La Résurrection De Jésus
1 Pendant que nous sommes debout juste un instant pour la prière... Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir du privilège de venir encore auprès de Toi, dans Ta Présence, offrir nos actions de grâce et T’adorer dans l’Esprit du Seigneur Jésus ressuscité. Nous prions que Tes bénédictions soient avec nous ce soir; que Tu sauves tous les perdus, et que Tu rappelles les rétrogrades, Père. Et nous Te prions de nous accorder une bénédiction spéciale pour les malades et les nécessiteux ce soir, de les guérir tous. Envoie le Seigneur Jésus parmi nous, Seigneur, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
2 Bonsoir, amis chrétiens. Je suis content d’être ici de nouveau ce soir, dans l’église de Philadelphie; pour vous saluer, vous gens aimables, pour cet accueil chaleureux de la communion chrétienne. Et que le Seigneur nous bénisse alors que nous communions pendant quelques instants autour de Sa Parole écrite. Et que le Saint-Esprit prenne les choses de Dieu et les apporte à chaque coeur selon que vous en avez besoin.
Eh bien, je suis sûr que les gens ne viennent pas se tenir debout et s’entasser dans les églises rien que pour être vus. Vous venez parce que vous L’aimez. Et ce soir, j’ai confiance que Dieu ne vous renverra pas à vide. Il ne renvoie jamais à vide quelqu’un qui vient à Lui. Et Il vous renverra avec un coeur plein de joie, et d’un pas léger, marchant dans la rue en vous réjouissant et en louant Dieu en cours de route.
Eh bien, cela peut se faire si nous affichons une bonne attitude vis-à-vis de Lui. Si nous venons pour Le voir, L’aimer, L’adorer, alors Dieu est tenu de nous accorder ces choses que nous désirons. Il ne refusera aucune bonne chose à ceux qui marchent avec droiture devant Lui. Rappelez-vous donc cela. Sa promesse, c’est : «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Quelle promesse, une promesse infaillible !
3 Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant, ou à une soirée avant mon départ, j’aimerais parler sur L’infaillibilité de la Parole de Dieu. Et si les gens–les gens peuvent donc être placés et que leur foi est centrée, non pas sur des situations présentes, mais sur ce que Dieu en a dit... Si vous pouvez vous rappeler que peu importe ce qui se passe, peu importe combien cela paraît impossible, la Parole de Dieu occupe en tout cas Sa place chaque fois. Voyez? Devant chaque difficulté, rien, rien ne peut prendre Sa place. Elle a la prééminence, car Elle n’est rien d’autre que Dieu Lui-même sous la forme de la Parole parlée. Et Elle doit s’accomplir.
Durant tous mes jours, j’ai solennellement essayé de garder les gens sur la Parole de Dieu, car c’était là Sa promesse envers moi. Il m’avait dit qu’Il me bénirait partout où j’irais, que cela prospérerait, et que l’oeuvre du Seigneur progresserait. Mais que la Parole... que je dois me rassurer que la Parole venait en premier en toute chose. Et c’est ce que j’ai essayé de faire, j’essaie de me garder humble, de m’humilier au point où je peux m’abandonner sans cesse à Lui pour entendre Sa voix quand Il parle. Et une seule chose sûre : J’aimerais Le connaître dans la puissance de Sa résurrection. C’est vrai.
Peu importe combien je peux apprendre Sa Parole, ou combien je peux aimer Son peuple, je veux Le connaître dans la puissance de Sa résurrection, de sorte que, quand le temps arrivera et qu’Il m’appellera d’entre les morts, je puisse m’avancer vers la Vie Eternelle.
4 Ce soir étant une soirée consacrée à la prière pour les malades, nous ne nous attarderons pas sur la Parole. Et je crois que nous avons une ou deux soirées ou plus, dans le service, où je vous parlerai. Eh bien, frère Joseph lui-même est un érudit et un–un vrai prédicateur. Et vous, vous avez de bons prédicateurs, et mon désir a toujours été d’être capable, quand j’écoute ces hommes qui ont des aptitudes à faire des exposés sur la Bible, comme ils peuvent réellement expliquer la Parole. J’ai toujours voulu faire cela, mais je–je n’arrive simplement pas à le faire (Voyez?), car j’étais juste... Ce n’est pas ma constitution. Mais j’apprécie ces frères qui peuvent le faire.
5 Mais la plupart des gens qui viennent à mes réunions, ce n’est pas pour entendre l’enseignement, c’est pour voir la manifestation du surnaturel. Et c’est le... Je suis trop illettré, non instruit, non éduqué pour être capable d’expliquer la Bible. Mais je–je... Tout ce dont je–je suis content, c’est que je Le connais. Voyez? Et puis, avec ça, à mon humble manière, parmi des gens humbles, cela manifeste une–une réalité de connaître le... Cela confirme ce que celui qui expose est en train de prêcher. Voyez? C’est une confirmation de ce que le vrai enseignant de la Bible enseigne. Le Saint-Esprit vient et confirme que ce qu’Il dit est la vérité.
Donc, l’un est une oreille, l’autre est la bouche; l’autre est l’oeil, mais tous nous formons un seul corps; n’est-ce pas vrai? Très bien.
C’est étrange, quand on lit, de voir dans Sa Parole comment Dieu, là loin, bien avant la fondation du monde, a commencé à voir la chose se dévoiler et savoir alors... Dieu n’avait pas alors fait un choix. Dieu ne pouvait pas... pouvait dire le mot prédestiné... Le mot prédestiné, comme je l’ai toujours dit, ce n’est pas un bon mot à utiliser devant le public, car prédestiné veut dire, peut-être, prédestiner quelque chose à arriver. Mais Dieu pouvait prédestiner par prescience. Il savait d’avance ce qui arriverait, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance; mais comme Il est infini, et Dieu, Il a pu prédestiner et dire d’avance par la prescience.
6 Pour mieux l’exprimer, la prédestination regarde en arrière vers la prescience, et la prescience regarde vers la destinée. Voyez? Et Dieu, au commencement, a pu voir toutes les choses telles qu’elles arriveraient. Par conséquent, Il pouvait annoncer : Ceci sera comme ceci, cela sera comme cela, et ceci sera comme ceci, cela comme cela, car Il... Par la prescience, Il ne voulait pas que le côté gauche soit en erreur, que ceci soit... Il ne voulait pas que cela arrive. Mais comme Il est Dieu, Il savait que cela arriverait ainsi. Ainsi donc, Il pouvait dire d’avance ce qui arriverait. Et Il connaissait la fin depuis le commencement. Est-ce merveilleux? Et de penser que chaque enfant de Dieu né de nouveau ce soir a ce privilège et cette assurance de savoir que Dieu connaît les Siens. Voyez? C’est vrai. Dieu connaît les Siens.
Hier soir, on a prêché sur L’Echelle de Jacob et, le Seigneur voulant, à une soirée au cours de cette semaine, j’aimerais parler de L’Extension du temps, alors, ou plutôt de L’Evolution du temps. Et comment dans les cieux Dieu avait les Siens, l’échelle était rattachée à Son Trône; et sur la terre, Il l’avait rattachée à Son Fils Jésus-Christ. Il nous a placés entre les deux. Il n’y a aucun moyen de s’égarer. C’est tout. C’est donc acquis pour Lui. Et puis, à part cela, pour se rassurer que nous effectuons un bon voyage confortable...
7 Vous savez, quand on est allé au Mexique il y a quelques jours, avec la compagnie aérienne Pan American Airlines, ils ont dit : «Nous rendons tout aussi confortable que possible. Nous aimerions que ça soit un plaisir pour vous.» J’ai survolé des montagnes au Mexique, et quel vol agité ! Je me suis dit : «Eh bien, la compagnie aérienne n’y pouvait rien. C’est juste certains éléments de la terre, la chaleur et tout, faisant passer le vent et–et les courants d’air dans les montagnes.» Mais Dieu a promis, et Dieu peut prendre le contrôle de toutes les zones de turbulence. Voyez-vous? Il a donc envoyé une grande cohorte d’anges pour monter et descendre sur notre route, pendant que nous remontions l’échelle.
Avez-vous déjà remarqué? C’est aussi une rue à sens unique. Pas d’accidents. Nous suivons une seule voie, pas de retour. Nous montons l’échelle d’un bout à l’autre. Oh ! Il est merveilleux !
8 Eh bien, les réunions sont... Nous continuerons la semaine prochaine; d’ici, nous retournerons directement à la maison. Je cherchais à parler à frère Joseph pour qu’il me laisse terminer ce service dimanche après-midi. En effet, je dois être à Louisville, dans le Kentucky, à huit heures le lundi matin. Et je–je ne peux pas le faire. Et vous dites qu’il est un Suédois; il est un Juif. Il est... Tout émane de quelque chose. Et–et alors, peut-être, j’aurai à prendre un avion pour retourner à la maison cette nuit-là pour être là, et laisser frère Wood et les autres continuer en voitures. Et alors, être à la maison le lundi. Et le mardi, nous quitterons pour–pour Columbia, en Caroline du Sud. Et puis, de là, on ira à Spindale. Et de Spindale, à Charlotte, en Caroline du Nord. Juste du coup, cinq et six soirées d’affilée. Et ensuite de là, on ira à Anchorage, en Alaska, et au retour, on va au Cadle Tabernacle, du onze au quinze juin. Et ensuite, à Minneapolis, le dix-sept. Et de là, je...
C’est frère Arganbright et frère Moore qui hésitent un peu entre les deux options : aller outre-mer ou quoi. Mais je voulais, quand je vais outre-mer, ou n’importe où comme cela, j’aime aller quand une vision me dit d’aller, de la sorte, je peux aller au Nom du Seigneur. J’en suis donc sûr.
9 Maintenant, une petite leçon sur les Ecritures, juste enseigner quelques instants. Et puis, nous allons former la ligne de prière. Maintenant, je pense que dans notre ligne de prière, c’est alors que Dieu enseigne, ne le pensez-vous pas? Dieu enseigne effectivement. Ainsi donc, nous désirons vivement être enseignés par Lui.
Maintenant, dans Saint Luc, chapitre 24, verset 31 jusqu’à 33, je désire lire un court passage, et pour la leçon de ce soir. Et ça tombe bien. En effet, c’est le bon moment. C’est sur la résurrection.
Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent; mais il disparut de devant eux.
Et ils se dirent l’un à l’autre : Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Ecritures?
10 Maintenant, ma prière est que cette même Personne nous ouvre les Ecritures ce soir. C’est un–c’est un passage de l’Ecriture très approprié, car nous sommes de nouveau pendant la résurrection, à la saison de Pâques. Et je suis... Je pense que l’un des passages des Ecritures le plus remarquable qui est négligé plus que n’importe quel passage des Ecritures que je connaisse sur lequel on a prêché, c’est l’ascension du Seigneur Jésus, ce qu’Il a fait après Sa résurrection. Or, Il ne s’est pas assis sur la tombe après Sa résurrection, car Son oeuvre n’était pas achevée. Ce n’était pas achevé. Il a même été interdit à ceux qui étaient à la tombe ce matin-là de Le toucher. Mais cette nuit-là, Il les a invités à venir toucher Ses mains. Il avait interdit à Sa mère de Le toucher, disant : «Je ne suis pas encore monté vers Mon Père, vers Mon Dieu et votre Dieu.»
Et Il n’était pas encore monté, Il s’apprêtait simplement à faire Sa grande oeuvre de Souverain Sacrificateur en ce temps-là. Il venait d’être oint. Et quand Il était ici sur terre, Il a mené une vie, se rendant un peu inférieur aux anges en vue d’ôter les péchés. Pensez-y donc, Qui Il était. Il était le Logos sorti de Dieu au commencement. Il était la Parole de Dieu. Il était l’Ange de Dieu qui était avec les enfants d’Israël dans le désert. Il était le Grand Surnaturel du Ciel, nul autre que Jéhovah Lui-même. Et Il est descendu ici sur terre et Il est devenu un Homme. Non seulement un Homme, mais Il est devenu le Serviteur de l’homme, Il s’est rendu sans réputation, mais Il est devenu un laquais laveur de pieds. Et Il est allé dans la ville située à l’altitude la plus basse au monde, Jéricho, et Il était si bas que l’homme le plus court de la ville a dû monter dans un arbre pour Le regarder d’en haut.
11 Et Dieu L’a ressuscité, Il L’a élevé si haut au-dessus de tous les cieux qu’Il doit s’incliner pour regarder le Ciel. C’est ce que Dieu a fait pour Lui. Si donc vous voulez être élevé, humiliez-vous. Et si vous vous élevez, vous serez rabaissé. Et je–je pense à Lui, quand Il est ressuscité d’entre les morts ce matin-là, Il était alors... Il avait Son propre Sang en tant que Souverain Sacrificateur, Il est allé au-delà des voiles et de chaque sphère... Satan, dans le temps passé, bloquait les gens vers le Ciel. Il ne pouvait pas entrer dans le... en contact avec le Ciel. Mais quand Jésus a pris Son–Son Sang, le premier voile qu’Il déchira fut le voile de la mort, et le voile de la tombe, le voile du temple, et puis le voile de la maladie, le voile de la peur et chaque voile qu’il y avait, et Il a dévoilé Dieu aux yeux des hommes. Il est monté très haut au-dessus des cieux des cieux et s’est assis à la droite de Dieu et s’est établi, comme une oeuvre achevée. C’est vrai.
Par-dessus tout, Il a ouvert là un canal dont Dieu se servait pour descendre les corridors du Ciel et parler à l’humanité dans le jardin d’Eden, et que Satan avait bouché par le péché, mais le Grand Souverain Sacrificateur, avec Son onction, avec Son Sang, a dépassé chaque voile, Il a déchiré et dégagé une fois de plus les cieux, afin que Dieu et l’homme soient Père et fils et communient de nouveau l’un avec l’autre. Quelle merveilleuse chose !
Tous les patriarches du Nouveau Testament, quand ils mouraient, par exemple Etienne, alors qu’on le lapidait, les voiles étaient tout ouverts à ses précieux yeux pleins de sang. Mais il a dit, alors qu’il s’agenouillait par terre, il a dit : «Je vois le Ciel ouvert et Jésus debout à la droite de Dieu.»
12 Saint Paul, le voile était ouvert, il a vu Jésus. Le voyant avancé en âge, sur l’île de Patmos, alors qu’il était exilé sur Alcatraz, pour ainsi dire, une–une petite île sur la mer Egée, d’environ quinze miles [24 km] de circonférence, une île rocailleuse qui recevait des criminels, il s’est retrouvé là pour avoir prêché la Parole. Et là, en ce jour-là, il était là dans le jour du Seigneur, peut-être contemplant les eaux; Dieu aimait Son voyant. Et il a dit : «J’ai entendu la voix de grandes eaux. Et quand je... la voix de la trompette. Et quand je me suis retourné pour voir, j’ai vu sept chandeliers d’or. Quelqu’un se tenait au milieu d’eux semblable au Fils de l’homme», dans un état glorifié.
Regardez Ses yeux, ils n’étaient plus pleins de larmes, ils pouvaient même percer comme le soleil en plein jour. Il n’y avait plus de cicatrices de clous dans Ses pieds, ils étaient comme de l’airain éprouvé au feu. Il était quitte de tout cela. Il était glorifié. Et Ses mains n’avaient plus de cicatrices, Il était au milieu de Ses Eglises, une bénédiction.
13 En ce merveilleux matin de Pâques, Jésus était vivant et parmi les gens. Quel type est-ce aujourd’hui, comme on est de nouveau à Pâques ! Jésus est ressuscité d’entre les morts. Et pendant qu’Il allait ici et là, beaucoup de Ses bien-aimés, les gens qui L’aimaient, les gens qui croyaient en Lui, ne savaient pas qu’Il était vivant. Et c’est pareil aujourd’hui. Il y a beaucoup de bons chrétiens honnêtes qui ne se rendent pas compte que Jésus-Christ est vivant et qu’Il est parmi nous aujourd’hui. Ils manquent de reconnaître cela. Ils croient : «Oh ! Il est mort pour mes péchés.» Ils acceptent cela. Et Il est ressuscité, Il est monté quelque part au Ciel. Mais Il n’y est pas. Il est ici même sur terre sous forme du Saint-Esprit. «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Non pas : «Je monterai au Ciel pour vous regarder d’en haut», «Je serai avec vous.»
14 Dans un passage, il est dit : «Je serai en vous jusqu’à la fin du monde.» Il sera avec nous, même en nous jusqu’à la fin du monde. Je, pas quelqu’un d’autre : «Je serai jusqu’à la fin du monde.» Je est un pronom personnel. «Et Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.»
Et beaucoup de gens aujourd’hui ne s’en rendent pas compte. Il n’y a que ceux dont les noms sont écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau et qui sont nés de nouveau du Saint-Esprit, qui sont témoins de la résurrection.
La Bible déclare : «Nul ne peut dire que Jésus est le Christ si ce n’est par le Saint-Esprit.» Vous pouvez savoir cela par le moyen de la Parole. Vous pourrez savoir cela par le pasteur, ou par votre mère, ou par un autre témoignage. Vous... Mais vous ne le savez pas vous-même tant qu’Il ne vous l’a pas témoigné personnellement, qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit dans votre coeur. Quel beau tableau !
Et maintenant, ces disciples, nous avons appris qu’ils n’étaient pas instruits. Ils ne connaissaient peut-être pas tout sur l’algèbre. Ils ne connaissaient peut-être pas tout sur la géographie du monde; mais il y avait une seule chose qu’ils connaissaient avec certitude : Ils Le connaissaient.
15 Il n’y a pas longtemps, je parlais à mon cher ami, il y a quelques semaines, William Booth-Clibborn, un érudit très perspicace, l’un des meilleurs auxquels j’aie jamais parlé. Et nous roulions ensemble; alors, frère Booth m’a dit, il utilisait une espèce de mot très grand, vous savez. Et si vous le connaissez, il en prononce. Il prêche dans sept différentes langues, et moi, un petit abruti, j’étais assis à côté de lui. Et je... Il a dit, il s’est mis à utiliser divers termes, grecs et autres. J’ai dit : «Frère Booth, le Seigneur ne m’a pas donné le don d’interprétation.» J’ai dit : «Je–je–je ne sais simplement pas de quoi vous parlez.»
Il a dit : «Eh bien, toi petit pécheur, a-t-il dit, tu ne connais pas ta Bible.»
Et j’ai dit : «Je ne connais pas le Livre, j’En connais très bien l’Ecrivain, l’Auteur.»...?... Et j’ai dit : «Frère Booth-Clibborn, connaître le Livre, ce n’est pas ça la Vie. Connaître le catéchisme, ce n’est pas ça la Vie, ou connaître la Bible, ce n’est pas ça la Vie, mais Le connaître, Lui, c’est ça la Vie.» Et j’ai dit : «Je Le connais.»
Et il m’a brusquement tiré et a cogné un tout petit peu ma tête contre la sienne. Vous savez, il a coupé court comme cela. Il a dit : «Je dois simplement t’aimer de toute façon.» Alors, je... C’était un érudit.
16 Mais ces disciples ne connaissaient peut-être pas toute l’éthique de l’église. Ils n’étaient peut-être pas d’érudits raffinés. Mais ils Le connaissaient. Et c’est l’essentiel : Le connaître. Comme Paul a dit : «Le connaître dans la puissance de Sa résurrection.» C’est ainsi que j’aimerais Le connaître. Je suis très heureux ce soir de voir cette expérience dans le passé. Un jour, il y a de cela vingt-trois ans, je L’ai connu dans la puissance de Sa résurrection. Cela a changé ma vie. Comme Paul a dit : «La vie que je menais autrefois...» Il menait donc une vie différente là. Et chaque personne qui soit jamais entrée en contact avec le Seigneur Jésus-Christ sait que cette expérience est dans le passé. Elle Le connaît maintenant dans la puissance de Sa résurrection.
Quel temps de chagrin c’était à Jérusalem ! La pauvre Marie avait grandi, une innocente jeune fille, le Saint-Esprit l’avait couverte de Son ombre, un Enfant était né. Et comment cet homme pouvait-il... Et Ses disciples inquiets, Pierre a dit : «Je pense que j’irai simplement à la pêche.» Et ils avaient vu...
Comment un Homme à côté de qui ils s’étaient tenus à la tombe, ils avaient vu un homme mort depuis quatre jours sortir de la tombe...? Eh bien, en quatre jours, le nez d’un cadavre s’affaisse. Certainement. Et alors, un homme avec le nez affaissé, les vers de son corps y grouillaient, et la Bible dit : «Il puait.» Cela montre que la corruption s’était déjà installée.
Comment un Homme pouvait-Il se tenir là, fatigué et épuisé, tout recouvert de poussière après le voyage, et dire : «Lazare, sors !»? Et un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds, il a vécu, il a parlé et a mangé. Comment un Homme qui pouvait appeler un mort à la vie, était suspendu là sur la croix, cruellement ridiculisé et raillé, couvert de crachats, suspendu là avec de très épais crachats recouvrant Son visage, des épines sur Sa tête, implorant miséricorde, en mourant d’une mort horrible? Comment un Homme a-t-il pu faire cela? Voyez? Cela est inconnu des êtres humains. Dieu opère de façon mystérieuse pour accomplir Ses prodiges.
17 A votre avis, qu’est-ce que Ses disciples avaient pensé de Lui en ce temps-là? Jésus était un Voyant, non seulement un Voyant, mais Il était le Roi des voyants. Mais eux... Il–Il avait la puissance. Il pouvait discerner les pensées des gens. Il pouvait annoncer d’avance des événements qui s’accomplissaient. Et Il a dit : «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»
Et après, voir un Homme qui avait une telle puissance, qui pouvait dire à un homme qui venait dans Son assistance : «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude»...
Il a dit : «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, à environ quatre ou cinq miles [6 ou 8 km] derrière la colline ici, Je t’ai vu quand tu étais sous cet arbre-là.»
Comment un Homme qui était un jour assis à côté d’un puits, et une femme est sortie de la ville, une prostituée, elle est sortie de la ville pour puiser de l’eau... Et Il a dit : «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit : «Tu n’as rien pour puiser. Il n’est pas de coutume que les Juifs demandent aux Samaritains pareille chose.»
Et Il a poursuivi la conversation avec la femme, Il a dit : «Va chercher ton mari.»
Elle a dit : «Je n’ai point de mari.»
Il a dit : «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant...»
Comment un Homme qui pouvait voir le futur et des choses comme cela, la puissance qu’Il avait...
«Comment un Homme qui pouvait, pensait Pierre, alors que nous étions là fauchés, nous n’avions pas d’argent, Il a levé les yeux pendant quelques minutes et a prié, Il a dit : ‘Pierre, va lancer l’hameçon dans le lac, et attrape ce poisson-là, regarde dans sa bouche, prends la pièce de monnaie, donne-la-leur.’» Oh ! la la !
18 Comment un Homme qui pouvait prendre cinq petits poissons, cinq petits pains et deux poissons, les couper et nourrir cinq mille personnes? Pas juste un poisson se tortillant, mais un poisson cuit. Que faisait-il... Comment s’y prenait-Il? Quel genre d’atome lâchait-Il là? Quel genre de puissance avait-Il?
Rappelez-vous, cinq mille personnes se nourrissant de deux poissons, Il a pris ces petits poissons, Il les a brisés, Il les a distribués, Il a coupé un autre morceau. Et chaque fois qu’Il coupait cela, un nouveau morceau poussait, un poisson cuit, déjà cuit et frit dans Crisco, prêt à être mangé, prêt, grandi, tout ça. Quelle Personne ! Non pas découper, récolter du blé, se mettre à le préparer et des choses comme cela, le cycle normal, mais Il a contourné tout cela. Il le découpait, du pain cuit, et Il leur remettait avec la croute brune dessus. Il disait : «Prenez et mangez.» Oh ! la la !
Comment un tel Homme pouvait-Il se tenir là avec un lambeau autour de Son visage, et le soldat infidèle, cruel et moqueur L’a giflé à la tête avec un roseau et a dit : «Maintenant, si Tu es un prophétiseur, dis-nous qui T’a frappé.»? Comment un tel Homme pouvait-Il faire cela? Comment cela pouvait-il donc se faire? Comment cet Homme-là pouvait-Il se mettre à implorer miséricorde sur la croix, Lui qui avait témoigné de la miséricorde? Comment un Homme qui pouvait ressusciter les morts, pouvait-Il mourir comme un... entre des voleurs, comme un malfaiteur sur la croix? Comment un Homme, avec toute cette puissance à Sa disposition, pouvait-Il être suspendu à la croix comme cela, et regarder vers les cieux, et entendre ces Juifs railleurs dire : «Si Tu es le Christ, descends de la croix, et nous croirons en Toi. Si Tu es un Prophète, dis-nous qui T’a frappé à la tête avec ce bâton, et nous croirons en Toi.» Toutes les puissances pour faire cela, et observez.
19 La même Personne, au commencement de Son ministère, avait été affrontée par le même diable, qui Lui avait dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle devant mes yeux, et ordonne que ce pain... ces pierres... des pains. Je croirai alors en Toi.» Voyez?
Vous ne satisfaites pas le diable. C’est le même diable qui a dit : «Vous savez, monsieur Jones est ici au bas de la rue, il est estropié depuis des années. Descendez et guérissez-le, vous les guérisseurs divins, et je croirai en vous.» Voyez? Le même vieux démon. Voyez?
Jésus a dit : «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Il le leur a dit une fois, et cela était réglé. C’est terminé. «Je ne fais que ce que le Père Me dit. C’est ça la volonté du Père.»
Mais comment a-t-Il pu mourir? Pendant qu’ils longeaient la route, ils étaient très découragés. Pierre a pris sa canne de pêche, l’a placée sur son dos, il a pris une boîte de vers et s’est dirigé vers la mer, il a dit : «Je pense simplement que j’irai pêcher.»
Cléopas et son ami ont dit : «Voyons donc. Retournons à Jérusalem», ou : «Retournons dans notre ville d’origine, là à Emmaüs. Mais je ne sais pas. Je n’arrive pas à comprendre cela. Eh bien, comment une Personne comme cela...»
Et aujourd’hui, les serviteurs de Dieu sont de même mal compris. C’est vrai. Le véritable Evangile est de même mal compris. «Eh bien, si Dieu est Dieu, disaient les gens de haute classe, comment traite-t-Il avec des pentecôtistes? Ces gens là-bas qui savent à peine où ils auront un repas après l’autre. Eh bien, s’Il était Dieu, Il viendrait certainement chez nous.» Non, c’est vous qui devez aller vers Lui. C’est vrai. Voyez, la même chose...
Et même Ses disciples ne Le comprenaient pas. Il avait un double langage. Ils ne pouvaient jamais Le comprendre, parce qu’Il parlait du Ciel. Il parlait des choses qu’eux ne pouvaient comprendre. Juste à la fin, ils ont dit : «Voici, maintenant, nous croyons et nous savons que personne n’a à T’enseigner, car Dieu Te montre quoi faire.»
Jésus a dit : «Vous croyez maintenant.» Après tout ce temps : «Vous croyez maintenant.»
20 Mais comment cette Personne divine pouvait-Elle... Voyez, ils avaient manqué de connaître la Parole de Dieu. Il n’y avait donc rien à faire sinon accomplir leur désir de connaître. Alors, quand ils prenaient le virage, pendant qu’ils marchaient, découragés... Oh ! Certaines femmes avaient été à la tombe, elles ont dit qu’Il n’était plus là. Mais eux n’avaient pas cru cela, alors ils poursuivaient simplement leur route, très découragés.
Et si vous remarquez bien, c’est quand vous êtes découragé que le diable peut vraiment en déverser sur vous. C’est alors qu’il vous attrape. Si vous venez à l’église et que vous dites : «Eh bien, je ne sais pas. Je ne sais pas si je vais aller mieux ou pas. On a prié pour moi deux fois.», oh ! la la ! vous feriez tout aussi mieux de rentrer à la maison, c’est tout. Mais quand vous pouvez mettre cela de côté... Dieu ne veut pas que vous soyez renfrogné. Dieu veut que vous soyez heureux. Le coeur humain a été créé pour être heureux. Les soucis causeront le cancer. La colère causera le cancer. Ne soyez jamais bouleversé. Marchez simplement dans Son amour (Amen !), sachant que vous marchez en Lui, que rien ne peut vous nuire. Il n’y a rien qui puisse vous nuire. Aucune puissance, ni des choses présentes ni des choses à venir, rien ne peut nous séparer de Lui. Nous sommes en Lui. Et nous ne sommes jamais entrés par notre propre volonté. C’est Lui, par le choix, qui nous a élus et nous a fait entrer en Lui. Amen. C’est donc à Lui de prendre soin de ce dont Il s’est chargé. «Nul ne peut les arracher des mains de Mon Père, car Il est le plus grand de tous.» Amen. C’est le Père qui s’en occupe. Qui a plus de puissance que Dieu? Ainsi, sous quel genre de puissance vous êtes-vous soumis pour qu’elle s’occupe de vous? Toutes les puissances qui ont créé les univers. Amen. Cela a pris le système solaire et... [Frère Branham souffle.–N.D.E.] Il a soufflé comme cela et chaque étoile a occupé sa place. Certainement. Et Il veille sur vous. Amen. Voilà le genre de Père que nous avons.
21 Alors, pendant qu’ils longeaient la route, il a dit : «Ô Cléopas, a dit son ami, je–je t’assure, je–je suis découragé ce matin. Mais comment cet Homme a donc pu mourir? Cléopas, Il est mort. Je L’ai vu mourir. J’ai vu le soleil se coucher. Toutes les étoiles ont refusé de briller. Je sais qu’Il est mort. J’ai vu ce soldat Lui enfoncer la lance dans le coeur. Et Il est mort. Et je sais qu’Il est mort. Et comment a-t-Il pu faire cela? Nous avions confiance en Lui, qu’Il deviendrait le Grand Messie qui devait prendre le... modeler toutes nos lances et les serpes, et sortir, et ça serait terminé pour les Romains; et le monde serait foulé aux pieds, Il le dirigerait avec une verge de fer. Il s’assiérait sur le trône de David. Et voilà qu’Il gît là dans la tombe? Comment cela peut-il se faire?» Ils n’arrivaient simplement pas à comprendre cela.
22 Pendant qu’ils réfléchissaient à ces choses, un Etranger est apparu. C’est généralement...?... C’est alors que vous voulez prendre... Quand vous vous mettez à penser à Lui, c’est alors qu’Il apparaît. Ils parlaient de Lui quand Il apparut. Et c’est la raison pour laquelle, peut-être, Il ne nous apparaît pas très souvent. Nous parlons trop d’autres choses plutôt que de Jésus. Peut-être que nous parlons de la vente des voitures, de quelque chose d’autre, ou de la lessive, quel genre de savon en poudre vous utilisez, écouter la radio et une espèce de non-sens. C’est la raison pour laquelle Il n’apparaît pas. Si seulement nous gardions nos pensées sur Lui... «Que la méditation de mon coeur...»
Il a parlé à Josué, Il a dit : «Médite ces choses jour et nuit.»
David a dit : «Je les attacherai sur les colonnes de mon lit.» Assurément. Qu’elles restent dedans, en vous, et pensez-y, méditez sur Cela. Et c’est alors qu’Il apparaît.
Avez-vous déjà remarqué comment l’Ange du Seigneur vient? Le soir à trois heures quand je rentre, j’enferme tout dehors, je ne permets à personne d’entrer, je reste simplement assis là et je lis la Parole, je m’abandonne jusqu’à ce que je sache qu’Il est là. Je peux sentir cela quand Il vient. Il entre, et je sais qu’Il est là. Oh ! la la ! C’est ainsi qu’on s’y prend. C’est ainsi que les disciples s’y prenaient. Ils étaient ensemble, d’un commun accord dans la chambre haute. Ils étaient tous là-haut en train de Le louer. Et tout d’un coup, Il entra. C’est ainsi qu’Il s’y prend.
Alors, ces gens longeaient la route, méditant sur Lui, parlant de Lui, et Lui s’est avancé : «Bonjour.» Il a dit : «Pourquoi êtes-vous si tristes ce matin? Oh ! la la ! Vous avez l’air terrible. Regardez quelle mine renfrognée vous avez. Vous qui êtes Juifs, pourquoi affichez-vous une telle mine? Pourquoi ne souriez-vous pas?»
«Eh bien, ont-ils dit, es-Tu le seul Etranger par ici?» Je ne pense pas. Il a fait ça. Il a créé les cieux et la terre, comment pouvait-Il être un Etranger? Ils ont dit : «Es-Tu donc un Etranger?»
23 Vous savez, il y a–il y a souvent des gens qui ne se rendent pas compte que Christ est près d’eux comme cela. Ils ont donc dit : «Jésus de Nazareth, nous espérions qu’Il deviendrait le Libérateur d’Israël, et tout; ils L’ont crucifié là-haut. Oh ! Tu aurais dû être là. Il est mort d’une mort horrible. Tu aurais dû L’entendre. Oh ! C’était si pitoyable de voir Celui que nous pensions être le Messie mourir là. On Lui a percé le coeur, on L’a mis dans la tombe et on L’a enseveli. Et–et puis, nous avons eu des femmes là à la tombe, et que le jardinier ou quelques-uns d’entre eux L’ont emmené. Et ils sont là. Voyez? Nous–nous ne savons simplement plus quoi faire. Oh ! Nous sommes dans une grande confusion.» Hein ! Juste une bonne chose.
Jésus a dit : «Etes-vous si lents de coeur?» Et suivez. Quand Jésus apparaît, Il va droit aux Ecritures. Il dit : «Ne savez-vous pas que les Ecritures doivent s’accomplir?» Alléluia ! Frère, je–je me sens terriblement bien maintenant. «Ne savez-vous pas que les Ecritures doivent s’accomplir?»
Et quand les gens disent aujourd’hui... «Oh ! C’est une télépathie mentale. Oh ! Il n’y a rien à cela. C’est juste une bande de saints exaltés, ce...», ne savez-vous pas que les Ecritures doivent s’accomplir? Dieu doit apparaître en ces derniers jours pour accomplir les choses qu’Il fait maintenant. C’est pour accomplir les Ecritures. Il a dit : «Dans les derniers jours, Je répandrai de Mon Esprit.»
Et rappelez-vous, Il a dit : «Il y aura la pluie de la première et de l’arrière-saison. Et pendant la pluie de l’arrière-saison, il y aura à la fois la pluie de la première et de l’arrière-saison qui tomberont ensemble», une double portion. Alléluia !
Si donc nous voyons ce que la pluie de la première saison avait produit, combien plus produira la pluie de l’arrière-saison? Quand Dieu déversera Son Esprit, il y aura des signes et des prodiges qui s’accompliront. Comme je le disais il n’y a pas longtemps, comme votre bien-aimé pasteur a publié cela : «Quand l’Omnipotence parle, les miracles se produisent.» Absolument. Absolument.
24 «Eh bien, a-t-Il dit, ne connaissez-vous pas les Ecritures?»
Les Ecritures? Oh ! Peut-être, aujourd’hui, on essaie de placer cela quelque part ailleurs, disant : «Oh ! Eh bien, c’était pour les jours passés.» Mais ce n’est pas ce que dit la Bible. La chose : «La qualité se révèle à l’usage», disait ma mère. «L’usage d’une chose...»
Aujourd’hui, ils disent : «Les jours des miracles sont passés.» Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit : «Frère Branham, les jours des miracles sont passés.»
J’ai dit : «A votre connaissance... Mais nous, nous savons différemment.»
«Oh ! Christ, quand Il existait jadis, Il était le phénomène de ce jour-là.» Mais j’ai dit : «Il l’est aujourd’hui. La Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
Jésus a dit : «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, en vous, jusqu’à la fin du monde.» Ne savez-vous pas que les Ecritures doivent s’accomplir?
25 Si les grands ecclésiastiques de ce jour ne veulent pas accepter cela, de ces pierres Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Dieu prendra de pauvres ignorants et illettrés. Mais les Ecritures doivent s’accomplir. Elles doivent s’accomplir. Et Il a promis qu’Il secouerait de nouveau, non seulement les cieux... non seulement la terre, mais les cieux aussi. Et nous vivons dans le jour où nous devons voir cela s’accomplir.
Jésus a dit : «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Les Ecritures doivent s’accomplir. Il a dit que dans les derniers jours, Il enverrait les prophètes, Il enverrait Son Esprit, Il enverrait toutes ces choses au dernier jour. Les Ecritures doivent s’accomplir.
26 Maintenant, nous avons un grand ministère là, le ministère du précurseur de la Venue de ce ministère qui vient maintenant. Jean-Baptiste était parti, s’est mis à prêcher la repentance. Et il l’a réellement prêchée. Il a secoué le monde politique de l’époque. Jean l’a fait. Il est apparu. Il était oint de l’esprit d’Elie. Il est apparu et il a prêché. Il n’avait pas accompli des miracles, pas du tout. Il n’a jamais rien dit contre cela. Mais il s’est mis à prêcher. Il a amené tout le monde, de nom, il les a secoués, parce que toutes les régions avoisinantes venaient l’entendre. Et aussitôt que son ministère avait commencé à très bien marcher, le ministère du Seigneur Jésus a commencé à accomplir des miracles; tous les deux se trouvent dans le monde aujourd’hui. Amen. Et le grand apogée est proche. La grande guerre entre le diable et Dieu est en cours, la mise en place est faite pour les dernières lignes de front là où le–l’affrontement aura lieu; et Dieu règnera et dominera, car l’Agneau était avec eux, Il les a vaincus; car Il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, Il surmontera chaque opposition. Amen.
27 Remarquez. Ils cheminaient. Ils ne L’ont pas reconnu. Et Il s’est mis à leur expliquer. Oh ! Pouvez-vous juste vous imaginer comment ils écoutaient, chemin faisant? Puis, quand ils sont arrivés à la maison, là juste au coucher du soleil, ils sont entrés dans un petit village appelé Emmaüs. Et il y avait là un petit hôtel, un petit restaurant, au bord de la route, peut-être, une petite maison en pisé. A l’époque, il y avait beaucoup de maisons en pisé. Il y en a encore. Et puis, nous voyons ce petit restaurant érigé là. Alors, ils se sont mis à suivre cet Homme-là et ils disaient : «Dites donc, j’apprécie plutôt la façon dont Il explique cela.» Ils ont dit : «Viens, et reste avec nous.»
Eh bien, d’abord, Il parut vouloir dépasser. Eh bien, souvent, c’est ce qu’Il fait. C’est vrai. Certains, parmi vous ici ce soir, qui souffrent du cancer, le médecin dit : «Rien ne peut plus être fait.» La maladie du coeur, le médecin dit : «Rien ne peut plus être fait.» Les estropiés, le médecin dit que vous ne pouvez pas marcher. On dirait qu’Il va vous dépasser, mais ce n’est pas ce qu’Il fait. Non.
Eh bien, tirez la leçon : «Mais ils L’ont contraint.» Ils ont dit : «Entre, et reste avec nous.» C’est ce qui se passe, c’est ça la chose. Il savait tout le temps qu’Il entrerait. Mais Il veut que vous le Lui demandiez. Amen. C’est là votre rôle, le lui demander. Ils ont dit : «Viens, et reste avec nous. Oh ! Le jour est fort avancé.» Il l’est, n’est-ce pas? «Viens, et reste avec nous.»
«Eh bien, a-t-Il dit, peut-être que Je ferais mieux de continuer simplement.»
«Oh ! Non, Tu ne dois pas continuer. Oh ! Nous apprécions Tes Paroles. Tu nous as expliqué les Ecritures, alors nous... Tu dois venir et rester avec nous.» Alors, quand ils L’ont eu à l’intérieur...
28 Eh bien, c’est ça. Faites-Le entrer à l’intérieur de votre coeur. Et alors, aussitôt la porte fermée, le monde extérieur enfermé dehors, alors Il leur ouvrit les yeux. Et c’est ce qu’Il fera pour vous, si jamais vous Le laissez entrer, vous enfermez le monde dehors, vous enfermez toute l’incrédulité dehors, alors Il vous ouvrira les yeux, si seulement vous entrez, vous Le laissez entrer. Faites-Le entrer dans votre maison. Faites-Le entrer dans votre coeur. Faites-Le entrer en vous. Et quand vous le faites, alors vous dites : «Maintenant, regarde, ce soir dans la réunion, je vais enfermer toute mon incrédulité dehors.» Eh bien, écoutez attentivement et suivez-moi. «Je vais enfermer toute mon incrédulité dehors, toutes les superstitions que j’ai jamais eues. Toute l’indifférence que j’aie jamais eue de ma vie, je vais enfermer tout cela dehors. Et je vais dire : ‘Jésus, entre dans ma maison maintenant. Entre ici avec moi.’» Et quand vous le faites, fermez la porte et dites : «Maintenant, Satan, tu ne peux pas entrer ce soir. Je reçois Jésus ici. Je vais L’accueillir.» Or, Satan, c’est l’incrédulité.
Vous dites donc : «Je vais simplement fermer la porte maintenant. Et vous... Je suis ici à l’intérieur avec Toi, Précieux Jésus.»
29 Et alors, ils sont allés à table et ils se sont assis. Je peux m’imaginer voir Cléopas placer une chaise pour Lui et dire : «Monsieur, je vous assure, je n’ai jamais entendu les Ecritures être expliquées comme Tu Les as expliquées.» Jésus était assis. Et ils ne Le reconnaissaient toujours pas.
Alors, une fois qu’ils étaient entrés et qu’ils s’étaient assis, peut-être que le serveur est arrivé, la petite serveuse, et elle a dit : «Que prenez-vous?»
«Du pain et des olives.» Et alors, quand on a apporté du pain, ils l’ont passé à Jésus... Maintenant, suivez. Il avait été un Enseignant, un vrai Enseignant, probablement pas plus que ce que les autres avaient enseigné. Mais le sujet qu’Il abordait, comment Christ devait souffrir, entrer dans la gloire, toutes ces choses, ça les intéressait, en effet ils s’intéressaient au sujet.
Eh bien, si vous vous intéressez au sujet ce soir, tout éclaircissement sur la Parole de Dieu, sur ce sujet de la guérison divine, vous serez éclairé. Vous vous intéressez à entendre cela. Tout ce que Dieu peut faire pour vous, vous éclairera, ça vous aidera, ça vous inspirera beaucoup.
30 Ils se sont donc assis. Maintenant, suivez attentivement. Alors, quand ils s’étaient tous assis, Jésus a pris du pain, et Il a fait quelque chose avec cela tel qu’Il faisait quand Il était avec eux avant la crucifixion. Il a fait cela comme Il avait l’habitude de le faire. Et quand Il a fait quelque chose comme Il avait l’habitude de le faire, ils ont dit : «Personne à part Lui ne pouvait le faire. C’est Lui. C’est notre Seigneur.» Voyez-vous cela?
Eh bien, puisse-t-Il venir ce soir dans cette église. Puissions-nous enfermer, laisser dehors toute notre théologie, nos histoires d’église, nos petites limites qui nous ont séparés les uns des autres et de Dieu. Laissons tomber les rideaux tout autour et disons : «Je rejette toute mon incrédulité. Je vais écouter. J’aimerais découvrir ce que Jésus a fait quand Il était ici sur terre, et si je peux Le voir faire, parmi Son peuple ici, les mêmes choses qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre, Il est toujours le Seigneur Jésus ressuscité. Il s’est fait connaître de cette façon-là, et lors de Sa résurrection, Il a fait les mêmes choses qu’Il avait faites avant la crucifixion. Voyez-vous cela? Dites : «Amen» si vous voyez. [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Il a fait après la résurrection la même chose qu’Il avait faite avant la crucifixion.
31 Et ils ont dit : «C’est Lui. Il est effectivement ressuscité d’entre les morts.» Oh ! la la ! Ils avaient passé toute la journée sur la route à marcher. Mais ils ont fait juste quelques minutes pour retourner à Jérusalem. «Oh ! ont-ils dit, oui, Il est vivant. Nous L’avons vu. Nous savons qu’Il est vivant.» Amen.
«Comment le savez-vous?»
«Il a fait la même chose qu’Il faisait quand Il était vivant. Nous savons que c’est Lui. Il n’y a que Lui qui peut faire cela. C’est tout. Personne d’autre ne peut le faire, en dehors de Lui. Et nous voyons comment Il s’y est pris. Et c’est ce qu’Il faisait quand... Vous vous rappelez quand nous étions là, en train de manger cette fois-là, la façon dont Il avait pris ce pain-là, et comment... ce qui était arrivé quand Il avait rompu ces morceaux de pain-là ce jour-là et avait nourri des milliers?»
«Oui.»
«Oh ! C’est la même chose qu’Il a faite alors. Je sais comment Il l’avait fait. Il a fait quelque chose et je sais ce que c’était.» Et vous savez, tout le temps qu’ils couraient aussi vite que possible, Il était juste avec eux. Mais eux ne voyaient pas cela.
Puis, Thomas s’est levé et a dit : «Vous savez, votre histoire sonne très bien. C’est bien. Mais, a-t-il dit, vous savez, il me faudra voir cela moi-même.» Il a dit : «Il me faudra mettre mes doigts dans Ses mains.»
Jésus a dit : «Les voici.» Il était avec eux, car Il a promis qu’Il serait avec eux. Il a promis qu’Il ferait les mêmes choses qu’Il avait faites, jusqu’à la fin du monde.
«Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» C’est une commission. C’est vrai. Billy Graham, Jack Shuler, beaucoup d’autres grands hommes le font. «Et (c’est une conjonction) voici les miracles qui accompagneront ceux–ceux qui auront cru.» Les Ecritures doivent s’accomplir. Cela doit se passer. Et si nous rejetons cela, Dieu suscitera quelqu’un d’autre pour le faire. C’est vrai. Nous y sommes. Que Dieu nous ouvre les yeux ce soir pour nous rendre compte que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Deux mille ans pratiquement se sont écoulés depuis Sa résurrection. Mais Il est ici même dans cette salle ce soir tout autant qu’Il était dans ce petit restaurant à Emmaüs.
32 Que Dieu accorde qu’Il fasse quelque chose ce soir, ici même au milieu de vous comme ce qu’Il avait fait jadis.
Combien y en a-t-il ici qui n’ont jamais assisté à l’une des réunions auparavant? Faites voir les mains. Levez la main. Oh ! la la ! Un bon nombre. Très bien. Voyons juste un instant maintenant ce qu’Il avait fait. Que peut-Il faire pour nous le faire savoir?
Eh bien, rappelez-vous, Son corps corporel est le Souverain Sacrificateur qui est assis devant le Trône de Dieu, avec le Sang, intercédant. Son Esprit, appelé le Saint-Esprit, est ici, vivant avec nous dans notre esprit, accomplissant les mêmes choses, continuant le ministère qu’Il avait commencé. Et Il a dit : «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, jusqu’à la fin du monde.»
Maintenant, nous... Eh bien, aux nouveaux venus. Voyez ce qu’Il avait fait. Qu’avait-Il fait? Prétendait-Il être un grand guérisseur? «Amenez-moi tel homme, que je vous montre comment Je le guéris.» Ce n’était pas Dieu. Ce n’était pas là Christ. Non, non. Il a dit : «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Il a dit : «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi qui accomplit les oeuvres.» Très bien.
33 Maintenant, remarquez. Alors, un jour, dans Son ministère, un homme alla chercher un autre et ils vinrent à Lui. Et quand il arriva auprès de Lui, Il a dit : «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
C’est Philippe qui était allé chercher Nathanaël. Ce dernier a dit : «Quand M’as-Tu connu, Rabbi?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais là sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Oh ! la la ! A-t-Il fait cela? Oui. La femme au puits, plusieurs autres passages.
Une fois, on L’a attrapé, on Lui a dit, transportant un homme, avait son... Il avait pris... Il est passé au milieu d’une grande foule de gens : des boiteux, des aveugles, des paralytiques, des estropiés, des enfants hydrocéphales, des paralytiques, des affligés. Et Jésus est passé au milieu d’eux tous. Juste quelques jours avant là, une femme s’était faufilée et avait touché Son vêtement, elle avait fui dans l’assistance et s’était tenue quelque part. Jésus a promené Son regard et a dit : «Qui M’a touché?» Pourquoi?
La femme, toutes les autres disaient : «Pas moi. Pas moi.» Tout le monde avait nié. «Pas moi.» Il a dit que je...
Pierre a dit : «Qui T’a touché? Eh bien, a-t-il dit, tout le monde Te touchait.»
Il a dit : «Mais–mais Je suis devenu faible. La vertu est sortie de Moi, la force M’a quitté–quitté. Quelqu’un M’a touché.»
Il a continué à promener le regard, Il a repéré la femme, Il a dit : «Maintenant (Elle souffrait d’une perte de sang)...», et Il a dit : «Ta foi t’a guérie.» Et elle est venue, elle s’est prosternée à Ses pieds et a tout confessé.
Eh bien, si c’était là Jésus en ce jour-là, ça doit être Jésus en ce jour-ci. Si Jésus a pu faire cela en ce jour-là, Il doit le faire en ce jour-ci, s’Il est le Seigneur ressuscité.
34 Eh bien, cette précieuse vieille Bible à la couverture noire, je La crois de tout mon coeur. Et je cro... Si Ce n’est pas vrai, alors C’est faux. Je n’aurais rien à faire avec Cela. Mais je crois que chaque Mot de Cela est inspiré, chaque Mot de Cela est la Parole même de Dieu. Et je crois qu’une bonne attitude mentale envers n’importe laquelle de ces promesses divines la fera s’accomplir. Maintenant, je crois qu’Il est ressuscité d’entre les morts.
Et quand Il fut interrogé là-bas ce jour-là, quand Il passait, Il a trouvé un homme. Le Père Lui avait montré en vision. Il est descendu et Il a vu un homme couché sur un grabat. Il est passé au milieu des aveugles, des estropiés, des boiteux, des paralytiques, qui étaient couchés là près de la piscine par centaines. C’est ce que disent les Ecritures : Saint Jean 5. Il les a dépassés jusqu’à voir où était la vision. Il a vu un homme étendu là sur un grabat. Il était dans cet état-là depuis, je pense, plusieurs années, environ vingt-huit ans. Cela n’allait pas le tuer. C’était une maladie qui avait duré, peut-être une prostatite. Peut-être que c’était une affection pulmonaire ou quelque chose comme cela. Cela n’allait pas le tuer. Il l’a guéri, Il lui a dit de prendre son lit, d’aller chez lui, et ce dernier l’a fait. Les Juifs l’ont trouvé, ils l’ont interrogé; ils ont amené Jésus au prétoire et L’ont interrogé.
Ils posent des questions à ce sujet aujourd’hui : «Pourquoi ne guérissez-vous pas Untel? Pourquoi ne guérissez-vous pas Untel?»
Ecoutez Jésus dans Saint Jean 5.19. Il a dit : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Je ne fais que ce que le Père Me montre à faire. Je ne peux rien faire de Moi-même.»
35 Mais maintenant, regardez. Jésus, en Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité. Et cette femme, qu’avait-elle fait? Qu’avaient fait les autres? C’était leur foi qui L’avait touché et qui avait tiré la gloire de Dieu au travers de Christ, alors qu’ils servaient... quand Lui servait, eux par leur foi L’ont touché. Eh bien, la Bible dit qu’après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Il est maintenant un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai?
Votre foi peut encore Le toucher. Et si elle arrive à Le toucher, alors Il peut se représenter ici sur terre une fois de plus parmi nous par l’un de nous. Est-ce vrai? Et Dieu est monté en haut, Il a emmené les captifs, Il a fait des dons aux hommes. Et Il a établi dans l’Eglise premièrement les apôtres; deuxièmement, les prophètes; après cela, les docteurs, les évangélistes et les pasteurs. Est-ce vrai? Dieu les a établis dans l’Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise, afin que les gens sachent qu’Il n’est pas mort, qu’Il vit toujours et aux siècles des siècles. Et Il est dans Son Eglise aujourd’hui, accomplissant Son oeuvre de Souverain Sacrificateur, oeuvrant par Son peuple quand ceux-ci s’abandonnent à Lui dans le même but. Et je crois que le même Jésus-Christ qui était ressuscité le premier matin radieux de Pâques est encore vivant aujourd’hui au milieu de Son peuple. Prions.
36 Père céleste, ouvre les yeux des gens maintenant. Nous avons raconté cette merveilleuse histoire de Pâques à notre simple, pauvre et modeste manière. Mais dans nos coeurs, nous croyons avec tout ce qui est en nous que c’est la vérité. Nous T’avons vu Te manifester à plusieurs reprises, maintes et maintes fois. Et nous savons que Tu es Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et nous Te prions humblement et sincèrement de tout notre coeur de bénir ces gens ce soir.
Maintenant, je leur ai fait une proposition, Père, et je Te prie de manifester le Fils, le Seigneur Jésus, ici à l’estrade ce soir et là dans l’assistance, alors que nous T’abandonnons notre âme et notre esprit comme des vases. Alors que je T’abandonne les miens pour servir de porte-parole, abandonnant mes yeux pour la vision, abandonnant mon esprit pour Tes Paroles, ils abandonnent leur coeur et leur esprit pour recevoir.
Je Te prie, Père, de travailler parmi Ton peuple. Et s’il y a des incrédules parmi nous, puissent-ils, ce soir, être convaincus que le vrai récit de l’histoire de Pâques de la résurrection de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est toujours vrai aujourd’hui et que Jésus vit toujours. Nous le demandons en Son Nom. Amen.
37 Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Maintenant, combien y en a-t-il donc pour qui ceci est donc leur première soirée? Nous sommes contents de vous avoir. Mais combien ici sont des nouveaux venus, qui diront ceci à Dieu : «Maintenant, comme cet homme a dit que Tu es ressuscité d’entre les morts, et que Tu es ici non pas dans un corps corporel, car c’est...»? Quand cela retournera sur la terre, nous irons tous avec Lui. Mais Son corps corporel est placé là, mais Son corps spirituel est dans Son Eglise. Et nous avons tous été baptisés dans un même Esprit pour former Son corps. Voyez? Et s’Il vient ici sur cette estrade ce soir devant vos yeux, pas dans un corps corporel, mais dans un corps spirituel, mais qu’Il manifeste les mêmes choses qu’Il avait faites quand Il était à Emmaüs et ici sur terre, allez-vous L’accepter et croire en Lui?
Si vous allez le faire, levez la main pour dire : «Je croirai.» Que Dieu vous bénisse.
38 Maintenant, nous aimerions faire monter quelques personnes ici à l’estrade pour qu’on prie pour eux. On a distribué quelques cartes de prière il y a quelques instants, c’est ainsi que nous alignons les gens. Cela ne veut pas dire que ces gens vont être guéris. Ce n’est pas ce que ça veut dire. Cela veut simplement dire que ces gens vont se tenir ici. La raison pour laquelle je fais cela, hier soir, nous avions... nous n’avions pas eu l’occasion de distribuer des cartes de prière. J’ai donc simplement désigné les gens, le Saint... Excusez-moi, et que Dieu me pardonne. Je ne voulais pas le dire comme ça. Le Saint-Esprit a parlé aux gens là dans l’assistance. Oui. C’est vrai. Voyez? Parfois, Il le fait par grâce.
Maintenant, ce soir, nous avons distribué des cartes de prière, nous allons donc commencer avec quelques personnes sur l’estrade, et ensuite, nous allons... Abandonnez-vous simplement à l’Esprit de Dieu et croyez. Peu m’importe que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, quoi que vous soyez. Si vous êtes un enfant de Dieu, abandonnez-vous.
39 Maintenant, je me pose des questions sur ceci juste dans l’assistance. C’est gênant. Ce n’est pas mon intention de l’être, mais y a-t-il ici un pécheur qui dira : «J’ai été à l’église, j’ai lu la Bible et tout, mais je–je ne suis jamais né de nouveau»? Et donc, Jésus a dit : ‘Si un homme ne naît de nouveau, il–il–il n’entrera jamais dans le Royaume des cieux.’» «Mais si je peux voir cela s’accomplir devant mes propres yeux, j’accepterai Jésus-Christ comme mon Sauveur ce soir.»
Si vous allez le faire, levez la main. Eh bien, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Là-haut au balcon, que Dieu vous bénisse. C’est... Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre. «Je L’accepterai et je ne douterai plus jamais de ma vie.»
Que Dieu vous bénisse, monsieur, là-bas. Cela... Que Dieu vous bénisse, madame, là derrière, la jeune dame qui a levé la main.
Quelqu’un d’autre qui dit : «Je vais...» Ecoutez, amis. Nous sommes tous des mortels. Et il peut arriver qu’avant l’aube, certains parmi nous ici auront à Le rencontrer dans Sa Présence. Nous ne savons simplement pas combien de fois notre coeur battra encore. C’est vrai. Eh bien, c’est arrivé juste à la réunion, et des gens sont morts juste à la réunion. C’est vrai.
J’étais en Afrique; une femme est passée par l’estrade, une femme apparemment en bonne santé, et le Saint-Esprit lui a dit qu’elle avait un kyste sur ovarien. Elle a confirmé que c’était vrai. Il lui a dit qu’elle avait été chez un–un médecin il y avait quelques jours. Il lui a dit quel médecin c’était et quel était son nom. C’est vrai.
Vous direz : «Est-ce que Dieu...?» Oui, oui. Quand Simon est venu, Il a dit : «Ton nom est Simon, mais tu seras désormais appelé Pierre.» Voyez? Certainement qu’Il connaît. Certainement qu’Il vous connaît.
Alors, Il a dit, Il a dit à la femme qui elle était, mais Il a dit : «Maintenant, prépare-toi à mourir, car tu ne vivras que peu de temps.» La femme a contourné juste là devant une centaine de milliers de gens, elle s’est assise, elle a dit à son mari : «As-tu entendu ce qu’Il m’a dit?» Et elle a dit : «Oh !» Et elle était là, morte, si vite. Voyez? Voyez?
Je ne peux pas guérir. Je peux seulement dire ce qu’Il me dit de faire. Voyez? Je ne suis pas le guérisseur. Votre guérison est déjà accomplie. Tout le monde ici présent a été guéri il y a mille neuf cents ans. Chaque pécheur a été sauvé il y a mille neuf cents ans. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela comme votre bien personnel, ce que Jésus vous a donné.
40 Maintenant, avez-vous distribué de 1 à 100? Très bien. 1 à ... Très bien, nous allons donc appeler à partir de 1. Qui a la carte de prière numéro 1? Voudriez-vous simplement lever la main? Regardez, c’est une petite carte plate, avec ma photo dessus. Et au verso, il y a une–une lettre et un numéro. Elle porte le numéro 1. Qui a ce numéro 1? Voudriez-vous lever... Voudriez-vous venir ici, madame? Numéro 2, voudriez-vous lever la main? Qui a le numéro 2? Très bien. Numéro 2. Quelqu’un lève... Numéro 3, numéro 3. Quelqu’un voudrait-il... Celui qui a la carte de prière numéro 3, voudriez-vous lever la main? Veuillez simplement lever la main afin que nous vous voyions, c’est... Merci. Numéro 4, levez la main. 4, très bien. Numéro 5, voudriez-vous lever la main? Numéro 5, numéro 6? Je n’ai pas vu la main du numéro 6. Numéro 7, 8, 9, 10. Voyez? 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15. Voyons maintenant combien on a là, et combien... Eh bien, suivez, c’est peut-être quelqu’un qui ne peut pas se lever. Si votre numéro est appelé, et que vous ne pouvez pas vous lever, murmurez à quelqu’un à côté de vous, si vous ne pouvez pas lever les mains, et on va–on va.-.on va vous amener. Très bien.
41 Voyons maintenant combien nous avons. Si nous mettons ceux-ci en ligne... Très bien. C’est bien. Maintenant, maintenant, en voulez-vous d’autres debout? Estimez-vous qu’il nous faut en avoir d’autres debout? 15, eh bien, je... Laissons ça. Laissons ça là donc, juste comme cela pendant quelques minutes. Très bien. Nous allons essayer de prendre ceux-ci premièrement donc.
42 Combien y en a-t-il ici qui sont malades, qui n’ont pas de carte de prière, et qui aimeraient que Jésus les guérisse ce soir? Levez la main. C’est donc bien. Partout. Maintenant, faites cette seule chose. Maintenant, ces gens vont se tenir ici. Quelqu’un va se tenir ici, et va... Je prierai pour lui. Ainsi donc, c’est tout ce que je peux faire, prier pour lui. Si Jésus me montrait quelque chose à lui dire, c’est en ordre. Mais maintenant, vous là dans l’assistance, pensez-vous avoir la foi que cette femme-là avait au... qui souffrait de la perte de sang? Pensez-vous avoir ce genre de foi-là? Eh bien alors, la Bible dit-Elle que les Ecritures doivent s’accomplir? Est-Il toujours le Souverain Sacrificateur qui peut encore être touché par les sentiments de nos infirmités? Très bien. A-t-Il promis ces choses sur la terre, qu’Il serait avec nous, et que les choses mêmes qu’Il avait faites, nous ferions la même chose, parce que votre foi L’a touché? Est-ce vrai? Eh bien, alors, Il est le même Seigneur Jésus.
Or, s’Il l’est, environ une douzaine de mains se sont levées, montrant qu’ils sont des pécheurs ce soir, qu’ils L’accepteront comme leur Sauveur. Eh bien, c’est Sa Parole.
43 Tenez, récemment là au Mexique, quand un petit enfant se mourait... Je pense qu’on a un petit enfant ici maintenant, on a placé ici un petit enfant qui faisait des convulsions; nous aimerions prier pour lui maintenant même. Un petit enfant était mort dans nos réunions au Mexique. Et c’était là au fond et, oh ! vingt, trente minutes plus tard, ils... Le Seigneur... Je suis descendu et j’ai vu l’enfant en vision, je suis descendu, j’ai imposé les mains à l’enfant, et il est revenu à la vie.
En Inde, tout récemment, quand un homme aveugle là, totalement aveugle avait recouvré la vue, et tous s’étaient rassemblés pour voir la gloire de Dieu... Des milliers d’entre eux ont reçu le Seigneur Jésus à la fois. Eh bien, on nous demande de prier pour ce petit enfant. Inclinons simplement la tête, où–où qu’il soit.
44 Maintenant, Père céleste, nous sommes Tes serviteurs. Ce pauvre petit enfant, Satan l’a affligé. Et nous savons que Tu es Dieu. Tu peux tout faire. Et je crois, ô Dieu, en Toi. Nous croyons tous en Toi, et j’offre cette prière pour cette petite créature. Qui qu’il soit, ce petit enfant, où qu’il soit en ce moment, si la maman le porte dehors, ou où qu’il soit, que le Saint-Esprit qui est dans la salle, couve cet enfant-là et que ces convulsions le quittent. Et si la vie l’a quitté, qu’elle revienne encore maintenant même et que l’enfant vive. Accorde-le, Père, et qu’il soit rétabli. Au Nom de Jésus-Christ, qui nous a dit ceci : «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et nous le demandons au Nom de Jésus pour l’enfant.
Et, Père, nous Te prions d’être avec l’église, avec nous tous ensemble ce soir. Et manifeste-Toi, des âmes sont en danger. Je Te prie de m’aider maintenant même, afin que je puisse m’abandonner à Ton Esprit pour accomplir Ton oeuvre. Car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.
45 Maintenant, soyez bien respectueux. Que tout le monde reste vraiment tranquille. Ecoutez, suivez. C’est maintenant le temps où c’est... Maintenant, je vous ai longtemps parlé, continuant d’un trait, presque une heure. Mais maintenant, une seule Parole de la part de Dieu fera plus que tout ce que je pouvais dire.
Les prédicateurs peuvent se tenir ici, ils sont de loin plus que moi capables de prêcher la Parole. Et vous direz toujours qu’ils avaient expliqué Cela très bien. «C’était merveilleux.» Voyez? Mais laissez-Le simplement parler une seule fois, ça sera réglé. Ça sera réglé. Eh bien, la seule chose... Vous... Aux nouveaux venus, voici ce qui arrive, voici ce qui se passe. Il s’agit de s’abandonner à l’Esprit de Dieu. Abandonnez-vous simplement. C’est un moyen, vous ne serez peut-être jamais capable de faire cela, peut-être que je ne serai jamais capable de faire ce que vous faites. Mais Dieu nous a tous placés dans l’Eglise dans un but, pour Son dessein.
Maintenant, à vous qui êtes dans l’assistance, regardez de ce côté-ci, et dans votre coeur, dites ceci : «Seigneur Jésus, je–je–je T’aime. Et je–je n’ai pas de carte de prière. Je ne peux pas monter là ce soir. Mais je veux que Tu m’aides. Et juste pour confirmer ma foi, veux-Tu faire que cet homme se retourne et me dise ce qu’il y a dans mon coeur, ou ce dont j’ai besoin, ou ce qu’il me faudra faire, ou ce que j’ai fait de mal, ou quelque... Veux-Tu–veux-Tu me le dire, Seigneur? Si Tu le veux, je–je Te serai reconnaissant.» Voyez?
46 Eh bien, si vous faites cela, alors Dieu le fera. Evidemment, après peut-être quelques-uns parmi eux, alors cela va devenir tellement... Tout le monde peut commencer à tirer comme cela, et alors je–je ne peux pas distinguer quoi est quoi. Mais si Dieu le fait une fois, cela devrait être réglé devant l’assistance. Moïse, Dieu a parlé à Moïse, disant : «Descends, que ta main soit couverte de lèpre, puis guéris-la. Et les enfants d’Israël, fais ceci devant eux, accomplis un miracle avec une verge, et ils vont–ils vont te croire.» Moïse est allé, il a rassemblé les anciens et il a fait cela une fois, et c’était réglé. Tout le monde a directement suivi. C’est tout ce qui devait être fait.
Chaque fois que Moïse rencontrait un Israélite, il disait : «Attends une minute, attends une minute. Es-tu un Israélite?»
«Oui. Oui. Je suis un Israélite.»
«Viens ici, j’aimerais te montrer ce que je peux faire. Vois-tu? Vois-tu ma main? Vois-tu là comment j’ai guéri cela? Vois-tu? Regarde cette verge, je peux la transformer en un serpent, ensuite la faire redevenir une verge. Vois-tu ce que je peux faire?» Voyez, ce n’est pas ce qu’il a fait. Il a fait cela une seule fois.
Et si Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il fait la même chose qu’Il avait faite jadis... Il n’avait pas rompu le pain quatre ou cinq différentes fois. Il a simplement rompu cela une seule fois. Et ils ont dit : «C’est le Seigneur.» Et ils sont partis. Ils ont cru.
47 Maintenant, est-ce le... [Un homme dit : «C’est exact.»–N.D.E.] Maintenant, si l’organiste le veut bien, juste un instant, jusqu’à ce que nous ayons un peu... Je sais qu’il se passe quelque chose. Voyez-vous? Et je–je–je... Vous ne pouvez pas vous attendre à ce que je dise ces choses à l’assemblée. Voyez-vous? Certainement pas. Mais je sais qu’il se passe quelque chose. Et je–je surveille cela. Ainsi donc, soyons donc dans l’esprit de l’adoration, pensons-y donc qu’un jour, un enfant épileptique était en train d’écumer à la bouche... Jésus avait rassemblé Ses disciples, Il leur avait donné la puissance, disant : «Allez et guérissez les malades, ressuscitez les morts et chassez les démons.»
L’autre jour, quelqu’un m’a parlé, disant–disant : «Les disciples n’avaient jamais échoué, en aucun cas.» Ils avaient échoué dans des centaines de cas. Certainement. On venait de leur donner cette puissance-là, à venir. La puissance a été donnée, l’Eglise l’a maintenant. Mais c’est votre foi qui contrôle cette puissance-là. Il y a assez de croyants avec le Saint-Esprit ici présents maintenant même pour bouleverser le monde. C’est vrai. Mais vous avez peur de déployer cela, c’est tout.
Alors les disciples sont allés là, ils ont eu un peu d’émotions, vous savez, et ils ont commencé à chercher à chasser ce démon-là, et ils martelaient probablement le plancher et criaient, disant : «Sors, démon ! Sors, démon !» Et tout, comme cela, et l’épilepsie a persisté tout bonnement.
48 Jésus descendit de la montagne. Le père courut vers Lui et dit : «Seigneur, si Tu le peux, aie pitié de nous.» Il a dit : «J’ai un garçon, il est dérangé de diverses manières par un démon.» Il a dit : «Il écume de sa bouche, il tombe dans l’eau, et dans le feu, le démon cherche à le détruire.» Cela a été appelé démon. Ça s’appelle épilepsie aujourd’hui, c’est tout pareil.
Alors, il a dit : «Je l’ai amené à Tes disciples, et ils n’ont pas pu le guérir. Ils n’ont pu rien faire à ce sujet.» Et pas plus de dix jours là auparavant, Jésus leur avait parlé et leur avait même donné la puissance de ressusciter les morts. Voyez? C’est vrai.
Alors, Il a dit : «Je l’ai amené.» Et Jésus a regardé Ses disciples : «Ô race incrédule, jusqu’à quand vous supporterai-Je? Amenez-le ici.» Il a dit : «Peux-tu croire?»
Il a dit : «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.»
Jésus a dit : «Tout est donc possible à ceux qui croient.» Croyez-vous la même chose? Que chantions-nous donc aujourd’hui? Crois seulement. Très bien. Tous ensemble maintenant, doucement, alors que nous chantons.
Crois seulement, ... seulement
Pouvez-vous vous L’imaginer descendant les corridors de la gloire, entrant dans la salle?
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, ...seulement
49 Est-ce le patient? Quel beau tableau ! Tenez, il se fait simplement donc que... Nous ne savons pas. On amène ces cartes ici, on en prend une centaine et on les bat ensemble et on les distribue aux gens. Ils reçoivent la carte. Et alors, puis je peux descendre à la réunion; par conséquent, les jeunes gens qui ont distribué les cartes ne savent pas par où la ligne commencera. Ils ne peuvent pas vous le dire. Elle peut commencer par cent et on descend. Vous le savez. Elle peut commencer n’importe où. Eux ne le savent pas. Les patients viennent simplement ici. C’est tout ce qu’ils savent.
Et tenez, ce soir, un tableau très saisissant est apparu. Voici une femme et un homme qui se tiennent de nouveau ici. Et elle, notre soeur, une femme de couleur, et moi, un homme blanc; juste comme c’était du temps où Jésus était assis au puits. Et une femme de Samarie est sortie, Jésus s’est mis à lui parler, et Il lui a dit : «Femme, apporte-Moi à boire.»
Elle a dit : «Le puits est...» La première chose qu’elle a dite : «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs et nous les Samaritains, nous ayons quoi–quoi que ce soit les uns avec les autres, des relations.» Voyez, il y avait une–une ségrégation raciale à l’époque. Comme beaucoup de pays en connaissent encore aujourd’hui, une ségrégation raciale entre les–les gens de couleur et les Blancs.
Mais Jésus lui a carrément fait savoir que cela était faux. Certainement. Elle était une personne de Dieu entre les mains de Dieu, pour être manifestée. Que la peau d’un homme soit blanche, ou noire, ou jaune, ou brune, quoi que ça puisse être, cela ne changeait rien. Nous sommes tous enfants de Dieu, descendants d’Adam et Ève. C’est là que cela a commencé. Les pays où nous avons vécu, et la manière dont nos peaux ont changé, ça n’a rien à faire avec ça, pas du tout.
50 Et il y a ici ce soir la même chose : Une femme et un homme. Et maintenant, la femme m’est tout aussi inconnue. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Nous ne nous connaissons pas. Je ne la connais pas et elle ne me connaît pas, pas plus que Jésus ne connaissait la femme, ni la femme ne connaissait Jésus. Il est juste un Homme. Jésus s’est mis à lui parler, n’est-ce pas? Et Il a dit... Avez-vous déjà lu l’histoire, madame? Il a dit... Il s’est mis à lui parler. Et aussitôt qu’Il lui a parlé, Il a dit : «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit : «Eh bien, le puits est profond.» Elle a dit...
Il a dit : «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Il a dit : «Je te donnerais de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»
Elle a dit : «Quand puises-Tu cette eau et tout?»
Il a dit : «L’Eau que Je te donnerai, c’est l’Eau qui jaillira dans ton âme.»
Et elle a dit : «Nos pères ont adoré sur cette montagne. Vous, vous dites que c’est à Jérusalem.» Et la conversation s’est poursuivie quelques instants. Directement, Il a découvert ce qu’était son problème. Elle avait un problème, n’est-ce pas?
Et Il a dit : «Va chercher ton mari.» Combien dans l’assistance savent que c’est vrai?
«Va chercher ton mari.» Il avait découvert son problème. C’était son grand problème. Cette femme-ci a certainement un problème ce soir, sinon elle ne se retrouverait pas ici. S’il n’y en a pas, cela lui sera dit. Voyez? «Va chercher ton mari.» C’était ça son grand problème...
Elle a dit : «Je n’en ai point.»
Il a dit : «C’est vrai, tu en as eu cinq.»
Maintenant, écoutez attentivement donc, vous les nouveaux venus. Elle L’a regardé. Et elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous montrera ces choses.» Est-ce vrai? Saint Jean, chapitre 4. Elle a dit : «Le Messie fera ces choses, mais Toi, Qui es-Tu?»
Il a dit : «Je Le suis.» C’était le signe du Messie. Est-ce vrai? Si c’était là le signe du Messie avant la résurrection... avant la crucifixion plutôt, c’est le même signe du Messie après la résurrection, s’Il est le même. Est-ce vrai?
Philippe a dit... Nathanaël lui a dit : «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre.»
Il a dit : «Tu es le Fils de Dieu.» C’était là un signe, n’est-ce pas? Le Fils de Dieu... Si c’était là le signe du Fils de Dieu, Qui savait d’où il venait, ou quelque chose à son sujet, Qui connaissait son problème, c’est le signe du Fils de Dieu aujourd’hui. Est-ce vrai?
51 Ainsi donc, en parlant à la femme, si le Seigneur Jésus... La femme confirme elle-même par sa main levée, et moi, par mes mains levées, que nous ne nous sommes jamais vus l’un l’autre, que nous ne nous connaissons pas, rien à ce sujet. Et maintenant, si Jésus-Christ, par Sa grâce, vient ici, m’oint, me fait savoir ce pour quoi cette femme est ici, ou son problème, ou quoi que ce soit, je ne sais pas... Mais quoi que ce soit, ne pas croire cela serait donc un péché. Alors, vous n’avez pas une seule excuse.
Eh bien, voyez-vous où je me tiens? Voyez-vous? Eh bien, pourquoi est-ce que je fais ces déclarations? Parce qu’Il me l’a promis. Et je crois en Dieu. Tout à fait comme Il a dit que cela serait.
Eh bien, j’aimerais simplement parler à la femme juste un instant. Pourquoi Jésus avait-Il parlé à la femme? Pour saisir son esprit. C’est vrai. Saisir son esprit. Et j’aimerais juste dire un mot à la femme. Peut-être que le Seigneur me montrera à son sujet quelque chose que je ne connais pas. S’Il le fait, vous pouvez vous réjouir. S’Il ne le fait pas, Il est toujours ressuscité d’entre les morts malgré tout. Voyez? S’Il ne le fait pas, Il est toujours ressuscité d’entre les morts malgré tout. Si c’est le cas, c’est juste Sa–c’est juste Sa miséricorde, faire cela. Et je crois que tout le monde là, dans cette ligne-là, je ne le connais pas. Vous tous qui m’êtes inconnus, levez la main, si vous l’êtes, le long de la ligne. Eux tous, tous, des inconnus.
L’unique personne que je connais dans la salle, c’est frère Mattsson, et ce frère ici, mon fils, et monsieur Wood; il y a Léo assis là, et frère Alment assis juste là derrière. Je ne... même... Voici frère Beeler. Je ne savais même pas que vous étiez ici, Frère Beeler. Et en dehors de cela, je pense, ce sont pratiquement juste les seules personnes que je connaisse dans la salle. Oui, je connais ce frère ici, il fréquente le tabernacle. Je ne sais pas ce que... Smith, n’est-ce pas, ou quelque chose comme cela. Oui. Vous m’êtes tous inconnus. Mais maintenant, à la femme...
52 Maintenant, n’est-Il pas aimable, soeur? Il est le plus Beau d’entre dix mille. Il est le Lys de la vallée, l’Etoile du matin. Et je vois maintenant même que vous êtes une chrétienne, car votre esprit commence à se sentir le bienvenu. Voyez? Je sais qu’Il se tient quelque part, car votre esprit et le Saint-Esprit qui est maintenant sur moi entrent en contact l’un avec l’autre. Voyez? Et maintenant, Il peut me révéler. Et s’Il sait ce que–ce que votre passé a été, et vous, vous en êtes juge, et qu’Il vous annonce ce que sera votre futur... Assurément, s’Il connaît le passé, Il connaît le futur. S’Il a annoncé le futur avant qu’Il ait annoncé le passé, alors vous pouvez–vous pouvez vous demander si cela va arriver ou pas. Mais s’Il vous disait ce que vous savez déjà, que c’était arrivé, alors vous–vous sauriez si le futur sera vrai ou pas. Voyez-vous comment Il procède? Il rend cela réel, pas d’échappatoire.
Mais maintenant, si l’assistance peut–peut encore entendre ma voix, la femme semble s’éloigner de moi. Elle revient. Et je la vois. Elle se tient dans une salle. Elle est... Non, elle est devant un médecin. Et le médecin dit qu’elle souffre d’une–une tumeur. Et la tumeur, il dit que c’est une–une tumeur de thyroïde. Et il dit que vous devez subir une intervention chirurgicale; franchement, je vois une ombre venir sur cela, cela devait se faire au milieu de la semaine passée. Vous deviez subir une intervention chirurgicale. Mais la raison pour laquelle vous ne l’avez pas subie, vous avez appris que je venais ici. Et vous êtes venue, vous vouliez que je prie pour vous avant que cela puisse avoir lieu. AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai.
Notre Père céleste, j’impose les mains à la femme pour la bénir, et que la grande bénédiction de Dieu repose sur elle, car Tu as dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» C’est Ta Parole. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant, soeur. Que Sa grâce soit toujours avec vous.
53 Croyez-vous maintenant? Ayez simplement foi. Si vous pouvez avoir foi, vous pouvez croire. Et vous pouvez avoir ce que vous réclamez.
Est-ce que la dame qui est assise là est celle qui était à l’estrade tout à l’heure? On ne dirait pas la dame que j’ai vue en vision ici tout à l’heure, de toute façon, qui était apparue... Ce n’est pas elle. Vous êtes descendue là avec cette onction sur vous, et vous vous êtes assise à côté de la dame qui est assise à côté de vous. Oui. Elle est dérangée, elle souffre du dos, la dame assise à côté de vous. C’est vrai.
Maintenant, vous avez votre mouchoir au niveau des yeux, posez votre main sur votre soeur là, à côté de vous, de ce côté-ci, celle qui souffre du dos. Ô Jésus, Fils de Dieu, Toi qui as pu connaître la femme qui T’avait touché, je prie pour sa guérison, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, rentrez chez vous en paix, soeur. Votre foi vous a guérie. Ayez foi et croyez en Dieu.
La Bible dit : «Tout est possible à ceux qui croient.» Est-ce vrai?
54 Une autre dame... Est-ce la patiente? Juste de ce côté-ci, soeur, par ici, à côté du microphone. Eh bien, nous sommes inconnus aussi l’un à l’autre. Etant donné que vous êtes une dame de couleur, et moi, un homme blanc, la même chose se présente encore. J’aime la foi de votre peuple. Tout au début, là, du temps de l’esclavage, vous avez été battus et maltraités. Mais avec cela, l’héritage, issu même de vos pères, vous a donné une foi, une foi simple et humble.
Maintenant, je suis un inconnu. Je ne vous connais pas. Mais un de vos frères, quand Jésus était là-haut, montant au Calvaire avec un fardeau sur Son dos, Il est tombé sous le fardeau. Son corps était faible. Il avait été battu. Et Simon L’avait aidé à porter la croix. Ne croyez-vous pas qu’Il aidera l’un de Ses enfants qui se tient ici? Si seulement vous saviez, ma soeur, que le Christ même qu’il avait aidé à porter la croix, Son Esprit est ici même à côté de vous. Je suis votre frère. Il est votre Dieu et votre Sauveur.
Vous souffrez d’une maladie qui vous dérange. C’est une tumeur. Et vous êtes tout indécise à ce sujet. Vous souffrez aussi d’une maladie gynécologique, qui vous cause des ennuis. Et si Dieu me dit où ça se trouve, aiderez-vous juste un peu votre foi pendant qu’Il est à côté de vous? C’est à votre flanc, le flanc droit. Croyez-vous maintenant?
Dieu bien-aimé, je bénis cette femme, aide-la et qu’elle vive, donne-lui une longue vie. Et que Tes bénédictions éternelles reposent sur elle et que Tu la guérisses au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.
55 «Si tu peux croire.» Ne vous en faites pas. Si vous étiez à sa place, vous auriez probablement crié. Voyez? Elle s’est simplement fait prendre ici, elle était sous une forte onction. Elle ne pouvait rien dire alors. Mais aussitôt que cela l’a quittée, elle donne libre cours à ses sentiments.
Il a dit : «Si tu peux croire.»
La dame, la dame blanche assise ici même, vous êtes aussi en train de prier, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Vous m’êtes inconnue, mais votre foi L’a contacté. Vous êtes une chrétienne, une croyante. Et vous souffrez des maux de tête; cela continue à venir sur vous. Vous n’êtes pas de cet Etat. Vous venez du nord, et vous êtes venue vers le sud, vous avez conduit de ce côté-ci. Et vous vivez dans quelque chose comme une ferme. Il y a beaucoup de plantes courtes qui poussent... C’est le blé, une ferme de blé. C’est vrai. Croyez-vous en Lui? C’est votre foi qui L’a contacté. Vous croyez maintenant en Lui de tout votre coeur. Ce que je vous dis est la vérité. Si c’est le cas, levez la main. Maintenant, rentrez chez vous et soyez rétablie. Que cela vous quitte, au Nom de Jésus-Christ.
56 Bonsoir, madame. Maintenant, cela ne vous fera pas de mal. C’est le Saint-Esprit, mais c’est une onction si merveilleuse. Oh ! Ça devient sombre autour de cette femme qui se tient devant moi. Je la vois entrer dans un cabinet de médecin, un hôpital, mais ils continuent à secouer la tête. Ils ne savent pas ce qui cloche chez elle. C’est vrai. Mais Lui le sait certes. Votre problème principal, ce sont les nerfs. Vous donc... C’est un–un spasme comme dans les nerfs. Ça fait que vous vous sentez tout le temps affreuse. Ils ne peuvent pas trouver cela, car c’est un démon. Et leurs instruments ne montrent pas un esprit. Mais il a pu se cacher aux rayons X, mais il ne peut pas se cacher à Dieu, Il le transperce directement. Croyez-vous? Venez ici.
Ô Jéhovah, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, Tes bien-aimés médecins ont essayé de le trouver, mais il s’est caché. Mais il ne peut pas se cacher à Toi. Sors de la femme, toi, mauvais esprit, qui fais cette chose. Et Jésus-Christ te réprimande. Puisse-t-elle s’en aller en paix, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
Ecoutez, madame, vous ne me connaissez pas, mais vous avez eu une vie des hauts et des bas, tout le temps. Vous avez toujours désiré avoir une vie profonde avec Dieu. Vous avez désiré une méditation plus profonde avec Dieu, vivre pour Lui; en effet, vous avez eu des ennuis. Cela ne pouvait pas être caché. Cette assistance n’a pas à connaître cela, c’est entre vous, Dieu et moi. Allez-vous accepter mon conseil en tant que Son prophète? Partez d’ici ce soir, heureuse. Sortez en chantant. Sortez en vous réjouissant. Oubliez que cela vous soit jamais arrivé, et vous serez bien portante. Amen. Maintenant, s’Il sait ce que vous avez été, assurément qu’Il sait ce que vous serez.
57 «Si tu peux croire, tu peux recevoir.» Amen. Soyez vraiment très respectueux. Ne doutez pas.
Maintenant, croyez-vous, madame? Dieu seul, seul, saura. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue, mais Lui vous connaît. La vision continue à me quitter alors que je vous parle. Maintenant, que tout le monde regarde et prie. Vous n’avez pas à fermer les yeux. Soyez simplement en prière. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Vous croyez que l’Esprit qui est ici entre nous maintenant... En fait, vous savez qu’il y a Quelque Chose en dehors de votre frère. Si vous le savez, levez la main afin que l’assistance le sache. C’est le Saint-Esprit. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais d’une façon ou d’une autre, je ne peux pas retenir la vision sur vous. Cela vous quitte.
Je vois de très hautes montagnes se lever, couvertes de neige aux sommets, il y a une ville située au bas. C’est une grande ville. Et il y a là un homme, c’est votre père. Et cet homme est à Denver, dans le Colorado. Je suis passé par là. Et il souffre du coeur, il souffre du coeur, d’étouffement. Vous êtes sa fille, vous représentez votre père ici.
58 Ô Dieu, aie pitié. Et je Te prie d’accorder la requête de cette jeune femme. Que Ton Saint-Esprit aille là et lui accorde cette bénédiction alors que je lui impose les mains, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. N’ayez pas peur. Ayez foi.
Croyez-vous?
Vous avez établi un contact avec Lui, soeur. Je n’avais pas vu cela, ce que c’était exactement. Mais la Lumière était suspendue sur vous. La femme est assise, la femme avancée en âge assise là. Oui. Regardez-moi. Croyez-vous? Croyez-vous qu’Il guérira ces veines... ces varices? A vous deux, vous deux assises là, vous deux qui souffrez des varices. Vous étiez toutes deux en train de prier pour la même chose. Levez les mains si c’est vrai. Très bien. Maintenant, ayez foi et croyez. Vous pouvez avoir ce que vous réclamez. «Si tu peux croire.» Amen. On tire simplement de partout maintenant.
Petite dame, assise juste derrière ce jeune garçon qui est assis ici, je vous vois quitter la table; vous souffrez de l’estomac. Vous, assise là derrière, vous qui me regardez, vous en chapeau, croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Acceptez-vous cela? Si vous l’acceptez, avec de petites fleurs blanches sur votre chapeau là, oui, votre foi, soeur, nerveuse et bouleversée, cela vous a causé cette gastrite. N’ayez pas peur. Cela vous a quittée maintenant. Votre foi vous a guérie. Croyez seulement. Ayez foi en Dieu.
La dame de couleur habillée en blanc, vous étiez en train de prier. Ne vous déplacez pas, vous avez dérangé cela. Voyez? Soyez très respectueux. Restez tranquilles quelques minutes, on va me prendre. Ne vous déplacez pas. Il se passait quelque chose, quelqu’un s’est déplacé ou s’est levé. Ne faites pas cela, s’il vous plaît. Si seulement vous pouvez vous tenir tranquilles quelques minutes de plus, nous allons nous dépêcher.
59 Quelqu’un, il y a une vision au-dessus de quelqu’un. Où était-ce? Peu importe qui vous étiez, celui à qui je parlais, soyez encore en prière. Voyez? Très bien, soyez très respectueux. Qui... Est-ce–est-ce ceci? Je ne suis pas hors de moi, monsieur. Mais ceci est une–une dimension, deux mondes. Voyez, dans notre présence, nous nous tenons ici, nous regardant l’un l’autre comme des hommes. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. Vous m’êtes un parfait inconnu. C’est vrai, n’est-ce pas, monsieur? Si c’est vrai, levez la main. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu. Mais nous sommes maintenant, nous nous tenons ici, nous regardant l’un l’autre. Ainsi, par le... Vos traits et votre visage, je ne vous ai jamais vu. Et nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais il y a un autre monde, juste par ici, où se trouve le surnaturel. C’est là que Dieu habite. C’est là que le Saint-Esprit se trouve. Il me connaît et Il vous connaît.
60 Maintenant, je ne suis que votre frère. Il est votre Sauveur, votre Dieu. Et vous êtes ici pour quelque chose. Je ne sais pas, mais Lui le sait. Pas moi. S’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela? Allez-vous le faire? Est-ce que cela va régler la question pour l’assistance? Peut-être, je parle un peu à l’homme, je ne fais que lui parler. Plus on lui parle, plus Il en dira. Mais j’essaie de me conserver... de me préserver plutôt; excusez-moi.
Je–je ne suis pas hors de moi, mais c’est l’onction du Saint-Esprit, et vous êtes juste en train de me soutirer la vie. Voyez-vous? Je–je–je... maintenant, je me suis abandonné à Lui. Voyez-vous? Et ce n’est pas moi qui fais ça. C’est vous. C’est vous qui le faites. C’est le don de Dieu. Eh bien, je ne suis pas Son don. Ceci est Son don. Et c’est vous qui tirez de cela. Jésus ne connaissait pas la femme, Il ne savait rien à son sujet. Elle L’a simplement touché par sa foi. C’est ce que vous faites. Il y en a beaucoup parmi vous qui tirent maintenant, et l’Esprit m’amène au point où je n’arrive guère à voir. Si une seule personne a fait sortir de la vertu du Fils de Dieu, qu’en est-il de moi, un pécheur sauvé par la grâce? Que fera une seule personne? Il n’y a aucun d’eux, je ne connais pas cet homme. Il faudra sa foi pour faire cela, pas la mienne, la sienne.
61 Maintenant, mon frère, je... Si je pouvais vous aider, si vous aviez des ennuis ou que quelqu’un d’autre a des ennuis, celui que vous représentez, qu’il s’agisse de la maladie, de l’argent ou de quoi que ce soit, vous avez des ennuis, et si je pouvais vous aider et que je ne le faisais pas, je serais une personne horrible. Je ne suis ici que pour vous aider. Et tout ce que je peux faire, c’est simplement m’abandonner, afin que votre foi... Maintenant, si vous êtes malade, je ne peux pas vous guérir. Si vos parents étaient malades, ou que votre femme était malade, ou quelqu’un d’autre, je ne pourrais pas le faire. Voyez? Il faut simplement la foi pour y parvenir. Mais le Saint-Esprit révélera cela, vous faire savoir qu’Il est ressuscité d’entre les morts et que chaque Mot de la Bible est vrai. Les Ecritures doivent s’accomplir. Et Elle est accomplie devant vos yeux ce soir.
«Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, a dit Jésus, même davantage...» Non pas pour juste une seule femme, mais davantage.
62 Le don ne m’a pas été donné pour être exercé en public comme ceci. Voyez-vous? Juste un seul mouvement dérange cela. Voyez-vous? Le Saint-Esprit est très sensible. Vous–vous... Assurément, vous ne... voudriez-vous juste garder votre siège juste une minute ou deux de plus? S’il vous plaît, ne vous levez pas. Voyez? Cela continue à agir sur moi. Soyez vraiment très respectueux maintenant. La–la–l’onction devient si forte dans l’assistance que c’est très sensible. J’aurais bien voulu expliquer cela, je ne le peux pas. J’aurais souhaité que vous voyiez ce que je vois même, mais je ne peux pas faire cela, je ne peux pas l’expliquer.
63 Maintenant, pour cet homme... Vous avez... Je vous vois dans un... Vous avez été dans les forces armées. Et vous souffrez d’une espèce de sinusite, on dirait. Oui. Vous avez des frissons. On dirait la malaria. [«C’est vrai. Absolument, j’en ai souffert depuis 1943. Je...»–N.D.E.]
Vous êtes–vous êtes une personne très malade. Et vous–vous étudiez dans une espèce de–de cours ou une école. Ce sont des cours bibliques. Vous apprenez pour devenir un prédicateur. Vous étudiez pour devenir un prédicateur. Vous n’êtes pas de cet Etat. Vous venez d’ailleurs, c’est un... Vous venez d’un Etat appelé Massachusetts, ou quelque part comme cela, là. C’est vrai. Et votre nom de famille est Smith. Votre prénom est Ralph. Votre deuxième prénom est Lancaster. C’est vrai. C’est exact. Croyez-vous? Venez donc ici.
Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité, je vous bénis, mon frère, pour la guérison de votre corps. Amen. Que Dieu soit avec vous, mon frère, qu’Il vous accorde Ses bénédictions. Et ne doutez pas. Mais croyez.
Pouvez-vous croire?
64 Quand j’ai mentionné quelque chose au sujet de la sinusite à cet homme, vous avez pensé à cela, n’est-ce pas? Vous souffrez aussi de l’arthrite, n’est-ce pas, vous assise juste là, la petite dame en chapeau noir? Oui, oui. La dame assise à côté de vous souffre aussi de l’arthrite. C’est vrai. Croyez-vous? Imposez-vous les mains l’une à l’autre.
Ô Jésus, Fils de Dieu, guéris, Seigneur, je prie, au Nom de Jésus. Ayez foi. Croyez.
Pensez-vous que Dieu guérira votre mal de dos? La dame de couleur en chapeau blanc et en chemisier blanc, croyez-vous cela? Très bien, acceptez donc cela. Vous aurez ce que vous demandez, au Nom du Seigneur Jésus.
La nervosité, oh ! la la ! Mais Jésus peut vous guérir, n’est-ce pas? Vous croyez qu’Il le fait. Très bien, vous pouvez aller maintenant. Allez, soyez rétabli. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, que Dieu vous l’accorde. Amen.
65 Bonsoir. Très malade, nécessiteux, raide, mais Dieu sait tout à ce sujet. Peut-Il vous guérir de cette arthrite, vous savez, vous rétablir? Croyez-vous cela? Soulevez vos pieds comme ceci. Dites : «Jésus, j’accepte cela maintenant.» C’est bien. Maintenant, quittez l’estrade en vous réjouissant et dites : «Gloire soit rendue à Dieu pour m’avoir guéri.»
Croyez-vous? Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale, une tumeur. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus-Christ peut guérir cela? Allez donc et recevez cela. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je prie pour cette bénédiction. Amen.
Ayez foi.
Vous savez, Emmanuel a saigné un jour, et Son Sang est sorti de Son corps pour vous donner une transfusion sanguine, afin d’ôter cette anémie, vous rétablir. Croyez-vous cela? Accepteriez-vous cela? Alors, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, puissiez-vous recevoir cela. Amen.
66 Disons : «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit : «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Croyez-vous, madame, de tout votre coeur? Vous aimeriez aller encore manger, comme vous le faisiez d’habitude, n’est-ce pas? Votre mal d’estomac et tout vous quittent; la nervosité et la maladie gynécologique aussi. N’aimeriez-vous pas être encore rétablie? Eh bien, croyez-vous? Allez donc faire cela. Que Dieu vous l’accorde, selon le désir de votre coeur, ma soeur. Que vous soyez rétablie. Amen. Ayez foi.
La maladie du coeur, c’est une chose horrible. Mais Jésus est puissant. Croyez-vous? Au Nom de Jésus, je vous bénis, ma soeur. Puissiez-vous vivre et servir Dieu toute votre vie. Amen. Allez et croyez maintenant. Ne doutez pas.
Eh bien, quand je lui ai dit cela, vous souffriez de la même chose. Mais croyez-vous que Dieu vous rétablira, tout comme Il a pu la rétablir? C’est une maladie de nerfs dont vous... qui vous a rendue comme cela. Quand vous vous couchez, c’est pire que quand vous êtes debout. Voyez? En effet, ça fait que le gaz se forme, ça fait pression sur cela. Il est ici pour vous guérir. Croyez-vous?
Au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je bénis cette femme pour sa guérison. Amen. Ayez foi maintenant. Ne doutez pas.
67 Bonsoir. Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Croyez-vous? Mon... Quand quelqu’un n’arrive pas à manger, c’est–c’est difficile, n’est-ce pas? Cela vous rend aussi nerveux, n’est-ce pas? Ce vieil ulcère de l’estomac, vous savez, qui fait fermenter votre nourriture et la rend aigre et tout. C’est ce dont vous souffrez. Mais Jésus est ici pour vous guérir. Croyez-vous cela? Si je vous bénis... Jésus a dit : «Tout ce que vous lierez sur la terre, Je le lierai au Ciel.» Est-ce vrai?
Alors, pour votre guérison, je vous impose les mains, et je lie cet esprit de nervosité qui dérange son estomac, cet état, au Nom de Jésus-Christ, et elle se rétablira pour la cause du Royaume de Dieu. Amen. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur.
Eh bien, vous avez un coeur palpitant. Mais Dieu peut vous guérir. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Vous croyez que si je... Jésus a dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Est-ce vrai? Je fais donc ceci par obéissance à Ses commandements, au Nom de Jésus-Christ, pour votre guérison. Amen.
Ayez foi maintenant et croyez de tout votre coeur. Et que Dieu l’accorde.
68 Evidemment, tout le monde peut voir qu’il y a une femme aveugle. J’aimerais que vous incliniez la tête. Maudit soit celui qui lèvera les yeux et qui regardera de ce côté-ci avant que vous m’entendiez dire : «Levez les yeux.» Et j’ai foi, et laissez-moi seul avec la femme.
Jésus a conduit un homme hors de la ville. Je n’ai pas à voir des miracles pour croire en Lui, mais je crois en un Dieu qui opère des miracles. Que personne ne bouge. Vous pouvez faire ce que vous voulez après que j’ai dit ceci. Gardez vos têtes inclinées jusqu’à ce que vous entendiez ma voix vous dire de redresser la tête.
Soeur, un homme aveugle était assis à côté de la porte un jour, il mendiait. Jésus passait. Que Dieu bénisse votre coeur. Vous aimeriez voir pour la gloire de Dieu. Allez-vous rendre gloire à Dieu? J’aimerais que vous fermiez les paupières de vos yeux, comme le reste de l’assistance, et qu’il n’y ait que moi seul et le Saint-Esprit qui est surnaturel, qui est présent.
69 J’ai eu une vision il y a quelques soirées, concernant quelque chose. C’est la raison pour laquelle j’ai dit : «Maudit soit celui qui regardera de ce côté-ci ou qui ouvrira les yeux avant que je le demande.»
Si vous croyez, l’esprit de cécité qui a aveuglé ces yeux aura à quitter. La vue réapparaîtra là. Maintenant, ayez foi.
Ô Dieu, Toi qui as créé l’oeil humain, Toi qui as eu pitié de l’aveugle, aie pitié de cette pauvre femme qui titube dans les ténèbres. Et, ô Jésus, quand Tu montais à Golgotha, le Sang Te coulait sur le dos, Ta robe était couvert d’une seule grande tache de Sang; une couronne était posée sur Ta tête, Tu saignais, Ton Sang coulait, et la croix se trainait sur les traces de Tes pas ensanglantés. Tu étais tombé. Simon a ramassé la croix et T’a aidé à la porter. Ô Dieu, voici une de ses enfants broyer du noir ce soir, elle est avancée en âge, les médecins ne peuvent rien faire de plus, mais Tu es ici, ô Dieu. Ne veux-Tu pas avoir la foi? Ne veux-Tu pas avoir pitié? Ne veux-Tu pas me donner la foi pour que j’obtienne ce que je réclame? Donne-lui la foi, Seigneur. Que le jour se lève, dans ces ombres-là noires. Que le Souverain Sacrificateur oint entre là, portant Son propre Sang.
Et je réprimande cet esprit de cécité qui est sur cette femme, au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, je ne cherche pas de miracles. Tu as dit : «Une génération faible et adultère cherche de telles choses.» Et nous ne cherchons pas de miracles. Mais afin que cette assistance ce soir sache sans l’ombre d’un doute que Tu es le Jésus-Christ ressuscité, que Tu peux toujours restituer la vue à un aveugle, et que Tes oeuvres sont vraies, je réclame que la vue vienne dans ces yeux et qu’elle voie. Et je crois de tout mon coeur, je m’avance maintenant pour défier cet esprit, au Nom de Jésus-Christ.
70 Maintenant, gardez vos yeux fermés, madame. Je parle simplement à la dame à l’estrade. Je fais ceci, au-delà d’une vision. Et maintenant, sans l’ombre d’un doute, je parle seulement à la dame devant moi, pas à l’assistance. J’aimerais que vous ouvriez doucement vos yeux, en me regardant, croyant de tout votre coeur que l’Esprit de Dieu est ici, qu’Il vous restitue la vue.
71 Voyez-vous ma main? Voilà, vous avez recouvré votre vue. Placez votre main sur mon nez. Il vous a restitué la vue. L’assistance peut lever la tête. L’aveugle voit maintenant. Comptez les lampes qui sont là. Pointez votre doigt vers elles. Elle va compter les lampes. Maintenant, par ici.
Ecoutez. Déposez cela ici. Combien d’hommes sont assis là? «Trois», a-t-elle dit. Placez votre–placez votre doigt sur mon nez. Vous avez recouvré votre vue. Amen.
Levons les mains et louons le Seigneur. Que tout le monde ici qui désire la guérison de son corps, si vous désirez votre guérison, levez les mains vers Dieu.
Bien-Aimé Jésus, Auteur de la Vie, envoie Ton Esprit sur ces gens qui attendent maintenant. Guéris-les, Seigneur. Et je Te prie d’accorder à chacun d’eux sa guérison maintenant même. Je chasse toute mauvaise puissance démoniaque loin de cette assistance et je demande que Jésus-Christ vienne maintenant.