L’Aveugle Bartimée

Date: 56-0414 | La durée est de: 1 heure et 47 minutes | La traduction: Shp
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1          Inclinons la tête juste un instant pour la prière avant de nous asseoir.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour le Seigneur Jésus, qui nous a rachetés de la vie du péché, qui était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Nous sommes très contents ce soir de ce qu’Il est vivant aux siècles des siècles parmi nous.

            Nous Te prions Père, pour tous ceux qui sont là ce soir, que Tu leur donnes tout ce dont ils ont besoin, les bénédictions tant spirituelles que physiques. Et que ça soit la soirée où, en quittant, nous pourrons dire comme Cléopas et l’autre à la première résurrection: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?» Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          C’est pour moi un privilège cet après-midi de venir prêcher en Son Nom. Hier soir, on m’a donné des tissus et de petites notes, j’ai prié dessus et j’ai répondu à vos lettres au mieux de ma capacité. Et maintenant, ce soir, je vois qu’on en a d’autres déposés ici. Demain, ça sera une journée bien chargée pour nous; nous... j’aurai deux services, et des services presque au même moment, demain. Si donc vous le voulez, et que vous en avez l’amabilité, veuillez simplement m’écrire à Jeffersonville, et je serai content de vous envoyer un–un tissu sur lequel j’ai prié. J’en envoie plusieurs milliers par semaine. C’est sans frais. Il n’y a rien qui soit rattaché à cela. Tout est gratuit. Et je ne cherche pas à avoir votre adresse. Je n’ai pas d’émissions à la radio, rien à parrainer. J’envoie simplement–simplement, et cela est vôtre, absolument gratuit. Et j’ai prié sur chacun d’eux.

            Eh bien, la lettre que vous recevrez pour des instructions... Nous avons une équipe de prière partout à travers le monde. Certains d’entre eux doivent se lever à une heure, deux heures, trois heures du matin. Il y a donc des milliers de gens qui prient à la fois. Et le Seigneur Jésus opère un prodige... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

3          Or, dans la Bible, beaucoup lisent et disent: «Oins mon mouchoir.» Eh bien, je ne transporte pas l’huile d’onction, quoique ça soit tout à fait en ordre, voyez. C’est bien. La Bible enseigne effectivement l’onction d’huile. Et tout ce que le Seigneur fait, eh bien, et bénit, je le soutiens certainement. Mais maintenant, si seulement vous faites bien attention, les Ecritures ne déclarent pas que–que Paul avait oint les–les mouchoirs: «On retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul.» Actes 19. Et voyez, ils avaient vu que Dieu était avec l’apôtre. Ainsi donc, ils... c’est... Ils avaient reconnu cela.

            Et vous savez, à mon avis, là où Paul a trouvé cela dans les Ecritures, c’est quand la femme sunamite, son enfant qui lui avait été promis par Elie le prophète, parce qu’elle avait été très gentille envers lui et pour ce qu’elle avait fait pour lui. Il lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant, elle ne croyait pas cela. Ainsi, l’enfant était donc venu. Et quand il était devenu un jeune enfant de dix, douze ans, un jour, il était là dehors, dans le champ avec son père, vers onze heures. Je pense qu’il a dû attraper une insolation, c’est... «Ma tête, ma tête», cria l’enfant.

4          De toute façon, le père prit un jeune serviteur et lui ordonna de transporter l’enfant et de le poser sur les genoux de sa mère, et vers midi, il mourut. Elle le prit et le coucha sur le lit du prophète. Quel merveilleux endroit où le coucher ! Et puis, elle a dit: «Selle l’âne, pars et ne t’arrête pas. Nous devons aller auprès du prophète.» Elle voulait découvrir pourquoi cet enfant était mort.

            Dieu ne révèle donc pas tout à Ses serviteurs, vous savez. Elie ne savait donc pas pourquoi il était mort. Mais il avait un bâton qu’il tenait, il a dit à Guéhazi, son serviteur: «Maintenant, prends ce bâton et va le poser sur l’enfant.»

            Et maintenant, je pense que c’est là que Paul doit avoir tiré la pratique de poser sur les gens les mouchoirs qu’il avait touchés. Il savait que ce qu’il touchait était béni. Si les gens... Mais la femme, dans ce cas-là, savait... Elle ne savait pas ce qu’il en était de ce bâton. Elle savait que Dieu était dans Son serviteur. Il est donc allé et il a posé son propre corps sur l’enfant et celui-ci est revenu à la vie.

5          Maintenant, il y a beaucoup... Parfois, il y en a des milliers par semaine. Et l’autre soir, il y a de cela deux semaines, un peu plus, dans l’ancien Mexico, il y a eu une scène pathétique. Trois soirées de réunion. Et après, un petit enfant était ressuscité... Quand je suis entré cette nuit-là... Les pauvres gens n’avaient pas de mouchoirs. Un bon maçon de première classe doit travailler huit jours d’affilée, épargnant chaque sous pour s’acheter une paire de souliers. Il gagne environ seize pesos par jour, et il faut environ douze pesos et demi pour faire un dollar. C’est Poncho. Mais le petit Pedro qui travaille dans la rue, il gagne, eh bien, peut-être huit pesos par jour. Il a six enfants à nourrir. De petits tortillas, il en attrape environ deux à un peso. Il ne peut donc pas se permettre d’acheter des souliers, il marche carrément pieds nus, pour nourrir ses enfants. Oh ! C’est pathétique !

            Si seulement vous observez, chers amis chrétiens, pour voir combien nous sommes heureux en étant Américains. C’est un dicton: «C’est glorieux d’être Américain.» C’est plus qu’un simple dicton. C’est une vérité. Cette nation est bénie. Nous devrions apprécier cela plus que nous le faisons. Voir des gens bien nourris, et bien habillés, des gens intelligents. Allez dans certains de ces pays où on se met par terre par dizaines des milliers, sans même des habits, et on crève de faim. Et plusieurs d’entre eux meurent de faim juste par terre, pendant qu’ils attendent qu’on prie pour eux. Et vous pouvez bien vous imaginer quelle scène pathétique est-ce. Donc, je fais confiance à Dieu que d’une façon ou d’une autre que... Eh bien, je–je ne peux rien faire à ce sujet, si ce n’est que prier et prêcher.

6          Et maintenant, en rapport avec ces mouchoirs, je prie dessus maintenant, veuillez incliner la tête juste un instant avec nous, afin qu’ils partent.

            Maintenant, Bienveillant Père céleste, ces mouchoirs ici représentent de pauvres mortels malades. Je suis très reconnaissant de ce qu’ils croient en Toi, Seigneur. Et quand bien-même, après que leurs médecins, peut-être, les ont abandonnés, ils croient toujours qu’il y a de l’espérance, s’ils Te demandent. Peut-être, Tu sais, peut-être qu’un pauvre vieux papa aveugle, quelque part ici dans une région rurale, assis dans une petite maison sombre ce soir, attendant qu’un mouchoir revienne à la maison... Une mère, avec un enfant à l’article de la mort qu’elle n’a pas pu amener, attend que le mouchoir revienne à la maison...

            Bien-Aimé Père, nous Te prions de veiller sur chacun d’eux. Nous avons appris dans la Bible qu’on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul, on les posait sur les malades, et les esprits impurs et des maladies les quittaient. Père, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus, et que c’était Toi qui accomplissais l’oeuvre.

7          Ainsi donc maintenant, en rapport avec cette Ecriture, on nous enseigne que quand la mer Rouge empêchait Israël d’aller à la Terre promise... Un écrivain dit que Dieu regarda vers le bas au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et la mer eut peur et dégagea le passage pour que le peuple de Dieu traverse.

            Et, Père, quand ces mouchoirs seront posés sur les malades ce soir, que ces yeux regardent encore au travers du Sang de Jésus, qui est mort à cette fin. Et que les maladies, l’ennemi qui a lié les gens, aient peur et reculent loin des gens, et qu’ils les laissent traverser vers la promesse de la bonne santé et de la force. Car c’est à cette fin que nous les envoyons, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Vous pourrez les reprendre aussitôt le service terminé. Maintenant, à cause de l’encombrement et des gens qui sont debout...

8          Demain à onze heures, le pasteur ici présent, frère Bigby, m’a demandé de parler à un service d’évangélisation pour lui demain, à onze heures. Et je le ferai, le Seigneur voulant.

            Et puis, à quinze heures, il y aura le dernier service de guérison, nous le consacrerons à la prière pour les malades, demain après-midi, une fois de plus. Et nous vous invitons à venir. Quand ceci a été demandé à frère Bigby, j’étais très heureux de l’entendre dire qu’il le ferait avec joie. Et j’apprécie cela, car cela fait une bonne communion. Les autres ministres sont ici, ils ont leurs propres réunions, et j’aime toujours tenir la réunion le dimanche après-midi, de la sorte, chaque membre peut retourner dans sa propre église le dimanche soir et assister au service de chez lui. Et c’est ce que j’ai l’intention de faire lors des services sous tentes aussi, comme j’en aurai dans le futur: Essayer d’avoir le dimanche après-midi pour permettre à tout le monde d’aller à sa propre église. Je remercie frère Bigby, et je pense que c’est un véritable gentleman chrétien, de faire cela.

9          Et j’apprécie certainement ces pasteurs qui ont envoyé leurs assemblées pour qu’on prie pour eux. Et j’espère seulement de tout mon coeur qu’il s’est passé quelque chose qui amènera les églises à s’améliorer. Je prie que Dieu déclenche ici un réveil à l’ancienne mode, qui balayera toute la nation entière, directement à partir de cet Etat, à partir de ce temps-ci.

            Eh bien, maintenant, au cours des services de guérison, tout le monde doit donc se rappeler qu’il n’y a rien qu’un individu puisse faire pour guérir un autre. Tout ce qui peut se faire, c’est que la personne ait la foi dans le Seigneur Jésus-Christ. Voyez, votre salut a été accompli au Calvaire. Et tout ce dont vous avez besoin au cours de votre pèlerinage ici sur terre a été acquis pour vous au Calvaire. C’est déjà terminé.

10        Maintenant, Dieu ne vous jugera jamais pour avoir été un pécheur. Il ne peut pas vous juger, car le prix du péché a été payé au Calvaire. Et vous n’êtes pas un pécheur, vous êtes quelqu’un qui rejette. Voyez? Il–Il vous juge pour avoir rejeté le salut alors qu’il vous était offert. Jésus... Jean, quand il L’a vu, il a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Toute la question du péché a été réglée au Calvaire.

            Et maintenant, peut-être pour certains de nos frères du clergé qui peuvent ne pas être à mesure de voir la guérison divine sous l’angle de l’expiation, vous ne pouvez pas traiter de la maladie, ou plutôt du péché sans traiter de la maladie. En effet, la maladie est un attribut du péché. Avant que nous ayons n’importe quel péché, nous ne connaissions pas de maladie. Ainsi, quand vous traitez du péché, vous traitez indirectement de la maladie.

            Et quand Jésus régla la question du péché, Il régla la question pour chaque attribut que le péché avait causé, même la mort elle-même, la peine du péché. Vous voyez donc, tout a été payé au Calvaire.

11        Maintenant, tout ce qu’un individu a à faire, c’est sa propre foi personnelle, non pas la foi d’un prédicateur, pas la foi d’une autre personne, mais votre propre foi dans le Seigneur Jésus ressuscité, acceptant ce qu’Il a fait pour vous au Calvaire. Tout vrai don divin pointera toujours le Calvaire.

            Or, la première voie initiale, c’est la Bible, la Parole de Dieu. Et tout ce qui se fait dans l’église doit reposer sur la Parole éternelle de Dieu, qui est la Bible. Il n’y a aucun autre fondement qui peut être posé en dehors de celui qui est déjà posé. Et Ceci est le Livre. Et un ange avait dit cela à Jean, ou L’a apporté à Jean plutôt, au dernier Livre. Il a dit: «Scelle le Livre», et tout. Et Il est scellé. Et Il a dit: «Celui qui retranchera ou ajoutera à ce Livre...» Rien ne peut être retranché de Cela ou ajouté à Cela. Par conséquent, ce Livre est le plan de Dieu que nous devons suivre. Et cela doit provenir du Livre. Rien de plus, ni rien de moins, nous devons recevoir tout l’Evangile, sans rien y ajouter, recevoir cela tel que c’est écrit ici dans le Livre. Et c’est le tout. Chaque croyant de la Bible croit cela. Et nous aimerions bien communier autour de cela.

12        Eh bien, Jésus, je peux vous parler de cette façon, quand Il était sur terre, Il ne prétendait pas être un Guérisseur, Il affirmait qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait à faire. Est-ce vrai? Combien ont déjà lu cela dans la Bible? Vous savez, Saint Jean 5.19. Jésus-Christ Lui-même, Il n’a jamais guéri quelqu’un, non. Il disait: «Je ne fais que ce que le Père Me montre premièrement à faire.» Il voyait en vision quoi faire, et ensuite Il faisait ce que le Père Lui avait dit. C’est ce qu’Il a dit, et Ses Paroles, évidemment, sont vraies, n’est-ce pas? Saint Jean 5.19, quand Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

            Or, Il a absolument dit la vérité, car Il était infaillible, Il était le Fils de Dieu. Et Dieu Lui-même était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Le Corps, l’Homme, était Jésus, le Fils de Dieu, mais l’Esprit en Lui était Jéhovah Lui-même, Il a tabernaclé ici dans une chair humaine, pour ôter le péché.

13        Avez-vous déjà vu la grande chose, pourquoi Dieu a fait cela? Eh bien, Dieu devrait être fait chair, car ça ne serait pas correct s’ils... si c’est quelqu’un d’autre qui a été fait chair, et que Dieu était un Homme de chair qui avait envoyé un autre homme, ce qui ferait deux hommes, et qu’on ait deux Dieux, ça ne serait pas correct. Voyez, en effet, Dieu Lui-même ne pouvait pas envoyer quelqu’un d’autre et être juste. S’Il a prononcé une sentence, Il devra la subir Lui-même. Pour faire cela, Il a dû se former Lui-même un corps, c’était un Fils créé, Jésus-Christ, Il a habité Lui-même dans cela pour souffrir, Il s’est rendu un peu inférieur aux anges pour souffrir pour le péché et la maladie.

            Eh bien, que le Seigneur vous bénisse beaucoup. Eh bien, demain, je ne suis pas... Je ne prêcherai pas ce soir. Je viens juste de sortir... je viens de la chambre où je priais. Et le Saint-Esprit est juste... J’ai vu une personne être guérie depuis que je suis dans la réunion ici même, et c’est vrai, depuis que je me tiens ici.

14        Eh bien, veuillez donc être en prière, et j’aimerais juste parler un peu sur les Ecritures pour créer un peu une atmosphère favorable à la Parole. Et Sa Parole ne faillira jamais, la mienne faillira, car je ne suis qu’un homme. Mais Sa Parole ne peut pas faillir, car Elle est Dieu. Et j’aimerais lire juste un–un verset de Sa Parole. Et si vous ramenez à la maison pas plus que ce verset avec vous, vous allez certainement tirer profit d’avoir été à la réunion. Et maintenant, au chapitre 18 de Saint Luc et au verset 42, voici ce que nous lisons:

            Et Jésus lui dit: Recouvre la vue; ta foi t’a sauvé.

            Qu’Il ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Maintenant, j’aimerais parler... Il y a plusieurs petits yeux brillants d’enfants assis ici ce soir. Et s’il y a un lendemain, ce seront eux les hommes de demain. Et juste une toute petite saynète, si vous qui êtes avancés en âge vous pouvez comprendre, demain ce sera votre tour, au service d’évangélisation, mais c’est pour ces enfants aussi que nous avons lu ce passage des Ecritures.

15        Et cela doit plutôt avoir été un après-midi frais, il n’y avait rien d’émouvant durant la journée. Les gens avaient tous été à l’intérieur de la ville, et il n’y avait rien d’émouvant. Alors, il se lève, je peux le voir alors qu’il s’avance vers là où il y avait ces rayons directs du soleil de la Syrie comme cela... contre le mur de la ville. Il s’assied à environ cent yards [91,4 m] de là où il était, cherchant son chemin en tâtant, comme il est aveugle. Et quand il s’est assis, il a continué sa réflexion. Il se disait: «Eh bien, je suis sous le soleil, je continuerai donc ma réflexion.»

            Vous savez, il est bon de se retrouver seul pour réfléchir sur des choses de temps à autre. C’est pour vous une bonne chose à faire. Alors, il a continué, il réfléchissait à la grande tragédie qui l’avait frappé. Et comment toute cette tragédie a-t-elle pu lui arriver à lui, un fils d’Abraham? Comment donc cela a-t-il pu être arrivé?

            Si seulement il savait, la Bible déclare: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Comment donc lui, qui est un fils d’Abraham, a pu se retrouver dans cette condition... Il se rappelait qu’il n’y avait pas plus de six semaines, une nuit, sa femme bien-aimée qui l’aimait, qui lui était très dévouée dans son petit foyer, était tombée malade.

            Et le médecin était venu l’examiner, il a dit: «Bartimée, je suis désolé de vous le dire, mais il n’y a rien à ma connaissance, dans le domaine de la recherche scientifique aujourd’hui, qui puisse ôter la fièvre de votre femme. Et si cette fièvre continue à faire rage, elle va probablement mourir vers le matin.»

            Et aussitôt que le médecin avait quitté et–et que Bartimée avait dit: «Docteur, je vais–je vais vous payer si–si–si j’arrive à mendier un peu d’argent. Vous savez, docteur, je suis un mendiant.» Et ce gentleman généreux a dit: «Eh bien, c’est en ordre, Bartimée.»

16        Il est sorti de la maison sans faire savoir à sa femme bien-aimée ce qui était arrivé, il a longé la paroi de la maison et s’est agenouillé au beau clair de la grande lune de Palestine. Et comme il ne voyait pas, et qu’il ne pouvait pas s’éloigner de la maison, en effet, il devait retrouver son chemin de retour en tâtant... Il a levé les mains et a dit: «Jéhovah, je T’aime. Si seulement Tu permets que ma précieuse femme vive, j’ai deux petites tourterelles qui me servent pour attirer l’attention des touristes à leur passage. Elles font de petites culbutes l’une sur l’autre. Et cela attire l’attention. Je reçois d’eux l’aumône.»

            En effet, il y avait beaucoup de mendiants dans le pays à l’époque. Et le premier homme qui sortait le matin (Ils n’avaient pas beaucoup d’argent), il donnait l’aumône au premier mendiant. Eh bien, cela réglait pratiquement la question pour la journée.

            «Mais si Tu permets que ma femme se rétablisse, j’irai au temple T’offrir ces deux tourterelles en sacrifice.» Eh bien, par la grâce de Dieu, elle s’est rétablie. Il a offert les tourterelles.

17        Juste quelques semaines plus tard, il a dû encore faire venir le médecin pour une tendre fillette, sa fille. Oh ! Qu’elle était douce ! Elle venait la nuit, après que son papa aveugle était revenu à la maison, elle s’asseyait sur ses genoux, elle tapotait son visage couvert de barbe et disait: «Papa, je–je t’aime.»

            Il disait: «Ô chérie, si... Rachel, si seulement je pouvais te voir. A quoi tu ressembles, chérie?»

            Et elle disait: «Eh bien, maman dit que je suis jolie. J’ai des cheveux noirs et des yeux noirs.»

            «Oh ! Tu es comme ta maman était !»

            «Ah ! a-t-elle dit. Eh bien, tu–eh bien, tu essaies de me flatter.»

            Ainsi donc, quand elle tomba malade, il sortit prier Jéhovah et dit: «Jéhovah, il ne me reste qu’une seule chose. Et si Tu veux bien laisser ma fillette se rétablir, je Te promets de Te donner mon agneau demain.» Et l’état de sa fillette s’était amélioré.

18        Et le lendemain, il était en route pour voir le–voir le sacrificateur et offrir l’offrande. Et quand le sacrificateur l’a vu, il a dit: «Où vas-tu, aveugle Bartimée?»

            Et il a dit: «Ô sacrificateur, je vais au sacrifice offrir mon agneau.»

            «Oh ! a-t-il dit, tu ne peux pas faire cela, ô Bartimée.» Il a dit: «Je vais te donner de l’argent pour acheter un–un agneau.»

            Il a dit: «Mais, sacrificateur, je n’avais point dit à Dieu que je Lui donnerais un agneau. Je Lui avais dit que je Lui donnerais cet agneau-ci.»

            Voyez, enfants, combien c’est réel. Vous devez tenir votre promesse à Dieu. Même dans votre jeune âge, quand vous faites une promesse à Dieu, tenez votre promesse. Peu importe combien c’est difficile, tenez-la de toute façon. Soyez fidèle à Dieu.

19        Alors, vous voyez, à l’époque... Aujourd’hui, un–un aveugle est généralement conduit par un chien dressé. A l’époque, ils étaient conduits par un agneau dressé. Alors, le sacrificateur a dit à Bartimée: «Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau-ci, car cet agneau-ci, ce sont tes yeux.»

            Il a dit: «Mais, ô sacrificateur, si je tiens ma promesse à Dieu, Dieu pourvoira d’un agneau pour les yeux de Bartimée.» Il s’en va donc et offre l’agneau.

            Il a un peu frissonné, il a rassemblé son manteau en lambeaux autour de lui, il s’est encore mis de côté. Et il continue, alors qu’il se déplace vers l’ouest, là d’où descend le soleil au travers d’une lézarde du Jourdain, là, de l’autre côté du mur de Jéricho. Je peux le voir alors qu’il relève son manteau en lambeaux, tremblotant; il se retourne et dit: «Eh bien, je n’ai pas reçu une pièce d’argent toute la journée. Peut-être, peut-être, je suis... je n’en aurai pas aujourd’hui. Et que dirai-je à la petite Rachel ce soir alors que nous ne pourrons pas ramener du pain à la maison?»

20        «Mais je me rappelle quand j’étais jeune, a-t-il dit, je me rappelle quand je levais les yeux vers les cieux et voyons combien c’était beau la nuit, les étoiles, combien les arbres étaient beaux alors qu’ils bourgeonnaient, à quoi le soleil ressemblait. Je sautais dans les bras de ma vieille précieuse mère, qui est morte il y a des années. Elle avait l’habitude de me bercer et de me raconter de grandes histoires, comment Jéhovah avait pris position pour Son peuple: là en Egypte, comment Il a tiré le peuple des ennuis, comment Il a ouvert la mer Rouge et Il les a fait passer par le désert, Il les nourrissait de la manne qui tombait du ciel pendant quarante ans.»

            Et comment un jour, alors qu’ils avaient besoin de guérison, Dieu, dans Sa miséricorde, avait le prophète Moïse qui était conduit par une Colonne de Feu, et un Ange, sous forme de la Colonne de Feu, conduisait le prophète Moïse alors que lui conduisait les enfants. Et un jour, ils ont eu besoin de la guérison. Il a élevé un serpent d’airain. Et tout celui qui regardait le serpent était guéri. «Oh ! a-t-il pensé, et si seulement je pouvais être avec eux à l’époque? Vous savez, j’aurais demandé à quelqu’un de me conduire droit en direction du serpent, et alors j’aurais levé mes paupières et demandé à Jéhovah, j’aurais regardé le serpent, je suis sûr qu’Il aurait eu pitié de moi. Mais, hélas, ces jours-là sont passés. Le sacrificateur me dit que les jours des miracles sont passés. Mon église dit que ces choses ne peuvent plus arriver. Jéhovah était grand à l’époque, mais Il a simplement cessé avec les gens.»

21        Quelle histoire triste ! Si pour commencer Jéhovah est grand, Il reste Jéhovah tout le temps, et Il est toujours grand. Mais on dirait que cela se répète encore aujourd’hui. Les gens oublient que Dieu est Dieu d’éternité en éternité, qu’Il est infini pour commencer. Il est infini à la fin. Et s’Il a fait quelque chose à la fin... au commencement, et qu’une situation critique surgissait, que les gens mouraient, que rien ne pouvait les aider, Il a fait l’expiation pour leur maladie dans le désert; et si la même situation critique surgit aujourd’hui avec le cancer, la maladie du coeur, la tuberculose, et beaucoup de maladies contre lesquelles nous n’avons pas de remède, pour guérir, ou pour s’en occuper, alors s’Il n’agit pas de même aujourd’hui, c’est qu’Il avait donc mal agi à l’époque quand Il avait agi en ce temps-là. Il doit agir de même.

            Nous apprenons davantage, nous sommes des êtres humains, nous devenons plus cultivés. Or... Je n’aime vraiment pas le mot culture. Nous devenons plus sages, peut-être. Et, ainsi donc, quand... Mais pas Lui. Lui était parfait pour commencer et Il est parfait aux siècles des siècles. Il n’y a pas de changement en Dieu. Il est toujours le même.

22        Mais quand notre ami mendiant aveugle, ce soir, réfléchissait sur ces choses: «Certainement, Jéhovah n’est pas mort. Certainement, Il ne s’est pas affaibli. Vous savez, je me rappelle, ma mère me racontait la grande tragédie qui était arrivée dans le désert, comment la lèpre était même guérie. Ô Grand Jéhovah ! Et je suis enfant d’Abraham, et je suis héritier de la même promesse. Mais qu’y a-t-il avec moi? On me dit que ces jours-là sont passés. Peut-être qu’ils comprennent plus que moi. Peut-être c’est juste ma–ma condition aujourd’hui. Peut-être que je suis juste solitaire; en effet, je n’ai rien reçu à manger.»

            Il tremblait donc un peu alors que le soleil commençait... Peu après, il a entendu des pas s’approcher. Il s’est redressé, Il a couru vers la route, disant: «S’il vous plaît, gentil monsieur, alors que vous passez, c’est moi Bartimée, l’aveugle, à l’entrée. Voudriez-vous être assez gentil pour me donner une pièce d’argent, je–j’ai une femme et une enfant affamées à la maison.»

            «Quitte, mendiant ! Ôte-toi de mon chemin. Je dois poursuivre ma route.»

            «Eh bien, merci, gentil monsieur.»

23        Il traverse et se rassoie. Il reprend sa méditation. Il se met à penser: «Eh bien, je me rappelle donc, ce n’est pas à plus de cinq cents yards [457 m], ou–ou peut-être un mile [1,6 km] de là où je suis assis maintenant même qu’Israël a traversé à sec ce Jourdain que j’entends mugir derrière moi. Et là, il y a un amoncellement de pierres qui est élevé, me dit-on, comme un mémorial.»

            «Oh ! Je m’en souviens. Quand j’étais un petit garçon, maman m’a amené là un jour et m’a montré ces pierres qu’on avait ramassées. Ceux qui portaient l’arche, ceux qui suivaient ont ramassé des pierres, ils les ont déposées par terre; et elles sont encore là. Oh ! Si seulement j’avais vécu à l’époque ! Cela n’aurait-il pas été merveilleux si j’avais vécu à l’époque où ce Glorieux Dieu s’était servi de cette Colonne de Feu et avait traversé le Jourdain? Et l’Arche du Seigneur, qui représente la Parole, suivait derrière, l’Esprit et la Parole ensemble. Quelle chose glorieuse c’était ! Mais, eh bien, ces jours-là sont passés. On me dit que les miracles ne se produisent plus.»

            «Et je me rappelle, elle avait l’habitude de me dire qu’un glorieux jour, nous serons encore visités. Mais, oh ! cela devra arriver loin dans le futur. Peut-être que mes arrière-arrière-arrière-petits-fils pourront voir cela, mais pas moi, un pauvre mendiant aveugle. Quand ce très Puissant Messie posera Ses pieds sur la terre...» Peu savait-il qu’Il était là à une distance de cent cinquante yards [137 m]. C’est ce que je pense ce soir. Beaucoup parmi vous essaient de se poser des questions: «Un jour, quelque part.» Mais ce même Messie n’est pas à cinq pieds [45 m] de là où vous êtes ce soir, ici même parmi vous.

24        Peu après, il entend le bruit des sabots. Il sait, il entend le bruit des pieds-nus sur ces routes pavées bien polies. Il court encore: «Gentil monsieur, voudriez-vous m’aider, moi mendiant aveugle? Je suis dans le besoin.»

            Et alors, l’homme qui conduisait l’âne s’arrête. L’homme monté sur l’âne, sur le dos, qui le conduit, dit: «Quitte mon chemin, mendiant. Je suis serviteur de l’Eternel. Je suis sacrificateur. Je suis le responsable de l’association des prédicateurs par ici, à–à Jéricho. Il y a un Fanatique dans la ville aujourd’hui. Et nous devons arrêter ce non-sens. Et je suis descendu pour tenir un conseil, comment nous pouvons L’expulser de la ville. Je poursuis mon chemin, et je n’ai pas de temps à gaspiller avec les mendiants. Quitte donc mon chemin.»

            «Excusez-moi, papa.»

            Il entre dans la ville. Et l’aveugle Bartimée regagne sa position et s’assoit.

25        «Oh ! Quel était l’objet de ma méditation?» Il s’est dit: «Oui, Josué, ce vaillant guerrier qui avait fait traverser cette rivière aux enfants... Et je pense donc que ce n’est pas trop loin d’ici. Je souhaiterais un jour longer le chemin vers le rivage en tâtant, ou que quelqu’un m’y amène afin que je revoie ces pierres, ou que je les palpe plutôt.»

            Juste à ce moment-là, il s’est dit: «Vous savez, juste sur ces routes pavées que je viens de quitter, bien polies, là en bas, il n’y a pas plus de quelques centaines d’années, le grand Elie et Elisée passaient, bras dessus bras dessous ensemble, se dirigeant vers le Jourdain. Celui qui avait guéri Naaman de sa lèpre, beaucoup de grandes choses s’étaient accomplies... Ils ont emprunté cette même route au bord de laquelle je suis assis, descendant vers le Jourdain, ils ont ouvert le Jourdain, ils ont traversé, et l’un est monté à bord du char et il est rentré à la Maison dans la Gloire, quelqu’un de ma nature, un homme comme moi, un fils d’Abraham, un prophète.»

            «Oh ! Si seulement j’avais vécu à cette époque-là, j’aurais couru devant Elie et Elisée, je me serais prosterné devant eux et j’aurais dit: ‘Ô grands hommes de Dieu, offrez une prière à Jéhovah pour mes yeux aveugles. Je recouvrirais la vue.’ Si seulement j’avais vécu à l’époque ! Mais, oh ! ce jour-là est passé. Les jours des miracles sont passés. Rien de tel ne peut arriver aujourd’hui.»

26        Peu après, alors qu’il méditait sur: «Juste de l’autre côté d’ici, de cette porte, le grand Josué, le guerrier, marchait un jour.» Vous parlez d’une contrée historique... «Et il marchait un jour, s’avançant vers les murailles, pendant que Jéricho était hermétiquement barricadée par peur de mon peuple. Dieu était avec eux. Et maintenant, nous sommes esclaves des Romains. Il n’est pas étonnant qu’ils aient oublié Dieu.» Vous tombez toujours en esclavage chaque fois que vous faites cela, l’esclavage du diable.

            Alors, il a dit: «Josué a regardé, et là se tenait un Homme, Son Epée dégainée. Et Josué a dégainé son épée et s’est avancé à Sa rencontre. Il a dit: ‘Es-tu des nôtres ou de nos ennemis?’ Et l’Homme avec l’Epée dégainée a dit: ‘Non, je suis le Capitaine de l’Armée de l’Eternel.’ Josué, le vaillant guerrier, a ôté son casque, il a jeté son épée par terre ainsi que sa cuirasse, et il L’a adoré. Oh ! Si seulement j’avais vécu là à l’époque !» Peu savait-Il que ce même Capitaine de l’Armée de l’Eternel était juste au portail. C’est vrai. C’est ce qui suscitait ses émotions.

27        C’est la raison pour laquelle quelque chose était sur le point d’arriver. C’est la raison pour laquelle ces choses étaient dans son esprit. C’est pourquoi vous êtes ici ce soir. Vos émotions ont été suscitées. Vous êtes des lecteurs de la Bible. Vous croyez ce genre de choses. C’est ce qui vous a amenés ici ce soir. C’est ce qui fait que les gens se tiennent debout dehors aux fenêtres, regardant à l’intérieur. C’est ce qui fait que les gens se tiennent dans des allées, des émotions. Quelque chose a bougé.

            Qu’est-ce? Il doit y avoir quelque chose qui crée cette émotion-là. Et juste comme à l’époque, le Capitaine de l’Armée de l’Eternel était dans les murs, prenant un dîner avec un homme dont nous parlions ce matin, Zachée.

            Peu après, il dit: «Eh bien, je n’agis pas très bien ici, je pense donc que je vais simplement me lever.» Et tout d’un coup, il entend du bruit. Quelque chose arrive: Un grand boucan. Généralement, il y a un peu de bruit là où est Jésus.

28        Les gens sortaient donc de la ville. Et les uns criaient une chose, les autres, une autre. C’était à environ cent yards [91 m] de lui. Et au fur et à mesure que les foules devenaient denses, il a cherché à se lever pour... réclamer des pièces de monnaie, les gens le repoussaient. Et il a dit: «Que se passe-t-il? Pourquoi tout ce bruit? Qu’est-ce qui est à la base de tout ça?»

            Et personne ne lui répondait, on le repoussait, poursuivant leur chemin. Et il a écouté la foule, il s’est dit: «Peut-être que si j’écoute, peut-être que je peux entendre ce qui se passe.»

            L’un d’eux passait, c’était un prédicateur, un sacrificateur, il a dit: «Dis donc, Toi prophétiseur, Toi qui prétendais avoir ressuscité Lazare d’entre les morts, hé, on en a tout un cimetière plein par ici. Viens les ressusciter, nous croirons en Toi.» Ces mêmes... ces hommes sont morts, mais cet esprit continue à vivre. L’un d’eux dit: «Dis donc, j’ai appris qu’une femme avait touché Ton vêtement, elle était dans l’assistance et elle a été guérie. Dis donc, nous avons par ici une dame qui souffre de la même chose. Viens, guéris-la et nous croirons en Toi.»

            «Dis donc, Toi qui prophétises, dis-nous qui T’a jeté des tomates pourries qui T’ont attrapé au visage tout à l’heure. Dis-nous qui a fait ça. Nous croirons en Toi si Tu es un prophétiseur.»

            Juste quelques jours plus tard, on allait Lui mettre un lambeau au visage, Le frapper à la tête, et dire... Les soldats romains ont dit: «Dis-nous qui T’a frappé, nous croirons donc en Toi.» Dieu ne fait pas le clown. Dieu travaille à dessein. Jésus devait accomplir la volonté du Père.

29        C’est ce que Son Eglise est. Pas faire le clown, si tu es–tu es hors de la volonté de Dieu. Faites uniquement ce qui plaît à Dieu pour Sa gloire. Pas faire le clown, ce n’est pas du spectacle. C’est l’Evangile de la puissance de la résurrection de Christ.

            Alors, Il est allé de l’avant. Vous et moi qui pouvons comprendre, regardons-Le. Il est là. Il avance la tête, le visage... Certains parmi eux criaient: «Oh ! Hosanna au merveilleux Prophète de Galilée, le Grand, Celui dont Moïse avait parlé.» D’autres criaient: «Du non-sens.» Des cris et des braillements; les uns maudissaient, les autres bénissaient, et toutes sortes de bruits mélangés.

            L’aveugle Bartimée a dit: «Qui est-ce qui passe? Qui–qui passe par ici? Pourquoi toute cette émotion?»

30        Finalement, une gentille femme, peut-être la femme de Zachée, Rebecca, s’est inclinée et a dit: «Homme aveugle, c’est Jésus de Nazareth qui passe.»

            Il a dit: «Qui est Jésus de Nazareth?»

            «Avez-vous lu dans la Bible quand Moïse a dit: ‘L’Eternel ton Dieu te suscitera un prophète comme moi’?»

            «Oui. Je méditais là-dessus tout à l’heure. Ma mère me lisait cela.»

            «Et toutes ces choses qu’Il ferait, comment les aveugles verraient, les boiteux pourraient...»

            «Oui, je me rappelle, ma mère me lisait cela il y a des années.»

            «Eh bien, c’est Lui qui passe.»

            «Oh ! Vous voulez dire que c’est le Fils de David qui passe là?»

            «Oui.»

            «Oh ! Da... Jésus, Toi, Fils de David, aie pitié de moi !»

            Il ne pouvait pas l’entendre. Il se passait trop de choses. Rien que le cri, et les uns hurlaient: «Fais ça.» Et un autre parmi eux disait: «Oh ! Toi qui peux relever le temple dans trois jours, après que Tu te seras tenu là et que Tu l’auras détruit, fais-nous voir un miracle. Montre-nous un miracle. Fais quelque chose devant nous et nous croirons en Toi.»

            Et d’autres criaient: «Oh ! C’est un grand Homme.»

            Un autre disait: «C’est un séducteur.»

            Et un autre encore: «C’est–c’est–c’est un grand Homme.» Tout se passait, il y avait des émotions.

31        Que faisait Jésus? Il avait le regard fixé sur le Calvaire. Il va droit à Jérusalem pour être offert en sacrifice. Le poids de chaque péché qui ait jamais été commis sur terre, ou qui sera jamais commis, reposait sur Ses précieuses épaules. Il était un grand Homme. Quand les gens disent du mal de vous, si seulement vous arrivez à aller de l’avant, sans faire cas de cela, cela montre que vous êtes un grand homme. De petits hommes ne peuvent pas supporter cela. Il était trop grand pour écouter leur critique. Il avait une seule chose à faire, c’est la volonté du Père. Il a dû mourir pour ces hommes-là.

            Il continuait donc, Son visage tourné vers le Calvaire. Vous pouvez vous imaginer la pression qu’Il subissait, le voyant là: à Gethsémané, les agonies du Golgotha; être oublié de Dieu; la terre devient sombre, Ses épaules vont être écorchées, Son visage va saigner, Ses blessures. Tout était sur Lui, au point qu’Il a même crié: «Père, si c’est possible, que cette coupe...» Et Il... Une agonie telle que l’eau et le Sang s’étaient séparés en tombant de Son front. Rien, il n’y a que l’extrême agonie qui pouvait faire cela. Tout reposait sur Lui.

            Et tous, les uns vociféraient une chose et les autres, une autre. Mais les apôtres faisaient de leur mieux pour tenir les gens loin de Lui. Et Il marchait vers Jérusalem.

32        Alors, cet homme aveugle a dit: «Oh ! la la ! Mon occasion est passée. Oh ! Je ne peux pas Le laisser passer. Ô Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi. Oh ! Il ne peut pas m’entendre. Il est là loin sur la route. Que puis-je faire?»

            Rebecca a dit: «Eh bien, regarde (Voyez?), si tu pries et que tu demandes à Dieu, quelque chose va arriver. Ne sois donc pas excité. Demande simplement à Dieu.»

            Alors, l’aveugle Bartimée a dit: «Ô Jéhovah, Tu connais ma condition. Oh ! Je–je–je suis aveugle. Je–j’ai attendu. Tu me révélais tout à l’heure quelque chose. J’ai été secoué de façon étrange. C’est pourquoi je suis ici, c’est bien mon occasion.»

            Et Jésus peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Il peut encore être touché par les sentiments de tout cela. Il n’a pas pu entendre la voix de cet homme, évidemment pas. Mais sa foi (Pensez-y), la foi du mendiant insuffisant, un clochard comme nous l’appellerions aujourd’hui, un aveugle sale, en lambeaux, assis à l’entrée en train de mendier, a arrêté le Fils de Dieu dans Sa marche vers le Calvaire. Oui, oui.

            Que ferait votre foi aujourd’hui? Elle Le ferait descendre du Ciel vers ici sur terre auprès de tout individu.

33        Jésus s’arrêta, se retourna et dit: «Amène-le ici. Ta foi t’a sauvé.» Observez-Le... Observez la foi entrer en action.

            On lui a dit: «Eh bien, Il t’appelle.»

            Il a jeté son manteau. Pourquoi l’a-t-il jeté? Il savait que si jamais il arrivait à s’entretenir un peu avec Jésus, Il recevrait ce qu’il demandait. Il n’aurait plus... il pourrait retrouver son manteau. Aussi l’a-t-il jeté. Ses petits bras osseux entrèrent en action. Il leva ses mains et courut très vite vers Lui. Et Jésus dit: «Ta foi t’a sauvé.» Puis, Il se retourne et va de l’avant.

            Je peux le voir là debout, les gens le dépassaient. Il a dit: «Il m’a dit que je pouvais voir. Je sais qu’Il ne pouvait pas m’entendre. Il doit connaître toute ma condition. Alors, Il–Il a dit que ma foi m’avait sauvé. Alors, dites donc, je peux voir ma main. Oh ! Gloire à Dieu», a-t-il crié. Et il a dévalé la route en louant Dieu. Il a regardé là, il L’a vu alors qu’Il gravissait la colline. Qu’était-ce? Dieu avait pourvu à un agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée. Ce même Agneau auquel il a été pourvu en ce moment-là pour l’aveugle Bartimée est–est pourvu ce soir pour tout ce dont vous avez besoin ici même.

34        Ce même Agneau qui a été immolé quelques jours plus tard là au Calvaire, la tombe ne pouvait pas Le retenir le matin de Pâques. Il ressuscita. Et Il se présenta vivant. Il a dit: «Maintenant, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (les incroyants, leurs coeurs seront endurcis), mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»

            Il a été pourvu à cet Agneau-là pour toute la race humaine: L’Agneau de Dieu immolé avant la fondation du monde. Avant ce temps-là, sous la forme visible par la foi, ils tiraient des dividendes de la souffrance de Christ à leur place, ce qui était dans le futur. Depuis lors, nous avons tiré de Ses dividendes, issus de Sa souffrance à notre place, ce qui est dans le passé, avec le Saint-Esprit au milieu de nous confirmant que la vérité est ici.

35        Quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il est entré par la porte d’une crèche. Et Il a été conduit à l’abattoir. Pourquoi était-Il né dans une crèche? Les agneaux ne naissent pas aux lits. Les agneaux naissent dans des écuries et des étables. Il était un Agneau.

            Pourquoi Lui a-t-on mis une corde pour le conduire au Calvaire? Il était un Agneau, l’Agneau de Dieu conduit au Calvaire. Sous forme de type, Il était l’agneau d’Abel qui était étendu sur le rocher, quand il a pris sa petite tête et l’a renvoyée en arrière, il lui a assené des coups de pierre à la gorge, comme il n’avait pas de lance à l’époque, au point que sa petite–sa petite fourrure baignait dans le sang rouge, alors qu’il bêlait et mourait. Les mains d’Abel étaient rouges de sang alors qu’il ôtait la vie à l’agneau. Et cette petite bête bêlait. Evidemment, Abel ne pouvait pas comprendre ce qu’elle disait.

            Et quand notre Agneau mourait là sur le Rocher des âges, battu, frappé et brisé, Il parlait en langues, et les gens ne savaient pas ce qu’Il disait. Vous pouvez entendre encore le coup de marteau ce soir, alors que les clous perçaient Ses mains. Il était l’Agneau de Dieu pour ôter votre cécité, spirituelle et physique. Il était l’Agneau de Dieu pour ôter votre maladie du cancer, contre laquelle votre bien-aimé médecin ne peut plus rien faire. Il est l’Agneau de Dieu préparé dès avant la fondation du monde pour ramener ce coeur-là dans sa position et qu’il batte encore régulièrement. Il est l’Agneau de Dieu qui fait marcher les boiteux, qui fait entendre les sourds, qui fait parler les muets. Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu.

36        Je déclare qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est Témoin ici ce soir. Il y a des milliers d’autres religions dans le monde. Mais il n’y a aucune parmi elles qui puisse prouver qu’elle est vraie, en dehors de la religion chrétienne.

            J’ai été accueilli il y a environ quelque deux ans, à Bombay, en Inde, par dix-sept différentes religions, et chacune d’elles reniait Christ, chacune d’elles reniait le christianisme. Mais ce soir-là, quand un aveugle a été amené à l’estrade, les radjahs étaient assis tout autour sur leurs oreillers. Et il y a eu une vision qui a montré ce que cet homme était et qui lui a révélé sa condition. Avant cela, Il a montré différentes choses, mais Il n’avait point prononcé la guérison. En effet, je ne fais que ce qu’Il dit.

            Et alors, quand ils ont dit: «Eh bien, il lit leurs pensées...»; c’est ce qu’ils disaient de Jésus. Ils disaient: «Il est Béelzébul, le chef des liseurs des pensées, le diable, le diseur de bonne aventure», ce qui est du diable. Ils ne comprenaient pas.

            Il a dit: «Vous pouvez dire cela de Moi, c’est en ordre. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose que Je fais, vous prononcez un seul mot contre Cela, cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. En effet, le Saint-Esprit va venir après lui, Il sera avec nous jusqu’à la fin du monde, et Il fera les mêmes choses que Lui avait faites, exactement les mêmes oeuvres.» Il a dit: «Ne parlez pas contre Cela, car cela ne sera jamais pardonné dans le siècle à venir.»

37        Il est donc le même Christ ce soir. Il aime les gens. Et j’espère que ce soir, s’Il entre en scène ici devant vous et prouve qu’Il est vivant... Quand Il était ici sur terre, à l’intention des nouveaux venus, quand Il a commencé Son ministère, on a amené un homme du nom de Philippe, il a été sauvé. Il est allé trouver Nathanaël, là de l’autre côté, à environ cinq miles [8 km] derrière la montagne, il l’a amené vers Jésus. Et quand il l’a trouvé, il était en train de prier sous un arbre.

            Et quand Il est entré dans la foule, Jésus l’a regardé et a dit: «Voilà un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi (ou Révérend, Docteur)?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Les pharisiens ont dit: «Vous voyez, Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure.» Mais l’homme sur qui le miracle avait été accompli a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Il L’a reconnu. Quelle différence !

            Ces pharisiens sont morts il y a longtemps. Le nom de Nathanaël est immortel dans la Bible ce soir, aux siècles des siècles. Et sa vie est immortelle devant Dieu. Je me demande quelle attitude vous afficherez.

38        Un jour, alors qu’Il passait, Il passait par la Samarie; au lieu de descendre à Jéricho, Il a contourné la colline de Samarie. Il a renvoyé Ses disciples, et une prostituée est venue puiser de l’eau. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous», comme la ségrégation raciale d’aujourd’hui entre les gens de couleur et les Blancs, ou que sais-je encore.

            Il a dit: «Si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»

            Elle a dit: «Le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser; d’où auras-Tu donc ce genre d’eau?»

            Il a dit: «Cette eau que Je te donnerai est une eau différente.» La conversation s’est poursuivie pendant longtemps, jusqu’à ce qu’Il a découvert quel était le problème de la femme. Le Père le Lui a montré. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai, tu en as eu cinq. Tu as donc dit vrai.»

            Ecoutez ses paroles là, elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu ...» Suivez donc. «Nous savons que quand le Messie sera venu, ceci sera Son signe. Nous savons que le Messie fera ceci, mais Toi, qui es-Tu?»

            «Je Le suis», dit-Il.

39        Eh bien, si c’était là le signe du Messie à l’époque, c’est le signe du Messie aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Absolument. Jésus a dit, quand Il passait par la piscine de Béthesda, où étaient un grand nombre de boiteux et affligés... Il est allé jusqu’à trouver un seul homme, le Père le Lui avait montré en vision. En effet, Il le savait. C’est ce que dit la Bible. Il est allé vers cet homme-là, l’a relevé et l’a guéri, Il s’en est allé, laissant les autres là, des milliers de gens, des infirmes, des estropiés, des boiteux, des aveugles.

            Il fut interrogé par les Juifs. S’Il était ici dans cette ville ce soir et qu’Il faisait la même chose, Il serait interrogé. «Qu’Il passe par ici et qu’Il guérisse Untel.» Voyez, ce même esprit, celui qui a dit: «Ordonne que ces pierres deviennent des pains et accomplis un miracle. Fais-le-moi voir.»

            Voyez, les oeuvres de Dieu sont secrètes. Les oeuvres de Dieu sont comprises uniquement par Son peuple. Ils pensaient même que la résurrection de Lazare était un montage. Saviez-vous cela? Ils pensaient que ce n’était pas vrai. Même eux, les Juifs aujourd’hui, ne pensent même pas que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Ils ont donné de l’argent aux soldats pour qu’ils aillent dire qu’on a vo... «Ses disciples sont venus la nuit et ils ont volé Son corps.»

            Voyez, vous cherchez à prouver quelque chose scientifiquement, alors que vous ne le pouvez pas. C’est par la foi, par la grâce. Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse pendant que nous prions.

40        Avec nos têtes inclinées, je me demande, amis, pour beaucoup, ceci est notre première rencontre, et elle peut être la dernière. Je crois que le Seigneur Jésus-Christ est proche. Je sais qu’Il l’est. Il a dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai là. N’ayez pas peur, Je serai là. Je suis avec vous tous les jours, même jusqu’à la fin du monde, Je serai là.»

            Eh bien, combien ici sont sans Christ et aimeraient Le recevoir comme Sauveur personnel? Voudriez-vous juste lever la main vers Lui? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, vous. Quelqu’un au balcon qui lèverait la main pour dire: «Par ceci, je lève la main vers Dieu. Je–je–j’aimerais croire au Seigneur Jésus ce soir. J’ai été ballotté, mais je me sens bien étrange ce soir.»

            Assurément, quelque chose est sur le point d’arriver juste comme cela était arrivé à Bartimée. C’est pourquoi vous éprouvez ce sentiment étrange. Pourquoi ne levez-vous pas simplement la main pour dire: «Fils de David, sois miséricordieux envers moi, un pécheur. Je vais L’accepter maintenant»?

            Que Dieu vous bénisse, jeune homme assis ici sur le siège de devant. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un à l’extérieur, à ma gauche? Que Dieu vous bénisse, par ici, monsieur. Quelqu’un dehors?

41        Où que vous soyez, c’est juste vers Christ, levez simplement la main pour dire: «Christ, je crois en Toi maintenant. Je vais me trouver un lieu à fréquenter comme église, et j’aimerais... Je vais me faire baptiser. Je vais devenir chrétien désormais.» Voudriez-vous L’accepter?

            A ma droite, là dehors? Quelqu’un lèverait-il la main? Nous ne vous demandons pas d’adhérer à l’église. Nous aimerions simplement que vous deveniez un chrétien. N’importe qui qui s’est égaré, est toutefois un enfant de Dieu, mais il s’est simplement égaré, il s’est éloigné de l’église et il ne fréquente plus l’église. Peu importe ce que c’est, mais vous aimeriez qu’on se souvienne de vous dans un mot de prière, que Dieu réchauffe votre coeur ce soir et vous renvoie encore à l’église. Voudriez-vous simplement lever la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi»? Quelqu’un qui s’est égaré? Que Dieu vous bénisse, madame. Il voit votre main.

42        Maintenant, souvenez-vous de ceci. Vous direz: «Qu’est-ce que cela change, Frère Branham?» Eh bien, voici ce que Jésus a dit dans Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne viendra point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Pourquoi? Parce que vous avez cru au Fils de Dieu.

            Ne pouvez-vous pas lever la main vers Dieu le Père pour Lui dire: «Maintenant, j’accepte maintenant Christ comme mon Sauveur personnel. J’aimerais qu’on se souvienne de moi dans la prière», avec votre main levée?

            Très bien, pendant que vous restez la tête inclinée, j’aimerais poser cette question à tout le monde, en toute sincérité; pensez-y maintenant. Peut-être que vous avez été un membre d’église tiède. Peut-être qu’il y a eu beaucoup de choses dans votre vie, mais si le Seigneur Jésus apparaît ici à cette estrade ce soir et fait bien exactement ce qu’Il a dit dans la Bible qu’Il ferait, et qu’Il accomplisse les mêmes choses qu’Il avait accomplies quand Il était ici sur terre, allez-vous promettre de croire en Lui, de Le servir et de L’aimer tout le reste de votre vie? Allez-vous lever la main? Que tout celui qui croira cela, pécheur ou chrétien, voudriez-vous lever la main? «Je croirai.»

            A l’extérieur? Que Dieu vous bénisse. A ma droite? Croyez-vous au Seigneur Jésus? C’est guéri? Que le Seigneur vous bénisse. Très bien.

43        Notre Père céleste, il y en a qui ont levé les mains, montrant qu’ils étaient des pécheurs et voulaient qu’on se souvienne d’eux dans la prière. Seigneur, Tu as dit dans Ta propre Parole: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi, et Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.» Tu as promis de leur donner la Vie Eternelle et de les ressusciter au dernier jour.

            Et maintenant, en levant la main et en acceptant Christ comme Sauveur, ils ont maintenant la Vie Eternelle, d’après Ta Parole qui est la Vérité. Merci pour eux, Père.

            Certains ont levé la main pour montrer qu’ils s’étaient un peu égarés, Tes enfants égarés, en mauvaise santé, sur le plan spirituel, ils se sont mêlés aux choses du monde, ils ont taché leurs vêtements et ils veulent revenir au Calvaire ce soir pour un lavage complet par le Sang. Purifie leurs coeurs, Seigneur, lave-les avec Ton Sang par l’Esprit, fais d’eux de nouvelles créatures une fois de plus; le veux-Tu, Père?

44        Pratiquement tous ont levé la main, Père, montrant qu’ils croiront en Toi si seulement Tu veux venir encore vers nous ce soir en cette heure cruciale. Ce petit groupe de gens s’est assemblé ici, nous nous attendons à Toi, Père. Tu es passé quand l’aveugle Bartimée était assis à l’entrée, passe par ici juste ce soir, Seigneur, d’une–d’une façon visible. Et fais quelque chose juste comme Tu avais fait après la première résurrection, quand Cléopas et l’autre Te regardaient. Ils avaient marché avec Toi toute la journée sans Te reconnaître. Et puis, par la façon dont Tu avais fait quelque chose, juste comme Tu le faisais quand Tu étais ici sur terre, ils reconnurent que c’était Toi, après Ta résurrection, et Tu as disparu de leur vue.

            Fais quelque chose ce soir, Seigneur, comme Tu faisais quand Tu étais ici sur terre. Ta Parole dit que Tu le feras. Tu as dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Tu as promis que cela se ferait jusqu’à la fin du monde, et que cette génération, ces gens ici ce soir se tiendraient dans Ta Présence en ce jour-là, ils n’auront aucune excuse à présenter après qu’ils T’auront rejeté. Je Te prie, Père, d’accorder cela ce soir pour Ta gloire, par Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé. Amen.

45        Maintenant, le moment crucial est arrivé. Maintenant, le temps est arrivé où soit j’ai dit la vérité, soit j’ai dit une fausseté. Et la raison pour laquelle je sais que c’est la vérité, c’est que la Parole dit que c’est la vérité. C’est réglé. Je ne doute pas d’une seule Parole qu’Il a dite. Je peux ne pas avoir la foi de faire que les promesses qu’Il a faites s’accomplissent, mais je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un d’autre qui peut avoir cette foi. Si je ne peux pas marcher comme Enoch d’autrefois, faire une promenade un après-midi et rentrer à la maison avec Dieu, je serai heureux de savoir que quelqu’un d’autre avait eu assez de foi pour faire cela.

            Ainsi moi, par la grâce de Dieu, étant né dans ce monde pour avoir des visions... Et aucun homme, à aucun moment dans la Bible, ou cela n’arrivera jamais dans un âge à venir, pendant que nous sommes des mortels... Evidemment, quand vous quitterez ceci, nous n’en aurons pas besoin. Mais aucun homme, à aucun moment, depuis Adam jusqu’à présent ou dans le futur, jusqu’à ce que Jésus vienne, ne sera capable d’accomplir des miracles à son gré; Il ne l’a jamais fait, même le Fils de Dieu ni aucun prophète, cela a toujours été par une vision divine qui leur montrait quoi faire. C’est ce que déclare la Bible.

46        Et si Jésus ne pouvait rien faire de Lui-même, mais qu’Il devait attendre de voir ce que le Père Lui montrerait à faire... Et les gens dans l’assistance, une femme avait touché Son vêtement, elle est allée s’asseoir, ou elle est retournée dans l’assistance... Et Jésus a dit: «Je suis devenu faible, la vertu m’a quitté. Qui M’a touché?»

            La femme, avec les autres, ont nié: Personne ne L’avait touché. Même l’apôtre Pierre a dit: «Seigneur, tout le monde Te touche, pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»?

            Il a dit: «Je suis devenu faible.»

            Et ces yeux ont parcouru cette assistance jusqu’à ce qu’Il a repéré la femme qui L’avait touché. En effet, elle disait dans son coeur... Eh bien, Il n’a pas pu sentir cela physiquement, car elle avait juste touché Son vêtement et s’en était allée. Et Il... La vertu ne serait pas sortie de Lui par un toucher physique. C’était un toucher spirituel. Et Il l’a repérée. Et elle avait souffert d’une perte de sang depuis plusieurs années. Et Il lui a parlé de sa foi qui l’avait guérie.

47        Voyez, eh bien, Il n’avait pas eu de vision pour cela. C’étaient les gens... Dieu, Il était le don de Dieu. Dieu était en Lui. Et quand Il s’abandonnait à Dieu pour accomplir la volonté de Dieu, les gens, en croyant cela, parlaient à Dieu; et par Ses lèvres, Dieu déclarait ce qu’était la foi des gens. C’est pourquoi Il avait connu la femme au puits, et tout ce qu’Il faisait, le Père le Lui montrait. Par exemple, la résurrection de Lazare...

            Suivez, cette seule petite dame avait tiré de Lui la vertu par sa foi, en utilisant le don de Dieu. Mais quand Dieu Lui a dit en vision de quitter la maison de Lazare et de s’absenter pendant quatre jours, que Lazare allait mourir, qu’ensuite Il allait revenir le ressusciter... Vous direz: «Est-ce ce qu’Il avait fait?»

            Il a dit qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Et à la tombe de Lazare, Il a dit: «Père, Je Te loue de ce que Tu M’as déjà exaucé, Je dis cela à cause de ces gens qui se tiennent à côté.» Voyez? Mais Il n’avait jamais senti que la vertu était sortie de Lui là, car c’était Dieu utilisant Son don. Dieu utilisait Son Fils pour accomplir un miracle afin de confirmer...

48        Il y a eu trois personnes qui avaient été ressuscitées du temps de Jésus. Des milliers étaient morts, mais trois, c’est un témoignage selon les lois juives; trois, c’est une confirmation. «Chaque parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.»

            Eh bien, mais Il n’avait pas senti la vertu sortir de Lui là, car... C’était un miracle plus grand, mais Dieu Lui avait montré quoi faire. Mais cette femme avait tiré de Lui la vertu.

            Eh bien, Jésus ne peut pas être ici dans un corps corporel. En effet, quand ce corps-là retournera, ça sera la fin des temps. «Comme l’éclair part de l’orient et se montre jusqu’en occident, ainsi sera la Venue du Fils de l’homme. Chaque genou fléchira, chaque langue confessera.»

            Il ne peut pas être ici dans un corps corporel, mais Il est ici dans un corps spirituel, sous une forme appelée le Saint-Esprit.

49        Et Dieu a placé dans l’Eglise premièrement (Quoi?) les missionnaires, ou les apôtres; apôtre et missionnaire, comme je vous l’ai dit, je vous l’ai enseigné, c’est la même chose: un envoyé. Apôtres, prophètes, docteurs, évangélistes, pasteurs, Dieu les a placés dans l’Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise. Ce sont les dons divins que Dieu a ordonnés d’avance et a placés dans l’Eglise. Voyez? Ils sont pour le perfectionnement de l’Eglise. Jésus parle par Son pasteur, Il parle par Son docteur, Il parle par Son voyant, Son prophète, Il parle par Son missionnaire aux pays, et autres. Ce sont Ses dons qu’Il a placés dans l’Eglise.

            Maintenant, Il est avec vous depuis longtemps, mais peut-être que vous n’avez jamais reconnu Cela, comme Philippe et l’autre, ou plutôt Cléopas. Mais quand Jésus fit quelque chose, juste comme Il le faisait quand Il était ici sur terre avec eux, ils... leurs yeux s’ouvrirent et ils reconnurent que c’était Lui. J’espère qu’Il fera la même chose ce soir.

            Maintenant, vous–vous les chrétiens, vous comprenez qu’il y a des critiqueurs ici présents, vous n’êtes pas tous des croyants, et votre vie ne peut pas être cachée dans Sa Présence. Mais ce que je fais, c’est simplement m’abandonner à Son Esprit. C’est juste comme ce microphone, il est parfaitement muet jusqu’à ce que quelque chose parle au travers de cela. Il ne peut pas parler de lui-même, et moi non plus, ni aucun autre homme, si Dieu ne parle pas au travers d’eux. Que le Seigneur bénisse.

50        Eh bien, hier soir, je pense, on disait avoir distribué des cartes de prière. La raison pour laquelle nous devons le faire, c’est pour aligner les gens de façon légitime. En effet, ils ne... Combien ici aimeraient qu’on prie pour eux, à l’intérieur ou à l’extérieur? Levez la main, ceux qui aimeraient–qui aimeraient que Christ les guérisse, levez la main; j’aimerais donc que tout le monde voie. Voyez-vous ce que je veux dire? Qui sera le premier dans la ligne? Plusieurs centaines... Tout ce que vous pouvez faire, c’est distribuer des cartes qui portent des numéros, puis les laisser passer suivant leurs numéros.

            Hier soir, nous avons appelé de 1 à 50. Et ce soir, commençons à cinquante et appelons à partir de–de cinquante. Qui a la... prière... Combien pensez-vous que nous... Combien devraient... Prenons-en environ–environ dix. Premièrement, qui a... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Levez-vous simplement du coup maintenant afin que vous ne... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... 50, 51, y a-t-il quelqu’un qui a la carte de prière 51? Voudriez-vous lever la main? 51. 52, levez vite la main, regardez, 52, très bien, madame, par ici. 53, qui a 53? Levez la main. 54, quelqu’un qui a la carte de prière 54, quelqu’un qui a la carte de prière 54? Voudriez-vous lever la main afin que je voie cela? Bien, 54, excusez-moi, 55, très bien, madame. 56? 56, voudriez-vous lever la main? 56, très bien. 57? 58? 59? 60, 60? Est-ce qu’un huissier voudrait regarder par ici? Y en a-t-il parmi ces gens par ici qui ont des cartes de prière, quelqu’un parmi vous ici? 60, personne. Très bien. Regardez leurs numéros.

51        Or, ils ne peuvent pas se lever. Il a dit, pas trop à la fois. Léo, Gene, l’un de vous, quelqu’un, voudriez-vous descendre aider Billy et les autres là en bas avec les gens juste un instant? 60, essayons encore d’autres: 61? 62? 63, quelqu’un qui a la carte de prière 63? 64? 65? Eh bien, on dirait que ça prend donc environ... Nous allons devoir attendre juste un instant pour voir comment ils s’alignent. Tout le monde, là? 56, 56 là? Très bien. Très bien. Voyez si cette dame ici... a-t-elle–a-t-elle une carte? Avez-vous une carte? Non, vous n’en avez pas?

            Vous n’avez donc pas à avoir une carte. Vous donc... vous allez voir cela d’ici quelques instants. Le Seigneur vous guérira peu importe où vous êtes assis, qui vous êtes, si vous croyez cela.

52        Vous dites quoi? J’ai appelé... Qu’ai-je appelé? De 60, 65? Voyez si–si eux tous sont en ligne maintenant. Peut-être que quelqu’un a été appelé, et il ne viendra pas à son tour, s’il y en a là. Billy, voudras-tu les compter pour vérifier s’ils sont là? Tous–tous, sauf 50. Très bien, d’accord.

            Eh bien, combien croient de tout... Combien n’ont pas de carte de prière. (Voyons ça) et aimeraient que le Seigneur Dieu les guérisse? Faites voir les mains, partout.

            Maintenant, j’aimerais poser une question. Si vous regardez au Calvaire, combien disent cela: «Regardez au Calvaire»? Regardez au Calvaire, croyez que le Seigneur Jésus est mort pour vous sauver et vous guérir. Saviez-vous que dans la leçon de ce soir, le mot... Jésus a dit: «Ta foi t’a sauvé»?

53        Maintenant, j’aimerais demander à l’un de ces érudits versés dans les Ecritures ici, le mot sauvé, nous l’avons appelé, être converti. Le même mot est utilisé, être sauvé et être guéri, c’est le même mot en grec, Sozo, est-ce vrai? Sozo. «Ta foi a Sozo», t’a sauvé physiquement ou spirituellement. A la femme qui avait touché Son vêtement, a-t-Il dit: «Tu as été guérie»? Non: «Ta foi t’a sauvée», physiquement. On s’est occupé du salut et de la guérison au même moment dans l’expiation.

            Juste comme... prendre cela comme ceci, afin que vous compreniez. Si un gros serpent m’enfonçait sa patte dans le flanc, me grattait, me taillait en pièces et me tuait, ça ne servirait à rien de lui couper la patte. Si vous le frappez à la tête, vous aurez tué la jambe et tout. Si vous le frappez à la tête, vous aurez tué sa tête. Vous aurez tué tout son corps. Quand donc vous... Christ a tué le péché au Calvaire. Il a tué la maladie avec cela, et tout le reste. Il a administré un seul coup mortel et fatal et cela a couvert toute la chose. Comprenez-vous?

54        Ainsi, maintenant–maintenant, la chose suivante, est-Il vivant? Eh bien, vous–vous pouvez expliquer cela par la Parole. Tenez, tout récemment... Puis-je dire ceci pendant que vous vous apprêtez.

            L’un des meilleurs érudits du pays est venu récemment vers moi, il a dit qu’il raccompagnait un musulman vers on pays. Et il avait été instruit ici, c’était un ingénieur civil qui rentrait en Inde...

            Et docteur Morris Reedhead, le vice-président des Missions Soudanaises, les plus grandes au monde, il a dit: «Je lui ai dit, Frère Branham: ‘Pourquoi ne laisses-tu pas tomber ce vieux prophète mort, Mahomet, pour accepter le Seigneur Jésus ressuscité et Le ramener avec toi?’»

            Il a dit: «Gentil monsieur, a-t-il dit, que peut faire votre Seigneur Jésus pour moi...» Ecoutez maintenant. «Que peut faire votre Seigneur Jésus pour moi de plus que ce que mon prophète mort ne peut faire pour moi?» Il a dit: «Vous lisez la Bible, et vous La croyez. Nous lisons le Coran, et nous le croyons.»

            Il a dit: «Oh ! Mais vous voyez, monsieur, a-t-il dit, Mahomet est mort et il est dans la tombe; Jésus est ressuscité et Il est vivant.»

            Le musulman a dit: «Vraiment?» Il a dit: «Vous avez eu deux mille ans pour le prouver, et les deux tiers de la population mondiale n’ont jamais entendu parler de Son Nom.»

55        Quelle disgrâce? En effet, nous avons fait tout le reste sauf ce que Jésus nous a ordonné de faire. Jésus n’a jamais dit de construire une église. Jésus n’a jamais dit de bâtir un hôpital. Cependant, ce sont de bonnes choses. Jésus n’a jamais dit de bâtir une école. Absolument pas. Il n’a jamais commissionné Ses disciples de faire pareille chose. C’est bien. Je ne condamne pas ça. Mais nous avons emprunté une autre voie. Il n’a jamais dit qu’un homme ait un séminaire, mais Il a dit: «Prêchez la Bonne Nouvelle, guérissez les malades, ressuscitez les morts; chassez les démons: Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.»

            Et nous avons fait tout le reste sauf cela. Nous avons adopté les écoles et l’instruction, les émotions, les dénominations, nous avons érigé des barrières: «Nous sommes méthodistes. Nous n’avons rien à faire avec les baptistes. Et nous les presbytériens, nous n’avons rien à faire avec aucun de vous. Et nous sommes catholiques, nous supervisons le tout.» Vous y êtes. Voyez? Il n’est pas étonnant que vous n’arriviez pas à croire.

56        Alors, le musulman a dit: «Oh !» Docteur Reedhead a dit: «Oh ! Il est ressuscité.»

            Il a dit: «Comment saurais-je qu’Il est ressuscité?»

            Il a dit: «Eh bien, vous voyez, a-t-il dit, nous éprouvons la joie, de savoir cela.»

            Il a dit: «Eh bien, juste une minute, docteur Reedhead, j’ai du respect pour vous et pour votre religion.» Il a dit: «Mais l’islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.» Il a dit: «Nous sommes tout aussi heureux et nous nous réjouissons tout autant en attendant le retour de Mahomet que vous, vous le faites en attendant Jésus.»

            Docteur Reedhead a dit: «J’ai reconnu que je n’avais pas rencontré un homme qui venait de se réveiller.» Il a dit: «Il était un érudit.»

            Il a dit: «Maintenant, nous pouvons produire autant de psychologie que vous.» Il a dit: «Nous avons autant de joie.» Il a dit: «Regardez, vous les enseignants, vous avez eu deux mille ans pour prouver qu’Il est ressuscité, et les deux tiers du monde n’ont jamais entendu parler de Lui.» Il a dit: «Que Mahomet ressuscite de la tombe et le monde entier l’apprendra dans vingt-quatre heures.» Il avait quelque chose, certainement, il en avait.

57        Et il a dit: «A part ça, monsieur Reedhead, comme vous l’avez dit, a-t-il dit, que je vous voie, vous les enseignants, manifester ce que Jésus a dit que vous feriez, et alors nous les musulmans, nous serons prêts à croire qu’Il est ressuscité d’entre les morts et que vous êtes dans le vrai.» Il a dit: «Vous voyez, Mahomet n’a jamais fait des promesses après la mort. Il a simplement promis la Vie Eternelle après la mort. Mais, a-t-il dit, Jésus vous a promis... à Ses serviteurs qu’ils feraient les mêmes oeuvres que Lui avait faites pour prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Docteur Reedhead a dit: «Oh ! Je–je suppose que vous vous référez à Marc 16, là où il est dit: ‘Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, et s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point du mal. Ils imposeront les mains aux malades, et...»

            Il a dit: «C’est un passage, oui, un.»

            Il a dit: «Eh bien, évidemment, monsieur, nous avons appris au séminaire que cette parole-là n’est pas inspirée, du verset 9 de Marc 16 jusqu’à la fin, cela a été ajouté.»

            Il a dit: «Quoi? Quel genre de Bible lisez-vous?» Il a dit: «Tout le Coran est inspiré. Toute notre bible est inspirée, mais chez vous, ce sont juste des parties qui sont inspirées. Comment pouvez-vous avoir foi en cela donc?» Si ce n’était pas une disgrâce pour le christianisme...

58        Il a dit: «Frère Branham, j’ai cogné mon pied par terre et j’ai changé de sujet.» Et il a dit: «J’ai promis, étant un baptiste loyal tel que je le suis, qu’un jour j’irais à Chattanooga prendre Don Wells, votre ami (la grande église baptiste dans...?...), ai-je dit, ai-je dit, je viendrais vous rendre visite et vous poser la question. J’ai des diplômes avec lesquels je peux tapisser les murs, a-t-il dit, mais où est Jésus dans tout cela?»

            J’ai dit: «Savoir que vous êtes... avez une licence en lettres, ou un doctorat en théologie ou en droit, ou quoi que ce soit, cela n’a rien à faire avec Christ. Il n’est pas question d’avoir un diplôme, ni de connaître la Bible, ni de connaître votre catéchisme; ni de connaître la doxologie, ni de connaître les credos des apôtres, mais de Le connaître, Lui, dans la puissance de Sa résurrection; c’est ça la Vie Eternelle.»

59        C’est alors que les choses sont accomplies, c’est ce que je crois qu’Il fera ce soir. Dix mille fervents musulmans étaient tombés aux pieds de Jésus du coup, à Durban, en Afrique du Sud, et vingt mille autres, ce qui faisait au total trente-cinq mille, lors d’un seul appel à l’autel. Ils ont simplement cru.

            Eh bien, ce–c’est l’une ou l’autre chose à laquelle vous devez faire face, ça ne sert à rien de chercher à trouver une échappatoire pour vous dérober par rapport à votre incrédulité, a dit Jésus, non seulement là, mais dans beaucoup de passages dans la Bible, et partout dans la Bible: «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais jusqu’à la fin du monde.» Marc 11.24 dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Voyez-vous?

            Il vous faudrait dépecer la Bible pour En ôter ces promesses. Vous n’auriez alors plus de Bible. Chaque Parole est inspirée, chaque portion de Cela. Et c’est vrai.

60        Très bien. Que le Seigneur soit béni. Où est parti le jeune homme? Est-ce que–est-ce qu’il a toute la ligne de prière en place? Tout le monde est-il en ligne? Très bien.

            Maintenant, Seigneur Jésus, le temps est de nouveau arrivé. J’ai parlé de Toi de tout mon coeur. Maintenant, parle en retour, Seigneur, et confirme que c’est la vérité qui a été dite. Et que la louange Te soit rendue en Ton Saint Nom, je le demande.

            Etends Ta sainte main pour accomplir des signes et des prodiges, afin que les gens soient sans excuse en ce jour-là. Car Tu es vivant, et je demande ces choses pour Ta gloire. Amen.

            Je ne dis pas qu’Il le fera. Combien parmi vous ce soir ont l’une des photos? Faites voir les mains. Elle est à Washington, D.C., présentement, la photo de l’Ange du Seigneur. C’est l’unique photo, d’après George J. Lacy, le responsable du département de FBI chargé des empreintes digitales et des documents douteux... Il l’a examinée à Houston, au Texas, et l’a envoyée à Washington, D.C. Cela est accroché au musée des arts religieux. C’est l’unique preuve scientifique qu’il y a aujourd’hui, sur le plan scientifique, de l’existence d’un Être Surnaturel. Monsieur Lacy a dit: «Ce n’était pas de la psychologie, l’oeil mécanique de l’appareil photo ne pouvait pas capter de la psychologie. Nous avons fait passer cela sous le rayon ultraviolet et tout le reste, a-t-il dit, la Lumière a frappé l’objectif.» Il a signé de son nom. Il y a un commentaire de sa part à la fin du livre.

61        Si je meurs, et que ceci soit ma dernière soirée sur terre, le monde scientifique sait qu’on a laissé des témoignages, que c’est la vérité. Des dizaines de milliers, oui, des millions de gens savent cela ce soir, que c’est la vérité, que Jésus est ressuscité d’entre les morts et Il est ici ce soir maintenant, ici même, dans cette même Colonne de Feu que vous avez vue, qui avait conduit les enfants d’Israël, Cela est sur la photo. Cela a été photographié en Allemagne il y a quelques semaines. Beaucoup parmi vous, les hommes d’affaires chrétiens, vous avez vu Cela. Combien d’hommes d’affaires chrétiens ont vu Cela être publié dans votre magazine ici, les Hommes d’Affaires Chrétiens, oui, La Voix des hommes?

            L’appareil photo allemand avait pris Cela. On a pris Cela à trois différentes reprises, on était en pleine réunion. Et Cela a simplement parcouru l’Allemagne. Quinze mille sont venus à Christ d’un coup. Voyez? Et j’espère qu’Il apparaîtra visiblement ici ce soir afin que vous Le voyiez aussi.

62        Maintenant, voici une femme ici debout. Je... Dieu sait que je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Franchement, tout le monde ici m’est inconnu. Etes-vous tous inconnus? Levez simplement la main afin que vous voyiez. Voyez? Vous tous, des inconnus. Je ne vous connais pas. Mais il y a ici Quelqu’Un qui vous connaît certainement, c’est Christ.

            Eh bien, cette dame ici debout, c’est vraiment un tableau typique de la femme au puits: un homme et une femme ensemble. Lui étant un Homme, la femme qui était venue... Eh bien, il y avait quelque chose qui clochait chez cette femme-là; Jésus lui a parlé quelques minutes jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit, Il a su quel était son problème et Il lui en a parlé. Combien de lecteurs de la Bible disent que c’est vrai? Faites voir la main. Et que Lui a dit la femme? Elle a dit: «Ceci est le signe du Messie. Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera.» Est-ce vrai, lecteurs de la Bible?

63        r, la Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? Et Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance, le même à tout point de vue, sauf quant au corps corporel. Et Il nous utilise. Voyez, Jésus n’a des mains que les vôtres et les miennes. Voyez, nous sommes les quoi? Il est le Cep, nous sommes les sarments. Est-ce vrai? Ce n’est pas le cep qui porte les fruits. Ce sont les sarments qui portent les fruits. Est-ce vrai? Vous ne cueillez pas le fruit du cep, vous le cueillez du sarment.

            Ainsi, mais l’énergie qui est dans le sarment vient du cep. Voyez? Et si cela est dans l’arbre, il portera le fruit du même genre que l’arbre. Cela fait de Jésus le même hier, aujourd’hui et éternellement. Saint Jean 15. Voyez? Où que vous vous tourniez dans la Bible, peut-être une nouvelle page pour vous, mais vous découvrirez que c’est exactement la vérité, ici même dans la Bible.

            Eh bien, la femme, je lui parle. Si je ne la connais pas, elle a levé la main pour montrer qu’elle ne nous connaît pas. Et je... puis-je dire ceci, juste avant que cela arrive. J’ai senti quelque chose frapper. S’il y a un critiqueur ici, à l’intérieur ou dehors, je ne suis pas responsable de ce qui vous arrive. Ecoutez cela, au Nom de Jésus. Des choses horribles sont arrivées. Je ne resterai plus longtemps ici à la réunion. Je m’en irai et je reviendrai demain après-midi au service de la prédication. Ne restez pas, critiqueur. Si seulement nous avions le temps de vous expliquer cela ! Ne restez pas. Je ne serai pas responsable.

64        Eh bien, à la dame, comme je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas... Vous êtes ici dans un but. Peut-être que vous êtes une critiqueuse. Je ne sais pas. Vous découvrirez d’ici quelques minutes, si vous l’êtes ou pas. Vous verrez ce qui arrivera et comment on vous emportera de l’estrade, peut-être même sans vie dans votre corps. Mais c’est entre Dieu et vous. Mais moi, je suis juste Son serviteur.

            Et maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est devenu le Cep, et que Ses ministres sont devenus des sarments, alors la même Vie qui est dans le Cep est dans le sarment. Et Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Or, s’Il est ressuscité d’entre les morts, alors Il doit faire la même chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, sinon Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Cela est soit bien vrai, soit faux. Voyez? C’est soit la vérité, soit c’est faux.

            Eh bien, si la femme dit qu’elle ne me connaît pas, et que moi je ne la connais pas... Et si je déclare ceci, que Jésus est ressuscité d’entre les morts, et s’Il accomplit entre elle et moi la même oeuvre qu’Il avait faite pour la femme au puits, un des tableaux, la même chose, allez-vous tous croire en Lui de tout votre coeur?

65        J’aimerais juste vous parler: «Que faites-vous, Frère Branham?» Vous êtes des esprits. Voyez, vous êtes des êtres humains. Vous avez un esprit. Je suis un humain, j’ai un esprit. Et vous êtes une chrétienne pour commencer, car votre esprit est le bienvenu. Je ne l’aurais pas su si j’étais moi-même un grand critiqueur, moi-même, je ne l’aurais pas su. Mais le même Esprit qui était sur notre Seigneur Jésus, qui avait parlé à l’homme qui était venu avec... Nathanaël qui était venu avec Philippe, disant: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude», un homme juste. Il a su cela. Et cela l’avait étonné: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Et alors, il a cru.

            Maintenant, sachant que vous êtes une chrétienne, comment donc le sais-je? En effet, l’Esprit de Dieu est ici entre nous, votre esprit rend témoignage aussitôt que Cela entre en contact, que vous êtes une chrétienne. Vous êtes une croyante. Vous n’êtes pas une critiqueuse.

66        Maintenant, si le Seigneur Jésus me dit ce pour quoi vous êtes ici, serez-vous...? Voyez, je ne peux pas vous guérir si vous êtes malade. Je ne peux pas vous guérir, ou je ne peux pas vous accorder ce que vous désirez. Ce serait votre foi en Lui. Mais je déclare seulement qu’Il est ressuscité d’entre les morts, comprenez-vous? Eh bien, que le Seigneur accorde cela, soeur. Je vais juste vous parler pour contacter votre esprit.

            Mais maintenant, si l’assistance peut toujours entendre ma voix, entre elle et moi apparaît cette même Lumière que vous voyez sur la photo, et elle s’éloigne de moi. La femme, je la vois en train de faire son travail; elle est très, très nerveuse. Elle laisse tomber des choses, elle souffre d’une–une maladie de peau, c’est un cancer de peau. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce la vérité? Si c’est vrai, levez la main.

67        Maintenant, si je ne fais que vous parler, d’autres choses se passeront. Croyez-vous maintenant? Maintenant, parlons juste à la femme, pour juste voir ce qu’Il dira. Si nous ne prenons pas beaucoup, juste... Maintenant, parlons. Qu’est-ce qu’Il a dit qui clochait? Je... C’était l’une ou l’autre chose, je vous ai vue faire quelque chose ou laisser tomber quelque chose, ou faire quelque chose; c’était quelque chose dans la maison. Ensuite, je vous ai vue... Oh ! Oui, la femme, maintenant elle est... Oui, c’est une peau. C’est un cancer de peau. Elle est dérangée par une maladie, une autre maladie. Cela est dans son flanc et dans sa poitrine. Elle a des douleurs, et c’est dans son flanc gauche et sa poitrine. C’est vrai. Elle s’inquiète à ce sujet. C’est ce qui la rend nerveuse; en effet, elle pense que c’est un cancer dans son sein et au flanc. C’est en fait ça. C’est exact. C’est vrai.

            Maintenant, regardez de ce côté-ci, madame. Christ, vous savez, il y a ici Quelque Chose d’autre que votre frère. Si l’assistance peut continuer à m’entendre, il y a quelque chose qui est... Ce–C’est Lui. C’est Lui qui vous connaît. Maintenant, j’aimerais vous dire quelque chose. Depuis que je vous parle, il y a eu un changement qui vous est survenu. Vous savez que vous êtes... en dehors de quelque chose, en dehors de votre frère, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. Votre foi vous a guérie. C’est clair autour de la femme. L’obscurité a été repoussée des ténèbres de la mort, c’est devenu l’éclat de la lumière. Et maintenant, je–je bénis ma soeur que voici, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et Tu as dit: «Tout ce que vous lierez sur la terre, Je le lierai au Ciel.» Et je lie l’ennemi dans sa vie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, soeur, regardez. Cessez de vous inquiéter. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, heureuse. Et puis, quand je reviendrai sous tente, dans une année ou à un moment donné, vous viendrez sous la tente donner le témoignage de ce qui vous est arrivé. Que Dieu vous bénisse; maintenant, poursuivez votre chemin et réjouissez-vous, et louez le Seigneur.

68        Croyez-vous? «Si tu peux croire, tu peux recevoir.» Ayez foi. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Croyez, tout peut arriver. Oh ! J’aurais voulu avoir un moyen de faire savoir à mon assistance exactement quelle atmosphère ceci constitue.

            A vous les hommes de science, à vous qui étudiez la culture de la science, puis-je dire ceci de cette façon: C’est la cinquième dimension, c’est un autre monde. Voyez? Vous sondez la vie de quelqu’un, c’est seulement par la grâce de Dieu.

            Maintenant, voici une autre dame, inconnue, je ne l’ai jamais vue. Jésus-Christ seul connaît la dame. Pas moi, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais Lui vous connaît. Et s’Il me révèle ce qu’est votre problème, allez-vous accepter cela et croire cela?

            Maintenant, la dame, je la vois aller quelque part, c’est pour un examen. C’est devant les médecins, et on lui administre l’un ou l’autre produit, comme traitement. C’est un traitement à cause d’une ombre noire qui est suspendue, c’est le cancer. Elle suit un traitement à cause du cancer, et cela l’a rendue très, très nerveuse. C’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT.

            Maintenant, une chose que vous–vous êtes dans votre vie spirituelle... afin que vous sachiez que je suis Son serviteur, vous êtes... vous–vous cherchez toujours à atteindre quelque chose dont vous n’êtes pas à mesure de vous emparer. C’est vrai. Et vous–vous en avez besoin. Et vous avez fait une promesse à Dieu à côté d’un lit, que si Dieu vous permettait de vous rétablir, vous Lui abandonneriez toute votre vie et que vous seriez à Lui, dans une prière à côté du lit. C’est vrai. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous ne venez pas de cette ville, vous venez d’une autre ville. Pauline, c’est votre nom. C’est vrai. Pauline, rentrez chez vous. Jésus-Christ vous a guérie, abandonnez-vous à Lui et vous serez guérie, au Nom de Jésus-Christ.

69        N’y pensez pas. Jésus n’a-t-Il pas dit à Simon: «Ton nom est Simon, mais tu seras appelé Pierre»? Il connait tout à votre sujet. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez.

            Vous êtes inquiète, n’est-ce pas, maman, au sujet de l’enfant? Maman, si le Seigneur Jésus me dit ce pour quoi vous avez mis votre bras autour de l’enfant, allez-vous m’accepter comme Son prophète et croire toutes choses? Vous êtes inquiète et vous pleurez. Cet enfant est un arriéré, c’est vrai. Et vous priez pour cet enfant-là. Non seulement cela, mais vous souffrez de dos. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, croyez au Seigneur Jésus-Christ. Et qu’il vous soit fait selon votre foi. Imposez la main à l’enfant.

            Seigneur Jésus, nous implorons la miséricorde maintenant. La petite femme T’a contacté par le Cep. Et nous Te prions de lui accorder le désir de son coeur. Je prie, au Nom de Christ. Amen. Ne doutez pas, mais croyez seulement...?...

70        Le gentleman avancé en âge, assis, en train de me regarder là, au bout de la rangée, a beaucoup de soucis, et un enfant malade et tout. Vous souffrez aussi d’une hernie, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Je vais vous dire quelque chose: vous avez une mauvaise habitude, que vous devriez arrêter. Vous fumez le tabac, vous fumez. Débarrassez-vous-en. C’est cela qui dérange. Vous toussez aussi. C’est mauvais pour vous, vous ne devriez pas faire cela. Allez-vous jeter cela par terre et promettre à Christ de Le servir à partir de ce soir? Alors, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Au Nom du Seigneur Jésus, recevez cela.

            Crois-tu de tout ton coeur? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Pensez-vous qu’Il vous rétablira de la névrite, monsieur? Le croyez-vous? Vous priiez, disant: «Seigneur Jésus, accorde-moi d’être guéri ce soir. Que cet homme se retourne vers moi, et je croirai.» Cela... Levez la main si... Voyez, c’est–c’est vrai. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais j’entends votre prière dans le monde de la prière. Votre foi vous a sauvé, monsieur. Ne doutez pas. Amen.

71        Vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas, madame? Vous savez que ce n’est pas votre frère qui se tient ici qui fait que vous vous sentiez ainsi. C’est votre Sauveur, le Seigneur Jésus. Mais cette sensation que vous éprouvez, une sensation très humble, douce, paisible, C’est Lui. Je ne vous connais pas. Mais vous êtes sérieusement dérangée. Je vois une disposition à être triste, ça vous a suivie. Vous souffrez d’une maladie, une maladie de nerfs, vous avez quelque chose qui cloche dans votre gorge, vous avez quelque chose qui cloche dans votre estomac. C’est vrai.

            Et je vois apparaître à côté de vous une petite fille, c’est votre enfant. Elle a environ huit ou dix ans. Elle est assise dans cette direction maintenant à cause de sa... La ligne de la foi est en train d’avancer de ce côté-là. L’enfant souffre de gorge. Elle a des amygdales. Et l’enfant est extrêmement nerveuse. Elle a été retirée de l’école publique à cause de ses nerfs. Elle est dans une autre école, une école privée, à cause de son état. Le mouchoir avec lequel vous vous essuyez les larmes aux yeux, posez-le sur l’enfant, elle va se rétablir. N’ayez pas peur. Rentrez, au Nom de Christ. Croyez toutes ces choses. Vous aurez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse, ma soeur.

72        Ayez foi, ne doutez pas. Jésus a dit: «Si vous pouvez croire, tout est possible à ceux qui croient.» Est-ce vrai? C’est exclusivement pour les croyants.

            Je vois une dame debout à mi-air, une jeune femme. Elle tousse la nuit. C’est l’asthme. Elle est assise ici au bout du siège. Vous souffrez aussi de quelque chose au niveau du nez. C’est un rhume de foin qui vous dérange. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous êtes assise au bout de ce siège-là, une jeune femme aux cheveux noirs en train de prier. Levez la main, c’est ça. Croyez-vous?

            J’ai vu ce tricot jaune. Cette dame assise à côté de vous, afin que vous sachiez que je suis Son prophète, elle a aussi besoin de prière à cause du trouble d’estomac. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Vous êtes une personne du genre nerveux. Quand vous prenez votre nourriture, cela régurgite dans votre estomac et ça devient aigre, il y a un retour, cela vous dérange, cela brûle comme les brûlures d’estomac, la dyspe-... dyspepsie. C’est vrai. Faites signe de la main si c’est vrai. Si vous croyez, vous pouvez avoir ce que vous demandez.

            Monsieur, vous assis juste derrière elle là, vous souffrez aussi d’estomac. Vous vous êtes retourné vers lui tout à l’heure, avec le mal de dos. C’est vrai. Vous n’êtes pas non plus de cet Etat. Vous venez d’ailleurs, en dehors de la ville, d’une ville appelée Alma, en Géorgie. C’est vrai? Levez la main. Ayez foi, rentrez à Alma et témoignez de grandes choses que Dieu a faites pour vous. Rendez-Lui gloire. C’est votre foi, monsieur.

73        Croyez-vous? Si tu peux croire... Soeur, regarde de ce côté-ci, je me sens terriblement faible à cause de la foule. Si une seule vision a fait sortir la vertu de Lui, qu’est-ce que ceci fait? Votre dos vous dérange. C’est vrai. Vous souffrez de dos. Vous éprouvez des douleurs, vous n’arrivez pas à vous déplacer avec cela. Cela a été causé... Je vois un accident, ou quelque chose comme cela. L’automobile, vous avez connu un accident d’automobile, c’est ce qui est à la base de cela. C’est vrai. Exact. Maintenant, donnez-Lui toute votre vie, abandonnez-vous et recevez le Saint-Esprit, allez et soyez rempli de Son Esprit, travaillez pour Lui, agissez pour Lui. Vous avez eu ce désir depuis longtemps de toute façon. Maintenant, allez servir le Seigneur et soyez rétabli. Au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? Croyez seulement. Le Tendre Seigneur Jésus est ici. C’est Lui qui peut opérer toutes sortes de miracles. Etes-vous convaincu qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Il est ici. Ce sont les oeuvres qu’Il accomplit.

74        Vous voulez la prière pour quelqu’un d’autre, c’est vrai. Je vois un homme debout à côté de vous. C’est votre frère. C’est un alcoolique; c’est vrai. Prenez ce mouchoir-là et posez-le sur son taie d’oreiller. Implorez le Seigneur. Croyez de tout votre coeur et recevez ce que vous demandez; vous pouvez recevoir ce que vous demandez.

            Croyez-vous? Que pensez-vous, madame, vous qui êtes venue sur le brancard, vous assise là? Je ne peux pas vous guérir, mais si vous croyez de tout votre coeur, si vous le faites, vous pouvez, aussitôt le service terminé, vous pouvez vous lever de ce brancard et prendre vos effets, repousser cela et rentrer à la maison, rétablie. Croyez-vous? Faites-le.

            Le reste parmi vous, croyez-vous aussi? Maintenant, Il peut continuer. Ayez foi. Juste ici même, j’ai une vision. Vous avez mal aux yeux: Le cancer. Croyez-vous de tout votre coeur? Très bien, recevez votre guérison. Que le Seigneur Dieu vous bénisse.

           

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Maintenant, arrêtez de telles pensées, là derrière; je ne suis pas en train de lire les pensées de la femme. Cela viendra sur vous.

75        Venez ici, madame. Je ne vous connais pas. Posez votre... Venez ici. Posez votre main sur la mienne. Si Jésus-Christ me révèle ce qui cloche chez vous sans que je vous regarde au visage, accepterez-vous cela? Prenez donc votre souper, votre trouble d’estomac est terminé. C’est vrai, c’est ce que vous aviez. Maintenant, allez, réjouissez-vous et soyez rétablie. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

            Maman, ce vieux mal de dos vous dérange depuis longtemps. Mais allez maintenant en croyant; cela vous a quittée. Jésus-Christ vous rétablit. Et dites: «Gloire au Seigneur !»

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

            La sinusite, mais Jésus peut guérir cela, n’est-ce pas, vous guérir et vous rétablir complètement. Croyez-vous de tout votre coeur? Allez donc et recevez ce que vous avez demandé, par le Nom de Jésus-Christ.

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

76        Croyez-vous, madame? De tout votre coeur? Je vous vois essayer de sortir du lit, vous êtes raide. Je vous vois essayer de quitter une rue, et placer votre pied de côté comme ceci, pour quitter la rue. Vous souffrez de l’arthrite. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Je vous dis simplement ce que vous avez fait. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous? Soulevez les pieds de haut en bas comme ceci. Votre arthrite est partie. Vous avez été guérie pendant que vous vous teniez ici même. Croyez-vous?

            Nerveux, votre estomac vous a dérangé et vous a causé des palpitations cardiaques, surtout lorsque vous vous couchez. Cela vous a causé la gastrite dans l’estomac, une maladie peptique, des ulcères, c’est ce que cela a fait. Vous êtes très nerveux, et c’est depuis un temps que vous êtes comme ça, surtout depuis la ménopause. Vous êtes nerveuse. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais chaque parole est vraie. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, vous êtes guérie. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Votre foi vous a guérie.

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

77        Une maladie gynécologique, vous en souffrez depuis un temps. Vous souffrez aussi de l’arthrite. C’est vrai. C’est l’exacte vérité. Votre–votre vie ne peut pas être cachée, madame; mais votre foi est–est-elle en ordre avec Dieu maintenant? Si elle l’est, alors levez la main et croyez, allez et soyez rétablie, au Nom du Seigneur Jésus, et soyez bien portante. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire à Dieu !»

            Vous tous, vous disparaissez pratiquement de ma vie. Le Saint-Esprit est juste au-dessus de la salle. Eh bien, je ne suis pas un fanatique. Je dis la vérité. Mon... Je–je suis, je tiens à être un homme honorable et un chrétien. Si c’est ma parole que vous avez entendue, alors vous avez le droit d’en douter. Mais ce n’est pas moi qui parle, c’est Lui. Douter de Lui est un péché. Je vous déclare, à vous tous, que Jésus-Christ vous a guéris tous quand Il est mort au Calvaire. Pouvez-vous accepter cela dans la puissance de Sa résurrection? Si vous le pouvez, levez les mains vers Lui, rendez-Lui gloire; levez-vous, louez-Le.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie de guérir et de rétablir...

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