Trouverai-Je La Foi À Mon Retour?
1 Bonsoir, mes amis. Il est agréable d’être de
retour ce soir pour cette soirée accordée aux prédicateurs, soirée que
je vous avais promise depuis longtemps. Et c’est dommage que demain
soit notre dernier soir, mais nous devons aller de l’avant. Je viens de
rencontrer le… Un autre prédicateur viendra après demain soir, le
révérend M. Cain. C’est lui qui doit prendre les services de mardi
soir et les suivants. Paul Cain. C’est Cain, je crois. Est-ce bien
cela? Cain, C-a-i-n.
2 Je pensais à ma pauvre grammaire d’hier soir. Je
suis navré de ce que j’ai dit hier soir. Je dois vous faire mes
excuses, pour cette pauvre grammaire. J’ai voulu dire que «cette
baleine l’avait régurgité» et non pas moi. Je me suis senti vraiment
humilié aujourd’hui à ce sujet. Je me suis écouté, et ce n’est pas ce
que je voulais dire. Ce devait être l’excitation, je ne sais quoi, et
je n’ai pas remarqué ce que je disais. Je vous en fais mes excuses; ce
n’est pas ce que je voulais dire.
3 Vous avez été tout au long de la semaine un très
charmant auditoire. Et nous nous attendons à ce que demain soir soit la
plus grande soirée de cette campagne de réveil, du réveil qui est en
cours actuellement. Je voudrais prendre la soirée de demain, si c’est
possible, pour voir quelques personnes. Et dans deux jours, eh bien,
frère Cain prendra les autres services.
4 Et je veux, par cette soirée des prédicateurs
devant l’assemblée, amener les pasteurs et les ministres locaux devant
les gens, à un… La guérison divine a été bien des fois mal interprétée,
et qu’il n’était donné qu’à certaines personnes seulement le droit de
prier pour les malades, pour leur guérison. Mais c’est mal comprendre.
Toute personne qui croit en la guérison divine a le droit de prier pour
les malades. Vous voyez? Et ça n’appartient pas qu’à un seul homme ou à
un évangéliste; c’est pour quiconque, tout le monde.
5 C’est un excellent groupe de ministres ici ce
soir. Ce ne sont pas les pasteurs des églises locales. J’espère que
dans les prochaines semaines, Dieu les conduira quelque part à prier
pour les malades. Si je connaissais une manière ou si j’avais une
autorité quelconque de les envoyer, il me ferait assurément plaisir de
les envoyer. Car chacun d’entre eux partirait, accéderait à des gens
dans le besoin, et quelqu’un serait assurément guéri quelque part. Et
s’il n’y avait qu’une seule personne guérie, ça en serait une. Vous
voyez?
6 Et j’ai lu dans le journal du frère Lindsay, La
Voix de la guérison, qu’il y en a beaucoup. Plusieurs prédicateurs y
donnent des témoignages de guérison. Je pense que tout ministre qui
veut être représenté dans ce journal, qui tente de faire ce qui est
juste, peut certainement y mettre son programme. Je pense que c’est la
manière de faire du frère Lindsay. Et je remarque qu’il y en a qui
s’ajoutent jour après jour, de plus en plus. Et chacun d’eux rapporte
un témoignage, dans le journal, de gens qui ont été guéris pendant
qu’ils priaient pour eux. Aussi, tout cela mis ensemble, est-ce que ça
ne ferait pas une grande réunion? Certainement. Un seul de nous ne peut
pas prier pour tous les malades. Nous devons être beaucoup, beaucoup,
beaucoup plus nombreux à le faire.
7 Et je mets ma confiance en Dieu, que de cette
réunion, plusieurs personnes, plusieurs ministres qui en tout temps
œuvrent pour le Seigneur dans leurs églises… Je crois qu’un pasteur,
s’il est appelé, devrait être un pasteur. Je veux que tous sachent que
ce pasteur n’a pas plus que les autres le droit de prier pour les
malades, il a le même droit.
8 La guérison. Il n’y a personne au monde…
Maintenant, comprenez bien ceci. Il n’y a personne au monde qui puisse
faire une seule chose pour vous, en ce qui concerne la guérison divine,
si ce n’est de vous amener à croire à ce que Jésus a déjà fait. Vous
voyez? Les gens disent: «J’ai la puissance de guérison dans mes mains.»
- C’est faux. Il n’y a rien de tel. Oubliez ça. Si quelqu’un l’affirme,
vous savez que… ils sont peut-être honnêtes, mais ils interprètent avec
ignorance ce que Dieu dit de la guérison divine. C’est vrai. Car
personne, peu importe qui elle est, personne ne pourrait faire ce que
Jésus a déjà fait. Car la guérison faisait partie des bénédictions
rédemptrices. L’une d’entre elles est la guérison divine, et Jésus en a
payé le plein prix au Calvaire. La seule chose à faire, c’est de
l’accepter.
9 Peu importe combien je pourrais prier pour vous
qui êtes un pécheur, mes prières pourraient vous aider, et ma
persuasion pourrait vous aider, mais je ne pourrais pardonner aucun de
vos péchés. Dieu l’a déjà fait, vous devez l’accepter en Christ. Quand
Jésus est mort, Il a sauvé tous les hommes, du moins en ce qui concerne
Dieu. Car Il a payé le plein prix de la rédemption humaine.
10 Maintenant, n’allez pas penser que je suis un
universaliste qui croit que chacun est sauvé et y sera. Je ne crois pas
cela, non monsieur. Je crois que tous ceux… que chacun était sauvé aux
yeux de Dieu, car Jésus a payé la pleine pénalité du péché quand Il est
mort. Maintenant, cela ne vous fera aucun bien jusqu’à ce que vous
l’acceptiez. Vous voyez? Vous devez l’accepter. Et ce n’est pas combien
vous pleurez, combien vous suppliez, combien vous implorez, c’est par
un cœur abandonné à Dieu, un cœur qui croit par la foi que Lui l’a
fait.
Et les appels à
l’autel que nous avons, quand on rassemble les gens autour de l’autel,
ne se faisaient pas dans les temps bibliques. C’est une tradition de
notre peuple, qui a son point d’origine en l’église méthodiste. Mais
regardez, c’est une bonne chose. Je n’aime pas ces repentances à l’œil
sec. J’aime voir quelqu’un se lever et être réellement désolé pour ce
qu’il a fait, et du plus profond de lui-même. Mais peu importe combien
vous priez, vous ne serez jamais pardonné avant de croire que vous êtes
pardonné. Ensuite confessez que vous l’êtes. Et puis vivez comme étant
pardonné. Et personne ne le saura jamais, que vous pleuriez, que vous
priiez, que vous criiez, que vous parliez en langues à plusieurs
reprises, que vous fassiez quoi que ce soit, vous n’êtes toujours pas
sauvé, tant que les fruits de l’Esprit ne rendent pas témoignage en
vous. Car «par leurs fruits vous les reconnaîtrez». C’est exact. Par
leurs fruits.
11 Il y aura un Corps racheté. Plusieurs d’entre
nous disent: «Eh bien, cette personne y sera, parce que je l’ai
entendue pousser des cris et louer le Seigneur.» Nous aimerions parfois
faire entrer une personne par ce moyen, mais ce n’est pas ce que Jésus
a dit. Parfois nous disons: «Oh, ils vont y parvenir, ils étaient
tellement remplis qu’ils parlaient en langues.» C’est encore une
erreur. C’est une bonne chose, mais c’est encore une erreur. Pousser
des cris, c’est aussi une bonne chose, mais la seule façon pour vous
d’y parvenir, c’est par les fruits de l’Esprit. «À leurs fruits vous
les reconnaîtrez.»
12 Un arbre peut avoir l’écorce du sycomore, mais
s’il porte des pommes, c’est un pommier. C’est exact. C’est un pommier
parce que la sève, la vie à l’intérieur de ce sycomore a changé en la
vie du pommier et porte des pommes, dans une sorte de… Peu importe
quelle démonstration extérieure vous démontrez, tant et aussi longtemps
qu’à l’intérieur ici le Saint-Esprit y habite, ce sera les fruits de
l’Esprit, la longanimité, la bonté, la douceur, la patience, la
gentillesse, la foi, la tempérance. Satan peut imiter n’importe quel
don, n’importe quelle manifestation, mais il ne peut pas aimer. Dieu
est amour, c’est exact. Vous voyez? Satan ne peut pas aimer.
Quand vous
voyez un homme humble et aimant, bon pour ses voisins, et un bon
citoyen, une bonne personne, un bon homme, un homme chrétien, rempli
d’amour et d’humilité, c’est cet homme. Vous voyez? C’est exact. Un
homme bon, charitable, longanime, vous pouvez parler de lui, c’est
correct, il vous pardonne, cela ne lui fait pas de différence. Voilà,
c’est le véritable homme, gardez vos yeux sur lui. Vous voyez? Ce que
cet homme porte, c’est un exemple.
13 Mais qu’il crie à fendre l’âme dans l’église ou
qu’il fasse ceci, cela ou autre chose, et qu’il n’ait pas encore obtenu
cela, Paul dit: «Quand je parlerais la langue des hommes et des anges,
quand j’aurais toutes ces autres choses, et quand j’aurais la foi
suffisante pour déplacer des montagnes et comprendre tous les mystères
de Dieu; et quand j’aurais passé par tous les séminaires, et quand je
saurais tout, de long en large, à l’endos et à l’envers; et si je n’ai
pas la charité, cela ne me sert à rien.»
14 Il n’y a pas longtemps, la dernière fois que
j’étais ici, ma petite fille m’a téléphoné. Cela m’a fait réfléchir.
Elle a dit: «Papa, je veux que tu viennes à la maison.»
Et j’ai dit:
«Chérie, je t’ai envoyé une petite poupée du Texas.» Elle n’a que
quatre ans. J’ai dit: «Je t’ai envoyé une petite poupée, chérie.»
Elle m’a dit:
«Je l’ai reçue, papa.» Elle a dit: «Je veux que tu viennes à la maison,
papa.»
Et j’ai dit:
«Eh bien, mon petit chou, je t’ai envoyé un petit lapin de Chattanooga.»
Elle a dit: «Je
l’ai reçu, papa.» Mais elle a répété: «Je veux que tu viennes à la
maison.» Vous voyez?
Et j’ai dit:
«Ma chérie, papa…»
Elle a dit:
«Papa, je t’aime, j’aime les cadeaux que tu m’as donnés, mais je veux
mon papa.»
15 C’est cela. Tous ces dons sont merveilleux, mais
je veux le Père. J’aime ces dons, les sons et les manifestations, les
louanges à Dieu, les cris, la guérison et les parlers en langues, et
tous les différents dons. J’aime les voir se manifester. Je ne les ai
pas, mais j’aime les voir en opération dans l’église. Mais par-dessus
tout cela, je veux Jésus. C’est ce que je veux. Ses dons sont utiles,
mais je veux le Donateur ici, vous voyez. C’est exact.
16 Aussi Paul a dit que c’était possible pour lui
d’avoir ces choses sans avoir le Donateur. «Quand je parlerais la
langue des hommes et des anges, et que je n’aie pas la charité, l’amour
divin, cela ne me sert à rien.» Vous voyez? Voyez? Très bien.
Maintenant, aimez-vous les uns les autres. Vous aimerez Dieu. Vous
voyez? Si vous vous aimez les uns les autres, vous aimerez Dieu. Car
Dieu est amour. Et un homme qui marche dans l’amour entre dans la vie.
L’amour parfait bannit toute crainte. Alors si vous pouvez Le prendre à
Sa Parole, et n’avoir aucune inquiétude à ce sujet, en disant:
«Seigneur, je T’aime, je sais que Tu vas répondre, car Tu m’as promis
que Tu le ferais, et je sais que Tu vas le faire.» Vous voyez? Cela
enlève toute crainte.
17 Maintenant, ce soir je vais parler un peu
là-dessus, afin que vous sachiez que ces choses qui se produisent et se
passent dans les réunions sont simplement des preuves de Sa présence
ici. Et Il n’est pas obligé à ma prière ou à la prière du pasteur; mais
Il répondra à toute personne qui croit, dans ce bâtiment ou ailleurs
dans le monde. C’est à cette personne qu’Il répondra. Et une personne
peut être ici, avec tous les dons de Dieu, mais elle ne pourra rien
faire pour vous, à moins de croire premièrement qu’elle est capable de
le faire.
18 Je veux simplement lire une petite Écriture avant
d’exprimer cette pensée. Hébreux 11.1:
Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on
espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.
Maintenant, la
foi est une ferme assurance. Ce n’est pas qu’un tempérament ou qu’une
pensée, c’est une assurance réelle. C’est quelque chose qui est aussi
réelle que tout autre sens du corps. Cinq sens contrôlent le corps, et
deux sens contrôlent l’homme intérieur, c’est-à-dire la foi et
l’incrédulité pour l’homme intérieur, et la vue, le goût, le toucher,
l’odorat et l’ouïe pour l’homme extérieur.
19 Maintenant, je crois avoir fait la démonstration
ici la dernière fois en vous montrant comment ces différents sens
opéraient. Par exemple, par la foi, vous n’auriez pas besoin de voir;
vous diriez: «Ce gilet est blanc.» Tous ceux qui ont une bonne vision
savent que si ce sens est en santé, il vous dira que c’est blanc. Et
maintenant, on dit, Voir c’est croire. Combien ont entendu cette
expression? «Je le croirai si je le vois.» Oh, je peux vous prouver que
c’est faux. C’est faux. Voir n’est qu’un sens.
20 Approchez un instant, révérend Kopp, si vous le
voulez bien. Tenezvous là. Regardons cette démonstration. Tenez-vous
derrière, ici. Je veux que vous voyiez si voir c’est croire ou non.
Maintenant, je crois qu’il y a un homme qui se tient devant moi,
portant un complet, un complet bleu, et il y a une rose sur le revers
de son veston. Combien croient que je dis juste? Voyons maintenant,
vous croyez cela? Je me suis trompé; c’était un œillet et non une rose.
Combien croient que cet homme est
devant moi? Laissez-moi voir vos mains. Vous savez qu’il se tient
devant moi. Très bien. Je sais aussi qu’il est devant moi, parce que je
peux le voir. Ma vue est bonne, et je fais confiance à ma vue. Je suis
reconnaissant pour ma vue. J’ai déjà été aveugle, aveugle au point
d’avoir de la difficulté à distinguer les objets; on devait me
conduire. Ma vision est parfaite maintenant, 20 sur 20, car
Jésus-Christ m’a guéri. Et je fais confiance à ma vue. Et je sais qu’il
est là parce que je le vois.
21 Comme ceci, il m’est impossible de le voir,
n’est-ce pas? Je lui tourne le dos. Mais il est toujours là. Vous
voulez argumenter avec moi, qu’il n’est pas là? Vous ne pourriez pas me
convaincre du contraire. Maintenant, c’est le même homme qui se tient
là. Pourquoi? J’ai remarqué qu’il avait un morceau de papier dans sa
main; il l’a encore. Vous voyez? C’est le même homme. Même si je
ne le vois pas, je sais pourtant qu’il est là. Comment je sais qu’il
est là? Je l’ai touché, c’est bien cela? Voir n’est donc pas croire,
n’est-ce pas? Toucher c’est croire, dans ce cas-ci. Je pourrais
soutenir avec vous toute la nuit que c’était frère Kopp.
22 Maintenant je veux que vous parliez, ne citiez
qu’une Écriture, lorsque je vous le dirai. Je ne vois maintenant pas
frère Kopp, je ne touche pas frère Kopp. Commencez à citer une
Écriture, un passage de la Bible, frère. [Frère Kopp lit Apocalypse
1.7.] Frère Kopp est là, je ne le touche pas, je ne le vois pas. Vous
voulez m’en dissuader? Je sais qu’il est là. Pourquoi ça? Je peux
l’entendre. Voir n’est donc pas croire, n’est-ce pas? Donc oubliez ça.
Que Dieu vous bénisse, frère Kopp.
Voyez? Non, voir
n’est qu’un des sens. Et voir, goûter, toucher, sentir et entendre,
c’est… Dieu n’a jamais eu l’intention que l’homme les utilise pour
reconnaître Dieu. Dieu a d’abord fait l’homme à Sa propre image, et
Dieu est Esprit. Saint Jean 4: «Ceux qui L’adorent, doivent L’adorer en
Esprit et en vérité.»
23 Mais lorsque l’homme a été mis dans la chair
humaine, alors Dieu lui a donné cinq sens pour être en contact, non
avec Dieu, mais avec sa maison terrestre. Ces choses, les sens du
corps, ne sont là que pour contacter les choses terrestres de la terre,
et non les choses célestes. Et votre homme intérieur est l’esprit,
lequel a deux sens, la foi et l’incrédulité.
24 Maintenant, observez. La foi est une ferme
assurance, tout comme ma vue l’est, tout comme mon toucher l’est, tout
comme mon ouïe l’est, et mon odorat. Vous voyez? La foi est une ferme
assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que vous
ne voyez pas, ne touchez pas, ne sentez pas ou n’entendez pas. Vous
voyez ce que je veux dire? Ils sont directs.
25 Et maintenant, je vais ajouter que… je me sens un
peu mal d’avoir à le dire, qu’environ 90 pour cent de ceux qui viennent
sur l’estrade ont de l’espoir plutôt que de la foi. Vous voyez? J’ai
entendu des gens dire: «Frère Branham, j’ai toute la foi du monde.» Oh!
c’est beaucoup. D’accord. Jésus ne s’est jamais demandé s’Il trouverait
le respect à Son retour. Il ne s’est jamais demandé s’Il trouverait des
saints. Il ne s’est jamais demandé s’Il trouverait la droiture. Mais ce
que Jésus se demandait, c’est ce que j’essaie de soutenir:
«Trouverai-Je la foi à Mon retour?»
26 La foi! Vous devez croire. Et pour croire, la
seule base saine et sensible sur laquelle la foi puisse reposer pour la
guérison divine, c’est la Parole écrite de Dieu. C’est le fondement. Et
je suis un illettré, mais je crois que je… Si la personne voulait
s’asseoir et ne pas forcer la discussion, mais si elle essayait d’être
un simple frère, je ne crois pas qu’il y ait un évêque dans le pays qui
pourrait passer outre à la guérison divine, à l’interprétation que j’en
ai, en m’appuyant sur la Bible. Je crois que je peux prouver que si
aujourd’hui la guérison divine n’existe pas, alors quand vous mourrez,
c’est fini pour vous à jamais, y a rien de plus pour vous. Car ce sont
les arrhes de notre rédemption.
27 Et nous avons les arrhes de notre salut. Et le
salut était à la fois physique et spirituel. Il a dit à la femme,
lorsqu’elle a touché le bord de Son vêtement, Il a dit: «Ta foi t’a
sauvée.» Sa foi l’avait physiquement sauvée. Elle a été sauvée
physiquement: elle avait une perte de sang. Elle croyait que si elle
pouvait Le toucher, elle guérirait. C’était là sa foi. Et Jésus a
interprété cela de cette seule façon, en disant, «Je le peux si tu peux
croire que Je le peux.» Est-ce vrai? «Si tu crois que Je peux le
faire…» N’est-ce pas? Il a dit aux aveugles, lorsqu’ils sont venus, Il
a dit: «Croyez-vous que Je peux le faire?»
Ils ont
répondu: «Oui, Seigneur.» À ce moment, Il a touché leurs yeux, en
disant: «Qu’il vous soit fait (n’est-ce pas?) selon votre foi.»
28 Maintenant, de plus près, je veux que vous
remarquiez ceci. Dieu n’aurait pas eu besoin de le toucher, mais Il a
apparemment toujours eu à le faire, d’avoir un objet que les gens
puissent regarder, un objet quelconque, tel le serpent d’airain.
Maintenant, ils n’auraient pas dû avoir cela, ils auraient dû croire
Dieu. Mais comme mémorial qu’il y avait eu une expiation, ou encore
qu’il y en avait une qui s’en venait, celle dont le serpent d’airain
parlait… Le serpent représentait le péché; l’airain représentait le
jugement, […]; le serpent d’airain représentait l’autel d’airain,
c’est-à-dire le péché déjà condamné et jugé.
Comme lorsque Élie est allé voir…, et
Guéhazi a dit: «Les cieux sont comme de l’airain» - le jugement.
L’airain représente toujours le jugement. Le serpent d’airain… le
serpent représente le péché. Il a été cloué à un poteau, signalant que
le péché serait un jour cloué à un poteau, un arbre, pour une cause à
double application. Lorsque le serpent d’airain a été élevé dans le
désert, c’était pour le pardon des péchés et la guérison du corps.
N’est-ce pas? Jésus a dit: «Comme Moïse a élevé le serpent d’airain,
ainsi le Fils de l’homme doit être élevé», pour la même cause. L’un
était le type, l’autre, l’anti-type. Et vous voulez me dire qu’il y
avait plus de bénédictions dans le type que dans l’anti-type? Cela ne
se pourrait pas.
29 Donc, nous n’aurons pas à aller voir, parce que
vous l’avez étudié avec ces évangélistes, ces pasteurs, ainsi de suite,
et vous savez que c’est la vérité, que la guérison est dans
l’expiation. La maladie est attribuée au péché. Et lorsque Jésus a fait
l’expiation pour le péché, Il a fait l’expiation pour chaque attribut.
Tout ce qui a été occasionné par la chute, Jésus en a fait l’expiation.
Oh là là! On sent que nos os méthodistes nous chatouillent.
Regardez. Je ne veux plus me remettre à prêcher. Oh non!
30 Quand le serpent d’airain a été élevé dans le
désert, c’était à titre de représentation, comme quoi Dieu disait que
quiconque regarde le serpent et croit serait guéri de sa morsure de
serpent, et il y avait eu morsure de serpent parce qu’ils avaient
murmuré contre Moïse et Dieu. Ils avaient péché. Et Dieu a fait une
expiation pour le péché. Et en cela leur maladie était attribuée à leur
péché. Vous le voyez? La morsure de serpent qui tuait le peuple était
un attribut du péché qu’ils avaient commis. Et lorsque Dieu leur a fait
une expiation pour leur péché, cela comprenait l’attribut, c’est-à-dire
leur guérison. Vous voyez ce que je veux dire? Lorsque Jésus a fait
l’expiation pour le péché, Il l’a faite pour la maladie. «Il a été
blessé pour nos transgressions, et par Ses meurtrissures nous sommes
guéris.» L’apôtre a dit: «Par les meurtrissures duquel nous avons été
guéris» (déjà un passé composé). C’est déjà fait, le prix a été payé.
31 Maintenant, le peuple venait et regardait cette
expiation et était guéri. Cette chose est devenue une idole pour le
peuple après un temps. Et le prophète a accouru, s’est emparé de la
chose, l’a sortie et l’a démolie, parce que le peuple adorait le
serpent plutôt que Dieu que cette chose représentait. Alors ensuite
Dieu a pourvu un autre moyen pour le peuple. Il a pris un ange, lequel
descendait à certaines périodes dans une piscine dont il agitait l’eau.
Est-ce que vous vous souvenez de cela? Et le premier qui se jetait dans
la piscine était guéri de sa maladie, quelle qu’elle eût été. Voyez?
Pourquoi n’auraient-ils pas pu être guéri autrement? Mais il leur
fallait quelque chose à regarder, quelque chose en quoi ils pouvaient
croire, quelque chose qu’ils puissent voir de leurs yeux.
32 Après cette époque-là, Jésus est venu. Il était
l’étendard de Dieu. Et Il a été élevé. Il a monté au Ciel et a fait des
dons aux hommes. Et les hommes ont reçu le baptême du Saint-Esprit, qui
fait d’eux des dieux. Maintenant, cela ne se démontre pas très bien,
mais c’est en accord avec la Parole. Un homme ou une femme qui est né
de l’Esprit de Dieu est une partie de Dieu. Amen. Vous êtes fils de
Dieu et filles de Dieu. Jésus n’a-t-Il pas dit: «N’est-il pas écrit
dans vos Écritures, vos lois, que vous êtes des dieux.» Non pas pour
pardonner les péchés maintenant, mais vous êtes des fils et des filles
de Dieu, limités à votre foi.
33 Et le Dieu même qui au commencement déployait le
monde, la lune, les étoiles, et qui les formait de choses qui ne sont
pas visibles, ou les formait depuis des choses visibles… Et où a-t-Il
pris les matériaux pour le faire? — Il les a appelés à l’existence par
Sa Parole. Il a dit: «Qu’il y ait…» et cela s’est fait. La Déité. Et
une portion de cette Déité habite dans le cœur de chaque chrétien né de
nouveau. Alléluia! Alors qu’a-t-Il dit: «Demandez, et il vous sera
donné.» Voilà où vous êtes. La Déité. Elle est descendue le jour de la
Pentecôte. Elle n’a pas cessé depuis. Très bien.
34 Et les hommes sont régénérés, sont des personnes
nouvelles, scellées dans le royaume de Dieu par le Saint-Esprit. La Vie
de Christ fait une influence en eux. Toutes leurs beuveries et leurs
habitudes immorales sont expulsées d’eux. L’amour de Dieu est comme un
notaire public: il prend un sceau et le presse pour que l’inscription
du sceau soit imprimée dans le papier, par-dessus la signature. Oh! Et
quand Christ signe votre nom dans le Livre de Vie et que le
Saint-Esprit s’imprime sur ce nom au point que la Vie de Christ est
formée en vous, alléluia! il devient une déité. Les hommes et les
femmes sont des fils et des filles de Dieu. «Ce que nous serons n’a pas
encore été manifesté, mais nous savons que nous serons semblables à
Lui, parce que nous Le verrons tel qu’Il est.» Nous aurons un corps
comme Son propre corps glorieux. Et nous attendons notre parfaite
rédemption. Amen. Le croyez-vous?
35 Nos corps soupirent, attendant l’héritage. Et
nous sommes maintenant Ses enfants, héritiers du Royaume.
Oh là là! Rois et sacrificateurs de Dieu, offrant des
sacrifices spirituels. Que fait un sacrificateur? — Il offre un
sacrifice. Qu’est-ce qu’un sacrifice spirituel? — C’est ce que font ces
fils et ces filles, qui sont rois et sacrificateurs, n’ayant pas la
pleine possession cependant, mais ils offrent des sacrifices, offrant à
Dieu des sacrifices spirituels, les fruits de nos lèvres Lui donnant la
louange. Amen! Les fruits de nos lèvres. Vous dites: «Frère Branham, je
ne suis pas porté à Le louer.» C’est le temps de faire un sacrifice.
LouezLe de toute façon. Rois et sacrificateurs, fils et filles offrant
un sacrifice spirituel, les fruits de nos lèvres qui confessent Son
Nom.
36 Pendant que nous gémissons, voilés dans ce
tabernacle d’humiliation, nous avons les arrhes de notre parfaite,
complète rédemption, comme nous étions au commencement, lorsque Dieu a
créé Adam dans le jardin d’Éden. Nous avons un avant-goût de la gloire
divine par le baptême du Saint-Esprit, le rafraîchissement venant de la
présence de Dieu, pour arroser l’Église, pour la faire grandir dans la
grâce. Et quand nous sommes malades, nous avons la rédemption, la
bénédiction, les attributs de la mort de Christ. La guérison divine
comme signe précurseur qu’un jour ce corps mortel revêtira
l’immortalité. Oui monsieur. Amen! Oh! merveilleux! Il est ici pour
l’accomplir. Gloire!
[Une sœur parle
en langue, une autre interprète.] Jésus… [Une deuxième sœur parle en
langue, une autre interprète. Une troisième sœur parle en langue, une
autre interprète. - Éd.]
37 Béni soit le Seigneur! Maintenant, ce
Saint-Esprit a parlé, c’est l’heure de la ligne de prière. Ces
ministres sont ici, car c’est une soirée spéciale des prédicateurs. Je
suis si reconnaissant d’entendre que ce message confirme ce que je
disais. Je vais lire ce que…
Combien
connaissent les ministres qui sont ici sur l’estrade? Laissezmoi voir
vos mains, si vous connaissez ces ministres? Combien ici connaissent
ces hommes comme étant des ministres du Christ de Dieu? Il n’y en a pas
beaucoup parmi vous. Eh bien, ce sont des enfants de Dieu. C’est ici le
soir que nous leur accordons, pour les services que Dieu bénira en
guérissant les gens, quand ils prieront pour eux.
38 Je voudrais maintenant lire une partie de la
Parole à nouveau. Écoutez le dernier message qui sortit des lèvres de
notre Sauveur, puis croyez. Marc, chapitre 16, verset 14,
voici:
Enfin, Il apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à
table; et Il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur,
parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui L’avaient vu ressuscité.
Puis Il leur dit: Allez par tout le monde, et
prêchez la bonne nouvelle à toute la création.
39 Maintenant, il y en a beaucoup qui appellent
simplement cela la Parole. La Parole est exacte. Mais les signes
suivent la Parole. Paul a dit: «L’Évangile est venu à nous», quelque
chose comme cela, «non en Parole seulement, mais avec puissance et
démonstration du Saint-Esprit.» Maintenant, pour prouver que c’est ce
dont Il parlait, écoutez:
… et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.
Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé,
mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui
auront cru: en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de
nouvelles langues;
ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque
breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains
aux malades, et les malades seront guéris.
Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au
Ciel, et Il s’assit à la droite de Dieu.
Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur
travaillait avec eux, et confirmait la Parole par les miracles qui
l’accompagnaient. Amen.
40 Combien étaient ici lors des autres réunions de
cette semaine? Laissez-moi voir vos mains maintenant? Il y en a partout
dans la salle, partout. Vous voyez ce que le Saint-Esprit a fait,
n’est-ce pas? À cette estrade, il y a eu un homme qui avait été infirme
depuis plus de cinquante ou soixante ans. Des invalides se sont levés
et sont sortis de ce bâtiment bien portant et guéris. Ceux qui étaient
aveugles depuis leur enfance, ce n’était pas qu’un mythe, qu’une
pensée, mais ils ont reçu leur vue, et sont sortis. Le Saint-Esprit
était ici, et Il révélait chaque fois parfaitement les secrets des
cœurs des gens. Il leur disait ce qu’était leur maladie et ce qui
n’allait pas avec eux. N’est-ce pas? C’est exact.
41 Maintenant, ce n’était pas parce que j’étais ici,
c’est parce qu’Il est ici. Voyez-vous? Il est ici. Maintenant, Il est
ici ce soir. Et nous n’avions pris qu’une cinquantaine de personnes
environ, mais combien y en a-t-il qui ont besoin de prières ce soir? Je
veux voir vos mains, où que vous soyez. Ils sont plus de trois ou
quatre cents personnes, même cinq cents qui ont besoin de prières.
42 Maintenant, comme je l’ai annoncé précédemment,
chacun, ce soir, je crois, aura de nouveau sa chance. Quand l’un sera
fatigué, l’autre pourra prendre la relève. Et pourquoi ne pas commencer
tout de suite, tandis qu’il est tôt, à prier pour tous ceux qui veulent
des prières. Et je veux que vous me croyiez. En toute honnêteté, cher
chrétien, je peux difficilement… Vous pouvez ne pas m’aimer, mais je ne
peux pas voir comment vous resteriez là à ne pas croire après vous
avoir dit la Vérité. Vous pouvez ne pas m’aimer. Vous dites:
«Maintenant je n’aime pas… Je pense que frère Branham est bien correct,
mais je ne l’aime pas.» Eh bien, quoi que vous pensiez, je veux que
vous m’aimiez.
43 S’il y en avait un que je n’aimais pas, eh bien,
j’essaierais de m’entendre avec lui. Et j’essaierais d’être sincère et
d’agir comme un chrétien, autant que je le peux, autant chez moi
qu’ailleurs. Partout où j’ai été, j’ai toujours essayé de faire ce qui
est approprié, et j’ai essayé de vivre ce que je prêche et ce que je
dis. Et je préférerais qu’on me vive un sermon plutôt que de m’en
prêcher un. Car nous sommes des épîtres écrites, lues de tous les
hommes. Je préfère vivre correctement et avoir mon nom respecté, où mon
Maître pourrait dire: «Il est un chrétien.» Et que les gens disent: «Il
est un chrétien, je ne me rappelle pas l’avoir vu mal agir» ou quelque
chose du genre.
44 Maintenant, si j’ai trouvé faveur auprès de vous,
et je crois que Dieu vous a prouvé, par les choses que j’ai déclarées
durant ces trois semaines, que j’ai témoigné de la Vérité… Et Dieu est
venu derrière moi et a témoigné que j’ai dit la Vérité. N’est-ce pas
vrai? Maintenant, c’est la Vérité, y a pas de doute à cela. Et je n’ai
jamais, jamais autant essayé d’exprimer mes sentiments envers les gens
dans ma vie, que je le fais maintenant en essayant de vous amener à me
croire.
45 Je dis ceci, cher chrétien, que si vous voulez…
Maintenant, si vous êtes un pécheur et que vous confessez vos péchés,
ou si vous avez fait quelque chose de mal dans votre vie, si vous
demandez à Dieu de vous pardonner, et que vous veniez ensuite ici pour
que l’on prie pour vous, croyant de tout votre cœur que Dieu vous
guérira… et peu importe ce qui ne va pas avec vous, lorsque vous
arriverez à cette estrade… Eh bien, si vous êtes aveugle, tenez votre
main sur vos yeux, et dès qu’on vous imposera les mains, dites:
«Seigneur, je reçois ma vue.» Et si la personne est sourde ou dure
d’oreille, la personne qui est à son côté lui montrera, lui dira de
poser ses mains sur ses oreilles quand elle s’avancera sur l’estrade,
ou quelque chose comme cela, et en disant, une fois ici: «Seigneur, je
reçois mon ouïe.»
Ceux qui sont malades, plusieurs d’entre vous ici ne
peuvent plus recevoir d’aide des médecins. La médecine ne peut plus
vous aider, en ce qui a trait particulièrement aux troubles cardiaques,
aux cancers, et ainsi de suite. La science médicale travaille fort; je
prie pour eux. Il n’est pas un jour qui passe sans que je prie Dieu de
mettre dans les mains des hommes, quelque part, une découverte qui
aiderait ces gens. Je ne crois pas que nous puissions véritablement
être un chrétien sans prier pour ces choses. C’est vrai. Essayez de
vous imaginer une pauvre personne souffrante à qui on pourrait venir en
aide! Vous dites: «Il faut prier pour la science médicale?» Oui
monsieur. Je le pense vraiment.
46 Tournez maintenant vos cœurs vers Dieu. Dieu a
utilisé Lui-même des remèdes. Ésaïe a utilisé un cataplasme fait à
partir de figues et l’a mis sur Ézéchias pour le guérir de ses ulcères.
Et il y avait des tas de choses qui étaient plongés dans l’eau. Jésus a
mis de la boue sur les yeux d’un homme; de la boue, la chose même d’où
proviennent les médicaments et ces choses. Le médicament ne guérit pas.
Aucun médecin ne peut dire que le médicament guéri. Le médicament
assiste seulement la nature. Dieu est le seul guérisseur qui soit.
C’est vrai.
Maintenant, il y avait beaucoup de médecins quand
Jésus est venu sur terre. Il n’a jamais condamné l’un d’entre eux. Il
n’en a jamais glissé un mot. Ils sont tous corrects. Et dans les jours
où nous vivons, où il y a des millions et des milliards de personnes,
sur une terre pleine de germes et de maladies, dites-moi donc ce que
nous pourrions faire si nous n’avions pas ces choses?
47 Aussi, chers amis chrétiens, si vous avez un cœur
humain, regardons à la chose correctement. Si le fait de prendre des
médicaments ou quoi que ce soit entrave votre foi, tenezvous loin de
cela. Vous voyez? Mais je vous dirai… Oh, je sais que vous dites
connaître des médecins qui rient de la guérison divine. Je connais de
même des prédicateurs qui en rient aussi. C’est exact. C’est ce que
plusieurs d’entre eux font. À vrai dire, pour être honnête avec vous et
ma bible, je trouve plus de prédicateurs incrédules face à la guérison
divine que de médecins. Car plusieurs, plusieurs bons médecins viennent
chez moi pour que je prie pour eux. Et nous nous asseyons dans une
pièce, nous parlons cœur à cœur. Je n’en ai encore pas entendu un qui
ne m’ait pas dit: «Frère Branham, je crois.» Et un chirurgien en
particulier m’a dit: «J’ai fait la toilette des morts, ils venaient
d’arrêter de respirer. Nous les sortions, et après un moment ils
recommençaient à respirer de nouveau et se rétablissaient. Qu’est-ce
qui faisait cela?»
J’ai dit:
«Dieu.»
Il a dit: «Vous
avez raison.» Il a dit: «Nous pouvons enlever un appendice qui a
éclaté, mais nous ne pouvons guérir l’incision que nous avons faite.
Dieu doit le faire.» Un dentiste peut arracher une dent, mais qui va
guérir cette cavité? La médecine ne construit pas de tissus. La
médecine ne fait que désinfecter. Un docteur peut replacer un os dans
votre bras, mais il ne peut produire le calcium et les choses qui
guérissent le bras. Dieu doit le faire. C’est vrai.
48 Tout comme dans les domaines de l’église
pentecôtiste… Oh, je ne sais pas si je dois en parler ou non, vous ne
m’aimerez sans doute pas autant. Mais si vous vous étiez abstenus du
fanatisme, et si vous aviez gardé la doctrine pure et claire, ce monde
extérieur aurait soif de ce que vous avez. Oui. Si vous aviez ajouté à
l’Église tous les jours ceux qui étaient sauvés plutôt que d’avoir
démoli vos petites dénominations en vous faisant des histoires,
l’Église serait depuis longtemps dans la Gloire. C’est vrai. Amen.
C’est vrai.
49 C’est l’unique but de mon ministère, c’est de
voir l’Église de Dieu unie. Vous voyez? Ce que les autres croient ne
fait pas de différence, c’est tout bien. Si vous êtes né de nouveau de
l’Esprit de Dieu, vous êtes un chrétien. Vous voyez? Mais vous devez
naître de nouveau. Vous devez naître du Saint-Esprit. Il doit venir
dans votre vie, et cela fait de vous un chrétien. Cela vous scelle
jusqu’au jour de votre rédemption. Tant que vous vivez correctement et
Le gardez avec vous, vous y parviendrez. Éphésiens 4.30: «N’attristez
pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le
jour de la rédemption.» C’est exact.
50 Le Saint-Esprit témoigne et vous reçoit, et Dieu
vous reçoit et met Son sceau sur vous, et Il vous marque. J’ai été
gardien de troupeau. Je me souviens que nous avions l’habitude de
marquer les nouveaux venus de l’année. Nous allions les chercher, puis
nous devions les faire trébucher à l’aide d’une corde, les tenir, et
prendre un gros fer à marquer brûlant et les marquer. Ils beuglaient et
s’ébrouaient pendant quelque temps, mais, frères, ils étaient prêts.
Nous savions à qui ils appartenaient.
51 Il arrive que quelqu’un s’égare là-bas et erre
pendant un temps. Mais lorsque le Saint-Esprit brûle tous les démons de
vous, vous savez de quel côté vous êtes après cela. C’est vrai.
Libérez-le de la corde qui le retenait, et regardez-le déguerpir. Mais
il est marqué, frère, je vous le dis. J’en ai vu se lever de l’autel et
déguerpir aussi vite qu’ils le pouvaient. Mais ils étaient marqués.
Lorsque le Saint-Esprit vous scelle dans le royaume de Dieu, il y a
quelque chose qui se produit dont vous vous souviendrez aussi longtemps
que vous vivrez. C’est vrai. Peu importe où vous errez, vous vous
souviendrez toujours de cela, et vous serez hanté jusqu’à votre mort si
vous ne servez pas Dieu à partir de ce moment-là. C’est vrai. Oui,
c’est comme la colombe qui est sortie de l’arche. Elle est sortie et
n’a pu trouver d’endroit où se poser; elle a dû revenir et frapper à la
porte de l’arche. Elle est revenue.
52 Maintenant, les miracles que Dieu accorde et
fait, c’est le Saint-Esprit qui travaille avec les gens. Maintenant, Il
est ici, Il connaît tout ce qui est dans vos cœurs. Il sait tout à
votre sujet. Il est ici maintenant.
53 Regardez, je ne peux guérir personne, et nul
autre ne pourrait le faire. Jésus ne pouvait guérir personne avant que
ceux-ci n’aient cru premièrement qu’Il pourrait guérir. Et il n’y avait
aucune vertu en Lui avant qu’ils n’aient cru qu’il y avait de la vertu
en Lui. Il y a eu une fois des gens qui ont voulu s’amuser en Lui
attachant un chiffon autour du visage, et L’ont frappé sur la tête avec
un roseau, en disant: «Si t’es un prophète, prophétise; dis-nous qui
t’a frappé.» Il n’a même pas ouvert la bouche. Il n’a voulu faire de
l’épate à personne. Non! Il était le Fils de Dieu.
Mais une pauvre femme humble qui croyait réellement
en Lui (elle avait une perte de sang) s’est faufilée dans la foule et a
touché Son vêtement; et Il a dit: «Une force est sortie de Moi.» C’est
l’attitude de l’approche. Et quand vous viendrez, ce soir, comment
allez-vous L’entendre si ce n’est d’un prédicateur? Comment un
prédicateur peut-il prêcher s’il n’est envoyé? Maintenant, je veux que
vous réalisiez la raison principale de ma présence ici, qui est de vous
présenter une manifestation de Dieu. Maintenant, vous ne pourriez pas
venir ici sans que je sache ce qui ne va pas avec vous. Vous ne
pourriez pas vous tenir ici.
54 Je me suis assis à table et parlé à des
ministres, lors d’un repas, et une fois dehors, je mettais mon bras
autour d’eux, et il m’était révélé qu’il vivait dans l’adultère. L’un
m’a dit: «Frère Branham, s’il vous plaît, ne… Priez Dieu que…» et ainsi
de suite. Vous ne pouvez pas cacher cela. C’est un don que Dieu m’a
fait; c’est à moi. Je veux l’utiliser aussi honorablement et
respectueusement que je le peux, dans le seul but de Le glorifier. Et
tout ce qu’Il me permettra de savoir, je voudrai en cela L’honorer.
Vous voyez?
55 Cependant je pourrais rester ici et prier pour
vous jusqu’à l’an prochain, et cela ne vous serait d’aucun secours,
jusqu’à ce que vous acceptiez Jésus-Christ comme votre guérisseur. Et
si un de ces ministres était à ma place, et si vous veniez et croyiez
que Dieu entend leur prière, vous seriez tout aussi guéri que si Jésus
Lui-même venait ici prier pour vous. C’est toute une déclaration,
n’est-ce pas? Mais c’est vrai. Il a donné toute la puissance et
l’autorité qu’Il possédait à Son église, mais vous avez simplement peur
de Le prendre au mot. Maintenant, croyez-vous cela?
56 Maintenant, regardez. Si Dieu a confirmé que ce
que j’ai dit est vrai, je voudrais vous demander quelque chose. À ceux
qui sont venus sur l’estrade, ne me suis-je pas arrêté à vous parler
quelques instants, et n’ai-je pas vu dans votre vie passée et rapporté
des choses, en vous disant ce que vous aviez fait dans votre vie, ainsi
que les problèmes que vous aviez eus et tout, sans erreur? Est-ce vrai?
Si c’est le cas, vous tous qui êtes ici, pour être des témoins pour les
autres, levez votre main, si vous avez vu que… Voilà. En toute occasion
dans les réunions, peu importe où je me trouvais, depuis que j’ai fait
cette déclaration il y a quatre ans, ça n’a pas changé. Vous qui suivez
mes réunions depuis longtemps ailleurs qu’ici, levez vos mains, voyons
si c’est pareil partout et n’importe où dans d’autres réunions. Vous
voyez? Maintenant, cela démontre qu’il y a un Être surnaturel ici,
n’est-ce pas?
57 Voyez maintenant les personnes qui ont été
guéries. Voyez tout ce qui est arrivé. Voyez ce vieux frère, le
congressiste (il n’est pas ici ce soir), il était infirme depuis
soixante-six ans, paralysé de la taille aux pieds. Il allait autrefois
dans les grandes réunions que tenaient Billy Sunday et tous ces hommes
de renom, avec Paul Raider et Redigar, ces hommes qui enseignèrent la
guérison divine dans les années passées. Des hommes, M. Freeman,
M. Ogilvie, et plusieurs de ceux qui ont prêché la guérison
divine, qui sont venus prier pour lui et tout. Mais il ne pouvait
simplement pas y parvenir.
Et ensuite,
quand il est venu… je me suis avancé à la chaire, je n’avais jamais vu
ou entendu parler de cet homme de ma vie, et j’ai eu cette vision, je
l’ai vu comme en cour supérieure, et ainsi de suite, et il donnait une
conférence. Et je me suis demandé où cela se trouvait. J’ai regardé
autour de moi quelques instants, et j’ai parlé à une petite fille de
couleur qui était couchée, de ce côté. Après quelques instants, j’ai vu
là un docteur ayant quelque chose sur sa tête, et il a commencé à faire
une description, et la femme s’est mise à pleurer. Je me suis retourné,
et j’ai vu la scène, j’ai vu l’homme sortir sur ses pieds; et l’homme a
dit: «Eh bien, si Dieu connaît ma vie passée, c’est la Vérité.» Et il a
laissé tomber ses béquilles et il est parti (voyez?) parfaitement
normal. C’était en février. Il a été ici chaque soir, mais ce soir, il
devait donner une conférence. Il sera là demain soir.
58 Il a écrit à chaque roi, je crois, à chaque
gouverneur du congrès, au président Churchill, à chacun d’eux, il leur
a envoyé son témoignage. Et le roi Georges d’Angleterre a aussi écrit
son témoignage en retour. J’ai une photocopie des remerciements du roi
Georges pour ma prière et ainsi de suite, quand il a été guéri de la
sclérose en plaques. Ainsi que d’autres grands hommes du pays, ce qui
accomplissait…
59 Maintenant, j’ai essayé d’être honnête, j’ai
essayé d’être aussi fidèle que je le peux. Maintenant, s’il vous plaît,
mes amis chrétiens, acceptez ma parole. Je parle par l’autorité de
l’Ange de Dieu qui se rapproche de plus en plus de moi tout le temps,
ici, sur l’estrade, et par la Parole de Dieu, laquelle Jésus-Christ a
inspiré des hommes à écrire. Pour ceux qui passeront par cette ligne,
si vous croyez que vous guérirez lorsque ces hommes et moi-même
imposerons nos mains sur vous, alors vous serez guéris. Maintenant, si
vous pouvez le croire, sans toutefois avoir suffisamment de foi, venez
quand même, confessez-le de toute façon, et tenez fermes à cette
confession, jusqu’à son accomplissement. Vous voyez?
60 Maintenant, croyez-vous que je vous ai dit la
Vérité? Tout le crédit est donné au Dieu tout-puissant, l’Évangile que
je prêche, centré fermement sur la Parole de Dieu. Et ces signes qu’Il
nous donne en ce moment sont l’accomplissement de Sa promesse: «Ces
choses que Je fais, vous les ferez aussi.»
61 Et maintenant, vous les ministres, ici, comme
vous allez prier pour les malades, vous n’allez probablement plus
jamais le voir, et cela ne sera sans doute pas en mon siècle, ces
choses ne se reproduiront plus jamais; et ne l’essayez pas, à moins que
vous soyez certains que c’est Dieu qui parle, parce que quelque chose
arriverait. Mais vous êtes des ministres, vous êtes des enfants de
Dieu, et les gens sont malades. Voyez, ils sont des centaines ici.
Allez-y, continuez, priez pour les malades, donnez-leur un bon départ,
bâtissez leur foi, imposez-leur les mains; vous avez le droit de le
réclamer. Allez et faites-le dans le Nom du Seigneur, chacun de vous.
Vous voyez? Allez dans les chemins et le long des haies, partout,
proclamez cet Évangile.
62 Il y a plusieurs ministres qui sont dans
l’auditoire, ils sont arrivés tard et ne sont pas au nombre des
ministres sur l’estrade, faites la même chose. Sortez, allez où vous
voudrez. Même vous, les femmes, dans votre voisinage, allez dans les
hôpitaux, priez pour les malades, croyez-y, mettez votre foi à profit,
et faites rapidement quelque chose pour les enfants de Dieu, avant que
Jésus vienne. Maintenant, ne dites pas: «Eh bien, peut-être que je ne
serai pas capable, frère Branham, de leur dire les secrets de leur cœur
et tout ceci ou cela.» Vous n’avez pas à le faire. Vous n’avez pas
besoin de faire cela. Priez pour les malades. Ceci est une action
évangélique qui est inspirée. Vous devez être né sous un signe pour
faire cela. Vous devez être ordonné par cela pour le faire. Vous devez
être ordonné pour faire une chose spécifique. Cela a été donné il y a
des milliers d’années peut-être, je ne sais pas.
63 Seulement ça n’a rien à voir avec la guérison; ça
ne rend personne plus juste que les autres. Je veux être fidèle et
honnête envers vous concernant cette chose. Quand je me tiendrai au
Jugement, je devrai faire face à ce que je dis en ce moment. Vous
voyez? N’essayez pas d’imiter. Si cet homme prie pour les gens, en se
tenant les oreilles, en sautant de haut en bas et en criant, n’essayez
pas de l’imiter. Ce que le Seigneur vous dit de faire, faites-le. S’Il
vous dit d’aller à l’hôpital, de vous agenouiller et de prier
silencieusement, allez-y et faites-le. S’il vous dit d’aller prier pour
quelqu’un dans la salle, et que la réunion est en cours, allez-y et
priez pour la personne. C’est vrai.
64 C’est un don, le don du Saint-Esprit. Neuf dons
spirituels opèrent dans le Corps. Et c’est peut-être par cette
personne, ce soir, et par une autre le lendemain soir. Faites ce que le
Saint-Esprit vous dit de faire. Car ce sont des dons, neuf dons du
Corps, travaillant partout dans le Corps. Et le Corps devrait
travailler en harmonie, et s’accorder ensemble. Sortons toutes les
impuretés; c’est également comme cela qu’elles sortiront. Amen! Toute
la différence…
65 Que Dieu vous bénisse tous. Je crois que mon fils
a distribué des cartes de prière ici aujourd’hui. Il en a distribué
cinquante, je crois. Z. Où est-il? Z, 1 à 50. C’est ce que Billy a
distribué, je pense, oui. Estce exact, Paul? Z-1 Je l’appelle Paul,
parce qu’à la maison et partout en Indiana, on m’appelle également
Billy; et son nom est aussi Billy. C’est pour ça que je dois l’appeler
Paul, pour ne pas mélanger les gens. Bon, il a distribué cinquante
cartes. J’aimerais que ceux… Voyons, combien ici, sur ces lits de camp
et ces civières, ont ces cartes? Je n’en vois qu’un sur une civière
pour le moment. Je crois que vous n’avez pas pu entrer cet après-midi;
nous ne sommes pas revenus à temps. Mais maintenant, je vais vous dire
ce que nous allons faire, mis à part le fait que nous allons essayer de
prier pour chacun.
66 Maintenant, cette dame, sur un lit de camp… Juste
un moment. Vous avez une carte de prière, sœur. Croyez-vous de tout
votre cœur? Vous croyez. Vous croyez que Dieu va vous guérir? Vous
croyez qu’Il est ici pour vous rétablir? Je veux que vous regardiez par
ici. Je veux vous demander aussi humblement que je sais le faire en
tant que ministre, je vois que vous avez une carte de prière. Je suis
incapable de vous guérir, ma chère sœur, mais je peux vous dire, si
Dieu me le permet, de simplement vous dire ce qui ne va pas avec vous.
Croyez-vous cela? Vous croyez que Dieu me le permettra? Et vous savez,
sœur, je ne sais rien de ce qui vous concerne, mais je veux que vous
regardiez de ce côté, et de croire de tout votre cœur. Le ferez-vous?
Très bien. Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? J’essaie
simplement de vous faire parler, comme le Maître au puits, vous voyez.
Oui, vous avez des tumeurs, n’est-ce pas? Oui, c’est ça. Et n’avez-vous
pas un problème au cœur également? N’est-ce pas exact? Très bien. Vous
avez été très inquiète dernièrement, n’est-ce pas, sœur? Ne
voudriez-vous pas vous lever de votre lit et rentrer maintenant à la
maison, et croire?
67 Elle accepte son Guérisseur, sa guérison, elle se
lève de sa civière. On l’aide à se lever. Voilà. Amen! Disons: Loué
soit notre Père céleste! Maintenant, remerciez le Seigneur de tout
votre cœur. Cette femme avait une carte de prière. Maintenant,
quelqu’un ici qui n’a pas de carte de prière, je veux que vous leviez
vos mains, ou quelque part ailleurs, qui n’avez pas eu de carte de
prière. Très bien, un moment. Très bien, soyez très respectueux.
Maintenant, vous n’avez pas de carte de prière et vous ne me connaissez
pas, et n’avez eu nulle part de contact avec moi, je veux que vous
regardiez de ce côté et croyez. Quelque part d’autre maintenant. Juste
un moment.
68 Oui, la dame qui est assise là avec une robe
rose. Vous regardez de ce côté, sœur, vous n’avez pas de carte de
prière, n’est-ce pas? Vous souffrez du cancer. N’estce pas vrai?
Levez-vous. Maintenant, rentrez à la maison, guérie, et oubliez votre
cancer. Vous ne l’avez plus. Il n’est plus là.
69 Croyez-vous le Seigneur? Les gens qui ont des
cartes de prière maintenant. Z-1 à 50, faites une ligne ici, en ordre
numérique, 1, 2, 3, 4, 5, ainsi de suite. Quand vous priez pour les
malades et parlez avec eux, plus vous priez, plus vous parlez à la
personne, et plus vous en savez d’eux.
70 J’aimerais que mes frères ministres se tiennent
derrière moi un moment, s’ils le veulent bien. La raison pour laquelle
j’ai appelé quelqu’un qui n’avait pas de carte de prière, c’est pour
éviter que certains pensent qu’en regardant la carte, quand la personne
pense à ce qui y est écrit, eh bien, que cela devient de la télépathie
mentale. Mais ce n’en est pas. Je prends ceux qui n’ont pas de carte de
prière. Cela n’a pas d’importance. L’un ou l’autre de l’auditoire ne
ferait pas la moindre différence, vous savez cela. Les gens viennent
ici et il leur est dit des choses qu’ils ont faites lorsqu’ils étaient
enfants, et ainsi de suite. N’est-ce pas vrai? Ce n’est pas de la
télépathie mentale, pour personne. C’est la puissance du Dieu
tout-puissant. Maintenant si vous ne le croyez pas, ça ne vous fera
jamais de bien. Mais si vous le croyez, c’est la guérison pour vous.
Que chacun soit respectueux.
Maintenant, faites venir ceux qui ont les cartes de prière Z-1 à Z-50,
et qu’ils soient par ordre numérique, le long, ici. Z-1, Z-50. Et
immédiatement après cela, quand ils seront passés, nous alignerons tous
ceux qui veulent que l’on prie pour eux dans cette allée-ci, tous ceux
qui veulent que l’on prie pour eux dans cette allée-là, tous ceux qui
veulent que l’on prie pour eux dans l’autre allée et tous ceux qui
veulent que l’on prie pour eux là-bas. Amenez-les et priez pour chacun
ce soir. Vous croyez que nous pouvons le faire? Allez-vous l’accepter
comme votre guérison? Maintenant, laissez ceux qui ont des cartes de
prière se lever premièrement.
71 Très bien, sœur, vous croyez de tout votre cœur?
Vous souffrez de tuberculose, n’est-ce pas, sœur? Vous en souffrez
depuis longtemps. N’est-ce pas vrai? Comment pourrais-je savoir ce qui
ne va pas avec vous si Dieu n’était pas ici? Restez immobile et
regardez-moi un peu, je veux vous parler. Nous sommes étrangers, vous
vous êtes simplement avancée ici. Et quand j’ai regardé dans votre
direction, quelque chose s’est exprimée de vous. Je vous le dis, sœur,
vous vous inquiétez également énormément, n’est-ce pas? Vous avez eu
cela auparavant. N’est-ce pas? Et vous avez été guérie, mais vous avez
peur que ça revienne. N’est-ce pas vrai? Je veux que vous partiez d’ici
ce soir et croyiez de tout votre cœur que c’est terminé et que vous
irez bien. Vous me croyez? Venez ici. Notre Père céleste, nous
bénissons notre sœur pour sa guérison, ce soir, dans le Nom de Ton
Fils, Jésus-Christ. Amen. Maintenant, comprenez, sœur, arrêtez de vous
inquiéter. Descendez de l’estrade, mangez, ayez du bon temps dans le
Seigneur et portez-vous bien.
72 Très bien. Tout le monde, soyez aussi respectueux
que possible maintenant. Juste un moment. J’attends simplement que
l’onction me laisse, alors les ministres s’avanceront ici autour de
moi, comme cela, afin de commencer à prier pour les malades.
73 Demain soir, nous voudrions que tout ici soit
prêt, pour le discernement, si nous le pouvons. Nous en sommes avisés,
et le Saint-Esprit sera là pour parler avec nous. Il est ici
maintenant. Mais après que l’onction vient fortement à quelques
reprises, ensuite elle va sur les gens. Très bien, amenez le patient.
74 Êtes-vous le patient, monsieur? Très bien. Vous
semblez plutôt pâle, vous devez être malade. Vous croyez que je suis le
serviteur de Dieu? Oui, vous le croyez, monsieur? - [Oui.] Très bien.
Vous souffrez d’un trouble cardiaque, n’estce pas, frère? Descendez de
l’estrade maintenant, le Seigneur Jésus-Christ de Nazareth vous guérit.
75 Que tous soient respectueux, aussi respectueux
que vous pouvez l’être maintenant. Très bien. Soyez simplement
respectueux. Rien qu’un moment. Soyez tous respectueux.
76 Comment allezvous, monsieur? Vous L’aimez,
n’est-ce pas? - [Oui, je L’aime.] Comme c’est merveilleux. Vous avez un
aimable, un bon esprit, mon frère. Dieu vous bénira. Et l’imposante
chose de laquelle vous désirez être délivré, c’est de cette
tuberculose. Vous seriez en excellente forme. Et Dieu aimerait vous
guérir. Et Il l’a fait. Alors vous pouvez descendre de l’estrade à
présent. Allez dans les champs, où vous désirez aller. Et que Dieu vous
bénisse.
77 Disons tous: Loué soit le Seigneur! Amenez le
patient. Comment allez-vous, sœur? Nous sommes des étrangers, n’est-ce
pas, sœur? Je ne vous ai jamais vue. Ils vous ont donné une carte de
prière avec un numéro, et vous êtes dans la ligne selon votre numéro.
N’est-ce pas? Dieu sait que je ne suis pas au courant de ce que vous
avez écrit sur votre carte de prière. Ça n’a pas d’importance. Je ne
sais pas. Mais je pourrai savoir, par ce don que Dieu m’a fait, ce qui
ne va pas avec vous. L’accepterez-vous? - [Oui.] Et si j’y parvenais
par la puissance du Saint-Esprit, que vous ressentez en ce moment…
Est-ce exact? Vous avez beaucoup de problèmes.
Laissezmoi vous dire quelque chose
maintenant, tandis que vous êtes devant moi. J’en ai la vision. Vous
marchez maladroitement, il y a quelque chose, c’est de l’arthrite,
n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Vous faites de l’acidité
dans votre sang, ce qui est cause… vos membres deviennent raides, et
tout, n’est-ce pas vrai? C’est très embarrassant, tôt le matin
particulièrement, quand vous vous levez. N’est-ce pas vrai?
Croirezvous que je suis le prophète de Dieu? - [Oui.] Descendez de
l’estrade et dites que vous êtes guérie.
78 Que les ministres s’approchent, placez-vous ici,
faites une ligne ici. Je ne veux pas trop entrer en cela avant que ça
n’arrive. Très bien. Que Dieu vous bénisse, maman, et vous guérisse.
79 Maintenant, que les ministres viennent ici dans
la ligne. Où est ce ministre, l’évangéliste, frère Cain, […] s’il est
ici, faitesle monter ici également. Faites deux rangées, de ce côté-ci
maintenant. […] Maintenant, vous qui êtes dans la ligne… Les huissiers,
je veux que vous veilliez sur la ligne, les huissiers qui sont ici
devant, je veux que vous veilliez sur la ligne, et dès que cette ligne
s’élimine, faites se lever les autres, là-bas, et ainsi de suite. Tous
ensemble, maintenant, faisons ceci: tous ceux qui veulent être guéris,
ce soir, placez votre main sur votre cœur. Dieu tout-puissant, entends
la prière de Ton serviteur. Tu nous vois, Tu vois le passereau tomber,
et je sais que Tu vois ces gens. Et je prie, Père, que Tu guérisses
chacun d’entre eux. Et maintenant, avec eux, nous nous en remettons à
Toi pour la guérison du corps, dans le Nom de JésusChrist, le Fils de
Dieu. Amen.
80 Et que les bénédictions de Dieu reposent sur vous
tous pendant que vous vous avancez. Maintenant, avec respect, que
certains ministres s’alignent ici, de ce côté-ci également, frères, une
double ligne. Placez-vous afin que vous puissiez imposer vos… Laissez
la dame se tenir ici. C’est très bien, Billy. C’est très bien, que les
ministres se tiennent juste-là. Très bien. Maintenant venez, mes
frères, si vous voulez tous vous aligner ici, alignez-vous ici et
restez debout pour la prière.
81 Maintenant, je veux que l’auditoire comprenne que
j’essaie de mon mieux d’amener Jésus et mes frères devant vous. Vous
voyez? J’aime ces hommes. Ils sont des serviteurs de Dieu, ils sont des
fils de Dieu. Si nous allons au Ciel, nous ne sommes que… Très bien,
frère Cain, venez maintenant et tenez-vous ici, afin que vous puissiez
prier également pour ces gens. Je vous veux là. Frère Cain sera ici
pour les soirs à venir. Je vous invite à venir l’entendre. Nous sommes
maintenant ici afin de prier pour les malades. Que tous soient aussi
respectueux que possible, pendant que les personnes commencent à venir.
Je veux que vous, les gens, vous regardiez de ce côté. Il y aura
beaucoup de personnes guéries ce soir, parce que ces ministres vont
leur imposer les mains, et Dieu va les guérir selon leur foi.
82 Maintenant, le don de connaître comme je le fais
et ainsi de suite, comme j’ai dit, ce n’est pas parce que ça ne tombe
pas sur ces frères… Cela peut ne jamais… je ne crois pas que ça
arrivera aussi longtemps que je vivrai. Après mon départ, il viendra
peut-être sur quelqu’un. Mais, regardez, c’est parce que le
Saint-Esprit, le même Ange, l’a déjà confirmé. Donc je sais que c’est
comme cela.
83 Remarquez maintenant. Ces hommes sont appelés par
Dieu afin de prier pour les malades, tout comme quiconque est appelé
(voyez?), quiconque est appelé à prier. Maintenant, quand ils imposent
leurs mains sur les malades, je veux que vous observiez maintenant,
notre petit frère Cain, ici, et les autres, quand ils imposent leurs
mains sur les malades, et les pasteurs, observez ce qui se produira
pour les malades. Si ceux-ci croient en traversant cette estrade, ils
seront rétablis.
Les infirmes laisseront tomber leur canne, ici. Les
lits de camp que les huissiers ont fait monter, vous laisserez ici vos
lits de camp. Poussez-les hors du chemin et partez en marchant. Les
fauteuils roulants, poussez votre fauteuil roulant de côté, sortez de
cet autre côté. Le ferez-vous? Croyez-vous en Dieu? L’acceptez-vous?
Amis, cessez maintenant de jouer; allons, approchons-nous à l’instant
de Dieu. Très bien. Je veux simplement une petite onction, afin de
pouvoir voir ce qui se passe. Un petit moment maintenant, tandis que je
me recule, cela pour vous permettre de voir se rassembler les
ministres, où je serai l’un d’entre eux à imposer les mains aux
malades. Avec respect maintenant. À présent, qui est le patient? où est
le patient?
84 Êtes-vous la patiente, sœur? Très bien, venez
ici. Vous savez qu’on ne se connaît pas, je ne sais rien à votre sujet,
n’est-ce pas vrai? Je suppose que ce sera plus difficile, car il y a ce
groupe de ministres, et tous ces esprits humains différents qui se
déplacent. Maintenant, frères, si vous le voulez, soyez vraiment
respectueux et ne vous concentrez pas sur moi, regardez simplement. Je
veux que vous me regardiez, sœur, et croyez de tout votre cœur. Très
bien. Vous m’acceptez comme étant le prophète de Dieu? Croyez-vous que
ce que je dis est la vérité? Vous le croyez.
Je vois une dame devant moi. Beaucoup
de choses ne vont pas. Vous avez eu quelque chose qui vous a dérangée
pendant longtemps, et vous souffrez d’arthrite, n’est-ce pas vrai? Une
condition féminine qui perdurait depuis longtemps, n’est-ce pas vrai?
Très bien. Levez vos mains comme ceci, et dites: «Seigneur Jésus, je
T’accepte maintenant comme mon guérisseur personnel, dès maintenant, et
mon guérisseur. Je suis maintenant guérie par Tes meurtrissures.» Levez
vos mains et dites: «Gloire à Dieu.» Maintenant levez vos pieds l’un
après l’autre, comme ceci. Vous n’avez plus d’arthrite, sœur, votre
trouble de femme s’est arrêté et vous allez parfaitement bien.
85 Très bien. Amenez le patient suivant. Approchez
ici, madame. Vous êtes une étrangère pour moi, n’est-ce pas? Je
souhaiterais que vous vous tourniez un peu de ce côté. Je ne vous
connais pas et vous ne me connaissez pas. Nous sommes de parfaits
étrangers. Mais vous avez conscience qu’il se passe quelque chose ici,
n’est-ce pas? Vous savez cela. Et comme je vous parle, vous vous rendez
compte que vous êtes touchée de quelque sorte par un Être, n’est-ce pas
vrai, dans le royaume surnaturel? Devant moi, je vois une table pleine
de nourriture et une femme refusant cette nourriture. Vous avez des
troubles d’estomac, n’est-ce pas vrai? Allez et mangez ce que vous
voulez, Jésus-Christ vous rétablira.
86 Maintenant, mes amis chrétiens, croyez-vous, mes
frères? Croyez-vous que l’Esprit de Dieu est parmi nous? Que chacun
dans l’auditoire baisse la tête. Prions maintenant, tandis que ces gens
passent dans la ligne, pendant qu’ils défilent. Très bien. Que chacun
baisse la tête et prie. Chantons Crois seulement, dans l’auditoire,
pendant qu’ils passent. Ministres, imposés les mains aux malades,
pendant qu’ils passent. Que tous soient en prière maintenant, chantons,
Crois seulement, pendant qu’ils passent. Croyez!