Jéhovah-Jiré
1 Gloire à Dieu ! Vous avez tous certainement apprécié cela autant que moi, on a beaucoup apprécié cela. Il est le Puissant Conquérant. Je suis certain que ma femme a apprécié cela en cette soirée, car c’est son cantique et son solo favori, Le Puissant Conquérant, parce qu’Il a déchiré le voile en deux.
Maintenant, c’est... Frère Ekberg m’a appris que nous avons un visiteur qui vient tout droit de Stockholm ce soir. Je ne reconnais donc pas d’emblée le frère, mais nous sommes très heureux qu’il soit ici, avec vous autres qui êtes des visiteurs, dans notre petite série de réunions.
Maintenant, vous frère qui êtes venu de Stockholm, ces gens-ci sont–sont habitués à beaucoup de soleil. Et un climat un peu frais est plutôt rude pour eux. Bien sûr, nous les Esquimaux, là-haut, nous... Ceci serait pour nous l’été. Nous passerions tout simplement un bon moment par un temps comme celui-ci.
2 Dans les contrées du Nord, parfois quand nous tenons des réunions là haut, les gens font une distance de trente-cinq à quarante miles [56 à 64 km] en voiture sur des routes verglacées, et ils s’enveloppent de couvertures et tout, ils semblent apprécier ce temps froid. Mais lorsque votre sang est un peu pauvre, vous savez, c’est un peu dur, je pense. Ainsi donc, quand on vient ici et qu’on a un sang épais, alors le climat chaud vous tue pratiquement. Alors... Et... Mais vous avez un beau pays ici, et nous sommes très heureux de vous visiter.
Bon, demain soir... je pense que c’est lorsque je suis arrivé là dehors que je les ai entendus annoncer que frère Waermo et frère Ekberg allaient chanter quelques cantiques spéciaux demain soir. J’espère que moi-même je pourrai arriver ici un peu tôt pour pouvoir entendre ces merveilleux cantiques. Je suis très heureux de les entendre. Et je–je les aime beaucoup, parce que Dieu est dans la musique. Dieu, je pense... d’une manière merveilleuse.
3 Vous savez, j’ai une–une radio chez moi, que je n’échangerai contre rien au monde. Et lorsque j’ai un peu de temps libre et que je sors dans le jardin, le Seigneur l’allume, eh bien, je–je vous assure que c’est merveilleux. Et–et, vous savez, lorsque je vais à la pêche, dans la nature, je–je trouve ma radio là-bas. Dieu l’allume là-bas. Savez-vous ce que c’est? Des oiseaux qui chantent. Par ici... Vous...?...
Je vis sur une colline des oiseaux moqueurs, là-bas, il n’y a que les oiseaux moqueurs. Et toute la nuit vous les entendez chanter. Ils montent dans les airs, puis redescendent, et ils chantent simplement sans cesse. Beaucoup de gens les appellent des rossignols. Je les ai beaucoup étudiés. Et je me suis souvent demandé pourquoi ils chantent tant. Et le rossignol se perche, les yeux levés vers le ciel. Il peut y avoir une soirée très or... orageuse, et lorsque les nuages retournent, dès qu’il aperçoit une étoile qui brille, il se met à chanter aussi fort que possible. Il sait, en effet, que le soleil brille quelque part ; il fait jour.
4 Je me suis souvent dit, bien des fois en enseignant, en prêchant, que la nature (combien j’aime la nature) était en effet ma première Bible. Eh bien, c’est ainsi que nous sommes. Dès que vous voyez quelqu’un être sauvé et venir à Christ, vous savez que Christ est toujours à l’oeuvre quelque part. Quand donc quelqu’un est guéri, ou qu’il y a un certain signe, cela montre que notre Seigneur Jésus est toujours... les portes de la miséricorde sont toujours ouvertes. Alors, nous devrions relever nos têtes et chanter à la gloire de Dieu, lorsque nous voyons un seul signe visible. Aimez-vous contempler Dieu dans la nature? J’aime tout simplement L’observer dans la nature.
Maintenant, avant que nous commencions ce soir, ou que nous lisions les Ecritures, il y a des lettres et des mouchoirs ici qui portent des noms. Et nous sommes très heureux de prier sur ces mouchoirs et d’envoyer–de permettre aux nécessiteux de venir les prendre. Et si jamais vous ne recevez pas le vôtre, eh bien, voyez l’une de ces personnes, et ensuite vous pouvez m’écrire. (Très bien. Merci, frère.) Vous pouvez m’écrire, et je–je serai heureux de vous en envoyer un à partir de chez moi, ou plutôt un petit–un petit morceau de tissu, c’est ce dont il s’agit, en fait, c’est ce que nous avons.
5 Et, vous savez, dans la Bible–dans la Bible nous avons un cas où saint Paul prenait des linges qui avaient touché son corps, des linges, des mouchoirs, et ainsi de suite, et il les envoyait aux malades et aux affligés. Maintenant, comme je l’ai dit hier soir, beaucoup de gens les oignent. Savez-vous d’où Paul, d’après moi... Il était un fondamentaliste, vous savez, alors savez-vous d’où Paul, d’après moi, a tiré cela dans la Bible? Combien aimeraient entendre d’où, je pense, Paul a tiré cela? Très bien, je vais vous le dire.
Lorsque la Sunamite... Un prophète du nom d’Elie avait coutume de passer chez elle chaque fois. Et elle recevait ce prophète et son serviteur Guéhazi. Guéhazi était avec lui pour tenir les gens loin du prophète, et ainsi de suite, et pour l’assister. Et alors, elle a dit à son mari: «Construisons une petite maison sur la–une petite pièce sur le côté de la maison. Et elle y a mis une chandelle et un lit, et oh ! un petit seau d’eau et ainsi de suite dont la petite chambre avait besoin.
6 Et il a dit: «Va lui demander ce que je peux faire pour elle, s’il faudrait que je parle au roi pour elle ou quelque chose d’autre.»
Et elle a dit: «Non.» Elle ne s’en souciait pas.
Alors il a dit: «Eh bien, y a-t-il quelque chose qui ne va pas?»
Et elle a dit: «Eh bien,» le...
Guéhazi a dit: «Elle n’a pas d’enfant.»
Alors, Elie a reçu une vision de la part de l’Eternel et il a dit à la femme le temps où cela allait arriver. Et c’est ainsi que l’enfant est né. Et lorsqu’il a atteint l’âge d’environ douze ans, eh bien, un jour il était dehors dans le champ avec son père. Je crois qu’il a dû attraper un coup de soleil ou quelque chose de ce genre, il a crié: «Ma tête ! ma tête !» C’était vers onze heures, dans le champ, pendant la moisson.
Alors, son père a ordonné qu’on le ramène à la maison, on l’a mis sur les genoux de sa mère. Et pendant qu’il était sur ses genoux... C’était une femme fidèle, une Sunamite. Et elle... L’enfant est mort, le petit garçon.
7 Et j’aimerais que vous observiez cette femme. Elle l’a emmené directement dans le lit où le prophète dormait, et elle l’a étendu sur le lit. Maintenant, lisez un peu entre les lignes, et vous comprendrez à quoi Paul pensait. Elle l’a étendu sur le lit du prophète, quel endroit approprié où l’étendre, sur le–sur le lit–sur le... l’enfant mort sur le lit du prophète. Et elle a dit au serviteur: «Selle-moi une mule, et pars, et ne t’arrête pas à moins que je te dise, et allons chez le prophète.»
Les gens ont dit: «Eh bien, il ne sera pas là.»
Elle a dit: «Ça ne fait rien.»
8 Et maintenant remarquez ceci, lorsqu’elle est arrivée auprès de lui (le prophète), le prophète ignorait ce qui allait arriver. Dieu ne le lui avait pas révélé. Ils ne savent pas tout ; c’est juste selon que Dieu veut le révéler. Voyez? Cela ne...
C’est comme la femme qui toucha le vêtement de Jésus, Il ignorait de qui il s’agissait. Dieu devait faire quelque chose.
Alors il a dit: «Voici venir cette Sunamite», et il a dit: «Elle est tourmentée, elle est bouleversée, et Dieu me l’a caché. J’ignore ce qui est la cause de sa douleur.»
Et ainsi, lorsqu’elle s’est approchée, il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari va bien, et ton enfant se porte-t-il bien?» Maintenant, vous femmes écoutez ceci, juste une minute.
Elle a dit: «Tout va bien.»
Pensez-y ! (Merci, chérie, tu es une très bonne petite fille. Que Dieu te bénisse, chérie.) «Tout va bien.»
9 Pourquoi donc? Elle désirait parvenir auprès du représentant de Dieu, lequel était le prophète, et Dieu était en Christ, nous le savons, ou en Christ, et Il était... Avant que Christ vienne, Il se représentait dans les prophètes. Et maintenant, aujourd’hui, Il se représente dans l’Eglise. Pas vrai? Il se représente dans l’Eglise...
Et ainsi, il a dit: «Tout va bien.»
(Merci.)
Elle était–elle était devant le prophète. «Tout va bien.»
10 Maintenant, suivez. Et ensuite, elle s’est mise à lui révéler ce qui était arrivé. L’enfant était mort. Son mari avait le coeur brisé, et elle aussi, mais tout allait bien. Pouvez-vous penser à cela ce soir? Sachant que Jésus-Christ passera dans ces lignes de prière ce soir, et guérira quelques personnes qui sont ici, et peut-être ces gens-ci qui sont sur ces civières d’ambulance et qui seront probablement debout en train de marcher après un moment, sortant d’ici en se réjouissant... Qu’en pensez-vous ce soir? Tout va-t-il bien? Je vois un petit garçon assis là, que Dieu bénisse son petit coeur, j’espère qu’aujourd’hui, c’est sa soirée, et par ici aussi, cette demoiselle. Je ne sais pas, les deux sont dans de petits fauteuils roulants, et je... Voici une dame assise ici dans un fauteuil roulant. Et je–j’espère tout simplement que ceci sera votre soirée à chacun de vous. Mais est-ce que tout va bien? Tout est OK maintenant. Voyez?
Tout va bien. Elle était devant le représentant de Dieu. Et ensuite, lorsqu’elle lui a révélé ce qui n’allait pas... Maintenant, regardez ce qu’a fait Elisée. Il a dit à Guéhazi: «Prends ce bâton.» Le bâton, c’était la chose qu’il maniait, il a dit: «Prends ce bâton et va le mettre sur l’enfant.»
11 Or, Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni. Maintenant, cette femme, s’il pouvait l’amener à croire la même chose, ce serait bien. Mais la femme n’y croyait pas. Elle savait que Dieu était dans Son serviteur ; elle ne connaissait rien du bâton, mais–mais elle–elle connaissait le prophète.
Elle a dit: «Je ne te quitterai pas.»
Et ainsi, je pense toutefois que c’est de là que Paul a eu l’idée de l’imposition... d’utiliser des mouchoirs qui avaient touché son corps. Les gens ont vu et ont reconnu que Dieu était avec Paul, et que tout ce qu’il touchait était béni. Et ainsi, je pense que c’est là que Paul a eu l’idée de mettre des mouchoirs sur les malades, car Elie envoya un bâton qu’il avait manié pour qu’il soit mis sur un enfant mort. C’est donc là, je pense, que Paul a eu cette idée.
Néanmoins, c’était un signe pour les gens afin qu’ils croient qu’Il s’était représenté ici sur terre sous la forme du Seigneur Jésus. Et le Seigneur Jésus est retourné au Ciel, et Il est revenu sous la forme du Saint-Esprit, et Il est ici, oeuvrant dans Son Eglise. Et c’est pourquoi nous allons prier sur ceci maintenant pendant que nous inclinons la tête.
12 Notre Père céleste, nous voulons premièrement T’exprimer notre gratitude, parce que nous pouvons T’appeler notre Père, et nous savons avec assurance que Tu existes. De savoir qu’il y a beaucoup de fausses religions dans le monde ce soir, adorant des idoles, adorant des puces, des mouches, et des vaches sacrées, Bouddha, des mahométans. Oh ! ils adorent des milliers d’idoles, et pourtant il n’y a qu’un seul vrai Dieu vivant. Tous leurs fondateurs et leurs philosophes sont morts, on les a mis dans la tombe, et c’était tout. Mais notre Père céleste béni envoya Son Fils, qui a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie et de La reprendre.» Et Il l’a prouvé. Et Le voici deux mille ans après, agissant toujours parmi les gens comme Il l’a fait ici sur terre, agissant de même dans Son Eglise.
13 Une église, il y a deux mille ans, lorsqu’ils virent leur pasteur, saint Paul, au travers de qui Tu parlais, révélais des choses et prêchais, ils ont utilisé des linges et des mouchoirs qui avaient touché son corps, et Tu as honoré cela ; les esprits impurs quittaient les gens et ceux-ci étaient guéris.
Maintenant, Père, Ton bien-aimé serviteur, le grand et saint apôtre est rentré à la maison, auprès de Toi depuis plusieurs siècles, mais Tu demeures éternellement. Et ce soir, ces gens qui ont placé leur confiance en Toi veulent que Ton humble serviteur prie pour eux, et par le canal de ces mouchoirs sur lesquels j’impose les mains en commémoration de Ta Parole, je demande que chacun soit guéri.
14 Ô Dieu, Tu sais ce que tous ces mouchoirs représentent. Tu les voyais quand ils écrivaient ces notes. Tu savais, même quand ces tissus étaient découpés, à quoi ils allaient servir. Et les voici ce soir, posés ici. Qu’ils arrivent à destination, et lorsqu’ils seront mis sur les malades, que toute la puissance de la maladie et des afflictions quitte le corps de ces chères personnes qui souffrent. Dieu Tout-Puissant, libère-les et qu’ils s’en aillent affranchis. Accorde-le, Père.
Maintenant, bénis-nous dans la lecture et la prédication de la Parole ce soir. Guéris tous les malades et les affligés, sauve les perdus, et ramène ceux qui se sont entêtés et qui se sont éloignés de Toi. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.
Le frère pasteur ici dit que vous pouvez retirer les mouchoirs immédiatement après l’appel à l’autel ce soir. Il va les prendre pour vous. Et merci beaucoup, et que le Seigneur accorde que chacun d’eux, ceux qu’ils représentent, lorsqu’ils atteindront leur destination finale, ceux auxquels ils sont envoyés, que Dieu accorde qu’ils soient tous guéris.
15 Maintenant, j’aimerais lire–lire de nouveau ce soir juste pendant quelques instants... Ainsi, hier j’ai finalement congédié l’assemblée avec cinq minutes de retard. Je me sens mieux. Ceux qui m’accompagnent m’ont dit que j’ai été un peu plus court hier soir, et que les gens sont rentrés un peu plus tôt.
Maintenant, demain matin, je vais parler à sept heures ou sept heures quart au petit déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens, à Glendale. Je pense que c’est plutôt une réunion exclusivement pour les Hommes d’Affaires et leurs femmes, je ne sais pas. Et ensuite, samedi matin, chez les Hommes d’Affaires du Plein Evangile à Los Angeles, à la cafétéria Clifton... Le programme passera à l’antenne. Les Hommes d’Affaires Chrétiens, ce sont de très bons frères qui parrainent mes réunions, à beaucoup, beaucoup d’endroits, et je trouve que c’est un très bon groupe de gens.
16 Et s’il y a ici ce soir des hommes d’affaires, qui sont des chrétiens, je suis certain, s’ils ont un chapitre dans votre voisinage ou quelque part, je compte sur Dieu pour qu’Il vous envoie chez eux et que vous vous joigniez à ce très bon groupe de frères remplis de l’Esprit, car ce sont des hommes très admirables.
Et cet autre groupe par ici aussi, je pense que celui–celui de Los Angeles, c’est celui du Plein Evangile. Celui qui est par ici, c’est principalement les méthodistes, les baptistes, et ainsi de suite. Je... Il y avait des gens du Plein Evangile là, ou des pentecôtistes, qui sont également du Plein Evangile. Et nous... Nous trouvons certainement un groupe d’hommes admirables partout où nous allons. Vous trouvez partout des chrétiens, peu importe la nation où ils sont, ce sont des gens véritables, des gens véritables, des gens authentiques.
17 Je me trouvais une fois... Juste pour vous montrer, frères... Vous savez, je pense qu’aujourd’hui... J’étais en train de suivre les nouvelles, selon lesquelles monsieur Malenkov, ou quel que soit son nom, là en Russie, oh ! ils ne sont pas parvenus à trouver un accord, et ils se querellent au sujet de l’Allemagne, s’ils vont la réunifier ou pas. Vous savez, le problème est que dans ces rencontres on laisse de côté la Personne principale, le Seigneur Jésus. Il est mort afin que tous les hommes soient des frères.
Lorsque je suis allé là-bas en Finlande... Peut-être que les frères suédois ici présents ce soir se souviennent de l’événement, quand ici en Amérique j’avais vu une vision d’un petit garçon qui était ressuscité des morts. Beaucoup parmi vous savent cela. Et on a trouvé le petit garçon étendu exactement à l’endroit que la vision indiquait, et il ressemblait à cet enfant. Beaucoup parmi vous étaient au courant de cela, et peut-être...?... m’ont même entendu dire cela une année ou deux même avant que cela arrive, j’ai simplement dit ce qui allait... Y a-t-il ici quelqu’un qui avait écrit cela dans sa Bi... Oui, regardez les mains, certainement. Je leur ai dit ce qui allait arriver et tout à ce sujet, parce que c’est... Chaque fois, c’est à la lettre tel qu’Il le dit. Et lorsque ce petit garçon fut ressuscité des morts, cet agent de l’Etat là-bas a alors signé un document portant un sceau notarié, et ainsi de suite, de son propre nom pour montrer qu’il était témoin de cela lorsque cela s’est produit.
18 Ce soir-là, lorsqu’on m’a amené à l’endroit où je devais prêcher, sur une distance de plus de six pâtés de maisons, vous ne pouviez même pas y accéder en voiture. Et quelques petits soldats finlandais, des jeunes gens qui ne s’étaient même jamais rasés, c’était juste de jeunes garçons au visage glabre, qui n’avaient pas seize ans, et qui portaient de grandes bottes et de longs manteaux... Tous leurs soldats ayant été massacrés, la seule armée qu’ils avaient, c’étaient juste de jeunes garçons en pleine croissance. Et on m’a amené là ce soir-là, et il y avait là ces soldats russes dans la rue, gardant ce salut russe, les larmes coulant sur leurs joues. Et ils saisissaient ces soldats finlandais, lorsqu’ils sont venus là, les entouraient de leurs bras, les embrassaient et les étreignaient. Frère, tout ce qui amènera un Finlandais à étreindre un Russe, ou un Russe à étreindre un Finlandais, mettra fin à aux guerres pour de bon.
19 Il faut le Sang du Seigneur Jésus. Et ces gens, des communistes, des antireligieux, se tenaient là, et ils étaient... Certains frères leur ont demandé: «Qu’en pensez-vous?»
Ils ont dit: «Nous accepterons un Dieu comme Celui-là, qui a réellement la puissance. Nous sommes prêts à–à confesser une telle chose, mais pas toutes ces adhésions à des églises et l’accumulation de toute la richesse de la nation, son accumulation dans une église quelque part, tout en vivant comme le reste du monde.»
Moi-même je ne les blâme pas tellement. C’est juste. Ça oui. Oui, monsieur. S’Il est Dieu, Il est Dieu. S’Il ne l’est pas, alors Il ne l’est pas. Soit vous avez raison, soit vous avez tort, pour toute chose.
Maintenant, dans les Ecritures nous lisons ce soir à partir de Genèse 22, pour continuer notre histoire. Comme nous aimons lire sur Abraham. N’est-ce pas merveilleux? J’aime vraiment lire son histoire. Et maintenant, au chapitre 22, et les versets 7 et 8, et ensuite nous tirerons le texte du verset 14 ; aux versets 7 et 8 de 22, de Genèse 22 nous lisons ceci:
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me–Me voici, mon fils ! Isaac reprit Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?
Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l‘holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
Maintenant, le verset 14:
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.
20 Jéhovah-Jiré: le Seigneur se pourvoira Lui-même d’un sacrifice. Eh bien, Jéhovah dans l’Ancien Testament se manifeste à la race humaine dans sept Noms composés par lesquels Il allait être le Parent des gens. Il est d’abord apparu comme Jéhovah Jiré: «Le Seigneur se pourvoira d’un sacrifice.»
Deuxièmement, Il est apparu comme Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui te guérit.» Jéhovah-Manassé, Jéhovah, notre Bannière, Jéhovah... sept Noms composés rédempteurs par lesquels Dieu se manifeste à la race humaine, comme le Pourvoyeur tout suffisant à tous nos besoins, du commencement à la fin.
Eh bien, hier soir nous parlions d’Abraham, et nous l’avons laissé là où Dieu lui est apparu sous le nom du Dieu Tout-Puissant. Et le mot hébreux qui était utilisé c’est El-Shaddaï, ce qui signifie les seins, ou le–ou Celui qui porte des seins, le Tout-Suffisant, Celui qui est fort, Celui qui donne la Vie. Et hier soir, nous L’avons illustré comme Celui qui porte des seins–Celui qui porte des seins.
21 Eh bien, ce mot composé, le–le mot sein, c’est comme... Comment pourrions-nous retirer Jéhovah-Jiré de la Bible ou Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, et accepter Jéhovah-Jiré, le sacrifice auquel le Seigneur a pourvu? Et dans tous ces Noms composés, tous ces Noms se sont accomplis en Jésus-Christ. Il était Jéhovah-Jiré, le sacrifice auquel il avait été pourvu, Il était Jéhovah Rapha, le Guérisseur, Il était Jéhovah la Bannière ; Jéhovah le Bouclier, Jéhovah la Paix ; Jéhovah le Berger. Tous ces Noms rédempteurs s’appliquaient au Seigneur Jésus. Vous ne pourriez pas appliquer un nom et en ôter un autre. Et s’ils ne s’appliquaient pas à Jésus, Il n’était pas Jésus le Fils de Dieu. Voilà. Ils sont inséparables, vous ne pouvez–vous ne pouvez pas séparer les noms composés de Dieu. Et si l’un d’eux s’appliquait à Jésus, tous s’appliquaient à Jésus. Alors s’Il est le sacrifice auquel Dieu a pourvu pour le péché, Il est l’expiation à laquelle Dieu a pourvu pour la guérison, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé», pour les mêmes raisons.
22 Moïse éleva le serpent d’airain pour plusieurs raisons. Pourquoi? Parce que les gens avaient rétrogradé, les gens parlaient contre Dieu et contre Moïse. Et le... Moïse éleva le serpent d’airain pour le pardon de leur péché et pour la guérison de leur corps. Et comme le serpent d’airain représentait Christ, ce Dernier fut élevé pour le pardon de nos péchés et pour la guérison de nos corps.
Il est apparu à Abraham en tant que Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha. Il lui est apparu ici en tant qu’El-Shaddaï. Oh ! je... Nous pourrions prendre chacun de ces Noms et rester ici six mois et ne jamais terminer cela, le prendre tout simplement de la Genèse à l’Apocalypse, de bout en bout. J’aime la Parole. La Parole de Dieu, Elle est établie. Nous pourrions entendre beaucoup de faux fandangos, et beaucoup de choses qui ne sont pas vraies, qui sont fabriquées, mais cette Parole est éternelle, c’est la promesse éternelle de Dieu.
23 Et, souvenez-vous, vous pouvez noter ce que je dis dans le journal du temps, le mentionner dans l’histoire après ma mort, afin que lorsque je comparaitrai à la barre du jugement, je dis ceci: chaque promesse divine de Dieu dans la Bible est vraie. Et si vous adoptez une attitude mentale correcte à l’égard de chaque promesse divine de Dieu, cela l’amènera à s’accomplir. Souvenez-vous-en, n’oubliez pas cela. Si vous, personnellement, vous pouvez adopter une attitude mentale correcte à l’égard de chacune de ces promesses divines, cela l’amènera à s’accomplir. C’est... Eh bien, si vous ne...
Un homme m’a rencontré il n’y a pas longtemps, et il a dit: «Oh ! Frère Branham, peu m’importe ce que vous dites, je ne crois pas dans la guérison divine.»
J’ai dit: «Ce n’est pas pour vous.»
Il a dit: «Pourquoi?»
J’ai dit: «Vous êtes un incrédule. C’est uniquement pour ceux qui croient. Les seules personnes qui peuvent recevoir cela, ce sont les croyants, pas les incroyants. C’est destiné à ceux qui croient.»
24 Et c’est donc de cette manière que Dieu traite, uniquement avec les croyants. Et Dieu avait appelé Abraham à sortir, c’était un serviteur et un prophète élu. Et Dieu le rencontrait et l’encourageait continuellement pendant qu’il attendait l’accomplissement de la promesse.
Vous direz: «J’aimerais qu’Il le fasse pour moi.»
C’est la raison pour laquelle vous êtes ici ce soir. C’est la raison pour laquelle ces gens sont couchés ici sur ces civières ce soir, et que ces parents ont amené ces petits enfants. Il y a quelque chose en eux, ils ont appris que d’autres ont été guéris. Les voici qui sont venus. De quoi s’agit-il? C’est la même chose: c’est Dieu qui vous encourage sans cesse, croyez.
25 Il est alors apparu à Abraham sous le nom d’El Shaddaï, le Dieu qui porte des seins: l’un, c’est la guérison physique, l’autre, la guérison spirituelle. Tout ce dont vous avez besoin, tirez-le de Dieu. Deux ressources, deux endroits qui...
Et remarquez, c’est comme une mère avec son petit bébé (comme je l’ai dit), lorsqu’il est faible, qu’il est malade, et que le pauvre petit est tout dérangé et qu’il a perdu beaucoup de poids, la mère le porte à son sein malgré tout et le berce. Et pendant que l’enfant se rétablit, il tète sa mère, celle-ci transmet sa force au bébé.
Et il en va de même ce soir, madame et monsieur, vous tous qui êtes ici, vous tous, les malades. Lorsque vous acceptez que la promesse de Dieu est votre propriété personnelle (tenez), alors appuyez-vous sur Son sein, et tirez de la mamelle la force chaque jour. Alors que le cancer vous rongeait autrefois, alors que la tuberculose vous a fait flétrir, alors que les afflictions vous ont saisi, que Satan est entré dans votre maison et vous a rendu infirme et vous a laissé dans cet état suite à une fièvre ou quelque chose comme ça, vous, cependant, appuyez-vous chaque jour sur Ses bras éternels, votre tête contre Sa poitrine, vous nourrissant de la Parole (Alléluia !), vous nourrissant de la Parole.
Et remarquez, non seulement cela, mais lorsque le bébé pleure et qu’il est dérangé, pendant qu’il est en train de téter, bien avant qu’il se rétablisse, il se satisfait pendant qu’il est en train de téter.
26 Et chaque croyant, «tout homme qui s’approche de Dieu, il faut qu’il croie que Dieu existe, et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent». Et chaque croyant qui s’approche de Dieu, lorsqu’il accepte la voie à laquelle Dieu a pourvu, Son sacrifice, quand il s’appuie sur la poitrine de Dieu pour croire pour sa guérison, pour son salut, ou quoi que ce soit, il est satisfait. Il ne court pas d’un endroit à un autre, il n’est pas balloté à tout vent de doctrine, mais il est rassasié. «Dieu a donné la promesse. J’ai accepté cela ; c’est réglé, alors je suis rassasié ici même.»
Oh ! quel... J’ai expérimenté cela, mes amis. Lorsque la Clinique Mayo m’a dit, quand j’avais fait une forte dépression, on a dit: «Vous pouvez...» J’étais assis dans ce conseil de docteurs, ils ont dit: «Révérend, vous ne pourrez jamais guérir.» Ils ont dit: «Vous avez une régurgitation, vos nerfs vont d’un côté, et votre sang de l’autre.» Ils ont dit: «Vous ne pourrez jamais–jamais guérir.» Ils ont dit: «Parce que cela relève d’un autre domaine, et nous ne pouvons pas nous engager dans ce domaine-là.» Mon coeur a failli me manquer. J’ai dit: «Vous voulez dire que je suis fichu?»
Il a dit: «C’est l’exacte vérité.»
Ce vieux docteur qui était assis là, les bras croisées, tirant sur sa moustache, il y avait environ vingt médecins assis là, il a dit: «C’est juste.»
Et j’ai dit: «Eh bien, Dieu ne m’a pas encore dit cela.»
Je suis sorti de l’hôpital, ma femme pleurait. Alors je suis allé à l’hôtel me coucher, et j’ai dit: «Ô Dieu, que puis-je faire?»
Et Il est apparu là, et Il a dit: «N’y crois pas, Je suis avec toi.»
Alléluia ! Oh ! la la ! je suis sorti de là avec un grand sourire sur le visage, et j’ai dit: «Gloire au Seigneur ! je suis guéri.»
Ma femme a dit: «Tu veux dire que tu es guéri?»
J’ai dit: «Certainement, Il a fait la promesse, et je l’ai acceptée.»
Elle a dit... J’ai dit: «J’ai tellement faim.»
Elle a dit: «Eh bien, je vais te chercher du sirop d’orgeat.»
27 J’ai dit: «Ouvre-moi une boite de haricots, et fris-moi un gros morceau de jambon, donne-moi des oignons et un morceau de pain de maïs, je–je vais vraiment manger.»
Oui, la promesse... Lorsque vous pouvez ôter cela de votre tête et le faire descendre ici, quelque chose se produit. Jéhovah-Ji... «Comment vas-tu le faire?»
Je ne sais pas. Il a déjà pourvu au sacrifice, je n’ai qu’à marcher dedans. C’est tout. Pendant un moment, il ne semblait pas y avoir de changement, mais cela a certainement–cela a marché un peu plus tard. Je n’avais jamais pesé plus de cent vingt-cinq [56,6 kg], cent vingt-huit livres [58 kg], mais je pèse maintenant cent septante livres. [77 kg]. Donc je me sens bien. Pourquoi? Parce qu’Il est toujours El-Shaddaï. Je suis autant confiant qu’Il va le faire, parce qu’Il l’a dit... Certainement.
28 Abraham a continué, à présent il avait quatre-vingt-dix ans. Et il a dit: «Dieu m’est apparu et Il a dit qu’Il était El-Shaddaï. Je suis un vieil homme ; ma femme a–a quatre-vingts ans.» Elle était en voie d’être grand-mère, ou elle l’était, il paraît. Et elle était alors une vieille femme, et lui un vieil homme, avec une barbe grise pendante, mais il disait: «Gloire à Dieu ! Nous aurons cet enfant. Dieu l’a déjà dit. Prépare toutes les couches et tout, parce que nous allons avoir ce bébé.»
Oh ! la la ! les gens ont dit: «Eh bien, cet homme a plutôt perdu un petit peu la tête. Ce n’est pas étonnant, il est resté trop longtemps là dans le désert.» Mais il savait où il se tenait. C’est juste. Peu importe ce que disait le monde extérieur, il connaissait sa position, car il avait confiance. «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu, car il savait que Dieu était capable de tenir Sa promesse.»
Et si Abraham a pu faire cela, et que nous avons eu des témoins pendant près de trois mille ans depuis lors, avec la résurrection du Seigneur Jésus et Sa Présence ici parmi nous maintenant, nous qui sommes censés être la postérité d’Abraham, levons-nous au nom de la justice, au Nom de Christ, et croyons en Dieu, si nous sommes la postérité d’Abraham.
Si le diable est en train de vous balloter, vous conduisant de la piscine au bar et partout ailleurs, écartez-le d’un coup de pied, prenez le dessus. Dieu l’a promis. Je n’ai pas l’intention de crier. Cette chose pourrait produire une forte voix, mais parfois je–je commence à me sentir très religieux, quand je me mets à en parler, parce que c’est juste à la fin, vous savez.
29 Ainsi, quand on pense là, à quatre-vingt-dix ans: «Eh bien, a-t-il dit, si Tu es El-Shaddaï, Tu es le sein ; je m’appuie simplement dessus. Ô Dieu, je pourrais être un vieil homme, je pourrais être né stérile. Sara aussi. Cela fait maintenant vingt ans, probablement quarante ans depuis qu’elle a dépassé la ménopause, mais gloire à Dieu, nous allons avoir ce bébé de toute façon. Tu l’as promis, alors nous allons carrément continuer à croire à cela. L’âge ne signifie rien.» Qu’est-ce que l’âge signifie pour Dieu? Oh ! la la !
Ils ont continué. Dix autres années passèrent. Eh bien, Abraham a cent ans (Oh ! la la !) et Sara quatre-vingt-dix ans. La Bible dit qu’ils étaient avancés en âge. La petite grand-mère, avec son petit bonnet et son petit châle, faisant le tour de la maison, le vieil Abraham, le dos complètement voûté, avec une longue barbe blanche, marchant en s’appuyant sur son bâton, continuant de louer Dieu... Et la Bible dit qu’au lieu de faiblir, il se fortifiait tout le temps. Ce serait plus glorieux, il voyait quelque chose de plus glorieux. Ensuite, nous nous appelons la postérité d’Abraham, et nous n’avons pas assez de foi pour mettre le point sur un i si c’était de l’encre.
30 Remarquez, c’est... Je–je n’avais pas l’intention de le dire de cette façon. Excusez-moi. Je–je–j’étais... avais ma pensée... Le Saint-Esprit essayait de me conduire d’un côté, et moi j’essayais de sauter de l’autre côté, je pense. Mais suivez, je ne voulais pas le dire comme–comme cela. Je voulais dire que si la foi est très faible, essayons de penser à notre père Abraham, lui qui n’avait pas le Saint-Esprit. Et nous, nous avons le baptême du Saint-Esprit. Lui était sous le sacrifice d’un agneau, celui-ci ne pouvait nullement ôter le péché ; il couvrait simplement le péché. Mais nous sommes sous un Sacrifice qui a ôté le péché, qui a détruit le péché, qui a séparé du péché. Et puis, avec cette foi que nous avons, eux cependant ne pouvaient pas parvenir à la perfection sans nous. Ils nous attendent pour avancer.
31 Eh bien, les voici, presqu’âgés de cent ans. Et un jour Abraham, après que Lot eut choisi d’aller se taper du bon temps dans la ville comme... peut-être qu’il est descendu là-bas à Sodome, dans les plaines bien arrosées... Vous savez, le chemin de la facilité n’est pas toujours le meilleur. Le meilleur chemin, c’est de trouver la volonté de Dieu et d’y marcher ensuite. Amen. C’est juste. Cherchez la volonté de Dieu, peu importe combien c’est dur, levez simplement la main, et dites: «J’irai avec le petit groupe des méprisés qui suivent le Seigneur, j’ai commencé avec Jésus, maintenant, Seigneur, j’irai jusqu’au bout.»
Et madame Lot est descendue là, et peut-être qu’elle est devenue la présidente de beaucoup de clubs de femmes, et ainsi de suite, là-bas. Et Lot est devenu le maire de la ville, ou peu importe ce que c’était, il avait rétrogradé, il s’était éloigné de Dieu, il était là parmi ces gens pervertis.
32 Un jour, Abraham assis là dans cette contrée stérile, où il n’y avait pas beaucoup de nourriture, et le troupeau était maigre, il n’y avait presque pas d’eau à boire, mais il faisait ce que Dieu lui avait dit de faire. Un jour, pendant qu’il était assis là sous le chêne, il lui est arrivé de regarder là, et il vit trois Hommes venir. Et regardant ces Hommes, immédiatement (il ne lui a pas fallu attendre tout un mois), immédiatement, étant un homme rempli de l’Esprit, il a reconnu l’un d’eux comme étant le Dieu Tout-Puissant, qui était accompagné de deux Anges. Et c’est ce que les Ecritures disent que c’était, le Dieu Tout-Puissant.
Et Il a approché, et Abraham a couru et s’est prosterné devant Lui, et Il L’a adoré, et L’a appelé Seigneur, S majuscule E-I-G-N-E-U-R, Seigneur. Et il a dit: «Veux-Tu bien passer quelques minutes chez moi?»
Un Homme qui avait l’air fatigué, Jéhovah Dieu Lui-même, complètement fatigué, les vêtements couverts de poussière, et probablement que Gabriel et Micaël qui marchaient à Ses côtés sous une forme humaine...
33 Il a dit: «Passe chez moi juste un moment, comme Tu es de passage par ce chemin. Tu as trouvé grâce–j’ai trouvé grâce à Tes yeux. Passe chez moi. Laisse-moi aller chercher un peu d’eau pour Te laver les pieds, et repose-Toi. Prends un petit morceau de pain et renouvelle Tes forces, ensuite Tu pourras continuer.»
–Bien, a-t-Il dit, fais comme tu l’as dit.
Ils se sont assis sous l’arbre, et Abraham a couru dans la tente, il a dit: «Sara, prends trois mesures de farine immédiatement, pétris-les, tamise-les, mets-les au four, et fais des gâteaux.»
34 Il a couru au troupeau et il a cherché jusqu’à ce qu’il a trouvé le veau le plus gras qu’il pouvait trouver, il l’a fait tuer et apprêter, et il est revenu, et il a servi des gâteaux de maïs, des côtelettes de veau, du babeurre, une sorte de lait, et du beurre. Et le Dieu Tout-Puissant a mangé du pain de maïs, des côtelettes de veau, Il a mis du beurre sur son pain, Il a bu du lait. Dieu l’a fait.
Il y a quelque temps je parlais de cela, et un prédicateur m’a écrit une lettre. Il a dit: «Frère Branham, ressaisissez-vous !» Il a dit: «Vous voulez dire que c’était Dieu?»
J’ai dit: «C’était Dieu ; c’était Dieu.»
«Eh bien, comment est-Il arrivé là, eh bien, a-t-Il juste pris...?»
Il a dit à Abraham: «Y a-t-il quelque chose qui soit trop difficile pour l’Eternel?»
35 Eh bien, certainement. Qu’était-ce? C’était un corps dans lequel Il s’était représenté. Eh bien, tout appartient à Dieu. Il a simplement tendu la main et Il a pris une poignée d’atomes, un peu de pétrole, de la lumière cosmique, et [Frère Branham souffle.–N.D.E.] Il a soufflé et rassemblé cela, et Il y est directement entré. C’est tout. Il est le Créateur.
Il en a créé d’autres pour les Anges, et ils ont marché là dans la chair humaine, et pendant qu’Ils étaient dans la chair humaine, Ils ont eu faim. Alléluia ! Je sais que je m’excite... peut sembler comme si je suis excité. Laissez-moi vous dire quelque chose. De savoir que notre Père...
De quoi un corps humain est-il constitué? Un peu de–d’huile, et de pétrole, de la lumière, quelques atomes, un peu de phosphate, du calcium, et ainsi de suite, il est entièrement composé des éléments. Eh bien, Il a simplement créé cela par la Parole, Il y est directement entré, et Il s’est représenté et Il a parlé avec une voix humaine.
36 Ce même Dieu... L’autre jour, je–je... Ma femme qui est assise là derrière... J’étais en train de peigner les quelques cheveux qui me restent. Elle a dit: «Billy, tu es pratiquement chauve.»
J’ai dit: «Mais, grâces soient rendues à Dieu, je n’en ai pas perdu un seul.»
Elle a dit: «Où sont-ils?»
J’ai dit: «Où étaient-ils avant que je les aie? Ils étaient quelque part. Ils sont venus, ils étaient, et ils ne sont plus. Et un jour ils seront de nouveau.» Alléluia ! Là où ils étaient au départ, c’est là qu’ils sont maintenant, attendant que j’aille vers eux un de ces jours. Ce vieux corps tout ridé sera changé un de ces jours ; je redeviendrai un jeune homme.
Alors Il a montré à Abraham ce qu’Il allait faire. Dieu était assis, le dos tourné à la tente, Il a dit: «Où est Sara?»
Il a dit: «Elle est dans la tente.»
Il a dit: «Au temps de la vie (c’est-à-dire selon ce qui se passe chez les femmes)», Il a dit: «Je vais te visiter à cette époque-là.»
Et Sara dans la tente a fait [Frère Branham illustre.], elle a ri.
Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Il avait Son dos... La Bible dit qu’Il avait le dos tourné à la tente. C’était tout à fait de la télépathie, n’est-ce pas? «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»
Sara a dit: «Oh ! je n’ai pas...»
«Oh ! a-t-Il dit, si, tu as ri.»
37 Dieu, dans la chair humaine, a su ce qui se passait derrière Lui, le même Dieu qui–qui savait où Philippe avait trouvé Nathanaël. C’est le même qui est ici parmi nous ce soir, qui sait tout ce qui vous concerne, Il est toujours Dieu. Dieu avait besoin de parler à Abraham comme un homme le fait, alors Il s’est créé un corps et y est entré. Et ce même Dieu qui est le nôtre dispose de chaque portion de calcium qui a composé votre corps complètement flétri. Alléluia ! La seule chose qu’Il doit faire, au temps de la venue de Son Fils, le Seigneur Jésus, c’est simplement de parler, et tout homme qui a jamais vécu sur terre et qui a cru en Lui reviendra à la Vie. Il est Jéhovah Dieu, le Créateur. Arrêtez de Le minimiser ; rendez-Le grand. C’est ce qu’Il est, Il est grand, puissant.
38 Considérez ce qu’Il a fait à Sara et Abraham là-bas. Maintenant, vous allez devoir ouvrir votre entendement pendant une minute, surtout vous les ministres. Qu’a-t-Il fait à Sara et à Abraham? Après qu’Il est allé là-bas détruire Sodome et Gomorrhe, que les Anges sont descendus là-bas, qu’ils ont vu cette génération des gens pervertis, juste comme nous en avons aujourd’hui... Considérez les journaux et tout, ce qu’ils publient, combien la perversion des gens augmente, parce que les hommes ne peuvent plus se satisfaire d’une seule femme, et ils vivent avec tout, avec chaque femme avec laquelle ils peuvent courir, et les femmes font de même. C’est vraiment devenu comme le péché de Sodome. Cela a augmenté au point que le gouvernement en est rempli ; la nation en est remplie. Cette côte ouest en est contaminée. Je reçois des milliers de lettres qui viennent de toute cette côte me parlant des hommes et des femmes et tout, qui ont dépassé la ligne, qui sont pervertis, cela leur donne ce–ce genre de pensée. Remarquez, quelle chose pitoyable ! Il n’existe ni remède ni médicament au monde qui peut guérir cela, à part Dieu seul.
39 Ils étaient là, et... Eh bien, savez-vous ce que Dieu a fait à Sara et à Abraham là-bas, lorsqu’Il est entré dans ce corps humain, lorsque Dieu l’a fait, Lui et les deux Anges? Il a simplement changé Sara et Abraham en un jeune homme et une jeune femme, Il les a transformés en un jeune homme et une jeune femme. Certainement. Il les a changés en un jeune homme et une jeune femme.
Et remarquez. Lorsqu’Il a accompli ce... Je peux simplement m’imaginer voir Sara, la petite grand-mère, vous savez, portant un petit châle, disant: «Papa, tu sais, tes cheveux commencent à noircir sur les côtés ; et tu sais, je crois qu’il en repousse.»
Il a dit: «Mère, tu sais quoi? J’ai remarqué, Sara, que les rides disparaissent de dessous tes yeux.»
40 Elle était redevenue une jeune femme de probablement trente ans, et lui un jeune homme de vingt-cinq ou trente ans, ou d’un âge un peu plus jeune, un jeune homme et une jeune femme. Maintenant, écoutez, frères, vous allez devoir reconnaître que Dieu a fait quelque chose à Sara et à Abraham. Abraham avait cent ans, et il avait vécu avec cette femme depuis qu’elle avait probablement dix-sept ans, et ils n’avaient pas eu d’enfants. Il a dû faire quelque chose.
Suivez. Maintenant, vous jeunes dames, vous allez toutes me pardonner pour ce franc-parler, mais je parle des Ecritures maintenant. Et suivez, c’est... Lisez entre les lignes. Pour avoir ce bébé, tout d’abord, ce qu’Il a dû faire c’était d’apporter... Il a dû rendre le sein de la femme fertile. Est-ce juste? C’est ce qu’Il a dû faire. Pour qu’elle entre en travail, Il a dû lui donner un nouveau coeur vigoureux. Une femme de quatre-vingt-dix ans ne pourrait pas le faire, vous le savez bien. Et, autre chose, à cet âge-là, les canaux galactophores s’étaient desséchés. A l’époque, les gens n’avaient pas de biberons pour nourrir les bébés, alors, Il a dû créer des canaux galactophores et tout pour que la mère allaite l’enfant.
41 Dieu ne raccommode rien. Il a simplement créé une Sara toute neuve pour montrer ce qu’Il va faire à vous toutes les vieilles femmes un de ces jours, vous qui croirez au Seigneur Jésus. Oui, oui. Il les a ramenés à un jeune homme et à une jeune femme. Je vais vous le prouver.
Ils ont effectué un voyage. Mesurez sur la carte la distance jusque là où ils se sont rendus à Guérar, à environ trois cents miles [480 km]. C’était un grand voyage pour un vieil homme et une vieille femme de cet âge-là. Et le problème c’est que lorsqu’ils sont arrivés à Guérar, il y avait là-bas un jeune roi qui s’appelait Alemek–c’était Abimélec. Et il cherchait une chérie. Malgré toutes ces belles jeunes filles qu’il y avait dans le pays, il est tombé amoureux de cette vieille grand-mère, une femme de cent ans, portant un petit châle, qui se promenait.
Il a dit: «Voilà celle que j’attendais.»
C’est absurde ! Vous êtes plus avisés. Mais la Bible dit qu’il l’a prise pour femme, une femme de cent ans. Il a refusé le–toutes les jeunes filles, et il a dit: «C’est la plus jolie jeune fille que j’aie jamais vue.» Il est allé la prendre. Abraham l’a appelée sa soeur.
42 Qu’est-ce que Dieu avait fait? Il avait changé Sara en une belle jeune femme. Ô Dieu, quand j’y pense, à ce que Dieu peut faire. Quelle espérance cela vous donne !
Suivez, Dieu peint un tableau. Dieu est un Dieu de variété. C’est la raison pour laquelle nous pouvons croire ce soir qu’Il est le Dieu de la résurrection. Observez la nature. La semence tombe en terre. Si vous mettez un grain de maïs jaune en terre, il donnera du maïs jaune. Si vous mettez un grain blanc en terre, il donnera du grain blanc. Dans le... Nous ne serons pas tous des blondes, ou des brunettes, ou... dans le Royaume de Dieu, il y aura une variété. Dieu est un Dieu de variété.
43 Suivez. Il a créé de très grandes montagnes ; Il a créé de petites montagnes ; Il a créé des plaines ; Il a créé des prairies ; Il a créé des déserts ; Il a créé des océans. Il a créé des fleurs blanches, bleues, rouges, roses ; Il a créé des palmiers, des chênes, et toutes sortes d’arbres ; le gazon, des arbustes, et ainsi de suite. C’est un Dieu de variété. Il a créé des blondes, des brunettes, des rousses ; c’est de cette manière qu’Il les veut. Et ceci ce n’est que le négatif.
Souvenez-vous, frère... Retournons à il y a quelques jours. Quand je pense à ceci, et que je pense à ma propre chère femme, assise là, qui se tient entre moi et le public, elle a trente-cinq ans, sa chevelure est pratiquement toute blanche... J’aime l’entourer de mes bras et lui dire: «Chérie, cependant laisse-moi te dire, un de ces glorieux jours, Jésus viendra.»
44 Vous souvenez-vous, papa, lorsque vous vous êtes agenouillés là à l’autel avec maman? Les enfants ont grandi et tout maintenant. Souvenez-vous comme elle était belle dans cette robe de mariage qu’elle avait portée, ces yeux brillaient, ces joues étaient roses? C’était bien avant que Max Factor n’entre en scène, peut-être. Mais elle n’avait pas besoin de mettre du maquillage. Mais... Et la belle chevelure qu’elle avait...
Regardez-la maintenant, les cheveux grisonnants, elle a des rides, ses petites joues tombent. Vous prenez sa vieille petite main, regardez l’anneau de mariage qu’elle porte au doigt, regardez combien elle est ridée. Mère, regardez papa et souvenez-vous comment il était droit et quelle marche il avait ce jour-là. Il était tellement fier de vous. Vous l’avez regardé et vous avez vu les cheveux brillants qu’il avait peignés vers l’arrière ; tout a disparu maintenant. Les quelques cheveux qui lui restent sont devenus gris. Vous regardez ses gros muscles, quand il avait l’habitude de se tenir là, quand il se lavait au vieux banc qui servait à cette fin, et vous voyiez ses muscles se contracter et se décontracter, et maintenant ils sont flasques, ils ont dépéri. C’est vrai. Vous en souvenez-vous?
45 Mais, souvenez-vous, Dieu peint une fleur: Il peint un tableau. Il commence à vous former à partir d’un petit enfant. Il vous fait grandir.
J’ai posé une question à un homme de science l’autre jour, j’ai dit: «Prouvez-le-moi, frère.» Il était aussi un médecin. J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question, docteur.» Il parlait des gens de couleur en Afrique, et je lui ai dit comment ils vivaient, il a dit qu’ils n’étaient pas des êtres humains.
J’ai dit: «Ils sont tout autant humains que vous et moi.» C’est vrai. Ils possèdent une âme. C’est vrai. Et ce sont de merveilleux chrétiens lorsqu’ils sont convertis.
Et j’ai dit: «J’aimerais vous dire quelque chose, docteur.» J’ai dit: «Est-ce vrai que chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie, cela produit de nouvelles cellules, venant de la nourriture que je mange?»
Il a dit: «C’est exact.»
46 J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Lorsque j’avais seize ans, chaque fois que je mangeais un bon repas, je devenais sans cesse plus grand et plus fort. Mais maintenant, je mange même une meilleure nourriture aujourd’hui que lorsque j’avais seize ans, et chaque fois que je mange, je vieillis et je faiblis davantage. Expliquez-moi cela. Si je pouvais renouveler ma vie à seize ans, et que cela me faisait toujours grandir et devenir plus fort et plus fort, comment expliquer que je verse de l’eau dans un verre et que je le remplisse jusqu’à un certain niveau et ensuite je m’arrête, et lorsque j’y verse de l’eau il commence à diminuer? Que s’est-il passé? Dites-moi.» J’ai dit: «C’est parce que Dieu a dit (Voilà la raison): ‘Tu es poussière, et tu retourneras à la poussière.’»
47 Dieu vous laisse parvenir à l’âge où vous êtes au mieux de votre... pourriez avoir été... Satan pourrait vous avoir affligé. Vous pourriez ne pas avoir atteint cette maturité. Ce n’est pas grave. Dans la pensée de Dieu, Il sait ce que vous étiez censé être. Cela vous a donc pris quand vous aviez atteint une certaine image, qu’Il avait prise de vous au moment où vous aviez entre vingt-trois et vingt-cinq ans, quand vous étiez au mieux de votre forme, alors Il a dit: «Très bien, mort, le voici, mais tu ne peux pas le prendre avant que Je le dise.»
Et remarquez. Vous commencez à découvrir, après que vous avez dépassé vingt-cinq, que vous n’êtes plus la même personne que vous étiez autrefois. Qu’est-ce? Vous dépérissez. Pourtant vous mangez, vous ne cessez de dépérir. Après un moment, les cheveux gris s’installent ; vos muscles se flétrissent, mais l’image est dans la pensée de Dieu. Et chaque vitamine, chaque portion de calcium, chaque portion de–de tout ce qui était en moi, lorsque j’étais au mieux de ma forme, lorsque vous étiez au mieux de votre forme, à la résurrection, cela ne va nulle part. Cela vient de quelque part, et cela existe maintenant. Ce n’était pas, ensuite cela vient à l’existence ; ensuite cela n’est plus. Cela retourne là où c’était, parce que Dieu a déjà peint un tableau dans Sa Pensée de ce qu’Il fera de vous éternellement.
Et un glorieux jour, Jésus viendra et tout... Ecoutez, qu’est-ce que la mort peut vous faire? La mort vous acculera dans un coin, et sur votre lit de malade, et là, mais...?... la dernière chose qu’elle peut vous faire, c’est vous amener dans la Présence de Dieu. Et ensuite, à la résurrection, tout ce que cette mort... Oh ! alléluia ! tout ce que la mort vous a fait sera ôté.
48 Après que Dieu vous a formé ici et placé dans votre juste position, où vous êtes fort et en bonne santé, et au mieux de votre forme, alors la mort s’installe. Mais ce que la mort a fait et toute sa malédiction seront ôtés, et vous serez de nouveau parfait. Alléluia ! Voilà notre Père céleste. Oh ! la la ! quand on y pense, combien c’est merveilleux... juste... «Hé ! Viens.» Il est entré directement dans la chair et Il est descendu. Voici Sara, une belle jeune femme. Et Abimélec voulait l’épouser. Et alors ce soir-là, Dieu lui est apparu et a dit: «Mon gars, considère-toi comme un homme mort.»
«Eh bien, a-t-il dit, Seigneur, pourquoi donc?»
Il a dit: «Eh bien, tu a pris une femme d’autrui.»
«Eh bien, a-t-il dit, tu connais l’intégrité de mon coeur, j’ignorais cela. Elle a dit que c’était son frère, et il a dit: ‘C’est ma–c’est ma soeur.’»
Il a dit: «Oui, c’est pour cette raison que Je t’ai empêché de pécher contre Moi.» Mais écoutez... Cela montrait la souveraineté de Dieu. Abraham était là, celui à qui Dieu avait fait la promesse.
49 Maintenant, vous les frères arminiens, réfléchissez un petit peu, je n’ai pas l’intention de vous rappeler ceci. Mais maintenant, Abimélec était un merveilleux homme de la sainteté. Il n’avait rien fait. C’était un homme de bien. Et il était couché là, et il y avait là le prophète que Dieu avait choisi, qui était assis là... Eh bien, un homme qui dirait cela de sa femme, je ne sais pas. Voyez-vous?
Regardez dans quelle condition il était, un rétrograde. Il l’était certainement. Dieu lui avait dit de rester en Palestine, et il a quitté la Palestine. Il avait rétrogradé. Il était assis là, racontant un petit mensonge, un petit mensonge pieux. Mais remarquez ce que Dieu a fait. Dieu a dit à Abimélec: «Je...»
Abimélec a dit: «Je connais l’intégrité de ton coeur, c’est pour cette raison que Je t’ai empêché de pécher contre moi. Mais son mari est Mon prophète. Je n’écouterai pas ta prière, mais va là-bas et que lui prie pour toi, parce que Je l’ai appelé, il est Mon prophète. Et même s’il est dans cette condition-là ; va et qu’il prie pour toi, et Je l’exaucerai. Sinon, tu es un homme mort.» Amen. Les gens se sont un peu calmés ici, mais c’est ce que dit la Bible. Très bien. «Tu es un homme mort.»
Abimélec est sorti de son rêve et il s’est levé, et il est allé et il a appelé tous ses sujets, et ils ont tremblé. Il est sorti là et il a dit: «Abraham, voici ta femme.» Et il lui a rendu sa femme.
50 Abraham était pourtant un jeune homme. Sara, immédiatement après cela, plus d’une année ou deux après cela, a eu le bébé qui lui avait été promis durant tout ce temps. Remarquez...
Maintenant, vous direz: «C’est ce qu’Il a fait à Sara, mais qu’en est-il d’Abraham?»
Même après qu’Isaac est mort, ou plutôt je veux dire, après que Sara est morte, lorsqu’Isaac était déjà un jeune homme, il était suffisamment âgé pour se marier, environ quarante ans plus tard... «Eh bien, dites-vous, à cette époque-là les gens vivaient plus longtemps, Frère Branham.»
Maintenant, une minute. La Bible dit qu’ils étaient tous les deux avancés en âge. C’est vrai. Et Abraham épousa une autre femme après la mort de Sara, une quarantaine d’années plus tard, et il a eu sept fils. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Alléluia ! C’est notre Dieu.
Il a montré à travers Abraham et Sara ce qu’Il fera pour vous et votre femme, un de ces jours: Il va vous rajeunir. Eh bien, si cela n’est pas une espérance bénie, je ne sais pas ce que c’est, frère. Lorsqu’Il est apparu là-bas, Il a pris une poignée des matières dont l’être humain est constitué, et Il a simplement créé par la Parole, Il a dit: «Venez ici.», avec une autre poignée, Il a mis deux Anges dedans, Il est descendu, et Il a parlé à Abraham et Il l’a aussi changé en un jeune homme, et Il a prouvé ce qu’Il allait faire. Alléluia ! Nous sommes la postérité d’Abraham et nous sommes en route vers la promesse.
Lorsque le petit Isaac naquit... Oh ! la la ! dois-je m’arrêter ici? Accordez-moi encore cinq minutes, s’il vous plaît, pour terminer ceci afin que je puisse changer de sujet demain soir. Voyez-vous? Le petit Isaac, lorsqu’il avait environ seize ans, Dieu a rencontré Abraham... (Rapidement, et je vais essayer d’aborder mon sujet, mon... Ensuite nous allons terminer, et nous allons nous mettre à prier pour les malades.)
51 Quand il avait environ seize ans, Il l’a rencontré, et Il a dit: «Abraham, Je sais que tu as été bon, tu–tu as... tu M’as obéi. Je vais te dire ce que Je veux que tu fasses: ‘Je veux que tu amènes le petit Isaac là-haut et que tu le tues.»
Je pensais qu’il était... et quart, je ferais mieux de m’arrêter juste ici, prions.
Notre Père céleste, oh ! c’est tellement bon de se régaler du Pain vivant de Dieu. Le temps ne nous permet pas, Père, d’aborder mon–ce sujet maintenant même, mais peut-être que Tu me permettras de le terminer demain soir. Les gens qui sont ici travaillent, ils... J’ai pitié d’eux, comme ils se déplacent, là dans les champs, dans les usines, les bureaux et ainsi de suite. Ils sont venus, Père, certains sont malades, et ils sont couchés ici, souffrants. Et je Te prie, Seigneur, de bénir simplement Ta Parole maintenant, et qu’ils rentrent chez eux avec ceci à l’esprit, que s’ils sont nés de nouveau, ils sont morts en Christ, et ils deviennent la postérité d’Abraham et sont héritiers selon la promesse.
52 Que chaque homme et femme âgés ce soir, alors qu’ils vont quitter cette salle, ou plutôt cette tente, comme Tu as quitté Ta tente, un vieil homme qui devait être changé en un jeune homme, une vieille femme qui devait être changée en une femme... Ô Dieu, révèle qu’un jour nous allons quitter cette tente, cette demeure, le tabernacle de notre humiliation, et nous serons changés, nous allons entrer dans un autre pays, où il y a la pureté. Et lorsque nos pieds fouleront pour la première fois ce Pays béni, lorsque le vieux bateau de Sion sonnera l’accostage, nous allons descendre en hâte, alors ce sera fini là. La maladie, les infirmités, les afflictions et tout auront disparu. La vieillesse, la mort, le chagrin, toutes ces choses naturelles qui ont été produites par la malédiction auront disparu à jamais. Nous serons changés, nous serons carrément rajeunis. Eh bien, Tu sais où se trouve chaque portion du calcium, et tout ce qui compose le corps humain. Tu sais où ça se trouvait avant que Tu formes ce corps, et Tu as cela sous Ta garde, Tu peux ramener directement cela par la Parole. C’est ce que Tu as fait à Abraham, Tu en as simplement créé un par la Parole.
Le Grand Jéhovah se tenant là dans la chair humaine, mangeant de la viande de veau, mangeant le pain qu’Il avait fait pousser dans le champ, qu’Il avait Lui-même créé, mangeant du beurre et buvant du lait, Il a eu faim dans Son corps humain, vêtu d’un corps humain, une préfiguration du Seigneur Jésus. Combien nous Te remercions !
Le jour où Tu es apparu à Samson et à sa femme, Jéhovah Dieu, Tu es entré directement dans cette flamme de feu, et Tu es monté dans la flamme du sacrifice. Tu es apparu à Moïse et Tu lui as tourné le dos, Tu as marché là, Tu l’as laissé Te voir, et il a dit: «C’est le dos d’un homme.»
53 C’était une préfiguration, et pourtant on nous dit que Tu es Esprit. Mais tu as le contrôle de toute vie, de toute création. Et je suis très heureux ce soir, Seigneur, de ce que Tu peux même mettre un–créer un nouveau coeur, dans un pécheur ou une pécheresse âgée et faible. Quel glorieux Père Tu es: Tu peux prendre un malade étendu sur un lit de camp, ou un lit, ou une civière quelque part, en train de mourir, et le rétablir. Celui qui est tourmenté par le cancer, les infirmes qui ont des membres tordus peuvent redresser leurs membres, la seule chose que Tu nous demandes, c’est de croire. Aide-nous à croire ce soir. Car nous le demandons au Nom de Ton Bien-Aimé Enfant, le Seigneur Jésus.
Pendant que nous avons la tête inclinée, j’aimerais poser cette question solennelle maintenant même. C’est pourquoi le Saint-Esprit m’a dit... J’allais continuer avec ce sujet. Il a dit: «Arrête maintenant même.» L’obéissance vaut mieux que le sacrifice.
54 Quelqu’un ici, qui est hors de Christ... Maintenant, je sais que nous avons une–une habitude d’appeler les gens à venir autour de l’autel, et de les laisser prier et ainsi de suite. C’est bien, mais ce n’est pas biblique. Le nombre de croyants augmentait: «Tout ceux qui croyaient étaient baptisés.»
Y a-t-il quelqu’un ici pendant que tous les chrétiens sont en train de prier, pendant que les gens ont la tête inclinée... Y a-t-il une personne ici qui est loin de Dieu ce soir, et qui sait que si Jésus venait, votre âme mourra, et Il ne pourra pas ramener une âme morte dans un corps vivant, et vous serez perdu et fini, il n’y aura rien pour vous ramener...
Aussi sûr que la voiture ne peut rouler sans carburant, vous non plus vous ne pourrez pas rouler, ou plutôt vous ne pouvez pas ressusciter sans l’Esprit de Vie. Vous qui êtes en dehors de Dieu, voulez-vous lever la main vers Dieu, et juste en levant votre main, Lui dire: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi, je veux maintenant accepter la voie à laquelle Tu as pourvu, et venir à Toi.»
55 Quelqu’un aimerait-il lever sa main, partout dans la salle? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. C’est bon: «Je désire venir maintenant même. Je n’ai jamais vu cela de cette manière auparavant, Frère Branham. Je n’avais jamais compris ce qu’Il avait fait là à Sara et à Abraham.»
Que Dieu te bénisse, petit garçon. Que Dieu te bénisse. Quelqu’un d’autre qui dise... Levez la main vers Christ, Il vous voit. Que Dieu vous bénisse, mon frère assis par ici. Levez vos mains vers Christ, et dites maintenant: «Voici ma main levée vers Toi, Seigneur. Un jour, je vais sortir de ce vieux tabernacle dans lequel je vis ici, et je sais que si mon âme est... Et si elle pèche, elle va me quitter. Il me sera impossible de ressusciter.»
56 Pendant que vous avez la tête inclinée, je vais vous raconter un petit quelque chose qui est apparu tout récemment. Vous pécheur, pensez à ceci. Peu importe combien vous allez à l’église, si vous n’êtes pas né de nouveau, vous êtes perdu. Peu importe votre bonté, et combien–quel bon voisin vous êtes, vous êtes perdu si vous n’êtes pas né de nouveau.
J’étais assis sur un banc, ou un petit tabouret, mangeant de la crème glacée en compagnie d’un vieil ami ministre méthodiste. C’était L’Heure de l’agriculture, diffusée depuis Louisville, au Kentucky. Et le petit Club 4-H, disait-on, avait mis au point une machine qui produisait un grain de maïs qui était si parfait que vous auriez du mal à le distinguer du grain de maïs naturel qui a poussé dans le champ. On avait des sacs remplis de chacun de deux types. Si on prenait une poignée de celui qui a poussé dans le champ, et une autre poignée de celui qu’on a fabriqué, et qu’on les mélangeait, les deux produiraient la même quantité de corn flakes. Si on les décompose au laboratoire, ils ont le même genre de peau, la même teneur en humidité, en calcium, et en tout ce qui compose le grain de maïs, et les deux sont exactement pareils. Vous n’arriveriez pas à les distinguer, il serait désormais impossible de les séparer, celui qui a poussé dans le champ et celui qui... ils... a poussé dans le champ, ou on ne saurait dire lequel a été fabriqué par la machine, mécaniquement.
57 Mais il n’y avait qu’un seul moyen, a dit l’homme, pour les distinguer. C’est (écoutez) de les enterrer. Celui que l’homme a fabriqué est tout à fait semblable à celui que Dieu a créé, ils étaient tout à fait identiques physiquement, mais il manquait de germe de vie à l’intérieur. Et celui que l’homme a fabriqué pourrira, c’est tout ; mais celui que Dieu a créé, après avoir pourri, ayant un germe de vie, revenait à la vie.
Vous pouvez fréquenter une église, vous conduire comme un chrétien, prétendre être un chrétien, mais, frère, si ce germe de la Vie immortelle du Saint-Esprit ne repose pas dans votre âme, vous ne ressusciterez jamais à la résurrection, à la première résurrection. Ne voulez-vous pas y réfléchir sérieusement? En tant que votre frère, je vous parle et je vous encourage au Nom du Seigneur Jésus, à lever la main ce soir vers Lui, et dire: «Ô Dieu, donne-moi ce germe de Vie», pendant que nous prions.
58 Père, accorde cela ce soir, que tout celui qui lèvera sa main reçoive la Vie. Encore une fois, pendant que... Ecoutez, voulez-vous lever la main encore une fois, y a-t-il quelqu’un dans la salle...?... Que Dieu vous bénisse, je vous vois là derrière, frère. Un autre par ici. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Quelqu’un d’autre: «J’aimerai avoir cette Vie-là en moi, Frère Branham.»
Que Dieu bénisse cet homme par ici. Oui, je vous vois. Dieu aussi vous voit. Très bien, nous allons prier.
Père céleste, Tu les as vus lever la main. Je Te prie ce soir de leur accorder la Vie immortelle maintenant même, parce qu’ils ont cru. «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire ; et tout celui qui viendra, Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.»
C’est Ta promesse. Tu tiendras Ta promesse, Père. Quelque chose a touché leur coeur. C’est Toi, Grand Jéhovah, qui était dans la chair ce jour-là et qui a parlé à Abraham, qui l’as changé en un jeune homme. Tu es ici, en train de prononcer les Paroles de Vie.
Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi, a dit Jésus, si Mon Père ne l’attire.»
59 Ils n’auraient pas pu lever la main, qu’ils soient jeunes ou vieux, si Tu ne les avais pas attirés.
Et lorsque Tu as dit: «Tout celui qui vient, Je lui donnerai la Vie Eternelle.» Je Te cite Ta Parole, Jésus. Maintenant, donne-leur la Vie Eternelle, comme ils ont accepté.
Bénis cette assistance qui attend. Un jour dans le Royaume de Dieu puissions-nous avoir un grand moment de réjouissance, pensant à cette soirée à cause de Ta Présence et de Ta Parole, car nous le demandons au Nom de Jésus, le Bien-Aimé Fils de Dieu. Amen.
Que le Seigneur vous bénisse. Oh ! la la ! la Parole ne vous amène-t-elle pas à vous sentir récurés, à vous sentir mieux?
Eh bien, nous sommes vraiment en retard ce soir. Je regrette de... Non, je ne regrette pas, non, non. C’était la Parole de Dieu. Voyez? Je ne regrette pas. Soyez juste un peu plus indulgents, restez un tout petit peu, et nous allons commencer à prier pour les malades.
60 Maintenant, si vous le comprenez bien, cela ne veut pas dire qu’il faut que vous soyez ici pour être guéris. J’appelle seulement quelques personnes à monter ici pour que le Saint-Esprit puisse se mettre à l’oeuvre. Et s’Il se met à l’oeuvre, alors Dieu se met en action. Et pendant que Dieu se met en action, que le Saint-Esprit se meut sur les gens... Souvenez-vous, pendant que Dieu commence à agir avec Son Eglise, cela amène alors l’Ange de l’Eternel dans l’assistance. Les gens qui ont... Beaucoup plus de gens sont guéris dans l’assistance qu’ici à l’estrade ; alors, nous distribuons tout simplement des cartes de prière. Et si... pour que nous puissions avoir quelqu’un ici avec qui commencer ; cela ne signifie pas qu’il est guéri, cela signifie seulement qu’il est monté ici et que l’on a prié pour lui. On prie pour vous qui êtes là-bas.
61 Votre... Ce qui compte ce n’est pas si moi je vous touche ou si vous me touchez ; ce qui compte, c’est si vous Le touchez ou pas. Voyez? Je ne suis qu’un homme. Voyez-vous? Et je... Que pourrais-je faire pendant que je me tiens ici? Ecoutez ceci ; ce microphone, vous entendez ma voix à travers cela, mais cette chose est complètement muette, sourde, à moins que quelqu’un parle à travers. Est-ce juste? Moi aussi je suis complètement muet, je n’ai rien à dire, à moins que quelque chose parle à travers moi. Abandonnez-vous tout simplement et le Saint-Esprit se mettra à l’oeuvre et confirmera que Jésus est ressuscité des morts. Et Il a dit: «Les choses que Je fais...» Je ne... Ecoutez, pour les nouveaux venus, Jésus a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père Me montre d’abord dans une vision ce que je dois faire.» Saint Jean 5.19 «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne fait rien de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.»
62 Il en a toujours été ainsi tout au travers des Ecritures. Et Il a dit: «Les choses que Je fais vous les ferez aussi, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Encore un peu de temps, et les incroyants ne Me connaîtront plus, ils ne Me verront plus jamais.» Ils iront à l’église, oui, ils seront très ritualistes, très pieux, ils seront membres de très bonnes églises. Les hommes faisaient cela à l’époque, le groupe même qui L’a tué. Oh ! ils... «Mais ils ne Me verront plus jamais, mais vous, vous Me verrez,» jamais, tout au travers des âges, chacun de ces gens ne Le verra plus jamais. Ils ne veulent pas Le voir, ils ne peuvent pas Le voir.
Il a dit: «Vous avez des yeux et vous ne voyez pas, des oreilles et vous n’entendez pas.»
Mais Il a dit: «Vous vous Me verrez...» Vous, il y a eu des vous à l’époque. Il y a eu des vous dans l’âge de Wesley ; il y a des vous dans cet âge, et il y aura des vous jusqu’à ce que Jésus viendra. Il a dit: «Vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste?
63 Cela n’a jamais pris fin, et Jésus est toujours ici, et les gens peuvent encore Le voir. Je prie ce soir pour qu’Il fasse quelque chose qui sera un peu différent du service religieux ordinaire auquel vous avez assisté, afin que vous retourniez chez vous comme Cléopas et son ami après la résurrection.
Ce jour-là, le premier jour de la résurrection, le Seigneur Jésus était ressuscité et Il était au milieu des gens, au milieu des fleurs et ainsi de suite, en ce premier matin d’avril de Pâques, quand Il est ressuscité des morts. Et Il a voyagé et Il a parlé à deux hommes toute la journée, et ceux-ci ne L’avaient toujours pas reconnu. Il ne fait aucun doute du tout que vous avez... vous a parlé et Il vous a gardé de cet accident, Il a épargné la vie du bébé, Il a fait venir ces choses, et Il vous a aidé à payer le loyer. Toutes ces choses, c’est Lui qui les a faites. Mais vous n’avez jamais peut-être reconnu que c’est Lui qui a fait cela.
64 Et ensuite, lorsqu’Il est entré là dans la maison, Il a fait quelque chose que seul Jésus Lui-même pouvait faire. Et leurs yeux s’ouvrirent et ils Le reconnurent, et Il a disparu aussitôt de devant eux. Ils sont retournés en courant jusqu’à Jérusalem, disant: «Vraiment le Seigneur est ressuscité.»
Je prie qu’Il fasse quelque chose ce soir, comme ce qu’Il a fait lorsqu’Il était ici sur terre, et vous allez alors rentrer jusque chez vous en courant pour dire à vos voisins: «Jésus est vraiment ressuscité des morts, et Il est apparu là-bas l’autre soir dans ce petit groupe de gens assis dans cette petite tente froide.» Je prie Dieu de l’accorder, au Nom de Jésus.
65 Quelles cartes de prière as-tu distribuées? Nous avons les séries A, F, et H. Très bien, nous commençons un nouveau groupe ce soir. Nous avions... Nous distribuons cent cartes de prière et nous en appelons pendant quelques soirées, ensuite nous distribuons cent autres cartes, et aujourd’hui il a distribué la série H. Et maintenant, nous avons été... La carte de prière H, retournez-la et jetez-y un coup d’oeil, ceux–ceux qui l’ont. Et c’est de 1 à 100. Et commençons ce soir... Nous avons pris les premières, les dernières, et le milieu... Commençons ce soir à partir de... Je dirais 60. Voyons si nous avons cela. Qui a H-60? Levez la main, la carte de prière H-60? C’est bon, monsieur. Venez ici. Très bien, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 2, 3, 4, 5, alignez-les. Il y en a quinze. Essayons d’abord avec ces quinze premières, et voyons ce que nous aurons.
Jetez un coup d’oeil sur la carte de prière de votre–de votre voisin. H-60, je–j’ai appelé H–H-60. Maintenant, restons bien tranquilles pendant quelques instants. Chantons avec cette musique, cette belle musique:
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
Eh bien, il y a quelques cartes de prière qui manquent. On est en train de les chercher. Je... H, oui, H–H-60 jusqu’à 70, je crois que c’est ce que j’ai appelé. H-60, non, 75, H–H-60 jusqu’à 75. Peut-être que c’est quelqu’un qui n’entend pas, ou quelqu’un qui ne peut pas se lever. Ainsi, jetez donc un coup d’oeil sur la carte de votre voisin ou quelque chose comme cela. On les vérifie maintenant. Très bien.
66 Chantons comme ceci... maintenant... On dit qu’il y a une femme ici qui a un–qui est aveugle, qui est accompagnée d’un chien, un chien qui la conduit. Jetez un coup d’oeil sur sa carte, et voyez si elle a été appelée. Partout, de H-60 jusqu’à 75, voyez si...
Chantons comme ceci: Maintenant, je crois. «Seigneur, je–je crois Ta Parole et c’est réglé.»Maintenant, je crois.
Levons nos mains pendant que nous chantons cela comme ceci:
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, oh, maintenant je crois. (Soyez sérieux maintenant.)
Maintenant, je...
Pas: «Je croirai demain.» «Maintenant même, je crois maintenant même.»
Maintenant...
Maintenant, croyez-vous que Jésus est ressuscité des morts et qu’Il est réellement vivant?
Tout est possible, maintenant je crois.
67 Maintenant, je peux voir Jésus descendre de la colline un jour. Et les disciples là, en train de faire des histoires, mais les gens... Un homme avait un enfant épileptique, et il l’avait amené. Il a vu Jésus et il a couru vers Lui, et il a dit: «Seigneur, mon fils est tourmenté par un démon, a-t-il dit, peux-Tu l’aider?»
Il a dit: «Ce n’est pas là la question (et en d’autres termes), mais est-ce que tu peux croire?»
Ce dernier a dit: «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.»
L’état de l’enfant empira aussitôt. Aussitôt son état empira. Mais après qu’il se remit de cette crise, Jésus dit: «Donnez-lui un peu de nourriture pour le fortifier, il ira bien.»
Eh bien, c’est le même Jésus ce soir, n’est-ce pas? Maintenant, je crois ; tout est possible, maintenant je crois. OK.
68 Il y a cinq ou six cartes qui manquent, alors... Très bien. Commençons la ligne de prière, parce que nous devons nous dépêcher. Ça ne change rien, si une seule personne... le... Le ministère que j’ai reçu du Seigneur, ce n’est pas de prier pour chaque personne. Ecoutez... Combien ont déjà lu ce que l’Ange du Seigneur m’a dit ce soir-là, il y a plusieurs années, quand ceci n’arrivait même pas? Il m’avait dit que ceci allait arriver comme ceci. Y a-t-il quelqu’un là derrière, qui était là au début de mon ministère? Certainement, regardez les mains des anciens. Cela est-il arrivé tel qu’Il l’avait dit? Certainement. Il a dit: «Si tu amènes... Fais ceci, et les gens te croiront.»
Bon, ceux qui vont croire, ayez simplement foi ; croyez de tout votre coeur. Dieu accomplira certainement cela. Amen.
69 Très bien. Maintenant, voici un homme qui se tient ici à mes côtés, qui... Je–je ne l’ai jamais vu, je pense, de ma vie. Dieu le connaît, moi je–moi je ne le connais pas. Mais maintenant ce qui... Quelqu’un est peut-être allé le chercher et l’a amené à cette réunion. Disons que c’est le cas ; disons que c’était ce frère, celui-ci qui l’a fait. Je–je... Il pourrait avoir fait cela, je ne sais pas. Mais disons qu’il l’ait fait, et que le nom de cet homme donc soit Philippe, et que le nom de l’autre homme soit Nathanaël. Et il est venu dans la ligne où se tenait Jésus. Qu’a fait Jésus? Voyez? Il s’est mis à lui dire qui il était, ce qui le concernait. Et les incroyants ont dit: «Cet homme a un démon, c’est Béelzébul. Il–Il... C’est–c’est du spiritisme ; c’est le diable (Voyez?), Béelzébul, le prince des démons.»
Mais Nathanaël a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»
70 Maintenant... Et la femme qui se trouvait dans l’assistance, l’aveugle à la porte, tout du long, partout, vous voyez... Jésus... La femme qui revenait du puits, Jésus lui a parlé pendant quelques minutes, Il lui a dit où était son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’en ai pas.»
Il a dit: «C’est vrai, tu en as eu cinq.»
Eh bien, elle a dit: «Tu dois être un prophète.» Maintenant, suivez attentivement, afin que vous soyez certains de comprendre ceci. Elle a dit: «Nous savons que lorsque le Messie viendra...»
Croyez-vous que Jésus est le Messie, Jésus-Christ, le Messie attendu... Le Messie de Dieu, des Juifs...
Elle a dit: «Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. Mais qui es-Tu? Tu dois être un prophète.»
Il a dit: «Je Le suis.»
Alors elle est allée parler aux gens de la ville, disant: «Venez voir un homme qui a dévoilé mon–mon passé...?...»
71 Eh bien, Il peut faire... le–l’homme... La femme qui était venue là, c’était cela son problème. Cet homme qui est venu ici, il a certainement un problème, je suppose ; je ne sais pas. Mais Dieu le sait. Maintenant, si Dieu le révèle, cela sera-t-il toujours le signe du Messie, pas de William Branham, mais du Messie? Est-ce juste? Le Messie, qui est ressuscité et qui vit en nous, accomplissant la même chose qu’Il avait faite là-bas, n’est-ce pas ce que disent les Ecritures, tout aussi parfaitement que possible?
Oh ! c’est un peu contraire aux théories d’aujourd’hui, mais c’était un peu contraire aux théories de ce jour-là. Les hommes forgent des théories pour n’importe quoi, mais cela ne change pas la Parole de Dieu. Il accomplit cela exactement de la même manière que cela doit s’accomplir. Voyez?
72 Tant de gens ont manqué cela en ce jour-là. Ne manquez pas cela en votre jour. Pas moi, là, Lui. C’est Son... C’est le jour de Sa visitation, pas moi, je ne suis qu’un pauvre substitut de n’importe quoi, mais Lui... Mais c’est–c’est Lui qui agit, qui opère. Il me donne juste un moyen, un don pour m’abandonner à Lui et faire ces choses pour votre bien, pas pour mon bien, pour le vôtre. C’est donc pour vous.
Bon, cet homme qui se tient ici est un inconnu. Mais si Dieu me révèle qui est cet homme, ce qui–ce qui cloche en lui, ou quelque chose à son sujet qu’il sait que j’ignore, croirez-vous tous alors de tout votre coeur? Et vous par ici dans ces civières, dans ces lits de camp et tout, allez-vous croire?
73 Bon, si j’étais un guérisseur, savez-vous ce que je ferais? Je descendrais et je guérirais ce petit garçon, et je guérirais cette personne ici, et cette personne ici, et ce petit garçon par là, et cette dame-ci. Je les guérirais. Je prendrais cette dame-ci qui est dans ce fauteuil roulant, et je dirais: «Que tout celui qui a le cancer vienne ici, je vais vous guérir.»
Mais lorsqu’un homme vous dit qu’il peut vous guérir, pour commencer il vous trompe. C’est juste. Jésus l’a déjà fait, et aucun homme ne peut encore faire cela. Il est question de votre propre foi, votre foi personnelle. C’est comme un homme qui dirait qu’il peut pardonner vos péchés...?...
«Eh bien, dirait-il, Eh bien, la Bible dit: ‘Il leur a donné la puissance.’»
74 Oui, mais ça, c’était avant la crucifixion de Jésus. C’est vrai. L’expiation n’avait pas encore été faite. Souvenez-vous-en, frère. Oui, oui. Il a aussi dit: «Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés. Ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus.»
Mais comment ont-ils fait cela? Pierre a dit, celui qui en avait les clés, le jour de la Pentecôte il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.»
Est-ce juste? Voyez? Certainement, il n’est pas du tout question de ce que l’homme peut faire ; il est question de ce que Dieu a fait.
Vous croyez cela, n’est-ce pas, monsieur? Vu la manière dont j’ai prêché, il m’est un peu difficile d’entrer dans cette onction pour faire venir l’Ange du Seigneur, c’est donc la raison pour laquelle j’attends un moment. Et supportez-moi, et soyez très respectueux, juste pendant quelques instants. Et Billy, surveille-moi, et vous aussi, et...
75 Voyez-vous? C’est un état de subconscience (Voyez-vous?), forcément. Je n’en sais rien. Comment pourrais-je connaître quelque chose sur cet homme? Nous ne nous connaissons pas. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Pas vrai, monsieur? Levez la main si c’est vrai. Nous ne nous connaissons pas. Dieu vous connaît. Mais maintenant, si je peux vous parler juste un moment, comme notre Seigneur avait parlé à la femme au puits...
Elle est venue pour puiser un seau d’eau ; Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Et Il a engagé une conversation. Avez-vous déjà lu cela dans Saint Jean, chapitre 4? C’est un très beau passage, n’est-ce pas? N’auriez-vous pas aimé être là à ce moment-là, juste là où Il était assis au puits?
76 Frère, cela pourrait sembler très étrange, mais vous vous tenez pratiquement au même endroit. C’est juste. Vous vous en rendez compte maintenant, n’est-ce pas? Voyez? Lorsque notre foi commence à se tourner vers Lui, voyez-vous ce qui est vite arrivé? Maintenant, maintenant même, vous avez une sensation différente de celle que vous aviez quand vous vous êtes tenu là, est-ce juste? Si c’est juste, levez la main. Maintenant, si l’assistance m’entend bien et tout, l’homme qui se tient devant moi maintenant, entre lui et moi, il semble apparaître quelque chose comme une vraie lumière. Et cet homme, il... Eh bien, il n’est pas ici pour la guérison. Il a déjà été guéri. Vous étiez guéri l’autre soir. Vous aviez un... Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. C’est juste. Et c’est pour votre enfant, n’est-ce pas, votre fille? C’est juste. Et elle n’est pas ici. Je vois aussi une femme apparaître aussi sur la scène, la nervosité ou quelque chose comme cela. C’est juste. Mais elle est ici. Et puis, vous... Elle est ici. Et vous–votre–votre fille, votre fille, cependant, elle est dans un autre Etat. C’est une contrée plutôt plane, où on cultive beaucoup le blé. Ce n’est pas... C’est–c’est le Kansas ; elle vient du Kansas, c’est de là qu’elle vient. Et elle souffre aussi de la nervosité. Monsieur Brown, c’est votre nom, rentrez chez vous, votre fille va guérir ainsi que votre femme. Vous êtes guéris, que Dieu vous bénisse. Disons: «Louez-Le !»
77 Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.] Est-ce que vous croyez? Ayez la foi.
Maintenant, l’homme qui a mis ceci autour de mon cou a un désir pour quelqu’un. Amen. Oh ! c’est merveilleux lorsqu’Il entre en scène. Ayez foi en Dieu.
Est-ce que vous croyez, madame? Seul Dieu peut vous guérir ou vous accorder ce que vous désirez.
Vous souffrez de la tête, n’est-ce pas, frère? Oui, oui. Le jeune homme assis là... Cela est dû à une blessure, n’est-ce pas, frère? Oui, oui. ...?... Vous aviez aussi du chagrin, n’est-ce pas? C’est une ombre sombre, je crois que vous avez perdu votre femme. C’est juste. N’est-ce pas juste? Levez la main. Eh bien, votre problème à la tête est terminé, monsieur. Dieu a honoré votre foi, vous allez maintenant être guéri.
78 Voyez-vous ce que je veux dire? Il n’est pas nécessaire que vous ayez une carte de prière, il vous faut la foi ; ayez simplement la foi. Dieu vous accordera le profond désir de votre coeur, si seulement vous avez la foi pour croire. N’est-Il pas merveilleux?
Maintenant, Il est encore en train de se déplacer dans l’assistance. Alors que je peux voir encore l’assistance, je vais observer... Il a dit: «Je le peux, si tu peux croire.» Il est vraiment aimable, n’est-ce pas?
Je vois une dame en train de prier. Elle a son mouchoir sur la bouche. Elle est assise juste derrière cette première rangée ici. Elle souffre d’une maladie de la peau pour laquelle elle prie. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira, soeur? Croyez-vous qu’Il vous rétablira?
La jeune dame assise juste derrière la femme au manteau rouge par ici, vous qui avez votre mouchoir sur la bouche, juste ici... Levez la main. Cela vous quittera. Je vous vois même longtemps après maintenant, cela vous a quittée. Votre foi vous a guérie, soeur. Amen.
79 Croyez-vous en Lui? «Tout est possible à celui qui croit. Si tu peux croire», Il a dit: «Tout est possible.»
Vous priez pour cet enfant, n’est-ce pas, soeur, vous qui êtes assise là? Continuez d’avoir la foi maintenant.
Oh ! mon cher frère et ma chère soeur, si seulement je pouvais, si seulement je pouvais, alors que je sais que vous êtes en train de m’écouter, si seulement je pouvais expliquer ce que l’on ressent juste ici maintenant. Oh ! comme il me semble que tout le monde devrait être, oh ! croire maintenant même. Il–notre Seigneur Jésus est ici. C’est ce qui vous a poussé à venir ici ce soir.
80 Maintenant, cela m’affaiblit. Bien sûr, vous pouvez le voir, et que même le–en cette soirée froide, la transpiration coule de ma main. Voyez-vous? Vous êtes... c’est–c’est Sa Présence. Les visions... Jésus a dit: «Je sens que la force M’a quitté», elle n’était pas sortie du Dieu qui était en Lui, mais elle était sortie de Son corps physique, du Fils de Dieu, qu’Il était. C’est la même chose ici. Cela vous rend très faible: ce sont les visions. Si vous avez la foi et croyez de tout votre coeur, eh bien, vous pouvez recevoir ce que vous demandez.
Maintenant, soeur, peut-être que je peux vous parler un petit peu. Croyez-vous que je suis Son serviteur, le serviteur du Seigneur Jésus? Vous savez qu’il n’y a rien dans votre frère qui puisse faire quelque chose, pour vous aider, pour vous guérir, si vous êtes malade, et vous savez... Croyez que je suis Son serviteur, que j’essaie seulement de venir ici parce qu’Il m’a parlé et m’a dit de venir, et qu’Il serait avec moi et accomplirait ces choses, comme vous Le voyez là dans l’assistance.
Maintenant, vous savez que je ne vous connais pas, et je–je ne sais rien à votre sujet. Mais Dieu sait tout ce qui vous concerne, n’est-ce pas? Eh bien, s’Il peut me révéler ici la raison de votre présence ici, allez-vous alors croire en Lui de tout votre coeur, et allez-vous accepter tout ce pourquoi vous êtes ici, que ce soit les finances, ou que ce soit des problèmes spirituels, ou quoi que ce soit, vous allez–vous allez accepter cela? Maintenant, ma sincère prière est qu’Il puisse accorder cela. Mais, oh...
81 Une ombre sombre est suspendue près de cette dame. La voilà venir au-dessus d’elle, la puissance de l’ennemi. Et c’est une–c’est une tumeur que cette femme a, et elle souffre aussi de l’estomac. C’est juste. Une tumeur à la tête, une tumeur de la tête. C’est vrai. Si c’est le cas, levez la main. Maintenant, croyez-vous que Sa Présence est juste ici? Approchez un moment, afin que je puisse vous imposer les mains, soeur, pendant que l’onction est sur moi, et demander à–à Celui qui vous parle à travers moi d’épargner votre vie. Allez-vous vivre pour Lui et faire tout ce que vous pouvez pour Le servir?
Bien-Aimé Père céleste, Tu entends ceci. Et les ténèbres sont suspendues au-dessus de cette femme, je maudis cet ennemi. En tant que Ton serviteur, je maudis cela au Nom du Seigneur Jésus ! Et Tes bien-aimés serviteurs, les médecins, ont essayé de faire tout leur possible pour elle, mais, Seigneur, je prie que Ta main guérissante soit sur elle, la touche, et la rétablisse, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Maintenant, partez en vous réjouissant, partez en étant heureuse, et croyez en Lui. Crois-tu maintenant, de tout ton coeur?
82 Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assis là-bas sur le–le–le–qui souffrez des reins, assis là, croyez-vous que Dieu vous rétablira, vous qui êtes assis là? Croyez-vous qu’Il vous a guéri maintenant? Vous avez levé la main comme vous l’avez fait. Le croyez-vous? Croyez-vous qu’Il vous rétablira? Très bien, dans ce cas vous pouvez recevoir votre guérison. Amen. Vous avez levé votre main juste à temps. Amen. Maintenant, rentrez chez vous ; oubliez tout simplement que vous aviez cela. Grâces soient rendues au Seigneur Jésus qui nous accorde toutes choses gratuitement.
Est-ce vous le patient? L’Ange du Seigneur est suspendu au-dessus de cette petite Espagnole assise là, mais je... Venez par ici une minute. Je ne vois pas, cela ne va pas aboutir à une vision ; il y a tant de gens qui prient. Approchez juste un instant. Maintenant, juste pour vous parler, madame, juste quelques minutes, je suis... Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Jésus vous connaît, Il sait tout ce qui vous concerne, et moi je ne vous connais pas. C’est juste. Mais Dieu vous connaît. Mais si Dieu me révèle la raison de votre présence ici, allez-vous–allez-vous croire de tout votre coeur? Eh bien, il y a une chose qui vous dérange, c’est un problème cardiaque ; et il y a autre chose qui vous dérange, c’est la nervosité, et l’anémie vous dérange aussi. C’est vrai. Et tout cela est dû à la nervosité qui a causé cela. Principalement, après que vous avez mangé, cela empire l’état de votre coeur, car c’est le gaz qui vient de votre estomac, et vous êtes simplement nerveuse, car c’est une période de la vie que vous traversez qui fait que vous soyez dans cet état-là. Voyez? C’est juste. Et il n’y a rien qui va vous déranger, vous êtes dans la Présence du Seigneur Jésus, pas de votre frère. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela? Vous n’êtes pas de cette ville ; vous venez d’une autre ville. Vous avez roulé jusqu’ici, ayant effectué environ cent miles [160 km]. Et c’est un endroit qui s’appelle Ontario, quelque chose comme cela, en Californie. N’est-ce pas ça? Maintenant, me croyez-vous? Maintenant, rentrez chez vous, oubliez tout cela, vous êtes guérie. Voyez? Jésus vous guérit.
Ayez foi en Dieu, ne doutez pas. Croyez et vous recevrez, «si tu peux croire.»
83 Bonsoir, madame. Je vois que vous tenez un mouchoir en main. Croyez-vous de tout votre coeur? Est-ce que vous croyez? Croyez-vous que Dieu est le Jéhovah Dieu qui était avec Abraham? Croyez-vous que Jésus est son Fils? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que vous vivez dans les derniers jours, où Jésus prouve qu’Il est ressuscité? Vous pourriez... Vous–vous avez été dérangée par beaucoup de ces choses, mais souvenez-vous tout simplement, ces choses déclarent seulement qu’il existe réellement un authentique Saint-Esprit. Maintenant, croyez-vous cela de tout votre coeur? Vous êtes ici pour une autre personne, n’est-ce pas? Oui, oui.
84 Je vois du chagrin. Je pense que c’est un bien-aimé ou un parent qui est décédé récemment. Vos deux parents sont morts, votre père et votre mère. C’est juste. Mais vous avez du chagrin... C’est un autre homme, cet homme est infirme, ou bien il marche à l’aide des béquilles. C’est un frère. Et ce frère n’est pas ici, il est dans une région où il fait froid, il y a beaucoup d’arbres feuillus. C’est... Il est de l’Indiana. C’est de là qu’il est. Envoyez-lui ce mouchoir. Et voici autre chose qui vous dérange. Vous vous inquiétez de son état, de son état spirituel, car j’ai vu que vous lui avez parlé de son baptême ; il doit se faire baptiser. Maintenant, partez. Il sera baptisé. Dites-lui seulement de croire de tout son coeur.
Béni soit le Seigneur, le Jéhovah-Jiré, le Seigneur pourvoira.
Est-ce cette dame qui vient? Ayez la foi. Croyez-vous de tout votre coeur?
A quoi pensez-vous, monsieur? Croyez-vous de tout votre coeur, vous qui êtes couché dans la civière? Croyez.
85 Il y a un esprit qui est sorti de la femme, qui appelle dans l’assistance, et je n’arrive pas à le localiser, et... Voyez? Les démons sympathisent les uns avec les autres, et ils appellent à l’aide. Si seulement ils peuvent renforcer suffisamment cela en amenant cette femme à douter, elle sortira d’ici avec la même maladie qu’elle a. Il y a quelque chose qui cloche en elle, mais elle–elle... S’il l’amène à douter... Mais si l’Ange du Seigneur peut s’emparer suffisamment d’elle pour déclencher une vision, alors elle va se mettre à croire et elle recevra cela. Mais il appelle.
Oui, juste là. Vous avez la bronchite, ça c’est d’un côté, vous avez la bronchite, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous qui êtes assise là, portant ce petit pull over noir à carreaux. Oui, oui. Oui, c’est vous. Vous êtes toutes les deux dérangées par la bronchite. C’est juste. Il va perdre la bataille. Cela devient clair. Vous avez aussi un problème du rectum, les hémorroïdes, c’est ce qui vous dérange. C’est juste, n’est-ce pas? Amen. Croyez simplement, ne doutez pas ; croyez simplement ; ayez la foi. Il a dit: «Si tu peux croire...»
86 Croyez-vous de tout votre coeur? Cela m’affaiblit, mais une vision ne cesse d’apparaître autour de vous. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’une ville appelée... Il me semble voir une petite enseigne par là sur laquelle il est écrit Moore Park, Moore Park, en Californie. C’est juste. Et les gens vous appellent... votre... comme Ethel, et Stevens. Je vous vois retirer votre courrier d’une boite aux lettres, votre numéro est le 234. C’est juste. Maintenant rentrez vite chez vous, soyez guéri au Nom de Jésus-Christ. Ayez la foi, ne doutez pas.
Maintenant, allez là au bout de cette estrade et dites: «Je n’ai plus l’arthrite, je suis guéri. Je rentre chez moi, je suis guéri.» Allez faire cela. Jésus-Christ vous guérit alors. Que Dieu vous bénisse.
Voulez-vous venir, soeur? Cela pourrait être un abcès, je n’en suis pas certain ; je ne sais pas. Et cela vous donne un écoulement, c’est une maladie des femmes, une maladie gynécologique. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Très bien alors, cet abcès se desséchera et vous serez une femme en bonne santé, si vous croyez. Partez en ayant la foi, croyez en Lui de tout votre coeur.
87 Vous êtes nerveux et inquiet. Je vous vois essayant de vous asseoir sur une chaise. Non, vous essayez de vous lever d’une chaise... Oh ! c’est l’arthrite, vous avez aussi l’arthrite. Partez, en Le remerciant, en disant: «Merci, Seigneur ; je ne vais pas déclarer... Cette arthrite est terminée. Je vais croire de tout mon coeur.» Ayez la foi, croyez.
Madame, il y a une opération qui vous attend pour une tumeur. Mais croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Si vous croyez, laissez-moi vous imposer les mains pendant que... Au Nom de Jésus-Christ, que ma soeur soit guérie. Grâces soient rendues à Dieu.
Venez, madame. Vous étiez dans la ligne de prière il y a quelques instants, et vous avez ressenti une sensation très étrange lorsque j’ai dit à quelqu’un ici derrière: «Vous souffrez des reins.» Voyez? Vous étiez guérie au même moment. Eh bien, c’est juste, n’est-ce pas? Très bien. Partez simplement en croyant de tout votre coeur.
Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.]
88 Est-ce que tu crois? Monsieur, vous allez rester couché dans cette civière et vous allez mourir, en restant couché là. Si vous croyez, vous pouvez vous lever. Voilà ! Levez-vous au Nom de Jésus-Christ, levez-vous, prenez votre fauteuil d’ambulance, rentrez chez vous, Christ vous guérit ! Alléluia !
Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»]
Est-ce que vous croyez? Alors tenez-vous tous debout et acceptez Jésus comme votre guérisseur.
Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, que chaque personne ici soit guérie, Seigneur Dieu, et guéris-les tous. Je Te les recommande au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je Te prie de guérir...?...