais elle a dit: «Je veux le meilleur.» Et cela lui coûte tout ce qu’elle avait pour gagner le meilleur. C’est ce que vous devriez faire. Donnez le meilleur que vous avez, Lui donner le meilleur que vous avez. Donnez-Lui le meilleur de votre vie. Donnez-Lui le meilleur de vos chansons. Donnez-Lui tout votre talent. Donnez-Lui tout ce que vous avez. Donnez-Lui vos pieds. Donnez-Lui vos mains. Donnez-Lui vos yeux. Donnez-Lui votre bouche. Donnez-Lui vos oreilles.
274 Donnez-Lui votre âme. Donnez-Lui votre coeur. Donnez-Lui votre louange. Donnez-Lui tout ce que vous avez. Alléluia ! Il métrite le meilleur.
Elle a dit: «Je veux le meilleur que vous avez.»
275 «Eh bien, a-t-Il dit, voyons combien d’argent vous avez, d’abord.» Il déverse le contenu de la chaussette. Il compte cela. Oui, deux cent quatre-vingt deniers romains, c’en était exactement le prix. Il s’en va alors là et prend la bouteille, la lui présente.
276 Je l’entends dire: «Je me demande ce qu’elle va en faire. La voilà sortir. Elle doit se dépêcher. Elle est en retard. Mieux vaut tard que jamais, n’est-ce pas? Vous avez aussi attendu longtemps, mais il est préférable que vous veniez.
277 Ne restez pas tel que vous êtes. Longtemps vous avez voulu devenir un vrai chrétien. Vous avez longtemps attendu. Il se fait bien tard. C’est vrai. Mais allez de toute façon. Que ça soit maintenant le temps. Que ce matin soit le matin. «Je vais parcourir tout le chemin pour Christ maintenant. Je dois y arriver.»
278 Elle vient là. Je peux voir deux hommes se donner des coups de coude: «Regarde, qui va là. Regarde qui va là. Regarde. Je pense qu’elle va à la fête, le pharisien. Je me demande si le pharisien l’a invitée?» Oh ! Vous êtes...
279 Nous les Américains, nous sommes trop bons. Nous ne nous rendons simplement pas compte combien nous sommes bas. C’est vrai. Nous sommes trop bons. Nous sommes toujours meilleurs que quelqu’un d’autre. Vous pauvres hypocrites, nus, malheureux, misérables, ne savez-vous pas que vous êtes perdus?
280 Ô Amérique, que de fois Dieu a voulu vous prendre, mais vous n’avez pas voulu. Que des fois Il vous a envoyé des hommes justes qui ont prêché, qui ont vécu des biscuits secs et de l’eau du robinet, de pain et de l’eau, et vous vous êtes moqué d’eux, vous les avez taxés de saints exaltés, vous les avez jetés en prison, vous avez détruit leurs demeures, et vous les avez méprisés. Oh ! Vous êtes trop bons. Vous ne–vous n’avez besoin de rien.
La Bible dit dans Apocalypse: «Et tu ne sais pas que tu es aveugle, misérable, malheureux, pauvre, nu, et tu ne le sais pas?» Oh ! oui.
281 Oui, mesdames, vous pouvez entreprendre de sortir ici, et tout arranger, porter les meilleurs habits. Vous pouvez fréquenter la meilleure des églises. Vous arrangez tout, vous avez vos cheveux farcis de manucure, ou de je ne sais comment vous appelez cela, vous portez des chaussures de très hauts talons, vous vous maquillez comme au cirque, vous allez à l’église et vous dites: «Je suis toute aussi bonne qu’eux.» Oh ! Vous malheureux, aveugle, misérable, ne savez-vous pas que vous êtes perdu? Oui.
282 Vous pensez que parce que vous avez des habits de rechange,... Et, monsieur, parce que vous pouvez conduire une bonne voiture aujourd’hui, et vous avez un bon travail, le patron vous tapote sur le dos, vous pensez avoir tout accompli. Vous évitez l’église. Vous ne voulez pas aller là où on va à l’autel et on prie. Vous avez honte que vos voisins ne vous voient. Vous pauvre hypocrite, ne savez-vous pas que vous êtes perdu? Vous ne voulez pas de Jésus. Vous n’avez pas de place pour Lui.
283 Ils se sont donné des coups de coude, disant: «Regarde qui va là.» Oui.
Ils me dépassent sans faire cas, alors qu’autrefois, ils passaient avec sourire. Vous avez entendu cet ancien cantique:
Maintenant je suis marqué, marqué, marqué
Je suis marqué maintenant où que j’aille ;
Je suis marqué, marqué, marqué,
Ce que je suis, tous semblent le savoir. (C’est bien.)
Mais je suis scellé, scellé, scellé,
Je suis scellé par l’Esprit divin de Dieu ;
Oh ! Gloire à Dieu. Alléluia ! Amen.
Je suis Sien, et je sais qu’Il est mien.
284 Allez de l’avant et donnez-vous des coups de coude si vous le voulez. Je suis en route. Alléluia ! J’arriverai là bientôt. C’est vrai. Sur sa route...
285 Elle s’avance là. Elle soulève le voile de son visage. Elle descend la rue, et tous ces hypocrites se donnent des coups de coude.
286 Elle va droit sur le lieu. Elle se relève, les larmes brûlantes lui coulent sur les joues. On voit qu’elle est en train de pleurer. «Pourquoi pleure-t-elle, se demande-t-on?»
287 Elle s’arrête dehors, au bout de la rangée ; elle lève les yeux. Elle a dit: «Oh ! Je ne peux pas. Je ne peux pas. Oh ! Je ne peux simplement pas faire ça. Je ne peux pas. Mais regardez, que dira-t-Il quand Il saura ce que je suis?»
C’est une bonne chose, là, pécheur. Il sait ce que vous êtes. Amen. Venez de toute façon ; venez de toute façon.
288 Oh ! vous pharisiens, vous fréquentez l’église tout le temps, vous êtes censés être chrétiens. Il sait ce que vous êtes. Ne vous en faites pas. Il sait qui vous êtes. Il sait ce qui est en vous. Vous avez honte de venir à l’autel après avoir été membre de l’église depuis si longtemps, mais Il vous connaît. Il sait ce qui est en vous.
289 Elle s’est arrêtée. Elle a dit: «Oh ! Je ne peux simplement pas faire ça. Je ne peux simplement pas faire ça. Que dira-t-Il d’une femme comme moi? Que dira-t-Il? Mais voici, on L’a invité, et c’est pour moi une occasion.»
290 Oh ! Vous ne vous rendez pas compte de l’occasion que vous avez. Vous avez aujourd’hui une occasion, amis, d’être remplis du Saint-Esprit. Vous avez aujourd’hui une occasion d’être un saint de Dieu. Vous n’avez pas à être un–un pécheur puant. Vous pouvez devenir un saint. Vous n’avez pas à être un hypocrite. Vous n’avez pas à être un fréquenteur d’église, et non pas un chrétien. Vous n’avez pas à aller là et à agir comme si vous étiez un chrétien, aller à l’église pour cacher votre bassesse. Vous pouvez devenir un vrai chrétien. Vous avez une occasion.
291 Et la voici, elle se dit: «Oh ! Regardez. Mais que dirait-Il si j’allais? Que fera-t-Il?» Mais je l’entends dire: «Eh bien, une fois, je L’ai entendu prêcher.» C’est ça. Si jamais vous avez entendu Sa Parole, quelque chose change alors. Oh ! Gloire ! «Je L’ai entendu parler là sur les rivages de Galilée un jour.» Elle a dit: «Les gens de toute catégorie se tenaient là autour de Lui, Il a levé Ses précieuses mains et a dit: ‘Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés ; Je vous donnerai du repos.’» Elle a dit: «Oh ! Vous savez que c’est ce qu’il me faut, le repos. Ma pauvre âme malheureuse brûle.» Et Il a dit: «Quiconque veut.» Cela voulait dire moi. C’était moi. Assurément. Mais regardez ce qui se tient entre moi et là.
292 C’est ce qui se tient entre vous et Lui. Il y a beaucoup d’imposteurs qui se tiennent entre vous et Lui. Il y a beaucoup qui vous empêchent d’accéder à Lui. Il y en a beaucoup qui vous diraient que c’était de la folie. Ils se tiennent encore entre vous et Jésus, mais Il a dit: «Venez.» Alléluia ! «Venez.» Assurément.
293 Frère, savez-vous ce qu’elle a fait? Elle a mis sa bouteille d’albâtre sous son bras, elle s’est mise à cogner l’un d’un côté, l’autre de l’autre. Elle s’est frayée son passage à travers la foule en jouant des coudes jusqu’à arriver à Jésus.
294 Pouvez-vous faire cela, vous frayer un passage en jouant des coudes, vous dégager de l’incrédulité? «Les jours des miracles sont passés. Le Saint-Esprit n’existe pas.» Elle a continué simplement à les repousser, se frayant un chemin jusqu’à arriver auprès de Lui.
295 Eh bien, elle se tient là. Elle se tient devant Jésus, l’unique endroit où elle peut trouver le repos pour son âme. Elle est sans secours. Elle se prosterne. Elle se prosterne par terre. Elle se met à brailler et pleurer. Les larmes lui coulent sur les joues. Oh ! Elle est si coupable. Elle est si triste, Le voyant assis là avec des pieds sales, au banquet, avec les pieds sales. Et, elle, en train de pleurer. Et, tout d’un coup, vous savez, elle est hors d’elle. Elle ne sait pas ce qu’elle fait.
296 Que Dieu nous aide à être hors de nous de temps en temps, pour arriver auprès de Jésus, pour être sauvés. Frère, je me rappelle quand je suis allé auprès de Lui, je me suis retrouvé hors de moi. Peu m’importait qui était tout autour. Je pleurais. Je criais. Je louais le Seigneur. Je ne me souciais pas de qui disait quoi. J’étais hors de moi. Que Dieu nous aide à repousser ces vieux credos secs et ces vieilles dénominations sèches, afin que nous puissions accéder auprès de Jésus et être sauvés.
297 Elle était hors d’elle. Les larmes lui coulaient sur les joues. Tout d’un coup, vous savez, elle était vraiment hors d’elle. Elle se tenait près de la Fontaine d’amour. Et elle était tellement hors d’elle qu’elle s’est retrouvée en train de laver Ses pieds avec ses larmes, qui dégoulinaient de son visage.
298 Oh ! Quelle belle eau ! Quelle belle eau: les larmes provenant d’un pécheur pénitent, lavant les pieds sales de Jésus. Les larmes d’un pécheur pénitent lavant les pieds sales de Jésus. Elle est hors d’elle. Elle frotte Ses pieds. Elle ne savait simplement pas quoi faire. Son coeur était si heureux de ce qu’elle avait l’occasion de se tenir dans Sa Présence. Elle Lui lavait les pieds avec ses larmes, elle ne faisait que frotter.
299 Et, tout d’un coup, vous savez, elle fut très excitée et tellement hors d’elle que–que ses cheveux retombèrent. Elle avait toutes ces boucles, vous savez, sur la tête, et ses cheveux retombaient. Elle s’est mise à Lui essuyer les pieds avec ses cheveux. Oh ! Quelle serviette sèche !
300 Ecoutez. Si certaines des femmes d’aujourd’hui osaient Lui laver les pieds et les essuyer avec leurs cheveux, elles devraient se tenir sur leur tête pour le faire. Elles se coupent les cheveux. C’est vrai. Rappelez-vous, attendez une minute. Je n’ai pas dit cela pour plaisanter. Ce n’est pas le moment de plaisanter. Laissez-moi vous dire quelque chose. C’est la Bible. La Bible dit que les cheveux de la femme, c’est sa gloire. C’est vrai. Et regardez. Qu’arriva-t-il?
301 L’unique chose décente qu’elle avait, c’était de longs cheveux. Et cela retombait à ses pieds à elle... à Ses pieds à Lui. Elle a déposé sa gloire à Ses pieds. Elle essuyait Ses pieds avec sa gloire. Alléluia ! «Ô Dieu, aide-nous à faire de même. Essuyer Ses pieds, les baigner avec les larmes, les eaux de la fontaine du coeur pénitent, de son coeur, déversant des larmes: Ô Dieu ! je suis si malheureuse. Je suis si misérable ; Seigneur. Ô Dieu.» Et sa gloire reposait juste à Ses pieds. Elle essuyait Ses pieds avec sa gloire. Quel tableau ! Quel tableau du salut: les larmes de ses yeux lavant Ses pieds. La gloire, l’unique chose décente qu’elle avait, elle les essuyait avec ça. Oh ! la la !
302 Elle se relève ; elle ne pouvait pas se lever. Elle s’est relevée à moitié, les larmes lui coulant sur les joues. C’était comme des fontaines qui coulaient de son visage. Et elle lavait Ses pieds. Elle prend cette bouteille d’albâtre, elle enlève le bouchon de... le bout de cela. Elle déverse tout cela, non pas juste asperger Ses pieds, elle déverse tout cela dessus. Tous ses moyens de subsistance, toute sa gloire, tout son argent, tout son avoir, même tout son coeur, déversant les larmes, elle dépose cela aux pieds de Jésus.
303 Oh ! Vous pauvre membre d’église, hypocrite, misérable, vous qui vous tenez là, tout, très raide et indifférent. Ne voyez-vous pas ce que cette pauvre prostituée faisait? Elle a déposé tout aux pieds de Jésus. Elle voulait qu’Il soit le bienvenu.
304 Qu’est-il arrivé à la fête? Qui se soucie de ce qui est arrivé à la fête. Je ne m’intéresse pas à la fête. Je m’intéresse à un pécheur qui vient à Christ. Peu importe comment elle arrive là, qu’elle arrive de toute façon. La vieille fête, c’est ça le problème aujourd’hui. Trop occupé avec des fêtes, des soupers de soupes, des loisirs, des jeux de baseball, des jeux d’arnaque dans l’église et tout, au point que vous–vous laissez Jésus sortir. Oh ! quelle pitié.
305 Ça y est. Toute la fête est complètement gâchée. Regardez-les tous debout là, bouche bée, regardant. Eh bien, regardez. Les pharisiens se donnaient des coups de poing: «Vous voyez donc, s’Il était Prophète, Il connaîtrait de quelle espèce est la femme qui se tient à Ses côtés. Voyez, je vous ai dit qu’Il n’était pas un Prophète. Voyez, maintenant, je sais ce que c’est.»
306 Cette pauvre femme, elle ne pouvait même pas entendre cela. Elle était très heureuse. Il lui est arrivé de penser: «Et s’Il bougeait Son pied?» Bougerait-Il Son pied? Si elle avait... S’Il avait bougé un seul pied, elle serait partie. Mais vous savez, Il ne l’a point fait. Il appréciait cela. Il appréciait le service qui Lui était rendu. Il appréciait quelqu’un qui L’aime tant. Il est simplement resté calme. Elle a pris un pied et puis un autre. Elle voulait [Frère Branham produit le son du baiser.–N.D.E.] baisant Ses pieds. Oh ! la la ! Elle était hors d’elle. Ô Dieu, j’aurais bien voulu que nous devenions ainsi, juste nous asseoir à Ses pieds.
307 Eh bien, alors, tout d’un coup, vous savez, le vieux pharisien a dit: «Voyez, je vous avais dit qu’Il n’était pas un Prophète. Il aurait su.» Il a dit: «Regardez, cette femme ruinera même Sa réputation.» Oh ! Quel aveugle ! Oh ! la la ! Oh ! L’orgueil, c’est une vilaine chose. Ecoutez. Elle... Il pensait que cette femme ruinerait Sa réputation.
308 Eh bien, frère, la réputation de Jésus se fait devant le pécheur. C’est là que Sa réputation est faite, pas parmi les gens raides et empesés, mais parmi les pécheurs qui sont disposés à se repentir. C’est là que la réputation de Jésus se fait, quand les pécheurs viennent à Lui.
309 Et elle est là, elle a fini de Lui laver les pieds. Elle baise Ses précieux pieds tout simplement, disant: «Ô Dieu. Pensez-y, ce que je suis en train de baiser maintenant même sera d’ici peu transpercé par un vieux gros clou pour faire couler du Sang pour mes péchés», et elle était en train de Lui baiser les pieds et tout.
310 Et Simon se tenait là derrière: «Uh-hum.» Oh ! Je peux le voir rougir, et puis pâlir de rage. Oh ! la la !
311 Jésus s’est retourné vers lui. Il a dit: «Simon, J’ai quelque chose à Te dire.» Voyez-vous? «J’ai quelque chose à Te dire. Je suis venu chez toi sur ton invitation. C’est Toi qui M’as invité. Tu ne M’as point donné de l’eau pour me laver les pieds.» Il a dit: «Je suis passé par ta chambre, tu ne M’as point donné d’huile pour M’oindre.» Et Il a dit: «Tu ne M’as même pas donné un baiser. Tu ne M’as pas accueilli.» Ô Dieu ! Branham Tabernacle, réveillez-vous.
312 «Tu ne M’as pas lavé les pieds. Tu M’as demandé de venir, et tu ne M’as pas lavé les pieds. Tu M’as laissé assis ici, embarrassé. Je voulais être considéré, mais tu n’as pas voulu de Moi. Tu ne M’as pas lavé les pieds. Tu ne M’as pas donné d’huile pour M’oindre le visage avec. Ça brûle, les joues brûlent. J’ai effectué un voyage de deux jours sous un soleil chaud.»
313 Tu ne M’as pas donné de l’huile pour Mon pauvre visage desséché. Mes pieds sont sales et puent, et tu ne M’as pas donné de l’eau pour Me laver. Et tu ne M’as même pas donné un baiser pour M’accueillir. Mais, a-t-Il dit, cette pauvre femme, depuis qu’elle est entrée dans cette salle, elle n’a cessé de baiser Mes pieds.» Alléluia ! «Oh ! Je ne te ferai pas ça.»
Il a dit: «Et Je te dis (à la femme), tes nombreux péchés te sont tous pardonnés.»
314 Quoi de bon fera votre vieille église empesée? Quoi de bon vous fera votre vieux registre où vous avez inscrit votre nom? Vous devez accueillir Jésus, vous débarrasser un peu de l’empèsement.
315 Il a dit: «Ses nombreux péchés... te sont pardonnés.» Je n’arrive simplement plus à prêcher. Je pense... Ô Dieu: «Tes nombreux péchés te sont tous pardonnés. Va en paix maintenant.» Elle se tenait là, regardant, ses joues tachetées. Ses yeux troublés. Sa bouche toute couverte d’huile, ainsi que son visage, pour avoir baisé Ses pieds en L’oignant. Les larmes lui coulaient sur les joues. Ses cheveux pendaient, trempés de manucure, de poussière et des fientes ramassées sur la route, accrochées à Ses cheveux, pour avoir essuyé Ses pieds avec. Et d’entendre cette Parole-là: «Tu t’es embarrassée, mais (puis L’entendre dire) maintenant, tes péchés te sont complètement pardonnés.» Oh ! oh ! oh ! «Tes péchés te sont complètement pardonnés. Va en paix.» Ô Dieu !
316 J’aimerais me tenir là. J’aimerais aussi faire cela, un glorieux jour alors que tout sera terminé, que j’aurais prêché mon dernier sermon. Je me fais vieux maintenant, j’en suis conscient. Je disais aux jeunes gens ce matin, je disais: «J’ai déjà quarante-six ans. Oh ! Je dois faire quelque chose pour Dieu.
317 Je ne pourrais pas traîner ici trop longtemps ; la nature le démontre. Si je reste encore vingt, vingt ans, regardez ce que je deviendrais. La vie est en train de dépérir ; elle s’en va. Je peux voir cela.
Mais un jour, quand tout sera terminé, je n’aimerais pas avoir un palais. Je n’aimerais pas avoir un grand quelque chose au Ciel. J’aimerais ramper jusqu’à ces mêmes pieds. [Frère Branham pleure.–N.D.E.]
318 Les regarder, les tapoter un peu avec ma main, Lui donner des baisers sur les pieds, dire: «Ô Jésus, ô...» Lui dire: «Tu m’as aimé alors que mon sentier était si sombre. Quand j’étais vraiment dans le besoin, Seigneur, et si indifférent, Tu m’as alors aimé. C’est Toi qui m’as tiré d’affaire, Jésus. Oh ! Je T’aime. Je T’aime.» Oh ! oh ! «Ô Jésus. Ô Jésus. Ces pieds sont couverts de cicatrices à cause de moi, Jésus. Je T’aime. Je T’aime.» [Frère Branham pleure.] Oh ! oh ! oh ! oh !
319 Je désire ardemment Le toucher comme cela, dire: «Maintenant, Maître, Tu sais tout à ce sujet. J’ai donc envie de pouvoir m’en aller. Cela–cela pourrait–cela pourrait représenter la contre-valeur de chaque labeur sur le chemin. Les labeurs de la vie peuvent être nombreux, et peuvent être froids ; combien minimes paraîtraient-ils ce matin-là, lorsque nous parcourrons les rues d’or. Il y a beaucoup de collines à gravir vers le haut. Je suis souvent fatigué. Mais un jour, quand j’arriverai là et que j’aurai épuisé ma dernière force, si seulement je peux alors Le voir, tapoter Ses pieds et L’accueillir... Si je peux dire: «Seigneur Jésus, oh ! je suis si content que Tu m’aies aimé, alors que j’étais si pécheur. Je suis très content que Tu m’aies gardé alors que je ne pouvais rien faire, Seigneur. Jésus m’a aidé. Quand j’étais malade, Tu m’as guéri, Seigneur. Quand j’étais un pécheur, Tu m’as pardonné. Oh ! Jésus béni, laisse-moi tapoter Tes précieux pieds encore une fois.» Oh ! Oh ! la la !
320 Je n’arrive simplement plus à prêcher. Inclinons la tête juste un instant, pendant que la pianiste s’avance, s’il vous plaît.
321 Bien-Aimé Jésus, oh ! Jésus avec des pieds sales. Oh–oh- oh–oh ! [Frère Branham continue à pleurer.–N.D.E.] Ce monde froid est indifférent, il ne T’accueille pas du tout. Jésus, que puis-je faire? Dieu bien-aimé, que puis-je faire? J’aimerais Te rencontrer un jour, Seigneur. J’aimerais tapoter Tes précieux pieds et dire: «Seigneur, Tu m’as aimé. Tu as eu des cicatrices à cause de moi. Tu étais blessé pour mes péchés, et c’est par Tes meurtrissures que j’ai été guéri. Je T’aime tant, Seigneur, parce que Tu m’as aimé.» Ne veux-Tu pas, Seigneur, que nous fassions tous cela? Accorde-le, Père.
322 Pendant que nous avons la tête inclinée [Frère Branham s’arrête.–N.D.E.], je me demande si vous pouvez réfléchir maintenant. Voulez-vous lever la main juste une minute, n’importe qui, pour dire: «Frère Branham, je suis un pécheur. Je veux accepter Jésus maintenant. Je L’ai invité chez moi, Frère Branham. J’ai eu honte de Lui devant les membres de ma famille.»? Que Dieu vous bénisse, maman. «Je L’ai invité chez moi ; je ne L’ai pas accueilli. J’ai eu un tout petit peu honte de cela.»
323 J’ai vu mes voisins arriver ; il était temps pour moi d’aller prier ; j’ai simplement laissé passer cela, je n’ai rien dit. J’ai eu honte, Frère Branham, d’avoir fait cela. Jésus, j’ai honte. Je vais lever la main vers Toi, Jésus, et Te demander de me pardonner. Je ne T’ai pas accueilli comme je le devais.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Quelqu’un d’autre qui lève la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Que Dieu vous bénisse, ami. Que Dieu vous bénisse, madame.
324 Jésus est ici. Il est tout autant ici qu’Il l’a toujours été. Il est ici tout autant qu’Il l’était au banquet du pharisien. Nous L’avons invité à venir ce matin. Il est ici. N’avez-vous pas honte de vous-même? Ne voulez-vous pas que ces larmes coulent sur vos joues, pour Lui dire ceci: «Seigneur, j’ai honte. Je–je–je ne veux pas être indifférent. Je–je–je veux T’aimer. Je veux tout faire.» Voulez-vous discrètement lever la main vers Lui pour dire: «Par ceci, Seigneur...» Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, vous, vous vous, soeur. Regardez les pieds de Jésus avec des cicatrices de clous. Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre, levez simplement la main. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... fendu pour moi,
Laisse-moi me cacher en Toi ;
Laisse l’eau et le...
325 Que Dieu vous bénisse, Doe. Eh bien, venez directement maintenant. Venez donc. Ne voulez-vous pas venir auprès de Lui ici? Quelqu’un ici qui est un pécheur, qui aimerait venir s’agenouiller?
... double remède,
Me sauver et me rendre pur.
Pendant que j’aspire ce souffle,
Quand mes yeux se fermeront dans la mort,
Quand je me lèverai dans le monde inconnu,
Et que je Te verrai sur Ton Trône,
Rocher d’âges, fendu pour moi,
Laisse-moi me cacher en Toi.
Votre attitude présente peut changer tout le tableau. Voulez-vous venir à l’autel, vous agenouiller? Vous qui vous sentez coupable, voulez-vous venir vous agenouiller à l’autel? Un jour, vous aurez à Le rencontrer, le Rocher d’âges. Que faites-vous pour Lui maintenant? Voici votre opportunité.
1 Sickness and many bad things... And death kept some away. And sickness kept others away. And disappointments kept others away. But God has brought us together again to serve Him. We're so happy for these things.
And now, coming together, I would like to just say a few words about our last meeting overseas, where you all prayed so hard for us, that the Lord would give us a great service. He did. And we're so happy to report that many souls were saved; that's the main thing: souls being saved, born in the Kingdom of God. We... You know we...
The preaching of the cross brings observation; it brings troubles; it brings stir-ups; and we can't expect to be immune from all those. We just have to take them as they come. So we--we had some trouble when we left Zurich. Now, I might explain what it was.
4 Ah, the church, the first reformer was Martin Luther, as we all know, and second was Zwingli, and Zwingli went into--to--out of--into Switzerland. And there, at Zurich was the Bible first translated in English, the full Bible, from the first translation, was did at Zurich, Switzerland. They still hang with the old Zwingli idea. And Zwingli's translation denies the virgin birth. He doesn't believe in the virgin birth. They said that He was the Son of Joseph, "called the Son of God."
And we believe that He was the Son of God, that He was born of the Father, God, that give Him His birth through creation.
And Billy Graham, well known, everyone knows him, nearly, he was in there for one day before I was. And if they didn't criticize that poor boy, just making fun of him, where it didn't... They didn't need to be. They said, "He put an permanent wave in his hair." And said, "He come to the church like he was going to a band box, instead of a church." And said, "He preached like a fantastic American, soap salesman." And--and said, "You could smell him ten feet away, with perfume," and just all things like that, just making fun of the boy. Because why? He didn't deserve that.
7 I heard Billy, was right there. He preached the supreme Deity of the Lord Jesus Christ. That's right. He said, "There's many men who stand up, and philosophers, and so forth, but Jesus Christ was God Himself manifested in the flesh."
Brother, I hollered "amen" as loud as I could, 'cause I know that's true. I believe that. Well, of course, me seeing the way they treated him, I dropped right into his place, started right on with the supreme Deity, that Jesus Christ was Jehovah God manifested in flesh. Well, in doing that, the Lord gave us fifty thousand souls in that five night's meeting.
And then when they heard we were going up into Germany... Now, there, it's state and church. What the church tells the state, the state does it.
And we've often taught about, many times... If I have someone here, that's a Catholic friend... I don't say this now to be shoving your church at all. No, sir. I have thousands, and tens of thousands, of Catholic friends. But we've often thought in the early days when the Catholic church united with the church and state together, in the days of papal Rome, and what a persecution it brought, well, brother, the Protestant is just as bad, if not worse.
The Protestant church treated me twice as bad as Catholic church ever did treat me. See? So then when they went up there, and sent into Germany, and told the German authorities not to receive me, that I was absolutely against the teaching, and I wasn't nothing but an impostor, and not to receive me.
12 And they had built a stadium there, that seated thirty thousand people. When they refused me to have the regular football stadium, why, because of the state being owning it, Hitler built there, then they went out and put a canvas cathedral up that would seat around thirty thousand, opened up the side so you could still set them on back. Somewhere we had thirty thousand under roof. And they sent word that--that I was an impostor, and not to receive me at all.
And so then, the government set right down and said, thumbs down, I can't come in. Dr. Guggenbuhl, a friend which... National attorney sent word down there, and went down there and said, "No, sir. He cannot come in. We will not receive him."
14 So, he goes down. It's in the American zone, at Kar--at the--at the Karlsruhe, which means "Charles' rest." He went down there to the colonel of the American army, which is the American occupied zone in there. And he went to the colonel and said, "Why can't we have this American evangelist to come in?"
He said, "They had Billy Graham up there, and," said, "why can't we have this brother come in?"
And so the colonel said, "Well, I don't see why you can't." Said, "Who is the preacher?"
Said, "It's Brother Branham."
Said, "Brother Branham." Said, "He prayed for my mother, and she was healed in America." So, brother, that opened the door. Didn't make any difference in what they said. That opened the door. So they throwed the door open, and--and we went right on in and had the meeting.
18 And the first night, to get in, out of the--the crowd... We wouldn't--we wouldn't preach Divine healing. We stayed right away from it, just wouldn't pray for the sick. First, we got them on the Gospel, first, and be sure. So in order to get me out, to keep me from being shot, from the bushes, they taken men, and just milling around and around me, like that, so the--they couldn't get aim on me, you see, till I got in. And we was attacked the first night, with a car... Well, just fanatics. And--and I got into the car all right. Billy, I had to grab him to get him in, 'cause somebody just about had him. And so then, so when we got in...
Then on the second, third night, we started praying for the sick. And that night they brought to the platform, one of the sweetest experiences that I've had in all my life. A little girl... Now, it is not...
20 Now, this rudeness is not the German people. They're the nicest people I ever met in my life. I tell you, if I lived anywhere else besides America, I'd take Germany, anytime. And they're humble. They're way better than the Swiss. The Swiss is all right, but the Swiss has never had any trouble.
Just like Americans here (You see?), we--we never been bombed over here or anything. We just... War comes along, we live off the riches of the land, and the boys goes over and dies, and come back; we never see it.
But them Germans has been beat to the ground, where their mothers was burned with gas, and their arms. And they'd find their mummy skulls laying there, with a baby pressed to her bosom like that. They know what prayer means. And they're humble and willing.
23 And so that night, in the meeting, all the newspapers setting around and everything. And all the churches, criticizing, and sponsored by none of them. So we just set up the meeting, and thousands even couldn't even gain a place to get to the tent and the place where we was at.
And then while the Holy Spirit was moving, and the inspiration come over me; there was a lady laying there and told her her backbone was eat in two with tuberculosis. She was strapped on a board. I said, "Unstrap her."
And a doctor raised up and said, "Oh, you can't do that."
I said, "Unstrap her, for, THUS SAITH THE LORD." Up she got and run through that building, was just as perfect and normal as she could be. And her--her... She was barefooted, and come to the platform.
26 About fifteen minutes after that, they started the prayer line, going on. And along come a little girl about six years old, or eight years old, about the age of my little Becky, two long plaits hanging down her back. She almost went off the platform. They caught her and brought her over. When she got to me, she started putting her little--had her little head down here, and she started putting her little hands around me like that. And she was blind, been born blind. She never had seen.
And when we had prayer for her, honest, friends, I believe if I would have been the worst hypocrite in the world, God would've honored that child's faith. Put her arms around like that, and had her little head laying over on my bosom. And I prayed for her. And I said to the Lord, "I left Becky and them crying, at home, You know. But I... You sent me here to pray for this child, I believe."
And when I raised her little head up, she looked around. She said, "What are those things?"
I said, "It's lights, honey." See? And she... The interpreter told her. So, then, she could--she could see. And her mother begin screaming and run up to the platform. And she had never seen her mother before. She begin patting her on the cheeks. She said, "Are you my mother?" She said, "You're so sweet." And like that. She had never seen her mother before in her life.
31 And then here come a man, the next one, was a man that was born deaf and dumb, about fifty-five years old, never spoke or heard in his life. And when the hearing and speech come to him, and he... They had talk on their fingers to him, you know. And I said to him, "Talk now, and tell him to say just what he--I say." And I said, "Mama."
He said, "Mama."
I said, "I love Jesus."
He said, "I love Jesus." And the translator was... He was a German, speaking English, 'cause that's the only thing he'd ever heard (See?), was right then. The only thing he could say was--was English. See, he could speak English, same as he could German. He was just born in Germany. So you get what I mean? He could speak English, 'cause that's all he'd ever heard, and it was me speaking to him. See? I'd say, "Say, Mama." And he'd say, "Mama."
And I--I'd say, "Say, 'I love Jesus."'
"I love Jesus."
And I'd say, "Praise the Lord."
He say, "Praise the Lord."
And the translator would have to say back to this German, to the German, was translated from English back to German again. My, the next day, the paper really lit up, everything.
34 So the state church ministers, a group of them come down, and they wanted to have a breakfast with me, and about two hundred, three hundred come down. Oh, I guess, something maybe like this tabernacle full of people. They come down to a great hotel, and they said, "If It could be proven to be the Truth, that it wasn't witchcraft..." Mercy. Said, "If it wasn't witchcraft," why, they would be ready to protest against the church and come out, if they wouldn't accept It.
So, got down that morning, I said, "Brethren, witchcraft? It's absolutely, totally impossible for any demon to have anything to do with Divine healing." I said, "I will--I will defy that from anywhere. Every Scripture is against it. And there's no power with the Devil at all, to--to have... make any Divine healing." I said, "There's nothing in the Devil can heal. If it is... Jesus said, Himself, 'If Satan can cast out Satan, then his kingdom's divided and can't stand.' See? He can't cast out Satan. The healing comes only from Jesus Christ."
36 And so they set there a little while, and they said, "Well, we can't understand about these visions. We--we just don't know." Said, "We, what we think, is... You'll have to clear us up on this." Said, "We think, that what it is, that you go around in daytime to these houses, and give the people their prayer cards, and bring them up to the platform at nighttime, and then you've talked to them, and you know what their diseases are, and all about their life..."
I said, "Brother, I can't speak German, and I can't. Look here." I said, "When I'm giving the vision, I can't even say their name. I have to spell it out. It would spell out their names and the places where they come from, like 'w, x, y, o, p, q, r,' something another like that, being their names." I said, "How do I? Ask the people. Find out from them. Why," said, "the boys give the prayer cards right in the meeting. And what's all, all those that don't even have prayer cards?"
"Well," they said, "well, could that be the Devil doing that?"
I said, "Can the Devil heal?" I said, "If it..." I said...
38 "Could it be mental telepathy?" they said.
I said, "Well, can mental telepathy make the blind to see?" I said, "Didn't they say the same thing about our Lord? When they said, 'Well, this Man has a devil.' They seen Him foretelling things, and telling people. They said, 'He has a devil.' And the Pharisees raised up and says, another group of them, said, 'Can the Devil make the blind to see?' No, sir. It cannot."
So then, in the breakfast that morning, they had a great German photographer there to take the pictures of the breakfast.
Now, we all are aware that our cameras are little amateurs, up aside of the German lens. Anyone knows that, who buys telescopes, or German... Well, for instance, our little Argus camera. I got one. Sixty-nine dollars buys it, with all the equipment to it. And that's a thirty-five millimeter. All right. The German Leica, in a thirty-five millimeter, costs five hundred dollars. That's just the difference, between sixty-nine and five hundred dollars. Oh, and it's far beyond anything our, their lens are than ours.
41 And they had a great camera setting up there, taking the pictures of the meeting, of the--of the breakfast. And they was asking about how that inspiration... They said, "Well, we feel that it's some kind of a set-up. It's something another that--that you have. It's a mental telepathy. That Germans can maybe look on their cards, or something another, and they can transfer that to you."
I said, "Then how does the healing come?" I said, "Who foretells these things, who, what, that's going to come?"
"Well," said, "maybe that's mental telepathy also." And I said, "Then you don't believe in God."
"Oh, we believe in God, sure. We believe in God. But we don't..."
44 I said, "Brother, you're--you're just born blind; that's all. See? You, you were born blind, and I doubt whether you'll ever receive your sight or not." And I said, "If... I'd rather be physical blind than to be spiritual blind like that. Why," I said, "you'd be far better off, if you were everyone totally blind, had to be led around by you're eyes--by your arms, so you didn't have no eyes, let somebody be your eyes, to lead you." I said, "You'd be far better off. But," I said, "because you see the things that prophets has longed to see. You see the things that great men long to see, and still you won't believe it." I said, "Well did Isaiah speak of you right, saying, 'You have eyes and can't see, and ears, you can't hear.'" And about...
45 They said, "Well, if that picture of the Angel of the Lord, that you have on the platform over there," said, "what about that?"
I said, "That's proof, scientific proof, that Jesus Christ still lives and reigns." I said, "That's the same Pillar of Fire, or Light, that followed the children of Israel, and brought them through the wilderness, and taken them to the promised land. And any reader knows that that was the Angel of the Covenant, which was Jesus Christ." And I said, "He was with the Father before the foundation of the world. He's always been. And He's the same today."
"Oh," said, we've heard of your American fantastics, Divine healing services, and things."
I said, "I'm not talking about them. That's not the subject. I'm talking about my own ministry now. Them brothers can defend theirs. But," I said, "I'm talking about my own. See?"
And he said, "Well, we heard all that stuff, and all like that."
49 I said, "Well, if you want to believe, you're a believer. If you don't, then you're not a believer; that's all." And I said, "I can't explain it. There's no need of me trying it. For if I'd try to, I would try to explain God. And who can explain God? And God has made it so that none of us can explain God. We believe God by faith, not by sight, not by knowledge; but by faith, we believe God. God is--has to be accepted by faith, inex--unexplainable. You have to receive it. If it's explainable, then you don't no more have to use faith, if you can explain it. See, you don't have... You can tell the details."
How many understands that? Do you see? You cannot explain God. You have to believe God. It's a mystery to you, but you have to accept it. That's on the basis of your faith to accept something that you cannot explain. Amen. That's the way. That's it. See, you have to explain something, and believe something that... I mean, believe something that you cannot explain. It's impossible to explain it.
51 Well, they set and scratched one another's heads. And, oh, you know how the sovereignty of God always is on the job, isn't He? No matter what takes place, God's on the job. Right at that very crucial moment, right at the time, when hundreds of those pastors of the state church, setting there at this breakfast, this big German camera setting there. And he would snap the picture, and then roll a roller, turn it over, just like a thirty-five millimeter, only that big, great big camera taking all like that, just snapping, roll it, and kept taking pictures.
And about that time, I said, "Just a moment. The One that I'm speaking of is here now." I said, "He's--He's here, present." I said, "I see It. And He's moving." Well, the German moved his camera right in like that.
He said, "I will try it." He shot the picture.
I said, "It's this man standing right here. He's a leader of thirty-two thousand communists, standing there." And the interpreter give it to him. I said, "He's not a German." I said, "He's an Italian. He comes from Italy." And I said, "He's not a German, at all."
"And that was the truth," he said.
And I said, "You just recently come--become converted."
"Yes. I said, "You picked up a Bible. You was raised a Catholic."
"Yeah."
"And you picked up a Bible. And you took the Bible and you read It, and got convinced that It was--Jesus Christ was the Son of God. And you--and you accepted it."
He said, "That's right."
And I said, "Now, you are hid from the Catholic church, and got an orphanage way up in the mountains."
He said, "That's right."
And I said, "The reason you're not eating your breakfast, is because that you got such a stomach trouble that you can't eat breakfast."
"That was right.' And he started weeping.
I said, "But, THUS SAITH THE LORD, you're healed. Eat your breakfast." That settled it.
59 And they took the picture. And they took... And that camera standing there now, taking that picture, each one. And he shot three pictures of the Angel of the Lord. And then took five or six, afterwards; five or six, before. And It showed up in the neg--in the camera again, the Angel of the Lord a coming down: When It come, started down, when It come over me, and when It's a leaving. And I got them right here on the platform this morning, which swept all the German papers, and everywhere else. And I got it right here now, of the pictures of the Angel of the Lord. Oh, man.
The Lord Jesus never fails. "Heavens and earth will pass away," He said, "but My Word will not pass away." He said, "I the Lord have planted It; I will water It day and night." Hallelujah "Lest some should pluck It from My hand, I will water It day and night." See?
61 Now, I got a whole group of them here. There's about two dozen. But here is the picture, the one I hold up like this. And maybe, after the service, I will have Brother Neville, if he wants to take care of them, he can show it to you after the services.
And, now, now here is the picture of the ministerial breakfast. Now, you can see how the lights are up here, how the room looks. And there's just about six, after, before this, and six afterwards.
Now, there It is. This is me, standing right here. That's the interpreter. And that's Dr. Guggenbuhl. That's Brother Bosworth. These are all state, church pastors, groups of them. All right.
Now, when It--when It struck, that shows. You see, there's no light or nothing in there (See?), when It struck.
Now, when I stood up and said, "Stand to your feet, the Angel of the Lord is here," Here It is. Oh, my...?... Now, that's when It's coming down. You see, here I am, standing right here. It's coming down. They got the picture of It, ascending, coming down from the ceiling, like, coming down. You see everybody looking. And this picture here is looking sideways.
66 And here, this man here, with his collar turned around, is the man that's talking to him. See? That's the one that's giving... I'm talking to, here (See?), and he's watching. I said, "The vision's of this man standing right across here. And so, what kind of prayer card you got? See?" You see what they... There they are.
Now, here It is when It's already come down, and you can't see nothing but just my shoulders there. That's when the vision is going on, when It's telling him. And here is where It is, when It's leaving off my face, with half my face cut off there with the vision, the Angel of the Lord, the Glory of the Lord going off. See It right there? And here It is after it was over, nowhere at all.
68 So, they got it now; it's passed all through Germany. It's coming now through the states and the different religious magazines. There's one, coming down; here's one when It's on; and here's one when It's going away. See?
Oh, He lives, He lives. Christ Jesus lives today. So in the midst of conflict, don't never worry, He's still God. He always has done it. I have been so thankful for that.
That I know, here at my home town, it's hard to be understood here, and especially being at home. It's the hardest place in the world, of course, it is: not to you, my friends. But, why, didn't Jesus say the same thing? Among your own, it's--it's the worst. Cause it can't help. The people don't want to be, but they are. The Scripture cannot be nothing but fulfilled. It must be fulfilled. It cannot be broken. The Scriptures must be fulfilled. So Jesus lives today.
71 And friends, this little old tabernacle, today, with its little crude walls, and to the strangers that's in our gates, we most heartily welcome you here in the Name of the Lord Jesus Christ, as His beloved children. And we love Him, and want you to enjoy this fellowship together, this morning, as we speak on the Word of the living God.
And I desire, solely, for you to pray for me. I'm at the crossroads of my life, at this time. I have been coming up to this point for a long time. And I finally arrived, this place, where I must make a great decision right away. So you pray for me. Will you do it?
73 I will just give you a little understanding. I've stood between brethren, not representing anything, coming from one to the other one that... And I have noticed, standing between them, I have brought myself to this place. It's...
I was ordained down here by Dr. Davis, you all know, in the little old Baptist church over here. And now, the... I've often told you that I found two classes of people: One of them is the Baptist and the fundamentalists, which has a good mental conception of the Word. On the other side, I find the full Gospel, Methodist, Nazarene, Pilgrim Holiness, Pentecostals, all them; they have the faith. One of them has climbed up to receive the Holy Spirit, and this... But they so loose with It, they don't know how to control It. And the--the others over here, knows the Word and how to place It, but hasn't got no faith with It. If I could only get pentecostal faith in Baptist theology, (what?) the Church would be set out. That's right, if I could only get it. Those wonderful gifts of pentecost, it's a shame the way you trod them down and mistreat them, and so forth.
76 Here, I will tell you a little something that happened the other day, just to show you.
I'd say this because it's the tabernacle, and here it's home. I preach what I want to (See?), and here, or what the Lord tells me to, rather. See? I don't aim to say it, "What I want to." I wouldn't say that, 'cause I--that would be my own desires.
But I--I heard a remark the other day, that someone had--had made about a wagon. A fellow saying, "They had a great meeting." And said, that, "But," said, "there wasn't enough spirit, there wasn't enough noise about it."
And the old preacher said, "Well," said, "when I used to live on the farm, I went out to the farm, and I went with my wagon empty, and every time I hit a little bump it would squeak and crack, pop, jump, and go on." Said, "When I loaded it down with good food and products, I brought it back. And it hit the same bumps, and never moved at all, a good, loaded wagon."
So what we need today, is a good, loaded, solid wagon, knowing where we're going, led by the Holy Spirit.
81 Now, sometime ago, I tell you what... You know what my--my theology is? Redeeming love, when you got love one for another. See? No matter what these other things are, how many gifts we got, or how much this we got, or how much that; if we haven't got love one for the another, we--we're lost. That's all.
I went to a fellow. Now, brethren, I'm using church names here this morning. I don't mean harm by it. But I went to a fellow that belonged to the Assemblies of God. He didn't know me. It's been years ago. I walked up to him; I said, "Howdy do, sir."
He said, "Howdy do."
I said, "I understand you're a preacher."
He said, "I am." And just before the... A great man in the Assemblies of God, he wanted me to join the Assemblies of God. He said, "Come, join, because we're the biggest pentecostal organization in the world."
I said, "That may be so, my brother, but I like to stand between all of you, and say, 'We're brothers,' see?" I said, "I may be way off the road on some of mine, you may be too, but let's be brothers, anyhow. See? Let's be brothers."
And he said, "Oh," he said, "all right. We got the church."
85 So I just happened to investigate. I went up to a fellow; I just taken the negative side on both sides, to test out. I went up to a bro--this brother, and I said, "I hear that you belong to the Assemblies of God, a minister."
He said, "I am." He said, "What are you?"
I said, "I'm a Baptist."
And he said, "Well, have you received the Holy Ghost?" I said, "Yes." I said, "I received the Holy Ghost?"
He said, "You speak in tongues?"
I said, "Yeah. Yeah, I spoke in tongues."
He said, "Brother, you've got It. Hallelujah. Praise the Lord. That's It."
I said, "Yeah," I said, "I received the Holy Ghost, and spoke in tongues, and for the evidence of it." And I said...
He said, "Oh, you'll come out of that old, stiff, formal Baptist church, then. Hallelujah." And he spoke in tongues a few times.
I said, "Yeah, I received the Holy Ghost, was baptized in Jesus Christ's Name. And..."
He said, "You what?"
And I said, "I received the Holy Ghost, and was baptized in Jesus Christ's Name."
He said, "You don't get the Holy Ghost like that."
I said, "You told me a little too late." I said, "I done done it." So he said... And I said, "I--I--I just... I just done done that."
And he said, "Oh, you can 't get That like that." Said "You believe that kind of heresy?" See?
I--I said, "Oh, I wouldn't call it heresy." I said, "It teaches in the Bible."
He said, "Get out of my house. I don't even want nothing to do with you."
I said, "Okay. The Lord be with you, brother." Walked out.
95 Not long ago, an old Baptist preacher out there... That was my first trip to Phoenix, Curtis. I went to see this old boy. Walked into him, and I said, "Howdy do, sir."
He said, "Howdy do."
I said, "I hear you're a Baptist preacher." Way back over there, at the time when that little old boy, back over in that place was healed with that lung trouble, back, where that tubercular place is back there. I forget the name of the place. And so I just said, "I hear you're a Baptist preacher."
He said, "Yeah."
I said, "Have you received the Holy Ghost?
He said, "Well, what are you, Pentecost?"
And I said, "Yeah, I'm Pentecost." I was a Baptist to the other one, but I was a Pentecost to this one. I said, "Yeah," I said, "I'm Pentecost." I said, "You got the Holy Ghost? Evidence, speaking in tongues?"
He said, "Uh-huh," he said, "well," he said, "I tell you, brother," he said, "that's all right." He said, "But, you know, I never did just... Somehow, I just never could see it just like that." He said...
And I said, "Oh, you haven't got nothing then. That's all there is to it. You ain't got a thing, 'less you do it. That's all."
He walked over to me, took a hold of my hand, looked me right in the eye and put his arm around me. He said, "But we're brothers, aren't we? We're going to heaven, aren't we, brother? "
I said, "Yes. And, brother, happen to be, I'm on your side." See?
102 Now, I said, "That man proved, by that, that he did have the Holy Ghost, and the other one proved he didn't have the Holy Ghost." That's right. See? That's exactly. See? The man had theology, but as soon as I told him something to cross up his theology, then he flew to pieces, 'cause he didn't have nothing else but his theology. I crossed this other man's theology, and he had Christ to hold him there. Amen. Oh, my.
Be a good wagon, loaded up full of good things, and have faith with one another, faith in God, and love one another, and the Lord will bless us. Don't you believe so? Amen.
104 Now, before we open this blessed old Bible here, let's pray. Our heavenly Father, so good today, to know that Jesus died in our stead, to save us from sin, and to bring us together as beloved children in the anointing of the Holy Ghost, healing our diseases, "forgiving all of our iniquity; Who healeth all of our diseases," renewing our youth as He does the eagles, that we could mount up, way high...
The eagle can go higher than any other bird, 'cause he can see afar off, and see things that's coming. We're thankful this morning, Lord, that You put with us the eye of the eagle, the Holy Spirit that looks far off and sees the great time coming, when Jesus shall come. All troubles will be over; all sickness will end; all sorrows and death will flee away. We're happy for this, and to have the opportunity, living in this great marvelous day now, to preaching the Gospel.
106 And knowing this, that Satan is making his last punch at the Church. He will never be able to do it after this age. She will be safely under the wings of Her Lover, after this time. And we realize that he's impersonating in the way of religion. He's doing all kinds of things. And the Bible said he'd be like a roaring lion, devouring what he would. He'd be so shrewd and cunning, that he would deceive the very elect if possible, "if possible." But, O Lord, Thou art the protection of those who flee to Thy bosom for a refuge. And we come in Jesus' Name; receive us, Lord.
Bless the reading of Thy Word. Bless the people here. So glad, Lord, to be home today, to where we don't need an interpreter, where we don't need someone to translate the language. And we think, then, when we get home to glory, they'll need no more translators, no more interpreters, we will all speak one great language there. Babylon will be in the past then, forgotten, no more remembrance of it; it'll all pass away.
108 So, Father, we pray that in Jesus' Name, that You'll interpret the Word to us. Bless us. Bless every sinner, Lord, that's sitting present; may, during the time of the preaching of the Word, may he be convinced that he's lived wrong, and will come, he or she, and give their lives to Thee, in surrender today, knowing that it's the last day.
May the saints be lifted up. May we go from here with a new vision today, going in the strength of the Lord. May the sick go away, this morning, well. May the preaching of the Word bring it. May every sick person be healed, all those who are very sick; some of them sick, blind, cancer-ridden, heart trouble, all kinds of conditions. Thou art the Healer, Father. And may You manifest Yourself in the Spirit this morning, realizing that there's nothing in a man could heal another. But the healing lays in faith in the Lord Jesus. And may He be so close, till every one today, can accept their healing (grant it), and accept their salvation above everything. In Jesus' Name we pray. Amen.
110 Now, I want to take a little text here this morning, for just a little talk of a drama. I spoke on this subject once before, and I was asked to do it again at the Tabernacle.
One day here recently, I was down in Kentucky, at Campbellsville. And setting in a--a little place there, a little motel, there was a... That night, reading in the Scripture, I read a piece of Scripture about a very foul woman in the Bible. And she done a great honor to Jesus.
And Jesus, to one of those women, once said, "This story must be told everywhere this Gospel is preached."
And I thought, "I--I had never spoke on this anywhere. I believe I will just try speaking on it, in a little drama."
And then I was asked this morning, if I'd--or a few days ago, rather, if I would come back to the Tabernacle and--and speak on this again this morning. And I pray that... Maybe some was here, was down there when I preached on it. I will try to approach it from a little different standpoint.
115 And now the--the Scripture reading is found over in Saint Luke the 7th chapter, and beginning with the 36th verse. I will read the one verse, then, when you go home, you read the rest of it. Saint Luke 7:36. Or, maybe I will read some, some of It, 'cause it's--it's good to read It.
You know, the Lord's Word is always perfect. You know, we just watch the ages roll on, watch science raise up and say, "Oh, God was mistaken there." In a few years they come back around, say, "You know, He was right." See? They always... See, they scientifically proved He's wrong, first, then they have to tear all their theology down, come back, and prove that He was right. See? So God just sets in the heavens and laughs at them, I suppose, and say, "Oh, my. Poor little kids, why don't you just come to yourself? Come, serve Me, and just believe what I said about it." See? That settles it.
117 So, now, I've given you a chance to turn to the Scripture.
And one of the Pharisees desired him that he would eat with him. And he went unto the Pharisee's house, and set down at meat.
And, behold, a woman in the city, which was a sinner, when she knew that Jesus set at meat in the Pharisee's house, brought an alabaster box of ointment,
And stood at his feet behind him weeping, and begin to wash his feet with her tears, and to wipe them with the hairs of her head, and kissed his feet, and anointed him with the ointment.
Now... the Pharisee which had bidden him saw it, he spake within himself, saying, This man, if he were a prophet... (You get it?)... This man, if he were a prophet, would have known who and what manner of woman this is that touches him: for she is a sinner.
"If He was a prophet." See? That's what they had Him there for.
And Jesus answered, said unto him, Simon, I have somewhat to say unto thee. And he said, Master, say on.
There was a certain creditor who had two debtors: and one owed five thousand pieces, and the other one fifty.
And when they had--when they had nothing to pay... frankly forgave both of them. Tell me whereof, which of them loved him most?
Simon answered and said, I suppose that he... whom he forgive most. And he said unto him, Thou hast rightly judged.
And he turned to the woman, and said unto Simon, Seest thou this woman? I entered into thy house, thou givest me no water for my feet: but she's washed my feet with her tears, and wiped them with the hairs of her head.
Thou givest me no kiss: but this woman since the time I came... has not ceased kissing my feet.
My head with oil thou didst not anoint: but this woman hath anointed my feet with ointment.
Wherefore I say unto her... Wherefore I say unto thee, Her sins, which were many, are forgiven; for she has loved much: but to whom little is forgiven, the same loveth little.
And he said unto her, Thy sins are forgiven thee.
And they that sat at meat with him begin to say within themselves, Who is this that forgiveth sins also?
And he said unto the woman, Thy faith hath saved thee; go in peace.
119 You know, there's something wrong. To begin with, the--the picture don't look right, somehow. You can just tell, there's a little something wrong here. What would this Pharisee want with Jesus? He had nothing for Him. He hated Him. The Pharisees didn't like Jesus. Why, would he be asking Him to his dinner, for a guest, when he hated Him? Usually, men ask one another to dinner when they love one another. But this Pharisee inviting Jesus, that don't look right, does it? And it's just something wrong with the story here, somewhere.
So now, let's not be in no hurry. And let's just look this story over for a little while. Let's take it in a little way of drama. And let's--let's think it over. There's something wrong.
120 You know, people have things in common. You know, people who love the Lord, they like to go to church, because they--they have things in common. They--they... We have common grounds for things. We come here because we're all believers in this--this way of worship. We believe in Divine healing; that's the reason you bring your sick here. You don't go to places they don't believe in Divine healing to--to get healed. You go to places where they believe in Divine healing. And we believe in worshipping the Lord in the Spirit. And that's why you come here, is because we have... It's fellowship.
121 Now, as I've often said, just like you take a little bitty girl, and she follows grandma around all the time. Better watch. There's something wrong there. There's too much difference in their age. One is a little six-year-old, and the other one seventy. There's something wrong. Now, she might be grandma's pet (You see?), so that might be. Or, maybe grandma might have a pocketful of candy, you know. So there's something, the reason that little girl... Because why? She won't play with the children; she just follows grandma. There's something--something curious about it, 'cause little children has things with little children. Little children play with little children. The Bible speaks of that in Isaiah, little children playing in the streets.
122 Now, you take in Germany there. I seen the little Americans and the little Germans, all of them, playing together. The little German would be rattling off German, the little American speaking English, but they played together. They were children. They had things in common.
Young women have things in common. They associate with young women. They talk about their boyfriends and--and different things. They--they associate with one another. The middle age, they have their things in common.
The old people have their things in common. You take the--the older women, they speak of, about the older women. They have things in common that they talk about.
125 And we have different clubs, like the Kiwanis, for instance. The Kiwanis, the men of the city, they meet together and talk together. They have things in common they're interested in, in the social affair of the city. They want to know how they could make it a--a better place, and how they can feed the poor, and so forth (You see?), so they--they have a meeting place. They have things in common. They want to talk about these things, subjects that they wish to talk on.
As mama used to say back there, she used to say, "Birds of a feather flock together." That--that's a whole lot of truth in that. See? You take...
You don't see buzzards and--and doves having any fellowship. They scatter from one another, quickly. Why? They haven't got nothing to talk on. Now, a buzzard could talk to a buzzard about an old dead carcass somewhere.
128 And that's like sinners. They talk about big dances and parties they're going to, buzzards, so they--they like to talk about those things. But a dove can't. He ain't interested in--in that old dead carcass; let it lay over there. My, he can't stand the smell of it. He gets away from it. See? That's the way. Christians talk about wholesome things and good things; and sinners talk about dirty things, and ornery things, and sing ornery songs.
And even, it's so much disgraceful in our America here, till even the people over there want to know what kind of women we got in this country. Said, "All of our songs are dirty songs about our women. Have you got any nice ones over here?"
And a certain organization had a convention there. Paper wrote it up, while I was there. And they had to make the young ladies put their jackets over their legs, so they could take their pictures, to keep from disgracing the picture, the paper: wearing shorts, in a great religious organization of ours, come to Germany. My. Buzzards, that's right. Birds of a feather flock together. It's too bad, but it's the truth.
132 Now, we're home folks, and we want to talk like home folks. We want to--we want to talk to home folks. And now, that's the reason that they don't have any fellowship.
Night and day don't have any fellowship. When day comes on, night just flees away. But night can't come on and put out--put out daylight, when daylight. And daylight... Daylight and night can't accept the same time. They can't exist through the same channel. And light is so much stronger than--than--than darkness; darkness scatters.
Did you ever notice? Spiders, black widow spiders, serpents, and all kinds of poison things, reptiles, they sneak and crawl at night. Why? They are of darkness. They're of the kingdom of darkness. And they won't associate in the daytime with the mockingbird and different things, because they are of darkness. Their works are darkness. They're evil things. Their life in them is evil. If they bite you, it would kill you, if you couldn't have some aid right away. And they--they have fellowship in darkness.
135 That's the reason that people today, most of them sleep half the day, run around all night. See? They're... It's darkness. That's when evil is done, is in darkness.
But Jesus said, "You're the children of the Light. Walk in the Light, and you won't walk in darkness. He that walks in darkness doesn't know where he's going." He can't see where he's going. But a man that's walking in Light, knows where he's going. You might have a lot of stumbles, but we're homeward bound. That's one thing sure. You know where you're going, because you're walking in the Light.
137 But this fellowship, this Pharisee that invited Jesus... The first thing, I want you to know what a Pharisee means. A Pharisee means "an actor." Find the Greek word for Pharisee, it means "somebody that's acting." I don't like that.
Actors, we have too much of that in America, actors pretending to be something that you're not, acting like something that you're not.
As Congressmen Upshaw used to say, the old slogan he used to say, "You--you're trying to be something that you hain't." That's right. You're trying to act like somebody else, and you haven't got no business to be.
140 Our American people, for instance, in Hollywood... When I get over there, you find so many people over there that's a actors. They stay before the camera so much, till when they get on the street, they're acting some imperson--or, some person or personality of some day gone by. And they get on the street; they find themselves still acting: Pharisee. And it's not only in Hollywood. We have it in Jeffersonville. You're looking at too many televisions. That's what's the matter. That's right. That's right. Actors, Pharisee, trying to act like something that you're not, putting on.
You don't only find it around on the streets. You find it in the pulpit. You get fellows go in the pulpit; they get a pulpit voice, "Well, I tell you, brethren," a pulpit voice, acting. Pharisee, hypocrite: talk like you do on the street. Don't try to put on something. I hate to see anybody trying to put on something.
142 A lot of the sisters, sometimes, you know, they, like the men, they put on; go up to their house and hear them say, "John, get over there in the corner. I told you you wasn't going."
"Yes, my dear."
The phone rings. "Oh, hello..." Pharisee, you actor; quit acting like that. Be yourself. Act normal, natural; people will think more of you. Don't try to act like somebody else; you're not. Just be yourself.
But all that put on, Pharisee, acting like somebody else when you're not. I don't like that. You never know how to take a fellow like that. You don't know where you're standing with him. He don't know where he's standing himself, 'cause he's something, one in his heart, and something else in his mouth; so he's an actor. I just don't like it. It just seems to be too much of something that's not right, putting on.
145 But American people let the little girls go out here and see these--these, some of these women from Hollywood, put on some kind of a vulgar dress. First thing you know, here she is out on the street, same thing on: actors, Pharisee. That's right.
Then you see somebody, a minister, go across the country with a ministry. You find out, here comes some Pharisee actors, putting on, impersonation. It lays in every walk of life: actors. It's too bad. Why don't you just be yourself? God will think more of you. Just be... Everybody knows what you are anyhow. You're life speaks what you are, so don't act.
147 What'd this Pharisee want with Jesus? I can't get that in my mind. What did he want with Jesus? He hated Him. And here he is, going to have a big supper now.
And oh, my, I can see it, walking up-and-down his great big corridors of his home. How they can put on. Walking up-and-down there, rubbing his chubby, fat hands, you know and the big diamond-stud rings all over his fingers, saying, "Well, I suppose, getting about time for me to have my banquet. Hmmph." Perfumed rooms, and his Persian rugs on the floor, walking back and forth, this big fat roly-poly Pharisee, walking back and forth, said, "Well now, if I could just get some sort of entertainment. If I could just find something. 'Course, you know, I'm a well-known man. And I stand in good with all the--the--the upper crust." Huh. Huh.
Upper crust? That's what people has got their mind on today, is the upper crust. What do I care about the upper crust? I want to know what Jesus wants me to be. I don't care about the upper crust. Let them take care of theirselves; they're buzzards, Pharisees, acting. Let them alone. Jesus said, "They're blind leaders of the blind."
150 Some man wrote me a letter from over in Germany, said, "Come over, and let him put some--some sacks over peoples heads, and then let me know what was wrong with them, then he'd--he'd talk with me."
I said, "Tell that old fox, 'Today I cast out devils, and tomorrow I'm made perfect."' Amen. Amen. Devil, actor...
152 Here he is, walking up-and-down, say, "You know, I am the greatest degree in this city. My word in the Kiwanis stands high. And at the temple, everybody looks up to me. I am Dr. Pharisee, Father. I'm the big shot around here. I got plenty of money. Everybody knows it. I live in a mansion. Everybody looks up to me. Oh." [Brother Branham snaps his fingers--Ed.] "Why didn't I think of that?" I can see him rubbing his hands together. "I know what I will do. I know how I will get everybody out here to my party, and I will be the talk of the town."
That "I, I, I, I, I, I," you know, that's a disease, so many people get it. "I will do. I did. I will." Get "I" out of the way. Where Jesus belong in this thing? "I will do." See? "I will do," and "I will have," and "I will say." And, "I, I, I, I," that's all they think about.
He said, "Well, why didn't I think of that before?" All right. It dawned on his mind, what he was going to do. So it's long, late in the evening. I see the sun going down.
155 And there's someone, great crowds of people standing around. And they... I see this fellow standing on his toes; he's looking over the crowd. And everybody's setting breathless. They're listening to the Words falling from the lips of a Man that, "Never a man spoke like that before." He's teaching.
And I see this courier from this Pharisee's house. He's got a commission to run. He's been going all day long, two or three days, maybe, coming from way lower Palestine, plumb up into the northern part, trying to find Jesus. So he finally runs on to Him; getting late. He's sweating, tired. His legs is all full of dust. He's just a flunky at his master's house. That's what they were. They had a lot of flunkies just to work for them, do their dirty work and everything.
158 So, he--he is standing there, all tired. And he's standing on his tip-toes' and, "Whew. At last I found Him; for my master, the Pharisee." So he--as he's looking. After while Jesus leaves off His speaking, and He starts praying for the sick.
I can see this courier coming, elbowing his way through the crowd. He's trying to get up there. He bumps into somebody. Maybe it was--maybe it was Nathanael, or was it Philip? I don't know, I wasn't there. But, anyhow, he... Let's dramatize it, a minute.
I see him bump into him, and say, "Sir, I would see your Master. I have an important message for Him from my master. Could I see Him?"
161 Well, first, Philip never paid any attention to him, 'cause there's so many people pressing to get to Jesus, and want Him to lay their hands on their children and things. And--and he had a time keeping the people back.
So I see him catch him again, and say, "Master... I have a very important message from my master to your Master. Could I speak to Him just a moment, to give Him this message? I will go."
Well, I see Philip finally get him up there. Say, "Master, this man seems to come from another country; he comes from some great man; and he's got a message for You."
And I can see the courier, as he bows his head to Jesus. And Jesus, in polite way, nods His head to the courier. He'd say, "Master. My master, Simon the Pharisee, is making a great banquet at his house; he's a well-known man. And he's having a great dinner, and, oh, he can really put on a good dinner. You all know that. And he's inviting You to come down and be his guest at the dinner at a certain such-and-such a date." Well, I can hear...
165 What would you have done, if you'd been standing there? Well, you'd done the same thing, probably, they done. He said, "Oh, no, Lord. No. You don't want to go to that Pharisee. He ain't got no use for You. Look at the thousands of sick people here. Why, everybody is trying to touch You, Lord. You don't have no time to go down there to that old fat Pharisee down there. Why, he--he's just loaded in money. And he--he--he don't need You. Why, You don't have to go down there. Don't go, Lord." I can hear Philip say, "Don't go, Lord." And hear Nathanael and Peter and them, say, "O Lord, don't. Don't do that. That Pharisee doesn't need You. Why, he's only... He's got... He's using You for a trump card. He--he--he's got something up his sleeve. He--he's fixing to play something." And that was true.
But, in the spite of all that, wherever my Lord is invited, He will go. He said, "Tell your master, at such-and-such a date at such-and-such a time, I will be there."
167 And the courier bowed his head and started away, run away, back to see his master. How could he do it? What caused him to do that, just bring that message? And standing before the Prince of all princes, and have an audition with Him; He has an interview with the King of glory, and fails to see his opportunity. He's so took up with things of the world, his master's business, until he didn't catch what his opportunity was.
Oh, I'd like to take his place. I'd like to get to Jesus sometime. I try to go daily for your troubles. But never do I ever leave Him, when I'm in His Presence, until I worship Him.
Why couldn't that courier fall on His knees, say, "Now, Lord, first thing I want to do, knowing that I'm standing in Your Presence and got Your attention: forgive me, a sinner." That's what he ought to have done. That's what I'd have done, I believe. Don't you? I believe I'd have asked Him to forgive me. "Lord, be merciful to me. I'm a sinner. I'm without hope, without God. I'm just a flunky in the Pharisee's house. Will You forgive me?" But, no, he had something else to do. He had to take care of the civil things of the world, the civil law.
170 And don't you think that we're just a little too much took up with such stuff as that? Oh, we have to polish the car. We can't go to church on Sunday. "Nah. Oh, I know Jesus comes to the church, but, my, I ain't got time to go over there. If--if I fail to get my oil changed today, it may burn my bearings out tomorrow." Burn them out. I'd rather my bearings to be burnt out, than my soul to torment in hell through all eternity. Don't miss your opportunity. It's presented to every man and woman in this world, daily, like that, but they fail to get to see their opportunity.
He failed it. There he was.
But we got other things to do. The children has got to be taken care of. "We can't go to church, too many kiddies to get ready." Take them, anyhow. "Well, the--the neighbors will say something." What do you care what the neighbors says? Use every opportunity. Get to Jesus; that's the main thing. Don't be took up with the affairs of the world. We spend too much time on those things. Make your way to Him. And when you get there, pour out your soul to Him.
173 Not say, "Lord, I will serve You next year if You'd give me a Cadillac instead of this Ford. Lord, I will do this, and this and that, and that, if You'll do so-and-so."
Come, say, "Lord God, I'm no good; there's nothing in me. Forgive me. I'm a sinner." That's the way to do it. Don't stand off and be an actor, Pharisee. Don't run off with so many civil things, so much little petty stuff that don't mean nothing anyhow. Your automobile and everything you got will perish. Take care of your soul. Get it first. Straighten that up in there, till that deep, settled peace, that passes all understanding, comes sinking down into your heart, and you feel Him kiss away every stain. Then, brother, nobody will have to tell you what to do after that; you'll know what to do, yes, if you ever touched Him once. No man can ever come in His Presence, and talk to Him, and ever go away, and be the same person. You're always changed. When you talk to Him, there's an impression strikes your soul that you never forget it.
176 How I remember the first talk I had with Him. I was twenty-two years old. I was ashamed to talk to Him. I wrote Him a letter. I was going to tack it up on a tree in the woods, so He could read it. I was so ashamed of my life. And I thought, "Well, maybe He might not pass by that tree, but maybe He will hear me if I will just talk to Him." And I got down and said, "Mr. Jesus, I want to talk to You a minute. I'm the worst person in the world." I went away a different person. See, that's the way it is. It's your approach to Him. And you're realizing your need.
But the trouble of it is, we're too good. We feel we don't need Him. You got to feel the need of Jesus. You got to realize that He's--He's your only hope. You've got to be so thirsty, that you're ready to perish, then You'll make your way to Him. You won't come up with some civil question. You'll come up with the need of your soul. You'll come up telling Him what it's all about.
179 Off goes the courier. "Oh, it's all over now." And well satisfied, too. "Yeah, I--I've done my master's bidding." You might do your boss' bidding, on the job. You might do your husband's bid--bidding, about changing curtains or whatever, at the house. But what about Jesus' bidding? Pray. Certainly. There it is. Get to Him.
Now, the next thing we find, we find him going on. Now, in Palestine when they're making entertainment, only the rich... You have to be in the East, once, to--to know the East. Then you got a different view of things, if you're ever there and look how their customs are.
181 In Palestine, the way they eat, they set a big table out like this. And you don't set down to eat in Palestine.
It ought to be good for you children. Like the little girl sitting here in the front, with her little blue dress on, little pink ribbon. And, you know, lot--lot of times, those children like to kind of lay over on their arm, like that, and eat. See? You know, after all, that's right. Yeah, that's right. Mama don't think it's right, now, but, and it isn't just etiquette today, but it is in Palestine. They don't eat on a... They don't eat on a--a chair, set in a chair. They lay on a couch and eat. So they had a long table set, and they set their couches in, slant-ways, like this, all down along. And each man, instead of...
183 Something on the order of this. They set the couch in like this. [Brother Branham illustrates--Ed.] And when they go to eat, they lay down like this, put their hands up like this, and eat like this. Now, you'd like to eat like that, wouldn't you? Uh-huh. And that's the way Jesus and them eat in their day. Now, they lay back there and they eat.
And, oh, do they have fine food. My, I imagine this Pharisee could really put on a feed, too, because, remember, he was a rich man. And he got a cut out of every lamb that was offered as a sacrifice. Yes, sir. The boys slipped the pruning hooks in, and what they brought out belonged to the priest. And he could really... He really had money. He was a man of wealth. He was no pauper. He belonged in here in the upper crust.
185 But he invited a Pauper. What for? The big hypocrite, he was going to make some fun out of Him. I can hear him say, "Now, all is setting fine. That holy-roller said He'd come to my dinner. Ho-ho-ho-ho. Wonder what Pharisee Jones will think about that? He hates Him too. Won't we have some fun? Now, He claims to be a prophet." [Blank.spot.on.tape--Ed.] "Ha-ha-ha. We know He's not. So we will have some fun out of Him when He comes. We will have some fun."
186 That's the way. Very few rich people today has any time for Jesus. I'm so glad He is mindful of the poor. I don't say all rich people; some love Him. Sure, there is. But you take man, when he's got houses, and lands, and cars, and everything; he--he is so busy with that, he hasn't got no time for Jesus. And then he deals with a class of people, that he just can't accept Jesus. Hallelujah.
I think of it today. A man in a great social standing, how could he get on his knees, and cry and beg out to God? Go down the street, testifying? It would ruin, it would spoil, his social standing. Who cares about social standing? I want my standing in glory. Amen. Name on the Book of Life, that's what I want. Don't care nothing about your old social standing. Take your upper crust; going to be burnt into a crust, anyhow, so go on.
187 There he is, "What could I... Oh, won't everybody in town come around now? Ha. You know, them poor people down there, they believe in such stuff as that. Say, all around my house, oh, the newspapers will pack it. I will tell you; I'm going to have a blow-out." Yeah.
You know, that kind of spirit still exists. Oh, sure. Pride, oh, it's a cursed thing, pride. "Oh, I will put on my very best ecclesiastical robe. And I will... my servants."
Oh, you ought to see how they dress them servants. My, they--they... Sometimes they bring the Indians in there, and they're really dressers. They put little bells on the toes of their shoes and their fine robes. Even when they walk, it--it plays music. And they have their platters full of fine spiced lambs, and things. And they bring it out like this, one hand behind them like that. And their toes a-moving like that, playing music. And they come out and serve it in such a way, why, if you wasn't hungry, you'd be hungry anyhow. Oooh, it smells wonderful. How they can cook and fix it up.
191 And he said, "You know, it's just the time of year, that my... I don't believe I will have it in the house, because too many couldn't see me, in my best home." See? Hypocrite, Pharisee, Actor...
A lot of people today has to go to church to show your religion. Oh, my. That's right. "I will go to church. I will be a pretty good fellow at church, and people will think I'm real religious." You Pharisee, actor. Jesus sees you all the time. He knows where you're at. He knows all you're doing.
And here he goes down there then, you know, and he says, "I will just move it out on the--out on the piazza, out there in the yard. And you know, these great grapes that I got here, these great, big, white ones. Oh, they're delicious. So, I just timed it. They're in, full. The harvest is just ripe. And the smell, that aroma coming through there, won't it be beautiful? And I will set my table out there, and all the people will come around the gates, and look around."
194 That's the way Easterner does, anyhow, always gaping at something, everything goes on. You don't have to have... A crowd about getting a crowd; just go over there and start something. They'll all come. Everybody will be right there, looking on, you know.
Said, "Oh, all around my gates and everywhere, the people will be standing. And, you know, I will be the talk of the city for the next year. I will be. I will be. Oh, it'll--it'll--it'll boost me up, see. It'll make me something."
Who cares about "me"? You ought to be thinking about Jesus, not what you're going to be when you become a Christian, but what are you going to do for Christ when you become a Christian? "I will go to church. I will join. And I will be sprinkled," or whatever you do, and take you in the church, and shake hands. And put my name on the book, and I will be considered a--a better person. I will be considered..." Is that all you come to Christ for? Shame on you, actor. Pharisee.
197 I come to Christ to see what I could do for Him. I got to do something for Him. I want to make Him better. Let people see Him.
Not long ago, was a healing campaign come to a certain city. "The man of the hour," pictures on their papers, out on the walls and all over everything, and not Jesus' Name mentioned once. I said, "Where does Jesus come in on this? 'Here's the man of the hour. The man with a heart for the people. The God's man for this, and God's man for that."' I said, "Where is Jesus at? I thought He was the Man of the hour. I thought He was God's Man. Where is He at?" That's what it is, a bunch of actors, Pharisees. Amen.
199 Notice. Oh, he's going to put in on big, out there. And said, "Then, at nighttime, when I--I light the candles and so forth, and hang them out in the air. And the soldiers standing by, the guards with the--servants with their torches on, won't it be wonderful?" And how, oh, rubbing his hands, and so forth.
And then, finally, the day arrived for the--the great banquet. It's going to be set now. And then they got everybody ready. And after while, I hear the bells a jingling, and up come Dr. Ph.D., F.D., So-and-so, D. Jones, Pharisee, the big fellow rolls up there, the chariots, you know, stop. They always got a bunch of flunkies around, those rich people. And somebody comes out and takes his horses, and he takes them over to the stable and feeds them, and grooms them. And then he's invited into the house.
201 Now, in Palestine, the first thing, when a man comes to the house, most the people, in coming in--in--in those days, it was by foot. Their only way of transportation was by walking, and--and--and walking on the roads. They have a robe, and the robe comes down to the foot. And the foot is covered by a sandal. And the underneath garment just comes to the knees, and it's cut off here at the knee, the underneath garment, under the robe. And the man, when he's walking, or--or someone, when they're walking like that, that robe moving along, sweeps up the dust. And the dust settles on the knees, from the knees down, and they become very dirty. They're... That's how Jesus talked of washing feet. See? They... It was a custom, 'cause they were--their feet were dirty.
202 And there was many caravans went out in that day through Palestine. And the roads wasn't like ours, concreted or oiled. It was a old dusty, rugged, rough, rocky road, like an old country path somewhere. And in there, the animals carrying, going through there, the--the animal droppings would fall on the ground, and the birds would come pecking in it and scattering it, to go back to dust. And then, when you're walking along with that robe like that, over the rough, rugged road, why, the dirt would fly up and get on your--your leg, and it smelt, had an awful smell, like around a stable or something. And when a person come to the--to the house, the custom was, first, to wash his feet.
203 Now, I will show you how that was done. And come here, Brother Neville, I--I--I want to illustrate this and show you how it was done. The... Come right here, if you will, now, and just be seated there a minute.
Now, the first thing, come in... And the lowest paid flunky of the whole group, was the foot washer. The man who washed the feet was the worst of all of them, the lowest paid.
Now, I want to say something to you. Jesus took the lowest place, a flunky. Hallelujah. That proves to me, He was God. He took the lowest place, to wash feet. Had all kinds of flunkies, but the lowest one was a foot washer, washing that manure, and everything off their feet. The lowest flunky there was, and Jesus took the lowest flunky. Then you're so stiff, you can't do nothing for Him. But He took the lowest place for you. He was a foot washer. Think of it. The King of glory became a foot washer to show humility and to give you an example of what to do and how to do it.
206 And you call yourself a Christian, and so starchy, you couldn't reach down to shake hands with a beggar on the street and talk to him about the Lord. Oh, you're so good.
Find out, there ain't much good about us, when you think of Him becoming a foot wash flunky, the lowest there was. He really, in heart, was the highest there was. He was the heart of God, and become the lowest paid foot wash flunky. Hmm. He Who was great, become to naught, that He might redeem you back and make you great.
208 You know what? I've noticed this in my travels. You usually find, great men are little men. I go around where there's great men, really great men, and I know they're great men. But when I start to leave them, they make you think you're the great man; they ain't nothing. But you take a little two-by-four, don't know nothing; he thinks he's all of it. He ain't nothing to begin with. It's great men are little men. They never brag or take honor. They make you feel that you're great. That's great men.
And here, the greatest of men, the greatest of all men, God manifested in flesh, become a foot wash flunky, with humility. The King of all eternity, all glory, the Creator of heavens and earth, washed the dung off of men's feet.
210 Then, we think we're something. We get on a fifty-dollar suit and... Oh God, have mercy on us. We think we're somebody, walk along with our head up in the air, "Oh, I belong the certain church. I'm as good as anybody there is." Oh, you poor, wretched, miserable, hyp--Pharisee. You're only an actor. You ain't got no salvation. You'd prove it if you did. That's right. "Oh, I sent a check in for fifty dollars to charity, last year." Who cares for that? God don't look at that. He looks at your heart. You're trying to act like you're something. He never rebuked you for it. But why don't you go out and do something? Just acting.
211 Here, the first thing they done when a man come in, he got... Walked to the house, if he wanted to be really welcome, the host welcomed him. Now, the flunky met him at the door; the first thing he done, was reach down, take off his shoe. And he took his foot like this, like this here, and set it up over his foot, and got down and washed his feet like that. After he washed it off real good, took a towel and wiped it, he washed the other feet. He took his sandals and set them up on a mantle, like this, up there. Then he reaches over, in return, and get a nice set of satin sandals, silk or satin, and he takes his foot, and after they're dry, and fresh, and everything, all the dung washed off of them, then he takes and sticks this on. If it don't fit, he get him another one, until he gets it fit on real good.
212 Then, he's all washed down. He feels pretty comfortable. Then he goes into a little chamber. This man meets him at the door. Then he goes into a little chamber, there stands another servant, and he has a--a cruse of oil. And, oh, it's called spikenard, and what a famous stuff that is. And he puts it in, a little in his hand, a little in the other hand, and he rubs it together, rubs it over his face and over his neck. Because the direct rays of the Palestinian sun, both men and women, has to keep themselves oiled. It'll just tear the hide off of you, nearly, and their neck, and around on their cheeks. And this...
Now, oil will contaminate. That olive oil, if it sets here very long, get an awful smell to it. But they put, oh, a spikenard perfume in it. And that's a very costly thing. Now, they get it down in--in Arabia.
215 You notice, a rose, when a rose blooms, and after the bloom is gone, it leaves a little apple where it was at. You've seen that many times, a little--a little bud.
Now, there's a bush, a famous bush, it grows high into the mountains, way down in Arabia, and they take that little bud after the--the rose is gone, they take that little bud out of there, and unshell it, and it's got the most wonderful smell. I seen one one time, and you could rub it on your hands like that, and one of them little buds like that, and you'd smell for two weeks, of that perfume. Oh, it's very costly.
The Queen of Sheba, when she came to meet Solomon, that was some of her treasures that she brought, some of this famous perfume from down there in--in Egypt.
218 Now, watch. Then they put that in that, and, oh, it's very costly. And they would put that in there, and they would rub their face and their neck. And then, instead of the smell of the odor, the feet was washed, all the dung and stuff was washed from his feet, and there he sets then with his face all bathed over, and his neck all bathed over. And they give him a towel and he pats it off, like that, and he feels fresh then. Then he goes to the host, then.
Now, right here, Brother Neville, if you'll stand up. Now, now, say, he was my guest. Now, the first thing he does, when he meets him, he reaches out a hand like this, and lays it on his shoulder. And he lays his hand on this shoulder, like this. Well, then, when he does, he reaches up and kisses him on the neck. Then he takes that hand down, lays this hand up, and this one here, and he kisses him on the neck there. Now... (Thank you.)
220 Now, when he does that, he's kissed, and he's a brother. He's welcomed. Hallelujah. He can go in the ice box, set down, make hisself at home. He's a brother. Hallelujah. His feet is washed. He's--he's refreshed. He's anointed. And he's kissed "welcome." Amen. Then he's a brother. He could go right in, feel just as welcome as if he was in his own house.
Now, he goes in and he sets down, and he could do anything he wants to. He's welcomed. He's washed; he's cleaned. He's anointed. And he's kissed "welcome." That means, the host, when he kisses him, he recognizes him as a brother, and he's welcome to anything there is in the house. He don't have to use any more etiquette. He's at home. He goes right in, goes to the ice box, or whatever he wants to do, just making hisself at home. He's all right then.
222 Now, how did it happen? How could it be? How did that flunky ever let Jesus get by? Here He is, setting at the supper, at the dinner, with unwashed feet. He's sitting over in the corner. Oooh, I wish I could've been that flunky. I wish I could've took his place. Here's Jesus, somehow...
Oh, he got Dr. Jones' feet, certainly. He got all the rest of them. He washed them and anointed them. Simon kissed him welcome. And there they are, standing over there, so entertained. "Oh, Dr. Jones, you know what? Over at the so-and-so, the other day, Pharisee So-and-so... Do you remember Pharisee So-and-so? You remember?" Oh, so busy talking about the affairs, till they failed to see Jesus come in.
And I wonder, today, if we're not so interested whether we are Methodist, or Baptist, or Presbyterian, we failed to see Jesus come in. O God, have mercy.
225 How I would like to took that flunky's place. How I'd have liked to have got up at His feet.
How did he miss it? Oh, he was too interested in what the big church was a doing. Jesus somehow come in.
I can hear Him say to His disciples before leaving, "Well, we better go." They had hundreds, about a hundred miles, of hot Palestinian roads to travel.
But let me give you a point here. Jesus always keeps His promise. When He said He'd be there, He was there. Hallelujah. When I was laying here in the hospital, dying, He give me a promise He'd be there. He promised He would heal me. He kept His promise. He said... When life's over, when my last battle is fought and my age is gone from me, I'm getting old, and I'm down to the river of Jordan, He promised He'd be there. He will be there. He keeps every promise. "I will walk through the valley of the shadow of death. I will fear no evil. Thou art with me." Won't have to worry; He will be there. We used to sing a little old song here:
I won't have to cross Jordan alone,
Jesus died all my sins to atone;
When the darkness I see,
He will be waiting for me,
I won't have to cross Jordan alone.
229 I've went through a many a river here alone. I been often forsaken by friends, made fun of by friends and relatives. But there's one thing sure, He will be there. When the time comes, He will be there. He always keeps His promise. Glory. I know you think I'm crazy; maybe I am. But He will be there; yes, maybe a little early, so He'd be sure to be there. He always keeps His promise.
He's right there on time, just as He promised He would be, and they fail to recognize Him. They had time for everything else, but they didn't have time for Jesus.
231 Look, when our President comes to the city, look how they welcome him. Why, the President would come to this city, they--from the train to the hotel where he stays, is strewed with flowers; the flags are all out; bouquets are throwed in the streets; flower girls go before; the band beats; the music plays; the singers sing; everything to make the President feel welcome.
But Christians, Jesus comes, and you won't welcome Him. Oh, you'll give Him a little place in the closet once in a while, a little closet over to one side. You're ashamed of Him, before your company though. Wouldn't call Him to prayer. Oh, He'd take a little place in the clos... Maybe up in the attic, he might take Him up in the attic, once in a while. When He comes, take... "Oh, I know he's here. I will slip up in the attic, so nobody will hear me pray." Uh-huh. But what's the good part, He comes anyhow?
"Jesus, will You take second place?"
"Yeah."
"Will You take third place, Jesus?"
"Yeah."
"Frankly, I will just take any place you give Me."
233 But you'll welcome the President with everything. You'll welcome your neighbors and cook a big dinner. You'll clean the house. You'll do everything. But when Jesus comes, He takes what He can get. You take Him in the old dusty attic, down in the basement somewhere.
Remember when you went to church one time, 'fore you was a real Christian? About once a year. Oh, you put on your most gorgeous dress; it was Easter, the little bonnet on the side of your head. You complained because the preacher preached twenty minutes. But He didn't rebuke you for it. He accepted it. You went home, put up your new dress, and said, "Boy, that's enough religion for a year." But He didn't fuss at you about that. He just accepted it. That's all He could get from you. Sometimes He ain't getting that from you. You give Him any place.
235 What part has He got in your life today, Christian? Has He got the best part, are you just giving Him the attic, or just a little prayer now and then? What about it? What kind of place you giving Him?
There set Jesus, sitting over by him. His disciples couldn't come in; they wasn't invited. All of them standing around, looking on. And there set Jesus over there, very uncomfortable, smell of the road on Him, dirty feet, unanointed face, not kissed welcome, just setting over to one side in the corner head down. The old Pharisee, why'd you invite Him for, you hypocrite?
237 That's the way it is with your church. You'll pray for a revival; when the Holy Ghost comes, you'll push It off; you'll never make It welcome. Somebody gets healed, or something another, or filled with the Holy Ghost, you'll go around talk about it, push Him off. You don't want the Holy Ghost no more. You don't want a preacher that preaches the Holy Ghost and sanctification. You don't want it no more. You want some classical little half-wit, all polished up with a lot of mental theology, with real good grammar and stuff like that. Give me the old fashion, God-sent, Holy Ghost, God sent Bible preaching, where Jesus is welcome.
239 He will bless your heart. And you'll set and choke it down. You won't make Him welcome. He wants to be praised, but you won't praise Him. But you'll holler, "Hello, Mr. President, how do you? I ain't seen you for a long time." And Jesus comes, you push Him over in the corner, unwelcomed.
You pray, and pray, and pray for a revival, and when the revival begins to break out somewhere, you say, "Huh, not in my church. Have nothing to do with that over there." Oh, you actor: pride, head up in the air, hypocrite. Shame on you.
241 My Jesus has come to this city many times, and you pushed Him in the corner. You've talked about It, said, "It was the Devil." Said, "It was mental telepathy." Said, "There wasn't nothing to it." Shame on you, hypocrite. Jesus will make you pay for that some of these days, at the day of judgment. He comes to the city, He knocks at the door. [Brother Branham knocks on the pulpit--Ed.] He performs things, and people look and say, "Oh, It's nonsense," push It away. And every night, in your church, is praying for a revival? Pharisee, actor, you want it the way you want it. Christ comes in the way that He wants to come. He might embarrass your theology. But there He sets, after He's been invited, and He's come.
How many times has these old cold formal morgues around here prayed for a revival? The other day, they're praying all over the country for revival. Billy Graham and Jack Schuller, and a bunch of them, going across the... praying for revivals. And then here come the Holy Ghost down, and you mark It as apostasy. Hallelujah. He comes down with the same signs and wonders, and everything, and proves that He's there, and you call It the Devil. Hypocrites, you'll die in your television one of these days, and go to hell in the same thing.
243 Acting like, going on with a lot of a bunch of theology from some seminary: actors, hypocrites, never darken the door. Say, "I ain't going over there to church. You remember what..." Oh, you hypocrite.
Jesus, setting, Jesus with dirty feet. They call Him "Jesus," in Germany: Jesus with dirty feet. It does something to me to say it. God, Jesus, the invited Guest, the Prince of glory, the fountain of Life, and unwelcome, with dirty feet, setting there with dung on His feet from the road, amongst all the rest of them, all polished and smelling good. And there He set with droop, weary face, the sweat stains on His beard, eyes drooped down, unkissed.
245 Jesus wants to be kissed. There's a Scripture in the Bible, said, "Kiss the Son, 'lest He be angry." That's right. Jesus wants to be kissed. Did you ever kiss Him? Sure, you can.
He's setting there, unwelcome, dirty feet: Jesus with dirty feet. Oh, don't that make you feel funny? Jesus, dirty feet, unwelcome...
Look what you do with Him, today. Instead of bringing Him into your big fine church, you push Him off in some little mission down on the corner, where the grocery man really didn't even have a grocery. It's so contaminated. It's down there, a little old mucky place, down in a basement somewhere. And you pray for Him to come, and put Him in the dirtiest hole you can find. God, be merciful.
248 But blessed be His Name, He comes anyhow. Say, "What's that up there on the corner, a little old holy-roller tabernacle?" He come anyhow. "There ain't nothing goes up there but the poorest." Well, that's all right, He comes anyhow. Make Him welcome.
Yeah. He tries to get to your big church, but you won't let Him. You know too much. You're too busy with the affairs of the church. You hypocrite, standing there. You invited Him. What did you pray for? He said what would take place when the Holy Ghost come. On the day of Pentecost It proved what He would do when He come. And He will come to your church, and you'll throw It out. You Pharisee, you actor, you're only trying to act what they've drummed into you up there at the seminary somewhere.
250 Won't you welcome Jesus? Jesus with dirty feet... O God. Jesus with dirty feet... The loving Saviour, them feet that are soon to be spiked, them hands, unwashed, with... Feet with dirt and dung on them, from the road, and blistered, and dirty feet, precious hands. Crowned, was soon to be thorn-crowned, a neck that'll catch the creases of the Blood as it pours off His face. And was setting amongst those religious people, unwelcomed. My Jesus, with dirty feet... O God. Oh, if I could be that flunky. Oh, if I could only come and wash His feet. There He is setting there; dirty feet, unwelcome. Nobody wants us to have anything to do with Him, His feet is so dirty.
252 So what did He do? What did He do? He come anyhow. He come anyhow, said, "Yeah, I will be there." So He set there He kept His appointment. He will keep His appointment with you, every time. There He set. And the Pharisee setting up there, rubbing his hands, saying, "Now, look. Now, Jones, you see Him?" Here they are, didn't know Jesus was setting there.
You think He was uncomfortable? Sure, He was uncomfortable. He didn't know... All the people around, He felt uncomfortable. Nobody was making Him welcome. So then, the first thing you know, what did they--He do then? What did He say? He set there like that. Now, listen. Watch what He does.
Now, look on the outside. Let's look outside. There's everybody looking. Nobody knowed who He was. One say, "Well, where is He at?"
256 Now, look, let's get another scene here. Look, coming down the street yonder, I see a--a little old woman. Oh, what a name she had in the city. She was a sinner. We won't go in details about it. She was a prostitute, a woman of ill fame, the one that did wrong. But remember, brother, she's somebody's daughter. That's right.
How do you know what caused that life? Maybe some sweetheart introduced her to such a life, put her in his arms and promised her everything. And then when he ruined her character, run away and left her to spoil another one. And that introduced her to this kind of life. Who knows the story behind her? But now she's marked. No one had anything to do with her. She's roaming the streets, making the money the best she can.
258 I hear her say, "Look over there at Pharisee's house. Wonder what's going on?" 'Course, she can't come into a crowd like that. That's all out of order for a prostitute to ever come to a place like that.
But she gets on the outside. Oh God, I see her stand on her tip-toes, over this big old fellow's shoulders. She's trying to look. She said, "Well, look at all that good stuff to eat. Oh, my. Isn't the rich having... Oh, isn't it wonderful." And her eyes falls over there in the corner. "Well, look. That's Him. That's Him. Oh," she says, "it can't be like that. His feet's dirty. His face is dirty. Why, He isn't--He isn't welcome." He's seldom welcomed amongst the rich. She said, "I... Oh, that can't be. Is it really Him?" She looks again. "Yes, that's Him."
261 She turns around, runs away from the crowd real quick; down the steps, to a street she goes. Up a little pair of creaking steps, as it wobbles as she goes up in her little old attic. She runs over into her--her chest that she has there. She opens it up and pulls out a little bag. It's got all the money she has. She looks at it. She sets it down; it clinks.
She says, "I can't. I can't do that. I must be dreaming. There must be something wrong with me. I couldn't go to that feast. I just can't do this." Perhaps she takes and puts it back. "Oh, but, if... I can't do it; He will know how I got that money. He's a Prophet. He's a Seer. He will know how I got that money. But oh, look, they invited Him, and He's setting there like that. How did they do it? Oh, somebody ought to attend to that."
And somebody ought to attend to it today, but they won't do it. You're too well entertained, have to stay home, look at television; you have to go to the drive-in at night; it's too hot to go to church. Oh, you actors...
264 This old harlot, she picks it up again; she said, "But I must. Oh, I must be crazy." The tears are flowing down her cheeks. She said, "Oh, and to look at Him, to see the way He looked, just sad look, everybody passing by, and nobody making Him welcome. He's setting there as a--as a wallflower, everybody passing by."
That's the way He is today, everybody passing by Him. Oh, you got your churches. You got your religion. You got your doctrines, and so forth. But what about Jesus? You just pass by Him, let Him set there like that.
She said, "I've got to do something about it. I've got to it. I don't..."
You know, there's something about women, I wish to God they would use more of it. There's something about them; they don't stand and wonder like men. We stand and wonder, and figure it all out, but women usually go do what's on their heart.
268 She said, "I--I've just got to do it." So I see her gather her robes together, pick up this little sock-full of just every penny she had. Leaving the old shack, she goes down the street, real hurry. And look over there, and she starts into this great perfume shop.
And I see this old, long hook-nose Jew standing back there, counting his money, the things had been bought that day. He said, "Oh, my, I haven't even made expenses. Haven't even made expenses," all sour, and broke up.
And the first thing you know, she walks in the door. Now, he don't treat her like a lady. He looks out, said, "Well, look what's out there." He don't walk out and say, "Could I help you do something? "
Said, "Well, what do you want?"
She said, "I want the best alabaster box you've got in this place. I want the best you got." clicks the money. Oh, when he sees the money, it's different now. Uh-huh. Yeah. "I want the best you got."
272 He's worthy of the best. What do you do for Him? Give Him the leftover. Oh, yes, you run around all day, and give Him three minutes at night before you go to bed. He deserves your best, friend. He deserves everything you got. But what do you do about it? You give Him just anything. He takes it. He takes it, anyhow. He--He takes it.
But she said, "I want the best." And it cost her everything she had to get the best. That's what you ought to do. Give your best, to give Him your best. Give Him the best of your life. Give Him the best of your songs. Give Him all your talent. Give Him everything you got. Give Him your feet. Give Him your hands. Give Him your eyes. Give Him your mouth. Give Him your ears. Give Him your soul. Give Him your heart. Give Him your praise. Give Him everything you got. Hallelujah. He's deserving of the best.
She said, "I want the best you got."
"Why," he said, "let's see how much money you got, first." So he pours the sock out, counts it out. Yep, two hundred and eighty pieces of Roman denarii, that's just exactly what it cost. Then he goes over and gets the box, sets it out to her.
276 I hear him say, "I wonder what she's going to do with that?" Here she goes out the door. She has to hurry. She's late. It's better late than never, isn't it? You've waited a long time too, but it's better to come. Don't stay the way you are. A long time, you been wanting to really be a Christian. Waited a long time. It's getting pretty late. That's right. But go anyhow. Let this be the time. Let this morning be the morning. "I'm going all the way for Christ now. I got to get there."
Here she come. I can see two men nudging each other, "Look, going there. Look, going there. Look. I guess she's going to the feast, the Pharisee. Wonder if Pharisee invited her?" Oh, you're...
279 We Americans are too good. We just don't realize how low-down we are. That's right. We're too good. We're always better than somebody else. You poor, naked, wretched, miserable hypocrite. Don't you know you are lost? Oh, America, how oft God would've took you, but you would not. How He has sent you righteous men who preached, and lived on soda crackers and branch water, bread and water. And you made fun of them and called them holy-roller, and pitched them in jail, and tore up their places, and despised them. Oh, you're too good. You don't--you don't need anything.
The Bible said in Revelations, "Know ye not that you're blind, miserable, wretched, poor, and naked, and don't know it?" Oh, yes.
281 Yes, ladies, you can take and go out here, and just fix all up, and wear the best of clothes. You can go to the best of churches. You get all fixed up, and have your hair manicured, or ever what you call it, and wear the big high-heeled shoes, and paint all up like a circus, and go down to the church, and say, "I'm just as good as they are." Oh, you miserable, blind wretch. You don't know that you're lost. Yeah. You think 'cause you got a change of clothes... And, mister, 'cause you can ride in a good car today, and got a good job, and the boss pats you on the back, you think you've got everything made. You shun church. You wouldn't go to a place where they went to the altar and prayed. You're ashamed that your neighbors would see you. You poor hypocrite, don't you know you're lost? You don't want Jesus. You ain't got no room for Him.
283 Nudged one another, said, "Look, going there." Yeah.
"They pass me by unnoticed, where they once passed with a smile." You've heard the old song.
Now, I'm marked, marked, marked,
I am marked now wherever I go;
I am marked, marked, marked,
What I am everyone seems to know. (That's right.)
But I been sealed, sealed, sealed,
I been sealed by God's Spirit Divine;
O glory to God. Hallelujah. Amen.
I am His, and I know He is mine.
284 Go ahead and nudge if you want to. I'm on my road. Hallelujah. I will get there by and by. That's right. On his road...
There she goes. She pulls her veil up over her face. Down the street she goes, and all them hypocrites nudging one another. She gets right to where it's at. She raises up, the tears has scalded her cheeks. They see she's been crying. "Wonder why she is crying?"
She stops, outside the edge of line; she looks up. She said, "Oh, I can't. I can't. Oh, I just can't do this. I can't. But look, what will He say when He knows what I am?"
That's a good thing, sinner. He knows what you are. Amen. Come, anyhow; come, anyhow.
288 Oh, you Pharisees, been going to church all these times, and supposed to be a Christian, He knows what you are. Don't you worry. He knows who you are. He knows what's on the inside of you. You're ashamed to come to the altar after belonging to church so long, but He knows you. He knows what's on the inside of you.
She stopped. She said, "Oh, I just can't do it. I just can't do it. What would He say about a woman like me? What would He say? But here, they've invited Him, and it's my opportunity."
Oh, you don't realize what an opportunity you got. You got an opportunity today, friends, to be filled with the Holy Ghost. You got an opportunity today, to be a saint of God. You don't have to be a--a stinking sinner. You can be a saint. You don't have to be a hypocrite. You don't have to be a church attender, and not a Christian. You don't have to go along there and act like you're a Christian, and go to church to hide your meanness. You can really be a Christian. You've got an opportunity.
291 And here she is; she says, "Oh, look. But what would He say if I come? What will He do?" But I hear her say, "Well, one time I heard Him preaching." That's it. If you ever hear His Word, something is different from then on. Oh, glory. "I heard Him down there on the banks of Galilee one day." Said, "All those other kind of people were standing around Him. He raised up His precious hands and said, 'Come unto Me, all ye that labor and are heavy laden; I will give you rest.'" She said, "Oh, You know that's what I need, is rest. My poor, wretched soul is burning. And He said, 'Whosoever will.' That meant me. That was me. Sure. But look what's standing between me and there."
That's what's standing between you and Him. There's a whole lot of impostors standing between you and Him. There's a whole lot would keep you away from Him. There's a whole lot would tell you it was crazy. They're still standing between you and Jesus, but He said, "Come." Hallelujah. "Come." Surely...
293 Brother, you know what she done? She tucked that alabaster box under her arm, and she started knocking one one way, and one the other. She just elbowed her way through the crowd till she got to Jesus.
Could you do that? Elbow your way up, away from unbelief, "Them days of miracles is passed. There's no such a thing as the Holy Ghost." Just keep moving them away, making a way till she got to Him.
295 Now, here she stands. She's standing before Jesus, the only place that she can ever find rest to her soul. She's helpless. She falls down. She falls on the ground. She starts boohooing and crying. The tears are running down her cheeks. Oh, she's so guilty. And she's so sad, to see that Him setting there in dirty feet, at the banquet, and dirty feet. And, she, crying. And the first thing you know, she gets beside herself. She don't know what she is doing.
God help us to get beside ourself, once in a while, in order to get to Jesus, to get saved. Brother, I remember when I come to Him, I got beside myself. I didn't care who was around. I cried. I shouted. I praised the Lord. I didn't care who said anything. I was beside myself. God help us to push aside these old dry creeds and denominations, so we can get to Jesus and get saved.
297 She was beside herself. The tears was rolling down her cheeks. The first thing you know, she was so beside herself. She was standing by the fountain of love. And she was so beside herself, till, she found out, she was washing His feet with the tears that run down off of her face.
Oh, what beautiful water. What beautiful water: tears from the penitent sinner, washing Jesus' dirty feet. Tears from a penitent sinner, washing Jesus' dirty feet. She's beside herself. She's rubbing His feet. She just didn't know what to do. Her heart was so happy that she had the opportunity to stand in His Presence. She was washing His feet with her tears, just a rubbing them.
And the first thing you know, she got so excited, and so beside herself, until she--her hair fell down. She had all of her curls done up, you know, on top of her head, and her hair fell down. And she begin to wipe His feet with her hairs. Oh, what a drying towel.
300 Listen. If some of the women these days would try to wash His feet, and wipe them with her hair, they'd have to stand on their head to do so. They cut their hair off. That's right. Remember, wait a minute, I didn't say that for a joke. This is no joking time. Let me tell you something. That's the Bible. The Bible said a woman's hair is her glory. That's right. And look. What happened?
The only decent thing she had about her was her long hair. And it fell down at her feet--at His feet. She laid her glory at His feet. She was wiping His feet with her glory. Hallelujah. God, help us to do the same thing. Wiping His feet, bathing them with the tears of water from the fountain of a penitent heart, from her heart, pouring out tears, "O God, I'm so wretched. I'm so miserable, Lord. O God." And her glory laying right at His feet. She was wiping the feet off with her glory. What a picture. What a picture of salvation: tears from her eyes, washing His feet. The glory, the only decent thing she had, she was wiping them with it. Oh, my.
302 She raises up; she couldn't get up. She was halfway up, the tears were streaking down her cheeks. It was like fountains running off of her face. And she's washing His feet. And she picks up this alabaster box; she breaks the top of the--the end off of it. And she pours it all of it, not just sprinkle His feet; she pours it all on. All of her living, all of her glory, all of her money, all of her everything, and even all of her heart, pouring the tears, she lays it at the feet of Jesus.
Oh, you poor church member, miserable hypocrite, standing there, all about, so starchy and indifferent. Don't you see what this poor prostitute was doing? She was laying everything at Jesus' feet. She wanted Him to be welcome.
304 What's happened to the party? Who cares what's happened to the party. I'm not interested in the party. I'm interested in a sinner coming to Christ. No matter how she gets there, just so she arrives. The old party, that's the trouble of it today: So busy with the parties and things, soup suppers, entertainments, and baseball games, and bunco in the church, and everything, till you--you let Jesus go out. Oh, what a pity.
Here it is. The party's all broke up. Look at them all standing around, gaping, looking. Now, look. The Pharisee punched the other one, "So you see, if He was a prophet, He would know what kind of a woman that was standing by Him. See, I told you He wasn't a Prophet. See, now I know what it is."
306 That poor woman, she couldn't even hear it. She was so happy. She happened to think, "What if He would move His foot?" Would He move His foot? If she'd have--if He'd moved one foot, she'd have been gone. But you know, He never. He was enjoying it. He was enjoying the service to Him. He was enjoying somebody loving Him that much. He just kept real still. And she'd take one foot and then the other. And she would [Brother Branham makes a kissing sound--Ed.] a kissing His feet. Oh, my, She was beside herself. Oh, God, I wish we could get like that, just set at His feet.
307 Well, then, the first thing you know, old Pharisee said, "See, I told you He wasn't a prophet. He would've known." Said, "Look, that woman will even ruin His reputation." Oh, how blind. Oh, my. Oh, pride is such an evil thing. Listen. She... He thought that woman would ruin His reputation.
Why, brother, Jesus' reputation was made in the presence of sinners. That's where His reputation is made, not amongst the starch and stiff, but amongst sinners who's willing to repent. That's where Jesus' reputation was made, when sinners will come to Him.
309 And there she is, she has got His feet washed. And she is just kissing His precious feet, saying, "Oh, God. Think, where I'm kissing right now; after while, a big old spike's going to be drove through there for the shedding of Blood for my sins," and kissing His feet and going on.
And Simon stood back there, "Uh-hum." Oh, I can see him turn red in the face, and then white with rage. Oooh, my.
Jesus turned around to him. He said, "Simon, I got something to say to you." You see? "I got something to say to you. I've come to your house at your bidding. You bid Me to come. And you never give Me any water to wash My feet." Said, "I've come to your chamber, and you never give me any oil to anoint Myself with." And said, "You didn't even kiss Me. You didn't make Me welcome." Oh God... Branham Tabernacle, wake up.
312 "You didn't wash My feet. You told Me to come, and you didn't wash My feet. You let Me set here, embarrassed. I wanted to be something of value, but you wouldn't let Me. You didn't wash My feet. You never give Me any oil to anoint My face with. They're burning; my cheeks is burning. I've traveled two days through the hot sun. You never give Me any anointing oil to help My poor parched face. My feet's dirty and stinking, and you didn't get Me any water to wash with. And you didn't even kiss Me, to make Me welcome. But," He said, "this poor woman, ever since she's come into this building, she hasn't ceased kissing My feet." Hallelujah. "Oh, I won't do that to you."
Said, "And I say unto you," to the woman, "your sins, which are many, are all forgiven you."
314 What good is your old starchy church going to do? What good is the old paper you got your name wrote on, going to do you? You've got to make Jesus welcome; may get a little of that starch out of you.
He said, "Her sins, which are many, are all forgiven thee." I just can't preach no more. I think... O God. "Thy sins, which were many, are all forgiven thee. Go in peace now." Her standing over looking, Her cheeks stained. Her eyes blurred. The oil all over her mouth and her face, from kissing His feet when she anointed Him. The tears running down her cheeks. Her hair hanging down, soaking with the manure and dust and dung off from the road, hanging in her hair, where she had wiped His feet. And to hear that Word, "You've embarrassed yourself, but," then to hear Him, "now your sins are all forgiven you." Oh, oh, oh. "Thy sins are all forgiven thee. Go in peace." Oh, God...
316 I want to stand there. I want to do that, too, some glorious day when it's all over, I've preached my last sermon. I'm getting old now, I realize. I said to the boys this morning, I said, "I'm already forty-six years old. Oh, I've got to do something for God." I can't be here too much longer; nature shows that. If I stay another twenty, or twenty years, look where I would be. Life is a fading; it's going away. I can tell it.
But one day, when it's all over, I don't want no mansion. I don't want no big something in heaven. I want to crawl up in them same feet. [Brother Branham weeps--Ed.] Look down at them, and pat them a little bit with my hand, kiss Him right on the foot, say, "O Jesus, O..." Say, "You loved me when my path was so dim. When I was so in need, Lord, and so indifferent, You loved me then. You're the One Who brought me through, Jesus. Oh, I love You. I love You." Oh-oh. "Oh Jesus. Oh Jesus. Them feet was scarred for me, Jesus. I love You. I love You." [Brother Branham weeps.] Oh-oh-oh-oh.
319 I long to touch Him like that, say, "Now, Master, You know all about it. I feel like then I could go away. That--that would--that would pay me for every toil of the road. The toils of life may be many, and they may be cold; how little it will seem in that morning when we walk up the streets of gold. There is so many hills to climb upward. I'm often weary. But someday when I get there, and cross my last force. If I can just see Him then, pat His feet, and make Him welcome... If I can say, "Lord Jesus, oh, I'm so glad that You loved me, when I was so sinful. I'm so glad You kept me when I couldn't do nothing else, Lord. Jesus helped me. When I was sick, You healed me, Lord. When I was a sinner, You forgive me. Oh, blessed Jesus, let me pat Your dear feet again." Oh-oh. Oh, my.
320 I just can't preach no more Let's bow our head just a moment, while the pianist come up, if she will.
Dear Jesus, oh, Jesus with dirty feet. Oh-oh-oh-oh. [Brother Branham continues weeping--Ed.] This cold world is indifferent, making You so unwelcome. Jesus, what can I do? Dear God, what can I do? I want to meet You someday, Lord. I want to pat Your precious feet, and say, "Lord, You loved me. You was scarred for me. You were wounded for my transgressions, and with Your stripes I was healed. I love You, so, Lord, because You loved me." Won't You, Lord, let us all do that? Grant it, Father.
322 While we have our heads bowed. [Brother Branham pauses--Ed.] I wonder if you will think now. Would you raise your hand, just a minute, ever who say, "Brother Branham, I've been a sinner. I want to accept Jesus now. I've invited Him to my house, Brother Branham. I've kinda been ashamed of Him before my people." God bless you, mother. "I've invited Him to my house; I haven't entertained Him. I been just a little bit ashamed of it. I'd see my neighbors come in; it's time for me to go pray; I just let it go by, wouldn't say nothing. I'm ashamed, Brother Branham, I did that. Jesus, I'm ashamed. I'm going to raise my hand up to You, Jesus, and ask You forgive me. I've not entertained You like should." God bless you, young man. Someone else raise your hand, say, "God, be merciful to me." God bless you, fellow. God bless you, lady.
324 Jesus is here. He's here just as much as He ever was. He's here just the same as He was at the banquet of the Pharisee. We invited Him to come in this morning. Here He is. Ain't you kinda ashamed of yourself? Don't you want them tears running down your cheeks, to say this to Him, "Lord, I'm ashamed. I--I--I don't want to be indifferent. I--I--I want to love You. I want to do everything"? Will you slip up your hand to Him, say, "By this, Lord..." God bless you, brother. God bless you, brother. God bless you, you, you, you, sister. Look at Jesus' nail-scarred feet. God bless you, brother. Someone else, you just raise your hand. God bless you, sister. God bless you, brother. God bless you, sister. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
... cleft for me,
Let me hide myself in Thee;
Let the water and the...
325 God bless you, Doe. Well, come right on up now. Come right on up. Won't you come down with Him here? Somebody here that's a sinner, wants to come and kneel down?
... double cure,
Save from wrath and make me pure.
While I draw this fleeting breath,
When my eyes will close in death,
When I rise to worlds unknown,
And behold Thee on Thy throne,
Rock of Ages, cleft for me,
Let me hide myself in Thee.
Your attitude now may change the whole picture. Will you come to the altar, kneel down? You who feel guilty, will you come, kneel around the altar? Someday you'll have to meet Him, the Rock of Ages. What are you doing for Him now? This is your opportunity.